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Club Cycliste d’Etupes
Le Doubs, Pays de Montbéliard
SECTIONS FFC
DN1
+ FEMININES
+ Loisirs
GAZETTE N°58 Octobre 2017
Le CC Étupes c’est pour la saison 2017/2018
DN1 et élites Dames:
1 TOP 10
Loisirs:
2 victoires 3 podiums 9 top10
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Pour vos AGENDA:
MANIFESTATIONS CC ÉTUPES 2017/2018
Vendredi 24 Novembre 2017 ASSEMBLEE GENERALE
Samedi 25 Novembre 2017 LOTO
Samedi 27 janvier 2018 DINER SPECTACLE
Samedi 17 février LOTO
Samedi 10 mars 2018 LOTO
Samedi 7 avril 2018 LOTO
Jeudi 10 mai 2018 8ème Grand Prix PMA Manche de la Coupe de France DN1
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Dimanche 1 octobre 2017 BMX Challenge d’Automne à Étupes
Les BMX roulent sur une piste rénovée
Les élus Erbatons ont inauguré la
piste du site des Vergnes. Une
boucle rénovée est remise aux
normes de la fédération Française
de la discipline. C’est à l’occasion, de ce dimanche 1er
octobre, et de la troisième manche du
Challenge de BMX d’Automne Bourgogne
Franche-Comté que les élus ont pu couper
le ruban sur la nouvelle piste de BMX du
site des Vernes, aux normes actuelles. «Les
virages avaient déjà été macadamisés et,
quelques jours avant l’épreuve, la troisième
ligne du circuit avait totalement été refaite
avec un produit spécifique répondant aux
normes des pistes de BMX en vigueur à ce
jour, tout comme les abords pour la sécurité
des spectateurs nombreux ce dimanche»,
explique le président du CC Étupes,
Sylvain CHALOT. Une opération de rénovation qui a été
réalisée avec la participation des bénévoles
du club et grâce à une aide financière de la
commune d’un montant de 5 000 €. Cette
inauguration s’est déroulée avec la
participation du maire Erbaton,
PHILIPPE Claudel qui a coupé le ruban
tricolore en présence de ses adjoints aux
sports, mais également des maires des
communes environnantes, du président
inter régions de la discipline, Eric PIHET,
et des responsables et pilotes des clubs
présents à cette troisième manche.
Les bénévoles ont fait du bon boulot!...
Dans le cadre de cette troisième manche du challenge
d’Automne, les têtes de série en ont profité pour
engranger de précieux points en vue de la victoire finale.
Autres points positifs, le retour presque gagnant du
pilote Erbaton Gilles FAIVRE, la victoire en cadet du
Vésulien LOCATELLI et du sociétaire du club de
Champey RAUTURIER en 40 ans et +. Chez les filles
en cadettes, Renaude de l’AVBM s’est imposée avec
brio.
Pour le CC Étupes à noter : les victoires de TORRES en
benjamins et de FAIVRE en 19-29ans, les 2ème places
de Gilles FAIVRE en 35ans et + et de MANZINALI en
pupille, la 3ème place de MANZINALI en poussins, et
enfin la 4ème place de LEBLONB en cadet…
Inauguration de la troisième ligne du BMX grâce à la
mairie d'Etupes et du travail des bénévoles du CC Étupes,
merci!
Du spectacle dans les airs et
sur la piste des Vergnes
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En Bref:
Samedi 30 septembre 2017 FFC Cyclo-cross D’Arçon
(25): En séniors, victoire de Fabien CANAL (Armée de
Terre), Didier CRAVÉ (CC Étupes) prend la 15ème place, à 1
tour… En PASS Masters victoire d’Olivier LAURENT (VC
Morteau-Montbenoît) en 37’38’’, Philippe FORMISARO
photo (CC Étupes) fini lui à la 8ème place à 2’42’’.
Dimanche 1er octobre, en Italie, trois hommes se sont
disputés la victoire sur le Tour de Lombardie espoirs qui est
revenu à RIABUSHENKO devant CACCIOTTI et MÂDER.
Dans le premier groupe de seize coureurs arrivant ensuite,
Rémi AUBERT (CC Étupes) qui était l’un des trois Français
du groupe, a pris la 13ème place.
Ce dimanche 1eroctobre également à la Gentlemen de
Nommay (25): en catégorie Test Chronométré, victoire pour
Quentin BEZZA (VCU Schwenheim) en 40’54’’devant
Maxime RICHARD 2ème (CC Étupes) à 30’’.
Au CC Étupes, le visage de l’équipe 2018 prend peu à
peu forme. Romain SEIGLE rejoindra la FDJ et Mark
DOWNEY est pisté par le Team Wiggins. Alors que
Roubaix Lille Métropole, intéressé par Pierre
IDJOUADIENE, attend de savoir si elle existera
toujours en 2018.
Les places sont chères au CC Étupes, toujours orienté
vers la formation. C’est pourquoi les ‘’anciens’’
Édouard LAUBER et Maxime ROBERT ne seront pas
retenus s’ils trouvent un autre club.
