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37mèWe — 13.034 (-^ Pagres) 5 Centimes — EDITION MlMATIN — § fenlimes Pa^es) fiardi 17 Avril ld 17 Atainistrateor •Déléjrné- Géfast O. RANDOLET IftWfiMflm iBpressioss «ttaEcts, TIL. 10.1? S3, Itue Fontenelle, 3& ÊirsssaTêléaraphique : EAOTOLET Harrs asfö EiiiïSS EiMiSiS) HÉDACTHUR EN CHEF J.-J. CASPAR - JORDAN Télépiioau t M.SU SsorétairaGónêral : TH. VALLÉ1 Rédactlon,35, ruo Fonteneile- Tél. 7.69 annonces AUHAVUB BureauduJournal,112, boul'deStrssoourg. L'AGENCE HAVAS, 8,placede la Bourse, est i i. .u An noeavA' ii» loo A nnnnooc nrtll A PARIS, ((••et* ( L'AGliil V^iM AA.-A. » v., — n- > ? seule chargée de recevoir les Annonces pour f le Journal. ORGANS RÉP UB LI CAIN DÉMOCRATI QUE Le plas fort Th'age des dournaux de la Rêglon ABGNIMEMENT3 Le Havre. la Seine-Inférieuro, i'Eure, l'Oiseet la Somma Autres Département»......,............. Dnion Postale TroisMoisSixMois -s. r.o Fr. 6 SO S Fr. as so .e© Fr. Un A* IS ». sts » ^.o Ons'ubonneé^alementSANSFffUS. dansfaas les BureauxdePer, to do France lotrigues Ailemondss La réunion projetée entre les représen¬ tant» des partis socialistes al lemaed, autri- chien, danois et suédois s'est ouverte hier lundi a Stockholm. Elle a surtout pour cbjet d'esaminerla situation nouvelle créée par la révolution russe. Comme il s'agit d'une réonion improvisée a laquelle doi- vent participer des militants de toutes ten¬ dances, il est bien difficile qu'ils puissent voter un ordre du jour et arrêter des réso- lulions précises. Les débats n'auront done, vraisemblablemeot, qn'un inlérêt docu¬ mentaire. Si des décisions étaient prises, dies ne pourraient avoir, semble-t-il. au- cune influence sur la marche des événe- iTients politiques et militaires puisque, d'ailleurs, les délégués è cette conférence lie sont tifulaircs d'aucun mandat. Mais, k défaut d'un mandat officie!, les délégués allemands et autricbiens, qui ont pour chefs de mission Scheidemann et Adler, sont bien pourvus d'instructions oilicieuses. Scheidemann, êrne damnée de Belhmatin Holiweg, eut avant son départ un long entrelien avec le ehancelier de FEmpire ; de même Adler et ses kamarades Reiner et Seitz ne manquèrent pas de se metlre d'accord avecle comte Gzernin. Ce que voudraient les socialdémoerates allemands et autricbiens, c'est renouveler les tentatives avortées naguère è Amster¬ dam, metlre en jeu l'Internationale et, plus particuiièrement dans les circonstances présenLes, conclure un accord avec les pa¬ cifisms russes et, par ce moyen, neutraliser 1'effort militaire de la Russie et l'amener peut-être a une paix séparée. Les appréciations des journaux allemands et autricbiens montrent du reste que l'on attache, è Berlin et a Viemie, une grande importance a cette entrevue de Stockholm dont on attend des résultats merveilleux- Muis il y a loin de la coupe aux lèvres. La grande majorité des socialistes russes est fixée sur les intentions véritables de Schei¬ demann. Et le leader socialiste suédois Branting, dans une série de conférences qu'il vient de faire a Petrograde, a mis en pleine iumière la servüité des socialdémo¬ erates vis-a-vis du gouvernement impérial. En même temps que les socialistes du kaiser ourdissaient leurs intrigues a Stockholm, le Comité des ouvriers et sol- dats que préside Tcheidze, è Petrograde, émettait une résolution porlant que le gou¬ vernement provisoire devrait déclarer a tous les peuples que la Russie mènera la guerre sculement pour sa défense, et tant que l'APemagne et l'Autriche n'auront pas assuré qu'elles n'aspirent a aucune con- quêle. Ainsi le même Tcheidze qui réclam; it l'autrcjour, des socialistes allemands, le renversement du kaiser, parsil adopter désorinais une attitude toute différente. Et s'il suivait les inspirations des extré- mistes, le peuple russe se trouverait dans cette situation paradoxale de ne s'ètre dé- liarrassé des ministres de !a paix séparée et des intrigants germanophiles que pour touiber entre les mains des paciflsles de ia défaite. Prompt a saïsir l'oecasion qui lui était ainsi offerte, l'empereur d'Autriclie a fait publier une note officieuse declarant que la maison des Habsbourg ne désire aucune conqttête et qu'elio est prète a trailer avec la révolution russe. Faut ileroire que celie manoeuvre a été concertée pendant la récente conférence tenue a Hombourg parlesdeux ernpcreurs? C'est chose fort possible, el le bul de l'em¬ pereur Charles serail uniqueinent de jeter le trouble et le désarroi eutre le Comité que préside Tcheidze et le gouvernement provisoire de Petrograde. Car on ne voit pas l'empereur Guillaume consentant a une declaration identique, alors que Jes jouruaux allemands de tomes opinions oontiuuent leur ardente campagne annexion- niste et pangcrm.iniste. Entralnée dans Forbite de 1'Aliemagne, l'Autriche Ilongrie ne peut conti acler une paix séparée. Mais, dans l'intérêt des Em¬ pires du centre, elle voudrait décider la Russie a se detacher de TEiitente. Les ma¬ noeuvres de Vienne et les intrigues de Stockholm sont vraiment trop grossières. Th, Vallés. fKEKSSB En quelques Mots — Le stationnaire amêricaln Scorpion est ia- terné par l-s Turcs. — LeCanlirad a Vienne et a Bortia une decla¬ ration de Neutralité. — Le aiibistre d'Espagne a Sofia proteste eon- tre les traitemeiits iiiftigés aux priso .niers iou- msins. — Les ouvriers de Kid demsnden! a visiter les girde-manger (les directeurs de chacliers. — Le Tji annonce qu'iine crise mini térielle CAahi-uduötrè, p<oclnuaetBrnten Hotat,de. — M.d Esiournet'es de Constant » «cbessé par 1'iDleiroédialrede l'Agence baIsaniouede Geneve, un manifeste a la na ion butgae ilisai t qu'en France on consioére que les IS,ig«res n'aui etó que les instruments du parti m ltlaire suns scru¬ pule et du monarqueétranger. — Seion les jotirmiux, l'etat du sénatenr Ai- mond inspire de vives inquietudes dans son en¬ tourage. — M.Grew, consul das Etais unis it Vienna, ie personnel consulaire et tin certain uouibrc d'A- RiCricsinssant arrivés ea Suhsa M. ANDRÉTARDIEU nDifliïis haüi-CQMlssalre ds la RêpuSHique aysEtais-ünls Nous annoncions hier en Dornière ITmre que to gouvernement a déc dó, pour nnr- q ter l'importance quo la France attache au concours des E'ats-ücis, d'envoyar a W sh- ingvon une m s»iou tem po- airot composéa de hvutes porsonoatités poddques et mili¬ taires, qui porteront k la Réouohque ameri- O-doe le saiut de la Róaubuque ftvnea se. E i ontre, le Caoseil dis miirstres a esii- me nécessaire de caatvaiiser, sous une di- r, ciion unique, to ites les missions techmj qttes qui ont cu auront k assurer d'une u- C n permanente sur tous les terrains l'ótroite cooperation da ia France ei d s EtiD-Unts ei it porur a soa maximum iVü'ort francj-amé- ricain. En consequence, le gouvRrn.pment a deci¬ de d'u'S iiuer eitx Etats (Joisun h<ut corn- missariat da la Républiq .e fvaniQise. I i'a confie a M. Audré Tardteu, dépuié de Seine- et-Ooe. Ia nominalion do M. An 'ré Tardicn ó c>t e haate fonction sera cmainement fort bien ticeaeiliie en Atnértque M. André TarGeti a ttcjó, i! y a liuii ou noot ans, pro- fessé a FUniversite Ilat ward, ê Boiton, un cours sur la politique exterieure ae ta troi- sièma Répnblique. M. Andre Tardien, avant d'ê're é'tt d^pnté de Seiae-et Orie, en 1914, s'était d ja ;<ciuis tiD'i grande autorité en matière do potitlqce extérieure. II est premier secrétaire d'smbass^de ho¬ noraire, raus il est surtout rui c i'aia qui, dans les journaux et dans les nvres, a mon- tré unecouiiaiss'tnee rare des multiples pro- faèraes intarnationaux. II a ens igueè Paris, a i'Eoole des Sciences pjiitiques et a l'E o e sepétieure de guerre. Dès te debut d -s h)-!' lités, il fut mob liró d'ubord an mini tére de la ctierre, puis au grand qoar iet' gén--ral, il devut eosuite, sur sa dem inde, officier da troupes. II pi it pan aux batuil les de Fère Charape- noise, d Ynres, d'Arras et de Y-rdtm et fut plusieurs fois cite a l'ordre du jour. Sa üer- niète citation était ainsi cotiQ.ie : Passé sur sa demande du service dVHat-major au commandetnetit d'utie c mpasnie de chasseurs a pied, a tait preuvede la plus grande bravoure Haas la uuit du 8 au 9 février 19 8 en conduisant 8jo unite, sous un violent bomb-rdimeflt d' nit- löi'ie tourd-, a l'attaque d'une tranche momenta- nément perdue, qu'il a réussi a réoernper apiès une lutie a la grenade de plusieurs heures. Au Parlement, M. Andró T,rdien, tout en interyenant p usieurs fois a propos des évé- nements extérieurs, s'étair, attaché sortoot è la Commission de l'armée, a i'étude de i°ar- tiiltvrie loorde. II avait pns tout de suite un® grande place a ia Chamb-a. M. André T trdien est at;ö de 49 aas et est officier de la Légion d'hooucnr. M. André Tardieu ne qnittera saus donte p s toot de suite la France. II prépare avant d ; partir le travail de coordination denos missions en Amérione ; le déveioppemt nt da cei missions, enfin de tont ce qui peut pernn-ttrea l'Amérique de raa-'t ster p os particalièrement les sympathies qu'eile éprouvo peur la Fr nca. TOUCHANTE GÉRÉRO ITÉ Paris, 16avrll. M. Poincaré a repn la dé'écalion de Ia petite ville b. sque d E Inr, en Erpagoe, ve nun lui remeitie une air-'S'-e si^né de L os les lnbitants de la commune et qui vo >a au ministro des sff tres étrangères 34 409 francs, prod iit de i'abandon d'uoa j •-ur-ee de travail, et destiaés aux orphelins de la guerre. M. Poincaré a reinere e l i delegation a - eet acte de gtnéreuss et tuuchaute soli- darité. Ah Conseil Qénéral dn Jnra LoBS-le-Süui,ier, Ia aviii. M. Pichon, éiu président dn Cousf-i! g?né- rai, sul is a-ecu&e reconnaissance prolonde les aihos no ave-,ux qui sa raugent a nos cö és, ia puiss-n e democratie des Etus- Unis, la repubiique Chinoise, l»s republi- qties latines du i'Arnér-que du S id. En adrossant a la Russie sis voaux ponr i'achèverartnt de Foeuvre Iibé tn,c et la victoire de ses arme» assurani p r i'ecrase- ment du militarisme allem itid i'integriiè et i'ind -poi uance, il lui re»o<.vela le sot mont de iidelité et I'aliianca qui est la corid tioa d'une pais durable et un saiut pour tes deux oays. M. Pichon, en termioant, adresje anx deux armées de Franco et de G'-ai-d" B gao poursuivant l'offeosive mar ué-- p i- lt-s viC- itn e< acquises p.ir la forie, ia brav ure, i'h ioï me, un témo gnage d'adminntioa, confi. .•co et de gra-ilua •, ainsi que ds vosux ponr le succès dvfinitif «e leur iu- oo<«p,able vailiance et leur mag.ifiuue et- furt. Arrestatioii de généraiis russes Petrograde, 16aviit. Les Comités dos dél :g <é: dcssoldais Pt des o •vrie'-s ont décrétè l' rre-iation di-s g -né- r.iux Koijrop, tkinv et Yerufe ff l>e g uerai Buriütt, cotmn.,ndatjt la prvnnère brgade sib rienne, et Ie general T urmiilen ont égah ment été cwèf* sous l'o col nation de d «tnhr.tion d'ai mes d tns c-irt'iats r- gions en vue d'une rasistanee au mouvement re- volutionuairo. LA CENSURE ESPAGNOLE Madrie, iü . vril. Le jotiroai Espawi Naeva, g rm,nophiié fort con n-u, fut suspendn sur l'o d'c du mi- Disièra d I in erimr. D'amr>-s journaux dunt El Socia ista et Oidiu, ce demur g-r- m fiophiie aussi. ont eté frappés dVmt>naes a litre de corr,ction. C s mosures mimstérielles sont :uo ivées par des eonimeoiaires sur la situaiiou ac- tueile non soumis a la censure. La Neutralité inexicaine Mexico,16avril. Le général Carranzt a d^c arè que le M-xi- aue observerait une ncuirabté stricte et vi- I uiliute daa» ia guerre mcadiale. LA GUERRE NOUS ATTAQÜONS VICTORIEUSEMMT ENTRE REIMS ETSOISSONS D'irnportantespositionssont enlevées Le ehiffre des prisonnlers est de COMMUNIQUES OFFICTELS S93i JOUTR T^TW. TT COMI'ü'fiiQUiS FRANQAIS Poris, 13 avril, 14 heures Entre Saint Queada et l'Oise, nous avons poursuivi nos tirs da destruc¬ tion sur les organisations aliemandes. La riposte ennemie a été vive dans la rég-i-on au Sud de Saint-Qaentin. Au Sud de 1 Ome, nous avons conti¬ nué da progi-esser vers Ï E -t sur le plateau entre Barisis etQuincy-Basse et oceupé de uouvsaux points d'appui esinemis. Nos patrouilles sont au con¬ tact des tranchées all- mandes sur les lisières Ouest da ia haute forêt de Coucy. La lutte d'artitlerie a pris un carae- tèra do violence extréme pendant la nuit sur tout le front compris entre Saissons et Reims, Eu Champagne, nous avons aisé- m nt repoussé daux coups de main ennemisa l'Est" d'Auberive. Nus re¬ connaissances out ramïiié des pri- sonniers. Eu Lorraine et en Alsace, après des preparations d'artillene vloleutes, nos détachements ent psnètré en plu¬ sieurs point s dans les ligaes adverees. Dans la forêt de Parroy, nous avons trouvó de nombreux cadavres alle¬ mands dans les traachêes boulever- sees par noire tir. Dans la plaiue d' Alsace, nes détache- meats ont atteiut en stx eudroits dif¬ férents la deuxièmeligae ennemie et oat fait subir das partes sérieuses a l'a tversaire. No s avons raxnené des prisonniers et du materiel. i6 nvril, u heures. Nous nous sommas ernparés, la nuit dernière. du village de Villeret et nous avons progressé au Nord-Oaest de Lens. Le détail complet du mstériel saisi A Liévin et a S uchez n'est pas eucore parve u. II est tontefois, dès a présent, etabii que cos prises sont trè» impor- tantes. Eiles comprennent une pièce de marine de 150 a longue portée, plusieurs milliers de coups de tous ca¬ libres jusqu'a 200, da nomhreux mor- 23 heures. Entre Saint Quentin et l'Oise, co tinuaücn de a lutts d'aniilerie. Au cours de lajournée, au Sud de l'Oise, nous avons réahsé de nouveanx progrès sur le plateau A l'Est de la ligne Birisis Q .iuty Basse. Entre Saisaoas et Riinss, après una preparation d'artilleiie qui a öuré plusieurs jours, nous avons attaq é ca matin lea lignes allsxaandes sur uns ét^nlue de quaraate kilomètres environ. La foafaille a été achareée sur taut Is front, l'etmemi avait groupé des forces trés imporiantes et une üoiubreuss artillerie. Par tout la vaillance da nos troupes a <sursisun de l'énergjque défrnse de l'adversaire. Entre Sois&ons et Graon- ne, toute la première position alle¬ mande est tornbée en notre pouvoir. A l'Est de Craonne, nos troupes out enl la döuxieiaie position ennemie, au Sud de Juvincorrt. Pius au Su i, nousavous porté notre ligne jusqu'aux üsières Ou-st de Bermericourt et j«s- qu'au canal da l'Aisne, de Loivre a Gourcy. De violeates contt e-attaques déclanchs-'s a p'usieurs reprises au Nord de ViU®-au- Bois ont été brisées per nos feux avec des ptrtes consiió- r.ibhs pour l'tnaemi. Ls cb ffre des prisonniers fatts par nous et jusqu'a présant ds«osabrö dé- passe dix mille. Nous avocs egi-.!e- meat capturé un matériel import ant non encore recensé. En Champagne, la luüe cTartil'erie s'est poursuivie ac tivement au cours da ia journég dans les diva s secteurs. Canufinade intermittente sur J& reste du front. , t It tiers de tranchées e^tde gratades quan- tités de bombes et greaades de tou¬ tes series. Ea outre de wagons plains d'outils neufs et de aombcevx éiémenta de lignes de tramwajrs avec leur maté- risl de wagons, deux importants dé¬ pots du génie sont tombés eafcrs nos maias. L'attaque allc-rc.ande du 14 courant a Mqaohy-le Preux a été menéa avec une grande énergie. La traisièma divi¬ sion bavaroise, employés en 1915 pour faire faoa a notre olfansive dans la biitailla ds Loos et engagée en 1916 a High 'Wood (bols des Foureaux) au cour3 de la bataille de la Somras, a été de nouveau ame-éa pour reufjreer les divisions en l'gne. Elle avait l'crdra de reprendre Moa- chy le Preux coüte que ccute, Ses pertes, dans cette attaque infruc- tuease ont étó excfeptionneliement éievées, comma 1'omt été celles de tou¬ tes les tro .pes bavaroise» au cours des dernièras opérations. II y a plus d'un tiers de Bavarois parmi les pri¬ sonniers fatts par nous depuis le 9. 