1
Sujet 1.
Anesthésie en médecine dentaire Serie Francază Bibligrafie - CARMEN GABRIELA STELEA, EUGENIA POPESCU, OTILIA
BOIȘTEANU: ANESTHÉSIOLOGIE EN DENTISTERIE, Ed. GR. T. Popa Iași, 2016
1. *Cochez la réponse incorrecte concernant le ganglion Gasser:
A. Trois branches terminales se détachent: ophtalmique, maxillaire,
mandibulaire.
B. Il se trouve sur la face antéro-inférieure du rocher du temporal.
C. Il est situé dans une loge fibreuse formée par un dédoublement de
la dure-mère.
D. Le nerf ophtalmique se détache du ganglion Gasser.
E. Le trajet de la racine sensitive se termine dans la concavité du
ganglion
B Pag. 11
2. *Quelle affirmation est correcte en ce qui concerne la face antérieure du corps
de la mandibule:
A. Sur la ligne médian présente quatre apophyses
B. Présente la ligne oblique externe
C. La fossette digastrique est sous la ligne milo-hyoïdienne
D. L'éminnence mentonnière est une proéminence avesc la base en
haute
E. Sous la ligne oblique externe entre les deux prémolaires se trouve
l’orifice mentonnier
B Pag. 35
3. La limite correcte de la région malaire est:
A. supérieur: la 1/3 interne du rebord orbitaire inférieur.
B. postérieur: la verticale qui passe par la suture maxillo-malaire.
C. antérieur: la suture maxillo-malaire.
D. inférieur: une ligne horizontale prolongée de la marge inférieure de
l’os malaire jusqu’à l’aile du nez.
E. postérieur: une ligne verticale qui descend par l’os frontal jusqu’à
ce qu’elle rencontre l’arcade zygomatique.
CE Pag.26
4. *L’innervation sensitive de la lèvre inférieure est donnée par:
A. le nerf mentonnier.
B. les branches labiales du bouquet infraorbitaire.
C. le nerf facial par la branche mandibulaire.
D. le nerf buccal.
E. le nerf incisif
A Pag. 24
5. Les muscles constricteurs de la région labiale sont, à l’exception:
A. Le compresseur des lèvres
B. le muscle peaucier du cou
C. le muscle orbiculaire des lèvres
D. le muscle buccinateur
E. le muscle canine
AC Pag. 24
6. Chez les enfants l’anesthésie locorégionale présente une série de particularités
déterminées par les suivants facteurs anatomiques:
A. le trou sous-orbitaire est situé plus haut par rapport à la distance
entre la marge inférieure de l’orbite et la marge du procès
alvéolaire;
BCDE Pag.54,
55
2
B. la tubérosité du maxillaire est plus inclinée;
C. le trou rétroincisif est plus près de la marge gingivale;
D. l’angle mandibulaire est plus ouvert;
E. l’os mandibulaire a une structure spongieuse sur toute sa surface
7. L’Association Américaine du Cœur a établi les suivantes lésions vasculaires
qui imposent de la prudence pendant l’acte de stomatologie:
A. la maladie coronarienne;
B. la maladie hypertensive;
C. les lésions valvulaires chroniques;
D. endocardite bactérienne
E. l’infarctus du myocarde chronique
ABCE Pag. 59
8. *La valeur normale du nombre de thrombocytes est :
A. 150000/dL – 400000/dL;
B. 80000/dL – 100000/dL;
C. 30000/dL – 50000/dL;
D. 100000/dL – 140000/dL;
E. 50000/dL – 80000/dL.
A Pag. 71
Sujet 2
L’éxtraction Dentaire (pag. 43-44, 45-46, 58-59, 59-62, 62-65, 65-68, 68-70,70-75, 75-76
9. *Les énoncés suivants ne sont pas des indications pour l’extraction dentaire:
A. dents incluses ou surnuméraires ou dents ayant fait éruption qui
empêchent l'éruption
B. dents qui ont produit ou peuvent produire ou maintenir des
complications infectieuses locales, régionales ou générales
C. dents provenant des foyers de fracture osseuse qui empêchent ou
peuvent compliquer un traitement chirurgical
D. dents avec destruction coronaire
E. dents qui empêchent un traitement prothétique adéquat
D 43
10. *Les énoncés suivants ne sont pas des indications pour l’extraction dentaire
des dents temporaires, à une exception près:
A. dents avec lésions traumatiques ou en liaison avec des fractures
osseuses
B. dents avec rhisalyse coronaire dans (ou après) la période normale
de leur remplacement par les dents permanentes.
C. dents avec gangrène pulpaire
D. dents temporaires qui permettent l'éruption normale
E. dents avec lésions traumatiques coronaire
A 43
11. L’ instrumentation requis par l’extration des dents maxillaires est:
A. pricelle
B. élévateur Lecluse
C. élévateur droit
D. élévateur curbe
E. miroir
ACE 48
12. Spécifique pour la technique d’extraction des dents maxillaires partie gauche: AC 48
3
A. la syndesmotomie
B. l'index de la main droite protège la lèvre
C. l'index de la main gauche est placé en vestibulaire
D. la luxation de la dent avec l'élévateur curbe
E. l’incision dans le sulcus vestibulaire
13. La technique d'extraction des incisives latérales maxillaires requis:
A. le pouce est placé en palatin
B. syndesmotomie de l'incisive lateral maxillaire avec l’élévateur droit
ou courbe
C. pricelle, miroir, élévateur droit, davier pour dents
maxillaires,curette droite ou courbe
D. l'index de la main gauche est placé en vestibulaire, en même temps
en écarant et protégeant la lèvre
E. l'index de la main gauche est placé en palatin
AD 49
14. La technique de l'extraction des canines maxillaires requis le suivantes:
A. pricelle, miroir, élévateur droit, davier pour canines maxillaires,
curette droite
B. le pouce est placé en vestibulaire
C. l'index de la main gauche est placé en vestibulaire, en même temps
en écartant et protegeant la lèvre
D. l'index de la main gauche est placé en palatin
E. syndesmotomie de la canine maxillaire;
CE 50
15. La technique d’extraction des prémolaires supérieures dans le 1er quadrant
requis les suivantes
A. l'index de la main gauche est placé en palatin
B. syndesmolomie de la 1-ere prémolaire maxillaires
C. l'index de la main gauche est placé en vestibulaire, en même temps
en écartant et protegeant la lèvre
D. le pouce est placé en vestibulaire
E. pricelle, miroir, élévateur droit, davier pour dents maxillaires
ABD 51
16. La technique d’extraction des prémolaires supérieures dans le 2er quadrant
requis les suivantes:
A. miroir, élévateur droit, davier pour dents maxillaires, curette droite
B. syndesmotomie des prémolaires maxillaires
C. le pouce est placé en vestibulaire
D. l'index de la main gauche est placé en vestibulaire
E. le pouce est placé en palatin
BDE 52
Sujet 3.
Les accidents de l’éruption des dents permanentes (pag.111-114,114-115, 115-116, 121-131)
17. *L’accident dynamique apparu pendant l’éruption de dents permanentes est:
A. l’éruption précoce
B. l’hétérotopie dentaire
C. l’éruption tardive
D. les complications septique
E 111
4
E. l’inclusion dentaire
18. *L’accident infectieux le plus fréquent pendant l’éruption de la troisième
molaire mandibulaire est:
A. la gingivite
B. l’abcès vestibulaire
C. l’alvéolite postextractionnelle
D. la péricoronarite
E. l’ostéite périapicale
D 112
19. La gingivostomatite peut se compliquer:
A. par les pharyngites
B. par les infections articulaires
C. par une angine ulceromembraneuse de Vincent homolatérale
D. par les infections hépatiques
E. par les infections cardiaques
CA 113
20. Le diagnostic de l’inclusion dentaire est établi le plus fréquemment par
l’examen radiologique grâce auquel on évalue les situations suivantes:
A. les éléments anatomiques de voisinage (les artères et les veines de
la mandibule et du maxillaire)
B. la relation avec les dents voisines
C. les éléments anatomiques de voisinage (canal alvéolaire inférieur,
crête temporale, sinus maxillaire)
D. les éventuelles complications kystiques ou tumorales
E. la position de la dent incluse
BCE 114
21. La classification ”PELL et GREGORY” utilise deux types de classifications
selon la position de la dent incluse:
A. position A: La portion la plus importante de la troisième molaire
mandibulaire incluse est au même niveau ou au dessus du plan
d’occlusion
B. position A: La portion la plus importante de la première molaire
mandibulaire est au même niveau ou au-dessus du plan
d’occlusion.
C. position B: La portion la plus importante de la troisième molaire
mandibulaire incluse est en dessous du plan d’occlusion mais au-
dessus de la ligne cervicale de la deuxième molaire mandibulaire.
D. position C: : La portion la plus importante de la troisième molaire
mandibulaire incluse est en dessous du plan d’occlusion mais au-
dessus de la ligne cervicale de la deuxième molaire mandibulaire
E. position C: La portion la plus importante de la troisième molaire
mandibulaire incluse est en dessous de la ligne cervicale de la
deuxième molaire mandibulaire.
ACE 115
22. En prenant comme référence le ramus, les inclusions dentaires peuvent être
classifiées:
A. position I: aucune partie de la couronne de la troisième molaire
mandibulaire incluse n’est pas dans le ramus
B. position II: plus du quart de la couronne de la deuxième molaire est
dans le ramus
C. position III: aucune partie de la couronne n’est pas dans le ramus.
D. position III: plus du quart de la couronne de la troisième molaire
est dans le ramus
E. position II: le quart de la couronne de la deuxième molaire est au
AD 116
5
moins dans le ramus.
23. Les affirmations suivantes concernant le redressement chirurgical-
orthodontique des dentes incluses sont correcte:
A. c’est indiquée chez les patients âgés lorsqu’on peut obtenir de
l’espace sur l’arcade par des méthodes orthodontiques
B. l’apport sur l’arcade se réalisant ensuite lentement sous contrôle
orthodontique périodique.
C. c’est indiquée quand la position de la dent ne permet pas la traction
et l’alignement sur l’arcade.
D. c’est indiquée chez les patients âges lorsqu’on peut obtenir de
l’espace sur l’arcade par des méthodes chirurgicales
E. après avoir obtenu l’espace nécessaire sur l’arcade, pour la canine
supérieure on réalise l’exposition chirurgicale de la dent et
l’ancrage de celle-ci avec un braquet par abord vestibulaire ou
palatin
BE 131
24. Le redressement chirurgical-orthodontique des canines incluses est
caractérisée par les suivantes:
A. indiqué chez les patients âgés lorsqu’on peut obtenir de l’espace
sur l’arcade par des méthodes orthodontiques
B. la plus fréquente méthode d’apport sur l’arcade des canines
supérieures incluses
C. indiqué quand la position de la dent permet la traction et
l’alignement sur l’arcade.
D. indiqué après avoir obtenu l’espace nécessaire sur l’arcade
E. indiqué chez les patients jeunes lorsqu’on peut obtenir de l’espace
sur l’arcade par méthodes orthodontiques
BCDE 131
Sujet 4.
La chirurgie endodontique (pag. 81-103, 103-104, 105-108)
25. *Les techniques de chirurgie endodontique ont comme objectif:
A. la suppression des tissus parodontaux pathologiques
B. l’enlèvement de la dent
C. l’enlèvement des tissus pathologiques périapicaux
D. le retrait de la marge gingivale en excès
E. aucune de ces réponses
C 81
26. *L’indication de drainage transmaxillaire (l’ostéotomie maxillaire)
A. lorsque l'obturation de la dent peut être enlevée
B. lorsque l'obturation de la dent est incomplète
C. lorsque la dent est trop remplie
D. toutes ces réponses
E. les poussées aiguës de parodontite apicale aiguë suppurée dans les
stades 2 et 3
E 103
27. Les principales techniques en chirurgie endodontique se réfèrent à:
A. le curetage parodontal
B. la résection apicale
BCD 82
6
C. le curetage périapical
D. le drainage transmaxillaire
E. toutes ces réponses
28. Les techniques de la chirurgie endodontique se réfèrent à:
A. l’amputation radiculaire
B. l’extraction dentaire
C. la réimplantation dentaire
D. le curetage périapical
E. la transplantation dentaire
ACDE 82
29. La résection apicale se compose de:
A. assurer l’étanchéité du canal radiculaire
B. l’exposition de la racine
C. le sectionnement chirurgical et l’enlèvement de l’apex d’une dent
D. la résection radiculaire
E. l’exposition de la dent
AC 82
30. Le but de la résection apicale est:
A. eradiquer l’inflammation de la zone périapicale
B. le retrait de l’inflammation et de l'infection de la bouche
C. stopper la diffusion bactérienne du canal radiculaire
D. le remplissage composite de la couronne
E. obtenir une meilleure obturation
ACE 82
31. La résection apicale est indiquée lorsque:
A. le traitement parodontal a échoué
B. le traitement endodontique a échoué
C. le traitement endodontique n’est pas possible
D. le sommet ne peut être abordé que chirurgicalement
E. la préservation de la dent est souhaitable
BCDE 82
32. Les indications pour la résection apicale sont:
A. résultat d'une bonne instrumentation endodontique
B. par le manque d’un traitement endodontique adéquate.
C. résultat d'un manque de radiographie
D. est faite par le patient
E. données par les techniques iatrogènes
BE 82
Sujet 5.
Chapitre 5. Méthodes chirurgicales préprothétiques (pag.135-144, 145-147)
33. *La chirurgie préprothétique contient :
A. les interventions qui font les traitements des ostéites périapicales
B. les interventions chirurgicales qui ont comme but la création des
conditions nécessaires à l’établissement de la prothèse mobile totale
C. les curetages des follicules dentaires
D. les préparations pour la chirurgie prothétique
E. la première partie de la chirurgie prothétique.
B 135
34. *Les interventions chirurgicales préprothétiques sur le plan osseux sont
indiquées dans :
C 135
7
A. l’hypertrophie de la muqueuse gingivale,
B. la fibromatose gingivale au niveau des tubérosités maxillaires
C. la crête alvéolaire avec irrégularités
D. les freins labiaux ou linguaux courts ou volumineux,
E. l’hyperplasies épithélio-conjonctives ou fibromes de prothèse dus
aux microtraumatismes d’une prothèse incorrectement adaptée.
35. Les méthodes chirurgicales préprothétiques au niveau des parties molles sont
indiquées dans les situations suivantes :
A. les torus proéminents
B. la fibromatose gingivale au niveau des tubérosités maxillaires
C. l’hypertrophie apparente de la muqueuse gingivale
D. après les interventions au niveau des parties osseuses
E. les freins labiaux ou linguaux courts ou volumineux
BCE 135
36. Le frein labial, supérieur ou inférieur :
A. est formé du tissu fibreux
B. est couvert par la muqueuse
C. avec ulcération, est une indication pour la chirurgie préprothétique
D. peut descendre jusqu’au niveau du sulcus et peut empêcher
l’adaptation de la prothèse totale
E. s’insère au niveau de la lèvre et du périoste du processus alvéolaire
ABE 135
37. L’hyperplasie épithélio-conjonctive :
A. est une formation pseudo-tumorale ou inflammatoire
B. est produite par l’irritation chronique d’une prothèse
incorrectement adaptée au niveau du fond du sac vestibulaire.
C. s’appelle aussi fibrome de prothèse
D. existe seulement au maxillaire supérieur
E. existe seulement au mandibule
ABC 139
38. C’est vrai que l’hyperplasie gingivale :
A. est plus fréquemment dans la zone molaire maxillaire.
B. d’étiologie infectieuse, mécanique, hormonale ou médicamenteuse,
localisée à une dent, à un groupe de dents ou généralisée
C. l’excision se fait en même temps que l’extraction des dents avec
osteite periapicale, étant suivie par la suture
D. représente une croissance rapide en volume de la gencive
E. représente une croissance inflammatoire en volume de la gencive,
lente, progressive
BE 141
39. C’est vrai que la fibromatose au niveau des tubérosités :
A. représente une croissance rapide en volume du tissu conjonctif de
la muqueuse de la crête alvéolaire dans la zone molaire maxillaire
B. empêche le port de la prothèse
C. réduit la distance interdentaire, parfois avec contact direct avec les
dents voisines
D. impose une incision en tranche d’orange qui contient le versant
vestibulaire et oral de la formation
E. interdit, dans la technique d’opération, après la suture, d’appliquer
la prothèse rebasée.
BD 141
40. C’est vrai que la crête flottante :
A. représente une zone mince d’hyperplasie
B. est située au niveau d’une crête édentée chez un porteur de prothèse
mobile, correctement adaptée
ACE 141
8
C. nécessite, pour son opération, une incision autour de la base
d’implantation de la formation, parallèlement à la crête alvéolaire,
on excise jusqu’au niveau du périoste et l’on suture
D. après l’opération, nécessite une guérison per secundam.
E. après l’opération, impose de porter la prothèse rebasée
Sujet 6.
Infections oro-maxillo-faciale
41. * Les facteurs prédisposants d'infections dans l'omf territoire sont:
A. Blessures traumatiques
B. Objets étrangers
C. Pyoderme
D. Extractions dentaires
E. Tout ce qui précède
E
42. *Lequel des éléments suivants est la séquence correcte du chemin transosseux:
A. Periapical, endoosseux, periosseux, subperiostal
B. Pericapical, periosseous, subperiostal, endoosseeux
C. Submucosal, tissus mous, subperiostal, periapical
D. Espaces périapicaux, endoosseux, subperiastes, sous-muqueux /
perieux, tissus mous
E. Les tissus mous, les espaces periosseux / sous-muqueux,
subperiostal, periapical, endoosseeux
D
43. *Une collection purulente circonscrite est connue comme suit:
A. Cellulite
B. Phlegmon
C. Abcess
D. Adénite supurative aiguë
E. Granulome
C
44. Lequel des signes suivants est rencontré dans le cas de l'ostéomyélite
mandibulaire?
A. Chvostek signe
B. Vincent d'alger signe
C. Horner signe
D. Hypoesthésie sur le territoire du nerf mandibulaire
E. Courvoisier signe
BD
45. Le diagnostic différentiel de l'abcès sous-régional ne comprend pas les
éléments suivants
A. Infections spatiales sous-mandibulaires
B. Infections spatiales sublinguales
C. Abcès vestibulaire
D. Adénite subalterne suppurée
E. Abcès migratoire
ACE
46. Etiologie des infections par logis parotidiennes
A. Suppurations infra-temporelles
B. Sinusite maxillaire
C. Complication des fractures de la mandibule
DE
9
D. Parotidite suppurée
E. Voisinage voisin (génie, néo-pharyngien)
47. Le diagnostic différentiel de la loge submandibulaire ne se fait pas avec
A. Flegmon septique du sol de la bouche
B. Whartonite
C. Periwhartonite
D. Adénite
E. Cellulite aiguë
BCE
48. Lequel des éléments suivants est vrai concernant les infections de la loge
supramylogyéroïde
A. La peau est brillante dans la région sous-mandibulaire
B. Diagnostic différentiel avec whartonite et ranula
C. Diagnostic différentiel cancer du sol de la bouche
D. Signe clinique enflure du plancher postérieur de la bouche
E. Signe clinique: la déformation de la zone du sous-menton
BCE
Sujet 7.
Maladies d'origine dentaire du sinus maxillaire
49. *Le diagnostic de la sinusite maxillaire d'origine dentaire est basé sur ce qui
suit:
A. La triade: douleur, cacosmie, rhinorrhée purulente
B. La triade: douleur, fièvre, toux
C. Les signes cliniques ne sont pas corrélés avec les examens
radiologiques et dentaires
D. Les signes cliniques sont suffisants pour le diagnostic de la sinusite
maxillaire d'origine dentaire
E. La triade: douleur, obstruction nasale, rhinorrhée séreuse
A
50. *La sinusite maxillaire aiguë non traitée peut être suivie par le développement
de:
A. Abcès buccal
B. Abcès massétre
C. Abcès spatial temporel
D. Abcès pilonidal
E. Abcès de l'espace parotide
A
51. Les dents maxillaires suivantes sont en relation étroite avec le sinus maxillaire:
A. Première molaire
B. Première prémolaire
C. Deuxième prémolaire
D. Incisive latérale
E. Troisième molaire
ABCE
52. Les affirmations suivantes sont vraies concernant le sinus maxillaire:
A. Il est présent chez le nouveau-né
B. Il s'ouvre dans le méat inférieur
C. Son développement est complet à l'âge de 25 ans
D. Son développement est complet à l'âge de 7 ans
E. Il s'ouvre dans le méat moyen
ACE
10
53. Les facteurs contributifs de la sinusite maxillaire sont:
A. Diminution de la sécrétion de mucus
B. Facteurs locaux et généraux
C. Inflammation chronique de la muqueuse sinusale
D. Vitamines thérapeutiques
E. Immunosuppression
BCE
54. Les facteurs déterminants de la sinusite maxillaire d'origine dentaire peuvent
être:
A. Fistule oro-nasale
B. Poulie séreuse
C. Osteite périapicale
D. Cystes radiculaires infectés
E. Maladie chronique parodontale
ACD
55. Les signes cliniques de la sinusite maxillaire chronique d'origine dentaire sont
représentés par les énoncés suivants:
A. Présence de douleurs bilatérales et de drainage purulento
B. Forte fièvre
C. Céphalalgie du matin
D. Douleur du matin dans la région des sinus affectée
E. Douleur d'une nuit dans la région des sinus affectée
CD
56. La sinusite maxillaire chronique d'origine dentaire se caractérise par les
énoncés suivants, à l'exception de:
A. Douleur locale modérée le matin
B. Douleur intense pendant la nuit
C. Obstruction nasale
D. Douleur locale modérée en inclinant la tête vers le bas
E. Douleur locale intense en position orthostatique
BE
Sujet 8.
