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le « PARTAGE »Janvier 2016

« Ne vous souvenez plus d’autrefois,ne songez plus au passé.

Voici que je fais un monde nouveau :il germe déjà,

ne le voyez-vous pas ? » (Is. 43, 18-19a)

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SOMMAIRE

- Billet d'Elisabeth SY-Laurent ...................................................................................... 4

- Edito du Père : Le synode des évêques ........................................................................ 5

- Conférence de la région Nord: Passer de l'ombre à la lumière ................................. 6 à 8

- Conférence de la région Centre : Nous sommes faits pour Renaître ......................... 9 à 11

- Week-end de l'équipe nationale à Voreppe .................................................................. 11 à 13

- Prière du Pape .............................................................................................................. 13

- L'histoire de Partage .................................................................................................... 14

- Conférence de Clermont : les révolutions du Pape ..................................................... 15

- Prière pour l'avenir de Renaissance .......................................................................... 16

- Prière de l'équipe Notre-Dame .................................................................................... 17

- Prières pour l'année qui s'achève et pour celle qui commence ................................. 18

- Humour ........................................................................................................................ 19

- Carnet: Martin et le père Sonet ................................................................................... 19

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BILLET

D'Elisabeth SY LAURENT _______________________________________

Il y a quelques semaines nous avons diffusé largement par le biais des responsables d’équipe une lettre en forme d’appel au secours pour la survie de Renaissance…..En effet cette année qui commence sera décisive pour le mouvement, Renaissance vivra ou Renaissance sera dissous.

Lors de l’ AG 2015, j’ai accepté de prolonger mon mandat de présidente pour permettre au mouvement de travailler sur son avenir et faire la jonction avec la prochaine AG. Je ne sais pas si la politique choisie a été la bonne !!! Ce que je retire de cette année écoulée, de mon expérience au sein de Renaissance, c’est qu’il serait vraiment dommage que nous ne trouvions pas les forces vives nécessaires pour faire redémarrer le mouvement….Cette année tout le monde a été en attente…..

Cette période « d’entre-deux » ne peut pas s’installer dans la durée, elle est contre-productive. Je sens bien qu’il faudrait lancer un projet de congrès, revoir notre « pub » : affiches, flyers, site internet. Cette dynamique d’avenir est entre vos mains.

Prenez date et venez nombreuses à la prochaine AG les 23 et 24 avril prochains à Paris ! Cette AG prendra la forme d’une AG extraordinaire, prévue par les statuts du mouvement à l’article XVII en cas de dissolution possible.

La présence du plus grand nombre d’entre vous est ABSOLUMENT NECESSAIRE à la tenue d’une telle assemblée.(Il faut atteindre le quorum !)

En cette période de vœux, j’ai plusieurs souhaits à formuler : des vœux pour Renaissance, des vœux pour chacun et chacune d’entre vous et des vœux pour notre monde …

J’écris ces quelques mots 3 semaines après les attentats de Paris et au moment où la COP 21 est réunie pour essayer de trouver un accord pour préserver notre planète et laisser à nos enfants une terre où il fait bon vivre ensemble.

Comme vœux je vous propose cette prière écrite par Sœur Emmanuelle :

« Seigneur, accorde-moi aujourd’hui cette grâce : que rien ne puisse troubler ma paix en profondeur, mais que j’arrive à parler santé, joie, prospérité, à chaque personne que je vais rencontrer, pour l’aider à découvrir les richesses qui sont en elle.

Aide-moi surtout, Seigneur, à savoir regarder la face ensoleillée de chacun avec qui je vis. Il m’est parfois si difficile, Seigneur, de dépasser les défauts qui m’irritent en eux, plutôt que de m’arrêter à leurs qualités vivantes, dont je jouis sans y prendre garde.

Aide-moi aussi, Seigneur, à regarder Ta Face ensoleillée, même en face des pires événements : il n’en est pas un qui ne puisse être source d’un bien qui m’est encore caché, surtout si je m’appuie sur Marie.

Accorde-moi, Seigneur, la grâce de ne travailler que pour le bien, le beau et le vrai, de chercher, sans me lasser, dans chaque homme, l’étincelle que Tu y as déposée en le créant à ton image.

Accorde-moi encore d’avoir autant d’enthousiasme pour le succès des autres que pour le mien, et de faire un tel effort pour me réformer moi-même afin que je n’aie pas le temps de critiquer les autres.

Je voudrais aussi, Seigneur, que tu me donnes la sagesse de ne me rappeler les erreurs du passé que pour me hâter vers un avenir meilleur. Donne-moi à toute heure de ce jour d’offrir un visage joyeux et un sourire d’ami à chaque homme, ton fils et mon frère.

Donne-moi un cœur- trop large pour ruminer mes peines, - trop noble pour garder rancune,- trop fort pour trembler,- trop ouvert pour le refermer sur qui que ce soit.Seigneur, mon Dieu, je te demande ces grâces pour tous les hommes qui luttent aujourd’hui comme

moi, afin que diminue la haine et que croisse l’Amour, car, depuis ta Résurrection la haine et la mort ont été vaincues par l’Amour et la vie. Ouvre nos yeux à l’invisible pour que rien n’arrive à ébranler l’optimisme de ceux qui croient en Toi et qui croient en l’Homme, qui espèrent en Toi et qui espèrent en l’Homme. Amen. »

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Six évêques de la Conférence des évêques de France ont participé au synode de la famille. Chacun a rendu compte de cette expérience d’Eglise. Voici quelques éléments de ces contributions. Ils peu-vent vous faciliter l’accès au document final, avant de recevoir, d’accueillir et de mettre en œuvre les conclusions que le Pape François en retiendra pour l’Eglise universelle.Le Thème de ce synode concerne le monde d’aujourd’hui dans son extension la plus large et rejoint bien ses préoccupations sur ce sujet.

• CeSynodeapermisd’approcher lesdifférentesformes d’expression de la famille tant celles que l’Eglise promeut que toutes les autres que les sociétés d’aujourd’hui accueillent et parfois préconisent.

•Lagrandediversitédeprovenancedesparticipantsa permis de se faire une idée de la complexité du sujet et a requis une écoute attentive de tous les continents. Les groupes de travail ont permis un dialogue plus profond que pour les rencontres précédentes.

•Lanécessités’estimposéerapidementdepartirdela réalité des situations, réponses, tâtonnements des personnes en situation, avant d’aborder les questions à partir de la doctrine de l’Eglise. Ce changement d’approche qui s’inscrit dans la vie de l’Eglise, entraînera des modifications pastorales très importantes.

•Ces changements vont nécessiter un immenseet profond effort de formation des acteurs de la pastorale : ministres ordonnés, demandeurs des sacrements, jeunes couples et jeunes familles...

•Lesrédacteursdudocumentfinalontveilléàéviterle ton pessimiste par rapport à la réalité. Ils ont cherché à imiter le langage et à rejoindre le ton des Pères du Concile dans la Constitution sur l’Eglise en dialogue avec le monde de son temps.

•Dece fait, ilsont choisiun ton,un styled’ac-compagnement des situations et des personnes en évitant de recourir aux formes impératives. Le recours aux suggestions, aux processus de changement, à l’amélioration des comportements, l’a emporté sur les affirmations impératives et les rappels à la loi présentés de manière générale.

