ZONE EST - ENTREE

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ne moi ta v walkingasprocess e blanc Séphora loaiza-zuluAga ARCHITECTURE PORTFOLIO

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LOAIZA Séphora - MA1

Cambridge university Library Landscape Competition Jury 1

ZONE EST - ENTREE

La zone Est est un endroit de passage et de parking à vélo/voitures. Monprojet assume ces parkings mais aménage avec plus de végétations et de couleurs pour bien identifi er la bibliothèque comme lieu de savoir et de culture. L’ entrée se fait au niveau d’un parvis. L’ accès PMR ne se fait plus dans le coin mais est assumée à l’ extérieur tout en n’ étant pas une cassure dans ma composition.

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Workshop FlageyUne semaine

Une cartographie Votre collaboration

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Séphora loaiza-zuluAga

Architecture portfolio

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Cambridge university Library Landscape Competition Jury 1

ZONE EST - ENTREE

La zone Est est un endroit de passage et de parking à vélo/voitures. Monprojet assume ces parkings mais aménage avec plus de végétations et de couleurs pour bien identifi er la bibliothèque comme lieu de savoir et de culture. L’ entrée se fait au niveau d’un parvis. L’ accès PMR ne se fait plus dans le coin mais est assumée à l’ extérieur tout en n’ étant pas une cassure dans ma composition.

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p l A y t i m e, A c r o S S

d e l i r i o u S

c A m b r i d g e

u p - c y c l i n g

W r o c l A W:

t o W A r d

t m h A e S S t e e r d e

SommAire

SchWeitzer

bruSSelS

u l ln i Ai b nv r d e A Sr r cS y Ai pt ey

A c oc eu xl it Su tr ee n co ef

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Il fallait imaginer trois logements qui devaient chacun contenir une famille de quatre personnes, ce qui représenterait une surface de 450m². La partie résidentielle serait accompagnée par une ludothèque de 300m².

La ludothèque est située au rez-de-chaussée pour avoir plus d’interaction avec l’extérieur. D’un autre côté, les logements sont développés en hauteur pour préserver leur caractère privatif et rattraper le skyline existant. La circulation à l’intérieur de la ludothèque se développe autour d’un patio central qui sépare les différents espaces tout en permettant à la lumière d’atteindre les pièces les plus reculées. Les entrées de chaque logement sont accueillies par une terrasse.

plAytime, across Schweitzer

Plan de la ludothèque

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Plans types d’un duplex

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Le masterplan devait être développé architecturalement, donc nous avons choisi de travailler sur le centre de congrès que l’on a reconverti en centre culturel. La parcelle est entourée de chemins de fers.

L’idée principale était de réaliser un accès possible par le toit des rampes. Celles-ci permettraient une autre entrée vers la salle de concert lorsque les autres activités sont fermées. Sous ces rampes, il y a d’autres activités telles qu’une salle d’exposition et des leçons de musique, de chants et de dances. L’espace principal est localisé au centre du bâtiment qui contient la salle de concert, la réception, ainsi que des espaces dédiés aux artistes et au public.

deliriouS bruSSelS

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Coupes

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La zone Est est un endroit de passage et de parking à vélo/voitures. Monprojet assume ces parkings mais aménage avec plus de végétations et de couleurs pour bien identifi er la bibliothèque comme lieu de savoir et de culture. L’ entrée se fait au niveau d’un parvis. L’ accès PMR ne se fait plus dans le coin mais est assumée à l’ extérieur tout en n’ étant pas une cassure dans ma composition.

Dans ce projet, on devait réfléchir à un paysage qui serait en harmonie avec la façade historique de la bibliothèque tout en étant en accord avec l’époque actuelle.