16avril. 2Dh. 10 Xcr total das prisonniers faits par nous depuis le matin du neuf courant dépasse actuellement quatorze mille. Le matériel comprend cent quatre- vingt-quatorze canons. Aucun èvéne ent important k signaler pour la journêe, II a p'u de nouveau ties foriemetit pendant tont i'après-m.di. . COUdüKIODE EELGE !6 svril. Sur tout le front, les actions d'artillerie so sent poursu ivies au cours da la journeo. COMMUNIQUE ITALIEH Roms. 16 svsII. Una tempêle de neige persistants sur le front du Trentin n'a permis que des rencontres de patrouilles favorubles pour nous. A But supérieur nous avons pénétré dans une tranches ennemie pendant la nuit. Dms la zone de Tolmino nous avons repnissé une atta¬ que ennemie aux environs cl Sikini. A l'Ouest de Gonzia et dans la valies de Frigido , nous avons bombarde efficacement les lignes enne- mies. COMMUNIQUÉ RUSSE PelrofcTede. 13 avril. FRONT OCCIDENTAL : Sur Is Tyr, prés ds L'atowo a 20 verstas au Nord Ouest de Brody, nous avons fait sauter un pont. Nous avons repoussé sur plusieurs parlies du front de prtite s colonnes ennsmies s'appro- chant de nos positions a veo l'étendard en myin. FRONT ROUMAIN : Nous avons repoussé une ahaque snnemie dans la region de Bato- chu. MEP NOIRE : Prés du Bosphore, un da nos sotis-marms a cau/é un bateau k motsur et daux goêlettes chargèas. AVIATION : Le sous-lieutenant Pachtchenko a aba'tu un avion allemand qui tomba en ft am mes prés de Focsani. DANS IES BALKANS COMMUNIQUÉ FRANQAIS Saloniqut!,16 «vril. L'arti'lerie s'est m ntrèe particuiièrement active de part et d'autra du fiv.nt serba et k l'Ouest de la Cerna. Un coup de main tenté par l'eunemi sur un posts de la bouclé de la Cerna a été repoussé. Vive f slllade dan s le seeieiy italien, tes esearmouc es continuant k l'Ouest de Koritza. EN ALLEMAGNE Les Manifestations De3 mr.mfeaia ioa;, popuiaire< se sont pro¬ duces h lier lin, d Cologne et a Bröme. Les mMnift'Stams réciamaient les droii6 éiectoraax etdeia ncmu'iture. «atiicasfei filmnutn L'Appel dupré&idanl Wilson supeuple amêrieain M. Wihon vient d'adress' r un aprei k sss concuoyens pour les convier a taiie de la uat on ne unite puur la preset vation de ses idéct s. L'appbl débnte einsi : « L'entrée de notre bien-aimi? p-y.?, ponr la dstnocrdiia et les droits era Fh-maniié, dans ta g ierro té ieuse et te riblo qui ébraa- le raos.de, c ée tant de problèmes poor la vie et la l>g»e de conduite nationales, pio- b èmes qui doinaiideut Aêtre pris en cmsi- dération et réglts iarm da teraeat, que j'es- pè<e qne vous me p-.rra-itrez de vous adres- ser q oiques prroleg d'avis s«rieux en vous dera ndant de les bien pe.er. » Nous mettons rapidwnent notre Rotte sur le pi"d de eoerre nous sommes sur le point de cróer et d éqtiiperuna grande armée ; n ais co ne sont ia qne de simples parties Je la g-ande .ff-lra k laquelle nous d rons consacrer. II n'y a pas senle- u da l'eg- isme, peur autant qn'on p <isse ea j . g«r, dins la cause Dour laquelle nous comha'tons. Nous corabattons pour ce qua nous désirons et croyans être lés droits da l'hnmaeité et nn avenir da paix et de sécu- rité dans le nio^-da. » Puur aceomplir cette grand? oeuvre di- g»eroent et avec su-rcès, nous devoos nous consacriflr ê sa réalisaiion, sa^s ?ucune con¬ sideration de proflis ou d'avanuiges mató- r els et avec i'énergie et la comprehension qui s'é èvent au niveau de i'eutreprisa elle- raême. » Nous devons pleinament comprendre com bien gra de est notre ia he, c •mbrao da chocs et co tn bien d'étérents d ITérents de sacrifice! eiie irapfique. Yui a doac le3 cbo- ses que, outre la lutte, il nous faut faire et bien faire, choses sa es Irsqnetles le com hst se ui serail inutile. Nma de voos prodnire a nourriture, non sc-ulement pour nous mê mps, pour n03 armées et nos marios, mais égilemeM poer une grande partie des popu¬ lation» d --s nations avec qui ro 's ffii ons maintenact cause cemmnn», a i'aide des qneltes et aux cótés üe3queils3 nous altoos combattre. » Le prês-d nt exhortc ensuite tons les ci- (oyens ct encore plus particniiérement les feriniers a corceotrer leurs energies, k pfa- tiquer l'écoaoraie et k faire preuve ü'abné- ghtion et de resolution. Le président étudio, en d^hnrs d'une coo- pératiou matérielle, les soiotions pro pret k ecarter des co flits fnturs, garantiss^nt k toutes les nations, grandes ou psiitss, le droit de se gonverner ebes mêmes. Le gouvernement cxam ne aassi le3 moyms d'assistcr d'une f pon pratique la n- uvello déraocra ie russ^, notammént par l'euvci d'uno mission en Russie. Le programme de la conférence avec les délégués des alliés Le président W lson a c-unmencé la ré- d ctton du p ugiamme d fimtif de la confé¬ rence de guerré, qui doit avoir lien cet e se- marae avec es représemacus de la France et de I'Angleterra. La d scussion portera princioalsment snr Iss mayens d - d inner A It e wpér uiou ma- téiielle des E ats-Unis avec l'E «teate la plus grand" t ffie cite po-S'ble. Le prés dent es;iruo que ie plus grand ré- sndat que l'on po irra obtorir de la g isrre résu'te-a dun accord pvraieUant d'eviter les cui flits futurs en garvntis-ant le droit de tonte naiion, petite Oil grande, k se gou- Viuner elle n éme. Ou pense qu'.n recevsnt les delegations éira'wères, 1» president exoossra ctairement let spiral ons d s Etats-U i^è cesojHt. La com position d s dtfrgaiions fVar-caise etang'ai.o don no ici 1'imp' essiou quell s o■ t o it poi'voir ponr treiter les plus h ,nte3 qupiiions politiqu'S au-si b.ea que pair riiO e les grandes lignes du plande gueire des allies et q.i'aiesi, tout mui-ateudu pourra être évite cntra I'Union et 1Entente. Les questions générales in*critesau pro- gramma de la conference sont les suirantes: i° Repartition de l'awnce de 3 inillLrJs de d >iiarsen rs ks a 'iês ; 2° Cnopjrafion navala contra la guerre sous-marine ; 3° Transport do vivres, de munitions et des h mines que FAmérique enverra aux armées d ; i'E -teate ; 4» Levé» d'ane »ouveile arprie américaine et son utilisation éveimede contra i'Al;e- ma ran ; 5» U ilisation d»s re«sonrce« da l'Améri- qu Ce.-ttrateet de l'Amórique du Sud quand l"S d lions de i'Aaierique latine enireront en guerre ; C° Conditions sous lesquedes on poorrut dhcuior 'es propositions de paix a.i <-as <ü e les srraraot f.ites par l'uue des puissances centrales, evqualles seraiirnt les conditions de It paix. On croit que les délégués demanderont aux Ei^ts-Uats <te sVngager k »s pas ca >- clure de raix sep-wee ; on coasieère comme posrib'e q t'a la suite da cvtse caaterence, les conditio s de paix de l'Amériqae et de l'E iiente s i n; p-oclamées, -fin de ranfor- Ci'i le mouvement qui >e dos-iae en Allema- gne c mtre ia politique des juokers. Délégaiions américaines en Europe Le p'éskti-'Bt Wilson a décidn d'. u oyer tr at deleeaiions pour représ^nter les Etats- Uwis rn France, cn Angiet-'re et en Russie. U«e quawtème sera p-u' ê re envoyée en Italic ; m »is rien n'a encore été décido a ca sujet. Le messageWilson muitIé en Allemagne Au sajet ue la oubuca ion ui auiii « do discours de M. Wilson, la New-York Times dit : « Avcun journal al'emand, sanf le Berliner Taijeblalt, n'a raeniionna 1»p s ige .as le- qa^l lr president propose I'app i financier anx alliét. Comma l'espoir de i'A emagne réride dans la ruiae des ailiés la publication ds la nouvelle de I'appui fiaaeci»'' américain n° pouvait p r consequent être faite, paree q i'rlle aurad detruit cetespoir. L'AHemagne n'a pas osé faire saVcir a son peuple ce que le président tbs«it au sujet de la R issie. M. Wilson disait trop ciairement que ia revolu¬ tion russe et la declaration de la guerre amêricame avaient achevé de faire de ce cot flit one lutte entre la démocratie et ('au¬ tocratie. La publication du discours de M. Wilson f it interdito non parca que c'était uodiscours, maisuuearmemortehe, » GO. Q00 Baches arrêtês Depuis ia declaration de ï'e.a. - o t'uerra, If s autorités ont proe-'dé. siix Et its-U'hs, a l'aircstatión d» 69 000 Aücmands, puur cs- piounage et autrts d-nits. La censure des journaux La censure de jeurnaux vient a'ö.re insti- tuée aux Btau-Unis. Le proMdent Yf-'son a nrmmé comme directeur de la censure M. Ge rg-s Carel, qui exerc ra ses functions en c 1 b-.ratiou vee les secrétaires d Etat k Ja guerre et a ia marine. Un attentat allemand Les bureaux i« New YorkG*>bs,un jour- na! du *0'? ê irè3 f in rirag-i, o it faith être détrniis dim nchö. On a en eff>t déc iuvert, a ns une da ie« presses, unobus d->troia poli¬ ces, qui aurait fatalrmeot eciné si, par malheur, la presse avait été miss en marche, Les lniiiiüots É Isssie Le Congres des délégués ouvriers et militaires Le correspondaot pariicnlier du Femesa Pelro- grade télêgraphie a ce journal : Lo Con grès général des délégués des ou¬ vriers et d«s sold its, siégeant a la Do.raa, a pour but da rfmnir les CooseJs rwvinciaux «t de fornnw nn seal Con>eil des represent- touts ouvriers et militaires de toute ia Rus¬ sie Li plupart des membres da Cosgrès sont des sold,its représentant li classe p lys nne. Les socialistes se sont vus dans i'obiigation de compter avec l'état d'esp rit dn catta c:as- s», laquelle est loin de p'ofesser le> doctri¬ nes avancées das ouvriers de Patrcgrada. Le sens patn'otique, an co .tr, ire, est trés déve- loppé ch-z elle, ca qui fut fortemsnt ; ccea- tuó o s des débats. Le C raité executif du Congrès dut, par conséquent, adopter une attitude p!n- cou- forme aux idees des "milieux ruraux, et vis- ê-vis de la gutrra surio t, préseorar une rrsolutlon beauconp plus m-idaree que ca le qu'auraient voulu voter les intomit ouaiis- t 'S. Les doctriraires dn socialiim» pnr re trou- vent d me e» butie, de la part de del g iés p, pmaires comme eux, a use opposition simpüste mais trés f rme dss délégués sc-l- dats, dont lts <ii»cours out tous fait ressor- tir la nécessité da mener la guerre jusqu'an bout. Un de ces délégués soldats s'r-st mêrae écrié : « Lursque no 'S r-itournerons dan3 nos vil ages, nos famines nourront nous re- procher avec jastesse de ce pas avoir su re¬ pousse fi s Alieraapds, alors qu'elles-mêmes avaraut eu raison des getsdarme3 et de3 po- liciers. » Comme on l'a vu, le Conerès des délégués ouvriers et mi itai es a ado t fiaaleme.it les resolutions ociatistes du Comité ex-cut t, msiscas dernièris oai toutes eté fur te inent araendé s par les délégués des sotdats dont l'opposilion aux formules marxistes des so¬ cialistes outranciers su fora de pms en plus grande venant ainri aiporter nn secuurs- nouveau au gouvern ment provisoire qui tst, lui, I'expresfiion frièle des sentiments da ia grande majorité de la nali n. L'armée et les socialistes Des délégués de la 10®armee sa sont pré- sentés lundi dev-nt le comité ouvrier et lui ont fait la declaration suivante : « Nous vous prioo3 de n' dre^srr è i'ar- mér aucune proclamation ponvant être coa- sideiée comtuo des ordrt-s pass?» indépen- dan m nt du gouvernement provisoire, ce qui pK)urrait amener un désaccord dan3 l'armée et la de organiser. » Cnci ne ptxfuerait qu'aitx enncmis de la liberté. » C'est ce résuFat néfasie que puurrait proauire, par r-xsmple, la resolution du Comité de conriderer le st-rment p ê ó selou la formule publiéo par le gouvernement provi oire, com ine inopérant. » Nous nrotsstons de toutes nbs forces con re de paredls-s paroras hattvas Que cha- cun raste a sa plane ; i«s travaiiieurs è Ft,sine et les soidats aux trar.ché-.s. > Le p/ège de la paix allemande Lr co i rauuiq m uffloietrui.-.- au »vi. donna Ps renseigaemenls suivaats sur les manées da flerlia : D'iprèsun officier sutrichien transfage, le t hanceiier aliouu d de B 'üimann-IIoll- w- g a eavoyé a Siackhobti qua que< socia- iixtes allemands po-r des n •gociatiros da p ix séD*rée avec les représitttants dos so- Oiabstes russes Eu omro. Ie; AUemmds n'ont pa9 largerauat répxtifa ta noavaoa da Ia wist) do la plac» de Tctrarvilyo, et les tna- nifi>»tatioris qu'its fnsaient habitueH.-meot en parriites , ircoast tnces n'ont pas eu lieu. Srlon ert officier, les sooaflstss .wrao- crates ademand opèreoten pieme sol'd.nté avec ieut gouvera«meet et sa considerent avaut tout comme öes Allemands. Un autre transfuge aivr chieu pi étend nu», dans l'armée autrichf ase, ou parle nioius de paix qu'autrefóis. Tont le monda espere que Gs désurdres iniérieej's d < la Russie a'deront è sa destruction. Toat es css BOovelies prouvent que l'Altemagne nra rrrours a loules les rnses pos'ibi s et ftra de soa mieöx pour obteivir ia desunion en¬ tre ses eueemis. D autre part, (Tn re'êve cebe indication piéoi'siise qtra d'noe I' n de« nrmit^nx journaux socialistes do Saxe, la Volkssiimme d >Chemnitz : « La SoziridamokraU's aUemnnde s'est porié' g. ra n ede FoiLe de paix tait? par la chance i r d- Betlimann et le mmist'e aus- trc-h mgrois Cze»ai «, en faisaat tran«mettre au C"m'ade Tchridz», k Pétersb-iurg, p,r la camarude mn-istre dano s SUuniag, l'as-c- raaca qu'ancnn houiina en Al-magueno projette d'attt.nter é Ia bberté russe. » M. Siautiiig est k la lois roinistre sans po'trfeuide et préa-dent des SynJicats soria- livtps dn Dsuemark. Entin. oo apprrnd qu'nn eer lain nombre d'antimi'iiaristes russ-s, q(«i s'eiai- ot refu¬ giés en Suisse, out 6te autorisés par ie gou¬ vernement d« B r in k traverser directe m . nt le terriioire alraman-a, malgré leur qt-ahté de sujet3 ennemis, pour sa rendre dans les pays scanriinavrs et de 14»n Russie. La pro¬ paganda allemande co"»pie visiblerrrant sur ia coijaboratlou de c«s personnage3 pyur sa coaspiratioa de la

