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Journée de Recherche AIM Appel à communications 1ère journée de recherche Serious Games 12 Septembre 2013 Grenoble Ecole de Management

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Journée de Recherche AIMAppel à communications

1ère journée de recherche

Serious Games

12 Septembre 2013Grenoble Ecole de Management

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L’Association Information et Management (AIM) organise une journée de rechercheouverte aux praticiens, enseignants et chercheurs œuvrant dans les systèmes d’information (SI), mais aussi dans l’ensemble des champs connexes aux SI. En effet,le champ des SI couvre des thèmes qui lui sont propres (usages, adoption,…) mais bénéficie aussi de la richesse des nombreuses interactions avec d’autres approches comme celles des autres domaines des sciences de gestion (Marketing, RH, Finance, Stratégie, entrepreneuriat, …), de l’informatique, de l’économie ou encore de la sociologie.

Positionnement

Serious Games: Comment définir un tel oxymoron? Les Serious Games sont généralement envisagés comme des applications technologiques utilisant des ressorts ludiques pour engager les individus dans une expérience d’apprentissage ou de formation. Les Serious Games utilisent des environnements numériques pour faciliter un apprentissage expérientiel en simulant un environnement professionnel réel. Ceci afin de permettre aux participants d’explorer des systèmes complexes tels que des problématiques managériales. Un avantage est notamment l’opportunité pour l’apprenant d’explorer des problématiques en univers protégé, en autorisant l’erreur.

Le recours aux serious games s’est fortement développé dans les années 2000, et ceci principalement auprès des grandes entreprises ou au travers de commandes publiques. De nombreuses applications ont émergé en formation continue et initiale, mais également en communication externe et interne ou encore en marketing public. Aujourd’hui de nouveaux usages se développent, par exemple pour le recrutement, la gestion des connaissances ou l’innovation. Les prévisions quant aux perspectives de croissance de ce marché sont très optimistes.

Parallèlement, d’autres concepts comme le serious gaming ou la gamification ont émergé :

- Le serious game articule un objectif utilitaire –formation, communication, innovation par exemple – avec les ressorts ludiques.- Le serious gaming détourne un jeu “classique” en lui donnant une visée utilitaire, dépassant le simple cadre ludique. - La gamification utilise le game design sur des contextes initialement non-ludiques pour favoriser l’implication des participants.

Ces dispositifs questionnent aujourd’hui le champ de la prévention, de la formation, de la gestion des connaissances, du coaching, de la communication, etc. dans des secteurs aussi variés que l’éducation la santé, le marketing ou la culture.

D’un point de vue académique, les serious games sont analysés dans différentes disciplines telles que l’informatique, la psychologie, les sciences de l’éducation ou de la communication. Ils sont devenus en une décennie à la fois un terrain et un objet de recherche. Cependant, si les serious games soulèvent de nombreuses questions relatives aux sciences de gestion, paradoxalement la littérature sur le sujet reste disparate.

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Cette journée de recherche « SI et Serious Games » vise à présenter un état de l’art des études et analyses sur des problématiques intéressant les sciences de gestion. Les contributions d'auteurs fondées sur les corpus théoriques de sciences de l’éducation, mais aussi de nombreuses disciplines fondamentales sont les bienvenues (philosophie, psychologie, sociologie, sciences cognitives, informatique, etc.).

Thèmes proposés :

1. Serious Games, Serious Gaming, Gamification.2. Utilisation de ces dispositifs selon différentes perspectives managériales:

Ressources Humaines, recrutement, évaluation, formation, stratégie, innovation, gestion des connaissances.

3. Etude de cas sur l’implémentation de ces dispositifs dans des perspectives de formation et d’apprentissage.

4. Caractéristiques, usages, évolution des pratiques socio-culturelles5. Coût, le financement et la rentabilité des technologies6. Apprentissage, construction et gestion des connaissances 7. Evaluation de la performance des dispositifs8. Appropriation par les individus et organisations 9. Nouveaux modèles d’affaires et enjeux stratégiques10.Stratégies de développement et d’implémentation dans un contexte de

formation.