Traumatologie oro-maxillo-faciale
57. *La lésion traumatique osseuse la plus fréquente impliquant le visage est:
A. Le zygome
B. Le complexe zygome-malar
C. L'os malar
D. La mandibule
E. L'os cricoïde
D
58. *Le pourcentage de traumatisme facial par localisation est:
A. Le zygome 60%
B. La face médiane 60%
C. La mandibule 60%
D. Le complexe zygome-malar 60%
E. La mandibule 10%
C
59. Les affirmations suivantes concernant les mécanismes de la fracture
mandibulaire sont correctes:
A. Pression
B. Compactage
ABCE
11
C. Flexion (pliage)
D. Concussion
E. Traction (tirant)
60. Les affirmations suivantes concernant les symptômes de la certitude dans la
fracture de la mandibule sont fausses:
A. abrasion superficielle
B. Mobilité osseuse anormale, crépitations, craquements (Examen
intra-oral, palpation bimanuelle)
C. Enroulement profond, Interruption de la continuité tissulaire,
abrasion
D. Accumulation de sang extravagé suite à la rupture des vaisseaux
sanguins plus profonds ou plus grands
E. Malocclusion
ACD
61. Par le degré d'intérêt de l'épaisseur des fractures de la mandibule osseuse
peuvent être:
A. Fractures directes (au site de la blessure)
B. Fractures indirectes (loin de l'agent traumatique)
C. Fractures partielles (limitées)
D. Fractures indirectes (sur le site de blessure)
E. Fractures totales
CE
62. Le traumatisme Oro-maxilo-facial est classé comme suit:
A. Fractures à mandibule
B. Fractures faciales (complexe zygome-malar)
C. Hémorragie
D. Lésions dentaires parodontales
E. Hématome Masseterin
ABD
63. L'évaluation d'un patient présentant une blessure sur le territoire de cranio-
maxillo-facial doit contenir:
A. Il doit commencer par l'histoire
B. L'histoire n'est pas importante
C. L'examen clinique est essentiel
D. Associé à une documentation photographique
E. Les tests sanguins et les scans Ct sont essentiels
ACD
64. Les énoncés suivants concernant les complications tardives des fractures de la
mandibule sont fausses:
A. ankylose articulaire temporo-mandibulaire
B. constriction
C. asphyxie
D. dissémination des hématomes du sol de la bouche
E. consolidation vicieuse - fixation incorrecte
CD
Sujet 9.
Kystes et tumeurs bénignes des tissus mous orale, de la tête et du cou
65. *Lequel des énoncés suivants est une tumeur épithéliale :
A. Myxome
B. Cementoblastoma
D
12
C. Compound Odontome
D. Odontome complexe
E. Odontome fibrome
66. *Kératinisant et calcification kystes odontogènes sont a:
A. Tumeurs épithéliales
B. Tumeur mixte
C. Tumeur mésenchymateuse
D. Toutes ces réponses
E. None of the above
D
67. Ce qui suit peut être dit à propos de fibrome central
A. Développer à tout âge, surtout aux olders
B. Développer à tout âge, particulièrement chez les enfants
C. Développer à tout âge le plus souvent au maxillaire
D. Développer à tout âge le plus souvent à l’ethmoïde
E. Clinical aspects radiographiques inhabituelle
CE
68. Lequel des énoncés suivants sont des tumeurs mésenchymateuses :
A. Fibrome odontogènes
B. Odontogènes fibromixoma
C. Odontome complexe
D. Compound Odontome
E. Odontome fibrome
AB
69. Lequel des énoncés suivants sont des tumeurs de mixte :
A. Odontome fibrome
B. Tumeurs odontogènes adénomatoïde
C. Compound Odontome
D. Composé de fibrome
E. Cementoblastoma
ABC
70. Ameloblastoma :
A. Est une tumeur épithéliale
B. Origine : épithéliales, de la lame dentaire
C. A une croissance rapide, l’évolution courte
D. A une croissance lente, évolution courte
E. A une croissance rapide, l’évolution rapide
AB
71. Nonodontogenic kystes épithéliaux sont les suivants :
A. Kyste canal naso-palatin
B. Aneurysmal OS kyste
C. Kyste osseux Stafne
D. Kyste dermoïde
E. Globulo kyste maxillaire
ADE
72. Lequel des énoncés suivants n’est pas un kyste non épithéliaux :
A. Globulo kyste maxillaire
B. Kyste dermoïde
C. Aneurysmal OS syst
D. Traumatic bone kyste
E. Kyste osseux Stafne
AB
13
Sujet 10.
Kystes, tumeurs bénignes et ostéopathies de l'os de la mâchoire
73. *Les énoncés suivants sont faux concernant le granulome piogène:
A. Il s'agit d'une hyperplasie réactive de la muqueuse buccale comme
réponse à un facteur local d'irritation
B. Il s'agit d'une hypertrophie réactive de la muqueuse buccale comme
réponse à un facteur local d'irritation
C. On l'appelait aussi le botriomicome
D. Il a également été nommé polype muco-épithélial
E. La forme gingivale est également appelée épulis granulomateuse
B
74. *Le lipome:
A. Est-ce une tumeur maligne mésenchymateuse
B. Est-ce qu'une tumeur bénigne épithéliale
C. Est-ce qu'une tumeur vasculaire bénigne
D. Est-ce une tumeur maligne mésenchymateuse
E. Masse douce, à croissance lente, située dans le tissu sous-cutané
E
75. Les affirmations suivantes sont vraies concernant le kyste tyroglossal:
A. Il est mobilisé avec la déglutition
B. Habituellement situé dans la ligne médiane
C. Il s'étend de la base de la langue à la pointe
D. Le traitement chirurgical implique l'élimination d'une partie de l'os
hyoïde
E. Il est situé antérieurement et sous le muscle sternocleidomastoïde
ABD
76. Le kyste brachiale doit être différencié de:
A. Tumeurs de glomus carotidiennes
B. Métastase ganglionnaire cervical
C. Lipome cervical
D. Kyste dermoïde
E. Lymphangiomes cervicaux.
ABCE
77. Le diagnostic différentiel du kyste dermoïde comprend les entités suivantes:
A. Kyste teratoïde
B. Ranula
C. Kyste branche
D. Adénite submental
E. Abcès spatial sublingual.
ABDE
78. Le kyste thyroglossal doit être différencié des entités suivantes:
A. Kyste branche
B. Kyste dermoïde
C. Ranula
D. Submental adenitis
E. Adénite postocervicale.
BCD
79. Le diagnostic différentiel du granulome pyogène gingival n'est pas réalisé
avec:
A. Neurinome
B. Épulis fibreux
C. Lipome
D. Tumeurs malignes de la muqueuse alvéolaire
E. Osteoma.
ACE
14
80. L'épulis granulomateux:
A. Il est situé dans le plafond vestibulaire
B. C'est la forme la plus fréquente de granulome piogène oral
C. Il est situé dans l'espace interdentaire
D. Relatif à une cavité subgingival ou une prothèse mal adaptée
E. Associé à une mauvaise hygiène bucco-dentaire.
BCDE
Sujet 11.
Tumeurs malignes Oro-maxillo-faciale
81. *La déclaration suivante sur la leucoplasie est correcte :
A. Tache blanche qui peut être gratté
B. Patch noir qui peut être gratté
C. Tache blanche qui ne peut pas être gratté
D. Réseau de lésion blanche comme la vie de la fougère
E. Tache rouge, vif, lisse
A
82. *Sur la lésion ulcéreuse on peut dire.
A. Rouvre ou pédonculée prolifération
B. Surface lisse ou chou-fleur
C. Une ulcération qui s’étend en surface et en profondeur
D. Il est également connu sous le nom d’une lésion exofitic
E. Tous les statemantes sont fals
C
83. Facteurs de risque pour le cancer de la cavité buccale:
A. Alcool
B. Tobacoo
C. Diététique et nutrition
D. Médicaments
E. Génétiques
ABCE
84. Les énoncés suivants au sujet du tabac sont vraies :
A. Change la température orale
B. Augmente de Ca + et K +
C. Diminution de salive
D. Réduction de l’amylase salivaire
E. Modification biologique de la muqueuse buccale
ADE
85. Les énoncés suivants au sujet du tabac sont fausses :
A. Doze éthanol > 40 g de risque pour les hommes
B. Toxique de l’alcool = méthanol
C. L’éthanol n’est pas un facteur-co-cancérigène
D. 40 g éthanol = 1 litre de bière
E. Toxique de l’alcool = éthanol
BC
86. Lésions précancéreuses de la muqueuse buccale sont :
A. Candida albicans
B. Leucoplasie
C. Lichen plan
D. Érythroplasie
E. Le muguet buccal
BCD
87. Les énoncés suivants concernant l’érythroplasie est vrai : BCE
15
A. Tache blanche, vif, lisse
B. Tache rouge, vif, lisse
C. Il s’agit d’un carcinome « In situ »
D. C’est une lésions ulcéreuses
E. Formes : agranulaires (plat), granulaire
88. C auses de détection tardive du cancer sont :
A. Il est remarqué par le patient
B. Il n’est pas remarqué par le patient
C. Il est reconnu par le dentiste
D. S’échappe d’examen dentaire
E. Hidden secteurs de risque (la languette latérale, pharynx
postérieur, plancher de la bouche)
BDE
Sujet 12.
Pathologie de l’articulation temporo-mandibulaire
89. *Les sons pathologiques de l'ATM sont:
A. Fissures
B. Grincements
C. Crépitements
D. Râles
E. Frotte
B
90. *Les signes otologiques pour la pathologie de l'ATM sont:
A. Acouphènes
B. Othematome
C. Douleur d'oreille
D. Vertige
E. Otorhée
A
91. *La maxime intrercuspidation:
A. Est obtenu par position ouverte normale
B. C'est une position lâche
C. Est-ce une position de solde conjoint, avec relation myocentrique
D. Est obtenu par position fermée normale
E. Tout ce qui précède
D
92. Les sons pathologiques de l'ATM sont:
A. Pops
B. grincements
C. crépitements
D. râles
E. frotte
AB
93. Les signes otologiques pour la pathologie de l'ATM sont:
A. Acouphènes
B. Othematome
C. Douleur d'oreille
D. Vertige
E. Perte auditive
AE
94. La maxime intrercuspidation: DE
16
A. Est obtenu par position ouverte normale
B. C'est une position lâche
C. Est-ce une position de solde conjoint, avec relation myocentrique
D. Est obtenu par position fermée normale
E. La position de départ et de retour de tous les mouvements
mandibulaires
95. La relation centrée n'est pas définie par
A. Est obtenu par position ouverte normale
B. C'est une position stable
C. Est-ce une position de solde conjoint, avec relation myocentrique
D. Est obtenu par position fermée normale
E. Est-ce une position d'équilibre conjoint, sans relation myocentrique
ABDE
96. Les contacts prématurés se trouvent généralement sur:
A. Les cuspides distales des dents maxillaires
B. Les cuspides mésiales des dents mandibulaires
C. Les cuspides mésiales des dents maxillaires
D. Les cuspides distales des dents mandibulaires
E. Les cuspides distolingue de la seconde molaire
CD
Sujet 13.
Pathologie de la glande salivaire
97. *Les sialomégalies représentent:
A. La diminution du volume de la glande salivaire
B. Augmentation du débit salivaire
C. L'augmentation du volume des glandes salivaires
D. Diminution du débit salivaire
E. Paralysie du nerf facial
C
98. *Le traitement préventif de la parotidite bactérienne aiguë consiste en
A. Enlèvement de la glande parotide
B. Réhydratation pour assurer un bon flux salivaire
C. Antibiotiques
D. Tueurs de douleur
E. Ligature du conduit de Stenon
B
99. *L'étiologie de la parotité bactérienne récurrente de l'enfant est représentée
presque toujours par:
A. VPH
B. Germes Gram négatifs
C. Gènes Gram positifs
D. Virus de l'herpès
E. HIV
C
100. La tumeur de Warthin:
A. Tumeur maligne
B. Toujours unilatéral
C. Peut être bilatéral
D. Tumeur bénigne
E. Lié avec le tabagisme
CDE
17
101. Le carcinome adénoïde kystique:
A. Il ne donne jamais de métastases à distance
B. Il est associé à une invasion nerveuse
C. Il y a un risque accru de métastase à distance
D. Cela n'impose jamais le nerf facial
E. Il est surtout associé à une invasion osseuse
BC
102. Les tumeurs suivantes sont des tumeurs bénignes des glandes salivaires:
A. Odontoma
B. Adénome Pleomorphique
C. Carcinome muco-épidermoïde
D. Carcinome cystique adénoïde
E. Tumeur de Warthin
BE
103. Les tumeurs suivantes sont des tumeurs bénignes des glandes salivaires:
A. Carcinome cystique adénoïde
B. Adénome monomorphe
C. Carcinome muco-épidermoïde
D. Adénome Pleomorphique
E. Tumeur de Warthin
AC
104. Métastase parotide:
A. Les métastases lymphatiques proviennent du territoire drainé: cuir
chevelu, région auriculaire
B. Jamais rencontré en association avec un cancer de la peau dans le
territoire drainé
C. Les métastases lymphatiques proviennent du territoire drainé: le
cou et la région occipitale
D. Les métastases hématogènes proviennent du territoire drainé: cuir
chevelu, région auriculaire
E. Se rencontre en association avec le cancer de la peau dans le
territoire drainé
AE
Sujet 14
Le traitement chirurgical des anomalies dento-maxillaires sévères
105. *L'évaluation volumétrique de la chirurgie orthognatique se réfère à:
A. Micromandibulaire: petite mandibule, et combinant promandibular
et macrogenie
B. Macromandibulaire: grosse mandibule, combinant une rétrogenie
retromandibulaire
C. Développement transversal excessif du maxillaire
D. Micromaxillaire (compression du maxillaire): petite mâchoire,
combinant retro, infra et endomaxillaire
E. Déficit maxillaire horizontal: développement transversal
insuffisant du maxillaire
D
106. *L'analyse radiographique utilisée dans la chirurgie orthognatique est:
A. Radiographies céphalométriques sans radiographie panoramique
B. Seulement CBCT
C. CT et IRM conventionnels
D
18
D. Radiographies céphalométriques et radiographie panoramique,
avec ou sans autres examens radiographiques
E. Aucun de ce qui précède
107. Indication de la chirurgie orthognathique:
A. Anomalies sévères
B. Évangile orthodontique
C. La durée du traitement orthodontique a dépassé
D. Douleur orofaciale
E. Chirurgie traitant l'orthodontie
ABCE
108. Objectifs de la chirurgie orthognathique:
A. Équilibrer les arches dentaires
B. Faire de l'espace pour les implants dentaires
C. L'optimisation des fonctions
D. Développement phonétique normal et maintien de l'audition
normale
E. Obtenir une harmonie du visage
ACE
109. L'analyse céphalométrique consiste à:
A. Maxillaire et crâne
B. Oreilles, nez, menton
C. Mandibe et nez
D. Dents maxillaires et mandibulaires
E. Protéine du menton à la base de l'arcade dentaire mandibulaire
ADE
110. La phase chirurgicale du traitement orthogonal comprend le suivant à
l'exception:
A. Test de sang
B. Simulation
C. Fabrication d'attelles chirurgicales
D. Pulmonary Rx
E. Évaluation clinique et documentation des résultats imagistiques
AD
111. Parmi la classification des déformations dento-faciales, on trouve les suivantes
sauf:
A. bases anormales maxillaires et mandibulaires relation anormale
entre les anomalies cellulaires des arches dentaires;
B. anomalies structurelles des dents;
C. anomalies hystologiques au menton et au nez;
D. apearance hyperémique de la peau du visage;
E. position des yeux.
BCDE
112. Dans l'espace sagittal:
A. L'excès mandibulaire - position trop postérieure de la mandibule
B. La carence maxillaire - position antérieure du maxillaire
C. Déficit mandibulaire - position postérieure de la mandibule
D. Doigté au menton - menton postérieur
E. Excès de menton - position trop antérieure du menton
CDE
Sujet 15.
Les fentes labio-alvéolo-vélo-palatine
19
113. *Palatine est :
A. Un anormaly embryonnaire entre les 20-30ème
B. Un anormaly embryonnaire entre la 35ème
-45th
C. Un anormaly embryonnaire entre le 10ème
-15th
D. Un anormaly embryonnaire entre la 15ème
-20ème
E. Un anormaly embryonnaire entre the 25th-25
B
114. *Ce qui suit peut être dit à propos la distribution des fentes labio-palatines :
A. Fente labio-palatine 46 %
B. Fente palatine seulement 33 %
C. Une fente pour les lèvres, seulement 21 %
D. Toutes ces réponses
E. None of the above
D
115. *La bonne fréquence d’anomalie de la CLP est :
A. Fente labio-palatine 33 % ; Fente palatine seulement 46 % ; Une
fente pour les lèvres, seulement 21 %
B. Fente labio-palatine 33 % ; Fente palatine only21 % ; Une fente
pour les lèvres, seulement 46 %
C. Une fente labiale et palate46 % ; Fente palatine que 33 % ; Une
fente pour les lèvres, seulement 21 %
D. Fente palatine seulement 46 % ; Une fente pour les lèvres,
seulement 21 %
E. Une fente labiale et palate21 % ; Fente palatine que 33 % ; Une
fente pour les lèvres, seulement 46 %
C
116. Syndrome de Treacher Collins-dysostose mandibulofaciale contient :
A. Oreilles de Faun
B. Apparence de Cyclope
C. Malformation de la luette
D. Colobome des paupières inférieures et manque de cils
E. Hypoplasie malaire
DE
117. Le syndrome Goldenhar contient :
A. oeil-auriculo-vertébrale dysplasie
B. anomalies des organes génitaux externes
C. hypoplasie mandibulaire
D. agénésie des parathyroïdes
E. toutes ces réponses
AC
118. Syndrome de Shprintzen contient :
A. brides de peau entre le bassin et le talon
B. vélo-palatine
C. asymétrie faciale
D. hypoplasie du thymus
E. syndrome de la sangle poplitée
BD
119. Les pathologies suivantes sont associées de la CLP :
A. Trisomie 18
B. Trisomie 15
C. Syndrome de Edwards
D. Syndrome de Shprintzen
E. Trisomie 21
ACD
120. Ce qui suit est vrai au sujet du palais secondaire :
A. Fusion du processus maxillaire se produit entre la 5ème et 7ème
semaine embryonnaire
BE
20
B. Faute de fusion entre une cloison sagittale médiane et deux
partitions horizontales, étagères palatales
C. Fusion de processus maxillaire avec le processus nasal interne
D. La région nasale-labiale se forme devant l’incisive foramen
E. Fusion se produit entre l’embryon de la 7ème et la 12ème semaine
Sujet 16.
DOULEUR ORO-FACIALE
121. *La névralgie nerveuse du glosopharyge implique une douleur dans:
A. TMJ
B. Canal auditif interne
C. Troisième avant de la langue
D. Amygdale
E. Région de Maxilar
D
122. *Classification de la douleur orofaciale Sélectionnez la fausse réponse:
A. Tissus musculosquelettiques et mous
B. Dentoalveolar
C. Neurologique et vasculaire
D. Psychogène
E. Viscérale
E
123. *Parmi l'étiologie de la douleur oro-faciale, nous identifions ce qui suit à une
exception près:
A. Périphérique / centrale
B. Inflammation / irritation +/-
C. Demyelination +/-
D. Complication vasculaire ou nerveuse +/-
E. Vasodilatation
E
124. L'étiologie de la douleur orofaciale est
A. Périphérique / centrale
B. Inflammation / irritation +/-
C. Hipotension
D. Complication vasculaire ou nerveuse +/-
E. Vasodilatation
ABD
125. La classification de la douleur orofaciale est:
A. Étape aiguë
B. Étape subaiguë
C. Étape chronique (douleur de plus de 3 mois)
D. Étape chronique (douleur de plus de 9 mois)
E. Stade subaigu (douleur de plus de 4 mois)
AB
126. Médicaments utilisés pour traiter la névralgie du trijumeau:
A. Il n'y a pas de médicament efficace
B. Carbamazépine, diclofenac
C. Le traitement médicamenteux de premier choix consiste en 3
médicaments
D. Le traitement est toujours chirurgical
E. Carbamazépine, Lamotrigine, Baclofène
CE
21
127. L'évaluation diagnostique est faite sur:
A. Dates générales du patient
B. L'antécédents médicaux du patient
C. Les caractéristiques de la douleur
D. Les panneaux associés
E. Hauteur et poids
ABCD
128. Le traitement de la maladie d'Horton est:
A. corticostéroïdes,
B. thérapie immunosuppressive
C. Azithromycine,
D. methotrexate,
E. anti-ADN-a
ABD
Sujet 17. Stomatologie pediatrică (Stomatologie comportamentală pediatrică - pag. 43-57, 129-177; Elemente introductive în
pedodonție - pag. 62-81; Pedodonție, traumatisme dento-parodontale - pag. 29-50, 98-104, 111-
141; Pedodonție, distrofii dentare - pag. 20-48; Periodontologie pediatrică - pag. 43-54, 80-107;
Practica pedodontică - pag. 219-248, 207-216, 251-259, 261-280, cursuri de pe platformă)
129. *Parmi les caractéristiques de la période 3-6 ans NE sont PAS présentes les
suivantes:
A. égocentrisme
B. affectivité
C. absence du caractère imitatif dans l’action et le comportement
D. négativisme excessif épisodique
E. crainte auditive, optique, tactile
C La dynamiqu
e des particularités psycho-comportementales de l’enfant
pendant la première et la deuxième enfance S 46 Stomatologie
comportamentală, pg.50
130. *Les dents temporaires mandibulaires entrent en éruption avant les
maxillaires, avec une exception:
A. les incisives centrales
B. les incisives latérales
C. les canines
D. les premières prémolaires
E. les deuxièmes molaires
B Practica pedodontică, pg. 56
131. *L`ordre d`éruption de dents permanentes maxillaires est:
A. 6, 1, 2, 3, 4, 5, 7, 8
B. 1, 6, 2, 3, 5, 4, 7, 8
C. 6, 1, 2, 4, 5, 3, 7, 8
D. 6, 1, 2, 4, 3, 5, 7, 8
C Practica pedodontică, pg. 60
22
E. 6, 1, 2, 4, 5, 3, 8, 7
132. La première classe de l`échelle de valeurs comportementales du Frankl est
caractérise par:
A. l’enfant est geignard
B. l’enfant accepte le traitement
C. l’enfant refuse le traitement
D. l’enfant respecte les réunions de traitement
E. l’enfant est terrifié
ACE Développement de l’enfant et approche comportementale au cabinet
dentaire S 17 Stomatologie comportamentală, pg. 136
133. L’utilisation de la méthode HOM (hand-over-mouth) n’est pas recommandée
chez:
A. les enfants trop petits
B. les enfants avec déficit psycho mental
C. les enfants trop grands
D. les adultes
E. les enfants sans déficit psycho mental
AB Développ
ement de l’enfant et approche comportementale au cabinet dentaire S 16
Stomatologie comportamentală, pg. 163
134. Apres Fortier JP et DEMARS C (1983), la pathologie pulpaire et pulpo-
parodontale des dents temporaires peut prendre les formes cliniques suivantes :
A. le syndrome du septum
B. le syndrome dentaire Turner
C. la nécrose pulpaire sans pathologie parodontale
D. la pathologie du furcation
E. nécrose pulpaire avec pathologie parodontale
ACDE Practica pedodontică, pg.
222
135. Parmi les facteurs généraux qui influencent l’éruption dentaire NE fait PAS
partie suivantes:
A. les traumatismes des dents temporaires
B. l’extraction prématurée des dents temporaires
C. les anomalies chromosomiques
D. les fièvres éruptives
E. SNC
AB Practica pedodontică, pg. 51
136. La classification de MAGITOT des dystrophies dentaires primaires
cicatricielles (stable) comprend les suivantes:
A. de nombre
B. de volume
C. la dysplasie dentaire
D. de structure
E. le syndrome dentaire Moser
ABD Pedodonție, distrofii
dentare, pg. 20
23
Sujet 18.
