ZrAimóe— Dimanche20Mai1018...

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Zr Aimóe r 13,437 M3bPages) 10 (kittimes — EDITION DUMATIN — 10 Centimes (-45= Pages) Di manche 20 Mai1018 Administraieiif •Déléguê-Gérant O. RAN DO LET islration, Impressions etAnnonces, TÉL. 10.1, 35, Rue Fontenelle, 35 AdressoTélégraphique:RAND0LETHavre Le Petit Havre RÉDACTEUR EN CHEF J.-J. CASPAR - JORDAN Secrétaire Général: TH. VALLÉE Rédaetion, 35, ruo Fonlenelle - Tél. 7.60 ANNONCES AU HAVRE.. Bureau pu Journal, 112, boul' de Strasoourg. L'AGENCE.HAVAS, 8, place de la Bourse, est 3eule chargée de recevoir les Annonces pour le Journal. La PETITHAVREestdésignêpour les AnnoncesJudicinireset lêgnles tt mr-nMiimran i nrtr A PARIS ORGANE RÉPUBLICAIN DÈMOCRATIQUE Le plus fort Tirage des Journaux de la Region ABONNEMENTS l'Oise et la Somme.. Autres Départements. || Union Postale Trois Mois Six Mois Fr.« tS Fr. 19 . 15 Fr. 13 » 25 Fr. Un Ah SS Fr. »8 » 4L5 » Ons'abonneÉgalement,SANSFRAIS,danstousles Bureauxde Postsdo France SS6SI wtmm■ Ru Pil des Jours Le Rire Bleu°Khaki II y a des rices qui ae fieurirontplus. Les souvenirs it jamais douloureuxles ©nibrusqueme.ntsaisis et, sous leurs grilles aiguës, refoulés jusqu'au fonddes coeurs. Les rêves brisés cbeminent a travers les ruines des espoirs. La guerre et la mort leur onl mis un brassardde crêpe. Si, parfois, au milieu des angoissesen flèvre et des tristesses repiiéessur elles- ïïiêmes,passé l'éclat d'une gailé violente, si cettejoie débridée revêt souventdes fa¬ mous d'indécenee, comme uiie insulte au malheur d'autrui, n'accablons pas de trop de sarcasmes l'intruse dont le manque de tact atteint cruellementles sensibilitésmi- sesa nu. La nature humaine veut des op- fiositionset des contrastes.La mortappelle a vie, la nuit altend le jour. Lesréactions sont dans l'ordre des choses. Ge n'est, le plus souvent, ni égoïsme, ni indiffe¬ rence, ni détacliement d'une attention qui sut se faire, a l'occasion,fralernelleet tou- chante, mais un besoin instinctif de se- couerla lorpeur enveloppantedes pensées, de s'évader du cercle des mélancolies, d'ouvrir au grand et vivifiant soleil la fe- uêtre des soucis, PeUt-être avons-nous été injustes è l'égard de ces joies qui paraissaient hors de saison.Nousles avons accusées d'inso- lencc voulue; elles n'élaient parfoisque la détenteimpatientedes nerfs. Si leur attitu¬ de nous a blessé, si elie nous blesse enco¬ re, lorsque l'arrière, heureux de sa sécu- rité, livre le spectaclede sa dignité rela¬ tive et de ses petites lèchelés, il est des lieux oü ces gaftésjeunes ei sonores sont, non seulement de mise, mais nécessaires par le réconfortmoralqu'ellesapport'ent. Le. soldat qui ne rirait point pendant les intermèdes de sa vie terrible serait un foyer de contagion redoulable, une distillationpermanentede «cafardine». Ii tinirait par yitoxiquerles sourires les plus rayonnantsde son entourageet badigeonne- rait de noir i'aile capricieusedes papillens que le rayond'un bout de lettre fait éclore en eerveile. Lerire.au front est d'essenee spéciale. II entredanssa compositionune gaité sim¬ ple, assez rudimentaire, celle que nous avons, anciens, connue,cullivée et propa- gée a la caserne,maisa laquelle la guerre, aveeses rudesses,ses violencestragiques,' son contact permanent avec la soufl'rance, a ajoulé une saveur étrange et forte. La bellehumeur marque latrève. Pour quel- quesjours, pour quelques heures, elle a pris cantonnementdansune oasis aimable oü Ie'rire débottéretrouvé ses droits. G'est la balie irisée et lègère, la bulle fragile livrée aux hasardsde l'air, a la merci d'un souffle,la bulle d'oubli qui montevers un coin du ciel oü le rideau des nuages a laissé flltrer du bleu. Commeje revenaisde la régionde Ver¬ dun, secouéè plaisir par le petit tortil- lard meusien,avec, pour compagnonsde route, de beaux et bons poilus sortant è peine de la tranchée, si las, si las que les roses' perspectives de la perm' n'avaient pas encore eu le temps de promener leur coup de fer réparateur sur les aff'aisse- ments de la machine humaine, le train stoppa. C'était une des extrêmes stations ouver- tes au civil de la région. Des élégances villageoisesmontèrent.Unchapeau du dU mdfiche qui ehantait le prrntempspar le copieux déploiement de ses rubans vert- pomme réveilla tout a coup les somnolen¬ ces du bleu-h'iriz>n. Une frimousse pas farouche du tout complétale prestige. Et les yepx brouillésde poussièreet de fati¬ gue se mirent du coup au Garde-a- vous. '■ — Mam'zelleUrsule! Mais oui, c'était «Mam'zelleUrsule», Mam'zelleUrsule,deRembeccourt-les-Pots, bonnefllleau sourire ami et, par surcroit, unc nianièred'Annuairemilitaire en cam¬ pagne. Depuis les moiset lesmoisqu'elle voyait séjourner en M»npayslestroupesau reptfs, elle avail fini nar se familiariseravec l'or- ganisation mililaire. Elle connaissait les armées, les divisions,les tètes d'officiers, les tctes de poilus,les chiffreset les noms. A chaqueretour des soldats,elle remettait de l'ordre dans ses tablettes menlales, elle effacailles disparus,recomptaitles galons, tenait a jour ses souvenirs el gianait les histoires. i De tout cela, elle faisait une conversa¬ tion piquanteet coloréeoü se mélangeaient les chosesles plus disparates. Au hasard des idéés,desrencontres,elle abordait les sujets divers,notait les poltns. en contait d'autres, sans préteutionni ma'iee, petite Franchise amusante en sa rusiicité cam- pagnarde, adorant les militaires et leur causant tant de plaisir, rien qu'avec des souriresjetés au passage, qu'elie prodi- guait ees marquesd'affectionpar pur cfl- voucmentpatriolique. Un aspirant s'était précipité è ses cótés, «fcurla plate-forme. . Mam'zelle Ursule sursauta . —Ah! c'est vous.M.PiveI?Cequej'suis- t y heureuse devousrevoir. . —M(is non. je suis pas Pivel. Voyons reconnaissez-moi,du89 ! ' — Parbleu,oui. je vousreconnais,même que j'ai votrephotodans un groupe. — Pas moi,pour sur, pas moi !... Je suis Flambard! Julien Flambard1 Pivel était de la 3%, — En v la une histoire! Je vous aurais toujourspris pourun autre. . . Vous savez, jeconfonds, ©vee toutesces figures, tous ces noms,tout ces uniformes. Ah ! vous êtes pas Pivel. C'est dommage. Pivel ! II est rigolo, lui. II a une facondrölc, d'imi- ter le l'eud'artifice.-Oüdonequ'il est ? — II.est mort ! Le iqot n'a pas figéles rires. L'accoutu- rnancede l'image,l'atmosphère,le paysage wllonuéde croix out fini par lui dönuer une paline de banalité. La gaité générale ne s'est pas brisée a ce barrage. Elle jail- lit, elle cascadeau contraire avec plus de mousse,plus de bruit, plus de jeunesse radieuse et folie. Les échappés de l'enfer ont l'air d'ètre emportés vers le paradis, derrière les rubans vert-pomme de Mam- zelle Ursule. Et c'est encoredu rire qui part en fusées et remplit le compartiment; il se penche autour du chapeau, recueille des facélies, rebondit a leur clioc.Gaité débordante et fruste, gaité de délicieusc, de bienfaisante détente,génóreuseet cornpalissante,douce aux souffrances passées, dissimulatrice des peinesè venir, et qui, en ce rdre ins¬ tant, voltige autour d'un ruban avec des exubérancesoü laCamardeelle-mêmelem- père 1 'horreur de sonricaneinent. Danslos effaranteset sombrestristesses d'un voyagea d'autres pays dévastés, ie n'ai rencontréqu'une éclaircie. Je l'ai aü a l'ami Tommy.Tréscordialement,il m'in- vila un jour, sur le front, a assister a une representationdes « Balmorals». Les« Balmorals» sont une de ces com¬ pagniesdramatiquesnéesde la guerre et pour la guerre, et qui viennentapporterau soldat britannique, entre deux coups de main, des heures réparatrices. Chaquedivisioncompleun de ces grou- pes dontles représentationssont réservées a la zonedes opérations. Nolezbien qu'il s'agit ici de troupes.. . d'hommesde.troupes,et non pas d'artistes en tournée. Retenez aussi que ces comé- diens et ces chanteurs sont des profession- nels des planches, qu'ils se sont engagés dansi'armée, qu'ils ont mené et mènent encore, pendantles entr'actes, la vie des tranchéesvet qu'il leur arrive parfoisde ne pas revenir dormerla réplique au prochain spectacle,la mort ayanteu lecaprice de les rejeter a jamais dans la coulisse. Les « Balmorals» dont jé vousparle ont a leur tête un capitaine qui a été au feu, qui s'y est vaillemment conduit, et de- meurepour ses joyeux camarades tout a la fois le ihusicien-compositeur, le libret- riste, le metteur en scène, Tinterprèteet l'impresario. II va sans dire que c'est la troupe elle- même.qui assure toutes les disposilions matérielles,brosse les décors,fait les cos¬ tumes, fabrïqueles accessoires.II va sans dire aussi que celte troupe ne comprend qu'un Sexe,le sexe fort,— et comment! — et que dp la jeune premièreaux danseuses, tout le monde sinuli-fémininfume la pipe derrière la;toile. Nousnous sommesfranehementa musës a cette fantaisie.Les rires clairs y partaient en gerbes pendant qu'au lointain grondait le canon. Une hilarité d'écoliers en va- cances — Tommy, vous le savez, a con- servé, malgré la tragédie, une humeur oü il y a de la candeur enfantine — déroulait ses cataractes. Elles allaient de vagues en vaguesbattre les bords de 4a scène, dans un bruit de bravos,de « cheers » et de coups de sifflets ravis et sympathiques. Les « Balmorals» s'étaient « produits», pour employerl'expressionanglaise.dans une pièce hien amusante,intilulée Turnip Tops,autrementdit les Boutsde Navet. G'était une opérelle-bouffonne oü il s'agissait d'une jeune flllet d'un sei¬ gneur amoureux,peu gentleman, et d'un bonassq,de personnage, qui avail la chanced'hériter d'un tas de livres ster¬ lings, a conditionque. . . , Maisvous medispensezde"recordera la suite de quelles aventures la jeune fille honnèteépouseson brave bonasse d'ami, devenu ofiicierdanslesHorseguards. Toutcela servait de prélexte a une co- médieburlesque, agrémentée de musique aimable,oü l'esprit caricalural se dépen- sait avecuneabondancesans pareilie. II y avail lè, notamment,une succulenteparo¬ die de Romeoet Julielteet<TOthello,la chose la plus follementgaieque j'aie vue danscette note de la paradeanglaise. II y avait la surtout un Tummy du nom de Connell,qui tenait, è s'y méprendre, l'unique róle fémininde la pièce. ■Lerideau tombé, j'eus i'avantage de pouvoir complimenter Tauteur-composi- teur-comédien-iinpresario. C'était au mess des officiers,è l'heure du thé. II avait en- levé son'fard, repris son uniforme.Le fan- taisiste bouffonétait redevenu un capi¬ taine d'infanterie écossaise, au masque grave. Le rêve était passé. Nousavons parlé trés sérieusement du dernier raid d'aviation. LesBoutsdeN <vet étaient bien loin. Leur trêve fut douce. lis avaientrelié, par Ie mi.acle inflni du rire, au mauvaissouvenirde laveille lajoie du jour, et camouflé d'apparente insou¬ ciance le troublant rnystèredu lendemain. Albert Herrensciimidt. ÉCHANGE DE TÉLÉGRArflIVIES S. M. le roi George a fait parvcnir a M. le pré¬ sident de la Républiijue, hier, un tólégrarame de remerciement en réfönse a celui que M. Poin- earé lui ayait adressé la veille. II y lait un chaleureux éloge de la « gjorieuse nation franeaise ». D.aulre part. le président de la République a reyu du roi d'Italie un vibrant télégramme en réponse au sien. L'Armée américaina seraupenlée DE 3 MILLIONS D'HOMMES Après Ja decision prise par la Commission mi¬ litaire de la Chambrc, de ratifier la proposition de M. Baker tendant a donner au président Wil¬ son une autorité illimitóe pour appeler les liom- mes sous les drapeauy, la même Commission vient de voter a Vunanimité une considerable augmentation des effectifs de l'armée amérieaine et a decide qu'un rapport favorable serait déposé 'sur Ja resolution de M. Reed, sénateur pour le Missouri, qui demandait que l'armée amérieaine fut augmentée de trois millions d' hommes. COMMUNIQUÉS OFFICIELS FRANCE Paris, 25 mai, 14 heures. Au cours de la nuit, nous avons repoussé deux coups de main ennemis, f-'i i au Sud du bois de Hangard, l'autredans les Vosges. Nos détachements et nes patrouilles ont réussi diyerses incursionsdans les lignes enne- mies a l'Ouost de Noyon, vers Aopilly et en Woëvre ; nous aroos f-.it un certain nombre de prisonniers. Rien a signeJei sur le reste du front. -v» 23 heures. Rien a signaler, en dehors de l'aotivité inter- mittente de l'artillefie au Nord et au Sud de L'Avre. AVIATION Dans les jour/léés des 22 et 23 mai, quatre avions ennemis 'et deux bahons captifs ont été abattus par nos pitotes. « II se confirme que cinq nouveaux appareils allemands ont éte détruits en combats aériens les 16 19 et 21 mai.-^TL " - Du 22 au 23 mai inclus, nos escadrilles de bombardement ont lancê t'ente mille kUogs de projectiles sur les gares cantonnements et ter¬ rains d'aviation de la zone ennemie. Des ineen - dies en gare de Montescourt et d'Hirson et de sérieux dégats sur le terrain d'aviation de Cappy ont été constatós. GRANDE-BRETAGNE ■MwamwumHiMBnmmM —— 25 mai,' après- midi. La nuit dernière, nos troupos ont fait irruption dans les tranohées en- nemies dans le voisinage de Hamel et au Nord d'Albert et capturè plus de 40 prisonniers et 2 mitrailleuses. Un coup de main heureux de nos troupes, au Nord de Lens, nous a valu quelques prison¬ niers. Le bombardement par obus A gaz a été in¬ tense hier soir A l'Est de Béihune. Pendant la nuit, l'activ de I'artillerie a augmenté dans le secteur de Sirazaele. AVIATION 24 mai. Le beau temps a pris fin le 23 courant, vers 11 heures du matin. Anterieurement plusieurs reconnaissances avaient été exécutees. Huit tonnes de bombes ont étéjetées sur les cantonnements ennemis dans le voisinage de Tournai et sur les aérodromes utilisés pour les bombirdements de nuit. Trois appareils allemands ont été abattus en combats aériens et deux autres descendus désemparés. Trois dééhótres manquent. Pendant la nuit, malgré un vent trés violent, nos appareils ont jetó plus de 7 tonnes de bom bes sur les cantonnements dans le voisinage de Péronne, de Fricourt et de Bapaume et sur des baraquements en bois dans la région de la Somme. Tous nos appareils sont réntrés. Aujourd'hui, près*d'une tonne de bombes a été lancée sur le chemin de fer et les usines de Hagwndengen, a 20 kilomètres au Nord de Metz. Pendant que nos appareils survo- laient leurs objectifs, ils ont été atta¬ qués par des avions de chasse enne¬ mis. Le feu des canons allemands a été considérable, cependant, tous nos appareils sont rentrés. Soir. L'arillerie ennemie a été active aujourd'hui dans le secteur de Villers-Bretonneux. Rien d'autre a signaler. Dans l'Est Afi'ieain Londres, 2j mai. Dans l'Est Africain, le brigadier -généraf Edwards a occupé, le 19 mai, N muagu, siège du grand quartier génèral allemand. Les lêtes de colonnes da nos deux principa- les forces ont repoussé Tennemi le 22 mai, entre Nenuagu et Mabua, et ont capture 150 fusils et des canons, préalablement enterrés. BELGIQUE Bggfefita5Mamte,»asgai 25 mai. Au cours de la nuit du 23 au 24 et dans la journée du 24, activité de l'artillerie dans les regions de Mercksm et de Boesinghe. AMÉRIQUE 25 mai, 21 heures. Hier, eri Picardie, nos troupes or.t execute un coup de main par surprise et ont inflgóh l'enneml des perte s assez sérieuses tant en tuós qu'en prisonniers. En dehors de cela rien d'important a si¬ gnaler. STALSE Rome, 23 mal. Entre la Brenta et la Plave et au Sud de Zenson, activité sensibledes'deux artilleries. Tirs épars sur le reste du front. Sur les pantos méridionales du Sasso Rosso, des tentativesd'attaque répétées de l'ennemionl provoqué l'intervention efficaco da nos batte¬ ries et donnèrent lieu a des échanges de gre¬ nades vifs et proiongós. Dans la région d'Azolone, nos patrouilles ont dêtruit un posie avancé ennemi et capture des armes et du me.tériel. Les forces ennemies sur les arriè"es du pla¬ teau d'Asiago furent bombardées par les avia- teurs ang' a's. Cinq appareils ennemis furent abattus, un sixième contraint d'alterrir. AVIATION Nos hydrations ont bombardé les hangars ennemis de l'iie Urzola avec des résultats vi~ sibles. Malgré le feu intense de l'ennemi, nos hydra- vious sont rentrés tous a leur base sans es- suyer aucun dommage. ' ~' ; DANS LES BALKANS FRANCE Salonïquc, 2i mai. Prés de Kumli (12 kilomètres Sua de Demir- Hissar) et a l'Ouest do Doiran, combats de détachements, au cours desquels les troupes britanniques ont mis en fuite les Bplgares et fait quelques prisonniers. Actions réciproques d'artillerie sur les deux rives du Vardar, a l'cst de la Garna et k l'Ouest du Iac d'Oahnida, l'ennemi a bombardé ayee une pièce k longue portée les locaiités de Numulista et d'Udunista Dagobart. Dernière Heure quatre heures dumatin HONNEUR AUX BRAVES f , Paris. — Au cours des deux derniers mois, la division a laquelle appartiennent les 403% 407e cl 410' régiment d'infanterie a participé a des actions demandant autant d'habileté de la part des chefs que de bravoure chez les soldats. La belle conduite du 410p avait (Iêja rey.u une consecration. Hier le général commandant le . ,e corps d'armée a reniis la Croix de guerre aux erapeaux des 403'' et 407% aiusi qu'un fanion a la 10e compagnie du 403e. Le Martyre de Béthune Paris. — Le correspondent de l'agence Havas sur le front britannique telegraphic : « Béthune,' que la population civile évaeua, doit être inscrite au martyrologe des villes fran- Caises. L'incendie a achevé l'oeuvre do bombar¬ dement effroyable qui, en cinq jours, rasa la ville. Rien dé la place, ni du beflroi ne subsiste. « II ne reste plus que deux ogives a l'église Saint- Waast. La tour carrée a disparu. » Le premier sous-marin-croiseur allemand est coulé Londres. (Communiqué de l'Amirouti)., — Un de nos sous-marins d'êscorte de 1'Atlantique rentré a la base annonce que le 11 mai, alors qu'il se rendait devant un eonvoi, il apercuf et coula a la hauteur du cap Saint-Vincent un sous- marin allemand du type « croiseur ». La mer étant trés agitée, il n'y eut pas de survivaitt. Peu après, un autre sous-marin fut apercu, mais il réussit a s'échapper eu plongeant rapide- ment. Etanl donné que c'est la première fois qu'a été coulé un sous-marin du type « croiseur », il fut décidé de faire exception a la règle générale qui est de ne pas signaler la destruction d'un sous- marin ennemi isolé. LesBochess'émeuvent Ils recomaissent la gravité des bom- bardements de l'avi&tion alliée BAfe.