0S X MrvrnrcKs; soRTrE rNrvrrururr !D'ici quelques jours, la nouvelle version d'0S X devrait
être disponible, sans doute avant Ia fin octobre.0n ne
sait pas, au moment où j'écris, à quelles conditions.
Payante? Gratuite? Mountain Lion avait été vendu, l'an
dernier, lB euros sur la Mac App Store.
Toujours est-il que la Golden Mas-
ter (la version qui sera distri-' buée sous Ie numéro 10.9.0
- build 13A598)a été li-
vrée aux développeurs,
ainsi que la Golden
Master de Xcode 5.0.1
(qui supporte les déve-
loppements pour Lion,
Mountain Lion et Mave-
ricks, mais pas les précé-
dents systèmes). ll faut rappeler
que 0S X est aussi un ensemble des lo-
giciels autonomes, fournis avec Iui et qui tous peu ou
prou change de version de façon significative ou mi-
neure. Par ailleurs, Mavericks comprend des fonctions
nouvelles héritées d'i0S et fonctionnant en synergie
avec Ie nouvel i0S 7: le Trousseau d'accès synchronisé
via iCloud, Plans, iBooks... Apple a également beaucoup
travaillé côté moteur avec de nouvelles technologies
pour optimiser l'accès aux ressources processeurs et
mémoire.
Restent en suspens, mais se sera peut-être l'objet d'une
autre annonce, les nouvelles versions pour 0S X et i0S
des trois logiciels de la suite iWork, dans la foulée des ex-
cellentes versions bêta en ligne proposées sur le site
iCloud. Le successeur de Mavericks, sous nom de code
Syrah (un cépage comme il est de coutume), pourrait bé-
néficier d'une profonde évolution de l'interface utilisa-
teul à l'image mais pas forcément similaire, à ce qu'à
connu i0S et les applications d'iCloud.
Lrs rMlc 2013 som DsPoNtBLEs
C'est sans flonflons, sans conférence de presse, sans spe-
cialevent,qu'Apple a simplement rajeuniles il\4ac, qui
restent identiques à eux-mêmes. Processeur Haswell,
carte graphique, mémoire Flash en SAIA Express, Wifi
802.11ac... bref rien de surprenant en fait, juste busrness
t
< BREVES DîCTU >
A propos de...
ous vous imaginez bien que depuis quelque temps
déjà, j'utllise un Mac sous 0S X 10.9 Mavericks. Alors
que la sortie de cette nouvelle version d'OS X est
imminente, je peux en parler en toute liberté.
Je dois dire queje ne vois pas à quand remonter pour avoir
un tel sentiment de fiabilité et de sécurité. Et à part quelques rares logiciels
qui plantent lamentablement (dont je tairai charitablement ici le nom, espérant que des mises à niveau
arriveront très vite), je n'ai connu aucun problème. J'estime que la compatibilité de 98 7o
de la logithèque de WMac - plusieurs centaines de titres - est excellente. Ce qui apparaft plus que
normal, les développeurs ayant eu largement le temps de faire toutes les adaptations et optimisations
nécessaires. En tout cas, tout shnnonce au mieux pour cette version 10.9.
Sivotre Mac peut accueillir Mavericks - et Apple a bien fait les choses en conservant la même liste que
pour Lion -,je ne peux quevous conseiller de le mettreàjoqr; le coût devrait en être modique et le gain
en termes de réactivité sensibte, surtout sur les petites configurations quejhf{tütionne que sont les Mac
mini. Mais bien sûr tous les Mac vont profiter de ce regain de ùitalité. Sans compter qu'il y a de nouvelles
applications au rendez'vous (Plans, iBooks...) et que celles que l'on connaft bien sont toutes améliorées.
lJéquipe de WMac est sur le pied de guerre pour vous faire vivre cette évolution en douceur et efficacité,
comme toujours! Nous reviendrons bien sûr en profondeur sur Mavericks et toutes les nouvelles
fonctions des applications qui font escorte au navire amiral, dans les mois qui viennent.
lly a de quoi remplir quelques numéros croyez-moi! En attendant, bonne mise à jour ou installation de
zéro. Et bon saut dans le futur à ceux qui débarquent directement depuis Snow Leopard ou Windows.
I Bernard Le Du ([email protected])
' .;,
as usual. Les prix vont de 1?99 €IIC pour l'entrédtlegamme en 21,5 " et culminent à 2000 € pour un 271', et {s'envolent bien au-delà si l'on souhaite « personnaliser » '
à la commande sa configuration. Toutefois, c'est un poil
moins cher que la précédente génération (du moins en
France): de 50 à B0 € selon Ia confiquration. Mais on
avait connu l'an dernier une augmentation à de100 à 200
€ par rapport à 2011. Cette petite baisse s'applique aussi
aux options comme le Fusion Drive Mais la mémoire
reste très chère chez Apple. Il est désormais clair que de
vraies évolutions de technologies telles que le Retina
pour les écrans et le Thunderbolt 2 ne seront au pro-
gramme que courant 2014 - voire au-delà sijamais Apple
en profite pour proposer un tout nouveau design. l
PnrurrRs succÈs ors Houvuux TPHoNE ,,
Sur le premier week-end de sortie des iPhone 5C et 55,
Apple a annoncé avoir écoulé 9 millions d'appareils, sans
donner plus de détails, notamment sur la répartition en-
tre les deux modèles. C'est un bien meilleur départ que
pour le 45 en 2012.
lrusnsumr PouR 0S XPour compléter l'article sur les AirDrop /rke que vous
trouverez dans ce numéro de VVMac, sachez que Instas-
hare pour 0S X a été finalisé et qu'il est proposé sur la
Mac App Store (2,69 €). Cet outil de transfert au vol de fi-
chiers et de presse-papiers, à la AirDrop, était proposé
sur appareils i0S. ll est désormais donc aussi présent sur
Mac et Android. Les versions « mobiles » sont gratuites,
elles. ll faut être sur le même réseau localet donc relati-
vement proche, à la différence de DeskTransfer qui Iui
passe par lnternet et permet les mômes choses même si
des milliers de kilomètres séparent les appareils.
0u mrrruo UNE « cRossE » MsE À JouR DE
VrRTU[BoxAprès Parallels Desktop 9 (prise en mais dans ce numéro)
et Fusion 6 de VMware (prochain numéro), c'est au tour
du petit Poucet VirtualBox de faire parler de lui. Le virtua:
. 5 | Vous et Votre Mac . No94 . Novembre 20'13
liseur développé
sous les bons aus-
pices d'0racle de-
vrait proposer une
nouvelle version
d'importance, dis-
ponible en bêta(non publique) de-
puis la fin août, puis
en bêta ouverte à la
fin septembre. Cette
version 4.3 embarque
un nouveau moteur de virtua-
lisation annoncé comme nettement
plus performant. Elle prend en charge de l'lPv6, optimise
la 3D et son support du système Windows Li. ll y aura
quelques menus changements d'interface.
[s sonr PRÊTs PouR MrvrRrcxsL éditeur du traiiement de texte Nisus Writer a fait un
« grand ménage » d'automne dans ses applications pour
qu'elles soient fin prêtes pour Ia sortie du nouveau sys-
tème dApple. Le produit est disponible et le sera toujours
en deux versions Express (45 €) et Pro (79 €). De son
côté Parallels précise qu'il ne faut pas compter voir Paral-
lels Desktop 7 sur Mavericks. ll faut disposer d'au moins
de la version I ou mieux de la 9 qui a été retravaillée spé-
cialement. Sous Desktop 7 et 0S X lüavericks, les ma-
chines virtuelles Windows ne se lancent pas.
Ceux qui collectionnent les icônes en barre de menu ne
jurent que par lui: Bartender (12 €), un excellent utilitaire
qui, dès maintenant en version 1.2.9 est parfaitement
compatible Mavericks ! Bartender regroupe dans une
barre de menus à géométrie variable, hautement per-
sonnalisable, escamotable au besoin... tout ou partie des
icônes que place le système,les applications ou l'utilisa-
teur: lui-même dans cette zone très convoitée. Ainsi cette
version 1.2 utilise la nouvelle gestion du multi-écran de
Mavericks et se duplique sur tous les écrans connectés.
Les icônes d Apple (heure, batterie, Time Machlne, Wifi,
Bluetooth...) sont capables, comme les autres, d'interagir
avec l'utilisateur par alerte visuelle. Si elles sont mas-
quées, elles réapparaissent dans la barre pour se mani-
fester si nécessaire. Bartender généralise aussi pour
toutes les icônes le gllsser-déposer d'éléments depuis le
Finder et le Bureau.
Depuis sa version 2.4J, Dropbox s'intègre sans problème
à Mavericks. ll offre en plus une fonction de partage des
captures d'écran, une gestion plus souple de l'importa-
tion des photos iPhoto dans un autre sous-dossier de
Dropbox.
Enfin, lPassword 4 (45 €) pour Mac est une réécriture
complète de l'excellent système de trousseau synchro-
nisé, disponible aussi bien sur la Mac App Store que chez
l'éditeur. ll est parfaitement compatible avec Mavericks.
0n ne sait pas de façon claire si les deux versions Mac
App Store et éditeur accèdent à l'option iCloud... Norma-
lement, ce ne devrait pas être le cas. Mais il est rapporté
par des utilisateurs gue ce serait possible avec la version
éditeur tout de même. En théorie, seules les applications
vérifiées et mlses en vente par Apple sur la Mac App
Store peuvent utiliser iCloud comme plateforme de
< BREVE§ D'ACTU ts
stockage, de sauvegarde et de synchronisation. Deux au-
tres options sont incluses: en local en connexion directe
physique (câble et plus Wi-f i), via Dropbox (comme
avant).
0unoox.cot',t AccESStBLE EN IMAP0utlook.com quia pris la relève des messageries Hotmail
et consæurs de Microsoft est le premier service de I'édi-
teur à prendre en charge la relève des comptes mail en
IMAP (et plus du vieux P0P et du trop propriétaire Active-
Sync). À la clé, la synchronisation entre matériels de bu-
reau et mobiles de façon simple et universelle.
Les paramètres pour configurer votre client de message-
rie de bureau ou mobile sont les suivants:. Nom d'utilisateur.votre adresse de messagerie
". Mot de passe:uotre mot de passe q
. Serveurdecourrierenfranf(IMAP): i
imap-mail.outlook.com sur Port : 993
Connexion chiffrée SSL
' Serveur de courrier sortail (SMTP):
smtp-mail.outlook.com sur Port: 25 (ou 587)
Authentification:oui. Connexion chiffréeTLS
HusrC pounsuff soN BoNHoMME DE cHEMtN
Le nuage HubiC d'0VH - que beaucoup d'utilisateurs fran-
çais préfèrent aux sociétés basées ailleurs dans le
monde - a enfin rendu publique une API (une interface de
programmation) ce qui devrait à terme plus ou moins
court amener nombre d'applications à s'interfacer direc-
tement avec lui ou conduire des développeurs à greffer à
HubiC des applications spécialisées, des outils, des plu-
gins... Un nouveau système d'authentification est aussl
mis en æuvre sur la base du protocole 0Auth.
Nouvmux PorNTs DE vENTE ET DE SAVMacway est reparti à l'offensive avec encore une nou-
velle ouverture, cette fois-ci à Strasbourg (2 place du
Temple Neuf), aux abords de la Place Kléber (lieu où se
trouve l'Apple Store officielle). Le point de retrait à lll-
kirch-Graffenstaden fonctionne toujours. Mais il faudra
se rendre à Strasbourg pour se faire installer des bar-
rettes mémoire, un SSD ou un disque dur interne.
Près d'Épinal, sur la ZAC des Terres Saint-Jean, Easy
Computer (déjà sur Nancy et Metz) inaugure à la fin oc-
tobre une nouvelle boutique de vente de matériels Ap-
ple, de SAV avec une orientation professionnelle mar-
quée vers les métiers de l'architecture et du médical.
0ù r'0ru REPARLE (uu rtu) DE ZFS0n avait beaucoup entendu parler de ZFS quand on pen-
sait qu'Apple allait adopter ce système de fichiers 128
bits, très avancé, en remplacement du vieillissant HFS+,
pour Lion. Mais rien n'est venu, pas plus avec Mountain
Lion, et aucun changement n'est inscrit dans Mavericks.
Toutefois, hors d'Apple, des tentatives de développe-
ment et de diversification existent. ZFS est aujourd'hui
très méconnu et peu utilisé malgré ses atouts. llsemble
toutefois qu'il soit dominant sur plateforme FreeBSD
(essentiellement des serveurs comme tous les Unix sauf
0S X) ainsi que sur quelques variantes exotiques et
anecdotiques pour l'utilisateur de micro-ordinateurs.
Toujours est-il que le nouveau projet OpenZFS annoncé
est développé aussi bien pour 0S X, Linux que pour
FreeBSD. Mais sans le support d'Apple, on voit mal sur
quoi ça peut vraiment déboucher sur 0S X.
Cxnour 31, uttux 0u'uNE MAcHINE vtRTUELLE
Le navigateur Chrome de Google va être capable d'exé-
cuter du code natif C/C++ dans son environnement inté-
gré Portable Native Client Preview (PNaCl). De quoi don-
ner aux web apps des moyens supplémentaires pour
s'approcher au plus près des applications natives et s'in-
terfacer directement avec Ies matériels. de plus, en
court-circuitant l'interprétation des autres langages
non compilés, on devrait bénéficier de performances
bien meilleures, et d'intéressantes possibilités de créa-
tion d'applications et d'outils puissants.
;1.16 | Vous et Votre Mac " No94 . Novembre 2013
PAGE
DE PUB
* NOUVEAUX PRODUIT§ *
iDocument 2
Doo 2
Deux solutions pour qérer
autrement ses documents) Ne nécessilont pos de plocer ses documenls dons une bose de données, sochont
odresser les documenls en locol comme sur certoins clouds, ces deux ulililoires
s'ovèrent ossez proches. lls vous oideronl ù orgoniser el ù gérer de foçon intelligente vos
documents grûce oux mélodonnées, oux dossiers dynomiques eT oux recherches évoluées.
Une opproche ollernolive ou complémenloire ou clossemenl por dossiers imbriqués.
tout en profitant de fonctions plus
varlées, plus pointues ou plus sub-
tiles que celles du Finder et de Spot-
light. Dans cette catégorie, il n'y avait
guère jusqu'alors que Yep! et Leap
d'lronic Software. Mais début 2013,
on a eu Doo (dontje vous ai déjàparlé) et à la fin de lété, une nouvelle
version d'iDocument. Deux produits
qui désormais.se.rejoignent da ns
leurfaçon de travdiller; tout en of-frant des éventails de fonctions diffé-
rents. i
Doo, À nrnr tulsmcr!Pourceux qui n'ont pas lu mes précé-
dents articles (VVMac 88), Doo est
un gestionnaire de documents qui,
PRIX: environ 45€ iMàJ gratuite
des versions l.x) C0NF|G.: 0S X 107
ÉoIEUB: lcyBlaze
www. i cy b t ue.co m/i d o c u m e ntMac App Store
* Très facile à utiliser; interface
élégante ; référencement des
documents ; indexation des contenus
textuels; support de disques
externes, réseau ou clouds...
- Pas de gestion d'OCR; en anglais;
pas de compagnon i0S pour l'instant...
PRIX: Gratuit
CONF|G.: 0S X 10.8, iOS 6 et 7
ÉomruR: ooo
httpsl/doo.net
Mac App Store et App Store
* Facileà utiliser;interface
élégante ; référencement des
documents ; indexation des contenus
textuels et OCR des documents images
et scannés; catégorisation et tags
automatiques; support de disques
externes et de certains clouds; applica-
tion iOS universelle; gratuité...
- Lapplication ayant été vraiment
optimisée, je n'en vois pas trop...
omme vous l'a expliquéDavidA. Marydanslenu-méro 92 de VVMac, onpeut fort bien gérer ses fi-chiers, même des photos
et des vidéos, en recourant auxseules fonctions du Finder et à Spot-
light. Ce sera même plus vrai encore
avec Mavericks, quiajoute en stan-
dard les tags dans le Finder. Néan-moins, le Finder a des bogues et par-
fois la vue courte. Et si Spotlight est
pratique, il nécessite souvent descontournements opaques. Dès lors,
pourquoi ne pas recourir à un outilpensé spécifiquement pourgérer les
documents (et pas tqus les fichiers) ?
llen existe plusieurs, et de deuxtypes.
Les premiers sont.des systèmes de
base de données dans lesquels on
importe physiquement les docu-ments. SOHO Notes, DevonThinkPro, iDocument 1, Together fonc-üonnent ainsi... Ce sont des équiva-lents d'iPhoto mais pour tous typesde documents. Le second type re-groupe des produits quin'imposentpas d'importer les documents dans
une base de données mais de seule-
ment les y référencer. On peut doncconserver son organisation person-
nelle dans le système de fichiersd'OS X (dossiers et sous-dossiers)
o
Ë<M D§
D6]@tdetypeindé{iri -
Irn
0tà
Ée
ïï'".1,'. 1
lE":------TUej.-.r q aLr st l:33 ,rdd
@ co,tens
txrutcltti§6Ésr-. O
EsHca3aêrârY t G
Ât&Diaâ uâl&tôrtÊo.
& Dr!d@
ffi
ri)§8 | Vous et Votre Mac' No94. Novembre 2013
I.
iili,llliêi*,,,.,,,,,,.,,,,, q- @Eii rador
illcùbà!ô ôêtI:ir!:II
.gPl^cl{.{!§o€sr,.- e
a srror4!
:.'ÀGll 'Êrirvll
q
Âcca, ilnoc
ti Â'e. dd!ôàù
[aLroi.n u !ro!ror*o.,, ]
!è tuibrd l
#,ffi
,ffit8
;*i; l&;
rilË
ffiMî-
EIffiüffi,].;sJ.rul
ffiffiwffiffimpffirt
,*"-o*r,,* ,r"-"rru^
rf ,l
+
flll Dccunents
a'r Gcûotê Drile
f§ Éverncte
(1) conoecter
L] cNx
l.,J 'fÿMAC
S§ttlnË5 (Awe§ome N6te) - Dû not dêletr this note
Mangè Cardamom and Swe8t eêconut Popsic{e§
en plus de superviser les documentsprésents sur les disques internes etexternes, prend en compte ceuxstockés dans des services de cloud:DropBox, Google Drive, Sky DrivefI. Dans une même interface, trèsdifférente de celle du Finder et, à
mon avis pleine de bonnes idées Etr
, vous pouvez gérervos documentset y accéder peu importe où ils sontvraiment. Doo intègre même direc-tement une softe d'uülitaire Capture
H pour intégrer directement des fi-chiers (indexation et OCR au vol) pro-
venant d'un numériseuI d'un appa-
reil photo ou même de la caméra Fa-
cetime de l'ordinateur.
luoryarmnOCR!La force defrappe de Doo tient à l'in-
dexation de tous les documents réfé-
rencés quand ils conüennent dutexte. Mais aussi les images- photos
et surtout documents PDF créés par
numérisation - grâce à une analyse
OCR performante üI tI. AnalyseOCR que ne sait pas faire OS X. Donc
nombre de documents échappentbien entendu à la sagacité de Spot-
light, mais pas à celle de Doo.
Dans cette version 2, beaucoup de
bogues ont été corrigés. llapplica-
tion a été fortement optimisée. En
plus des clouds de base, Doo 2 prend
en charge les documents placés dans
l'excellent service Evernote El.
HÉRancursvrnruru-rsSeconde grande foncüon, Doo auto-tog les documents à partir de l'ana-
lyse de leurs métadonnées et deI'OCR. C'est très praüque car l'un des
problèmes de la gestion partags,c'est que les uülisateurs nbnt pas le
réflexe de créer et d'appliquer les
mots-clés eux-mêmes, surtout au
départ. Doo le fait plus vous. Évi-
demment, l'intervention complé-mentaire de l'uülisateur est la bien-venue, mais c'est déjà ça de fait.Uindexation permet à Doo de géné-
rer des regroupements et de créerde lui-même des catégories. uappli-
cation gère bien entendu les tagsOpenMeta (et gérera ceux du Finder
de Mavericks quand ce dernier sera
disponible). Et ellevous donne les
ouüls pour créer des hiérarchies in-telligentes de dossiers et dossiers dy-
namiques, hiérarchies virtuelles qui
n'impactent en rien l'organisation« brute de fonderie » des fichiers sur
le disque dur ou sur le cloud.
Vous pouvez donc regrouper dans
des structures virtue.lles, par théma-
fiques par exempld des documentslocaux et d'autres sur Dropbox ouEvernote. Doo, contrairement au
Finder, tra nscende Ia localisationphysique des fichiers !Vous n'avez
plus besoin de vous demander oirsont les choses pour les trouver.Vous les trouvez par la recherche in-
telligente et l'applicaüon vous ditbien évidemment où elles sont loca-
lisées, et vous y conduit même « par
la main » si besoin est.
Outre cet aspect gestionnaire de do-
cuments, Doo comporte aussi unefoncüon cloud. Au cas où lbn ne se-
rait pas déjà utilisateur d'un autresystème.
Doosun rPlo n rProurtl est possible de s'abonner (à desconditions qui ne sont pas connues à
l'heure actuelle) afin de disposerd'un système de synchronisation de
fichiers à la Dropbox et confrères. Le
dossier Doo synchronisé recèle,d'une part, les données de référen-
cement dans Doo de tous les fichiers
supervisés (ce qui permet d'en rapa-
triercertains au besoin en local), plus
éventuellement des fichiers qui, eux,
. No94. Novembre 2013
sont répl iq ués a utomatiq ueme ntsur d'autres a ppareils. ll y a aura donc
un volume de base gratuit pour les
données « des services », mais si lbnveut pleinement uüliser le Doo
comme on le ferait d'un des autres
clouds existants, il faudra prendre du
stockage en plus ét le payer.
Autre point très important, si dumoins on a un iPad ou un iPhone: la
sortie de Doo 2 sur Mac s'est accom-'pagnée d'une version iOS univer-selle. Il est donc possible, sur iPad
ffiH et iPhone, d'accéder aux don-nées de référencement de Doo, de
rapatrierfacilement au coup par
coup desfichiers de son Mac ou d'unservice en ligne, mais aussi d'accéder
au contenu du dossier synchroniséDoo. Le support d'Evernote me per-
met ainsi de ramener sur mon lPad,
des documents et d'en conserver la
lecture horsJigne (avec le client Ever-
note, c'est une fonction réservée aux
abonnés payants). Je ne peux certes
pas les éditer dans Doo - qui n'a au-
cun outil pour-, mais tout de même
les ouvrir avec une autre application
si le format du document convient.
J'invite vraiment ceux qui ont été dé-
çus de la première version à y regar.
,r,,,'9 N Vous et Votre Mac
© anso ◊
* NOUYEAUX PRODUIT§ *
Parallels Desktop 9
Parallels intègre toujours plus
Windouus à 0S X
PRIX: 80 € la version complète, 50 €la mise à jour (avec 6 mois gratuits
pour Parallels Access)
CONF|G.: lntel; 0S X 10.6.8+
ÉDIEUR: Parallels
www.ppSlhls.mm/fr
+ LaEpiOlté; t'intégration du cloud;
le support du FireWire et de Ihunder-
bolt.
- Les modifications apportées à
Windows 8 passent par un éditeur tiers;
le coût de la mise à jour chaque année.
) Comme désormois choque onnée, une nouvelle version du virtuoliseur vedetle revienl svec l'oulomne. ll n'y o plus de
ploce que pour des évolulions morginoles mois bienvenues lout de même. Pour 50 euros, voici ce que l'on gogne ù foire
lo mise ù jour...
arallels Desktop 9 annonceprincipalement une meil-leure performance du sys-
tème. C'est d'ailleurs l'inévi-
table argument, et, chose
amusante, c'est chaque année lamême progression. Comme d'habi-tude également, depuis que les sys-
tèmes OSXont pris leurvitesse decroi-
sière, la version 9 intègre le support de
la prochaine version Mavericks (10.9)
et confirme celui de Windows 8. Ce
n'est pas forcément un argumentva-lide, puisque Parallels 8 en est déjà ca-
pable. Outre le fonctionnement sous
Mavericks, la version 9 apporte égale-
ment le support de Mavericks dans
une machine virtuelle. Pourquoi vir-tualiser OS X surOS X? Ce peut êtreutile pourtester le nouveau système
d'exploitaüon sans prendre de risque.
Dans la réalité, le « bond » de perfor-
mance ne se sent pasvraiment. Tout
au plusa-t-on l'impression que les ma-
chines viftuelles démarrent plus vite,
mais Parallels était déjà très bon dans
ce domaine. On ne peut pas dire que
ce soit spec[aculaire. [accélération gra-
phique a également pris du galon, per-
mettant démuler désormais Direct X
10 et d'avoir jusquà 1 Go de mémoire
vidéo. Désolée, mais je nhi pasde jeux
pour le testen
D'nrono, uru ouTrl DE DEssrN
Parallels 9 supporte le FireWire... ilaura doncfullu presque cinq ans poury
arriver alors que cette technologie est
en perte de vitessefr ce à I'USB 3 (sup-
porté depuis Parallels Desktop 8), etqu'elle a déjà disparu de quasiment
toutes les machines produites au-
jourd'hui parApple. Toujours est-il que
le Thunderboltfait également son ap-
pariüon. On accédera donc à tous les
disques de façon naüve à conditionque le formatage soit compatible, en
sachant que tout disque connecté au
Mac était déjà accessible de fu çon indi-
recte-on les retrouve dans la rubrique
réseau. lls'agit là d'utiliser la pleinepuissance des ports directement dans
la machinevirtuelle. Les disques peu-
vent ainsi être montés manuellement
(ou automaüquement selon les préfé-
rences)via le sigle USB en bas de la fe-
nêtre de la machine virtuelle, chaque
catégorie de disque est séparée pa r
une fine ligne, sans ütre (ce qui estdommage) ce qui rend leur idenüfica-
tion difficile IX.