•Les familles soumises aux vicissitudes desévénements et aux drames déshumanisants de la conjoncture internationale actuelle ainsi que les déplacements tragiques de nombreuses familles ont été évoqués dans la salle du synode, à de nombreuses occasions. Toutes ces situations ont été rejointes dans la réflexion et les préconisations retenues pour que la démarche de Miséricorde rejoigne et pénètre les situations les plus lourdes et les plus tragiques.

La famille est au cœur des préoccupations de tous les chrétiens engagés dans la vie de leurs communautés respectives et désireux de voir cette expérience hu-maine et spirituelle constituer le cadre privilégié de l’épanouissement des personnes et du bonheur réel du plus grand nombre. Bien d’autres traits ont été retenus par les participants qui ne peuvent trouver place dans cette note.A chacun de plonger dans le document final !Joyeux Noël et Belle Année 2016 en Familles !

Bien fraternellement.

SYNODE SUR LA FAMILLE ECHOS DE LOURDES✝ Pierre PICAN, Aumônier National ______________________________

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C’estàlaMaisonDiocésaineduPas-de-Calais,dansle « fief »d’Elisabeth que nous avions choisi de nous réunir pour une journée de récollection ; et nous n’avons pas été déçues ! Le site est magnifique, et ce jour là, il était sublimé par une belle lumière. Le parc resplendissait de ses floraisons printanières. L’équipe de Boulogne a soigné l’accueil ; le café est apprécié, après 2h de route, pour certaines. Une demi-heure de retrouvailles : les femmes prennent place autour des tables, en prenant soin de mixer les équipes ; on vient de Lens, Vimy, Arras, Wasquehal, Boulogne, Armentières…

Un diaporama présente le témoignage de « Valen-tine » ; en fait, l’une d’entre nous, qui n’a pu être présente ce jour. Cela sonne juste à nos oreilles. Il met bien en évidence les ombres, puis les lumières de sa vie.

S’ensuit un apéro servi dans le parc ; c’est l’occasion de rencontrer un groupe de Lillois de la « Fraternité des parvis » qui achève là une semaine de retraite. Nous en profitons aussi pour faire des photos ; on a besoin de garder le souvenir de ce moment fort. Le repas est apprécié, et les conversations très animées, avec beaucoup d’empathie.

RENAISSANCE NORD LE 1er MAI A CONDETTEAppelées à passer de l'ombre à la lumière ______

En groupe, les femmes réagissent au témoignage qui vient d’être présenté… Ensuite elles sont in-vitées à écrire sur une feuille orange un épisode d’ombre de leur vie, puis sur une feuille verte un temps de lumière, de renouveau.L’ensemble de ces feuilles sont collées sur un grand logo Renaissance, les vertes sur les branches, les orange… jonchant le sol.

Nos aumôniers s’étaient partagé les interventions de l’après-midi. André Houttemane, diacre aumônier d’Armentières, avait travaillé sur les zones d’om-bre, le doute chez Jésus et dans son entourage. Le Père Gaston Dollé « rechargea littéralement les batteries », en mettant en avant les temps de lumière. Et le Père Jean Guillemant nous rassembla à la chapelle pour la célébration.

Voici ce que nous a dit André :

Déjà dans l’Ancien Testament des personnes importantes de l’Histoire du peuple de Dieu ontété confrontées au doute… à des zones d’ombre : Abraham… Moïse… Mais leurs périodes de doute, de remises en question leur ont souvent permis de se relancer, de faire un pas de plus avec le Seigneur…Et pour cela il a fallu du temps…

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Mais qu’en est-il dans l’Evangile ?

D’abord,audébutduministèredeJésus…Ilyaun certain JEAN-BAPTISTE. Alors qu’il avait annoncé en Jésus celui qui doit venir, comment se fait-il que Jean doute et qu’il envoie poser la ques-tion « Es-tu celui qui doit venir ou devons-nous en attendre un autre ? » (Luc 7, 18-35) Pourquoi Jean en arrive-t-il à douter ? Lui, le dernier des prophètes ?

Pourtant, à priori, rien de choquant dans l’ensei-gnement de Jésus… Le renversement des valeurs et la préférence pour les pauvres… l’invitation à se regarder soi-même avant de juger les autres… aimer ceux qui nous ont fait mal… accueillir les foules et guérir les malades est plutôt bon signe…

Et cela … on continue de l’entendre dans la plu-part de nos célébrations…on prie face à toutes les misères du monde…Mais il ne faut pas oublier de joindre l’action à la parole, et là c’est parfois une autre histoire.

C’est comme Jean-Baptiste… il est d’accord avec le discours de Jésus… mais quand on lui rapporte que, même le jour du Sabbat Jésus opère des guérisons…Il profane la sacro-sainte loi du Sabbat !!!

Jésus fréquente les pécheurs, les non-croyants, ce qui, aux yeux de Jean, n’est pas signe de grande sainteté… et puis, Jésus ne semble pas trop insister sur le jeûne et l’abstinence (Luc 5, v 33)… il guérit même un paralysé (Luc 5 , v 17)

Mais qui est-il donc ce Jésus ???OUI… Jean-Baptiste a eu ses zones d’ombre, de doute.

2e personnage, et pas des moindres !... SIMON-PIERRE … le 1er des apôtres.

Simon-Pierre est un apôtre qui a beaucoup douté ; quand Jésus annonce sa passion, c’est un choc pour lui…Tout s’effondre…Et il va jusqu’au renie-ment …Peut-être fallait-il qu’il passe par là pour devenirunvraitémoindeDieu?

Au commencement tout se passe bien… Jésus appelle Simon (Matthieu 4, 16) il se lève et le suit… Jésus lui donne le nom de Pierre… C’est l’époque des guérisons…Tout semble possible…La foi de Pierre en Jésus lui permet de marcher sur les eaux… Pourtant, le doute est là… Alors qu’il marche sur l’eau, Pierre a peur du vent…il coule… « Jésus, au secours ! » (Matthieu 14, 22-33) Tant que Jésus est là, tout semble possible… Mais s’il venait à partir ?

Le temps de l’épreuve, du doute pour Pierre, s’ouvre avec l’annonce de la montée à Jérusalem pour que Jésus y subisse la Passion, y meure et… ressuscite. Le choc est intense pour Pierre :

« Non, cela ne t’arrivera pas…Pas toi ! » L’épreuve de Pierre est de continuer à croire lorsque les signes sont moins nombreux, lorsque l’attitude, la parole de Jésus bouleverse la logique humaine…

OUI…Pierre a douté…Lui aussi a eu ses zones d’ombre !

