Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

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0S X MrvrnrcKs; soRTrE rNrvrrururr !D'ici quelques jours, la nouvelle version d'0S X devrait

être disponible, sans doute avant Ia fin octobre.0n ne

sait pas, au moment où j'écris, à quelles conditions.

Payante? Gratuite? Mountain Lion avait été vendu, l'an

dernier, lB euros sur la Mac App Store.

Toujours est-il que la Golden Mas-

ter (la version qui sera distri-' buée sous Ie numéro 10.9.0

- build 13A598)a été li-

vrée aux développeurs,

ainsi que la Golden

Master de Xcode 5.0.1

(qui supporte les déve-

loppements pour Lion,

Mountain Lion et Mave-

ricks, mais pas les précé-

dents systèmes). ll faut rappeler

que 0S X est aussi un ensemble des lo-

giciels autonomes, fournis avec Iui et qui tous peu ou

prou change de version de façon significative ou mi-

neure. Par ailleurs, Mavericks comprend des fonctions

nouvelles héritées d'i0S et fonctionnant en synergie

avec Ie nouvel i0S 7: le Trousseau d'accès synchronisé

via iCloud, Plans, iBooks... Apple a également beaucoup

travaillé côté moteur avec de nouvelles technologies

pour optimiser l'accès aux ressources processeurs et

mémoire.

Restent en suspens, mais se sera peut-être l'objet d'une

autre annonce, les nouvelles versions pour 0S X et i0S

des trois logiciels de la suite iWork, dans la foulée des ex-

cellentes versions bêta en ligne proposées sur le site

iCloud. Le successeur de Mavericks, sous nom de code

Syrah (un cépage comme il est de coutume), pourrait bé-

néficier d'une profonde évolution de l'interface utilisa-

teul à l'image mais pas forcément similaire, à ce qu'à

connu i0S et les applications d'iCloud.

Lrs rMlc 2013 som DsPoNtBLEs

C'est sans flonflons, sans conférence de presse, sans spe-

cialevent,qu'Apple a simplement rajeuniles il\4ac, qui

restent identiques à eux-mêmes. Processeur Haswell,

carte graphique, mémoire Flash en SAIA Express, Wifi

802.11ac... bref rien de surprenant en fait, juste busrness

t

< BREVES DîCTU >

A propos de...

ous vous imaginez bien que depuis quelque temps

déjà, j'utllise un Mac sous 0S X 10.9 Mavericks. Alors

que la sortie de cette nouvelle version d'OS X est

imminente, je peux en parler en toute liberté.

Je dois dire queje ne vois pas à quand remonter pour avoir

un tel sentiment de fiabilité et de sécurité. Et à part quelques rares logiciels

qui plantent lamentablement (dont je tairai charitablement ici le nom, espérant que des mises à niveau

arriveront très vite), je n'ai connu aucun problème. J'estime que la compatibilité de 98 7o

de la logithèque de WMac - plusieurs centaines de titres - est excellente. Ce qui apparaft plus que

normal, les développeurs ayant eu largement le temps de faire toutes les adaptations et optimisations

nécessaires. En tout cas, tout shnnonce au mieux pour cette version 10.9.

Sivotre Mac peut accueillir Mavericks - et Apple a bien fait les choses en conservant la même liste que

pour Lion -,je ne peux quevous conseiller de le mettreàjoqr; le coût devrait en être modique et le gain

en termes de réactivité sensibte, surtout sur les petites configurations quejhf{tütionne que sont les Mac

mini. Mais bien sûr tous les Mac vont profiter de ce regain de ùitalité. Sans compter qu'il y a de nouvelles

applications au rendez'vous (Plans, iBooks...) et que celles que l'on connaft bien sont toutes améliorées.

lJéquipe de WMac est sur le pied de guerre pour vous faire vivre cette évolution en douceur et efficacité,

comme toujours! Nous reviendrons bien sûr en profondeur sur Mavericks et toutes les nouvelles

fonctions des applications qui font escorte au navire amiral, dans les mois qui viennent.

lly a de quoi remplir quelques numéros croyez-moi! En attendant, bonne mise à jour ou installation de

zéro. Et bon saut dans le futur à ceux qui débarquent directement depuis Snow Leopard ou Windows.

I Bernard Le Du ([email protected])

' .;,

as usual. Les prix vont de 1?99 €IIC pour l'entrédtlegamme en 21,5 " et culminent à 2000 € pour un 271', et {s'envolent bien au-delà si l'on souhaite « personnaliser » '

à la commande sa configuration. Toutefois, c'est un poil

moins cher que la précédente génération (du moins en

France): de 50 à B0 € selon Ia confiquration. Mais on

avait connu l'an dernier une augmentation à de100 à 200

€ par rapport à 2011. Cette petite baisse s'applique aussi

aux options comme le Fusion Drive Mais la mémoire

reste très chère chez Apple. Il est désormais clair que de

vraies évolutions de technologies telles que le Retina

pour les écrans et le Thunderbolt 2 ne seront au pro-

gramme que courant 2014 - voire au-delà sijamais Apple

en profite pour proposer un tout nouveau design. l

PnrurrRs succÈs ors Houvuux TPHoNE ,,

Sur le premier week-end de sortie des iPhone 5C et 55,

Apple a annoncé avoir écoulé 9 millions d'appareils, sans

donner plus de détails, notamment sur la répartition en-

tre les deux modèles. C'est un bien meilleur départ que

pour le 45 en 2012.

lrusnsumr PouR 0S XPour compléter l'article sur les AirDrop /rke que vous

trouverez dans ce numéro de VVMac, sachez que Instas-

hare pour 0S X a été finalisé et qu'il est proposé sur la

Mac App Store (2,69 €). Cet outil de transfert au vol de fi-

chiers et de presse-papiers, à la AirDrop, était proposé

sur appareils i0S. ll est désormais donc aussi présent sur

Mac et Android. Les versions « mobiles » sont gratuites,

elles. ll faut être sur le même réseau localet donc relati-

vement proche, à la différence de DeskTransfer qui Iui

passe par lnternet et permet les mômes choses même si

des milliers de kilomètres séparent les appareils.

0u mrrruo UNE « cRossE » MsE À JouR DE

VrRTU[BoxAprès Parallels Desktop 9 (prise en mais dans ce numéro)

et Fusion 6 de VMware (prochain numéro), c'est au tour

du petit Poucet VirtualBox de faire parler de lui. Le virtua:

. 5 | Vous et Votre Mac . No94 . Novembre 20'13

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liseur développé

sous les bons aus-

pices d'0racle de-

vrait proposer une

nouvelle version

d'importance, dis-

ponible en bêta(non publique) de-

puis la fin août, puis

en bêta ouverte à la

fin septembre. Cette

version 4.3 embarque

un nouveau moteur de virtua-

lisation annoncé comme nettement

plus performant. Elle prend en charge de l'lPv6, optimise

la 3D et son support du système Windows Li. ll y aura

quelques menus changements d'interface.

[s sonr PRÊTs PouR MrvrRrcxsL éditeur du traiiement de texte Nisus Writer a fait un

« grand ménage » d'automne dans ses applications pour

qu'elles soient fin prêtes pour Ia sortie du nouveau sys-

tème dApple. Le produit est disponible et le sera toujours

en deux versions Express (45 €) et Pro (79 €). De son

côté Parallels précise qu'il ne faut pas compter voir Paral-

lels Desktop 7 sur Mavericks. ll faut disposer d'au moins

de la version I ou mieux de la 9 qui a été retravaillée spé-

cialement. Sous Desktop 7 et 0S X lüavericks, les ma-

chines virtuelles Windows ne se lancent pas.

Ceux qui collectionnent les icônes en barre de menu ne

jurent que par lui: Bartender (12 €), un excellent utilitaire

qui, dès maintenant en version 1.2.9 est parfaitement

compatible Mavericks ! Bartender regroupe dans une

barre de menus à géométrie variable, hautement per-

sonnalisable, escamotable au besoin... tout ou partie des

icônes que place le système,les applications ou l'utilisa-

teur: lui-même dans cette zone très convoitée. Ainsi cette

version 1.2 utilise la nouvelle gestion du multi-écran de

Mavericks et se duplique sur tous les écrans connectés.

Les icônes d Apple (heure, batterie, Time Machlne, Wifi,

Bluetooth...) sont capables, comme les autres, d'interagir

avec l'utilisateur par alerte visuelle. Si elles sont mas-

quées, elles réapparaissent dans la barre pour se mani-

fester si nécessaire. Bartender généralise aussi pour

toutes les icônes le gllsser-déposer d'éléments depuis le

Finder et le Bureau.

Depuis sa version 2.4J, Dropbox s'intègre sans problème

à Mavericks. ll offre en plus une fonction de partage des

captures d'écran, une gestion plus souple de l'importa-

tion des photos iPhoto dans un autre sous-dossier de

Dropbox.

Enfin, lPassword 4 (45 €) pour Mac est une réécriture

complète de l'excellent système de trousseau synchro-

nisé, disponible aussi bien sur la Mac App Store que chez

l'éditeur. ll est parfaitement compatible avec Mavericks.

0n ne sait pas de façon claire si les deux versions Mac

App Store et éditeur accèdent à l'option iCloud... Norma-

lement, ce ne devrait pas être le cas. Mais il est rapporté

par des utilisateurs gue ce serait possible avec la version

éditeur tout de même. En théorie, seules les applications

vérifiées et mlses en vente par Apple sur la Mac App

Store peuvent utiliser iCloud comme plateforme de

< BREVE§ D'ACTU ts

stockage, de sauvegarde et de synchronisation. Deux au-

tres options sont incluses: en local en connexion directe

physique (câble et plus Wi-f i), via Dropbox (comme

avant).

0unoox.cot',t AccESStBLE EN IMAP0utlook.com quia pris la relève des messageries Hotmail

et consæurs de Microsoft est le premier service de I'édi-

teur à prendre en charge la relève des comptes mail en

IMAP (et plus du vieux P0P et du trop propriétaire Active-

Sync). À la clé, la synchronisation entre matériels de bu-

reau et mobiles de façon simple et universelle.

Les paramètres pour configurer votre client de message-

rie de bureau ou mobile sont les suivants:. Nom d'utilisateur.votre adresse de messagerie

". Mot de passe:uotre mot de passe q

. Serveurdecourrierenfranf(IMAP): i

imap-mail.outlook.com sur Port : 993

Connexion chiffrée SSL

' Serveur de courrier sortail (SMTP):

smtp-mail.outlook.com sur Port: 25 (ou 587)

Authentification:oui. Connexion chiffréeTLS

HusrC pounsuff soN BoNHoMME DE cHEMtN

Le nuage HubiC d'0VH - que beaucoup d'utilisateurs fran-

çais préfèrent aux sociétés basées ailleurs dans le

monde - a enfin rendu publique une API (une interface de

programmation) ce qui devrait à terme plus ou moins

court amener nombre d'applications à s'interfacer direc-

tement avec lui ou conduire des développeurs à greffer à

HubiC des applications spécialisées, des outils, des plu-

gins... Un nouveau système d'authentification est aussl

mis en æuvre sur la base du protocole 0Auth.

Nouvmux PorNTs DE vENTE ET DE SAVMacway est reparti à l'offensive avec encore une nou-

velle ouverture, cette fois-ci à Strasbourg (2 place du

Temple Neuf), aux abords de la Place Kléber (lieu où se

trouve l'Apple Store officielle). Le point de retrait à lll-

kirch-Graffenstaden fonctionne toujours. Mais il faudra

se rendre à Strasbourg pour se faire installer des bar-

rettes mémoire, un SSD ou un disque dur interne.

Près d'Épinal, sur la ZAC des Terres Saint-Jean, Easy

Computer (déjà sur Nancy et Metz) inaugure à la fin oc-

tobre une nouvelle boutique de vente de matériels Ap-

ple, de SAV avec une orientation professionnelle mar-

quée vers les métiers de l'architecture et du médical.

0ù r'0ru REPARLE (uu rtu) DE ZFS0n avait beaucoup entendu parler de ZFS quand on pen-

sait qu'Apple allait adopter ce système de fichiers 128

bits, très avancé, en remplacement du vieillissant HFS+,

pour Lion. Mais rien n'est venu, pas plus avec Mountain

Lion, et aucun changement n'est inscrit dans Mavericks.

Toutefois, hors d'Apple, des tentatives de développe-

ment et de diversification existent. ZFS est aujourd'hui

très méconnu et peu utilisé malgré ses atouts. llsemble

toutefois qu'il soit dominant sur plateforme FreeBSD

(essentiellement des serveurs comme tous les Unix sauf

0S X) ainsi que sur quelques variantes exotiques et

anecdotiques pour l'utilisateur de micro-ordinateurs.

Toujours est-il que le nouveau projet OpenZFS annoncé

est développé aussi bien pour 0S X, Linux que pour

FreeBSD. Mais sans le support d'Apple, on voit mal sur

quoi ça peut vraiment déboucher sur 0S X.

Cxnour 31, uttux 0u'uNE MAcHINE vtRTUELLE

Le navigateur Chrome de Google va être capable d'exé-

cuter du code natif C/C++ dans son environnement inté-

gré Portable Native Client Preview (PNaCl). De quoi don-

ner aux web apps des moyens supplémentaires pour

s'approcher au plus près des applications natives et s'in-

terfacer directement avec Ies matériels. de plus, en

court-circuitant l'interprétation des autres langages

non compilés, on devrait bénéficier de performances

bien meilleures, et d'intéressantes possibilités de créa-

tion d'applications et d'outils puissants.

;1.16 | Vous et Votre Mac " No94 . Novembre 2013

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PAGE

DE PUB

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* NOUVEAUX PRODUIT§ *

iDocument 2

Doo 2

Deux solutions pour qérer

autrement ses documents) Ne nécessilont pos de plocer ses documenls dons une bose de données, sochont

odresser les documenls en locol comme sur certoins clouds, ces deux ulililoires

s'ovèrent ossez proches. lls vous oideronl ù orgoniser el ù gérer de foçon intelligente vos

documents grûce oux mélodonnées, oux dossiers dynomiques eT oux recherches évoluées.

Une opproche ollernolive ou complémenloire ou clossemenl por dossiers imbriqués.

tout en profitant de fonctions plus

varlées, plus pointues ou plus sub-

tiles que celles du Finder et de Spot-

light. Dans cette catégorie, il n'y avait

guère jusqu'alors que Yep! et Leap

d'lronic Software. Mais début 2013,

on a eu Doo (dontje vous ai déjàparlé) et à la fin de lété, une nouvelle

version d'iDocument. Deux produits

qui désormais.se.rejoignent da ns

leurfaçon de travdiller; tout en of-frant des éventails de fonctions diffé-

rents. i

Doo, À nrnr tulsmcr!Pourceux qui n'ont pas lu mes précé-

dents articles (VVMac 88), Doo est

un gestionnaire de documents qui,

PRIX: environ 45€ iMàJ gratuite

des versions l.x) C0NF|G.: 0S X 107

ÉoIEUB: lcyBlaze

www. i cy b t ue.co m/i d o c u m e ntMac App Store

* Très facile à utiliser; interface

élégante ; référencement des

documents ; indexation des contenus

textuels; support de disques

externes, réseau ou clouds...

- Pas de gestion d'OCR; en anglais;

pas de compagnon i0S pour l'instant...

PRIX: Gratuit

CONF|G.: 0S X 10.8, iOS 6 et 7

ÉomruR: ooo

httpsl/doo.net

Mac App Store et App Store

* Facileà utiliser;interface

élégante ; référencement des

documents ; indexation des contenus

textuels et OCR des documents images

et scannés; catégorisation et tags

automatiques; support de disques

externes et de certains clouds; applica-

tion iOS universelle; gratuité...

- Lapplication ayant été vraiment

optimisée, je n'en vois pas trop...

omme vous l'a expliquéDavidA. Marydanslenu-méro 92 de VVMac, onpeut fort bien gérer ses fi-chiers, même des photos

et des vidéos, en recourant auxseules fonctions du Finder et à Spot-

light. Ce sera même plus vrai encore

avec Mavericks, quiajoute en stan-

dard les tags dans le Finder. Néan-moins, le Finder a des bogues et par-

fois la vue courte. Et si Spotlight est

pratique, il nécessite souvent descontournements opaques. Dès lors,

pourquoi ne pas recourir à un outilpensé spécifiquement pourgérer les

documents (et pas tqus les fichiers) ?

llen existe plusieurs, et de deuxtypes.

Les premiers sont.des systèmes de

base de données dans lesquels on

importe physiquement les docu-ments. SOHO Notes, DevonThinkPro, iDocument 1, Together fonc-üonnent ainsi... Ce sont des équiva-lents d'iPhoto mais pour tous typesde documents. Le second type re-groupe des produits quin'imposentpas d'importer les documents dans

une base de données mais de seule-

ment les y référencer. On peut doncconserver son organisation person-

nelle dans le système de fichiersd'OS X (dossiers et sous-dossiers)

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ri)§8 | Vous et Votre Mac' No94. Novembre 2013

Page 7: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

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Mangè Cardamom and Swe8t eêconut Popsic{e§

en plus de superviser les documentsprésents sur les disques internes etexternes, prend en compte ceuxstockés dans des services de cloud:DropBox, Google Drive, Sky DrivefI. Dans une même interface, trèsdifférente de celle du Finder et, à

mon avis pleine de bonnes idées Etr

, vous pouvez gérervos documentset y accéder peu importe où ils sontvraiment. Doo intègre même direc-tement une softe d'uülitaire Capture

H pour intégrer directement des fi-chiers (indexation et OCR au vol) pro-

venant d'un numériseuI d'un appa-

reil photo ou même de la caméra Fa-

cetime de l'ordinateur.

luoryarmnOCR!La force defrappe de Doo tient à l'in-

dexation de tous les documents réfé-

rencés quand ils conüennent dutexte. Mais aussi les images- photos

et surtout documents PDF créés par

numérisation - grâce à une analyse

OCR performante üI tI. AnalyseOCR que ne sait pas faire OS X. Donc

nombre de documents échappentbien entendu à la sagacité de Spot-

light, mais pas à celle de Doo.

Dans cette version 2, beaucoup de

bogues ont été corrigés. llapplica-

tion a été fortement optimisée. En

plus des clouds de base, Doo 2 prend

en charge les documents placés dans

l'excellent service Evernote El.

HÉRancursvrnruru-rsSeconde grande foncüon, Doo auto-tog les documents à partir de l'ana-

lyse de leurs métadonnées et deI'OCR. C'est très praüque car l'un des

problèmes de la gestion partags,c'est que les uülisateurs nbnt pas le

réflexe de créer et d'appliquer les

mots-clés eux-mêmes, surtout au

départ. Doo le fait plus vous. Évi-

demment, l'intervention complé-mentaire de l'uülisateur est la bien-venue, mais c'est déjà ça de fait.Uindexation permet à Doo de géné-

rer des regroupements et de créerde lui-même des catégories. uappli-

cation gère bien entendu les tagsOpenMeta (et gérera ceux du Finder

de Mavericks quand ce dernier sera

disponible). Et ellevous donne les

ouüls pour créer des hiérarchies in-telligentes de dossiers et dossiers dy-

namiques, hiérarchies virtuelles qui

n'impactent en rien l'organisation« brute de fonderie » des fichiers sur

le disque dur ou sur le cloud.

Vous pouvez donc regrouper dans

des structures virtue.lles, par théma-

fiques par exempld des documentslocaux et d'autres sur Dropbox ouEvernote. Doo, contrairement au

Finder, tra nscende Ia localisationphysique des fichiers !Vous n'avez

plus besoin de vous demander oirsont les choses pour les trouver.Vous les trouvez par la recherche in-

telligente et l'applicaüon vous ditbien évidemment où elles sont loca-

lisées, et vous y conduit même « par

la main » si besoin est.

Outre cet aspect gestionnaire de do-

cuments, Doo comporte aussi unefoncüon cloud. Au cas où lbn ne se-

rait pas déjà utilisateur d'un autresystème.

Doosun rPlo n rProurtl est possible de s'abonner (à desconditions qui ne sont pas connues à

l'heure actuelle) afin de disposerd'un système de synchronisation de

fichiers à la Dropbox et confrères. Le

dossier Doo synchronisé recèle,d'une part, les données de référen-

cement dans Doo de tous les fichiers

supervisés (ce qui permet d'en rapa-

triercertains au besoin en local), plus

éventuellement des fichiers qui, eux,

. No94. Novembre 2013

sont répl iq ués a utomatiq ueme ntsur d'autres a ppareils. ll y a aura donc

un volume de base gratuit pour les

données « des services », mais si lbnveut pleinement uüliser le Doo

comme on le ferait d'un des autres

clouds existants, il faudra prendre du

stockage en plus ét le payer.

Autre point très important, si dumoins on a un iPad ou un iPhone: la

sortie de Doo 2 sur Mac s'est accom-'pagnée d'une version iOS univer-selle. Il est donc possible, sur iPad

ffiH et iPhone, d'accéder aux don-nées de référencement de Doo, de

rapatrierfacilement au coup par

coup desfichiers de son Mac ou d'unservice en ligne, mais aussi d'accéder

au contenu du dossier synchroniséDoo. Le support d'Evernote me per-

met ainsi de ramener sur mon lPad,

des documents et d'en conserver la

lecture horsJigne (avec le client Ever-

note, c'est une fonction réservée aux

abonnés payants). Je ne peux certes

pas les éditer dans Doo - qui n'a au-

cun outil pour-, mais tout de même

les ouvrir avec une autre application

si le format du document convient.

J'invite vraiment ceux qui ont été dé-

çus de la première version à y regar.

,r,,,'9 N Vous et Votre Mac

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© anso ◊

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* NOUYEAUX PRODUIT§ *

Parallels Desktop 9

Parallels intègre toujours plus

Windouus à 0S X

PRIX: 80 € la version complète, 50 €la mise à jour (avec 6 mois gratuits

pour Parallels Access)

CONF|G.: lntel; 0S X 10.6.8+

ÉDIEUR: Parallels

www.ppSlhls.mm/fr

+ LaEpiOlté; t'intégration du cloud;

le support du FireWire et de Ihunder-

bolt.

- Les modifications apportées à

Windows 8 passent par un éditeur tiers;

le coût de la mise à jour chaque année.

) Comme désormois choque onnée, une nouvelle version du virtuoliseur vedetle revienl svec l'oulomne. ll n'y o plus de

ploce que pour des évolulions morginoles mois bienvenues lout de même. Pour 50 euros, voici ce que l'on gogne ù foire

lo mise ù jour...

arallels Desktop 9 annonceprincipalement une meil-leure performance du sys-

tème. C'est d'ailleurs l'inévi-

table argument, et, chose

amusante, c'est chaque année lamême progression. Comme d'habi-tude également, depuis que les sys-

tèmes OSXont pris leurvitesse decroi-

sière, la version 9 intègre le support de

la prochaine version Mavericks (10.9)

et confirme celui de Windows 8. Ce

n'est pas forcément un argumentva-lide, puisque Parallels 8 en est déjà ca-

pable. Outre le fonctionnement sous

Mavericks, la version 9 apporte égale-

ment le support de Mavericks dans

une machine virtuelle. Pourquoi vir-tualiser OS X surOS X? Ce peut êtreutile pourtester le nouveau système

d'exploitaüon sans prendre de risque.

Dans la réalité, le « bond » de perfor-

mance ne se sent pasvraiment. Tout

au plusa-t-on l'impression que les ma-

chines viftuelles démarrent plus vite,

mais Parallels était déjà très bon dans

ce domaine. On ne peut pas dire que

ce soit spec[aculaire. [accélération gra-

phique a également pris du galon, per-

mettant démuler désormais Direct X

10 et d'avoir jusquà 1 Go de mémoire

vidéo. Désolée, mais je nhi pasde jeux

pour le testen

D'nrono, uru ouTrl DE DEssrN

Parallels 9 supporte le FireWire... ilaura doncfullu presque cinq ans poury

arriver alors que cette technologie est

en perte de vitessefr ce à I'USB 3 (sup-

porté depuis Parallels Desktop 8), etqu'elle a déjà disparu de quasiment

toutes les machines produites au-

jourd'hui parApple. Toujours est-il que

le Thunderboltfait également son ap-

pariüon. On accédera donc à tous les

disques de façon naüve à conditionque le formatage soit compatible, en

sachant que tout disque connecté au

Mac était déjà accessible de fu çon indi-

recte-on les retrouve dans la rubrique

réseau. lls'agit là d'utiliser la pleinepuissance des ports directement dans

la machinevirtuelle. Les disques peu-

vent ainsi être montés manuellement

(ou automaüquement selon les préfé-

rences)via le sigle USB en bas de la fe-

nêtre de la machine virtuelle, chaque

catégorie de disque est séparée pa r

une fine ligne, sans ütre (ce qui estdommage) ce qui rend leur idenüfica-

tion difficile IX.

-,i.'i=" .i' ç'Ëti-lÈ=== l=- à"r

rrQ!:rÊ,i!

Aà&bC.ô( Aaab{.{,r âa$bCr daBbcc 4t f ffi:"::

Lô Tofi etionnûlil* fgu§{[?p,û#?tinuer à §9 mettrs à iour (loÉqdil esl eB Yeille ét dés{CÆi p€met par Bxemple dela {eillÊ, ?r æûdilirn qse la mBéstrmais, la tap* â 3 @lünê râsJËrcr?s *a*s le dictiorâppliââliÛl]§ Mac-

EI

l)ir lir;rr:tir,.:

r CLâ&ne dec .irq pads qni 1.mlitrn1 lâ

mir k oied dc t'hort]e.-+'

Ia doigs {du grec æim liir.a}05, qui a

éstué en iadn "digiu+', doigtl son i6e.remitu ânicdé{§ ds maim et de picds

Apple Sluet@rh U§0 Host ControllêrÂpp!{ ûisplây Àudlô éaÀpp{. ÊacêTi*s }tû CaûèrÀ {Ssiit'i{,Âppie tr*1i6e I'lt C@r} {§iâstày}Ap$ë lnlsd (e}&rard I Trâ{kpâdApSe Th!**ê.§ôli §lspiâytntâ$r5 t&eh l- ,4U§s PeÊ §ead tèvi{e

SÀtl§Ui*{ S§0 S30 §€ri*s {diskl}§Y2i!Ëû*r'r#îI -qYt{ l{t { {dltkz}

12 | Vous et Votre Mac. No94'Novembre 2013

Page 10: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

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., C*a,PtG -:l.i!':1li:irii1,. C|§u{tÀ..*r :i ii,.:iar'1: ii. cl§ln ,iÿb6èrd :.i)l:Ill ll.i:

. (louddiËbûârd'iô! li aÉ :i,11 l,- ri, llouddipbo.rd"m8( :!ili liii 1l: ti.- Cloùd-Md.-iOS :n!a:r:lii ilji!., claud.§ütrs li.'É:r'ill ll J:

. Codô :t,at it:lll'.ln

Accès,d.ista,ntPalaltets Access est un, selv[ee,pouri0s] ll rqmf!gce,,[a,,n1écé,den!e

application qui permettait ùn contrôle,distant àrla fôis des.machines

virtuelles, mais aussi du Mac hôte. Présenté quelques jours avant la

sortie de,Paiâllêls.Dé§ktop 9;: il, nlêstr pàs liérà h,rposse§sion de la

dernière version du yirtualiseur. Néanmoins,tllachal d'une mise à jour

ou d'une licence complète de la version 9 donne accès à six moisgratuits (soit une valeur de 39 €). Dès le numéro de licence enregistré,

Parallels télécharge directement l'utilitaire, qu'il propose d'activerou non.

Um Érnorr nrÉeRATroN AVEc 0S XLa foncüon PowerNap qui aLrtorise le

Mac (à partir d'OSX L0.8) de continuer

à se mettre à jour (relevé des mails,

sauvegarde Time Machine) lorsqu'il

est en veille est désormais accessible

aux machines virtuelles. Ceci permet

de réaliser les mises à jour de Win-dows pendant la veille du Mac, à

condiüon que la machine virtuelle soit

bien sûren activité.

Désormais, dans les applications Win-dows, letoucherdetrois doigts (sur un

trackpad) sur une sélection de textedéclenche une recherche dans le dic-

tionnaire d'OS X, comme dans les ap-

plicaüons nativesEl.Parallels Desktop permet depuis long-

temps de partagertoutes les impri-

mantes du Mac. Désormais, il saitaussi installer une imprimante PDFvir-

tuelle pour les logiciels Windows. [op-üon est invisible, il faut simplementavoir acüvé le partage des impri-mantes dans la configuration. Cette

imprimante virtuelle, qui apparaîtdans les choix d'impression des appli-

caüons Windows autorise la création

d'un PDF quiva directement s'enregis-

trersurle bureau du Maq à l'imagedece que le dialogue d'impression OS X

permet depuis toute application na-

tive. Voilà qui comble une lacune évi-

dente deWindows !

Enfin, ilfaut soulignerque le processus

de récupéraüon ou de créaüon des

machines virtuelles a été amélioré, de

même que l'uülitaire de transforma-

tion d'un ancien PCen machinevir-tuelle. Un centre de sécurité EI a été

ajouté proposant de gérer l'installation

d'antivirus, à la fois sur le Mac hôte,mais surtout sur les machines vir-tuelles.

Lr suppoRn ou cr-ouo

S'il y a une fonction intéressante, c'esi

bien celle-ci ! Parallels Desl<top 9 per-

met de fu ire apparaître sous Windows

les services en ligne déjà présents sur

le Mac hôte (Dropbox, Stcy Drive,.mais

aussi iCloud ou encore le Fluxde Pho-

tos) comme autant de disques parta-

gés. Dans l'Explorateur, on a doncdés-

ormais accès en lectuÇ et écriture à sa

Dropbox, au dossier,f, hotostream(alors que cela n'est qas possible sur le

Mac sans bidouille), ou encore au

contenu d'iCloud, avec tous ses dos-

siers. Plus besoin d'installer des clients

d'accès à ces services dans la machine

virtuelle; on évite detournerdes pro-

cessus supplémentaires de synchroni-

sation et de dupliquer les éléments.Pensez à activer les options dans le

panneau de réglages des partages de

la machine üI.

Wrmows I rnçou Wruoows 7Pour les allergiques à la nouvelle inter-

fuce Modern deWindowsS, Parallels'Desktop 9 intègre deux modules issus

de Star Dock. lJopüon n'est pas trèsdocumentée dans l'aide, mais elle est

accessiblevia le menu Affichage. llsuf-

fit d'activer le look Windows 7 et de

laisser l'installation se faire. StarDock

Star8 (qui coûte normalemênt 5 dol-

lars) remet en place le fameux clas-

sique menu Démarrer de Windows et

assure l'accès à l'écran d'accueil de

Windows 8. ModernMix (5 dollars)permet lui de faire foncùonner les ap-

plicaüons Modern en mode fenêtré(et non plein écran). On voit ici Gl les

applicaüons Calendrier et Photos en

modefenêtré, ainsique le menu dé-

marrer fI. Tout comme l'aspect Mac-

Look proposé pour les machinesvir-tuelles antérieures à Windows 8, il

s'agit de modules d'un développeur

üers qui ne sont pas spécifiques à Pa-

rallels Desktop 9 et peuvènt être ac-

quis séparément.

Tout comme le passage de 7 à 8, lepassage de 8 à 9 nâpporte peu d'inno-

vations. Logique: le logiciel est désor-

maiS en vitesse de croisière. Tout au

plus peut-on apprécier le support des

services en lignes associés au Mac et

une fluidité améliorée. Si Parallels est

votre outil detravail, la mise à jour se

justifie assez facilement. Pour un utili-

sateur ponctuel,,probablement pas.

I Jennylemessager

I a....!r fàr.9! À,iih4.

li - î.j .Ré*.u r pd . icloud

septem bre 2013lù.. te! dim.

?. 1 , §i;

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Èü càkura*ice

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bt'n§},o*'**o fI) Iousrèsp.o9.ôom6

lai)..it,, i,r,,)n i;,.,:..,r',:.,r.,:

*13 | Vous et Votre Mac. No94. Novembre 20.13

Page 11: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

* NOUVTAUX PROIIUIT§ -

Parallels Access 1.0

Un accès sur iPad inédit, mais,

onéreux, et encore à peaufiner) Alors que Porollels Desktop sort en version 9, lo sociélé Porollels inougure un nouveou service d'occès ù dislonce sur

iPod ù volre Moc (eT évenluellemenl oux mochines virluelles Windows qu'il conlienl). Souro{-il convoincre? Pos sÛr.

PRIX: 70 € par an

C0ttFlG.: lntel;0S X 106.8+

ÉorEuR: Parallels

www.pamlhh.nnlr

* [interface novatrice; le partage du

presçe-papiers et du son; l'optimisation

pourl'iPail.-

- La fluidité à revoir;le comportement

capricieux du clic et du clavier; un prix

à l'année élevé.

arallels Access se compose

d'une applicaüon conçuepour le seul iPad (grand ou

mini) et d'un module de

contrôle, le tout relié à un

compte Parallels (gratuit). llfaut instal-

ler le service sur le ou les Mac à contrô-

ler; et l'acüver. Pour l'instant, seul le

client Mac est disponible - mais un

.module de contrôle sous Windows est

en bêta. Ensuite, on récupère l'applica-

üon iPad sur lApp Store.

Unr solwror'r lssz ouÉneusr

Chaque nouveau Mac raccordé va bé-

néficier d'une période d'essai de 14jours (90 jours pour les PÇ tantque le

client Windows est en bêta). Pour pro-

longer l'utilisation, il faudra payer un

abonnement annuel de 69 € par ma-

chine contrôlée, à régler directement

dans l'application iO§ par le biais d'un

achat in-app. Afin de promouvoirson

nouveau service, Parallels offre six

mois d'abonnement à Access pourtout achat d'une mise à jour ou d'unenouvelle licence de Parallels Desktop 9.

Sivousavez Paralleli Desl«op 9, vouspouvez en plus du Màc prendre lecontrôle des machines virtuelles Win-dows ou autres qui tournent dessus.

Lors de l'installation et de l'enregistre-

ment de Parallels Desktop 9, le module

Parallels Access est installé automaü-quement. Mais cela va changer, l'ins-

tallaüon sera optionnelle, à la de-

mande de l'utilisateur. Comme le logi-

ciel peut pa rfaitement foncüonnersans disposerde Parallels Desl«op (si

vous n'avez pas besoin de machines

virtuelles par exemple mais seulement

de disposer du contrôle à distance de

Mac), on peut le récupérer en se

connectant directement au site de Pa-

rallels. Iinstallation est rapide et lelogi-

ciel se lance directement. Lfordinateur

peut être connecté etdéconnectésans

quitter le logiciel, et l'on dispose de

quelques options comme le blocage

de lécran distant ou le verrouillage de

la session après la fin du contrôle. Sur

l'iPad, une fois le compte renseigné, la

ou les machines apparaissent l'uneaprès l'autre. Chaque machine ajoutée

dispose d'une période de test de 14jourg saufcelle où est enregistrée Pa-

rallels Desl<top 9, portée à six mois.

ParallelsAccess n'est ni plus ni moinsqu'un contrôleurVNÇ comme on peut

en trouver par dizaine sur l'iTunes.Store. Sa particularité est de redimen-

sionner totalement lécran de lbrdina-

teur afin de n'afficher qu'une applica-

üon à la fois, comme si l'applicaüon

était faite pour l'iPad.

AæÈsru MrcmçolttPloLa première chose au démarrage de la

prise en main est un Launchpad EË.

llinterhce esten effet idenüque à celle

du Launchpad sur Mac, avec une zone

de recherche en haut et une sélection

de quelques applications (celles qui

tournent plus une poignée dhutres).Pour personnaliser le Launchpad, il

faudra passer par È mode Édit. En bas,

on trouve également un bouton des

fenêtres ouvertes §§ .

On sélectionne alors l'application vou-

lue et on bascule en plein écran. Ici, on

aura uniquement un menu tronqué(Fichier, Édition) sans aucun accès aux

icônes du reste de la barre, ni au bu-

reau, remplacé parun fond grisau logo

de l'éditeur. ll reste un menu translu-

cide sur la partie droite, mobile, qui

contient des raccourcisvers le Launch-

pad, d'une part, mais aussivers lesfe-

nêtres des applications ouvertes, ce

quifacilite la ci-rculation, le menu sedé-plianten vertical si besoin.

i:t4 | Vous et Votre Mac . No94' Novembre 2013

Page 12: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Deux alternatives d accès distant

LogMeln Remotixo t****' O iill.'yLogMeln propose depuis un moment une solution de prise en main à

partir de l'iPad. Bénéficiant de multiples options telles que le redimen-

sionnement de l'écran, elle permet de contrôler dix machines par

compte gratuitemeni, sur i0S, Mac ou encore Windows.

Sur un ordinateur, un simple navigateur est suffisant. Sur iPad,

I'application gratuite permet de presgue tout faire, sauf quelques

fonctions comme I'impression locale, le partage de documents ou le

report du son. Un abonnement annuel pour une machine enlève les

limites, mais il est également possible d'acheter la version complète de

l'application iPad qui offre toutes les options « pro » à toutes les ma-

chines (mais uniquement sur i0S).

Prix: gratuit pour les utilisateurs particuliers ou 59€ par an et par machine

ou bien l'achat de I'application il.S lgnition (tt?€ sans aucune limite).

Éditeur: LagMetn

t: La fluidité même en 3G ou sur des réseaux peu performants, puissance

de la gestion de documents, stabilité.

-: L'interface pas très Mac; le défitement pas toujours très réactif.

Remotix est un client mixte VNC et RDP permqttant donc au sein d'une

même application de gérer Mac et PC sans instàilaiion d'aucun logiciel

supplémentaire sur les ordinateurs. Capable de scanner le réseau, il

simplifie la gestion en se synchronisant via iCloud. ll existe une

application Mac disponible sur la Mac App Store et des versions Lite

pour essayer. Clavier étendu, partage du presse-papiers et moile

trackpad ou souris, Remotix ne gère par contre pas le son.

La prise en main à distance via lnternet nécessitera de mettre les mains

dans le cambouis puisqu'il faudra créer un tunnel SSH.

Prix : 18 ۃditeur: Nutana LTD

*: Synchronisation entre les appargils, auto détection, pas de logiciels à

installer, support des spécificités Mac, fichiers d'aide en français.

-: Le mode via lnternet n'est pas à la portée des novices; quelques lenteurs

à la reconnexion.

Le clavier est a ppelé d'un toucher à

trois doigts ou par le bouton adéquat.

Ce clavier offre des touches de fonc-tion supplémentaires, des flèches et

des touches spécifi ques Windows. La

roue crantée, permet de modifier Ie

comportement du curseur en modesouris, d'activer la sortie sonore sur

l'iPad ou de laisser aclive la barre addi-

tionnelle. Globalement, l'application

apporte le confort du tactile, avec un

défilement dans la fenêtre à un seul

doigt, et la réactivité est plus grande

grâce à la réduclion auformatiPad. Un

appui prolongé permet d'activer un

mode précision en affichant une Ioupe

(pratique pour attraper Ies sépara-

teurs). Uoptimisation va plus loinpuisque la sélection de texte appoftenon le menu habitueiàie l'application,

mais un menu rOSlike lT,H. Le presse-

papiers est synchronisè entre l'iPad et

lbrdinateur distant. ll reste possible de

passeren mode Bureau, où lbn revient

à un contrô!e plus classique avec l'accès

au menu complet. Si une applicationmono fenêtre comme TextEdit don ne

une bonne impression, il en est autre-

ment des fenêtres chargées.

DrsruumurnrsÀrnnr!Quant à la saisie de texte, elle reste un

peu aléatoire. Le menu/oçon tOS ren-

contre des difficultés et la saisie longue

rend parfois le clavier capricieux au

point de restertotalement sourd aux

sollicitations. Le pire reste tout de

même l'utilisation des applications de

machine viftuelle qui manque claire-

mentde fl uidité. ll n'ya pas de passage

en mode Cohérence automatique, ce

quitait que la fenêtre se retrouve am-

putée du contourde Parallels Desl<top.

Enfin, lorsque la conhexion n'est pas

optimale, Access donne des résultats

bien moins bons qu'un logiciel comme

LogMeln avec une fluidité très altérée.