-,i.'i=" .i' ç'Ëti-lÈ=== l=- à"r
rrQ!:rÊ,i!
Aà&bC.ô( Aaab{.{,r âa$bCr daBbcc 4t f ffi:"::
Lô Tofi etionnûlil* fgu§{[?p,û#?tinuer à §9 mettrs à iour (loÉqdil esl eB Yeille ét dés{CÆi p€met par Bxemple dela {eillÊ, ?r æûdilirn qse la mBéstrmais, la tap* â 3 @lünê râsJËrcr?s *a*s le dictiorâppliââliÛl]§ Mac-
EI
l)ir lir;rr:tir,.:
r CLâ&ne dec .irq pads qni 1.mlitrn1 lâ
mir k oied dc t'hort]e.-+'
Ia doigs {du grec æim liir.a}05, qui a
éstué en iadn "digiu+', doigtl son i6e.remitu ânicdé{§ ds maim et de picds
Apple Sluet@rh U§0 Host ControllêrÂpp!{ ûisplây Àudlô éaÀpp{. ÊacêTi*s }tû CaûèrÀ {Ssiit'i{,Âppie tr*1i6e I'lt C@r} {§iâstày}Ap$ë lnlsd (e}&rard I Trâ{kpâdApSe Th!**ê.§ôli §lspiâytntâ$r5 t&eh l- ,4U§s PeÊ §ead tèvi{e
SÀtl§Ui*{ S§0 S30 §€ri*s {diskl}§Y2i!Ëû*r'r#îI -qYt{ l{t { {dltkz}
12 | Vous et Votre Mac. No94'Novembre 2013
. tr §üreu, ; Eibtdnèquë
:! octm*xr. El hôgE
i .f MÈsqu€
§ vidæs
) * Cr$rfe:Sidsdiei
r r.I Odùe*i. S na*uu
j 78 élément{rl
.l
. AAC§i.6d8r :iitn':;1a1i:J:. AA*O .:J'a{'Yi1l lr.{i. Àppli.ffis lt:at lrlJ li.{iÂdioMesas; :4r1:.,:l1l l:i;r
, Audi+l'lotÉ :JrlA :11:17:;i, au$end*pp ;l,t!'ll::l::ii
. AÉsatër :i r:,:nll1:'ii
.. bwd iJ.r;,.:4i: illl
., C*a,PtG -:l.i!':1li:irii1,. C|§u{tÀ..*r :i ii,.:iar'1: ii. cl§ln ,iÿb6èrd :.i)l:Ill ll.i:
. (louddiËbûârd'iô! li aÉ :i,11 l,- ri, llouddipbo.rd"m8( :!ili liii 1l: ti.- Cloùd-Md.-iOS :n!a:r:lii ilji!., claud.§ütrs li.'É:r'ill ll J:
. Codô :t,at it:lll'.ln
Accès,d.ista,ntPalaltets Access est un, selv[ee,pouri0s] ll rqmf!gce,,[a,,n1écé,den!e
application qui permettait ùn contrôle,distant àrla fôis des.machines
virtuelles, mais aussi du Mac hôte. Présenté quelques jours avant la
sortie de,Paiâllêls.Dé§ktop 9;: il, nlêstr pàs liérà h,rposse§sion de la
dernière version du yirtualiseur. Néanmoins,tllachal d'une mise à jour
ou d'une licence complète de la version 9 donne accès à six moisgratuits (soit une valeur de 39 €). Dès le numéro de licence enregistré,
Parallels télécharge directement l'utilitaire, qu'il propose d'activerou non.
Um Érnorr nrÉeRATroN AVEc 0S XLa foncüon PowerNap qui aLrtorise le
Mac (à partir d'OSX L0.8) de continuer
à se mettre à jour (relevé des mails,
sauvegarde Time Machine) lorsqu'il
est en veille est désormais accessible
aux machines virtuelles. Ceci permet
de réaliser les mises à jour de Win-dows pendant la veille du Mac, à
condiüon que la machine virtuelle soit
bien sûren activité.
Désormais, dans les applications Win-dows, letoucherdetrois doigts (sur un
trackpad) sur une sélection de textedéclenche une recherche dans le dic-
tionnaire d'OS X, comme dans les ap-
plicaüons nativesEl.Parallels Desktop permet depuis long-
temps de partagertoutes les impri-
mantes du Mac. Désormais, il saitaussi installer une imprimante PDFvir-
tuelle pour les logiciels Windows. [op-üon est invisible, il faut simplementavoir acüvé le partage des impri-mantes dans la configuration. Cette
imprimante virtuelle, qui apparaîtdans les choix d'impression des appli-
caüons Windows autorise la création
d'un PDF quiva directement s'enregis-
trersurle bureau du Maq à l'imagedece que le dialogue d'impression OS X
permet depuis toute application na-
tive. Voilà qui comble une lacune évi-
dente deWindows !
Enfin, ilfaut soulignerque le processus
de récupéraüon ou de créaüon des
machines virtuelles a été amélioré, de
même que l'uülitaire de transforma-
tion d'un ancien PCen machinevir-tuelle. Un centre de sécurité EI a été
ajouté proposant de gérer l'installation
d'antivirus, à la fois sur le Mac hôte,mais surtout sur les machines vir-tuelles.
Lr suppoRn ou cr-ouo
S'il y a une fonction intéressante, c'esi
bien celle-ci ! Parallels Desl<top 9 per-
met de fu ire apparaître sous Windows
les services en ligne déjà présents sur
le Mac hôte (Dropbox, Stcy Drive,.mais
aussi iCloud ou encore le Fluxde Pho-
tos) comme autant de disques parta-
gés. Dans l'Explorateur, on a doncdés-
ormais accès en lectuÇ et écriture à sa
Dropbox, au dossier,f, hotostream(alors que cela n'est qas possible sur le
Mac sans bidouille), ou encore au
contenu d'iCloud, avec tous ses dos-
siers. Plus besoin d'installer des clients
d'accès à ces services dans la machine
virtuelle; on évite detournerdes pro-
cessus supplémentaires de synchroni-
sation et de dupliquer les éléments.Pensez à activer les options dans le
panneau de réglages des partages de
la machine üI.
Wrmows I rnçou Wruoows 7Pour les allergiques à la nouvelle inter-
fuce Modern deWindowsS, Parallels'Desktop 9 intègre deux modules issus
de Star Dock. lJopüon n'est pas trèsdocumentée dans l'aide, mais elle est
accessiblevia le menu Affichage. llsuf-
fit d'activer le look Windows 7 et de
laisser l'installation se faire. StarDock
Star8 (qui coûte normalemênt 5 dol-
lars) remet en place le fameux clas-
sique menu Démarrer de Windows et
assure l'accès à l'écran d'accueil de
Windows 8. ModernMix (5 dollars)permet lui de faire foncùonner les ap-
plicaüons Modern en mode fenêtré(et non plein écran). On voit ici Gl les
applicaüons Calendrier et Photos en
modefenêtré, ainsique le menu dé-
marrer fI. Tout comme l'aspect Mac-
Look proposé pour les machinesvir-tuelles antérieures à Windows 8, il
s'agit de modules d'un développeur
üers qui ne sont pas spécifiques à Pa-
rallels Desktop 9 et peuvènt être ac-
quis séparément.
Tout comme le passage de 7 à 8, lepassage de 8 à 9 nâpporte peu d'inno-
vations. Logique: le logiciel est désor-
maiS en vitesse de croisière. Tout au
plus peut-on apprécier le support des
services en lignes associés au Mac et
une fluidité améliorée. Si Parallels est
votre outil detravail, la mise à jour se
justifie assez facilement. Pour un utili-
sateur ponctuel,,probablement pas.
I Jennylemessager
I a....!r fàr.9! À,iih4.
li - î.j .Ré*.u r pd . icloud
septem bre 2013lù.. te! dim.
?. 1 , §i;
i I
'. ii) I I 1,1 i3 14 15
1tr :i 1â 1, ?A :l l2
?.J ll.: 2': :.ç, 2l l.ti 2!l
i$rnæmetadorer
it'' wrpua
'; u.toyuq" a" *q,"
ffi***
Èü càkura*ice
ff uct
bt'n§},o*'**o fI) Iousrèsp.o9.ôom6
lai)..it,, i,r,,)n i;,.,:..,r',:.,r.,:
*13 | Vous et Votre Mac. No94. Novembre 20.13
* NOUVTAUX PROIIUIT§ -
Parallels Access 1.0
Un accès sur iPad inédit, mais,
onéreux, et encore à peaufiner) Alors que Porollels Desktop sort en version 9, lo sociélé Porollels inougure un nouveou service d'occès ù dislonce sur
iPod ù volre Moc (eT évenluellemenl oux mochines virluelles Windows qu'il conlienl). Souro{-il convoincre? Pos sÛr.
PRIX: 70 € par an
C0ttFlG.: lntel;0S X 106.8+
ÉorEuR: Parallels
www.pamlhh.nnlr
* [interface novatrice; le partage du
presçe-papiers et du son; l'optimisation
pourl'iPail.-
- La fluidité à revoir;le comportement
capricieux du clic et du clavier; un prix
à l'année élevé.
arallels Access se compose
d'une applicaüon conçuepour le seul iPad (grand ou
mini) et d'un module de
contrôle, le tout relié à un
compte Parallels (gratuit). llfaut instal-
ler le service sur le ou les Mac à contrô-
ler; et l'acüver. Pour l'instant, seul le
client Mac est disponible - mais un
.module de contrôle sous Windows est
en bêta. Ensuite, on récupère l'applica-
üon iPad sur lApp Store.
Unr solwror'r lssz ouÉneusr
Chaque nouveau Mac raccordé va bé-
néficier d'une période d'essai de 14jours (90 jours pour les PÇ tantque le
client Windows est en bêta). Pour pro-
longer l'utilisation, il faudra payer un
abonnement annuel de 69 € par ma-
chine contrôlée, à régler directement
dans l'application iO§ par le biais d'un
achat in-app. Afin de promouvoirson
nouveau service, Parallels offre six
mois d'abonnement à Access pourtout achat d'une mise à jour ou d'unenouvelle licence de Parallels Desktop 9.
Sivousavez Paralleli Desl«op 9, vouspouvez en plus du Màc prendre lecontrôle des machines virtuelles Win-dows ou autres qui tournent dessus.
Lors de l'installation et de l'enregistre-
ment de Parallels Desktop 9, le module
Parallels Access est installé automaü-quement. Mais cela va changer, l'ins-
tallaüon sera optionnelle, à la de-
mande de l'utilisateur. Comme le logi-
ciel peut pa rfaitement foncüonnersans disposerde Parallels Desl«op (si
vous n'avez pas besoin de machines
virtuelles par exemple mais seulement
de disposer du contrôle à distance de
Mac), on peut le récupérer en se
connectant directement au site de Pa-
rallels. Iinstallation est rapide et lelogi-
ciel se lance directement. Lfordinateur
peut être connecté etdéconnectésans
quitter le logiciel, et l'on dispose de
quelques options comme le blocage
de lécran distant ou le verrouillage de
la session après la fin du contrôle. Sur
l'iPad, une fois le compte renseigné, la
ou les machines apparaissent l'uneaprès l'autre. Chaque machine ajoutée
dispose d'une période de test de 14jourg saufcelle où est enregistrée Pa-
rallels Desl<top 9, portée à six mois.
ParallelsAccess n'est ni plus ni moinsqu'un contrôleurVNÇ comme on peut
en trouver par dizaine sur l'iTunes.Store. Sa particularité est de redimen-
sionner totalement lécran de lbrdina-
teur afin de n'afficher qu'une applica-
üon à la fois, comme si l'applicaüon
était faite pour l'iPad.
AæÈsru MrcmçolttPloLa première chose au démarrage de la
prise en main est un Launchpad EË.
llinterhce esten effet idenüque à celle
du Launchpad sur Mac, avec une zone
de recherche en haut et une sélection
de quelques applications (celles qui
tournent plus une poignée dhutres).Pour personnaliser le Launchpad, il
faudra passer par È mode Édit. En bas,
on trouve également un bouton des
fenêtres ouvertes §§ .
On sélectionne alors l'application vou-
lue et on bascule en plein écran. Ici, on
aura uniquement un menu tronqué(Fichier, Édition) sans aucun accès aux
icônes du reste de la barre, ni au bu-
reau, remplacé parun fond grisau logo
de l'éditeur. ll reste un menu translu-
cide sur la partie droite, mobile, qui
contient des raccourcisvers le Launch-
pad, d'une part, mais aussivers lesfe-
nêtres des applications ouvertes, ce
quifacilite la ci-rculation, le menu sedé-plianten vertical si besoin.
i:t4 | Vous et Votre Mac . No94' Novembre 2013
Deux alternatives d accès distant
LogMeln Remotixo t****' O iill.'yLogMeln propose depuis un moment une solution de prise en main à
partir de l'iPad. Bénéficiant de multiples options telles que le redimen-
sionnement de l'écran, elle permet de contrôler dix machines par
compte gratuitemeni, sur i0S, Mac ou encore Windows.
Sur un ordinateur, un simple navigateur est suffisant. Sur iPad,
I'application gratuite permet de presgue tout faire, sauf quelques
fonctions comme I'impression locale, le partage de documents ou le
report du son. Un abonnement annuel pour une machine enlève les
limites, mais il est également possible d'acheter la version complète de
l'application iPad qui offre toutes les options « pro » à toutes les ma-
chines (mais uniquement sur i0S).
Prix: gratuit pour les utilisateurs particuliers ou 59€ par an et par machine
ou bien l'achat de I'application il.S lgnition (tt?€ sans aucune limite).
Éditeur: LagMetn
t: La fluidité même en 3G ou sur des réseaux peu performants, puissance
de la gestion de documents, stabilité.
-: L'interface pas très Mac; le défitement pas toujours très réactif.
Remotix est un client mixte VNC et RDP permqttant donc au sein d'une
même application de gérer Mac et PC sans instàilaiion d'aucun logiciel
supplémentaire sur les ordinateurs. Capable de scanner le réseau, il
simplifie la gestion en se synchronisant via iCloud. ll existe une
application Mac disponible sur la Mac App Store et des versions Lite
pour essayer. Clavier étendu, partage du presse-papiers et moile
trackpad ou souris, Remotix ne gère par contre pas le son.
La prise en main à distance via lnternet nécessitera de mettre les mains
dans le cambouis puisqu'il faudra créer un tunnel SSH.
Prix : 18 ۃditeur: Nutana LTD
*: Synchronisation entre les appargils, auto détection, pas de logiciels à
installer, support des spécificités Mac, fichiers d'aide en français.
-: Le mode via lnternet n'est pas à la portée des novices; quelques lenteurs
à la reconnexion.
Le clavier est a ppelé d'un toucher à
trois doigts ou par le bouton adéquat.
Ce clavier offre des touches de fonc-tion supplémentaires, des flèches et
des touches spécifi ques Windows. La
roue crantée, permet de modifier Ie
comportement du curseur en modesouris, d'activer la sortie sonore sur
l'iPad ou de laisser aclive la barre addi-
tionnelle. Globalement, l'application
apporte le confort du tactile, avec un
défilement dans la fenêtre à un seul
doigt, et la réactivité est plus grande
grâce à la réduclion auformatiPad. Un
appui prolongé permet d'activer un
mode précision en affichant une Ioupe
(pratique pour attraper Ies sépara-
teurs). Uoptimisation va plus loinpuisque la sélection de texte appoftenon le menu habitueiàie l'application,
mais un menu rOSlike lT,H. Le presse-
papiers est synchronisè entre l'iPad et
lbrdinateur distant. ll reste possible de
passeren mode Bureau, où lbn revient
à un contrô!e plus classique avec l'accès
au menu complet. Si une applicationmono fenêtre comme TextEdit don ne
une bonne impression, il en est autre-
ment des fenêtres chargées.
DrsruumurnrsÀrnnr!Quant à la saisie de texte, elle reste un
peu aléatoire. Le menu/oçon tOS ren-
contre des difficultés et la saisie longue
rend parfois le clavier capricieux au
point de restertotalement sourd aux
sollicitations. Le pire reste tout de
même l'utilisation des applications de
machine viftuelle qui manque claire-
mentde fl uidité. ll n'ya pas de passage
en mode Cohérence automatique, ce
quitait que la fenêtre se retrouve am-
putée du contourde Parallels Desl<top.
Enfin, lorsque la conhexion n'est pas
optimale, Access donne des résultats
bien moins bons qu'un logiciel comme
LogMeln avec une fluidité très altérée.
Au final, Parallels a tenté ici d'apporter
sa propre vision de la prise en main à
distance, sur un marché déjà bien en-
combré d'applications ayant fait leurs
preuves. Au-delà des apparences, l'ap-
plication est clairement jeune et si elle
est amusante à utiliser, elle ne peut pas
rivaliser avec des solutions plus ma-
tures. Quant à son taril qui le situe
dans une gamme « professionnelle », il
découragera probablement les utilisa-
teurs ponctuels. § Jenny Lemessager
t§ | Vous et Votre Mac. No94' Novembre 20'13
* ,IOUTITAUX PRODUITS *
Vox 1.1.1
Alternative musicale à iTunesF Si iTunes esl devenu ou fil du lempg pour vous, un peu lrop « r;sins ù g0z ,, pourquoi
ne pos choisir, pour écouTer seulemenT vos chonsons et vos musiques, une opplicotion
ollernolive comme Vox? D'oulonl plus qu'elle ne vous coûtero rien !
ne liste des titres en écoute
est un concept un peu dif-
férent de celui d'une liste
d e I ectu re... if unes dispose
depuis longtemps de listes
de lectur.e, simples ou intelligentes (ba-
sées sur des recherches). Ces listes...
listentjustement lesütres que lbn sou-
haite écouter plus que d'autres. Bien
que modifi ables, elles restent souvent
figées. Moi, ce que jâime, Cest me ba-
lader sans ma bibliothèque et me dire« Ça,jevais lécouteraprès ».
Joueun rvrc lrs rmrs rn ÉcounAinsi se compose au vol, au gré du mo-
ment, de l'humeur... une liste destitres
en écoute. iTunes ne prend en compte
cette fonction, via la fonction Morceau
suivant, que depuis peu de temps.Avant, lefait de fouiller un autre album
ou un autre arliste, interrompait le lan-
cement du morceau suivant de lâlbum
ou de la liste de lecture en cours. Ce
concept de liste des titres en écouteavait pourtant falt le succès des deuxplus grands logiciels de lecture de mu-
sique surWindows, WinAmp et Mu-
sicmatch Jukebox. Ce n'est donc pas
nouveau ! Vox reprendjustementsurMac cette idée. Vous pouvez mettredans une liste ce quevousvoulez écou-
ter et modifi er cette liste en tempsréel, en ajoutant ou en retirant des ti-tres. C'est aussi le principe du DJ.
Vox Nh pls eEsorn o'rTuurs,MAIS IL EN UTILISE I.A BIBLÛftÈQUE
Un des points forts deVox, pourceuxqui veulent seulement écouter leurs
musiques, c'est une interface simpli-fiée. Vox ne gère pas le classement des
morceaux, ni les informations (tags). ll
se base survotre bibliothèque iTunes
ou sur des fi chiers que vous glissez/dé-
posez à la volée. ll n'ya pas non plus de
boutique, ni de gestion des vidéos, ni
des livres et il ne s'intéresse pas nonplus aux iPod ni aux iPhone.
Ceux qui trouvent qu'iTunes devienttrop bric-à-brac et trop commercial,pourront peut-être trouver leur bon-
heur dans Vox. CarVoxfait moins de
choses qu'iTunes mais il le fait plutôtbien; en tout cas, ce n'est pas un lec-
teurau rabais ! llsait même lire, outreles classiques formats compressésMP3 ou MÇ d'autresformats qui res-
tent ignorés d'iTunes comme le FLAC
(non compressé). Pas besoin de plugin,
jamais à jour. Vox lit directement ce for-
mat en plus des autres et il le fait direc-
tement. En aucun cas, il ne lance
i.t6 | Vous et Votre Mac
iTunes en arrière-plan; il se sert de sa
bibliothèque, sans plus. ll sait aussi re-
prendre des listes de lecturesvenantdu Mac ou de plusiçïrs logiciels Win-dows.
On pourra donc copServer ilunes pour
gérer les morceaux, et élire Vox pour
les écouter
Du côté interface II, Vox est bien fuit.
C'est propre, moderne. La pochette est
présente dans le morceau en cours. On
la voit aussi dans l'icône du Dock ou en
vignette à lécran EI . Vox se fait aussi
très discret avec un menu permettant
de gérer rapidement une dizaine de
morceaux récents et de piloter par des
icônes en barre de menus, les trois ou
quatrefonctions de baseEI.
Bmuæupo'opronç..MAIS EN ANGLAIS
Cette première version de Vox com-porte quelques points faibles. D'abord,
il est en anglais. En utilisation courante,
ce n'est pas gênant. Mais quand ilsâgitde plongerdans les préférences... caç
des préférences, ll yen a tout de même
beaucoup ! Pas moins d'une vingtaine
dbpüons dans le premieronglet [I.Les notifications sont à déconnectercaragaçantes. llécoute des radios ln-
ternet ainsi que l'intégration du service
Last.fm sont des options payantes, et a
priori pas encore implémentées. Enfin,
il faudra penser à régulièrement rafraî-
. No94 . Novembre 2013
PRIX: Gratuit
COIIFIG.: Mac lntel, 0S X 10.7+
Éorrun:'Coppertinonfi p//co pp e rt i n o.c om /voxMac App Store
* Lq liste de la musique en écoute,
dynami§ue et modifiable; une app
légère; la lecture indépendante
d'iTunes.
- En anglais; une interface « mo-
derne » à la iOS 7, pas évidente à com-
prendre la première fois.
chir les données de la bibliothèque de
iTunes... Vox ne le fait pas automaü-quement.
Vox est un concurrent sérieux pour la
lecture de la bibliothèque iTunes. ll ne
fait que cela et il est donc léger. Et
comme il est gratuit ça ne vous coÛte
rien de lêssayer et de l'adopter ensuite.
I Alain l-alisse
préiêntation ÀllÊr FÊflëtrr Àid€ ; t{ ll >l
etits Rals De l]ooée Dr ptrist - charles Âznæoü. EII 3 -lr M'rcyais O€jà {À"€ Lr5 tutil: Râî§ De L'3pên De pili.} - fhtr: 4 - ldi{hèh {en dss #....} - Ia?h; 5 - li lago dei cigni {fÊtr Dominigrs àraglrirEi - Affiqry VssiliI 6 - Pârlâ Piu Piâ*o - Arory !Àrsilii 7 - A tùn ét{ile {Âffir $ÊnÉnd f,ântat} - Yann T-Éstri a» I - fmôur ffi. È0i - HkhÊi It lrtre§: I - RsnÊ âffi fioi ette nuit -Jâirilfry ll3lldâÿ:] 1û - *mkrToll âttituds {aH Pêlral Ohispoi -}ohnry Halhday:l 11 - S§.mir aæ€ iûi - Daîrf *rillmt
:.: 12-FlruealprHomini5-Bomtr/tiai!.81â5{h6la--st-Beroitdütac l
&h& Mrt.&æ@htu. atoryt d rq
hloà dt 8æ.
-
É,P&*dtr.*È84!<reMffi ,*4dùr*'.'oior&o.'æ-- tuFry'rh@#rdÈk.fu
. .tud.ÿq6h!Mk*pâtuWndi4iS&
Æ! elY eser qq!d4'!r !!! :
lqurd* ru*, !t4 4ry æ +ry hffihueroiræ'uwræ..w&d.rÿÉ uhryhÉ;ry
khd ü$wt1mkM&rd!@tukd
!*(Jin'?ii.!t'rs,: r::, ..--M: dtudb
ütu.tlMh&kbbÉt k.r@lrd*in'ffi
&n<e: hd&rryili dhd6 rak :
* îlt 3{. cs i
Àte& gsédrùm*ri4rldM&imffi
qwri.tË*Mlipt'. "
BitTorrent Sync
Une autre approche de la synchroF Si vous êles exlrêmement soucieux de sécurilé el de confidenliolilé, lo sociélé BilTorrenl
propose groluilement un ensemble de logiciels de synchronisolion, lrès simples,
complèlemenl sécurisés, qui ne fonl oppel ù oucun stockoge dons le nuoge.
ous utilisez peut-être un
service de stockage distantqui propose une fonctionde synchronisation de toutou partie des fichiers : Drop-
box, SugarSync, SkyDrive, GoogleDrive... ilyen a de nombreux autres !
Avecces services, le ou les dossiers syn-
chronisés entre plusieurs Macou entre
un Mac et un iPad par exemple, sont« répliqués » sur des serveurs sur les-
quels vous n'avez aucune maîtrise. ll
est possible d'user d'approches alter-
naüves. llune d'entre elles consiste à
créervotre propre cloud. Je fais moi-mêmecela avecle logicielTonido. ll mepermet d'avoirde façon simple et sécu-
risée accès à mon Mac via lnterne! de-
puis mon iPad ou mon iPhone. Mais le
mécanisme spécifi que de synchronisa-
tion d'un dossier relève chezTonido de
lbffre payante car elle occupe de l'es-
pace disque surles serveurs du service.
BitTorrent propose un système diffé-rent basé sur des technologies de
transfert de données décentralisé, ditpoint à point (P2P). Même si ce proto-
cole est utilisé pour distribuer illégale-
ment des æuvres vidéo sur lnterneq il
est surtout mis en æuvre par les mil-
lions d'entreprises de par le mondepour déplacer des fichiers en toute lé-
galité. Et, plus il s'agit de gios fichiers,
plus le protocole BitTorrentest efficace
et inégalé. BitTorrent Sync ne fonc-tionne pas comme un client BitTorrent,
mais il met en æuvre ceftaines de ces
technologies.
Dans ce modèle, la liaison entre appa-
reils synchronisés est directe. La seule
contrainte étant bien entendu que ces
appareils soient sous tension. Vous
pouvez synchroniser autant de dos-
siers que vous voulez, pour un volume
de données non limité... que par l'es-
pace disponible sur vos appareils. Le
protocole Torrent étant ce qu'il est, les
grosfichiers ne lui font pas peur !
