« TSM » et Neurologie · • Phénomène psychosomatique,! ... - Lʼenfant: boiterie, troubles...
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Le symptôme somatomorphe (TSM) dans la
pra6que neurologique….
• 10 à 30% des consulta6ons, Kannan et al., Brain 2009 ; Stone et al., Brain 2009 etc.
• Ne doit plus être considéré comme un « diagnos6c d’élimina6on », Friedman & Curt Lafrance, Annals of Neurology, 2010 : double écoute au même niveau.
• Parmi les critères pronos6ques : délai du diagnos6c.
L’écoute du signifiant…
• La pra6que médicale peut être soutenue par la théorie psychanaly6que tout en restant tenue aux exigences de la biomédecine….
• Le sujet, son symptôme, son histoire. Etude du trouble somatomorphe, Dubas & Thomas-‐Antérion, Les Belles Le_res, 2012.
Quelques repères (1)
• Hippocrate (-460/-377) : hystérie = suffocation de la matrice,
• « Quand la matrice est au foie et aux hypochondres et produit la suffocation, le blanc des yeux se renverse, la femme devient froide, et même quelques fois livide. Elle grince des dents ; la salive afflue dans la bouche et elle ressemble aux épileptiques. Si la matrice reste longtemps fixée au foie et aux hypochondres, la femme succombe, étouffée. »
Quelques repères (2)
• Sydenham = «L’hystérie n’est pas une maladie comme les autres»; caméléon: imitation et ubiquité.
• Messmer « invente » la suggestion. • Briquet = contexte de trauma sexuel et de misère. • Lassègue = La définition de l’hystérie n’a jamais
été donnée et ne le sera jamais. Les symptômes ne sont ni assez constants, ni assez conformes, ni assez égaux, en durée, en intensité, pour qu’un type, même descriptif, puisse comprendre toutes les variétés.”
Charcot, Janet, Freud (et Breuer)
. Charcot (1825-1896) et le dispositif…… • Janet : L’état mental des hystériques (1893) « Rétrécissement du champ de la conscience » = état dissociatif, • Freud (1856-1939), rencontre de Charcot 1886-1887, Etudes sur l’Hystérie (1889).
La conversion
« Le procédé utilisé par le Moi consiste à séparer l’affect (équivalent, d’une somme d’excitation) de la représen-tation ; il consiste à neutraliser la représentation en lui retran-chant son énergie, c’est à dire l’affect. » (Le clivage).
Représentation-Affect
Représentation Affect (somme d’excitation)
clivage
(psychique) (physique)
L’hystérie dans le DSM IV-R Hystérie
Troubles somatoformes : Trouble somatisation Trouble somatoforme indifférencié Trouble de conversion Trouble douloureux
Troubles dissociatifs :
Amnésie dissociative Fugue dissociative Trouble dissociatif de l’identité État dissociatif de transe et de possession
Axe I
Personnalité histrionique
Axe II
DSM IV
Trouble somatisation F 45 [300.81]
A. ATCD de plaintes somatiques multiples, avant 30 ans, sur plusieurs années, demande de traitement ou retentissement social, professionnel…
B. Symptômes 1) 4 symptômes douloureux : 4 localisations ou fonctions 2) 2 symptômes gastro-intestinaux 3) 1 symptôme sexuel 4) 1 symptôme pseudo-neurologique
C. Examens médicaux normaux, (toxiques exclus)
D. Exclusion du Trouble Factice ou de la Simulation
���Troubles de conversion
F 44.x [300.11] A. Un ou plusieurs symptômes ou déficits touchant la motricité
volontaire ou les fonctions sensitives ou sensorielles suggérant une affection neurologique ou une affection médicale générale
B. Survenue ou aggravation des symptômes suite à des conflits ou des facteurs de stress
C. Exclusion du Trouble Factice ou de la Simulation
D. Organicité éliminée, toxiques exclus.
���Troubles de conversion
F 44.x [300.11] (2) E. Souffrance significative ou altération du
fonctionnement social, professionnel…
F. Symptômes ne se limitent pas à une douleur ou à une dysfonction sexuelle, ne surviennent pas au cours de l’évolution d’un Trouble somatisation.
Spécifier :
.4 Avec symptôme ou déficit moteur .6 Avec symptôme ou déficit sensitif ou sensoriel .5 Avec des crises ou des convulsions .7 Avec présentation mixte
Trouble douloureux F 45.4 [307.80 et 307.89]
A. Une douleur dans une ou plusieurs localisations anatomiques
B. Souffrance significative ou altération du fonctionnement social, professionnel…
C. Rôle des facteurs psychologiques dans le déclenchement, l’intensité, l’aggravation et la persistance de la douleur
D. Exclusion du Trouble Factice ou de la Simulation E. Exclusion d’un trouble anxieux, de l’humeur,
psychotique ou dyspareunie.