— Des informations de source allemande au sujet des raids d'aviateurs allies dans la ré¬ gion du Rhin, dimanche et lundi dernier, recon- naissent que ces raids ont provoqué une pro- fonde emotion. Ludwigshafen a recti 20 bombes qui causerent des dégats considerables. Landau a requ treize bombes au hut et fut én- core plus endommagé. Une bornbe tomba en plein sur les batiments militaires. Pirmasens fut égaloment copieusement arrosé. Partout il y a eu des morts et des blessós. A Mannheim, les voleurs et les apaches profi- tèrent de la panique pour cambrioler les appar¬ tement et les magasiuA' Le Mexique rsmptavecCuba Mexico. — Le Mexique a rompu les relations diplomatiques avec Guba. Le chargé d' affaires mexicain a la Ilavane et le ministre cubain a Mexico sont rappélés. Eii Finlande Londre'. — On mande de Stockholm que lc gouvernement finlaudais a démissioliné a la suite de la nomination de M. Svinhufvud, pre-' mier ministre, comme dictateur. M. Svinhufvud a chargé M. Paasikirij et-séna- teur, membFe du parti vieux finuois, de consti- tuer le nouveau Cabinet. Un Discours deLloyfl George « Nous devons avoir cortfiance dans les résultats de l ofrensive » Le premier ministre anglais a prononcé a Edimbourg, oü il était venu recevoir le droit de cité, un de ses plus rernarquables discours. II a dit notamment : Kous sommes a la veille d'une grande attaque allemande. Coux qui sont le mieux places pour pi'évoir sont extrèmement confiants dans les résul¬ tats de cette offensive. Le président du Conseil donna ensuite lecliu» du rapport de l'Amirauté qu'il venait de recevoir et d'ajpws lequel la menace de guerre sous-ma- rine était maitrisée de manière satisfaisante. Pepuis le début de Tannée, ajoute-t-il, 1'état-major de la marine est confiant. Les marines alliées cou- lérent plus de sous-marins que Tennemi n'en put construire. Le sous-marin reste menacant, mais il n'est plus un peril. Le premier ' ministre rendit aussi hommage aux qualités du général Foch. C'est, dit-il, un des stratéges les plus brillants de notre époque, un liomme d énergie agissante qui a des contiaissances profondes et line experience qui commande le respect, l'admiration, la confiance, Taffection'des soldats allies de chaque armee. M. Lloyd George, parlant alors de la nouvelle offensive' qui se prépare contre le front occiden¬ tal. déclara qu'elle marquait le moment décisif de la lutte et que les Allies 1'attendaient avec calme et la « conscience nette ». Si j'avais pu penser que, par tin moven stir et ho¬ norable quelcoiique, nous aurions pu éviter cette lutte dés le début ou la voir terminée plus tót, je me sentirais dés ce moment, non seulement accablé d'angoisses, ma» écrasé sous la culpabilité. Je puis dire en toutc honnèteté que le gouvernement n'a négligé aucun moyen possble pour trouver une issue lioiïorable a cette' guerre, a ses hoVreurs, k ses tra¬ gédies. En cc qui conccrnc la Russie, c'est unc des leyons de la guerre. II ne fautpas avoir une con¬ fiance excessive dans los formules. Ne vous y trompez pas, nons avons affaire è un despotisme prussien sans merci qui no clierche que pillage, brigandage et rapines. Les ■traités n'impo- sent aux Allemands pas plus ile contraiirte aujour¬ d'huiquetojouroüU&«uü>t»v«hi taBelgique. LA GUERRE AÉRIENNE liesvillesdaHbiasoaslesbombes La terreur h Cologne Lc correspondant du Daily Mail télégraphie que le député Kuckholf, qui a demandé au chan- c.clicr d'outrcr dans dos arrangements intcrna- tionaux, afin d'empêchcr de nouveaux bombar- dements de villes non situées dans la zone des armées, a traduit l'émoi et l'agitat-ion qui ont gagné jusqu'aux villes de Magdebourg, de Brunswick et de Hanovre. D'après une correspondance de la frontière, le raid de samedi dernier sur Cologne a rempli de terreur toute la population rbéuane, surtout ü Duisbourg et a Dusseldorf. Un message venu de Cologne dit que depuis le Tameux raid « américain », qui en réalite était "britannique, et la première attaque par bombes qui suivit de prés, des aiertcs ont été fréquem- ment données par les sirenes des usines. Mais comme Ton s'apercut que c'était surtout des aler- tes de trayeur ou d'essai, la population deviut ,indifférente. On a installs, de nouveaux refuges Souterrains, et restreint encore l'éclairage. Les 37 tuós et 67 blcssés du raid de Cologne ne comprennent pas les soldats atteint également par les bombes. II résulte de toutes les impressions recueillies que Feffct du dernier raid sur Cologne a été pluis grand que celui de n'importe quel autre raid antérieur. Uncertain norobre d'ouvriers Ilollandais ont été empcchés de parlir pour la Hollandependant quelques jours. Le raid exécuté lundi soir sur Coblentz a sur¬ tout frappé la petite ville de Guis, prés de Co¬ blentz, sur la rive Quest de la Moselle, et Win¬ ningen, située en amont. La ville de Bonn a été également bombardée, mais les détails manquent. Les villes riveraines du Rhin ne cossent d'adresser des petitions aux autorités pour oblenir une protection meilleure. A Mannheim ■Shiples usines de gaz asphyxiants Le Daily Mail écrit : La fabrique de gaz asphyxiants de Mannheim, sur le Rhin, a été gravement endonnnagée par les raids entrepi is par les aviateurs britanniques au cours de plusieurs nuits consécutives. La première attaque eut lieu mardi soir, et au cours d'une deuxiènie visite, nfercredi, nos avia¬ teurs ont pu constater de visu les grands doninia- ges causes la nuit précédcnte. On sait que deux grands incendies se déclan- chêrcnt a Mannheim a la suite du bombardement de mercredi. Mannheim était Fun des centres les plus im¬ portants pour la production des gaz asphyxiants. C'est la huitième fois que Mannheim est bom¬ bardé. l)n raid par jour . Lc petit tableau suivant ne manque pas d'in- térêt : Mardi 21 mai : Mannheim, Thionvillc, Kar- thaus. Mercredi 22 mai : Melz et Liége. Jeudi 23 mai : Mannheim, Krensewald (au Sud-Ouest do Sarrebrück), Metz-Sablon. « Portons ia guerre au cceur de l'Allemagne » Le Tiailij Mail s'exprime ainsi dans son leader article d'hier : La série de nos raids aériens et nos succes de la semaiuo qui vient de s'écoüler démontrent noüe suprématie. , Ên mai 1917, Londres et Folkestone étaient bom¬ bardées sans que nous répondions ii ces attaques. Ce mois-ci, malgré lo temps défavorable, nous avons attaqué Saarbrück, Cologne, Coblentz, Lan¬ dau, Mannheim et Kartliaus, terres allemandes. En¬ fin, Metz et Thion ville, en Alsace-Lorraine. Kous avons liombardé des aérodromes, des points de concentration et ongagé des combats aériens. Kos dcveloppements nous'permettront bientói d'at- teindre l'Allemagne orienlalc et centrale et de laisser tomber sur ces pays des tonnes d'explosifs. L'ennemi se veria obligé ii la defensive. L'élat-major s'attend a ces actions et prévoit l'eu- tröe en scène des troupes américaines. C'est pour- quoi on cssaie de nous paralyser par des negotia¬ tions possibles. Abandonner Tidéo des raids aériens... Voila oü Ton veut on venir. Ce serait un leurre au moment oü le kaiser, sans scrupule, après la paix do lire '.t-Lrtovsk, envoio ses armées en Russie pour effectuer ses ravitaillements. C'est un socialiste qui l'a döclaré. - II faut done s'en tonir a l'extonsion de la guerre aérienne et la porter au cceur de l'Allemagne. < Ruse éverttée De M. Herbert Bailey, correspondant du Daily Mail, signalo : ■- Kouveau procédé employé par les Allemands pour trompor leurs adversaires : ils lioient tours appareils dans un image tie furace pour tairo ci tiiro qu'ils sont en feu. L'assaillant, se figurant qu i! a vaincu, s'éloigne, cc dont lo Boclie profile pour sor- tir do sa fuméo et courir après TAméricain ou f An¬ glais. Mais cette astneo lie parait pas avoir ou grand rc'sullat. Deux aviateurs américains guettèrent lo moment oü les Gothas montraicnt le nez pour fon- dre sur eux et. los mitraillev. La superiority des aviateurs américains dans tous ics sccteurs est maintenant prouvéc. Leur cseadrilio de chasse est parficulierement redoutéé de 1'adver- saire. En avril, elle a abattu douzo appareils, n'en perdant clle-meme que. quatre. Au début, les Allemands survolaient lc secteur amcricain jusqu'a COfois par jour, mais bier ils no l'ont fait qu'une fois. Les Américains ayant, pour le moment, beaucoup plus de pilotes que d' appareils, envoient leurs am. teurs combalte sur les autres fronts. Les toxrsiis ielanuit ia22n 23 SUR LA REGION PARiSIENNE Aviateurs franqais victimes d'accidents Au cours des patrouilles faites par les avions de# services de la defense aérienne du camp retranché de Paris, deux accidents graves se sont produils. Uil avion que conduisait le lieutenant Destliaiiips, avec le soldat mitrailleur Doc a bord, a capotó prés dc Meaux et a pris feut Le pilote et ie mitrailleur furent carbonisés. Un autre avion, pilot' par le maréchat des logis Armengaud, pril feu cn Pair pour una cause égale¬ ment ïndéóendanto du raid ennemi. L'aviateur réussit ii atterrir dans des conditions anonnaies et put, ainsi que le mitrailleur, le caporal Natier, quitter Tappareil on flammes.L'un et l'autre n'étaient que lcgèrement bicssés, L'appareil allemand abattu è l'Ocméon Nous avons dit bier que deux avions allemands qui out pris pris pari au raid avaient etc c.mtraints d'atterrir, Tun a Saftitines, l'autre ii la ferme de TOrméon, prés de Verborie (Oise). Voici comment le second a dü mterrompre sa eourse : lm obus avait dctoncé trois cylindres du moteur, line hélice et les longerons. L'appareil se ruit a des¬ cends cn spirale. Deux aviateurs le moiitalent : un feldwebel pilote et un capitaine observateur. Un peu avant de toucher Ie sol, ils lachèrent leurs bombes, qu'ils avaient encore au complet, n'en ouservant que deux pclites pour faire sauter leur ppareil . A peine a torre, ils mirent le feu a Taéroplane et s'enfui rent a travers champs. Ils suivireiit la ri¬ viere ct la voie lerrée jusqu'au jour, passèrent la journée tapis daus les lierbes, se reinirent eti raar- che a la nuit. Les deux aviateurs étaient parvenus a Margn'y-les- Cqmpiègne, non loin d'un chasseur a pied en' s'onti- nelle. Le eapitainc, voyant uij poteau iudieateur, ch'ercha a en lire les inscriptions au move» de sa Jampc éléctrique de pocbe. I,a sentinelle j'ugeant ces voyageurs suspects, les laissa approcber ét cria i « Halte-lil I » Le capitaine allemand, qui s'appelle Paul Kohl, paya d'audace et dit .être le capitaine Cooc.k,Americain ; mais notre chasseur tlair-a la ruse, et ne pouvant s'emparor a lui scul des deux hommes, sauta sur le plus>uiie, le feldvvebcl. Pen¬ dant ce temps, le capitaine ' Kohl disparaissait do nouvesu. Sa capture, ü l'heure actuelle, doit être chose faite. SUR MER Le torpiilage de I' « Innisgara r> v Le vapeur Innisgara (1,412tonnes), transportant le courrier et allanl de Fishguard (Pays-de-Galles) a Cork (Irlandel, a été coulé merc/edi matin. Cinq liommes seulement, le capitaine, le premier officier, le maitre d'liötel et deux marins soul sau- vés. VInnisgarra a coulé peu après avoir été torpitlé. Un survivant a été ramené a bord du sous-marin, tandis que les autres parvenaient a monter sur un radeau ; le capitaine est assez griêvement blessé a la jambe. Les détails -sur Ie torpiilage de VInniscarra disent que le navire tut touché au-milieu par line torpiile et coula, la proue en avant, en quatre minutes. . Des canots furent lancés, muis ne purent s'éloi- gner et furent engloutis. Peu après, le sous-marin parut. Son capitaine interrogea les survlvants montés sur un radeau et lqur remit les lettres des prisonniers gardes a bord du sous-marin. Le naviTe comptait 31 hommes d'équipage, il portait une cargaison de marchandises. Le capitaine est resté sur le pont et se laissa en- gloutir avec le navire. II parvint a remoater a la surface ct tut recueitli par d'autres nautragés. Le torpiilage du « Moldavia » 60 Américains manquent Un croiseur auxiliaire anglais, le Moldavia (9,300 tonnes), a été coulé dans la matinee de jeudi. Les survivants du Moldavia donnent de nou¬ veaux détails sur la perte du navire. Le Molda'-i, i.ful torpilic de nuit. Ce navire trans-, portait des soldats américains. Des contre-torpilleurs, escortant Ie navire, se mi- rent a la poUrsuite du -sous-marin, puis vincent se ranger le long du Moldavia. Les troupes, officiers et équipages, passérent ii bord des contrc-torpilleurs. La force de Texplosion détruisit les echelles condui- sant au pont ; une soixantaine de soldats se trouvant en bas perirent. L'embouteillage d'Ostende et de Zeebrugge Les Allemands ont réussi a changer Ia position du Vindictive dans le goulet d'Ostende. Ils Tont fait pivoter, de sortc qu'aujourd'hui ce navire est placé parallèleraent a ia jetée, du - cót^ Ouest, Jaissant un passage libre d'environ 10 me¬ tres. Kéanmoins les Allemands ne font"aucun usage du port d'Ostende en ce moment. A Zeebrugge, il toni des efforts pour dragugr un passage entre les deux croiseurs britanniques cou- lés a l'embouchure du canat. Ces efforts n'ont pas abouti. Le contre-torpilleur allemand qui fut coulé dans Ie canal par une bornbe (fun aéroplane britannique est tout prés des deux croiseurs coulés. Zeebrugge est done toujonrs liloqué. D'autre part le bassin de Brifges est plein de naviros allemands immobiles etquiucfout plusaucunusageducanal. LECOMPLOT D'IRLAjïDE I Lc gouvernement hritannique public I? com¬ munication attcudue sur l'cntrcprise alleuianda en li lande, C'est un historique complet qui pari du 6 no- vemhre 1914. 11révèle uu complot ajicmaiid pour soulever lTrlande. Les autorités anglaises purent pre venir le com- mandement en Irlande de Tarrivée probable d'u© agent allemand' débarquant d'un sous-marin. Cet agent, eftectivemeiit, débarqua le 12 avril ct tut ac¬ re té. L® nouveau soulèvement dépendait cn grande paitie du débaiquemont.dQ munitions par les sous- marins, ct il exlste des preuves que. lo plan élait d'agir après -une heureuse offensive dans l'Ouest, au moment oü il serait presumable que la Graude- Bretagne était dégarnie de troupes. Suivant des documents trouvés sur lui, de Valera avait ctudié minutieusement la formation de son arrnée de rebelles, il espérait avoir 500,000hommes entrainés. Les préuves existent que des munitions' allemandes furent ombarquées a Cuxhaven au com- nnfccmenl de mai ct que, pendant un certain teil*, les sous-marins allemands furent occupés au large de la cóte.prcidentalc d'Irlande a d'autres buts que la destruction des navires allies. On voit done quo les négociations entre Ia direc¬ tion des organisations sinn-foin el TAIIemngiiecou- tinuerit virtuellement depuis trois ans ct drnii. .Tout au début; la section des Irlando-Amérieains fut TinlcrmédiAire pour la plupart des tractations ; maïs, depuis 1'entree en guerre de TAméiiqur, les communications ne furent plus directes. Le deuxié- me soulèvement organise Tannée dernière échoua uniquement paree que TAUemagne fut iucapabla d'envoyev des troupes. Cette' année, on formait des plans pour un nou¬ veau soulèvement en rapporl-avee uuo offensive al¬ lemande sur Ie front occidental ; ct l'cnvoi d armes par bateau d'Allemagne était imminent. Chaque fois, ia partio ossenticllo du plan élait Tétabhssemont de bases sous-marines én Irlanda pour menacer la navigation de toutes les nations. Dans ces conditions, ie gouvernement n'avait pas (l'autre issue, s'il voulait éviter Perfusion de sang et remplir son devoir onvers ses allies, que d'inter- ner les auteurs et instigateurs de cette intrigue cri- mineiie. Queva-t-il sepasser aPrague? Solon Ie N'nurenu Journal de SMIgarf, fla nouvltcs manifestations sont pivvuos pouf au¬ jourd'hui ditnanchc, afin de protester contre les mesures de représailles prises par lo gouverne¬ ment autrichien. Cos manifestations afTecteront certainememt un caractère .tragique, vu quo les autorités de Vionne ont envoj'é a Prague des troupes