Le rôle des facteurs fonctionnels dans la formation de l’appareil dento-maxillaire
137. *Le fort développement de la région angulaire de la mandibule se produit
grâce à l’activité intense des muscles
A. masséter et ptérygoïdien interne
B. masséter et ptérygoïdien externe
C. masséter et mylo-hyoidïen
D. masséter et mylo-hyoidïen
E. ptérygoïdien externe et interne
A Gh.
Boboc,
Pg. 405
138. *L’équilibre entre la morphologie du squelette et celle musculaire est :
A. immobile
B. temporaire
C. absolu
D. relatif
E. permanent
D Gh.
Boboc,
Pg. 411
139. L’interposition de la lèvre inférieure peut conduire
à l’apparition de :
A. La prodontie supérieure
B. La prodontie inférieure
C. La rétrodentie supérieure
D. La rétrodentie inférieure
E. La biprodontie
AD Gh.
Boboc,
Pg. 443
140. Les interpositions hétérotropes présupposent l’inter-
position entre les arcades dentaires :
A. Des éléments n’appartenant pas à l’appareil dento-maxillaire
B. Des éléments appartenant à l’appareil dento-maxillaire
C. Des doigts
D. Du crayon
E. De la langue
ACD Gh.
Boboc,
Pg.437
141. Pour qu’une anomalie dento-maxillaire se produise à cause des habitudes
vicieuses, plusieurs conditions doivent être remplies portant sur :
A. L’intensité de l’habitude vicieuse
B. La durée de l’habitude vicieuse
C. La fréquence de l’habitude vicieuse
D. Le facteur terrain- terrain déformable constitutionnellement
E. Aucune des réponses précédentes n’est correcte
ABCD Gh.
Boboc,
Pg 444
Sujet 19.
Le développement de l’occlusion dentaire
142. *Pendant le développement de l’occlusion dentaire il se produit :
A. la première augmentation de l’occlusion
B. la première mésialisation de la mandibule
C. la troisième augmentation de l’occlusion
D. la seconde mésialisation de la mandibule
E. la seconde augmentation de l’occlusion
E Doroba
t,
Stanciu
, pg. 45
143. *Lors de la période prédentaire il se produit normalement: E Doroba
24
A. la seconde augmentation de l’occlusion
B. la seconde mésialisation de la mandibule
C. la troisième augmentation de l’occlusion
D. la première augmentation de l’occlusion
E. la première mésialisation de la mandibule
t,
Stanciu
,, pg 38
144. Laquelle des affirmations suivantes N’est pas vraie:
A. l’éruption dentaire se déroule dans un intervalle cyclique dont la
moyenne est de 12 mois
B. lors du premier an de vie les crêtes alvéolaires gagnent en grosseur
et en hauteur grâce au développement des bourgeons dentaires
C. au moment de l’éruption les incisives inférieures exécutent un
mouvement vers le lingual en diminuant le périmètre de l’arcade
D. l’attrition dentaire conduite à la seconde mésialisation de la
mandibule
E. les incisives centrales inférieures poussent en position linguale par
rapport à celles temporaires
AC Doroba
t,
Stanciu
, pg.40-
42
145. Le plan post-lactéal:
A. dans la marche mésiale conduit à un rapport mésialisé
B. dans la marche légèrement mésialisée offre un rapport cuspide
dans le fossé intercuspides
C. dans la marche mésiale offre un rapport cuspide à cuspide
D. en ligne droite offre un rapport cuspide à la cuspide de la molaire 1
E. dans la marche distalisée conduit à une relation occlusale distalisée
au niveau de la mollaire
ABDE Doroba
t,
Stanciu
, Pg. 43
146. L’éruption de la molaire 1 permanente:
A. produit la seconde augmentation de l’occlusion
B. modifie la forme de l’arcade
C. par la poussée mésialisante ne réduit pas l’espace primé
D. modifie la longueur de l’arcade
E. modifie la forme de l’arcade de demi-ellipse en demi-cercle
ABD Doroba
t,
Stanciu
, Pg 45
Sujet 20.
L’étiopathogénie des anomalies dento-maxillaires
147. *Le syndrome de Pierre- Robin se caractérise par, sauf:
A. micro-rétrognathie mandibulaire
B. fentes palatines
C. inverse avant d'occlusion
D. ostéo- dystrophie musculaire
E. glossoptose
C Zegan,
Pg.85
148. *La perte prématurée des dents temporaires peut avoir les conséquences
suivantes, sauf:
A. Des troubles sévères tridimensionnels dans l’arcade dentaire
B. Des incongruences dento-alvéolaires
C. Des suréruptions des dents antagonistes
D. L’absence des engrenages inverses
E. Des contacts et des interférences occlusales
D Doroba
t,
Stanciu
, Pg 74
25
149. Dans les patients avec le syndrome de Turner on peut observer les aspects
suivants :
A. rétrognathisme mandibulaire
B. anomalies dentaire de nombre
C. occlusion mésialisée
D. anomalies dentaires de forme
E. prognathisme mandibulaire
ABD Zegan,
pg. 85
150. Dans les patients avec le syndrome de Turner on peut observer les aspects
suivants :
A. rétrognathisme mandibulaire
B. hypertélorisme
C. facies rond
D. prognathisme mandibulaire
E. occlusion distalisée
ABCE Zegan,
pg. 85
151. Les retards dans l’éruption des dents permanentes peuvent être provoqués par :
A. Des modèles génétiques
B. Des facteurs tératogènes
C. Des causes générales
D. Des barrières fibreuses
E. Des barrières osseuses
ADE Doroba
t,
Stanciu
, Pg 75
Sujet 21.
La classification des anomalies dento-maxillaires
152. *La 1ère
division de la classe II se caractérise par:
A. Rapport distalisé bilatéral et occlusion profonde couverte
B. Rapport mésialisé bilatéral et occlusion profonde en couverture
C. Rapport distalisé bilatéral et occlusion ouverte
D. Rapport distalisé unilatéral et occlusion profonde en couverture
E. Rapport distalisé bilatéral et occlusion profonde en couverture
E Doroba
t,
Stanciu
, Pg. 78
153. *La 2ème
division de la classe II se caractérise par:
A. Rapport distalisé bilatéral et occlusion profonde couverte
B. Rapport mésialisé bilatéral et occlusion profonde couverte
C. Rapport distalisé bilateral et occlusion ouverte
D. Rapport distalisé unilatéral et occlusion ouverte
E. Rapport distalisé bilatéral et occlusion profonde en couverture
A DS, Pg.
78
154. Le syndrome à compression de maxillaire tel qu’il est classifié par l’école
allemande présente les variantes suivantes :
A. De conduite forcée
B. Protrusion avec écartement
C. Avec occlusion profonde couverte
D. Avec pressage
E. Protrusion sans écartement
BDE Doroba
t,
Stanciu
, Pg. 79
155. L’école allemande classifie les malocclusions en :
A. Syndrome à compression du maxillaire
B. Disharmonies
C. Syndrome à l’occlusion croisée
ACD Doroba
t,
Stanciu
, Pg.
26
D. Syndrome de progénie
E. Syndrome d’occlusion profonde en couverture
79,80
156. Le syndrome de progénie tel que décrit par l’école allemande peut être :
A. De conduite condylienne
B. De conduite forcée
C. Faux (prognathisme mandibulaire)
D. Vrai
E. Faux (rétrognathisme maxillaire)
BDE Doroba
t,
Stanciu
, Pg. 80
Sujet 22.
L’examen radiologique dans l’orthodontie
157. La rotation mandibulaire postérieure se caractérise par :
A. étage inférieur augmenté
B. angle goniaque ouvert
C. étage inférieur diminué
D. condyle mandibulaire robuste, développé en haut et en avant
E. tendance d’occlusion profonde
AB Zegan,
Pg 61
158. Les plans de référence utilisés dans l’interprétation de la téléradiographie de
profil sont les suivantes:
A. Le plan de Frankfurt- Po-Or
B. Le plan de la base du crâne- Po-Or
C. Le plan basal mandibulaire- Nsa-Nsp
D. Le plan basal maxillaire- Nsa-Nsp
E. L’axe Y de croissance- S-N
AD Doroba
t,
Stanciu
, Pg155
159. *Le point Gn (sur la téléradiographie de profil) est:
A. Le point le plus inférieur de la symphyse mentonnière
B. Le point le plus antérieur de la symphyse mentonnière
C. Le point le plus postérieur de la symphyse mentonnière
D. Le point le plus antérieur et inférieur de la symphyse mentonnière
E. Le point le plus inférieur et postérieur de la symphyse mentonnière
D Doroba
t,
Stanciu
, Pg154
160. Dans l’analyse par téléradiographie de profil, les 3 côtés du triangle de Tweed
sont représentés par :
A. Le plan de Frankfurt
B. Le plan de Simon
C. L’axe de l’incisive supérieure
D. Le plan mandibulaire
E. L’axe de l’incisive inférieure
ADE Doroba
t,
Stanciu
, Pg163
161. A propos de la distance Ao-Bo sont vraies les affirmations suivantes :
A. Représente le décalage interbasal sagittal absolu
B. Est en relation directe avec les angles SNA, SNB
C. Représente le décalage interbasal sagittal relatif
D. Est inversement proportionnel par rapport à l’angle ANB
E. Complète la notion de classe squelettique
ABE Doroba
t,
Stanciu
, Pg164
27
Sujet 23.
La malocclusion classe II/1
162. *La malocclusion de IIème
classe de Angle division 1 se caractérise par un
rapport molaire bilatéral:
A. neutral et occlusion profonde
B. mésialise et occlusion inverse frontale
C. distalisé et occlusion profonde en couverture;
D. vestibularisé et occlusion profonde couverte
E. lingualisé et occlusion ouverte frontale
C Zegan,
pg 183
163. *Le facteur étiopathogène dysfonctionnel de la malocclusion de IIème
classe
division 1 est:
A. le rachitisme
B. le nanisme hypophysaire
C. le syndrome de Marfan
D. le syndrome lingual protrusif antérieur incomplet
E. la perte prématurée des dents temporaires dans la zone d’appui
D Zegan,
pg 184
164. Dans les anomalies dento-maxillaires de IIème
classe de Angle, subdivision 1
les modifications suivantes de la base alvéolaire par rapport à la base coronaire
de l’arcade se produisent:
A. La base apicale est petite
B. La base apicale est grande
C. La base coronaire est large
D. La base coronaire est étroite
E. Aucune des réponses n’est correcte
AC Doroba
t,
Stanciu
, pg.
385
165. L’aspect facial dans l’anomalie de IIème
classe de Angle, subdivision 1 se
caractérise par:
A. Des téguments pâles
B. La lèvre supérieure est grosse
C. La lèvre supérieure est mince
D. Fente labiale entrouverte
E. Mentalis hypertonique
ACDE Doroba
t,
Stanciu
, pg.
383
166. Dans les anomalies dento-maxillaires de IIème
classe de Angle, subdivision on
observe:
A. L’hypotonie uni- ou bilatérale des muscles des narines
B. L’hypertonie uni- ou bilatérale des muscles des narines
C. L’hypertonie du muscle mentonnier
D. L’hypertonie de la lèvre inférieure
E. L’hypotonie de la lèvre inférieure
ACD Doroba
t,
Stanciu
, pg
385-
386
Sujet 24.
La malocclusion classe II/2
167. *La malocclusion de IIème
classe de Angle division 2 se caractérise par un
rapport molaire bilatéral:
A. neutral et occlusion profonde
B. mésialise et occlusion inverse frontale
C Zegan,
pg 189
28
C. distalisé et occlusion profonde en couverture;
D. vestibularisé et occlusion profonde couverte
E. lingualisé et occlusion ouverte frontale
168. *Les facteurs étiologiques dysfonctionnels de la malocclusion de IIème
classe
division 2 sont:
A. génétiques
B. fonctionnels
C. constitutionnels
D. généraux
E. locaux
A Doroba
t,
Stanciu
, pg
396
169. Dans la malocclusion de classe II/2 Angle on peut rencontrer:
A. La diminution des diamètres prémolaires et molaires
B. Rétrodontie avec surrecouvrement du groupe incisif
C. De différents degrés d’écartement dentaire
D. Occlusion ouverte
E. De différents degrés d’agglomération dentaire
ABE Doroba
t,
Stanciu
, pg
398
170. Dans la malocclusion de classe II/2 Angle on peut rencontrer les signes
cliniques suivants:
A. Fosse labiomentonnière effacée
B. L’étage inférieur du visage surdimensionné
C. Menton aplati
D. La fente labiale fermement fermée
E. Fosse labiomentonière accentuée
DE Zegan,
pg 190
171. Dans la malocclusion de classe II/2 Angle on peut observer de divers degrés
d’abrasion sur :
A. La face vestibulaire des incisives supérieures
B. La face vestibulaire des incisives inférieures
C. La face linguale des incisives inférieures
D. La face palatinale des incisives supérieures
E. Toutes les réponses sont correctes
BD Doroba
t,
Stanciu
, pg.
398
Sujet 25.
La malocclusion de Classe III
172. *La malocclusion de classe III se caractérise par:
A. des rapports distalisés et occlusion en couverture
B. des rapports mésialisés et occlusion inverse frontale
C. des rapports distalisés et occlusion couverte
D. des rapports normaux et agglomération frontale
E. aucune des réponses n’est correcte
B Doroba
t,
Stanciu
,
Pg.405
173. *Dans la malocclusion de III à l’examen par téléradiographie l’on met en
évidence:
A. l’angle SNA supérieur à 800
B. l’angle SNB inférieur à 780
C. l’angle SNA inférieur à 800
D. l’angle ANB positive
E. aucune des réponses n’est correcte
C Doroba
t,
Stanciu
, Pg.
406
29
174. Lors de l’examen facial dans la malocclusion de classe III on observe:
A. le visage aplati
B. les joues foncées
C. le profil convexe
D. le profil concave
E. le profil droit
ABD Doroba
t,
Stanciu
,
Pg.406
175. Dans la malocclusion de classe III avec voie de clôture dans la marche
mésialisée les secteurs dento-alvéolaires frontaux responsables du guidage
inverse se caractérisent par:
A. proalvéolodontie inférieure
B. rétroalvéolodontie supérieure
C. proalvéolodontie supérieure
D. rétroalvéolodontie inférieure
E. aucune des réponses n’est correcte
AB Doroba
t,
Stanciu
, Pg
408
176. L’aspect facial dans le prognathisme mandibulaire anatomique se caractérise
par:
A. profil concave
B. la marche labiale inversée
C. l’aspect dur, volontaire du visage
D. profil convexe
E. facies aplati
ABCE Zegan,
pg 207
Sujet 26.
Le syndrome d’inoclusion verticale
177. *Les phonèmes dentaux perturbés dans le syndrome d’inoclusion verticale
sont:
A. ‘’B’’
B. ‘’D’’ et ‘’T’’
C. ‘’M’’ et ‘’T’’
D. ‘’D’’
E. ‘’C’’ et ‘’T’’
B Doroba
t,
Stanciu
, Pg
431
178. *Les troubles musculaires dans le syndrome d’occlusion ouverte apparaissent
le plus souvent au niveau du muscle :
A. ptérygoïdien interne
B. masséter
C. buccinateur
D. ptérygoïdien externe
E. aucune des réponses n’est correcte
D Doroba
t,
Stanciu
, Pg
433
179. Lesquelles des modifications physionomiques suivantes sont présentes dans le
syndrome d’occlusion ouverte :
A. facies hyperleptoprosope
B. fente labiale fermée sans effort
C. fosse labio-mentonnière effacée
D. fosse labio-mentonnière accentuée
E. profil disharmonieux caractéristique
ACE Doroba
t,
Stanciu
, Pg
434-
435
180. Les troubles de développement du massif facial dans le syndrome d’occlusion ABCE Doroba
30
ouverte sont à trouver au niveau de :
A. la base du crâne
B. la mandibule
C. le maxillaire supérieur
D. les dents
E. les processus alvéolaires
t,
Stanciu
, Pg
436-
438
181. Dans l’inocclusion verticale frontale l’action du facteur génétique apparait
dans :
A. le rachitisme
B. le syndrome de Down
C. les condrodystrophies
D. la persistance de la déglutition de type infantile
E. aucune des réponses n’est correcte
BC Doroba
t,
Stanciu
, Pg
419
Sujet 27.
Anomalies du système dentaire
182. *La transposition dentaire complète implique:
A. l’inversement partiel sur l’arcade de deux dents voisines
B. l’éruption d’une dent loin de l’arcade dentaire
C. l’inversement partiel de la place sur l’arcade de deux dents
antagonistes
D. l’inversement total de la place sur l’arcade de deux dents voisines
E. la persistance à l’intérieur de l’os d’une dent avec la racine
complètement formée et l’apex fermé
D Zegan,
Pg 168
183. *Les dents surnuméraires poussées ne produisent pas :
A. l’inclusion des dents normales de série
B. des malpositions dentaires
C. des déséquilibres occlusaux
D. la rhizalyse radiculaire pathologique des dents antagonistes
E. le diastème pathologique
D Zegan,
Pg 158
184. Dans l’étiopathogénie de la transposition dentaire les facteurs locaux suivants
sont impliqués :
A. des troubles de replacement de la dent temporaire
B. des troubles dans la formation des germes dentaires
C. des séquences d’éruption inversées
D. des traumatismes dentaires
E. des retards dans l’éruption dentaire
ABCE Zegan,
Pg 168
185. Le diagnostique différentiel de l’hétérotopie se fait par :
A. l’éruption dentaire tardive
B. l’inclusion dentaire
C. l’ectopie
D. l’extraction dentaire
E. l’hypodontie
ABCE Zegan,
Pg 168
186. Le traitement chirurgical–orthodontique de l’inclusion dentaire implique :
A. créer de l’espace sur l’arcade
B. éliminer les causes étiologiques
ABCD Zegan,
Pg 167
31
C. mettre à découvert par chirurgie de la dent incluse
D. ancrer et tracter la dent vers l’arcade dentaire
E. réimplanter la dent
Sujet 28.
L’examen clinique dans l’orthodontie
187. *L’examen clinique facial du patient évalue:
A. les maladies chroniques générales
B. l’indication générale du traitement orthodontique
C. l’égalité des étages du visage
D. le développement psychique
E. l’instauration de la puberté
C Zegan,
pg 101
188. *L’examen clinique fonctionnel du patient:
A. détermine la normalité ou l’anormalité des fonctions de l’appareil
dento-maxillaire
B. dépiste des parafonctions
C. dépiste des habitudes vicieuses
D. toutes les réponses sont correctes
E. aucune des réponses n’est correcte
D Zegan,
pg 105
189. Lors de l’examen clinique facial on peut observer les types faciaux suivants :
A. Euryprosope
B. Mésocéphale
C. Mésoprosope
D. Brachycéphale
E. Leptoprosope
ACE Zegan,
pg 100
190. Lors de l’examen clinique facial on peut observer les types céphaliques
suivants :
A. Euryprosope
B. Mésocéphale
C. Mésoprosope
D. Brachycéphale
E. Leptoprosope
BD Zegan,
pg 100
191. La fonction respiratoire peut être évaluée à l’aide des tests fonctionnels
suivants :
A. Demander 35 inspirations rythmiques
B. Demander inspiration et expiration profondes
C. Pincer les narines
D. Demander 20 inspirations rythmiques
E. Le test du miroir
BCDE Zegan,
pg 105
Sujet 29.
L’analyse du modèle d’étude dans l’orthodontie
192. *Les valeurs normales de la somme incisive varient entre: A Zegan,
32
A. 28-35 mm
B. 22-34 mm
C. 27-37 mm
D. 26-39 mm
E. 28-38 mm
pg 111
193. *Dans l’analyse Pont des modèles d’étude, on calcule la somme incisive par
mesurer à l’aide du compasse la dimension la plus grande mésio-distale
coronaire de :
A. Les quatre incisives inférieures
B. Les deux incisives centrales supérieures
C. Les deux incisives centrales inférieures
D. Les quatre incisives supérieures
E. Les quatre incisives inférieures et les quatre incisives supérieures
D Zegan,
pg 111
194. Dans l’analyse Pont des modèles d’étude, la largeur antérieure maxillaire :
A. Représente la distance entre les points de repère des premières
molaires supérieures
B. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/80
C. Représente la distance entre les points de repère des deuxièmes
molaires supérieures
D. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/64
E. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/65
AB Zegan,
pg 111
195. Dans l’analyse Pont des modèles d’étude, la largeur postérieure maxillaire :
A. Représente la distance entre les points de repère des premières
molaires supérieures
B. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/80
C. Représente la distance entre les points de repère des deuxièmes
molaires supérieures
D. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/64
E. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/85
AD Zegan,
pg 111
196. Dans l’analyse Pont des modèles d’étude, la largeur postérieure mandibulaire :
A. Représente la distance entre les points de repère des premières
molaires supérieures
B. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/80
C. Représente la distance entre les points de repère des deuxièmes
molaires supérieures
D. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/64
E. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/85
CD Zegan,
pg 111
Sujet 30.
Principes dans la thérapie orthodontique
197. *La classification du traitement orthodontique selon les moyens utilisés inclut:
A. le traitement prophylactique, interceptif et curatif
B. le traitement biomécanique, fonctionnel et chirurgical
C. le traitement précoce, normal et tardif
D. le traitement étiologique et morpho-fonctionnel
E. le traitement morpho-fonctionnel et chirurgical
B Zegan,
pg 226
33
198. *L’ingression est un déplacement dentaire :
A. sur l’axe long, vers le plan d’occlusion
B. de translation de la dent
C. autour de l’axe long radiculaire
D. sur l’axe long, vers la base maxillaire
E. d’inclinaison de la dent
D Zegan,
pg 249
199. Selon leur intensité on classifie les forces orthodontiques en :
A. Forces extraorales
B. Forces faibles
C. Forces intraorales
D. Forces moyennes
E. Forces intermittentes
BD Zegan,
pg 246
200. Selon leur rythme d’application on classifie les forces orthodontiques en :
A. Forces extraorales
B. Forces continuelles
C. Forces intraorales
D. Forces moyennes
E. Forces intermittentes
BE Zegan,
pg 246
201. La version est un déplacement dentaire :
A. d’inclinaison de la dent
B. de translation de la dent
C. où la couronne et la racine se déplacent simultanément, mais en
des sens contraires
D. sur l’axe long, vers la base maxillaire
E. sur l’axe long, vers le plan d’occlusion
AC Zegan,
pg 248
Sujet 31.