Classification officielle : le DSM IV
Amnésie dissociative F 44.0 [300.12]
Troubles dissociatifs
Fugue dissociative F 44.1 [300.13]
Trouble dissociatif de l’identité
F 44.81 [300.14]
État dissociatif de transe et de possession
Belle indifférence
Le voyageur sans bagage
Personnalité multiple (le cas Sybil)
Effet de la culture
Amnésie dissociative F 44.0 [300.12]
A. Un à plusieurs épisodes d’amnésie (souvenirs personnels, traumatiques ou stressants).
B. Exclusion d’un autre trouble psychiatrique
C. Souffrance significative ou altération du fonctionnement social, professionnel…
Fugue dissociative F 44.1 [300.13]
A. Départ soudain et inattendu du domicile ou du lieu de travail habituel, s’accompagnant d’une incapacité à se souvenir de son passé
B. Confusion concernant l’identité personnelle ou adoption d’une nouvelle identité
C. Exclusion d’un autre trouble psychiatrique
D. Souffrance significative ou altération du fonctionnement social, professionnel…
Le foisonnement terminologique • Le « syndrome médicalement inexpliqué »
DSM-V : la médecine serait une somatopathologie, le médecin, avant tout, un mécanicien de l’organisme….
• Les maladies n’existent que quand on les nomme : conversion, neurasthénie, syndrome de Briquet, trouble fonctionnel, anorganique, trouble somatoforme(morphe), somatisation, fibromyalgie etc.
TROUBLES SOMATOMORPHES
- Symptômes qu’énonce le Sujet et/ou signes qu’observe ou recueille le médecin,
- qui ont l’apparence, la forme (morphè) de troubles somatiques, mais n’en sont pas,
- Sont une formation de l’inconscient, - Expression somatisée (corporéisée) d’une
difficulté psychique. Le corps « parle » à la place du Sujet.
- (Troubles « cognitivoformes »).
La plainte ou le signe somatisé est…
• Insolite • Incongru • Avec une sémiologie propre • Symbolisant • Disproportionné • (Incohérence anatomique).
Deux grands types de formation du symptôme somatomorphe :
1. Symptôme « typique », « massif », peu ou pas symbolisant
2. Symptôme « individuel », symbolisant
Le symptôme somatomorphe n’est pas …
• Simulation, • Phénomène psychosomatique, • Hypochondrie, • Manifestations somatiques de l’angoisse ou de
la dépression, • Plainte somatique des psychoses.
AMPLIFICATION ANXIEUSE
Ni incongruités sémiologiques ni symbolisa6on
Anxiété
Incongruités sémiologiques
Symbolisa0on
Bénéfices consciemment
attendus
SITUATION « HABITUELLE »
SYMPTOME SOMATOMORPHE SIMULATION
DISPROPORTION
Autres éléments contribuant à l’identification du symptôme somatomorphe
• Personnalité ou traits de personnalité pathologique, • Evènement de vie difficile, récent, • Symptômes somatomorphes (et dissociatif) multiples,
(simultanément ou non), • Scintigraphie cérébrale.
Symptômes neurologiques…
– Paralysies, contractures, mouvements anormaux,
– Anesthésies, – Cécité, aphonie, – Malaises (pâmoisons), Non E épileptiques, – Pseudo comas, – Amnésies et autre troubles cognitifs,
et Douleurs (psychalgies).
Terrain et occasion (1) Une lésion somatique, point d’ancrage ou occasion du
trouble : soit simple amplification, soit rencontre avec un fantasme : - Une symbolique culturelle du corps, - Un symptôme de l’autre : identification imaginaire/projective (madame F.), - Des maladies « à la mode » : (fibromyalgie), - Un ou des signifiants (éventuellement une locution de la langue : coupé en deux etc.).
Typique ou individuel, le symptôme somatomorphe est mul6déterminé par :
• Des « occasions » – Soma6ques (lésion « point d’ancrage ») – Sociales (perte, travail, …) – Psychiques et langagières
• iden6fica6on imaginaire : • Symbolisa6on • Locu6ons rela6ves au corps • Patronyme • Chiffrage de l’existence
Terrain et Soubassement(2)
- Des facteurs psychologiques ou antécédents (évènements traumatiques),
- Des événements : traumatismes physiques et/ou psychiques, interventions chirurgicales, vie sociale et familiale,
- Des périodes : adolescence, milieu de vie, licenciement, retraite, etc.
Intérêt ?
- Pronostic différent selon qu’il s’agit d’une simple amplification ou de l’expression d’un fantasme (typologie), - Thérapeutique (le fait même de s’y intéresser est thérapeutique), - Diagnostic (l’identification d’une symbolisation est un argument).