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Zr Aimóe—r 13,437 M3bPages) 10 (kittimes— EDITIONDUMATIN— 10Centimes (-45=Pages) Dimanche20Mai1018Administraieiif•Déléguê-Gérant

O. RAN DO LETislration,ImpressionsetAnnonces,TÉL.10.1,35, Rue Fontenelle, 35

AdressoTélégraphique: RAND0LETHavre Le Petit Havre RÉDACTEUR EN CHEF

J.-J. CASPAR - JORDAN

Secrétaire Général: TH. VALLÉE

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Ru Pil des JoursLe Rire Bleu°Khaki

II y a desrices qui ae fieurirontplus.Les souvenirs it jamais douloureuxles©nibrusqueme.ntsaisiset, sous leurs grillesaiguës, refoulés jusqu'au fonddes coeurs.Les rêves brisés cbeminent a travers lesruines des espoirs.La guerre et la mortleur onlmisun brassardde crêpe.Si, parfois, au milieu des angoissesenflèvre et des tristesses repiiéessur elles-ïïiêmes,passé l'éclat d'une gailé violente,si cettejoie débridée revêt souventdes fa¬mousd'indécenee, commeuiie insulte aumalheur d'autrui, n'accablons pas de tropde sarcasmes l'intruse dont le manque detact atteint cruellementles sensibilitésmi-sesa nu. La nature humaineveut des op-fiositionset des contrastes.Lamortappellea vie, la nuit altend le jour. Lesréactionssont dans l'ordre des choses. Ge n'est,le plus souvent, ni égoïsme,ni indiffe¬rence, ni détacliementd'une attentionquisut se faire, a l'occasion,fralernelleet tou-chante, mais un besoin instinctif de se-couerla lorpeurenveloppantedespensées,de s'évader du cercle des mélancolies,d'ouvrir au grand et vivifiant soleil la fe-uêtre dessoucis,PeUt-être avons-nous été injustes èl'égard de cesjoies qui paraissaient horsde saison.Nousles avons accusées d'inso-lenccvoulue; elles n'élaient parfoisque ladétente impatientedes nerfs. Si leur attitu¬de nousa blessé,si elie nous blesseenco¬re, lorsque l'arrière, heureux de sa sécu-rité, livre le spectaclede sa dignité rela¬tive et de ses petites lèchelés, il est deslieux oü ces gaftésjeunes ei sonores sont,non seulement de mise, mais nécessairespar le réconfortmoralqu'ellesapport'ent.Le. soldat qui ne rirait point pendantles intermèdes de sa vie terrible seraitun foyer de contagion redoulable, unedistillationpermanentede « cafardine». Iitinirait par yitoxiquerles sourires les plusrayonnantsde sonentourageet badigeonne-rait de noir i'aile capricieusedes papillensque le rayond'un bout de lettre fait écloreen eerveile.Lerire.au front est d'essenee spéciale.II entre danssa compositionune gaité sim¬ple, assez rudimentaire, celle que nousavons, anciens,connue,cullivée et propa-gée a la caserne,maisa laquelle la guerre,aveeses rudesses,ses violencestragiques,'son contact permanent avec la soufl'rance,a ajoulé une saveur étrange et forte.Labellehumeur marque latrève. Pour quel-quesjours, pour quelques heures, elle apris cantonnementdansune oasis aimableoü Ie'rire débottéretrouvé sesdroits. G'estla balie irisée et lègère, la bulle fragilelivrée aux hasardsde l'air, a la mercid'unsouffle,la bulle d'oubli qui montevers uncoin du ciel oü le rideau des nuages alaisséflltrerdu bleu.Commeje revenaisde la régionde Ver¬dun, secouéè plaisir par le petit tortil-lard meusien, avec, pour compagnonsderoute, de beaux et bons poilus sortant èpeine de la tranchée,si las, si las que lesroses' perspectivesde la perm' n'avaientpas encore eu le temps de promener leurcoup de fer réparateur sur les aff'aisse-ments de la machine humaine, le trainstoppa.C'étaitune des extrêmes stationsouver-tes au civil de la région.Des élégancesvillageoisesmontèrent.Unchapeau du dUmdfiche qui ehantait le prrntempspar lecopieuxdéploiementde ses rubans vert-pommeréveilla tout a coup les somnolen¬ces du bleu-h'iriz>n.Une frimousse pasfarouche du tout complétale prestige.Etles yepx brouillésde poussièreet de fati¬gue se mirent du coup au Garde-a-vous.'■ — Mam'zelleUrsule!Mais oui, c'était «Mam'zelleUrsule»,Mam'zelleUrsule,deRembeccourt-les-Pots,bonnefllleau sourire ami et, par surcroit,unc nianièred'Annuairemilitaire en cam¬pagne.Depuislesmoiset lesmoisqu'elle voyaitséjourner en M»npaysles troupesau reptfs,elle avail fininar se familiariseravec l'or-ganisation mililaire. Elle connaissait lesarmées, les divisions,les tètes d'officiers,les tctes de poilus,leschiffreset les noms.A chaqueretour des soldats,elle remettaitde l'ordre dans ses tablettes menlales,elleeffacailles disparus,recomptaitles galons,tenait a jour ses souvenirs el gianait leshistoires. iDe tout cela, elle faisait une conversa¬tion piquanteet coloréeoü semélangeaientles chosesles plus disparates. Au hasarddes idéés,desrencontres,elle abordait lessujets divers,notait les poltns. en contaitd'autres, sans préteutionni ma'iee, petiteFranchise amusanteen sa rusiicité cam-pagnarde, adorant les militaires et leurcausant tant de plaisir, rien qu'avec dessouriresjetés au passage, qu'elie prodi-guait ees marquesd'affectionpar pur cfl-voucmentpatriolique.Unaspirant s'était précipité è ses cótés,«fcurla plate-forme.. . Mam'zelle Ursulesursauta .—Ah! c'est vous.M.PiveI?Cequej'suis-t y heureuse devousrevoir. .—M(is non. je suis pas Pivel. Voyonsreconnaissez-moi,du 89 ! '—Parbleu,oui. je vousreconnais,mêmeque j'ai votrephotodansun groupe.—Pasmoi,pour sur, pas moi !... Jesuis Flambard! Julien Flambard1 Pivelétait de la 3%,— En vla une histoire! Je vous auraistoujourspris pourun autre. . . Vous savez,jeconfonds, ©vee toutesces figures, tousces noms,tout ces uniformes. Ah ! vousêtes pasPivel. C'est dommage.Pivel ! IIest rigolo, lui. II a une facondrölc, d'imi-ter le l'eud'artifice.-Oüdonequ'il est ?— II.est mort !Le iqot n'a pasfigéles rires. L'accoutu-rnancede l'image, l'atmosphère,le paysagewllonuéde croix out fini par lui dönuer