Au final, Parallels a tenté ici d'apporter

sa propre vision de la prise en main à

distance, sur un marché déjà bien en-

combré d'applications ayant fait leurs

preuves. Au-delà des apparences, l'ap-

plication est clairement jeune et si elle

est amusante à utiliser, elle ne peut pas

rivaliser avec des solutions plus ma-

tures. Quant à son taril qui le situe

dans une gamme « professionnelle », il

découragera probablement les utilisa-

teurs ponctuels. § Jenny Lemessager

t§ | Vous et Votre Mac. No94' Novembre 20'13

Page 13: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

* ,IOUTITAUX PRODUITS *

Vox 1.1.1

Alternative musicale à iTunesF Si iTunes esl devenu ou fil du lempg pour vous, un peu lrop « r;sins ù g0z ,, pourquoi

ne pos choisir, pour écouTer seulemenT vos chonsons et vos musiques, une opplicotion

ollernolive comme Vox? D'oulonl plus qu'elle ne vous coûtero rien !

ne liste des titres en écoute

est un concept un peu dif-

férent de celui d'une liste

d e I ectu re... if unes dispose

depuis longtemps de listes

de lectur.e, simples ou intelligentes (ba-

sées sur des recherches). Ces listes...

listentjustement lesütres que lbn sou-

haite écouter plus que d'autres. Bien

que modifi ables, elles restent souvent

figées. Moi, ce que jâime, Cest me ba-

lader sans ma bibliothèque et me dire« Ça,jevais lécouteraprès ».

Joueun rvrc lrs rmrs rn ÉcounAinsi se compose au vol, au gré du mo-

ment, de l'humeur... une liste destitres

en écoute. iTunes ne prend en compte

cette fonction, via la fonction Morceau

suivant, que depuis peu de temps.Avant, lefait de fouiller un autre album

ou un autre arliste, interrompait le lan-

cement du morceau suivant de lâlbum

ou de la liste de lecture en cours. Ce

concept de liste des titres en écouteavait pourtant falt le succès des deuxplus grands logiciels de lecture de mu-

sique surWindows, WinAmp et Mu-

sicmatch Jukebox. Ce n'est donc pas

nouveau ! Vox reprendjustementsurMac cette idée. Vous pouvez mettredans une liste ce quevousvoulez écou-

ter et modifi er cette liste en tempsréel, en ajoutant ou en retirant des ti-tres. C'est aussi le principe du DJ.

Vox Nh pls eEsorn o'rTuurs,MAIS IL EN UTILISE I.A BIBLÛftÈQUE

Un des points forts deVox, pourceuxqui veulent seulement écouter leurs

musiques, c'est une interface simpli-fiée. Vox ne gère pas le classement des

morceaux, ni les informations (tags). ll

se base survotre bibliothèque iTunes

ou sur des fi chiers que vous glissez/dé-

posez à la volée. ll n'ya pas non plus de

boutique, ni de gestion des vidéos, ni

des livres et il ne s'intéresse pas nonplus aux iPod ni aux iPhone.

Ceux qui trouvent qu'iTunes devienttrop bric-à-brac et trop commercial,pourront peut-être trouver leur bon-

heur dans Vox. CarVoxfait moins de

choses qu'iTunes mais il le fait plutôtbien; en tout cas, ce n'est pas un lec-

teurau rabais ! llsait même lire, outreles classiques formats compressésMP3 ou MÇ d'autresformats qui res-

tent ignorés d'iTunes comme le FLAC

(non compressé). Pas besoin de plugin,

jamais à jour. Vox lit directement ce for-

mat en plus des autres et il le fait direc-

tement. En aucun cas, il ne lance

i.t6 | Vous et Votre Mac

iTunes en arrière-plan; il se sert de sa

bibliothèque, sans plus. ll sait aussi re-

prendre des listes de lecturesvenantdu Mac ou de plusiçïrs logiciels Win-dows.

On pourra donc copServer ilunes pour

gérer les morceaux, et élire Vox pour

les écouter

Du côté interface II, Vox est bien fuit.

C'est propre, moderne. La pochette est

présente dans le morceau en cours. On

la voit aussi dans l'icône du Dock ou en

vignette à lécran EI . Vox se fait aussi

très discret avec un menu permettant

de gérer rapidement une dizaine de

morceaux récents et de piloter par des

icônes en barre de menus, les trois ou

quatrefonctions de baseEI.

Bmuæupo'opronç..MAIS EN ANGLAIS

Cette première version de Vox com-porte quelques points faibles. D'abord,

il est en anglais. En utilisation courante,

ce n'est pas gênant. Mais quand ilsâgitde plongerdans les préférences... caç

des préférences, ll yen a tout de même

beaucoup ! Pas moins d'une vingtaine

dbpüons dans le premieronglet [I.Les notifications sont à déconnectercaragaçantes. llécoute des radios ln-

ternet ainsi que l'intégration du service

Last.fm sont des options payantes, et a

priori pas encore implémentées. Enfin,

il faudra penser à régulièrement rafraî-

. No94 . Novembre 2013

PRIX: Gratuit

COIIFIG.: Mac lntel, 0S X 10.7+

Éorrun:'Coppertinonfi p//co pp e rt i n o.c om /voxMac App Store

* Lq liste de la musique en écoute,

dynami§ue et modifiable; une app

légère; la lecture indépendante

d'iTunes.

- En anglais; une interface « mo-

derne » à la iOS 7, pas évidente à com-

prendre la première fois.

chir les données de la bibliothèque de

iTunes... Vox ne le fait pas automaü-quement.

Vox est un concurrent sérieux pour la

lecture de la bibliothèque iTunes. ll ne

fait que cela et il est donc léger. Et

comme il est gratuit ça ne vous coÛte

rien de lêssayer et de l'adopter ensuite.

I Alain l-alisse

préiêntation ÀllÊr FÊflëtrr Àid€ ; t{ ll >l

etits Rals De l]ooée Dr ptrist - charles Âznæoü. EII 3 -lr M'rcyais O€jà {À"€ Lr5 tutil: Râî§ De L'3pên De pili.} - fhtr: 4 - ldi{hèh {en dss #....} - Ia?h; 5 - li lago dei cigni {fÊtr Dominigrs àraglrirEi - Affiqry VssiliI 6 - Pârlâ Piu Piâ*o - Arory !Àrsilii 7 - A tùn ét{ile {Âffir $ÊnÉnd f,ântat} - Yann T-Éstri a» I - fmôur ffi. È0i - HkhÊi It lrtre§: I - RsnÊ âffi fioi ette nuit -Jâirilfry ll3lldâÿ:] 1û - *mkrToll âttituds {aH Pêlral Ohispoi -}ohnry Halhday:l 11 - S§.mir aæ€ iûi - Daîrf *rillmt

:.: 12-FlruealprHomini5-Bomtr/tiai!.81â5{h6la--st-Beroitdütac l

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É,P&*dtr.*È84!<reMffi ,*4dùr*'.'oior&o.'æ-- tuFry'rh@#rdÈk.fu

. .tud.ÿq6h!Mk*pâtuWndi4iS&

Æ! elY eser qq!d4'!r !!! :

lqurd* ru*, !t4 4ry æ +ry hffihueroiræ'uwræ..w&d.rÿÉ uhryhÉ;ry

khd ü$wt1mkM&rd!@tukd

!*(Jin'?ii.!t'rs,: r::, ..--M: dtudb

ütu.tlMh&kbbÉt k.r@lrd*in'ffi

&n<e: hd&rryili dhd6 rak :

* îlt 3{. cs i

Àte& gsédrùm*ri4rldM&imffi

qwri.tË*Mlipt'. "

Page 14: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

BitTorrent Sync

Une autre approche de la synchroF Si vous êles exlrêmement soucieux de sécurilé el de confidenliolilé, lo sociélé BilTorrenl

propose groluilement un ensemble de logiciels de synchronisolion, lrès simples,

complèlemenl sécurisés, qui ne fonl oppel ù oucun stockoge dons le nuoge.

ous utilisez peut-être un

service de stockage distantqui propose une fonctionde synchronisation de toutou partie des fichiers : Drop-

box, SugarSync, SkyDrive, GoogleDrive... ilyen a de nombreux autres !

Avecces services, le ou les dossiers syn-

chronisés entre plusieurs Macou entre

un Mac et un iPad par exemple, sont« répliqués » sur des serveurs sur les-

quels vous n'avez aucune maîtrise. ll

est possible d'user d'approches alter-

naüves. llune d'entre elles consiste à

créervotre propre cloud. Je fais moi-mêmecela avecle logicielTonido. ll mepermet d'avoirde façon simple et sécu-

risée accès à mon Mac via lnterne! de-

puis mon iPad ou mon iPhone. Mais le

mécanisme spécifi que de synchronisa-

tion d'un dossier relève chezTonido de

lbffre payante car elle occupe de l'es-

pace disque surles serveurs du service.

BitTorrent propose un système diffé-rent basé sur des technologies de

transfert de données décentralisé, ditpoint à point (P2P). Même si ce proto-

cole est utilisé pour distribuer illégale-

ment des æuvres vidéo sur lnterneq il

est surtout mis en æuvre par les mil-

lions d'entreprises de par le mondepour déplacer des fichiers en toute lé-

galité. Et, plus il s'agit de gios fichiers,

plus le protocole BitTorrentest efficace

et inégalé. BitTorrent Sync ne fonc-tionne pas comme un client BitTorrent,

mais il met en æuvre ceftaines de ces

technologies.

Dans ce modèle, la liaison entre appa-

reils synchronisés est directe. La seule

contrainte étant bien entendu que ces

appareils soient sous tension. Vous

pouvez synchroniser autant de dos-

siers que vous voulez, pour un volume

de données non limité... que par l'es-

pace disponible sur vos appareils. Le

protocole Torrent étant ce qu'il est, les

grosfichiers ne lui font pas peur !

Les données ne sont stockées (saufcas

très particuliers) sur aucun serveur in-

termédiaire. Bien entendu, ellestransi-

tent parquanüté de machines qui se

trouvent sur le « chemin », mais elles

sonttotalement chiffrées selon le mo-

dèle 256-bitsAES et ilya peu de risque

de captaüon et de lecture.

Urur svrucuRonrsATroN cHTFFRÉE

La mise en æuvre de BitTorrent Sync

estsimple. ll suffit de l'installersurcha-

cune des plateformes à synchronisen ll

y a des versions OS X Windows, Linux,

iOS etAndroid. Toutes les combinai-sonssont possibles. ll esttoutàfait pos-

sible de synchroniser un iPad et un

sma rtphone And roid via BitTo rrentSync. Prenons l'exemple entre un Mac

et un iPad... Sur le Mac, vous avez ins-

tallé BitTorrent Sync (depuis le site de

BitTorrent) et sur l'iPad aussi (depuis

lApp Store officielle bien sûr). Sur le

Mac, le logiciels'installe en barre de

menus et se présente ff comme la

plupart des outils de synchronisation

style Dropbox. Dans l'interface de Bit-

Torrent Sync, vous indiquez à BitTor-

rent Sync quels dossiers sont en syn-

chronisation §§ . BitTorrent Sync va

PRIX: Gratuit

CONtlG. : Multiplateforme

Éorrun: BitTorrent

htt p ll a k. b i ft a re ntm n /e xp a i n e nts/sy n c.htn I

ItlacAppStae

* Très simple à utiliser (en français sur

0S X) et'fôtalenrent gratuit; chiffrement

de bout en bout; adapté à la synchroni-

sation de gros fichiers; disponible sur

Mac, sur Windows, sur i0S...

- Un peu contraignant soLs i0S, du

moins sous iOS 6.x.

produire pour chacun des dossiers un

« secret », une longue suite de signes

quiconsütue la clé de chiffrement, et

contient les éléments pour que les ap-

pareils puissent se retrouvervia lnter-

net. Si les appareils sont sur le même

réseau local, BitTorrent n'utilise évi-

demment pas lnternet pour la syn-

chronisation. Ensuite sur l'appareil à

synchroniser, il suffit de recopier le se-

cret ou si Cest un smartphone, de pho-

tographier le QR code produit par Bit-

TorrentSync. La configuration seË au-

'tomaüque. Dès lors, les appareils sont

synchronisés. ll est possible d'userd'une synchronisation unidirection-

nelle (par exemple, une suppression

de fi chiers sur iPad n'aura pas d'impact

sur le dossiersource).

Sur un appareil iOS, BitTorrentSync §Ipermet de faire un Quicklook ou de

dispatcher lesfichiers vers d'autres ap-

plications installées. ll existe aussi une

fonction particulière de transfert des

photos d'un iPhone/iPâd vers un autre

appareil, fonction équivalente au Flux

de photod'iCloud.

fl noterqu'avec des appareils iO$ ilyaune contrainte regrettable liée à la ma-

nière dont iOS gère le multitâche, du

moins jusquâ la version 6.x. llapplica-

tion BitTorrent Synè doit rester en

avant-plan durant tout le temps de la

synchronisation, sinon cette dernière

est interrompue après quelques se-

condes- même si l'application n'est

pasfermée. Dans iOS 7, le mulütâche

est profondément modifié; il se peut

donc que cette contrainte disparaisse

mais ilfaudra sans doute que BitTor-

rent Sync iOS soit adapté en consé-

quence.

BitTorrent Syncfonctionne bien et il est

vraiment très simple à utiliser (il faut

tout de même comprendre ce que si-

gnifie synchronisation !). ll mérite que

vous letestiez ! I Bernard Le Du

l"sE*,ii&üÀ prapns dr BitTrrrent Sync

0.û Ka/s en rhargernent, 0.0 Kc/s en tÉlÉchargementMettre la synchronisation Èfl pârrse

Ouvrir EitTorrent Sync...

Envryer dEs com.memtaires,{etiqer I'archivage de dÉhagage

Quiltrr EitTerrent Sync *Q

t7 | Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013

Page 15: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

* NOUVEAUX PRODUIÏS -

0penOffice Draw 4.0

Un outil de dessin de qualité

à (re)découvrir!)> Plus simple d'ulilisoTion que lnkScope, Drow esl une opplicoïion de dessin vecloriel

inTégrée ù lo suile Open0ffice. Mois elle mériTe lorgemenT une prise en moin ù elle seule!

tion qui dispose d'un outil de création .

de blocs de texte, mais aussi de trèsnombreux outils de dessin, et reprend

l'ensemble des commandes de mise

en forme de têxte de Writer (le traite-ment de texte de la suite).

DhaonD, uH otnl DE DEssrN

Pour créer le logo de votre associaüon

dans Draw, nul besoin d'être expert du

dessin vectoriel. On utilise lesformesprédéfinies proposées par la barre la-

térale. Dans cette même barre, on

trouve aussi ce qu'ilhut pour régler les

attri buts gra phiques des tracés.

Pour « fabriquer » une forme person-

nalisée, la tâche sera un peu plus déli-

cate. Draw dispose bien d'un ensem-

ble dbuüls de dessin vectoriel, regrou-

pés sous l'icône Courbes, mais atten-

PIIL Grattiitl

COllFlG.: lntel ;,0S X 104+

ÉDIffiUR: Àpacne Software Foundation

wwwopenoffiæ..0ür

* llintégration à la suite Open0ffice;

la bibliothèque graphique; la gratuité.

- La lôDrdeur d'édition des formes

vectorielles, la qestion des couches;

pas de chaînage de blocs; pas

d'habillage des images par le texte...

tion, aucun d'entre eux nèst réelle-mentfacile à utiliser pourun débutant.

En pratique, le seul outil exploitable est

l'outl Ligne à moinlevée qui permet de

tracer librement une forme quel-conque. Mais une fois le tracé fait, il

fuudra encore le corrigeren éditantses

points d'ancrage et là, lhffaire se corse

puisqu'il faut faire appel à deux ouüls

supplémentaires II. En revanche, si

vous avez déjà un peüt peu d'expé-rience avec les ouüls vectoriels, vous

découvrirez que Draw permet de créer

toutes sortes de graphismes et même

de vectoriser un te),tepout ensuite, le

déformer et le personnaliser

PnffiM$rNpleiÀ défaut d'avoir Pages ou Word, Draw

se prête à quelques travaux de mise

lorsque lessuitescommer-

ciales iWorkdiApple et Mi-

crosoft Office ne regrou-pent que traitement detexte, tableuret logiciel de

présentation, les suites open source

OpenOffice et Libre Office intègrent

en plus un logiciel de dessin nomméDraw (et d'autres choses encorecomme une base de données).

Cette applicaüon offre desfonctions si-

milaires à celles de soluüons commer-

cialestellesque iDraw, Artboard ou en-

core EasyDraw. Et comme de plus elle

estgratuite, Cest une solution à envisa-

ger avant d'aller dépenser une ving-

taine dêuros ou bien plus pour une des

applications citées plus haut.

À l'instar des produits commerciauxconcurrents, Draw est une applicationpolyvalente: mises en pages combi-nant textes, images et éléments gra-

phiques, création de schémas et dbr-ganigrammes, conception d'un logo...

Cest dans les cordes de cette applica-

à ruh l* d.&n«.xe)

; ugmbrseùr : &ubür :

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liàru(êI-: il w .l'j

-id;jii:. ;r :-;*i;{* ilSM.dânqle Sryledextûm§:&.odi !: nr 1'

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O. .s_: @ 5%

*l§ | Vous et Votre Mac'No94 " Novembre 2013

Page 16: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

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Styie dangle Stfle d'exltémilé

n klrlon et râille-

Mtlê ên 9e. C6r.&s Liqres & tdè

t +Git 'i i-'e--'G's-.*'E-Ç',k'li/ Lgae (4-+-J'+-:, 4.8s I 6.7û :::: 3.05 x 2.60 ' DiaF t I I trMiæ !n pry) slalcard ,r Û----- O 59%

en page Wë . Même s'il s'avère assez li-

mité. ll ne gère pas le chaînage de

blocs qui permet de faire courir un

texte sur plusieurs colonnes ou de le

répartir sur plusieurs pages. ll ne gère

pas non plus l'habillage d'une formegraphique par du texte. On peut envi-

sager d'utiliser Draw pour créer un

flyer; un carton d'invitaüon, une cade

de visite ou une affiche, mais il n'est

pasfait pour une lettre d'information

de plusieurs pages.

BusurscRnpHnusDraw dispose de quelques fonctions

supplémentaires qui le démarquent

de ses concurrents. On trouve ainsi

dans la barre dbutils supérieure, lbuül

Diagramme qui permet de créer un

graphique de données sans passer par

le tableurCalc. Pour ceux quiont be-

soin de dessinerdesschémat Drawof-

fre également des outils situés dans la

barre inférieure qui permettent de

créer toutes softes dbrganigrammes.

ll s'agit en fait d'une collecüon de

formes de base ainsi que des connec-

teurs ffi#, mais ces derniers sont plus

que de simples traits de liaisons et ils

suivent les déplacements des élé-

ments qu'ils connectent, de quoi peau-

finer 1'agencement d'un organi-gramme sans avoir à se soucier de la

posiüon des connecteurs.

ÿil a de bons outils, Draw souffre aussi

de quelques défauts, parfois irritants.

Le premierest son système de couches

vraimenttrès mal ficelé.

Qurtours oÉrnurs

À [heure oùr le moindre logiciel de des-

sin vectoriel dispose d'un système de

calques qui permet de gérer et de vi-

sualiser la superposition dbbjets dans

un document, qràw uülise des

couches qui ne sont accessibles par

des onglets situés dans la partie infé-

rieure de la fenêtre du document etqui, contrairement aux calques des

applications concurrentes, ne peu-

vent être permutées.

Le second gros défaut de Draw-etdes autres applications de la suiteOpenOffice-est la mulüplicaüon des

barres {butils. Malgré l' i ntroducüon

Oe ta noJüêtte-Oarre latérale, l'applica-

üon affiche deux barres d'outils dans

la parrie supérieure de sa fenêtre, plus

une barre dbuüls en bas de lécran. Du

coup, de nombreux ouùils se retrou-

vent à la fois dans la barre latérale et

dans l'une des barres horizontales, ce

qui n'est pas pour simplifier la vie de

l'uülisateur débutant. Heureusement,

tout ceci est configurable et on peut

regrouper les barres d'outils dans le

haut de la page, et choisir les outils qui

s y affichent.

Exponr n pmrnoE STMPLFÉ

Grâce à l'intégraüon d'OpenOffice, le

partage et l'export de documentscréés avec Draw sont fort simples. S'il

s'agit de travailler dans les autres appli-

cations de la suite, un simple copier-. coller suffit pour placer le logo que

vous avez créé avec Draw dans un do-

cument Writer ou lmpress. Pour profi-

ter des liens dynamiques entre les ap-

plications, on exploite la commande

Colloge spéciol... Ce qui permet de ré-

éditer l'objet Draw à partir du docu-

ment hôte f' :: .

Rien n'empêche non plus d'adopter

Drawcomme solution dedessin vectoriel, tout en uülis-ant Pages ou Wordpour le traitement detexte ou la mise

en page. Da ns ce cas, on se sert des

fonctions d'export du menu Fichier

. pour obtenir des fi chiers aux formats

PDF, SVG, ou dans un format bitmap(Jpeg, Tift PNG...), fichiers aisément in-

tégrables à un autre document.

Malgré quelques latunes et défauts(absence de chaînage et d'habillage,

gestion des couches malfichue...),Draw est une application complète et

polyvalente, et son intégration dans la

suite OpenOffice en fait une solution

de choix pour la réalisation de petites

mises en page ou la création de gra-

phismes simples. À condition toutefois

de ne pas être un parfait débutantdansle domaine car lesoutils de dessin

de courbes de Béziers ne sont pas très

simples à manier, et avec la mulüplica-

üon des barresdbutilg il n'est pastou-

jours facile de trouver lbutil dont on a

besoin. I Mathieu Lavant

in'*-E.'o "iil \?*s ,,r..È-# @ 4 ra, .

a,iâ! . 18 " û.1!^ ====:= =-=:rd;.ââÂ'.I 6., 5 , { I 2 ' 1 ' 1 2 j 1 ,t è , 1 I 3 t0 11,12,11 1!

côndnenffi.ibh rd tuBe gB,i&. ÿi,re &cil,§].æsi !€1 nibn dbM *uEiêi. PmiËtinsidlrr:Es3 v!æ les læddictunr. ftl@c ssi, 6lÈlpt ih end 1jb.F r!ae, $iryil!îælsiqH ryü. Aliqw dticb dqib!§ nl$ tr:lis sÀecltu- lian iFmisltrsit elt.esEhrâdittlk8 dt l{ q1ff É}st, ù[s qd dirisi4Isa v.liçulâ 5l Mqbtr\u1la iæët 91e{4 sjm d :ô&ls hm in ÿsandis mq ü su§.ipi! ryiâ. s*§pedi&eget k iRiâ dili. &æli$ aJush sld tryis slliddin .mrcr

&û:6ry@tuj

@ôE !@r d. (dc

M{dlFsffinltri6 s, ui meis do boræ! d. Proi. i[ end Puru i8!d]€1, kuk rsrcs.!1Npro*o Nllrêlrb@,§situtuppoÈIdid, !ch@1dq§6m.Mæs&bE ls É &qa! F{s!, il,s diæ ulricis ne, {É æi& ryrâ fli ôÈ e ,ilÉ,Grirq* no* iiiM& lture.Aliqsm iisdum ls no. ÿelt io!ry&i ffidse&il. C@bitrril ame iBËdlt 1æ, â. 1@ Fû. Meiâ j1Biis 6 Ed6 ,trna:is d{!M. tk@6 id.§ss lç*s !ûeEs ris odto. rbilM uE w!fu n@, kndridr id q§. Næ $lc*edtok nib! ui rhorst. Xsn û üæû r@dw!, i*odi {isi al !lsd6 [email protected] Jt M tlsps 1eq !§ risnê siil. Ii d Er9§ ôæ. &is ffi ,e de- P§â#llsænEllis lsorcet æismad. D6e cnu niÿ odir. â podib. ryue fenns$ü ac' Ëtum d

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!9 | Vous et Votre Mac * No94. Novembre 2013

Page 17: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

* NOUVEAUX PRODUITS *

ToyViewer 5.3.1

Une excellente application qui

mérite un rhabillage complet) Léger el groluil ToyViewer vous oidero ù porcourir efficocemenl le conlenu d'un dossier

de pholos, S'il o élé lotl bien odoplé ù 0S X côlé moleur, son inleffoce, elle, esT encore o Iolroîne. C'esl un peu dommoge, mois ce n'esl pos rédhibitoire,

PRIX: Gratuit

C0NFIG.: lntel; 0S X 10.7+

Éof f un :,tat<estri 0gihara

ItacAppStae

* Le viewer et son mode diaporama;

la gratuité; l'interface en français.

- llatihtce de commande de zoom;

la gestion limitée des fichiers RAW;

le fonctionnement en multi-écrans ;

l'interface désuète et parfois même

déconcertante.

our parcourir le contenud'un dossier de photos, onpeut utiliser QuickLook (la

fonction Coup d'æil) que

vous connaissez bien.Mais elle a aussi ses limites et si oncherche une approche plus conforta-ble, on peut s'en remettre à son cata-

logueur favori, ce qui peut être assez

lourd, ou demander le service à Toy-

Viewer, qui affichera les photos mais

servira aussi à des retouches au be-

soin.

J'avais déjà présenté ToyVlewerdans... le numéro 25 de WMac ! Six

ans donc, et l'applicaüon de Takeshi

Ogihara ne semble pas avoir beau-coup changé. C'est vrai au niveau de

son interface mais elle a gagnéquelques nouvelles fonclions et c'est

surtout sous le capot qu'elle a évolué

pour s'adapter au changement deprocesseur, au mode 64 bits et auxnouvelles versions d'OS X.

DhgonD, ur,roffiL DE DEsstN

Au déma rrage ToyViewer n'affi cherien, hormis sa barre de menus. C'est

assez déconcertant à llheure où lamoindreapplicaüon affiche au moins

un écran d'accueilou un dialogue. llfaut donc en passer par le menu Fi-

chier pour accéder aux principales

commandes de lâpplication.

On se doute alors qu'ilfrut demanderPo rcou rir u n dossie r d' i m a g es... Toy-

Viewer demande d'abord de sélec-

tionner un dossie4 puis il affiche un

contrôleur doté d'un bouton Lecfure

ffiH quisert alors à lancer un diapo-rama en mode plein écran.

Par défaut le diaporama démarre en

;({ ri{l I l} li»i'*+'.--J r j L-'

i- I llkde âlêâtsirsr'

S r.xa ttre Ottrer Sc.oe*

S tte *nionutirn fôr Trsrsililrî

i-l ü*ntering ths Pair knâgieâ

mode automatique. Mais vous pou-

vez à tous moments reprendre la

main à lhide de la souris, du clavier ou

du trackpad. Si on utilise la souris, on

remarque qu'en suivolant le bas de

l'image, un contrôleur apparaît en

surimposition qui permet de mar-quer le cliché, de quitter [e diaporama

ou dbuvrir I'image sélectionnée. ffiMais revenons un instant sur lecontrôleur. Comme on s'en aperçoittrès vite, celui-ci disparaît lorsqu'onlance le diaporama - à moins de dés-

activer le mode plein écran ou d'utili-ser deux écrans. C'est dommage car

ce panneau propose de nombreux ré-

glages utiles que l'on affiche en cli-quant sur l'icône d'engrenage en bas

à droite du panneau. lly a là de quoi

activer ou désactiver le mode plein

20 | Vous et Votre Mac. N"94. Novembre 2013

Page 18: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

écran, régler la temporisation du dia-

porama... À gauche de l'icône d'en-grenage, une liste d'options qui per-

met de choisir le sens de défilement

du diaporama et le nombre d'images

affichées par écran (une ou deux

images). Enfin, on découvre que les

boutons d'avance et de retour fapide

servent à visualiser les images quatre

par quatre, Cest idéal pour parcourir

rapidement un gros dossier de pho-

tos. Mais ce n'est pas tout. La com-

mande Porcourir un dossierd'images... permet aussi de visualiser

le contenu d'un paquet (une applica-

tion, par exemple) pour inspecter ses

ressou rces gra phiques et, par exem-

ple, récupérer son icône. Et si on sou-

haite visiter le contenu d'une archive

d'images au format Zip, vous utilise-

rez la commande Porcourir unfichierdhrchive... du même menu Fichrer.

PnmusrruplcePour ceux qui ne disposent d'aucune

application dédiée mais souhaitent ef-

fectuer quelques correcüonsd'images, ToyViewer fait aussi fonc-

üon d'éditeur bitmap et propose un

ensemble de commandes detransfor-

mation (Échelle, Rotaüon, Miroir...)

dans le menu Opérations et de correc-

tion (Lu mi nosité/Contraste, Satu ra-

üon Balance des coùleurs...) dans le

menu Effets. En praüque, on utiliseplutôt le panneau Qutils qui permet

un accès direct à l'ensemble de ces

commandes et affiche leurs réglages

ffi . Les interfu ces des commandes de

léditeur sont un peu austères, et peu-

vent décourager quand on n'a aucune

expérience dans le domaine. Mais l'in-

térêt icigst surtout la manière dontToyViewer gèie les étapes de correc-

tion. Chaque fois que lbn applique un

réglage ou unetransformation, l'appli-

caüon génère une copiede l'lmage et

l'affiche au premier plan. Grâce au

menu Fenêtre qui liste les différentes

copies detravail, on peut aisément re-

venirà telle ou telle étape ff§ sans

avoir à jouer de I a commande Ann uler

ou exploiter un panneau d'historiquepas toujours très simple à compren-

dre.

Àounouumrc?Avec son interface fortement datée,

ToyViewerfait un peu figure de dino-

saure, en particuliersi on le compare

aux applications plus récentescomme Fotor. Mais, comme je l'ai ditau début de l'article, sous le capottout a été refuit pourfonctionneravec

les versions les plus récentes d'OS X. ll

lui manque donc un bon lifting pour

afficher une interfuce plus conviviale

ce qui simplifierait de beaucoup son

utilisaüon.

ToyViewer souffre par ailleurs dequelques autres défauts qu'il vautmieux connaître avant d'installer l'ap-

plicaüon. C'est d'abord la mauvaise

prise en charge des fichiers RAW Si

l'application est capable d'ouvrir ce

ÿpe de fichiers, elle n'est clairementpas faite pour les décompresser et les

. afficher à la volée dans le cadre d'un

diaporama. Le second défaut de Toy-

Viewer est l'absence de zoom, ce qui

est un peu gênant lorsqubn manipule

des images de grandes tailles. Le seul

réglage dont on dispose est un menu

local situé en bas à droite de la fenêtre

du document. Toutefois, si on dispose

d'un trackpad, on peut se servir des

gestes Pincer et Écarter. Notez enfinque ToyViewer n'apprécie pas le

mode plein écran lorsqubn travaille

avec un second écran - un problème

qui pourraittrouver une solutiondans le prochain OSX Mavericla.

Au rang des avantages, il y a tout lereste, et la gratuité et la légèreté de

l'application. ToyViewer est à mon

avis une application à garder dans vo-

tre trousse à outils. I Mathieu lavant

ô21 i Vous et Votre Mac. No94 " Novembre 2013

Page 19: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

* NOUVEAUX PRODUITS -

@ E ueyooaro et rypezptrone WClaviersGtsouris)virtuels Ëmlftffiu*il.^,lnsouris/trackpad Bluetooth (avec les

) sivous ovez deux Moc, un iMoc er un MocBooK ptus un ipod ou un iphone ou tes l3ffi:ii|ifü "'stèmesquire

deux, ces deux petils ulilitoires OS X peuvenl vous rendre de gronds el petits services. - Moins d'options que Tvpe2Phone'

e vous ai déjà parlé à

quelques reprisesde

l'utilitaire Type2-Phone conçu par ledéveloppeurd'excel-

lentes applications de re-cherche comme HoudahSpotou Tembo et d'un logicieldegéolocalisaüon des photos. Ré-

cemment j'aidécouvert un au-

tre ouü|, LKeyboard, qui existe

depuis 2011 !J'aivoulu les com-paren En fait si à la base ils fonttous les deux la même chose, ils

le font quelque peu différem-ment et ne rendent pas les

mêmes services forcément.Tous les deux sont livrés en an-glais, mais ce n'est foncière-ment pas gênant leur interface

n'éta nt pas particulièrementdéveloppée.

Poun ms cournolsnlor,§lKeyboard est l'æuvre d'unjeune développeur. llutilitaireest, tout com me Type2Phone,

un émulateur de clavier Blue-

tooth. Cela signifie que vous al-

lez pouvoir utiliservotre unique

clavier (filaire ou Bluetooth peu

importe) en le « partageant »

entre plusieurs Macou appa-reils iOS. Vous allez pouvoir sai-

sir du texte dans une applica-tion lancée survotre portable

ou survotre iPad, à partirdu cla-

vier relié par câble USB ou ju-melé àvotre iMac.

Pour ce faire, il suffit d'appairer

les deux appareils via Bluetoothpuisdechoisirdans le menu 1(dans la barre des menus E,sur quelle machine vous comp-

tezécrire.ll n'ya aucun logicielà

installer sur les Mac ou autresappareils, seulement LK sur le

Mac auquel le clavier est physi-

quement relié (par câble ouBluetooth). [appairage est sim-ple (procédure standard OS X)

et par la suite la connexion/dé-connexion n'a jamais posé deproblème. Pourma part, j'aifait

mestests avec un Mac minietun iPad mini (et un iPhone 4aussi). À souligner qu'en plus

des appareils iOS, lKeyboardsupporte les tablettes Android,

les PC sous Windows ou Linu4

des consoles de jeux, lAppleTVet d'autres « smarts » TV... En

fait tous appareils ou systèmes

compatibles avec la spécifica-

tioçr HID (Human lnterface De-

vice).

Plutôt que d'en passer par lemenu, on pouna définirun rac-

courciclavier EI pour jongler

de lbrdinateur à la tablette ou

de lbrdinateurau portable, ou

en définir un spécifique pourchaque appareildans lécran de

configuration E de ce dernien

lKeymo*nn cÈnE m souRrs

ET t§ rRACKp,q§ &L'§§t

Vous pouvez parhitement envi-

sager d'acheter un Mac mini« nu » et d'utiliser le clavier du

Macbook pour le piloter. llestmême possible d'utiliser le

trackpad du portable commesouris virtuelle du Mac mini !

Car en plus du clavieç quand on

opère entre deux plateformespilotablesà la souris, lKeyboardgère une même souris/track-pad pour les deux E, toujoursvia Bluetooth (la souris, elle,peut être filaire, ça n'a rien à

voir). Toutefois, pour Ie track-pad, les gestes spécifiques(swipe...) ne sont pas pris en

charge, seulement la gestion du

curseurdu texte lêst.

J'aiaussi noté, puisque j'utiliseplusieurs langues, qu'il n'y avait

aucun problème pourgérer des

« claviers » différents, le fran.

çais, l'anglais mais aussi l'arabe,

par exemple. ll fuut juste s'assu-

rer de la concordance entre la

langue du clavier uülisé sur le

Mac et la langue du clavier du

device contrôlé. Enfin, 1-Key-

board salt contrôler la lumino-sité de lécran ([FU et [F2])ou le

volume du son de mon l'iPad([F10], IF11] et [F12]).Je n'ai rencontré qu'un seulmenu problème : il fr utsemble-t-il passer systématiquemeniipar la combinaison de touche

[cmd][esc] pour quitter un ap-,pareil et non par le menu De-

vice > Disconnect qui fait alorsquitter inopinément lKey-board, ce qui n'est pasvraiment

ce que lbn souhaite. Un bogue

qui sera sans doute corrigé rapi-

dement.

U ne version dévaluation com-

plète de LKeyboard est disponi-

ble sur le site du développeur.Elle est limitée à deux jours, ce

qui est amplement suffisantpourse rendre compte que çafonctionnetrès bien.

Tvpr2 PnoNe, Pu.Js PRATNoU§

AVEC I§§ IPPAREIIS O§Le principe de Type2Phone est

similaire si ce n'est que sonchamp dhpplication se limiteaux appareils iOS que l'oncontrôle depuis le Mac: iPad,

iPhone et Apple TV (janvier2013 +). Par ailleurs, il ne gère

pas la souris-êt pourcause,iOS ne connaît pas cette bes-

tiole. En revanche, comme sur

iPad, nombre déditeurs et trai-tements de texte supportent

Toggledevice/desktop fl :sG)

@Start 1(eyb,oard at login

Use Cmd+Ësc to exir any device

i-t-r"*ür"r* f @

LituDmiticlly €oni*l upôn ,aunch

gAlhôa§ally r&onnet on **boârd Input

E ÂsbmBtkrlly rRonr«t on wlk€ frcm sl*p. lfronned€d at slêêp tlme

-'-'..'-- --: -'---^-'^-

6Di:conna« whar seat to ba(kgrcund

gDis(onned àft$ 5 minutes of idle time

i -i !§dêwindow wh.n !€nt to ba.kground

g Per-device kêyb@rd lapuB

(n*n dêücea:

I Folwd unmeprd lcyboard shoftu§ (adBEed §sê6)

t",t ,ôÈû bâ&l6paê ând delüê (rêlsant sly & non-los deü(es)

a I usê sll Ê1, f2, etc, as rtmdàrd tundion ke§ (.elssot only to no.-OS dêvi{êr)

rSêlÈ(i è ( nç'? de!.(ê lo rrôr E,,e {r (l aa, L, -fgr,a t,-n:}r

*22 I Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013

Page 20: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

PRIX: 450€ C0tlFlG.: 10.6.6+

Égmeun: Houdah Software

www. hou d a hcom /ty peZ P h o n e

Mac App Store

* La personnalisation poussée des

préférences pour chaque appareil

appairé; le support ducopier-coller de

texte et de la dictée de Mountain Lion;

l'interface utilisateun

- Pa rapport à mes besoins et face à

lKeyboard, je ne vois pas trop...

une ou plusieurs lignes de claviervir-tuel supplémentaires, il serait intéres-

sant que Type2Phone puisse tirerparti du trackpad d'un MacBook ou

du MagicTrackpad, pour que l'onn'ait plus à « porter » le bras vers lâp-pareil pour « taper » sur les icônes.

Mais ce n'est peut-être tout simple-ment pas possible.

Type2Phone est une applicationcomplètequine place aucun menucomplémentaire dans la barre des

menus, mais qui propose de configu-

rer plusieurs raccourcis §l 1un par

lKeyboard, celle d'OS X.

Le développeur de Type2Phone a fuit

tout un travail au niveau du supportdes claviers de langues étrangèresqueje n'aijamaistrès bien compris... Car

j'ai toujours pu utiliser avec succès par

Ie passé Type2Phone en thaï bienavant qu'il ne le supporte expressé-

ment. Età l'usage, je n'aipas remarqué

de différence, en thaidu moins, entre

1 Keyboard et Type2Phone.

Plus intéressante est l'interhce de l'application. LKeyboard n'en a aucune,

mais Type2Phone en a une qui

consiste en une petitefenêtre dans la-

quelle, selon différentes modalités*1, peutou non apparaître letexteencours de frappe. Ce qui est bien pra-

tique puisque l'on peut resterface à

son Mag sans avoir à regarder lécran

de l'iPad ou de l'iPhone. llya même un

mode offrant une drôle d'animation...

Mieux encore, on a la possibilité d'en-

voyerdu texte du Macvers.l'iPad sans

i vous écoutez de Ia mu-

sique etdes chansont et re-

gardez des films depuis vo-

tre Mac, connecté à divers

dispositifs (casque décoüted'entrée de gamme ou de haut degamme, simples enceintes, ou encore

système Hi-Fi de grande qualité..,) il

existe quelques outils quitentent de ti-rer le meilleurson possible descircons-

tances. Hearest l'un d'eux. Ce n'est pas

un nouveau produit (2008), et il névo-

lue quàtrès peüts pag mais ilestsursa

niche ety prospère.

Hear permet de tout paramétre[ avec

un grand souci du détail, tout l'audio

qui sort du Mac pour en tirer le maxi-

mum en fonction du dispositif auquel

lbrdinateur est connecté. ll offre éga-

lement nombre d'effets, d'ambiance,

de spatialisaüon 3D... pour personna-

liser le rendu. Bien entendu, Hear ne

remplacera pas un hardware dédiémais pour quelques euros, il peut opti-miser la qualité sonore de façon signi-

fi cative. Pour ce faire, Hear déploie,

PRIX: enviiônl5€ÉÙfeun : Prosoft tngineering

www.p ns lfte n g.m m/p n d u ctÿh e a r.ph p

* Un ingénieur du son à votre

service; pléthores de profils disponibles,

module de brainwaves - tn anglals.

sur pas moins de treize onglets, toute

une batterie de réglages. Et bien que

ce soit en anglais, il suffit de faire des

essais pour savoir immédiatement,

l'impact du logiciel sur le son.

Quelqu'un qui s'y connaît bien et pos-

sède lbreille fine pourra ürer de toutcela des profils « cuisinés aux peüts oi-

grions ». Je me suis rabattu sur la ky-

rielle de profils déjà disponibles dans

l'application. Et je me suis amusé avec.

Et j'y ai trouvé de quoi transformer la

musique que j'écoute. Hearest un pe-

tit utilitaire très ciblé, certes pas indis-

pensable, mais_vos oreillesvous dirontsans doute merci.I Bernad Le Du

,

Hear

Ecoutez le meilleurson

devotre Mac

) Heor vous propose des oulils, des régloges et des effels,

pour sublimer le son qui soil de volre ordinoleur.

appareil) pour « sauter » d'un appa-

reil à un autre directement. Dans les

dernières versions, la personnalisa-

tion des préférences permet, comme

dans LKeyboard, l'activation automa-

tique d'une langue pour chacun des

appareils appairés.