Cas NB
• 13 ans, cécité unilatérale persistante depuis 1 mois,
• Condition installation : traumatisme malaire (cours de récréation),
• « indifférence affective » • Contexte et « élément du discours » • Décision de guérir.
Formes particulières - L’enfant : boiterie, troubles visuels, aphonie,
vomissements, algies diverses, malaises … - L’adolescent, plus rare. Risque de conduites
addictives, de troubles du comportement alimentaire.
- Hystérie et vieillissement : Pas d’expression spécifique : malaises et troubles de l’équilibre et de la marche. Souvent associée à une dysthymie, une hypochondrie, une ou des maladies somatiques. « pseudo démence ».
- Hystérie collective. Transes …
Approche thérapeutique
• Ni rejet, ni mépris, • Double écoute, les signes cliniques du
médecin, et les signifiants du Sujet, • Proscrire la vraie et la fausse maladie, • Ne pas psychologiser : interprétations
«sauvages » » « au pied de la lettre », attention aux intrusions violentes…
• Ne pas médicaliser à outrances.
Moyens thérapeutiques - Anxiolytiques et antidépresseurs si troubles
anxieux ou dépressifs sévères, - Kinésithérapie, - Médecines alternatives (acupuncture,
balnéothérapie, cures thermales, hypnose), - Psychothérapies : - « de soutien » - psychanalytique - cognitive.
• Moyens adaptés à chaque situation…
Exemple de « traitement »
• Madame V, 27 ans, ex-secrétaire médicale, • « Crises » depuis l’âge de 6 ans, • Deux entretiens « libres », • Question du « désir » de soin, • Visualisation des crises (De Toffol, 2007), • Recherche d’un psychiatre…
L’évolution ?
• Fréquence des rechutes, • Pathologie aigue à résolution rapide (qualité
de l’écoute, suggestion, forme particulière), • Tableaux fixés et enkystés (attention à la
surmédicalisation), • Lever parfois spectaculaire : « la canne dans
le sable ».
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Les examens électrophysiologiques ��� - Pas d’anomalies objectives lors d’examens électro-
physiologiques standards (PEM, PES, PEA, PEV) (pour revue : Howard and col., J Clin Neurophysiol., 1986, 3, 39-49; Meyer et col., J Neurol 1992, 239, 251-255).
- Apport des nouvelles techniques d’imagerie
fonctionnelle et des méthodes électrophysiolo-giques plus complexes : IRMf, SPECT, PET, PEL – paradigmes oddball.
“La lésion dynamique” (1889)?
Vuilleumier et col., Brain, 2001, 124, 1077-1090 SPECT 99m Tc Vibrations bilatérales, 7 patients avec perte sensori-motrice réversible -> défaut d’activation du thalamus et des ganglions de la base en controlatéral -> induirait une dysfonction sensori-motrice ?
-> influence des afférences amygdaliennes et orbitofrontales sur ces boucles ?
-> spécifique des déficits moteurs ? Ou généralisable ?
Activation de structures inhibitrices préfrontales et cingulaires ?
Marshall et al., Cognition, 1997, B1-B8 PET H2O – Paralysie somatomorphe, -> Défaut d’activation de M1 controlatéral, -> Activation du Cx orbito-frontal et du GCA controlatéral,
-> action inhibitrice sur la motricité ? -> reflet d’une dysfunction motrice ? -> reflet de conflits motivationnels ?
Analogies avec l’hypnose …
Halligan et col., Lancet 2000, 355, 986-987 PET H2O Paralysie induite par l’hypnose sur 1 sujet -> pas d’activation motrice, ni SMA -> activations orbitofrontale et GCA controlatérales
-> Hypnose comme modèle d’étude de l’hystérie : Charcot 1889 !!
Perte de fonction et activation
• Mailis-Gagnon A. et col., Neurology 2003, 60, 1501-1507
• 4 patients, • Déficits sensitifs unilatéral somatomorphes, • IRMf 1,5 T, • Stimulation / brosse indolore / nociceptive.
Brosse indolore
Normal Anesthésie
- Pas d’ activité insulaire antérieure ni thalamique - Déactivation de S1 M1, S2, Cx pariétal post, BA10 - Nouvelle activité GCA ant
?
Mécanismes de contrôle et levée d’inhibition.
• Ghaffar et al., Neurology 2006. • 3 sujets + anesthésie somatomorphe, • Stimulation côté sain, activation S1 (contro-
latérale), • Stimulation côté anesthésié, extinction S1 • Double stimulation, double activation S1:
désengagement attentionnel….
A. dissociative : récit M11 • « Je suis moi sans être moi », • « Je sais que ce que l’on me raconte de moi, est vrai,
parce que je le sens…plus que je ne le sais », • « Je ne sais pas si avant j’étais comme cela, et si
cela récupérait, comment alors je serais : comme avant ou comme maintenant ? »
• « Atteinte de la représentation (et de l’histoire) de soi ».