une palinede banalité. La gaité généralene s'est pas briséea ce barrage. Elle jail-lit, elle cascadeau contraireavec plus demousse,plus de bruit, plus de jeunesseradieuseet folie. Les échappésde l'enferont l'air d'ètre emportés vers le paradis,derrière les rubans vert-pommede Mam-zelleUrsule.Et c'est encoredu rire qui part en fuséeset remplit le compartiment; il se pencheautour du chapeau, recueille des facélies,rebondita leur clioc.Gaité débordante etfruste, gaité dedélicieusc, de bienfaisantedétente,génóreuseet cornpalissante,douceaux souffrances passées, dissimulatricedes peinesè venir, et qui, en ce rdre ins¬tant, voltigeautour d'un ruban avec desexubérancesoü laCamardeelle-mêmelem-père 1'horreur de sonricaneinent.

Dansloseffaranteset sombrestristessesd'un voyagea d'autres pays dévastés, ien'ai rencontréqu'une éclaircie. Je l'ai aüa l'ami Tommy.Tréscordialement,il m'in-vila un jour, sur le front, a assister a unerepresentationdes «Balmorals».Les« Balmorals» sont une de ces com¬pagniesdramatiquesnéesde la guerre etpour laguerre, et qui viennentapporterausoldat britannique, entre deux coups demain, des heures réparatrices.Chaquedivisioncompleun de ces grou-pesdont les représentationssont réservéesa la zonedes opérations.Nolezbienqu'il s'agit ici de troupes. . .d'hommesde.troupes,et non pas d'artistesen tournée.Retenez aussi que ces comé-diens et ceschanteurs sont des profession-nels desplanches, qu'ils se sont engagésdansi'armée, qu'ils ont mené et mènentencore,pendantles entr'actes, la vie destranchéesvet qu'il leur arrive parfoisde nepasrevenir dormerla réplique au prochainspectacle,la mort ayanteu lecaprice de lesrejeter a jamais dans la coulisse.Les « Balmorals» dont jé vousparle onta leur tête un capitaine qui a été au feu,qui s'y est vaillemment conduit, et de-meurepour ses joyeux camarades tout ala fois le ihusicien-compositeur,le libret-riste, le metteur en scène, Tinterprèteetl'impresario.II va sans dire que c'est la troupe elle-même.qui assure toutes les disposilionsmatérielles,brosse les décors,fait les cos¬tumes, fabrïqueles accessoires.II va sansdire aussi que celte troupe ne comprendqu'un Sexe,le sexe fort,—et comment!—et que dp la jeune premièreaux danseuses,tout le monde sinuli-fémininfume la pipederrière la;toile.Nousnoussommesfranehementamusësa cette fantaisie.Les rires clairs y partaienten gerbes pendant qu'au lointaingrondaitle canon. Une hilarité d'écoliers en va-cances — Tommy, vous le savez,a con-servé, malgré la tragédie, une humeur oüil y a de la candeurenfantine— déroulaitses cataractes.Elles allaient devaguesen vaguesbattreles bords de 4a scène, dansun bruit debravos,de « cheers»et de coupsde siffletsraviset sympathiques.Les « Balmorals» s'étaient « produits »,pour employerl'expressionanglaise. dansune pièce hien amusante,intilulée TurnipTops,autrementdit lesBoutsde Navet.G'était une opérelle-bouffonne oü ils'agissait d'une jeune flllet d'un sei¬gneur amoureux,peu gentleman, et d'unbonassq,de personnage, qui avail lachanced'hériter d'un tas de livres ster¬lings, a conditionque. . . ,Maisvous medispensezde"recordera lasuite dequelles aventures la jeune fillehonnèteépouseson brave bonasse d'ami,devenuofiicierdanslesHorseguards.Toutcela servait de prélextea une co-médieburlesque, agrémentée de musiqueaimable,oü l'esprit caricalural se dépen-sait avecune abondancesans pareilie. II yavail lè, notamment,une succulenteparo¬die de Romeoet Julielteet <TOthello, lachose la plus follementgaieque j'aie vuedanscette note de la paradeanglaise.II y avait la surtout un Tummydu nomde Connell,qui tenait, è s'y méprendre,l'unique róle fémininde la pièce.■Lerideau tombé, j'eus i'avantage depouvoir complimenter Tauteur-composi-teur-comédien-iinpresario.C'était au messdes officiers,è l'heure du thé. II avait en-levéson'fard,repris son uniforme.Le fan-taisiste bouffonétait redevenu un capi¬taine d'infanterie écossaise, au masquegrave. Le rêve était passé.Nousavonsparlé trés sérieusement dudernier raid d'aviation. LesBoutsdeN<vetétaient bien loin. Leur trêve fut douce.lis avaientrelié, par Iemi.acle inflni durire, aumauvaissouvenirde laveille lajoiedu jour, et camoufléd'apparente insou¬ciance le troublant rnystèredu lendemain.AlbertHerrensciimidt.

ÉCHANGEDE TÉLÉGRArflIVIESS. M. le roi George a fait parvcnir a M. le pré¬sident de la Républiijue, hier, un tólégrarame deremerciement en réfönse a celui que M. Poin-earé lui ayait adressé la veille.II y lait un chaleureux éloge de la « gjorieusenation franeaise ».D.aulre part. le président de la République areyu du roi d'Italie un vibrant télégramme enréponse au sien.

L'ArméeaméricainaseraaupenléeDE 3 MILLIONS D'HOMMES

Après Ja decision prise par la Commission mi¬litaire de la Chambrc, de ratifier la propositionde M. Baker tendant a donner au président Wil¬son une autorité illimitóe pour appeler les liom-mes sous les drapeauy, la même Commissionvient de voter a Vunanimité une considerableaugmentation des effectifs de l'armée amérieaineet a decide qu'un rapport favorable serait déposé'sur Ja resolution de M. Reed, sénateur pour leMissouri, qui demandait que l'armée amérieainefut augmentée de trois millions d' hommes.

COMMUNIQUÉSOFFICIELSFRANCE

Paris, 25 mai, 14 heures.Au cours de la nuit, nous avons repoussédeux coups de main ennemis, f-'i i au Sud dubois de Hangard, l'autredans les Vosges.Nos détachements et nes patrouilles ontréussi diyerses incursionsdans les lignes enne-mies a l'Ouost de Noyon, vers Aopilly et enWoëvre ; nous aroos f-.it un certain nombre deprisonniers.Rien a signeJei sur le reste du front.

-v» 23 heures.Rien a signaler, en dehors de l'aotivité inter-mittente de l'artillefie au Nord et au Sud deL'Avre.

AVIATIONDans les jour/léés des 22 et 23 mai, quatreavions ennemis 'et deux bahons captifs ontété abattus par nos pitotes. «II se confirme que cinq nouveaux appareilsallemands ont éte détruits en combats aériensles 16 19 et 21 mai.-^TL " -Du 22 au 23 mai inclus, nos escadrilles debombardement ont lancê t'ente mille kUogs deprojectiles sur les gares cantonnements et ter¬rains d'aviation de la zone ennemie. Des ineen -dies en gare de Montescourt et d'Hirson et desérieux dégats sur le terrain d'aviation deCappy ont été constatós.

GRANDE-BRETAGNE■MwamwumHiMBnmmM —— •

25 mai,' après- midi.La nuit dernière, nos troupos ontfait irruption dans les tranohées en-nemies dans le voisinage de Hamel etau Nord d'Albert et capturè plus de40 prisonniers et 2 mitrailleuses.Un coup de main heureux de nos troupes, auNord de Lens, nous a valu quelques prison¬niers.Le bombardement par obus A gaz a été in¬tense hier soir A l'Est de Béihune.Pendant la nuit, l'activ té de I'artillerie aaugmenté dans le secteur de Sirazaele.

AVIATION24 mai.

Le beau temps a pris fin le 23 courant, vers11 heures du matin. Anterieurement plusieursreconnaissances avaient été exécutees.Huit tonnes de bombes ont étéjetées sur lescantonnements ennemis dans le voisinage deTournai et sur les aérodromes utilisés pour lesbombirdements de nuit.Trois appareils allemands ont été abattus encombats aériens et deux autres descendusdésemparés.Trois dééhótres manquent.Pendant la nuit, malgré un vent trés violent,nos appareils ont jetó plus de 7 tonnes de bombes sur les cantonnements dans le voisinage dePéronne, de Fricourt et de Bapaume et sur desbaraquements en bois dans la région de laSomme. Tous nos appareils sont réntrés.Aujourd'hui, près*d'une tonne debombes a été lancée sur le chemin defer et les usines de Hagwndengen, a20 kilomètres au Nord de Metz.Pendant que nos appareils survo-laient leurs objectifs, ils ont été atta¬qués par des avions de chasse enne¬mis. Le feu des canons allemands a

été considérable, cependant, tous nosappareils sont rentrés.

Soir.L'arillerie ennemie a été active aujourd'huidans le secteur de Villers-Bretonneux.Rien d'autre a signaler.

Dans l'Est Afi'ieainLondres, 2j mai.

Dans l'Est Africain, le brigadier -générafEdwards a occupé, le 19 mai, N muagu, siègedu grand quartier génèral allemand.Les lêtes de colonnes da nos deux principa-les forces ont repoussé Tennemi le 22 mai,entre Nenuagu et Mabua, et ont capture 150fusils et des canons, préalablement enterrés.

BELGIQUEBggfefita5Mamte,»asgai

25 mai.Au cours de la nuit du 23 au 24 et dans lajournée du 24, activité de l'artillerie dans lesregions de Mercksm et de Boesinghe.

AMÉRIQUE25 mai, 21 heures.

Hier, eri Picardie, nos troupes or.t executeun coup de main par surprise et ont inflgóhl'enneml des pertes assez sérieuses tant entuós qu'en prisonniers.En dehors de cela rien d'important a si¬gnaler.STALSE

Rome, 23 mal.Entre la Brenta et la Plave et au Sud deZenson,activité sensibledes'deux artilleries. Tirsépars sur le reste du front.Sur les pantos méridionales du Sasso Rosso,des tentativesd'attaque répétées de l'ennemionlprovoqué l'intervention efficaco da nos batte¬ries et donnèrent lieu a des échanges de gre¬nades vifs et proiongós.Dans la région d'Azolone, nos patrouilles ontdêtruit un posie avancé ennemi et capture desarmes et du me.tériel.Les forces ennemies sur les arriè"es du pla¬teau d'Asiago furent bombardées par les avia-teurs ang'a's.Cinq appareils ennemis furent abattus, unsixième contraint d'alterrir.

AVIATIONNos hydrations ont bombardé les hangarsennemis de l'iie Urzola avec des résultats vi~sibles.Malgré le feu intense de l'ennemi, nos hydra-vious sont rentrés tous a leur base sans es-suyer aucun dommage. ' ~' ;

DANS LES BALKANSFRANCE

Salonïquc, 2i mai.Prés de Kumli (12 kilomètres Sua de Demir-Hissar) et a l'Ouest do Doiran, combats dedétachements, au cours desquels les troupesbritanniques ont mis en fuite les Bplgares etfait quelques prisonniers.Actions réciproques d'artillerie sur les deuxrives du Vardar, a l'cst de la Garna et k l'Ouestdu Iac d'Oahnida, oü l'ennemi a bombardéayee une pièce k longue portée les locaiités deNumulista et d'Udunista Dagobart.