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Page 1: annonces UnA* AUHAVUB …archives.lehavre.fr/archives_municipales/LPH_1914-1919/journaux/... · 2 Las Le Petit Havre —•Mardi17A\ril 1917 smrsesg&m sociaiistespacifistesrusses

37mèWe — 13.034 (-^ Pagres) 5 Centimes— EDITIONMlMATIN— § fenlimes Pa^es) fiardi 17 Avril ld 17

Atainistrateor•Déléjrné-GéfastO. RANDOLETIftWfiMflmiBpressioss«ttaEcts,TIL.10.1?S3, Itue Fontenelle, 3&

ÊirsssaTêléaraphique: EAOTOLETHarrs

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EiiiïSS EiMiSiS)

HÉDACTHUR EN CHEF

J.-J. CASPAR - JORDANTélépiioau t M.SU

SsorétairaGónêral: TH. VALLÉ1

Rédactlon,35, ruo Fonteneile- Tél. 7.69

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L'AGENCEHAVAS,8,placede la Bourse,esti i . . u An noeavA' ii» loo A nnnnooc nrtll 1»A PARIS, ((••et*( L'AGliil V^iM AA.-A. » v., —n- — >

? seule chargée de recevoir les Annonces pourf le Journal.

ORGANS RÉP UB LI CAIN DÉMOCRATI QUE

Le plas fort Th'age des dournaux de la Rêglon

ABGNIMEMENT3Le Havre. la Seine-Inférieuro,i'Eure,l'Oiseet la SommaAutres Département»......,.............DnionPostale

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Ons'ubonneé^alementSANSFffUS. dans faas les Bureauxde Per,to doFrance

lotriguesAilemondssLa réunion projetée entre les représen¬tant» des partis socialistes al lemaed, autri-chien, danois et suédois s'est ouverte hierlundi a Stockholm. Elle a surtout pourcbjet d'esaminerla situation nouvelle crééepar la révolution russe. Comme il s'agitd'une réonion improvisée a laquelle doi-vent participer des militants de toutes ten¬dances, il est bien difficile qu'ils puissentvoter un ordre du jour et arrêter des réso-lulions précises. Les débats n'auront done,vraisemblablemeot, qn'un inlérêt docu¬mentaire. Si des décisions étaient prises,dies ne pourraient avoir, semble-t-il. au-cune influence sur la marche des événe-iTients politiques et militaires puisque,d'ailleurs, les délégués è cette conférencelie sont tifulaircs d'aucun mandat.Mais, k défaut d'un mandat officie!, lesdélégués allemands et autricbiens, qui ontpour chefs de mission Scheidemann etAdler, sont bien pourvus d'instructionsoilicieuses. Scheidemann, êrne damnée deBelhmatin Holiweg, eut avant son départun long entrelien avec le ehancelier deFEmpire ; de même Adler et ses kamaradesReiner et Seitz ne manquèrent pas de semetlre d'accord avecle comte Gzernin.Ce que voudraient les socialdémoeratesallemands et autricbiens, c'est renouvelerles tentatives avortées naguère è Amster¬dam, metlre en jeu l'Internationale et, plusparticuiièrement dans les circonstancesprésenLes, conclure un accord avec les pa¬cifisms russes et, par ce moyen, neutraliser1'effort militaire de la Russie et l'amenerpeut-être a une paix séparée.Les appréciations des journaux allemandset autricbiens montrent du reste que l'onattache, è Berlin et a Viemie, une grandeimportance a cette entrevue de Stockholmdont on attend des résultats merveilleux-Muis il y a loin de la coupe aux lèvres. Lagrande majorité des socialistes russes estfixée sur les intentions véritables de Schei¬demann. Et le leader socialiste suédoisBranting, dans une série de conférencesqu'il vient de faire a Petrograde, a mis enpleine iumière la servüité des socialdémo¬erates vis-a-vis du gouvernement impérial.En même temps que les socialistesdu kaiser ourdissaient leurs intrigues aStockholm, le Comité des ouvriers et sol-dats que préside Tcheidze, è Petrograde,émettait une résolution porlant que le gou¬vernement provisoire devrait déclarer atous les peuples que la Russie mènera laguerre sculement pour sa défense, et tantque l'APemagne et l'Autriche n'auront pasassuré qu'elles n'aspirent a aucune con-quêle. Ainsi le même Tcheidze qui réclam; itl'autrcjour, des socialistes allemands, lerenversement du kaiser, parsil adopterdésorinais une attitude toute différente.Et s'il suivait les inspirations des extré-mistes, le peuple russe se trouverait danscette situation paradoxale de ne s'ètre dé-liarrassé des ministres de !a paix séparée etdes intrigants germanophiles que pourtouiber entre les mains des paciflsles de iadéfaite.Prompt a saïsir l'oecasion qui lui étaitainsi offerte, l'empereur d'Autriclie a faitpublier une note officieuse declarant quela maison des Habsbourg ne désire aucuneconqttête et qu'elio est prète a trailer avecla révolution russe.Faut ileroire que celie manoeuvre a étéconcertée pendant la récente conférencetenue a Hombourg parlesdeux ernpcreurs?C'est chose fort possible, el le bul de l'em¬pereur Charles serail uniqueinent de jeterle trouble et le désarroi eutre le Comitéque préside Tcheidze et le gouvernementprovisoire de Petrograde. Car on ne voitpas l'empereur Guillaume consentant aune declaration identique, alors que Jesjouruaux allemands de tomes opinionsoontiuuent leur ardente campagne annexion-niste et pangcrm.iniste.Entralnée dans Forbite de 1'Aliemagne,l'Autriche Ilongrie ne peut conti acler unepaix séparée. Mais, dans l'intérêt des Em¬pires du centre, elle voudrait décider laRussie a se detacher de TEiitente. Les ma¬noeuvres de Vienne et les intrigues deStockholm sont vraiment trop grossières.

Th, Vallés.fKEKSSB

En quelques Mots—Le stationnaire amêricaln Scorpionest ia-terné par l-s Turcs.— LeCanlirad a Vienne et a Bortia une decla¬ration deNeutralité.— Le aiibistre d'Espagne a Sofiaproteste eon-tre les traitemeiits iiiftigés aux priso .niers iou-msins.— Les ouvriers de Kid demsnden! a visiter lesgirde-manger (les directeurs de chacliers.— Le Tji annonce qu'iine crise mini térielleCAahi-uduötrè, p<oclnuaetBrnt en Hotat,de.— M.dEsiournet'es de Constant» «cbessé par1'iDleiroédialrede l'Agence baIsaniouedeGeneve,un manifeste a la na ion butgae ilisai t qu'enFrance on consioére que les IS,ig«res n'aui etóque les instruments du parti m ltlaire suns scru¬pule et du monarqueétranger.— Seion les jotirmiux, l'etat du sénatenr Ai-mond inspire de vives inquietudes dans son en¬tourage.—M.Grew, consul das Etais unis it Vienna, iepersonnel consulaire et tin certain uouibrc d'A-RiCricsinssant arrivés ea Suhsa

M. ANDRÉTARDIEUnDifliïishaüi-CQMlssalreds la RêpuSHiqueaysEtais-ünls

Nous annoncions hier en Dornière ITmreque to gouvernement a déc dó, pour nnr-q ter l'importance quo la France attache auconcours des E'ats-ücis, d'envoyar a W sh-ingvon une m s»iou tem po- airot composéade hvutes porsonoatités poddques et mili¬taires, qui porteront k la Réouohque ameri-O-doe le saiut de la Róaubuque ftvnea se.E i ontre, le Caoseil dis miirstres a esii-me nécessaire de caatvaiiser, sous une di-r, ciion unique, to ites les missions techmjqttes qui ont cu auront k assurer d'une u-C n permanente sur tous les terrains l'ótroitecooperation da ia France ei d s EtiD-Unts eiit porur a soa maximum iVü'ort francj-amé-ricain.En consequence, le gouvRrn.pment a deci¬de d'u'S iiuer eitx Etats (Joisun h<ut corn-missariat da la Républiq .e fvaniQise. I i'aconfie a M. Audré Tardteu, dépuié de Seine-et-Ooe.Ia nominalion do M. An 'ré Tardicn óc>t e haate fonction sera cmainement fortbien ticeaeiliie en Atnértque cü M. AndréTarGeti a ttcjó, i! y a liuii ou noot ans, pro-fessé a FUniversite Ilat ward, ê Boiton, uncours sur la politique exterieure ae ta troi-sièma Répnblique.M. Andre Tardien, avant d'ê're é'tt d^pntéde Seiae-et Orie, en 1914, s'était d ja ;<ciuistiD'i grande autorité en matière do potitlqceextérieure.II est premier secrétaire d'smbass^de ho¬noraire, raus il est surtout rui c i'aia qui,dans les journaux et dans les nvres, a mon-tré unecouiiaiss'tnee rare des multiples pro-faèraes intarnationaux. II a ens igueè Paris,a i'Eoole des Sciences pjiitiques et a l'E o esepétieure de guerre.Dès te debut d -s h)-!' lités, il fut mob liród'ubord an mini tére de la ctierre, puis augrand qoar iet' gén--ral, il devut eosuite, sursa dem inde, officier da troupes.II pi it pan aux batuil les de Fère Charape-noise, d Ynres, d'Arras et de Y-rdtm et futplusieurs fois cite a l'ordre du jour. Sa üer-niète citation était ainsi cotiQ.ie :Passé sur sa demande du service dVHat-majorau commandetnetit d'utie c mpasnie de chasseursa pied, a tait preuvede la plus grande bravoureHaas la uuit du 8 au 9 février 198 en conduisant8jo unite, sous un violent bomb-rdimeflt d' nit-löi'ie tourd-, a l'attaque d'une tranche momenta-nément perdue, qu'il a réussi a réoernper apièsune lutie a la grenade de plusieurs heures.Au Parlement, M. Andró T,rdien, tout eninteryenant p usieurs fois a propos des évé-nements extérieurs, s'étair, attaché sortoot èla Commission de l'armée, a i'étude de i°ar-tiiltvrie loorde. II avait pns tout de suite un®grande place a ia Chamb-a.M. André T trdien est at;ö de 49 aas et estofficier de la Légion d'hooucnr.M. André Tardieu ne qnittera saus dontep s toot de suite la France. II prépare avantd ; partir le travail de coordination denosmissions en Amérione ; le déveioppemt ntda cei missions, enfin de tont ce qui peutpernn-ttrea l'Amérique de raa-'t ster p osparticalièrement les sympathies qu'eileéprouvo peur la Fr nca.

TOUCHANTEGÉRÉROITÉParis, 16avrll.

M. Poincaré a repn la dé'écalion de Iapetite ville b. sque d E Inr, en Erpagoe, venun lui remeitie une air-'S'-e si^né de L osles lnbitants de la commune et qui vo >aau ministro des sff tres étrangères 34 409francs, prod iit de i'abandon d'uoa j •-ur-eede travail, et destiaés aux orphelins de laguerre. M. Poincaré a reinere e l i delegationa - eet acte de gtnéreuss et tuuchaute soli-darité.

AhConseilQénéraldn JnraLoBS-le-Süui,ier,Ia aviii.

M. Pichon, éiu président dn Cousf-i! g?né-rai, sul is a-ecu&e reconnaissance prolondeles aihos no ave-,ux qui sa raugent a noscö és, ia puiss-n e democratie des Etus-Unis, la repubiique Chinoise, l»s republi-qties latines du i'Arnér-que du S id.En adrossant a la Russie sis voaux ponri'achèverartnt de Foeuvre Iibé tn,c et lavictoire de ses arme» assurani p r i'ecrase-ment du militarisme allem itid i'integriiè eti'ind -poi uance, il lui re»o<.vela le sot montde iidelité et I'aliianca qui est la corid tioad'une pais durable et un saiut pour tesdeux oays.M. Pichon, en termioant, adresje anx deuxarmées de Franco et de G'-ai-d" B gaopoursuivant l'offeosive mar ué-- p i- lt-s viC-itn e< acquises p.ir la forie, ia brav ure,i'h ioï me, un témo gnage d'adminntioa, d»confi. .•co et de gra-ilua •, ainsi que d svosux ponr le succès dvfinitif «e leur iu-oo<«p,able vailiance et leur mag.ifiuue et-furt.

Arrestatioiide généraiis russesPetrograde, 16aviit.

Les Comités dos dél :g <é: dcssoldais Pt deso •vrie'-s ont décrétè l' rre-iation di-s g -né-r.iux Koijrop, tkinv et Yerufe ff l>e g ueraiBuriütt, cotmn.,ndatjt la prvnnère brgadesib rienne, et Ie general T urmiilen ontégah ment été cwèf* sous l'o col nation ded «tnhr.tion d'ai mes d tns c-irt'iats r- gionsen vue d'une rasistanee au mouvement re-volutionuairo.

LA CENSURE ESPAGNOLEMadrie, iü . vril.

Le jotiroai Espawi Naeva, g rm,nophiiéfort con n-u, fut suspendn sur l'o d'c du mi-Disièra d I in erimr. D'amr>-s journauxdunt El Socia ista et Oidiu, ce demur g-r-m fiophiie aussi. ont eté frappés dVmt>naesa litre de corr,ction.C s mosures mimstérielles sont :uo ivéespar des eonimeoiaires sur la situaiiou ac-tueile non soumis a la censure.

La Neutralité inexicaineMexico,16avril.

Le général Carranzt a d^c arè que le M-xi-aue observerait une ncuirabté stricte et vi-I uiliute daa» ia guerre mcadiale.

LA GUERRENOUSATTAQÜONSVICTORIEUSEMMTENTREREIMSETSOISSONSD'irnportantespositionssont enlevées

Le ehiffre des prisonnlers est de

COMMUNIQUESOFFICTELSS93i JOUTR T^TW. TT

COMI'ü'fiiQUiSFRANQAISPoris, 13 avril, 14 heures

Entre Saint Queada et l'Oise, nousavons poursuivi nos tirs da destruc¬tion sur les organisations aliemandes.La riposte ennemie a été vive dans larég-i-on au Sud de Saint-Qaentin.Au Sud de 1Ome, nous avons conti¬nué da progi-esser vers Ï E -t sur leplateau entre Barisis etQuincy-Basseet oceupé de uouvsaux points d'appuiesinemis. Nos patrouilles sont au con¬tact des tranchées all- mandes sur leslisières Ouest da ia haute forêt deCoucy.La lutte d'artitlerie a pris un carae-tèra do violence extréme pendant lanuit sur tout le front compris entreSaissons et Reims,Eu Champagne, nous avons aisé-m nt repoussé daux coups de mainennemisa l'Est" d'Auberive. Nus re¬connaissances out ramïiié des pri-sonniers.Eu Lorraine et en Alsace, après despreparations d'artillene vloleutes, nosdétachements ent psnètré en plu¬sieurs point s dans les ligaes adverees.Dans la forêt de Parroy, nous avonstrouvó de nombreux cadavres alle¬mands dans les traachêes boulever-sees par noire tir.Dans la plaiue d' Alsace, nes détache-meats ont atteiut en stx eudroits dif¬férents la deuxièmeligae ennemie etoat fait subir das partes sérieuses al'a tversaire. No s avons raxnené desprisonniers et du materiel.

i6 nvril, u heures.Nous nous sommas ernparés, la nuitdernière. du village de Villeret etnous avons progressé au Nord-Oaestde Lens.Le détail complet du mstériel saisiALiévin et a S uchez n'est pas eucoreparve u. II est tontefois, dès a présent,etabii que cos prises sont trè» impor-tantes. Eiles comprennent une piècede marine de 150 a longue portée,plusieurs milliers de coups de tous ca¬libres jusqu'a 200, da nomhreux mor-

23 heures.Entre Saint Quentin et l'Oise, co tinuaücnde a lutts d'aniilerie.Au cours de lajournée, au Sud del'Oise, nous avons réahsé de nouveanxprogrès sur le plateau A l'Est de laligne Birisis Q .iuty Basse.Entre Saisaoas et Riinss, après unapreparation d'artilleiie qui a öuréplusieurs jours, nous avons attaq éca matin lea lignes allsxaandes suruns ét^nlue de quaraate kilomètresenviron. La foafaille a été achareéesur taut Is front, oü l'etmemi avaitgroupé des forces trés imporiantes etune üoiubreuss artillerie.Par tout la vaillance da nos troupesa <sursisun de l'énergjque défrnse del'adversaire. Entre Sois&ons et Graon-ne, toute la première position alle¬mande est tornbée en notre pouvoir.A l'Est de Craonne, nos troupes outenl vé la döuxieiaie position ennemie,au Sud de Juvincorrt. Pius au Su i,nousavous porté notre ligne jusqu'auxüsières Ou-st de Bermericourt et j«s-qu'au canal da l'Aisne, de Loivre aGourcy. De violeates contt e-attaquesdéclanchs-'s a p'usieurs reprises auNord de ViU®-au- Bois ont été briséesper nos feux avec des ptrtes consiió-r.ibhs pour l'tnaemi.Ls cb ffre des prisonniers fatts parnous et jusqu'a présant ds«osabrö dé-passe dix mille. Nous avocs egi-.!e-meat capturé un matériel import antnon encore recensé.En Champagne, la luüe cTartil'erie s'estpoursuivie ac tivement au cours da ia journégdans les diva s secteurs.Canufinade intermittente sur J& reste dufront. ,

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tiers de tranchées e^tde gratades quan-tités de bombes et greaades de tou¬tes series.Ea outre de wagons plains d'outilsneufs et de aombcevx éiémenta delignes de tramwajrs avec leur maté-risl de wagons, deux importants dé¬pots du génie sont tombés eafcrs nosmaias.L'attaque allc-rc.ande du 14 couranta Mqaohy-le Preux a été menéa avecune grande énergie. La traisièma divi¬sion bavaroise, employés en 1915pour faire faoa a notre olfansive dansla biitailla ds Loos et engagée en 1916a High 'Wood (bols des Foureaux) aucour3 de la bataille de la Somras, a étéde nouveau ame-éa pour reufjreerles divisions en l'gne.Elle avait l'crdra de reprendre Moa-chy le Preux coüte que ccute, Sespertes, dans cette attaque infruc-tuease ont étó excfeptionneliementéievées, comma 1'omt été celles de tou¬tes les tro .pes bavaroise» au coursdes dernièras opérations. II y a plusd'un tiers de Bavarois parmi les pri¬sonniers fatts par nous depuis le 9.

16avril. 2Dh. 10Xcr total das prisonniers faits parnous depuis le matin du neuf courantdépasse actuellement quatorze mille.Le matériel comprend cent quatre-vingt-quatorze canons.Aucun èvéne ent important k signaler pourla journêe, II a p'u de nouveau ties foriemetitpendant tont i'après-m.di. .

COUdüKIODEEELGE!6 svril.

Sur tout le front, les actions d'artillerie sosent poursu ivies au cours da la journeo.

COMMUNIQUEITALIEHRoms. 16 svsII.