Uu ourt ptus <« TEcHNTQUE »Type2Phone supporte aussi un plus

grand nombre de touches spécialespourpiloterl'iPad ou l'iPhone. En plus

de la luminosité et du volume,Type2Phone connaît la touche IF3]pour simuler le bouton d'allumage, la

touche [F4] pour le bouton central(accueil), la touche [F6] pour émulerIe déverrouillage de l'appareil, et les

touches [F7], [F8] et [F9] pourcontrô-

ler Ia lecture musicale.

llappairage des appareils suit lamême procédure standard que pour

avoir à lefrapper ! La première solu-

tion consiste à seulement à copier du

texte exista nt et à de ma nder Paste

dans le menu de Type2Phone. Le

contenu du presse-papiers et envoyé

vers l'autre appareil. Alternativement,

on dictera à haute voix, l'applicationétant compatible avec Ia dictée deMountain Lion et Maverick. Pour les

plus compétentt l'utilisaüon de fonc-

tioni de Type2Phone peut être auto-matisée avec AppleScript. Et l'utilitaire

s'interface par ailleurs avec l'excellent

TextExpander: iOS de Smile Software.

Pour moiqui n'utilise cetype d'outilqu'entre mon Mac et mon iPad,

Type2Phone est mon préféré, et de-puis longtemps. La foncüon dupresse-papiers et le support de la dic-

tée vocale sont deux opüons royalesque n'offre pas LKeyboard.

I Bernard Le Du

s (} I Cone*.rd ,t cdlass# M§d! Ë u.J §horr Tert

fly Sut Ànimation, Rrset Drfaults r

Cl cimr oisptay S

l|23 | Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013

Page 21: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

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26 | Vous et Votre Mac. N"94. Novembre 2013

Page 22: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

TueR plus RIpTDrMENT LEs AppucÀloNsDésormais, quand on appuie deuxfois sur lebou-ton centrol, onfait apparaître /ecarrousel des opplicotions ouvertes. Sur les appareils qui accep-

tenTles gestes pour le multitâche (par exemple

mon iPad mini, mais pas mon iPhone 4), le car-

rousel ÿaffiche sil'on glisse quotre ou cinqdoig§verslehout.Auparavant, le double-clic sur le bouton affichait

simplement le ruban des icônes des applications

ouvertes. lcônes sur lesquelles il fallait encore ap-

puyer pour les faire trembler, avant que de tou-cher la minuscule croix de suppression sur cellequ'on voulaitfermer I

Dans iOS 7 chaque icône est surmontée {une vi-gnette de bonnetoille, présentant l'état de l'ap-plication. ll suffit de tirer une vignettevers le haut,pour la chasser de l'écran et donc la « tuer ».

Si vous vous arrangez bien, il est possible à coup

sÛr de tuer deux apps à la fois, et même trois sur

Afficher l'écran du multitâche puis positionnez deux à

trois viqnettes visibles, à l'aide de deux ou trois doigtstirez-les vers le haut clnme plur les jeter hors del'écran.

un iPad. Pourcela, faites en sorte qu'au moinsdeux à trois écrans soient en partie visibles puis

avec deux ou trois doigts différents, un surchaque vignette, tirez le tout vers le haut. Ça

fonctionne bien entendu aussi bien en affichage

vertical qu'en affichage horizontal.

[* nousolg clcHE uN NrvrÀu

Quand vous affi chez l'applicotion Boussole,vous

ne l'avez peut-être pas remarqué mais, en bas, il

y a deux petits points. Cela révèle l'existenced'une seconde page ! Glissez votre doigt de la

droite vers la gauche pour afficher un niveoulCette application utilise une nouvelle ressource

d' iOS, un inclinomèüre, ressource à laquelle d'au-

tres applications pourront faire appel. Ça peut

avoir des usages intéressants, avec les apps qui

affichentvos efforts sportifs- pour affiner les cal-

culs en fonction d'une pente parexemple.

Prnsorunamu LE CENTnE DE NorlrrcAroNsLe Centre de notificotions estle rideau escamo-

table que vous pouvez dérouler à tout moment,même sur l'écran verrouillé, en tirant sur la « poi-

gnée » centrale en haut de l'écran. Selon votre

appareil, le rideau sero opoque ou tronslucide. Le

contenu affich éestà votre discrétionialertesémises par les applications, vos événements etrappels (aujourd'hui et demain), ou encore les

cours de bourse. ll suffit d'aller d ans Régloges> Centre de notificotions elde basculer l'inter-rupteur des options présentes. Outre les options« générales », vous réglez dans cet écran les noti-fications de façon fine, comme sous OS X, appli-

cation par application. ll est aussi possible d'inter-dire l'qccès qux Centre de notificotions depuisl'écron verrouillé, car les informations quis'ytrouvent (les événements par exemple) peuvent

être confidentielles.

Le Centre de notifications version 7 est structuréen trois onglets ce qui facilite la lectu re des don-

nées, mais il est dommage que, pour fermerchaque zone d'alerte des applications, ilfaille en-

coretenter de viser une minuscule petite croix de

suppression.

Le Centre de notifica-tions est mieux conçu

dans la version 7.

Mais il faut penser

à aller dans Réglagespour affiner le détaildes informationsaffichées

.....TRUE-Ha '14:39 'O

38%Ei

( Centre de notafications Modifier

*alalez l'éarâir ijE iart ën i:is irrilr âlfitlraf

_ : i. : ,-l'::: 'I ,lt-:r:l :. il

Affichage Notifications

Affichage du jour

Résumé d'aujourd

2T I Vous et Votre Mac. N"94. Novembre 2013

Page 23: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

- DOSSIER I ASTUCES r0S 7 - '

ks mrnft:s Au B0rT r[, Dorgr

Dans les versions précédentes d'iOS,

changer la moindre option générale

obligeait à passer par l'application Ré-

glages et ses coscades d écrqns bour-rés de choix. Des utilisateurs en

étaientarrivés àjailbreaker à cause de

cela. Voilà un problème auquelAppleapporte enfin une réponse avec le

Centre de contrôle disponible à toutmoment, même sur l'écran ver-rouillé. ll suffit de tirer, vers le haut, lapetite poignée centrale qui se trouveen bas de l'écran. Un « rideau » plus

ou moins translucide, selon que votreappareil supporte les effets gra-phiques ou pas, se déploie proposant

un qssez grand nombre de réglages

de base : l'activation/désactivation de

Wifi et de Bluetooth, le verrouillagede l'orientation de l'écran, le pilotage

basiqued'iTunes... On a même droitàune fonction nouvelle : l'utilisation de

la lompe du flash comme éclairaged'appoint. Des centaines d'applica-tions qui font cela étaient disponibles

sur l'App Store, leurs développeursvont devoi r trouver de nouvel les

idées. Notez aussi une toute nouvelle

icône rappelanT. qu' iOS 7 dispose den fondion Airdrop,j'en reparle dans

un autre passage plus loin.

llest prévu que l'on puisse désactiver

le Centre de contrôle pour ne pas êtredérangé. En effet, nombre d'applica-

tions proposent elles-mêmes un

« glisservers le haut » similaire-çapeut poser problème. De pratique, le

Centre de contrôle peut devenir alors

insupportable ! ll est possible de le

désactiver dans l'application Bé-gloges > Centre de contrôle pour l' en-

semble des applications (il eut été ju-

dicieux de pouvoir le faire, applicationpar application, pour celles qui inter-ceptent le geste). ll est aussi possible

d'interdire l'accès aux Centre de.contrôle depuis l'écran verrouillé.Une autre fonctiônçui était disponi-

ble sur iPad arrive iür iPhone avec iOS

7 : sl iTunes est en fcilTctionnement en

avant comme en àrrière-plan, lopo-chette du titre en ledure s'affiche surl'écran verrouillé et l'on q immédio-tement les contrôles pour naviguerdans la liste de lecture, les pochette

changeant en temps réel.

Oumoor l uvuE ourBArss[Vous n'avez pas manqué de remar-quer le changement typographiqueglobal de l'interface utilisateurd'iOS7.'La principale police esttrès « fine », ce

qui rend I'interface ceftes « enlevée »

et moderne, mais ça complique la vie

des utilisateurs dont la vue n'est pas

excellente. Pour y remédie(,il existedeux régloges. llun impose le redé-marrage de l'appareil, mais je l'ai ef-fectué sur mon iPhone et mon iPad

tant il était évident au bout de deuxminutes que ça ne le ferait pas en

l'état ! ll s'agit de lo mise en « gros »»

systémotique de toutes les polices

utilisées dans l'interface mais aussi les

applications. Cette option se trouvedans Réglages > Générqt > Accessibî

/ité. Basculez l'interrupteur 6ras dans

le second cadre de la section Vision.

Dans cette même section, on trouveaussi une option « dynamique » qui

ogrondit les coractères si l'opplico-tion coursnte gère le nouveou for-mot { ofi chage dynamique. I agran-

dissement des caractères n'étaitavant possible que dans quelques ap-

plications d'Apple (Mail, Contacts, Ca-

lendrier, Notes...). On dispose d'uneréglette pour ce faire. Notez l'inter-rupteur Formot dynomique plusgrand quipermet même, si on le sou-

haite, de grossir plus les caractèresdans ces applications-là. Ce réglage

n'impose pas de redémarrage de l'ap-pareil, et peut être modifié à la volée.

JhI LE MAL DE MEN, OUE fiÀIRE?

Sur la plupart des appareils pouvant

recevoir iOS 7, il est possible de choisir

des fonds d'écran dynamiques, ani-

més. Ils offrent un effet de profon-deur et de transparence avec des ob-jets qui se meuùentcomme sur des

calques, en fonction de l'orientation

de l'appareil. Comme dans certaines

cartes postales que j'appréciaisquand j'étais jeune... Parailleurs, un

effet de parallaxe modifie subtile-ment les icônes et les panneaux

lbuch - My life 2

{@ @i2S 7 nous offre enfin un Centre de contrôle accessibte de partout, regroupantles principales fonctions de réqlage que l'on peut activer ou modifier au vol !

b...IFUE"|I 1 r4t4, 1 A §; 97./.J j

( Accessibilité Caractères plus gro§

Fêrmât dynâmique plus grana ()

Les applications prenant encharge le format dynamiques'adapteront à votre taille de

leoture prélérée.

Faire glisser le curseur

AA

,....TnUË-H ; 14t42 -f'S r. 37./o,J_j

(GénOrat Accessibitité

Énoncer la sélection Dds*clivé

Énonciation automatique

Énonsêr automatiquemenl lesaslocôrrectioss el süüûêstions demâiusc*te§,

Caractères plus gros Âctivô

Gras CAugmenter le contraste i:ls.rctivr

Étiquettes A,ctivé/Désâôtivé

AUDITIÔN

iéi;'iiiîi.;f i;in,ii,É; en lras llobale et une lestiondynamiqye de la taille et de la graisse dans les applications adaptées.

Il.€@ (Éied r.q!@

{â ^*É s.ir

6**awr

t3 enh&ffi

§u*,ry c.a.tdùqd

28 I Vous et Votre Mac. No94. Novembre 20i3

Page 24: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

d'alerte selon la manièrê de tenir etd'orienterl'appareil. Hélas, je ne peux

en bénéficier que sur mon iPad mini,

mon iPhone 4 étant privé de cettenouveauté.

Cela di! ils'avère que des utilisateurs

disent avoir le mal de mer à cause de

ces écrans dynamiques et de ces ani-

mations. Si vraiment vous ressentez

un certain « flottemenl»>,la parodelopl us si m ple est d abord de change r le

fond d'écran dynqmique courantpou r u n fond traditionne{ u n e i magequol. llsuffitde se rendre dans lesRé-glages > Fonds d écron et luminositéet de choisir une image pour l'écranverrouillé, pour les écrans d'accueil,ou pour les deux. Sur mon iPad mini,j'aiconservé un effet dynamique surl'écran verrouillé, et j'aichoisi uneimage de même tonalité généralepour les écrans d'applications que jeregarde bien plus souventau cours de

Ia journée.

Pour atténuer l'effet de parallaxe, il y a

une option dan s Régloges > Général> Accessibilité qui permet de limiterles animations permanentes de l'in-tedace.

Mffinsrnr'lcruusÀTrcNMARilÈNEPUNSi sur un très puissant iPhone 55, vous

n'avéz sans doute aucun problèmede gestion des applications ouveftesconcurremment, iOS 7 peut en re-vanche donner un sentiment de len-

teursurun iPhone4, parexemple. Et

puis, il peut y avoir un problème de

consommation d'électricité. I I faut re-

garder du côté de lo nouvelle gestion

de l' actualisation. Jusqu'à mainte-nant seules quelques ÿpes d'applica-

tions et services très précis avaientdes droits suffisants pour accédersans contrainte à des ressources tellesque le modem cellulaire et les puces

Wifi et Bluetooth, ou encore le seruice

de localisation. Ce qui posait pas mal

de problème à certaines applications.

Avec iOS 7, ces limitotions ont soutéet toute s I e s a p p I i cotio n s pe uve nt a c-

céder oux ressources d qduolisotion

en permanence. C'est quelque chose

qu'il est possible de désactiver dans

l'écran des Réglages > Générol > Ac-

tuolisation. Dans ce même écran, onpeut aussi modifier application paropplication l' usage de la localisation

en arrière-plan.

Êrnrs,nfl À LâTRAcE ouitE P[st'ÈrnE?Si vous ne souhaitez pas être trockéen permanence - bien que celapuisse aussi se révéler bien utile, il y a

diverses options que vous pouvezajuster. D'abord dans Réglages>Confidenüolité,tout en bas ilya unesedion Publicite. ll n'est pas possible

detout interdire mais un interrupteurpermet de basculer en mode SuiviPublicitoire limité.Toujours dans la page Réglages> Confidentialité,vous pouvez régler

application par application l'accès ou

non à différents services; on note l'ar-

rivée ici du Partage Bluetooth et du

Micro.f oute application souhaitant

utiliser le microphone de votre appa-

reil doit en demander l'autorisation,la première fois. Vous pouvez revenir

dans cette page pourfaire le point etmodifier les attributions.lly a également des entrées pour/es

réseaux sociouxa uxquels vous êtes

inscrit et que vous avez déclarés surl'appareil.

Tout en haut de cettepagetoujours, il

y a l'option Serurbe dëlocatintion qui

vous amène sur uneÛopieuse page

outre les interruptêurs pour activerou désactiver le service, on peut ainsi

là encore définirfinement les choses

application par application.

Mais ilfaut descendre tout en bas de

cet écran pour tomber s ur Seruices

système qui donne accès à un écran

dans lequel on peut cette fois-ci défi-nir l'état de la localisation par seruices.

À la fin de la liste, ildoityavoirune op-

Tion Lieuxfréquents. Une page s'ou-

vre alors avec un historique de vosfaits etgestes ainsi qu'une carte retra-

.çant vos lieux habituellement fré-quentés. Accessoirement, ces don-nées sonf si vous le souhaitez, à dis-position des services de cartographie

d'Apple pour améliorer Plans. Ni sur

mon iPad mini, ni sur mon iPhone 4,

cette option n'était présentée. Sur

l'iPad cela est dû au fait que l'appareil

n'embarque pas de GPS; l'absence de

cette option devrait se vérifier surnombre d'lPad et iPod touch compa-

Différentes options, dans les Réglages qlobaux ou bien dàhs les applications, comme avec Safari, permettent de géreravec précision le niveau de confidentialité que l'on veut, notamment dans le trackinq de l'appareil au travers desservices de localisation ou du suivi publicitaire.

La fonctionLieul fréquents d'i0S 7vous suit vraiment à la trace !

puces de c0mmunication Wifi ef Bluètodth par exemple. Pour diversesraisons, dont l'économie d'énerqie, on peut réqler le comportement dechaque application.

.....TRUE-Hâ 14:47'3i3€%

( tetour Servicê dê localisâtion

service de localisâion CPsur déterfi iner apprsximâtivemeit vôtaepôsitiôn, le seruice dè lssaiisation silie letP§ à une base de donnêesôô,nmunautaire des çmplscôrîêirts de§bôrnes d'atÇès Wi.F; el dts ântennes-rêlaisde tctcphon'c rrobire À prcpos du seryicede læalisatid el de la confidenüalité.--

{*; Appareil ptroro

§ Applestore

E *n,

r.... Trur-H I t*46 .7 a I 36 % f)

{ R+tour ftrblicité

SUM publicitâirc limité

Réihitiâlisêr l'idèntifiànt dê publicîté

En swir pl$

...oc T§t É-H â 1458 { § 1 33 §/o

( Réglæes Sâtari

Ouvdr les liers *ai:s Lrse ***{Bl.--

Hoque,tespop-up C

coNFlrFsrôL,TÉ E-r sÉcu RrrÉ

itepaËsuiYre ()

Bloquer les cookies irr r "

Champ de resherchê intêlligent

Àlêÿtesisiteurebt"auduleux [)En Ëvoir plus sur Safili et lacffiidmüalité..,

tt... TSUE-H ê 14:zl5 -l l, , 36 o .l

Actualisation en anière-plan ()Autorisêu i*s âpplications à âctualiser leureontens sur Wi-Fi ôu cûl?ùlairê ou à utiiieerlê iesice dê lûe*lisatiôn, ên arriàre-plân.0éàâ{:tiver

'es âpplicâtions peul prùlonEêr

l'astônômie de le batterie.

aaIa,5fi

Hèto.i. Uaux trËqrasota ( {ietl,ur Lyon

Lië{lx lrèryrêflt§

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Amé{iar*r ÿfansIE

SnreptrI lli: I i): rl, .;i jt ;à di1* sr{{,'q!n69s {t+tiu}$ ts I S isil}d }ü1t

Lyon, Bl'rône-Aipes, 3Ï BÀ.{B du R*ÊÉ€â smÈ&*mênts èffesslirlL !â§ir§*l§ - :&"... { tsnÊ5 És*§4le§ depùi§ b ,* itrlbl lllS

Üollongee-a*-À,i€fi1-d'6i,Rrrôr... 2fiucPaulMo*trnrchet, effipl*msrt q*ai*!r* iniriâl4srsr fs 1l}.{.i,., ; *§11$§ §sgss§§ {r@ull k l; iÿrl*1 2tT3

29 | Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013

Page 25: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

tibles iOS 7 (en fait ceux qui ne sontpas dotés d'un modem 3G). Pour

l'iPhone 4,je n'ai pas de réponse cer-

taine. Bien qu'intégrant une puce

GPS, aucun des deux modèles que j'ai

pu vérifier ne listait ceüe option. Pour

une raison obscure, il semble qu'Ap-

ple est retiré cette fonction surl'iPhone 4 lors de la bêta 3 d'ios 7. À

défaut de pouvoir l'illustrer moi-même, j'ai emprunté à MacG la copie

d'écran qui présente cette fonction.

Plus spécilque aux sites lnternet, il y a

dans les préférences de Mobile Sofori(application Ré gloges> Sofori) une

option /Vepossuivre, à côté du blo-

cage des cookies et la détection de

sites frauduleux.

RÉmfi s*E Tür.§,* fiÂR r..E ff ERû

Quand on reçoit un appeltélépho-nique alors que l'on écoute, par

exemple, de la musique avec un

casque, une alerte demande ce que

l'on veutfaire... Dans les préférences

d'iOS7 , il est possible de dire une foispourtoutes que I'on veut répondreovec le cosque ou svec le micro de

fopporeil.

Pmrm*grroAirdrop estfantastique mais il est hé-

las limité à l'échange entre appareils

iOS. La fonction d'iOS 7 n'est en rien

compatible avec celle d'OS X, nom-

mée pourtant façon identique. C'est à

!c@mL

* D0SSIER I ASTUCES !0S 7 *

Si t'on pouvait déjà créer des dossiers sous /es versions précédentes d'i05, la version 7 apporte les dossiers

« paginés » qui peuvent contenir de nombreuses pages et applications regroupées. Notez les points en bas des

dossiers qui indiquent le nombre de pages qu'il faut feuilleter en glissant de droite à qauche et inversemenL

tt notez ta place perdue sur un iPad, deux fois plus d'applications pourraient tenir sur une paqe de dossier!

mon avis une belle occasion man- contocts dûment enregistrés ou d'appsetencore. Maiscettefonction

quée d'améliorer l'intégration des même de désactiver temporaire- existe au moins et sera sans doute

deux environ nements. Sans doute ment (ou pas) la fonction. améliorée par la suite.

une idée pour une version 8.0... Je rappelletoutde même en passant

quand nous aurons OS X 10 sur nos §lnVfU:-en mS que pour mettre la main sur une app

Mac? *JR L'APP STæE sans savoir où elle se trouve ou sans

On retrouve Airdrop dons l'écran ll est possible désormais de « suivre n tourner bêtement des pages, ily o lo

Portoge qu'implémente désormais la des opplications vendues sur l'App recherche qui est désormois disponi-

majoritédesapplicationsiOs,avecde Storegrâceà uneListedesouhoits. blesurn'impoftequelécranÜaccueil

nombreusesvariantestoutefois. C'estunmoyenrudimentairedetra- UnglisserdehaÙten.basaucentrede

Mais Airdrop n'est visible qu'à condi- cer l'évolution du prix d'applications l'écran (attention de ne pas accrocher

tion d'avoir un appareil dont les puces que l'on voudrait acheter, si ce prix le rideau du Centre de contrôle) dé-

WifietBluetoothsontcompatibles-il devientintéressant. voile le champ adéquat; même

faut une puce Bluetooth 4. Ne sont quand on ne se rappelle pas exacte-

concernés que les iphone depuis Ie 45 DfS OOStfnS UULTIPAGES ment un nom, on a de grande chance

et les iPad 3 et suivant, l'iPad mini et iOS 7 apporte un service attendu de- de trouver ainsi ce qu'on recherche

les plus récents iPod touch. Dans ce puis longtemps : lo possibilité de re- bien puis vite qu'en naviguant dans

cas, les utilisateurs présents à vos cô- grouper des applications dans des des dossiers. On quitte le champ de

tés, q ui ont un appa reil éga lement dossiercpouvontcompofterde nom- recherche en glissant vers le haut en

compatible et qui n'ont pas désactivé breuses pages.Que ce fut impossible ou tapant sur l'écran.

la fonction Bluetooth, sont listés. dans les précédentes versions du sys- Ce n'est pas officiel, ma is il est possi-

Ma is attention , ce peut être n'im- tème était une cause majeure du7'ori- ble de créer de dossiers dans un dos-

porte qui,dans un bus, dans la rue... breok de mes appa reils, car j'ai tou- sie r. Apple y a pensé mais a a ba n-

Bien entendu, au-delà de l'autorisa- jours en permanence des centaines donné la fonction et on le comprend.

tion accordée ou non au moment de d'applications installées. Recréer une hiérarchie de dossiers est

l'échange,ilfautauparavantpermet- LamanièredontlefaitiOsTn'estpas, nonseulementcontraireàl'esprittre ou pas la détection. Carça peu de- à mon avis, la plus judicieuse: chaque d'iOS, ma is pa s si pratiq ue q u'on

venir très agaçant si on tombe sur un page est petite n'offichont que neuf l'imagine. Au-delà d'un niveau, on re-

m a n iaq ue d'envoi de p hotos... Le applicotions, que de place perdue ! tombe dans le syndrome des hiérar-

mieux est alors d'aller dans le Cenfre Même sur l'écran d'un iPhone. C'est chiestarabiscotées où l'on ne sait plus

de contrôle, detaperl'icôneAirDrop bien dans l'esprit global d'iOS, un sys- où se trouve quoi. Sivous êtes néan-

qui vous proposera de limiter la dé- tème fait pour des utilisateurs qui ne moins intéressé pa r l'opération un

tection de votre appar etl oux seuls vont pas au-delà de quelques dizaines peu acrobatique tout de même, je

retlc§&t

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30 [ Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013

Page 26: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

vous invite à lire l'explication en fran-

çais, avec vidéo, sür le site Mac4Ever(http:l lqoo.qlluYs8Bt). Des utilisa-teurs auraient réussi à le faire et cer-

tains sont même allés à des niveaux

de profondeur de cinq voire neuf sous

dossiers d'après les commentaires.Personnellement, j'ai été incapablede reproduire la manipulation surmon iPhone 4. ll faut être particulière-

ment rapide dans la manæuvre.Après une bonne douzaine detenta-tives, je me suis dit que j'allais « tuer »rnon bouton central.

À noter, juste pour terminer sur les

dossiers, que l'on peut maintenant,enfin, se débonasser de lldpplicationKiosque si on le souhoite, en lalai-sont dispsrqître dans un dossier

lourre-tout.

Pmn poms pnns PorlITs,..iOS 7 abuse des petits pointt si petits

que bien souvent on ne les remarquepas. Par exemple, dans iOS 6, quandon téléchargeait une application sans

l'ouvrir immédiatement, son icôneétait barrée par un bandeau indi-quant qu'il s'agissait d'une nouvelleapp. Ce bandeau n'existe plus. Pour

détecter les apps nouvelles ou mise à

jour mais pas ouverte encore, ifoutregqrder ottentivement devont lenom des applicotions s'il y o un mi-nuscule point bleu (enfin, ça dépend

de la couleur d'arrière-plan).

§wprn,srrurprn!Le glisser depuk lo gauche pour « re-venir en arrière » est désormais une

fonction standard d'iOS 7 pour navi-guer dahs les écrans d'une applica-tion. llfautfaire bien attention de glis-

ser depuis I'extrême bord gouche, enpartant presque sur le cadre qui en-

toure I'écran. Cela évite dutiliser les

flèches ou boutons textuels (qui exis-

tent encore tout de même) pour re-

monter d'un « niveau » dans une ap-plication. C'est particulièrement pra-

tique dans l'application Régtoges qui

fonctionne en cascade, dans Mailaussi ou Safari. Attention, fouteslesapplications sont loin daccepter ac-

tuellement ce gesfe; il faudra qu'elles

soient adaptées pour le prendre en

compte.

Safari Mobile sur iPhone proposeaussi une toute nouvelle manière de« feuilleter » les pages web ouvertetsous lo forme {un Rolodex (un clas-

seur rotatif muni d'un axe central au-

tour duquel on plaçait, du temps degrand-papa, des cartes de visite oudes fiches pratiques), ce qui n'em-pêche pas non plus d'avoir la mêmechose sous forme d'une liste toutebête; pour cela il faut balayer rapide-

ment l'écran vers le haut car cetteliste se trouve oprès lo dernière«fiche »du Rolodex. Et puis, pourfer-

mer un de ces « onglets », pas la peine

de viser la petite croix de suppression

en haut à gauche, glissezjuste I'on-glet horsde l!écran sur lo gauche (un

peu comme on le fait des applicatlons

dans le multitâche, mais avec un glis-

sement horizontal cette fois-ci).

Bme,urponrc'srrcm!Ne vous étonnez pas quand vous de-

mandez à SlRl une recherche surGoo-gle, d'être renvoyé sur Safari... Apple

a simplement remplqcé dans SlRl lemoteur de recherche Google porBing de Microsoft Sivous ne précisez

rien, SlRl recherche via Bing et vouspropose les résu ltats directement.C'est une décision politique et écono-

mique, sur laquelle l'utilisateur n'apas son mot à dire, aucun choix n'esteneffetproposé. Notez qu'en plus

SlRl sait rechercher sur Wikipédio,sivous le luidemandez.

Mml or uowElux DossrËRs

Quand vous ouvrez Mail, l'application

de messagerie électronique d'iOS,

vous ne verrez pas certaines chosesqui peuvent néanmoins s'avérer bienpratiques. Non, on ne peut toujourspas créer soi-même, comme c'estpossible sur Mac, des boîtes intelli-gentes en composant des requêtes.Mais Mobile Moi peut allicher des

0n ne peut toujolrs pas créer des dossiers intelligents plur lrgafiiser ses

e-mails comme sur Mac, mais Mail Mobile propose une batterie de dossiersde tris préproqrammés.

dossierc « intelligents » préprogrom-

més.En standard ily a les VIPet les

Dropeaux. Mais ilyeqa quelques au-

tres : les messoges i}F,n lus,les mes-

sages ove c pièces jdf,tttes, les mes-sages jetés da ns làs Corbeilles detoutes les bofres oux lettres . . .

N'oubliez donc pas detoucher le bou-

ton Modifier en haut à droite del'écran qui liste les comptes ou dans la

barre latérale sur iPad, pour octiverles boîtes sux leltres que vousjugezintéressantes (ou les désactiver). E-

mails non lus et e-mails avec piècesjointes me semblent deux boîtes in-

dispensables à activer.

. Toujours dans Mail Mobile, on a enfin

une fonction toute bête : Tout niar-quer. Dans les boîtesde réception, on

a pour options : Morquer d'un dro-pedu et Mdrquer comme non lus.Mais c'est surtout dans la Corbeilleque je trouve cette fonction vraimentefficace: recevant des tonnes de

spam, je l'utilise en permanencepour

nettoyer d'un coup lo Corbeille.Avant il me fallait cocher chaque e-

mail un par un -bu attendre de lefaire sur mon Mac.

MssÀmrnnuoumour'iOS 7 est capable de mettre de lui-même à jour vos applications sansqu'il nevous demande rien. Cela sem-

ble pratique mais en fait, il faut bien

souvent penser à déconnecter cettefonction. Si vous avez de nombreuses

applications installées, cette mise à

jour pourrait n griller » ropidementvotreforloitdoto. De plus, on n'estja-mais sûr que les mises à jour ne crée-

ront pas plus de problème qu'ellesn'en résoudront (les contrôles affec-

tés parApple ne portent pas sur cela).

On désactive le téléchargement auto-

matique en tâche de fond dans Ré-gloges > iTunes et App Store.V' r' 1' ez

les interrupteurs de la section Iélé-chd rge m e nts o utom qtique s. et bas-

culez-les comme ilvous convient.Pour ma part, disposant en biblio.

BonêB

Q ffi Toute**saoites

0 E w*t"

Q É elo'ru*l

o E SIEDU@6mâil

(f É ictooo

Q*urQ * orapeau;

Q t Non lus

Àou en CG

p $ Piècesiointes

§ Tous les brouiltans

{;î Touelesenvoyés

Q ffi rous les supprimés

Aioltèr unê boîte.,.

Boites

,--tq loutês les oort€s

ü Wmaô

Ë tsLDlHÀl

Ë BLEDU @ Gmail

ü itloird

* VIP

* Df3psaux

O NüË lus

d;) FiàcÈsjôtnte§

Ê-lllij lous les suppnmes

tal$il(§

[êl w*'"

@ er-orxx

§l aleou æ omait

Mkàj§{râl'h&d

iTsês Sbe el Ap Sbre

i RâD.êfildêdfi ilt Appiâ : blduemac.com

§ u*arc

: Musqüe 1|Jff eans vid&s (DC, sdd

A.ii.h.7 t.!§ eôr à.nds iù, re 5!,ç .r 6e i-ÀÉrànrw.i{nts ir,in, sâr.h d.!\3 lrsbjLlô$nlr6&m!5icrêdnreina.s,iari*siisn'ûntreê;1ôlàtuqns srr..rF:*.

@ u*rqu"

I uaas

t hôros d appadt phob @ u*u*

& rBæb @ ore"

@æ* e**! ke cêËr

@ Mi6ês à joür

t!rè.hâ,!* âdr$3n!!,*$c.r lêô û!ÿeNr É.h§t. iÿ ...rrs las !alé.hÿ§âûÉ{§ ir:!!i.ictie.ié: d.).* d rnr.s.ûr.,.i[ÿ Tüer

3l I Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013

Page 27: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

thèque de plusieurs centaines d'appli-

cations, je vérifie les mises à joursur le

Maç, le matin et le soir. Même quand

l'iPlone ou l'iPad me signalent l'exis-

tenpe de mises à jour, je ne les faisqu'gxceptionnellement au vol, çapeut parfaitement attendre que je

rentre à la maison.

QmnmnurrrxsHsÉuuonnsÀrmlvm...Toutes les applications signées Apple

et fournies avec iOS ont été entière-'ment repensées au niveau de l'inter-face et parfois se voient enrichies de

quelques menues fonctions. Au cas

vous n'auriez pastrouvé parvous-

même certaines choses, voiciquelquesclés.

Dans Météo, touchez la te m péroture

pour obtenir plus de détail etfaitesglisser la zone qui donne des inform*üonsheure porheure. Si vous avez ré-

férencé de nombreux lieux, au lieu de

faire défiler les écrans à la recherche

d'un précis, pincez l'écran pour allerde suite sur /q liste des lieux.

DansCqlendrter,sur un iPhone, la vue

pardéfaut est la semoine,etiln'y enapas d'autres (alors que sur iPad on a

les vues Jour, Semaine, Mois et An-

née). Vous pouveztoucher la Loupe

pour obtenir une vue liste (aveclafonction recherche). Et si vous bascu-

lez horizontalement votre iPhone(mais pas l'iPad, c'est dommage),vous obtiendrez une frise du temps :

glissez de gauche ou de droite pourvous déplacer sans fin de trois jours

- DOSSIER I ASTUCES r0S 7 - '

en trois jours.

Dans Messoges,glissez l'écran vers la

gauche: chaque élément d'uneconversation (chaque bulle) sera au-

tomatiq uemen t horodqté.La nouvelle application Apporeilphoto repensée a un truc astucieux

dans sa manche : si vous voulez pren-

dre des pholosen mode rofole,enprenant plusieurs photos en succes-

sion rapide, il suffit d'appuyer et de

maintenir le bo uton de volume +.

Dans les applicationsTéléphone, Fa-

cetime eLMessoges,on peut désor-

mais bloquer des correspondants qui

se lasseront peut-être de vous harce-

ler. ll faut pour cela ne pas ovoir peurd'ajouter I'indéIicat à ses contacts

dans l'une de ces trois applications,puis déroulersa fiche jusqu'en bas

pour trouver /'option Bloquer ce cor-

respondont.

( co*acæ

Efivoyer un rÉessage

Envayer cÉtte fiche

Âiouter âlxx faYoris

Eloq*eE ee csrrespûndant

o,.

vous descendez dans l'écran, vous

avez la possibilitédeCréer une vibro-

tion. Cela vous ouvre un écran videgris pâle sur lequel vous tdpotezcommevous le souhaitez (en mainte-

nant le doigt appuyé un peu plut on a

une sonorité plus longue) tandisqu'au-dessous la vibration se

construit en rythng au fur et ù me-

sure. On peut ensüite la « lire » et bien

sûr l'enregistrer. N'âTênt aucun talent

rythmique ni mudcal, j'ai effacétousmes essais !

Si vous n'avez pas l'oreille fine, vous

pouvez deman der que lo lompe du

Vibrati*r Enregistrer

Enregistrer

flosh clignote pourvous prévenir de

l' orrivée { une notificotion. Ioptionne se trouve pas dans Réglages Sons

mais dans Régloges > Général >Ac-

cessibilité, rubrique Audiüon.

Le mode ditde navigdtion privéedans Safari n'est plus à activer dans les

Réglages. Tant mieux. En fait il suffit

AEffil$ Lcüe. mssâgê

À:alain @

Alain sm*iJïî,.ii*à.,re*tPtrea alalnlhx§;#,;re* r

( netolr Historigæ

æ]'êiq!re*iCréer *n ftfrveâu csÿrtêct

Arorrld à ua cû*tact

§üpprimer dè I'histôrique

Dans Mqil Mobile eT. Messoges,quand on remplit le cham p Destino-

toire, on se voit proposer une liste de

noms qui peut être assez longue donc

peu pratique. Si vous faites attention,vous remarquerez en regard de

chaque nom de correspondant noninscrit dans la liste de vos contads,unpetiti. Si vous tapez dessus, vouspourrez alors créer un nouveaucontact, ajouter l'adresse ou le télé-phone à un contact existant, ou bien

encor e Su pprimer de I' historique le

nom qui nesera plus proposé.

iOS 7 est bien fourni en nouvelles son-

neries, sons d'alerte et vibrations,mais savez-vous que l'on peut aussi

créer ses propres vibrations ! Ouvrez

Régloges > Sons>Sormerrbs. Tout en

haut vous avez l' entrée Wbrotions, allez-y. La rubrique Stondord liste les vi-

brations déjà programmées, mais si

d'ouvrir le navigateur d'onglets (at-

tention ce n'est pas la mênre manipu-

lation sur iPhone et iPad), le bouton

Privée est en bas à gauche.

Vous avez de la famille ou des col-lègues à l'étranger que vous voulez

Mrdifi*r Horlogê§

Bangkokauiornd'h*i

Abu Dhabiæios.d'hri,3 h d6 fioiE

I

at/t84

o _'Y 3

84

,.p.

84

appeler? Afin de ne pas les réveiller,

ouvrez l'application Horloge à l' écran

Horloges oùvous définirez les lieux

importants, et vous noterez qu'enplus d'afficher l' h1ure, le décologe

horaire est clairement indiqué. Et

avez-vous rema rqué que l'icône Hor-loge est dynomrgue et donne effecti-

vement l'heure.

Vous avez par mégarde archivé un e-

mail ? Si vous vous en apercevez de

suite, secouezvotre opporeil pourobtenir le diologue d'onnulotion de

miseenqrchive.Dans P/ans, faites un tour dans les

préférences pour définir votre mode

de déplocement pqr délout.Vousavez le choix entre Conduite etMarche.Selonvotre choix, vous n'ob-

tiendrez évidemment pas le mêmeparcours d'un endroit à un autre.

i32 [ Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013

Page 28: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Ce gui change dans le systèmede synchronisation d'iTunes llJ il

Depuis le début, c'est iTunes qui a servi de passerelle enke les Mac et les appareils. Cela le découvrir: il sert à écnanqeç Oe façon ,or- Çétait logique et simple quand iln'y avait que la musique. Mais avec la multiplication des maire mais c'est parfois tout de même bien \

l"§-Ï;;:ËtË:l*$r---r,q@ç:;mg::iiry=Ëü..i-lE--- -:--=--- -, -,-"--, ei---q--. -o-i-T-Ë-€-- i_p"l

, ',','

r... ,*. ' a ' ..,,..

contenus transférables vers les mobiles, plus ensuite les applications i0S, Apple a dû utile, des fichiers entre les deux environnements "Jmetkeenplaceaucæurd,iTunes,unsystèmecompletd,installation,demaintenancefrères-maispasencorejumeaux.Seullepremieroutii-.-et de synchronisation qui ne se révèle que lorsque vous connectez un appareil en USB a changé afin de prendre en compte une des évolutions les plus

ou en Wifi à votre ordinateur 0S X ou Windows. 0uand l'appareil apparaîl dans la barre importante d'i0S 7; la qestion des dossiers « paginés » sur les écrans d'accueil.latérate (enfin cela dépend de la confiquration d'iTunes que vous avez adoptée, moij'ai Si i'on peut bien sûr réôrganiser directement des écrans sur l'appareil quand il s'agit

tout remis comme avant...)et que vous cliquez sur son nom, la zone principale d'iTunes simplement de déplacer une ou deux icônes, ça devient plus simple dè Ie faire sur lebascule dans un autre monde et c'est l'environnement d'intégration qui prend place. Mac ou Ie PC quand il faut jongler avec des dizaines d'icônes et créer de nouveaux dos-Cet environnement est composé de plusieurs écrans ou onglets. Rien n'a changé avec siers et donc de nouveaux regroupements. Même si l'interface offerte dans iTunes n'est

des écrans d'accueil de l'appareil connecté. en quelques minutes. Voici les principaux changements en images...

Le second outil se trouve placé dessous et il faut jouer de la barre de défilement pour I Bernard Le Du

j s"*.

:'ttued

j Àr b6ôk Bhe e N

') tuhe,rdsd*

Ouand on clique sur le nom d'un appareil dans la barre latérale, l'environnement d'intégration et

de synchronisation s?ffiche, à droite. C'est dans l'onglet Apps que le principal changement est intervenu.

ffi §3oI

c

ll suffit de double'cliquer sur une page (accueil ou dossier) pour « zoomer » dedans. Puis on sélectionne des icônes des

apps avant que de les glisser dans une autre page, qui s'agrandira d'elle-même. La sélection peut être multiple et même

être effectuée dans des pages différentes. Une réorganisation est dès lors très rapidement faite.

lari rai:t ;''i

+l

EE.

§Ï:ilIi'fl -o'IJ'

*ÆswÊ.u'Gt:::Ë!:::::@§:::'B::*fÿ

&ü a ü3AI ù 86 .È È:: e* r O f EEC' â.riÊI.' ': ;r ?

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gÙJ§G ore{!G §iir§G Dei§G

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e,rr0 O@§, &)rQ §8:. i!-8 §! ç o§ ;BeB ;,Ë 0 §A i

PLI@ €iI§6; OmErElB !El

PÀæ ? Pa§e l Pà€c t

Pàgê t

i._

0n a donc accès à l'ensemble des pages d'accueil mais aussi désormais à

toutes les pages de dossiers, un dossier par « ligne ».