DernièreHeurequatreheuresdumatin

HONNEUR AUX BRAVESf, Paris. — Au cours des deux derniers mois, ladivision a laquelle appartiennent les 403% 407ecl 410' régiment d'infanterie a participé a desactions demandant autant d'habileté de la partdes chefs que de bravoure chez les soldats.La belle conduite du 410p avait (Iêja rey.u uneconsecration. Hier le général commandant le. ,e corps d'armée a reniis la Croix de guerreaux erapeaux des 403'' et 407% aiusi qu'un faniona la 10e compagnie du 403e.

Le Martyre de BéthuneParis. — Le correspondent de l'agence Havassur le front britannique telegraphic :« Béthune,' que la population civile évaeua,doit être inscrite au martyrologe des villes fran-Caises. L'incendie a achevé l'oeuvre do bombar¬dement effroyable qui, en cinq jours, rasa laville. Rien dé la place, ni du beflroi ne subsiste.« II ne reste plus que deux ogives a l'égliseSaint- Waast. La tour carrée a disparu. »

Le premier sous-marin-croiseurallemand est coulé

Londres. (Communiqué de l'Amirouti)., — Unde nos sous-marins d'êscorte de 1'Atlantiquerentré a la base annonce que le 11 mai, alorsqu'il se rendait devant un eonvoi, il apercuf etcoula a la hauteur du cap Saint-Vincent un sous-marin allemand du type « croiseur ». La merétant trés agitée, il n'y eut pas de survivaitt.Peu après, un autre sous-marin fut apercu,mais il réussit a s'échapper eu plongeant rapide-ment.Etanl donné que c'est la première fois qu'a étécoulé un sous-marin du type « croiseur », il futdécidé de faire exception a la règle générale quiest de ne pas signaler la destruction d'un sous-marin ennemi isolé.

LesBochess'émeuventIls recomaissent la gravité des bom-bardements de l'avi&tion alliéeBAfe.— Des informations de source allemandeau sujet des raids d'aviateurs allies dans la ré¬gion du Rhin, dimanche et lundi dernier, recon-naissent que ces raids ont provoqué une pro-fonde emotion.Ludwigshafen a recti 20 bombes qui causerentdes dégats considerables.Landau a requ treize bombes au hut et fut én-core plus endommagé. Une bornbe tomba enplein sur les batiments militaires.Pirmasens fut égaloment copieusement arrosé.Partout il y a eu des morts et des blessós.A Mannheim, les voleurs et les apaches profi-tèrent de la panique pour cambrioler les appar¬tement et les magasiuA'

Le MexiquersmptavecCubaMexico. — Le Mexique a rompu les relationsdiplomatiques avec Guba.Le chargé d' affaires mexicain a la Ilavane etle ministre cubain a Mexico sont rappélés.

Eii FinlandeLondre'. — On mande de Stockholm que lcgouvernement finlaudais a démissioliné a lasuite de la nomination de M. Svinhufvud, pre-'mier ministre, comme dictateur.M. Svinhufvud a chargé M. Paasikirij et-séna-teur, membFe du parti vieux finuois, de consti-tuer le nouveau Cabinet.

UnDiscoursdeLloyflGeorge« Nous devons avoir cortfiancedans les résultats de l ofrensive »Le premier ministre anglais a prononcé aEdimbourg, oü il était venu recevoir le droit decité, un de ses plus rernarquables discours.II a dit notamment :Kous sommes a la veille d'une grande attaqueallemande. Coux qui sont le mieux places pourpi'évoir sont extrèmement confiants dans les résul¬tats de cette offensive.Le président du Conseil donna ensuite lecliu»du rapport de l'Amirauté qu'il venait de recevoiret d'ajpws lequel la menace de guerre sous-ma-rine était maitrisée de manière satisfaisante.Pepuis le début de Tannée, ajoute-t-il, 1'état-majorde la marine est confiant. Les marines alliées cou-lérent plus de sous-marins que Tennemi n'en putconstruire.Le sous-marin reste menacant, mais il n'est plusun peril.Le premier ' ministre rendit aussi hommageaux qualités du général Foch.C'est, dit-il, un des stratéges les plus brillants denotre époque, un liomme d énergie agissante qui ades contiaissances profondes et line experience quicommande le respect, l'admiration, la confiance,Taffection'des soldats allies de chaque armee.M. Lloyd George, parlant alors de la nouvelleoffensive' qui se prépare contre le front occiden¬tal. déclara qu'elle marquait le moment décisif dela lutte et que les Allies 1'attendaient avec calmeet la « conscience nette ».Si j'avais pu penser que, par tin moven stir et ho¬norable quelcoiique, nous aurions pu éviter cettelutte dés le début ou la voir terminée plus tót, je mesentirais dés ce moment, non seulement accabléd'angoisses, ma» écrasé sous la culpabilité. Je puisdire en toutc honnèteté que le gouvernement n'anégligé aucun moyen possble pour trouver une issuelioiïorable a cette' guerre, a ses hoVreurs, k ses tra¬gédies.En cc qui conccrnc la Russie, c'est unc desleyons de la guerre. II ne fautpas avoir une con¬fiance excessive dans los formules.Ne vous y trompez pas, nons avons affaire è undespotisme prussien sans merci qui no clierche quepillage, brigandage et rapines. Les ■traités n'impo-sent aux Allemands pas plus ile contraiirte aujour¬d'huiquetojouroüU&«uü>t»v«hitaBelgique.

LA GUERRE AÉRIENNE

liesvillesdaHbiasoaslesbombesLa terreur h Cologne

Lc correspondant du Daily Mail télégraphieque le député Kuckholf, qui a demandé au chan-c.clicr d'outrcr dans dos arrangements intcrna-tionaux, afin d'empêchcr de nouveaux bombar-dements de villes non situées dans la zone desarmées, a traduit l'émoi et l'agitat-ion qui ontgagné jusqu'aux villes de Magdebourg, deBrunswick et de Hanovre.D'après une correspondance de la frontière, leraid de samedi dernier sur Cologne a rempli deterreur toute la population rbéuane, surtout üDuisbourg et a Dusseldorf.Un message venu de Cologne dit que depuis leTameux raid « américain », qui en réalite était"britannique, et la première attaque par bombesqui suivit de prés, des aiertcs ont été fréquem-ment données par les sirenes des usines. Maiscomme Ton s'apercut que c'était surtout des aler-tes de trayeur ou d'essai, la population deviut,indifférente.On a installs, de nouveaux refuges Souterrains,et restreint encore l'éclairage.Les 37 tuós et 67 blcssés du raid de Colognene comprennent pas les soldats atteint égalementpar les bombes. „II résulte de toutes les impressions recueilliesque Feffct du dernier raid sur Cologne a été pluisgrand que celui de n'importe quel autre raidantérieur.Uncertain norobre d'ouvriers Ilollandais ontété empcchés de parlir pour la Hollandependantquelques jours.Le raid exécuté lundi soir sur Coblentz a sur¬tout frappé la petite ville de Guis, prés de Co¬blentz, sur la rive Quest de la Moselle, et Win¬ningen, située en amont.La ville de Bonn a été également bombardée,mais les détails manquent. Les villes riverainesdu Rhin ne cossent d'adresser des petitions auxautorités pour oblenir une protection meilleure.

A Mannheim■Shiples usines de gaz asphyxiantsLe Daily Mail écrit :La fabrique de gaz asphyxiants de Mannheim,sur le Rhin, a été gravement endonnnagée parles raids entrepi is par les aviateurs britanniquesau cours de plusieurs nuits consécutives.La première attaque eut lieu mardi soir, et aucours d'une deuxiènie visite, nfercredi, nos avia¬teurs ont pu constater de visu les grands doninia-ges causes la nuit précédcnte.On sait que deux grands incendies se déclan-chêrcnt a Mannheim a la suite du bombardementde mercredi.Mannheim était Fun des centres les plus im¬portants pour la production des gaz asphyxiants.C'est la huitième fois que Mannheim est bom¬bardé.

l)n raid par jour. Lc petit tableau suivant ne manque pas d'in-térêt :Mardi 21 mai : Mannheim, Thionvillc, Kar-thaus.Mercredi 22 mai : Melz et Liége.Jeudi 23 mai : Mannheim, Krensewald (auSud-Ouest do Sarrebrück), Metz-Sablon.

« Portons ia guerre aucceur de l'Allemagne »

Le Tiailij Mail s'exprime ainsi dans son leaderarticle d'hier :La série de nos raids aériens et nos succes de lasemaiuo qui vient de s'écoüler démontrent noüesuprématie. ,Ên mai 1917, Londres et Folkestone étaient bom¬bardées sans que nous répondions ii ces attaques.Ce mois-ci, malgré lo temps défavorable, nousavons attaqué Saarbrück, Cologne, Coblentz, Lan¬dau, Mannheim et Kartliaus, terres allemandes. En¬fin, Metz et Thionville, en Alsace-Lorraine.Kous avons liombardé des aérodromes, des pointsde concentration et ongagé des combats aériens.Kos dcveloppements nous'permettront bientói d'at-

teindre l'Allemagne orienlalc et centrale et de laissertomber sur ces pays des tonnes d'explosifs.L'ennemi se veria obligé ii la defensive.L'élat-major s'attend a ces actions et prévoit l'eu-tröe en scène des troupes américaines. C'est pour-quoi on cssaie de nous paralyser par des negotia¬tions possibles. Abandonner Tidéodes raids aériens...Voila oü Ton veut on venir. Ce serait un leurre aumoment oü le kaiser, sans scrupule, après la paix dolire '.t-Lrtovsk, envoio ses armées en Russie poureffectuer ses ravitaillements. C'est un socialiste quil'a döclaré. -II faut done s'en tonir a l'extonsion de la guerreaérienne et la porter au cceur de l'Allemagne.

< Ruse éverttéeDe M. Herbert Bailey, correspondant du DailyMail, signalo : ■ -Kouveau procédé employé par les Allemandspour trompor leurs adversaires : ils lioient toursappareils dans un image tie furace pour tairo ci tiiroqu'ils sont en feu. L'assaillant, se figurant qu i! avaincu, s'éloigne, cc dont lo Boclie profile pour sor-tir do sa fuméo et courir après TAméricain ou f An¬glais. Mais cette astneo lie parait pas avoir ou grandrc'sullat. Deux aviateurs américains guettèrent lomoment oü les Gothas montraicnt le nez pour fon-dre sur eux et. los mitraillev.La superiority des aviateurs américains dans tousics sccteurs est maintenant prouvéc. Leur cseadriliode chasse est parficulierement redoutéé de 1'adver-saire. En avril, elle a abattu douzo appareils, n'enperdant clle-meme que. quatre.Au début, les Allemands survolaient lc secteuramcricain jusqu'a COfois par jour, mais bier ils nol'ont fait qu'une fois.Les Américains ayant, pour le moment, beaucoupplus de pilotes que d'appareils, envoient leurs am.teurs combalte sur les autres fronts.

Lestoxrsiisielanuitia22n 23SUR LA REGION PARiSIENNE

Aviateurs franqais victimes d'accidentsAu cours des patrouilles faites par les avions de#services de la defense aérienne du camp retranchéde Paris, deux accidents graves se sont produils.Uil avion que conduisait le lieutenant Destliaiiips,avec le soldat mitrailleur Doc a bord, a capotó présdc Meaux et a pris feut Le pilote et ie mitrailleurfurent carbonisés.Un autre avion, pilot' par le maréchat des logisArmengaud, pril feu cn Pair pour una cause égale¬ment ïndéóendanto du raid ennemi. L'aviateurréussit ii atterrir dans des conditions anonnaies etput, ainsi que le mitrailleur, le caporal Natier,quitter Tappareil on flammes.L'un et l'autre n'étaientque lcgèrement bicssés,

L'appareil allemand abattu è l'OcméonNous avons dit bier que deux avions allemandsqui out pris pris pari au raid avaient etc c.mtraintsd'atterrir, Tun a Saftitines, l'autre ii la ferme deTOrméon, prés de Verborie (Oise). Voici commentle second a dü mterrompre sa eourse :lm obus avait dctoncé trois cylindres du moteur,line hélice et les longerons. L'appareil se ruit a des¬cends cn spirale. Deux aviateurs le moiitalent : unfeldwebel pilote et un capitaine observateur. Unpeu avant de toucher Ie sol, ils lachèrent leursbombes, qu'ils avaient encore au complet, n'enouservant que deux pclites pour faire sauter leurppareil .A peine a torre, ils mirent le feu a Taéroplane ets'enfui rent a travers champs. Ils suivireiit la ri¬viere ct la voie lerrée jusqu'au jour, passèrent lajournée tapis daus les lierbes, se reinirent eti raar-che a la nuit.Les deux aviateurs étaient parvenus a Margn'y-les-Cqmpiègne, non loin d'un chasseur a pied en' s'onti-nelle. Le eapitainc, voyant uij poteau iudieateur,ch'ercha a en lire les inscriptions au move» de saJampc éléctrique de pocbe. I,a sentinelle j'ugeant cesvoyageurs suspects, les laissa approcber ét cria i« Halte-lilI » Le capitaine allemand, qui s'appellePaul Kohl, paya d'audace et dit .être le capitaineCooc.k,Americain ; mais notre chasseur tlair-a laruse, et ne pouvant s'emparor a lui scul des deuxhommes, sauta sur le plus>uiie, le feldvvebcl. Pen¬dant ce temps, le capitaine ' Kohl disparaissait donouvesu. Sa capture, ü l'heure actuelle, doit êtrechose faite.