Una tempêle de neige persistants sur le frontdu Trentin n'a permis que des rencontres depatrouilles favorubles pour nous.A But supérieur nous avons pénétré dansune tranches ennemie pendant la nuit. D m s lazone de Tolmino nous avons repnissé une atta¬que ennemie aux environs cl Sikini. A l'Ouestde Gonzia et dans la valies de Frigido , nousavons bombarde efficacement les lignes enne-mies.

COMMUNIQUÉRUSSEPelrofcTede.13avril.

FRONT OCCIDENTAL : Sur Is Tyr, prés dsL'atowo a 20 verstas au Nord Ouest de Brody,nous avons fait sauter un pont.Nous avons repoussé sur plusieurs parliesdu front de prtite s colonnes ennsmies s'appro-chant de nos positions aveo l'étendard enmyin.FRONT ROUMAIN : Nous avons repousséune ahaque snnemie dans la region de Bato-chu.MEP NOIRE : Prés du Bosphore, un da nossotis-marms a cau/é un bateau k motsur etdaux goêlettes chargèas.AVIATION : Le sous-lieutenant Pachtchenkoa aba'tu un avion allemand qui tomba enft am mes prés de Focsani.

DANSIES BALKANSCOMMUNIQUÉ FRANQAIS

Saloniqut!,16 «vril.L'arti'lerie s'est m ntrèe particuiièrementactive de part et d'autra du fiv.nt serba et kl'Ouest de la Cerna. Un coup de main tentépar l'eunemi sur un posts de la bouclé de laCerna a été repoussé. Vive f slllade dan s leseeieiy italien, tes esearmouc es continuantk l'Ouest de Koritza.

EN ALLEMAGNELes Manifestations

De3 mr.mfeaia ioa;, popuiaire< se sont pro¬duces h lier lin, d Cologne et a Bröme.Les mMnift'Stams réciamaient les droii6éiectoraaxetdeia ncmu'iture.

«atiicasfei

filmnutnL'Appeldupré&idanlWilsonsupeupleamêrieainM.Wihon vient d'adress' r un aprei k sssconcuoyens pour les convier a taiie de lauat on ne unite puur la preset vation deses idéct s.L'appbl débnte einsi :« L'entrée de notre bien-aimi? p-y.?, ponrla dstnocrdiia et les droits era Fh-maniié,dans ta g ierro té ieuse et te riblo qui ébraa-le raos.de, c ée tant de problèmes poor lavie et la l>g»e de conduite nationales, pio-b èmes qui doinaiideut Aêtre pris en cmsi-dération et réglts iarm da teraeat, que j'es-pè<e qne vous me p-.rra-itrez de vous adres-ser q oiques prroleg d'avis s«rieux en vousdera ndant de les bien pe.er.» Nous mettons rapidwnent notre Rottesur le pi"d de eoerre nous sommes surle point de cróer et d éqtiiperuna grandearmée ; n ais co ne sont ia qne de simplesparties Je la g-ande .ff-lra k laquelle nousd rons consacrer. II n'y a pas senle-u da l'eg- isme, peur autant qn'on p <isseea j . g«r, dins la cause Dour laquelle nouscomha'tons. Nous corabattons pour ce quanous désirons et croyans être lés droits dal'hnmaeité et nn avenir da paix et de sécu-rité dans le nio^-da.» Puur aceomplir cette grand? oeuvre di-g»eroent et avec su-rcès, nous devoos nousconsacriflr ê sa réalisaiion, sa^s ?ucune con¬sideration de proflis ou d'avanuiges mató-r els et avec i'énergie et la comprehensionqui s'é èvent au niveau de i'eutreprisa elle-raême.» Nous devons pleinament comprendrecom bien gra de est notre ia he, c •mbrao dachocs et co tnbien d'étérents d ITérents desacrifice! eiie irapfique. Yui a doac le3 cbo-ses que, outre la lutte, il nous faut faire etbien faire, choses sa es Irsqnetles le com hstseui serail inutile. Nma de voos prodnire anourriture, non sc-ulement pour nous mêmps, pour n03 armées et nos marios, maiségilemeM poer une grande partie des popu¬lation» d --s nations avec qui ro 's ffii onsmaintenact cause cemmnn», a i'aide desqneltes et aux cótés üe3queils3 nous altooscombattre. »Le prês-d nt exhortc ensuite tons les ci-(oyens ct encore plus particniiérement lesferiniers a corceotrer leurs energies, k pfa-tiquer l'écoaoraie et k faire preuve ü'abné-ghtion et de resolution.Le président étudio, en d^hnrs d'une coo-pératiou matérielle, les soiotions pro pret kecarter des co flits fnturs, garantiss^nt ktoutes les nations, grandes ou psiitss, ledroit de se gonverner ebes mêmes.Le gouvernement cxam ne aassi le3moyms d'assistcr d'une f pon pratique lan- uvello déraocra ie russ^, notammént parl'euvci d'uno mission en Russie.

Leprogramme de la conférenceavec les délégués des alliés

Le président W lson a c-unmencé la ré-d ctton du p ugiamme d fimtif de la confé¬rence de guerré, qui doit avoir lien cet e se-marae avec es représemacus de la Franceet de I'Angleterra.La d scussion portera princioalsment snrIss mayens d - d inner A I t e wpér uiou ma-téiielle des E ats-Unis avec l'E «teate la plusgrand" t ffie cite po-S'ble.Le prés dent es;iruo que ie plus grand ré-sndat que l'on po irra obtorir de la g isrrerésu'te-a dun accord pvraieUant d'eviterles cui flits futurs en garvntis-ant le droitde tonte naiion, petite Oil grande, k se gou-Viuner elle n éme.Ou pense qu'.n recevsnt les delegationséira'wères, 1»president exoossra ctairementlet spiral ons d s Etats-U i^è cesojHt.La com position d s dtfrgaiions fVar-caiseetang'ai.o don no ici 1'imp' essiou quell so ■t o it poi'voir ponr treiter les plus h ,nte3qupiiions politiqu'S au-si b.ea que pairriiO e les grandes lignes du plande gueiredes allies et q.i'aiesi, tout mui-ateudupourra être évite cntra I'Union et 1Entente.Les questions générales in*critesau pro-gramma de la conference sont les suirantes:i° Repartition de l'awnce de 3 inillLrJsde d >iiarsen rs ks a 'iês ;2° Cnopjrafion navala contra la guerresous-marine ;3° Transport do vivres, de munitions etdes h mines que FAmérique enverra auxarmées d ; i'E -teate ;4» Levé» d'ane »ouveile arprie américaineet son utilisation éveimede contra i'Al;e-ma ran ;5» U ilisation d»s re«sonrce« da l'Améri-qu Ce.-ttrateet de l'Amórique du Sud quandl"S d lions de i'Aaierique latine enireronten guerre ;C° Conditions sous lesquedes on poorrutdhcuior 'es propositions de paix a.i <-as <üe les srraraot f.ites par l'uue des puissancescentrales, evqualles seraiirnt les conditionsde It paix.On croit que les délégués demanderontaux Ei^ts-Uats <te sVngager k »s pas ca >-clure de raix sep-wee ; on coasieère commeposrib'e q t'a la suite da cvtse caaterence,les conditio s de paix de l'Amériqae et del'E iiente s i n; p-oclamées, -fin de ranfor-Ci'i le mouvement qui >e dos-iae en Allema-gne c mtre ia politique des juokers.

Délégaiionsaméricainesen EuropeLe p'éskti-'Bt Wilson a décidn d'. u oyertr at deleeaiions pour représ^nter les Etats-Uwis rn France, cn Angiet-'re et en Russie.U«e quawtème sera p-u' ê re envoyée enItalic ; m »is rien n'a encore été décido a casujet.

Le messageWilson muitIé en AllemagneAu sajet ue la oubuca ion ui auiii « dodiscours de M. Wilson, la New-York Timesdit :« Avcun journal al'emand, sanf le BerlinerTaijeblalt, n'a raeniionna 1»p s i ge .as le-qa^l lr president propose I'app i financieranx alliét. Comma l'espoir de i'A emagneréride dans la ruiae des ailiés la publicationds la nouvelle de I'appui fiaaeci»'' américainn° pouvait p r consequent être faite, pareeq i'rlle aurad detruit cetespoir. L'AHemagnen'a pas osé faire saVcir a son peuple ce quele président tbs«it au sujet de la R issie. M.Wilson disait trop ciairement que ia revolu¬tion russe et la declaration de la guerreamêricame avaient achevé de faire de cecot flit one lutte entre la démocratie et ('au¬tocratie. La publication du discours de M.Wilson f it interdito non parca que c'étaituodiscours,maisuuearmemortehe,»

GO.Q00 Baches arrêtêsDepuis ia declaration de ï'e.a. - o t'uerra,If s autorités ont proe-'dé. siix Et its-U'hs, al'aircstatión d» 69 000 Aücmands, puur cs-piounage et autrts d-nits.

La censure des journauxLa censure de jeurnaux vient a'ö.re insti-tuée aux Btau-Unis.Le proMdent Yf-'son a nrmmé commedirecteur de la censure M. Ge rg-s Carel,qui exerc ra ses functions en c 1 b-.ratiouvee les secrétaires d Etat k Ja guerre et aia marine.

Un attentat allemandLes bureaux i« New YorkG*>bs,un jour-na! du *0'? ê irè3 f in rirag-i, o it faith êtredétrniis dim nchö. On a en eff>t déc iuvert,a ns une da ie« presses, unobus d->troia poli¬ces, qui aurait fatalrmeot eciné si, parmalheur, la presse avait été miss en marche,

LeslniiiiüotsÉ IsssieLe Congres des délégués ouvriers

et militairesLe correspondaot pariicnlier du Femesa Pelro-grade télêgraphie a ce journal :Lo Congrès général des délégués des ou¬vriers et d«s sold its, siégeant a la Do.raa, apour but da rfmnir les CooseJs rwvinciaux«t de fornnw nn seal Con>eil des represent-touts ouvriers et militaires de toute ia Rus¬sieLi plupart des membres da Cosgrès sontdes sold,its représentant li classe p lys nne.Les socialistes se sont vus dans i'obiigationde compter avec l'état d'esp rit dn catta c:as-s», laquelle est loin de p'ofesser le> doctri¬nes avancées das ouvriers de Patrcgrada. Lesens patn'otique, an co .tr, ire, est trés déve-loppé ch-z elle, ca qui fut fortemsnt ; ccea-tuó o s des débats.Le C raité executif du Congrès dut, parconséquent, adopter une attitude p!n- cou-forme aux idees des "milieux ruraux, et vis-ê-vis de la gutrra surio t, préseorar unerrsolutlon beauconp plus m-idaree que ca lequ'auraient voulu voter les intomit ouaiis-t 'S.Les doctriraires dn socialiim» pnr re trou-vent d me e» butie, de la part de del g iésp, pmaires comme eux, a use oppositionsimpüste mais trés f rme dss délégués sc-l-dats, dont lts <ii»cours out tous fait ressor-tir la nécessité da mener la guerre jusqu'anbout.Un de ces délégués soldats s'r-st mêraeécrié : « Lursque no 'S r-itournerons dan3nos vil ages, nos famines nourront nous re-procher avec jastesse de ce pas avoir su re¬pousse fi s Alieraapds, alors qu'elles-mêmesavaraut eu raison des getsdarme3 et de3 po-liciers. »Comme on l'a vu, le Conerès des déléguésouvriers et mi itai es a ado t fiaaleme.it lesresolutions ociatistes du Comité ex-cut t,msiscas dernièris oai toutes eté fur te inentaraendé s par les délégués des sotdats dontl'opposilion aux formules marxistes des so¬cialistes outranciers su fora de pms en plusgrande venant ainri aiporter nn secuurs-nouveau au gouvern ment provisoire quitst, lui, I'expresfiion frièle des sentimentsda ia grande majorité de la nali n.

L'armée et les socialistesDes délégués de la 10®armee sa sont pré-sentés lundi dev-nt le comité ouvrier et luiont fait la declaration suivante :« Nous vous prioo3 de n' dre^srr è i'ar-mér aucune proclamation ponvant être coa-sideiée comtuo des ordrt-s pass?» indépen-dan m nt du gouvernement provisoire, cequi pK)urrait amener un désaccord dan3l'armée et la de organiser.» Cnci ne ptxfuerait qu'aitx enncmis de laliberté.» C'est ce résuFat néfasie que puurraitproauire, par r-xsmple, la resolution duComité de conriderer le st-rment p ê ó seloula formule publiéo par le gouvernementprovi oire, com ine inopérant.» Nous nrotsstons de toutes nbs forcescon re de paredls-s paroras hattvas Que cha-cun raste a sa plane ; i«s travaiiieurs èFt,sine et les soidats aux trar.ché-.s. >

Le p/ège de la paix allemandeLr co i rauuiq m uffloietrui.-.- au »vi. donnaPs renseigaemenls suivaats sur les manées daflerlia :D'iprèsun officier sutrichien transfage,le t hanceiier aliouu d de B 'üimann-IIoll-w- g a eavoyé a Siackhobti qua que< socia-iixtes allemands po-r des n •gociatiros dap ix séD*rée avec les représitttants dos so-Oiabstes russes Eu omro. Ie; AUemmdsn'ont pa9 largerauat répxtifa ta noavaoa daIa wist) do la plac» de Tctrarvilyo, et les tna-nifi>»tatioris qu'its fnsaient habitueH.-meoten parriites , ircoast tnces n'ont pas eulieu. Srlon ert officier, les sooaflstss .wrao-crates ademand opèreoten pieme sol'd.ntéavec ieut gouvera«meet et sa considerentavaut tout comme öes Allemands.Un autre transfuge aivr chieu pi étendnu», dans l'armée autrichf ase, ou parlenioius de paix qu'autrefóis. Tont le mondaespere que Gs désurdres iniérieej's d < laRussie a'deront è sa destruction. Toat es cssBOovelies prouvent que l'Altemagne nrarrrours a loules les rnses pos'ibi s et ftrade soa mieöx pour obteivir ia desunion en¬tre ses eueemis.D autre part, (Tn re'êve cebe indicationpiéoi'siise qtra d'noe I' n de« nrmit^nxjournaux socialistes do Saxe, la Volkssiimmed >Chemnitz :« La SoziridamokraU's aUemnnde s'estporié' g. ra n ede FoiLe de paix tait? par lachance i r d- Betlimann et le mmist'e aus-trc-h mgrois Cze»ai «, en faisaat tran«mettreau C"m'ade Tchridz», k Pétersb-iurg, p,r lacamarude mn-istre dano s SUuniag, l'as-c-raaca qu'ancnn houiina en Al-maguenoprojette d'attt.nter é Ia bberté russe. »M. Siautiiig est k la lois roinistre sanspo'trfeuide et préa-dent des SynJicats soria-livtps dn Dsuemark.Entin. oo apprrnd qu'nn eer lain nombred'antimi'iiaristes russ-s, q(«i s'eiai- ot refu¬giés en Suisse, out 6te autorisés par ie gou¬vernement d« B r in k traverser directe m .ntle terriioire alraman-a, malgré leur qt-ahtéde sujet3 ennemis, pour sa rendre dans lespays scanriinavrs et de 14»n Russie. La pro¬paganda allemande co"»pie visiblerrrant suria coijaboratlou de c«s personnage3 pyur sacoaspiratioade la

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2Las

Le Petit Havre —• Mardi 17 A\ril 1917smrsesg&m

sociaiistespacifistesrussesa Stockholm

Us cronpe de trente socialist's russes,homsji-scifeaiK'.es.apoai'Uiutit 4 IVxtrème-g-.uth kicnifcaiieune, ayant è Isor tête Lé-msia Zitsovkf. vieanent d'arriver a Stock¬holm, vs-iia:-t de Suisse.Cfs sociaiistes rn??es, qui liabitenf Zurichrt en ot t f it nn c aire de propagande paci¬fists, out pour programme : « Entree immé-tiak en pourparlers de pa x avcc les puis¬sances esatraks. sans égard 4 ia situationgenerale ». Atissi, Ie gouvernement impérialalieeiaod s'esi-ii uaontré pour eux plein deprevenances. ' li ks a aatorisés 4 traverserl'AKeftiagae, coname de véritables ambassa¬deurs. A iear depart de Gonst nee, ils éia<entBitruls tie eaul-coBdui.s alkmands. Les au¬to»iks imperiales avaiant do-iué des ordres3; é itfls p >ur-assurer lenr voyage dans lese nd tioas les pins favorables et ies phis ra-psdes jusqa'a Warnemüade, cü ils se sentembargoes ) oar !a Sued®.A Ie' r arrivés a Stockholm, Lénine et teacanaarsde» ont pubtié tine note dans le jour¬nal s'Chii-te ie Sccial D-mokrat, cistat. no¬ta n mailt : « Des négociatioas ont etê enta-mées arte k gouvernement aliemand pourle transit,' par i'Allemagne. Les Al eroandsont accordé au train rasse le benefice de1't-xterritorial! té. »Le= révolutionnaires russss font accom-pngnés psr q. e qnes membres de la federa¬tion ouvrière polonaise.