Appareils orthodontiques amovibles
202. *L’arc de Coffin agit de la manière suivante :
A. Expansion radiale de l’arcade maxillaire
B. Expansion asymétrique de l’arcade maxillaire
C. Distalisation des dents du côté latéral maxillaire
D. Mésialisation des dents du côté latéral mandibulaire
E. La dérotation des dents du côté frontal maxillaire
A Zegan,
pg 267
203. *La vis orthodontique développe des forces orthodontiques:
A. Moyennes et continuelles
B. Faibles et intermittentes
C. Moyennes et intermittentes
D. Faibles et continuelles
E. Faibles et moyennes
C Zegan,
pg 267
204. Les éléments d’ancrage des appareils biomécaniques amovibles sont :
A. Le crochet de Stahl
B. Le crochet de Adams
C. L’arc en croissant
D. L’écran vestibulaire
E. L’arc de Coffin
AB Zegan,
pg 264-
265
34
205. L’arc en double boucle est recommandé dans:
A. La palato-version de l’incisive
B. La vestibulo-version de l’incisive
C. La rotation de l’incisive
D. La mésialisation de l’incisive
E. L’ectopie de l’incisive
AC Zegan,
pg 270
206. Les affirmations suivantes sur la plaquette de Schwarz sont vraies:
A. Est un appareil amovible mixe
B. Est indiquée dans la compression symétrique de maxillaire avec
rétroposition mandibulaire fonctionnelle
C. Est formée de la plaque palatine et d’un plan incliné vers l’avant
D. Est formée de la plaque linguale et d’un plateau rétroincisal
E. Est indiquée dans le prognathisme mandibulaire fonctionnel
ABC Zegan,
pg 273
Sujet 32.
Appareils orthodontiques fonctionnels
207. *Les affirmations suivantes sur le régulateur Frankel de type III sont vraies, à
une seule exception:
A. est un activateur élastique
B. est recommandé pour corriger malocclusion de classe III par
causes fonctionnelles dans la dentition mixte
C. est recommandé pour corriger la malocclusion de classe II/2 par
causes fonctionnelles dans la dentition mixte
D. est un activateur myodynamique
E. son principe d’action a à la base le concept de récupération de
l’espace oral fonctionnel
C Zegan,
pg 285
208. *Le monobloc de Robin présente les caractéristiques suivantes, à une seule
exception:
A. est un appareil fonctionnel amovible
B. est un appareil fonctionnel bimaxillaire
C. est un appareil fonctionnel élastique
D. est un appareil fonctionnel passif
E. est un appareil fonctionnel rigide
C Zegan,
pg 280
209. Selon les effets produits sur les groupes de muscles, on classifie les appareils
fonctionnels dans:
A. appareils myotoniques
B. appareils actifs
C. appareils passifs
D. appareils myodynamiques
E. appareils bimaxillaires
AD Zegan,
pg 278
210. Selon leur siège, on classifie les appareils fonctionnels dans :
A. appareils myotoniques
B. appareils oraux
C. appareils passifs
D. appareils myodynamiques
E. appareils vestibulaires
BE Zegan,
pg 278
35
211. Selon leur manière d’agir, on classifie les appareils fonctionnels dans:
A. appareils myotoniques
B. appareils actifs
C. appareils passifs
D. appareils myodynamiques
E. appareils bimaxillaires
BC Zegan,
pg 277
Sujet 33.
La contention et la récidive dans l’orthodontie
212. *La durée de la période de contention est influencée par plusieurs facteurs,
sauf:
A. Le type constitutionnel du patient
B. Le type de développement facial du patient
C. L’âge de traitement de la malocclusion
D. La durée du traitement actif orthodontique
E. Le sexe du patient
E Zegan,
pg 376
213. *La durée de la période de contention est influencée par plusieurs facteurs,
sauf:
A. Le type constitutionnel du patient
B. Les antécédents hérédo-collatéraux
C. La durée du traitement actif orthodontique
D. Le type de développement facial du patient
E. L’âge de traitement de la malocclusion
B Zegan,
pg 376
214. Les causes générales de la récidive sont les suivantes:
A. Le type constitutionnel du patient
B. Le type facial du patient
C. L’éruption des molaires de sagesse
D. L’emplacement des dents à l’extérieur de la base osseuse
E. Les troubles endocrines du patient
ABE Zegan,
pg 375
215. Les causes générales de la récidive sont les suivantes:
A. Le type facial du patient
B. Le type de développement facial du patient
C. L’emplacement des dents à l’extérieur de la base osseuse
D. Le type constitutionnel du patient
E. L’hypocorrection de la malocclusion
ABD Zegan,
pg 375
216. Les causes locales de la récidive sont les suivantes:
A. Le type facial du patient
B. La modification de la distance entre les canines
C. L’emplacement des dents à l’extérieur de la base osseuse
D. Le type constitutionnel du patient
E. L’hypocorrection de la malocclusion
BCE Zegan,
pg 375
Sujet 34.
Tratamentul cariei dentare
36
Bibliografie: Suport de curs si TP în varianta electronică tema 34
217. Ecartement de la dentine infiltré dans les cavités profondes se fait avec :
A. excavateurs et cuillères Black pointu
B. des fraises sphériques dans acier, avec refroidissement par air et
basse
C. des fraises sphériques dans carbure de avec refroidissement par air
et basse
D. avec ciseaux de dentine pointue
E. n’importe quel instrument à main émoussé
ABC 7
218. *LASER est utilisé pour enlever la dentine modifié, présente les avantages
suivants:
A. on peut renoncer à l'anesthésie, même dans des cavités profondes
B. est exclus le bruit des fraises
C. travaillant sans contact direct
D. absent la pression et les vibrations
E. toutes variantes correctes
E 8
219. Aujourd'hui, des cavités conservatrices modernes exigent que l'extension
préventive de faire nuancée par:
A. risque cariogène de patient
B. niveau d'hygiène bucco-dentaire
C. habitudes alimentaires (diète)
D. l'âge du patient
E. la profondeur de la cavité
ABC 9
220. La forme de rétention dans les obturations à l'amalgame, de la préparation
traditionnelle, est réalisée par :
A. parois parallèles
B. planchers horizontaux
C. parois convergeant vers le occlusal
D. les biseaux des marges
E. des cavités supplémentaires
ABCE 12
221. Finition des bords de la cavité se produit en fonction de la:
A. la direction des prismes d'émail
B. risque cariogène
C. localisation des bords
D. matériau de restauration choisi
E. la matrice choisie pour de restauration
ACD 21
222. *Les contre-indications d'utilisation des amalgames dans le traitement des
caries de fissures sont les suivantes:
A. quand on ne peut pas obtenir des conditions d'isolement parfait
B. chez les patients ayant une mauvaise hygiène
C. caries cavitaires de grandes dimensions
D. antécédents de réactions adverses du tip lichen plan
E. multiples contactes occlusales sur la surface de la future obturation
D 12
223. Dans le cas des cavités de la classe II Black, de condition obligatoire pour
réaliser la cavité proximo-occlusale limitée, sont:
A. l'absence de grandes lésions carieuses ou des restaurations
incorrectes sur la surface occlusales
B. une résistance accrue à la carie
C. une bonne hygiène buccale du patient
ABC 15
37
D. lésions à grande amplitude
E. zone sans stress occlusal
224. Brunissage d`obturation de amalgame se fait:
A. avec des brunissoirs parfaitement poli
B. immédiatement après le modelage d`obturation, mais pas avant de
renforcement l'amalgame
C. en déplaçant l'instrument avec une légère pression à partir du
centre vers la périphérie d`obturation
D. en déplaçant l'instrument parallèle avec le bord d`obturation
E. en déplaçant l'instrument à partir du bord vers obturation
ABC 23
Sujet 35. Etiologia şi patogenia cariei dentare.
(Bibliografie: Suport de curs).
225. La maladie carieuse:
A. est considérée comme une maladie infectieuse
B. est irréversible même dans les premiers stades de lésions
C. affecter non spécifiquement toute surface dentaire exposée à
l'environnement oral
D. est un processus dynamique
E. a toutes les caractéristiques énumérées ci-dessus
AD 2
226. pH salivaire:
A. est normalement maintenue à des valeurs proches de la neutralité
B. est identique au pH de la plaque bactérienne
C. n`est pas affectée par la nourriture
D. est 5,5 en repos chez les patients ayant une carioactivité réduit
E. varie en fonction de l'âge et la santé générale
AE 24
227. *La plupart de la capacité tampon salivaire est fourni par :
A. système peroxydase-tiocianate
B. système bicarbonate
C. lysozyme
D. glycoprotéines salivaire
E. ions de calcium
B 24
228. Lysozyme salivaire:
A. inhiber la précipitation de phosphate de calcium dans l'émail et
substituts dentaire
B. a été couplé avec divers anions salivaire pour former un complexe
qui se lie à la paroi cellulaire bactérienne
C. activé auto -lysines qui détruire la paroi cellulaire bactérienne
D. peut provoquer une agrégation bactérienne
E. stimule le métabolisme intermédiaire glucidique bactérien
BCD 47
229. Dans les composés organiques salivaires avec une activité prépondérante
antibactérienne sont:
A. lactoferrine
B. peroxydase
C. glycocalix
D. énolase
ABE 46,48
38
E. immunoglobulines A sécrétoire
230. Immunoglobulines A- sécrétoire dans la salive inhibe adhésion bactérienne par
la capacité:
A. de stimule la glycolise bactérienne
B. à se lier à de surface des adhésines bactériennes
C. pour neutraliser la charge négative de la surface bactérienne
D. à neutraliser l'action des enzymes (GTF)
E. pour stimuler la co-agrégation
BCD 50
231. Dans composés organiques salivaires qui jouent un rôle majeur dans la
reminéralisation comprennent:
A. statérine
B. protéines riches en proline
C. histamines
D. cistatines
E. amylases
ABCD 41-45
232. *Le pH critique salivaire est:
A. 5,2
B. 7
C. 4
D. 3
E. 10
A 24
TESTE LICENTA - ENDODONTIE, FR
Bibliographie:
1. Anca Melian, Mihaela Salceanu, Endodontie Clinique, Maison d’edition “Gr.T.Popa”,
U.M.F. Iași, 2014
2. J.C.Hess. Enseignement d’Odontologie Conservatrice. Clinique Endodontique,tome 3.
Pathologie et Therapeutique Pulpo-Dentinaires. Maloine s.a.Editeur Paris, 1985
Sujet 36.
Formes anatomo-cliniques: pulpites réversibles et irréversibles
233. *Dans la pulpite séreuse partielle :
A. la percussion en axe est douloureuse;
B. la percussion transversale est douloureuse;
C. la percussion verticale est positif
D. aux tests de vitalité la réponse d’intensité accrue est intensément
positive, avec une douleur prolongée.
E. les tests de vitalité répondent seulement aux stimuli;
D 73
234. *La symptomatologie subjective dans la pulpite séreuse totale est dominée
par :
A. crises douloureuses violentes alternant avec des périodes de
rémissions;
B. la présence d’un processus carieux profond;
C. la tendance d’irradier la douleur
D. le caractère pulsatile de la douleur;
E. la percussion en axe positive;
C 75
39
235. Le diagnostic positif de l’hypérémie pré inflammatoire :
A. la persistance de la douleur quelques minutes avant que l’excitant
cesse, localisée, provoquée surtout au froid et au doux, l’existence
d’un processus carieux profond, non-pénétrant ou des traitements
récents sur la dent en cause, tests de vitalité positifs
B. la persistance de la douleur pendant 30-40 min. après que l’excitant
cesse, localisée, provoquée surtout par la chaleur, l’existence d’un
processus carieux, non-pénétrant ou traitements récents sur la dent
en cause, tests de vitalité positifs ;
C. l’existence d’un processus carieux profond, non-pénétrant ou des
traitements récents sur la dent en cause, tests de vitalité positifs;
D. la persistance de la douleur 25-30 min, après l’arrêt de l’excitant,
localisée, provoquée surtout au chaud, l’existence d’un processus
carieux profond, pénétrant, percussion dans l’axe positive;
E. la persistance de la douleur tant que l’excitant agit, localisée,
provoquée surtout par le froid et douce, l’existence d’un processus
carieux profond, non-pénétrant ou des traitements récents sur la
dent en cause, tests de vitalité positifs.
AC 71
236. Indications de traitement dans l’hyperémie pré inflammatoire:
A. le traitement de la carie dentaire et coiffage indirect;
B. le traitement de la carie dentaire et coiffage direct dans un temps,
au cas de l’ouverture accidentelle de la chambre pulpaire;
C. le traitement de la carie dentaire et coiffage direct en deux temps,
au cas de l’ouverture accidentelle de la chambre pulpaire;
D. amputation vitale;
E. extirpation vitale.
ACDE 72
237. Le diagnostic différentiel de l’hyperémie préinflamatoire se fait avec:
A. l’hypersensibilité et l’hyperesthésie dentinaire;
B. la gangrène pulpaire;
C. la pulpite chronique ouverte ulcéreuse;
D. la pulpite chronique fermée proprement dite;
E. pulpite aiguës coronaires.
AE 71
238. Le diagnostic différentiel dans la pulpite séreuse partielle se fait avec:
A. la carie simple dentaire;
B. l’hyperémie préinflamatoire;
C. la pulpite aiguë séreuse totale;
D. la pulpite purulente partielle;
E. la pulpite purulente totale.
BCDE 74
239. Dans la pulpite séreuse totale chez une dent maxillaire supérieure, la douleur
peut irradier vers:
A. le hémimaxillaire opposé
B. les dents voisines;
C. la zone temporelle;
D. les dents antagonistes;
E. la zone orbitale.
BCDE 75
240. La percussion dans l’axe est positive dans les suivantes pulpopathies:
A. l’hyperémie préinflamamatoire ;
B. pulpites séreuses partielles aiguës;
C. pulpites séreuses totales ;
D. pulpites purulentes partielles aiguës ;
CE 76,80
40
E. pulpites purulentes totales.
Sujet 37
Nécrose pulpaire aseptique et septique (gangrène)
241. *Les facteurs causaux à action favorisante dans la nécrose pulpaire peuvent
être:
A. diabète, hypertension artérielle;
B. luxations, intrusions;
C. traumatismes à intensité réduite, mais répétés;
D. températures supérieures à 75 ͦC;
E. températures sous 0 ͦC.
A 94
242. *Les premiers éléments qui ont souffert dans l’évolution de la nécrose
pulpaire :
A. les fibres nerveuses;
B. les fibres conjonctives;
C. les parois vasculaires;
D. les cellules;
E. la substance fondamentale.
D 97
243. L’évolution et les complications de la gangrène pulpaire peuvent être vers :
A. la nécrose pulpaire;
B. la parodontite apicale ;
C. la fracture coronaire ;
D. la maladie de foyer ;
E. la fracture coronaire-radiculaire.
BCDE
244. L’examen radiologique de la gangrène pulpaire :
A. peut relever un éventuel rétrécissement du canal radiculaire
B. est éloquent ;
C. peut relever une radiotransparence périapicale ;
D. peut mettre en évidence l’existence des denticules ;
E. peut parfois mettre en évidence une transparence augmentée du
canal radiculaire.
ADE
245. Des modifications de couleur de la dent peuvent être rencontrées dans :
A. la pulpite chronique fermée proprement-dite.
B. la pulpite chronique ouverte ;
C. la gangrène pulpaire ;
D. la pulpite chronique fermée hyperplasique ;
E. la nécrose pulpaire ;
CDE
246. Les microorganismes impliqués dans la pathologie de la gangrène pulpaire
sont :
A. des streptocoques béta-hémolytiques ;
B. des gonocoques ;
C. le staphyloccus blanc ;
D. le staphyloccus aureus ;
E. des pneumocoques.
ACDE
247. La gangrène humide se caractérise par : AE
41
A. tissu pulpaire pourri très mou ;
B. tissu pulpaire pourri ferme ;
C. image radiologique aux modifications périapicalement ;
D. perte partielle de la configuration structurale de la pulpe ;
E. perte totale la configuration structurale de la pulpe.
248. La nécrose de coagulation se caractérise par :
A. la consistance pulpaire est réduite ;
B. la pulpe sèche ;
C. la pulpe de couleur jaune-brun ou noir-violacé ;
D. l’extirpation se réalise assez facilement, à l’aide des instruments de
canal ;
E. apparaît souvent après l’arsenic.
BCDE
Sujet 38.
Parodontites apicales aiguë et chroniques
249. *La parodontite apicale aiguë au stade d’hyperémie :
A. représente la phase initiale de l’inflammation pulpaire ;
B. représente la phase initiale alvéolaire apicale ;
C. représente la phase initiale de l’inflammation de l’os ;
D. représente la phase initiale alvéolaire du septum interradiculaire ;
E. représente la phase initiale alvéolaire du septum interdentaire.
B 104
250. *La deuxième phase dans l’évolution de l’inflammation du parodonte dans la
parodontite apicale aiguë au stade d’hyperémie :
A. est caractéristique par les manifestations vasculaires ;
B. est nommée „le temps muet‟ ;
C. est la phase d’altération tissulaire primaire cliniques ;
D. est une hypérémie de type passif ;
E. dure entre quelques heures et quelques jours.
A 106
251. La douleur dans la parodontite apicale chronique peut revêtir les aspects
suivants :
A. névralgiforme ;
B. absente ;
C. sensation d’égression légère;
D. douleur à sensation de fatigue après la mastication ;
E. pulsatile.
ACD
252. À propos du granulome simple conjonctif on peut affirmer :
A. c’est une ostéite apicale chronique ;
B. c’est aussi nommé granulome interne de Palazzi ;
C. c’est une parodontite apicale chronique ;
D. morphopathologiquement présente 4 zones ;
E. le plus concluent est l’examen radiologique.
ACDE
253. La symptomatologie de la parodontite :
A. est différente en fonction des facteurs étiologiques ;
B. la percussion latérale est positive ;
C. est dominée par la douleur à l’atteinte de la dent causale ;
D. la percussion dans l’axe est positive.
ACD
42
E. la percussion dans l’axe est négative ;
254. L’œdème de la parodontite apicale aiguë séreuse :
A. intéresse la livre supérieure pour les dents incisives supérieures;
B. intéresse la région palpébrale pour les canines supérieures ;
C. intéresse l’aile du nez pour le group molaire ;
D. intéresse la région mentonnière pour les incisives inférieures ;
E. intéresse la région de la joue (zygomatique) pour les molaires
inférieures.
ABD
255. Le diagnostic différentiel de la parodontite apicale aiguë se fait avec :
A. la pulpite aiguë séreuse totale ;
B. la pulpite aiguë séreuse partielle ;
C. la pulpite aiguë purulente partielle ;
D. la pulpite aiguë purulente totale ;
E. la pulpite apicale chronique fibreuse.
AD
256. L’examen radiologique est éloquent :
A. dans la parodontite apicale aiguë séreuse totale ;
B. dans la parodontite apicale aiguë au stade d’hyperémie ;
C. dans la parodontite apicale aiguë purulente dans les premiers
stades ;
D. dans les parodontites apicales chroniques ;
E. dans la parodontite apicale aiguë purulente dans la dernière phase.
BDE
Sujet 39.
Traitement des dents avec nécrose aseptique et septique (gangrène)
257. *L’isolation de la dent pendant le traitement mécanique de la gangrène
pulpaire :
A. est obligatoire tout au long du traitement ;
B. l’isolation de la dent n’est nécessaire qu’après le premier
pansement occlusif ;
C. est facultative tout au long du traitement ;
D. est obligatoire dans la troisième séance ;
E. est obligatoire au moment de l’obturation radiculaire définitive.
B 167
258. *Ne bénéficient pas de traitement conservateur les dents qui présentent :
A. des racines en baïonnette ;
B. des racines aux courbures exagérées ;
C. fausses voies interradiculaires ;
D. implantation déficitaire ;
E. tous les éléments ci-dessus.
E 159
259. Si l’on rencontre sur les canaux des obstacles formés des dépositions calcaires,
le traitement mécanique peut être associé aux suivantes substances chimiques
de perméabilisation:
A. le sel sodique d’EDTA solution 10% ;
B. acide sulfurique solution 20-30% ;
C. la solution chlorhexidine 1% ;
D. antiformine ;
E. eugénol.
ABD
43
260. Parmi les méthodes mécaniques de préparation du canal radiculaire dans la
gangrène pulpaire font partie les systèmes suivants :
A. le système Giromatique ;
B. canal Master U ;
C. la méthode de la conversion ;
D. le système des marches consécutives.
E. canal Finder ;
ABE
261. Dans le choix de la substance médicamenteuse utilisée dans le traitement de la
gangrène pulpaire, on peut se guider selon les critères suivants :
A. la forme anatomo-clinique de la gangrène (humide ou sèche) ;
B. la présence ou l’absence des complications du parodonte apical ;
C. la concentration de la solution ;
D. le type de réactivité du patient ;
E. le manque de l’effet bactéricide de la substance.
ABD
262. Dans les traitements endodontiques, les antiseptiques sont utilisées sous les
suivantes formes ou procédures :
A. pansements endodontiques ;
B. irrigations ;
C. d’une manière différenciée aux monoradiculaires par rapport aux
pluriradiculaires ;
D. associées aux agents physiques ;
E. seulement chez les personnes âgées.
ABD
263. Parmi les facteurs qui peuvent conditionner la thérapie endodontique des dents
à la nécrose ou gangrène pulpaire s’inscrivent :
A. la valeur masticatrice et prothétique de la dent ;
B. la présence d’une obturation coronaire en amalgame ;
C. la topographie de la dent ;
D. les affections de système ;
E. l’état du parodonte marginal.
ACE
264. Les causes générales de l’hémorragie sont :
A. hémophilie ;
B. diathèses hémorragiques ;
C. affections hépatiques avec l’altération des mécanismes de
coagulation du sang ;
D. gravidité.
E. états physiologiques congestifs ;
ABCE
Sujet 40.
Obturation des canaux radiculaires.
265. *A l’épreuve du master-cône, sans la technique de condensation
thermomécanique de la gutta percha (Mc Spadden) celui-ci doit s’arrêter :
A. la constriction apicale ;
B. à 1,5-2 mm de la constriction apicale ;
C. à 1 mm de la constriction apicale ;
D. à 4-3 mm de la constriction apicale ;
E. à l’apex radiologique.
B 235
44
266. *Dans la technique d’injection de la gutta-percha ramollie par réchauffement
doivent être respectées les conditions suivantes, avec une exception:
A. l’élargissement adéquat du canal radiculaire ;
B. le respect des règles de préparation des canaux radiculaires ;
C. l’utilisation de la cément de scellement pour la réalisation de la
cémentation apicale ;
D. l’élargissement excessif du canal radiculaire.
E. le placement correct de la cime de la canule ;
D 237
267. Les avantages de la technique de condensation verticale à chaud de la gutta-
percha ne sont pas représentées par :
A. ne nécessite pas un élargissement excessif des canaux ;
B. assure une obturation homogène des canaux ;
C. ne nécessite beaucoup de temps ;
D. ne nécessite d’instruments spéciaux ;
E. petite fréquence des obturations comme dépassement par rapport à
d’autres techniques.