Références :

R. Caillois, Les jeux et les hommes, Gallimard Paris, 1957

M. Csikszentmihalyi, Flow: The psychology of optimal experience, Harper and Row New York 1990

S. De Freitas, Learning in immersive worlds: A review of game-based learning, Technical report, JISC e-Learning Programme, (2006)

J. Huizinga, Homo Ludens, A study of the play element in culture, Beacon Press, Boston 1955.

D. Michael, S. Chen, Serious games: games that educate, train, and inform, Thomson Course Technology, Tampa, FL (2006)

T.P. Novak, D. Hoffman, Y. Yung, Measuring the consumer experience in online environments: a structural modeling approach, Marketing Science, 19, (1), (2000), 22-42.

B. Sawyer, Serious games: improving public policy through game based learning and simulation, Foresight and Governance Project, Woodrow Wilson International Center for Scholars, 2002

M. Zyda, From Visual Simulation to Virtual Reality to Games, Computer, 38(9), (2005), 25-32.

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Comité d’organisation

Marie-Pierre KRAUS, Grenoble Ecole de ManagementMathieu LAPRAS, Grenoble Ecole de ManagementHélène MICHEL, Grenoble Ecole de ManagementMagali MICHEL, Grenoble Ecole de Management

Comité scientifique

Julian Alvarez , Université Lille 1Marc BIDAN, Université de NantesImed Boughzala, Telecom Business School (T&M SudParis - Institut Mines-Telecom)Jean-Charles MARTY, LIRIS - Université de SavoieHélène MICHEL, Grenoble Ecole de ManagementGuy Parmentier, IAE de GrenobleSergio Vasquez Bronfman, ESCP Europe

Les meilleurs papiers, sélectionnés par le comité scientifique, se verront proposer une

publication dans le numéro spécial « SI et Serious Games » de la Revue Systèmes d’Information et Management.

Le calendrier est le suivant :- Intentions de communication : 15 mai 2013- Dépôt des communications : 30 juin 2013- Retour des évaluations du comité scientifique : 15 juillet 2013- Retour des papiers finalisés : 5 septembre 2013- Journée de Recherche à Grenoble Ecole de Management : 12 septembre

2013

Les propositions de communication sont à envoyer à :

[email protected]

en indiquant dans l’objet du message : « Journée de recherche AIM SI et Serious Games ».

Les intentions de communication comporteront les informations suivantes : ‐ Le nom et prénom du (des) auteur(s) ‐ Les titres, fonctions, institutions de chacun des auteurs ‐ Les coordonnées (adresse postale, téléphone, email)

Format du papier final:

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Les communications sont acceptées en français ou en anglais.

Le texte doit respecter les caractéristiques de la revue Systèmes d’Information et Management :

1. Le texte ne doit pas excéder une trentaine de pages. Le texte est à simple interligne; utiliser une police à 12 points; employer l'italique plutôt que le souligné (sauf pour les adresses URL); et placer toutes les illustrations, figures, et tables aux endroits appropriés dans le texte plutôt qu'à la fin.

2. La page de garde du fichier « anonymisé » de l'article comportera:

- le titre de l'article,

- un résumé (voir le point ci-dessous)

- une liste de 5 mots-clés.

Titre, mots-clés et résumé doivent être remis en français et en anglais. Le titre et le résumé doivent informer le lecteur sur le contenu de l'article. La Rédaction se réserve le droit d'apporter des modifications au titre et au résumé proposé par l'auteur en concertation avec celui-ci.

3. Le résumé doit être particulièrement soigné en précisant très explicitement les cinq éléments suivants: (a) la question de recherche adressée dans l’article, (b) l’approche méthodologique retenue, (c) la contribution théorique apportée, (d) la pertinence (relevance) de la recherche et les implications pratiques ; et enfin (e) l’originalité majeure de la recherche et l’innovation méthodologique, théorique et/ou pratique de votre contribution.

4. Le texte doit être présenté de telle sorte que la hiérarchie des titres soit claire ne dépassant pas 4 niveaux (ex : I.1.1.1). Les citations seront saisies entre guillemets, en caractère normal. On mettra, si possible, les références bibliographiques en fin de phrase ou à une coupure logique de la phrase et celles-ci seront saisies en minuscules, hormis la capitale initiale bien sûr. Les caractères gras ne seront pas utilisés; si un mot doit être mis en évidence, il le sera en italique.