Les données ne sont stockées (saufcas
très particuliers) sur aucun serveur in-
termédiaire. Bien entendu, ellestransi-
tent parquanüté de machines qui se
trouvent sur le « chemin », mais elles
sonttotalement chiffrées selon le mo-
dèle 256-bitsAES et ilya peu de risque
de captaüon et de lecture.
Urur svrucuRonrsATroN cHTFFRÉE
La mise en æuvre de BitTorrent Sync
estsimple. ll suffit de l'installersurcha-
cune des plateformes à synchronisen ll
y a des versions OS X Windows, Linux,
iOS etAndroid. Toutes les combinai-sonssont possibles. ll esttoutàfait pos-
sible de synchroniser un iPad et un
sma rtphone And roid via BitTo rrentSync. Prenons l'exemple entre un Mac
et un iPad... Sur le Mac, vous avez ins-
tallé BitTorrent Sync (depuis le site de
BitTorrent) et sur l'iPad aussi (depuis
lApp Store officielle bien sûr). Sur le
Mac, le logiciels'installe en barre de
menus et se présente ff comme la
plupart des outils de synchronisation
style Dropbox. Dans l'interface de Bit-
Torrent Sync, vous indiquez à BitTor-
rent Sync quels dossiers sont en syn-
chronisation §§ . BitTorrent Sync va
PRIX: Gratuit
CONtlG. : Multiplateforme
Éorrun: BitTorrent
htt p ll a k. b i ft a re ntm n /e xp a i n e nts/sy n c.htn I
ItlacAppStae
* Très simple à utiliser (en français sur
0S X) et'fôtalenrent gratuit; chiffrement
de bout en bout; adapté à la synchroni-
sation de gros fichiers; disponible sur
Mac, sur Windows, sur i0S...
- Un peu contraignant soLs i0S, du
moins sous iOS 6.x.
produire pour chacun des dossiers un
« secret », une longue suite de signes
quiconsütue la clé de chiffrement, et
contient les éléments pour que les ap-
pareils puissent se retrouvervia lnter-
net. Si les appareils sont sur le même
réseau local, BitTorrent n'utilise évi-
demment pas lnternet pour la syn-
chronisation. Ensuite sur l'appareil à
synchroniser, il suffit de recopier le se-
cret ou si Cest un smartphone, de pho-
tographier le QR code produit par Bit-
TorrentSync. La configuration seË au-
'tomaüque. Dès lors, les appareils sont
synchronisés. ll est possible d'userd'une synchronisation unidirection-
nelle (par exemple, une suppression
de fi chiers sur iPad n'aura pas d'impact
sur le dossiersource).
Sur un appareil iOS, BitTorrentSync §Ipermet de faire un Quicklook ou de
dispatcher lesfichiers vers d'autres ap-
plications installées. ll existe aussi une
fonction particulière de transfert des
photos d'un iPhone/iPâd vers un autre
appareil, fonction équivalente au Flux
de photod'iCloud.
fl noterqu'avec des appareils iO$ ilyaune contrainte regrettable liée à la ma-
nière dont iOS gère le multitâche, du
moins jusquâ la version 6.x. llapplica-
tion BitTorrent Synè doit rester en
avant-plan durant tout le temps de la
synchronisation, sinon cette dernière
est interrompue après quelques se-
condes- même si l'application n'est
pasfermée. Dans iOS 7, le mulütâche
est profondément modifié; il se peut
donc que cette contrainte disparaisse
mais ilfaudra sans doute que BitTor-
rent Sync iOS soit adapté en consé-
quence.
BitTorrent Syncfonctionne bien et il est
vraiment très simple à utiliser (il faut
tout de même comprendre ce que si-
gnifie synchronisation !). ll mérite que
vous letestiez ! I Bernard Le Du
l"sE*,ii&üÀ prapns dr BitTrrrent Sync
0.û Ka/s en rhargernent, 0.0 Kc/s en tÉlÉchargementMettre la synchronisation Èfl pârrse
Ouvrir EitTorrent Sync...
Envryer dEs com.memtaires,{etiqer I'archivage de dÉhagage
Quiltrr EitTerrent Sync *Q
t7 | Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013
* NOUVEAUX PRODUIÏS -
0penOffice Draw 4.0
Un outil de dessin de qualité
à (re)découvrir!)> Plus simple d'ulilisoTion que lnkScope, Drow esl une opplicoïion de dessin vecloriel
inTégrée ù lo suile Open0ffice. Mois elle mériTe lorgemenT une prise en moin ù elle seule!
tion qui dispose d'un outil de création .
de blocs de texte, mais aussi de trèsnombreux outils de dessin, et reprend
l'ensemble des commandes de mise
en forme de têxte de Writer (le traite-ment de texte de la suite).
DhaonD, uH otnl DE DEssrN
Pour créer le logo de votre associaüon
dans Draw, nul besoin d'être expert du
dessin vectoriel. On utilise lesformesprédéfinies proposées par la barre la-
térale. Dans cette même barre, on
trouve aussi ce qu'ilhut pour régler les
attri buts gra phiques des tracés.
Pour « fabriquer » une forme person-
nalisée, la tâche sera un peu plus déli-
cate. Draw dispose bien d'un ensem-
ble dbuüls de dessin vectoriel, regrou-
pés sous l'icône Courbes, mais atten-
PIIL Grattiitl
COllFlG.: lntel ;,0S X 104+
ÉDIffiUR: Àpacne Software Foundation
wwwopenoffiæ..0ür
* llintégration à la suite Open0ffice;
la bibliothèque graphique; la gratuité.
- La lôDrdeur d'édition des formes
vectorielles, la qestion des couches;
pas de chaînage de blocs; pas
d'habillage des images par le texte...
tion, aucun d'entre eux nèst réelle-mentfacile à utiliser pourun débutant.
En pratique, le seul outil exploitable est
l'outl Ligne à moinlevée qui permet de
tracer librement une forme quel-conque. Mais une fois le tracé fait, il
fuudra encore le corrigeren éditantses
points d'ancrage et là, lhffaire se corse
puisqu'il faut faire appel à deux ouüls
supplémentaires II. En revanche, si
vous avez déjà un peüt peu d'expé-rience avec les ouüls vectoriels, vous
découvrirez que Draw permet de créer
toutes sortes de graphismes et même
de vectoriser un te),tepout ensuite, le
déformer et le personnaliser
PnffiM$rNpleiÀ défaut d'avoir Pages ou Word, Draw
se prête à quelques travaux de mise
lorsque lessuitescommer-
ciales iWorkdiApple et Mi-
crosoft Office ne regrou-pent que traitement detexte, tableuret logiciel de
présentation, les suites open source
OpenOffice et Libre Office intègrent
en plus un logiciel de dessin nomméDraw (et d'autres choses encorecomme une base de données).
Cette applicaüon offre desfonctions si-
milaires à celles de soluüons commer-
cialestellesque iDraw, Artboard ou en-
core EasyDraw. Et comme de plus elle
estgratuite, Cest une solution à envisa-
ger avant d'aller dépenser une ving-
taine dêuros ou bien plus pour une des
applications citées plus haut.
À l'instar des produits commerciauxconcurrents, Draw est une applicationpolyvalente: mises en pages combi-nant textes, images et éléments gra-
phiques, création de schémas et dbr-ganigrammes, conception d'un logo...
Cest dans les cordes de cette applica-
à ruh l* d.&n«.xe)
; ugmbrseùr : &ubür :
l--'
liàru(êI-: il w .l'j
-id;jii:. ;r :-;*i;{* ilSM.dânqle Sryledextûm§:&.odi !: nr 1'
ê b$don cr dlk.- !
O. .s_: @ 5%
*l§ | Vous et Votre Mac'No94 " Novembre 2013
t
:;::i:+
?I
é
+)À
?
+
é
ô
' lntérer des formes
j
if,nriilli.1'. ii
". a ü; I .r' t'-, '
J, ParâgÊP&ê
: R€fipli§ea4ê
Aemplir:
Coïleur : n:-l '
TaÀrrpâretae :
Aû.u, i 06 g
l
- Àu(ur(e)-. .. .; - au.un(ê)- . . .:
Styie dangle Stfle d'exltémilé
n klrlon et râille-
Mtlê ên 9e. C6r.&s Liqres & tdè
t +Git 'i i-'e--'G's-.*'E-Ç',k'li/ Lgae (4-+-J'+-:, 4.8s I 6.7û :::: 3.05 x 2.60 ' DiaF t I I trMiæ !n pry) slalcard ,r Û----- O 59%
en page Wë . Même s'il s'avère assez li-
mité. ll ne gère pas le chaînage de
blocs qui permet de faire courir un
texte sur plusieurs colonnes ou de le
répartir sur plusieurs pages. ll ne gère
pas non plus l'habillage d'une formegraphique par du texte. On peut envi-
sager d'utiliser Draw pour créer un
flyer; un carton d'invitaüon, une cade
de visite ou une affiche, mais il n'est
pasfait pour une lettre d'information
de plusieurs pages.
BusurscRnpHnusDraw dispose de quelques fonctions
supplémentaires qui le démarquent
de ses concurrents. On trouve ainsi
dans la barre dbutils supérieure, lbuül
Diagramme qui permet de créer un
graphique de données sans passer par
le tableurCalc. Pour ceux quiont be-
soin de dessinerdesschémat Drawof-
fre également des outils situés dans la
barre inférieure qui permettent de
créer toutes softes dbrganigrammes.
ll s'agit en fait d'une collecüon de
formes de base ainsi que des connec-
teurs ffi#, mais ces derniers sont plus
que de simples traits de liaisons et ils
suivent les déplacements des élé-
ments qu'ils connectent, de quoi peau-
finer 1'agencement d'un organi-gramme sans avoir à se soucier de la
posiüon des connecteurs.
ÿil a de bons outils, Draw souffre aussi
de quelques défauts, parfois irritants.
Le premierest son système de couches
vraimenttrès mal ficelé.
Qurtours oÉrnurs
À [heure oùr le moindre logiciel de des-
sin vectoriel dispose d'un système de
calques qui permet de gérer et de vi-
sualiser la superposition dbbjets dans
un document, qràw uülise des
couches qui ne sont accessibles par
des onglets situés dans la partie infé-
rieure de la fenêtre du document etqui, contrairement aux calques des
applications concurrentes, ne peu-
vent être permutées.
Le second gros défaut de Draw-etdes autres applications de la suiteOpenOffice-est la mulüplicaüon des
barres {butils. Malgré l' i ntroducüon
Oe ta noJüêtte-Oarre latérale, l'applica-
üon affiche deux barres d'outils dans
la parrie supérieure de sa fenêtre, plus
une barre dbuüls en bas de lécran. Du
coup, de nombreux ouùils se retrou-
vent à la fois dans la barre latérale et
dans l'une des barres horizontales, ce
qui n'est pas pour simplifier la vie de
l'uülisateur débutant. Heureusement,
tout ceci est configurable et on peut
regrouper les barres d'outils dans le
haut de la page, et choisir les outils qui
s y affichent.
Exponr n pmrnoE STMPLFÉ
Grâce à l'intégraüon d'OpenOffice, le
partage et l'export de documentscréés avec Draw sont fort simples. S'il
s'agit de travailler dans les autres appli-
cations de la suite, un simple copier-. coller suffit pour placer le logo que
vous avez créé avec Draw dans un do-
cument Writer ou lmpress. Pour profi-
ter des liens dynamiques entre les ap-
plications, on exploite la commande
Colloge spéciol... Ce qui permet de ré-
éditer l'objet Draw à partir du docu-
ment hôte f' :: .
Rien n'empêche non plus d'adopter
Drawcomme solution dedessin vectoriel, tout en uülis-ant Pages ou Wordpour le traitement detexte ou la mise
en page. Da ns ce cas, on se sert des
fonctions d'export du menu Fichier
. pour obtenir des fi chiers aux formats
PDF, SVG, ou dans un format bitmap(Jpeg, Tift PNG...), fichiers aisément in-
tégrables à un autre document.
Malgré quelques latunes et défauts(absence de chaînage et d'habillage,
gestion des couches malfichue...),Draw est une application complète et
polyvalente, et son intégration dans la
suite OpenOffice en fait une solution
de choix pour la réalisation de petites
mises en page ou la création de gra-
phismes simples. À condition toutefois
de ne pas être un parfait débutantdansle domaine car lesoutils de dessin
de courbes de Béziers ne sont pas très
simples à manier, et avec la mulüplica-
üon des barresdbutilg il n'est pastou-
jours facile de trouver lbutil dont on a
besoin. I Mathieu Lavant
in'*-E.'o "iil \?*s ,,r..È-# @ 4 ra, .
a,iâ! . 18 " û.1!^ ====:= =-=:rd;.ââÂ'.I 6., 5 , { I 2 ' 1 ' 1 2 j 1 ,t è , 1 I 3 t0 11,12,11 1!
côndnenffi.ibh rd tuBe gB,i&. ÿi,re &cil,§].æsi !€1 nibn dbM *uEiêi. PmiËtinsidlrr:Es3 v!æ les læddictunr. ftl@c ssi, 6lÈlpt ih end 1jb.F r!ae, $iryil!îælsiqH ryü. Aliqw dticb dqib!§ nl$ tr:lis sÀecltu- lian iFmisltrsit elt.esEhrâdittlk8 dt l{ q1ff É}st, ù[s qd dirisi4Isa v.liçulâ 5l Mqbtr\u1la iæët 91e{4 sjm d :ô&ls hm in ÿsandis mq ü su§.ipi! ryiâ. s*§pedi&eget k iRiâ dili. &æli$ aJush sld tryis slliddin .mrcr
&û:6ry@tuj
@ôE !@r d. (dc
M{dlFsffinltri6 s, ui meis do boræ! d. Proi. i[ end Puru i8!d]€1, kuk rsrcs.!1Npro*o Nllrêlrb@,§situtuppoÈIdid, !ch@1dq§6m.Mæs&bE ls É &qa! F{s!, il,s diæ ulricis ne, {É æi& ryrâ fli ôÈ e ,ilÉ,Grirq* no* iiiM& lture.Aliqsm iisdum ls no. ÿelt io!ry&i ffidse&il. C@bitrril ame iBËdlt 1æ, â. 1@ Fû. Meiâ j1Biis 6 Ed6 ,trna:is d{!M. tk@6 id.§ss lç*s !ûeEs ris odto. rbilM uE w!fu n@, kndridr id q§. Næ $lc*edtok nib! ui rhorst. Xsn û üæû r@dw!, i*odi {isi al !lsd6 [email protected] Jt M tlsps 1eq !§ risnê siil. Ii d Er9§ ôæ. &is ffi ,e de- P§â#llsænEllis lsorcet æismad. D6e cnu niÿ odir. â podib. ryue fenns$ü ac' Ëtum d
(*.1ç-J- b
"=- i;-.r--r-v'g';'U','Ê-
&i, - 18
G ./ §'*r* ii.Â
Ê
,†§.
E Éemêût: &ÿâit i
+ o,æ.. {;l "-: o,æ.. != o.oo.. § i" o,oo.. i:J
1=- * 0,m.,S
A.
'..i. ::::
!9 | Vous et Votre Mac * No94. Novembre 2013
* NOUVEAUX PRODUITS *
ToyViewer 5.3.1
Une excellente application qui
mérite un rhabillage complet) Léger el groluil ToyViewer vous oidero ù porcourir efficocemenl le conlenu d'un dossier
de pholos, S'il o élé lotl bien odoplé ù 0S X côlé moleur, son inleffoce, elle, esT encore o Iolroîne. C'esl un peu dommoge, mois ce n'esl pos rédhibitoire,
PRIX: Gratuit
C0NFIG.: lntel; 0S X 10.7+
Éof f un :,tat<estri 0gihara
ItacAppStae
* Le viewer et son mode diaporama;
la gratuité; l'interface en français.
- llatihtce de commande de zoom;
la gestion limitée des fichiers RAW;
le fonctionnement en multi-écrans ;
l'interface désuète et parfois même
déconcertante.
our parcourir le contenud'un dossier de photos, onpeut utiliser QuickLook (la
fonction Coup d'æil) que
vous connaissez bien.Mais elle a aussi ses limites et si oncherche une approche plus conforta-ble, on peut s'en remettre à son cata-
logueur favori, ce qui peut être assez
lourd, ou demander le service à Toy-
Viewer, qui affichera les photos mais
servira aussi à des retouches au be-
soin.
J'avais déjà présenté ToyVlewerdans... le numéro 25 de WMac ! Six
ans donc, et l'applicaüon de Takeshi
Ogihara ne semble pas avoir beau-coup changé. C'est vrai au niveau de
son interface mais elle a gagnéquelques nouvelles fonclions et c'est
surtout sous le capot qu'elle a évolué
pour s'adapter au changement deprocesseur, au mode 64 bits et auxnouvelles versions d'OS X.
DhgonD, ur,roffiL DE DEsstN
Au déma rrage ToyViewer n'affi cherien, hormis sa barre de menus. C'est
assez déconcertant à llheure où lamoindreapplicaüon affiche au moins
un écran d'accueilou un dialogue. llfaut donc en passer par le menu Fi-
chier pour accéder aux principales
commandes de lâpplication.
On se doute alors qu'ilfrut demanderPo rcou rir u n dossie r d' i m a g es... Toy-
Viewer demande d'abord de sélec-
tionner un dossie4 puis il affiche un
contrôleur doté d'un bouton Lecfure
ffiH quisert alors à lancer un diapo-rama en mode plein écran.
Par défaut le diaporama démarre en
;({ ri{l I l} li»i'*+'.--J r j L-'
i- I llkde âlêâtsirsr'
S r.xa ttre Ottrer Sc.oe*
S tte *nionutirn fôr Trsrsililrî
i-l ü*ntering ths Pair knâgieâ
mode automatique. Mais vous pou-
vez à tous moments reprendre la
main à lhide de la souris, du clavier ou
du trackpad. Si on utilise la souris, on
remarque qu'en suivolant le bas de
l'image, un contrôleur apparaît en
surimposition qui permet de mar-quer le cliché, de quitter [e diaporama
ou dbuvrir I'image sélectionnée. ffiMais revenons un instant sur lecontrôleur. Comme on s'en aperçoittrès vite, celui-ci disparaît lorsqu'onlance le diaporama - à moins de dés-
activer le mode plein écran ou d'utili-ser deux écrans. C'est dommage car
ce panneau propose de nombreux ré-
glages utiles que l'on affiche en cli-quant sur l'icône d'engrenage en bas
à droite du panneau. lly a là de quoi
activer ou désactiver le mode plein
20 | Vous et Votre Mac. N"94. Novembre 2013
écran, régler la temporisation du dia-
porama... À gauche de l'icône d'en-grenage, une liste d'options qui per-
met de choisir le sens de défilement
du diaporama et le nombre d'images
affichées par écran (une ou deux
images). Enfin, on découvre que les
boutons d'avance et de retour fapide
servent à visualiser les images quatre
par quatre, Cest idéal pour parcourir
rapidement un gros dossier de pho-
tos. Mais ce n'est pas tout. La com-
mande Porcourir un dossierd'images... permet aussi de visualiser
le contenu d'un paquet (une applica-
tion, par exemple) pour inspecter ses
ressou rces gra phiques et, par exem-
ple, récupérer son icône. Et si on sou-
haite visiter le contenu d'une archive
d'images au format Zip, vous utilise-
rez la commande Porcourir unfichierdhrchive... du même menu Fichrer.
PnmusrruplcePour ceux qui ne disposent d'aucune
application dédiée mais souhaitent ef-
fectuer quelques correcüonsd'images, ToyViewer fait aussi fonc-
üon d'éditeur bitmap et propose un
ensemble de commandes detransfor-
mation (Échelle, Rotaüon, Miroir...)
dans le menu Opérations et de correc-
tion (Lu mi nosité/Contraste, Satu ra-
üon Balance des coùleurs...) dans le
menu Effets. En praüque, on utiliseplutôt le panneau Qutils qui permet
un accès direct à l'ensemble de ces
commandes et affiche leurs réglages
ffi . Les interfu ces des commandes de
léditeur sont un peu austères, et peu-
vent décourager quand on n'a aucune
expérience dans le domaine. Mais l'in-
térêt icigst surtout la manière dontToyViewer gèie les étapes de correc-
tion. Chaque fois que lbn applique un
réglage ou unetransformation, l'appli-
caüon génère une copiede l'lmage et
l'affiche au premier plan. Grâce au
menu Fenêtre qui liste les différentes
copies detravail, on peut aisément re-
venirà telle ou telle étape ff§ sans
avoir à jouer de I a commande Ann uler
ou exploiter un panneau d'historiquepas toujours très simple à compren-
dre.
Àounouumrc?Avec son interface fortement datée,
ToyViewerfait un peu figure de dino-
saure, en particuliersi on le compare
aux applications plus récentescomme Fotor. Mais, comme je l'ai ditau début de l'article, sous le capottout a été refuit pourfonctionneravec
les versions les plus récentes d'OS X. ll
lui manque donc un bon lifting pour
afficher une interfuce plus conviviale
ce qui simplifierait de beaucoup son
utilisaüon.
ToyViewer souffre par ailleurs dequelques autres défauts qu'il vautmieux connaître avant d'installer l'ap-
plicaüon. C'est d'abord la mauvaise
prise en charge des fichiers RAW Si
l'application est capable d'ouvrir ce
ÿpe de fichiers, elle n'est clairementpas faite pour les décompresser et les
. afficher à la volée dans le cadre d'un
diaporama. Le second défaut de Toy-
Viewer est l'absence de zoom, ce qui
est un peu gênant lorsqubn manipule
des images de grandes tailles. Le seul
réglage dont on dispose est un menu
local situé en bas à droite de la fenêtre
du document. Toutefois, si on dispose
d'un trackpad, on peut se servir des
gestes Pincer et Écarter. Notez enfinque ToyViewer n'apprécie pas le
mode plein écran lorsqubn travaille
avec un second écran - un problème
qui pourraittrouver une solutiondans le prochain OSX Mavericla.
Au rang des avantages, il y a tout lereste, et la gratuité et la légèreté de
l'application. ToyViewer est à mon
avis une application à garder dans vo-
tre trousse à outils. I Mathieu lavant
ô21 i Vous et Votre Mac. No94 " Novembre 2013
* NOUVEAUX PRODUITS -
@ E ueyooaro et rypezptrone WClaviersGtsouris)virtuels Ëmlftffiu*il.^,lnsouris/trackpad Bluetooth (avec les
) sivous ovez deux Moc, un iMoc er un MocBooK ptus un ipod ou un iphone ou tes l3ffi:ii|ifü "'stèmesquire
deux, ces deux petils ulilitoires OS X peuvenl vous rendre de gronds el petits services. - Moins d'options que Tvpe2Phone'
e vous ai déjà parlé à
quelques reprisesde
l'utilitaire Type2-Phone conçu par ledéveloppeurd'excel-
lentes applications de re-cherche comme HoudahSpotou Tembo et d'un logicieldegéolocalisaüon des photos. Ré-
cemment j'aidécouvert un au-
tre ouü|, LKeyboard, qui existe
depuis 2011 !J'aivoulu les com-paren En fait si à la base ils fonttous les deux la même chose, ils
le font quelque peu différem-ment et ne rendent pas les
mêmes services forcément.Tous les deux sont livrés en an-glais, mais ce n'est foncière-ment pas gênant leur interface
n'éta nt pas particulièrementdéveloppée.
Poun ms cournolsnlor,§lKeyboard est l'æuvre d'unjeune développeur. llutilitaireest, tout com me Type2Phone,
un émulateur de clavier Blue-
tooth. Cela signifie que vous al-
lez pouvoir utiliservotre unique
clavier (filaire ou Bluetooth peu
importe) en le « partageant »
entre plusieurs Macou appa-reils iOS. Vous allez pouvoir sai-
sir du texte dans une applica-tion lancée survotre portable
ou survotre iPad, à partirdu cla-
vier relié par câble USB ou ju-melé àvotre iMac.
Pour ce faire, il suffit d'appairer
les deux appareils via Bluetoothpuisdechoisirdans le menu 1(dans la barre des menus E,sur quelle machine vous comp-
tezécrire.ll n'ya aucun logicielà
installer sur les Mac ou autresappareils, seulement LK sur le
Mac auquel le clavier est physi-
quement relié (par câble ouBluetooth). [appairage est sim-ple (procédure standard OS X)
et par la suite la connexion/dé-connexion n'a jamais posé deproblème. Pourma part, j'aifait
mestests avec un Mac minietun iPad mini (et un iPhone 4aussi). À souligner qu'en plus
des appareils iOS, lKeyboardsupporte les tablettes Android,
les PC sous Windows ou Linu4
des consoles de jeux, lAppleTVet d'autres « smarts » TV... En
fait tous appareils ou systèmes
compatibles avec la spécifica-
tioçr HID (Human lnterface De-
vice).
Plutôt que d'en passer par lemenu, on pouna définirun rac-
courciclavier EI pour jongler
de lbrdinateur à la tablette ou
de lbrdinateurau portable, ou
en définir un spécifique pourchaque appareildans lécran de
configuration E de ce dernien
lKeymo*nn cÈnE m souRrs
ET t§ rRACKp,q§ &L'§§t
Vous pouvez parhitement envi-
sager d'acheter un Mac mini« nu » et d'utiliser le clavier du
Macbook pour le piloter. llestmême possible d'utiliser le
trackpad du portable commesouris virtuelle du Mac mini !
Car en plus du clavieç quand on
opère entre deux plateformespilotablesà la souris, lKeyboardgère une même souris/track-pad pour les deux E, toujoursvia Bluetooth (la souris, elle,peut être filaire, ça n'a rien à
voir). Toutefois, pour Ie track-pad, les gestes spécifiques(swipe...) ne sont pas pris en
charge, seulement la gestion du
curseurdu texte lêst.
J'aiaussi noté, puisque j'utiliseplusieurs langues, qu'il n'y avait
aucun problème pourgérer des
« claviers » différents, le fran.