Le paysage est principalement composé d’éléments végétaux et minéraux avec des chemins sinueux et des passages multiples. L’intention est de reprendre ces principes et de les adapter aux besoins d’aujourd’hui. Les espaces sont organisés par les lignes directrices de la bibliothèque. Le paysage ainsi créé est accompagné par des pavillons comprenant une galerie et des espaces de lecture. L’aménagement existant est généralement gardé mais complété par de la végétation et du mobilier urbain.

cambridge universitylibrary landscapecompetition

Façade de la bibliothèque

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La zone Est est un endroit de passage et de parking à vélo/voitures. Monprojet assume ces parkings mais aménage avec plus de végétations et de couleurs pour bien identifi er la bibliothèque comme lieu de savoir et de culture. L’ entrée se fait au niveau d’un parvis. L’ accès PMR ne se fait plus dans le coin mais est assumée à l’ extérieur tout en n’ étant pas une cassure dans ma composition.

MU

TATION

CA

MBRID

GE 2013 LO

AIZA

Séphora - MA

1

PLAN

1/250ème

Library ground floor

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Ce projet se déroule après un workshop organisé à Barcelone par Lifelong Learning Program de la Commission Européenne. On devait s’intéresser à la possible cogénération d’une zone industrielle située près du port de Barcelone, un endroit où il y a beaucoup de logistiques en raison du transport de marchandises.

Les zones d’études sont des espaces expérimentaux pour apporter une nouvelle attractivité à ces endroits. La première parcelle est composée de bureaux, de cafétérias et d’ateliers qui réutilisent les matières premières du centre de trigénération localisé près du projet. La deuxième parcelle est plus dédiée aux activités de loisirs avec l’implantation d’un skidome. On exploite la perméabilité du sol afin d’absorber l’eau et ainsi ne pas avoir affaire aux problèmes d’inondations et de ruissellements présents au sein de la ville.

up-cycling

Axonométrie sur la zone

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Zone 1 - coupe

Zone 1 - schéma

Zone 2 - coupe

Zone 2 - schéma

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LA MARCHE COMME OUTIL PARTICIPATIFMélanie Dutheil, Charles Garnier, Oriane Kerkhofs, Séphora Loaiza, Meije Nigon, Manon Wettstein.Atelier d’Architecture et Anthropologie.19 décembre 2014 - Jury

1. Le WUWALe Wuwa offre une réflexion sur la modernité au XXème siècle et notamment sur l’expérimentation de nouveaux modes de vie.

3. CAPITALES CULTURELLESMANQUE DE LIENSDepuis 2000, deux villes se partagent le titre de capital culturelle, mais aucun lien concert n’existe. Elles restent chacunes de leur côté sans se soucier de l’autre.

2. LA MODERNITÉAujourd’hui, nous parlons de modernité, d’accélération, de connexions, de ville-monde. Partout nous retrouvons les mêmes enseignes commerciales, les mêmes services, les mêmes architectes. Nous remettons cela en question.

4. PROCESSUS COMMUNDans une volonté de mener une pensée commune aux deux futures capitales culturelles, nous proposons de mettre en place un même processus pour les deux villes. Processus qui peut s’appliquer dans l’étude d’autres villes. Ce développement se fonde sur la vision de la ville par les personnes qui la parcourent, la vivent, l’imaginent.

6. UNE DÉMARCHEAvec comme outils de représentations les cartes mentales, nous avons interrogé des personnes sur leurs préférences, leur quotidien dans la ville et leur culture personnelle. Cela donna un regard spécial sur la ville, avec une histoire et une identité spécifique à chaque personne. Après lecture de ces cartes mentales, nous avons pris nos caméras pour parcourir la voie désignée par des points ou des lignes de cheminement. À travers la marche, nous avons alors découvert la ville avec les yeux d’autres personnes.

7. EXPOSITIONSuite aux voyages, nous avons présenté notre travail sous la forme d’une exposition.De multiples supports ont retransmis nos parcours et rassemblé la matière ramenée lors de nos voyages. Cette confrontation des parcours a amorcé les pistes de réflexions pour la suite de notre démarche.