5. Dans son introduction, l'article doit expliquer, à l'intention de l'ensemble des lecteurs, l'intérêt de celui-ci. La conclusion résume clairement les résultats et conséquences. La nécessaire mention ou critique des travaux antérieurs ne doit pas tourner à l'excès : l'essentiel du texte doit normalement être consacré à l'apport original de l'article (on renverra le lecteur intéressé à des articles ou documents de référence). Un soin particulier doit être apporté à la clarté de l'exposé, du vocabulaire, des tableaux et figures. La Rédaction pourra être amenée, si nécessaire, à adapter le style de l'article à celui de la revue.

6. Le fichier de la présentation est en format de fichier document Microsoft WORD ou RTF.

7. A la suite de l'article, on fera successivement apparaître :

- les (éventuels) renvois numérotés de façon continue (on limitera ces renvois au strict minimum

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- les références bibliographiques

- les éventuelles annexes (méthodologiques ou autres) désignées par des lettres (A, B, etc.).

7b. Les références bibliographiques seront présentées comme suit:

- dans le texte,les citations de référence apparaîtront entre parenthèses avec le nom et la date de parution, ex : (Reix, 1995). Dans le cas d'un nombre de coauteurs supérieur à trois, on utilisera la mention "et al." après le nom du premier auteur. Si deux références ont le même auteur et la même année de parution, on les différenciera par des lettres, ex : (Mintzberg, 1994 a). Ces lettres apparaîtront aussi dans la bibliographie.

Les références en fin d'article:

- Périodiques : Liste des auteurs incluant l'initiale de leur prénom, suivie de l'année de publication, du titre de l'article, du nom du périodique (sans abréviation) en italique, du numéro du volume, du numéro du périodique dans le volume et du numéro des pages.

Exemple : Reix, R. (1987), " Planification des systèmes d'information et stratégie de l'entreprise ", Revue française de gestion, n°61, janvier-février, p. 12-21.

- Périodiques en anglais : Utiliser les mêmes normes de présentation que précédemment, si ce n'est que les mots débutent par une majuscule.

Exemple : Delone, W.H. (1988), " Determinants of Success for Computer Usage in Small Businesses ", MIS Quarterly, Vol. 12, n°1, p. 51-61.

- Ouvrages : Liste des auteurs incluant l'initiale de leur prénom, suivie de l'année de publication, du titre de l'ouvrage en italiques, du nom de la société éditrice et du lieu de la publication.

Exemple : Robert W. Zmud, (2000), "Framing the domains of IT Management" , Pinnaflex, Cincinnati.

- Extraits d'ouvrages : Liste des auteurs incluant l'initiale de leur prénom suivie de l'année de publication, du titre du chapitre, du titre du livre en italiques, de l'éditeur, du nom de la société d'édition, du lieu de la publication et du numéro des pages.

Exemple : Baba, M.L. (1990), " Local Knowledge in Advanced Technology Organizations " in Organizational Issues in High Technology Management, L. Gomez-Meijia and M. Lawless (Eds), JAI Press, Greenwich, Conn., p. 57-75.

- Papiers non publiés : Les références à des papiers non publiés, des thèses, etc. doivent mentionner la liste des auteurs incluant l'initiale de leur prénom, suivie de l'année de la soutenance ou de la présentation ainsi que du titre. Les mots etc. ne doivent pas être en italiques. Ne pas oublier d'inclure le nom de l'Université ou de l'École, ainsi que le lieu de la soutenance ou de la présentation.

Exemple : Rudolph, E. E. (1983), Productivity in Computer Application Development, Department of Management Studies, Working Paper n°9, March, University of Auckland.

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- Actes de colloque : Les citations d'actes de colloques sont traitées comme les extraits d'ouvrages. Il faut indiquer dans l'ordre la liste des auteurs incluant l'initial des prénoms, suivie de l'année de publication, du titre de l'article, de l'intitulé du colloque souligné, du numéro du volume, du prénom et du nom de l'éditeur, du nom de la société d'édition, du lieu de la publication et du numéro des pages.

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