Une declarationde M BrandingÖrstéiégraptue de StockfioluT,10avril.M. Branling, qui revient anjoord'hui deEufsie, a ckeiaré qu'il n'y avail absolumentaucune trace, dat-s 1'ot inion pubtiq-ue ru se,d'un mouvement laufkte quelconque. 11 aajomé quit falisit kisser ces illusions pourcoropte 4 I'imagmaiion des confrères suó-dois des zinamniwddiens.« La nu-jonté du comité des onvriérs etïoldais, a accU-ré le leader suédois, demaniei'atlbésion du comité 4 l'Internationale, niai-tne désire p .s rompre avec le gouvernementprovisoire. El e veut simpknn-nt accentoersa podtique démocratique, afin d'obUnirTtne paix qui n'iroplique la violation desdrolls d'aucun pe p;e. »

— ..II .«i.«.n- ■■■ I UT wii.iwriinniTtuwTOiMTOc-»

EN BELGIQUELa Russie et la Bslgique

M. Win;. ver, président du Congres duparti cnnstilutionnel domocrate russe, a en-voyé"au baron d ; Broqneville, chef du Ca¬binet bdge, le télégramme ci-après :Le Congres du patti constitutioneel démocraie,premier (I s congres, réuni après le coup d'Elatsu Boaibrodu323représentant» de 33 g .uverae-ir.cEts et provinces de fa Russie d'Ëurope etö'Asie,a decideunanimement de saluer dans voirepi rtouBK,le pays alfié de B>tgiqae. Lesdéiégnésveni s des enaroils ies plus éioignés de noirevasie P*trie décuneiit unaniinèment que Is Rus-sie entière, en acceptant av<c en'h .usissme iefait de l'.boiksemem de i'aneic-nrégime, est prêtei f-ap'oy. r sf« efforts redoubiês nu triomphe surI'tnEemi con mun, en pleice cooperation avecno» fideles aifiés. Les évenements dans !e paysotlier pe<m<-itentü'ixprimer ia pieice ccnfianeedans i'alleriiiissfmeni du ucuvt-eu réKiine et decroire que les bouleversetnenis temporaires quiont eu lieu dernièrement n'arrétcront pas pournn seui moment i'inii-nsité des forces du peuplediiigéea vers ia suprème Vicioire.

(sj Présidc-nlwinheb,

Le b?.ran deBroqueville a répondn par lelêlégramme suivant, adressé au mmistro deDeigique 4 Petrograde.Veuillrz exprimer au Président du Congres duparii constitutionnel démocrate cotre vive giati-tudo tour son slmsble löégramme. Jft.lre esusecommune est eetie de I'indèpendancedes peuple?.La certitude que la Russia cousacrora tontesses foroesa son triomphe nous garantit la vic-toise dor.t nous aitenaoDS le bonheur dfs peu-pu s fibres Alt moment oil le devoir nous dietedertdeubicr d't fforts pour triompber de 1'ennemiqui veut nous ccraser, ii est léconfortantde cons¬tat' r que le souei du grave périt extérieur primeeh. z nos fidèles aliiés loulfs considerations.Cctle noble et clairvcy nte altitude est ie gapedu biillant averir sonbaite de tout, coeur par !aReifiiqueau vail ant p'euple russe, a i'smiué du-qucl eile attache le plus grand prix

(s. liroqueviile.

L' ambassadeur des Etats-Uaisa Eruxeles

M. Whitlock, ministre <les Etals-Unis 4Bmselks, est, arrive a Paris iundi matiuavcc te personnel de la légation.Titra procb iarmsnt su Havre auprès dugoti-.ern rae.nt beige ; aupuravant it resteraa Parts plusieurs jcars.

BARBARIEALLEMANDEDsns ics Etatistiqucs de « LaGuerre sous-ma¬rine », on v.-it ligu er a part l'indication des ba¬teaux (ie pêchecouiés. Les populations marifimestic tout noire littoral sont viciimes da i'atrocepiraterie bocheVeci ua nouveru trait de crtlc b-.rbsrie :Uo do cos abonnés, dit Ie Journal desDtbats, nous a eavoyé i'extrait que voicid'üoe lettre adrrssée 4soncoiiseii d'adminis-traiien par le directeur d'une sardiuerie deia cöte bretonne ; « Deux bateaux sardinters,l'aisant la drogue dimanclie deraior (8 avrb)4 vir gt mi' les de terre, ontété couiés paran Eous-marin a Iemand. Lts deux équipa-

qu igram öe grêle qui i'a masqué nn moment,assez pour pouvoir reatrer a tontes voiles,au risque de cbavirer sous la ralaie. De cefait de sauvagerte, il y a en en un insiantsoixantc-trois otphelins de plus dans le vil¬lage. »En nons commnniquant cette navranteinformation, noire correspondant y ajoateles rr flexions suivantes, que nous nous hor¬mons a reprodnire et auxquelles s'assocte-ronl les gens de cceur de tous les pays :« Jusqu'4 présent, en coulant paquebots,cargos et voilierr, les pirates laisssient aumo.ns 4 l'équipage.swion ton jours, an moinsdans certains cas, la possibilné d'es?ayer dese tauver dans les canots du bord. M.-.isquedire de la ernauté de ces bandits qui n'hési-tent pa3 4 coulcr 4 20 milles au large iesïcodestes cha oupes de cos pauvres pê-cheurs ei a massacrer 4 coups de futil jns-qu'att dernier ceux qui ont réussi 4 s'acé o-cber a queiques ag-.è?ï Si, avec juste raisou,on a fait tent d'éctat au sujet du menrtre dei'admirable Edtth Caveil, ne vous semb;e-t-ilpt.s que l'abomirtable forfait de dimanchedernier — et qui a du sans doute être répèté«ur bien d'autres points, en restant iguorélorsque tous les temoins en oo.t disparu —mérite, lui aussi, a'être ltvré 4 l'indigaaticnde tous, tant il est revoltant ? »

Le Times fait connaitre que le capitaineHansen et huit bommes de I'équipage duvoilier norvégien Fremad, qui a été contépar un so; s roartn allemaud, ont été se-courus après être restés cinq jours et cinqBuits dans na canot ourert. Les Allemandsavaient voié tontes ies provisions du bord,mêiae celles réservées ponr les canots desauvetage. Une autre embarcatiOQ avec leritte de l'éqnipage mgBque,

UueDéclaratioadelAoirklieLe bureau öe corresponöaace vienuois, agenceofficieuse (iu gouveicemect austro-borgrois, apublié dimanche le communiqué suivant ;Le gouvernement de la monarchie aostro-bongroise a pris connaissance des déciara,turns di; guiiVernerat nl provisoire deHussiedéclarntious prtbuées le lïavril.II a ret nu de os declarations que la Rns-sie n'a pas i'intenUon d'opp iaacr d'amrespeoples, de leur enk-ver leur patrimonienational, ni de s'emparer de territoiies étran-gers ; qu'elle vent au contraire determinerone paix durable fomiés sur le droit despeupus 4 disposer d'eux-tn&tncs.Le gouvernement anstro-hongroi3 a pnainsi se rendre compte que le gouverne¬ment proviioit'8 rasse se propose commebut le hut tt ême qne le miuistre des cffiii-rt;. étrangères d'Autriehe-Hongri» a affirméêtre ie sien daus l'interview du 14 mars, oüil a déterminé R-sbuts d >guerre de la monarchie ausiro-honjiroi?'». Ou pent doucaffl tner que ie gouve nament d'Autriche-Hongrie et le gouvernement provis- ire russedésirent également uue pais honor ble pourles deux partis, une paix qui, aitni qu'il aété ait dur.s les off es de p.-ix faites par l Au-tricbe-Hongtk ei ses alltés ie 12 décempre1916, g ranthse t'honnenr et le iibre deve-loppsmeat oes Etats bellig- raats.11apparait clairement attx yettx da mondeentier et en particulier attx ysux du p au-pie de Russic, que la Rassie rt'esi plus ocn-trainte 4 combattre pour la defense de soulerritoiie et la lib r é de ses paup'es. Etsntdonnés la communication d-s buts quo seproposent ks gouvernements siiiés et legouvurnemeut pconsoire russe, i u'est pasdifficile de trou-er la moyen d-'arriver 4 uiyace >rd. Cciiest d'aulant moins difficile queSa Majesté i'en-pereur d'Autnche, roi apos-tobque de Hongrie, en pari' it accord avecles lüonarijiu 3 ses ailiés, to haite 4 l'avenirvivre <*npaix ot en ami tie av«c un peuplerosse héureux et dont les cond.t o&s de viesoient assurées a l'extériear et 4 i'intérieur.

L'AERESTATIOHSENAVARREI.e sous lieuicnsnt rviafetir Navarre a étéarret# lm di ma in h sa f&rmaliOD. II a ététran&iéré aussitöt tu Cherche-Midi et straintetregé par M. Boucharaon.

losMarinsi iaGuerreAprès Cannes, Nice, Bordeaux et Nantes,avant Rouen, Lvon, Saint Eïienue, Greno¬ble, Marseille, Toulon, Toulouse, Orleans,Rcnnes, Brest, Nancy et Dunkerque, LeHavre va avoir sa « journee du Marin. »Nous n'avons pas a rappeler ioi le but decette généreuse initiative de ia Ligue Ma¬ritime Fru iifrtt.se, — initiative généreuse,disoos-nous, puisque le produit des dilïé-rentes attractions organisées sera intégra-iement versé a deux oeuvres de guerre : Pournos Marins ci'Le Souvenir de la Fi ance a sesmarins, initiative aussi qui constitue laplus utile et la plus noble des propa-gandes.La marine de guerre et la marine mar-ciiande ont spiendidement travaiilé pour laPalrie ; or cela, on ne ie sait pas assez, silant est qu'on ie saciie. C'est pour qu'on lesac-be qu'avec le précieux concours des mi-nistères de la marineelde la guerre, la LigueMaritime Francaise a organise ia « Journéedu Marin. »Que font done les marins ? que font donenos Holtes ? Combien de fois ces deux ques¬tions, syinplömes de la plus injuste et laplus regrettable des ignorances, ont ellesété posées? et non-sculement par des" es¬prits chagrins ct broyeurs de noir.loujoursdisposés a trouver qu' « on fait mal » ouc qu'on ne fait pas assez », raais aussi pardes gens parfaitement inlentionnés, maisqui ne savaieut pas, et qui ne recevaientd'aiileurs que bien rarement la réponsequ'il convenait, ceilc qui, en las rensei-gnant, aurcit en même temps rendu le plusmérité des hommages 4 ia vaillance deséquipages de la Holle.Si i'armée fut appclée Ia « grandemuelte », la marine, muelte aussi et mysté-rieuse, pourrait, dans cette guerre, êtreappeiée la « grande silencieuse. »Et cependant, quelle oeuvre magnïfiqueaccomplie ! que d'héroisme dépense super-bement, simplernent, francliemenl, sur meret sur terro ! Car nos marins n'ont pas seu-lement combattu sur mer, ils ont été surterre aussi, et la gioire conquise sur i'Yserpar les « demoiselles aux pompons rouges »rejaillit sur la marine francaise lout en-tière.Ce sont les scènes superbes de !a vic etde la mort aussi de nos marins que dessailes enthousiasmées et recoonaissantesvont voir, au cours de ces journées, « défi-ler » sur l^ieran cinématographique — etil n'en sera plus désonnais qui ignoreront,ou qui sauroat mal.Ils n'ont pourtant point manqué d'hislo-riens, nos mal burins. I/épopée des fusi-liers-marins a été cbantée avec amour parCharles Le Goffic ; el le a élé aussi racoiitée,ceite sublime histoire des Jean Le Gouin.par un député de cbez eux, M. Le Bail ; etelle est narrée avec détails et précisiondans ie tres beau iivre du commandantEmile Vedel, Nos Manns a la Guerre.Cet ouvrage, du reste, dont neus avonsdéjaeu ['occasion do dire ici tout i'intérêtqu'il présente, est de ceux que tous lesFrancais devraient lire. Pour ceux quil'ont iu, les projections de ia Ligue Mari¬time ne seront qu'une « suite » d'iliustra-tions sur un sujet bien comm.Ancien officier de marine, puis devenudans les loisirs d'une retraite prémaluréeauteur dramatique, le commandant Vedela entrepris de reuaeer, au cours de la pluspoigname et de la plus acluelle des tragé¬dies, les efforts de nos marins. Technicieninformé, en même temps qu'écrivain detalent, se doenmentant aux meilleuressources : iivres de bord, iettres etréciis decombaltants, olliciers ou simples matelots,i! fait assister, pour ainsi dire, son leeteura des évènements ou a des épisodes tout afait caracléristiques. Croisières de blocus,randonnées de cbalutiers, sous-marins enplongée, agonie de naviies torpillés, tousles drames du vaste tbéétre de Ia iner ysont cornme passés en revue ; on y assistea toutes les péripéties d'une action a bord,depüis le branie-bas de combat jusqu'4 lacérémonie des honneurs suprêmes.Parmi tous ces tableaux saisissants, etsuperbement brossés, deux méritent d'êtrelus et relus : celui qui retrace un engage¬ment vu, ou plutöt entendu, en profondeurde la machine d'un cuirassé de premierrang, — et celui qui nous présente l'ef-froyabie spectacle d'un sous-marin aux

prises avcc une mine qui, par miracle,n'éclate pas.Enfin, nous I'avons dit, Ie livre se termi¬ne par l'histoire de la fameuse brigade desfusi 11iers-mari ns du con tre-ami ra IRonare'h .Le commandant Vedel n'est d'aiileurspas le seul qui ait entrepris d'écriro This-toire magnifique de la participation desmarins a la guerre actuelle ; et cet articleoü nous n'avons vouiu qu'attirer 1'atten-tion sur queiques ouvrages vraiment inté¬ressants et qui devront rester, — cet arti¬cle serait incomplet si nous ne signalionspas aussi ia Guerre natale de M. HubertF...Le premier volume, consacré 4 laMer du Nord et aux mers lointaines, estseul paru. Abondammeat illustré de cartes,scbémas de bataiiie, silhouettes et plans denavires, clairs et précis, ce iivre constitueun alerte récit, documenté et coloré de i"c-popée maritime. 11est vraiment une histoi¬re, etc'est, croyons-nous, la première histoirede ia guerre navale publiée en France.Gomme l'ouvrage du commandant Vedel,comme ceux <!eMM.Le Goffic et Le Bail,le livrede M. HuberlF..., en nousapprenantce qu'ont fait les marins, nous nionlrc que,comme leurs frères de I'armée de terre, ilsont acquis un litre impérissable 4 noire re¬connaissance et a la graiiiuderiu pays que.sur terre et sur mer, ils ont toujours ététidèles a la vieilie et giorietise devise de lamarine frangaise : Ilonneur et Patrie.

F. Pole?.

L'ouvrfge doM. Le Golil e est pas-u a la Lihrai-ri" Pion; colui CeM LeRail8 la Libralrle Perrin,ceu:i do MM.Ve el et Hubert F..., a la LlbrairioPayot.

Lstim

Mort an Champ d'HonneurM. Joseph-Emile Frémont, en sou vivanf,domicilii 4 S?ovic, rue Césaire Oursel, 93.C-.pocal au 236« régiment dbufautsrie, ctemployé avaoi ;a n obi'isation dans la Mai-soa A. Sa ia, a été l'obji-t, 4 la date du 20mars 1917, d i ia c taüon suivame a l'ordiede la Divi loa ;Brave, roRseieacleux et öïscipllaé.Capord bles-sé mort. lleia.-Lt !e 2 oc-oire 19-.S,au combat, tnpoitant ua pli du commandant öe compagnie 4son chef de section'.

C'iiaiSensj 4 S'5ïs*«Spe des «Soms?De la Division : -

Le naaréchal des logis léléphoniste JosephGodin, 4 i'êtat-m qor «tu 2e regiment d'artii-lerie a été cité en ces termss 4 l'ordra de ladivision ;Le 4 mars 1917,au cours d'une violente attaqueeonemie, placé comme o&servatcur en pre.uiereJigfoe,a rempUsa mission a déeouvert au milieud'un violent feu do mou:,quet>rie et' d'un bom¬bardement intense, ne cesssut de fournir de pré¬cieux reBseigi.emetitspour le tir de soa groupe.M. Godia était av nt la guerre ch z. M.Sternberger, entrepreneur da camiounage,et est domicilie 9, rae de Lodi, au Havre.

Du RégimentM. PaukAlphonse Lestreiia, demieiUé 4Siuvic, rue Tlii-r?, 32, soldat au i82« régi-raont d'infauleris, a été cité comme suit 4Ferdre du régiment :Soldatcouragcux et devoué. A montfê ie plusgrand esprit ce sacrifice pe, d-nt les combsts da3Ssepterabre au ti octobre 19!a. cc so portaal ausecours do pluSteutsdc sus camarades qui ve-naient d'etre cn?eveiis Sous en éboulement pro¬duit parl'txplosioa dün gros projectiio.