3e personnage :… un autre des douze… THOMAS

Saint Thomas est en quelque sorte le patron des chrétiens dont la foi connaît le doute…déjà on perçoit le côté critique… ou sceptique de Thomas dans la discussion avec Jésus après la Cène. Jésus vient de dire à ses apôtres qu’ils connaissent le chemin du lieu où il va…Thomas le coupe et lui dit : « Seigneur, nous ne savons même pas où tu vas, comment pourrions-nous savoir le chemin ? » Ce qui vaut la réponse : « Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie… »

On sait comment Thomas a accueilli le témoignage des apôtres qui avaient vu Jésus ressuscité le soir de Pâques : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas la main dans son côté, non je ne croirai pas. »

Huit jours après… Il dut se rendre à l’évidence ! «MonSeigneur etmonDieu !» et la réponse :« Parce que tu m’as vu… tu crois ! Heureux ceux qui croient sans avoir vu » (Jean 20- 24 29)

OUI …Thomas a également connu ses zones d’ombre. Sans oublier Judas qui a douté au point de trahir !

Et maintenant JESUS LUI-MEME… A-t-il eu ses zones d’ombre ?

Spontanément… j’ai eu envie de répondre « Non » ; commentlefilsdeDieupourrait-ildouterdesonpère ou de lui-même ? Mais à y regarder de plus près il semble que Jésus a eu des moments, disons dequestionnement…Deremiseencause:doit-onles appeler « doutes », « zones d’ombre » A chacun de juger.

Au début de l’Evangile, c’est la fuite en Egypte, Jé-sus est enfant…Il ne s’agit pas à proprement parler d’une zone d’ombre, mais cela est significatif que Jésus-Christ notre sauveur est dès son plus jeune âge, soumis aux épreuves, à la souffrance et à la persécution…Toutpetit,etdéjàSDF…

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Et puis viennent les tentations au désert… Jésus en sort victorieux, mais elles sont le signe de sa fragi-litéhumaine.Dieufaithomme…unhommequiadû être secoué de mesurer qu’il n’était pas à l’abri des tentatives du pouvoir et de la puissance. (Luc 4, 1-11) ; Matthieu 4, 4-11) ; Marc 1, 12-13)

Je pense aussi que Jésus a aussi été tiraillé avec ses liens avec le judaïsme de l’époque…sa religion, (pour être fidèle aux repères juifs), et la nouveauté qu’il apporte.

Avec l’appel et l’envoi des apôtres en mission, Jésus prendra conscience de la nécessité d’appeler mais aussi de la faiblesse des disciples (Pierre, Tho-mas…). Il comprend la nécessité de se ressourcer pour agir… de se retirer pour prier son Père, mais l’équilibre n’est pas simple… Son agenda est chargé et il est très sollicité, « le nez dans le guidon ».

Il est confronté à de grandes souffrances physiques, morales et spirituelles de ses contemporains, cela lui pose question sur le bien et le mal…la souffrance (il pleure son ami Lazare). Il va à la rencontre des per-sonnes exclues, jugées, condamnées par la société… par les hommes…il annonce pour ses disciples des moments très difficiles. Il désire que son Père soit

reconnu comme Celui qui agit par lui…Pas évident de faire comprendre cela aux gens qu’il rencontre…

Le complot, l’arrestation, le procès, la haine… la lâcheté de Pierre, la trahison de Judas… Jésus par-tagé entre l’injustice qu’il subit, et le fait d’accom-plir les Ecritures. Enfin, la Passion…la souffrance physique et morale avec ce sentiment d’abandon deshommes…«MonDieu,monDieu,pourquoim’as-tu abandonné ? ».

Après ce survol, je pense qu’on peut dire que le doute, les zones d’ombre, sont associés à tout chemin de foi… et qu’après le doute, la foi revient plus forte. A son exemple, nous sommes donc in-vités à accepter nos doutes, nos zones d’ombre, les limites de notre cœur, mais aussi à les dépasser pour retrouver le chemin de la confiance, de l’espérance et de la foi. Comme ont su le faire Sainte Thérèse de Lisieux, et plus près de nous l’Abbé Pierre et Sœur Emmanuelle.

DouteetFoisontsouventliés.

Monseigneur Albert Rouet, évêque émérite de Poi-tiers, dit « Si on ne doute plus, on n’avance pas, on se bloque, on gêle ! »

Marie-José Tiers

Nous l’avons dégusté au goûter qui a terminé la journée ; je l’avais promise aux copines ; et ne l’ai pas envoyée. J’espère me faire pardonner !!!

MJTPalet de dame- Enfourner pour 20mn environ, th 5 à chaleur tournante/ 6 en traditionnel ?? (à surveiller)

- Laisser refroidir. Recouvrir le gâteau d’une fine couche de confiture d’abricot, sans morceaux.

- Puis délayer 4/5 cuillères à soupe de sucre glace avec un peu d’eau et de jus de citron ; recouvrir le gâteau. Laisser figer et déguster.

- 125g de beurre bien ramolli.

- 125g de sucre semoule.

- Mélanger ces deux ingrédients en ajoutant 2 œufs, mais un à la fois + quelques gouttes de rhum

- Ajouter 150g de farine. Bien mélanger.

- Verser dans un moule beurré (diamètre 30 cm, c’est bien)

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NOUS SOMMES FAITS POUR RENAîTRELecture de Jean 3 : Rencontre de Jésus avec Nicodème _____________

RE-ÊTRE

Nous avons été (vie de couple, vie de famille…)…puis il y a eu le temps de la rupture. Aujourd’hui, il nous reste à ÊTRE. A construire un A- VENIR. Pourcela,selaisserfaçonnerparl’EspritdeDieupour exister devant nos frères et devant nous-même ; « Ne vous souvenez plus d’autrefois... »Regarderl’avenircarl’allianceavecDieuestunealliance de fidélité.Lorsque l’on traverse une épreuve, on est marqué physiquement: c’est la traversée de la chair. On a toujours en nous quelque chose qui est ouvert, une petite brèche, une petite ouverture. C’est ce qui nous rend vulnérable, fragile mais aussi ce qui nous fait repartir. Sur la croix, le cœur ouvert de Jésus c’est l’ouverture de toute la vie partagée.Donnerdusensànotrevie,cen’estpasdonnerdusens à l’évènement ( la séparation) c’est : Comment JEMEDONNESENS.Medonnerunesignifica-tion; Comment je me pose dans l’évènement?

INVENTE AVEC TON DIEU L’AVENIR QU’IL TE DONNE.

Dansl’Evangile,Jésusfaitdesrencontres:Nicodème(signe de renaissance) La samaritaine (signe de l’eau vive) le Centurion (le relèvement du serviteur)Danscesrencontres,cequiestenjeuc’estlarévé-lation de Celui qui est à la source de la vie : Jésus, source de Vie . Cela peut éclairer notre propre ren-contre avec Jésus

Jean 3 : Nicodème. Passage de la nuit à la lumière.- Au début du texte: «Il vient de nuit» le texte se terminera par «celui qui fait ce qui est vrai vient à la lumière.

Il y a trois fois «En vérité, en vérité je te le dis» for-mule qui nous dit COMMENT Jésus se positionne comme TEMOIN qui nous dit quelque chose de lapartdeDieu.Celaest reconnuparNicodème.Il reconnait le Maître envoyé par Dieu et Jésuscomme un signe donné à son peuple par les signes qu’il fait.Chez Nicodème, il y a une vraie recherche. Il ose faire la rencontre avec Jésus. Il fait un parcours qui rejoint notre parcours.