ACDE
268. Les finger spreaders présentent les suivants avantages par rapport aux
spreaders :
A. utilisation plus légère dans les zones distales ;
B. permettent la rotation autour son propre axe dans tous les deux
sens ;
C. permettent le léger écartement du canal, sans la dislocation de la
gutta-percha ;
D. confèrent une plus grande sensibilité tactile.
E. sont plus minces ;
BCD
269. Dans la condensation verticale à chaud de la gutta-percha, le coiffage du cône
principal avec cément de scellement et sa propulsion dans le canal ne se fait
pas jusqu’à :
A. 2-3 mm de la constriction apicale ;
B. 1 mm de la constriction apicale ;
C. 4 mm de la constriction apicale ;
D. 5 mm de la constriction apicale ;
E. 10 mm de la constriction apicale.
ACDE
270. Le ramollissement de la portion apicale de 2 mm de cône, par l’introduction
dans le chloroforme dure, ne se fait en:
A. 3 minutes ;
B. 1 minute ;
C. 3-4 secondes ;
D. 2 minutes ;
E. 20 minutes.
ABDE
271. Les désavantages de l’utilisation des cônes en argent dans l’obturation
radiculaire sont :
A. la fermeture imparfaite des canaux ;
B. le traitement biomécanique incomplet n’assure pas le scellement
apical souhaité ;
C. une action oligodinamique discutable dans les conditions d’un
scellement parfait ;
D. l’intense radio-opacité du cône donne une fausse impression
d’obturation étanche ;
E. flexibilité plus grande que celle des cônes de gutta-percha.
ABD
45
272. A l’épreuve du master-cône, dans la technique de condensation
thermomécanique de la gutta-percha (Mc Spadden), celui-ci ne s’arrête pas :
A. à 1,5 mm de la constriction apicale ;
B. à la constriction apicale ;
C. à 2 mm de la constriction apicale ;
D. à 3-4 mm de la constriction apicale ;
E. à l’apex radiologique.
ACDE
Sujet 41.
Traitement des parodontites apicales aiguë et chroniques
273. *Si la sécrétion se maintient aussi dans le canal après l’utilisation des
pansements médicamenteux, on peut recourir à l’obturation provisoire du
canal avec :
A. Dontisolon ;
B. cément zinc oxyde eugénol ;
C. Pâte Walkhoff ;
D. endométhasone ;
E. cément phosphate de zinc.
C 259
274. *Le traitement de la parodontite apicale séreuse exsudative nécessite :
A. irrigations endocanalaires aux solutions antiseptiques ;
B. la perméabilisation de l’apex ;
C. la dent est laissée ouverte ;
D. l’application de compresses froides ;
E. toutes les solutions ci-dessus.
E 256
275. Le schéma de traitement dans les parodontites apicales aiguës purulentes dans
les stades endo-osseux comprend les étapes suivantes:
A. drainage endodontique associé aux antibiotiques ;
B. drainage combinée, endodontique et par ostéotomie
transmaxillaire ;
C. drainage alvéolaire par l’extraction de la dent ;
D. extraction et replantation.
E. médication analgétique, tranquillisants ;
ABCE
276. L’administration des antibiotiques dans le traitement des parodontites apicales
aiguës exsudatives purulentes n’est pas recommandée dans les circonstances
suivantes :
A. dans la phase endosseuse, lorsque le drainage n’est pas satisfaisant
vu de différentes causes ;
B. dans la phase endosseuse lorsque le drainage n’est pas satisfaisant
et que l’état du patient est altéré ;
C. dans la phase sous-périostale ;
D. dans la phase sous-muqueuse ;
E. lorsqu’on ne peut pas faire un traitement correct endodontique.
ACDE
277. Lequel des facteurs suivants ne conditionnent pas l’intensité des
manifestations chimiques dans les dépassements apicaux :
A. le volume de substance qui a dépassé l’apex ;
B. la qualité du matériel d’obturation ;
ABCD
46
C. le voisinage de certaines formations nerveuses ;
D. le type de réactivité individuelle ;
E. toutes les possibilités ci-dessus.
278. Au cas de la sécrétion séreuse abondante sur le canal de la parodontite apicale
chronique on indique :
A. drainage endodontique ;
B. laisser l’ouverture de la dent ;
C. la création d’une fistule artificielle médicamenteuse ;
D. la cautérisation chimique avec acide trichloracétique.
E. l’obturation provisoire avec la pâte à base d’hydroxyde de
calcium ;
ABCE
279. Les facteurs qui conditionnent la sévérité des manifestations cliniques dans les
dépassements apicaux sont représentés par :
A. l’état du parodonte apical avant l’obturation ;
B. le volume de substance qui a dépassé l’apex ;
C. la forme sur section du canal radiculaire ;
D. la qualité du matériel d’obturation ;
E. le type de réactivité individuelle.
ABDE
280. Choisir les réponses incorrectes. La sécrétion persistance sur le canal dans le
traitement d’une parodontite apicale chronique impose le changement du
pansement antiseptique avec un autre antiseptique après :
A. une séance ;
B. 4 séances ;
C. deux séances ;
D. 5 séances ;
E. 10 séances.
ABDE
Sujet 42.
La morphophysiologie du parodonte marginal (Silvia Mârțu, LilianaPăsărin, Irina Ursărescu – « Propédeutique parodontale – guide
pratique », ”Gr.T.Popa” Maison d’édition, Iași, 2014
Chapitre I : L’anatomie et la fonctionnalité du parodonte, pages 7-23)
Parodontologie clinique - Martu Silvia, Mocanu C-ta, 2000, Ed Apollonia, Iasi (pg. 5-17)
281. *La gencive marginale libre présente les caractéristiques suivantes à une
exception:
A. est la dans la plus coronaire partie de la gencive
B. correspond à sulcus gingival
C. n'adhère pas à la dent
D. a un profil en lame de couteau
E. a une texture granitée
E
6
282. *La gencive interdentaire (papille) présente les caractéristiques suivantes à une
exception:
A. Est situé dans l’embrasure gingivale
B. A une forme pyramidale dans la zone antérieure
C. La papille est adhérente à l'os alvéolaire
D. A l'apparence d'une tente dans la partie latérale
C 6-7
47
E. Les papilles proeminentes quand les dents sont en incongruité,
avec l'espace inter-dentaire reduit ou absent
283. *Les aspects cliniques de la gencive saine sont les suivants, à une exception:
A. La couleur de la gencive saine est rose - corail
B. La couleur varie considérablement en fonction de la quantité de
mélanine dans le tissu
C. La consistance est ferme, en particulier dans la zone de la gencive
fixe
D. La couleur de gomme est rouge foncé chez les personnes avec la
peau foncée
E. Elle est un peu plus lâche avec la dépression en compression avec
la sonde sur le bord et le bout de la papille
D 7
284. L’épithélium de jonction:
A. Il forme l'attache épithéliale de la gencive à la surface de la dent
B. Il a une largeur d'environ 2 mm dans la direction apical-coronaire
C. Il est le lien entre la gencive et la surface radiculaire
D. Il est autour de chaque dent au niveau du collet
E. Il n’est pas renouvelé au long de la vie
ABD 10
285. Le ligament parodontal (le desmodonte)
A. La largeur moyenne de l'espace desmodontal d’une dent d'adulte
est de 0,18 mm
B. Il est plus étroit vers l’apex
C. Il est constitué d'un tissu conjonctif
D. Il a la partie la plus large dans la zone de rotation (hypomochlion)
E. Sa taille varie en fonction du degré d'éruption des dents
ACE 13
286. Les rôles du ligament parodontal ne comprend pas:
A. La fonction mécanique
B. La fonction de la nutrition
C. La fonction végétative
D. La fonction sensorielle
E. La fonction chimique
CE 14
287. Les quatre différents tissus constituant le parodonte:
A. Ils sont fonctionnellement interdépendants
B. Ils sont anatomiquement distincts
C. Ils sont fonctionnellement similaires
D. Ils sont la gencive, le ligament, l’os alvéolaire et l'émail des dents
E. Ils aident à maintenir une structure de soutien saine et viable de la
dent
ABE 17
288. Les processus alvéolaires sont subdivisés en fonction des rapports anatomiques
avec les dents en:
A. L’os spongieux
B. Le septum interdentaire
C. La corticale externe
D. L’os inter-radiculaire
E. L’os radiculaire
BDE 16
48
Sujet 43.
L’étiopathogénie des parodontites marginales chroniques (Silvia Mârțu, LilianaPăsărin, Irina Ursărescu – « Propédeutique parodontale – guide
pratique », ”Gr.T.Popa” Maison d’édition, Iași, 2014
Chapitre II : L’éthiopathogénie des affections parodontales, pages 25-48)
Parodontologie clinique - Martu Silvia, Mocanu C-ta, 2000, Ed Apollonia, Iasi
(pg. 18-42)
289. La plaque bactérienne présente les caractéristiques suivantes:
A. Elle a des agrégats bactériens avec un certain ordre
B. Elle change d’une manière continuée
C. Elle ne contient pas du matériel des matrices mais contient des
bactéries
D. Elle comprend dans sa composition des bactéries
E. La plaque bactérienne mature comprend plus de 35 d’espèces
bactériennes
ABDE
19
290. *Le tartre supragingival:
A. Ne se trouve pas à sur les surfaces dentaires artificielles
B. Il a une consistance molle
C. Il a une couleur variable, de couleur blanc-jaune à brune
D. Le dépôt commence au niveau incisif /occlusale
E. Il est jaune-blanc
C 22
291. *Il est un composant inorganique du tartre
A. Le phosphate d’apatite
B. Le carbonate de calcium
C. L’hypochlorite de sodium
D. L’hydroxyde de sodium
E. Les sels de chlore
B 23
292. La consistance alimentaire:
A. Les aliments durs, fermes agissent comme un environnement
favorable pour la rétention de la plaque
B. Peut jouer un rôle sur la vitesse de formation de la plaque
C. Un régime alimentaire molle et collante produit plus de la plaque
D. L’aliment mou se comporte comme un environnement favorable
pour la rétention de la plaque
E. N'influence pas la vitesse de formation de la plaque
BCD 23
293. *Les facteurs endocriniens (hormones) qui peuvent jouer un rôle dans
l'étiologie de la maladie parodontale sont les suivant à une exception:
A. La puberté
B. Le stress
C. La grossesse
D. La ménopause
E. Les troubles de la fonction hypophysaire
B 25
294. Les facteurs psychologiques qui influencent l'état parodontal:
A. L’anxiété
B. L’obésité
C. Le stress
D. La ménopause
E. L’âge
AC 27
49
295. Parmi les manifestations générales de l'inflammation sont:
A. La leucopénie
B. La douleur gingivale
C. Le saignement au brossage des dents
D. La fièvre
E. La leucocytose
DE 30
296. Les facteurs étiologiques locaux fonctionnels de la maladie parodontale sont
les suivants:
A. La malocclusion
B. Les dépôts mous
C. Le tabac
D. Le tartre
E. La respiration orale
AE 18
Sujet 44.
Le diagnostic des maladies gingivales-parodontales (Silvia Mârțu, LilianaPăsărin, Irina Ursărescu – « Propédeutique parodontale – guide
pratique », ”Gr.T.Popa” Maison d’édition, Iași, 2014
Chapitre II : L’éthiopathogénie des affections parodontales, pages 25-29
Chapitre III : Les indices utilisés en parodontologie, pages 49-58
Chapitre IV : L’examen clinique du patient, pages 59-74
Chapitre V : Les examens complémentaires, pages 75-92
Chapitre VII : L’instrumentaire en parodontologie, pages 110-111)
Parodontologie clinique - Martu Silvia, Mocanu C-ta, 2000, Ed Apollonia, Iasi
(pg. 43-83)
297. *Le diagnostic parodontal global a les caractéristiques suivantes:
A. Il ne fait pas l’évaluation du type de maladie parodontale
B. Il fait l’évaluation du type et de l'évolution de la maladie
parodontale
C. Il est le même avec le diagnostic parodontale de la dent
D. Il apprécie chaque dent individuellement
E. Il ne fait pas l’évaluation de l'évolution de la maladie parodontale
B
75
298. Les aspects du diagnostic parodontale sont:
A. Le sexe du patient
B. Le type de la maladie
C. Les bactéries pathogènes
D. L'importance de la perte d'attache
E. La malocclusion dentaire
BCD
75
299. *Le diagnostic parodontal general comprend les éléments suivants à une
exception:
A. La parodontite ulcéro-nécrotique
B. La gingivite aiguë
C. La parodontite réfractaire
D. L'inflammation
E. La parodontite juvénile
D 75
300. *Le diagnostic parodontal individuel de la dent comprend les suivante à une A 76
50
exception:
A. La gingivite compliquée par les drogues
B. L'inflammation
C. Le degré de lésion de la furcation
D. La profondeur des poches
E. L'accumulation de plaque
301. Les conditions nécessaires pour la perte d’attache sont:
A. Un environnement favorable pour les bactéries virulentes
B. Un système de défense défectueux de l'hôte
C. La présence de bactéries protectrices
D. L'absence de bactéries protectrices
E. Un système de défense efficace de l'hôte
ABD 77
302. La pathogénicité des bactéries consiste en:
A. L’action immuno-stimulatrice
B. L’action antigénique
C. La production d’enzymes
D. La production d’endotoxines
E. La production d’exotoxine
BCDE 77
303. Les bactéries pathogènes parodontales sont:
A. Gram positives
B. Anaérobique Gram négatives
C. Lactobacilles
D. Spirochètes
E. Les streptocoques oraux
BD 78
304. Le sulcus et la poche parodontale contiennent :
A. Le fluide gingival
B. Ostéocytes
C. Des éléments d’origine vasculaire
D. Des ions
E. Ostéoclastes
ACD 81
Sujet 45.
Les formes cliniques – la symptomatologie en gingivites (Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison
d’édition, Iași, 2000
Chapitre: Les signes cliniques des gingivites, pages 90-102)
305. *Le plus commun type de maladie gingivale est :
A. L’inflammation influencée par les facteurs systémiques
B. La parodontite agressive généralisée (à la progression rapide)
C. L’inflammation simple, provoqué par la plaque bactérienne
D. La parodontite agressive localisée
E. La gingivite ulcéro-nécrotique.
C
2,
Pg.90
306. *Le type le plus commun de la maladie des gencives est:
A. La lesion inflammatoire en présence de facteurs systémiques;
B. Les lésions inflammatoires simples causées par la plaque
bactérienne;
B 90
51
C. La parodontite rapidement progressive;
D. La parodontite juvénile;
E. La gingivite ulcéro-nécrotique.
307. Quelles affirmations sont fausses sur la gingivite chronique desquamative?
A. Elle est caractérisée par un érythème intense et la desquamation
d’épithélium gingival ;
B. Dans la forme modérée, les patients ont une sensation de brûlure ;
C. La forme légère est très douloureuse ;
D. Elle affecte aussi le parodonte profond ;
E. A un caractère aigu.
CDE 2,
Pg.99-
100
308. Quels sont les facteurs généraux qui favorisent l’apparition d’une gingivite
ulcéro-nécrotique?
A. La mauvaise hygiène buccale
B. Les contraceptifs oraux
C. Le stress psychique
D. Le tabac
E. Les encombrements dentaires.
CD 2,
Pg.100
309. Quels facteurs locaux n’’influencent pas l’apparition d’une gingivite ulcéro-
nécrotique ?
A. Une hygiène buccale rigoureuse ;
B. Une mauvaise hygiène buccale ;
C. Les obturations coronaires correctement adaptées ;
D. Le tabac ;
E. L’âge.
AC 2,
Pg.100
310. La gingivite ulcéro-nécrotique est :
A. une maladie inflammatoire et invalidante;
B. associé à la flore coco-bacillaire;
C. douloureuse
D. toujours associée au stress
E. limitée ou généralisée
ACE 100
311. La triade symptomatique de la gingivite ulcéro-nécrotique est formée par :
A. Lyse osseuse ;
B. Nécrose tissulaire ;
C. Douleur;
D. Hypercroissance gingivale ;
E. Mauvaise haleine.
BCE 2,
Pg.101
312. Ne sont pas des caractéristiques de la gingivite ulcéro-nécrotique :
A. La décapitation des papilles interdentaires ;
B. Les pseudo-membranes ;
C. Mauvaise haleine ;
D. Hypercroissances gingivales ;
E. La gencive a la forme et la couleur normales.
DE 2, Pg.
101
Sujet 46.
Les formes cliniques – la symptomatologie en parodontites (Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison
d’édition, Iași, 2000
52
Chapitres: Les signes cliniques des gingivites, pages 102 – 104
Les signes cliniques des parodontites marginales, pages 105-136)
313. La récession gingivale est :
A. La migration vers l’apical de la marge gingivale libre ;
B. La découverte de la jonction email-cément ;
C. Une fausse poche parodontale ;
D. La migration vers apical d’épithélium jonctionnel ;
E. Une inflammation gingivale majeure.
ABD 2,
Pg.120
-121
314. La fissure de Stillman représente :
A. Un type de récession spécifique ;
B. Est étroite et évolue de la marge gingivale vers l’apical ;
C. Inflammation gingivale ;
D. Une vraie poche parodontale ;
E. Une fausse poche parodontale.
AB 2,
Pg.122
315. D’après Miller, la récession classe III représente :
A. La récession n’atteint pas la ligne muco-gingivale ;
B. Les tissus proximaux sont intègres ;
C. Les tissus proximaux sont affectés ;
D. La récession atteint la ligne muco-gingivale ;
E. Il n’y a pas une perte d’attache.
CD 2,
Pg.125
316. Pendant la parodontite agressive localisée, on trouve les modifications à quel
niveau :
A. Les premières molaires inférieures et supérieures ;
B. Les incisives supérieures et inférieures ;
C. Les premières molaires et incisives ;
D. Les premières prémolaires, molaires, incisives et dents voisines ;
E. Les dernières molaires supérieures.
ABC 2,
Pg.126
317. Les signes cliniques d’une parodontite agressive localisée (juvénile) sont :
A. La mobilité dentaire physiologique ;
B. L’inflammation légère ;
C. De fausses poches parodontales ;
D. Des hypercroissances gingivales ;
E. Des poches vraies parodontales.
BDE 2,
Pg.126
318. Les manifestations buccales plus communes pour les patients avec SIDA sont :
A. La leucoplasie poilue de la langue ;
B. Infections mycosiques rares ;
C. La décoloration de la muqueuse buccale ;
D. La candidose buccale ;
E. Le sarcome Kaposi.
ADE 2,
Pg.121
319. Quels facteurs peuvent influencer le degré des récessions gingivales :
A. Les iatrogénies ;
B. Certaines habitudes vicieuses ;
C. De petits morceaux de tartre au niveau de sillon gingival ;
D. Le brossage intempestif ;
E. Les dysharmonies dento-alvéolaires.
ABDE 2,
Pg.121
320. La parodontite sévère/avancée n’est pas caractérisée par :
A. Une perte d’attache supérieure à1/2 de la longueur de la racine ;
B. Une perte d’attache inférieure à 1/3 de la longueur de la racine ;
C. La profondeur au sondage est égale ou supérieure à 8mm ;
BDE 2,
Pg.106
53
D. Il n’y a pas de mobilité dentaire ;
E. Est réversible.
Sujet 47.
L’évolution, le pronostic et les complications de la parodontite (Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison
d’édition, Iași, 2000
Chapitre IX : L’évolution, les complications et le pronostic de la maladie parodontale, pages
137-150)
321. Un pronostic grave de la maladie parodontale est quand:
A. La perte de l'os alvéolaire est marquée
B. Il y a une faible mobilité
C. La mobilité est accrue
D. Il y a des dents avec indications d'extraction
E. Il y a des zones inaccessibles.
ACDE 2,
Pg.148
322. Le pronostic parodontal est pauvre si on trouve:
A. Des dents avec racines courtes
B. Des dents avec racines chefs
C. Des dents avec des couronnes relativement hautes
D. Des dents avec une crête d’email
E. L’hyperplasie gingivale.
ABCD 2,
Pg.147
323. Les facteurs possibles impliqués dans la formation des lésions cunéiformes
sont:
A. Les facteurs liés à l'occlusion
B. Le stress
C. L’usure d’émail et de la dentine
D. L’érosion acide chimique
E. Le brossage dur.
ABDE 2,
Pg.141
324. Un patient à risque a les caractéristiques suivantes:
A. Une histoire familiale de parodontite sévère
B. Une histoire de gingivite ulcéro-nécrotique
C. La diminution de la sensibilité aux caries
D. La susceptibilité accrue aux caries
E. La susceptibilité à l'infection directement ou indirectement.
ABCE 2,
Pg.150
325. L’hypersensibilité de la racine est:
A. Une sensation douloureuse de faible intensité, moyenne et intense
B. Se produit après un contact de la surface de la racine avec des
agents mécanique, chimique ou thermique
C. Peut se produire après la prolifération gingivale
D. Peut se produire pour les poches parodontales fausses
E. Peut se produire après le détartrage et curetage.
ABE 2,
Pg.142
326. La parodontite agressive peut avoir les pronostics suivants:
A. Favorable
B. Défavorable
C. Réservé
D. Très bon
B, C, E 2,
Pg.146
54
E. Mauvais.
327. Le pronostic de la parodontite agressive localisée peut être influencé par:
A. L’administration d'antibiotiques
B. La thérapie chirurgicale
C. Le massage gingival
D. Les antiseptiques
E. La douche buccale.
AB 2,
Pg.146
328. Les facteurs favorisant de la carie de la surface des racines sont:
A. La récession gingivale
B. L'épaisseur réduite de l'émail
C. Résistance mécanique réduite du cément
D. Le micro-organisme A. viscosus
E. L'épaisseur réduite de la dentine
ACD 140
Sujet 48.