Irer. tiü

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Paۏ t

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'&rlr@lT

Page I

tu§

§*§lqa )&:

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O'gEGI

Il n'y a officiellement pas de dossiers dans un dossier, et

pourtant vous pouvez glisser Kiosque (qui est un dossier

comme le prouve ilunes) dans un autre dossier!

33 | Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013

Page 29: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

* LA CAVERNE D'ALI BÂ MAC * I

Mavericks: la Bibliotheque de I'utilisateurest plus facile d'accès

epuis Lion, la Bibliothèque de voke compte d'utilisateur 0S X nêst plus directement

visible. Le moyen le plussimple d'y avoiraccès est de dérouler le menu ///er...tout en

appuyant sur la touchefa/f]. Alors I articl e Bîbliothèqueapparaft dans la liste des

emplacements clés. Une fois que vous y êtes, et pour conserver un accès rapide, vous

pouvez glisser-déposer le dossier de cette Bibliothèque dans la barre latérale gauche

des fenêtres du Finder. Dommage... elle perd alors son icône, bien sûr ce n'est pas essentiel mais tout

de même...

Sous Mavericks, Apple semble avoir entendu les doléances des utilisateurs « avertis » et permet de

façon simple un affichage permanent de la Bibliothèque dans la barre latérale, avec sa vraie icône s'il

vous plaft. Contrairement à ce que vous pensiez peut-être, non, cen'esfpasune nouvelle option des

préférences du Finder. C'est un poil moins évident, mais néanmoins logique.

Cetteoption appamît dans /apaleffe desoptionsdeprésenfafio4 mais uniquement lorsque /a

fuêtreduFinderafficheennodeParColonnesfr.Yous obtenez alors dans la palette Opfiorr

de présmtation,une case à cocher Afficher le dossier Bibliothèqueâ. Cochez-la et le tour est

joué. llicône du dossier Bibliothèque est placée automatiquement dans la barre latérale, accessible

en permanence. I Bernard Le Du

Traduire une page webe problème de l'anglais revient souvent dans

vos courriers. Les logiciels sont en français,

mais l'éditeur ne dispose que d'un site en an-

glais (ou en allemand, en hollandais, en russe...)

0u bien, le logiciel est en français, mais I'aide, la

documentatlon ou Ies forums sont en anglais. Heureuse-

ment Google peut venir à votre secours. Notamment le

module Gôogle lranslafe. Si avec certaines langues, la

traduction laisse parfois à désirer, avec l'anglais, c'est plu-

tôt au point. 0n peut évidemment utiliser cette page pour

faire des traductions de documents par simple copier/col-

ler de texte. La langue de départ est alors détectée auto-

matiquement, mais on choisira tout de même par précau-

tion les langues d'origine (anglais) et de destination (fran-

çais). 0n peut aussi traduire une page web dans son entier,

en conservant sa présentation II. ll y a deux manières

de faire.

Première méthode.0n colle une adresse web dans la par-

tie gauche de Google Translate. Cette même adresse ap-

paraît alors dans la partie droite et il suffit de cliquer des-

sus pour ouvrir la page web traduite par Google.

Deuxième méthode. 0n affiche Google Translate dans une

fenêtre du navigateur puis on glisse une adresse web

dans cette page et instantanément une zone jaune appa-

raît alors indiquant où déposer l'URL. UURL à traduire peut

venir aussi bien d'une page web que d'un document texte

ou autre... il fautjuste que l'on puisse faire un glissé/dé-

posél I Alain Lalisse

htt p s : //t ra n s I at e.g oo g I e.f r

Managellinagr.ç i i:";. iii:..iiciJ c,i

à*.ê1s i: èn;t ,,:.,kr1*iil. 3.firse.f;. c,:!inidlesûrI. :mÊi{ÿ>r1ji.-cip:o.s, (i::Der.:rti.sr r.r ia;;!idrà:i:È€.r.. rc{.riec&s :r:êcitif .ri: il?rrlr.1 ?nd iirdf(ê1r§ ":h:r !!t rr i.!k:rit : :. ir.t .{es .li:k" a§.a.. rn. dô!3 rii.'r4

!.Ê.!triira ii$ft:f (,I*<?st i.;bsr:fi;É1t

gbsipdd§

Uçrs end Ssâfr

ldkôrd!

kElEr§

l.rH@r §*r æ,ro.iè gérêr +nè 9.ândè@lh.rh dtu.€rænit& pd6b il§dêd@ intèdæ lriteer inrddÿed 6kn <w.vo6 Fe, impdær v6 ah..æn* pê{&sà F6r dq fkii§ @!L € @.ôÙn hÉæ*ôi( dè pd.æk à§æt & dé<e!d. dèrcLI€r*dGns radfs àhsÉll

E ll§rês €r k§ li§ts iqtêlllgstetfinti q,è:a sæiqnlki &ldF 6§dÈ. *d.asr! ær ahrne{enl @s @Nz4ék6rm l;ê gürs.r È1 dèpre, &s ad3dê!.r ht6 d&@!. .{i& d fâ.ilê. Pot. ru n&e &dæ êMo.. ,U! tjmpB,^t§ê6! di:pê*àkrBrdllrer lÉellkhâs. ryi ajû{rè$ *!r,È@iftsr àfteB;qlement ki É85ù&5 è"furi& * èd.r È1æèr.6. âr èref pl., ',ô* eæ #qi&s.mfrr ke épù&t quê§,rr :F, .àÉB.ré * &dt?r Èn rÉk.rbmlni

. la sàtb.É.o-nielkæêflt k'litts idli*dè

khd€læk@c 6u! @ ,,è qrendê 6!kbt n.ddts. ne f.Nr !, érisde *ê.f{!è Fexr

34 | Vous et Votre Mac. No94. Novembre 20.13

Page 30: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Estomper les bords d'une photodans Pages et iBooks Authorll existe plusieurs façonsd'estomper les bords d'une imagedans les applications iWork (Pages,Keynote, Numbers) et iBooksAuthor. Les différentes méthodesproposées seront, bien entendu,à adapterà vos besoins.

Tout d'abord, déposez dansvotre feuille de

travail la photo de votre choix. Pour importerdes photographies d'Apefture ou d'iPhoto, re-

courez à la polette Données Multimédios.Veillez ensuite à ce que la photo soit toujourssélectionnée puis affichez lo palettelnspedeur (en cliq ua nt sur le boutonlnspecteur de la barre d'outils). I David A. Mary

Trait

-

I Cadre d'imnge E- g__________.__tal

irc*:-..r",;, j

t -al, Angle: ' .

^"

Trait

Aucun i

l,--*--- *.... ....-r." .*...*.

> Estornper progressivement les quatre côtés

de l'image'ffi,. Dans l' tnspecteur desgraphismes HH, au-dessou s de Trait,positionnez le menu local sur l'option Codre

d'image HÆ. Dans le men u locol Codreffi ,sélectionnez le cadre situé en bas à gauche

ffi.Æ. nlustez l'effet obtenu à l'aide de /arégtette Échette.

> Utiliser un liseré irrégulier H.#. Dans

I'lnspedeur des grophismes, positionnez /e

menu locolCadre sur l'option Ligne. Choisissez

une épaisseur detrait importante (45 pixels

dans mon exemple). Sélectionnez dans le

menulocal un trqcé irrégutier'ffi.Cliquez sur

l'échantillon Co uleurÿi"ffi et sélectionnez dans

la palette flottante une teinte identique à celle

de la couleur de fond du document, avant que

de régler l'opacité à votre convenance.

> N'estomper qu'un seul côté de l'image.

Commencez pàr ajouter une nouvelle figurer:ectangulaire (depuis le menu local idoine).

Redimensionnez cette figure de façon à ce

qu'elle borde l'un des côtés de l'image F"'" .

Dans la polette lnspecteitr )ëiophismes,positionnez /e ror enu local Trait surAucun ffiH.

Positionnez le m enulocal Remplir, en hautsur Remplissoge dégradé i .i. Choisissez un

ongle de 0degré. Cliquez sur le cadreCouleurdubos, puis sélectionnez dans la palette

flottante une teinte identique à celle de la cou-

leur de fond. Aj ustez l' Opacité ù 700 %. Cliquez

sur le cadre Couleurdu houtetrépétez l'étapeprécédente mais réglez l'opacité à 0 %.

i' I-'-lji-l--.17'lL-I

i tar:!r,:, ri: r.il*r;"-,"-. Éi " T, *i iü

Rexrpl!r

mtr::L........-.-.-*.-.-_:i;ë:l-:--::i l

ExtrÉrnités

:I ]J'i

I

3rî i Vous et Votre Mac . No94 . Novembre 2013

Page 31: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Utiliser Notes pour consignerdes images et des copiesd'écmn

'application Notes, le bloc-notes d'OS X, a plus d'un

tour dans son sac et réserve quelques surprises. Vous

pouvez recourir à ses services pour consigner diverses

informations-et pas seulement du texte ou un lien

hypertexte ! Vous pouvez aussi intégrer des images ou

un raccourcivers un document audio/vidéo. llsuffit pourcela de

déposer le fichier à l'intérieur de Ia note en cours de rédaction,

et le tour estjoué. Notes peut aussi faire office de gestionnaire

de captures d'écran. Certes, ses capacités sont beaucoup plus

modestes que les ténors du genre, mais lorsqu'il s agit de

« découper » un article ou une image vue sur le web, Notes rem-

plit parfaitement son office. Ainsi, je m'en sers pour consigner

mes propres « recettes » de retouches photographiques (les

divers paramètres d'un logiciel ainsi que son rendu esthétique).

Pour intégrer une capture d'écran, voici comment procéder...

Faites un clic droit à l'intérieur de la note courante puis

demandez Copturer lq sélection de l'écranII. Dirigez la souris

vers la zone à capturer et tracer autour d'elle un cadre. Quand

vous relâcherez le bouton de la souris, la capture apparaîtra

instantanément au sein de la note courante EI.Si un iPad, un iPhone ou un scanner est relié à votre Mac, vous

pourrez insérer une image provenant de l'un de ces appareils. La

méthode à employer est relativement similaire : faites un clic

droit dans une note, et demand ez lmporter une image.

Choisissez l'appareil concerné dans la palette flottante et cliquez

sur Séledionner. Procédez ensuite à la numérisation du

document ou à l'importation d'une photographie.

lDavidA. Mary

Bqlffos dss f'lanos tsn aluir a &16

Csnseim &o§holo rxre Fhotostrop

Oetfupawt wburË4i&otlaÉr,Ut-l+

Omprsirr sâUB porr inq* frn& dest'lrÉê àlâ gdxis ulb

EÊshÊrchËr âÿe( EoügiE

orthograFh{ Et SfâmmâireSilb§titriti0n§Transfrrmati*nrPoli{eParoleBirÈnti6n du paragraphé

Antidots - Côrre(tÉ*rÀntidqtÊ - Di(tisnnaire5AûtidûtÉ - fuid,es

* I.,q CAVERNE D'ALI BA il,îAü *

Lt-L::.YËi-J*-- I-

.-F\-t,f *\L* \--!r'

*'.-'.** I tF Pr. -'1.1i§-.-

aa

ao

aa

CÛܧÊT

CopinrColler

SignetsSafariclassement facile

oilà un usage queje ne connaissais pas et quej'ai découvert par hasard. J'ai de grandes arbores'

cences de signets. Une pour la barre de signets, pour l'utilisation de tous lesjours carje trouve

qu'elle est d'un accès plus rapide. Une autre pour le menu Signets qui me sert de référence. Je

fais souvent « Ie tri » en déplacement des signets de la barre dans le menu et inversement, ou

en rangeant les signets dans des dossiers. J'utilise pour cela la fenêtre / ffichertous les

srgnefsetje déplace les signets à la souris. Rien que de très commun I Cela fonctionne bien, sauf que si lbn a

beaucoup de dossiers, avec une arborescence conséquente, on nên finit plus d'ouvrir et de refermer ces

dossiers et les déplacements sont laborieux et source d'erreurs (il est si facile de relâcher le bouton de la

souris sur le mauvais dossier l). Suite à une manipulation hasardeuse,j'ai découvert que l'on pouvait stocker

des signets hors de toutes collections (c'est comme cela que cela s'appelle sans Safari). Ces signets sont en

attente d'être replacés dans la barre, dans le menu Signets, ou dans un autre dossier. Cette « zone tampon »

on l'a sous les yeux, mais rien n'indique qubn peut l'utiliserl ll suffit donc de glisser dans Ia barre latérale,

sous les Collections, des signets et môme des dossiers de signets pour les mettre en attente. Une section

Siqnets va automatiquement apparaître. I Alain Lalisse

à § Firanra-ûe:tirn

§igncts : §'æ MÂtr

& sàkol Money Exthang€ {c..- I v§ ttoraroao PilbllshinE

ffl *iun Antiques and Asian... ÿ MLP - CECofl

g nËt-stltrspri§8:,frts æ Fùrmalii{sr ffi Founnitxur:.

$ mtre Re(herche code

g FûurnilurÉs - Tiilko -

6 -----""-*---i:-: B*uiique du caurrkr

$ La rcste 6uiisel -

S La Postr Éuisse) - fi

36 I Vous et Votre Mac, No94 " Novembre 2013

Page 32: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Disque image et mot de passefin de protéger vos docu-

ments sensibles, vouspouvez bien sûr les zipper,

avec mot de passe. Mais

sur Mac, l'utilisation du

formot d' o rchive.d mg (u n di squeimage) est aussi très protique.

En ouvrant lefichier.dmg, vous aurez

accès à un volume équivalent à un

disque durvirtuel. Vous pourrez ajou-

ter, supprimer des fichiers ou les mo-

difier à volonté. Les modifications sont

simplement enregistrées dans le fi-chier.dmg lorsque vous éjectez le vo-

lume. Les archives.dmg peuvent bien

entendu être également protégéespar mot de passe

Faites attention, si au moment de Ia

création du disq ueimage vous cochez

la cose qui permet de consigner lemotde passe dons le trousseou {oc-cèsdu compte couront , le motdepasse ne sera jamais demandé Iorsque l'ouverture du fichier.dmg- ce

qui est des plus logique mais dérou-tant. Bien entendu si vous déplacez le

fichier sur un autre mac ou tentez de

l'ouvrir dans le cadre d'une autre ses-

sion, le mot de passe sera requis. Si

vous voulez une protection complète,

et imposer le mot de passe à chaque

ouverture du disque image protégé,

ne cochez jamoisla case Mémoriserle motde passe donsletrousseou.

Les disques images (fichiers.dmg)peuvent être créés sans protection(sans chiffrement) ou avec protection

dechiffrementAES 128 bits parexem-

ple. Dans ce derniercas, un mot depasse est associé au chiffrement etdonc à l'ouverture du fichier.dmg.Vous le choisissez à la création.

mais comment faire si, soucieux de

votre sécurité, vous souhaitez chan-ger régulièrement ce mot de passe

par la suite ? Voici la procédure quifait

appel, vousvous en doutez à Utilitaire

de disque (Applications/Utilitaires).

Utilitaire de disque ouverÇ glissez/dé-

posez le fichier.dmg protégé dans la

barre latérale à gauche. Si Ie

fichier.dmg est déjà ouvert, il apparaît

automatiquement dans la barre laté-rale, et il convient de le fermer. Sélec-

tionnez-le dans Ia barre latérale et de-

mandez Éjecter. Demandez ensuiteFîchier > Modifier le mot de

wsse..,ll faut d'abord entrer le mot de passe

actuel, puis le nouveau mot de passe,

pardeuxfois . Attention à ne pas

cocher (ou à ne pas décocher) la case

de mémorisation dans letrousseau.

Si tout se passe bien, une alerte vous

l'indique clairement

Cest maintenant le nouveau mot depasse qui devra s'appliquer à l'ouver-

ture du disque image.IAlain Lalisse

Frogressi*n d'Utililaire de disque

Saislssêâ le mat de passe-fioui accéder à« Dccumënts inrportants.dmg »

Mot de paste : I

r,.. i Afficher le mot de passe

I . Mémoriser le mot de passe dans le trousseau

Annuler,f ti( I

.*É*ygilir* jili-x..!@-!9,1ry, LrrgqNôuYÈllê fÉn€treNoavelleûuvrir une iüàge disqueFêrmer

Lirê lês inforrnat;ôn§

,.:zd,ôi âo ntr.rni nrss+... Âfficher clans le Finder

? MIN|_ALTHD

-, \{lN7

EEffillEl'rr'il iï*ri.r.o.ru,an,oir.

icret":,, . 1f Ie: y-:.t_..3il:''.. . .

:r'f

Ê-1 a

§ os tzVé.ifier lntoJ 6ûver Ouvrir

.::-*t

HN .dm!F.

HofHW .uo" Cs!wnir qedimenrionn

c8t

sp ffi! riuiii,il,at ditponiblc, cllquez sur Vêrifierrni de! ins!r!dion5 de rêpâration

@lrEtallaljon d'os x à un problèr

*j,, Mùt de passÈ pour s Do(urnenls imporlant§-dmg h

..L:&.r nrodifiÉ avec sucrès.

§âisiscez uF nsilve&u mot de passe pôursé<uriser Document5 impnrtants.dmg. Si vrus*ubliez aê ffi&t de passe, vrlus nê ser*e plus enmesure d'accéder aux fichiers stsckés dans(€tte amagc. ll êst irT:pe§:ihl* de réeupérer lesmots de passe oubliés.

Mot de passe

COnfifmafign : ....r..i...........1

".p.,*,,-a,",.*r*liw;ài***1ii"*Ï.*G"J---'For€e du mot de Dasse : [xiellefit

Mémoriser le mot de passe daas le trousseau

Annuler I O« t

Vous avez malencontreusement mémorisé le mot de passe d'un disque imaqe

dans le Trousseau d'accès et le fichier.dmg s'ouvre sans rien demander dès que

l'on double-clique dessus? Vous pouvez changer le comportement et imposer /a

déclaration systématique du not de passe.Pour cela allez dans l'application

Trousseau d'accès(Applications). Da ns letrousseau Session,à la catégorie

Mots de passe , recherchez dans I aliste le non du disque inage protétgé

et supprimez l'entrée via le menu contextuel (clic droit).

?

l0{l

;fll,1 l cliquÈz psur verrôuiller le üoussr

TriluSseaux

session

Micrüsott_lntêrfi ediâte_Cerlifiii

]v! tEInP' J di.ireE.fr

Rè(ines dii systeft -r dt/tree irE-r

nrût de Fasre lntÊrilet

mot de p§se lntÉrnet

CaiÉ(

.i Tous les élémentsi

;.. Mots de pâsse

N*Ê*s rÉcurisèel

dsilex.trcli*fêruBr-rcm {alâin}

Êr1trrF.i5e5É!u...bas.net {

ertrrFri!esFlu. .bâ§,nÉt {

É,çtr9

Mot de pÀ:se de lermulàlJe welll*ùt dr pE§te dÉ fûrmslairË web

Mût de Ëaslr de fsrmulÂiiE web

Vous et Votre Mac No94 Novembre 20.l3

Page 33: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Resynchroniser Ie son d'une vidéo

avec OTSyncI I vous est sans doute arrivé de visionner une séquence vidéo dont le son étalt

! Oécaté par rapport à l'image. De multiples causes sont à lbrigine de la désyn-

I chronisation. ll peut s'agir d'une différence de base temporelle: l'image et le

I son n'évoluant pas à la Âême vitesse. Ce cas est très rare, il faut le souligner,

I La majorité d, trrpr, rour rrru face à un décalage constant entre l'audio et

la vidé0. ll peut êtredû à une erreurdêncodage ou de montage. Pourcorriger le pro-

blème, il existe un outil gratuit:'0TSync(wuw.qbync.com). tutilitaire estcapable detrai-

ter la plupart des conteneurs vidéo (comme lAVl) à I'exception des fichiers multi-

plexés (jpg). Voici comment bien l'utiliser...

>Au préalable, veillezà ceque Perian soit installé(1ffi*Frhn.org;c'est un ensemble

de plugins vidéo indispensable).

> lmportez la vidéo (File > Open).

>Si vous êtes face à un décalage constant, sélectionnez en haut de l'écran, la piste

Vidéo en appuyant sur le bouton idoine. Veillez à ce que le menu local Slpwassoit

positionné sur frames §§ (pour un décompte image par image). En regard de

Trackâffsetffi,cliquez sur la flèche du haut pourretarder la diffusion vidéo par

rapportà l'audio. lnversement, en cliquantsur la flèchedu bas,vousavancez la diffu

sion de la vidéo par rapport à la piste audio. D'après mes différents tests, les déca-

lages observés la plupart dutemps sonttrès légers, comprisenke3 et7 images.

>Sivous êtesface à un décalage progressif, les outilsofferts parOTSync nesont pas

les meilleurs. Mais sous 0S X, parvenirà un résultat soigné reste difficile et nécessite

l'emploidbutils plus complexes. La meilleurefaçon d'aborderle problème consiste à

chanqer la cadence de la piste audio pour l'adapterà celle de la piste vidé0.

Pourcefaire, recourezaux boutonsfléchés ffi en regard de Durafion Laflèche du

haut étendra la longueur de la durée de diffusion de la piste (elle sera lue plus lente-

ment)tandis que la flèche du bas accélérera Ia lecture de l'audio.

* L& ffi&Wffiffiruffi #'.&LE ffi& to§&# *

II îraclcc ii'; W' "rdd:i:-i | -ïî"- -*q"î

.r3ôûl *

§h*s *r:

-(*Pour orocéderà l'exportation, deman dezFilùSaveasSelf-containedMovie.Vous*disposerezalors d'une séquer1câautonomeque v0us pourrez utiliseravec n'importe

quel appareil compatible aveô le conteneur 0uickTime MOV

lDavidA. Mary

EI

es noms de fichiers don-

nés par les appareilsphoto ne sont guère expli-

cites: une sulte de lettres

etdechiffres,tout au plus.

ll serait bien plus pratique de leur at-

tribuer un nom plus explicite. C'est ce

que je vous propose de faire avec

iPhoto.

Sélectionnez une ou plusieurs photos

puis demandez Pâ otos > Change-

nent groupé.Dans la fenêtre surgis-

sante, optez pour I e critère Définir le

titreavælelærteffiÆ.Tapez le nom de la photo dans le

champtexte. Si plusieun images doi

vent être renommées avec le même

texte, cochez la ca se Ajouter un nu-

néro à chaquepllofo ffi. Cela

donnera par exemple: Visite

dAmalfil, Visite d Amalfi2... Çliquez

sur 0K.

iPhoto va alors p rocéder à diffé-rente s ndif i cati on s dans s frlse

de données.Le nouveau nom appa-

raît dans l'interface du logiciel (si ce

n'est pas le cas, dem andez Présenta-

tion »Titresoubien affichez la co-

lonne Infos).

Attention toutefois, le fichier original

reste inchangé. Ce comportement

d'iPhoto est parfaitement normal : ce

nest qu'à l'exportation que les photo-

graphies porteront leur nouveau

n0m.

Pour exporter une image dont le nom

a été changé, suivez scrupuleuse-

ment les instructionsqui vont suivre.

Demandez Fichier » Expofta.Dans

ll onglet Expft ati o n de frchi er, chor

sissez tout d'abord le format de fi-

chier (0riginal, Actuel, JPtG, TIFF ou

PNG)ffi. tnsuite, en regard de Nom

du f ichier; demandez impérativement

lltiliser le tltreffi. Enf in, cliquez

sur Expfta.Si vous gérez vos originaux en dehors

de la Bibliothèque iPhoto, il fautsavoir

qu'iPhoto n'est autorisé en aucune fa-

çon à modifier les images originales.

Dès lors, si vous souhaitez les renom-

mer; il faudra le faire d'une manière ou

d'une autre avant de procéder à leur

importation. Une fois les photoqra-

phies indexées dans iPhoto, varnede-

vrezjanais les renonnu dans h Finder.

Dans le cas coniraire, votre photo-

thèque deviendrait inutilisable, le lien

aux originaux étant rompu.

r DôvidA. illary

Pr{ffxe pour le séquentiel :

1élément ; fæ,pocter!

iffi r.êr"l

i.i&rrttion it,l

Renommer des photos dans iPhoto'l1

-Ii

Définir I le titre : I ewr I le texte

rvo", 1.[!c _ __ *eë_*i]QualitéJPEC: Maximum _ ,,- j

lnclure : r'-1Ître et mots-clÉs

i,i lnformations sur les lieux

Taille:l 100S t

S Alouter un numéro à chaque photo

i-4!?_,t,"ei, f tr"'ok-f]

3S I Vous et Votre Mac'No94' Novembre 2013

Page 34: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

L'o(posé du Dock

T

oilà une fonction méconnue du Dock, qu'un de nos lecteurs,

Jean-Pierre Petit, a redécouvert tout à fait par hasard... « Dans

Safari, lai l'habitude de survoler l'actualité du fond de mon fauteuil

et je zoone sur la paqe avec un doublelap sur le trackpad. L'autre

jour, j'ai effectué ce doublelap alors que le curseur était pointé sur

l'icône de Numbers dans le Dock. Cela a provoqué l'apparition, en surimposition,

des derniers fichiers ouverts dans l'application Nunbers.>>

C'est en effet une des fonctions du Dock, qui exisfeje crois depuis Snow Leopard,

mais avec Lion, ça passe par un double-toucher (iüi lè trackpad ou une Magic

lüouse) qui fait apparaftre différentes choses selon les circonstances. Si I application

est fermée ou lancée, mais sans fenêtres ouvertes, on obtient un ruban en bas de

l'écran présentant les fichiers récemment ouverts et on peut cliquer sur l'un d eux

pour l'ouvrir Si I application est déjà lancée avec des fenêtres ouvertès, par exemple

dans un autre espace de travail, on obtient en plus du ruban des fichiers récents, un

« exposé » des fenêtres ouverteg ce qui permet de changer d'espace immédiate-

ment et sur une fenêtre précise. Cette fonction est compatible avec toutes les appli-

cations correctement écrites, et pas seulement celles dApple. I AL

,

? Gnlrrl i

Typefré*;ûnhdrfié

fe$ÀtCà.psité

Dirprdhlêüilisé

No0

l& Do55,er publ!{ de alatn laiirrè

ffi

;,,9'1 -Q.,S-!t&r,.rsl,!ryryq9§!l9'§ir,!§S.Eq9ôç:l$L:-Ï

ë;;;;;,TrprTriuê

ImFla€emrnt(rdÀtisni{difk

Ériquet

l_,j 2ro-s.ruÿ atuasiêÿ4û ùgg û95 ?23 ffirE (40,09 Co sur48l ëlimenBJ§seÈ/alain$firdi 22 nmmbtr 2Oû8 t9:13nuiêurd'hui 1l:17X * , - *-,

ff'Ë d oo.riu, pr*sÉ, VÊrôulllé i_--_

i

Four publier te dcssier, vous dever activer le Fânâgê dc fichlers.Choislssez *lrnu Pomme > Prêféreilrês §ystème, rliqücz surFart:ge" puis sêlectlonn.u Paflâge dc fi<hlers. ë.j#

rr iæ@

Partagerun dossierou un disqueI

en reseau tt iiïi-.i';ïïd*, ,r j6 i.*Or@

orsque le partage de fichiers est activé, un utilisateur du réseau

voit le nom de votre Mac, comme un serveur, et peut s'yconnecter. Premiercas defigure: ilconnaîtvotre compte et motde passe ou un compte créé spécialement pour accéder au ser-

veur. ll peut donctoutfaire. Deuxième casdefigure : il ne connaît

nicompte nimot de passe et il ne pourra accéderqu'à un modeste Dossier

public... qui contient une simple Bofte de dépôt. ll ne pourra donc pas fairegrand-chose I

llesttoutefois possible de partager un autredossier, et mêmevotredisque

duren entier, avec une autre personne du réseau, sans pourautant lui

donnervotre compte utilisateuretsurtoutson motde passe.

Cela passe parla case, un peu oubliée ilestvrai, Dossier paftogédanslafe-

nêtre d'information du disque ou du dossier.

Commençons parledisque. Cocher Dossierportagé ffiÆ dans les informa-

tionsdu disque durou d'un volumeva permettre auxautres utilisateursde

voir son contenu depuis la racine F.Æ. Le système est donc accessible, si

Cest un disque système. Les dossiers standards (Musique, lmages, Docu-

ments...) restent protégés, mais pas les autres dossiers personnels que

vous auriez pu créer. Cettà option n'est donc intéressante que si on veutintervenirau niveau dq système pourune petite réparation ou une instal-

lation à distance.

Secondeoption, un peu moinsdangereuse, consiste à partagerun dossier

spécifique. ll faut cocher la case Dossler paftogé ffi de la fenêtre d'infor-mahionllnfos sur...) du dossier en question. Les utilisateurs ont cette fois en

lecture/écriture/effacement mais à ce seuldossier ffi. En résumé, un

[cmd][i] suivide l'activation de Dossier partagé donne un accès immédiatau dossieret à toute personne sur le réseau. En entreprise, cela peut être

un peu délicat ! Mais à la maison, si on a plusieurs Mag Cest quand même

bien pratique. ll faut bien entendu que le partage de fichiers soit activé. Si

ce n'estpas lecaE OSXvous le rappellera ffi dèsquevouscliquerezsurDossier portagé. Un bouton propose d'activerdirectement la fonction, un

autred'ouvrirles préférencesdu Partage pourun paramétrage plus précis

sl Cest nécessaire. I Alain l-alisse

Ouvrir les préférences Partaqe

volumeffrdi 15 qsfu 2§89 Ol:39aujsurd'hui !1:36

.§# ; Vous et Votre Mac . No94 . Novembre 2013

I

Page 35: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

*' L§1 #&-dffiffiffif, ffi'&Lë ffi& rd&# * ,,

Modifier le nom d'un compte utilisateurou le nom du répertoire de départ

pple a publié en septembre une procédure officielle pour ef-

fectuerces manipulations qui nevont pasde soi. Ce nom'de

compte utilisateur, qui implique ensuite le nom du dossier

départ associé, est le plus souvent demandé à l'installation

du Mac, à un moment où l'on n'a pastoujours bien réfléchi à

cela et où on a surtout envie devoirson Mac démarrer. Et ce nom de

compte utilisateurest malheureusement une « pierre angulaire » d'OSX,

àtel pointqu'Apple n'a pas prévu que l'on puisse le modifieren quelques

clics. La procédure setrouve à l'adresse

http //sw w d. ap p I e. w nlkh/tff t 42 8? v i ew h ca I e = f r-F frEIle esten français et ilen existe deuxvariantes, une pouravant OSX 10.5,

l'une pouraprès.

ll estfortement conseillé de sauvegarder ses données, sinon de falre un

back-upcomplet. Même si la procédurevient d'Apple, vous n'êtes pas à

l'abri d'une mauvaise manipulation.

Et en effet, dès la première étape, vous serez confronté à l'activation du

compte Root. Ce compte n'est pas activé par défaut dans OS X. ll ne fautpas le confondre avec un compte administrateur, statut par défaut pour

la première création d'un compte sur OS X. Le compte Root (mot anglais

que l'on traduira par « racine »), héritage du monde Unix à la base du sys-

tème OSX, est beaucoup plus puissantqu'un compteAdministrateur. La

procédure d'activation du compte Root a varié avec les différentes ver-

sions d'OSX. MaisApple a aussi publié, en français, une procédure d'acti-

vation:

http //su pport. a p p le. n n/khllTl 5 2 0? vi ewl o c a I e, f r-F frPetite remarque. Comme l'indique d'ailleurs Apple, des utilisateurs Mac

n'ont pas attendu la procédure officielle pour résoudre le problème du

nom de compte utilisateur. Et ily a de bonnes et de mauvaises procé-

dures... Cest peut-être pourcela qu'Apple a publié la sienne.

Bien que je ne puisse que vous inciter à utiliser la procédure officielle, je

vous donne une alternative qui fonctionne aussi. Elle est proposée, en

langue anglaise, sur le site osxd aily httpl/osxdaily.con/2011/05/20hhange

s ho rt' nane' use r n a c' o s*lAlainhlisæ

ütilitâirsd'annuaire tirhirr

eaô

sèfiq{mnÈz ur ftsitÈ, Bris diqùe rNom

À<tiYe SirÈr§arf

LüâfY3

ilê!§

üÉ*narrer Dirté*,..CararÈères rpÉriaux.. -.

Procédure ôfficielle de changementde nom de compte préconisée par Apple

> Activez l'utilisateur root.

> Connectez-vous en tant qu'utilisateur root.

> Accédez au dossier /Utilisateurs.> Sélectionnez le dossier de départ portant le nom abrégé que vous souhaitez

modifier et renommez-le comme vous le feriez pour tout autre dossier.

Souvenez-vous'que le nom de compte doit se composer uniquement de lettres, ou

d'une combinaison de lettres et de chiffres, tout en minuscules et sans espace.

ll ne doit pas être identique à un nom d'utilisateur existant.

> Utilisez la sous-fenêtre Utilisateurs et groupes (sous-fenêtre Compfes sous Mac

0S X 10.6.8 ou version antérieure) dans Préférences Sysfème pour créer un

utilisateur avec le nom de compte et le nom abrégé que vous avez utilisé à l'étape

précédente.

> Cliquez sur 0l(lorsque le message << Un dossier nom de compte existe déjà dans le

dossier Utilisateurs. Souhaitez'vous utiliser ce dossier en tant que dossier de départplur ce compte d'utilisaleur7» s'affiche.

Remarque: cette action aura pour effet d'apporter les modifications applicables en

matière de propriété, pour tous les fichiers du dossier de départ, et d'éviter des

problèmes d'autorisation avec son contenu.

> Choisissez Ferner la session dans le menu /pple.> 0uvrez une session avec le nouveau conpte d'utilisateur. Vous devez pouvoir

accéder à tous vos fichiers d'origine (sur le bureau, dans le dossier Documents et

dans les autres dossiers du répertoire de départ).

> Après avoir vérifié l'intégrité de vos données, vous pouvez supprimer le compte

d'utilisateur d'origine dans la sous-fenêtre Utilisateurs et groupes (sous-fenêtre

Comptes sous Mac 0S X 10.6.8 ou version antérieure).

> Désactivez l'utilisateur root.

Mac . No94 . Novembre 2013Votre

Page 36: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Vous avez dit Ad hoc?Un réseau Ad hoc est un réseau Wi-fique l'on crée ponctuellement, pour un

besoin particulien Apple lhppelle aussi réseau d'ordinateur à ordinateur,puisque les ordinateurs sont « reliés »» entre eux sans passer par un rou-teun

Le réseau Ad hoc est un réseau à part entière, mais il n'est le plus souvent créé que pour une durée

Iimitée. Malgré cela, on peut faire en réseau Ad hoc, tout ce que l'on fait en réseau: échanger des

fichiers avec le service de fichiers ou avec un utilitaire comme DropCopy, utiliser Internet (avec

quelques restrictions), jouer eri réseau aussi pourquoi pas.

Un réseau Ad hoc se met en place à partir d'un Mac « source >> et pourra alors être utilisé avec un ou

plusieurs autres Mac bien sûr mais aussi des iPad, un iPhone, ou n'importe quoi qui se connecte en

réseau à un Mac. Ce n'est donc pas un réseau bridé.

ll existe cependant quelques petites contraintes qu'il est préférable d'avoir en tête...

Quelles sont les contraintes d'un réseau Ad hoc?Un réseau Ad hoc est protégé en WEP et non en WPA.0n sait qu'une protection WEP est maintenant

« craquée » en quelques minutes. ll existe des outils pour cela, notamment sur PC et Linux.

ll conviendra donc de s assurer que la portée du réseau Ad hoc, dans votre environnement, limite les

risques. Un autre petit détail qui a son importance: lorsque lbn crée un réseau Ad hoc sur un Mac: on

perd l'utilisation de la connexion Wi-fi

habituelle. Le réseau Ad hoc utilisant la

puce Wi-fià Iuiseul, ilfaudra que le Mac

« source » accède à lnternet via un câble

Ethernet ou une liaison CPL.

Pour le partage de cette connexion

lnternet, il est judicieux d activer et de

configurer Paftagelnfernet dans les

Préférences systène > Paftaç,auantde créer le réseau Ad hoc Il.

Procédure de mise en placed'un réseau Ad hoc> Dans l'icône Wifide la barre de menus,

choisissez lloption Créer un réseau...frSi vous n avez pas cette icône, activez-la dans les fréférences systène > panneau Réseau > WrFi )Activezlllli-fr dans la hnedes menus.

> Par défaut, le nom du réseau portera le nom de votre lVac EI. Rien ne vous empêche de mettre un

nom plus simple (pour écrire le nom facilement sur iPhone ou iPad). La sécurité sera donc le WEP en

40 bits ou en 128 bits !I. En +0 bits, Ie mot de passe fait 5 caractères exactement (ou 10 chiffres hexa

de 0 à F). En 128 bits, le mot de passe fait 13 caractères exactement (ou 26 chiffres hexa de 0 à F). Si

Créer reste grisé, alors que vous aurez tapé deux fois le mot de passe, c'est que ces conditions ne sont

pas respectées.

> Sur le Mac, il ne vous reste qu'à activer le réseau Ad hoc est choisissant son nom dans le menu Wifi.

Ce menu change d'icône GI.

> Le réseau Ad hoc est maintenant établi. Vous pouvez l'utilise[ par exemple, sur votre iPad pour y

transférer des fichiers. La connexion sous iOS au réseau Ad hoc est identique à toute autre connexion

Wifi. Cela se passe dans Réqlaqes > Wi-fi ü. I Alain Lalisse

* F$ rnar.{i-17/ü9-üS:36

' '.: Wl-§i I *rtivd, ll1 DÉsa{tiver le tüi:Fi

jÿAfiK*Wtri sw'-ri §e ccnmartar à un ar.ltre rÉseau.".

xoma.rorarnne*. rin,.eucu

Hdifie..d,€h'l rr6k &tu a ce.t

i ÈnE. h.,Rt : d*Pàndtâ Dw d aO

FÀdigè dkr& u s4 llr.@ Fd r d r@r q

ÿ Pinàoed lnÿ16àtu!PaÈæ de i.ù...5 hûGt e <oærb' &Bt : iri' i

"r5Ê*lo4ÀdÈrù.. Âudln.t oGa: \r'' '"'

. cêÿtùàd6cn@ !i'ii-'r'

, §#ïffi,:"' rr / q'''

di *,,.,r.*.n. *t-uo*,o,*- r.

rnardi 171ü9-ü§:48'tÀii tii --r1,,..i!f i-{ I 4ttlYE

Dêsaetiver le lÈJi-Fi

AfiK-}TTIFI § §ftr;r111;,,,*t

§e dÉernneeter de Mini*AL-Cil'lX

§e ttnnseter à un aultre rÉsrau.."CnË*r un réseau... &,.

Ounrir FrÉfÉncnees R.Ëseau"..

wLFi 1[-',

Cholsis$! s éæd...

aaK,wrFt * â âÿ tdrtrr-A,L.cNx llt s â I

Adrê-.- '

Codrmêr I'accès

La snôexsn aùx rê*3s ômus e§t àutomr'ôu§.S, âmn ôsâü mtu n?sl dirynbE. voue M.

Sbdbnnê. iMùêllanênl $ é§êæ.

ffi et*t-ttr di

§ Ns pae arÊtnger --l-:

§ xorir"xio*

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§{ u-t*rtô.tbnad'éo"n

§il **r**

4l I Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013

Page 37: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

_t'irl 1,,, r, ..' !:j, j: :!. : :. i... \ t:,..,.

Logic Pro X: les réglages à fairepour dématrer d'un bon piedLa nouvelle interface de Logic ProX cache des bouleversements plus

profonds. Et sivous nÿ prenez garde, vous pouniez croire que certaines

fonctions importantes sont manquantes à Ihppel. 0ç il nhn est rien ! Pour

un démamage en douceu[ je vous propose un petit guide rapide

d'installation. r David A. Mary

>Au premier lancement, Logic Pro X requiert le téléchargement de données complémentaires.

Ce pack de conpmnk (l,93 Go) est incontounnhle pur le fonctiomenent du bgiciel.

Si vous décidez de refermer la fenêtre, LPX quittera dans la foulée. Mais vous ne perdez pas ce qui

a déjà été téléchargé. Au prochain lancement du logiciel, le téléchargement reprendra à l'endroit

où il s'était arrêté.

> ll y a également 36 Go de contenus supplémentaires. Si votre connexion est lente, déroulez le

menu LogicProX)Téléchargerdu contmu supplénenfaire. Puis décocheztous les éléments

Ël,fi.Vouspourreznéanmoinsutiliser Drunmer(lebalteurvirtuel):LPXestlivréavecdeuxkitsde

batterie: Rock (avec le batteur Kyle) etAlternatif(avec le batteurAidan).