Dans le sens inverse, les juniors Paul LEFAURE et
Théo DELACROIX (Jura Cyclisme) viendront rajeunir
le groupe. Et après Sofiane MÉRIGNOT (VC La
Pomme Marseille, 20 ans), c’est Guillaume
GAUTHIER (SCO Dijon, 23 ans) qui a donné son
accord à Jérôme GANNAT.
Mercredi 4 octobre 2017 L’Est Républicain
Guillaume GAUTHIER rejoint le CC Étupes
Jeudi 5 octobre 2017 L’Est Républicain
David ARNOUX : plus loin que ses promesses
Après plus d’un an de sacrifices et de préparation,
David ARNOUX devient le nouveau recordman de
France FSGT (Fédération sportive et gymnique du
travail)
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Après plus d’un an de préparation
intense avec les conseils et l’assistance
technique de Daniel WYDER, ancien
coureur professionnel suisse et
champion du monde de la course au
point en 1988, de Yves BLONDEAU,
plusieurs fois champion de France en
ski de fond et vainqueur de la coupe du
monde de biathlon à Antholz-
Anterselva (Italie) en 1980, de Didier
FAIVRE-PIERRET, médaillé de
bronze aux Jeux Olympiques de
Barcelone en 1992 dans l’épreuve des
100km contre la montre par équipe, et
de Pierre-Yves BORDY (alias : le
Belge) l’homme de la piste, David
ARNOUX, né le 14 mars 1978,
sociétaire du CC Etupes, termine sa
dernière année de senior en apothéose.
David ARNOUX à pédaler pour
sa famille et son staff technique.
En plus d’avoir décroché les titres de champion de route et contre la montre individuel Franche-Comté
FSGT et s’être illustré sur les routes du Roannais et du Ballon d'Alsace, David ARNOUX espérait battre le
record de l’heure FSGT détenu depuis juin 2016 par Christophe MORIN avec 43,512 km.
Dans une ambiance exceptionnelle, sous le regard de ses supporters, ses partenaires et sa famille, David a,
vendredi, fait vibrer le vélodrome de Grange en Suisse en pulvérisant le record avec 46,213 km. Du coup,
il réalise non seulement son objectif mais bat du même coup le record de Jacques ANQUETIL de 45,776
km sur piste à Besançon en septembre 1967 et celui de Patrick HOSOTTE, détenteur du record Bourgogne-
Franche-Comté toutes catégories depuis le mois d’octobre 1985 avec 45,924 km.
«Passer la barre des 46 km était pour moi un rêve, voire une utopie. Mes sacrifices n’ont pas été vains.
Durant l’épreuve, j’ai pensé à ma famille et à Michel VARDANEGA. Ce jour-là, j’avais les jambes mais
aussi la tête, et je tiens à remercier toutes les personnes qui m’ont soutenu», déclarait David à l’issue de la
tentative qui pense déjà à faire encore mieux l’an prochain en vétéran.
Samedi 7 octobre 2017 Gentleman D’Étupes
(27ème Souvenir POFILET)
Maxime RICHARD et Vitor VEGAS (CCE)
S’impose ‘‘chez les Gentlemans’’
Ce Samedi à Étupes se déroulait le souvenir
Frédéric POFILET comprenant un Test
Chronométré (individuel et par deux) et une caté
gentleman (1 jeune associé à 1 + de 40ans).
Comme à Nommay dimanche dernier, BEZZA
(VCU Schwenheim) a signé le meilleur chrono
scratch en couvrant les 31 km en 43’30’’.
Derrière, on trouve le duo FUCHS/DEWAR
(Schwenheim) en 43’52’’, puis Louis DALL’O
(Dole) en 44’58’’ et SEMON (Noidans) 4ème en
45’50’’ (3ème individuel). Comme toujours les bénévoles étaient
fidèles aux postes… Merci à eux !
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La meilleure performance Erbatonne en
individuel, sur le test chronométré, est réalisé
par Antoine PETIT qui termine 6ème à 3’16’’ de
BEZZA.
Maxime RICHARD et Vitor SANTOS
VIEGAS photo (CC Étupes) ont remporté la
caté gentleman en 44’25’’ devant un autre duo
Erbaton composé de Loïc PHILIPPE et Hervé
HOYON à 1’07’’. Alors qu’un autre duo
Erbaton Thierry BEDEZ et Loïc BRUETSCH
prenait la 3ème marche du podium à 1’42’’.
GRISOT (Baume) est le meilleur cadet en
48’05’’, Laura SEMON (Noidans) la meilleure
féminine en 53’40’’.
Samedi 7 octobre 2017 Paris-Tours espoirs
Arnaud PFRIMMER longtemps devant
Dans le concert international relevé de Paris-Tours
espoirs (Belgique, Pays-Bas, Suisse…) le CC Étupes
était de la partie avec cinq coureurs: PFRIMMER,
IDJOUADIENE, BRUNEL, SAUVAGE et AUBERT.
La course (187 km) n’a pas tardé à se décanter: en trois
petits quarts d’heure et en plusieurs mouvements, 10
hommes se retrouvaient à l’avant au 35ème km.