MAIS QUI EST JESUS ? Comment s’affine en nous la reconnaissance de Jésus?Les moments de grandes désespérances que j’ai vécus hier n’étaient-ils qu’un anéantissement ???L’épreuvedugrandsilencedeDieuestunetraverséedifficile.Croire ou ne pas croire en Celui qui se manifeste commeLeconsacrédeDieu.Celuiquinousrejointdans notre humanité pour construire avec chacun(e) un chemin de vie.

Si nous allons à la rencontre de Jésus, qu’a-t-on envie de dire de Lui?Nicodème cherche à savoir quelque chose de Jésus. Celui-ci lui propose une nouvelle naissance. Voir jésus,c’estvoirleRoyaumedeDieu,c’estrentrerdanslatotalitéduprojetdeDieu,danssaperspectiveglobale : RE NAÎTRE.« Toi, tu veux connaître, moi, je te propose de Re-naître »Jésus invite Nicodème à dépasser son propre pro-blème pour découvrir ce que chaque personne est appelée à être: se dépasser pour s’ouvrir, pour entrer dansleprojetdeDieu.Le compagnonnage avec Jésus devient indispen-sable. L’appel à l’intimité avec le Seigneur pour aller plus loin dans la rencontre avec lui EST UN CHEMIN DE RENAISSANCE. Se décentrer desoi-mêmepourserecentrersurl’AmourdeDieu.RENAÎTRE : passer du connaître à une Renais-sance.UnengendrementquivientdeDieu.Unélanvital qui me fait exister. C’est une conversion, au plus profond du mot. Un retournement intérieur qui me fait vivre avec mes ressources mais à l’intérieur dumouvementdeDieu.SedécentrerversDieupourpouvoir ensuite se recentrer sur soi.J’ai aussi à aller au fond de moi pour découvrir la source d’eau vive, à plonger au plus intime de moi-même là où se trouve LA PRESENCE.

Nicodème ne comprend pas. Il est resté sur le plan humain. Cela n’a pas de sens. Comment renaître? Dieuseulpeutdonnercettecapacitéderenaître!Le signe du baptême. L’eau: signe et moyen pour renaître.Jésus propose de se plonger dans la vie de Celui qui est à la source de cette vie, de cet amour, de cette dynamique. Ce n’est pas comme un rituel sacramentel. Ce que Jésus dit à Nicodème permet d’éclairer ce qu’est vivre le baptême.

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Ce que Jésus est venu faire, c’est relier notre vie avec la source de notre existence: l’amour du Père. Dieum’aconsacréparl’onction.Ilfaitdemoiunprophète. Ce qui fait notre dignité de disciple du Christ, c’est le baptême. Il nous fait fils et filles de Dieu. Fondamentalement, ma dignité c’est : êtreenfantdeDieu.JesuisuniqueauxyeuxdeDieu.Je ne peux exister que si je suis un acte d’amour de Dieu.CetamourdeDieupourchacun(e)estcequime constitue en humanité et en potentialité.- Pas digne, pas aimable, pas crédible, c’est ce que me renvoie ma propre image ;Accepter de reconnaître mes fragilités, mon péché, quejenesoispasenharmonieavecl’amourdeDieuest un acte de lucidité. Cela n’ôte rien à l’amour que DieumeporteDansl’Evangile,JésusnousditquenoussommesaimésdeDieuau-delàdetoutesnosfautes.Leseulobstacle à cet amour c’est notre propre refus.En entrant dans la contemplation de cet amour-là, je m’ouvre à un élan d’espérance qui me permet de dire : j’existe.J’accueille l’évènement: qu’est-ce que j’en fais? Qu’est-ce que je deviens là-dedans ?Je m’enracine dans le réel pour éviter une idéologie religieuse.Dieuveutnotrebonheurmaislecheminpasseparlacroix. L’épreuve n’est pas un anéantissement, c’est un chemin qui me permet de grandir, de renaître. Mais pour l’éternité le corps du Christ aura les marques de la passion, marques de la chair.

« On ne devient homme qu’en passant par le sang»(proverbe Fons au Bénin)C’est dans l’acceptation de la souffrance que peu-vent s’ouvrir les possibles. Chemins d’accès à ma personnalité.Jésus dit qu’on ne peut être disciple que dans l’ac-ceptation d’être sur le chemin.OSONS CROIRE QU’IL Y A UN A-VENIRJésus est prophète, il nous invite à aller au-delà de nous-même. Le reconnaître LUI comme celui qui nous relève et en même temps celui qui peut nous révéler à nous-même ce que nous sommes, ce que noussommespourDieu.Nous avons besoin de nous laisser conduire à travers touscesévènements,àtraverslaparoledeDieu.Ily a vraiment un appel à la Renaissance, à la grâce de ce baptême qui continue jour après jour à nous traverser.Comment nous replonger plus avant dans ce bain d’eauetd’Esprit, cedondeDieuquinousaétéfait et qui nous invite à communier pour partager

sa vie éternelle dans le quotidien de ce que nous avons à vivre?RE NAÎTRE

FAIRE

•Ne rien avoir à faire: avoir du temps pour serefaire, être au calme. Mais en même temps; ça angoisse !!!

• Iln’yaplusrienàfaire:désespoir,résignation.Jebaisse les bras. Impuissance devant les évènements. Que faire alors ? Lâcher prise, s’en remettre à...

•Le faire: expression de puissance, de pouvoir.C’est moi qui fais.

En face d’une situation qui conduit à l’échec, à l’anéantissement d’un projet, quelle est la dynami-que d’espérance qui existe à ce moment-là ?Il y a des moments où le faire ne me permet plus d’exister, où la vie nous oblige à dépasser le faire.Quelque chose de plus intime m’appelle à exister « au-delà ». C’est à cette profondeur de mon être que « je SUIS ».Ce dépouillement favorise une cer-taine cohérence, une façon d’exister qui dépasse le paraître. Cela veut dire qu’il y a quelqu’un qui nous habite. Il faut lui passer le relais, s’en remettre à.Ce chemin-là est une invitation à un chemin d’in-tériorité. La source, elle est à l’intérieur.Comment j’ose être moi-même, comment je m’ac-cepte ?Etre près de moi-même, être à soi-même une per-sonne amie. Ne pas se laisser enfermer dans un regard négatif. Oser être loin de tous les masques que la vie nous a amenées à porter. Ce travail sur soi c’est entrer dans une intériorité qui nous permet de ne pas nous découvrir totalement emprisonnées dans un personnage mais une intériorité qui nous permet denousretrouverentotalitédansleregarddeDieu.(Isaïe : « je t’aime, tu as du prix à mes yeux »)PourselaisserbaignerparceregarddeDieu,ilfautaccepter de vivre sa fragilité. Cette faiblesse en moi qui peut susciter le meilleur.La vie se charge de nous dépouiller durement. L’épreuve peut être quelque part le sacrement de la re-naissance Sacrement = signe et moyen de l’union avec Dieu et lieu de l’unité de tous et frères et de l’humanité en Christ.Ne pas rester enfermée sur moi-même mais rester ouverte. Retrouver un authentique sens à donner à ma vie. Continuer à être rayonnante, contagieuse de la joie parce qu’elle me vient de LA SOURCE.