SUR MERLe torpiilage de I' « Innisgara r> vLe vapeur Innisgara (1,412tonnes), transportantle courrier et allanl de Fishguard (Pays-de-Galles) aCork (Irlandel, a été coulé merc/edi matin.Cinq liommes seulement, le capitaine, le premierofficier, le maitre d'liötel et deux marins soul sau-vés.VInnisgarra a coulé peu après avoir été torpitlé.Un survivant a été ramené a bord du sous-marin,tandis que les autres parvenaient a monter sur unradeau ; le capitaine est assez griêvement blessé ala jambe.Les détails -sur Ie torpiilage de VInniscarra disentque le navire tut touché au-milieu par line torpiileet coula, la proue en avant, en quatre minutes.. Des canots furent lancés, muis ne purent s'éloi-gner et furent engloutis.Peu après, le sous-marin parut. Son capitaineinterrogea les survlvants montés sur un radeau etlqur remit les lettres des prisonniers gardes a borddu sous-marin.Le naviTe comptait 31 hommes d'équipage, ilportait une cargaison de marchandises.Le capitaine est resté sur le pont et se laissa en-gloutir avec le navire. II parvint a remoater a lasurface ct tut recueitli par d'autres nautragés.

Le torpiilage du « Moldavia »60 Américains manquent

Un croiseur auxiliaire anglais, le Moldavia (9,300tonnes), a été coulé dans la matinee de jeudi.Les survivants du Moldavia donnent de nou¬veaux détails sur la perte du navire.Le Molda'-i, i.ful torpilic de nuit. Ce navire trans-,portait des soldats américains.Des contre-torpilleurs, escortant Ie navire, se mi-rent a la poUrsuite du -sous-marin, puis vincent seranger le long du Moldavia. Les troupes, officierset équipages, passérent ii bord des contrc-torpilleurs.La force de Texplosion détruisit les echelles condui-sant au pont ; une soixantaine de soldats se trouvanten bas perirent.

L'embouteillage d'Ostendeet de Zeebrugge

Les Allemands ont réussi a changer Ia position duVindictive dans le goulet d'Ostende.Ils Tont fait pivoter, de sortc qu'aujourd'hui cenavire est placé parallèleraent a ia jetée, du - cót^Ouest, Jaissant un passage libre d'environ 10 me¬tres.Kéanmoins les Allemands ne font"aucun usage duport d'Ostende en ce moment.A Zeebrugge, il toni des efforts pour dragugr unpassage entre les deux croiseurs britanniques cou-lés a l'embouchure du canat. Ces efforts n'ont pasabouti.Le contre-torpilleur allemand qui fut coulé dansIe canal par une bornbe (fun aéroplane britanniqueest tout prés des deux croiseurs coulés.Zeebrugge est done toujonrs liloqué. D'autre partle bassin de Brifges est plein de naviros allemandsimmobilesetquiucfoutplusaucunusageducanal.

LECOMPLOTD'IRLAjïDEI

Lc gouvernement hritannique public I? com¬munication attcudue sur l'cntrcprise alleuiandaen li lande,C'est un historique complet qui pari du 6 no-vemhre 1914. 11révèle uu complot ajicmaiid poursoulever lTrlande.

Les autorités anglaises purent prevenir le com-mandement en Irlande de Tarrivée probable d'u©agent allemand' débarquant d'un sous-marin. Cetagent, eftectivemeiit, débarqua le 12 avril ct tut ac¬re té.L® nouveau soulèvement dépendait cn grandepaitie du débaiquemont.dQ munitions par les sous-marins, ct il exlste des preuves que. lo plan élaitd'agir après -une heureuse offensive dans l'Ouest,au moment oü il serait presumable que la Graude-Bretagne était dégarnie de troupes.Suivant des documents trouvés sur lui, de Valeraavait ctudié minutieusement la formation de sonarrnée de rebelles, il espérait avoir 500,000hommesentrainés. Les préuves existent que des munitions'allemandes furent ombarquées a Cuxhaven au com-nnfccmenl de mai ct que, pendant un certainteil*, les sous-marins allemands furent occupés aularge de la cóte.prcidentalc d'Irlande a d'autres butsque la destruction des navires allies.On voit done quo les négociations entre Ia direc¬tion des organisations sinn-foin el TAIIemngiiecou-tinuerit virtuellement depuis trois ans ct drnii..Tout au début; la section des Irlando-Amérieainsfut TinlcrmédiAire pour la plupart des tractations ;maïs, depuis 1'entree en guerre de TAméiiqur, lescommunications ne furent plus directes. Le deuxié-me soulèvement organise Tannée dernière échouauniquement paree que TAUemagne fut iucapablad'envoyev des troupes.Cette' année, on formait des plans pour un nou¬veau soulèvement en rapporl-avee uuo offensive al¬lemande sur Ie front occidental ; ct l'cnvoi d armespar bateau d'Allemagne était imminent.Chaque fois, ia partio ossenticllo du plan élaitTétabhssemont de bases sous-marines én Irlandapour menacer la navigation de toutes les nations.Dans ces conditions, ie gouvernement n'avait pas(l'autre issue, s'il voulait éviter Perfusion de sanget remplir son devoir onvers ses allies, que d'inter-ner les auteurs et instigateurs de cette intrigue cri-mineiie.

Queva-t-ilsepasseraPrague?Solon Ie N'nurenu Journal de SMIgarf, flanouvltcs manifestations sont pivvuos pouf au¬jourd'hui ditnanchc, afin de protester contre lesmesures de représailles prises par lo gouverne¬ment autrichien. Cos manifestations afTecterontcertainememt un caractère .tragique, vu quo lesautorités de Vionne ont envoj'é a Prague destroupes

Te l*etit Havre — Dimanehe 26 Mai 1918

dinwipaLoealaCitations h l'Ordx-e dn Joiu

Dm Regiment :marshal des logis chef Quel lier, dn 270=

jfègiiiient d'artiïlerfe, a «té «té dans ces te'wes aKqdre du régiment :A fait ïn'euve dun entter fflévoueiBcnlpendant larfiode du 08 4928. Au feentdepuisöébut de ia campagne, a rempli, en 1917, lesImtlions d'ageivtde liaison «supnèsde finlaaterfe aupassage de I'Aitette-.M. Quettier est établi »égociant en eaJcs surHütre place, maisBti I. Quertkr et M. Léger.

t,e deuxk'w «anofiuier cofiéacSeor Marcel Le-«tesle, du 103= régiment, a été cité a Tordre durégiment :Ayant demandé a vciiir * ta balt' .vie de tir eaauu( 1917.en un moment partieaUerenient critique,y a donné nn bel exemptc de courage el xl'endu-ïauco. A, dernièremejit. elfectué des ravitaLUementsdans des conditions pariieulièremcnt difliciles.Af. Lemesle ost domkrlié a Saavic, quarto dela Mai'e-Rouge.

PaiilleiM arliorésle pavilion britaimhfuo a été arboré. samedi. surWé rents edifices a 1occasion de la lête do la reineiMuy d'Angietetwe.

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Pan» nos lltrine»Nous exposons dans nos vitrines d ittbvessastitesjfeotograpbies prises par M. A.-tt. Stoft, BR,reeVictor Hugo, au «wurs de la séaaoe qui a «u Menteudi a la caserne pour la remise de diplómes auxfamilies des soldats morts a» Champ d'bönneur.

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tl faiiiirait avoir k sa disposition des «ampriaiés«Tdinges. du tripte «strait de dithyrambe, .desféltcitsajou» ceaieenti'ées, des mots, enfin, dhrastbeauccup do choses sous un minimum de syllabes.Le peu «Seplaee de»t nous disposons aous obligoa condenser, avoe ©artes les rigueuiss d uae pres-sion iirtonw, des tenses qai «"aaroot pentétso pas.sous rotte forme taseóe, féloqüeaee que te meeè»imposci ait. C'est dommage.Maisdevant fes apres exigenoes <le Ja iniso enpages, curegistmis les brac©»,- rappels, «wations«IóbIint i'objel, hier, te tmn- Manwlin dans ito-HOS.L'cxccUent cinmtour est aujourd'tHii dans ie pteiaépanouisocnout de «ou jgteénu» talent . ^oniptessede vois. pBretcde iimtrre, dirtiurtiou dn omwédienmattra de st# effetset les atuwiajit par mie ietelii-gtuio foijetplioH da ft* seésiqtie : jj nepnésewte«ndes moiUcjli's artiste*».aotaeis, de ia kstme traditioöIranraise, ajoutaut aax retsoóutbes de fatt ia finesseéióeante de i'esprtt.MileCeslH'o«fut «oe parfaite Manèü, dont le char¬me. ensorceleui' a fait do l'héroïne une figure a«a-cftanle et gracieuse ; .etJl. Laioiil, un comte de bedeet haute Mk. L«?sinterprétes des réles de secondplan out eu leur part dans ce briilajjt suooès, uu desplus brillantsde la satson.tine gencreuse ei déüeate pensee de M. Masson,«trectcur, avait fait donner ceüe soiree au beneficedo l'OEiivro-Havraise de la Gcmttede Lait. La salieétait archi-conihte.Ge (ut urnecollaboration dianuaute de i'ari et dela pb'.lantbropie, avee oe touobatrt détail que fartItli-menic se fit philanthrope.Quo tous, dirêfténr, aitistes, chanteurs. m»si-ciens et. public suient au nom des petit*, cliaudementrameicies l

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Abel TASSELSoldal cilé 4 l'aedre de l'Armé «

mort au kont )e 31 mars 1918,a l age de 23 aas.Be fa part de :

M"" nemte TiSSLi sa mm \JUn'Henrietta HéSf.l sa sa-ur ;IK»" Jeanne et Angele ft O NT;tl. et Af ' /gei 'e TASSELet lews Eefants ;ft—eeeoe LECLEHCet ses Ittfants ;m et Id"" Albert BELLENSEBet teurs Enfant s ;tl— eeuee DUVALei ses Enfeite ;Les FemHies OÊSCOhDES,DUBAND,Et les Amis (H2z)

MORT POUR LA FRANCEH. Marset VADftEL Agent-Foyer, et M—VAUVIEL,Birertrkc d'Ecote, re* «areste ;*" ■'Denise et Paulette VAUV1EL,ses soearng;Af'" LaBtHtVtQUL, sa tante ;La Familie et les AmisOut 4*iteaiw ée voas faire part de ia pert#«Bétte quite rkammt D'éftmrer eu ia tw-sooue deMonsieur Raymond VAUVIELSoldat au Regiment d' infanterietombé au Champ 4 homeer te J# avrü 1918, a15go de 26 ans e£denai.Kt.vow pricsl d'assister an Service qui auralieu le jeudi 33 mai, a di* brows du matin, mITEgtteede Montiviiheres, sa panoisse. -xII ne sera pas envojré de Lettres de f aire¬part, le présent avis en tenant lietu

Vous êtes prki de biea vonlojr assister anx ICOBioi, sen ice et inhiumïtion de

Mademoiselle Lucie DESCHAMPSdécédée ie 23 mai 1918,a lig a de 20 ans 1/2,munie des Sacrements ae i i4it.se.Qui auront lieu le lundi 27 courant, a haaithea-res du matin, ca i'église Saiut-ViiioenLde-PauJ,sa paroisse.Ou se reineira au domicite mortaaire, medu Doctour-Suriray, 13.De la part de :

M. Emile DESCHAMPS,commis priacipaJ a lamauve du Havre, Madame, Lurs infants et UtFamilie.II ne sera pas etxvoyé Ae lettres d'invi-tation, le present avis en tenant lien.

"osr

Vous êtes prié de bien vouloir assistor auxconvoi, service ethihumalion doMonsieur Ernest JULLIENNEExpert au Bureau Veritas

décédé lo 24 mai 1918, A 17 heures, a l'age de60 ans, mutii des Sacroaients de TEglise.Qui auront Keu le lmiuli 27 courant, a quatreheures du soir, en I'église Sainte-Anne, sa pa¬roisse.On se réunira au domicile mortuaire, 36, rued'Après-Mannevillette.Priez Dien pour te repos de sim Ame !De la part .de :

M" truest JULLIENNE, née SCHUSTER, souépouse ;M el M<"Maurice JULLIENNEet leur Fils. sesenïants et iptttit-enlanl ;M et M—Jules JULLIENNEet leurs Enfants,ses Irère, belle-soiur, nev.eux et nièce ;M. et Al—Jacques StttUSTEB ;De FAnministration du Bureau Véritas l'lns-pecteur et Lts Experts du district du Haore ;Des Parea s et des Amis.II ne sera pas envoyé pee lettres d'invi-tation, le présent avis cn tenant lieu.

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Soeiélé des Saiivefeursde Ia Viiie et dc l'Arrond ssemeul du Davie

Les sociétaii'as soit) iittoi-nn's Au décès deMonsieur Ernest JULLIENNE

Membra Participantdécédé le 24 ftiaa, ct soul priés d'.assister a sesconvoi, service «t difhtunation, qui auront lieule lUBfii27 courant, a quatre heures du soir.On se rejunira au domicile mortuarre, 36, rued'Après-18a»Bevitfette.Se munir de sen insigne.

he Président :L. DBfiO.