çais, l'anglais mais aussi l'arabe,
par exemple. ll fuut juste s'assu-
rer de la concordance entre la
langue du clavier uülisé sur le
Mac et la langue du clavier du
device contrôlé. Enfin, 1-Key-
board salt contrôler la lumino-sité de lécran ([FU et [F2])ou le
volume du son de mon l'iPad([F10], IF11] et [F12]).Je n'ai rencontré qu'un seulmenu problème : il fr utsemble-t-il passer systématiquemeniipar la combinaison de touche
[cmd][esc] pour quitter un ap-,pareil et non par le menu De-
vice > Disconnect qui fait alorsquitter inopinément lKey-board, ce qui n'est pasvraiment
ce que lbn souhaite. Un bogue
qui sera sans doute corrigé rapi-
dement.
U ne version dévaluation com-
plète de LKeyboard est disponi-
ble sur le site du développeur.Elle est limitée à deux jours, ce
qui est amplement suffisantpourse rendre compte que çafonctionnetrès bien.
Tvpr2 PnoNe, Pu.Js PRATNoU§
AVEC I§§ IPPAREIIS O§Le principe de Type2Phone est
similaire si ce n'est que sonchamp dhpplication se limiteaux appareils iOS que l'oncontrôle depuis le Mac: iPad,
iPhone et Apple TV (janvier2013 +). Par ailleurs, il ne gère
pas la souris-êt pourcause,iOS ne connaît pas cette bes-
tiole. En revanche, comme sur
iPad, nombre déditeurs et trai-tements de texte supportent
Toggledevice/desktop fl :sG)
@Start 1(eyb,oard at login
Use Cmd+Ësc to exir any device
i-t-r"*ür"r* f @
LituDmiticlly €oni*l upôn ,aunch
gAlhôa§ally r&onnet on **boârd Input
E ÂsbmBtkrlly rRonr«t on wlk€ frcm sl*p. lfronned€d at slêêp tlme
-'-'..'-- --: -'---^-'^-
6Di:conna« whar seat to ba(kgrcund
gDis(onned àft$ 5 minutes of idle time
i -i !§dêwindow wh.n !€nt to ba.kground
g Per-device kêyb@rd lapuB
(n*n dêücea:
I Folwd unmeprd lcyboard shoftu§ (adBEed §sê6)
t",t ,ôÈû bâ&l6paê ând delüê (rêlsant sly & non-los deü(es)
a I usê sll Ê1, f2, etc, as rtmdàrd tundion ke§ (.elssot only to no.-OS dêvi{êr)
rSêlÈ(i è ( nç'? de!.(ê lo rrôr E,,e {r (l aa, L, -fgr,a t,-n:}r
*22 I Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013
PRIX: 450€ C0tlFlG.: 10.6.6+
Égmeun: Houdah Software
www. hou d a hcom /ty peZ P h o n e
Mac App Store
* La personnalisation poussée des
préférences pour chaque appareil
appairé; le support ducopier-coller de
texte et de la dictée de Mountain Lion;
l'interface utilisateun
- Pa rapport à mes besoins et face à
lKeyboard, je ne vois pas trop...
une ou plusieurs lignes de claviervir-tuel supplémentaires, il serait intéres-
sant que Type2Phone puisse tirerparti du trackpad d'un MacBook ou
du MagicTrackpad, pour que l'onn'ait plus à « porter » le bras vers lâp-pareil pour « taper » sur les icônes.
Mais ce n'est peut-être tout simple-ment pas possible.
Type2Phone est une applicationcomplètequine place aucun menucomplémentaire dans la barre des
menus, mais qui propose de configu-
rer plusieurs raccourcis §l 1un par
lKeyboard, celle d'OS X.
Le développeur de Type2Phone a fuit
tout un travail au niveau du supportdes claviers de langues étrangèresqueje n'aijamaistrès bien compris... Car
j'ai toujours pu utiliser avec succès par
Ie passé Type2Phone en thaï bienavant qu'il ne le supporte expressé-
ment. Età l'usage, je n'aipas remarqué
de différence, en thaidu moins, entre
1 Keyboard et Type2Phone.
Plus intéressante est l'interhce de l'application. LKeyboard n'en a aucune,
mais Type2Phone en a une qui
consiste en une petitefenêtre dans la-
quelle, selon différentes modalités*1, peutou non apparaître letexteencours de frappe. Ce qui est bien pra-
tique puisque l'on peut resterface à
son Mag sans avoir à regarder lécran
de l'iPad ou de l'iPhone. llya même un
mode offrant une drôle d'animation...
Mieux encore, on a la possibilité d'en-
voyerdu texte du Macvers.l'iPad sans
i vous écoutez de Ia mu-
sique etdes chansont et re-
gardez des films depuis vo-
tre Mac, connecté à divers
dispositifs (casque décoüted'entrée de gamme ou de haut degamme, simples enceintes, ou encore
système Hi-Fi de grande qualité..,) il
existe quelques outils quitentent de ti-rer le meilleurson possible descircons-
tances. Hearest l'un d'eux. Ce n'est pas
un nouveau produit (2008), et il névo-
lue quàtrès peüts pag mais ilestsursa
niche ety prospère.
Hear permet de tout paramétre[ avec
un grand souci du détail, tout l'audio
qui sort du Mac pour en tirer le maxi-
mum en fonction du dispositif auquel
lbrdinateur est connecté. ll offre éga-
lement nombre d'effets, d'ambiance,
de spatialisaüon 3D... pour personna-
liser le rendu. Bien entendu, Hear ne
remplacera pas un hardware dédiémais pour quelques euros, il peut opti-miser la qualité sonore de façon signi-
fi cative. Pour ce faire, Hear déploie,
PRIX: enviiônl5€ÉÙfeun : Prosoft tngineering
www.p ns lfte n g.m m/p n d u ctÿh e a r.ph p
* Un ingénieur du son à votre
service; pléthores de profils disponibles,
module de brainwaves - tn anglals.
sur pas moins de treize onglets, toute
une batterie de réglages. Et bien que
ce soit en anglais, il suffit de faire des
essais pour savoir immédiatement,
l'impact du logiciel sur le son.
Quelqu'un qui s'y connaît bien et pos-
sède lbreille fine pourra ürer de toutcela des profils « cuisinés aux peüts oi-
grions ». Je me suis rabattu sur la ky-
rielle de profils déjà disponibles dans
l'application. Et je me suis amusé avec.
Et j'y ai trouvé de quoi transformer la
musique que j'écoute. Hearest un pe-
tit utilitaire très ciblé, certes pas indis-
pensable, mais_vos oreillesvous dirontsans doute merci.I Bernad Le Du
,
Hear
Ecoutez le meilleurson
devotre Mac
) Heor vous propose des oulils, des régloges et des effels,
pour sublimer le son qui soil de volre ordinoleur.
appareil) pour « sauter » d'un appa-
reil à un autre directement. Dans les
dernières versions, la personnalisa-
tion des préférences permet, comme
dans LKeyboard, l'activation automa-
tique d'une langue pour chacun des
appareils appairés.
Uu ourt ptus <« TEcHNTQUE »Type2Phone supporte aussi un plus
grand nombre de touches spécialespourpiloterl'iPad ou l'iPhone. En plus
de la luminosité et du volume,Type2Phone connaît la touche IF3]pour simuler le bouton d'allumage, la
touche [F4] pour le bouton central(accueil), la touche [F6] pour émulerIe déverrouillage de l'appareil, et les
touches [F7], [F8] et [F9] pourcontrô-
ler Ia lecture musicale.
llappairage des appareils suit lamême procédure standard que pour
avoir à lefrapper ! La première solu-
tion consiste à seulement à copier du
texte exista nt et à de ma nder Paste
dans le menu de Type2Phone. Le
contenu du presse-papiers et envoyé
vers l'autre appareil. Alternativement,
on dictera à haute voix, l'applicationétant compatible avec Ia dictée deMountain Lion et Maverick. Pour les
plus compétentt l'utilisaüon de fonc-
tioni de Type2Phone peut être auto-matisée avec AppleScript. Et l'utilitaire
s'interface par ailleurs avec l'excellent
TextExpander: iOS de Smile Software.
Pour moiqui n'utilise cetype d'outilqu'entre mon Mac et mon iPad,
Type2Phone est mon préféré, et de-puis longtemps. La foncüon dupresse-papiers et le support de la dic-
tée vocale sont deux opüons royalesque n'offre pas LKeyboard.
I Bernard Le Du
s (} I Cone*.rd ,t cdlass# M§d! Ë u.J §horr Tert
fly Sut Ànimation, Rrset Drfaults r
Cl cimr oisptay S
l|23 | Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013
o
I
\*.
^{L/n\l II .---J I I\:2 ti
Iav\\È)l
ÂJ0l
rÈaÀaat [5ù10I n /:\ ra\I lI/r)11'il3U['U L]
1ümces
Idr@oÊTwiner iTunô.Tôp1æ lfYô! 3ôiâ(ind:oà.cê ,Iunestanibiiè AtrêrM;le Lue..Mil*Dâvis 2013Liü rrc
26 | Vous et Votre Mac. N"94. Novembre 2013
TueR plus RIpTDrMENT LEs AppucÀloNsDésormais, quand on appuie deuxfois sur lebou-ton centrol, onfait apparaître /ecarrousel des opplicotions ouvertes. Sur les appareils qui accep-
tenTles gestes pour le multitâche (par exemple
mon iPad mini, mais pas mon iPhone 4), le car-
rousel ÿaffiche sil'on glisse quotre ou cinqdoig§verslehout.Auparavant, le double-clic sur le bouton affichait
simplement le ruban des icônes des applications
ouvertes. lcônes sur lesquelles il fallait encore ap-
puyer pour les faire trembler, avant que de tou-cher la minuscule croix de suppression sur cellequ'on voulaitfermer I
Dans iOS 7 chaque icône est surmontée {une vi-gnette de bonnetoille, présentant l'état de l'ap-plication. ll suffit de tirer une vignettevers le haut,pour la chasser de l'écran et donc la « tuer ».
Si vous vous arrangez bien, il est possible à coup
sÛr de tuer deux apps à la fois, et même trois sur
Afficher l'écran du multitâche puis positionnez deux à
trois viqnettes visibles, à l'aide de deux ou trois doigtstirez-les vers le haut clnme plur les jeter hors del'écran.
un iPad. Pourcela, faites en sorte qu'au moinsdeux à trois écrans soient en partie visibles puis
avec deux ou trois doigts différents, un surchaque vignette, tirez le tout vers le haut. Ça
fonctionne bien entendu aussi bien en affichage
vertical qu'en affichage horizontal.
[* nousolg clcHE uN NrvrÀu
Quand vous affi chez l'applicotion Boussole,vous
ne l'avez peut-être pas remarqué mais, en bas, il
y a deux petits points. Cela révèle l'existenced'une seconde page ! Glissez votre doigt de la
droite vers la gauche pour afficher un niveoulCette application utilise une nouvelle ressource
d' iOS, un inclinomèüre, ressource à laquelle d'au-
tres applications pourront faire appel. Ça peut
avoir des usages intéressants, avec les apps qui
affichentvos efforts sportifs- pour affiner les cal-
culs en fonction d'une pente parexemple.
Prnsorunamu LE CENTnE DE NorlrrcAroNsLe Centre de notificotions estle rideau escamo-
table que vous pouvez dérouler à tout moment,même sur l'écran verrouillé, en tirant sur la « poi-
gnée » centrale en haut de l'écran. Selon votre
appareil, le rideau sero opoque ou tronslucide. Le
contenu affich éestà votre discrétionialertesémises par les applications, vos événements etrappels (aujourd'hui et demain), ou encore les
cours de bourse. ll suffit d'aller d ans Régloges> Centre de notificotions elde basculer l'inter-rupteur des options présentes. Outre les options« générales », vous réglez dans cet écran les noti-fications de façon fine, comme sous OS X, appli-
cation par application. ll est aussi possible d'inter-dire l'qccès qux Centre de notificotions depuisl'écron verrouillé, car les informations quis'ytrouvent (les événements par exemple) peuvent
être confidentielles.
Le Centre de notifications version 7 est structuréen trois onglets ce qui facilite la lectu re des don-
nées, mais il est dommage que, pour fermerchaque zone d'alerte des applications, ilfaille en-
coretenter de viser une minuscule petite croix de
suppression.
Le Centre de notifica-tions est mieux conçu
dans la version 7.
Mais il faut penser
à aller dans Réglagespour affiner le détaildes informationsaffichées
.....TRUE-Ha '14:39 'O
38%Ei
( Centre de notafications Modifier
*alalez l'éarâir ijE iart ën i:is irrilr âlfitlraf
_ : i. : ,-l'::: 'I ,lt-:r:l :. il
Affichage Notifications
Affichage du jour
Résumé d'aujourd
2T I Vous et Votre Mac. N"94. Novembre 2013
- DOSSIER I ASTUCES r0S 7 - '
ks mrnft:s Au B0rT r[, Dorgr
Dans les versions précédentes d'iOS,
changer la moindre option générale
obligeait à passer par l'application Ré-
glages et ses coscades d écrqns bour-rés de choix. Des utilisateurs en
étaientarrivés àjailbreaker à cause de
cela. Voilà un problème auquelAppleapporte enfin une réponse avec le
Centre de contrôle disponible à toutmoment, même sur l'écran ver-rouillé. ll suffit de tirer, vers le haut, lapetite poignée centrale qui se trouveen bas de l'écran. Un « rideau » plus
ou moins translucide, selon que votreappareil supporte les effets gra-phiques ou pas, se déploie proposant
un qssez grand nombre de réglages
de base : l'activation/désactivation de
Wifi et de Bluetooth, le verrouillagede l'orientation de l'écran, le pilotage
basiqued'iTunes... On a même droitàune fonction nouvelle : l'utilisation de
la lompe du flash comme éclairaged'appoint. Des centaines d'applica-tions qui font cela étaient disponibles
sur l'App Store, leurs développeursvont devoi r trouver de nouvel les
idées. Notez aussi une toute nouvelle
icône rappelanT. qu' iOS 7 dispose den fondion Airdrop,j'en reparle dans
un autre passage plus loin.
llest prévu que l'on puisse désactiver
le Centre de contrôle pour ne pas êtredérangé. En effet, nombre d'applica-
tions proposent elles-mêmes un
« glisservers le haut » similaire-çapeut poser problème. De pratique, le
Centre de contrôle peut devenir alors
insupportable ! ll est possible de le
désactiver dans l'application Bé-gloges > Centre de contrôle pour l' en-
semble des applications (il eut été ju-
dicieux de pouvoir le faire, applicationpar application, pour celles qui inter-ceptent le geste). ll est aussi possible
d'interdire l'accès aux Centre de.contrôle depuis l'écran verrouillé.Une autre fonctiônçui était disponi-
ble sur iPad arrive iür iPhone avec iOS
7 : sl iTunes est en fcilTctionnement en
avant comme en àrrière-plan, lopo-chette du titre en ledure s'affiche surl'écran verrouillé et l'on q immédio-tement les contrôles pour naviguerdans la liste de lecture, les pochette
changeant en temps réel.
Oumoor l uvuE ourBArss[Vous n'avez pas manqué de remar-quer le changement typographiqueglobal de l'interface utilisateurd'iOS7.'La principale police esttrès « fine », ce
qui rend I'interface ceftes « enlevée »
et moderne, mais ça complique la vie
des utilisateurs dont la vue n'est pas
excellente. Pour y remédie(,il existedeux régloges. llun impose le redé-marrage de l'appareil, mais je l'ai ef-fectué sur mon iPhone et mon iPad
tant il était évident au bout de deuxminutes que ça ne le ferait pas en
l'état ! ll s'agit de lo mise en « gros »»
systémotique de toutes les polices
utilisées dans l'interface mais aussi les
applications. Cette option se trouvedans Réglages > Générqt > Accessibî
/ité. Basculez l'interrupteur 6ras dans
le second cadre de la section Vision.
Dans cette même section, on trouveaussi une option « dynamique » qui
ogrondit les coractères si l'opplico-tion coursnte gère le nouveou for-mot { ofi chage dynamique. I agran-
dissement des caractères n'étaitavant possible que dans quelques ap-
plications d'Apple (Mail, Contacts, Ca-
lendrier, Notes...). On dispose d'uneréglette pour ce faire. Notez l'inter-rupteur Formot dynomique plusgrand quipermet même, si on le sou-
haite, de grossir plus les caractèresdans ces applications-là. Ce réglage
n'impose pas de redémarrage de l'ap-pareil, et peut être modifié à la volée.
JhI LE MAL DE MEN, OUE fiÀIRE?
Sur la plupart des appareils pouvant
recevoir iOS 7, il est possible de choisir
des fonds d'écran dynamiques, ani-
més. Ils offrent un effet de profon-deur et de transparence avec des ob-jets qui se meuùentcomme sur des
calques, en fonction de l'orientation
de l'appareil. Comme dans certaines
cartes postales que j'appréciaisquand j'étais jeune... Parailleurs, un
effet de parallaxe modifie subtile-ment les icônes et les panneaux
lbuch - My life 2
{@ @i2S 7 nous offre enfin un Centre de contrôle accessibte de partout, regroupantles principales fonctions de réqlage que l'on peut activer ou modifier au vol !
b...IFUE"|I 1 r4t4, 1 A §; 97./.J j
( Accessibilité Caractères plus gro§
Fêrmât dynâmique plus grana ()
Les applications prenant encharge le format dynamiques'adapteront à votre taille de
leoture prélérée.
Faire glisser le curseur
AA
,....TnUË-H ; 14t42 -f'S r. 37./o,J_j
(GénOrat Accessibitité
Énoncer la sélection Dds*clivé
Énonciation automatique
Énonsêr automatiquemenl lesaslocôrrectioss el süüûêstions demâiusc*te§,
Caractères plus gros Âctivô
Gras CAugmenter le contraste i:ls.rctivr
Étiquettes A,ctivé/Désâôtivé
AUDITIÔN
iéi;'iiiîi.;f i;in,ii,É; en lras llobale et une lestiondynamiqye de la taille et de la graisse dans les applications adaptées.
Il.€@ (Éied r.q!@
{â ^*É s.ir
6**awr
t3 enh&ffi
§u*,ry c.a.tdùqd
28 I Vous et Votre Mac. No94. Novembre 20i3
d'alerte selon la manièrê de tenir etd'orienterl'appareil. Hélas, je ne peux
en bénéficier que sur mon iPad mini,
mon iPhone 4 étant privé de cettenouveauté.
Cela di! ils'avère que des utilisateurs
disent avoir le mal de mer à cause de
ces écrans dynamiques et de ces ani-
mations. Si vraiment vous ressentez
un certain « flottemenl»>,la parodelopl us si m ple est d abord de change r le
fond d'écran dynqmique courantpou r u n fond traditionne{ u n e i magequol. llsuffitde se rendre dans lesRé-glages > Fonds d écron et luminositéet de choisir une image pour l'écranverrouillé, pour les écrans d'accueil,ou pour les deux. Sur mon iPad mini,j'aiconservé un effet dynamique surl'écran verrouillé, et j'aichoisi uneimage de même tonalité généralepour les écrans d'applications que jeregarde bien plus souventau cours de
Ia journée.
Pour atténuer l'effet de parallaxe, il y a
une option dan s Régloges > Général> Accessibilité qui permet de limiterles animations permanentes de l'in-tedace.
Mffinsrnr'lcruusÀTrcNMARilÈNEPUNSi sur un très puissant iPhone 55, vous
n'avéz sans doute aucun problèmede gestion des applications ouveftesconcurremment, iOS 7 peut en re-vanche donner un sentiment de len-
teursurun iPhone4, parexemple. Et
puis, il peut y avoir un problème de
consommation d'électricité. I I faut re-
garder du côté de lo nouvelle gestion
de l' actualisation. Jusqu'à mainte-nant seules quelques ÿpes d'applica-
tions et services très précis avaientdes droits suffisants pour accédersans contrainte à des ressources tellesque le modem cellulaire et les puces
Wifi et Bluetooth, ou encore le seruice
de localisation. Ce qui posait pas mal
de problème à certaines applications.
Avec iOS 7, ces limitotions ont soutéet toute s I e s a p p I i cotio n s pe uve nt a c-
céder oux ressources d qduolisotion
en permanence. C'est quelque chose
qu'il est possible de désactiver dans
l'écran des Réglages > Générol > Ac-
tuolisation. Dans ce même écran, onpeut aussi modifier application paropplication l' usage de la localisation
en arrière-plan.
Êrnrs,nfl À LâTRAcE ouitE P[st'ÈrnE?Si vous ne souhaitez pas être trockéen permanence - bien que celapuisse aussi se révéler bien utile, il y a
diverses options que vous pouvezajuster. D'abord dans Réglages>Confidenüolité,tout en bas ilya unesedion Publicite. ll n'est pas possible
detout interdire mais un interrupteurpermet de basculer en mode SuiviPublicitoire limité.Toujours dans la page Réglages> Confidentialité,vous pouvez régler
application par application l'accès ou
non à différents services; on note l'ar-
rivée ici du Partage Bluetooth et du
Micro.f oute application souhaitant
utiliser le microphone de votre appa-
reil doit en demander l'autorisation,la première fois. Vous pouvez revenir
dans cette page pourfaire le point etmodifier les attributions.lly a également des entrées pour/es
réseaux sociouxa uxquels vous êtes
inscrit et que vous avez déclarés surl'appareil.
Tout en haut de cettepagetoujours, il
y a l'option Serurbe dëlocatintion qui
vous amène sur uneÛopieuse page
outre les interruptêurs pour activerou désactiver le service, on peut ainsi
là encore définirfinement les choses
application par application.
Mais ilfaut descendre tout en bas de
cet écran pour tomber s ur Seruices
système qui donne accès à un écran
dans lequel on peut cette fois-ci défi-nir l'état de la localisation par seruices.
À la fin de la liste, ildoityavoirune op-
Tion Lieuxfréquents. Une page s'ou-
vre alors avec un historique de vosfaits etgestes ainsi qu'une carte retra-
.çant vos lieux habituellement fré-quentés. Accessoirement, ces don-nées sonf si vous le souhaitez, à dis-position des services de cartographie
d'Apple pour améliorer Plans. Ni sur
mon iPad mini, ni sur mon iPhone 4,
cette option n'était présentée. Sur
l'iPad cela est dû au fait que l'appareil
n'embarque pas de GPS; l'absence de
cette option devrait se vérifier surnombre d'lPad et iPod touch compa-
Différentes options, dans les Réglages qlobaux ou bien dàhs les applications, comme avec Safari, permettent de géreravec précision le niveau de confidentialité que l'on veut, notamment dans le trackinq de l'appareil au travers desservices de localisation ou du suivi publicitaire.
La fonctionLieul fréquents d'i0S 7vous suit vraiment à la trace !
puces de c0mmunication Wifi ef Bluètodth par exemple. Pour diversesraisons, dont l'économie d'énerqie, on peut réqler le comportement dechaque application.
.....TRUE-Hâ 14:47'3i3€%
( tetour Servicê dê localisâtion
service de localisâion CPsur déterfi iner apprsximâtivemeit vôtaepôsitiôn, le seruice dè lssaiisation silie letP§ à une base de donnêesôô,nmunautaire des çmplscôrîêirts de§bôrnes d'atÇès Wi.F; el dts ântennes-rêlaisde tctcphon'c rrobire À prcpos du seryicede læalisatid el de la confidenüalité.--
{*; Appareil ptroro
§ Applestore
E *n,
r.... Trur-H I t*46 .7 a I 36 % f)
{ R+tour ftrblicité
SUM publicitâirc limité
Réihitiâlisêr l'idèntifiànt dê publicîté
En swir pl$
...oc T§t É-H â 1458 { § 1 33 §/o
( Réglæes Sâtari
Ouvdr les liers *ai:s Lrse ***{Bl.--
Hoque,tespop-up C
coNFlrFsrôL,TÉ E-r sÉcu RrrÉ
itepaËsuiYre ()
Bloquer les cookies irr r "
Champ de resherchê intêlligent
Àlêÿtesisiteurebt"auduleux [)En Ëvoir plus sur Safili et lacffiidmüalité..,
tt... TSUE-H ê 14:zl5 -l l, , 36 o .l
Actualisation en anière-plan ()Autorisêu i*s âpplications à âctualiser leureontens sur Wi-Fi ôu cûl?ùlairê ou à utiiieerlê iesice dê lûe*lisatiôn, ên arriàre-plân.0éàâ{:tiver
'es âpplicâtions peul prùlonEêr
l'astônômie de le batterie.
aaIa,5fi
Hèto.i. Uaux trËqrasota ( {ietl,ur Lyon
Lië{lx lrèryrêflt§
 ;tr_r :,r:-, r.,-J.a .irfri:i
H ""k*,.
wM
C EIL'
Amé{iar*r ÿfansIE
SnreptrI lli: I i): rl, .;i jt ;à di1* sr{{,'q!n69s {t+tiu}$ ts I S isil}d }ü1t
Lyon, Bl'rône-Aipes, 3Ï BÀ.{B du R*ÊÉ€â smÈ&*mênts èffesslirlL !â§ir§*l§ - :&"... { tsnÊ5 És*§4le§ depùi§ b ,* itrlbl lllS
Üollongee-a*-À,i€fi1-d'6i,Rrrôr... 2fiucPaulMo*trnrchet, effipl*msrt q*ai*!r* iniriâl4srsr fs 1l}.{.i,., ; *§11$§ §sgss§§ {r@ull k l; iÿrl*1 2tT3
29 | Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013
tibles iOS 7 (en fait ceux qui ne sontpas dotés d'un modem 3G). Pour
l'iPhone 4,je n'ai pas de réponse cer-
taine. Bien qu'intégrant une puce
GPS, aucun des deux modèles que j'ai
pu vérifier ne listait ceüe option. Pour
une raison obscure, il semble qu'Ap-
ple est retiré cette fonction surl'iPhone 4 lors de la bêta 3 d'ios 7. À
défaut de pouvoir l'illustrer moi-même, j'ai emprunté à MacG la copie
d'écran qui présente cette fonction.