PFRIMMER était dans le bon wagon. L’échappée
allait compter jusqu’à 4’20’’ à 100 bornes de l’arrivée
et encore 2’00’’ à 50 km.
Cela bougeait de plus en plus à l’arrière alors que les
deux-trois côtes de la fin de course s’approchaient.
Arnaud PFRIMMER était toujours dans le coup
lorsque le groupe perdait des unités, avant que les
contre attaquants ne rentrent pour composer un groupe
de 11 au km 160. Mais les écarts diminuaient et
finalement, à 5 km de l’arrivée, c’est un peloton, très
étiré, de 40 unités qui allait jouer la gagne.
Au bout du compte, les Belges triomphaient avec
PHILIPSEN (BMC) devant MENTEN et THIJSSEN
tous deux de Lotto Soudal. ERMENAULT était 5ème et
premier Français (le seul du top 10).
Côté Erbaton, Pierre IDJOUADIENE finit à un bon
21ème rang dans le même temps que le vainqueur.
Arnaud PFRIMMER prenant les
consignes du DS Jérôme GANNAT
Paris-Tours espoirs (187 km): 1er PHILIPSEN
(BEL, BMC); 2ème MENTEL (BEL, Lotto
Soudal); 3ème THIJSSEN (BEL, Lotto Soudal)…
5ème ERMENAULT (Hauts de-France)… 21ème
IDJOUADIENE (CC Etupes) tous mt… 32ème
AUBERT (CCE), à 12’’; 35ème SAUVAGE
(CCE), à 59’’; 59ème PFRIMMER (CCE), à
1’04’’; 155ème BRUNEL (CCE), à 12’56’’.
En Bref : Dimanche 8 octobre, cyclo-cross international de Lutterbach-Pfastatt: Ce 24ème Cyclo-cross
international de la Solidarité de Lutterbach-Pfastatt a tenu toutes ses promesses. Et c’est le Néerlandais
David VAN DER POEL (Beobank) qui a porté l’estocade au bon moment, dans l’avant-dernier tour après
avoir su prendre la roue du Belge Vincent BAESTEN (Koninklijke), 2ème juste devant Fabien CANAL
(Armée de terre) 3ème. L’Erbaton Quentin SIMON termine lui 12ème à 2’20’’
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Lundi 9 octobre 2017 Actualité DirectVélo.com
Arnaud PFRIMMER :
« Il ne m’a pas manqué grand-chose »
Longtemps échappé sur Paris-Tours Espoirs ce
dimanche, Arnaud PFRIMMER (CC Etupes) a
été repris par le peloton dans les derniers
kilomètres de l'épreuve remportée par Jasper
PHILIPSEN. Le Franc-Comtois âgé de 21 ans
revient sur sa course avec DirectVélo.
DirectVélo que retiens-tu de ta course? Arnaud PFRIMMER: Passer la journée à l'avant
était mon but sur ce Paris-Tours. J'avais manqué
mon objectif au Tour de Lombardie la semaine
passée, donc je voulais finir sur une bonne note. La
seule chose que je pouvais faire pour me faire
plaisir, c'était d'aller à l'avant. Et finalement, il n'a
pas manqué grand chose pour qu'on aille au bout
avec le groupe de six. On s'est vraiment fait plaisir.
« J’avais les grosses jambes » Quand l'écart a dépassé quatre minutes, y as-tu cru? Un peu. Il restait une centaine de bornes, après, on pensait que ça allait redescendre. Quand on est parti à
six, je me suis dit que si ça pouvait faire rideau derrière... Après, c'est bien revenu et on a compris que ça
allait être dur.
Aucun regret aujourd'hui, alors... Non, du tout. J'ai eu de mauvaises sensations toute la semaine, et même en début de course... J'avais les
grosses jambes. Mais je me suis dit qu'il s'agissait des derniers kilomètres de la saison. Du coup, je n'ai
pas de regret. Je me suis donné à 100% jusqu'au bout.
« Il y avait du beau monde » Quelle était la tactique au départ? On était plusieurs à devoir partir dans les coups. C'est tombé sur moi, donc tant mieux pour moi. Ils
étaient trois devant (PETITJEAN, VERHOFSTADT, et HOUBBEN), puis deux intercalés (RAPIN et
DÖRRIE). On est revenu avec MONCASSIN sur RAPIN. Puis pendant un moment, je me suis retrouvé
seul derrière le trio de tête. À ce moment là, deux coureurs (DE PESTEL et ACOSTA) sont revenus sur
moi et on a réussi à faire la jonction. Une fois qu'on a été dix (CAM, MARIAULT, BURGAUDEAU, et
MOOLLY sont aussi rentrés), on a vu qu'il y avait du beau monde et que ça pouvait aller loin.
Quel bilan fais-tu de ta saison? Il est plutôt bon, même si je pense qu'il me manque quelques références. J'ai fait de belles courses,
d'autres où j'ai quelques regrets. Maintenant, je sais à quel niveau je peux évoluer, et je sais que je peux
progresser. Il me manque aussi une forme de régularité tout au long de la saison pour être au top. Cet
hiver, on travaillera sur mon côté puncheur, et j'ai envie de travailler en montagne également.