Ooii§ilgéridraisk!aSsins-lnférieureSéancedu 16 avril 1917Présldance de M. Paal Oignon

Au con-mere ment de la séaooe, M. PaulB-.gaon pronoace 1'allocuUon suivaate :« Messieurs,

» Si nos rénnions depnis la gnerro entrevêta uncarecère plus grave, comme refi-gisux, c'eA que l'imaga do ia P..trie est animiku de noés. Nous venons ici dues la ci-pitals de r.cire province é- hanger uoiespoirs, confirmer nos certuuius et qnandnous sommes do re.our dans nos canious,parmi ks so!dots da la terre oci do l'ale ier,nous rous ser.toas plus cocfiants et plusforts. La coufiarc , nous la poisons avanttout dans le sentiment proband de notredioit ; notre force nous la tenons jnsqn'icide notre amour parsionné de ia Fras-ci ;nous la rec-vons aujourd'hui plus violenteut just cière de notre bsine pour i'Allemand.i) 0>i, la haine, et cette haine est nn com-maodetnent s ere, «t pour que noire pays,coutumier jnsqn'4 1'imprudence de toes ksloyaux pardons et de tons ies onblis génê-reux, prescrive a chaque citoyen un ehoixde malediction et de vengeance, H faui quelas crimes de i'enaeiai aient passé en hor¬reur et en abjection tons caux qui d jiavaient souleva l'iGdigniüioa universèlie.Taat 11est vrai qa'il sembie impossible dé-scrmais do rcc.uer davactage Ies limites dela tnrpitndc et de la sauvagene. (Applaudis-s ments.)» Le Se'-at francs is écontait dsrnièi'ementnnrappoit veugeur de toutes ka atrocitéscommises par ks troupes allemandcs. Cecri de douleur et de co'ère a troavé un échod-ms toates ies coasciecces. (App audisse-meuts.)» Coatraints sous Ia vigoareuse pressiondes troupes franc uses et britanaiqnes G'a-b-ndonoernos villes, nos villages et noschamps, I'ennetni a vowln que la plus ira-plac- ble fórocité sttris at son passage ? Vols,assassiuats, ie ropt st l'esc avage, l'incendiale viol des scp liture?. la torture mora e, laccuatilé savante, ivffinee, ia meurire desarbrts et des pauvres maisoos, le mal pourIe mai, partotn, constamm^nl, avcc unesorte de rage et da sadisme. Voila ca qu'ontlai.-sé deirière eux ies bandits de la vicilleAlbmagne.» Ii n'est pas ore 4me qui dsvant esscrimes n'exige qu'ils soient punis. K n'estpas nn Frar cais qui.devaat ces victimes, nejure de les veng-r (App audissementsj.» La Frai cc n'oubliera pas. Eile entendraétereellementè travers son histoire ia plaintedes mèri's désesperées. dc. ills entraiués encapiiviié, l'esclavago des viaillards jytés abus de leur 11, l'ap-pel sacré des morts doaton a brisé lei cercueils ou. les croix.» Cepeadaat, qae l'Ailemand ia sachabi;, i, lés vuiages sa recons ruiront 4 sesfrais, ia ïsrre d'cik-même pansera ses bles¬sures, i'herbe repoassera sous les pas duba bare "et suivant la parok de Rousart« L , France prenant v gucur do. soa propredommage surgira plus eclatante et plus to; tede cette épreuve de sang et de feu. »» Elk nons apparait aujoard'hui embeiliede sacrifices et de gloire ; en se levant pourla aéfense de soa sol, on peut dire qu'elle asauvé le mande.» Messieurs,

» L'heuiv est émouvante et grandiose. LaRnssie brisant ses vieux cadres et ses chaï-ues éiabore ardemment sa con.sütetion nou¬velle. Telle notre Franco en 1792. ede san-ra, nous en avons ie ferme espnir, faireface 4 l'enaejm héréditaire, üce jeune et

saire volonlé d'avenir animait dn reste lapairie moscovite et, pour iliant national, dusiilon a la tranchée, mouj-ks et soldats,adoptent notra marche guerrière. (Applau-dissements).» Et vo ci qne, 4 son (oor, nn peuple éprisde travail et de paix, dont on noos propc-s;.it en exeinple le réalisme économiqne sedresse tout d'nn coup, par cbevalerie, de-v; nt la barburie et cevant le crime, pour lasanvega-de de la justice et de la moralitéliniverselie. Eo nn admirable langage quiest comme une des tabies de la loi moderne,le président Wilson, expose anx ciloyecsdes E als-Unis, ses hantcs nisons d'agir.» O" re pent qne s'incliner avec recon-nai santé d^vant t int de nobksse et da dé-siDtértsseuifut. G'est le moment <k redi^eles mots célèbres qu'aox cöiés de W .sh ng-toa, Lafayette écrivait un soir de vie oire asus amis de France : « L'huraanité a gagnéson procés ». Soyons fiers d'avsir méritécette aide et cetie amitk de la grande róua-bliqne améticaine. Soyons heorenx pareeqne sen geste donne solenneiknu nt raison4 notre ioi democratique. (Applandisse-ments.)» M'-ssieors,

» Dsns ie ( iel élargi se lèvent des éfoilesnonvelies. Ce t que le penp e des trancheesa su garder Ues coups «se i'envaliissenr iecoe ii' même de la Patrio ; c'est qua Ie poiina veilié dans la i-oue et dans ia nut, sous lapkiie de fer et de mort, patient, tt-nace, rivéa son erénean ; c'est q- e dévoné. obsiurhei'i ïque, il s'est incorporé an sol de la Pa¬trie, au point qne la terre eik-mênie est de-ve&ue cvmme una chair vivante, la cbabmêaie de nos soulals.» Ges héros, il taut les salner trés bas ; cösont c&ux qui, 4 ioute hanre, peuvent, sausfaiblir, rt garder la mo t tn face, et ie paysavec orguei! se mire dans icurs yeux. (Vitsapp aadissements.)» Saloons 4 leurs rötés, des montagnesseri e? auxch„mp wauons et ft .mands, duvieux sol d»s Dao?s et du lointain Japon auxrótes da Lus t ink, des paints divers del'iromense empiro t» iton; ique aux rivegesde la pé-ninsuie italienne, tous ceux qri'meltant l'honneor de la ci- i isatioa aa pre¬mier rang de leurs iotéièts.out su voir dansla cause de la France la cause même des ué-mocraties.» Messieurs,

B Vienna enfin le printamps, qne nonsfoLicuofis de toute ia pai fence de bos coeursSoyons fürs qu'il i ons appor ter 3, an milieud'uiexpi ni. s tie -its, hé lax ! mais aussi dansun sukndide épanouissi ment, ia victoired'abo>d ei dans la victoire, ia paix. » (Applaudisseruenls prolcngés.)

LsMesssgaduprésidentWilsoaLa moti'.n s■ivante présecL e p.r M. PaalBigaoH, BoïiCUt, TinHoy, Soulier etAcber est votée par ecciamatien :< Le m nistre de l'In trucüon pnbilqne aorden- é qua i'admirable message du prési¬dent Wilson aux citoyens des Èlats-Unis£OffIn da> s tontes it s ecoles de France.» Les eonseillers généranx tousstgirés de-mandeut que soit in égakment dans lesécoics de la Seine- Inférieure, l'émcuvantrapport de M. le sénateur Chércn sarlesatrocités comruises par ks Alk-mands dansles pays fratiqais occnré» par eux avantd'ê re évacués et aussi le discours de M.Vivimi, garde des sceaux, faisant suite 4 ceréquisitoire.

Un salut du Coaseil aux pcpulatiónctlibsréss et 4 la grande démocratie

amérisaiae

line BïoticaLa motion ci-des?ons, présmlêe par MMG-iyaat, Da Labordes, Nogués, Georges Aa-cei, comte de Bagueux, B -uctot, Leseui,Roiilsnd, Recé Berge, Da Meur, Loeien Vai¬l-in, Piqoot, Lebmnd, Lem -rchand, Robert,D cis, GuilSard, B -cheux, Tburean-Dangi»,DontreLau, Leverdier et Tra uchar d, rcyoiti'appt'cbalion eutbausiaste du Gouseil :« Le Conseil génsral de la Seine-lnfériooreadresseau président d? la Rtpubbqna et aagouvernement de la defense nationale sesrespeclueux homrfages. Sxlue avec unepatriotique émoiion ks populations iibê.'éesdans la vieiorieuse avance des railkntesarmées britanni jues et frsnpaiser.» Exprim" toute sa confia; C3dans le per-séverant effoit du gouvernement ru seésroitemenc uni aux afiiés et au-dela desmers. envoie le salat de la démocratie nor-ma ud-i 4 ia grand» ei généreuse démnciyt'earcéncai e dont Paction aux co-és des al-liéas aidcra p'oissamment au déii-si ii triom-ph.- d; l'idéal humaia do justice et da li¬berie. »

IS£ #

De nombrsnses motions sont ensnite érni-sps par les membres da Gouseil gsnérai.Elks c-nt trait surtoat a la refection desroutes et aux questions agricoles :Refection des routes : Le vee», suivant estdepose par MM. Georges Antel, Guillard etDeoreuille.« Gonsidéi-antks délériorations de plus on plusconsiderables csusées u l'unlque grande voied'secès du Havre, route nationale, n« 14, princi-psiemeat aux ahords de la viile, pur les transportsiiiilitdires aiigiais ot heiges rayonnant vers leurscomps.Cousidórantque le défaul d'enlrelien de la rou¬te Dalionaien« ii devient une gèce grove pourle ravitaillcment par roul gö de i'sgglomératinnhavraise ;nor.sideraist qu'utieen ente s'impose entre ksdiffere.ites autorités ir«rpaisos ct aiüé'S pour re-inedier 8 un émt do chose p éjndickble a lous;Gomidérant que IVdroinislrsllon des Ponts etChaussées a eté jiisqu'ioi impuissante a prendreOc-sdispositions s'ppropriées ;I'-.viie Ie prèfel a coordonner ies (fforls et lesbonnes voiontós ét a éta'dir un accord capabled'abouth' a un résiiitat pralique.Les difjicultés agricoles ; Une discussionass z longue s'tng.ge et i1 en rcsulk que iespromts es falies par le Ministère de i'Agri-cufture pour les semencas do pom mes deterre n'ont pas é;é tenues. Maigsé les déniar-ch s de3 dep tés et sénateurs et les norn-bretises reclamations de ''administrationpref c'oraie sur 1.800 ton ;es de seroencedc'nandóes ct promises, 160 tonnes s- ke¬rn -nt ont été livrées. I.e temps presse ;bientöt il sera irop tard. Plusieors eonseil¬lers poassent le cri d'abrme. Une dernièretentative sera fade par ie préfet.La main-d 'oeuvre des prisonniers : P'u-sieurs eonseillers se plaignvnt de l'insufii-s mce des pi-isonniers accardés ponr ies tr^-vanx agricmes dans le département.M. k pr IVt établit : 1»que le departementde la Ssine-Infcrieure n'est pas moins bienpartag ' qus ceux da i'E-ire ct du Calvados ;2» que ks prisonniers qn'on lui eniève nalui avaient élé q-ue prêtés temporairenK-at.Oa reovo c ics éifféientes motions a laGommis?ion, r.13a qa'eile éiabore un textsaaique 4 la fois courtois et éneigiqnéquiput ê re présenté au gouvernement par M. ieprefet.Aujoura'nui, séance 4 trois heures.

üe öéysr-É de la elasve ISISLes preaiiprs contingents de la cksse 1918out commence 4 rejoindre iunai kurs dé¬pots, Ia deuxième portion, composée surtoutda grien Keurs, ne devant partir que iesIer ct 2 mai proehains. 'Bon nombre de nos jeunes c-oncitoyenssont partis par les divers trains de Ia juur-née, alors que de jeunes recraes arrivuientde I'intérieur dans nos caserosmeats oü ilTaêtreprccadé4leurimiructiwimilitaire.

Neavritra IRilitaireiPromotions 4 titrs temporaire. — Iniaa-terie de réserve : au grade de lieutenant,ks sous-lieutenants, Forestier, Simon, Ber-théiin, du 119», m. intenus ; au grad? desous-iientenant : Piot, sergeat auniaiatenu.

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EV» Cenknalrede lal'ilkdu Havre»On nous iïiio-ime qne la quêto feite ven-dredi scir au Grand-Tbéa re, lots de la cé¬rémonie de Goinmémoration du IV Cente-naire de Ia Vil e du Havre, par MM. Ancsl,Benoit, Dopont, M»v- r, Morgand ct Sigiusy,a prodnit 1,115 L. 95.Cette somme a c é répartie par mcitiéentre l OEevie aux Soldats sur le Front, et ala Ssekte H .vraise da Secours aux Prison¬niers de guerre.La Socielé Havraise ö'Etndss Diverses, or¬ganisatrice de eette cérémoiiia, présente sesexcosés et exprime ses regrets aox person-ties auxquelles eile a é;é dans i'impossibi-lite de donaer satisfaction quant aux places,par suite de l'exiguité de la saiie.

Ii« slee Kanx & Terssr®Un d crai promuigué samedi ele id b?sdispositions des deerets antérknrs, reiatits ala pforogasion et4 ia suspension ties biuxdes frrm ers et des nscl y&rs qui ont étem. b lisés, aux baux qui dOivent prendre fint.u comm nc-r 4 con. k dans ia periode du30 juin au 31 déc-mbre 1917.

Le Journal Officiel pubiio ces bourses ac-coidvfcs par i'E .at :Geneviève-Bertbe-Renée-LuceBernard, nêe leI" mai 59.i a Lillet.-nne. Le pére co-»tr6'eiir-élrc-trieiea au chimin de fer du Nord a Se queux ;3 entaats —Dt-roi-bourse familiale, école primai¬re supérieure du HavreElmire-CiaireCequeSIe, née le 20 rosrs 1903 auHiivfe. Le r.ére insliiuteur a Beozeviilelte ; 7 ea-funis.— Bemi-boursefemiliaie,école primaire su¬périeure du Havre.M rcelle-Bcrthf-Eugénie Cormou, Dée le 2 dé-c. mb e 4901aux Essarls-V rimprê.Lamèreveuve,iiistiluirlce au Havre ; 2 enfsnts. — DcraiIoursed'eniietien, écok itnmaiiv supérieure du Havre.Roger-Alphansp-Edouiid iluiot. né le 17mai1903a Haioeheval tSooime:. Le ;ère insiituteur aFidieville ; 3 enfant». — Démibourse «l'intemat,école primaire supéri.-ure de Jlumiviliiers.ftkd»leine-leaBne-EniilieBneLi-savetier, née Ie3 décembre 1902au Havre. L pére employécour¬tier au Havre ; 3 euianis. —Demibourse d'eniia-tiec, école primaire supérieure du Havre.

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(Cense d'Epargne)Mirereêi 18avril. —Da9 a 11heures : de 1,795a 5,4.-7; de 14s 16heures ; de 2.499a 3,183.Jeiïdi 19avril. — D- 9 a 11heures : de 3,186a 3.918; de f4 a 16 heures : de 3.920a 4.65'.Vendredi20 avril.— De 8» II heures :6e 4,652a 7,711; de li « «6b.eures: de 7.7i8 a 9,1-79.Samedi21avril. — Da9 a 11heures ; de 9,881a 11.605; de 14a 16hemes : de 11.608a I3,2t8.Place de illütel de-Ville, 27 (2e ct 3° percep¬

tions)MercrediIS avril.—De 9 a il heures : de 13,248a 14,3-0; de 144 16heures ; de 14,382è 15,80;'.Jrudi (9 avril. — De 9 a 1! heures : de15,s; 2 a 17,i34 ; de 14 a 16 heures ; de 17.(35a18.470Veodredi20avril.—De 9 a H heures ; de 18,171a 19,262; de 14a 16hrures ; 19,263a 20,290.

S« perceptionSam-di 21 avril. — Do9 4 11heures : de12.582a 14,470; de 14 a 16heures ; de-14.471è-16,220.Rue deNormandie, 8 (£" perception)Mercredi18avril —De9 a M hr-ures : de 20.291a 21,294; de 144 16heures ; d- 21,427a 2?,408.Jeudi 19 avril. D•9 a 1' heures : de 21,603a 23.371; d» 14 a 16heures ; 23 ;85a 24.352.V-niredi 2j avril,—De 9 a II heures ; 2i,463625,247.Rue deSaint-Quenlin, 64 (Srperception)Mercredi»8avril. —De 9 a U heures ; De640a1,475; de 14a 10heures : de 1.479a 8014.Jendi 19 avril. — D*9 a 11heur s : do 8 0164 12569 ; de 14a 16heures : d« 18.221a 18,894.Veudfédi20 avril.—D«9 a 11heur- s; cei8 8'6a20,940 ; de, 14 a 10 heures : de 20.941a 22,799.Samediil avril. —De9 a l! heures : de 22,«68a 24,559; de 14 a 16heures : de 21,704a 55,277.Rue de Bapaume, 16 (4• perc-pttov)Mercredi 18avril.—De 9 a U heures: de 5,372è6,5i,8, de 140 16heures : de 6,549a 9.5>8.Jeudi 19avrü. —De 9 a 11 heures; de 9 554a 13,506; de 144 16heures ; de 13.755a 16.320.Vendiedi20avril.—De 9 a li heures :de 16515419,219; de 14a 10 heures : de 19,(57a 21.209.Samedi21avril.—Da 9 b. a 11heures ; de 21.3266 21,883: de 14 a 16heures ; de £3,001i 24.065.Lundi23uvni. —Dc9 a 11heures ; de ï< 202 a25,310.

G,CAILLARD,CSIflim§iEH-BSFTi2TI,17,rasfcriiMiil»»■ «..M ■■ win»

MENUSFAITSLGCAUZDesgardiens de la psix durenl inlervenir dimanche soir au Théatrr-Girque, au sujet d'ungroupe d'iodividus qui m-naient grand lapage auxgaleries ettenaient des propos orduriers.Deux de ces individus ayant ouir«gé et frappéles agents furent arrêtés. Ge sont ks frèresCharles et Roger Barray, 17ct 18ans, journaliersrue Suffren,13.—te soldat beige Emes! Splender, 20 ans. setrouvait dimsnche soir dans un c»fé rue des Rern-parls, 40. Surexcitó par i'alcool. il brisa une bou-leifie et des verres sur une tab e, puis, une foisd-hors, lsufa une pierre dans une giace de ladevaniure.Dis agcBiJ requis ftirêtpreBt lcnergamvae qui

a été mis a ia disposilion de Fautoritó militakabeige.— Au cours d'uae discussion, dimanche aprèsmidi, place du Vieux-Marché,enire deux Maro-«Kins,Hi-maduceR?rkiben Araarbsn Mohm<»d,24«ns, journsiier, 59. rue du GénéralFaidherbe, -poria deux coups de couteau a son adversaire.qul'ful atteim a IVpanla.Le coupable a été arrété et conduit au parquet.— !aurent Kuefile,54 sns, lerrassier, 52, ruoSaintJacques, a porte ulsintr» contre sa nièce.Mik MarieLenan. qui lui avail iancé chez luiuue br que a la figure.Le pl.igna-ntpo-iai', en effet, une blessure su-dessus de l'ceii droit. Onenquêie.— Una collision s'est produite hier a Tangledu boulevardö'Ilarfl ur et da la roe Jea--Jicques-Rousseau. eolFe un tramway de la Peiite-Euroet une sulo nohiie beige da a G. Q H. Le ehoafut assez vioieot ; Tavant du ear fut sérieuse-ment endorataagó. L'auto a été inlleame. FasCTaccidentdepersonae.