Plus spécilque aux sites lnternet, il y a
dans les préférences de Mobile Sofori(application Ré gloges> Sofori) une
option /Vepossuivre, à côté du blo-
cage des cookies et la détection de
sites frauduleux.
RÉmfi s*E Tür.§,* fiÂR r..E ff ERû
Quand on reçoit un appeltélépho-nique alors que l'on écoute, par
exemple, de la musique avec un
casque, une alerte demande ce que
l'on veutfaire... Dans les préférences
d'iOS7 , il est possible de dire une foispourtoutes que I'on veut répondreovec le cosque ou svec le micro de
fopporeil.
Pmrm*grroAirdrop estfantastique mais il est hé-
las limité à l'échange entre appareils
iOS. La fonction d'iOS 7 n'est en rien
compatible avec celle d'OS X, nom-
mée pourtant façon identique. C'est à
!c@mL
* D0SSIER I ASTUCES !0S 7 *
Si t'on pouvait déjà créer des dossiers sous /es versions précédentes d'i05, la version 7 apporte les dossiers
« paginés » qui peuvent contenir de nombreuses pages et applications regroupées. Notez les points en bas des
dossiers qui indiquent le nombre de pages qu'il faut feuilleter en glissant de droite à qauche et inversemenL
tt notez ta place perdue sur un iPad, deux fois plus d'applications pourraient tenir sur une paqe de dossier!
mon avis une belle occasion man- contocts dûment enregistrés ou d'appsetencore. Maiscettefonction
quée d'améliorer l'intégration des même de désactiver temporaire- existe au moins et sera sans doute
deux environ nements. Sans doute ment (ou pas) la fonction. améliorée par la suite.
une idée pour une version 8.0... Je rappelletoutde même en passant
quand nous aurons OS X 10 sur nos §lnVfU:-en mS que pour mettre la main sur une app
Mac? *JR L'APP STæE sans savoir où elle se trouve ou sans
On retrouve Airdrop dons l'écran ll est possible désormais de « suivre n tourner bêtement des pages, ily o lo
Portoge qu'implémente désormais la des opplications vendues sur l'App recherche qui est désormois disponi-
majoritédesapplicationsiOs,avecde Storegrâceà uneListedesouhoits. blesurn'impoftequelécranÜaccueil
nombreusesvariantestoutefois. C'estunmoyenrudimentairedetra- UnglisserdehaÙten.basaucentrede
Mais Airdrop n'est visible qu'à condi- cer l'évolution du prix d'applications l'écran (attention de ne pas accrocher
tion d'avoir un appareil dont les puces que l'on voudrait acheter, si ce prix le rideau du Centre de contrôle) dé-
WifietBluetoothsontcompatibles-il devientintéressant. voile le champ adéquat; même
faut une puce Bluetooth 4. Ne sont quand on ne se rappelle pas exacte-
concernés que les iphone depuis Ie 45 DfS OOStfnS UULTIPAGES ment un nom, on a de grande chance
et les iPad 3 et suivant, l'iPad mini et iOS 7 apporte un service attendu de- de trouver ainsi ce qu'on recherche
les plus récents iPod touch. Dans ce puis longtemps : lo possibilité de re- bien puis vite qu'en naviguant dans
cas, les utilisateurs présents à vos cô- grouper des applications dans des des dossiers. On quitte le champ de
tés, q ui ont un appa reil éga lement dossiercpouvontcompofterde nom- recherche en glissant vers le haut en
compatible et qui n'ont pas désactivé breuses pages.Que ce fut impossible ou tapant sur l'écran.
la fonction Bluetooth, sont listés. dans les précédentes versions du sys- Ce n'est pas officiel, ma is il est possi-
Ma is attention , ce peut être n'im- tème était une cause majeure du7'ori- ble de créer de dossiers dans un dos-
porte qui,dans un bus, dans la rue... breok de mes appa reils, car j'ai tou- sie r. Apple y a pensé mais a a ba n-
Bien entendu, au-delà de l'autorisa- jours en permanence des centaines donné la fonction et on le comprend.
tion accordée ou non au moment de d'applications installées. Recréer une hiérarchie de dossiers est
l'échange,ilfautauparavantpermet- LamanièredontlefaitiOsTn'estpas, nonseulementcontraireàl'esprittre ou pas la détection. Carça peu de- à mon avis, la plus judicieuse: chaque d'iOS, ma is pa s si pratiq ue q u'on
venir très agaçant si on tombe sur un page est petite n'offichont que neuf l'imagine. Au-delà d'un niveau, on re-
m a n iaq ue d'envoi de p hotos... Le applicotions, que de place perdue ! tombe dans le syndrome des hiérar-
mieux est alors d'aller dans le Cenfre Même sur l'écran d'un iPhone. C'est chiestarabiscotées où l'on ne sait plus
de contrôle, detaperl'icôneAirDrop bien dans l'esprit global d'iOS, un sys- où se trouve quoi. Sivous êtes néan-
qui vous proposera de limiter la dé- tème fait pour des utilisateurs qui ne moins intéressé pa r l'opération un
tection de votre appar etl oux seuls vont pas au-delà de quelques dizaines peu acrobatique tout de même, je
retlc§&t
Mmsÿfî
&ousrs Aôdrrr. sdltct5@
ffirf ary
ts EIM
30 [ Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013
vous invite à lire l'explication en fran-
çais, avec vidéo, sür le site Mac4Ever(http:l lqoo.qlluYs8Bt). Des utilisa-teurs auraient réussi à le faire et cer-
tains sont même allés à des niveaux
de profondeur de cinq voire neuf sous
dossiers d'après les commentaires.Personnellement, j'ai été incapablede reproduire la manipulation surmon iPhone 4. ll faut être particulière-
ment rapide dans la manæuvre.Après une bonne douzaine detenta-tives, je me suis dit que j'allais « tuer »rnon bouton central.
À noter, juste pour terminer sur les
dossiers, que l'on peut maintenant,enfin, se débonasser de lldpplicationKiosque si on le souhoite, en lalai-sont dispsrqître dans un dossier
lourre-tout.
Pmn poms pnns PorlITs,..iOS 7 abuse des petits pointt si petits
que bien souvent on ne les remarquepas. Par exemple, dans iOS 6, quandon téléchargeait une application sans
l'ouvrir immédiatement, son icôneétait barrée par un bandeau indi-quant qu'il s'agissait d'une nouvelleapp. Ce bandeau n'existe plus. Pour
détecter les apps nouvelles ou mise à
jour mais pas ouverte encore, ifoutregqrder ottentivement devont lenom des applicotions s'il y o un mi-nuscule point bleu (enfin, ça dépend
de la couleur d'arrière-plan).
§wprn,srrurprn!Le glisser depuk lo gauche pour « re-venir en arrière » est désormais une
fonction standard d'iOS 7 pour navi-guer dahs les écrans d'une applica-tion. llfautfaire bien attention de glis-
ser depuis I'extrême bord gouche, enpartant presque sur le cadre qui en-
toure I'écran. Cela évite dutiliser les
flèches ou boutons textuels (qui exis-
tent encore tout de même) pour re-
monter d'un « niveau » dans une ap-plication. C'est particulièrement pra-
tique dans l'application Régtoges qui
fonctionne en cascade, dans Mailaussi ou Safari. Attention, fouteslesapplications sont loin daccepter ac-
tuellement ce gesfe; il faudra qu'elles
soient adaptées pour le prendre en
compte.
Safari Mobile sur iPhone proposeaussi une toute nouvelle manière de« feuilleter » les pages web ouvertetsous lo forme {un Rolodex (un clas-
seur rotatif muni d'un axe central au-
tour duquel on plaçait, du temps degrand-papa, des cartes de visite oudes fiches pratiques), ce qui n'em-pêche pas non plus d'avoir la mêmechose sous forme d'une liste toutebête; pour cela il faut balayer rapide-
ment l'écran vers le haut car cetteliste se trouve oprès lo dernière«fiche »du Rolodex. Et puis, pourfer-
mer un de ces « onglets », pas la peine
de viser la petite croix de suppression
en haut à gauche, glissezjuste I'on-glet horsde l!écran sur lo gauche (un
peu comme on le fait des applicatlons
dans le multitâche, mais avec un glis-
sement horizontal cette fois-ci).
Bme,urponrc'srrcm!Ne vous étonnez pas quand vous de-
mandez à SlRl une recherche surGoo-gle, d'être renvoyé sur Safari... Apple
a simplement remplqcé dans SlRl lemoteur de recherche Google porBing de Microsoft Sivous ne précisez
rien, SlRl recherche via Bing et vouspropose les résu ltats directement.C'est une décision politique et écono-
mique, sur laquelle l'utilisateur n'apas son mot à dire, aucun choix n'esteneffetproposé. Notez qu'en plus
SlRl sait rechercher sur Wikipédio,sivous le luidemandez.
Mml or uowElux DossrËRs
Quand vous ouvrez Mail, l'application
de messagerie électronique d'iOS,
vous ne verrez pas certaines chosesqui peuvent néanmoins s'avérer bienpratiques. Non, on ne peut toujourspas créer soi-même, comme c'estpossible sur Mac, des boîtes intelli-gentes en composant des requêtes.Mais Mobile Moi peut allicher des
0n ne peut toujolrs pas créer des dossiers intelligents plur lrgafiiser ses
e-mails comme sur Mac, mais Mail Mobile propose une batterie de dossiersde tris préproqrammés.
dossierc « intelligents » préprogrom-
més.En standard ily a les VIPet les
Dropeaux. Mais ilyeqa quelques au-
tres : les messoges i}F,n lus,les mes-
sages ove c pièces jdf,tttes, les mes-sages jetés da ns làs Corbeilles detoutes les bofres oux lettres . . .
N'oubliez donc pas detoucher le bou-
ton Modifier en haut à droite del'écran qui liste les comptes ou dans la
barre latérale sur iPad, pour octiverles boîtes sux leltres que vousjugezintéressantes (ou les désactiver). E-
mails non lus et e-mails avec piècesjointes me semblent deux boîtes in-
dispensables à activer.
. Toujours dans Mail Mobile, on a enfin
une fonction toute bête : Tout niar-quer. Dans les boîtesde réception, on
a pour options : Morquer d'un dro-pedu et Mdrquer comme non lus.Mais c'est surtout dans la Corbeilleque je trouve cette fonction vraimentefficace: recevant des tonnes de
spam, je l'utilise en permanencepour
nettoyer d'un coup lo Corbeille.Avant il me fallait cocher chaque e-
mail un par un -bu attendre de lefaire sur mon Mac.
MssÀmrnnuoumour'iOS 7 est capable de mettre de lui-même à jour vos applications sansqu'il nevous demande rien. Cela sem-
ble pratique mais en fait, il faut bien
souvent penser à déconnecter cettefonction. Si vous avez de nombreuses
applications installées, cette mise à
jour pourrait n griller » ropidementvotreforloitdoto. De plus, on n'estja-mais sûr que les mises à jour ne crée-
ront pas plus de problème qu'ellesn'en résoudront (les contrôles affec-
tés parApple ne portent pas sur cela).
On désactive le téléchargement auto-
matique en tâche de fond dans Ré-gloges > iTunes et App Store.V' r' 1' ez
les interrupteurs de la section Iélé-chd rge m e nts o utom qtique s. et bas-
culez-les comme ilvous convient.Pour ma part, disposant en biblio.
BonêB
Q ffi Toute**saoites
0 E w*t"
Q É elo'ru*l
o E SIEDU@6mâil
(f É ictooo
Q*urQ * orapeau;
Q t Non lus
Àou en CG
p $ Piècesiointes
§ Tous les brouiltans
{;î Touelesenvoyés
Q ffi rous les supprimés
Aioltèr unê boîte.,.
Boites
,--tq loutês les oort€s
ü Wmaô
Ë tsLDlHÀl
Ë BLEDU @ Gmail
ü itloird
* VIP
* Df3psaux
O NüË lus
d;) FiàcÈsjôtnte§
Ê-lllij lous les suppnmes
tal$il(§
[êl w*'"
@ er-orxx
§l aleou æ omait
Mkàj§{râl'h&d
iTsês Sbe el Ap Sbre
i RâD.êfildêdfi ilt Appiâ : blduemac.com
§ u*arc
: Musqüe 1|Jff eans vid&s (DC, sdd
A.ii.h.7 t.!§ eôr à.nds iù, re 5!,ç .r 6e i-ÀÉrànrw.i{nts ir,in, sâr.h d.!\3 lrsbjLlô$nlr6&m!5icrêdnreina.s,iari*siisn'ûntreê;1ôlàtuqns srr..rF:*.
@ u*rqu"
I uaas
t hôros d appadt phob @ u*u*
& rBæb @ ore"
@æ* e**! ke cêËr
@ Mi6ês à joür
t!rè.hâ,!* âdr$3n!!,*$c.r lêô û!ÿeNr É.h§t. iÿ ...rrs las !alé.hÿ§âûÉ{§ ir:!!i.ictie.ié: d.).* d rnr.s.ûr.,.i[ÿ Tüer
3l I Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013
thèque de plusieurs centaines d'appli-
cations, je vérifie les mises à joursur le
Maç, le matin et le soir. Même quand
l'iPlone ou l'iPad me signalent l'exis-
tenpe de mises à jour, je ne les faisqu'gxceptionnellement au vol, çapeut parfaitement attendre que je
rentre à la maison.
QmnmnurrrxsHsÉuuonnsÀrmlvm...Toutes les applications signées Apple
et fournies avec iOS ont été entière-'ment repensées au niveau de l'inter-face et parfois se voient enrichies de
quelques menues fonctions. Au cas
vous n'auriez pastrouvé parvous-
même certaines choses, voiciquelquesclés.
Dans Météo, touchez la te m péroture
pour obtenir plus de détail etfaitesglisser la zone qui donne des inform*üonsheure porheure. Si vous avez ré-
férencé de nombreux lieux, au lieu de
faire défiler les écrans à la recherche
d'un précis, pincez l'écran pour allerde suite sur /q liste des lieux.
DansCqlendrter,sur un iPhone, la vue
pardéfaut est la semoine,etiln'y enapas d'autres (alors que sur iPad on a
les vues Jour, Semaine, Mois et An-
née). Vous pouveztoucher la Loupe
pour obtenir une vue liste (aveclafonction recherche). Et si vous bascu-
lez horizontalement votre iPhone(mais pas l'iPad, c'est dommage),vous obtiendrez une frise du temps :
glissez de gauche ou de droite pourvous déplacer sans fin de trois jours
- DOSSIER I ASTUCES r0S 7 - '
en trois jours.
Dans Messoges,glissez l'écran vers la
gauche: chaque élément d'uneconversation (chaque bulle) sera au-
tomatiq uemen t horodqté.La nouvelle application Apporeilphoto repensée a un truc astucieux
dans sa manche : si vous voulez pren-
dre des pholosen mode rofole,enprenant plusieurs photos en succes-
sion rapide, il suffit d'appuyer et de
maintenir le bo uton de volume +.
Dans les applicationsTéléphone, Fa-
cetime eLMessoges,on peut désor-
mais bloquer des correspondants qui
se lasseront peut-être de vous harce-
ler. ll faut pour cela ne pas ovoir peurd'ajouter I'indéIicat à ses contacts
dans l'une de ces trois applications,puis déroulersa fiche jusqu'en bas
pour trouver /'option Bloquer ce cor-
respondont.
( co*acæ
Efivoyer un rÉessage
Envayer cÉtte fiche
Âiouter âlxx faYoris
Eloq*eE ee csrrespûndant
o,.
vous descendez dans l'écran, vous
avez la possibilitédeCréer une vibro-
tion. Cela vous ouvre un écran videgris pâle sur lequel vous tdpotezcommevous le souhaitez (en mainte-
nant le doigt appuyé un peu plut on a
une sonorité plus longue) tandisqu'au-dessous la vibration se
construit en rythng au fur et ù me-
sure. On peut ensüite la « lire » et bien
sûr l'enregistrer. N'âTênt aucun talent
rythmique ni mudcal, j'ai effacétousmes essais !
Si vous n'avez pas l'oreille fine, vous
pouvez deman der que lo lompe du
Vibrati*r Enregistrer
Enregistrer
flosh clignote pourvous prévenir de
l' orrivée { une notificotion. Ioptionne se trouve pas dans Réglages Sons
mais dans Régloges > Général >Ac-
cessibilité, rubrique Audiüon.
Le mode ditde navigdtion privéedans Safari n'est plus à activer dans les
Réglages. Tant mieux. En fait il suffit
AEffil$ Lcüe. mssâgê
À:alain @
Alain sm*iJïî,.ii*à.,re*tPtrea alalnlhx§;#,;re* r
( netolr Historigæ
æ]'êiq!re*iCréer *n ftfrveâu csÿrtêct
Arorrld à ua cû*tact
§üpprimer dè I'histôrique
Dans Mqil Mobile eT. Messoges,quand on remplit le cham p Destino-
toire, on se voit proposer une liste de
noms qui peut être assez longue donc
peu pratique. Si vous faites attention,vous remarquerez en regard de
chaque nom de correspondant noninscrit dans la liste de vos contads,unpetiti. Si vous tapez dessus, vouspourrez alors créer un nouveaucontact, ajouter l'adresse ou le télé-phone à un contact existant, ou bien
encor e Su pprimer de I' historique le
nom qui nesera plus proposé.
iOS 7 est bien fourni en nouvelles son-
neries, sons d'alerte et vibrations,mais savez-vous que l'on peut aussi
créer ses propres vibrations ! Ouvrez
Régloges > Sons>Sormerrbs. Tout en
haut vous avez l' entrée Wbrotions, allez-y. La rubrique Stondord liste les vi-
brations déjà programmées, mais si
d'ouvrir le navigateur d'onglets (at-
tention ce n'est pas la mênre manipu-
lation sur iPhone et iPad), le bouton
Privée est en bas à gauche.
Vous avez de la famille ou des col-lègues à l'étranger que vous voulez
Mrdifi*r Horlogê§
Bangkokauiornd'h*i
Abu Dhabiæios.d'hri,3 h d6 fioiE
I
at/t84
o _'Y 3
84
,.p.
84
appeler? Afin de ne pas les réveiller,
ouvrez l'application Horloge à l' écran
Horloges oùvous définirez les lieux
importants, et vous noterez qu'enplus d'afficher l' h1ure, le décologe
horaire est clairement indiqué. Et
avez-vous rema rqué que l'icône Hor-loge est dynomrgue et donne effecti-
vement l'heure.
Vous avez par mégarde archivé un e-
mail ? Si vous vous en apercevez de
suite, secouezvotre opporeil pourobtenir le diologue d'onnulotion de
miseenqrchive.Dans P/ans, faites un tour dans les
préférences pour définir votre mode
de déplocement pqr délout.Vousavez le choix entre Conduite etMarche.Selonvotre choix, vous n'ob-
tiendrez évidemment pas le mêmeparcours d'un endroit à un autre.
i32 [ Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013
Ce gui change dans le systèmede synchronisation d'iTunes llJ il
Depuis le début, c'est iTunes qui a servi de passerelle enke les Mac et les appareils. Cela le découvrir: il sert à écnanqeç Oe façon ,or- Çétait logique et simple quand iln'y avait que la musique. Mais avec la multiplication des maire mais c'est parfois tout de même bien \
l"§-Ï;;:ËtË:l*$r---r,q@ç:;mg::iiry=Ëü..i-lE--- -:--=--- -, -,-"--, ei---q--. -o-i-T-Ë-€-- i_p"l
, ',','
r... ,*. ' a ' ..,,..
contenus transférables vers les mobiles, plus ensuite les applications i0S, Apple a dû utile, des fichiers entre les deux environnements "Jmetkeenplaceaucæurd,iTunes,unsystèmecompletd,installation,demaintenancefrères-maispasencorejumeaux.Seullepremieroutii-.-et de synchronisation qui ne se révèle que lorsque vous connectez un appareil en USB a changé afin de prendre en compte une des évolutions les plus
ou en Wifi à votre ordinateur 0S X ou Windows. 0uand l'appareil apparaîl dans la barre importante d'i0S 7; la qestion des dossiers « paginés » sur les écrans d'accueil.latérate (enfin cela dépend de la confiquration d'iTunes que vous avez adoptée, moij'ai Si i'on peut bien sûr réôrganiser directement des écrans sur l'appareil quand il s'agit
tout remis comme avant...)et que vous cliquez sur son nom, la zone principale d'iTunes simplement de déplacer une ou deux icônes, ça devient plus simple dè Ie faire sur lebascule dans un autre monde et c'est l'environnement d'intégration qui prend place. Mac ou Ie PC quand il faut jongler avec des dizaines d'icônes et créer de nouveaux dos-Cet environnement est composé de plusieurs écrans ou onglets. Rien n'a changé avec siers et donc de nouveaux regroupements. Même si l'interface offerte dans iTunes n'est
des écrans d'accueil de l'appareil connecté. en quelques minutes. Voici les principaux changements en images...
Le second outil se trouve placé dessous et il faut jouer de la barre de défilement pour I Bernard Le Du
j s"*.
:'ttued
j Àr b6ôk Bhe e N
') tuhe,rdsd*
Ouand on clique sur le nom d'un appareil dans la barre latérale, l'environnement d'intégration et
de synchronisation s?ffiche, à droite. C'est dans l'onglet Apps que le principal changement est intervenu.
ffi §3oI
c
ll suffit de double'cliquer sur une page (accueil ou dossier) pour « zoomer » dedans. Puis on sélectionne des icônes des
apps avant que de les glisser dans une autre page, qui s'agrandira d'elle-même. La sélection peut être multiple et même
être effectuée dans des pages différentes. Une réorganisation est dès lors très rapidement faite.
lari rai:t ;''i
+l
EE.
§Ï:ilIi'fl -o'IJ'
*ÆswÊ.u'Gt:::Ë!:::::@§:::'B::*fÿ
&ü a ü3AI ù 86 .È È:: e* r O f EEC' â.riÊI.' ': ;r ?
=O(Jô lî {ar:-tâ: .r
gÙJ§G ore{!G §iir§G Dei§G
:,El.DaJ
Pâgê I
e,rr0 O@§, &)rQ §8:. i!-8 §! ç o§ ;BeB ;,Ë 0 §A i
PLI@ €iI§6; OmErElB !El
PÀæ ? Pa§e l Pà€c t
Pàgê t
i._
0n a donc accès à l'ensemble des pages d'accueil mais aussi désormais à
toutes les pages de dossiers, un dossier par « ligne ».
Irer. tiü
Àmb,
Paۏ t
l€qlâ 2
'&rlr@lT
Page I
tu§
§*§lqa )&:
§,1 i
l
i
':
m:**
O'gEGI
Il n'y a officiellement pas de dossiers dans un dossier, et
pourtant vous pouvez glisser Kiosque (qui est un dossier
comme le prouve ilunes) dans un autre dossier!
33 | Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013
* LA CAVERNE D'ALI BÂ MAC * I
Mavericks: la Bibliotheque de I'utilisateurest plus facile d'accès
epuis Lion, la Bibliothèque de voke compte d'utilisateur 0S X nêst plus directement
visible. Le moyen le plussimple d'y avoiraccès est de dérouler le menu ///er...tout en
appuyant sur la touchefa/f]. Alors I articl e Bîbliothèqueapparaft dans la liste des
emplacements clés. Une fois que vous y êtes, et pour conserver un accès rapide, vous
pouvez glisser-déposer le dossier de cette Bibliothèque dans la barre latérale gauche
des fenêtres du Finder. Dommage... elle perd alors son icône, bien sûr ce n'est pas essentiel mais tout
de même...
Sous Mavericks, Apple semble avoir entendu les doléances des utilisateurs « avertis » et permet de
façon simple un affichage permanent de la Bibliothèque dans la barre latérale, avec sa vraie icône s'il
vous plaft. Contrairement à ce que vous pensiez peut-être, non, cen'esfpasune nouvelle option des
préférences du Finder. C'est un poil moins évident, mais néanmoins logique.
Cetteoption appamît dans /apaleffe desoptionsdeprésenfafio4 mais uniquement lorsque /a
fuêtreduFinderafficheennodeParColonnesfr.Yous obtenez alors dans la palette Opfiorr
de présmtation,une case à cocher Afficher le dossier Bibliothèqueâ. Cochez-la et le tour est
joué. llicône du dossier Bibliothèque est placée automatiquement dans la barre latérale, accessible
en permanence. I Bernard Le Du
Traduire une page webe problème de l'anglais revient souvent dans
vos courriers. Les logiciels sont en français,
mais l'éditeur ne dispose que d'un site en an-
glais (ou en allemand, en hollandais, en russe...)
0u bien, le logiciel est en français, mais I'aide, la
documentatlon ou Ies forums sont en anglais. Heureuse-
ment Google peut venir à votre secours. Notamment le
module Gôogle lranslafe. Si avec certaines langues, la
traduction laisse parfois à désirer, avec l'anglais, c'est plu-
tôt au point. 0n peut évidemment utiliser cette page pour
faire des traductions de documents par simple copier/col-
ler de texte. La langue de départ est alors détectée auto-
matiquement, mais on choisira tout de même par précau-
tion les langues d'origine (anglais) et de destination (fran-
çais). 0n peut aussi traduire une page web dans son entier,
en conservant sa présentation II. ll y a deux manières
de faire.
Première méthode.0n colle une adresse web dans la par-
tie gauche de Google Translate. Cette même adresse ap-
paraît alors dans la partie droite et il suffit de cliquer des-
sus pour ouvrir la page web traduite par Google.