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Jeudi 12 octobre 2017 DirectVélo
La grande interview : De Romain SEIGLE
Tout va très vite pour Romain SEIGLE. Alors que l'Isérois n'a décidé de se consacrer au cyclisme sur
route qu'en 2016 en rejoignant le CC Etupes, le natif de Vienne - qui vient de fêter ses 23 ans ce mercredi
- a décroché son premier contrat professionnel. Il sera néo-pro au sein de la FDJ, qui le suivait depuis trois
ans, pour les deux prochaines saisons. «En une seule année, j'ai été capable de faire un gros bond en avant
alors c'est encourageant. Je peux encore beaucoup progresser», se réjouit celui qui se dit adepte de ski de
fond et de trial durant la période hivernale. Champion d'Europe de VTT et vice Champion de France de
cyclo-cross dans la catégorie Juniors, Romain SEIGLE marche, peut-être, sur les traces de Jean-
Christophe PÉRAUD ou d'Alexis VUILLERMOZ, lesquels excellaient en cross-country avant de se faire
une place de choix sur la route. «Maintenant, les équipes savent que les mecs qui marchent en VTT ont
aussi des chances de marcher sur la route ».
DirectVélo: Avec ce contrat professionnel de deux ans à la FDJ, on peut
définitivement parler de toi comme d’un ‘‘vrai routier’’? Romain SEIGLE: Oui, on peut le dire comme ça. C'est sûr qu'en passant pro, je deviens vraiment un
coureur sur route et j'atteins mon objectif. Lorsque j’ai rejoint le CC Etupes, en 2016, je m'étais mis en
tête d'essayer de passer professionnel sur la route, c'est chose faite. Je ne peux être que satisfait même si
j’espère que l’histoire ne fait que commencer.
Jusqu’à peu pourtant, tu étais surtout un vététiste ou un crossman dans l’esprit des
gens… J'ai touché à tout depuis petit. J'ai quasiment toujours fait du VTT et de la route en même temps, avec
aussi du cross l'hiver. C'est le cas depuis que j'ai attaqué le cyclisme en Benjamins, après avoir d'abord fait
du rugby pendant une petite année. Au début, je marchais mieux en cyclo-cross (2ème d'un Championnat
de France Juniors, 3ème d'un Championnat d'Europe derrière Mathieu VAN DER POEL et Quentin
JAUREGUI ou encore 3ème d'une Coupe de France Espoirs, NDLR). Puis j'ai commencé à bien marcher
en VTT également (Champion d'Europe et vainqueur d'une manche de Coupe du Monde chez les Juniors).
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Beaucoup de routiers professionnels disent avoir pris plus de plaisir en cyclo-cross ou en VTT que sur la
route lorsqu’ils n’étaient encore qu’adolescents ou jeunes adultes…
Tu t'éclates plus en VTT et en cyclo-cross, c'est sûr. C'était également mon cas. Surtout, l'ambiance est
différente et tu y es forcément sensible lorsque tu es gamin. Mes parents et moi préférions l'ambiance
cross/VTT à celle de la route.
Pourquoi ? Ce qui m'énervait un peu sur la route, c'était l'atmosphère qui régnait autour des courses. Tu te retrouves
avec des parents qui sont à moitié cinglés et des “tensions” pour une simple histoire de vague dans un
sprint ou de mec qui joue un peu trop des coudes. Certains pensent qu'ils sont sur des courses pros... On
se retrouve avec des ambiances ridicules et à ce moment-là, ça m'avait un peu saoulé. Dans le même
temps, c'était bon enfant en cross et en VTT. On rigolait beaucoup plus et c'est sans doute aussi la raison
pour laquelle je me suis plutôt orienté sur ces disciplines-là.
« Faire carrière en VTT semblait plus réaliste » Tu as toujours la même image du cyclisme sur route aujourd’hui? Non, pas du tout. En fait, là je parle vraiment de l'atmosphère de certaines courses de jeunes, pour des
Cadets ou Juniors, où certains ont l'impression qu'ils sont pros. Les parents avec. Je n’ai plus connu ça en
Élites, même si chaque équipe reste un peu dans son coin et que ce n’est pas la même ambiance que le
VTT, malgré tout. Mais je peux le comprendre. On arrive à un niveau élevé, avec des enjeux. Chacun est
dans sa bulle avant la course. C'est moins joyeux... Cela dit, ça devient pratiquement un métier donc c'est
sans doute normal aussi. Je parle de quelque chose de général car au sein de l'équipe, c'était top. On se
retrouvait entre potes. On rigolait bien avant et après les courses, et même pendant, parfois ! Ce n'est pas
horrible d'être coureur sur route (sourires).
Tu as imaginé faire carrière en cross ou en VTT? Pendant longtemps, je n'y ai pas vraiment pensé. Ce n'était que du plaisir. Même quand je marchais chez
les Juniors ou en Espoirs, je ne me prenais pas trop la tête. Je faisais mes résultats et c'est tout. Je ne
cherchais pas à passer pro.