Dansl’évangiledeStJeanch3,JésusparleàNico-

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dème jusqu’au verset 11. A partir de celui-ci c’est « NOUS ». On est dans la révélation de la Bonne Nouvelle. Jésus nous dit d’abord qu’il est le seul témoinfidèledel’AmourqueporteDieuàchacundenousetqu’ilnousCON-NAIT=naîtreavecDieu.

Jésus le seul témoin. Est-ce que j’accepte de revenir à une révélation qu’il me propose pour donner sens à ma vie ?

Jésus ne nous enferme pas dans la culpabilité, la responsabilité. Il dit par quel chemin Il accepte de passerpourréaliser leprojetdeDieu.Lelieuoùva se révéler l’amour du Père c’est le lieu de son élévation: la croix. Ce n’est pas la souffrance pour la souffrance qui compte, c’est le jusqu’au bout de son amour, pour que tout homme ne périsse pas. Ce

Dieuquiserévèledansl’acted’amourdesonfils,ceDieuquivanousouvrirlesbrasetnousdire:àchacun « tu es mon enfant bien aimé »Pour chacun de nous, le Christ tisse ce lien qui nous fait vivre et en même temps nous lie avec la fraternité humaine. Si Jésus a pris chair, c’est bien pour assumer notre hu-manité, tout ce qui fait de nous des êtres humains.C’estdanscetamourqueDieumeportequ’Ilm’ap-pelle à être un vivant. La proposition est gratuite, inconditionnelle. Il me demande seulement de tisser ce lien de fraternité.

Beaugency les 11 et 12 octobre 2008. Compte rendu France GR, région centre, Catherine Brugeat

Les 26 et 27 septembre 2015, notre réunion d’équipe nationale a eu lieu chez les Clarisses de Voreppe près de Grenoble. Pourquoi ce lieu ? Parce que depuis de nombreuses années, les sœurs de Voreppe se chargent de la confection de notre journal Partage. Aussi, tous les membres de l’équipe nationale et plus particuliè-rement ses « journalistes amateurs » Marie-Jo Tiers,

Marie-Paule Ehret et France Gaillard Rousse, avaient très envie de connaître ces partenaires qui font un travail de mise en page si remarquable.

DesquatrecoinsdelaFrance,nousavonsdoncprisle train ou fait du covoiturage pour nous retrouver à la gare de Grenoble où l’équipe Renaissance du lieu, ainsi que Marie-Rose, notre ancienne présidente Renaissance, nous attendaient pour nous conduire jusqu’au monastère des sœurs. Merci à Monique Pat-toret, à Catherine et à Simone Brugier pour leur ac-cueil et leur grande disponibilité pour nous conduire de ci de là durant tout le week-end. Je n’oublie pas Sabine qui a fait de même !Le samedi 26, nous sommes reçus au monastère par Sœur Pierre Elisabeth qui assure l’accueil à l’hôtel-lerie et fera le service. Une autre sœur nous ouvrira leur magasin où nous trouverons des livres, des cartes postales, quelques produits… Malgré le cadre enchanteur du lieu, nous avons tra-vaillé !

RéUNION DE L’éqUIPE NATIONALE à VOREPPE

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Après un temps de priè-re préparé par Angéli-que, nous accueilllons deux nouvelles recrues : Angélique (de Vesoul) et Catherine (de Gre-

noble). Puis, nous écoutons le compte-rendu du Père Pican sur une rencontre des évêques en charge des mouvements d’Eglise . Nous enchainons par les comptes-rendus de chaque région, les projets pour notre mouvement : Si nous n’avons plus de prési-

dente, il faudra dissoudre celui-ci. Vers où et vers qui aller ? Nous décidons d’envoyer un SOS à toutes les anciennes responsables de l’équipe nationale ainsi qu’à toutes les responsables de groupe. Nous devrons aussi prendre contact avec différents mouvements chrétiens existants dans chaque région. Après un apé-ritif apporté par Catherine puis un excellent repas, nous terminons la journée par la prière des complies avec les sœurs.

Le dimanche 27 nous reprenons le travail avant de participer (avec l’équipe de Grenoble qui nous a rejoints) à la messe dans la cha-pelle des sœurs. L’assistance est nombreuse, notre aumônier pré-

Puis, la rencontre tant attendue avec les deux sœurs qui ont participé (pour sœur Marie-Luc, abbesse), ou participe (la très joyeuse sœur Nathanaël) à la réali-sation de Partage : ce fut un moment très instructif et

side et fait l’homélie. Il ne manque pas d’évoquer notre mouvement. Suivra un repas en commun puis une belle balade à pied vers le mo-nastère des moniales dominicaines de Chalais (fondée en 1101 par

Hugues de Châteauneuf, évêque de Grenoble) et vers l’Aiguille de Chalais d’où nous avions un ma-gnifique point de vue sur le massif de la Chartreuse, sur le Vercors et la vallée de l’Isère.

détendu où nous avons pu poser toutes nos questions et où sœur Nathanaël nous a fait bien rire... « Mais, je ne lis pas que des livres pieux : j’aime les polars ! » nous dit-elle dans un grand éclat de rire !

Sœur Marie-Luc, abbesse, et sœur Nathanaël Toute l’équipe de Partage : Marie-Paule, France, sœur Marie-Luc, Marie-Jo et sœur Nathanaël

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Les 2 sœurs nous ont présenté leur ordre et le rythme de vie dans le monastère.. L’hôtellerie héberge ponc-tuellement des personnes (familles des sœurs, des adultes venus faire une retraite, pèlerins, quelques personnes en grande difficulté, pour quelques jours…) Les Clarisses sont un Ordre cloîtré. Les religieuses tiennent au strict maintien de leur clôture, qu’elles quittent rarement. La clôture est un retrait et non une fuite.C’estunemiseàl’écartpourDieu.C’estunappel, une vocation. La règle de Sainte-Claire autorise les sorties uniquement pour une « cause utile, raison-nable, manifeste et approuvable ». Se rendre chez le médecin, aller voter, aller cueillir les fruits qui leur sont donnés et, occasionnellement, sous autorisation de l’Evêque.…

Les Clarisses sont un Ordre contemplatif, c’est un

ordre sans possession (les sœurs n’apportent rien en arrivant). Elles travaillent pour vivre (ont un jardin, cultivent fruits, légumes ou fleurs) mais la prière passe avant tout. Elles font promesse de :

Pauvreté, Chasteté, Obéissance, Clôture.

Différentes branches de Clarisses : Branche Capucine à Chamalières, Branche des Colettines (mais Ste Colette a décidé de revenir à la règle de Ste Claire) Urbanistes en Pologne, car le pape Urbain trouvait la règle de Ste Claire trop dure.Nous remercions toutes les personnes qui ont orga-nisé ce week-end, où nous avons alterné moments de travail et de détente. Merci pour celles qui nous ont accueillis, nourris, promenés. Ce week-end nous a fait du bien.