Cas AMN
• Markowitsch et al., (1998) : amnésie fonctionnelle, et précipitant neurologique,
- La clinique, - L’imagerie (PET), - La psychothérapie et le souvenir
« traumatique »… - Histoire du sujet (2012).
Les hypothèses
• « Blocage » par un processus de contrôle de neurones frontaux : Motivationnel ? Attentionnel ? Émotionnel ? (modèles de Koechlin, 2005),
• Rôle des catécholamines (« lien » avec le stress post traumatique) ?
• Récupération ou non ?
Le duel aérien…
• H, 19 ans, basketteur, vit avec une amie, • « L’épine irritative » = TC novembre 2006, • La clinique : amnésie rétrograde, dispropor-
tionnée, 3 ans, biographique, • « Mesure du gradient » : son amie… • (pas de perte identitaire).
Quelques années avant…
• Antécédent : cécité transitoire œil gauche à 16 ans ayant récupéré en 15 jours (PEV normaux).
(dossier dans le service : ne s’en souvient pas).
Présentation : indifférence affective.
Contexte psychologique
• Dans l’entretien et dans les tests, évoque traumatisme enfance :
- « secret de sa maladie» et décès, - test des mots indices : « faire », • Beaucoup de « questions » dans son
discours. • Bénéfices secondaires. • Pense qu’il va récupérer.
Le devenir…
• « perdu de vue » puis… • En 2009, cécité de l’œil droit… • (PEV ?)… • PET-scanner normalisé ! et récit d’un
événement traumatique (bénéfice primaire et secondaire).
« je collectionne les maladies »
• F, 51 ans, enseignante, mariée, 1 enfant, personnalité hyperactive, • Après un syndrome infectieux : trouble de
la vue, de l’ouïe, douleur de l’épicondyle, tableau de « fibromyalgie », cauchemars (depuis 2004),
• « je collectionne les maladies et maintenant je ne retiens plus rien »…
Bilans neuropsychologiques
• Bilan n°1: de petites choses et RL/RI-16 items à 42/48 (avec rappel libre plafonnant à 8 et score encodage et reconnaissance<N),
• Bilan n°2 (à un an) : aggravation = RL/RI-16 items à 23/48… et troubles des FE et attentionnelles….
Etiologie ?
• Trouble organique ? • Dépression ? • Simulation ? • Trouble factice? • Trouble somatisation ? • Trouble conversion ?
Proposition de soin
• Association kiné, psychothérapie, hypnose, ------ amélioration plainte et bilan.
Démence rare
• F, 69 ans, mariée, 4 enfants, • Depuis 2007, tableau fluctuant de chutes
(salle attente), marche précautionneuse, tremblement passager, voix fluctuante, difficulté fugace à avaler, perte de l’écriture…
• Examen neuro NL et bilan neuropsycho ininterprétable.
Le discours logorrhéique
• A 50 ans, la machine a cassé. J’ai été en clinique. Je disais n’importe quoi. Je ne savais plus rien faire. Pas même écrire. J’ai reçu beaucoup de courrier à la clinique. Ma fille a du m’acheter des cartes « merci », je ne pouvais écrire que des ronds comme les petits de 5 ans. Comment c’est revenu ? avec mon généraliste… très gentil qui me voyait pour parler et un jour il m’a dit : allez maintenant, cela va aller mieux !
Démence or not démence ?
• L’orthophoniste, la psychologue, le mari et le neurologue du CM2R : NON !
• Le neurologue libéral, le psychiatre, la fille : OUI !
- 5 consultations spécialisées, une IRM, un DAT-scan…
- A reçu modopar ® et nombreux ttt.
Le point de vue de la patiente…
• Chère Docteur, juste ces quelques mots pour vous remercier de votre gentillesse. Vous êtes patiente, et vous prenez le temps d’écouter et surtout de chercher à comprendre mon problème. Avec vous, je me sens tranquillisée et confiante. Votre métier n’est pas facile, il demande beaucoup, mais vous savez, ô combien le rendre agréable pour vos patients, et ce qui ne gâte rien vous êtes très belle et sympathique. Merci à vous. Bien amicalement.
2012….
• Place de la clinique, • L’identification des symptômes, l’écoute,
« primum non nocere », la lecture de Freud, Janet, Breuer toujours actuelle mais dans un autre contexte scientifique,
• La « visualisation » de la lésion dynamique !
• La compréhension du(des)mécanismes ?
Fonc6ons du symptôme somatomorphe
• Bénéfice primaire : résorp6on de l’angoisse issue du conflit psychique (ex. : dépendance et autonomie des enfants)
• Bénéfices secondaires : avantages inconsciemment a_endus (réaménagement familial, du travail, par exemple)
• « Symptôme-‐béquille », lien social . Symptôme somatomorphe « réussi » ?