> Pour disposer de toutes les fonctions avancées de LPX (édition destructive, mixage surround,

contrôle du flux MlDl, etc.),demandezLogicProX> Préférences>(Milsavancés.Puiscochez

toutes les cases contenues dans le ca dre lptions suppténmtaires .' ' .

>Sivous utilisez Rewire pour la synchronisation interapplications, cliquez sur lbnglet /udiode la

fenêtre des préfére nces.Dans Périphérigues déroulez le menu I ocal Conpoftement ReWirerri,ii.-f

et choisissez le mode quivous convient. Cochez la c ase Nivæu de rnnitoring entrant pour

bs tranches de connle avec enregistrement activé

> Pour les fonctions manquantes de I'en-tête de pistes, Iaites Pistes ) Configurer fen-têtedepisfes Les cases/ ctivé/Dénctivé Protætionet Btoquerdoivent être cochées', .

> Dernier conseil: usez du clic droit.Linterface de LPX regorge defonctions cachées.

Vous pourrez ainsi changer l'icône ou Ia couleurde la piste, paramétrerfinement lestranches

de la console, réassigner une piste ou bien encore personnaliser la barre de commandesl

Vous et Votre Mac No94' Novembre 20.13

Page 38: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Au coup de gong!'autre jouç je devais redémarrer en usant une des combinaisons de touches

qui permettent d'accéder à un démanaqe spécial. J'utilise un chvierBluetooth.SansTrop réfléchiç dès après avoir appuyé sur le bouton de

mise sous tension, j'ai composé sur le clavier la combinaison... et rien ne

s'est passé.Je veux dire que le démarrage s'est déroulé normalement. J'ai

recommencé deux ou trois fois, sans autres effets et j ai dû ressortir un clavierUSB de

derrière de fagots, tout en vouant Apple aux pires souffrances de lênfer. Mais j avais

tort! C'était ma faute, ma seule faute. En fait, lL FAUT ATTENDRE LE C0UP DE GONG

avant d'utiliser une touche ou une combinaison de touches. Si on le fait avant, ce nêst

pas détecté et donc le démarraqe s'effectue comme si de rien n'était. I BLD

ous savez que chaque morceau de musique intégré à ifunesdoitavoirses informations renseignées ! Notamm enllenomde I'artiste, le nom de fdlbum... iTunes va s'en servir pourvous présenter les artistes rangés par ordre alphabétique.Cestce quis appelle dans ilunes,letn'. Sivousy regardez de

plus près, vousverrez que lesartistes sonttriés sur lecoupleprénom-nom : Arielle Dombosle est avant Doyid Bowie.Mais,The Beaflesest dans

les Bet non dans les L ll n'ya là aucun mystère: tout cela netient qu'à untag; letag46;51s pur le tri. Ontrowe cetag en demandan! dans iTuneqObtenirlesinformatfonssur un album. Et il n'est pa sleseul:fongletTrtpropose cinq informations qui régisænt le tn'. Et ces informations de trine remplacent pas lesinformationsde base (artiste, album...)du premierongletlnfes, mais elles les complètent et prévalentsurces demières pourletri. Si les informationsdetri sont renseignées, ce sontelles qui serontuü7isées pourafficher l'ordre des artistes ou des albums...

Ainsi, pourArielle Dombasle, jetapeDombasle,An?//e II:cetteartisteva se retrouverdans lesDet nondans lesA comme avan! même si comme on le voit ici, son nom reste bien affichéA rielle Dombosleâ.Pourlesgroupes, Cestautrechose. Leurnom commencesouvent parThe, Leq Le.Exemple: IheBeoflesouLeschoussettesnoires. Dansce cas, ilunesva de lui-même inscriredans les informationsdetri, Eeotles3l,sans le lhe ou Choussettes noires,sans le [es. DoncThe Beotlesse retrouve dan slesB,LeschoussettesnotTesdanslesC.Sivousvoulezchangercela,ilfoûintennnirsurlechompp6sg"*rrleür. DanslecasduTheouduLes,laissez lechampA rtiste pourletivide nesertà rien. Lechampsera aussitôtrempli pariTunetselon ses propres regles. llfautdonc le modifier, ne psleloisærvide.IAlain Lalisse

iæq-l l_rry.qi:r_f

*i!*r

Histoircs d'aÉistes dans iTunes

!!**wtqab!É*b@hS

g!q+af_ù-fllÊ,9

Et sinous parlions d'illustrations dans iTunes?

1 es illustrations sont, commetoutes les autres informations, normalement intégrées au fichier musi-

I cal lui-même. Cela veutdire quesi l'on déplace cefichiermusicalsurune clé USB ou un disque durex-ts terne, ou qu'on le transmet par lnternet, toutes les informàtions suiven! ycompris l'illustration...

Sauf dans un cas :lorque le moræou demusiqueaetéqdtetésurllunesStore.Dans ce cas, pour réintégrer l'illustration dans le fichier lui-même, et non plus le garder dans la structureiTunes, ilfaut/oire unerhonipulotiontrèssimple...mais un peufastidieuse.

Ouvrezles lnfonnotions sur le moræou de muÿue qui vient d îTunes Store . Allez dans fonglet lllustm-tionetfaitesCopier. Rouvrez les informations sur leou les morceauxquivont cettefois intégrer l'image.Dans Ie même ongletlllustrotion, faites cette fois [email protected] les informations. lJimage

estalors belet bien intégréeauxfichlers MP3 ou AAC.IAL

ffitffiffi§

&trBmi*

erfe§aDu,ËeuÉle fI

ls&êd

Ih€E&)

DffiI!Ér!€* I

Letit*È

43 | Vous et Votre Mac. No94 " Novembre 2013

Page 39: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Les hérifiersles plus promeileurs de

Google ReoderGoogle Reoder régnoit en moîlre sur le petit monde du RSS, loisont des cenlsines d'opplicolions

s'obreuver oux flux reloyés por ses serveurs. [onnonæ de son srrêl o donc provoqué une certoineponique ou prinlemps dernier. Mois comme celo onive souvenl dæ servic'es ollernotits sonT bien

évidemmenl opporus

ais qu'est-ce donc que

le RSS ? Cet acronymevient de l' anglais Re a I ly

Simple Syndication.lls'agit d'un format de

données utilisé pour le partage (la

syndication) de contenu Web. ll s'agit

en fait de répertorier les informations

de mise à jour de sites Web, par le

biais d'un fichier de ÿpe XMI conte-

nant en général un titre, une date et

une brève partie du contenu, mais

parfois aussi sa totalité, comme pour

le site MacG. A minima, il permetdonc de notifier de façon automa-tique les abonnés au flux de la publi-

cation de nouveaux articles. Abonnés

qui vont pouvoir, grâce à des applica-

tions « clientes » être alertés et accé-

der à I'information sans avoir à vérifier

eux-mêmes régulièrement en se ren-

dant sur les sites.

Quand on visite un site quioffre un

flux (ou plusieurs flux) RSS, on re-

trouve en général un bouton marqué

RSS, qui n'est autre qu'un lien vers le

fichierXML. En donnant I'adresse du

flux à un « client », ce dernier saura s'y

connecteret afficher les dernières pu-

blications. Un lecteur de flux, appelé

aussi couramment agrégateur, saura

ainsi gérer et afficher, de façon cen-

tralisée, ces bribes d'information. De

quoi faire rapidement le tour de

contenus provenant de quelq ues

sites, ou de plusieurs dizaines.

Si le RSS est pratique pour l'utilisateuç

il est à double tranchant pour les sites

Web: beaucoup de personnes peu-

vent aller de moins en moins souvent

sur le site lui-même, ou bien se rendre

directement sur des pages de

contenu, en court-circuitant les

« grosses pages » (accueil, sommaire

de section...) où se trouvent bien en-

tendu les bandeaux publicitaires les

plus rentables.

Un srRvrcr or svNcHRoNrsATroN

Le service Google Reader de Google

était à la base un lecteur entièrement

en ligne, raccordé à un compte Goo-

gle et totalement gratuit. Derrièrecette interface, il y avait des serveurs,

de plus en plus nombreux au fil du

temps car Google a fourni aux déve-

loppeurs tiers une API (une biblio-thèque de fonctions) permettant de

brancher sur ses serveurs des applica-

tions ou des services tiers, là encoregratuitement. ll n'a pas fallu attendretrès longtemps pour que Google Rea-

derdevienne LA plate-forme de syn-

chronisation univer:oelle des flux RSS.

Quasiment tous les lecteurs de f lux

ontfini par utiliser l'APl fournie pour

fonctionner avec.

Outre le report des éléments lus, on

pouvait également créer des dossiers,

ajouter des tags ou encore marquer

des éléments en favoris. Tous ces

points étant repris par les différentes

applications liées, le contenu étaitdonc unique, quel que fut le mode de

lecture choisi, mais chaque applica-.

tion ou service apportait de son côtéune interface et une ergonomie diffé-

rentes ou de nouvelles fonctions.llabandon pur et simple du ser-

vice par Google a provoqué un '

tremblement de terre ! Par

quoi remplacer ce service pour

synchroniser des millions de

flux RSS?

Car s'il est possible de n'utili-ser qu'un lecteur unique par

exemple sur Mac, commentfaire sans synchronisation si

on veut aussi accéder aux flux

sur une tablette ou un smart-phone-ou un autre PCou Mac-sans avoir à tout retrier? De plus, il

n'existait quasiment plus de lecteur

natif sur Mac, puisque les flux RSS

n'étaient plus supporlés ni par Safari

ni par Maildans Mountain Lion.

Pour remplacer efficacement Google

Reader, ilfaut certains prérequis : l'im-

port facile des données issues de

Google Reader (afin que l'utilisateurn'ait pas à reconstruire de zéro ses ré-

seaux de flux !), être accessible en

ligne via un lecteur, mais il faut aussi

proposer une API pour des logiciels

tiers, synchroniser les lectures, sup-

porter des fonctions telles que les fa-

voris, les tags et des dossiers... Bref,

vous voyez que

Vous et Votre Mac N"94 Novembre 2013

Page 40: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

le successeur de Google Readeç

avec le seruice le plus complet

eedly est l'un des rares services qui prenneen charge la synchronisation des flux RSS

sans que vous ayez à acheter un

abonnement. On compte aussi AOL Readerou encore The Old Reader (lire ci-dessous).

Feedly propose toutefois une souscription (mensuelle

ou annuelle), mais on peuttout aussi bien l'utillsersans, avec pour seules limitations l'absence derecherche au sein des flux et d'intégration à Pocket etEvernote.

Feedly sait récupérer automatiquement les flux deGoogle Reader, dossiers, tags et favoris inclus. Le cas

échéant, on peut tout aussi bien importerdirectement un fichier OPMLTéléchargé depuis

Google.

Le service Web est performant et complet, avec uneinterface agréable. ll présente une barre latérale et les

diverses nouvelles sont alors disposées en extraitsavec un visuel, ou bien en liste classique. llajout etl'organisation des flux sont faciles, d'autant qu'ondispose d'un index. Feedly propose par ailleurs des

flux parmi une liste classée parthèmes. llinterface estpersonnalisable, avec différentes présentations,

thèmes ou encore couleurs. La circulation au sein desarticles est efficace. Si l'on peutfacilement marquercomme lu ou comme favoris, l'envoivers des servicesde partage ou de sauvegarde comme Evernote ou

encore Pocket fait partie des prérogatives payantes,

tout comme la recherche.

Feedly dispose également d'une application iOS

§ ïhe Old Reader

gestion des flux est identique au site Web etraffichageresteaussisoupre.sirarecherchen'estpas

€ **l*,,,,possible au sein des flux, on dispose néanmoins des

h.6tugeu uf,lsrgldê Mav6i*69àê &$à iesrSteâlisÉlé$h§*! N*&k &§vtdÉêÈrëiiitBàoæs§

À.4

is Apple

Muse R*vie$rÀ a.r;rl1r ;rd.ra.1i.N1, !/ibilr.r' )i.«xn tn..Nbs.iirr.r'..i ùe: lt. ln.i ù..r. rfn.ikiYr.rlô,rc. rr$ !!!i, r.r,irn4roitnce lreri:.,, irnÿirÿfi t€ alrJ5 ard a:t2rf,ler.a..r a3voritss iie §!.:il i.tl.9hltness ls lÿr* :rèrlasr.ii{r is rin rnsia.r..n.jc, -

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iq

n

GMArAl3êsEhE

Ƨ,os7o.rw: ,.

ffeâ lftÉ ra2 d.É9§]]]:j.\:1].1.:: r .]- ]' :: -

universelle et gratuite tout à fait conforta ble. La

divers services de partage: Pocket, Twitter, entreautres. Le service est donc par lui-même fortintéressant.

Mais comme Feedly propose également une APl, onest libre d'utiliser d'autres applications qulvonttravailler en utilisant Feedly comme suppoft. C'est

notamment le cas de Mr. Reader sur iPad, Reeder suriPhone et désormais sur iPad. Sur Mac, il n'existe que

deux applications pour l'instant: ReadKit et NewsBar.

Cûmpârêtil de Liyrs Pl0t0 Âplte taumhes ',Xid§,, Àppe' srFsusitumédçle §oreCâlegory

--=-

Prix: Gratuit (abonnement « pro » possible:

45 S.par an)

URL : http//cloud.feedly.co

Distribution : www.getanysmd.crn

Les plus: excellent service en ligne, interface

soignée, extension pour navigateurs, client i0S,

bonne adoption par les éditeurs tiers.

Les moins: quelques lenteurs sur la

synchronisation.

Ôaa !:!l:,ri:ô,.{.r*.rl,:-.rijtiQ;.$r.!§:tr§1.Ël.r-8..8_ti.q.t.r_q,,.-q,r r§l:&;:ptlrr-t,s,*."".""

1,:ril::i::::,1::la::::t:i:t.:a:.:iii,l.:lr::::l::;::lr:r::,rr:::]:;:t:t,,,r:

*§ §Lï»e x q

.l !ôwauÆôNtr*r lous les élémêfiis

l=,'-, 'q

-.,{}r ÿr.ÿ$ o

O ***''r)',?Prix: Gratuit (pour l'instant) URL: http//theoldreader.com

Les plus: actuellement gratuit; basé sur une idée de communauté avec partage de flux entre

« amis » Les moins: très peu de clients tiers, pas d'intégration avec les autres services de par-

tage...

iljoue la carte de la communauté

! I a failli disparaître en même temps que Google Reader,

! submergé par de nouveaux inscrits ! Mais ses fondateurs

! ont trouvé de nouveaux financiers et The Old Reader

I ii:i'i"ii:]:iï,1 iff ï ;ï; i : :ï::: *$t J."'fonctionnement ultérieu r.The Old Reader est un service de lecture en ligne, mais ausside synchronisation et il a une API pour des lecteurs tiers. llidéeest ici communautaire : possibilité de mettre des flux en « par-tage » entre membres de la communauté, et notifier si l'onaime ou pas tel ou tel lien. llinterface est spartiate, maistraduite, ce qui est un bon point. Uajout de flux et larécupération de fichier OPML ne posent pas de problèmes etl'on utilisera la communauté pourtrouver de nouveauxflux.Pas de client dédié OS X et sous iOS on devra se contenter deFeeddler (gratuit) dont l'interface est peu encourageante maisassez complète, avec notamment les services de partage.Gageons que d'autres viendront dans le temps.

Vous et Votre Mac No94 " Novembre 2013

Page 41: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

lhpplication la plus complète sur lrlac

eadKita connu un démarrageen douceur. Mais

profitant de la disparition de Google Reader, il a

ajouté à sa fonction première de client des

principaux services de lecture en différé, le

support des API de pratiquement tous les

services de synchronisation (gratuits comme payants). Bref,

Readkit est devenu un incontournable sur Mac.

Peu onéreu& il devient rapidement le seul logiciel de

lecture puisqu'il pioche les infos à toutes les sources Pocket,

Pinboard, lnstapaper, Readability, se branche directement

sur Feedly, et si on n'a pas besoin de synchronisation, il

dispose de son propre lecteur de RSS autonome.

llinterface est soignée et élégante. Elle est de plus

personnalisable. Pour lire des contenus sans devoir en

passerforcément par un navigateur (certains services de

RSS sont aussi peu diserts que Twiüer) ReadKit dispose d'un

système de lecture via Readability (affichage des seuls

textes et illustrations) mais n'intègre pas le WebKit si bien

qu'ilfautsouventtout de même ouvrirSafariou un autre

navigateur. Les favoris sont disponibles, comme lestags et

la possibilité de créer des dossiers intelligents. Le partage

n'est pas en reste avec le support de presque tous les

réseaux sociaux du moment.

æ *****Prix:3,60 € Éditeur: CuriousTimes Distribution: App Store

wtw.cuioustines.de/nnaderles plus: Une interface personnalisable; une palette

étendue de fonctions; l'intégration des services de synchronisation des flux RSS

et de partage, y compris vers d'autres applications; la synchronisation est de

plus paramétrable... Les moins: Mr Reader n'existe pas sur iPhone.

*ÿ *

I

t f i'jL:rd dir.ir*b':!!r§..i

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o !+, !-,!. *§.in.rsrl* :.9k1.+ drb{r l§c.l

Err:rr.. . -ÈrÈda i r. É

;ffi

€ ***ti,Prix:450 € Éditeur: Webln Configuration: Mac lntel 0S X 10.7*

Distribution : rllar App Store, httpl/readkitaW.con

Les plus: une interface agréable et toutes les fonctions nécesaires au rendervous; support de

tous les services de lecture en différé; support des servhes de synchronhation des flux RSS Feedly,

Fever, NewsBlur, Feed trimnglet Feedbin... Les moins: à part qu'il n'est traduit, je ne vois rien.

o Nouvæu bouton Homô et nouvelles coule!§ pour 191o9N1311:16

paymenl seflice lsis in toublê âs

ôn clnssrc disnês fô. û!€i a decade rhan

.sÿiew is oad ôf Macuôild3 G€.nF€st

has askod the F$€ral Conrnuîrcalions Coôù!§ôn 1r!

{. rhs.!Èer. rne u s. cu^.. raê DÈpdnlrerr s Ndlionr rel,.ô

lo dæÿiminalize cèll phoæ uôlocking 191091æ13 l7:llacopyishi ÿslâton io unlock yo!, cèll phonê wdhoul ê

§how lû The §hüinq Men(

*i Open in Safêri

E Email Link

q EYernole

§ Poekel

§ copy URL

,Ê Omnifæus

No1 §hown lr trh6 Shârin§ t$e6u

m App"æt

I §ufs

§l Pinbgard

§ Copy§hortURL

r. Delicious .

Mr Reader

le lecteur iPad fort en seruices!

i la référence a longtemps été Reeder,

Mr. Reader est un choix judicieux, car il

supporte de multiples services payants ou

gratuits, comme Feedly. ll est également

l'un des rares à permettre de gérer sur iPad

les abonnements (ajout, organisation etsuppression). Côté interface, Mr. Reader dispose de

thèmes, que l'on peut télécharger ou modifiermanuellement.'Les modes de lecture sont de plus

variés. Si l'affichage du flux lui-même est possible

(donc tronqué), il offre aussi l'affichage de la page

source en mode Web ce qui permet d'avoir tout lecontenu ians passer par Safari Mobile. ll supporteaussi des §ervices de lecture en différé comme

Readability, Pocket ou lnstapaper. À noter que le

mode d'affichage se choisit flux par flux.

Àtout instant, on peut également modifier les

polices, la disposition des commandes, le marquage

en favori ou encore l'export. Le point fort de Mr.

Reader est la variété des services de

partage supportés. Twitter, Evernote, Pocket, envoi

vers d'autres applications (par exemple,

Omnifocus). llsait même résoudre les liens vers

iTunes sans quitter le logiciel. Ajoutons à tout cela

une totale gestion des options de rafraîchissement,

ou de cache (3G, taille, import ou non des images).

Vous et Votre Mac N'94 Novembre 2013

Page 42: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

c'est bien moins évident que de sim-plement changer de logiciel deconsultation !

Pour récupérer les flux d'un lecteurRSS, on utilise un format d'exportsupporté de façon universelle : les fi-chiers OPML. CeluÈci comporte les in-formations des flux, mais on perdl'éventuelle organisation en dossiers.

La plupart des services candidats à la

« reprise » proposent de récupérerles informations de Google Reader

afin de gardertoute l'organisation ouencore les tags et favoris.

Qurrcurs ru-rrRNATrvEs

Suivant l'annonce de l'arrêt pro-grammé du service, on a vu apparaî-

tre un ceftain nombre de services enlignes compétitifs. Nombreux sontpaya nts com me Bo zQux (httpsl haz-qux.com), F e e d b i n ( https:/ff eedbin.me )

ou encore Fee d Wrongler (htfp:l Ifeedwrangler.net/welcome.html). loussont basés sur une API et un service

en ligne, avec un abonnement annuelou mensuel, donc payant. Le seul qui

est à la fois gratuit et qui disposed'une option payante (qui peut assu-

rer la pérennité) est Feedÿ. Feedly of-fre aussi une APl, gratuitement, quiestà cette heure la plus utilisée pardes applications ou des services tiers.The Old Readerest un service actuel-lement en bêta, quifaitfigure de re-tardataire. ll ne dispose pour l'instantque d'un service gratuit et de très peu

de logiciels qui utilisent son APl, son

lecteur en ligne n'est pas très pra-tique. On peut égalemenTciTer Fever(www.feedafever.com) qui est un sys-

tème auto-hébergé: il faut de ce faitdisposer soi-même d'un serveur(payant)ety installer le logiciel, quiestun client personnel de RSS. Fever per-

met de disposer d'un lecteur en ligne,

mais aussi d'y raccorder des clientstiers. llinstallation n'est pas forcé-ment à la portée de tout le monde.

Tous ces services disposent d'un sys-

tème d'import de fichier OPML, etd'une période d'essai gratuite quand

ils sont payants.

lls offrenttous un mode de lecture en

ligne, car il y a un avantage évident à

pouvoir utiliser n'importe quel navi-gateur, sur n'importe quelordina-teur, tablette ou smartphone. Cer-

taines interfaces en ligne sont plus

raffinées que d'autres. Feedly pro-pose une interface riche, personnalÈ

sable, avec de multiples options d'ex-port et même une extension pour di-vers navigateurs. Mais proposer uneAPl, c'est mieux encore puisqu'alorsles utilisateurs ont le choix de passer

par des applications natives nom-breuses et variées.

Qurr-s ucrruns DE FLUX RSSUTILISER?

Sur Mac, les lecteurs de RSS sontnombreux. On peut citer l'excellentReodKit (http://readkitapp.com) quisupporte de nombreuses sources, ycompris des services de lecture en dif-féré comme Pocket ou Readability,

en plus du RSS. Sur iOS, on a égale-ment l'embarras du choix. Mr. Reo-

der (www.curioustimes.de/mrreader) est

celui qui propose actuellement le plus

grand support de services, suivi deprès par ReederZ (http://reederapp.

com/ios) quifait un retour en force àl'occasion de la sortie d'iOS 7.

D'autres logiciels ont fait le choix del'autonomie : NetNewsWire 4 (httpl Inetnewswireapp.com) est en bêta pu-

blique et propose de gérer les flux enlocal : pas de synchronisation prévue

entre plateformes. Pulp (www.acryli-

capps.com/pulp) utilise, lui, iCloud poursynchroniser ses flux entre ses clients

Mac et iOS. NewsBar RSS Reoder(www.newsbar-app.com) uti lise soitiCloud soit Feedly pour se synchroni-

ser et dispose de ses propres clientsiOS et Mac.

Lr RSS n'rsr-LPts HAs BEEN?

L'avènement des réseaux sociauxsoulève la question de la pertinence

du RSS aujourd'hui. La plupart desgrands sites ont un ou plusieurscomptes Twitter et publient entemps réel et en moins de 140 signes

leurs nouvelles entrées. Twitter estgratuit et dispose de clients multipla-teformes ainsi que d'un service enligne. Mais justement en limitantI'alerte à de très brèves notifications,

Twitter est plus un compagnon duRSS que son fossoyeur.

Les flux RSS sont souvent plus consé-quentt et paffois même donnent lec-

ture de leurs articles complets, ou à

une sélection d'entre eux. Le RSS

n'estdonc pas mort !

D'ailleurs le branle-bas de combat qui

a suivi I'annonce du retrait de GoogleReaderen est la meilleure preuve.

IJenny Lemessager

S'abonner à un flux RSS dans ReadKit

! a première chose à faire est de trouver le lien du flux. Safari n'ayant

I plus de bouton RSS en standard, il faut ruser. Généralement, je me

Lcontente d'une recherche Google sur tle'iom du sitel plus [rss]. Avec

« macg rss », je tombe immédiatement sur tous les f lux RSS du sited'information MacGeneration . Je clique droit sur l'icône RSS ou

l'adresse du f lux voulu , et j'en c0pie le lien (menu contextuel)

J'ouvre Readkit et demande Fichier > Add Feed Subscription.'Dans la

feuille qui s'affiche, je colle le lien et choisis éventuellement un groupe.

Et c'est tout ! tn quelques secondes, les entrées les plus récentes

s'affichent . Notez que MacGeneration est généreux et donne en RSS

lecture des articles en entier , sans que vous ayez à vous rendre sur le

site web. lr4ais souvent, on n'a droit qu'à un résumé du sujet.IBLD

i.: :r,ô:16,11.,lm * æ+il ;-,'h

l

i EEEVi

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{,' 'BêffiffiI

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Vous et Votre Mac No94 Novembre 2013

Page 43: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

es lanceurs d'applications (/aunchers en

anglais) ont toujours eu sur Mac de nom-

breux amateurs. Pourtant lancer une ap-

plication n'est tout de même pas sorcier !

On ouvre le dossierApplications, on choi-

sit l'application et on double-clique dessus. Si l'ap-

plication estdans le Doclç un simpleclicsuffira pour

la lancer. Alors pourquoi les lanceurs dédiés sont-ils

si répandus sur Mac?

Er pounouot nr pAS sE coNTENTER DE SpoTLTGHT?

D'abord, vous pouvez fort bien vous en passer car

Apple propose dans OS X au moins trois systèmes

de lancement. llya d'abord Spotlight. Comme lan-

ceur, il se comporte plutôt bien comparé à la

concurrence, saufqu'il Â'apprend pas au fil de l'uti-

lisation, et affiche pqrfois quelques éléments inop-

portuns ou mal classés dans la liste des applications.

Utiliser Spotlight comme lanceur d'applications,c'est simple. On clique sur la loupe à l'extrême

droite de la barre des menus porr Oeuoi6à] t.champ de recherche. Ou bien, sans quitter le cla-

vier, on applique la combinaison standard

[ctrl][barre d'espace] quidonne le même résultat.

Cette combinaison peut être modifiée dans le pan-

neau Clavier des Préférences du système, onglet

Raccourcis Clovier; vous pouvez utiliser les touches

de fonction de « f1 à f12 >>, Cest pratique.

Quand le champ de recherche Spotlight est affiché,

tapez une première lettre et immédiatementÿaffi-

chent en dessous les éléments dont le nom com-

mence par ce caractère. Pour aller directement au

bon élémenç tapez quelques lettres suivantes, en

général avec deux ou trois lettres l'application re-

cherchée est affichée dans les deux sections : MerlI e u r ré su ltot eT Appl i coti o ns. Surl ignez l'application à

la souris ou avec les touches fléchées.

Voici (copie d'écran à gauche) la liste des applica-

tions sur mon Mag retournée pour la lettre « f ». On

ytrouve en premier l'application iFlicks qui ne com-

mence pas par « f ». Spotlight est

un bon lanceur d'appoint, mais si

vous utilisezvotre Macdefaçon in-

tensive, un lanceur dédié sera pré-

férable.

Quant au LaunchPad, hérité d'iOS,

il n'est accompagné d'aucun outil

de gestion ni de personnalisation. ll

a tout de même un champ de re-

cherche. ll pourra séduire les utili-

sateurs qui n'ont pas beaucoup d'applications ins-

tallées et qui netravaillent pas ou peu au clavier. En-

fin, le lanceur le plus direct est sans Ôonteste le

Doc( mais la place disponibleyest limitée.

Les lanceurs permettenL eux, d'ouvrir un logicielen

deuxtemps maximum, peu importe qu'ils soient

stockés dans Applications ou ailleurs. On tape la ou

les premières lettres du nom de l'alplication quiest

généralement proposée en premier et on frappe la

touche [entrée] sans autre forme de procès. La dif-

férence clé.est ici l'utilisation du clavier ! Pas besoin

de déplacer la main sur la souris ou le trackpad, pas

besoin de naviguer dans les dossiers pour chercher

la bonne icône.

Lts lpplrcrroNs AU BouT DEs DotGTs

Le lanceur est souvent doté d'un zeste d'intelli-gence et il apprendra de vos habitudes. ll saura que

si vous tapez « s », Cest Safari qu'il devra présenter

en premier, car Cest l'application que vous lancez le

plus souvent en tapant cette lettre au clavier.

Au final, le gain de temps est important. Rares sont

ceux qui travaillent toute la journée sur leur Mac et

n'ont pas un lanceur dans leur arsenal !

ll existe de nombreux lanceurs d'applications. Je

vous propose une sélection de quatre produits ba-

sés sur la recherche, plus deux autresjouant plus

sur les icônes. lls ont chacun des forces et des fai-

blesses. Àvous de faire votre choix !

I HenriDominique Rapin

Tüut affiÉher dans lë Fiflder

Àiiirridnliùl: lÛ ifli{ks

§ rsumm.app

@ riteaüa.app

48 | Vous et Votre Mac . No94 . Novembre 2013

Page 44: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

le Ianceur à la mode

fl)ommenÇons avec Alfred quiest aujourd'hui Ie lanceur évolué Ie plus connu.

I ll a su gagner en quelques années lesfaveursdes utilisateurs avertisde Mac

Vgrâce à sa modularité. Le loqicielest disponible gratuitement sur la Mac App

Store dans une version qui s'avère amplement suffisante pourfaire office de

lanceur d applications.

0n applique une combinaison de touches pour faire appamître un champ en plein

milieu de l'écran.0n tape une lettre, et une liste d'applications se déploie dessous.

Pour comparaison avec Spotlight, regardez sur la copie d'écran la liste retournée

par Alfred en saisissant la lettre « f » sur le même Mac. Le nombre d'applications

est plus important. Elle contient des logiciels dont le nom contient la lettre « f »

comme Dragon Dictate Français, ce qui est un plus lorsque l'on a oublié le nom

d'une application. Alfred apprend de lui-même, et rapidement place en en tête les

applications les plus utilisées. Mieux, il affiche un raccourci clavier ([cmd]+[chiffre])

pour lancer l'application directement. llinterface est paramétrable, en particulier

pardes thèmes de couleurs.

0n peut approfondir l'usage dAlfred via lbption PowerPack payante. Elle apporte la

possibilité de créer des scripts et ajoute de nombreuses fonctions pointues.

€*****Prix: Gratuit (version suffisante pour Ie lancement d'applications). Versionpayante (20 €) pour les fonctions avancées.

Éditeur: Alf red Team www.alf redapp.com Configuration : lntel, 0S X 10.6+

Distribution: Mac App Store (PowerPack sur le site de l'éditeur)

-"'l

ffim,mffHà**ryr Type Fut0 /rqpÉgmior*.,IÿF Ftr.æ

Ell##m.*"*...... PBFBenPÿo

,'Ap$ic{dbfÈf}Of,pe!PB€pp

.r,.. Lilre dee policÊs: .' lApdicdidsF6dBæk.sÉp

sffii*mm.-lo( FaTTimg

--_

rffiEtmâtr

puissant mais trop complexe

uickSilver n'est pas à proprement parler une « nouveauté ». ll fut même le lanceur« roi » de la fin des années 2000. Programme gratui! son développement fut arrêtéun temps pour reprendre doucement depuis 20L1.

La version actuelle est complète, bien plus qu'Alfred, et Cest justement le problème.Au démarrage, on sélectionne dans les Préférences, des plugins qui rajoutent des fonctions(on en compte plusieurs dizaines-voirle détailsurle site du projet qui les recensetous).Par exemple, le plugin pour Mail permet d'afficher, dans la liste des résultats, des messagesgérés par Mall. Nombre de ces fonctions n'ont pas forcément grand intérêt pour Iecommun des utilisateurs, en plus il faut configurer l'utilitaire dans une interface qui n'estpas des plus simple, assezvieillotte eten anglais. Rien de comparableavecAlfred qul, lui,est utilisable dès l'installation. La lettre « f » dans Quickilver retourne une liste plus

complète, avec lesvolumes et lesfichiers.Grâce aux efforts de l'équipe qui l'a repris, Quicksilver a retrouvé une place de chalengermais il reste du travail à faire pour rendre cet utilitaire plus simple et plus intuitif. llfautreconnaître qu'en l'étag il offre gratuitement l'équivalent des fonctions avancées d'Alfred -mais mieuxvautêtre un utilisateuraveftiet un brin bidouilleurpouren tirervraiment parti.

e ***t*,Prix: Gratuit

Éditeur : 0uicksi lver P r oject httpl/qsap p.co nConfiguration: Différentes versions lntel et PPC, depuis 0S X 10.3

Distribution : Site éditeur

I flri*,** )

I5l5-,iillffif,,*,,0,,* 'f e1 m. ai ffiitr. IrP,âpp

-jÀËIr .-3T 1ti. lerjri . ,,P rrfirÿ)n,eL_+fue ÀËË

4 ,1î#1ff*"r.,{f4É.Éni;.di.rr?,14,.a*, ';,1| ra*e.app i\-./ j À{pl.Æs, i r riàkelpû

L) l#;iHf,,,,,.,*"u"

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Q,( lffËIlf,i,i.Ë*",,*. -uo

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fiÉfita f*{ À!ê{ ztl. À l-t4Bne ârd Bu.§i$Êir;rftr. ialtJjj

fi,twÊ Chrerpl

.§+ l Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013

Page 45: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

simple, en français, et plein de bonnes idées

ette petite application n'a pas reçu de miseà jourdepuis 2011mais

n'en fonctionne pas moins avec la dernière version de notre

système préféré, et mêmedans Maverick. Launchersecomporte

commeAlfred ou Quickilver: une combinaisondetouchet une lettre

frappée sur le clavier et les applications sont listées. La copie d'écran

donne le résultat pour la lettre « f » toujours sur la même machine,

comparez avec les autres. Notez la différence : la liste retournée ne

comporte que les applications dont le nom commence par « f », alors que

lesautresapplications cherchent la lettre danstout le nom. Mais ilya un

bon point à attribuer pour la prise en compte des applications Windows

(du moinsvia Parallels Desktop quiest levirtualiseurque j'utilise). Et un

autre pour les raccourcis clavierautomatlquement attribués aux résultats.

Voyez aussi en bas de la fenêtre, la définition de la lettre « f ». C'est que

Launcherfait des recherches surGoogle, Wikipédia, Amazon... Et

quatrième point positif, bien que son nom soit en anglais, son interface est

en franpiq ycompris l'aide- les recherches sur les sites lnternet se font

bien sur lessitesfrançais et non anglais. Que demanderde plus?

O **t*tPrix: Gratuit

Éditeur : Nulana w w w.n u I a n a.co nConfiguration: lntel, Mac 0S 10.6+

Distribution: Mac App Store

urüoL*{

,J:i., lr In , :," u. ",-i

un lanceur bien conçu mais un peu cher

apTap est un utilitaire de l'éditeurfrançais Tri-Edre, assez ancien

déjà mais régulièrement mis à jour et il fonctionne très bien sur les

systèmes récents. Le programme s active en tapant deux fois la

même touche, par défaut [cmd]. ll s'avère plutôt complet, et surtout

très évident d'utilisation. Une fois un élément sélectionné dans la liste

des résultatt une suite de commandes est proposée en menus

contextuels. De petites icônes sous le champ de saisie permettent de

restreindre ou d'élargir la recherche aux applicationt fichiert lnternet,

contacts et dossiers. Je note la prise en compte des panneaux de

préférences. Toujours à titre de comparaison, voici le résultat avec la

lettre « f ». Points intéressants : la possibilité d'indiquer différents

emplacements d'applications, de retirer de la liste une ou plusieurs

applications que l'on ne veut pas voir lister, et la section lnternet qui

s'appuie sur les favoris de Safari et Firefox. TapTap n'est pas mal conçu

du tout. Je regrette une interface peu en phase avec celle d'OS X et son

prix aussi élevé que celui d'Alfred avec PowerPac( alors que ce dernier

esttoutde même plus puissant.

o i****Prix: 19 € (version de démo disponible sur le site)

Éditeur : ItEdre www.tr|ed re.f rConfiguration: lntel,0S X 10.6.6+

Distribution: Mac App Store et site éditeur

- Fantxtitrl.æo Édirer le descriptif-..r

§ Fetcher.app

ti Filê and Folder...ttiên Êack.àpp

§l rit"zitt"."ra

i] ri*fox.app

E FLÂCTuner fLAc ConYerter.app '

p Flare.apt

'- Flèsh PlaYer,trelpüe

*# i Vous et Votre Mac .' N'94 . Novembre 2013

Page 46: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

,li-,l

lirr '

un lanceur par icônes et haut en couleur

our compléter cette sélection, je vous propose un utilitaire forten couleur ! Bevy est inclassable. C'est un lanceur aÿpique :

double-cliquez sur une touche et une fenêtre remplie d'icônesapparaît. Ce sont celles de toutes les applications installées survotreMac. Pressez une lettre et ne resteront « illuminées » que celles dontle nom la contient.

Bevy permet d'organiser les applicationssousforme de sections, les

plus importantes devan! suivi d'une section jeux. À noter l'affichagedes applications Windows gérées par Parallels. On peut certestrouver dans Bevy un air de Launchpad, mais il s'en distingue par unclassement plussouple que la solution d'Apple, et la mise en avantdes icônes en couleurs par rapportà la lettre frappée est astucieuse.Bevy s'adresse à ceux qui ont de nombreuses applications et pour quiles icônes sont plus évocatrices que les noms. Dommage qu'il afficheun prix trop élevé par rapport aux autres lanceurs bien plusperformants.

e tt*t:.Prix: 9 € (démo disponible) Éditeur: Bergdesiqn

ht t p //b e rg d e s i g n.c o m/b evy

Configuration: lntel, 0S X 10.6.6+

Distribution: tr4ac App Store

,i: ,1

€ ***)'ir':.,,''Prix: 30 €Éditeur : Chronos www.ch ronosnet.co m/prod u ctsla u nch n agic.htmlConfiguration: lntel, Mac 0S 10.6*

Distribution: Mac App Store

lhncêtre du LaunchPad

l ans le même espritque le LaunchPad d'Apple où que

I I Bevy, cet utilitaire est vieux de plus d'une dizaine d'annéesY mais a éré rajeuni par son éditeur Chronos en 2012.

LaunchMagic est très largement personnalisable, toutl'inverse du LaunchPad, grâce à un ensemble détaillé d'options.On le placera de préférence en plein écran. h zone principalepropose toutes les icônes d'applications (dont on peut peaufinerl'affichage comme on le souhaite) mais on peut aussi définir desdocks multiples en bas ou encore accéder à des dossiers et desdocumentsfavorisvia une barre latérale à droite. [applicationinclut un outil appelé Blaster, quis'apparente auruban des applications actives ([cmd][tab]) d'OS X, avec lapossibilité d'appeler les applications de ses propres dock.LaunchMagic supporte l'interface de QuickLoo( très utile avecles documen§ pour les regarder avant de les ouvrir.LaunchMagic est puissant mais lourd. Et c'est aussi l'utilitaire leplus cher de cette sélection - bien trop cher.

i Vous et Votre Mac No94 , Novembre 2013

Page 47: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Optimiser l'autonomiepour profiter plus de son podable

ir- Bien que læ MocBook bénéficienl ù choque nouveou

modèle, d'une réserve d'énergie loujours plus importonle,

oplimiser l'usoge de lo botlerie resle un impérolif.

Non seulemenl pour prolonger lo période d'oclivilé du

portoble, mois ousisimplemenl porce qu'une boTterie

coûle cher el qu'il esl bien bêle de ne pos essoyer de lo

conserver le plus longlemps possible!

ourquoi optirhiser l'auto-nomie dema nderez-vous ? La dernière généra-

tion de MacBookAir 11" a

une autonomie de neuïheures selon Apple, et le 1-3 " une au-

tonomie de onze heures !Vous par-

tez le matin pour une journée detra-vail, et vous rentrez le soir sans avoir

eu besoin de recharger dans le cou-

rant de la journée. SiApple ne mentpas sur les chiffres qq'ilannonce,l'usage que nousfaisonstous les jours

de notre ordinateur nous amène à

faire varier son autonomie du simple

au double. ll faut donc rester prudent

etveiller à optimiser l'autonomie de

la batterie. Pourcela quelques règles

simples sont à suivre.