Le traitement des gingivites (Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison
d’édition, Iași, 2000
Chapitre XIII : L’étape éthologique de la thérapie de la maladie parodontale, pages 213-226)
329. La chlorhexidine a les effets secondaires suivants:
A. La coloration des dents
B. Le blanchissement des dents
C. La coloration de la langue
D. Le changement du goût
E. La desquamation des muqueuses
ACDE 2,
Pg.220
330. Les fluorures actionnent par :
A. La modification de la perméabilité membranaire
B. L’inhibition de substrat de polysaccharide de la plaque
C. L’inactivation des enzymes microbiennes
D. L'effet du surfactant qui empêche la plaque de l'adhésion
E. L'effet de l'agent tensio-actif qui favorise l'adhésion de la plaque
ABCD 2,
Pg.220
331. Les fluorures sont sous forme de :
A. Les applications topiques
B. Les irrigations sous-gingivales (solutions de 0,001%)
C. Les irrigations sous-gingivales (solutions de 0,65%)
D. Introduit dans le dentifrice
E. Les puces
ACD 2,
Pg.220
332. L’eau oxygénée:
A. Est utilisée en application topique 3-10 % pour le nettoyage des
lésions dans GUNA (gingivite ulcéro-nécrotique aigue) ;
B. 0,3-0,5 % pour le rinçage orale
C. A une action retard, mais moins réduite que dans le cas de la
chlorhexidine
D. Action à court terme
E. Est utilisée dans le traitement des parodontites rapidement
progressives (agressives)
ABDE 2,
Pg.220
55
333. Dans le traitement initial GUNA (gingivite ulcéro-nécrotique aigue) sont
utilisés :
A. L’eau oxygénée
B. L’eau oxygénée + bicarbonate de sodium
C. L’eau oxygénée en application topique 3-10%
D. L’eau oxygénée - rinçages oraux 0,3-0,5%
E. Bain de bouche avec de la fluorure
ABCD 2,
Pg.220
334. Dans le traitement initial GUNA (gingivite ulcéro-nécrotique aigue) ne sont
pas utilisés :
A. Le bain de bouche avec du fluorure
B. Le bain de bouche avec du listerine
C. Le bain de bouche avec du triclosane
D. L’eau oxygénée en application topique 3-10%
E. L’eau oxygénée + bicarbonate de sodium
ABC 2,
Pg.220
335. Le détartrage manuel se fait avec:
A. Le myrte
B. Les instruments trapézoïdaux
C. La faucille universelle
D. La faucille à double angulation
E. La curette Gracey
ABCD 2,
Pg.221
336. Le détartrage sur-gingival peut être réalisé par :
A. Le détartrage sonique
B. Le détartrage ultrasonique
C. Le surfaçage
D. Le détartrage manuel
E. Le détartrage sonique et le détartrage ultrasonique
ABDE 2,
Pg.221
-223
Sujet 49.
Le traitement des parodontites marginales. La contention des dents
parodontiques (Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison
d’édition, Iași, 2000
Chapitre XIII : L’étape éthologique de la thérapie des maladies parodontales, pages 222-245
Chapitre XIV : La phase corrective dans la thérapie parodontale, pages 258-260)
337. La contention des dents qui sont affectées du point de vue parodontal est
accompagnée de :
A. Le contrôle de la plaque bactérienne
B. L’élimination des poches parodontales
C. L’hyperplasie gingivale
D. Le saignement gingival
E. C et D
AB 2,
Pg.230
338. Avant toute contention on doit obtenir :
A. La stabilité occlusale
B. Le contrôle des forces occlusales excessives
C. A et B
D. La diminution des récessions
ABC 2,
Pg.231
56
E. L’augmentation de la profondeur des poches
339. L’application de la contention se fait :
A. L’application des systèmes les plus éloignés de l’axe de rotation
des dents
B. Plus proche de l’axe de rotation des dents
C. A et B
D. Plus proche du rebord incisal
E. Plus proche de la surface occlusale
ADE 2,
Pg.233
340. Les systèmes de contention sont :
A. Faciles à réaliser
B. Plus agréés par les patients
C. Sont plus difficiles de maintenir
D. Il est facile à en faire l’hygiène
E. Avec un coût élevé
ABCD 2,
Pg.233
341. L’extirpation pulpaire dans la contention dentaire se fait en fonction de :
A. L’état de la pulpe dentaire
B. Le système de contention
C. Le degré d’affection parodontale
D. L’état général de sante
E. La taille des arches
ABC 2,
Pg.233
342. La contention temporaire avec les systèmes extra-coronaires est indiquée
pour :
A. Les dents frontales avec mobilité moyenne
B. Les dents qui ont souffert des traumatismes aigus
C. Les dents avec parodontite marginale chronique superficielle
D. Les dents avec parodontite agressive
E. Les dents avec mobilité augmentée
AB 2,
Pg.235
343. Les désavantages de la contention extra-coronaire sont :
A. Les troubles phonétiques
B. Limite l’hygiène
C. Limite le confort du patient
D. A et B
E. A, B et C
ABCE 2,
Pg.235
344. La contention intra-coronaire s’utilise :
A. Dans la zone frontale
B. Dans la zone latérale
C. Dans la zone frontale et dans la zone latérale
D. A, B et C
E. Aucune situation
ABCD 2,
Pg.233
Sujet 50.
Les principales lignes thérapeutiques et schémas de traitement pour les maladies
parodontales (Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison
d’édition, Iași, 2000
Chapitre XVII : Protocoles et schémas de traitement, pages 306-320)
57
345. Le drainage de l’abcès parodontal aigu:
A. Se fait par les poches
B. Une incision peut être faite par la surface externe
C. N’est pas nécessaire si on donne des antibiotiques
D. Est recommandé seulement chez les patients atteints de maladies
systémiques
E. Le drainage à travers l'incision est fait quand il ne peut pas être
envisagé par la poche
ABE
2,
Pg.311
346. Pour localiser les petites particules de tartre on utilise ces puits d'exploration:
A. La sonde numéro 17
B. La sonde numéro 3
C. La sonde OMS
D. La sonde Nabers
E. La sonde numéro 15
AB 2,
Pg.312
347. Dans le traitement de la gingivite simple, le patient reçoit les recommandations
suivantes:
A. Utiliser du révélant 2 gouttes sous la langue
B. Le brossage
C. Le nettoyage des espaces inter dentaires avec fil ou des cure-dents
soie
D. Suggérer l'administration des antibiotiques
E. Utiliser une brosse inter dentaire
ABC 2,
Pg.313
348. Dans le traitement de la gingivite chronique, la deuxième session:
A. La condition de gencive est examinée avec le patient
B. La démonstration de la façon dont le patient doit effectuer le
brossage
C. Le déménagement professionnel de la plaque
D. La recommandation d'utiliser la chlorhexidine
E. Détecter les zones d'inflammation persistante
ABC 2,
Pg.313
349. Les facteurs d'échec dans le traitement de la gingivite chronique sont:
A. Le défaut de petites particules de tartre
B. En omettant un bon antibiotique au choix
C. Ne pas polir les surfaces dentaires parfaites
D. Le curetage inapproprié
E. Le défaut de sources d'irritation locale
ACE 2,
Pg.314
350. Les causes de l'échec dans le traitement des gingivites chroniques sont les
suivants:
A. N’éliminer pas les petites particules de tartre
B. N’administrer pas l'antibiotique correct de choix
C. Le polissage imparfait des surfaces dentaires
D. Le curetage inapproprié
E. Le brossage agressif
AC 314
351. L’hypercroissance gingivale inflammatoire chronique:
A. Parfois nécessite des applications topiques d'antibiotiques
B. Le traitement comprend des procédures du détartrage
C. Le traitement comprend les procédures du surfaçage
D. Parfois on recommande l’excision chirurgicale
E. Est causée exclusivement par des irritants locaux
BCDE
314
352. La gingivite enduite par les médicaments peut prendre les aspects suivants:
A. Hyperplasie inflammatoire
ABC 2,
Pg.314
58
B. Hyper croissance inflammatoire chronique
C. Hyper croissance combinée
D. Hyperplasie ulcéreuse
E. Hyper croissance dégénérative
Sujet 51.
Occlusion dentaire
Bibliographie:
1. Occlusodontie pratique – J-D Othlieb, D. Bricard, J Schittly, A manière-Ezvan, Ed CdP
Groupe Liaisons, 2006
2. L’examen clinique gnahtologique - Gabriela Ifteni, Alina Apostu, Oana Tanculescu, Ed.
Gr. T. Popa, UMF Iasi, 2014
353. *Lorsque nous apprécions l'amplitude d'ouverture de la bouche, il faut ajouter
la dimension de:
A. La couverture des incisives maxillaires par les incisives
mandibulaires
B. La couverture des incisives mandibulaires par les incisives
maxillaires
C. l'espace minime d'articulation phonétique
D. DVRP
E. DVRC
B 2, 22
354. *La dimension verticale d'occlusion est mesurée entre:
A. Trch et SN
B. Oph et SN
C. N et SN
D. SN et Gn
E. SN et Go
D 2, 52
355. *La déglutition est pas réalisée:
A. Dans la position d'intercuspidation maximale
B. Dans la Relation Centrée
C. Lorsque les condyles sont centrés dans les cavités glénoïdes
D. Par contractions musculaires équilibrées
E. B et D
A 1, 274
356. *L'occlusion terminale est:
A. Le déplacement du point interincisif maxillaire de RP à IM
B. Le déplacement du point interincisif mandibulaire de RP à IM
C. Le déplacement du point interincisif maxillaire de RP à RC
D. Le déplacement du point interincisif mandibulaire de RP à RC
E. La mouvement de rotation pur de la mandibule entre la position sans
contact à la position avec contact dento-dentaire
E 1, 214
357. Parmi les composants osseux de l'ATM ne retrouve pas:
A. Le condyle mandibulaire
B. Le condyle temporel
C. Le processus coronoïde
D. Le disque
E. La cavité glénoïde
CD 1, 42-
54
59
358. L'insertion postérieure du muscle ptérygoïdique latéral n'est pas placée au
niveau de:
A. Le cou du condyle mandibulaire
B. Le disque articulaire
C. L'arc zygomatique
D. Le processus coronoïde
E. La fosse scaphoïde
CDE 1, 64
359. Parmi les muscles abaisseurs se trouve:
A. le Temporal
B. le Ptérygoïdien externe
C. le ventre antérieur du Digastrique
D. le Masséter
E. le Miohioidian
CE 1, 55
360. *La valeur maximale pour l'espace minime d'articulation phonétique est:
A. Moins de 2 mm
B. 2 – 4 mm
C. Plus de 4 mm
D. 4 mm
E. 3 mm
D 1, 159
Sujet 52.
Syndrome algo-dysfonctionnel de l'appareil manducateur
Bibliographie:
1. Occlusodontie pratique – J-D Othlieb, D. Bricard, J Schittly, A. Manière-Ezvan, Ed CdP
Groupe Liaisons, 2006
2. L’examen clinique gnahtologique - Gabriela Ifteni, Alina Apostu, Oana Tanculescu, Ed.
Gr. T. Popa, UMF Iasi, 2014
3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela
Ifteni, Ed. Apollonia, 2001
361. *Les malrelations extra-posturales par rotation anterior suppose des
changements dans le tonus musculaires:
A. Augmenté aux élévateurs
B. Diminué aux élévateurs
C. Élevé aux rétropulseurs
D. Élevé aux abesseurs
E. Élevé aux propulseurs
E 1, 333
362. *Les malrelations extra-posturales par rotation horizontale suppose des
changements dans le tonus musculaires:
A. Augmenté aux élévateurs
B. Diminué aux élévateurs
C. Élevé aux abesseurs
D. Diminué aux élévateurs
E. Élevé aux propulseurs
E 1, 333
363. Dans le syndrome algo-dysfunctionnelle de l'ATM, ne sont pas considéré
comme des signes cliniques parodontales:
A. La doleur CD
1, 318-
319
60
B. La inflamation
C. La congestion
D. La chaleur
E. La récession
364. La déviation mandibulaire est un signe clinique du syndrome algo-
dysfonctionnel:
A. Articulaire
B. Musculaire
C. Dentaire
D. Parodontale
E. Osseuse
AB 1, 314,
317
365. La fissure Stillman représente:
A. La partie métallique des couronnes mixtes
B. Une forme de récession parodontale
C. Une forme particulière de développement de carie dentaire
D. Un signe parodontale du syndrome algo-dysfonctionnel
E. Un signe dentaire du syndrome algo-dysfonctionnel
BD 1, 319
366. Les signes cliniques dentaires du syndrome algodisfunctionnel sont:
A. Doleur des dentes
B. Douleur parodontale
C. L'absence de point de contact.
D. Fracture dentaire
E. Douleurs articulaires
AD 1, 320
367. On peut les considérés comme des troubles de l'occlusion statique:
A. Une augmentation de l'overbite
B. Des courbes sagittales asymétriques
C. Un plan occlusal incliné à 17 degrés par rapport à l'horizontale
D. Des courbes transversales asymétriques
E. Une augmentation de l'overjet
BD 1, 323
368. *Les mal-relations extra-posturales, avec la hauteur du l'étage inférieur accrue,
signifie des contractions musculaires:
A. Plus forte aux élévateurs
B. Diminué aux élévateurs
C. Élève aux abaisseurs
D. Diminué aux abaisseurs
E. Aucune option correcte
E 1, 330
Sujet 53.
Examens cliniques et paracliniques dans les lésions odontales coronaires et
l’édentation partiale réduite
Bibliographie:
3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni,
ed. Apollonia, 2001
369. *Pendant l'examen de la face ne sont pas inclus:
A. la mimique
B. les antécédentes médicaux
B 3, 122-
123
61
C. l’aspect des régions pré-tragienne
D. l’aspect des régions temporelles
E. l’examen de la muqueuse des lèvres
370. *La symétrie faciale devra être analyse:
A. dans la relation de posture
B. dans la relation centrée
C. verticalement par rapport à l'axe vertical du visage
D. transversalement par rapport à la coïncidence des lignes inter
incisive
E. transversalement par rapport à l'axe vertical du visage
E 3, 123
371. La méthode Condylocomp LR 3 permet:
A. une précision relative de l'enregistrement des mouvements limites et
fonctionnelles
B. l'enregistrement très fidèle, mais sans la possibilité de correction les
erreurs lors de la manipulation
C. l'emplacement de l'axe charnière
D. le traçage du schéma Posselt
E. l'enregistrement des trajectoires de point interincisif
CD 3, 189
372. L'examen gnatho-foto-statique peut être utilisé:
A. pour évaluer l'occlusion dentaire
B. afin d'analyser les relations cranio-mandibulaires
C. évaluer l'envergure de la déviation mandibulaire
D. l'analyse des dysfonctionnements dynamiques mandibulaires
E. pour fournir de détails au zénith gingival chez les techniciens
ABCE 3, 189-
190
373. Palpation de l’ATM en dynamique apprécie:
A. la symétrie, la synergie et l'amplitude des excursions condyliennes
B. des bruits de l’articulation
C. l'amplitude de l'ouverture de bouche
D. les excursions du menton de face et de profil
E. la sensibilité des régions pré-tragiennes
ABE 3, 128
374. L'examen statique de l’orifice oral peut révéler :
A. l'augmentation de l'amplitude d'ouverture de la bouche due à la
laxité capsulo-ligamentaire
B. la texture des lèvres
C. la symétrie ou asymétrie de l’arc de Cupidon
D. l'amplitude réduit de l'ouverture de la bouche
E. la texture de la langue
BC 3, 130
375. L’arcade dento-alvéolaire est considérée comme interrompue lorsqu’il y a:
A. des points de contacts absents pour cause de diastèmes ou trèmes
B. une classe I Kennedy d’édentation sans modifications
C. une abrasion de 3eme et 4eme dégrées
D. un point de contact est absent par édentation
E. des édentation intercalées restaurés par des prothèses
AD 3, 133
376. Les tests de vitalité sont effectués :
A. au chaud avec le fouloir réchauffé
B. à l’aigre
C. à froide, avec Kelen ou barres de glace
D. à la douceur
E. par l’excitation électrique des éléments neuronaux de la pulpe
ACE 3, 134-
135
62
Sujet 54.
Les principes de traitement par prothèse unitaire et prothèse fixées plurielle
Références bibliographiques:
3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela
Ifteni, Ed. Apollonia, 2001
4. Terapia protetic conjuncta unitara - Gabriela Ifteni, Vasile Burlui, Ed. Gama, 2002
377. *Le concept prophylactique à la thérapie conjointe:
A. est basé sur la nature préventive des manœuvres effectuées dans le
traitement non spécifique
B. est mis en œuvre sur la base des études épidémiologiques
C. est l’un des objectifs du principe biologique
D. est appliqué de manière sélective, à savoir que dans la thérapie
pro-prothétique
E. ne reflétait que dans des mesures d'éducation sanitaire
B 3, 203
378. *L'identification les groupes des patients au risque se reflète sur le traitement
prothétique par:
A. la temporisation du traitement pré-prothétique chez les patients
ayant une maladie parodontale sévère
B. contre-indications pour tous les type de traitement dentaire
C. mesures d’asepsie et d'antisepsie
D. L’application d'une prophylaxie non spécifique et d'une
prophylaxie gnatho- prothétique spécifique
E. L'application de traitement individualisé
D 3, 204
379. Éviter la contamination croisée vise en cabinet dentaire:
A. respecter les règles de base de l'asepsie et de l'antisepsie
B. entretien stérilisateurs
C. utilisez une stérilisation à froid lorsque la stérilisation à chaud ne
peut pas être effectuée
D. réutilisation de la matière jetable, même si elle a été stérilisée
E. utilisation d'un masque de protection
ABE 3, 210
380. La prophylaxie générale:
A. se réfère uniquement à la santé générale du corps
B. consiste à éviter la contamination croisée pendant traitement
dentaire
C. a un caractère systémique non spécifique
D. a un caractère spécifique dans la période pré et post-éruptive
E. porte de la santé générale du corps, ainsi que de la santé
locorégionale et locale
BCDE 3, 209-
213
381. Les avantages du les composés chlorés utilisés pour la pré-stérilisation des
instruments sont:
A. ils ont une activité sporicide à faible concentration
B. actes lentement, pendant longtemps
C. large domaine d'action
D. ne pas corroder les métaux
E. action rapide
CE 3, 211
382. La prophylaxie pré-éruptive suit: ABC 3, 213
63
A. prévention de la syphilis congénitale
B. prévention de la rubéole prénatale
C. prophylaxie des maladies endocriniennes
D. prophylaxie de maladies infectieuses contagieuses accompagnées
d'exanthèmes (éruption cutanée)
E. on l'appelle également la prophylaxie primaire
383. Les portraits en métal peuvent être désinfectés par:
A. l'autoclavage
B. utilisation du glutaraldéhyde
C. stérilisation à froid
D. stérilisation chimique
E. il est recommandé d'utiliser des instruments jetables pour éviter la
contamination croisée
AD 3, 212
384. Les prothèses métalliques peuvent être désinfectées:
A. par autoclavage
B. en utilisation de chlorhexidine 4%
C. en utilisation du glutaraldéhyde
D. en utilisation de désinfectants
E. stérilisation au laser
CD 3, 212
Sujet 55.
Restaurations unitaire intra coronaires et extra coronaires
Références bibliographiques:
3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela
Ifteni, Ed. Apollonia, 2001
4. Prothese fixee unitaire. Cahier d’activite pratique au simulateur - Gabriela Ifteni, Norina
Forna, Ed. « Gr. T. Popa », U.M.F. Iasi, 2011
385. *La préparation clinique pour l'incrustation coronno-radiculaire commence
par:
A. la préparation de la face vestibulaire et le bord incisif
B. la préparation de la face orale sous la forme d'un angle dièdre
C. préparation du visage oral – la partie sur-cingulaire
D. préparation de la loge radiculaire
E. préparer le visage oral – la partie latero-cingulaire
B 4, 156
386. *La préparation pour la couronne partielle 4/5 comprenant:
A. préparation de la face vestibulaire, occlusale et ½ vestibulaire des
faces proximales
B. préparation de la face orale, occlusale et 2/3 des faces proximales
C. préparation de la face orale, cuspide oral, la pente interne de la
cuspide vestibulaire, 2/3 orale des faces proximales
D. seulement les faces orales et proximales
E. seulement les faces proximales et occlusales
C 4, 161-
163
387. Parmi les avantages des couronnes partielles sont :
A. conservation des structures dentaires
B. préparation clinique facile
C. accès facile au seuil sur gingival
ACDE 4, 54
64
D. par accès direct la vérification de l’adaptation sont possibles
E. permettent l’utilisation des tests de vitalité
388. L’instrumentaire nécessaire pour la préparation de la loge radiculaire pour la
couronne de substitution est :
A. effilées
B. cylindriques
C. ellipsoïdales
D. Gates
E. Beutelrock
DE 4, 120
389. Les indications des couronnes métallo-céramiques sont :
A. Dents dévitalisées
B. Modifications du plan occlusal
C. Maladie parodontale non-traitée
D. Chambre pulpaire volumineuse
E. Exigences esthétiques élevées
ABE 4, 88
390. Les avantages de la méthode de recouvrement sont :
A. Applicables pour tous les types de lésions odontales
B. Eléments utiles dans l’agrégation des constructions plurielles
C. Contact étendu au collet avec le parodonte marginal
D. Méthode conservatrice
E. Facile à être enlever
AB 4, 74
391. *Pinledge est un onlay auquel la rétention est réalisée par:
A. deux rainures proximales dans la 1/3 incisif
B. puits dentinaires sur toute la surface orale
C. deux rainures proximales et une rainure incisive
D. seulement une rainure incisive
E. trois puits dentinaire placés sur la face orale de la dent, vers incisal
E 4, 173
392. *L'ouverture du processus carieux pour la cavité d’inlay se fait avec:
A. des ciseaux d'émail et des dessus de dentine
B. fraises sphériques
C. fraises roues
D. fraises effilés
E. fraises chanfreins
B 4, 143
Sujet 56.
Eléments structurales des prothèses fixées
Références bibliographiques :
3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni, Ed. Apollonia, 2001
393. *En ce qui concerne l'économie du tissu dentaire, pour les préparations des
dents piliers, s’indiquent:
A. l’utilisation de couronnes partielles au lieu d'incrustations si les
dents sont intègres
B. l’utilisation des couronnes partielles au lieu d'inlays lorsque les
dents sont affectées par des processus carieux
C. les couronnes all- céramique, nécessitent une réduction inférieure à
celle de la métal-céramique
A 3, 305
65
D. les couronnes métalliques sont plus conservatoires pour la sous-
structure organique par rapport aux couronnes partielles
E. Les couronnes mixtes sont les plus économiques pour les tissues
dentaires par rapport aux couronnes de recouvrement
394. *Les couronnes partielles avec rétention mixte:
A. Ils ont l'avantage de ne pas risquer de blesser l'organe pulpaire
B. Ne nécessitent pas de réévalue la vitalité pulpaire avant la
cimentation finale
C. Un examen radiologique est nécessaire avant la préparation
D. Il se réfère à la rétention coronarienne extrinsèque et à la rétention
pulpaire
E. Ils sont totalement contre-indiqués dans la thérapie moderne
C 3, 306
395. Le pontique suspendu:
A. est établi à une distance de 5 mm du bord de la crête
B. est établie à une distance de 2-3 mm du bord de la crête
C. a des avantages biomécaniques
D. a des avantages biologiques
E. a des avantages hygiéniques
BDE 3, 333
396. Du point de vue technologique le pontique peut-être:
A. acrylique
B. métallique
C. physionomique
D. coulé
E. galvanisé
BC 3, 336
397. La forme de la section de pontique peut être:
A. selle symétrique
B. goutte
C. linéaire
D. cœur
E. trèfle
ADE 3, 331
398. La travée semi physionomique peut être réalisé dans les versions suivantes:
A. forme de Y
B. forme du T
C. type de boîte
D. forme triangulaire
E. forme avec rétentions supplémentaires
ABC 3, 338
399. *Les sources de trauma parodontal provoqué par un élément de rétention
incorrectement réalisé sont:
A. La surface occlusale du pontique
B. La zone périphérique et la zone de liaison entre le corps du pont et
les éléments de rétention
C. Seule la gencive marginale
D. Parodontium profonde
E. Papilles inter-dentaires vestibulaires
B 3, 307
400. *La déformation plastique du pontique
A. c'est une déformation réversible produite sous l'action de la force
de mastication
B. il représente une altération sérieuse de la structure car elle change
sa morphologie initiale
C. est évitez par l’utilisation des matériaux d’un degré élevé de
B 3, 324-
325
66
déformation plastique
D. est évitez par l’utilisation des matériaux avec un degré de
déformation élastique plus élevé que le support parodontal
E. cela dépend du contact du pontique avec la crête édenté
Sujet 57.