Quand as-tu commencé à l’envisager? En Espoirs 3. Lors de mes deux premières
années dans la catégorie, j'avais eu de gros
problèmes de dos. En VTT, je finissais les
courses difficilement... J'avais même du mal à
descendre du vélo à cause de la douleur. Ca m'a
pourri deux saisons. C'était notamment dû à la
croissance et ces problèmes sont derrière moi
désormais. Puis en cross, je n'ai pas beaucoup
couru mais à chaque fois que j’épinglais un
dossard, ça se passait super bien. Quand je
comparais les temps que je réalisais avec ceux
des coureurs Élites, en étant donc Espoirs 3 en
VTT, je trouvais ça plutôt intéressant. Et je
commençais à me dire qu'il y avait peut-être la
possibilité de faire quelque chose.
En plus, j'étais au Pôle France à Besançon et le niveau de performance y était vraiment élevé. Il y avait
un discours basé sur la préparation des Jeux Olympiques, donc c'était du sérieux et j’envisageais un
avenir en VTT.
Finalement en 2015 tu as quitté l’AC Bisontine pour t’engager avec le CC Étupes en décidant de
consacrer beaucoup plus de temps et d’énergie au cyclisme sur route…
Je me suis d'abord mis à la route avec la volonté de progresser en VTT. J'avais également été suivi par la
Fondation FDJ dès 2015 alors je commençais à penser aux deux disciplines. Disons que faire carrière
dans le VTT semblait être un objectif un petit peu plus réaliste, alors que la route, c'était un rêve. Mais au
fil du temps, j'ai eu envie de changer et de tenter le tout pour le tout sur la route. J'attendais d'avoir une
opportunité. Le fait que la FDJ me contacte... je l'ai pris comme un signe et ça m'a donné envie de tenter
ma chance. Je sentais que c'était possible.
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« Je ne me suis inspiré de personne » Surtout que tu as très vite marché... J'ai commencé à faire de bons résultats alors que je n'avais pas forcément la caisse et la préparation pour
enchaîner les courses sur route. On a senti qu'il y avait quelque chose. A la fin de la saison 2016, je me
suis dit qu'il fallait que je fonce pour ne pas avoir de regrets. J’ai décidé de définitivement me consacrer à
la route à 100% en septembre 2016. Autrement dit, très tard. Et puis la semaine suivante, j'ai gagné le
Tour de Moselle ! C'était génial et ça m'a convaincu que j'avais fait le bon choix. A ce moment-là, je me
suis vraiment mis en tête de passer pro sur la route.
La FDJ t'avait contacté une première fois dès 2015, lorsque tu n'étais encore qu'à l'AC
Bisontine, pour participer à un stage de pré-saison avec l’équipe professionnelle… Ça m'a fait quelque chose ! Quand on m'a annoncé qu'ils voulaient me suivre, je ne m'y attendais pas du
tout. En fait, c'est Nicolas Boisson qui avait proposé à l'équipe de me suivre. De mémoire, il voulait tester
un vététiste qui faisait de la route pour voir ce que ça donnait. Je dois beaucoup à Nico car c'est donc lui
qui m'a fait rentrer dans la fondation et c'est lui qui a insisté pour que je rejoigne l'équipe en 2018. Ca fait
plaisir, il a fait du bon boulot pour moi.
Tu suis les traces d'un certain Alexis VUILLERMOZ, ancien adepte du VTT qui était
ensuite passé par le CC Etupes avant de passer pro sur la route... Il y a plusieurs vététistes qui ont marché sur la route, assez vite après avoir décidé de faire la bascule. A
vrai dire, je ne me suis inspiré de personne mais psychologiquement, ça aide de savoir que des coureurs
ont réussi à le faire avant toi. Et puis, quand je vois que l'équipe de la FDJ a voulu me tester quand je
marchais "seulement" en VTT, je me dis que l'exemple d'un Alexis VUILLERMOZ les a aidés à me faire
confiance. Maintenant, les équipes savent que les mecs qui marchent en VTT ont aussi des chances de
marcher sur la route.
Tu sembles avoir passé un autre gros
palier entre 2016 et 2017? Oui c'est une évidence ! La course qui m'a le plus
marqué, c'est le Circuit des Ardennes, à chacune
de mes deux participations. L'année dernière,
j'essayais de suivre mais je sentais qu'il me
manquait quelque chose pour jouer avec les
meilleurs. Sur l'édition 2017 par contre, je me suis
rendu compte que c'était vraiment possible et
j'étais à la bagarre avec les coureurs les plus forts
(il termine 3ème d'une étape remportée par Maxime
VANTOMME NDLR). Ca m'a fait du bien.
Surtout, l'équipe m'avait mis sur de belles courses
toute l’année, en Coupe de France ou en Classe 2.
Ca m'a vite mis dans le bain et ça m'a permis de bien me préparer cet hiver. Il fallait que je progresse sur le
physique, l'endurance. Je n'avais pas la distance en 2016 et c'est ce que j'ai travaillé en priorité cette saison.