UNr sffrrRtt rru aounr smrÉ!llespérance de vie d'une batterie se

décrit en nombre de cycles. Un cycle

de charge correspond à l'utilisation

de I'intégralité de l'énergie de la bat-

terie - pas nécessairement une

charge complète. Un cycle complet

peut être décompté au fil de plu-

sieursjours, avec des alternancesd'utilisation du Mac connecté au sec-

teur.Appledonne pourchaque modèle de

MacBoolç un nombre de rycles maxi-

mum au-delà duquel l'autonomien'est plus garantie. La batterie pourra

toujours fonctionner mais la charge

sera de moins bonne qualité (en des-

sous de 80 %) et il sera alors conselllé

de la changer.

Connfirnr LE NoMBRE DE cYcLEs

Quel est donc le nombre de cycles ?

Pour un MacBook récent (livré depuis

2011), il s'agit de 1000 rycles. Si vous

effectuez un cycle parjour, cela re-piésente quasiment trois années

d'utilisation intense. À titre d'exem-ple, mon MacBookAira douze mois.

Je l'utilise tous les jours mais il n'af-

fiche que L53 cycles. À ce rythme, je

dépasserai allègrement les trois an-

nées. Sans aucun doute, les batteries

livrées parApple offrent plusieurs an-

nées de bonne autonomie.

Cê;YMatÉrie!

Àimertatlon

Àsd io

8lüÈtoolh ' o,

CüftÊs fthÊrnet 'vfÀltes Fflcane: vidÈa I mâfi.t...DiaÈnôsG( tFibrc Ck**sÈlFirewlrecrÀuüre de ditEÊe

ItrpaimàntÉsLettËur dÊ calteMBtÉriea flÀlBItdÉnrûirE

5À5

SÀTAlSATÀExpres !§fsl para:lêle

sFr

5tÉEkâscI tundel§odÎ

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L:=:ï*-"

l{formntions d! la büncrit :

lnformàtiofls gur lt moCèle:Na dç sdr;ei -

Fabriranl:Nom dÈ l'àppÀreil:Pack Lat füdÈlPC§ Lot aBd€:Veasion dü prcgrsmril€ interneRÉYision dù milÈTitllRËütiùt de piie:

lnfëmètiois 5ur la chlrgelahar§e restnfrte [mAh]lCharge complète:En asûr5 de Èharsement;

?büil

!173

NsnNÈh

lnt€nsitÉ dÊ lsurefti (mÂ): -:.44flTensiof, (mV): 7715

i RéslègÊ5 d'êliwiltatiûs du §y§témÈ i

ÀlimentÀtisn 5Èrtcur:Mtfiuteri€ dÈ susÊeirsisn d'ùfiiîité d! 5yÉtÈmt {,triôlte5}:Mi*uterle d€ suspensièF d'àçtivitÉ du dilque (ffinutê§:: Û

Miîutërh de !uspÊnsisn d'üctivltê du flûniteu. (ffiintnȧ;:

RèJct;vation Far un (hangcment de tenlioF:

€conomiseur d'énergie-ffi]

aL

]5 mn

§!uspendre dès que potsible l'àctiYité des dllques durg

tObscurcir légèremènt l'é(tan quând I'ordinateur forctionne su. bàtterie

-j Àctivêr Power Nap guand l'ordinateur fon«ionne sur batie.ie& ruspenrion d'adMté. 6tê Màt côitlnu€ dc 5'd.ofr du rftrdêr" das (ÀlendaieB et d'autrcÉmi5e5 àlour lcloud

th

ordinâteur en veille, apr!: , Æ^,

1mn ,,mo**)Ê.(ranenveillÉaprèc: V

gAfficher l'état de lÀ batterie dèns la barre des mtnus

Pour êmpêcher les modtfitàtions, cliqdez icl

Vous et Votre Mac * No94. Novembre 2013

Page 48: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

L'alimentation Bluetêoth e5t désactivée. Pour utiliser Blu€tooth, vouJ dêvez diabordl'a.tiver,

,,.,,lctva §l rite(têbiÈ

6Afficher Elueteoth drRs la barre des menus

Ssuspendre'dQs que possible |activité des disques dursldah..,,..i' l;-À..-Âàr I'i.'.x â',.âi l,^,/;-!)-!,, r^-.)r^6È-.,!, L,*À-r-

l-lAdiÿer Power Nap guand l'ordinateur fonctionne sur batterieh lusBnsion d'ôdiliaé, rctr€ Ma( (ontlnuê d! !'maupêr du rourrlèr, dê! Glendriers êt d'Àutreltis€5 àjour icloud

Ch.rge èduelh de Ia batêrie : 99 X Duréê €itifrèe de re.ha.ge : 0:4 I Rêsièqer pâr délau!

gAffichèr l'état de là batterie dêns la barre des menus

,_)

f4" Pou. emoêcher le! modi6(arions. (liquez icl.

Prôgômmer

Pour connaître le nombre de cycles

déjà effectués, demandez À p roposde mon Mqc dans le menu Apple(Pomme), puis cliquez sur Ie boutonPlus d' infos..., ce qui ouvre l' util itaire

lnformations système. Dans la co-

lonne de gauche sélectionnezA/i-mentdtion à la sedion MoÉ rteb l§.Notez la ligne lnlormotion sur lqsonté : vous ytrouvezle @mptoge de

cycles. U ne r ubrique Con dition doitêtre sulvie de Normof ce qui indiqueque la batterie fonctionne bien.

Dors-.lr uorn MA BATTERTE?

C'est une question qui est souvent po-

sée... Réponse : OUI -au minimumune fois par mois. C'est le conseil d'Ap-ple qu'il convient de suivre !

Pour vider votre batterie, Cest simple.Débranchez l'adaptateur secteur, pla-

cez les réglages d'économie d'énergie

serceftains éléments. Gardez à l'esprit

ces cinq règles fondamentales...

) ll est indispensable de déconnectertous les motériels USB de votre Mac.

Ces disques durs ou lecteurs DVD utili-

sent le port USB pour leur alimenta-tion, celle-ci provient du Mac !

) Désactivez /es composonts radio.Wi-fi et Bluetooth sont gourmands en

électricité. Sivous ne les utilisez pas

pour un bon moment, arrêtez-les Ë[.Rendez-vous dans les préférences sys-

tème pour les désactiver. Plus rapide ?

Apple fournit des icônes qui sont plo-

cées dons lo borre des menus, afiïchez-les et utiliæz-les ffi .

) Diminuez la luminosité. Même si

une option permet d'automatisercettefonction dans le panneau de pré-

férence Économie d'énergie lEE,

lorsque vous regardez un film, dimi-nuez manuellement la luminosité:

tammentsous Parallels. Malgré les

progrès en matière de gestion de l'àli-

mentation, les machines virtuellessont gourmandes. Et Windows gère

moins bien la consommation élec-trique quand il est exécuté dans une

machine virtuelle. Éteignez ces ma-chines dès que possible.

Uur vrrl-t-É orouToNNE

La décharge en veilleçst une réalité etc'est normal. Vou$erdrez L % de

charge par heure soitl4 % parjour. En

modeVeillesystèràe, votre Mac ne

tiendra doncquetrois à 4jours !

C'est pourquoiApple cherche diffé-rentes solutions pour diminuer la

consommation même lorcque le Macest enveille. La technologie PowerNap est une solution maisApple sem-

ble s'orientervers une alternative, le

serue, Lorsqu'il esten mode réserve, /e

portoble peut« suruivre » jusqu'à30jourc sans être connedé ou secteur.

OS X s'assure que les sous-systèmes de

la machine sont en sommeil et la mé-

moire est écrite sur le disque duravantde passer en mode veille. Globole-ment ce système ploce le Moc en lé-

thorEe.

MncBoox Rrnm.. LE DTLEMME

D'un côté, vous avez la possibilitéd'utiliser lq veillesysfème, qui peut

vous emmenerentre 4 et 5 jours d'au-

tonomie, ou bien utiliser/emode Ré-

serue qui saura pofter l'autonomie devotre Mac à 30 jours. Le problème estqu'il fout choisi r entre le mode Veille

système, avec l'option Power Nap ac-

tive qui permet dd recevoir les e-mails

et autres mises à jour des applications

d'Apple, et l'option Veille systèmesans Power Nap, mais quiau bout

'd'une heure passe en mode Reserve.

Comment se décider? Sivous partez

en voyage, optez pour la version Re-

serue car il est peu probable que vous

ayez ou que vous utilisiez de la

connexion Wi-Fi, Power Nap ne sertalors à rien. Si vous restezchezvous ou

si vous effectuez des allers/retoursavec votre lieu de travail, activez Po-

wer Nap, les e-mails arriveront même

si le portable est en veille. lepossogede l'un à I'autre des modes sefait en

désodivant I'option Power Nop dons

l' on g I et Botte ri e d e l' éco nomiseurd énergie.

Mavericks regorge, lui, de petites at-tentions quivontfaire des MacBookles meilleurs portables, avec une auto-

nomie inégaléel

I HenriDominique Rapin

ffiSuspendre dès que possible I'activité des disques durs

M Obscurcir légèrement l'êcran quand l'ordinateur fonctionne sur batterie Ë

sur la mise en veille système et le cur-

seur sur lomors &tr et laissez votreMac fonctionner. Pourfaire plus ra-pide, lancez un film en boucle, votreMac ne passera jamaisen modeveilleet la batterie ÿépuisera bien plusvite.

Drs RÉouers flÉurHnrnrsLisez attentive me nt I'o rtide consocré

ou Ponnesu de préférences Écono-mie {énergie, publié dansce mêmenuméro de WMoc. ll fournit de nom-breuses informations sur les réglages

proposés, en particulier pour les por-

tables.

Afin que l'autonomie soit préservée,

vous devez désactiver ou cesser d'utili-

l'impact sur la batterie est importantvous gagnerez en autonomie.

) Une bonne pratique est de nepasI a isse r ouve rte s d e n om bre u se s a p pl i-cotions si elles ne sont pos utilisées.Lorsqu'une application est ouvertemais ne sert à rien, elle consomme dela ressource donc de l'énergie. Ce

conseil sera moins d'actualité avec

Mac OS X Mavericks, puisque la fonc-tion Power Nop (lire un article qui lui

est consacré dans ce numéro deWMac) se chargera de mettre ensommeil les logiciels qui ne servent pas

ou qui ne sont pas en premier plan.

) Fermez vos machines virtuelles.J'utilise des machines virtuelles, no-

mode Reseruequi est apparu sur les

MacBookAir Retina de mi-2010. ll nefonctionne que sur les modèles Retina

où il s'active après une heure de mode

Veille système. Les conditions sont dra-

coniennes ! Le portable doit être surbatterie, aucun périphérique USB

connecté, pas de carte SD dans le lec-

teur, pas de périphérique Bluetoothju-

melé, pas de moniteur externe et sur-

tout la fonction PowerNop nedoitposêtreqdivée.C'est pourquoi la case à

cocher Power N d p fr n' est po s qctïvée por défoutdans le panneau depr êf ér ences Éco n o m i e d é ne rg ie I

Apple préfère que l'autonomie soit im-portante en optant pour le mode Re-

.'r i Vous et Votre Mac " No94. Novembre 2013

Page 49: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

- SoLUTIoNS I MoBILITE -

Les bons réglages à faire pout

gererau mEuxl'énergie!

Apple o foil du ponneou de préÎérences Économiseur d'énergie

lo tour de contrôle de lo gestion énergélique des Moc. C'esl dons ces

fenêtres que vous réglerez les poromèlres quilouchenl de près ou

de loin les élémenls qui influeronl sur lo consommolion de voïre mochine,

et donc impocteront en pofiiculier l'oulonomie des MocBook.

ivous ne disposez pas à la fois d'un Mac « de bu-

reau » et d'un portable, vous ne le savez sans

doute pas mais il existe deux variantes du pan-

neau de Préférences Économiseur d'énergie. La

première comporte un seulonglet, et c'est elle

que l'on voit surtous les Mac. La seconde version n'apparaît,

sous forme d'un onglet supplémentaire, dénommé batte-

rie, que sur les MacBook

tly a doncsurlesportobles, deuxséries de régloges à poro-

métrer. La première contient les réglages appliqués quand

le Mac est connecté à la prise de courant; la seconde quand

il fonctionne sur batterie.

Commençons notre exploration par l'onglet commun à tous

les Mac, celui dont les réglages opèrent dès qu'un iMac ou

un MacBook sont branchés sur le courant et allumés. Notez

que même là, s elon le M ocBook utilisé, il peut y avoir des

dffirences etcertains réglages seront absents de la fenêtre.

Ainsi, les MacBookéquipés de deux cartesvidéo verront-ils

une option Perm utotion qutomqtique du Grophisme.

Qurs nÉoucEs PouR LES cunsruns?Commençons par les éléments communs et placés en pre-

mier. Le pannea u offre deux curseurcqui représentent deux

lignesdetemps' r; .

Vous choisirez dans la première, la durée à compter de la-

quelle I'ordinoteur inodif posse en mode veille système. Je

reviendraijuste après sur la notion d'inactivité.

Le second curseur présente le délai configuré ovantlo mise

en veille de l'écrqn En effet, l'ordinateur peut continuer à

fonctionner normalement alors même que l'écran est, lui,

éteint. Notez que quand l'ordinateur est placé en veille sys-

tème, la mise en veille de l'écran est impérative. C'est pour

cette raison que l'on ne peut pas déplacer le curseur de la

veille de l'écran ou4elà de lo pértode sé-

ledionnée au niveou du curseur de mise en

veille du Moc Por défaul l'écron et l'ordina-

teur sont placés en mode veille du'bout de

dixminutes.J'aitendance à réduire, pour ma

part, ce délai pour l'écran à cinq minutes, car

c'est un élément qui consomme beaucoup,

inutilement sije ne suis pas en face du Mac-

Book (ou de l'iMac d'ailleurs).

Par ailleurs, laisser en permanence le curseur sur

Jomoisn'estpas une bonne pratique, pourvotre

facture électrique, ni pour lescomposants quivieilli-

ront plus rapidement. Comme tout bon sportif, le Mac a

besoin de périodes de récupération.

8ôr-i Ëconomiseur d'énergte

* :, i I Tout affichrr

ot

Ordifiâteur en veille après

Écran en veille après

Imn .15fln th Ih ,lamôi5

lmn 15mn th

fl §uspendre dès que possible l'activité des disques durs

lÿ RÉactiver lors des acrÈs réseau

1ÿ Perrnettre la suspension d'activiré viÀ le bouton d'alimentarion-

Démarrer automatiqueffent après une panne de ccurant

Vous et Votre Mac No94 , Novembre 2013

Page 50: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

O ft n Ëcommiseurd'énergie

'.Më:*C:r:s:eyjOrdioateu. en vèille aprè3 :

/:mn lsm th ,h Jàmts

Écra en veille après ;

lmn lsnn lh 3h Jrffib

@§uspendre dès que possible l'activité dês disques durs

fllObscurcir légàrerænt l'écran guand l'ordinateur fonçtionne sür baËe.ie

i l Actiyer Puer Ne quand l'ordinateur fonctionne sur bâtteriè

ml5c5 à.lour lcldd

64ryàcullledehbacrie:99X Duréecsdnéed.r€dEræ:0:41 ile!lârês pdr déliâuI

8A§cher l'état de la batterie dàns la bere de5 menus programmer...

S lourempaclerte5modift.arioni,cltqrezici. a2)

\

Qu'rsr cr our rirnlcnvrÉo'un Mlc?Nous avons vu qu'un Mac passe en

mode Veille système lorsqu'une pé-

riode d'inactivité est détectée. Maisqu'est ce que l'inactivité au sens OS X

du terme ? Les deux premières condi-

tions sont /'obsence d'utilisation duclqvier etde la soun:s. Celles-ci sontsomme toute évidentes. Mais il existe

d'autres « activités » qui empêche-ront votre Mac de passer en modeVeille système: levisionnage d'un film(peu importe le logiciel), l'écoute de la

musique (iTunes en particulier), une

sauvegardeTime Machine en cours,et letransfertde gros fichiers par le ré-

seau.

OS X Intègre un mécanisme, unesorte de compteur, qui porte le nomde Minuterie de suspension {octi-vité. ll est réinitialisé dès lors qu'une

opération sur le dlsque dur, le lecteur

de CD/DVD, le clavier, la souris outous les périphériques d'entrée estdétectée.

Par{ois des applications êmpêcherontle compteurdese déclencher. C'est le

cas de Spotlight ou de Trme Mschineq ui accèdent aux disques du rs trèssouvent. Gordez à I'esprit que toutoccès répété ou disque durinterdit lomiseenveillesystème.Plus sensibles, les services de partage

de fichiers, l'accès aux sites Wèb ou le

partage d'imprimante auront un im-pact sur la mise en veille. Dans cer-tains cas, comme celui d'une Queued'impression, ils empêcheront la mise

en veille du système. Donc, sivouspartagez des fichiers, des serviçes ou

des périphériqu es, désoctivezlo miseen veille en ptaçant le curseur surJq.mais ou bien vbscollègues ou mem-bres de la famille risquent de ne pou-

voir accéder aux éléments partagés.

On l'oublie souvent, lqisser ilu nesjoue r de I a musique to ute lo jou rnéee m pêche tout si m pleme nt le Mqc deposseren mode veille. Alors en quit-

tant votre domicile, n'oubliez pas dequitter les applicotions qui occèdentau disque duren continu.

Écoruourr o'ÉrrRctE, PRÉcEoNS'

tES RÉGIAGES !Continuons notre exploration avec les

différentes cases à cocher EI.La première estSuspendre dèsquepossible I' adivité des disq ues d u rs.

Cette option a une importance clé sur

la veille du svstème. Une activité sur le

disque dur n'interdit pas l'activationde la veille de l'éérdg,maiselle em-pêche lo veille du^ÿstème.Veillezdoncù cochercettef,lse ou bien vo-tre Mac risque de nÈ pas se mettre en

veille système.

Cocher la case Réadiverlorsdesoc-

cès réseou n'est pas obl igatoire.

Lorsque le Mac est en veille, ilgardeun ceil sur l'activité du réseau. Si un

type de données réseau frappe à la

porte cela peut réveillervotre Mac. Ça

n'a pas beaucoup d'importance pour

les Ma§-.ytilisés par un particulier,mais cette option estessentielle en

entreprtse pour superuiser les ordina-teurs à dîstonce. À noter que sur le

MacBoo( elle présente un intitulé lé-

gèrement diffè ren|: Réactiver lorsdes accès réseou WîFi (l'adaptateur

RI45 ne supporte pas cette fonction).

Attention : sivous êtes sur MacBoo( il

y a une subtile différence entre les on-glels Botte ri e el Ad d ptqte u r Se de u r.

Dans Ie premier, il n'est pas fait men-

tion de cette option. En effet Réqcti-

verlors d'occès l/ÿr'-Fi ne fonctionneque si le Mac estsursedeur(voirl'en-cadré sur PowerlVap). Quand le por-

table est sur Batterie,l'option estr emplacée par Obscu rci r légè re mentl'écran qusnd l'ordinoteur fonc-tîonne sur batterie EI - cette fonc-tion est toujours actlvée en mode

. Sedeur.L'option Permettre lo suspensiond'activité viq le bouton d' olimento-tion n'est disponible que sur les Macet Mac mini. lloption est explicite,pressez le bouton d'alimentation etparmi les options, vous pourrez met-tre en veille l'ordinateur.

Toujours sur les Mac de bureau, unequatrième option offre la possibilité

de red é m a r re r q utomotiq ue me ntl'ordinqteur lori d'une coupure decouront. lmaginons que vous venez

de débrancher la prise secteur par

inadvertance, votre machine redé-marrera automatiquement dèsqu'elle sera de nouveau branchée.C'est important sivous pilotez un Mac

à distance : rTdoit pouvoir se réactivertout seul une fois que le couront estrétobli après une ponne. Et grâce aux

options proposées par{pple depuis

Lion, on retrouve applications et do-

cuments ouverts tels qu'ils étaientavant la coupure d'alimentation.Le bouton Régloges pordéfoutsertàse recaler sur les suggestions d'Appleen termes d'économie d'énergie. Je

ne les suis pastoutes à la lettre.Je pré-

fère réduire le temps de veille de

l'écran et je coche le redémarrage au-

tomatique de mon Mac. Mais ce sont

là des préférences personnelles... qui

n'ont que peu d'impact sur la

consommation électrique.

Ordinateur en veille apràs :

Ëcran en veille après :

@§orp.ndre dès que psssibte I'activité des disques durs Et

G Réactivër lürs des accÈs rêseau

S Permettre la suspensisn d'activitÉ via le bouton d'alirnentatlnn

i]] DÉmarrer autsmâtiqu*ment âprès unÊ pânne de courant

§f §uspendre dès que possible I'activité des disques durs

S Obscurcir lÉgèrernent llécran quand l'ordinatrur fsnctionne sur batterie EI

l] Artiner Power tlap quand l'ordinaterr fsn{tionne sur batterieEn ruspension d'aatlvité, rrutrÊ Mi( (ontinu€ de s'occuprr du courrirr, des calerdriers êt d'autresmiscr à Jour iCloud

§5 I Vous et Votre Mac. No94. Novembre 20.13

Page 51: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

es MacBook Mac assez récents disposent d'une

fonction qui fait beaucoup parler d'elle depuis

Mountain Lion: Power Nap. rVap est un mot américain

signifiant grosso modo piquer un petit somme. Mais

pour Apple, il s'agit d'un node veille intelligent qui

laisse la nachine effectuer quelgues fonctions en nodebasse consonnafion Mais, avant d'aller plus avant, un peu

d'histoire ne peut pas faire de mal... Power Nap existe depuis

longtemps. Au départ, sous le nom de code DarkWare, ellefutcréée pour Snow Leopard. ll s'agissait de contourner un pro-

blème avec le DHCP (le système d'attribution des adresses lP).

Problème qui fut résolu en créant une soluiion fonctionnant

même en veille système. Ce n'est qu'avec Mountain Lion que

DarkWare est devenu public, sous le nom de Power Nap. Mais

dans 0S X Mavericks, Power Nap prend une tout autre

dimensionl C'est lui qui est en charge de placer les applications

en sommeil, ce qui est un grand pas en avant: plus nombreuses

seront les applications mises en veille par Power Nap, plus

rapidement le Mac passera lui aussi en veille système.

Si Power Nap n'apparaît pas dans les préférences d'économie

d'énergie de votre MacBook, c'est tout simplement parce qu'il

ne supporte pas cette fonction. Elle n'est disponible que sur /es

nachines équipées d'un disque dur SSD, sorties depuis

ni-2011. Pourquoi cette exigence du disque dur SSD?

Ça s'explique par la basse consommation du disque, mais

surtout sur sa capacité à écrire rapidement des informations, là

oir les disques mécaniques sont lents et gourmands en électri-

cité. Par défaut Power Nap n'est pas activé lorsque votreMac est sur batterie.Le choix d'Apple peut paraître

surprenant d'autant qu'en dessous de 30 0/o d'autonomie, Power

Nap est systématiquement désactivé. Mais il existe une raison

qui justifie cette désactivation par défaut, vous ôurez à faire un

choix cornélien - comme je vous l'ai expliqué dans l'articleprécédent, sur l'optimisation de la batterie des MacBook.

0uelles sont donc les opérations que votre portable peut

continuer à réaliser tout en restant en mode veille? La liste des

applications impactées et des fonctions supportées par Power

Nap est très précise et les développeurs n'ont pas pour le

moment la possibilité d'utiliser Power Nap pour leurs propres

applications - ce qui est dommage, mais cette contrainte est

compréhensible tant ce mode est complexe à implémenter. Les

tableaux ci-contre présentent les applications et Ies services

utilisant Power Nap, la fréquence des mises à jour et les fonc-

tions supportées.

(l) Power Nap et le raccordement au secteur

ll existe deux classes d'opérations réalisées par Power Nap. Celles qui le sont alors que le

portable est connecté au secteur, et les autres. Ces différences sont dues au mode de fonc-

tionnement des communications: lorsque Ie portable est sur secteur, Power Nap fonc-

tionne en continu et il peut donc maintenir les échanges sur le réseau, alors qu'en mode

Batterie, Power Nap fonctionne selon des cycles où il ne peut utiliser le réseau que

quelques secondes.

En mode Batterie, Power Nap exécute uniquement les opérations dites légères 0u essen-

tielles des applications Mail, Contacts, Calendrier, Notes et Rappels; les mises à jour des in-

formations sont effectuées même lorsque le Mac n'est pas connecté au secteur. En re-

vanche, lorsque l'alimentation n'est plus limitée, il accomplit en plus des opérations plus

« lourdes » comme les sauveqardes de Time Machlne ou l'indexation de Spotlight.

Ne soyez donc pas étonné de ne pas trouver les mises à jour d'0S X téléchargées dans vo-

tre MacBook, si vous ne l'avez pas raccordé au secteur...

(2) La particularité de la fonction localiser mon Mac

Lorsque l'on n'arrive plus à remettre la main sur son MacBook Air, on peut demander qu'il

émette un son. Ce serait un moyen de le repérer facilement dans les reliefs de la couette

du lit! Malheureusement, l'émission de son n'est pas supportée par Power Nap. ll en va de

même pour le message envoyé. Pour que Localiser mon Mac fonctionne, le Mac doit être

éveillé !

Les nouvelles photos sont téléchargées depuis le

Flux de photos dès qu'un appareil i0S Ies ajoute.

Sauveqarde Time

Machine en réseau

sur Time Capsule 0)

Toutes les heures,

jusqu'à sauvegarde

complète

Exécution des sauvegardes Time Machine -

attention il y a une condition à cela (1).

Lbrdinateur envoie sa géolocalisation aux

serveurs Apple, en retour vous pouvez demander

qu'il soit verrouillé et effacer (il faut qu'une

connexion réseau soit active pour cela). (2)

Les alertes de mises à jour ainsi que les mises à

jour du système sont téléchargées en tâche de

fond, mais pas celles des applications tierces. (1)

Les mises à jour des documents sont faites sur

votre lvlac pendant son sommeil,

Vous et Votre Mac . No94 . Novembre 2013

Page 52: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

afi "\ '-' É.conomiseur d'énergie

(,(t.rrr:rt,:.,...liiirr.:1r:.ririiia.:.ti:rriir:.rirrtaa::ir11!i:rrrr....:..r!].::.::i.:'

$ Change.*ot aurernâtiqLrÊ de mode graphique . I

VûtrÊ ordinateur chàn§€ra autctràtiqlJemeflt de modÊ qraFhique afin de présrruer I'autrnom;e dÊ la bàtt€rie. l

Er us MncBooK ALoRs?

lJénergie est un élément impor-tant pour les portables. Deux op-tions quivisent à garantir unemeilleure autonomie sont doncproposées pour ce type de ma-chines. La première ne concerneque les portables ayant deuxcartes vidéo. Ce fut le cas il y a

deux ans pour des MacBook Proquiétaient équipés d'une carte vi-déo haute performance et d'uneseconde intégrée à la carte princi-pale (SoC ou System on Chip),moins consommatrice et moinsperformante. Sivotre machine enest équipée, un e option Permuto-tion automotique du grophismeli ir estvisibletouten haut de lafenêtre. Cochez là, vous économi-serez ainsi de la batterie. Le Macse chargeant de passer de l'une à

l'autre des cartes vidéo en fonc-tion de l'autonomie de la batterie.fautre option proposée estPo-

wer Nop, auquel est consacré ci-contre un encadré. Si vous ne sou-haitez pas lire ce développementretenez que Power Nap n'est, à cejour, disponible que sur des por-tables récents équipés de SSD,

pou r les se u les a p plications d Apple et que seuls des éléments es-

sentiels sont mrs àjour. Je voussuggère de ne l'utiliser quelorsqu e I e M o cBook e st co nnedéausedeur.

Pnoomuurz LE RÉvEtL Erfrxrngno]l DE voTRE MAcNous avons couvert jusque-làtoutes les options du panneau depr éf ér ence Éco nomie d éne rgie.ll en reste une qui passe inaper-

çue pour les nouveaux utilisateursde Mac, c'est pouftant une exclu-sivité d'OS X. No us ovons en effetle choix d'allumer ou d'éteindrele Moc en fondion d un jour de losemaineet{uneheure .C'est

très pratique I Parexemple le ma-

tin à votre réveil, votre Mac est al-

lumé, il charge automatiquementvos e-mails, affiche votre page

d'actualité préférée et, le soir,vous le programmez pour qu'ils'éteigne à une heure précise. Pas

de gaspillage d'énergie et pas

d'attente pour que l'ordinateurs'allume. Vous noterez les options

Réodiverpourle sortirde sa veillesystème etSuspendre pour lemettre en veille système. Vousavez là un nouveau moyen de le

forcer à se mettre en veille, toute-fois cette commande ne peutaboutir que si le disque dur estinodif.ie terminerai cet article par unedernière différence entre les Macde bureau et les MacBook.. Surces derniers, une cose à èocher

affiche dans la barre des me-nusl'outonomie de la boiterie.I HenriDominique Rapin

Qur mrnr PouR soRTrR uN MAc DU

MODE VEILLE SYSTÈUT?

Pour sortir lbrdinateur du mode veille,

utilisez une des méthodes suivantes:. Appuyez sur une touche. Cliquez sur un bouton de la souris. Relevez l'écran (s'ilshgit d'un MacBook). Raccordez ou débranchez un appareil USB

Cotvturnr METTRE EN vEttLE soN MAcIMMÉDIATEMENT?

ll existe trois méthodes pour mettre en veille

sans attendre le délai défini dans le panneau

de préférences:. Par le menu Pommeensélectionnant

Suspendre l'activité.. Cliquez sur Ie bouton Suspendreaprès avoir

appuyé sur la touche dhlimentation du Mac

(si cette option est activée).. Pour les MacBook, rabattre le couvercle.

Ëc*nara!se u r d'É narçie

srl Eemaineie vrsek-end

S Démarrer ou rÉac

I .'!;':tr:'rlir-r lundi*tardirirerçrcdije::divendredisartredidisr:anche

t/ Suspendre dès q ue pas s i b le l'actiyite,rtræx:r&rsrrs§:s{*r§l

ird RÉaçtiver l*rs des accàs rÉseau

à ûü:ü*

;r SCI:SS

I h lamais

*ril ÿx l3 h ,lamais

lrl

Ordinateui

Êcrar

Vous et Votre Mac No94 Novembre 2013

Page 53: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

i

l' i:l:,a:rii: dl

Aucun Moc n'esl livré ovec un lecteur Blu-roy, pos même les fuTurs Moc Pro. Mois on

peut touTelois ocheler un lecleur externe USB eT le connecler. Resle ù lrouver l'indispensoble

logiciel quivo vous permetlre de lire les disque+ molgré leur proTeclion. C'esl possible,

sons plus.. .

ne des contraintes tech-

niques du Blu-ray, c'est sa

protection contre la co-

pie. Le verrou électro-niqueou DRM. Pourque

toutfonctionne parfaitement, il aurait

fallu que OS X embarque la lecturedes Blu-ray vidéo afin que le Mac soit

reconnu comme un « appareil auto-

risé ». Car il faut que, dans toute la

chaîne de lecture Blu-ray,

tous les

appareils qui interviennent soient re-

connus et autorisés. Selon toute vrai-

semblance, les logiciels de lecture de

Blu-ray disponibles sur Mac opèrent

de façon détournée. C'est pourquoi,

à chaque changement de protection,

il sera nécessaire de mettre à jour lelogiciel afin qu'il puisse outrepasserles nouveaux DRM. C'est aussi ce qui

explique sans doute les tarifs des édi-

teurs -outre que ce soit un marché

de niche. Vous pourrez opterpouruntarif « plein

I . pot»avec

des mises à jou r ilf{.mitées dans le

temps, ou des prii moins élevés mais

des mises à jour pour une année seu-

lement. Gardez à l'esprit qu'un disque

Blu-ray récent pourra donc rencon-

trer des problèmes de lecture sur

Mac à cause de la protection.

TRouvrn uN LEcTEUR ExTERNE

Quoi qu'il en soit sivous avez une col-

lection de films sur disques Blu-ray, il

peut être i ntéressa nt d'utiliser votre '

Mac pour lesvisionner, soit parce que

la « grande » télévision est occupée

par d'autres, soit parce que vous ai-

mez visionner des films de cettequalité même sur l'écran

de votre MacBook Pro

dans la chambre d'un hô-

tel ou dans le train.

Deux éléments sont néces-

saires poury arriver. Le premier le lec-

teur de disques lui-même. Si sur les

Mac Pro, on peut envisager d'en inté-grer un en interne, la solution évi-

i{ 1-ô

Vous et Votre Mac " No94 " Novembre 2013

Page 54: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Sourre rer.2008.3D.MULT|.1080p.8luRay.,AVC.DTS-BlueBird.iso [1Destination ïü"rrr.iltir'i*lerrffiiolirn,."-üi;; - -,_.rri

-59,-!rç!.1!i,c .. srltirgi.,

. File NameJumper.2008.3D.MULTI. VqkpnllluRây'AVC"OTS-BlueBi rd

Filp §iza: 37.8§ 68 §peed: [ : 1

File Type: lS0 File L Ad#ced I

visit website i- tti{ j

Sauvegarder ses disgues Blu-nay

I I peut être intéressant de cloner un Blu-ray en créant un fichier lS0

I identique au disque physique. C'est idéal pâur archiver et pérenniser

I vos investissements. Vous pensez peut-être que l'opération est

compliquée? Eh bien, elle est mQme plus simple que de les lire! Et ne vous

coûtera pas un centime de plus que l'achat du lecteur Blu-ray externe. Un

logiciel gratuit comme Aurora Mac Blu-ray Copy fera l'affaire. Déplacez

l'application vers le dossier Applications et lancez-le, puis sélectionnez la

source Blu-ray et le chemin de destination. Patientez, sur un Mac récent

comptez la même durée d'acquisition que la durée de lecture du film.

www.bluray'player'sof tware.com/mac-bluray-dvd-copy.htm

dente sera le lecteursur port USB 2 ou

3 (sur les Mac les plus récents, par

exemple le Storeva Slim Burner U3que propose Macwayll). Les sim-ples lecteurs Blu-ray sont rares; il est

plus courant de trouver des lecteurs

et graveurs Blu-ray - on descendmême auxalentours des 70 euros en

cherchant bien.

Ensuite il vous faudra acheter un logi-

ciel de lecture. lls sont peu nombreux,j'en ai compté trois :Aurora (40 euros,

www. b I u ray- p I aye r'sof twa re.co m),

iDeer (50 euros, www.ideenpp.conl etDVDFab (60 eu ros, http://fndvdfab.con/ nac-blu-ray-plaqrffm). Les trois

applications propdsbnt une version

d'évaluation. Après l$ avoir essayés,

j'ai conservé pour èetarticle Aurora,mais ily a peu de différences entrechacune d'elles. Aurora présenfenéanmoins un avantage : ouvrir des fi-chiers lSO. On trouve très facilementsur lnternet des « sauvegardes » de

Blu-ray, des copies intégrales (et illé-

gales). Le poids du fichier est énorme,

entre 30 et 50 Go. Sans participer au

piratage, il peut être intéressant pour

les passionnés de vidéo, de lire lecontenu Blu-ray sans avoir à se colti-nersans cesse le lecteur externe.

Aunom PouR LIRE LEs BLU-RAY

Ilapplication téléchargée sera platée

dans le dossierApplications. Si un

disque est présent dans le lecteur, il

sera automatiquement détecté dès

l'application lancée, et le menu appa-

raîtra E. On peut bien entendu navi-

guer dans le menu et sélectionner les

sous-titres ou la langue de la vidéo.

Comme avec tout bon lecteur, vous

pourrez mettre en pause ou repren-

dré la lecture, et gérer les chapitres du

film.Si DVDFab E semble plus complet, il

a planté à plusiêurs reprises sur monMac sous OS X 10.8. Sans compter

que Ia période d'essai est très courte :

un seul disque Blu-ray I Difficile d'éva-

luer la pertinence de l'utilitaire face

aux DRM.

VLC ouvre sans difficulté les disques

Blu-ray (disque physique et même

ISO), affiche la première image mais

ne va pas au-delà ! Les développeurs

de VLC ont annoncé qu'ils casseraient

la protection des Blu-ray. Je pense

que nous n'en sommes pas loin sur

Windo6 mais sur Mac cela ne fonc-

' tionne pas. Quelques utilisateursavancés ont réussi à chargerdes com-

posants dans VLC mais le résultat est

hasardeux.

llfaut retenirque si la lecture des Blu-

ray est facilitée par ces applications, il

ne faut pas considérer que ça va mar-

cher à tous les coups ! Tôut dépendra

de la capacité de l'application à ren-

dre le Mac compatible avec la protec-

tion du disque.

Fondamentalement, avec du recul,

on peutse demandersi Apple n'a pas

eu raison d'abandonner l'optiquepour la vidéo en ligne, et nous inciterà

acheterou louer des films sur l'iTunes

Store. Le Blu-rayesttoujours là mais

les beaux jours ont disparu et les

ventes stagnent.

I HenriDominique Rapin

§* ! Vous et Votre Mac. No94. Novembre 20.13

Page 55: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Le monde Apple est porfois mql ficelé! Le porToge simplifié des fichiers AirDrop est une fonction d'OS X

mois oussi désormois d'iOS 7. Monque de chonce ou volonté délibérée, Ies deux systèmes ne...communiquenT pos! Pour pollier les corences dAirDrop entre Moc et opporeils i0$ il exisle plusieurs

outres solulions - grotuites pour Io pluport. Loquelle choisir? Pour quoi foire? Réponses.,.

e n'est pas de la science-fic-

tion : demain vous transfé-

rerez des documents entrevos différents appareils en

les faisant glisser d'unécran vers l'autre d'un simple geste

de la main. En attendant ce futurproche, il faut se contenter d'AirDropqui n'est malheureusement pas en-

core la solution idéale. En effet, sous

Loin et Mountain Lion, Airdrop est as-

sez mâl pensé, obligeant à passer par

une fenêtre du Finder. De plus, saufbidouille, il ne fonctionne pas surtoutes les machines, enfin il n'est pas

compatible avec la nouvelle fonctionAirDrop d'iOS 7, un comble I

Plusieurs développeuri ont donc in-

vesti le champ et proposent des outils

similaires, gratuits ou peu chers qui

simplifient réellement l'échange de fi-chiers entre différents appareils par-

tageant le même réseau local en Wi-Fi, voire par lnternet. Parfois, ils ne se

limitent même pas aux Mac et auxappareils iOS mais prennent en

charge les PC sous Windows et les

mobiles Android. En voici six dont les

prixvontde0à4euros.Au-delà de leur habillage, ces applica-

tions se distinguent par le ÿpe de leur

interface, qui a une Incidence directesur leur mise en æuvre.

Druxwpts o'TNTERFAcE

On trouve d'un côté les applicationsqui proposent une interface fixe:DropCopy, File Transfer ou FileDrop,

constituée essentiellement d'unezone de dépôt; de l'autre, cellesconstituées d'un simple menu qui se

loge dans la partie droite de la barrede menus: lnstaShare, Any Send etDeskConnect. Les premières s'utili-sent en déposant le fichier à partager

sur la zone de dépôt; les secondes en

faisant glisser le fichier sur l'icône de

l'application dans la barre de menus,puis sur la machine de destinationdans le panneau qui apparaît. Cettedernière façon defaire est assez acro-

batique pour qui maîtrisetout juste sa

souris.

Qursnm DhuToRrsATroNS

Sauf DeskConnect et File Transfer qui

permettent d'échanger librementdes fichiers, les autres utilitaires de-

mandent de façon systématique,comme AirDrop, de valider une de-

mande d'autorisation de réception,soit au coup par coup comme File-

Drop, soit une foH pour toutes en

fonction de l'expâditeur comme le

proposent Any Send èt I nstaShare.

Drop Copy dispose aussi d'un sys-

tème d'autorisation, mais ilfonc-tionne « à l'envers »: il est désactivé

par défaut. Dans un contexte d'utilisa-

tion domestique, entre membresd'une même famille, ou d'un petitgroupe detravail, voire entre appareils

appartement au même utilisateur, ce

système d'autorisation est plus une

gêne qu'autre chose. Surtout, par'exemple, s'il n'y a personne devantl'appareil ou l'ordinateur destinatairepour réceptionner les fichiers.

Écmrcrrvrc0SÉvidemment, offrir un fonctionne-ment encore plus fluide qu'AirDrop

entre Mac voire entre Mac et PC estune chose, mais l'important est de gé-

rer l'échange avec des appareils mo-

biles iOS et pourquoi pas Android.Dans ce cas, la meilleure solution est

la réponse minimum de DeskConnect

et FileDrop qui proposent une simple

boîte d'envoi et de réception, et non

un énième gestionnaire de docu-ments complet, avec lecteurs inté-grés, comme lê font les autres. Sur les

appareils iOS, à cause du systèmed'apps compartimentées, aucun dé-

veloppeur n'a trouvé la solution mira-

cle : l'envoi d'un fichier se fait toujoursen deuxtemps : copie de l'application

possesseur du fichier vers l'utilitairede transfert, puis envoi vers l'appareil

destinataire.