Deuxième méthode. 0n affiche Google Translate dans une
fenêtre du navigateur puis on glisse une adresse web
dans cette page et instantanément une zone jaune appa-
raît alors indiquant où déposer l'URL. UURL à traduire peut
venir aussi bien d'une page web que d'un document texte
ou autre... il fautjuste que l'on puisse faire un glissé/dé-
posél I Alain Lalisse
htt p s : //t ra n s I at e.g oo g I e.f r
Managellinagr.ç i i:";. iii:..iiciJ c,i
à*.ê1s i: èn;t ,,:.,kr1*iil. 3.firse.f;. c,:!inidlesûrI. :mÊi{ÿ>r1ji.-cip:o.s, (i::Der.:rti.sr r.r ia;;!idrà:i:È€.r.. rc{.riec&s :r:êcitif .ri: il?rrlr.1 ?nd iirdf(ê1r§ ":h:r !!t rr i.!k:rit : :. ir.t .{es .li:k" a§.a.. rn. dô!3 rii.'r4
!.Ê.!triira ii$ft:f (,I*<?st i.;bsr:fi;É1t
gbsipdd§
Uçrs end Ssâfr
ldkôrd!
kElEr§
l.rH@r §*r æ,ro.iè gérêr +nè 9.ândè@lh.rh dtu.€rænit& pd6b il§dêd@ intèdæ lriteer inrddÿed 6kn <w.vo6 Fe, impdær v6 ah..æn* pê{&sà F6r dq fkii§ @!L € @.ôÙn hÉæ*ôi( dè pd.æk à§æt & dé<e!d. dèrcLI€r*dGns radfs àhsÉll
E ll§rês €r k§ li§ts iqtêlllgstetfinti q,è:a sæiqnlki &ldF 6§dÈ. *d.asr! ær ahrne{enl @s @Nz4ék6rm l;ê gürs.r È1 dèpre, &s ad3dê!.r ht6 d&@!. .{i& d fâ.ilê. Pot. ru n&e &dæ êMo.. ,U! tjmpB,^t§ê6! di:pê*àkrBrdllrer lÉellkhâs. ryi ajû{rè$ *!r,È@iftsr àfteB;qlement ki É85ù&5 è"furi& * èd.r È1æèr.6. âr èref pl., ',ô* eæ #qi&s.mfrr ke épù&t quê§,rr :F, .àÉB.ré * &dt?r Èn rÉk.rbmlni
. la sàtb.É.o-nielkæêflt k'litts idli*dè
khd€læk@c 6u! @ ,,è qrendê 6!kbt n.ddts. ne f.Nr !, érisde *ê.f{!è Fexr
34 | Vous et Votre Mac. No94. Novembre 20.13
Estomper les bords d'une photodans Pages et iBooks Authorll existe plusieurs façonsd'estomper les bords d'une imagedans les applications iWork (Pages,Keynote, Numbers) et iBooksAuthor. Les différentes méthodesproposées seront, bien entendu,à adapterà vos besoins.
Tout d'abord, déposez dansvotre feuille de
travail la photo de votre choix. Pour importerdes photographies d'Apefture ou d'iPhoto, re-
courez à la polette Données Multimédios.Veillez ensuite à ce que la photo soit toujourssélectionnée puis affichez lo palettelnspedeur (en cliq ua nt sur le boutonlnspecteur de la barre d'outils). I David A. Mary
Trait
-
I Cadre d'imnge E- g__________.__tal
irc*:-..r",;, j
t -al, Angle: ' .
^"
Trait
Aucun i
l,--*--- *.... ....-r." .*...*.
> Estornper progressivement les quatre côtés
de l'image'ffi,. Dans l' tnspecteur desgraphismes HH, au-dessou s de Trait,positionnez le menu local sur l'option Codre
d'image HÆ. Dans le men u locol Codreffi ,sélectionnez le cadre situé en bas à gauche
ffi.Æ. nlustez l'effet obtenu à l'aide de /arégtette Échette.
> Utiliser un liseré irrégulier H.#. Dans
I'lnspedeur des grophismes, positionnez /e
menu locolCadre sur l'option Ligne. Choisissez
une épaisseur detrait importante (45 pixels
dans mon exemple). Sélectionnez dans le
menulocal un trqcé irrégutier'ffi.Cliquez sur
l'échantillon Co uleurÿi"ffi et sélectionnez dans
la palette flottante une teinte identique à celle
de la couleur de fond du document, avant que
de régler l'opacité à votre convenance.
> N'estomper qu'un seul côté de l'image.
Commencez pàr ajouter une nouvelle figurer:ectangulaire (depuis le menu local idoine).
Redimensionnez cette figure de façon à ce
qu'elle borde l'un des côtés de l'image F"'" .
Dans la polette lnspecteitr )ëiophismes,positionnez /e ror enu local Trait surAucun ffiH.
Positionnez le m enulocal Remplir, en hautsur Remplissoge dégradé i .i. Choisissez un
ongle de 0degré. Cliquez sur le cadreCouleurdubos, puis sélectionnez dans la palette
flottante une teinte identique à celle de la cou-
leur de fond. Aj ustez l' Opacité ù 700 %. Cliquez
sur le cadre Couleurdu houtetrépétez l'étapeprécédente mais réglez l'opacité à 0 %.
i' I-'-lji-l--.17'lL-I
i tar:!r,:, ri: r.il*r;"-,"-. Éi " T, *i iü
Rexrpl!r
mtr::L........-.-.-*.-.-_:i;ë:l-:--::i l
ExtrÉrnités
:I ]J'i
I
3rî i Vous et Votre Mac . No94 . Novembre 2013
Utiliser Notes pour consignerdes images et des copiesd'écmn
'application Notes, le bloc-notes d'OS X, a plus d'un
tour dans son sac et réserve quelques surprises. Vous
pouvez recourir à ses services pour consigner diverses
informations-et pas seulement du texte ou un lien
hypertexte ! Vous pouvez aussi intégrer des images ou
un raccourcivers un document audio/vidéo. llsuffit pourcela de
déposer le fichier à l'intérieur de Ia note en cours de rédaction,
et le tour estjoué. Notes peut aussi faire office de gestionnaire
de captures d'écran. Certes, ses capacités sont beaucoup plus
modestes que les ténors du genre, mais lorsqu'il s agit de
« découper » un article ou une image vue sur le web, Notes rem-
plit parfaitement son office. Ainsi, je m'en sers pour consigner
mes propres « recettes » de retouches photographiques (les
divers paramètres d'un logiciel ainsi que son rendu esthétique).
Pour intégrer une capture d'écran, voici comment procéder...
Faites un clic droit à l'intérieur de la note courante puis
demandez Copturer lq sélection de l'écranII. Dirigez la souris
vers la zone à capturer et tracer autour d'elle un cadre. Quand
vous relâcherez le bouton de la souris, la capture apparaîtra
instantanément au sein de la note courante EI.Si un iPad, un iPhone ou un scanner est relié à votre Mac, vous
pourrez insérer une image provenant de l'un de ces appareils. La
méthode à employer est relativement similaire : faites un clic
droit dans une note, et demand ez lmporter une image.
Choisissez l'appareil concerné dans la palette flottante et cliquez
sur Séledionner. Procédez ensuite à la numérisation du
document ou à l'importation d'une photographie.
lDavidA. Mary
Bqlffos dss f'lanos tsn aluir a &16
Csnseim &o§holo rxre Fhotostrop
Oetfupawt wburË4i&otlaÉr,Ut-l+
Omprsirr sâUB porr inq* frn& dest'lrÉê àlâ gdxis ulb
EÊshÊrchËr âÿe( EoügiE
orthograFh{ Et SfâmmâireSilb§titriti0n§Transfrrmati*nrPoli{eParoleBirÈnti6n du paragraphé
Antidots - Côrre(tÉ*rÀntidqtÊ - Di(tisnnaire5AûtidûtÉ - fuid,es
* I.,q CAVERNE D'ALI BA il,îAü *
Lt-L::.YËi-J*-- I-
.-F\-t,f *\L* \--!r'
*'.-'.** I tF Pr. -'1.1i§-.-
aa
ao
aa
CÛܧÊT
CopinrColler
SignetsSafariclassement facile
oilà un usage queje ne connaissais pas et quej'ai découvert par hasard. J'ai de grandes arbores'
cences de signets. Une pour la barre de signets, pour l'utilisation de tous lesjours carje trouve
qu'elle est d'un accès plus rapide. Une autre pour le menu Signets qui me sert de référence. Je
fais souvent « Ie tri » en déplacement des signets de la barre dans le menu et inversement, ou
en rangeant les signets dans des dossiers. J'utilise pour cela la fenêtre / ffichertous les
srgnefsetje déplace les signets à la souris. Rien que de très commun I Cela fonctionne bien, sauf que si lbn a
beaucoup de dossiers, avec une arborescence conséquente, on nên finit plus d'ouvrir et de refermer ces
dossiers et les déplacements sont laborieux et source d'erreurs (il est si facile de relâcher le bouton de la
souris sur le mauvais dossier l). Suite à une manipulation hasardeuse,j'ai découvert que l'on pouvait stocker
des signets hors de toutes collections (c'est comme cela que cela s'appelle sans Safari). Ces signets sont en
attente d'être replacés dans la barre, dans le menu Signets, ou dans un autre dossier. Cette « zone tampon »
on l'a sous les yeux, mais rien n'indique qubn peut l'utiliserl ll suffit donc de glisser dans Ia barre latérale,
sous les Collections, des signets et môme des dossiers de signets pour les mettre en attente. Une section
Siqnets va automatiquement apparaître. I Alain Lalisse
à § Firanra-ûe:tirn
§igncts : §'æ MÂtr
& sàkol Money Exthang€ {c..- I v§ ttoraroao PilbllshinE
ffl *iun Antiques and Asian... ÿ MLP - CECofl
g nËt-stltrspri§8:,frts æ Fùrmalii{sr ffi Founnitxur:.
$ mtre Re(herche code
g FûurnilurÉs - Tiilko -
6 -----""-*---i:-: B*uiique du caurrkr
$ La rcste 6uiisel -
S La Postr Éuisse) - fi
36 I Vous et Votre Mac, No94 " Novembre 2013
Disque image et mot de passefin de protéger vos docu-
ments sensibles, vouspouvez bien sûr les zipper,
avec mot de passe. Mais
sur Mac, l'utilisation du
formot d' o rchive.d mg (u n di squeimage) est aussi très protique.
En ouvrant lefichier.dmg, vous aurez
accès à un volume équivalent à un
disque durvirtuel. Vous pourrez ajou-
ter, supprimer des fichiers ou les mo-
difier à volonté. Les modifications sont
simplement enregistrées dans le fi-chier.dmg lorsque vous éjectez le vo-
lume. Les archives.dmg peuvent bien
entendu être également protégéespar mot de passe
Faites attention, si au moment de Ia
création du disq ueimage vous cochez
la cose qui permet de consigner lemotde passe dons le trousseou {oc-cèsdu compte couront , le motdepasse ne sera jamais demandé Iorsque l'ouverture du fichier.dmg- ce
qui est des plus logique mais dérou-tant. Bien entendu si vous déplacez le
fichier sur un autre mac ou tentez de
l'ouvrir dans le cadre d'une autre ses-
sion, le mot de passe sera requis. Si
vous voulez une protection complète,
et imposer le mot de passe à chaque
ouverture du disque image protégé,
ne cochez jamoisla case Mémoriserle motde passe donsletrousseou.
Les disques images (fichiers.dmg)peuvent être créés sans protection(sans chiffrement) ou avec protection
dechiffrementAES 128 bits parexem-
ple. Dans ce derniercas, un mot depasse est associé au chiffrement etdonc à l'ouverture du fichier.dmg.Vous le choisissez à la création.
mais comment faire si, soucieux de
votre sécurité, vous souhaitez chan-ger régulièrement ce mot de passe
par la suite ? Voici la procédure quifait
appel, vousvous en doutez à Utilitaire
de disque (Applications/Utilitaires).
Utilitaire de disque ouverÇ glissez/dé-
posez le fichier.dmg protégé dans la
barre latérale à gauche. Si Ie
fichier.dmg est déjà ouvert, il apparaît
automatiquement dans la barre laté-rale, et il convient de le fermer. Sélec-
tionnez-le dans Ia barre latérale et de-
mandez Éjecter. Demandez ensuiteFîchier > Modifier le mot de
wsse..,ll faut d'abord entrer le mot de passe
actuel, puis le nouveau mot de passe,
pardeuxfois . Attention à ne pas
cocher (ou à ne pas décocher) la case
de mémorisation dans letrousseau.
Si tout se passe bien, une alerte vous
l'indique clairement
Cest maintenant le nouveau mot depasse qui devra s'appliquer à l'ouver-
ture du disque image.IAlain Lalisse
Frogressi*n d'Utililaire de disque
Saislssêâ le mat de passe-fioui accéder à« Dccumënts inrportants.dmg »
Mot de paste : I
r,.. i Afficher le mot de passe
I . Mémoriser le mot de passe dans le trousseau
Annuler,f ti( I
.*É*ygilir* jili-x..!@-!9,1ry, LrrgqNôuYÈllê fÉn€treNoavelleûuvrir une iüàge disqueFêrmer
Lirê lês inforrnat;ôn§
,.:zd,ôi âo ntr.rni nrss+... Âfficher clans le Finder
? MIN|_ALTHD
-, \{lN7
EEffillEl'rr'il iï*ri.r.o.ru,an,oir.
icret":,, . 1f Ie: y-:.t_..3il:''.. . .
:r'f
Ê-1 a
§ os tzVé.ifier lntoJ 6ûver Ouvrir
.::-*t
HN .dm!F.
HofHW .uo" Cs!wnir qedimenrionn
c8t
sp ffi! riuiii,il,at ditponiblc, cllquez sur Vêrifierrni de! ins!r!dion5 de rêpâration
@lrEtallaljon d'os x à un problèr
*j,, Mùt de passÈ pour s Do(urnenls imporlant§-dmg h
..L:&.r nrodifiÉ avec sucrès.
§âisiscez uF nsilve&u mot de passe pôursé<uriser Document5 impnrtants.dmg. Si vrus*ubliez aê ffi&t de passe, vrlus nê ser*e plus enmesure d'accéder aux fichiers stsckés dans(€tte amagc. ll êst irT:pe§:ihl* de réeupérer lesmots de passe oubliés.
Mot de passe
COnfifmafign : ....r..i...........1
".p.,*,,-a,",.*r*liw;ài***1ii"*Ï.*G"J---'For€e du mot de Dasse : [xiellefit
Mémoriser le mot de passe daas le trousseau
Annuler I O« t
Vous avez malencontreusement mémorisé le mot de passe d'un disque imaqe
dans le Trousseau d'accès et le fichier.dmg s'ouvre sans rien demander dès que
l'on double-clique dessus? Vous pouvez changer le comportement et imposer /a
déclaration systématique du not de passe.Pour cela allez dans l'application
Trousseau d'accès(Applications). Da ns letrousseau Session,à la catégorie
Mots de passe , recherchez dans I aliste le non du disque inage protétgé
et supprimez l'entrée via le menu contextuel (clic droit).
?
l0{l
;fll,1 l cliquÈz psur verrôuiller le üoussr
TriluSseaux
session
Micrüsott_lntêrfi ediâte_Cerlifiii
]v! tEInP' J di.ireE.fr
Rè(ines dii systeft -r dt/tree irE-r
nrût de Fasre lntÊrilet
mot de p§se lntÉrnet
CaiÉ(
.i Tous les élémentsi
;.. Mots de pâsse
N*Ê*s rÉcurisèel
dsilex.trcli*fêruBr-rcm {alâin}
Êr1trrF.i5e5É!u...bas.net {
ertrrFri!esFlu. .bâ§,nÉt {
É,çtr9
Mot de pÀ:se de lermulàlJe welll*ùt dr pE§te dÉ fûrmslairË web
Mût de Ëaslr de fsrmulÂiiE web
Vous et Votre Mac No94 Novembre 20.l3
Resynchroniser Ie son d'une vidéo
avec OTSyncI I vous est sans doute arrivé de visionner une séquence vidéo dont le son étalt
! Oécaté par rapport à l'image. De multiples causes sont à lbrigine de la désyn-
I chronisation. ll peut s'agir d'une différence de base temporelle: l'image et le
I son n'évoluant pas à la Âême vitesse. Ce cas est très rare, il faut le souligner,
I La majorité d, trrpr, rour rrru face à un décalage constant entre l'audio et
la vidé0. ll peut êtredû à une erreurdêncodage ou de montage. Pourcorriger le pro-
blème, il existe un outil gratuit:'0TSync(wuw.qbync.com). tutilitaire estcapable detrai-
ter la plupart des conteneurs vidéo (comme lAVl) à I'exception des fichiers multi-
plexés (jpg). Voici comment bien l'utiliser...
>Au préalable, veillezà ceque Perian soit installé(1ffi*Frhn.org;c'est un ensemble
de plugins vidéo indispensable).
> lmportez la vidéo (File > Open).
>Si vous êtes face à un décalage constant, sélectionnez en haut de l'écran, la piste
Vidéo en appuyant sur le bouton idoine. Veillez à ce que le menu local Slpwassoit
positionné sur frames §§ (pour un décompte image par image). En regard de
Trackâffsetffi,cliquez sur la flèche du haut pourretarder la diffusion vidéo par
rapportà l'audio. lnversement, en cliquantsur la flèchedu bas,vousavancez la diffu
sion de la vidéo par rapport à la piste audio. D'après mes différents tests, les déca-
lages observés la plupart dutemps sonttrès légers, comprisenke3 et7 images.
>Sivous êtesface à un décalage progressif, les outilsofferts parOTSync nesont pas
les meilleurs. Mais sous 0S X, parvenirà un résultat soigné reste difficile et nécessite
l'emploidbutils plus complexes. La meilleurefaçon d'aborderle problème consiste à
chanqer la cadence de la piste audio pour l'adapterà celle de la piste vidé0.
Pourcefaire, recourezaux boutonsfléchés ffi en regard de Durafion Laflèche du
haut étendra la longueur de la durée de diffusion de la piste (elle sera lue plus lente-
ment)tandis que la flèche du bas accélérera Ia lecture de l'audio.
* L& ffi&Wffiffiruffi #'.&LE ffi& to§&# *
II îraclcc ii'; W' "rdd:i:-i | -ïî"- -*q"î
.r3ôûl *
§h*s *r:
-(*Pour orocéderà l'exportation, deman dezFilùSaveasSelf-containedMovie.Vous*disposerezalors d'une séquer1câautonomeque v0us pourrez utiliseravec n'importe
quel appareil compatible aveô le conteneur 0uickTime MOV
lDavidA. Mary
EI
es noms de fichiers don-
nés par les appareilsphoto ne sont guère expli-
cites: une sulte de lettres
etdechiffres,tout au plus.
ll serait bien plus pratique de leur at-
tribuer un nom plus explicite. C'est ce
que je vous propose de faire avec
iPhoto.
Sélectionnez une ou plusieurs photos
puis demandez Pâ otos > Change-
nent groupé.Dans la fenêtre surgis-
sante, optez pour I e critère Définir le
titreavælelærteffiÆ.Tapez le nom de la photo dans le
champtexte. Si plusieun images doi
vent être renommées avec le même
texte, cochez la ca se Ajouter un nu-
néro à chaquepllofo ffi. Cela
donnera par exemple: Visite
dAmalfil, Visite d Amalfi2... Çliquez
sur 0K.
iPhoto va alors p rocéder à diffé-rente s ndif i cati on s dans s frlse
de données.Le nouveau nom appa-
raît dans l'interface du logiciel (si ce
n'est pas le cas, dem andez Présenta-
tion »Titresoubien affichez la co-
lonne Infos).
Attention toutefois, le fichier original
reste inchangé. Ce comportement
d'iPhoto est parfaitement normal : ce
nest qu'à l'exportation que les photo-
graphies porteront leur nouveau
n0m.
Pour exporter une image dont le nom
a été changé, suivez scrupuleuse-
ment les instructionsqui vont suivre.
Demandez Fichier » Expofta.Dans
ll onglet Expft ati o n de frchi er, chor
sissez tout d'abord le format de fi-
chier (0riginal, Actuel, JPtG, TIFF ou
PNG)ffi. tnsuite, en regard de Nom
du f ichier; demandez impérativement
lltiliser le tltreffi. Enf in, cliquez
sur Expfta.Si vous gérez vos originaux en dehors
de la Bibliothèque iPhoto, il fautsavoir
qu'iPhoto n'est autorisé en aucune fa-
çon à modifier les images originales.
Dès lors, si vous souhaitez les renom-
mer; il faudra le faire d'une manière ou
d'une autre avant de procéder à leur
importation. Une fois les photoqra-
phies indexées dans iPhoto, varnede-
vrezjanais les renonnu dans h Finder.
Dans le cas coniraire, votre photo-
thèque deviendrait inutilisable, le lien
aux originaux étant rompu.
r DôvidA. illary
Pr{ffxe pour le séquentiel :
1élément ; fæ,pocter!
iffi r.êr"l
i.i&rrttion it,l
Renommer des photos dans iPhoto'l1
-Ii
Définir I le titre : I ewr I le texte
rvo", 1.[!c _ __ *eë_*i]QualitéJPEC: Maximum _ ,,- j
lnclure : r'-1Ître et mots-clÉs
i,i lnformations sur les lieux
Taille:l 100S t
S Alouter un numéro à chaque photo
i-4!?_,t,"ei, f tr"'ok-f]
3S I Vous et Votre Mac'No94' Novembre 2013
L'o(posé du Dock
T
oilà une fonction méconnue du Dock, qu'un de nos lecteurs,
Jean-Pierre Petit, a redécouvert tout à fait par hasard... « Dans
Safari, lai l'habitude de survoler l'actualité du fond de mon fauteuil
et je zoone sur la paqe avec un doublelap sur le trackpad. L'autre
jour, j'ai effectué ce doublelap alors que le curseur était pointé sur
l'icône de Numbers dans le Dock. Cela a provoqué l'apparition, en surimposition,
des derniers fichiers ouverts dans l'application Nunbers.>>
C'est en effet une des fonctions du Dock, qui exisfeje crois depuis Snow Leopard,
mais avec Lion, ça passe par un double-toucher (iüi lè trackpad ou une Magic
lüouse) qui fait apparaftre différentes choses selon les circonstances. Si I application
est fermée ou lancée, mais sans fenêtres ouvertes, on obtient un ruban en bas de
l'écran présentant les fichiers récemment ouverts et on peut cliquer sur l'un d eux
pour l'ouvrir Si I application est déjà lancée avec des fenêtres ouvertès, par exemple
dans un autre espace de travail, on obtient en plus du ruban des fichiers récents, un
« exposé » des fenêtres ouverteg ce qui permet de changer d'espace immédiate-
ment et sur une fenêtre précise. Cette fonction est compatible avec toutes les appli-
cations correctement écrites, et pas seulement celles dApple. I AL
,
? Gnlrrl i
Typefré*;ûnhdrfié
fe$ÀtCà.psité
Dirprdhlêüilisé
No0
l& Do55,er publ!{ de alatn laiirrè
ffi
;,,9'1 -Q.,S-!t&r,.rsl,!ryryq9§!l9'§ir,!§S.Eq9ôç:l$L:-Ï
ë;;;;;,TrprTriuê
ImFla€emrnt(rdÀtisni{difk
Ériquet
l_,j 2ro-s.ruÿ atuasiêÿ4û ùgg û95 ?23 ffirE (40,09 Co sur48l ëlimenBJ§seÈ/alain$firdi 22 nmmbtr 2Oû8 t9:13nuiêurd'hui 1l:17X * , - *-,
ff'Ë d oo.riu, pr*sÉ, VÊrôulllé i_--_
i
Four publier te dcssier, vous dever activer le Fânâgê dc fichlers.Choislssez *lrnu Pomme > Prêféreilrês §ystème, rliqücz surFart:ge" puis sêlectlonn.u Paflâge dc fi<hlers. ë.j#
rr iæ@
Partagerun dossierou un disqueI
en reseau tt iiïi-.i';ïïd*, ,r j6 i.*Or@
orsque le partage de fichiers est activé, un utilisateur du réseau
voit le nom de votre Mac, comme un serveur, et peut s'yconnecter. Premiercas defigure: ilconnaîtvotre compte et motde passe ou un compte créé spécialement pour accéder au ser-
veur. ll peut donctoutfaire. Deuxième casdefigure : il ne connaît
nicompte nimot de passe et il ne pourra accéderqu'à un modeste Dossier
public... qui contient une simple Bofte de dépôt. ll ne pourra donc pas fairegrand-chose I
llesttoutefois possible de partager un autredossier, et mêmevotredisque
duren entier, avec une autre personne du réseau, sans pourautant lui
donnervotre compte utilisateuretsurtoutson motde passe.
Cela passe parla case, un peu oubliée ilestvrai, Dossier paftogédanslafe-
nêtre d'information du disque ou du dossier.
Commençons parledisque. Cocher Dossierportagé ffiÆ dans les informa-
tionsdu disque durou d'un volumeva permettre auxautres utilisateursde
voir son contenu depuis la racine F.Æ. Le système est donc accessible, si
Cest un disque système. Les dossiers standards (Musique, lmages, Docu-
ments...) restent protégés, mais pas les autres dossiers personnels que
vous auriez pu créer. Cettà option n'est donc intéressante que si on veutintervenirau niveau dq système pourune petite réparation ou une instal-
lation à distance.