8. LA MARCHEL’alternative de la marche au travers d’un parcours est aussi un questionnement sur la modernité. Elle permet le choix : de ralentir, d’accélérer, de s’arrêter, de traverser, d’enjamber, de contourner, de descendre et monter, de se perdre… Le déplacement du corps dans l’espace permet une perception sensible et complète de la ville. La marche constitue alors un mode d’accès privilégié pour décrire la ville, elle permet d’appréhender l’espace urbain en tant qu’espace vécu, toujours en mouvement et à partir du point de vue de ceux et celles qui la vivent.

9. CARTOGRAPHIE COLLABORATIVENous voulons donner aux villes, à ses usagers et ses décideurs, un outil de construction de leur territoire. Cet outil est un processus donnant la parole aux citoyens à la manière d’une cartographie collaborative. La carte, telle que nous la proposons, permet de montrer le vécu d’une ville, ses singularités, sa sensibilité, sans s’arrêter aux décisions des élus qui peuvent la représenter de façon limitée et incomplète.

10. WORKSHOPNous pensons que créer un groupe d’intervenants en contact avec la population est le meilleur moyen pour mobiliser la habitants, qu’ils se questionnent sur leur villes et qu’ils aient envie d’agir. Le processus est commun à toutes les villes, mais le résultat sera singulié, suivant leur culture, leur géographie, leurs spécificités. Un workshop, à destination de tous les acteurs de la ville, est proposé pour dessiner une carte. Il se base sur plusieurs thèmes, tels que le quotidien, les saisons, les frontières, les interstices, le jour et la nuit... Les cartes sont ensuite une base de réflexions mise à disposition de tous les constructeurs et décideurs de la ville de demain. Affichées dans les maisons communales, dans les lieux de rencontre des habitants et des politiciens, elles seront aussi mises à jour fréquemment car en perpétuelle évolution.

5. LE VOYAGEPar nos voyages vers les futures capitales culturelles, San Sébastian et Wroclaw, et d’autres villes comme Bruxelles et Louvain-la-Neuve, nous avons pu appliquer notre démarche et nourrir notre projet pour le développer.

PROCESSUS

LA MARCHE

DES OUTILS ÉVOLUTIFS

DES WORKSHOPS

DES PROJETS À CRÉER

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page blancheWroclAW toWArd A culture of coexiStence

Ce projet est consacré aux capitales européennes de la culture 2016, qui sont Wroclaw (Pologne) et San Sebastian (Pays-Basques). Après analyse des deux programmes, on a soulevé qu’il y avait un manque de coordination entre les deux villes. Le deuxième point de départ imposé par l’atelier était le WUWA : un quartier construit pendant le modernisme qui voulait se démarquer par rapport aux aspirations de son temps.

Nous avons donc voulu nous distinguer de notre époque actuelle qui préconise la rapidité et la mondialisation en faisant découvrir les villes à l’échelle du piéton et donc avoir une meilleure interaction avec les habitants qui présenteront leur ville tà travers leur quotidien.

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creative restauration utilisationrenewal

HOUSE SHAPE

accurate restaurationauthenticity

r E n O vAt i O n ’ S wAy Of tHinking

museumification

SOUtH kOrEA

BELgiUM

SOUtH kOrEA

BELgiUM

renovation of listed buildongs- comparison asia/europe

La thèse est à propos des différences dans l’organisation des espaces entre la Corée du Sud et la Belgique.

La forme de la maison traditionnellle coréenne dépend de sa localisation. Dans le sud du pays, c’est en forme de I pour permettre au vent de rafraichir les différents espaces. D’un autre côté, le Nord possède des maisons qui ont des formes carrées pour contenir la chaleur.En Belgique, les terrains sont étroits donc les résidences se développent en hauteur pour maximiser l’espace.

L’autre différence est la manière dont les deux pays préservent leur héritage architectural...