#"•' Auguste HEUZÉ.son épouse : Mv"MarieHEtlZF, sa fille ; M Ed uard HEUZÉet ses En¬fants; M. et Victor HEUZÉet leurs Enfants ;M"" teutte Adrian HEUZÉe se s Enfants : Mu'Marie HEUZÉ, ses fcènes., saiuirs éi 4iaBes-s«sii'S ;M et W—SPANNABELfit leurs infants ; Ni.atid—TACAILetitur fits, ses neveux ttt nièees;M Auguste BUNOUST; Met M- BUNELet ieursEnfants : les Paren s ei les Amis ;M I'Officier chef da Pilotage du Haore ; MM.les Pilotes et Lamaneurs,Ont 1a douleur de vous faire part de la petto-«a'aellequ'ils vieament dópiiemver en laperscmaede ,MonsieurAuguste-LéonHEUZÉ

PUolc retraite.déoédé 1c 24 mai 1918, daas sa 72' année, munidos sacrements de l'Eglise,Et vous pnkait de bien vouloir assister a ses■ramvoi,-service -et inhumation, qui aiiront lieule femdi 27 cousrant, a trois fhe»res du soir, 011I'église 4e Sjmrtc-Miieesd', sa pwmtase.On se réunira au domiéite inortMaine, '2, rue'Sad'iït-iean,SaMrte-Ada'esBe.II ne «era pas envoyé de lettres deÉaire-part, Ie present, avis en tenant lieu.

liSStej)

Sotïttë f>!«B*tt'iirsit la Viifert defAvm-dissrment da Havre

Les Sociétalres sont informés Au décès deMonsieur Auguste HEUZÉMembre participant retraité

décédé lo 24 courant, et sopt priés A'&ssister ases convoi, service et iabamalioti qui aiuiontSen le 'Hwdi 27 mai, it tras fteares du «Ar, «»iI'église de Sahrtc-Adrosse.©n se róHuira au domic-iie mortuaire, 2, rueSaint-Jean, .itSalnto-Adresse.Se nfflmii'de son insigne.

Le Président :L. DERO.

Vous êtes prié de bien vouloir assister asxconvoi, service et inhumation deMadame Veuve Edouard POUPELnée Constance UEFEBVRE

décédée le 24mai 1918,Aj'Age de 84 vuas,iminiede$ Sawaa&etrtsd-e "Qtti auront lieu 1emardi 28 courant, a ilealheures-du matbi, en I'église «4eJttotrtiviflters.0» se rémóm ai'%Hse,Priez Bieu peur Ie repos de son ame f®»ela part de ;

M et M'" Stmon POUPEL;M Uon BDUSSEliM,nigisseur «te biens, et/N *,nt* POUPEL; 'M' VeueePierre TETEREL,nét POUPEL;*• Frédórie EdounrdLECHOfhEB,actneMeiaentau front ;M - Odette HOOSSELIN;Mn" Madehin et furie TÉTEPEL;MM.Edvuatd Pierre, Hubert, Leonet CharlesPOUPEL;M"' Louise POUPEL:AT' DUV*ACet ses Enfants :rSfJ, .F„amij'^ LEFfBVBE, HÉUE, LEBA1WF,EIOELIN,et des AmisH ne «sera pas envoyé de lettres d'invj-tation, Ie présent ans en tenant hen.

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97, cours de la Rèpublique, 97. Le Havre.M. Louis-Prosper LEFEBVRE, coiffeur,demeurant au Havre, cours de la Répebtique, n' 97,a, par acte s. s. p., daté du onze mai mil neuf centdix-luüt, vendu Ie fonds de commerce de Solen deCoiffure qu'il faisait vatoir au Havre, cours de laRèpublique, n° 97.La prise de possession a été laite le vingt et unai mil neuf cent dix-buit.election de domicile a lieu au Havre, rue duiliou, n° 2, chez Léon Dubois. (l'° insertion).

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Etudes de 11" LE VAILLANTet COTTARD,, notairi s « Go-dervitle.

AVENDRECnÖBWLe Vaülant, notaire, en presencedo M°A.Cottai'd. notaire suppléant,le Mavdi 18 Juin 1918, a 14 h„les Imineuble» ei-après, sisa Goderville, hameau de fa Ves-lière, prés la route du Havre :1° Terre cn labour cont.7 h. 93 a. 15 c. ; 2° Terre enlabour cont. 2 h. 39 a. 30 c. ;3° Cour plantée et édifiée cont.38 a. ; 4° Terre précédemmenten futaie cont. 27 a. 20 c. ; 5°Terre en labour cont. 92 a.70 e. ; 6° Terre en labourcont. 68 a. 20 c. ;.7° Cour plantéeet édifiée avec Terre ea labour etHerbage elos, cont. 8 h. 56 a. 50o.;*8° Terre en labour cont. 4 h.51 a . 65 c., le tout exploité par'M. Lethuillier jusqu'au 29 septem¬bre 1921. Revenu net d'impóts,2,000 fr..qui sera venfilé iors doJa mise aux enchères. — Facultóde traiter de gré a gré. —' S'adres¬ser pour le plan et les autres ren¬seignements soit au Havre a M.NODOT, 4, rue Casimir-Périer,mandataire des vendeurs, soit aGoderville aux nota ires.

26.2. 9j. (126)

Etude de M' Paul ROUSSEL,avoué au Havre, boulevard deStrasbourg, n° 129.

Ven te sur LicitationSUCHETET

Aïïrwnor enclièrespu-VLrlilnL bliques, en l'au-dience des criées du Tribunal civildu Havre, le Vendredi ai Juin'9'8, a deux précises de l'après-midi.Commune de Grainoille Ymauoiile,canton de Bodersiti-I" Lot. — Une Ferme, siselieudit a La Plaine de la Cavée deChaumont et la Plaine du Moulin aYent », consistaut en : Masure plan¬tée de pommiers avec maison d'ha¬bitation et dépendances, 3 pièeesdo terre ei petit bois taillis. Gonte-nanee totale : 14 hee. 54 a. 92 e.Revenu : 1,700Jr.— Misea prix :30,000 fr.2' Lot. — Petite Ferme, sisemèrne commune, prés la ligne duchemin de fer. conslstant cn : Ma¬sure plantée de pommiers ajecmaison d'habitation et dépendan¬ces, pièce de terre en labour. Gon-tenance totale : 1 lioct. 47 a. 40 c.Revenu : 230 fr. — Misea prix3,000 fr.S'adresser pour renseignements,

M°' ROUSSEL et PRESGHEZ,avoués au Havre ; M°YSNEL,no¬taire a Rouen : M°COTTARD,no¬taire a Goderviile, et au Greffe doTribunal civil du Havre.NOTA.— Les enchères ne se¬ront revues que par ministèred'avoué.

SS 30.2 (9029)

iniionresLéeaifsEtude de M' HASSELMANN,notaire au Havre, rue de laPaix. fff 5 (succcsseur de M'AUGER).

FONDSOÉCOMMERCEDeclaration d'optionSuivant acte rofU par M"Has-selmann, notaire au Havre, lc 29avril 1918, Mme Marthe-•Jeannc-Charlotte LEFEB¬VRE, marchande-bouchère, de¬meurant au Havre, cours de laRèpublique, n° 114, veuve* deM. Auguste-Buptiwtc-Gus-tavc .JEAN, usant de la facultéqui lui a été accordée par soncontrat de mariage recu par M°Théret, notaire au Havre, subsli-tuant M"Hasseimann, notaire sus-nommé, lo seize aoilt mil neufcent quatre,A déclaré opter pour la conser¬vation pour son compte person¬nel du fonds de commerce deBoucherie que M. Jean, son mari,domieilié au Havre, cours de laRèpublique, n° 114, mort pour laFrance, a Dompierre (Oise), Iedix-sept décembre mil nenf centdix-sept, exptoitait au Havre,cours de la Rèpublique, n' 114,eomprenant la clientèle, l'acha-landage, le matérie! servant a sonexploitation et les marchandises,le taut aux conditions dudit con¬trat de mariage.Les oppositions, s'il y en a, de¬vront être faites en l'étude deM* Hasseimann, notaire, dansles dix «jours de la présente in¬sertion.Pour deuxième insertion,Sigllé : HASSELMANN.

12.26 (9355)

Etudes de M' RÉUOND, no¬taire au Havre, rue Fonte-delle, n' 33 ; M' JACQUOT.avoué au Havre, bouievard deStrasbourg, n° 12a.

Vente PubliqtteDEFONDSDECOMMERCEAprèsdécès

En exécutiou d'une ordonnancede référé rendue le dix-sept maimii neuf cent dix-buit, par Mon¬sieur le président du Tribunal ci¬vil du Havre, euregislrée, et pour-suites et diligences de MadameMa-rine-Panline Aubin. veuve deMon,«sieur Ferdinand-Leon Fourol, de¬meurant au Havre, boulevardAmiral-Mouchez, -n* 133, et enpresence ou eux döment appelésde Madame Suzanne-HejivietteFou-rel, épouse de Monsieur Gustave-Anguste Brosse, employé aux Tré-filerieSj avec lequel olie demeurea Graville-Saintc-Honiirine, boule¬vard Sadi-Carnot, n° 108, et leditMonsieur Brosse, qui 1-assisteetautorise, il sera procédé :Le Lundi to Juin rgt8, aA heures de relevêe , en' l'étudeet par le ministère de H* Rémoud,notaire au Havrej rue Fontenelle,n' 33, a la vente au plus ollrant etdernier encbéi-isseur :D'un Fonds de commerce«le Café-Débil, sis au Havre,boulevai-d Amiral-Mouchez, 11'133.Dépendant de la communautéayaut exisle entre Monsieur Fer-dinand-Léon Fourel, en son vivqntdétiilant, et Madame Marine-Pauli¬ne Aubin, sa veuve ;Et eomprenant : 1° la clientèle etl'acbalandage y attachés, ainsi quele droit au bail ; 2° le materielservant a son exploitation, décritet piisé a l'invenlaire dressé parM' Rémond, le 30 avril 1918.Mise A prix lixée par Tordon-nance pour l'acbalandage, le droitau bail et le materiel pnsé u l'in-ventaire, quinze cents francs,cl 1,500 fr.Marchandises a prendre ea.sus adire d'expert.Consignation pour enchérir,500 francs.Election de domicile est laite,par les parties venderesses, en 'l'étude de M°Rémond, notaire auHavre.Fait et rédigé par M' Guillot,suppléant M°Jacquot, avoué.Le Havre, le vingt-deux mai milneuf cent dix-huit.

Signé : L. GUILLOT.Enregistré au Havre, le vingt-trois mai rail neuf cent dix-huit.Recu, dccimes eoropris :un francquatre- vfngt-huit centimes.

Sign»): GUILLON.Pour tous renseignements s'a¬dresser a : M°RÉMOND, notaire,dépositaire du cahier des charges,et M"GUILLOT,suppléant M*JAG- iQUOT,avoué au Havre. (9988) I

Etudes de M* HASSELMANN, Notaire au Havre, 5, rue de la Paix•t de M* Paul BOUCHEZ, Avoué au Havre, 87, boulevard de Strasbourg

Vente de bien» de mineur»

ADJUDICATIONen 1'Etude de M°HASSELMANN,Notaire au Havre, 5, rue de la Paix, de

DIVERSESVALEURSFINANCIÈRES(Actions nominatives et au Porteur)

dépendant de la succession de feu A*. PERQUER

L' adjudication est fixèc au Jeudi cin/jl Juin mil neuf cent dix-huit , a deux heures et deinie après-midi

On fait savoir Atous ceux qu ilapparliendra qu'en vertu et pourl'exécution d'un jugement sur re-quête rendu par la première cham-bre du Tribunal civil du Havre,le cinq avril mil neitl cent dix-huit, enregistré, expédié et signi-fié.Aux requète, poursuites et dili¬gences de : Monsieur Georgcs-Paul-Antoine Palyart, propriétaireet officier des Haras, et MadameGabrieile Yincbon, son épouse,demeurant ensemble a Paris, rueBoissiere, 11°30, ladite dame veu¬ve en prémières noces de Mon¬sieur Paul-Eugène-Célestin Per-quer, « Madame Palyart en quality« de 'tutrice naturelle et légale de» Bernard-Paul-Eugéne Perquer,« son fils mineur, né au Havre, le« cinq avril mil huit cent qnafre-« vHigt-dix-neuf, issu de son pre-« mier mariage avec ledit Mon-« sieur Paul-Eugène-Célestin Per-« quer, en son vivant courtier«>assernienté, président honoraire« du Syndicat des Courtiers as-" sermenlés du Havre, membre« de la Chambre de commerce,« demeurant alors au Havre, rue« Bichat, 11°24, déeédé au chateau« du Breuil, commune de Bame-« viile-la-Bertran (Calvados), oü il<•se trouvait momeutanément le« sept janvier mil neuf cent qua-« torze, ladite dame Palyart main-o tenue dans la tutelle <le son fils« mineur par suite de son maria-« ge avec Monsieur Palyart sus-« nommé son seeond mari, sui-« vant deliberation prise le dix-■ sept mars mil ueuf cent quinze,« sous ia présidence «1eMonsieur« le juge de paix du troisiémo ar-« rondissement du Havre ; Mon-« sieur Palyart en qualite de co-« tuteur dudit mineur, nommé a« cette fonction aux termes de la" mt-rne dëlibération,Pouisuivants ayant pour avouéM°Paul Bouchez', demeurant auHavre, 87, boulevard de Stras¬bourg, suppléé par son confrère M*Paul Rousscl, en piésenee ou luidüment appolé de Monsiqur Louis-Marie-Désiié-Gustave James, no¬taire, demeurant a Caudebccen-Caux, « te dit Monsieur James en« sa qualite de subrogé-tuteur du« mineur Perquer sus-nommé »II sera, le jeudi vingt juin milneuf cent dix-huit. a deux heureset demie après-midi, en l'étude etpar le ministère deM'Hasseimann,notaire au Ilavre, piocédé a lavente par adjudication publkfueau plus ollraift et dernier enché-risseur, deDé»ignationPREMIERLOT

ÏO Actions nominatives«lc OOO francs chacune do iaCompagnied'Assurances Maritime»Les Deux-Pótes, dont le siège so¬cial est au Havre.DEUXIÈMELOT

1 Action nominative «Ie500 francs, de X'Ecole Librede Saint-Michel du Havre, so-ciété civile dont le siège social estag Havre, rue Saint-Thibault, n° S.TR0IS1ÈMELOT

ÏO Actions nominatives«le 500 francs chacune tibé-rées d'un quart, de la Compagnied'Assurances contre nnceudie LaSalamandre, dont le siège socialest au Havre, place Jules-Ferrv,n° i.QUATRIÈMELOT

ÏO Actions nominatives«le 500 francs chacune libé-réis d un quar>, de la même Com.pagnie La Salamandre.CINQUIÈMELOT

ÏO Actions nominativesde 500 francs chacune libe¬ries d'un quart, de la même Com¬pagnie La Salamandre.