Etape de la thérapie par prothèses fixées : L’empreinte
Surse bibliografice:
3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela
Ifteni, Ed. Apollonia, 2001
401. *L’enregistrement de l’empreinte en prothèse fixe suppose :
A. Employer plusieurs matériaux d’empreinte en silicone avec la
viscosité appropriée
B. Employer des matériaux de fidélité appropriée
C. Une technique biphasique de prise d’empreinte
D. Obtenir un modèle préliminaire correct
E. Prise de l'empreinte ֦en morsure ֞pour enregistrer la rélation centrée
B Pg: 465
402. *La prise d’empreinte nécessaire pour la réalisation d’une prothèse fixe de
longue durée nécessite :
A. Un champ prothétique assainné
B. Un champ prothétique équilibré
C. Le moment optimal pour faire la prise d’empreint s’obtient avec
des méthodes pré- et pro- prothétiques de stabilisation d’éléments
du champ prothétique
D. Prothèse provisoire pour 2 semaines pour faire conformer le
parodontium marginal
E. Des manoeuvres précises, non-saignantes et des matériaux
d’empreinte de haute fidélité
C Pg: 464
403. L’empreinte globale est la plus utilisée pour ses avantages :
A. C’est la seule méthode qui reproduit avec fidélité le joint dento-
prothétique
B. Peut être utilisée pour n’importe quelle classe d’édentation
C. Assure une stabilité occlusale dans la relation d’intercuspidie
maximale
D. Fournit les détails nécessaires pour une restauration esthétique et
fonctionnelle
E. Permet la réalisation des prothèses mixtes sur le même modèle
CDE Pg: 467
404. Les indications de l’empreinte au guidage unitare sont :
A. Les situations cliniques difficiles
B. La réalisation de prothèse très précises
C. La réalisation de restaurations prothétiques employant des
matériaux très couteux
D. L’impossibilité de prendre l’empreinte par une méthode globale
sans guidage unitaire
E. Au cas où l’on employe des matériaux à haute fluidité pour
prendre l’empreinte de situation
ABC Pg: 473
67
405. Choisissez les affirmations fausses :
A. Le modèle unitare résulte du sectionnement du modèle du travail
B. Tourner l’empreinte globale en trois temps représente le modèle
unitaire de l’arcade, parce qu’elle reproduit tous les éléments
nécessaires pour réaliser la prothèse
C. L’empreinte à l’anneau métallique est une des étapes de la
réalisation du modèle unitaire
D. Les matériaux de l’empreinte, souvent employes pour l’empreinte
globale au guidage unitare, sont les thiocaoutchoucs et les masses
termoplastiques
E. L’empreinte de situation est enregistrée avec des matériaux en
silicone
ABD Pg:
468/47
1
406. L’emploi des portempreintes pour toute l’arcade est obligatoire :
A. Quel que soit le nombre des dents préparées
B. Au cas de la prise d’empreinte gloable en trois temps
C. Quand il y a plus de deux sous-structures organiques successives
préparées
D. Pour obtenir une maquette qui respecte le rapport avec les dents
voisines et surtout avec les antagonistes
E. Pour rendre au technicien des données concernant surtout les dents
homonymes
CE Pg:
472
407. La méthode de prise d’empreinte décrite par Thomson est une méthode sans
guidage unitaire :
A. La principale caractéristique de la technique est donnée par les
propriétés physico-chimiques des thio-caoutchoucs
B. La technique de prise d’empreinte employe des dispositifs
spéciaux pour maintenir une température optimale de la prise
C. L’écartement du sillon gingival est obtenue en appliquant des
substance astringentes et/ou hémostatiques
D. Les portempreintes sont pourvus de canaux d’irrigation à l’eau
froide
E. Employe les hydrocolloïdes réversibles
DE Pg:
474
408. Etaler le sillon gingival est nécessaire :
A. Pour n’importe quelle topographie du seuil gingival car le matérial
d’empreinte doit pouvoir enregistrer la limite de la préparation
dans son intégralité
B. Tous les cas où il faut repérer la limite osseuse d'épaulement
C. Pour obtenir, sur le modèle de travail, la limite de la préparation
dans son intégralité
D. Pour ne pas heurter l’espace biologique avec les matériaux
d’empreinte
E. Pour enregistrer la profondeur du sillon gingival
CE Pg:
475
Sujet 58.
Etape de la thérapie par prothèses fixées : L’enregistrement des relations
mandibulo- crâniennes
Références bibliographiques:
68
2. L’examen clinique gnahtologique - Gabriela Ifteni, Alina Apostu, Oana Tanculescu, Ed.
Gr. T. Popa, UMF Iasi, 2014
3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela
Ifteni, Ed. Apolloni a, 2001
409. *Par rapport au plan Frankfurt, l'inclinaison de la pente articulaire peut être:
A. 0-5°
B. 15-25°
C. 30 à 40°
D. 40-55°
E. 60°
D 3, 172
410. *L'enregistrement de la relation cranio-mandibulaire peut se faire comme tel:
A. Dans le même temps avec l'impression
B. Seulement à titre d'étape distincte
C. Avec simulateur occlusal
D. En utilisant T-Scan
E. En utilisant Coe Pak Automix (type polyéther-silicone)
A
3, 504
411. La clé d'occlusion:
A. Est la plus ancienne méthode de simulation les ATM mouvements
B. Ne peut pas être utilisé en l'absence d'un arc facial de transfert
C. Peut simuler uniquement les mouvements d'ouverture et de
fermeture
D. Il s'appelle aussi articulateur
E. Est indiqué pour les restaurations fixes de grande amplitude
AC 3, 184
412. Les indications pour l’arc facial être:
A. Pour déterminer l'axe de la charnière
B. Pour le transfert
C. Simuler la cinématique mandibulaire
D. Pour l'étude de la cinématique mandibulaire
E. Pour déterminer le point suborbital
ABD 3, 185
413. Parmi les articulateurs entièrement réglables, on trouve:
A. L’articulateur Granger
B. L’articulateur Hanau
C. L’articulateur Protar
D. L’articulateur Dentatus
E. L’articulateur Denar D3 et D3-A-B
AC 3, 184-
185
414. Dans une occlusion dentaire normale, les points de contact dento-dentaires
doivent remplir certaines conditions, y compris:
A. L'existence d'un over-jet de 0 à 2 mm
B. Multiple et uniformément distribué
C. 1/3 over-bite frontale
D. Stable
E. Précisément situé
BDE 3, 146-
147
415. Lorsqu'on utilise l'articulateur SAM 2PX, le montage du modèle maxillaire
sera:
A. parallèle à la line pupillaire
B. La position intercuspidie maximale
C. Parallèle au plan de Frankfurt
D. Perpendiculaire au plan sagittal médian
E. En position de relation centrée
ACD 3, 513
69
416. La vérification et l'évaluation des mouvements et positions test réalisé avec
contact dentaires sont faites :
A. de la position d’intercuspidie maximale dans la relation centrique
B. en latéralité droit et gauche
C. en mouvement d’ouverture maximale et fermeture de la bouche
D. en mouvement de protrusion et rétrusion
E. par la méthode Dawson
ABD 3, 149
Sujet 59.
Des examens cliniques et paracliniques dans l'édentation partielle etendue et
totale (edentation partielle etendue)
417. Les éventuelles asymmetries faciale peuvent être localisées au niveau:
A. Articulaire
B. Musculaire
C. Occlusive;
D. parties mous;
E. Aucune réponse n’est juste.
ABCD Pag.89
418. Par la palpation de la masse musculaire on évalue :
A. le développement du muscle, avec les éventuelles modifications
volumétriques ;
B. la sensibilité : les points douloureux, les zones d’irradiation, les
zones trigger ;
C. la consistance ;
D. la tonicité;
E. la symetrie
ABCD Pag92
419. En ce qui concerne l’examen paraclinique de l’ATM, CT révèle les aspectes
suivantes:
A. Les changements dans la structure osseux;
B. Les changements dans le volume osseux;
C. permettant l’évaluation statique et dynamique de la position du
ménisque
D. La corrélation avec les troubles de l'articulation;
E. Mettant en évidence les structures musculaires, discoligamentaires
et cartilagineuses
ABCD Pag.14
1
420. *L’imagerie par résonance magnétique (IRM) mettant en evidence:
A. Les changements dans la structure osseux;
B. Les changements dans le volume osseux;
C. permettant l’évaluation statique et dynamique de la position du
ménisque
D. La corrélation avec les troubles de l'articulation;
E. Les structures musculaires, discoligamentaires et cartilagineuses
E Pag.14
3
421. *Le tableau clinique de l'édentation partielle étendue est représenté par :
A. les symptômes subjectifs et objectifs.
B. la douleur.
C. l'hyperesthésie alvéolaire.
D. l'insuffisance fonctionnelle.
A
70
E. les troubles psychiques.
422. *Les signes objectifs de l'édentation partielle étendue sont :
A. la marche labiale inversée.
B. l'invagination des joues.
C. la douleur fantôme.
D. le phénomène douloureux et l'insuffisance fonctionnelle.
E. l'hyperesthésie alvéolaire.
D
423. *Définition de l'hyperesthésie alvéolaire :
A. douleur fantôme.
B. taxonomie.
C. syndrome douloureux apparu au toucher de la crête édentée.
D. douleur pathologique.
E. syndrome du moignon douloureux.
C
424. *Lequel parmi les signes suivants représente un signe subjectif dans le tableau
clinique de l'EPI ?
A. Les signes faciaux.
B. Les troubles de la morphologie faciale.
C. L'insuffisance de la fonction physionomique.
D. Les modifications tissulaires faciales.
E. Les modification des dimensions des étages du visage.
C
SUJET 59: p. 32 -83
EXAMEN CLINIQUE ET DE LABORATOIRE DANS L’EDENTE PARTIEL
ET EDENTE TOTAL: EDENTATION TOTAL
425. *Goniac angle a une valeur moyenne de:
A. 750-900 enfants d'âge préscolaire;
B. 1500-1600 chez les personnes âgées;
C. 1200 au femmes;
D. 1100 -1250 après 12 ans;
E. toutes les variantes sont correctes.
D p. 37
426. L'inspection statique de l’ATM:
A. vise la symétrie ou asymétrie des régions pretragyene;
B. ne vise pas les modificationes des couleur pour les régions
pretragienne;
C. vise les excursions du menton d’avant;
D. est faite en comparaison gauche-droite;
E. n’est pas faite au niveau de la région du menton.
AD p. 41
427. L’inspection de profil:
A. poursuit la posture des lèvres;
B. ne poursuit pas la position du menton;
C. ne poursuit pas l’angle nazo-labial;
D. vise les excursions du menton d’avant.
E. poursuit le profil facial.
AE p. 36
428. *La zone fonctionnelle périphérique maxillaire la poche d’Eisenring est
examiné par:
A. la traction de la lèvre inférieure vers l’anterieur;
D p. 43
71
B. la traction de la lèvre supérieure vers l’anterieur;
C. large ouverture de la bouche;
D. palpation avec le fouloir étroitement ;
E. toutes les variantes sont correctes.
429. Radiographie simple de ATM:
A. est basé sur l'effet photochimique des radiations;
B. ne fonctionne pas sous incidences différents;
C. exposition aux radiations est 70% plus élevé;
D. permet la visualisation de change de l’interligne articulaire;
E. toutes les variantes sont correctes.
AD p. 68
430. La résonance magnétique nucléaire:
A. les images peut être obtenues seulement dans de plane sagittal
B. ne permet pas l'appréciation des surfaces osseuses;
C. est une méthode invasive;
D. a été imposée comme une méthode de choix non-invasive;
E. les images peut être obtenues dans des planes sagittal, frontal,
axiale.
DE p. 71
431. La mandibuloquinesiographie:
A. n’utilise pas un amplificateur de luminescence.
B. permet l'évaluation fonctionnelle de tissus osseuse;
C. montre l'état des tissus mous;
D. est une méthode non-invasive;
E. permet l’enregistrement tridimensionnelle de la dynamique
mandibulaires.
ADE p. 73
432. L’inspection du visage a en vue:
A. l'intégrité des téguments;
B. le type d’alimentation;
C. la rythmicité de repas;
D. l’hygiène
E. la symétrie faciale.
AE p.35
Sujet 60.
La prothèse partielle amovible acrylique. Composants.
433. Les selles acryliques:
A. représentent les éléments secondaires des prothèses adjointes
partielles
B. Support des dents artificielles ;
C. Ne couvre pas la zone bio-statique de la tubérosité ;
D. Ne couvre pas la zone bio-statique du tubercule piriforme ;
E. transmettent les forces de sollicitation au connecteur principal
BE Pag.
240
434. *Chayes démontrent que:
A. e la force de sollicitation occlusale doit tomber au milieu de la
selle;
B. la surface d’une selle doit être, au moins, double par rapport à la
surface de section, au collet, aux dents qui les remplace;
C. la réduction de la sollicitation du support muco-osseux par la
B Pag.
243
72
diminution de la surface occlusale des dents artificielles par 10%
pour chaque dent qu’il remplace.
D. la molaire 3 ne se fixe pas dans l’arcade artificielle pour qu’elle ne
sollicite les zones bio-statiques du champ prothétique.
E. aucune réponse correcte
435. *Conod soutient que:
A. e la force de sollicitation occlusale doit tomber au milieu de la
selle;
B. la surface d’une selle doit être, au moins, double par rapport à la
surface de section, au collet, aux dents qui les remplace;
C. la réduction de la sollicitation du support muco-osseux par la
diminution de la surface occlusale des dents artificielles par 10%
pour chaque dent qu’il remplace.
D. la molaire 3 ne se fixe pas dans l’arcade artificielle pour qu’elle ne
sollicite les zones bio-statiques du champ prothétique.
E. aucune réponse correcte.
A Pag.
243
436. Les crochets simples acryliques alvéolaires:
A. sont des prolongements des selles;
B. sont des prolongements des connecteurs principaux;
C. utilisent les zones rétentives vestibulaires ou orales de la crête
alvéolaire
D. utilisent les zones rétentives vestibulaires ou orales de la dents;
E. Les reponses B et D sont corrects.
AC Pag.
259
437. Les crochets simples acryliques dento-alvéolaires:
A. Ils peuvent être acryliques ou mixtes acrylo-métalliques
B. Sont indique dans la situation quand sur l’arcade sont restantes
deux dents voisines;
C. utilisent les zones rétentives vestibulaires ou orales de la crête
alvéolaire
D. utilisent les zones rétentives vestibulaires ou orales de la dents;
E. Ont la forme d’anneau sectionné.
AE Pag.
259
438. Le crochet cervico-alvéolaire ouvert dentalement :
A. il se trouve à une distance de 0,5-0,6 mm par rapport à la muqueuse
alvéolaire.
B. il est indiqué sur les molaires mésialisées ;
C. il est indiqué dans les édentements terminaux, lorsqu’entre la dent
pilier et la dent voisine il y a espace
D. est indiqué sur les dents rétentives
E. la longueur de la boucle permettant une plus grande élasticité.
ACDE
439. Le crochet cervico-alvéolaire ouvert édentelement
A. il est recommandé dans les édentements terminaux
B. il ale rôle anti-basculant
C. il aune bonne rétention,
D. il a encerclement faible
E. aucune réponse correcte.
ABCD
440. Le crochet cervico-alvéolaire interdentaire
A. il est indiqué dans les édentements terminaux, lorsqu’entre la dent
pilier et la dent voisine il y a espace
B. il aborde la zone inter-proximale vestibulaire
C. il finit par une boucle située de façon inter dentaire
BC
73
D. est indiqué sur les dents rétentives
E. il est indiqué sur les molaires mésialisées.
Sujet 61.
Les éléments de structure des prothèses partielles squelettes
441. *Le crochet circulaire à six bras :
A. est réalisé de deux crochets Ney nr.1 unis par leur corps
B. Il est placé d’habitude sur une arcade ou une hémi-arcade intègre
C. Il ne présente pas un bon appui;
D. Il présente un encerclement reduit ;
E. aucune réponse correcte .
B Pag.27
0
442. *Le crochet circulaire avec action réciproque de Bonwill :
A. nommé aussi crochet à quatre bras ;
B. Il est placé d’habitude sur un premolaire
C. Il ne présente pas un appui excellent
D. Il présente un encerclement très satisfaisant
E. Toutes les réponses sont bonnes.
D Pag.27
0
443. *Le crochet continu (Housset) :
A. est un élément excellent d’appui et de stabilisation
B. est utilisé souvent en tant qu’élément antibasculant dans
l’édentement partiel de Classe Ière Kennedy
C. est appliqué sur la face orale des dents frontales
D. l’ hauteur est de 2 mm
E. les réponses a-d sont bonnes.
E Pag.27
0
444. Le crochet half and half (moitié –moitié), appliqué en spécial sur :
A. les prémolaires dans les édentements de Classe III Kennedy
B. les prémolaires dans les édentements de Classe I Kennedy
C. les prémolaires dans les édentements de Classe IIe Kennedy
D. les prémolaires dans les édentements de Classe IV Kennedy
E. Il est un crochet à quatre bras.
AE Pag.27
1
445. *Le crochet en forme de flèche (flash)
A. présente un éperon libre situé dans une incrustation occluso-
proximale
B. Il est un crochet bi-actif avec appui et encerclement bon
C. est appliqué sur la face orale des dents frontales
D. en indiquant dans les édentements frontale Classe IVère Kennedy.
E. Il présente un connecteur secondaire prolongé qui passe en bridge
sur le processus alvéolaire, et la partie active qui s’appui
interdentairement sous le point de contact.
E Pag.27
2
446. *Le télescopage coronaire total
A. se compose d’une cape métallique à seuil cervical, avec agrégation
totale ;
B. se compose d’une cape métallique sans seuil cervical, avec
agrégation partiel ;
C. une couronne qui s’applique sur les dents ou sur des restes
radiculaires qui ont été préparés comme pour des couronnes de
A Pag.27
6
74
substitution avec agrégation totale ;
D. L’appui est donnée par la force de friction entre la cape et la
couronne télescope ;
E. Toutes les réponses sont bonnes.
447. *La couronne Kelly est
A. se compose d’une cape métallique sans seuil cervical, avec
agrégation partiel ;
B. se compose d’une cape métallique à seuil cervical, avec agrégation
totale
C. une couronne qui s’applique sur les dents ou sur des restes
radiculaires qui ont été préparés comme pour des couronnes de
substitution ;
D. L’avantage de l’utilisation de la couronne Kelly consistent dans
l’augmentation du levier extra-alvéolaire
E. L’inconvenint de l’utilisation de la couronne Kelly et la possibilité
de la réalisation d’un aspect physionomique le plus naturel possible.
C Pag.27
8
448. Les avantages de l’utilisation de la couronne Kelly consistent dans:
A. la réduction du levier extra-alvéolaire;
B. la possibilité de la réalisation d’un aspect physionomique le plus
naturel possible;
C. se compose d’une cape métallique à seuil cervical, avec agrégation
totale ;
D. L’appui est donnée par la force de friction entre la cape et la
couronne télescope ;
E. Toutes les réponses sont bonnes.
AB Pag.27
8
Sujet 62.
Biodynamique des prothèses squelettes dans la cavité orale
449. Les causes des Déplacements latéraux du prothese sont :
A. Les parafonctions
B. Favorisé par des atrophies de la crête alvéolaire ;
C. Des contacts dentaires non équilibrés
D. Favorisé par les mouvements latéraux de la mandibule avec des
contacts non équilibrés
E. Les contacts prématurés dans la relation centrique.
BD
450. Les causes de Basculation par le détachement des extrémités distales des selles
sont :
A. Les aliments adhésifs
B. Les parafonctions
C. Des contacts dentaires non équilibrés
D. Des selles supra étendues qui dépassent les limites périphériques
physiologiques du champ prothétique
E. Les contacts prématurés dans la relation centrique.
AD
451. LES moyens de combat du deplacements lateraux du prothese sont :
A. Les bras rigides des crochets;
B. La portion supra équatoriale des bras retentifs
ABCD
E
Pag.
226
75
C. Les éperons occlusaux, appliqués au niveau des dents laterals
D. Les connecteurs secondaires interdentaires
E. Les selles étendues correctement, en limites physiologiques
452. *LES moyens de combat du basculation en plan sagital du prothese dans
l’edentation class IV Kennedy sont :
A. Les éperons occlusaux les plus distaux des crochets Bonwill;
B. Les bras rigides des crochets ;
C. Les dents restantes laterals;
D. Les connecteurs principaux dento-mucosaux.
E. Le crochet continu.
A Pag.
226
453. La distalisation des prostheses est arrêtée par:
A. Les dents restantes latérales, tout comme par les éléments
prothétiques qui s’appliquent sur celleci;
B. Dans de cas de la présence seulement des dents frontales, la
distalisation est arrêtée par les bras élastiques des crochets tournés,
respectivement les crochets de fil métallique à la prothèse
partiellement acrylique
C. Des selles supra étendues qui dépassent les limites périphériques
physiologiques du champ prothétique
D. Des contacts dentaires équilibrés
E. Les éperons occlusaux les plus distaux des crochets Bonwill.
AB Pag.
225
454. Les causes du deplacement en sens vertical, l’obturation du prothese sont:
A. Les forces de mastication ;
B. La déglutition ;
C. Les parafonctions (le bruxisme) ;
D. Equilibrer incorrectement l’occlusion ;
E. La dimension verticale de l’étage inférieur agrandie
ABCD
E
Pag.
225
455. *L’axe autour duquel on réalise le mouvement de rotation du prothese dans
edentation class I kennedy passé par:
A. la pointe de l’extrémité libre des bras retentifs des crochets placés
le plus postérieurement
B. la pointe de l’extrémité libre des bras rigides des crochets placés le
plus postérieurement
C. les dents frontales;
D. Les éperons occlusaux les plus distaux des crochets Bonwill;
E. Reponses B et D sont corrects
A Pag.