« A la fois cool et sérieux, le meilleur compromis »… Cette année, tu as marché sur tous types de profils, sur les courses d'un jour comme sur les courses par
étapes montagneuses...
C'était l'objectif que je m'étais fixé en début de saison. J'avais travaillé pour être régulier et pour marcher
partout. J'ai travaillé le contre-la-montre pour prendre de la force. J'ai beaucoup travaillé sur le plat aussi,
tout en continuant de bosser dans les ascensions, où j'étais déjà plus à l'aise. Mais j'aurais pu faire mieux. Je
me suis fait avoir plusieurs fois lorsque j'avais l'occasion de jouer la gagne mais là aussi, c'était nouveau
pour moi. Il a fallu que j'apprenne à la jouer fine sur les derniers kilomètres. J'ai fait des fautes et c'est pour
ça que je n'ai qu'une seule victoire (une étape de la SportBreizh, en Coupe de France DN1, NDLR). Mais je
sais que j'aurais pu gagner plus souvent. J'étais devant pratiquement tous les week-ends jusqu’en juillet (il a
ensuite été stagiaire avec la FDJ, NDLR). C'est encourageant pour la suite.
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On t'a souvent vu offensif cette saison : tu ressens le besoin de faire la course?
Je me suis surpris sur plusieurs courses. Je n'ai pas eu de complexes, même sur des Classe 2, comme aux
Ardennes justement. Sur l'étape la plus difficile, j'ai planté dans tous les sens, je n'ai pas compté mes
efforts. J'aime bien attaquer. C'est d'ailleurs ce qui m'a coûté quelques résultats l'an dernier car j'attaquais
trop. J'étais incapable de me canaliser. Cette année, j'ai appris à en garder sous le pied pendant les 130 ou
150 premiers kilomètres pour tout mettre sur le final. C'est là que ça marche le mieux. Mais c'est sûr que
j'ai un tempérament d'attaquant. J'aime bouger lorsque c'est la guerre!
Tu complètes la liste des coureurs qui vont porter le maillot de la FDJ après avoir été
formés au CC Etupes. Que t'a apporté la formation franc-comtoise? Il y aurait tellement de choses à dire ! C'est le club qui m'a donné envie de m'investir dans le cyclisme sur
route. J'ai découvert beaucoup de choses avec eux. Le staff, les coureurs, notre calendrier... Ce n'était que
du plaisir ! Je suis très heureux d'avoir couru là-bas. Je ne sais pas du tout si ça aurait donné la même chose
avec une autre équipe. C'était à la fois cool et sérieux : le meilleur compromis que l'on peut avoir à ce
niveau-là. Il y avait de la performance et de l'ambition mais ça reste un club amateur. On n'était pas là pour
se prendre la tête.
Comment imagines-tu tes débuts chez les pros? Il va falloir que je m'adapte et que je passe un nouveau gros palier. Je vais sûrement beaucoup travailler
pour l'équipe. J’aimerais prouver que j'ai la possibilité de jouer ma carte mais ça ne se fait pas comme ça !
Peut-être que ça viendra un jour, je l'espère. Ce serait bien de pouvoir exprimer mes qualités de puncheur-
grimpeur même si parfois, notre profil de coureur peut aussi évoluer en arrivant chez les pros. Je serai
bientôt fixé, même si j’ai déjà eu une petite idée de ce que ça pourrait donner avec l’expérience de Léo
VINCENT, que je connais bien et qui est passé du CC Etupes à la FDJ l’hiver dernier. Il m'a expliqué que
ce n'était pas forcément facile au début mais il a quand même pris du plaisir avec les pros. Bien sûr, il m'a
confirmé que la marche à franchir était haute. La première épreuve World Tour, "c'est un truc de fou", m’a-
t-il dit... (Sourires). On verra bien!
Penses-tu avoir une grosse marge de progression? Le plus intéressant, c’est que je considère ne pas avoir retrouvé, en 2017, le niveau qui était le mien lorsque
j’étais au top du top en VTT. Je peux donc faire bien mieux, c’est sûr. Par rapport à ce que je connais déjà,
et encore plus par rapport à ce que je n’ai pas encore exploré! En une seule année, j'ai été capable de faire
un gros bond en avant alors c'est encourageant. Il n'y a plus qu'à refaire la même chose l'année prochaine.
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Samedi 14 octobre 2017 Actualités DirecVélo.com Mutations
Un cinquième renfort au CC Étupes
Le Tchèque Vojtech SEDLACEK s'est engagé pour la
saison 2018 avec le CC Etupes, a appris DirectVélo. Le
coureur âgé de 18 ans a été conseillé au club franc-
comtois par Petr VAKOC, pro chez Quick-Step Floors
et passé au CC Etupes en 2012.
Vojtech SEDLACEK a terminé cette année 7ème du
Tour de Lunigiana (4ème et 7ème d'étapes), 9ème du
Trofeo Karlsberg (7ème d'étape) ou encore 18ème du
Tour de Haute-Autriche (4ème d'étape).