France GR

Si regarder en arrière te cause du chagrinet regarder en avant t’inspire de la crainte,alors regarde à côté de toi,«J’y suis!»Le bonheur te garde gentil Les épreuves te gardent fort Les chagrins te gardent humainLes échecs te gardent humbleMais seul l’espoir te fait avancer

Ne pleure pas sur ce que tu as perdu, lutte pour ce que tu as. Ne pleure pas sur celui qui est mort, lutte pour ce qui est né en toi. Ne pleure pas sur qui t’a abandonné, lutte pour celui qui est avec toi. Ne pleure pas sur celui qui te hait, lutte pour celui qui t’aime. Ne pleure pas sur ton passé, lutte pour ton présent. Ne pleure pas sur ta souffrance, lutte pour ton bonheur. Avec toutes les choses qui nous arrivent, nous apprenons que tout problème a sa solution, il faut simplement aller de l’avant.

Jorge Mario Bergoglio,

Pape François

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PARTAGE…

nationale du mouvement en assure la rédaction et la diffusion avec « la complicité » des sœurs Clarisses de Nantes.Le bulletin s’appelle désormais “PARTAGE”.

Après le congrès de Dôle en 1999, Marie-Françoise DURAND-LAPLACE, nouvelle secrétaire nationale reprend le « flambeau ». Marie-Thérèse LAVAULT de Grenoble participe activement à l’élaboration de notre revue et rédige de nombreux articles. Les sœurs Clarisses de Voreppe réalisent de nouveau la mise en page et la diffusion de PARTAGE.

Cela fait 20 ans déjà, nous avons le plaisir de recevoir un PARTAGE toujours renouvelé…Au cours de ces années, les techniques ont beaucoup évolué ! Marie-Françoise envoyait par courrier postal ou apportait les documents à sœur Marie-Luc, depuis Lyon…

Depuisquelquesannéesnousavonsun«pool»de rédactrices qui communiquent par internet et s’adressent mutuellement les divers articles avant de les envoyer, via la messagerie informatique à Voreppe. Sœur Nathanaël a remplacé à l’imprimerie sœur Marie-Luc, maintenant abbesse de sa communauté.France, Marie-José et Marie-Paule, les rédactrices actuelles de PARTAGE, ont eu la joie de rencontrer sœur Marie-Luc et sœur Nathanaël lors de leur rencontre nationale de rentrée organisée cette année à Voreppe.

Marie-Rose Solana

Nous connaissons toutes ce nom… c’est celui de notre revue si bien nommée ! Quelle belle intuition des femmes de notre mouvement qui ont choisi son titre.Elle ponctue notre année, au fil des saisons, Printemps, Rentrée, Nouvelle année ; ces moments sont tous des invitations à un nouveau départ, à un nouvel élan.Au fil des ans, notre revue évolue, offre un visage différent, en fonction de la personnalité des rédactrices mais ce lien qui relate la vie de nos équipes, nous propose des articles de réflexion, des invitations à la prière, nous réserve aussi toujours un coin pour sourire…

Je retrouve dans un bulletin de 1995, qui retrace les quarante ans de Renaissance (1954-1994) un éditorial du Père BUISSON « Nous venons de fêter les quarante ans de RENAISSANCE. Notre bulletin régional, que nous appelions au début « PAGES D’AMITIE », a commencé en 1967… ». Dèslacréationdespremiersgroupes,lesfemmesdenotre mouvement ont éprouvé le besoin d’échanger, de partager leurs joies et leurs difficultés. PAGE D’AMITIEparaîtunefoisparan.

Et ce sont les sœurs Clarisses de Voreppe qui, déjà dans les années 70 ont commencé l’aventure avec notre mouvement par l’intermédiaire de Marie-Aimée BENISTANT. Marie-Aimée leur a demandé la création d’une « affichette » pour un rassemblement. Les sœurs ont ensuite participé à la saisie, l’impression et la diffusion du bulletin jusqu’au rassemblement du Roucas.

Le numéro le plus ancien que j’ai en ma possession, est celui de février 1995.Jeanne TRONCHE de Nantes - secrétaire

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PROJETS DU PAPE

•Révolutionprophétiquepoursortirduréalisme;les prophètes ne sont pas souvent compris, mais nous en avons besoin dans les temps difficiles. Le Pape s’est rendu à Lampedusa pour dénoncer la mondialisation. Réfléchissons à ce que nous dit PIERRE RABHI à propos de l’écologie.

•Révolutiondesconsciences:cePapeaunemé-thode, celle qui consiste à faire passer la parole par les actes. En cela, Mandela est un exemple dans la réconciliation de la société africaine.

•Révolutiondelacohérence:lePAPEquijointlaPA-ROLE aux ACTES est audible par tout le monde à causedesacohérence.LacohérenceDISCOURS-ETRE ; exigence d’un lien entre le spirituel et le politique.Deuxpersonnespeuventdire lamêmechose et l’effet produit peut être différent.

Analyse des crises qui provoquent le découragement

CRISE DE L’HOMME : bioéthique, euthanasie,justice sociale...CRISEDELAPLANETE:écologie,climat,éco-nomie, démocratie...CRISEDUSENS:vivreensembledevientdifficile,pourquoi des djihadistes ?

Ces 3 crises se rejoignent car nous sommes terri-blement prisonniers des lobbies.

Nécessité de retrouver 4 valeurs fondamentales pour réussir ces révolutions

La BIENVEILLANCE : Le Pape n’est pas angéli-que, mais a manifesté de la bienveillance à l’égard des homosexuels quand il a dit : “QUI SUIS-JE POUR JUGER ? Cette phrase incite à moins juger l’Eglise.La MISERICORDE : Le Pape a décidé de faire l’année de la miséricorde ; la miséricorde vient du

cœur car c’est la capacité de s’émouvoir ; le chris-tianisme est un cœur qui écoute.

La JOIE : Ce n’est pas un luxe! Et le christianisme peut éveiller la JOIE en nous ; le Pape a parlé lors de son voyage de « fatigue » de l’Europe

La SIMPLICITE : Par son mode de vie, notre Pape pratique une sobriété heureuse.

LE SALUTAvons- nous besoin d’être sauvés ? Cette question est un point d’achoppement car l’homme pense de plus en plus qu’il peut s’en sortir tout seul. Pour sortir de l’autosuffisance, il faut perdre ses illusions, sortir de son égoïsme et dépasser ses conflits intéri-eurs. On s’endurcit trop ; la société se replie.

Quelques remèdes à cela :- Faisons la révolution du SOIN. Construisons les

hôpitaux exactement là où est la souffrance (des réalisations se font jour)

- Soyons MISSIONNAIRES...Sortons un peu de l’identité, de l’idéologie pour mieux comprendre les autres et aller vers eux. Il existe déjà des petits groupes : à Normale Sup de Lyon, des étudiants partagentleurcolocationavecdesSDF,béguina-ges, chrétiens engagés...

TOUTCECIESTUNPLAIDOYERPOURLESVALEURS«FAIBLES»DUCHRISTIANISMELA CRISE DE L’EGLISE, C’EST QU’ELLEN’EST PLUS MISSIONNAIRE.

LATRANSFORMATIONDUMONDEPASSERAPAR NOTRE TRANSFORMATION PERSON-NELLE.

ILESTAUSSIINDISPENSABLED’ÊTREDANSLA CONTEMPLATION ET LA BEAUTE.