Secondeoption, un peu moinsdangereuse, consiste à partagerun dossier
spécifique. ll faut cocher la case Dossler paftogé ffi de la fenêtre d'infor-mahionllnfos sur...) du dossier en question. Les utilisateurs ont cette fois en
lecture/écriture/effacement mais à ce seuldossier ffi. En résumé, un
[cmd][i] suivide l'activation de Dossier partagé donne un accès immédiatau dossieret à toute personne sur le réseau. En entreprise, cela peut être
un peu délicat ! Mais à la maison, si on a plusieurs Mag Cest quand même
bien pratique. ll faut bien entendu que le partage de fichiers soit activé. Si
ce n'estpas lecaE OSXvous le rappellera ffi dèsquevouscliquerezsurDossier portagé. Un bouton propose d'activerdirectement la fonction, un
autred'ouvrirles préférencesdu Partage pourun paramétrage plus précis
sl Cest nécessaire. I Alain l-alisse
Ouvrir les préférences Partaqe
volumeffrdi 15 qsfu 2§89 Ol:39aujsurd'hui !1:36
.§# ; Vous et Votre Mac . No94 . Novembre 2013
I
*' L§1 #&-dffiffiffif, ffi'&Lë ffi& rd&# * ,,
Modifier le nom d'un compte utilisateurou le nom du répertoire de départ
pple a publié en septembre une procédure officielle pour ef-
fectuerces manipulations qui nevont pasde soi. Ce nom'de
compte utilisateur, qui implique ensuite le nom du dossier
départ associé, est le plus souvent demandé à l'installation
du Mac, à un moment où l'on n'a pastoujours bien réfléchi à
cela et où on a surtout envie devoirson Mac démarrer. Et ce nom de
compte utilisateurest malheureusement une « pierre angulaire » d'OSX,
àtel pointqu'Apple n'a pas prévu que l'on puisse le modifieren quelques
clics. La procédure setrouve à l'adresse
http //sw w d. ap p I e. w nlkh/tff t 42 8? v i ew h ca I e = f r-F frEIle esten français et ilen existe deuxvariantes, une pouravant OSX 10.5,
l'une pouraprès.
ll estfortement conseillé de sauvegarder ses données, sinon de falre un
back-upcomplet. Même si la procédurevient d'Apple, vous n'êtes pas à
l'abri d'une mauvaise manipulation.
Et en effet, dès la première étape, vous serez confronté à l'activation du
compte Root. Ce compte n'est pas activé par défaut dans OS X. ll ne fautpas le confondre avec un compte administrateur, statut par défaut pour
la première création d'un compte sur OS X. Le compte Root (mot anglais
que l'on traduira par « racine »), héritage du monde Unix à la base du sys-
tème OSX, est beaucoup plus puissantqu'un compteAdministrateur. La
procédure d'activation du compte Root a varié avec les différentes ver-
sions d'OSX. MaisApple a aussi publié, en français, une procédure d'acti-
vation:
http //su pport. a p p le. n n/khllTl 5 2 0? vi ewl o c a I e, f r-F frPetite remarque. Comme l'indique d'ailleurs Apple, des utilisateurs Mac
n'ont pas attendu la procédure officielle pour résoudre le problème du
nom de compte utilisateur. Et ily a de bonnes et de mauvaises procé-
dures... Cest peut-être pourcela qu'Apple a publié la sienne.
Bien que je ne puisse que vous inciter à utiliser la procédure officielle, je
vous donne une alternative qui fonctionne aussi. Elle est proposée, en
langue anglaise, sur le site osxd aily httpl/osxdaily.con/2011/05/20hhange
s ho rt' nane' use r n a c' o s*lAlainhlisæ
ütilitâirsd'annuaire tirhirr
eaô
sèfiq{mnÈz ur ftsitÈ, Bris diqùe rNom
À<tiYe SirÈr§arf
LüâfY3
ilê!§
üÉ*narrer Dirté*,..CararÈères rpÉriaux.. -.
Procédure ôfficielle de changementde nom de compte préconisée par Apple
> Activez l'utilisateur root.
> Connectez-vous en tant qu'utilisateur root.
> Accédez au dossier /Utilisateurs.> Sélectionnez le dossier de départ portant le nom abrégé que vous souhaitez
modifier et renommez-le comme vous le feriez pour tout autre dossier.
Souvenez-vous'que le nom de compte doit se composer uniquement de lettres, ou
d'une combinaison de lettres et de chiffres, tout en minuscules et sans espace.
ll ne doit pas être identique à un nom d'utilisateur existant.
> Utilisez la sous-fenêtre Utilisateurs et groupes (sous-fenêtre Compfes sous Mac
0S X 10.6.8 ou version antérieure) dans Préférences Sysfème pour créer un
utilisateur avec le nom de compte et le nom abrégé que vous avez utilisé à l'étape
précédente.
> Cliquez sur 0l(lorsque le message << Un dossier nom de compte existe déjà dans le
dossier Utilisateurs. Souhaitez'vous utiliser ce dossier en tant que dossier de départplur ce compte d'utilisaleur7» s'affiche.
Remarque: cette action aura pour effet d'apporter les modifications applicables en
matière de propriété, pour tous les fichiers du dossier de départ, et d'éviter des
problèmes d'autorisation avec son contenu.
> Choisissez Ferner la session dans le menu /pple.> 0uvrez une session avec le nouveau conpte d'utilisateur. Vous devez pouvoir
accéder à tous vos fichiers d'origine (sur le bureau, dans le dossier Documents et
dans les autres dossiers du répertoire de départ).
> Après avoir vérifié l'intégrité de vos données, vous pouvez supprimer le compte
d'utilisateur d'origine dans la sous-fenêtre Utilisateurs et groupes (sous-fenêtre
Comptes sous Mac 0S X 10.6.8 ou version antérieure).
> Désactivez l'utilisateur root.
Mac . No94 . Novembre 2013Votre
Vous avez dit Ad hoc?Un réseau Ad hoc est un réseau Wi-fique l'on crée ponctuellement, pour un
besoin particulien Apple lhppelle aussi réseau d'ordinateur à ordinateur,puisque les ordinateurs sont « reliés »» entre eux sans passer par un rou-teun
Le réseau Ad hoc est un réseau à part entière, mais il n'est le plus souvent créé que pour une durée
Iimitée. Malgré cela, on peut faire en réseau Ad hoc, tout ce que l'on fait en réseau: échanger des
fichiers avec le service de fichiers ou avec un utilitaire comme DropCopy, utiliser Internet (avec
quelques restrictions), jouer eri réseau aussi pourquoi pas.
Un réseau Ad hoc se met en place à partir d'un Mac « source >> et pourra alors être utilisé avec un ou
plusieurs autres Mac bien sûr mais aussi des iPad, un iPhone, ou n'importe quoi qui se connecte en
réseau à un Mac. Ce n'est donc pas un réseau bridé.
ll existe cependant quelques petites contraintes qu'il est préférable d'avoir en tête...
Quelles sont les contraintes d'un réseau Ad hoc?Un réseau Ad hoc est protégé en WEP et non en WPA.0n sait qu'une protection WEP est maintenant
« craquée » en quelques minutes. ll existe des outils pour cela, notamment sur PC et Linux.
ll conviendra donc de s assurer que la portée du réseau Ad hoc, dans votre environnement, limite les
risques. Un autre petit détail qui a son importance: lorsque lbn crée un réseau Ad hoc sur un Mac: on
perd l'utilisation de la connexion Wi-fi
habituelle. Le réseau Ad hoc utilisant la
puce Wi-fià Iuiseul, ilfaudra que le Mac
« source » accède à lnternet via un câble
Ethernet ou une liaison CPL.
Pour le partage de cette connexion
lnternet, il est judicieux d activer et de
configurer Paftagelnfernet dans les
Préférences systène > Paftaç,auantde créer le réseau Ad hoc Il.
Procédure de mise en placed'un réseau Ad hoc> Dans l'icône Wifide la barre de menus,
choisissez lloption Créer un réseau...frSi vous n avez pas cette icône, activez-la dans les fréférences systène > panneau Réseau > WrFi )Activezlllli-fr dans la hnedes menus.
> Par défaut, le nom du réseau portera le nom de votre lVac EI. Rien ne vous empêche de mettre un
nom plus simple (pour écrire le nom facilement sur iPhone ou iPad). La sécurité sera donc le WEP en
40 bits ou en 128 bits !I. En +0 bits, Ie mot de passe fait 5 caractères exactement (ou 10 chiffres hexa
de 0 à F). En 128 bits, le mot de passe fait 13 caractères exactement (ou 26 chiffres hexa de 0 à F). Si
Créer reste grisé, alors que vous aurez tapé deux fois le mot de passe, c'est que ces conditions ne sont
pas respectées.
> Sur le Mac, il ne vous reste qu'à activer le réseau Ad hoc est choisissant son nom dans le menu Wifi.
Ce menu change d'icône GI.
> Le réseau Ad hoc est maintenant établi. Vous pouvez l'utilise[ par exemple, sur votre iPad pour y
transférer des fichiers. La connexion sous iOS au réseau Ad hoc est identique à toute autre connexion
Wifi. Cela se passe dans Réqlaqes > Wi-fi ü. I Alain Lalisse
* F$ rnar.{i-17/ü9-üS:36
' '.: Wl-§i I *rtivd, ll1 DÉsa{tiver le tüi:Fi
jÿAfiK*Wtri sw'-ri §e ccnmartar à un ar.ltre rÉseau.".
xoma.rorarnne*. rin,.eucu
Hdifie..d,€h'l rr6k &tu a ce.t
i ÈnE. h.,Rt : d*Pàndtâ Dw d aO
FÀdigè dkr& u s4 llr.@ Fd r d r@r q
ÿ Pinàoed lnÿ16àtu!PaÈæ de i.ù...5 hûGt e <oærb' &Bt : iri' i
"r5Ê*lo4ÀdÈrù.. Âudln.t oGa: \r'' '"'
. cêÿtùàd6cn@ !i'ii-'r'
, §#ïffi,:"' rr / q'''
di *,,.,r.*.n. *t-uo*,o,*- r.
rnardi 171ü9-ü§:48'tÀii tii --r1,,..i!f i-{ I 4ttlYE
Dêsaetiver le lÈJi-Fi
AfiK-}TTIFI § §ftr;r111;,,,*t
§e dÉernneeter de Mini*AL-Cil'lX
§e ttnnseter à un aultre rÉsrau.."CnË*r un réseau... &,.
Ounrir FrÉfÉncnees R.Ëseau"..
wLFi 1[-',
Cholsis$! s éæd...
aaK,wrFt * â âÿ tdrtrr-A,L.cNx llt s â I
Adrê-.- '
Codrmêr I'accès
La snôexsn aùx rê*3s ômus e§t àutomr'ôu§.S, âmn ôsâü mtu n?sl dirynbE. voue M.
Sbdbnnê. iMùêllanênl $ é§êæ.
ffi et*t-ttr di
§ Ns pae arÊtnger --l-:
§ xorir"xio*
§ csx*r
§ s"n.
§{ u-t*rtô.tbnad'éo"n
§il **r**
4l I Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013
_t'irl 1,,, r, ..' !:j, j: :!. : :. i... \ t:,..,.
Logic Pro X: les réglages à fairepour dématrer d'un bon piedLa nouvelle interface de Logic ProX cache des bouleversements plus
profonds. Et sivous nÿ prenez garde, vous pouniez croire que certaines
fonctions importantes sont manquantes à Ihppel. 0ç il nhn est rien ! Pour
un démamage en douceu[ je vous propose un petit guide rapide
d'installation. r David A. Mary
>Au premier lancement, Logic Pro X requiert le téléchargement de données complémentaires.
Ce pack de conpmnk (l,93 Go) est incontounnhle pur le fonctiomenent du bgiciel.
Si vous décidez de refermer la fenêtre, LPX quittera dans la foulée. Mais vous ne perdez pas ce qui
a déjà été téléchargé. Au prochain lancement du logiciel, le téléchargement reprendra à l'endroit
où il s'était arrêté.
> ll y a également 36 Go de contenus supplémentaires. Si votre connexion est lente, déroulez le
menu LogicProX)Téléchargerdu contmu supplénenfaire. Puis décocheztous les éléments
Ël,fi.Vouspourreznéanmoinsutiliser Drunmer(lebalteurvirtuel):LPXestlivréavecdeuxkitsde
batterie: Rock (avec le batteur Kyle) etAlternatif(avec le batteurAidan).
> Pour disposer de toutes les fonctions avancées de LPX (édition destructive, mixage surround,
contrôle du flux MlDl, etc.),demandezLogicProX> Préférences>(Milsavancés.Puiscochez
toutes les cases contenues dans le ca dre lptions suppténmtaires .' ' .
>Sivous utilisez Rewire pour la synchronisation interapplications, cliquez sur lbnglet /udiode la
fenêtre des préfére nces.Dans Périphérigues déroulez le menu I ocal Conpoftement ReWirerri,ii.-f
et choisissez le mode quivous convient. Cochez la c ase Nivæu de rnnitoring entrant pour
bs tranches de connle avec enregistrement activé
> Pour les fonctions manquantes de I'en-tête de pistes, Iaites Pistes ) Configurer fen-têtedepisfes Les cases/ ctivé/Dénctivé Protætionet Btoquerdoivent être cochées', .
> Dernier conseil: usez du clic droit.Linterface de LPX regorge defonctions cachées.
Vous pourrez ainsi changer l'icône ou Ia couleurde la piste, paramétrerfinement lestranches
de la console, réassigner une piste ou bien encore personnaliser la barre de commandesl
Vous et Votre Mac No94' Novembre 20.13
Au coup de gong!'autre jouç je devais redémarrer en usant une des combinaisons de touches
qui permettent d'accéder à un démanaqe spécial. J'utilise un chvierBluetooth.SansTrop réfléchiç dès après avoir appuyé sur le bouton de
mise sous tension, j'ai composé sur le clavier la combinaison... et rien ne
s'est passé.Je veux dire que le démarrage s'est déroulé normalement. J'ai
recommencé deux ou trois fois, sans autres effets et j ai dû ressortir un clavierUSB de
derrière de fagots, tout en vouant Apple aux pires souffrances de lênfer. Mais j avais
tort! C'était ma faute, ma seule faute. En fait, lL FAUT ATTENDRE LE C0UP DE GONG
avant d'utiliser une touche ou une combinaison de touches. Si on le fait avant, ce nêst
pas détecté et donc le démarraqe s'effectue comme si de rien n'était. I BLD
ous savez que chaque morceau de musique intégré à ifunesdoitavoirses informations renseignées ! Notamm enllenomde I'artiste, le nom de fdlbum... iTunes va s'en servir pourvous présenter les artistes rangés par ordre alphabétique.Cestce quis appelle dans ilunes,letn'. Sivousy regardez de
plus près, vousverrez que lesartistes sonttriés sur lecoupleprénom-nom : Arielle Dombosle est avant Doyid Bowie.Mais,The Beaflesest dans
les Bet non dans les L ll n'ya là aucun mystère: tout cela netient qu'à untag; letag46;51s pur le tri. Ontrowe cetag en demandan! dans iTuneqObtenirlesinformatfonssur un album. Et il n'est pa sleseul:fongletTrtpropose cinq informations qui régisænt le tn'. Et ces informations de trine remplacent pas lesinformationsde base (artiste, album...)du premierongletlnfes, mais elles les complètent et prévalentsurces demières pourletri. Si les informationsdetri sont renseignées, ce sontelles qui serontuü7isées pourafficher l'ordre des artistes ou des albums...
Ainsi, pourArielle Dombasle, jetapeDombasle,An?//e II:cetteartisteva se retrouverdans lesDet nondans lesA comme avan! même si comme on le voit ici, son nom reste bien affichéA rielle Dombosleâ.Pourlesgroupes, Cestautrechose. Leurnom commencesouvent parThe, Leq Le.Exemple: IheBeoflesouLeschoussettesnoires. Dansce cas, ilunesva de lui-même inscriredans les informationsdetri, Eeotles3l,sans le lhe ou Choussettes noires,sans le [es. DoncThe Beotlesse retrouve dan slesB,LeschoussettesnotTesdanslesC.Sivousvoulezchangercela,ilfoûintennnirsurlechompp6sg"*rrleür. DanslecasduTheouduLes,laissez lechampA rtiste pourletivide nesertà rien. Lechampsera aussitôtrempli pariTunetselon ses propres regles. llfautdonc le modifier, ne psleloisærvide.IAlain Lalisse
iæq-l l_rry.qi:r_f
*i!*r
Histoircs d'aÉistes dans iTunes
!!**wtqab!É*b@hS
g!q+af_ù-fllÊ,9
Et sinous parlions d'illustrations dans iTunes?
1 es illustrations sont, commetoutes les autres informations, normalement intégrées au fichier musi-
I cal lui-même. Cela veutdire quesi l'on déplace cefichiermusicalsurune clé USB ou un disque durex-ts terne, ou qu'on le transmet par lnternet, toutes les informàtions suiven! ycompris l'illustration...
Sauf dans un cas :lorque le moræou demusiqueaetéqdtetésurllunesStore.Dans ce cas, pour réintégrer l'illustration dans le fichier lui-même, et non plus le garder dans la structureiTunes, ilfaut/oire unerhonipulotiontrèssimple...mais un peufastidieuse.
Ouvrezles lnfonnotions sur le moræou de muÿue qui vient d îTunes Store . Allez dans fonglet lllustm-tionetfaitesCopier. Rouvrez les informations sur leou les morceauxquivont cettefois intégrer l'image.Dans Ie même ongletlllustrotion, faites cette fois [email protected] les informations. lJimage
estalors belet bien intégréeauxfichlers MP3 ou AAC.IAL
ffitffiffi§
&trBmi*
erfe§aDu,ËeuÉle fI
ls&êd
Ih€E&)
DffiI!Ér!€* I
Letit*È
43 | Vous et Votre Mac. No94 " Novembre 2013
Les hérifiersles plus promeileurs de
Google ReoderGoogle Reoder régnoit en moîlre sur le petit monde du RSS, loisont des cenlsines d'opplicolions
s'obreuver oux flux reloyés por ses serveurs. [onnonæ de son srrêl o donc provoqué une certoineponique ou prinlemps dernier. Mois comme celo onive souvenl dæ servic'es ollernotits sonT bien
évidemmenl opporus
ais qu'est-ce donc que
le RSS ? Cet acronymevient de l' anglais Re a I ly
Simple Syndication.lls'agit d'un format de
données utilisé pour le partage (la
syndication) de contenu Web. ll s'agit
en fait de répertorier les informations
de mise à jour de sites Web, par le
biais d'un fichier de ÿpe XMI conte-
nant en général un titre, une date et
une brève partie du contenu, mais
parfois aussi sa totalité, comme pour
le site MacG. A minima, il permetdonc de notifier de façon automa-tique les abonnés au flux de la publi-
cation de nouveaux articles. Abonnés
qui vont pouvoir, grâce à des applica-
tions « clientes » être alertés et accé-
der à I'information sans avoir à vérifier
eux-mêmes régulièrement en se ren-
dant sur les sites.
Quand on visite un site quioffre un
flux (ou plusieurs flux) RSS, on re-
trouve en général un bouton marqué
RSS, qui n'est autre qu'un lien vers le
fichierXML. En donnant I'adresse du
flux à un « client », ce dernier saura s'y
connecteret afficher les dernières pu-
blications. Un lecteur de flux, appelé
aussi couramment agrégateur, saura
ainsi gérer et afficher, de façon cen-
tralisée, ces bribes d'information. De
quoi faire rapidement le tour de
contenus provenant de quelq ues
sites, ou de plusieurs dizaines.
Si le RSS est pratique pour l'utilisateuç
il est à double tranchant pour les sites
Web: beaucoup de personnes peu-
vent aller de moins en moins souvent
sur le site lui-même, ou bien se rendre
directement sur des pages de
contenu, en court-circuitant les
« grosses pages » (accueil, sommaire
de section...) où se trouvent bien en-
tendu les bandeaux publicitaires les
plus rentables.
Un srRvrcr or svNcHRoNrsATroN
Le service Google Reader de Google
était à la base un lecteur entièrement
en ligne, raccordé à un compte Goo-
gle et totalement gratuit. Derrièrecette interface, il y avait des serveurs,
de plus en plus nombreux au fil du
temps car Google a fourni aux déve-
loppeurs tiers une API (une biblio-thèque de fonctions) permettant de
brancher sur ses serveurs des applica-
tions ou des services tiers, là encoregratuitement. ll n'a pas fallu attendretrès longtemps pour que Google Rea-
derdevienne LA plate-forme de syn-
chronisation univer:oelle des flux RSS.
Quasiment tous les lecteurs de f lux
ontfini par utiliser l'APl fournie pour
fonctionner avec.
Outre le report des éléments lus, on
pouvait également créer des dossiers,
ajouter des tags ou encore marquer
des éléments en favoris. Tous ces
points étant repris par les différentes
applications liées, le contenu étaitdonc unique, quel que fut le mode de
lecture choisi, mais chaque applica-.
tion ou service apportait de son côtéune interface et une ergonomie diffé-
rentes ou de nouvelles fonctions.llabandon pur et simple du ser-
vice par Google a provoqué un '
tremblement de terre ! Par
quoi remplacer ce service pour
synchroniser des millions de
flux RSS?
Car s'il est possible de n'utili-ser qu'un lecteur unique par
exemple sur Mac, commentfaire sans synchronisation si
on veut aussi accéder aux flux
sur une tablette ou un smart-phone-ou un autre PCou Mac-sans avoir à tout retrier? De plus, il
n'existait quasiment plus de lecteur
natif sur Mac, puisque les flux RSS
n'étaient plus supporlés ni par Safari
ni par Maildans Mountain Lion.
Pour remplacer efficacement Google
Reader, ilfaut certains prérequis : l'im-
port facile des données issues de
Google Reader (afin que l'utilisateurn'ait pas à reconstruire de zéro ses ré-
seaux de flux !), être accessible en
ligne via un lecteur, mais il faut aussi
proposer une API pour des logiciels
tiers, synchroniser les lectures, sup-
porter des fonctions telles que les fa-
voris, les tags et des dossiers... Bref,
vous voyez que
Vous et Votre Mac N"94 Novembre 2013
le successeur de Google Readeç
avec le seruice le plus complet
eedly est l'un des rares services qui prenneen charge la synchronisation des flux RSS
sans que vous ayez à acheter un
abonnement. On compte aussi AOL Readerou encore The Old Reader (lire ci-dessous).
Feedly propose toutefois une souscription (mensuelle
ou annuelle), mais on peuttout aussi bien l'utillsersans, avec pour seules limitations l'absence derecherche au sein des flux et d'intégration à Pocket etEvernote.
Feedly sait récupérer automatiquement les flux deGoogle Reader, dossiers, tags et favoris inclus. Le cas
échéant, on peut tout aussi bien importerdirectement un fichier OPMLTéléchargé depuis
Google.
Le service Web est performant et complet, avec uneinterface agréable. ll présente une barre latérale et les
diverses nouvelles sont alors disposées en extraitsavec un visuel, ou bien en liste classique. llajout etl'organisation des flux sont faciles, d'autant qu'ondispose d'un index. Feedly propose par ailleurs des
flux parmi une liste classée parthèmes. llinterface estpersonnalisable, avec différentes présentations,
thèmes ou encore couleurs. La circulation au sein desarticles est efficace. Si l'on peutfacilement marquercomme lu ou comme favoris, l'envoivers des servicesde partage ou de sauvegarde comme Evernote ou
encore Pocket fait partie des prérogatives payantes,
tout comme la recherche.
Feedly dispose également d'une application iOS
§ ïhe Old Reader
gestion des flux est identique au site Web etraffichageresteaussisoupre.sirarecherchen'estpas
€ **l*,,,,possible au sein des flux, on dispose néanmoins des
h.6tugeu uf,lsrgldê Mav6i*69àê &$à iesrSteâlisÉlé$h§*! N*&k &§vtdÉêÈrëiiitBàoæs§
À.4
is Apple
Muse R*vie$rÀ a.r;rl1r ;rd.ra.1i.N1, !/ibilr.r' )i.«xn tn..Nbs.iirr.r'..i ùe: lt. ln.i ù..r. rfn.ikiYr.rlô,rc. rr$ !!!i, r.r,irn4roitnce lreri:.,, irnÿirÿfi t€ alrJ5 ard a:t2rf,ler.a..r a3voritss iie §!.:il i.tl.9hltness ls lÿr* :rèrlasr.ii{r is rin rnsia.r..n.jc, -
:r.rn lea..{ rrj.r §lâlion§.èrtrrÈdy i!€)1.illèr !ûiig,
iq
n
GMArAl3êsEhE
Ƨ,os7o.rw: ,.
ffeâ lftÉ ra2 d.É9§]]]:j.\:1].1.:: r .]- ]' :: -
universelle et gratuite tout à fait conforta ble. La
divers services de partage: Pocket, Twitter, entreautres. Le service est donc par lui-même fortintéressant.
Mais comme Feedly propose également une APl, onest libre d'utiliser d'autres applications qulvonttravailler en utilisant Feedly comme suppoft. C'est
notamment le cas de Mr. Reader sur iPad, Reeder suriPhone et désormais sur iPad. Sur Mac, il n'existe que
deux applications pour l'instant: ReadKit et NewsBar.
Cûmpârêtil de Liyrs Pl0t0 Âplte taumhes ',Xid§,, Àppe' srFsusitumédçle §oreCâlegory
--=-
Prix: Gratuit (abonnement « pro » possible:
45 S.par an)
URL : http//cloud.feedly.co
Distribution : www.getanysmd.crn
Les plus: excellent service en ligne, interface
soignée, extension pour navigateurs, client i0S,
bonne adoption par les éditeurs tiers.
Les moins: quelques lenteurs sur la
synchronisation.
Ôaa !:!l:,ri:ô,.{.r*.rl,:-.rijtiQ;.$r.!§:tr§1.Ël.r-8..8_ti.q.t.r_q,,.-q,r r§l:&;:ptlrr-t,s,*."".""
1,:ril::i::::,1::la::::t:i:t.:a:.:iii,l.:lr::::l::;::lr:r::,rr:::]:;:t:t,,,r:
*§ §Lï»e x q
.l !ôwauÆôNtr*r lous les élémêfiis
l=,'-, 'q
-.,{}r ÿr.ÿ$ o
O ***''r)',?Prix: Gratuit (pour l'instant) URL: http//theoldreader.com
Les plus: actuellement gratuit; basé sur une idée de communauté avec partage de flux entre
« amis » Les moins: très peu de clients tiers, pas d'intégration avec les autres services de par-
tage...
iljoue la carte de la communauté
! I a failli disparaître en même temps que Google Reader,
! submergé par de nouveaux inscrits ! Mais ses fondateurs
! ont trouvé de nouveaux financiers et The Old Reader
I ii:i'i"ii:]:iï,1 iff ï ;ï; i : :ï::: *$t J."'fonctionnement ultérieu r.The Old Reader est un service de lecture en ligne, mais ausside synchronisation et il a une API pour des lecteurs tiers. llidéeest ici communautaire : possibilité de mettre des flux en « par-tage » entre membres de la communauté, et notifier si l'onaime ou pas tel ou tel lien. llinterface est spartiate, maistraduite, ce qui est un bon point. Uajout de flux et larécupération de fichier OPML ne posent pas de problèmes etl'on utilisera la communauté pourtrouver de nouveauxflux.Pas de client dédié OS X et sous iOS on devra se contenter deFeeddler (gratuit) dont l'interface est peu encourageante maisassez complète, avec notamment les services de partage.Gageons que d'autres viendront dans le temps.