Dernier point, tous ces utilitaires ne

fonctionnent qu'en réseau local : tous

les appareils concernés doivent être

sur le même réseau Wifi... sauf avec

DeskConnect qui passe par lnternetet un serveur intermédiaire. Envoyer

ponctuellement un dossier d'un Mac

à un iPad éloigné de 10000 kilomè-

tres n'estvraiment pas un problème,

et c'est plus simple qu'avec Dropbox

etconsæurs !

Au moment de faire ldchoix ne per-

dez pas de vue votre quête initiale:vous n'avez pas besoin d'une nou-velle usine à gaz, vous cherchez sim-

plement un outil pour échanger des

fiôhiers entre vos deux Macetvos ap-

pareils iOS. Dans ce cas, la meilleuresolution est selon moi FileDrop. Le

seul petit défaut de I'application est sa

gestion des autorisations de transfeftqui ne semble pas débrayable.

I Mathieu l-avant et Bernad Le Du

#* È Vous et Votre Mac * No94 " Novembre 2013

Page 56: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

h:7 ü El § é6 Pd <.,> ü

§!n §EL Airdrop Like'dotryl Bô{ument Microssft Vyord SZ - ?tt}4

View Received Files

Prafrr*nces-. -

Quit,Any Send

on attend touiours les versions i0S...

ny Send présente une mise en æuvreun peu aÿpique : contrairement aux

autres outils de ce type qui exploitentle glisser-déposer, il fonctionne par

« copier-envoyer ». Sur Mac, on copie

le fichier [cmd][c] à envoyer, puis on déroule le

menu d'Any Send dans lequel on sélectionne le

destinataire... un autre Macou un PCWindowsdu même réseau Wifi sur lequel Any Send est ins-

tallé. En pratique la méthode se révèle efficace

car elle évite de faire glisser des fichiers vers un

menu déroulant ou une zone de dépôt plus ou

moins accessible.

Lors d'un premiertransfert, AnySend affiche une

demande d'autorisation que le destinataire doitvalider. Cet accord valable une fois pourtoutes,

les envois suivants provenant du même Macseront automatiquement dirigés vers le dossier

Any Send créé automatiquement dans le dossier

Téléchargements.

Any Send supporte tous types de fichiers mais

aussi l'adresse de la page Web ouvertè dans le

@ **ttvbPrix: GratuiL

Éditeur: Adylitica '

Configurations supportées :

Mac lntel 0S X 10.7+, Windows 7+,

Android (i0S en attente)

Distribution : ww.getanysend.mn

Les plus: dossier de réception spécifique,

envois de lien. Les moins: pas de version iOS.

navigateur courant (qui s'affichera automatique-ment sur la machine du destinataire) ou unparagraphe de texte qui selon son origine sera

transmis au format .bd ou sous forme d'imagebitmap. Malgré l'absence de version iOS (en

cours de développement), Any Send est une

excellente application, simple d'usage, à laquellè

on s'habitue très rapidement. Elle est parfaitepour un échange de fichiers au vol entre votreiMac à la maison et votre PC portable de travail,juste avant de quitter la maison.

Contacts ! Ainsi que les plans... Sur l'appareil cible(Mac, iPhone, iPad), une alerte informe del'arrivée du document quisera affiché via le sous-

menu Recent de DeskConnect. Ou bien le numérode téléphone est composé sur l'iPhone ! Sur Mac,DeskConnect stocke les fichiers reçus dans un dos-sier spécifique(-/Bibliothèque/ Applicationsupport/DeskConnect). Sur un iPhone ou un iPad -même si sur un iPad, l'écran n'est pas exploité, çan'a pas vraiment d'importance -,les fichiers reçus s'affichent dans l'interfaceprincipale de DeskConnect depuis laquelle on les

ouvre dans l'application choisie dans le menuOuvrir avec... standard d'iOS.Si l'on veut dépasser la contrainte d'un réseau

local, DeskConnect est une excellente solution.

e ***ttPrix: Gratuit Éditeur: DeskConnect Configuration: Mac lntel, 0S X 10.6.+, iPhone, iPad

Distribution: //ar App Store et App Store, http//deskmnnut.mnles plus: fait éclater les limites du ré-

seau local; pas de contrainte de nombre de fichiers ni de taille; envoi du document actif; trans-

fert iOS. Les moins: pas d'application adaptée à l'écran de l'iPad.

il passe par lnternet, et pour de bonnes raisons

lors que les autres outils de cettesélection ne fonctionnent qu'entreappareils présents sur le même réseau

local à un instantT, DeskConnect lui

assure un envoi aussi transparent de

fichiers entre machines éloignées de plusieurs

milliers de kilomètres et pas forcément en lignesimultanément, car il utilise lnternet. C'est aussipourquoi il faut créer un compte utilisateur sur les

serveurs de l'éditeu r, et le déclarer sur tous les

appareils qui pourront s'échanger des fichiers.Les serveurs conservent temporairement les

fichiers transmis, sans [imite de nombre ni de

taille, au maximum 30 jours, suite de quoi ils sontautomatiquement effacés.

Ça peut ressembler à une mini Dropbox, sauf que

l'utilisation de DeskConnect est complètementtransparente, tout en glisser-déposer. On glisse

depuis une fenêtre du Finder le fichier à envoyer.sur l'icône de DeskConnect dans la barre de menuset on le dépose sur le nom du matérieldestinataire. On peut aussi envoyer le documentouvert dans la fenêtre de premier plan, une page

web ou encore le contenu du presse-papiers.

Mieux encore, ilsait gérer les appels

téléphoniques via un menu contextuel dans

Vous et Votre Mac'No94 , Novembre 2013

Page 57: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

:1,:iir ilrl

e **lr',rr;rPrix: 3,60 € (Mac) 1,80 € (i0S). Éditeur: Delite Studio

Configuration: Mac lntel 0S X 10.6+, iOS 5+

Distribution: I/ar App Store ü App Store, www.delitestudio.con

Les plus: Accesible sous forme de Service depuis h Finder; la zone de dépôt.

Les moins: h prix; h partEe dèpuis iOS malficelé.

en glisser'déposer façon i()S

une solution payante, sans attluts

ourquoi débourser4 euros quand il existe des

alternatives gratuites et performantes? C'est la question

qu'on peut se poser lorsqu'on découvre File Transfert. Si

l'application de Delite Studio est assez simple à utiliser

pour les échanges entre Mac; en revanche les transferts

defichiers entre appareils iOS et Macssont d'une mise en æuvre

tordue qui vous ferâ regrettervotre achat sur l'App Store. Rien qui

contrebalance donc le fait qu'elle est payante aussi bien sur Mac

que sur iOS...

Pour les échanges de Mac à Mag FileTransfer utilise la technique

de la zone de dépôt: un panneau qui liste les machinesaccessibles

sur le réseau local. Sur l'appareil destinataire, aucun système

d'autorisation n'est prévu; on reçoit une notification de transfert et

le fichier est enregistré automatiquement dans le dossier

Téléchargementssur Mac (option à modifierdans les Préférences)

ou dans l'application iOS.

llfaut penser à activer l'option lmport > From otherdevlces, sans

quoi votre appareil ne sera pas visible dans le panneau de

l'application Mac ! Pouréchangerdes fichiers dans l'autre sens, la

procédure n'est pas plussimple carvous devrezd'abord récupérer

le document à envoyer dans File Transfer puis activer l'option Send

etchoisir Other Device. À ce moment seulementvous accès à la

liste des appareils connectés. FileTransferest une solution detrans-

fert de fichiers que vous pourrez adopter entre Maq si vous n'aimez

pas AirDrop. Mais si vous avez aussi des appareils iOS, mieuxvaudra

vous tournervers un des autres outils de cette sélection.

vec lnstaShare, Luké§ Foldÿna montre que l'on peut

exploiter simplement le glisser-déposer depuis un

appareil iOS. C'est la seule application quiexploite

cette mise en æuvre pourtant naturelle dans une

interface tactile. Lorsqu'on ouvre lnstaShare sur un

iPhone, un iPad ou un appareilAndroid, on obtient dans la

partie gauche de l'écran un panneau Files qui sert de boîte

d'envoi et de réception. La partie droite, dénommée Devices,

affiche, elle, les autres appareils détectés sur le réseau local (et

sur lesquels lnstaShare est également actifl. À partir de là, on

glisse le fichier à envoyer sur l'icône de l'appareil cible. Après

acceptation de l'envoi, le fichier reçu est enregistré dans le

dossier Téléchargements (à modifier dans les préférences de

l'application Mac) ou dans lnstashare iOS. Sur Mac, lnstaShare

s'installe en barre de menus et son icône liste les appareils

àccessibles sur le réseau local et fait office de zone de dépôt.

Pour des transferts entre Mac, on peut autoriser une fois les

transferts, ce qui ne semble pas être le cas depuis un appareil

iOS. Sur iOS, à l'exception des photos qui sont accessibles

directement à partir de l'application Photos standard, les

autres fichiers sont envoyés ou réceptionnés dans lnstaShare

depuis leurs applications respectives avant d'être transférés

vers un autre appareil.

g ffi**Ë#*;il,ltm+,r**,gratuite d'lnstaShare i0S

E MacBook h de kvet Mash

,ii;l: Vous et Votre Mac . No94. Novembre 2013

Page 58: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

ifil,tt,l'llrr. r'!r ft , ,! t,

,.i ,, r :,r.t

la solution presque parfaite

our effectuer une tâche simple comme un transfert de

fichiers, autant utiliser une application simple ! lvan

Pashchenko l'a bien compris qui nous propose FileDrop, dis-

ponible gratuitement sur la Mac App Store. Une fois

installée et lancée sur les Mac, FileDrop dévoile une

intedace au look de diapositive qui affiche les fonds d'écran des

différentes machines connectées au réseau. ll s'agit bien d'une zone'de

dépôt et vous n'aurez pas besoin d'une longue explication pour

comprendre l'utilisation de l'application. Côté réception, la même sim-

plicité est de mise mais on doit accepter manuellement chaque envoi.

Les fichiers reçus sont alors enregistrés dans le dossier

Téléchargements, mais on y accède aussi via le « tiroir » situé dessous

la zone de dépôt.La version iOS de FileDrop (1€) pour iPhone ou iPad (n'exploite pas le

grand écran) présente une inteface identique et une mise en æuvre

aussi proches que possible de celles de la version Mac. Y compris le

tiroir en bas de l'écran dans lequel seront stockés les fichiers reçus.

Côté envois depuis iOS, il faut transférer les documents dans le tiroir de

FileDrop avant de les expédier vers un autre appareil du réseau. Sauf

s'il s'agit de photos: FileDrop a un accès direct à la bibliothèque photos

iOS. Pour ceux qui recherchent la simplicité, FileDrop est la solutionpresque parfaite; il ne lui manque qu'un système de validation qui per-

mettrait de donner une autorisation permanente à certains appareils

et éviterait d'avoir à va lider la réception de chaque fichier.

lhpplication pionnière, touiours aussi efficace

orti ilya des annéet bien avantAirDrop, DropCopyest« le mo-

dèle » de base detous ces outilt même si aujourd'huisoninterface n'est pas la meilleure. ll y a deux manières d'utiliserDropCopy. Soitvia son « trou noir » quis'affiche surle bureau

etsur lequelon glisse les fichiers à transférer; soitvia son icône

en barre de menus, qui dévoile la liste les appareils cibles quand on glisse

un fichier. Hélat la zone de dépôt est très petite et il est délicat de cibler

le bon destinataire. Le développeur devrait l'améliorer. Sinon, DropCopy

fonctionnetrès bien; il est le seul à offrir autant de possibilités etd'options. Par exemple, le paramétrage des notifications et autorisations

est le plus précis. Ce peut être un moinl si on recherche l'extrême simpli-

cité, mais Cest un plus, sur un réseau un peu complexe avec différentstypes d'appareils.

Du côté d'iO§ lesfichiers reçussur l'iPad (l'interface estadaptée)ou

l'iPhone, sont consignés dans une boîte de réception. On peut ouvrir en

lecture certainsfichiers et les envoyervers d'autres applications pour

édition ou si DropCopy ne sait les lire. Pour l'envoi defichiers depuis iO$l'interface estfortsimllaire à celle sur Mac. En envoidepuis iOS,

Dropcopy est aussi le seul à accéderà certains dossiers de iOS, voire à la

totalité du stockage sur un appareiljailbreaké !

Parmi les nombreuses options, ily a la possibilité d'envoyer un message

texte direct entre appareils, de partager le presse-papiers de chaque

appareil. Le menu DropCopy sur Mac offre un historique des derniers

transferts effectués. Dans certaines circonstances-entre Mac

uniquement et si la machine cible est en connexion directe avec lnternetavec une lPfixe-, DropCopy sait aussi transférer des fichiers à distance.

e ri*r*Prix: Gratuit (Mac), I € (iOS) Éditeur: lvan Pashchenko

Configuration: l,/ac lntel 0S X10.6+, iOS 5+

Distribution: urr,w.filedmpme.com lcs plus: homogénéité des interfaces;

simplicité d'emploi;prix. Les moins: pas de version iPad adaptée.

e i*ittPrix: Sur Mac, gratuit (jusqu'à trois matériels), sinon version

Pro payante (4,50 €, sans limite d'installation). Sur iOS: version Lite

gratuite, sinon 450 €. Éditeur: l0-BaseT lnteractive

http/fi0fue-t.mn nac App Sbre AW StffeConfiguration: Mac lntel,

depuis 0S X 104+, iOS 3.x + Les plus: les options de paramétrage

et de mise en æuvre; le support du presse-papiers; les messages directs.

Les moins: une interface à améliorer.

?iËùd-aini-d*"Ac';u'c {iÇ5}

lrPàane-dt"Êenard {iO§l ''--

Vous et Votre Mac ' No94 ,, Novembre 20'13

Page 59: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

ilw

§-

iI*3:ia

l'iI.

I

I

L0) est la référence en matière d'im-pression « pro ». Les particules d'en-

cres restentà la surface du papieretof-

frent une bonne stabilité des teintes(en condition de stockage). Mais les

teintes sont moinsvives qu'avec les co-

lorantt l'encre peutse détacher, et des

variations ou une perte de brillance ,

peuvent également survenir. Enfin, le

coût à la page est généralement bien

plus élevé que celui des encres à base

de colorants.

Ces deux technologies ont progressé

de manière très significative ces deux

dernières années. Les défauts aux-quels on devait faire face (bronzing,

métamérisme, inconsistance des cou-

leurs, défaut de brillance...)tendent à

iil

i

^rl - ({!fi!.!:Wri&ir!!!SqÊ@.s@f!!ffi

*,@îîïlïlttmr*iiffi dc filra§., |î@âffi]ll**ll

r !àûtârx95grÈ

l' r trêre §&da sùr ]re§*

Mçmri*lr.tm seasü fr irq.

Moîtrisez mpres$oncouleur à la maison

Lo prolique du lobo pholo o considéroblemenl évolué.

[ogrondisseur el lo lompe inoctinique ont loisé ploce ù

l'ordinoleur el l'imprimonle. Aujourd'hui, l'impresion ù

domicile esl devenue inconlournoble pour les possionnés

de photogrophie!

e tirage donne un véritablesupport à une image. Unephotographie peut faire illu-

sion tant que l'on n'est pas

confronté à sa représenta-tion papier. Une fois imprimée, les

choses changent. La composition peut

sembler anodine, bancale, les effets ar-

tificiels, la profondeur limitée. lmpri-merest donc important-ça l'est pour

moi. La pièce maîtresse du labo numé-

rique est donc... l'imprimante !

C'est l'imprimante quigarantit la qua-

lité esthétique et technique des ti-rages. Elle conditionne aussi son coût.

Si réaliser des agrandissements photo-

graphiques à la maison est passion-

nant Cest une passion onéreuse !

Pour le marché grand publig la techno-

logie à jet d'encre demeure majori-taire. Les formats de tirage vont du A6(10x15 cm) au A3+ (environ 33 x48,3 cm). Côté consommables, les mo-

dèles haut de gamme embarquentune belle batterie de cartôuches, amé-

liorant sensiblement la reproductiondes teintes ainsi que l'impression en

noir et blanc. Mais ce n'est pas si sim-ple. ll ne suffit pas d'avoir des car-touches dédiées à la reproduction des

gris pour obtenir un bon rendu mono-

chrome. Sivous ne réalisez que des ti-rages au formatd'une carte postalesur

papier brillant l'imprimante à sublima-

tion-telle que la Canon CP-900-sera

une bonne alternative; le rendu cha-

toyant est obtenu par une cire pigmen-

tée conditionnée sous la forme d'unruban encreur.

Au-delà de l'imprimante, il y a la tech-

nologie des encres qui n'est pas acces-

soire même si l'on parle « vulgaire-ment » de consommables I

EHcnrs À cor-oRANTS ou

PIGMENTAIRES?

Les encres à colorant sont celles que

l'on trouve sur la plupart des impri-mantes bureautiques et sur quelques

modèles photo que vous retrouverez

dans mon tableau de synthèse âë.Cette encre produit destirages auxto-nalités vives. Absorbée dans les fibres

du papier au moment de l'impression,

elle ne laisse aucune rugosité. Le

temps de séchage complet reste long

et la résistance à la décolorations'avère inférieure à celle des encrespigmentaires. llencre pigmentée (utilÈ

sée par les Epson R3000 et Canon Pro

Tragps coruulanrs surrpepier glaeâ eu tuslré

! Nbirel.blanaIr Tirrages d:ad'

) Ardrli,iage

ËSffin §t$tæ PlÉh ftmffirÊM 4

ceü§RënE {6"F2€}'

Vous et Votre Mac ,. No94 " Novembre 2013

Page 60: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

§93I lâ

ffilffim

PlàriEhe farôtàct

Bsi'dEle sim&lê

Càdm sifiFlÈ

Câdra drilêlè

{. Fage I silr I *

tmÊrimante: I ii1"; !!9,j9q!-1"1 I Tairte du pàriêt

PrÉrâslaees : I P#ffi;!Ëb-'FË:Il raillê d'lmprêsrion

disparaître si l'on utilise bien les encres

et papiers recommandés par le fabri-cant. Ce pointest important ! ll n'ya au-

cune arnaque: l'encre et le papierd'une même marque sont coordonnés

de façon à obtenir le meilleur rendu et

la meilleure stabilité du tirage possible.

Un rmor NUMÉRpuE PAR

LA PRATIQUE

Une fois les modificationstonales et au-

tres retouches accomplies, vient l'étape

de l'impression. Quelle que soit l'appli-

cation, c'est tou jours Fichier > I mprïmer. Dans le cas de Lightroom, ilsuffitdechoisirle moduledu même nom.

Si vous imprim ez avec le popier de lomême morque que celle de l'imprïmante, choisissez tout d'abord la taille

du papierdans le menu localidoine.Dans Aperture, demandez que le profi Icouleur soit géré par l'imprimanteCliquez surle bouton Plus d'options':-',,

ajustez la luminesité, le contraste

ainsi que la netteté sltela s'avère né-

cessaire. Si vous uïilise4Lightroom, de-

mandez la gestio n dg Profil por l'imprïmonte li.j,puis cochez la case Sortiel6bits DansrPhoto,choisissezunique-

mentleÿpe de popierutilisé ainsi

que la toil/edu papier,'':.Cliquez sur le boutonlmprimerpourfaire apparaître la fenêtre d'impression

d'OS X. Cliquez, le cas échéant surAff-cher les détails. Dans Quqlité et su p-portl:f :l, choisissez expressément /e

type de pspierque vous allez utiliser,r' . Demandez/o plushoutequalité

d'impression :. rl . Et si l'option existe,

activez l'optimiseur de brillonce(Gloss). Vous pouvez imprimer !

PRons colonrMÉTRnuEs

Sivous imprimezsur du popier d'ort,assurez-vous tout d'abord que le fabri-

cant propose des prolils colorimé-triques compatibles avec votre impri-

mante. TéléchargezJes puis placez-les

dans le dossier -/ Bi b I i oth è q ue / Co I o r-

Sync/Profiles,,t: '. Si le dossier Profiles

(en anglais) n'existe pa5 ilvousfaudra le

créerau préalable. Ensuite, dansle mo-

dule d'impression d'Aperture ou de

Lightroom, sélectionnez le profil cone*pondontau popier utilisé . Choisis-

sezcomme rend u Perception (pour ob-

tenir des teintes proches de celles affi-

chées à"Ëécran) ou bien Colorimétrierelative (pourimprimer dans des cou-

leurs proches du fichier image original).

Cochez la case C,o m pe nsotio n d u poi ntde noir , Passez à l'impression,comme expliquée précédemment.

Avec une imprimante à colorantt lais-

sez reposer le tirage au moins 30 mi-

nutes, pour que les teintes se stabili-

sent. Surtout, gardez-vous dejuger de

la qualité du tirage dans les premières

minutes après l'impression ! N'oubliez

pas que vos tirages sont fragiles: pour

les manipuler, utilisez des gants en co-

ton (environ 5 euros la paire).

ConrouRmn us DrFFrcuLTÉs

Si votre tirage apparaîttrop « foncé », il

y a plusieurs explications possibles.

ll se peut que l'écran de votre Mac n'ait

pas été correctement calibré. La lumi-

nance recommandée est générale-

ment de 120 cd/m2. llacquisition d'une

sonde de calibrage n'est pas inutile lÀdéfaut, ajurtez sur 77 lo luminosité de.

fécron devolre iMac ou de votre Mac-

Book Pro. Si vous utilisez une versionancienne de Lightroom, volts êtes face

à un bogue répertorié. Vous pouvez

corriger la luminosité du tirage en bas à

droite du module d'impression. Autrepossibilité: créez une copie ürtuelle de

la photo à imprimer, puis écloircissezJa

par le biais des réglettes d'ajustements.

Vous imprimer en noir et blanc et vous

constatez une dérive couleur sépia ou

verte ? Ce phénomène est à distinguer

du métamérisme (quiest un change-

ment de couleur selon le type d'éclai-

rage). ll peut s agir d'un dysfonctionne-

mentdu pilote d'impression, les encres

couleur continuant à être sollicitéesmême lorsque la case Noir et blonc est

cochée. Avec certaines impri mantes,

on peut ruser en modifiant le profild'impression dons le diolque {OS X >

O ptions Couleurc: choisissez Ton froidouTonchoudselon les cas. Autre cause

possible avec une imprimante jetd'en-

cre à colorants: le papier utilisé ne

convient tout simplement pas.

Voilà, vous êtes paré pour obtenir les

meilleurs tirages. À vous de faire les

photos qui les méritent !

r David A. Mary

ÈsBBôËJi:!r

--- : . i.:t:i tit::

,lffiG"a-3lr' Sens bo.durc : l

.l!!,9]!l- l-kgllffi-i

Qualité et support :

Type de suppon

Alimentation papier: i *.êreptacle arrière

quditÉ d'imFressisn: Haute

.,.,r lmpression phato noir et blant

lg:j §ihlisthàque

Pheto Pro$rssionnsl Lustrè *

IËÆL*-EL; i+; Ë *".- f, qûaüi§}'.

Càrhes

Cal*§dâriC6lerPi(ksffi

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l.' C+nùü PRO-L*i) far ta*ser lnfinit!. Âffh€r.,qquaselfe Êag e

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L fsnûR P*.ü*1üü {§r CânÉûn lritifti$ Eârfla Fhût*qr*plniquêr flâfl{n ÊRü-1*il fsr Cânrûn lsfifiitï BifÉ F.}VIS II$"iqe

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Vous et Votre Mac ,'No94 ' Novembre 20'13

Page 61: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

* §*LUTI§I§§ I §ÿTeJ§tæUE *

Un iPad comme studiod'en reg istrement m usica I

l,r,' Tous les modèles d'iPod onï lo puissonce nécesoire pour foire fonclionner un pelil sTudio portolif. Lo Ioblelte dlpple esl

devenue lo nouvelle coqueluche des musiciens. Un pelil lour d'horizon s'impose !

i vous n'avez pas beaucoup

de moyens, dans le cadred'un Home Studio, pas la

peine d'investir dans unestation de travail onéreuse

et compliquée à mettre en æuvre.Optez donc pour un ministudio porta-

tif, dont le succès ne s'est jamais dé-

menti, et couplez-le avec un iPad.

Des premiers p ortostud io def ascamjusqu'aux appa reils d'enregistre-ments numériques Audio/MlDl ac-

tuels, la formule proposée estga-gnante, carelle ne requiert ni l'appren-

tissage de l'informatique ni une dé-

bauche de matériel.

Uru ÉourprurnT suR-MEsuRE

Le studio portatif EE est un appareil

autonome couvranttous les aspects

de la production discographique: de

la prise de son jusqu'au mixagefinal

sur CD. Avec l'évolution des technolo-gies, une tablette peut désormais

prétendre concurrencer un portastu-

dio-grâceà un choixtoujours plus

large de périphériques de qualité (mi-

crophones, table de mixage, carte au-

dio externe...) et à un parcfoisonnant

d'applications.

Pourtout travail de prise de son ou de

mixage, il est nécessaire d'investirdans un périphérique externe de qua-

lité §§. Selon le modèle d'iPad, les

possibilités de branchement diffèrent.

Certains boîtiers d'entrée de gamme

SI emploient la prise jack 4 pôles si-

tuée en haut de la tablette. lls'agitd'une solution pratique mais, revers

de la médaille, le convertisseur analo-

gique/numérique de l'iPad n'est pas

vraiment un équipement audiophile.

Pour une maquette faite sur le pouce,

on s'en contentera. Pour un travailplus ambitieux, ilfaudra jeterson dé-

volu sur un boîtier audio offrant une

connexion 30 broches « classique ». Si

vous ne disposez que d'un connecteur

Lightning, recourez à un adaptateurLightninÿUSB pour faire fonctionnervotre périphérique externe. Autre im-

pératif lié à l'usage de l'USB avecl'iPad : l'interface doit disposer d'unealimentation électrique autonome.Elle n'estquetrès rarementfournie ! ll

faudra donc l'ajouter à votre listed'emplettes. Concernant la qualité gé-

nérale des interfaces audio, elle de-meure identique aux modèles conçus

pour les ordinateurs. Des marquescomme Focusrite ou Apogee # en

profitent d'ailleurs pour proposer des

périphériques compatibles à la fois OS

X et iOS. Leur polyvalence justifie alors

l'investissement financier consenti.Enfin, si vous souhaitez raccorder un

instrument ou un conirôleur M lDl tra-ditionnel, les modèles signés Behrin-ger, Roland, Alesis §§ et Apogee vous

, l'autorisentfort simplement.

Urur pnooucnoN 48 PsrEs

SUR UN IPAD !Pour la partie logicièlle, la qualité des

séquenceurs sur iPad a quelque peu

progressé depuis deux ans. Sans être

révolutionnaires, d'agaçbntes restric-

tions ont été levées comme la prise en

charge des protocoles de synchronisa-

tion, la possibilité de changer la fré-quence d'échantillonnage par défaut

ou de profiter d'une profondeur de

traitement de 24 bits. La station d'en-

registrement Auria ffi (des WaveMa-

chine Labs) reste l'un desfleurons du

genre avecson traitement interne 64

bits double précision, la prise en

charge du format AAF (un formatd'échange de fichiers numériques) ou

Iarmm i[ Iort iPod {ronrorlon io& 4 @lorl À{ülldtrs slietos, (hrdom! 55É

teiringer i§?01 ûo* lPod ri ô r3 hregi5komnl li$ o! hmê 5tudlo 132 €

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Vous et Votre Mac " No94. Novembre 20'13

Page 62: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

l'intégration d'effets de haute volée(réverbération à convolution, égali-

seur Mid/Side...). Sivous avez besoin

d'encore plus de pistes, il est possible

de faire travailler deux iPad simultané-

ment. Toutefoit selon la puissance de

votre tablette, le nombre de pistes

pourra être plafonné à 24 pistes sur un

iPad Lre génération, à 48 sur les mo-dèles plus récents. Pour une quaiité

d'enregistrement optimale, il est im-

portant de vérifier que votre boîtieraudio prend en charge le 24 bitslorsqu'il doittravailler avec l'iPad. Ce

n'est pas toujours le cas. Certainsconstructeurs limitent parfois leur ma-

térielà 16 bits (comme l'iTrackSolo de

Focusrite).

Drs ouns our sIMULENT LA

CRÉAION

Pour des travaux de compositionpure, GarageBand EI pour iOS

s'avère incontournable. Sa principale

qualité est d'être d'une grande facilité

d'emploi et intuitif. Plus traditionneldans son approche, Cubasis pour iPad

est une alternative de choix mais un

peu coÛteuse et pas nécessairement

adaptée à tous les styles de musique.

Les aficionados de rythmes électro-niques se laisseront séduire par Beat-

Maker 2 ou Fruiÿ Loop Studio MobileHD. Pour compléter le séquenceurtra-

ditionnel, on peut acquérir divers ins-

truments logiciels, échantillonneurs,

boîtes à rythmes et autres banqr",d'effets. Afin que ce petit mondepuisse fonctionner de concert, il vous

faudra recourirà la technologie Audio-

bus El. Son rôle est d'assurer le rou-

tage des signaux audio entre les

applications. Le principe est

intéressant, mais per-

fectible. Outre.lanécessité de

faire fonc-

tion-

nerAudiobusen

arrière-plan, la

compatibilité entre toutesles applications musicales n'estpas garantie, de même que la syn-chronisation des flux échangés. Ce-

pendant avec l'arrivée d'iOS 7, la pra-

tique du Home Studio sur iPad pour-

rait s'en trouverfortement améliorée.

LrsppoRrs D'0S7larchitecture Core Audio sous iOS 7

évolue de façon significative. On

pourra choisir, sur un périphériqueproposant des entrées multiples,celles destinées à l'enregistrement. La

'=directivité des microphones

pour iPad pourra

être

mo-difiée à la volée: l'utilisa-

teur pourra ainsi choisir l'un

des diagrammes polaires disponibles (cardolde, super-cardoide...) di-rectement dans son logiciel d'enregis-

trement. Les échantillons pourrontêtre transposés à la volée, sans que le

changement tonal interfère avec leur

synchronisation temporelle. Enfin, et

ô'est une innovation qui fait sens, les

applications musicales pourront com-

muniquer entre elles et se synchronÈ

ser au tempo. Si le mécanisme tienttoutes ses promesses, l'intérêt d'Au-

diobus risque de s'émousser=dumoins, pourtous les apparéils iOS qui

seront éligibles à cette nouvelle tech-

nologie (il semble que l'iPhone 4 ne

puisse en disposer). Avec l'arrivée de

cette API dénomroée inter-app audio,

il n'yaura plusà recourirà uneénième

application pour utiliser de front plu-

sieurs logiciels musicaux: le séquen-

ceur maître disposera de plusieurs en-

trées virtuelles dévolues à la capture

des sources internes (instruments vir-

tuels, générateur d'effets ou simula-

teurs d'ampli). Bien entendu, les infor-

mations échangées s'étendront aux

données MlDl et autres messages de

synchronisatlon (départ, arrêt, lec-

ture...).IDavidÀ. Mary

i1,'i' i Vous et Votre Mac . No94 . Novembre 2013

Page 63: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

ir'. Plus bæoin d'ocheter dæ 0pplicolions pour monler dæ films, retoucher vos imogæ ou foire de lo musique, Dæsitæ web, souvenl en occàs libre, offient dâsormois dæ fonc{ions ousi ptiisontæ que læ Iogiciels nolib.

urfant sur le succès desréseaux sociaux et ducloud computing, les ap-plications web, aussinom mées weba pps, se

multiplient. Toutes les catégoriesd'applications sont concernées : bu-

reautique, assistance à la program-

mation, éducatif, graphique, lu-dique ou musical... Et pour en profi.ter, vous n'avez besoin que d'un na-

vigateur lnternet. Une webapp se

distingue d'une application nativesur deux points es§entiels. D'unepart, vous pouvez tfavailler surn'importe quel ordinateur, sans au-

tre forme de procès, et passerd'une plateforme à une autre sans

soucis. D'autre part, vous disposez

de vos documents de travail entoute liberté puisqu'ils sont sauve-gardés dans « le nuage ».

GnnurÉ ET PERFoRMANcE

Une webapp apporte un réel béné-fice si vous accordez de moins en

moins d'importance à la possession

d'un micro-ordinateur pour accom-plir des tâches spécifiques. N'im-

porte quelle machine peutfaire l'af-faire, peu importe son systèmed'exploitatio n. A controrio, sonusage reste discutable pour des tas

de raisons comme une défiance àl'égard de la politique de confiden-tialité des éditeurs d'applicationsweb ou l'attachement quê vousportez à votre Mac. Néanmoins, les

webapps ne manquent pas

d'atouts pou r séd uire ! Elles sont ca-

pables de concurrencer un logicielcommercial natif et ne requièrentquasiment aucune procédure d'ins-tallation. Vous pouvez faire appel àleur service ponctuellement sans

avoir rien à payer. Vous n'êtesmême pas obligé d'utiliser uneconfiguration musclée: la charge de

calcul (pour l'encodage ou l'utilisa-tion d'un.studio virtuel) est, aumieux, entièrement déléguée au

serveur qui accueille l'applicationweb, au pire, répartie entre le ser-üeur distant et votre Mac.

Pour des raisons diverses, les we-bapps sont souvent en délicatesseavec les standards du web. Etquand bien même le couple Javas-

cript/HTML5 serài, railiré, rien n'in-terdit aux développeurs de recourirà des spécificités propres à un navi-

gateur.

Aoosr FusH coNTRE HTMLSAinsi, JamWithChrome ne tourneque dans Google Chrome. Quant à

PopCornMaker, ils'avère bien plus

stable dans Firefox que dans Safarl..

Pour le reste, les technologiesAdobe, telles que l'ActionScript, de-

meurent largement prépondé-rantes. Dès lbrs, ilfaudra veiller à ce

que le plugin Flash soit bel et bieninstallé sur votre ordinateur. Et

donc, vous comprendrez que les

webapps sont de facto incompati-bles avec l'iPad. Fort heureuse-ment, certains éditeurs proposenten parallèle une application spéci-fique pour les tablettes. Enfin, uneconnexion permanente à lnternetest exigée. Cela ne va pas nécessai-

rement de soi, puisqu'une webapppeut très bien fonctionner partielle-

ment en local. Ce mécanisme,lorsqu'il existe, permet de prévenir

un éventuel ralentissement de la

. No94 " Novembre 2013

connexion ou toute coupure inopi-née du service. Une copiie de votredocument reste sur votre disquedur, à l'abri de toute défaillance ré-

seau, et vous pouvez continuer à

travailler comrne si de rien n'était.La vitesse de connèxion est impor-tante, comme vous pouvez vous en

douter. En pratique, le débit des-cendant (downlood) n'est pas un

critère discriminant: 1 Mbps peutsuffire. Par contre, le débit montant

lupload), souvent faible en ADSL,

constitue le piincipal goulotd'étranglement. ll n'empêchera pas

l'usage d'un synthétiseur virtuel ou

l'envoi d'une photo"à retoucher.Mais pour de la vidéo, il imposerades temps d'attente très longs.Aussi, le montage en ligne en HD

sera réservé aux abonnés à la fibreoptique. Pour la majorité des utilisa-

teurs en ADSL, je conseille de n'utili-ser que des clips dont le poids estfaible (déjà encodé en H.264). Ceux

provenant d'un compact, d'un ap-pareil photo ou d'une tablette fe-ront alors parfaitement l'affaire.I DavidA. Màry

˧ I Vous et Votre Mac

Page 64: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

un petit Photoshop

et éditeur d'images bitmap s'inscrit dans la lignée de

Photoshop Elements ou de Pixelmator. Aussi puissant

que ces deux concurrents sur Mac, il possède deux

atouts non négligeables. D'abord, ilconsomme peu de

puissance processeur. Ensuite, il est totalement gratuitl

Contrairement à Photoshop Express, Pixlr Editor autorise la

retouche d'images de grand format.20 millions de pixels, ça ne

lui fait pas peur. Pour le reste, l'avalanche de fonctions rend

Pixlr Editor incontournable pour la pratique de la retouche

d'images. Outre les outils habituels (sélections, rognage,

cadrage, tampon, retouche des tons directs, fluidité/

contraction, dégradés, pinceaux...), vous disposez aussi de

calques (avec options reliefs, ombres et lueurs internes et

externes), des principaux modes de fusion et autres masques.

Les filtres ne sont pas pléthonques, mais ceux proposés

suffisent pour réussir la quasi-totalité des travaux courants:

rehaussement des teintes, virage partiel,

splittoninq,pseudo HDR, repique des pétouilles, lissage de

peau... À cet idyllique tableau, s'ajoute une interface

entièrement francisée. Enfin, bien que conseillée, vous n'avez

pas l'obligation de souscrire au service Pixlr pour l'utiliser. Des

applications iOS et Android sont également disponibles si vous

souhaitez prolonqer l'expérience sur votre tablette - elles

restent toutefois moins richement dotées.

un éditeur bitmap pour votre tacebook

I e service Aviary a considérablement évolué depuis que je vous l'ai

I présenté, il y a trois ans. Bien que la suite soit encore disponible à la

tsfois surGoogle Apps Marketplace et pour la plateforme Windows,

seul le module de retouche d'images demeure la priorité de la start-up

new-yorkaise. Celle-ci s'attaque désormais au marché très

concurrentiel des applications photo pour plateforme mobile. Pourse

démarquer de ses compétiteurs, Aviary combat surtous les fronts :

mise à disposition d'un kit de développement et offres de partenariat.

Côté fonctions, l'éditeur photo joue la carte de la synthèse. ll offre de

nombreuxfiltres vrntoges dans la veine d'lnstagram et desoutils plus

traditionnels à la manière de SnapSeed (luminosité, contraste,

saturation, ajouts de bordure...). [originalité de la version pour

navigateur lnternet réside dans son mode de distribution.Contrairement aux autres webapps présentées, le site lnternet d'Aviary

n'est pas destiné à accueillir l'application. llune des façons d'utiliserAviary Editor consiste à l'ajouter à son compte Faceboo( par le biais du

magasin d'applications. Sachant qu'un grand nombre d'internautesutilise le réseau social pour partager des clichés, disposer d'un outil de

retouche intégré s'avère parfaitement cohérent. f autre moyen de

disposer d'Aviary est de l'ajouter directement à votre blog. Malin ! Pour

ce faire, vous devrez vous inscrire à cette adresse (wvvw.aviory.com/

occount/signup). La suite des opérations n'est que simple formalité si vous avez quelques notions

de programmation HTML. Un assistantvous aide à personnaliserle widget, puis vous sélectionnez

un à un les outils que vous souhaitez utiliser et définissez l'interface-ancrée dans la page ou dans

une fenêtre satellite - et le code informatique apparaîg qu'ilfaut enfin inclure dans votre site.

ô *****

URL : h tt p / /p i x I r. c o n /e d i t o rConfiguration : Plugin Flash obligatoire

e ****'r:ir

URL : htt p//w w w.a v i a r y.c o nhtt p s / /a p p s.f a c e b o o k.co m /av i a ry e d ito r

Configuration: navigateur compatible HTML5, iOS inclus

Vous et Votre Mac No94 Novembre 2013

Page 65: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

".. ,ii,i:_:i li'i'iiil'.i::, , ,i,.',;;iii,!:,,îit, ,:l,ii ii;i,j!,,lli;#lfiilii, ,.

e *t*l?*vjouer de la musique en réseau

ette application web se distingue par sa mise en æuvre puisqu'il vous faudra

impérativement installer le navigateur lnternet de Google. Comme le suggère son

nom, JamWithChrome a été créé pour « taper le bæuf » en réseau (jusqu'à quake

instrumentisies),

Lapplication s'inspire volontiers de GarageBand pour iPad. Toutefois, les possibilités sont

particulièrement limitées. Ainsi n'est-il pas possible de jouer depuis une tablette tactile ou

un contrôleur [4lDl externe. Les morceaux improvisés ne peuvent pas être enrêgistrés. mais

bon, si vous souhaitez vous initier à la musique ou à la composition, JamWithChrome fait

parfaitement l'affaire. Vous disposez pour cela de dix-neuf instruments virtuels, et d'un

générateur automatique d'harmonie. Pour chaque accord disponible, quatre variantes

d'accompagnement sont proposées. Sympathique et ludique.

€ *rirrun studio de musique électronique

e site propose un séquenceurde bonne facture auquel s'ajoutent un grand

nombre de synthétiseurs, de boftes à rythmes, d'effets en tout genre (égaliseul

limiteur, processeurs psycho-acoustiques...) et d'échantillons audio. linscription

au service Audiotool n'est pas obliqatoire, mais je vous la recommande pour

sauvegarder votre environnement de travail et vos compositions.