Il a pris la 11ème place du Championnat du Monde
Juniors du contre-la-montre, avant se de classer 36ème
de l'épreuve en ligne sur le circuit de Bergen (Norvège).
En bref : Samedi 14 octobre 2017
FSGT, cyclo-cross de Morschwiller le Bas L’Erbaton Loïc BRUETSCH a remporté en toutes
catégories ce samedi ce cyclo-cross dans la région de
Mulhouse, avec 29’’ sur Hugo MEYER (Sainte-Croix-en-
Plaine) 2ème et 44’’ sur Félix DORIN (MTB Freiburg) 3ème.
En super-vétérans, l’un des inusables sponsors du CC
Étupes Michel VAUTHERIN, lui l’ancien, a fini à une belle
16ème place, à 4’35’’ du super vétéran l’Audincourtois Alain
MOUQUAND, qui a pris le meilleur sur Roland CANAL
(ACTB) 2ème à 7’’ et Yanis FER-IDOUCHMAL (SSOL
Habsheim) 3ème à 16’’.
BMX: Dimanche 15 octobre : Urzy constituait la 5ème et dernière étape du nouveau
challenge d’automne de la grande région. Après cette ultime manche, le classement général final dans
chaque catégorie a pu être établi. Tout le monde n’était pas là, surtout dans les catégories des « grands »,
mais en règle générale, une partie des meilleurs Francs-Comtois avaient fait le déplacement en
Bourgogne.
Pour Étupes: Gilles FAIVRE remporte le général des cruisers 35ans et + ; 2ème place final de
MANZINALI en pupilles ; 2ème place également pour DESGRANCHAMPS en hommes + 40ans ; 3ème de
TORRES en benjamins et 6ème de FAIVRE en 17/29ans.
Un stage national cadet, encadré notamment par Simon DUCHÊNE, aura lieu du 3 au 5 novembre à
Bourges. Parmi les dix-huit pilotes convoqués, on trouve Marius FERCIOT du BMX d’Étupes.
Samedi 21 octobre, 20ème open Night de Besançon: Pour sa dixième édition, l’Open Night Fly
Séries de Besançon a tenu toutes ses promesses. Le spectacle a duré jusque tard dans la soirée malgré la
pluie. Deux Erbatons se sont illustrés en finale: victoire de FAIVRE dans la catégorie dinosaures et 4ème
place de TORRES dans celle des 2006-2007…
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Vendredi 20 octobre 2017 L’Est Républicain
Sylvain CHALOT (CC Étupes):
« Une situation catastrophique »
Alors que la saison 2018 se prépare, le
président du CC Étupes, Sylvain
CHALOT, s’inquiète de la disparition des
contrats d’accompagnements dans
l’emploi.
La disparition annoncée des contrats
d’accompagnements dans l’emploi (CAE)
inquiète dans la société française.
Notamment les nombreuses associations qui
y ont recours pour pouvoir rémunérer les
salariés qui les font exister et vivre. Le
monde sportif n’est pas épargné par cette
décision gouvernementale et les réactions
ont été nombreuses. Président du CNOSF,
Denis MASSÉGLIA a ainsi écrit au
Premier ministre, Édouard PHILIPPE, afin
que les clubs puissent toujours bénéficier de
ces aides qui concernent environ 20.000 des
80.000 emplois sportifs.
Club formateur aidant des espoirs à
rejoindre le peloton professionnel, le CC
Étupes possède aussi depuis longtemps un
grand groupe BMX et une section “loisirs’’
développée. «Cette année, au club, nous
avions deux CAE (Romain SEIGLE et
Paul SAUVAGE), d’une durée d’un an
renouvelable une fois. Pour compenser cette
disparition, cela nous coûtera entre 15.000
et 20.000 euros», explique Sylvain
CHALOT.
Le président du CC Étupes a activé ses
réseaux pour faire savoir son
mécontentement et espérer qu’un dispositif
de remplacement surgisse. En vain. «Ces
emplois servaient au club. Chaque jeune se
voyait confier des missions précises et
suivies, d’intérêt pour le club et le salarié,
telles que l’accompagnement des jeunes
licenciés sur la préparation physique, la
recherche et le suivi de partenaires
privés, etc.»
Sylvain CHALOT (ici avec Jérôme GANNAT) et inquiet
pour l’avenir de son club. (Photo : Francis REINOSO)
Alors qu’il vient de clore son recrutement (Guillaume
GAUTHIER, Paul LEFAURE, Théo DELACROIX,
Sofiane MÉRIGNAT, Vojtech SEDLACEK), le club
Erbaton voit disparaître une possibilité d’aider ses
coureurs élites mais amateurs à être rémunérés. À vivre.