LA POUDREDE RïZmalageinf.Extrêmement fine, adherente, donne kIa peau une agréahle fraicheur ; same,hygiénique et parfumée. En vestspartout : P: M!e ; 2 fr. Gd MIe 3 fr.

THÉSTRES3 CONGESTSFolies-Bergère

Ce soir a 8 h. 1/2Ti-isItMirtti. .... I,e>« Tliany'aLv* A»lea B.em ïioyal'aCaiïSïeS . Atsï'elaConcert par toute la troupe

Location de ii h. è nridi et de i h. 1/2 a5 li-ures.Yendredi 20 avril, débnls sensation r-e s dola troupe impériale j<ponaise ies 7 Migako.ies plus foris du monde.

Select- PalaceI<l0«o Sïaï'Iissne Prasifas:»»Ce soir, 4 8 h i/2 pracises, grande soiiéade g.ik, orgaiiisfte p r 'a Ligue MaritimeFranq ise, au piofii d-s ÖEavres La France ases Marins et Ponr nos Marins.M. i'dmiral Besson a bien vonla, pour Iacirconsiance, ace pter de venir présider enpersonne le Gonseil directeur de la LiguaMiri ime.Ua piquet de mirins en arines rendra leshonneurs aux autorités, parmi ksqueties :JI ie coatre-isniral Didelet, goaverncur dnHiVre; M. Morain, préfet ; M. ie sous-pré-fet ; toutes les notakltks de Ir game et deIa marine britanniqoe et beige, ainsi que desautorités civile, et railbaires da notre ville.Au cours de cette representation, seraprojeté, pour la première ibis au H .vre, iamerveilleux film pris par les sections ciaé-mriog'aphiques de i'armée et do la marinaqui noos monirera : nos Escaires, nos Flot-title vos Sous marins, nos Bdttmentt de com¬me'cc, Chaise el Capture d'un Sousmarn aDe¬mand, ai'u-i que les Proursses de nos Marinssur terre, k V rdun, en Champagne, dans iaS mme et 8 Nkuport.P?ix des piaces r Loges el Fauteuils dabalcons, Ö fr.; Facteui's en a-rière, 4 fr.;Fauteuils de milieu, 3 fr. ; Fauteuils eaavant, 2 fr.Le bureau do location estonvert de 10 beu.'res è midi et (k 1 h. i/2 a ö heures.Téiéphone 43.29.

ThéMre-Clvque Omnia

Aujourd'hui mardi, soirée k 8 h. i/2, avccis beau progranimecoinprenani :Kie Gvsfe,r-n quatre parties, La Ftoie japonaxse, LaVallcc du Lot, Detective ft gmatigue, Max vic-time de la main qui dreint. Paiiié Journal et1) rnières aclualités de ia guerre. Locationouverte.■ u. ui■■

DE LA FÜViERA

CIMK - SP^.21»^033:roe de A'oraaadie, 'Z'ï9

STariii iT. M»;rcredi, IS JenSl 59

T1GRESSE ROYALSGr-icd drame en 5 parli«sCHARLOT.L3Ccüiisueinjffliklls

LA G L O I R Eavec SeDo M.iryqtri int' rprêta le « s-'eu »L'Offens'weFrangaisedans letpays enoakis

Le C.rcie Rouge, 4«épisode. —Chariot, e!&Aujourd'hui, Soiréo

I4.rue£il.-Larue

KURSAAL SSSOriSiMardi, dernisr jour de I'immensesuccès

LESVAINQUEURSDEURlusic Hail

(Communications^ivorsesService des Eaux —Arrêt d'e.nu.—Pourprise, ia conduite d'eau de la rue Demidoff(eatrela rue Ffanouis-Jkzeline et k boitievard de Gra-viliei, si-ra -krmée aujourd'hui raardi, a 2 beuresde l'aprés-midi et pendant pksieurs heurea.

§ullêHs des SssiêtêsSoeiétó SSntcelte tie f'reroysnce das Ebi-ptoyés de Commerce, an stege aociat. s, runCai'.Vïty.— Tèlèencr.oe' 720.Mercreii 18ciur?ct, a 8 h. 3/4 du soir, réuniondu Conseil d'Administratioa.Cours Teohniqusï CovusaerciauxCours des Mardi et VcndredlLangde Fbanvaise (Prof. M. Pigné, Directeurd'Ecole Comciuaalel.— De 8 h. 4/2 a 9 h. 1/2..4RITHMKTTQÜBÉLÉMENTAIRE(Prof. M. Pigné, Di—lecieur d'Ecule eommuiiale|. — De 9 h. 1/2 410h. 1/2.Callisraphie (Praf.M.Laurent,Directeurd'EcolaCommunale).—De8 ü. 1/2a 9 h. 1/2.Aritumétique CoiiüERCtALE(Prof. M. Laurent,Directeur d'Ecole Communale).— De 9 h. 1/24 10 h. 1/2.Anglais, 2' année (Prof. M.A. Monguillon,pro-fesseur de i'Ecole Primaire supérieure. — Da8 h. 1/2 a 9 h. 1/2.Anulais Commercial (Prof. M. A.Monguillon,"profcisciir de i'Ecole Primaire Supérieure. —De 9 h. i/2 a to h. 1/2.Langde italienne (Prof. M. E. Vassia),vice-eonsut d'Itatie—I" année, de 8 ü.i/2 a 9 h. 1/2.Langde russe (Prof.M.Wsyss. — De 9 h. 1/2 410h. 1/2.Sténographie (Prof. M. Faraul), employé dacommerce, mobtlisé. Intérimarre : M. A. Lerèvre.- i" «méé, de 8 b. 1Ji 4 9 ü.

Page 3: annonces UnA* AUHAVUB …archives.lehavre.fr/archives_municipales/LPH_1914-1919/journaux/... · 2 Las Le Petit Havre —•Mardi17A\ril 1917 smrsesg&m sociaiistespacifistesrusses

Le Petit Havre Mardi 17 Aviil 1917EjgggggsaagBeaa

TRIBUNAUXTribunalCorreclknmeldu BavrsAadi-nce du 16 Avril 1917

Préaioeace deM. Tassard, fice-president

IS RÉPBESSiOSDESVOLSI.'andiecce d'hier s'est surlout occupée Up ré-orimer las vois, toujours rombreux.I » peine la plus forte a èiè proncDCée coetreHenii Dooaef. 49 ans, journaiier 8 Mouüviltiers»el 88 concubiso WonUne Lamollo, veuve D- iau-ce, 21 8BS,ménagere au même lieu, qui out eteeond-moés ehacuu a un an et un jour de prison.Bonnet saVatt que son beau-frère, M. bot-seuo.d<me rant a MotHivilliers, avail qiielque argentthee d ns un placard de son habitation. 11 iuivcndit visite et skmpara dune sommo de oóüfrancs. 0 >mme it avait «iép.-nsd cel argent encompagnie do ta vcuvo Delaune, celie-ci eta.tpoursuivie four recel.— Mobi'isd-au Havre. Gaston Martin. garpon decare oecnonll une chvn»b:e avec plusfours- cama-rades. En Tabsencc de set co-habitants, u arra-th-t to cadenas fermant ia porie et vota div.rsebj.ts mohuiers apparsenant a un nommê Bré-ai< ni. It v on avait pour cent francs. Martin estïoBüamnè a tiois mois de prison.— Victor VH, 58 sns, journaiier a Moniivilliers,féroba une dizsine de holies de foin a Mme Leea-*on. Qumze jours de prison.— Les femmes S... et Q. . firsBl main-bassear diver objels * l'étaiage d'un grand mrgasin.£iles sent coodamnCes touie? oetix a un mois deprison avec suisis et 50 francs d'amende.— Henri G. . chef dc bordée, 43 sns. et Char¬les o ' 47 ans. volérout chacun m sauctssonsur le quui. 25 francs d'amende chscun.— Georges L,, 27 ans, journaiif r a RoucHeS.fera <18heures da prison pour avoir vole deuxboiti s de sautnon.— Eugène Perdreaux. 43 ans. jotirralicr, rueSaint-Nicolas, 0, se p. rmit d'eolever des ateliersSchneider des raorceaux de plomb et de cuivre.11pa:era 25 francs d'amende.— Francois Varlet. 24 ans, journaiier, 29 quaiCas'mir-Dciavigne, tbusa de ia conflance qu'onav.it en Itii'en dèrohant sur le camion qu'il con-duishU zo kilos de haricots. II est couaamue a uninois de prison.— Engagé comme ccmmis voy.agour en bros-Sor o. par M. de Cosier, Marcel la hbvre, 27 ans,13, rue Pierifort, ne trouva rien de miiux que de\t-ndro les brasses qui lui avaieot été con Seescoaimo échnrittllons et de s'en approprier lamomant II . st condamnb a un mois de prisonpar défaut.

IRÜI08BRBBlQIiLESanvio

Eiat Cioll, — Nahsanc.es. —Du 8 avril : MareelieVom • cevel, route de Fontaine. - Du 9 : RogerCauuiout, roe Albsri-I«. 51 — Du JO : M-reelTuulain, rue Aimablt -L<biond. 33. — Da 44 : Mar-eel Hardy, rue Bean-Site. — Du 15 Robert Ffi-beu iet, roe de l'Oi pbeiinat.Publication» <temanages — Du 6 avril : Mau¬rice Leber, eomptabie i ue Faidbtrbe, 6, et Godsttancc Msrtineau, sans piofession, an Havre, rueDicqncm^re, 38. — Du 14 '. Jules Vincent, tour-is. ur sur métaux, a S ttevilh-lès Rouen, et Marthe Duff, sue, sans piofession, rue G rafet'.a. 48;Maunee Leduey, journaiier, su Havre, ru Sory,4, ei ILuriette Lachuee, journalière, au Havre,

tai)icéi.'~ Dn 1" avril ; Jeac-Baptiste Le Bret, 53ans, j. rdinier, rue Michel-Lecroq, 8. — Du 11 :Olympe Bachclay, veuve L"isei, 82 ans, sans pro¬fession, rue Con'stantine, 23.

BTATCIVIL DU HAVRENAISSANCES

Dm 16 avril — Pierre MONN1ER, rue JeanBapiisif-Eyriès, 1 ; Suz«nno MARTINDE SAINT-SO'JMERA, ruo de Prony, 23 ; Simc-nno LALIEU,passage Montmiraii, 23 ; Francoise FLGCIl, rued.-s Etoupières, 6 ; Louis GUILMATRE.rue Guil-laume-le-Gon quérant, 9; Henri DENIS, rue Guil-laume-ie Testu, 12 ; Rérangére GaYET, rueJuies-Lccesne, 140 ; Alfred FOHRCBON,rue d8Zurich, i ; Paulette PIÜAULT, rue ïüiébaut, 27.

DECÉSDu 16 avril. — Georgette LEGAT,LAIS, 14 an?,rue G< iinif-Delavigse, i .0 ; BOURGEOIS,mort-né,ruo Li ii<:i.sire, 33 ; Louis MALFIlATKE, 67 aos,menuisier, rui3 Augustin Normand 63 ; GnarlesHEBERTJO ans, sans profession, quai df.Southa r p.foe, 17 ; Jules THiLLAYS 63 acs, reniier, rued'Etreta', 104 ; Suzanne BAUDRY.ls jours, rue Ba-2an, 8; GorgiTte PHILIPPE,17 sns journalière, ruel-.ai C <i.--Maz-line, 60 ; Louise LESCRAIGNE, 56ans, jou! nailer c, rue lléJène, 69 ; Louise ROU1L-LAitD, épouseCIIOUQUET, 46ans, sans profession,rue da Petit Croissant, 13 ; laria CASAL. CpouseBOTT1NO27 acs. domesitque, boulevard de Stras¬bourg, 81 ; Charles LEFRANQOI5,46 ass, journa¬iier, rue S-int Jacques, 48 ; iieari BKIÈRE, 64 ans,sar.s p.ofeisioii, rue Thiers, 52 ; Jules POUi.AIN,6! ans, journaiier, rue de i'Epsrgne, 7 ; VictorBOHRHr, 34 ans, journaiier, cours de Ia Uépu-biique, 4 ; Georges GILLES, 46 ans. mario, placedu Vieux MarchA, 22 ; SCuateur DUBOIS, 63 ans,sans profession, Hospice ; Louise CORDIER,veuve C'iARBON.NIER,Si sns. sans pr cfessioo,rue Martone, 2 ; Lecite MALBANT, veuve AV-DRAN,77 ass, sans profession, rue Victor Hugo 29.

KIEITAIKES* Frédóric V4NDERRUSTRN 34 ans. soldst beige,böpital, rue Ancelot ; J. FLANN1GAN, 23 ans,P. GRAHAM,20 ans, soldats angtais, qua! d'Escale.

«SeA L*ORPH£L!N£, 13-15, rue ThiersBassil cmaalat «sa 13 feearca

that d&iKHtui-3no ceivaonetniUè*aa eeaii parte &aaiilr a do&iialeTELEPHONE 93

La Réponse des Nerfs.Les douleurs sciaiiques sont, on le sail, le peuenviable piivilèce des gens avancés ea d?e, niais11 arrive queiquefois que Chez ies jeunes ellesviennent comp iquer un é'.at m»ladif dejs existant,l'anémie pnccipalement. II n', si done pas rarede voir cesser ces douleurs en trait-»nl ia maladieprincipale. Témoin le cas dont nous nous occu-perons aujourd'bui.Mlie Juiia Depoii. a?ée de. 18 sns. fermière èSaini-Hilaire-saint-FlorenttMa'se-ot-Loire ,söuüYaitde doulmrs scistiqn- s, aui Ctaient venues s'ajou-ter a un étal d'anc-iuie asscz grave. Sa sceur nousa éent a ce propos ;

mm-% ;

r,

Feuilleton du PETIT HAVRE 38

La Fauvclledu FaubourgGRAND ROMAN

PAR

HENRI GERMAIN

ZPR.ÏElvSIÈTLE PARTIB

Ilé'as ! soupira Paule, suis-je done la•,auso inconseiente de ces eaiamités V» Ikpuismon inariage, l'advcrsité frappeleüeriient teas ceux qui m'approeheut.Un effi ayant secret pèse done sur madéchainaut, coup sur coup, d'aussi!es actes d'une vengeance mysté-? i>pendant nn instant, elle demeura,sou énergie, prostréeen une sortebre désespoir atteignant a soupa¬te.lue faire, comment agir ? répétaït-tordantsesmainscrispéeseu un gestepuissancedouloureuse.!me Dupont-Verdier,abimée dans unutenil, essayait pourtant de rappeler itlie sa raisonprüte a Tabaadonner.

Mu* Julia DErOlT.« Sschant enmbion les Piinlos Pink sont bon¬nes conire I'm emie, j'<n avais fait venir pourma sceur. q*-i éiait trés pa n, trés faible ft quisouffr.iit beaucoup de douleurs scistiques. J'avsisfait v. r.tr six bol es, m.-iis nualre si uiement ontélé suffi antes pour rendre a ma iceur ses forceset ses belles conleurs d'aotref'ds. Je d.<is ajouterqu'a rucsure que s'snaél orait son éist général,sesa uleurs dtminiiaieut a'iatcnsitó et ellos oat com-plètement dispara. »II est bien compréhensibie que les douleurssciaiiques puissent veiiir couipjiquernnétal (i'aoé-mie L'anémique, Ie pauvre de, sang, no peut. (te¬nia der a sod sang épuifé b-s ressources néces¬saires a l'eiïort de cheque jour. Que se pa=se-t-ilalors ? L'anemique demande d vi.n age a son sys-tème ni rveux, il le surméce, et ia scialiq-te n'estpas auire chose que !a réponse des nerts surma-r.és Qu'est ce que ia sciatique em eSet ? L'ia-fl-mmation d'un nerf sur leut son irajet. En sm.5-l orant, par 1'enricnissfmeni du sang, l'étatd'anê-uiie, le ns. !a:le se irouve pins fori, il deraan emoins a ses ner« et l'etat d'exssperation, d'irrita-tion d<s nerfs cease de lu'-naème. Les Pilulesihek, ne l'oublions pas, ont en outre de ieursquantésrégénératrices do sang, une vertu incom¬parable comrn-' ioniqiie du système nervenx.Les Pilules Pink gnPrissent : anémiè, chtorose,falblcsse générale, maux d'estomac, migraines,Dévraigies, scl.-iiqae, rbumatlsma, épuiseaicutnei veiix.Eiies sont on vente dans toutes les pharma¬cies et au depot ; Phorrnseie Gubiin, 2.), rue Bailu,Paris. 3 fr. 30 la boite, 17 fr. 30 les six buites,franco.