N’AYEZ PAS PEUR...PARLEZ...DEBALLEZ,NOUSA RECOMMANDE LE PAPE ; dans lerespect de l’autre bien sûr.

A l’initiative de l’association clermontoise « CHRETIENS CHANGEONS », Jean-Pierre DENIS rédacteur en chef du journal « La Croix », est venu nous éclairer sur

LES REVOLUTIONS DU PAPE« Je n’aborderai pas la réforme de la Curie, ni celle de la famille » nous a-t-il précisé dès le départ.Qu’allait-il donc évoquer ?

LE PAPE veut que l’Eglise se mette à nu dans un esprit de pauvreté et de révolution du regard.« L’Eglise centrée sur elle-même tombe malade » nous a dit le Saint Père.

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L’avenir de Renaissance est incertain. Nous sommes dans le doute…Tournons-nous vers le Seigneur.

Seigneur, protégez nos doutes...nous affirme que tout est possible, du moment que nous sommes totalement engagés dans ce que nous faisons.Et pour que ce soit possible,

Seigneur, protégez-nous, car la Vie est le seul moyen que nous avons de manifester Votre miracle. Que la terre continue à transformer la semence en blé, que nous continuions à changer le blé en pain. Et ce n’est possible que si nous avons de l’Amour.

Par conséquent, ne nous abandonnez jamais à la solitude.Donnez-noustoujoursVotrecompagnie,et la compagnie d’hommes et de femmes qui ont des doutes, agissent, rêvent, s’enthousiasment et vivent comme si chaque jour était totalement consacré à Votre gloire.

Amen.

Paulo COELHO Comme le fleuve qui coule – Ed. Flammarion

Un jour, on demanda au Dalaï Lama : « Qu’est-ce qui vous surprend le plus dans l’humanité ? » Il répondit :« Les hommes qui perdent la santé pour gagner de l’argent et qui, après, dépensent cet argent pour récupérer la santé.A penser trop anxieusement au futur, ils en oublient le présent, à tel point qu’ils finissent par ne vivre ni au présent ni au futur. Ils vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir et meurent comme s’ils n’avaient jamais vécu ».

Seigneur,protégeznosdoutes,carleDouteestunemanière de prier. C’est lui qui nous fait grandir, car il nous oblige à regarder sans crainte les nom-breuses réponses à une même question.Et pour que ce soit possible,

Seigneur,protégeznosdécisions,carlaDécisionestunemanièredeprier.Donnez-nousducouragepour que, après le doute, nous sachions choisir entre un chemin et l’autre. Que notre OUI soit toujours un OUI, et notre NON toujours un NON. Qu’une fois le chemin choisi, nous ne regardions jamais en arrière, et que notre âme ne soit jamais rongée par le remords. Et pour que ce soit possible,

Seigneur, protégez nos actions, car l’Action est manière prier. Faites que notre pain quotidien soit le fruit de ce que nous portons en nous de meilleur. Que nous puissions, par le travail et l’Action, par-tager un peu de l’amour que nous recevons. Et pour que ce soit possible,

Seigneur, protégez nos rêves, car le Rêve est une manière de prier. Faites que, quels que soient notre âge et notre situation, nos sachions garder vive dans notre cœur la flamme sacrée de l’espoir et de la persévérance. Et pour que ce soit possible,

Seigneur, donnez-nous toujours l’enthousiasme, car l’Enthousiasme est une manière de prier. C’est lui qui nous relie aux Cieux et à la Terre, aux hommes et aux enfants, et nous dit que le désir est important et mérite nos efforts. C’est lui qui

Prières

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La prière de l’équipe Notre Dame… Seigneur, j’ai compris que seul, je n’y arriverais jamais…et tu me donnes main-tenant de vivre dans une équipe.

Fais que les autres acceptent la lenteur de mon cheminement, mais fais aussi que j’accepte avec patience le cheminement des autres.

Rends-moi assez humble pour donner aux autres la permission de m’aider, et assez ouvert pour que les autres trouvent en moi une aide remarquable.

Remplis-nous de ton Esprit afin que, dans le quotidien de nos vies et de celles de nos frères, nous découvrions tes appels à un engagement qui libère l’homme.

Rends-nous accueillants à ta Parole, une Parole qui interroge et qui remet en question, mais une Parole aussi qui conduit à la vraie liberté.

Donne-nousdenousaimersansavoirdemauvaiseindulgencelesunspourlesautres.

Et quand l’équipe sera en difficulté, je devrai d’abord m’interroger et oser regarder lucidement ma participation.

Enfin, Seigneur, aide-nous à découvrir le seul motif, fort, durable, qui nous dépasse toujours et qui puisse nous rassembler : celui de ta présence parmi nous.

Seigneur, entre donc chez moi

Seigneur, si tu passes par là, viens chez moi, entre donc.

Mais il vaut mieux que tu le saches : tu trouveras sûrement ma porte fermée.

J’ai toujours peur, alors je mets le verrou. Mais toi tu sais bien comment entrer, surtout quand ma porte est fermée.

Tu arrives à passer même quand il n’y a pas de porte.

J’aime mieux te dire, Seigneur, si tu viens chez moi

tu ne trouveras pas grand chose. Si tu veux de l’amour,

il vaudrait mieux que tu en amènes. Tu sais, mon amour à moi, il est plutôt rassis, ce serait mieux que tu en apportes du frais.

Emballe-le bien en le transportant, c’est si fragile l’amour !

Si tu avais aussi un peu d’espérance, de la vivace, de celle de ton jardin,

ce serait bien d’en prendre un bouquet. J’en ai tant besoin pour fleurir mon regard.

Et si encore tu avais un peu de foi pour moi, rien qu’un peu,

pas plus gros qu’un grain de moutarde,alors je déplacerais les montagnes.

JeanDebruynne

Voici l’autre devant moi Seigneur, Je dois le regarder « LUI »

Au-delà de mes idées et de ses idées Demoncomportement

et de son comportement. Je dois lui permettre d’exister devant moi,

Tel qu’il est en son être profond Et non pas l’obliger à l’attaque,

A la défensive, à la comédie. Je dois le respecter, autre que moi,

Et non pas le saisir pour moi, Le gagner à mes idées, l’entraîner à ma suite.

Je dois être pauvre devant « lui », Ne pas l’écraser ou l’humilier,

Ni l’obliger à la reconnaissance. Car il est unique, Seigneur,

Et donc riche D’unerichessequejenepossèdepas,

Et c’est moi le pauvre Qui me tiens à sa porte, pour apercevoir

Au fond de son cœur, ton visage, Ô Christ ressuscité,

Qui m’invite et me sourit.

Prière d’introduction au devoir de s’asseoir

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MERCI SEIGNEUR POUR CETTE ANNEE QUI S’ACHEVE.

MERCI POUR L’ANNEE QUI COMMENCE.