«C’est une situation catastrophique financièrement pour le
club», poursuit Sylvain CHALOT. Le CC Étupes ne
manque pourtant pas d’imagination pour trouver des
ressources puisqu’en plus des méthodes habituelles
(subventions, club affaires…), il organise régulièrement
des lotos et des spectacles créés et joués par les licenciés
eux-mêmes. De plus, les clubs cyclistes ne bénéficient pas
d’entrées payantes à leur compétition. «Après un an à la
tête du CC Étupes, j’ai plus l’impression d’être un
trésorier qu’un président. De nombreuses dépenses ont
déjà été réduites ces dernières saisons. On rentre le plus
souvent possible directement à l’issue des courses, ce qui
n’est pas sans risques, on ne remplace plus
systématiquement certains matériels, alors que les
dépenses (essence, péages…) augmentent », conclut
Sylvain CHALOT, inquiet.
En bref, samedi 21 octobre, le cyclo-cross de
Dambelin, organisé par le CC Étupes a vu en séniors la
victoire de NOIRJEAN (ACB), les Erbatons Loïc
PHILIPPE 7ème à 3’52’’ et Tanguy FRANCINI 8ème à
4’12’’. En masters la victoire a été pour MARHEN (VC
Ornans) en 40’, l’Erbaton Raphaël DENIS prend la 9ème
place à 3’10’’…
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En bref, dimanche 22 octobre, Prix UCI de Balan (21): La seule épreuve
UCI C2 française du week-end se disputait à Balan, ce week-end. Quentin SIMON (CC Étupes) s’en
est bien sorti puisqu’il est parvenu à prendre la septième place et à marquer six points UCI.
La course a été dominée par les Belges qui ont pris les six premières places devant lui. L’Erbaton est
même le seul ‘’non-Belge’’ parmi les treize premiers.
Elites hommes: 1er MERLIER (Bel) en 1h00’36; 2ème DEGROOTE (Bel) à 47’’; 3ème LOOCKX
(Bel) à 49’’… 7ème SIMON (CC Étupes) à 1’43…
Samedi 28 octobre Cyclo-cross de Saint-Hippolyte
Fabien CANAL le plus fort !
Le cyclo-cross de Saint-Hippolyte, souvenir
Sébastien DEPAIN, avait lieu ce samedi 28 octobre
dans le cadre verdoyant du stade et du camping.
L’année dernière, lors de la 22ème édition, c’est
Damien MOUGEL du V.C Eguisheim qui l’avait
emporté. Le CC Étupes, en la personne de Léon
BONVALOT, fait tout pour que la manifestation se
déroule dans les meilleures conditions. Léon
BONVALOT est la cheville ouvrière au niveau de
l’organisation de la course. Ce sociétaire du CC
Étupes récupère actuellement d’un accident peu
banal qui vient de lui arriver à Berche. Ce jour-là,
le cycliste a été heurté par l’aile d’un avion et
propulsé dans le fossé. Responsable: un
automobiliste et sa remorque.
Léon BONVALOT a gauche des coureurs.
Léon BONVALOT a apprécié la venue de Fabien CANAL (Armée de Terre), l’un des meilleurs spécialiste
hexagonal actuellement. Dans la course espoirs/séniors Fabien CANAL a pris le meilleur départ. Damien
MOUGEL a fait illusion un tout petit tour. Le Giromagnien de l’Armée de Terre était bien trop fort.
Pourtant, le champion d’Alsace a tenté de s’accrocher. Pour voir: « J’ai tenu un tour, puis j’ai vite
explosé ! ». Les Mortuacien Valentin RUEF et Laurent COLOMBATTO ont pris respectivement les 3ème
et 4ème places.
Espoirs/Seniors : 1er CANAL (Armée de terre), 47’50’’; 2ème MOUGEL (Eguisheim), à 1’18’’; 3ème RUF
(Morteau), à 1’23’’; 4. COLOMBATTO (Morteau), à 1’30’’; 5ème NOIRJEAN (ACB), à 3’02’’… 14ème
FRANCHINI (Étupes) à 1 tour…
Dames : 1ère M. DEVAUX (Morteau) ; 2ème A. MOREL-PETITGIRARD (Morteau) ; 3ème M.GUERIN
(Ornans) ; 4ème L. BLONDEAU (Pontarlier)… 5ème C. GIACOMIN (Étupes)
En Bref : Samedi 28 octobre, FSGT, Cyclo-cross de Watwillers:
Jennifer MARCK (CC Étupes) en prenant la 7ème place à 1’26’’ d’Hugo GOEPFERT (Sainte-Croix-en-
Plaine) dans la course super-Vétérans/Cadets/Dames se classe 1ère Féminine.
Dimanche 29 octobre, FFC, Cyclo-cross de Belfort : Tanguy FRANCINI (CCE)
prend la 15ème place en séniors d’un cyclo-cross remporté par Damien MOUGEL (Eguisheim). En Masters
c’est MARHEM (VCO) qui s’impose, Michel VAUTHERIN (Étupes) s’offre un top10 (10ème).
Dimanche 29 octobre, FFC, Cyclo-cross de Neuves-Maisons (Meurthe-et-Moselle) :
Loïc BRUETCH termine 4ème du cyclo-cross toutes catégories remporté par Charles PLANET (Team
Novo Nordisk) Rédaction : Noël-Pierre BÜHLER
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