LesAVISdeDUCESsaaï ï&rifésS is.ia ii§ne

Vous étes prié de biea voiüoir assister auxconvoi, service et inhumation deMsiisietirIsOsniiïiaaÉHtGAMPSEBVEUXCommissaire miiitaire de la Gate du, Havrebons :ngé'iieur des Pouts et Ch-'tt&siiSAïvhiUete de la ville de Lisievx

Commandant d s sopcurs - Pompiers de LisieaxCtisvaPer de I* Legion d'huniieur et deI'Ordre de Leopold dc HclgiqueOficier d'imtrueuon putilqae

dérédé le 16 avril, launi des Sscrements de1'Egiise.Les obsèques se feront la jeudi 19 s.vrii, adix hcures du msiin a la cRapesle de l'HospiceGeneral, et 1'inhumat'on provisoire au cime-tière Sainte-Morie du Havre.Da ia part de :

MauCAMPSERiEUX,sa veuve ;M, Fernand CAMPSERVEUX,msr.Vbst d^sj? iogis aux aruiees.ef is!-' Fernand CAMPSEflVEUX,Ses enfants ;S" ' Veuve SALEiff, sa hellc-tocur, ot KIUSALE/M, «ièce" ;lflo«AUSERTet la Familie.

PfilEZDIEDPOURLUI!Ni flews m couronues.6. rue de Meiz. (E-o7z>

M"' YvonneHIASSAT;Le docteur RU FASQUIER,au front, et M™ iEdouardBU PASQU1ER;AHIf.Buy ei GerardBUPASQl/lERƒM"' HiBotleRUPASQU1ER,On! ia uoeieur oe vous faire part de ia pertecruelie qu'ïis éprouvent en la personne deMsdsme Charles MASSAT

lour mère et grsnd'mère, déeédée en son do¬micile, a Pan», 74, avenue iüeber, ie 14 avril,a Page 59 tns.F.t vous prient d'sssisler sux convoi. serviceet inhumation, qui se feront lo mercudi18 courant, s deux beures el demie, en l'églisede i Eioile, avenue de 1» Gracde Arm e.On se réunira a PEgiiss. 57.18 <3361

LesFamilies ABEL/NE l.AUNAY, LEAUERRE,0SER,CROUZET,PERROTTEet BQISRE,Out Phonncur dc vous faire part de lamort deMonsieurGeorges-PierreADELINEdécédé a llonflour, le 19 avril 1917, dans ss62" année.Le service r. ligieux a eu lieu au Templeoro'estaut d'H infieur le 12 avril 1917 et Pin- Ih imatiou au H-vre, a ia même date, dans lapius stride intimilé.Vu les circonstances actueUes, le pré¬sent avis tiendra lieu de faira pr rt

— Demain,dit-ellc-,d'un accent résolu,j'irai niüi-mêmctrouver le procureur de laRépublique,et.jc lui remettrai la lettre deMiledeMirecourt.» La déduclion qui s'impose, en pré-sencede ce renseignementet de ce pointde départ, e'est que note pauvreciièrepe¬tite doit se trouveren Yendée.» Lajustice disposede moyens rapideset puissaiits,celte lettre la mettra sure-meutsur la pistedu ravisseur. »Cette manifestation de voionté semblatirer Paule de sa torpeur.— Yous avez raison, dit-eile, lain denous laisserabattre, il faut agir prompte-mentet avecvigueur,sans notrs arrêter dde values considérations.» D'aiiieurs nous consulterons a cetégard le commandant Desirem. Je suiscei'taine qu'il nous npprouvera en nousdonnantson appui précieux.» Sonnom et sa haute situation nousseront d'uti secours inestimable en pareilcas. 11sera moinsfacilede l'éconduirequedeux pauvresfemmescommenous. »Lelendemainmatin, vers dix hcures, lecommandantDesirem parut, amenant Li¬bert. seionsa promessede la veiIle.Le bravegar^on,accucilli parPauleavecune grace toutebienveiliante, n'hésita pasa mettre son dévouement au servicede lamalheureuseveuve.II Ie üt en ce langageimagé dont il étaitcoutumier,entremelant ses oifresgénéreu-ses de sailliesoriginales, sans se départirnéanmoinsdu respectcomoiaudépar la si¬tuation.Aprèsune courte hésitation, Paule ac-cepta. II fut doneconvenuque Libert en-

Vous étes prié Ue bien vouloir nssistsr auxconvoi, service et inhumation doMonsieur Juies-Edmond THILLAYS

Uédail è da TravailEx-chef d'équ pe aux ChanlkrsAug.-Norm.cnddecêdó le dimanche 13 avril 1317, a luige de63 ans, muni des sacrements do TEafli-o.Qui auront lieu lu mercredi 18 courant, air.'is houres trois-quarts 6u soir, en l'égliseSaint-Vice»t-4c Pen), sa paroisse.On se réunira au domicile morluaire, rued'Eiretat, 104.

Priez Diea pour le repos de soa km !De ia P8rt de :

Rl"<eJules THILLAYS,ndeBIHEL, sn vcuvo ;flr.etM' Lucisn PÊGN1ER. U et M" AlbertANDERSEN; M. et M*» Valentin SCHMIDT,s<sK-ei ■s "i nil s ; tri. etM'1" Luoien, Jeanne etDeniseRÉDN/ER,ses.p t.'s ( bucts : M- oeuoeBIHEL,sa bfUe-Dièrè; U et fit"" Rene BIHEL,boau-frére et belie-soeur; El. et lit"" JulesVAUN, «es nevcu ct nièeo : /»"• AdrienneLEDRETON,sr copsino : les Families THILLAYS,BIHEL, TCOTEL, LEBAILLIF, BEHO1ST, PERCE¬VALLE, SIMON,SEDIREet desAmis.II ne sera pas envoyé do Jettres d'invi-tation, le present avis en tenant lieu.

■nuHuaanB

tri. et H!m"Georges PARIS,née L01SEL,M.Georges LOISEL,»•n t>s uiobi'ino ; Al. et ill"A. LEVASSEUR,néePARIS; Ed"' VeuveGeorges\PARISei sesEnfants ; Iri1" EdméePARIS: M. eiftfmcFelix GEORGESei leurs Enfants : tri!leJeanneHOMMAtS,la Familie et tes nombreuxAmis,Onl ia douU ur devous lane p,»rt de ta pertecruelie qu'iis viennent d'eprcuver en la per¬sonne deÜadsme Veuve U31SEL

Née Olympe-Désiréa BACHSLEY jleur mère, grand' mere, srriè v-grand'mère.tante, cousino et «mie, décedée ie 11 «vril1947, a S beures 1/2 du matin, dans sa 83' a«fnée, munie des Sacrements do i'Eg ise.L'inbumation a eu lieu lo 14 avril, a 7 h. 3/4 |du niatia, en. l'égiise de Sanvie, sa paroisse.

PrleiEisawariaReposissoaiss tP, rue Francois-Millet. Le Havre.

"■"""isssrM>," GR/VEI, s? v>nve : tritri. Georges et \Marcel GRAVEL,tri'" HóléneGPAVEL, r-f-m*: itri. et tri1"DBISNEAUet leur f-lle ; Les Families |GRIVEL. LENENAGER, PtQUOT, CHATELAtNFOURNIER,VIARDet les Amis.Ont ia douicnr de vous 'faire part de 1»parte cruelie qu'iis viennent d'éprouver eis jla personno deIVionsieur Jean-PJIarle GFïJVEL |décédé Ie 13 avril 1917, a ü heures du soir,( f s sa 30" année, muni des Sacrements det'Eghse,Et vous prient de bien vou'oir sssister a.«es convoi. service et inhumation, qui aurontiieu le mardi 17 courant, a trois heures trois-qusrisdu soir, en léglise Sainte-M'arie, saparoisse.Ou se réunira au domicile rnoriuaire, 113,ruc de Normandie.

FrieiBiespacrltEtps5ssastóslII ne sera pas envoyé de lettres d'in-vitation. le piésenr avss en tenant liea.

Société de Secuursmuiucls des Employéset Ouvriersdes Ducks-Enirepólsdn Havre

MM.les Sociélaires sont fries d'assister auxobiéques deiYsonsieuP Jean GFUVEL.

Membre actifqui 8uront lieu ic mardi 17 courant, a troisheures trois quarts du soir, en t'église Sainie-Msrie.On se réunira au domicile morluaire, 113,rue de Normandie.

Le prés'dent : a. VIGUERAP.D

(o.'oj

tri. et M"' Charles CARQN,née HÉBERT,et jtears Enfants; tSn' AugustineHÉBERT; les Fa¬milies CARON, HÉBERT, SLONDEL, DUHET,P.OHUEAU, 0STROWSKLei les Amis,Ont Ia douieur do vous faire part de Ia pertecruelie qu'iis viennent d'êpraüvcr en la per¬sonne deMonsieur Augcste-C arles HÉEERrdécêiiéle 44 avril 1917, daas sa 70"année, mu-r-i des Sacrements de i'Egiise,Et vous prient de bien vouloir as?islsr ases convoi, service et inhumation, qui au¬ront lieu la merer- >1i18 courant, a sept hcu¬res trois quads du matin, en l'église NoLo-Diflae, sa paroisse.On se réunira su domicile mortusire, quaide Southampton, 17.II ne ssra pas envoyè de lettrss d'invi-tation. lo présent avis en tenant fien.

M. Jack DARCY,«or époux, et sa Familie,Les Enfantsdeta défuate,Ni etNi"" PbuUABUENEAUD,scspêro et mère;MmeBfiiSSOÏ de WARViLLÊ,sn «"srormère ;tri. et MmeLaaienCA/LL0Net tearsEnfants,tri. et NtmeGüÊRtNEAU,tri. et trimtGeorgesALLARDet leur Fils,M. et Mme/?. BOUQUET,Sc» «fleur-, oer . x f<ères, nevenx et nieces ;La Familie et les Amis,Oat la üou.eur de vous faire part du décès doWladèmeJack DARCYNée Suzanne jagij,- .\eai:d

La cérémonie icligieuse s cu lieu In l«'avri!1317, a la paroisse de St-rhiiippE-da-Uoule, sParis.

PrfciBieafosr13kjdsUssslat I

trerait au service des deux femmes. enquaiité de « bonneè tout faire», aiusi quüldisait plaisammentlui-même.II remplirait cetemploi le matin seuie-mentet, pour parfairea la modicitédesga¬ges qui dcvaient lui échoir, il résoiutd'exerccrprovisoiremeiit,dansi'après-midi,la professionde crieur dejournaux.Celaccordconclu,Libertfut, dès cejourmême,préposéa lagardede rappartement,(andis que le commandantDestiem, Paulede Bussiares et MmeDupout-Yerdierserendaient chezMeTeauvin.Le notaire,préveuudepuis la veiile, lesattendait. 7-».Après avoir soignensement referrhé ladoubleportecapitonnéede son cabinet etfait asseoirses clients, ii pril la parolesurun tonquasi soienuel. '— Madame,dit-il en s'adréssantpartl-culièrementa Paule.j'ai recti hier. commevous en avez été certainement iuformée,deux plis importants des mains de M. iscommandantDestrem.» Désireux de vous éviter une lecturelongue et fatigante, j'ai voulu étudier al'avance les documents. Je vais vous enrésumer le contenuet vous apprendre deschosesdont l'extrême importance ne serapas sans voustroubie-r,niais dont la con-naissancevousest indispensable, aujour-d'hui queM.Jean Bertbier n'est plus. »Aprèscet exorde,l'olïicier ministériel fitune courte pausedestinéeau recueillementet pourmieuxcoordonnerses idéés, puis ilreprit :— Laissez-moivous entretenir, d'abord,de détails ayant trait a vos intérêLs pécu-niaires, fort compromispar suite du décès

LesVERSchezlesEnfantsLes VERS sont des parasites Jangereux qu'il importe de combaltre

avec énergie.Ce s 'Dt ens qni doonent : Yrrlige*, .tp;;éit4 fmssité,

C'rtise-M siifrTf^asse», £pilep?ic. Üffisev aaitttéi»», es®.Ton te veronne qui « (let. VERS est line nei vait!eu?e coitnre A

microbes. Elie est apie, non seufem«nt k cause de son affaiblissernent,mais de r-ar la préseace de ces parasitts dacs son oiganiiine, hccntracter cig

Graves IWaladles : EPILEPSIA,DANSE DE SAINT-GUY, HYSTERIE

Ce*t ebess In» KKFAKÏS, ptiil-êtrc, que ia dtgeslioa intesti¬nale a le pins d mpenance. 1 f<« fact jamais laisser sans soms érier-piqnea tin enfant qui a i* lees vers ». Les panvres peUfa sorifirenlénoi mtment de I'envahisseiBeiit de ces parasites écios dans Is bolaiimertaire en termentaiion, et on a vu qnelqnefois des com plicationstiès graves (cri es d'eton Cements, convcis or.s, etc.), sorvenir.

LeTHEdesFAMILLESposfèite des prepriétrs vermiiuges bien etablies, ton infiocuité estabsoloe, agréabie, faciie a pieiraie, il pent être donna cbaqoe jouraux grandes persennes cemtne aux enfant? d<-tons les ages.A ia première a'crte. vbe nn peu de 3'Ii.É ice FA2I5L&E8>

X_;£t Boita t JL fx*. SO

cfcfzOerniHeSAUCBOU,S|iéciaiisl?,71,rueOasliir-Dsigvigne,Havra•£rY.ioui'. s pbsimacies et pricciptutmi Et I'lsarmac e» : Balles Ccotraks

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roe Voitalre ; Lr-msicbaofl, $&. rue de la G.He ; Pétir, 412, rue d'Etretat; p;/.]Pilen d Or, '0. piece de I'Hfuel-de \ ille ; Pbaim»ck> pGncipale, 28, place del'fto ei-ce Ville ; Thmei 2t<8.rue de Noimaodie ; Vois n. <83. rue do N<<mau- mg,di< (RCDd-Poioli ; Craville. — Dtb'ei iPe, s roule Naticnsie ; (fsbvie. — Ks/iVavesseor. 16.mede la RepuLlique ; Barflesr. —Groisy : MoutivtlUers, — pSSMartiDais ; Godervillo. — Dubois, pi du Martbé; Saia1 itoiaai». — Ph.<r KS.Ümacie Mol et ; 1'éCKinp. —GtobeDoIre, 32. rue Jacques duel pRoquigny, quai Lia

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leizszmggjcsjaaEggBaaegMgzagaviiafflaHËacagav-'<—r

g. et gmt A. TURQUIERet tear Ells ; les Fa¬milies LEHONNIER,Cf,FELLE,EÉNANDsties Amis,Roa-ercicBi- les personae* qui om bieo voulue^sister aux convoi, service et inhumation deMadame VeuveB.AR<L,née SIMON

Hi'" SabrieHeLEtriIRE, s" Rile :,?7.et SrimeOECORGESet tearsEnfants, et toute jla Familie,Kcciercieot los personncs qui ont bien vouluassister aux convoi, service et inborn -Hion deSY3adameVeuve LEIVIIFiEnée Aimée MOTTIEK

1 tri.ErnestDAUSUET;NT'"Maria DAUSUET;itt.| Raoul LENOIRei teute la Familie,1 R. m' rcie t i<s p i>ouc.e qui ont bien vouluI assister aux convoi, service et inhumation deI Mademoiselle Marie DAUGUET1 Instilui'iec interimaire

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ou, mieux, de la disparitiaü deM.Georgesde Bussiares.» L'élrangetcmêmede cette disparitionneme permet pas de procéder aciuelie-mentau règlemeiitde ia successiondu ea-piiaine.» Undélai de piusienrs-années,en i'ab¬seneed'une preuve oiïicielleet irrefutablede sa mort, in'est imposépar la loi.» D'aiiieurs, ii doitvoas revenir fort peude chosede ce fait. Non seuiement M. deBussiaresn'était pas riche, mais ii laisseune héntière legitime,-bienque née d'unpremierlit, j'ai nommé Mlie Yvonne deBussiares.i>Le rapt de ceito enfant, non moinsétrange que la mort présuméede son père,nousmet en présenced'un» situationfami¬liale des plus compltquées.Eile ne permet-tra pas, sansdoute, au conseii de familie,dont'la reunion est prochaine cependant,de statuer valabiement sur ie différendsurvenuentre vouset le baronDutertre.» Je ne paric pas de la lutelle propre-ment dite.maisseuiementde ce qui con-cerneia garde et i'éducation de Mlie deBussiares,ea dépit des volontés formeile-ment expriméesdans le testament de sonpèr#.» D'autre part, vousavezpu penser,Ma¬dame.dans voire ignorancede Ia véritablesituation ftnancièrede M. Jean Bertbier,qu'il vousresterait au moinsvotre dot.» Or, veuillezme prèter toate votre at¬tention,je toucheici au premierpoint sen¬sibledenoire cnlretien.» Mondevoir, si pénibie soit-ii, est devousapprendreque cettedotmêmene vousapparlientpas.

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liumide ; comment m'acquitter désor-mais?Ace derniermot, le commandantdélour-na ia tête trislement.— Je vousen prie, fit-ii avec douceur,ne parlonspasdeecla, maintenant.— Ii fautcn parler,au contraire, affirmale notaired'un ton d'auiorité.— Aquoibon?— MinedeBussiaresdoit connaitretrésexacteinentsa situation vis-a-visde vous,monchef commandant.— Quelle est-elie, Monsieur? demandaPaule.— Celle-ci,Madame:» Les 30,000 francs prêtés a M. JeanBerthier parM.Destrem,sans intéréts, ontété garantis par une première hypothèquesur la villa des Palmiers.» Je dois m'empresser d'ajouter è lalouange du commandant,que cette pro-priété est loin de représeater Ja vaieur desa créance.» Cependant,il résulte du décès deM.Berthieret de la disparitiondcM.de Bus¬siares, que votre dot, devenue disponibie,doiteu toutejustice faireretourau prêteur,en échangede la levée d'bypothèque quivous laisseral'entière prepriété tiela viliades Palniiers.» Avez-vousa présenterune observaiionquelconque?— Aucune,Monsieur,vousréglerezcelaau mieuxdesintéréts de M.Destrem.

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