Au lancement, vous pouvez choisir l'une des configurations prêtes à l'emploi, ou bien

élaborer votre propre environnement de travail. La colonne latérale droite affiche

lênsemble des modules qu'ilest possible d'ajouter au studio. Sivous êtes un familierdu

home studio depuis des décennies, rien dans Audiotool ne sera difficile à comprendre. Se

situant à mi-chemin entre feu 0pcode Vision et Reason (édité par Propellerhead), les

vieux briscards des années1980 se trouveront en terrain connu. Pour la génération

Daft Punk, il est évident qu'une maîtrise de la synthèse sonore et de la théorie musicale

est ici requisel

O ***tt

URL : w w w.j a mw it h c h ro m e.co m

Configuration : Google Chrome

URL : htt p//a u d i oto o l.co m

Configuration: Plugin Flash obligatoire

URL: http/fi23appz.netConfiguration: Plugin Flash obligatoire

ati :.\ i .:t\

encoder et éditer des fichiers audio

ne start-up russe propose des outils d'édition audio de très bonnefacture,

et qui plus est avec une interface en franpis (sauf la page d'accueil). Les

concepteurs de cèttewebapp n'ontd'ailleurs pasfait les choses à moitié:voustrouverez une aideen ligne entièrement localisée, accompagnée dequelquestutoriels. Pour un usage basique, L23Appz peut remplacer un utilitaireaudio comme Fusion de RogueAmoeba. Lesformats reconnus sont nombreux

et la conversion (en MP3, MÇ Flac, Ogg)s'effectue en quelques clicsdesouris.Simple, mais passimpliste, le modulede conversion offre aussidesfonctions

avancées (débit binaire constant ou variable, fréquence d'échantillonnage,fondus entrée/sortie, réduction monophonique) ainsi que la possibilité

d'ajouterdes métadonnées (titre du fichier, artiste, album, genre...). 123Appz

vous propose en outre un module de découpage, de fusion de fichiers audio

ainsi que la possibilité d'extraire la bande-son d'un clip vidéo. Et sivous avez

besoin d'enregistrerdes mémos, un mini-dictaphone est également disponiblequiutilise pardéfaut le microphone devotre Mac. La captureachevée, lefichierest immédiatement disponible au téléchargement.

ryllnJqqs

: Gil -', "::::::':î .::'-.'*,,.,::-:.':-:,.rd

Vous et Votre Mac , No94," Novembre 2013

Page 66: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

e service en liqne norvégien offre un espace de stockage pour les rushes et un

éditeurvidéo de bonne facture. Dans sa version de base, gratuite, il faudra se

satisfaire des limitations imposées:5 Go d'espace disque alloué, une résolution

standard 480p et la présence d'un filigranedans le film. Concernant l'ergonomie

générale, WeVideo rend hommage à iMovie. La timeline s'adapte aux compétencesde

l'utilisateul avectrois modes story'board, standard et avancé. Des thèmes prêts à

l'emploi (simple icy blast, fashionista, noir...)ainsi que des musiques d'illushatioh libre

de droits sont offerts. Le gestionnaire d'importation accepte les séquences stockées

aussi bien survotre disque durque sur un service en ligne (Flickr, Google Drive, Box,

DropBox, Facebook...). La version gratuite se destine aux vidéastes occasionnels,

utilisant leursmartphone en gqise de caméscope. Pourdestravaux plus ambitieux,

l'abonnement Premium est à moins de 4€ par mois pour une plus large bande passante,

la possibilité de monierde la HD720p et le montage collaboratif. Seulvéritable défaut

pour un outil prometteu la relative lenteurd'affichage des pages.

tr des diaporamas faciles à réaliser

f)e Bénérateurde diaporamasest beaucoup plus chiche en fonction que

I Fotomagico ou PulpMotion, mais ils avère pourtanttrès efficace.

V Iinscription au service en ligne est obligatoire. Passée cette étape,

le mode opératoire est d'une grande simplicité-à condition toutefoisd'avoir quelques notions d'anglais. Depuis l'interface de Picovico, vous

cliquez surCreate video pour générer un nouveau diaporama. Vous

attribuez ensuite un nom à votre projet. Vous choisissez un habillage

graphique, vous importezvos images (depuisvotre Mag Flickr ou Facebook)

et ajoutez des diapositives detexte ainsi que l'illustration sonore. Unevaste

bibliothèque de musiques libres de droits est à votre disposition. Enfin, le

diaporama vidéo obtenu peut être partagé sur Facebookou YouTube.

Etsivous préférezdestinervotreæuvreà un public restreint une URL

spécifique est alors générée par Picovico.

i" réussir des présentations multimédias

réé par la fondation Mozilla etexploitant l'interface deprogrammation enJavaScriptdu même nom, Popcorn Makerestavanttoutdestinéà la création de mash-upou dedidacticiels

vidéos. Sivous êtes déjà familieravec un banc de montagetraditionnel,l'outilsera facile à maîtriser.

La timeline occupe le bas de l'écran, avec un nombre de pistes illimite etalloué dynamiquement. La colonne latérale droite regroupe legestionnaire de médias ainsi que lesélémentsgraphiques et interactifs

à disposition : titrages, phylactèreg insertion de photographieg mais

aussi plan Google Maps, définitionsWikipédia... Une chose importanteà noter: la plateforme Mozilla Webmaker n'offre pas le stockage des

médias sur leur serveur. Aussi, pour importer les clips vidéos et les

illustrationssonoreE vousdevrez au préalable les hébergersur

YouTube,VimeoouSoundCloud. Enfin, le projetachevéeststockédans

votre compte Popcorn Makerd'où vous pouvez le partagersurIweeter,

Google Plus, ou bien encore l'insérerdans une page devotre blog.

URL: www.wevideo.com

Configuration : Plugin Flash obligatoire

URL : www. p i cov ico.co m/e n/h o m e

Configuration: navigateur compatible HTML5, i0S inclus

UnL : h tt ps//po p co r n.w e b ma ker.o rg

Configuration : navigateur Firefox recommandé

ffi*o**" **0*. *,J**" *,*,**. **:** Et

Sffificornmaker DÊmowiiu :'i1' " o * n Mymaies etr.ur

I a*=*"

lÊ tau

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$ ;rp

ll Â-*

fl I Vous et Votre Mac ' No94 . Novembre 2013

Page 67: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

" -ftH&Yâr;i.gi-_*, i;i FË;r q r ..

'éditeur Creaceed propose sur OS X un logiciel d'OCR original, multilingue,complet, et à un prix abordable (40 euros sur la Mac App Store). Prizmo serautilisé principalement pour transformer le texte présent dans des documentsscannés (en particulier des PDF dont la couche texte n'existe pas) ou dans desphotographies. Le texte récupéré, analysé et transformé (et éventuellement

même tradult) est ensuite stocké dans un fichier et on peut l'utiliser dans n'importequelle application. Les PDF peuvent être alors indexés et l'on peut y faire aussi desrecherches. Bien que de plus en plus de contenus soient directement disponibles sousforme numérique, il reste quantité de documents imprimés que l'on ne sauraitexploités sur ordinateur sans OCR préalable. Si disposer d'un scanner est indispensablepour traiter des documents multipages, un iPhone, un iPad ou un appareil photonumérique serviront tout aussi bien pour des textes courts ou des photos.

I Henri Dominigue Rapin

L'OCR des PDF et des photos,cêst facile avec Prizmo 2

ffiw§mrcffi- ffi§sre§çw§#* d'æuæp§ffi§.. "

e '] itl

-ih.à.dr.. @ E&,æ;aÈl';pie e;h.r;;é.Ë(g&!È&Fidsry!B:'xiÀ.eÀ

-r*E *Àx,j æ'Blw,ii k*dü r"4i!4 uç*tü rer*ti mÉuri r*c*'Sgub,@Ml

&5

ffi tetit tour Uans les préférences: Dans la section ocP

ffi choisisez les dictlonnaires utilisés par la reconnaissance.

N'en oubllez pas car la qualité de la reconnaissance dépend

beaucoup du contenu de ces dictionnaires de mots.

ffi Confiqurer les services pour les exportations: les

W scans et textes peuvent êke envoyés vers des services

comme Evernote ou Twitter mais aussi vers du stockage en ligne

autre qu'iCloud (proposé par défaut).

; .' - Utiliser la palette multimérlia: Outre votre disque local et

. :+ iCloud, Prizmo offre un accès direct aux photothèques

dAperture et d'iPhoto.

ffi æn e færan: pas même besoin d'avoir un fichier sous la

W main car, ave c l' icôrc de Prizmo de la bane dæ nenus.on peut dans toute application définir une zone de l'écran qui sera

extraite et transmise pour traitement au moteur d 0CR.

lmporter un document: l'oCR sait travailler sur un PDF

« image » ou une photo, y compris depuis un appareil

.".'.,i la reconnaissance effectuée: le texte est placé dans un

" " " fichie[ disponible dans Ie presse-papiers ou envoyé vers

Evernote. Le texte peut êhe lu ou même traduit en français par

exemple.

ffiphoto.

T§ I Vous et Votre Mac. No94 " Novembre 2013

Page 68: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Clonervos disgues dursavec Utilitaire de disque

Restent deux possibilités. 'Moyennant une petite acrobatie(détailléeà de nombreuses reprisesdansWMacetsur laquelleje ne reviens

donc pas ici), on peut créer une clé d'installation de Lion, de Mountàin

Lion ou de Mavericks, clé qui contient Utilitaire de disque. llautre

approcheestd'utiliser le disquesystème lui-même maisen redémar-

rantsurla partition desecours « cachée », créée automatiquement par

Lion et lessystèmes suivants lorsde leur installation.

Cetteopération permetdoncde créerunecopie« carbone » de la partition de

boot sur laquellevous pourrez éventuellementdémarrer le Mac ettravailler,

avecvosapplications etvosdocumentq en casdegros pépin. Lesecond pas-à-pas,

en page de droitg va vous expliquercomment procéder pour réaliser ce clonage dans

de bonnes conditions. I Henri Dominigue Rapin

pple met à disposition un outil inclus à OS X qui, mine de rien,a plus d'un

tour dans son sac: Utilitaire de disque. Cette application permet devéri-

fier et de réparer des disques, ou de lesformater en utilisant un système

defichiers pour Macou pourWindows. ll existe uneoption moinsconnue

qui assure le clonage d'un disquevers un autre.

ll estfort simple d'utiliser Utilitaire de disque pour réaliser une « photocopie » d'un

disque externesurun autre. C'est l'objetdu premierpas à pasci-dessous. En revanche

cloner le volume contenant le système sur lequel votre Mac démarrage s'avère un

poilplus délicat. Utilitairede disque nesait pas clonerle disque à partirduquel ilest lui-

même lancé-à la différence des autresoutilsgénéralement payantscommeCarbon

Copy Cloner ou SuperDuper! (lire l'encadré). Avant, il suffisait de redémarrer le Mac

sur le DVD d'installation du système. Mais depuis Lion, Apple ne fournit plus ce DVD.

,--,', :, ; a rti :i ::'r:, .r"'i t .'§'ii",{al t:,"ï ; t,:r -ij'{ i i ,{.:;l':.,:i l.i i,i '.,..a .:i i: Itlf l!'!iri:a r $ rii' ir;.ir :i i.irr'-..* !:,:iil 'a:,§

titq*Ll**l", EEEEEI niar

r Lister tous lês disquesLister ious les disques ave( propriélés

Dénarrêr la progression

8Âtre de progressiôn indéterminéeProgre3sion ds ie5t long

Thousand Minute Counldown

r' PrÊndrê des notiicationsJ Afî.her châque partitiônÿ AiTcher les €stimÂlion5 de durée durant le! opératlor

Nivêau de message de débogêge

Si le disque dur n'apparaît pas dans la li$e, une solution

consiste à le débrancher puis à le reconnecter sur le f,4ac

vous pouvez aussl forcer la mise à jour de la liste des disques

durs. La commande se trouve dans le menu Déboguer

- I To SrJlmO528AS Med,À '_- I 'frà'è

Pr

:. Maclotosh HD

1,5 To TOSHIBA Externâl

Si là fonction léprrè. l. di5quc. $i pnt d'§À besoin d êï. réparé, il vous sern {ouhi dè

5i un fi(hiêr instàllé par lÊ progràmme d'insr.liquèz sur Répa.er l.§ perôrr.!ons d! dirq(

i2SAS Med

r0

hr« | xD_2ÀE.le.À

ôd, did, I Arthve

tuu dr(oû.( ùi! 'oürcn

rf€du

é "ô.k&

r* r ÿeb: r

._.. Sàns tiüe 1

lilTimÊMachire

t,,I Filmr

I 2,2 To Drôbo

1... Hô-2

Lancer Utilitaire de disque (Applicationÿutilitaire9. Son

interface présente dans la colonne de gauche, les dlsques

durs connectés à votre l'/ac. Ne sélectionnez pas le volume de

démarrage (ll porte par défaut le nom lr4acintosh HD).

s.Ôs rrrar uro a;,1.._tr..rl

, ,j." -",,r^ "'..^",.

l"aFiln§

aCI r., rocoh

Ila(hre

I -^*':r";i

a??rùo,ôbo

ar â!

IlH0-2

4,,, rcDobaaÂ(hw

Commencez par cliquer sur I'onglet Pesfaurerpuis

sélectionnez un volume ou une partition. Depuis la colonne

de gauche, faites g/r3ser æ volune sur la ligne nurce.

voulez-voqs vraimênt era(er « Ar.nive, etrêmplacer son.ontenu pâ. (êlul dê«HO-2"?

L efta<eûénrd'une pant'ôn s!ppnme roùlct lerdon4éûr de(et! p.tnion 3à.t ns...er lês ruÙêspi{iliôn5 !! aê6ê dkquè.

t=llùq'-,] Êtræei

:t:::::r:::

1

Ulrkné dê disq{ê r6rhânê eftectuèr detmodii<àtiôns. sÀr.issêz voÿÈ noi de F3i3ê

,." "..

poli donnêr t,àutoritario..

nô.ké. rri w.b rùtr ÿrrrl,

-1r@*"."-''. hur.opi.. ùnditeue. tnIes]tOlit!êi d.puis ln û3tc à

$,rc .li .i:t .

PoorrÉle(tô.n.r un ÿoûn. dcn,n.rrr.. tatttlc aliss.. d.et d{porèzrê dnir lè.hùnrp oernnaiion.

o.iÉildn,§ ,r'., ..

tdn(êr iAr<hiw ) eiÿcoÀèr1è.ôntè.ù dc. Ho-2 '.

Ensuite sélectionnez la destination. Attention, la sélection

du disque dur de destination est délicate. Vous devez

choisir un disque dur qui sera utilisé pour recevoir les données du

disque source.

Lorsque vous êtes prêt, cliquez sur le boulon Restaurer,

vous validerez l'effacement définitif du disque dur de

destination, point de salut, lbpération est définitive.

Pour restaurer ce disque sur un autre, le mot de passe

I adminiskateurestnécessaire.Aufinal,ledisquede

destination contiendra une exacte copie du disque source (les

fichiers auront été en plus défraqmenté9.

1qi:t

Vous et Votre Mac No94 Novembre 2013

Page 69: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

OG- /^ow r #"rffi, t|D\g/ e]

a{§

 propo* d* ce MacMise à j*ur de loçËriefs,..App Store...

PréfÉrences §ystèr::e...Dnek >

ÉlÉmt*ts rÉcents :Fnrcer à quitten Findnr TûffiüSuspendre l'activitÉ

a

r , Fermez toutes vos applications proprement (ne forcez pas

la fermeture mais attendez qu'elles enregistrent tous les

fichiers ouverts et fassent leur propre ménage).

Denandez Mémanerdans le menu Apple (Pomme).

. . Si tout va bien, sélectionnez le volume de démarrage (en

:r général il s'appelle lr.4acintosh HD). Glissez-le sur le champ

Source Désignez ensuile le disque de desflnafibn (qui doit avoir

une taille au moins égale à celle du volume source).

. Pressez la combinaison [cmd][r] pour démarrer sur la

partition de secours. Le menu principal propose les

différentes opérations posibles depuis la partition secours, op-

tez pour tJtilitaire de disque (le quatrième choix).

!fü.i I 5hÈ ti!(â;iwiô

"û..tui dê

itrdia. ?

dnee{iMr..dihirot..l,êrlMrM!&1afu.r l.! auil.t

L:,lt!I{S: I rf{acer

Utilitaire se lance. Véifier votre disque de démarngeelréparez-le si c'est nécessaire. Ce serait vraiment idiot de

cloner un disque (ont utilitaire de disque souligne les déficiences!

Oémarraçe

Tsst affichsï

5élq{tionnez le lÿstèmc à utiliser pour dêmarrer ÿolte r

*1 iæ

Meirrosh ilt \la€rflîêsh ililos x, !a,8.5 ù5 x, 1ü.È.5

$ous are2 sélectrsnné û§ X. iû,9.5srr 1ê disque ( I{à.lntosh HD !.

Cliquez pour redêmdrrer cet ordinateur en mûde dirque ci

Àp,ês i\Ei. redÉmnré <et ordinf,Èeur en fiodÈ disque (itrle. t§!j psule ronnecter i un artre srdisùreur à l'ùids d'un ràblÊ Thllde.bott ûu

I Pour vérifier le clone, redémarrez sur ce dernier Sélection-

nezle dans le panneau Démarrage de préférence système

ou bien faites [alt] lors du redémarrage pour afficher les différents

volumes système présents.

Érir

.tt&et!§!nd6qu â{$_re er,r!êrd(r, r rJ

§§§"ryi,*ix*\ i'ii*r k''i-r*

. Validez l'alerte d'effacement du disque de destination.I Patientez... un certain temps. Une indication du délai restant

est placée devant la barre de progression. Pour un N4acBook,

nbubliez pas de ie bancher sur le secteurl

pt(lrduâ. aàqwgdê Ifia saaiiæ

Ob$rlrd. làAe.r llgeÈrt !,ri:r ',r.ÿi. i.rilIuilaalrcde dl3qu.

1,.

:riaià--ur,@,*--

§{,.; &*;e* di*6, tu:.!r @aoÉi.ed]@r&t' k*.L i$E-kd'Éra

rr Àat&'r!@«è ùtrx/ s- & $* ilr

Vous et Votre Mac No94 Novembre 20.13

Page 70: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

* pffi&Tê*#ffis ffiHpffiffi§s *

Donnezdu gruin ù vos photos

ovec Gimpepuis que le numérique a remplacé l'argentique, le grain photo quifaisait le

charme de certains clichés a disparu, remplacé par un brui! beaucoup moins

esthétique, que produit le capteurdans certaines conditions. Heureusement,

comme ilexiste des solutions poursupprimerce brui! ilexiste aussides solutions

pour iedonner du grain à vos clichés, et c'est ce quejevous propose de découvrir

ici, en exploitant lefiltreNoise generotorde Gimp. Lesfiltres de Gimp n'étant pas

dynamiques,vous ne pouvez pas les activerou les désactiverà la demande pourtester

différents réglagessur un même cliché. La meilleure solution consiste à appliquer lefiltre sur

un calque doté d'un fond gris 50 % que l'on superpose au calque contenant l'image originale,

avec le mode defu sionFusion de groin Vous pourrez userd'une mise en æuvre identique

avec Pixelmatoretson filtre de bruit, maisdansce cas ilfaut choisir le mode defusion

lncrustation éqüivalçntau mode Fusion degrain deGimp.l Mathieu Lavant

ffiCréez un nouveau calque. Dans le dialogue qui s'affiche,

Wff renomnez le calque. Grain.ualidez. Cliquez sur la case

Échantitlon couleur de prenier plan,en bas de la barre d'outils.

ffiæremær Su ffisffi§m s rïræ§,§#tr&, . .

§ Eatance des couleurs.,,

Ë] Teinte-§atur*tion

# Çol*rier...

§ Lu m inos ité-{*ntru!te,.

I nyer5er

*f%0uvrez l'image de travaildans Gimp, faites Canlarn>

W Orut,*...et validez la commande avec ses réglages par

défaut; l'image ÿaffiche en niveaux de gris.Affichez le panneau

talguæ via le sous-m enu FeÉtrcs > ftrÉtræ anqüles.

t,.*l$*s*iffid.]...,...,.. : .-.,.,.iffii

lt'idth *--*e@ l0--.

Standard deviatiaal 1 /,32

§ Luminance noise only

l-l Camma correction

ElAp",çu

ffiDans le menu ETfies choisisez Erur'f > Noise genentor.

§&f Cliquez sur l'onglel llnilorndudialogue du filtre, réglez la

valeus Wilth à 60et validez. leffet de grain apparaît sur le

calque Grain.

ffi §euil...

ffi I'liveaux..

Lll LôErtrês,

t$ Coup+r

L,l !ùprÈr{+pier visible

f;l e*1ter

-L Lolter oans

C,:iler rqmrne

lres se-papiers

Ê: EÏÏâCET

^ , '.tLtr I +Àl!

.,^lLtrl+L!!

klaj+Ctrt+C!.:Ctrt+V1

!

):!

)l

#hDans le dialoque, entrez /es valeurs O O 50 dans tes

W cnnw n, i I Validez. Le calque Grain sélectionné, faites

Édition > Renplir avec la aulwr de PP.Le calque affiche un fond

gris qui masque la photo de départ.

fRÊi

lverrouiller

rlrlt:

l:5:

ijil tr,;1

Æ, Retour dans le oanneau Calques. Dans le menu ffode

BFchoisissez le nrode Fusion tle gnin.Gimp affiche la

photo avec son effet de grain. Vous pouvez le désactiver en

cliquant sur /1cône d'æit qui jouxte le ealque.

IffiSi le résultat vous convient, enregistrer l'imôge (Fichier )

E§ËExporte0. Sinon, créez un calque Grarh Z remplisserle

d'un gris neutre comme le premiet et testez une autre o(ition

dufillre Noise qenerafor- l'option Gaussrbn par exemple.

I de dÉsaturation : ticouleurs en niveaux i

- A §- p W 4 -S I t E l"Ef-uf -g*b.$l

î* ! Vous et Votre Mac . N"94 . Novembre 2013

Page 71: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Redécouvrir les fonctions lesplus utiles dAperÇu

perÇu est une application mature et polyvalente. Si son principal usage restela lecture de doôuments graphiques, ce serait dommage de passer à côté deses a utres q ualités. Aperçu peut être em ployée pour ojouter des

.

métadonnéesà des fichiers PDF ou aux images (se rendre dans le menuOutils > lnspecteur, puis cliquer sur l'icône en forme de loupe), et Spotlight

se fera fort de retrouver vos documents à partir des tags attribués. Grâce à la fonctionSignet > Ajouter aux signets,vous pourrez retrouver une page d'un documentélectronique ou même ouvrir en un instant une photo que vous auriez mémorisée parce biais. Aperçu sait piloter votre scanner, importer des images depuis votre tablette,votre téléphone ou votre APN (menu Fichier\.Vous pourrez aussi remplir un formulairePDF et même y apposer votre signature. Pou( scanner cette dernière, rendez-vous dansles préférences > Signotures.lDavid A. Mary

*ffi §* ræ§mu*he individr;*t*e 0u lrsifsn:*ret pr !*t

/ÊL Retoucher rapidement vos ohotos: recourez à ra

IFpabrte negla;es de la couteursenu0ut,i§ pour ajuuerle contraste, la saturation ou la netteté et produire des effets sépia

ou monochrome.

fi Détorr"r rn élément: faites appelau Lasn intelligentouEf la fonction I lfln instantaÉ.iôur dénicher ces fonitions,il vous faut afficher la barre dbutils d'édition.

Smffi ll#:§ffiJ',?it',:'#Ïlifffl[ffi :'*ïiïChaque élément a.l.outé (textes ou figures) peut être modifié ou sup-

primé depuis la palette lnspecteur.

Af§cÿrrr l'lnsÊe<Èe*rÂf§(her les pùlk*$Âfrcher la Ic*pe

Réglags df la ecæËeur..

Aju$er k râülls-^,

.. -. :a iiar/ Sélettbn rc€!Ârq deiÿe

Ânnëiâr

a

At€rdr-I6ûdlot3_I nc€txrriüemsnt vêrti€âl1." , ...

l - - --- --- -'§ -*- 'pree d'cruvrer phobgr*Si{$tf!"ilft e ecdfuotim É*fu{rk de 1619É ?i

ùrlE æ6d tSt@X JtrüùB ,6 aeifdt, )ffiÿ, # @F6 ô ù ffi @ii 6 r/q6s; de gfa rffi dei, M ,8Jc rsè$ d@Ë ra k Sà. & Câr.!tts lr tWldëi*rs fsôe$qsu,

*r,ÊT

f,| Reoimensionner un groupe de photos: ouvrez-res au

W préalable dans Aperçu, faites apparaître la colonne

latérale (Présentation > Vignette) ei dema ndez Édition > TNt s&lætionnupuis 0utils > Ajuster la taille.

fi Effectuer une rotation horaire (ou antihoraire) de plu-

E7 sieurs images: sélectionnez les photos dans la colonne la.

térale (comme à l'étape 4). Puis demandez tutik > Rohtion àdroitewà qatrcle.

t,hæ*o *U aHts,or il drfrs&@imffiir& ou! ihÆFds æ EérrB ffi dffi fan+@ r{ M.xcos-.*r-crffi---i-

§ mm,,:ï::ffi stî,1]:.itrïllt[Jlli **,0*,,Sélætion rcctangulairedélimitez la par:tie de la page à conserver

puis cliquez sur lbutil Rogrrr

:seÉ @ M* SÂ Ê%ii8 a È ddt$ æ s ùqùrdtn ;

hrs 6§tirbü ê,üwÉ es eds treôeÉr e ÉÉo€rd ,fiôpûr I

itr*Ëiw â{eéd eeÿest,§ Èenûlëi{{m lrdit/dr * i}i$§B :

T? i Vous et Votre Mac. No94 'Novembre 2013

Page 72: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

* Pffi&TâffiffitrS HHPffiHSS *

Créezel publtezun screenmst en5 minutes chrono ovec QuickCost

uickGstestuneapplicationgratuitequiseplacedanslabarredemenu.Grâceàelle,vous.

enregistrertoutes les manipulationsvisibles à l'écran pendanttrois minutes maximum. Si

vousvoussentezl'âme d'un commentateur(ou d'unformateur),lawebcam devotre Mac

vousenregistrera aussi, image etson, dans une petitefenêtre quivient en surimposition et

que l'on peutdéplacerdans un endroit discret. La souris estenregistrée en mêmetemps que

d'aidevidéo. llestaussi possible decapturer une partie de l'écran et même de créerdirectementdesgif

animés pourdes captures inférieures à 300 pixels et L0secondes. Aufinal, QuickCastvous propose de

publiervotre screencastsurson site. Une inscription gratuite est alors nécessaire et le lien pourintégration

sur un site web ou pourenvoyerparcourrierélectroniquevous estenvoyé pare-mail. QuickGst

fonctionne à partird'OSX L0.Z surdes navigateurs modernes. llest en anglais, maisfacile à utiliser, gratuit

ycompris lestockagedesvidéos. I Alain hlisæ hW://quickcast.io

§æx"rcwffiY ffiffi**ffi'æ w§#qxo lr*uT rcx§wâJx qus m§§§æ rYsæm,,"

æ lJ#e,ilili,'.','#;:,$T ;f il,ï: ïTffï:ii,xî,,tout ou partie d'écran, et de spécifier le micro et la webcam

à utiliser 0n clique sur Recod OuickCast pour démarrer.

ffi :tJiifl:i,"ï'JJ:I:[f i:i:îilï'fJ;'§Ji:i;:,,compressée en .mp4, ce qui divise la taille d'un facteur 3 environ.

Les deux fornats restent à disposition dans le dossien

s ffi l,:::ni:i : Ëi:J:i:';J::: ÏJJJ::[ïIà partir des Sninufes naxinunaulorisées. Pour stopper

l'enregistrement, faites tctrlltalltcndJl4/(et non pas [0]... pro-

blème de clavier AZERTY-0WERTY).

G}',xj,i,lii[îff :i ff:;ffi ir,f ,Îil',f,flT;, *,.,de passe. Une adresse e-mail est nécessaire pour recevoir les liens

de publication. Le service est simple et peu contraignant.

§i:lï:îfi ,u»:ff[]ïH;,Hiil:i:::'ff i:l::,dossier où sont stockés les screencasts enregistrés. 0n peut les lire

avec n'importe quel logiciel compatible 0uickTime.

tI ô-.t"*,--__,._r ]L,,.,.,,,.

II

I

G}[iffiï,1','L'lfi lffi'fl iïJffi i:i:iïiffi *,quand vous y aurez pris goût et aurez des dizaines de fichiers,

Seul, le titre est obligafoire. La publication est transparente.

Y*u r' i-*te rt ürici..lall:Shnw ln Finder

Piease enler yôur deiâils

?8 ! Vous et Votre Mac . No94 . Novembre 20'13

Page 73: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

ïrer porli des piles pqurilierles photos dons Aperture

u temps de l'argentique, le nombre d'images prises par l'appareilétait limlté: la

pellicule 24x36offrait le plussouvent entre 12 et 36 poses. Uélectronique ayant

aujourd'huisupplanté lefilm, la carte mémoire d'un appareil numérique peut

enregistrer plusieurs centaines devues. Dès lorq on n'hésite plus à appuyersurle déclencheur. Du bracketingd'exposition aux prises devue en rafale,tous les

moyens sont bons pourtenterd'obtenir« la » bonne photo. Mais de retourà la maison,une autre difficulté surgit:séparer le bon grain de l'ivraie IChoisir l'image la plus représenta-

tive parmiune quinzaine devariantes devient un exercice pourle moinsfastidieux. Pourvousfaciliter la tâche, Aperture propose de regroupertoutes les photographies prises dans

un laps detemps donné. Lecontenu de chaque pile d'images peut alors être examiné etcomparé. Àvous, ensuite, d'indiquerlaquelledu lotestla meilleure.l DaüdA. Mary

ffirep§§ær §ffiffi *reæ6æs f*c§§§§æ §æwr mq*§æffi§*m

Empiltr§ii*ire ia pileStinder la pilefxtrilirê i€§ élénrenlr

Choisir la nre

ÿ{irrtio*nerÉlavar

Abaisser

Sélectiernner to*s k: élérnents rle la pile ;

Pile précédente i

Pih suivante

§,* --:Ç*.ÿi ii. -.- - " -., -- --.-,.,---, -,.- l

I Extraire l'élément

1 Empilerautomatiquement

Àbaisstr"

§électionner tousPile précédentePile suivantr

fermer la pilri Ouvrir toutes les piles

I

les éhÉments de la pilr

Lieux

;ffi Pour regrouper automatiquement les clichés dont la date

W de prise de vue est proche, sélectionnez l'ensemble des

images et demandez Piles > Enpiler autonatiguenent.Danslapalette flottante, indiquez 1 seconde.

ffi Séhctionnez ensuite dans chaque pile, la photo que vous

E# estimez être la meilleure du lot et faites Piles ) Choisir ta

neilleure(lcndll:l). limage va alors seplacer en tête de pile.

gffi La première image du lot (en vert) sert d'élément de

ffi comparaison. Pour faire défiler les autres images de la

pile, recourez aux f/èches du clavier.Pour passer à la pile

suivante, utilisez /a f/ècfe pointant vers le bas.

Pour affiner la sélection, scindez donc une pile en

plusieurs piles plus petites. Désignez la photo qui

servna de point de xission puis demandez Piles > ÿinder la pile

i Pile prdrêdentc; Pih ruivant*

i Fermer la pile0uvrir t*uter ler pllcs

Plein écranAfffcher les poj.ls

Visuali!.Naüqat ÿlnspect

RedulltZom iZci& i

Afficher plusieurs imagesAfficher une seule imagePar trois

ÏUÏR\H

)I)I!

i Mcttre ler zones dynamiquer et stàtiqu€s eî surbrlllrnce

I Àftcherla lolpej Options d! loup€

. r*+-o r**+r,*Â -->l

ffi Pour comparer la première photo de la pile avec les autres

t&rfl de la même pile, basculez l'affichage d Aperture en mode

Scinder la vue ou Wsualiseur.Puis, dansle menu Présentation,

optez pour Visualiseur Pincipal > Par piles.

ffi Le travail de sélection achevé, refermez toutes les piles

meilleure inage de /apiles'affichera dans Aperture - les

autres seront dissimulées (mais pas supprimées !).

?S i Vous et Votre Mac' No94 " Novembre 20]3

Page 74: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

* fÉffi&Tâ*#fl§ ffiHFffiffiS§ *

*}7 Optimisez une bibliothègue bien

?q rempliedans iMovieu fil du temps, la bibliothèque d'événements d'iMovie prend de

l'embonpoint. Retrouver un plan ou une séquence est molns facile.

Le travail de montage devient fastidieux. Ces vidéos sur votre disque

dur interne provoquent un ralentissement sensible des performances

de votre ordinateur. ll est grand temps de faire le ménage ! Je vous

recommande de vous débarrasser régulièrement des rushes inutiles (les plans

ratés, et ceux ne présentant aucun intérêt sentimental). Ensuite, archivez sur un

ou plusieurs disques externes les éléments de la vidéothèque que vous n'utilisez

plus, Même déportés, ils continueront d'être disponibles dans iMovie et vous

pourrez les réemployer le moment venu. Comme vous le feriez avec iPhôto,

donnez un titre clair et explicite aux événements, et n'oubliez pas d'attribuer à

chaque séquence des métadonnées de classement (mots-clés etfavoris).

I David A. Mary

ffiuxæ§qesws ffiffiffi§&§§s p*urr §ü ffe§§sn de we&'e ss§d{&*§et&qwæ

t-.-.. -.-* -.. -

,gfte Pour faciliter la recherche des plans, rcnonnez læ

W évenenentst« Dans les rues de Positano » donnera plus

d'indices sur le contenu de l'événement que l'intitulé par

défaut « Nouvel événement ».

u#& Gardez sur votre disque dur interne les séquences vidéo

E# les plus récentes seulement. Déportez les autres sur un

disque dur externe. Pour cela, cliquez.au yéalable sur le bütonReErruper les événenents pardique.

êh Déplacez ensuite l'événement en procédant comme suit.

Ëf uarntenez tir touche [cnd] et îoncée.ûeptacez t tcône oe

l'événement sur celle du disque externe. Une barre de progression

vous indiquera l'avancée des opérations.

gffu Les clips que vous ne destinez pas au montage, et dont

&# I'lmportance est relative, peuvent être compressés dans un

format plus petit. lls occuperont ainsi moins de place sur le disque.

Faites un clic droit et denandez 0ptiniser la vid& Gnnd

ffi À chaoue nouvelle importation, faites le ki parmi les

W rushes. Attribuez-leur des nots'clés(avec Ia palette). Puis

narquez les clips favonsà l'aide du bouton arborant une étoile

pleine.Reiete les plansnfésà l?ide de la croix.

&i.ru:ru;:i;:itïilïln:ff ,[iThïiti'Refust uniguenent Cliquez ensuite sur §rpprinrles pbns

rcfusés.

Récupénr de I'erpacê .ur vo(re dltqre dur ên déplaçetlêi plans êjêtér dâns la @rbellle.

Rejeter l'inlégrallté dês plus sl une parliê :

&n'ert pas a]ou!éê à un poiet.] n'est par signalée cofime tâwrt€. -i ne dlspose pât dè mot-clé

LireLire la sélêÊtienVisionner €n boucle l* §élâclia.lLire depuis le dàbutlire en rnode de lecture pleir écran

CopierRefr:ser ta sêlectionftefuser [e plan earier

RÉçl*r la date et I'heure d* §lan...Ânalyser la vidêo

iser la vidêo - Êntier (taille d'

Scinder l'événement âYant le plan

*# i Vous et Votre Mac ' No94 . Novembre 2013

Page 75: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

Privilégi ezl'usage desraccourcis clavier dans iPhoto

! ehoto a beau être d'une simplicité d'usage exemplaire, cela n'empêche nullement

a l'utilisateurdeparcourirplusieursécransavantd'atteindrelafonctionrecherchée.

! Pour gagner en efficacité, je vous recommande donc d'utlliser les raccourcis

! clavier. Ainsi, pour changer le sens d'orientation d'une image, soit vous utilisez leI men u contextuel (peu pratiq ue), soit vous activez le m ode Édition > Retouches

ropides etvous cliquez sur Foire pivoter - ce qui est trop long ! En utilisa nt le raccourciclavier [cmd r], l'opération prend une seconde. Pour se souvenir de certains raccourcis,

recourez à des moyens mnémotechniques: r pour la rotation d'une image, i pour la

colonne lnfo... Vous trouverez la liste complète des raccourcis clavier au détour dumenu Aide. J'attire toutefois votre attention sur le fait que la traduction françaisecomporte des erreurs. Pour une balance des blancs, ilfaut utiliser la touche [w] (commewhite bolonce) et non [m] comme indiqué. I David A. Mary

ffi= m w: x. ü

§

#u:'l:'*t;lll:î',iïiiiïi,.',il:iJ:îiï::i;lJe,'J*mode d'organisation à un auke (Événements, Photos, Albumgquand vous êtes dans la colonne latérale gauche.

ffi Afficher la olonne lnb:utitlsez le raccourci [cmd][].W Changer le mode dhffichage: pour examiner un

événement, frappez la touche [enkée], pour afficher une photo plein

cadre, utilisez la [bârre d'espace].

lcmd]tmailt.(point)1. Éditionpour zooneréncore ptui,trappez alors tmailt2l. ::l:l:.,,.etoucnes rapio.r 1q1.

Læm ffimm§§*§Ts ffisffi&m?*sltr*§ su hmu§ ffiæm S*§ffit-*

W t§eyr9'-'-treriaeType: JPÉc

QualitéJPE6: Moyenoe

#F HtrffiTmÏ,'mHil:: ii:#iff iffiiï#;fl îPour exportei utilisez le raccourci [cmd][maj][e].

&,i i Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013

Page 76: Vous et Votre Mac N°94 - Novembre 2013

* PRATIOU˧ EXPRT§§ *

Maîtrisez la dynamique sonoredans GarageBand

rra. -

a réussite d'un enregistrement ou d'un mixage résidedans la maîtrise du

volumesonore de chaque piste. Sinon, on obtientau mieuxdestimbres mal

définis ou lourds, au plre des grésillements ou toutes sortes d'artefacts (des

cû'cs, par exemple). C'est ce que l'on appelle lasofuration. Por.lr l'éviter,

il semble logique de vouloir ajuster la réglette de volume de chacune des

pistes. En fai! non : en procédant ainsi, on diminue la puissance sonore générale et on

perd aussi de la précision dans le traitement du fluxaudionumérique. Pourgarder un

volume sonore élevé sans pour autant être saturé, il faut recourir à un efJetspécial

dénommé compresseur.Attention, ce dernier n'est pas à confondre avec l'archivage

des f ichiers ! Son rôle cônsiste à robo ter les éventuels pics de dyno mique (éclat de voi&

percussions, articulations orchestrales...)et Cest aussil'un dessecreædefubrtcation de

l'industrie musicole. I David A. Mary

Érritrez I« ss?urtxTion en enreEistremsnt *ÿ §*, nrTixss§

jI

/ÉlAvant de lancer un enregistrement, réglez toujours le

!f n,u,rr ronore oe ra pnse oe son. uans ra coronne raterdre

Itlos de pistæ > Parcwrtr utilisez pour cela la réglette tllivaau

d'emqistmrcnt

6l Si vous utilis ez une piste de Guitarc, cliquez sur

9 ranpnilcatelnpurs sur re Douton t?aon pour acceoer

aux paramètres de réglages du niveau sonore. Un panneau de

contrôle rougeva alors apparaître en dessous.

â\Vous oouvez vérifier à chaoue instant le niveau réel

lETo rn,.rg,ur.rent .ans renlete 0e prsle. tn côs oe

dépasemenl du niveau maximal, nbubliezpas de rcnettrc à

zérc les indicatun de anilencliqwnt dessus.

4IAu mlxage, afin de conkôler la puissance sonore d'une

lSiJ potr, ,ors p ouvez recourir à la rûllette de I en-tête de

pisfe C'est le moyen le plus simple, mais il ne permet pas de faire

face à tous les problèmes rencontrés.

o;f J[:[ilï::l;:ï,ii:',ffi ::ïi,:":',:,'j#:[ffifattt utiliær b Conprcsseur (hfos de piste > orykit Édition).

Dans le menu déroulant, choisissez l'un des préréglages

@Iffi i:ï#iîi::Tiîfl :i,Hiifiï,gaTbnpesnr. Cliquez sur hnde I et abaisæz le seuil de

ænpessbn.Pour les bandes 2 à 4, ajustez le seuil à 0 dB

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