226
Sujet 63.
Etapes de la thérapie par des prothèses partiellement adjointes squelettisés:
l’empreinte
456. *Les empreintes fonctionnelles mucostatiques s’enregistrent avec :
A. des porte-empreintes individuels aux marges courtes
B. des porte-empreintes individuels fonctionnalisés à la base de la
fonctionnalité de la périphérie mobile par des tests ;
C. du matériel d’empreinte de grande fluidité (mucoséal) ;
D. les reponses a) et c) sont correctes
D PAG.
391
76
E. les reponses b) et c) sont correctes
457. *Les techniques d’empreinte avec modèle corrigé (sectionné)
A. ces techniques s’adressent aux édentements terminaux ;
B. permet l'enregistrement en relation fonctionnelle le support dentaire
par rapport au support parodontal ;
C. ces techniques s’adressent aux édentements class I et III Kennedy ;
D. pour cette empreinte on sectionne le modèle au niveau des crêtes
édentées, à 3-4- mm par rapport aux dents restantes, en se créant,
en même temps, des rétentions dans le modèle restant
E. les reponses b) et d) sont correctes
A PAG.4
00
458. L’empreinte finale avec porte-empreinte découpé au niveau dentaire :
A. C’est une technique de prise d’empreinte en deux temps;
B. Le port-empreinte fonctionnel est découpé au niveau des dents, en
rendant libre leur partie vestibulaire et orale
C. Le port-empreinte fonctionnel est doté de buttons de pression au
niveau de la crête édentée
D. Le port-empreinte fonctionnel est doté de buttons de pression au
niveau de la dents;
E. C’est une empreinte de compression au niveau de l’espace édenté.
ABCE PAG.3
99
459. Les empreintes fonctionnelles muco-dynamiques:
A. sont enregistrées à l’aide des porte-empreintes individuels aux
bords courts
B. sont enregistrées à l’aide de porteempreintes individuelles
fonctionnalisées sur le fond de la fonctionnalisation de la périphérie
mobile par des essays
C. Les bords de l’empreinte sont minces et hauts;
D. L’intensité de la mobilisation de la périphérie est directement
proportionnelle au degré de viscosité du matériel utilize
E. en utilisant du matériel d’empreinte de grande fluidité (mucoséal)
BD PAG.3
92
460. Comment s’adaptent les porte-empreintes standard au niveau des bordures :
A. par ramollissement en eau chaude
B. par flexion à l’aide d’un crampon lorsque les bordures sont trop
longues
C. par complétion avec du matériel thermoplastique lorsque les
bordures sont trop courtes
D. par sintérisation
E. par l’application d’un rouleau de masse thermoplastique sur le
versant interne de la bordure sur tout son contour.
BCE
461. Combien des types d’empreinte fonctionnelles existent en fonction du degré de
mobilisation de la périphérie du champs prothétique
A. des empreintes fonctionnelles muco-statiques
B. des empreintes fonctionnelles muco-dynamiques
C. des empreintes fonctionnelles de re-façonnage
D. des empreintes fonctionnelles postérieures
E. des empreintes fonctionnelles antérieures.
AB
462. Lesquelles des affirmations suivantes représentent des caractéristiques de
l’empreinte fonctionnelle muco-statique.
A. utilise des porte-empreintes individuelles avec des bordures trop
courtes
B. enregistre la tonicité de la musculature de la périphérie du champs
ACD
77
prothétique
C. utilise des matériaux d’empreinte à grande fluidité
D. les bordures de l’empreinte sont minces et hautes
E. on obtient des empreints qui mettent en valeur la succion.
463. Quels sont les types de porte-empreintes standard utilisées dans la thérapie par
des prothèse mobilisables squelettées
A. Porte-empreinte métallique avec dispositif de rétention
B. Porte-empreinte avec dispositif d’irrigation avec de l’eau
C. Porte-empreinte de compression
D. Porte-empreinte de matériel plastique
E. Porte-empreinte d’extraction.
ABD
Sujet 64.
Etapes de la thérapie par des prothèses partiellement adjointes squelettisés:
l'enregistrement de la relation intermaxillaire
464. Dans le cadre de la thérapie par des prothèses partielles adjointes, la méthode
de détermination de la relation centrique par la stimulation du reflexe
d’occlusion molaire se caractérise par les particularités suivantes :
A. Se réalise par des compressions bilatérales sur le muscle temporal
B. Le praticien place ses doigts sur les bordures d’occlusion devant les
incisifs centraux
C. On a comme but le réveil de vieux reflexes parodonto-musculaires
de positionnement centrique
D. Le praticien place ses doigts sur les bordures d’occlusion devant les
molaires
E. Le praticien place ses doigts sur les bordures d’occlusion devant les
canines.
CD
465. Les conditions objectives de détermination des relations mandibulo-crâniennes
postulées par LEJOYEUX sont:
A. Avant de toute essai de détermination et enregistrement de la
relation centrique, le malade soit placé dans des conditions idéales
d’équilibre physiologique et psychologique
B. La détermination de DVO constitue l’élément préalable
indispensable pour la détermination de la relation centrique
C. La stabilisation des maquettes d’occlusions sur le modèle est une
condition nécessaire et suffisante pour que dans le stade de la
détermination de la relation centrique les tissues de la surface de
support se retrouvent dans la même condition comme au moment
de l’empreinte.
D. La relation centrique se détermine avant le DVO
E. La pression doit correspondre à celle exercée au moment de
l’empreinte.
ABCE
466. Dans le cadre de la thérapie par des prothèses partielles adjointes, les causes de
l’insuccès d’un enregistrement correct des relations mandibulo-crâniennes
sont :
A. forcement de la fermeture de la bouche
ABCE
78
B. réalisation des bordures d’occlusion de cire moue
C. supra-extension de la base de la maquette d’occlusion
D. la construction des maquettes d’occlusion d’acrylate.
E. le contact des dents antérieures mandibulaires avec la base de la
maquette d’occlusion maxillaire
467. Dans le cadre de la thérapie par des prothèses partielles adjointes, dans l’étape
d’enregistrement des relations mandibulo-crâniennes on a en vue la
préfiguration de certains paramètres de l’occlusion centrique comme :
A. Le niveau et orientation du plan d’occlusion
B. Réalisation du corridor oral
C. Les rapports inter-arcadiques
D. Clearance occlusif
E. Réalisation des unités masticatoires.
ACD
468. *Le niveau du plan d’occlusion dans la zone frontale sera situé à:
A. au milieu de la distance entre les deux crêtes édentées;
B. 1,5 – 2 mm sous le bord inférieur de la lèvre supérieure;
C. 1,5 – 2 mm sous le bord supérieure de la lèvre inférieure;
D. 2,5 mm sous le bord inférieur de la lèvre supérieure;
E. au milieu de la distance Sn - Gn
B Pag.40
9
469. *Le niveau du plan d’occlusion dans les zones laterals sera situé à:
A. au milieu de la distance entre les deux crêtes édentées;
B. 1,5 – 2 mm sous le bord inférieur de la lèvre supérieure;
C. 1,5 – 2 mm sous le bord supérieure de la lèvre inférieure;
D. 2,5 mm sous le bord inférieur de la lèvre supérieure;
E. au milieu de la distance Sn - Gn
A Pag.40
9
SUJET 65: p. 465-544
LES ÉTAPES DE THÉRAPIE EN PROTHESES TOTALE : LA PRISE
D’EMPREINTE
470. Pâtes ZOE son indique en:
A. dans toutes les techniques d'empreintes muco-statique;
B. empreintes préliminaires dans l’édentation totale;
C. empreintes pour le regarnissage de prothèses dentaires;
D. dans toutes les techniques d'empreintes muco-dynamique;
E. aucune version correcte.
AC p. 535
471. *La technique Lejoyeux consistent en:
A. la gravure du modèle sur une zone de 2-5 mm, entre la ligne de
flexion du voile du palais et le palais dur;
B. la gravure du modèle sur une zone de 2-2,5 mm, entre la ligne de
flexion du voile du palais et le palais dur;
C. la réalisation de la port-empreinte individuelle sur le modèle
préliminaire en contact avec le zone gravée;
D. la prise d'empreinte du champ prothétique avec des matériaux
résilientes;
E. toutes les variantes sont correctes.
A p.549
472. *En lisant les repères anatomiques sur l'empreinte finale mandibulaire, la zone E p. 543
79
vestibulaire laterale est:
A. évidée ou pliée vers l'extérieur;
B. comme une dépression qui se trouve près d'une retentivitate;
C. comme une dépression à l'extrémité distale du dépression
alvéolaire;
D. exostotic.
E. plat et large
473. *Polyéthers:
A. ils sont hydrophiles;
B. pas une bonne stabilité dimensionnelle.
C. mauvaise odeur;
D. aucune loyauté particulière;
E. toutes les variantes sont correctes.
A p. 536
474. Pour l’empreinte avec matériau thermoplastique:
A. vous pouvez utiliser port-empreintes plastique .
B. vous pouvez utiliser port-empreintes plus grandes;
C. le matériau utilisé ne doit pas se déformer après la prise;
D. vous pouvez utiliser port-empreintes avec le profil moins évident;
E. vous pouvez utiliser port-empreintes plus petites
DE p. 476
475. Les repères anatomiques au niveau de champ prothètique maxillaire sont:
A. le vestibule labial;
B. frein linguale;
C. le ligament pterygo-mandibulaire;
D. papille incisive;
E. aucune version correcte.
AD p. 481
476. L'équipement nécessaire pour la prise d’empreintes préliminaires comprende:
A. cire;
B. port-empreintes individuelle;
C. port-empreintes;
D. spatule.
E. chronomètre
ACE p.482
477. Tirant les lignes de démarcation de la port-empreinte individuelle:
A. est fait avec un marker;
B. est fait avec un crayon d'aniline;
C. est faite a 2-3mm du fond sac vestibulaire;
D. avec une fraise dentaire
E. est fait de à 1 mm distale de la ligne vibratoire et d'insertion du
ligament et pterygo-mandibulaire;
AE p.488
SUJET 66 - p.550-564
ÉTAPES DE THÉRAPIE EN PROTHESES TOTALES : DETERMINER LES
RELATIONES INTERMAXILLAIRES
478. *La méthode homotropysme linguo-mandibulaire consiste en :
A. positionnement de la mandibule dans la relation de posture par
l'éveil des réflexes parodontale musculaires
B. positionnement de la mandibule dans la relation de posture en
D p. 558
80
déglutition;
C. positionnement de la mandibule dans la relation centrique par la
compression du menton;
D. positionnement de la mandibule dans la relation centrique , en
fermant la bouche avec le somet de la langue sur les perles
Walchoff;
E. aucune version correcte.
479. *La ligne de sourire:
A. est évaluée basée sur le frein de la lèvre supérieure;
B. est la limitée de visibilité maximale du groupe central
C. est évaluée basée sur le filtre de la lèvre inférieure;
D. est le niveau auquel est plassé le bord incisale des dents artificielles
inférieure;
E. supérieure;
F. toutes les variantes sont correctes.
B p. 563
480. L'analyse du modèle apres le Système Biofonctionnel Prothètique, le moyenne
de la crête résiduelle maxillaire:
A. est est marqué dans les zones latérales de la crête édentée;
B. est antérieurement délimitées par les points de positionnement du
sommets canines;
C. permettant au technicien dentaire à installer corrctement les dents
artificielles latérals ;
D. postérieur, est continuent avec le marquage de moyens
tubérositaires;
E. aucune version correcte.
ABCD p. 565
481. *Pour le modèle maxillaire,la hauteur de l'assemblage de la base plus les dents
artificielles est en moyenne de:
A. 8 -10 mm;
B. 20 - 22 mm.
C. 1 - 3 mm;
D. 18 - 20 mm;
E. 2 - 3 mm.
B p. 568
482. Le contrôle extraorale des maquettes d'occlusion:
A. est faite dans l'absence du patient;
B. est faite dans la présence du patient;
C. est une méthode complexe qui utilise la méthode de saisie
graphique;
D. vérifier leur réalisation dans le laboratoire, comme les indiquations
dans la feuille de laboratoire;
E. toutes les variantes sont correctes.
AD p. 550
483. Quelques méthodes simples pour la détermination de R.C. inclure:
A. manoeuvre condylienne
B. la méthode Robinson;
C. la méthode Paterson;
D. la mémoire occlusale Lejoyeux;
E. toutes les variantes sont correctes .
AB p. 558-
559
81
SUBJET 67: p. 568 -582
ÉTAPES DE THÉRAPIE EN PROTHESES TOTALES: LA PREUVE DES
MAQUETTES
484. *Le contrôle phonétique:
A. si phonème F ressemblent au V les dents supérieures sont trop
vestibularisée
B. si D est entendu que T prothèse est trop épais dans la zone des
prières du palais.
C. si phonème V ressemblent au F les dents inférieures sont trop
allongers
D. si T est entendu comme D les dents inférieures sont oralisée
E. toutes les variantes sont correctes.
B p. 579
485. Les orifices de déchargement:
A. ne sont pas des zones localisées par design sur le modèle
B. leur épaisseur est transmis dans le laboratoire à travers la trappe sur
le modèle.
C. se realisee dans maquete d’occlusion
D. parmi eux sont les exostosses
E. technicien fixé par du modèle le dechargement.
BD p. 581
486. *Les dents artificielles latérale de la maquette en cire:
A. peut être mis sur la tubérosité et tubercules si nécessaires;
B. leur courbure vestibulaire doit être symétrique;
C. les dents supérieures doivent respecter la loy de Pound;
D. doit être monté sur le millieu de la crête;
E. toutes les variantes sont correctes.
D p. 569
487. *Le test de Buchmann/Ismail:
A. consiste en dégoulinant de cire sur la face occlusale des dents
latérales supérieure et atteindre certains déglutition;
B. consiste en dégoulinant de cire sur la face occlusale des dents
latérales inférieure et atteindre certains déglutition;
C. consiste en dégoulinant de cire sur la face occlusale des dents
latérales inférieure et effectuer la manœuvre de Valsalva plusieurs
fois;
D. consiste en dégoulinant de cire sur la face occlusale des dents
latérales supérieure et effectuer la manœuvre de Valsalva plusieurs
fois;
E. aucune version correcte.
B p. 576
488. La gravure du modèle:
A. est réalisé par le technicien;
B. est faite par le médecin en présence du patient;
C. est faite par le médecin en absence du patient;
D. il est plus élevé pour les voiles horizontaux;
E. il est plus élevé pour les voiles verticales.
BE p. 581
489. *Le test positif de la spatule signifient:
A. l’engrenage des dents frontales et latérales est correct
B. l’engrenage des dents latérales est faux
C. l’engrenage des dents latérales est tête a tête
D. l’engrenage des dents latérales est inverse.
B p. 577
82
E. aucune version correcte.
SUBJET 68 - P. 583-593
LA VERIFICATION ET L'ADAPTATION DE LA PROTHESE TOTALE
490. Pour réduire les sentiments de nausées:
A. recommandé tirant genou fléchi avec les deux mains vers la
poitrine
B. est recommandé de laisser fortement les épaules vers le bas
C. vous rincer la bouche avec de l'eau chaude;
D. il est recommandé L'anesthésie tronculaire périphérique;
E. vous rincer la bouche avec de l'eau tiède
AB p. 588
491. Le traitement pour la xérostomie peut être effectué avec:
A. substances cholérétiques;
B. articaine ;
C. novocaine;
D. dentifrice ;
E. pilocarpine.
AE p. 588
492. Les porteurs de prothèses dentaires:
A. doit utiliser la pâte pour le lavage de la prothèse , le savon et l'eau
ne sont pas indiques
B. devrait éviter les aliments mous
C. ils doivent faire le premier contrôle à 48 heures après l'insertion des
prothèses dentaires
D. peut avoir la bouche pleine et la salivation abondante
E. ne devraient pas porter des prothèses pendant la nuit, que seulement
a l'indications du médecin.
DE p. 591-
592
493. Le traitement pour la xérostomie peut être effectué avec:
A. salive artificielle.
B. lidocaïne;
C. adrenaline;
D. cholérétiques de type sulfaren;
E. articaine.
AD p. 588
494. Les zones de suprapression :
A. sont identifiés par une pâte indicatrice de pression;
B. identifié par examen clinique;
C. apparaissent comme zones de muqueuse sur lesquelles la pâtes
indicateur est complètement enlevé
D. sont identifiés par un silicone de contrôle;
E. aucune version correcte.
AD p.586
495. Le contrôle phonétique:
A. prononcé "Mississippi" pour vérifier le couloir neutre
B. sont faites les premiers preuves phonétiques;
C. vérifiez la prononciation des siflantes F et V
D. prononcé "Mississippi" pour vérifier l’espace minimum vocal;
E. aucune version correcte.
BD p. 589
496. Le contrôle phonétique avec deux prothèses dans la cavité buccale: CE p. 590
83
A. peut que la émission de la phonème S se produite comme le sound
Z si les dentes frontales supérieurs sont oralisées
B. peut que la émission de la phonème S se produite comme le sound
Z si les dentes frontales supérieurs sont vestibularisées
C. est vérifié l’espace minimum vocal
D. peut que la émission de la phonème T se produite comme le sound
C si les dentes frontales supérieurs sont oralisées
E. peut que la émission de la phonème S se produite comme le sound
Z si les dentes frontales supérieurs sont oralisées
497. La vérification de maintien de la prothèse totale maxillaire
A. vise la stabilité de la prothèse mandibulaire
B. peut être fait quand le patient garde sa bouche légèrement ouverte
C. peut être fait quand le patient garde sa bouche maximum ouverte
D. vise l'adhérence de la prothèse maxillaire
E. vise la stabilité de la prothèse maxillaire
BD p. 588-
589
SUJET 69. – P. 593-601
LES STOMATOPATHIES PROTHETIQUE ET
498. Les réactions immédiates basale:
A. sont la conséquence d'erreurs dans les empreintes
B. sont le résultat de la structure irrégulière du champ prothétique
C. sont la conséquence de la technologie inadéquates de laboratoire
D. leur traitement est différente de celle des lésions marginaux
E. sont le résultat de la réalisations inadéquate de la face interne de la
prothèse
BE p. 596
499. *Les réactions tardives marginales:
A. sont la conséquence d'erreurs dans les empreintes
B. sont le résultat de la réalisations inadéquate de la face interne de la
prothèse
C. ne nécessite pas de diagnostic différentiel avec les lésions buccales
malignes
D. se produire plus fréquemment dans les tubercules piriformes.
E. peut être causée par l'encrassement des prothèses usés pendant une
longue période
E p. 596
500. *Hyperplasies marginales:
A. se manifeste à travers différentes formes pathologiques
B. le traitement consiste en l'excision de la tumeur et biopsie
C. sont dues à l'action irritative tandis que les marges de la prothèse
D. comme une forme peut être les epulides
E. toutes les variantes sont correctes.
E p. 597
501. L'hyperplasie épithéliale conjonctive:
A. chez le maxillaire apparaît au droit du vestibule.
B. Ils sont de nature allergique
C. peut être causée par maladies générales
D. peut apparaître comme franges
E. sont produites principalement au niveau lingual
AD p. 598
84
502. La candidose chronique atrophique:
A. réagissant à la suite d'une irritation chronique
B. montre les formes aiguës et chroniques avec des degrés divers de
gravité
C. est une maladie rare
D. du point de vue clinique ne montre pas varié
E. son apparence est pas lié à l'existence de facteurs locaux ou
généraux prédisposant
BC p. 599
503. Stomatites:
A. ne nécessite pas de diagnostic différentiel
B. ne sont pas des processus inflammatoires
C. leur première étape est érythémateuxe.
D. la deuxième étape est érythémateux.
E. leurs lésions pathologiques se manifestent en plusieurs stades
CE p.601
504. Les facteurs locaux sont impliqués dans l'apparition de stomatopathies sont
A. Hémopathies
B. autonettoyant
C. les maladies vasculaires
D. la vieillesse
E. défauts d'exécution de la prothèse.
BE p.593-
594
505. *Stomatites:
A. la deuxième étape est ulcéreuse;
B. la troisième étape est exsudative;
C. leur première étape est caractérisée par des phénomènes de
dégénérescence épithéliales
D. la première étape est ulcéreuse
E. la première étape est caractérisée par la hyperémie.
E p.601
SUBJET 70 - P.693-703
RÉOPTIMISATION DES PROTHÈSES AMOVIBLES
506. Les temps opérateurs de rembourré direct sont:
A. embrochait avec monomère la surface de fraisage
B. enlèvement d'une couche de 3-3,5 mm la face interne de la selle
C. modélisation de bord de la prothèse même que pour l’empreinte
fonctionnelle
D. modélisation de bord de la prothèse par le médecin
E. toutes les variantes sont correctes.
AC p.694-
695
507. Le garnissage définitive:
A. les matériaux utilisés sont de consistance élastique
B. les matériaux utilisés ont degré de porosité augmenté
C. est seulement indirecte
D. est seulement directe
E. aucune réponse correcte.
AB p.696
508. *Préparation des fragments de la prothèse pour la rétention d'acrylate:
A. il est une étape dans le garnissage directe
B. il comprend l'étape consistant à réduire l'épaisseur de 5-7 mm
B p.699-
700
85
fragments parallèle à la fracture
C. il est une étape dans le garnissage indirecte
D. il comprend l'étape consistant à créer un espace entre les fragments
de 4.3 mm
E. toutes les variantes sont correctes.
509. Si complétant une ou plusieurs dents dans une prothèse partielle acrylique:
A. dans la prothèse ne sont pas faites des rétention pour les dents à
remplacer
B. le montage des dents sera faite sans la clé vestibulo-occlusale
C. le montage des dents sera faite avec la clé vestibulo-occlusale
D. pâte acrylique sera applicable à la partie des dents dans la position
clé
E. aucune réponse correcte.
CD p.702
510. Le garnissage indirecte:
A. il a une faible consommation de matières;
B. est réalisée dans le laboratoire;
C. est rapide;
D. aucun risque d'irritation pour la muqueuse buccale;
E. aucune réponse correcte.
BD p.695
511. En cas de réparation d'une fracture simple de la prothèse avec deux fragments.
A. si le fragment est petit ont faite une empreinte avec matériaux
élastiques
B. la réparation est faite avec acrylate fotopolymérisable
C. la réparation est faite avec acrylate autopolymérisable
D. si le fragment est petit ont faite une empreinte en alginate
E. aucune réponse correcte.
AC p.700
512. Les objectifs du garnissage sont:
A. freinage des déplacements horizontaux;
B. diminution de la sensibilité de la muqueuse couvrante
C. rééquilibrage occlusal
D. une adhérence accrue;
E. aucune réponse correcte.
AD p.693-
694
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