SIX1ÈMELOTlO Aetions nominativesde 500 francs chacune tibé-rées d'un quart, de la mème Com¬pagnie La Salamandre.

SEPTIÈMELOTÏO Actions nominativesde 500 francs chacune tibé-rées d'un quar , de la même Com¬pagnie La Salamandre.

HUITIEMELOTÏO Actions nominativesde 500 francs chacune tibé-rées d'un quart, de la même Com¬pagnie La Salamandre.NEUYIÈMELOT

ÏO Actions nominal Ev«»sde 500 francs •"hacune Itbé-rées d'un quart, de la même Com¬pagnie La Salamandre.

DIXIÈMELOTÏO Aetions nominativesde 500 francs chacune libé-rées d'un quart, de la même Com¬pagnie La Salamandre.

ONZIKMELOT13 Aetions nominativesde 500 francs chacune Ibé-rses d'un qcart, de Ia même Com¬pagnie La Salamandre.DOUZIÈMELOT

ÏO Aetions nominativesde 500 francs chacune ttibé-rees d'un quart, de la CompagnieHavraise de reassurances , dontle siège social est au Havre, plaeeJules-Ferry, n 1 bis.TREIZ1ÈMELOT

ÏO Aetions nominativesde 500 francs chacune libé-rées d'un quart, de la mime Com¬pagnie de reassurances.QUATORZIÈMELOTÏO. Aetions nominativesde 500 francs chacune libé-rées d'un quart, de la même Com¬pagnie de reassurances.QU1NZIÈMELOT

ÏO Aetions nominativesde 500 francs chacune libé-rées d'un quart , de la même Com¬pagnie de reassurances.SEÏZIÈME LOT

ÏO Aetiops nominativesde 500 francs chacune. Ubé-rées d'un quart, de la mimo Com¬pagnie de réassuranccs.D1X-SEPT1ÈMELOTIO Aetions nominativesde 500 francs chacune, libérees d'un quart, de la même*Com¬pagnie de réassuranccs.DIX-HIITIÈMELOT

ÏO Actions 'nominativesde 500 francs chacune, libé-réss d'un quart, de la mèine'Com-pagnie de reassurances.DIX-NEUY1ÈMELOT 'ÏO Aetions nominativesde 500' francs chacune, libé-rées d'un quart de la mi-me Com¬pagnie de reassurances.VJNGT1ÈMELOT

4 Aetions de priorilé etnominatives dc 500 francschacune, libérées de 375 francs.(le la Sóciété des Caoutchoucs deTackimala, Sociélé anonymo dontle siège social est au Havre, rueVictor-Hugo, n° 151.VINGT-ET-UNIÈMELOTÏO Aetions nominativesde 500 francs chacune, entiè-rement libérées. de la même So¬eiété.VINGT-DEVX1ÈMELOT16 Aetions nominativesde 500 francs chacune, entii-rement libérées, do la mème So¬eiété.VINGT-TR0IS1ÈMELOT25 parts dc Fondateurau portenr de 500 francschacune, entièrement liberies , dela même Soeiété .VINGT-QUATR1ÈMELOTÏO Aetions nominativesde ÏOO frsuies' chaouné, entiè¬rement libérées, de la SoeiétéGrand Skating Havrais, Soeiétéanonymo ayant san siège social auHavre, bouievard de Strasbourg,11°123,VINGT-CINQU1ÈMELOT6 Aetions nominativesde 25 francs chacune de laSociélé de l'Imprimerie de laBourse du Havre , dont lo siègesocial ost au Havre, rue Duplets.VKGT-SÏXIÈME LOT30 Act ions de ÏOO francschacune de la Soeiété anonyme dirJournal Lc Démocratie Havraise,

doiit 20 sont libére s de moitié etles dix autres d'un tiers seute-eolOfit « ,

a PRIX ,Outre les charges, clauses etcondi Imps du cahier des chargesdrcsse par jp Hasseimann, notafrlrtud'^nu » Par lu! d<ïp0Stienetude ou Ics amateurs peuventen prendre communication, leseneheres seront re»;nes sur lesmiscs a prix ci-apri?, savoir :Pour le premier lot. yoinquaDte franc,c s»oPour le deuxième lot,a cent francs, ei. . . JOQPour le troisième lof,a douze cent cin-quante francs, ci . . 1.350Pourlequatrième lot,a douze cent cin-•quante francs, ej . . ft.ssoPourieeinquicme lot,a douze cent cin-quante francs, ci.. l ssoPour le sixièmo lot,8 douze cent cin-quante Irancs, ci . . 1,350Pour le sepüème lot,a douze eent cin-quante francs, ci . . j 350Pour le huitième lot,a douze cent cin-quante francs, ci . . 1.350Pour le neuvièmelot, a douze centcinquante francs, ci 1.350Pour le dixièmo lot,a douze cent cin¬quante francs, ci. . 1.3SOPour lo onzicme lot,a seize eent vingt-cinq francs, ci 1.625Pour le douzième lot,a neuf cents Irancs,« OOOPour le treizième lot,a neuf cent frencs,el 900Pour le quatorzièmolot. 4 neuf eentsfrancs, ci OOOPour le quinziémalot, a neuf centsfrancs, ci OOOPour le seizh mo lot,a neuf cents francs,6» - ... OOOPour le dix-semtiemelot,, a neuf centsfrancs, ci OOOPour le dlx-httiti'Nmelot, a neuf centsfrancs, ci OOOPourle dix-neuvièmelot. a neuf centsfrancs, ci OOOPour le vingticme lot,a cinq fi-ancs, ci. . . 5Pour lc vingt et uni»>me tot, a dix francs,ci AOPour le vingt-deuxiè-me lot, a seizefrancs, ci lijPour le vingt-troisiè-!ot, a vingt -cinqfrancs, ciPour le \ ingt-qua-triéme lot, a cinqfrancs, ci.Pour le vingt-cin-quièine lot, a cin¬quante francs, ci. .Pour le vingt-sixièmelot,a trentelrancs,cl.

2S

SO

30

Total des misesaprix :dix-neul mille contseize francs, ci 19 116

Rédigé par i'avoué soassignépoursuivant la vente.Havre, le dix-sept mai mil neufcent dix-huit.Signé : Paul ROUSSEL,Suppléant M°Paul BOUCHEZ.

Enregistré an Havre, le ringt-deux mai mil neui cent dix-him.R»»;uun franc quafre-vingt-huilcentimes.

fcigné : GUILLON.

Pour tons renseignements, s'adresser a :i" M" H ASSELM ANN, Notaire au Havre, 5, ruo do la Paix, dépositaire du cahier des charges ;2° SF Paul BOUCIIEZ, Avoué au Havre, 87, bouievard de Strasbourg, poursuivant la vente.

VILLE DU HAVRE

Loi du 3 Mai 1841

Etudes de M' HASSELMANN,notaire art Havre, 5, me de laPaix (suxcesseur de M' AU¬GER), notaire de la Ville duHavre, et de M' HARTMAN N,notaire aa Havre, place. Car-not.En vertu et pour l'exécution t1° D'un arrêté de Monsieur leprélct de la Seine-lnlérieure, prisa Rouen, en conseil de prefecture,le viugt-six mars mil hult centsoixante-six ;2" D'une délibération du Conseilmunicipal de la Ville du Havre,en date du vingt-deux janvier railneul cent dix-huit, rendue exécu-toire par Monsieur le maire dc la¬dite ville, suivant un arrêté dudix-neuf mars mil neul cent dix-buit ;Monsieur Georges Ptentout, ré¬gisseur de biens, demeurant auHavre, rueAneelot, n° 5 ;Monsieur Franyois-Marie Lema-rié, propriétaire, demeurant auHavre, rue de la Comédie, n° 23 ;Ayant agi en leur qualite de !i-quidateurs de la >•Soeiété Anony¬me de la Grande Cidrerie Havrai¬se », artuellement en liquidationamiable, Soeiété anonyme au ca¬pital de 350,000 francs, dont iesiège social est au Havre, rue Ami¬ral-Mouchez.Ont. suivant acte reyu par M°Hasseimann, notaire au Havre, etM°Le Courtois, notaire honoraire,suppléant M°Hartmann, notaire auHavre, mobilise, les trente avrilet trois mai mil neuf cent dix-huit.Vendu 4 la Ville du Havre,Ce qui a été accepté pour laditeviilc par Monsieur Pierre-FranyoisMorgand, negotiant, maire de lavilie du Havre, officier d'acadé-mie, demeurant au Havre, boule¬vard de Strasbourg, n° 185.Ayant agi en sa qualité de mai¬re de la ville du Havre :Une parcelle de terrain d'unesuperfieie de six cent quatre-vingt-quatre metres carrés cinq centi¬metres carrés, située au Havre,rue de Valmv, bornée au Noraetau Sud tix la ruedeValmy;

a l'Est par ia Sociélé de la GrandeCidrerie Havraise, et a l Ouest parles héritiers Pinguet.Duquel immeuble les ancienspropriétaires sont, outre la Soeiétésüsnommée :Monsieur Emile - Marie - JosephClouard, industrie!, et MadameLéonie Hainnoville, son <»pouse,demeurant ensemble a GravilloSainte-Honorine, rue Conti, n 16 ;Monsieur Georges- Emile Eloy,receveur de rentes, et MadameAdrienne- Honrietto- Marie Thieul-Jent, son épouse, de.meurant en¬semble au» Havre, rue de Saint-Quentin, n° 23 ;Madame Marie-Cécile Pinguet,épouse deMonsieui Nice-las-FranyoisAubry, negotiant, avec lequel ettedomeurc au Havre,quai d'Orbians,n° 11 ; ,Madame Auréiie-Ernesiine Pin¬guet, épouse de Monsieur AlfredCrosnier, proprh'tairc, ancien lila-teurj avec lequel ell»: demeure aParis, rue d'Amsteidam, n° 90 ;MadameAntoinette Julic-ThérèsePinguet, épouse de Monsieur PaulPanelle, propriétaire. demeurantensemble au chateau de Lapicrre,commune de Louveniont;Monsieur Edme-Alexandre-EmiloPinguet, employé d'agent de chan¬ge, demeurant a Pails, rue Saint-Lazare, n° 48;Madam»)Maric-Camillc-Louise-Marguerite Pinguet, »'pousede Mon-, sieur Jean-Baptiste-Edouard Cros-j nier, rentier, avec lequel ».Uede-Imeure a Paris, rue Taitbout,u° 61 ;I Madame Elisabeth-FIoronee-Aii-1ne Pinguet, épouse do MonsieurGeorges-Henri Le Boui-geois, mai¬re dc Rogerville, cmiseilier g'-né-rai du département de la So'm.3-Inférieure, chevalier de la legiond'bonneur, avec lequel eile de¬meure a Rogerville, canton deSaint-Romain-de-Coibosc.Monsieur Ednic-Jean BaptistePinguet, en son vivant négociant,demeurant au Havre.Monsieur Edroc-Jean-Clair-Flo-rentin Pinguet, et Madame Ca-miile-Mélitine-Ambroisino Pinguet,en ieur vivant demeurant auHavre ;Mademoiselle Maiie-Constance-JuliettePinguet,ea sobvivantcé-

libataire, majeure, demeurant aRogerville ;Monsieur Edmc-Arislide-Gusta-ve Pinguet, en soil vivant demeu¬rant a Paris, rue Saint-Lazare,n*48;La Soeiété civile et particulieredes terrains el immeubles de Gra-villc-Sainte-Honorine ayant existétmtre Monsieur Afcide-Ëzida-Fran-yois «Vodart. entrepreneur de cons¬tructions, demeurant au Havre,rue du Lyeée, n' 52, et divci-scsporsonncs.Madame Auastasic-Louisc Ma-nourv, propriétaire a Houquetot,com1i]une de Goderville, veuve duMonsieurLcon-AdoIpheLcseigneur.Madame Eug»friie-Hortense-Desi-rée Manourv, Vqwusede MonsieurHenri-Joseph No.», propriétaire etcultivate'ur, maire de la communud'Ypreville-BiviUe, avec lequel eliademeurait en ladite commune.MonsieurCharles-Louis-TbéodoruManoury, propriétaire et eulliva-teur, demeurant a Ypievili-Bieville.Monsieur Théodore-Louis-Désir»»Manomy, en ren vivant proprié¬taire et cultivateur, et MadameDésiré»;-Anastasie Hérouard, de¬meurant a Ypreville-Biville ;Monsieur Victor-Pacifique Hé¬rouard, en son vivant cultivateur,demeurant a Graviile 1'Eure ;Monsieur b an-Charles Hérouard,en son vivant cultivateur, et Ma¬dame Marguerite-Rosc-VêroniquaVigor, son épouse. demeurant en¬semble a Grav ille-lEure.Madam»-CJaire-Louise-Féficle De-hesdin. veuve de Mon-ieur K«lme-AristHk-Gustave Pinguet, en souvivant demeurant a Pai'is, ru«Saint Lazare, n° 48 ;Madame Sophte-Théis'se-RosalinVernisse, propriétaire, demeuranta Sanvie, rue du Havre, n 59,veuvedc M. Jcan-Baptisle Fort-Meu ;MonsieurGabriei-LouisDesseauT,en son vivant ancien comuiissairede marine, demeurant an Havre,-poux <fcMadame Marie EiisahetMV«fnisse.Monsi»ur Louis-Michel I^grfs »leSenneval. iitntenant «tinfanterie,demeurant au Havre, rue Fontaine-

4 Le Petit Havre Dimanche 26 Mai 1918

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