Merci, Seigneur, pour tout, pour le temps, pour la vie,

Pour ce que nous ferons, ce que nous vivrons, Ce que nous recevrons, ce que nous donnerons,

Toujours en parfaite union avec Toi.Si notre plus grand besoin avait été l'information,

Tu nous aurais envoyé un enseignant.Si notre plus grand besoin avait été la technologie,

Tu nous aurais envoyé un ingénieur.Si notre plus grand besoin avait été l'argent,

Tu nous aurais envoyé un banquier.Si notre plus grand besoin avait été le plaisir,

Tu nous aurais envoyé un comédien.Mais,notreplusgrandbesoinétaitlePARDON,

Alors, Tu nous a envoyé un SAUVEUR.

JANVIER, UNE ANNEE SE TERMINE,

UNE AUTRE HESITE ENCORE A NAITREDehors,ilneige,dehorslanuit.

En cette année qui commence, Père,Tout est à rallumer, même ta Parole,

Il n'y a qu'elle pour être jeune, vraiment jeune,

Pour être jaillissement de vie fendant la pierre.

Si tout semble continuer cette année encore, toujours de la même façon,

Tu es là, Père : « Au commencement, le Verbe »,Qui fait pourtant de chaque jour

Un jour nouveau pour vivre.Seigneur, décourage en nous les habitudes,

Et que ta grâce fasse de nous,Simplement, et avec justesse,

des gens qui commencent,Detoutleurcœur,detoutleurcorps,

Sans penser être ailleurs ou autrement,Et si le vent d'hiver éteint nos lampes,

Que ton souffle alors déborde dans nos corpsEt ce sera facile de rallumer ton Verbe.

D'après«prier.Be»

NOUVELLE ANNEE : VŒUXDELUMIERE

Amies, amis,Je vous souhaite la lumière

Qui vient de la tendresse donnée et reçue :Elle fait reculer les frontières de toutes les nuits !

Je vous souhaite la lumière qui vient du Christ.

Si vous avancez avec Lui, recevant son pain et sa parole,

Quelle nuit pourrait s'emparer de vous ?Je vous souhaite la lumière qui vient de la joie

Lorsque le partage est accompli.Si des frères sont relevés dans leur humanité,

La nuit perd son pouvoir sur la terre !Je vous souhaite la lumière

qui vient du dialogue renouéCar lorsque les séparés se parlent

Le jour commence à danser sur la nuit ! Amies, amis,

Si d'une façon ou d'une autre,Humblement, fidèlement avec persévérance

Quelques fragments de lumière Jaillissent de vos mains et de vos paroles,

Quelle année de clartéCe sera pour toute la terre !

Charles SingerJenedemandepas,monDieu,

Defairequecetteannéesoitunmiracle.Je ne te demande pas

DeremplacerlaréalitéparmesrêvesOu de faire que mes désirs Me fassent oublier la nuit.

Jetedemandeseulement,monDieu,D'oserl'Espérance.Amen.

JeanDebruyne

Bonjour Père,

Bonjour à toutes.

Un petit Martin est né

chez Jérôme et Violaine,

leur 7e enfant…

Un émerveillement,

renouvelé à chaque

naissance. Partagez

notre joie.

Claude Gras

Bienvenue à Martin au sein de ta nombreuse

famille

Le carnet bleuClaude Gras Perardelle (qui a quitté notre CA après Lisieux) nous a informés le 16 juillet de la naissance de son petit fils Martin en ces termes :

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Et si on riait un peu ?Un apophtegme est un précepte, une sentence, une parole mémorable ayant valeur de maxime. L’homme descend du songe (Georges Moustaki) Elle était belle comme la femme d’un autre (Paul Morand)L’enfant est un fruit qu’on fit (Leo Campion).C’est curieux, se faire refaire les seins, ça coûte la peau des fesses (Vincent Roca) .Quand il y a une catastrophe, si on évacue les femmes et les enfants d’abord, c’est juste pour pouvoir réfléchir à une solution en silence.Vous connaissez l’histoire du mouton qui court jusqu’à perdre la laine ?Si vous m’avez compris, c’est que je me suis mal exprimé (Alan Greenspan).L’ennemiestbête,ilcroitquec’estnousl’ennemi,alorsquec’estlui(PierreDesproges)Le jour où Microsoft vendra quelque chose qui ne se plante pas, je parie que ce sera un clou.Elle est tellement vieille qu’elle a un exemplaire de la Bible dédicacé.Quand Rothschild achète un Picasso, on dit qu’il a du goût. Quand Bernard Tapie achète un tableau, on demande où il a trouvé les ronds.Denosjours,l’assistanceàpersonneendangerserésumeàassisteraudanger.N’attendez pas la solution de vos problèmes des hommes politiques puisque ce sont eux qui en sont la cause (Alain Madelin).Les prévisions sont difficiles, surtout lorsqu’elles concernent l’avenir.Quand un couple se surveille, on peut parler de « communauté réduite aux aguets ».

Humour

DenisSonet,néen1926etmortle23septembre2015estunprêtrecatholi-que, aumônier national puis formateur de conseillers conjugaux et familiaux et d’éducateurs au Centre de liaison des équipes de recherche « Cler Amour et Famille » depuis 1969. Auteur de très nombreuses conférences, il reprend les thèmes de ses nombreux ouvrages sur la vie sexuelle et affective.

Quelques jours avant notre rencontre à Voreppe, nous avons été informées du décès du Père Sonet. Ce « grand petit homme » s’en est retourné vers le Père le premier jour de l’automne, le 23 septembre de cette année 2015.Si nous avons une sympathie particulière pour lui, c’est que nous avons eu

la grande chance d’avoir fait sa connaissance lors d’une rencontre des équipes nationales à Paris le 6 novembre 2010. Le Père Sonet nous avait alors fait une intervention remarquable et remarquée sur le thème : Re-naître après un divorce...

Ce que l’on dit de lui : -DenisSonetamistoutsontalent,sondynamisme,sacréativitéetsafoiauservicedesjeunesetdes couples. (Geneviève de Leffe, Présidente du Clerc)- Mgr Stenger, évoque la proximité du P. Sonet non seulement avec ceux qui “apprenaient à aimer”, mais aussi de ceux qui “avaient du mal à aimer”, des couples en difficulté, des familles à la dérive . « Sa parole quelquefois abrupte, sans tabou mais toujours empreinte d’amour pour ceux qui venaient vers lui, a redonné des repères à plus d’un qui était en mal de sens et de vie », dit Mgr Stenger (évê-que de Troyes dans La Croix )- Son enseignement restera à la fois original, et en même temps fondateur du dialogue actuel de l’Eglise sur la sexualité et l’éducation affective. Il a fait évoluer la réflexion de l’Eglise sur le couple, jusqu’alors basée sur la famille et l’éducation des enfants, sans toutefois aborder les relations homme-femme, la tendresse,lasexualitéetledialogue.(JeanBaptisteLeRouxdansViedel’Église.RadioNotre-Dame)

France G R

Nous tenons à rendre hommage au Père Sonet

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AtelierClaireJoie-ClarissesVoreppe–DépôtLégalJanvier2016-N°16-362- illustrations clarisses reproduction interdite

RENAISSANCE

Mouvement chrétien de femmes en rupture de couple

Association Loi 1901

Secrétariat National :

Secrétaire : Sabine BLADIER784, chemin des Mérentiers

13109 SIMIANE-COLLONGUEsabine.bladier@sfr.fr

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