Vous et Votre Mac No94 " Novembre 2013
lhpplication la plus complète sur lrlac
eadKita connu un démarrageen douceur. Mais
profitant de la disparition de Google Reader, il a
ajouté à sa fonction première de client des
principaux services de lecture en différé, le
support des API de pratiquement tous les
services de synchronisation (gratuits comme payants). Bref,
Readkit est devenu un incontournable sur Mac.
Peu onéreu& il devient rapidement le seul logiciel de
lecture puisqu'il pioche les infos à toutes les sources Pocket,
Pinboard, lnstapaper, Readability, se branche directement
sur Feedly, et si on n'a pas besoin de synchronisation, il
dispose de son propre lecteur de RSS autonome.
llinterface est soignée et élégante. Elle est de plus
personnalisable. Pour lire des contenus sans devoir en
passerforcément par un navigateur (certains services de
RSS sont aussi peu diserts que Twiüer) ReadKit dispose d'un
système de lecture via Readability (affichage des seuls
textes et illustrations) mais n'intègre pas le WebKit si bien
qu'ilfautsouventtout de même ouvrirSafariou un autre
navigateur. Les favoris sont disponibles, comme lestags et
la possibilité de créer des dossiers intelligents. Le partage
n'est pas en reste avec le support de presque tous les
réseaux sociaux du moment.
æ *****Prix:3,60 € Éditeur: CuriousTimes Distribution: App Store
wtw.cuioustines.de/nnaderles plus: Une interface personnalisable; une palette
étendue de fonctions; l'intégration des services de synchronisation des flux RSS
et de partage, y compris vers d'autres applications; la synchronisation est de
plus paramétrable... Les moins: Mr Reader n'existe pas sur iPhone.
*ÿ *
I
t f i'jL:rd dir.ir*b':!!r§..i
§..-'
ô r*i*
4e. w§§
:-{r1 \1.:( Br*\ :l.ir :01 I ar! railti. :ai: la :*a!.tiliâ.1.,
o !+, !-,!. *§.in.rsrl* :.9k1.+ drb{r l§c.l
Err:rr.. . -ÈrÈda i r. É
;ffi
€ ***ti,Prix:450 € Éditeur: Webln Configuration: Mac lntel 0S X 10.7*
Distribution : rllar App Store, httpl/readkitaW.con
Les plus: une interface agréable et toutes les fonctions nécesaires au rendervous; support de
tous les services de lecture en différé; support des servhes de synchronhation des flux RSS Feedly,
Fever, NewsBlur, Feed trimnglet Feedbin... Les moins: à part qu'il n'est traduit, je ne vois rien.
o Nouvæu bouton Homô et nouvelles coule!§ pour 191o9N1311:16
paymenl seflice lsis in toublê âs
ôn clnssrc disnês fô. û!€i a decade rhan
.sÿiew is oad ôf Macuôild3 G€.nF€st
has askod the F$€ral Conrnuîrcalions Coôù!§ôn 1r!
{. rhs.!Èer. rne u s. cu^.. raê DÈpdnlrerr s Ndlionr rel,.ô
lo dæÿiminalize cèll phoæ uôlocking 191091æ13 l7:llacopyishi ÿslâton io unlock yo!, cèll phonê wdhoul ê
§how lû The §hüinq Men(
*i Open in Safêri
E Email Link
q EYernole
§ Poekel
§ copy URL
,Ê Omnifæus
No1 §hown lr trh6 Shârin§ t$e6u
m App"æt
I §ufs
§l Pinbgard
§ Copy§hortURL
r. Delicious .
Mr Reader
le lecteur iPad fort en seruices!
i la référence a longtemps été Reeder,
Mr. Reader est un choix judicieux, car il
supporte de multiples services payants ou
gratuits, comme Feedly. ll est également
l'un des rares à permettre de gérer sur iPad
les abonnements (ajout, organisation etsuppression). Côté interface, Mr. Reader dispose de
thèmes, que l'on peut télécharger ou modifiermanuellement.'Les modes de lecture sont de plus
variés. Si l'affichage du flux lui-même est possible
(donc tronqué), il offre aussi l'affichage de la page
source en mode Web ce qui permet d'avoir tout lecontenu ians passer par Safari Mobile. ll supporteaussi des §ervices de lecture en différé comme
Readability, Pocket ou lnstapaper. À noter que le
mode d'affichage se choisit flux par flux.
Àtout instant, on peut également modifier les
polices, la disposition des commandes, le marquage
en favori ou encore l'export. Le point fort de Mr.
Reader est la variété des services de
partage supportés. Twitter, Evernote, Pocket, envoi
vers d'autres applications (par exemple,
Omnifocus). llsait même résoudre les liens vers
iTunes sans quitter le logiciel. Ajoutons à tout cela
une totale gestion des options de rafraîchissement,
ou de cache (3G, taille, import ou non des images).
Vous et Votre Mac N'94 Novembre 2013
c'est bien moins évident que de sim-plement changer de logiciel deconsultation !
Pour récupérer les flux d'un lecteurRSS, on utilise un format d'exportsupporté de façon universelle : les fi-chiers OPML. CeluÈci comporte les in-formations des flux, mais on perdl'éventuelle organisation en dossiers.
La plupart des services candidats à la
« reprise » proposent de récupérerles informations de Google Reader
afin de gardertoute l'organisation ouencore les tags et favoris.
Qurrcurs ru-rrRNATrvEs
Suivant l'annonce de l'arrêt pro-grammé du service, on a vu apparaî-
tre un ceftain nombre de services enlignes compétitifs. Nombreux sontpaya nts com me Bo zQux (httpsl haz-qux.com), F e e d b i n ( https:/ff eedbin.me )
ou encore Fee d Wrongler (htfp:l Ifeedwrangler.net/welcome.html). loussont basés sur une API et un service
en ligne, avec un abonnement annuelou mensuel, donc payant. Le seul qui
est à la fois gratuit et qui disposed'une option payante (qui peut assu-
rer la pérennité) est Feedÿ. Feedly of-fre aussi une APl, gratuitement, quiestà cette heure la plus utilisée pardes applications ou des services tiers.The Old Readerest un service actuel-lement en bêta, quifaitfigure de re-tardataire. ll ne dispose pour l'instantque d'un service gratuit et de très peu
de logiciels qui utilisent son APl, son
lecteur en ligne n'est pas très pra-tique. On peut égalemenTciTer Fever(www.feedafever.com) qui est un sys-
tème auto-hébergé: il faut de ce faitdisposer soi-même d'un serveur(payant)ety installer le logiciel, quiestun client personnel de RSS. Fever per-
met de disposer d'un lecteur en ligne,
mais aussi d'y raccorder des clientstiers. llinstallation n'est pas forcé-ment à la portée de tout le monde.
Tous ces services disposent d'un sys-
tème d'import de fichier OPML, etd'une période d'essai gratuite quand
ils sont payants.
lls offrenttous un mode de lecture en
ligne, car il y a un avantage évident à
pouvoir utiliser n'importe quel navi-gateur, sur n'importe quelordina-teur, tablette ou smartphone. Cer-
taines interfaces en ligne sont plus
raffinées que d'autres. Feedly pro-pose une interface riche, personnalÈ
sable, avec de multiples options d'ex-port et même une extension pour di-vers navigateurs. Mais proposer uneAPl, c'est mieux encore puisqu'alorsles utilisateurs ont le choix de passer
par des applications natives nom-breuses et variées.
Qurr-s ucrruns DE FLUX RSSUTILISER?
Sur Mac, les lecteurs de RSS sontnombreux. On peut citer l'excellentReodKit (http://readkitapp.com) quisupporte de nombreuses sources, ycompris des services de lecture en dif-féré comme Pocket ou Readability,
en plus du RSS. Sur iOS, on a égale-ment l'embarras du choix. Mr. Reo-
der (www.curioustimes.de/mrreader) est
celui qui propose actuellement le plus
grand support de services, suivi deprès par ReederZ (http://reederapp.
com/ios) quifait un retour en force àl'occasion de la sortie d'iOS 7.
D'autres logiciels ont fait le choix del'autonomie : NetNewsWire 4 (httpl Inetnewswireapp.com) est en bêta pu-
blique et propose de gérer les flux enlocal : pas de synchronisation prévue
entre plateformes. Pulp (www.acryli-
capps.com/pulp) utilise, lui, iCloud poursynchroniser ses flux entre ses clients
Mac et iOS. NewsBar RSS Reoder(www.newsbar-app.com) uti lise soitiCloud soit Feedly pour se synchroni-
ser et dispose de ses propres clientsiOS et Mac.
Lr RSS n'rsr-LPts HAs BEEN?
L'avènement des réseaux sociauxsoulève la question de la pertinence
du RSS aujourd'hui. La plupart desgrands sites ont un ou plusieurscomptes Twitter et publient entemps réel et en moins de 140 signes
leurs nouvelles entrées. Twitter estgratuit et dispose de clients multipla-teformes ainsi que d'un service enligne. Mais justement en limitantI'alerte à de très brèves notifications,
Twitter est plus un compagnon duRSS que son fossoyeur.
Les flux RSS sont souvent plus consé-quentt et paffois même donnent lec-
ture de leurs articles complets, ou à
une sélection d'entre eux. Le RSS
n'estdonc pas mort !
D'ailleurs le branle-bas de combat qui
a suivi I'annonce du retrait de GoogleReaderen est la meilleure preuve.
IJenny Lemessager
S'abonner à un flux RSS dans ReadKit
! a première chose à faire est de trouver le lien du flux. Safari n'ayant
I plus de bouton RSS en standard, il faut ruser. Généralement, je me
Lcontente d'une recherche Google sur tle'iom du sitel plus [rss]. Avec
« macg rss », je tombe immédiatement sur tous les f lux RSS du sited'information MacGeneration . Je clique droit sur l'icône RSS ou
l'adresse du f lux voulu , et j'en c0pie le lien (menu contextuel)
J'ouvre Readkit et demande Fichier > Add Feed Subscription.'Dans la
feuille qui s'affiche, je colle le lien et choisis éventuellement un groupe.
Et c'est tout ! tn quelques secondes, les entrées les plus récentes
s'affichent . Notez que MacGeneration est généreux et donne en RSS
lecture des articles en entier , sans que vous ayez à vous rendre sur le
site web. lr4ais souvent, on n'a droit qu'à un résumé du sujet.IBLD
i.: :r,ô:16,11.,lm * æ+il ;-,'h
l
i EEEVi
'-" §-r.i:
::;llt
iFlx..Ë
La fllr eS dê {àæeÉeràtiên EroTW
' . ' . , , :,,,r1'l ..c
::îT'r-16
Or!-,,?:.n ôr1s ur .ar* ÈieÈifaôirli,È:'rn dir. i. rrirlel oæ:er
Te k5ry, { t.n:ei È
Ii t++r14 ndier SraûjÀr.Hêr € lfi +Ei:i!r8..Àjr..i. É1,Êi ila::erè& lae?E
e-l
+<ËaiÈes air.kTéÀsi
§eryi(e.
Àiri.Ês5
Fôlaier
Ô ;erdly - berard.ledu"â9nài..rüm
hRË:r rr15 ,féig (o 1
I o# Lev€i
Àl
dssfi I Cancei ,i .0i(. i
--a- Lii_rL
§..,.,
{,' 'BêffiffiI
§,
Vous et Votre Mac No94 Novembre 2013
es lanceurs d'applications (/aunchers en
anglais) ont toujours eu sur Mac de nom-
breux amateurs. Pourtant lancer une ap-
plication n'est tout de même pas sorcier !
On ouvre le dossierApplications, on choi-
sit l'application et on double-clique dessus. Si l'ap-
plication estdans le Doclç un simpleclicsuffira pour
la lancer. Alors pourquoi les lanceurs dédiés sont-ils
si répandus sur Mac?
Er pounouot nr pAS sE coNTENTER DE SpoTLTGHT?
D'abord, vous pouvez fort bien vous en passer car
Apple propose dans OS X au moins trois systèmes
de lancement. llya d'abord Spotlight. Comme lan-
ceur, il se comporte plutôt bien comparé à la
concurrence, saufqu'il Â'apprend pas au fil de l'uti-
lisation, et affiche pqrfois quelques éléments inop-
portuns ou mal classés dans la liste des applications.
Utiliser Spotlight comme lanceur d'applications,c'est simple. On clique sur la loupe à l'extrême
droite de la barre des menus porr Oeuoi6à] t.champ de recherche. Ou bien, sans quitter le cla-
vier, on applique la combinaison standard
[ctrl][barre d'espace] quidonne le même résultat.
Cette combinaison peut être modifiée dans le pan-
neau Clavier des Préférences du système, onglet
Raccourcis Clovier; vous pouvez utiliser les touches
de fonction de « f1 à f12 >>, Cest pratique.
Quand le champ de recherche Spotlight est affiché,
tapez une première lettre et immédiatementÿaffi-
chent en dessous les éléments dont le nom com-
mence par ce caractère. Pour aller directement au
bon élémenç tapez quelques lettres suivantes, en
général avec deux ou trois lettres l'application re-
cherchée est affichée dans les deux sections : MerlI e u r ré su ltot eT Appl i coti o ns. Surl ignez l'application à
la souris ou avec les touches fléchées.
Voici (copie d'écran à gauche) la liste des applica-
tions sur mon Mag retournée pour la lettre « f ». On
ytrouve en premier l'application iFlicks qui ne com-
mence pas par « f ». Spotlight est
un bon lanceur d'appoint, mais si
vous utilisezvotre Macdefaçon in-
tensive, un lanceur dédié sera pré-
férable.
Quant au LaunchPad, hérité d'iOS,
il n'est accompagné d'aucun outil
de gestion ni de personnalisation. ll
a tout de même un champ de re-
cherche. ll pourra séduire les utili-
sateurs qui n'ont pas beaucoup d'applications ins-
tallées et qui netravaillent pas ou peu au clavier. En-
fin, le lanceur le plus direct est sans Ôonteste le
Doc( mais la place disponibleyest limitée.
Les lanceurs permettenL eux, d'ouvrir un logicielen
deuxtemps maximum, peu importe qu'ils soient
stockés dans Applications ou ailleurs. On tape la ou
les premières lettres du nom de l'alplication quiest
généralement proposée en premier et on frappe la
touche [entrée] sans autre forme de procès. La dif-
férence clé.est ici l'utilisation du clavier ! Pas besoin
de déplacer la main sur la souris ou le trackpad, pas
besoin de naviguer dans les dossiers pour chercher
la bonne icône.
Lts lpplrcrroNs AU BouT DEs DotGTs
Le lanceur est souvent doté d'un zeste d'intelli-gence et il apprendra de vos habitudes. ll saura que
si vous tapez « s », Cest Safari qu'il devra présenter
en premier, car Cest l'application que vous lancez le
plus souvent en tapant cette lettre au clavier.
Au final, le gain de temps est important. Rares sont
ceux qui travaillent toute la journée sur leur Mac et
n'ont pas un lanceur dans leur arsenal !
ll existe de nombreux lanceurs d'applications. Je
vous propose une sélection de quatre produits ba-
sés sur la recherche, plus deux autresjouant plus
sur les icônes. lls ont chacun des forces et des fai-
blesses. Àvous de faire votre choix !
I HenriDominique Rapin
Tüut affiÉher dans lë Fiflder
Àiiirridnliùl: lÛ ifli{ks
§ rsumm.app
@ riteaüa.app
48 | Vous et Votre Mac . No94 . Novembre 2013
le Ianceur à la mode
fl)ommenÇons avec Alfred quiest aujourd'hui Ie lanceur évolué Ie plus connu.
I ll a su gagner en quelques années lesfaveursdes utilisateurs avertisde Mac
Vgrâce à sa modularité. Le loqicielest disponible gratuitement sur la Mac App
Store dans une version qui s'avère amplement suffisante pourfaire office de
lanceur d applications.
0n applique une combinaison de touches pour faire appamître un champ en plein
milieu de l'écran.0n tape une lettre, et une liste d'applications se déploie dessous.
Pour comparaison avec Spotlight, regardez sur la copie d'écran la liste retournée
par Alfred en saisissant la lettre « f » sur le même Mac. Le nombre d'applications
est plus important. Elle contient des logiciels dont le nom contient la lettre « f »
comme Dragon Dictate Français, ce qui est un plus lorsque l'on a oublié le nom
d'une application. Alfred apprend de lui-même, et rapidement place en en tête les
applications les plus utilisées. Mieux, il affiche un raccourci clavier ([cmd]+[chiffre])
pour lancer l'application directement. llinterface est paramétrable, en particulier
pardes thèmes de couleurs.
0n peut approfondir l'usage dAlfred via lbption PowerPack payante. Elle apporte la
possibilité de créer des scripts et ajoute de nombreuses fonctions pointues.
€*****Prix: Gratuit (version suffisante pour Ie lancement d'applications). Versionpayante (20 €) pour les fonctions avancées.
Éditeur: Alf red Team www.alf redapp.com Configuration : lntel, 0S X 10.6+
Distribution: Mac App Store (PowerPack sur le site de l'éditeur)
-"'l
ffim,mffHà**ryr Type Fut0 /rqpÉgmior*.,IÿF Ftr.æ
Ell##m.*"*...... PBFBenPÿo
,'Ap$ic{dbfÈf}Of,pe!PB€pp
.r,.. Lilre dee policÊs: .' lApdicdidsF6dBæk.sÉp
sffii*mm.-lo( FaTTimg
--_
rffiEtmâtr
puissant mais trop complexe
uickSilver n'est pas à proprement parler une « nouveauté ». ll fut même le lanceur« roi » de la fin des années 2000. Programme gratui! son développement fut arrêtéun temps pour reprendre doucement depuis 20L1.
La version actuelle est complète, bien plus qu'Alfred, et Cest justement le problème.Au démarrage, on sélectionne dans les Préférences, des plugins qui rajoutent des fonctions(on en compte plusieurs dizaines-voirle détailsurle site du projet qui les recensetous).Par exemple, le plugin pour Mail permet d'afficher, dans la liste des résultats, des messagesgérés par Mall. Nombre de ces fonctions n'ont pas forcément grand intérêt pour Iecommun des utilisateurs, en plus il faut configurer l'utilitaire dans une interface qui n'estpas des plus simple, assezvieillotte eten anglais. Rien de comparableavecAlfred qul, lui,est utilisable dès l'installation. La lettre « f » dans Quickilver retourne une liste plus
complète, avec lesvolumes et lesfichiers.Grâce aux efforts de l'équipe qui l'a repris, Quicksilver a retrouvé une place de chalengermais il reste du travail à faire pour rendre cet utilitaire plus simple et plus intuitif. llfautreconnaître qu'en l'étag il offre gratuitement l'équivalent des fonctions avancées d'Alfred -mais mieuxvautêtre un utilisateuraveftiet un brin bidouilleurpouren tirervraiment parti.
e ***t*,Prix: Gratuit
Éditeur : 0uicksi lver P r oject httpl/qsap p.co nConfiguration: Différentes versions lntel et PPC, depuis 0S X 10.3
Distribution : Site éditeur
I flri*,** )
I5l5-,iillffif,,*,,0,,* 'f e1 m. ai ffiitr. IrP,âpp
-jÀËIr .-3T 1ti. lerjri . ,,P rrfirÿ)n,eL_+fue ÀËË
4 ,1î#1ff*"r.,{f4É.Éni;.di.rr?,14,.a*, ';,1| ra*e.app i\-./ j À{pl.Æs, i r riàkelpû
L) l#;iHf,,,,,.,*"u"
f]l ,rdtiche-pages +ethI trûd
Q afn:ll!,larlmur"loc*1. '
Q,( lffËIlf,i,i.Ë*",,*. -uo
* ,-Hl,s*,,,,n,*.*,.fà FGCus.àpp-JÆ# ..*fÊr üIdirr :û,:J: itp
fiÉfita f*{ À!ê{ ztl. À l-t4Bne ârd Bu.§i$Êir;rftr. ialtJjj
fi,twÊ Chrerpl
.§+ l Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013
simple, en français, et plein de bonnes idées
ette petite application n'a pas reçu de miseà jourdepuis 2011mais
n'en fonctionne pas moins avec la dernière version de notre
système préféré, et mêmedans Maverick. Launchersecomporte
commeAlfred ou Quickilver: une combinaisondetouchet une lettre
frappée sur le clavier et les applications sont listées. La copie d'écran
donne le résultat pour la lettre « f » toujours sur la même machine,
comparez avec les autres. Notez la différence : la liste retournée ne
comporte que les applications dont le nom commence par « f », alors que
lesautresapplications cherchent la lettre danstout le nom. Mais ilya un
bon point à attribuer pour la prise en compte des applications Windows
(du moinsvia Parallels Desktop quiest levirtualiseurque j'utilise). Et un
autre pour les raccourcis clavierautomatlquement attribués aux résultats.
Voyez aussi en bas de la fenêtre, la définition de la lettre « f ». C'est que
Launcherfait des recherches surGoogle, Wikipédia, Amazon... Et
quatrième point positif, bien que son nom soit en anglais, son interface est
en franpiq ycompris l'aide- les recherches sur les sites lnternet se font
bien sur lessitesfrançais et non anglais. Que demanderde plus?
O **t*tPrix: Gratuit
Éditeur : Nulana w w w.n u I a n a.co nConfiguration: lntel, Mac 0S 10.6+
Distribution: Mac App Store
urüoL*{
,J:i., lr In , :," u. ",-i
un lanceur bien conçu mais un peu cher
apTap est un utilitaire de l'éditeurfrançais Tri-Edre, assez ancien
déjà mais régulièrement mis à jour et il fonctionne très bien sur les
systèmes récents. Le programme s active en tapant deux fois la
même touche, par défaut [cmd]. ll s'avère plutôt complet, et surtout
très évident d'utilisation. Une fois un élément sélectionné dans la liste
des résultatt une suite de commandes est proposée en menus
contextuels. De petites icônes sous le champ de saisie permettent de
restreindre ou d'élargir la recherche aux applicationt fichiert lnternet,
contacts et dossiers. Je note la prise en compte des panneaux de
préférences. Toujours à titre de comparaison, voici le résultat avec la
lettre « f ». Points intéressants : la possibilité d'indiquer différents
emplacements d'applications, de retirer de la liste une ou plusieurs
applications que l'on ne veut pas voir lister, et la section lnternet qui
s'appuie sur les favoris de Safari et Firefox. TapTap n'est pas mal conçu
du tout. Je regrette une interface peu en phase avec celle d'OS X et son
prix aussi élevé que celui d'Alfred avec PowerPac( alors que ce dernier
esttoutde même plus puissant.
o i****Prix: 19 € (version de démo disponible sur le site)
Éditeur : ItEdre www.tr|ed re.f rConfiguration: lntel,0S X 10.6.6+
Distribution: Mac App Store et site éditeur
- Fantxtitrl.æo Édirer le descriptif-..r
§ Fetcher.app
ti Filê and Folder...ttiên Êack.àpp
§l rit"zitt"."ra
i] ri*fox.app
E FLÂCTuner fLAc ConYerter.app '
p Flare.apt
'- Flèsh PlaYer,trelpüe
*# i Vous et Votre Mac .' N'94 . Novembre 2013
,li-,l
lirr '
un lanceur par icônes et haut en couleur
our compléter cette sélection, je vous propose un utilitaire forten couleur ! Bevy est inclassable. C'est un lanceur aÿpique :
double-cliquez sur une touche et une fenêtre remplie d'icônesapparaît. Ce sont celles de toutes les applications installées survotreMac. Pressez une lettre et ne resteront « illuminées » que celles dontle nom la contient.
Bevy permet d'organiser les applicationssousforme de sections, les
plus importantes devan! suivi d'une section jeux. À noter l'affichagedes applications Windows gérées par Parallels. On peut certestrouver dans Bevy un air de Launchpad, mais il s'en distingue par unclassement plussouple que la solution d'Apple, et la mise en avantdes icônes en couleurs par rapportà la lettre frappée est astucieuse.Bevy s'adresse à ceux qui ont de nombreuses applications et pour quiles icônes sont plus évocatrices que les noms. Dommage qu'il afficheun prix trop élevé par rapport aux autres lanceurs bien plusperformants.
e tt*t:.Prix: 9 € (démo disponible) Éditeur: Bergdesiqn
ht t p //b e rg d e s i g n.c o m/b evy
Configuration: lntel, 0S X 10.6.6+
Distribution: tr4ac App Store
,i: ,1
€ ***)'ir':.,,''Prix: 30 €Éditeur : Chronos www.ch ronosnet.co m/prod u ctsla u nch n agic.htmlConfiguration: lntel, Mac 0S 10.6*
Distribution: Mac App Store
lhncêtre du LaunchPad
l ans le même espritque le LaunchPad d'Apple où que
I I Bevy, cet utilitaire est vieux de plus d'une dizaine d'annéesY mais a éré rajeuni par son éditeur Chronos en 2012.
LaunchMagic est très largement personnalisable, toutl'inverse du LaunchPad, grâce à un ensemble détaillé d'options.On le placera de préférence en plein écran. h zone principalepropose toutes les icônes d'applications (dont on peut peaufinerl'affichage comme on le souhaite) mais on peut aussi définir desdocks multiples en bas ou encore accéder à des dossiers et desdocumentsfavorisvia une barre latérale à droite. [applicationinclut un outil appelé Blaster, quis'apparente auruban des applications actives ([cmd][tab]) d'OS X, avec lapossibilité d'appeler les applications de ses propres dock.LaunchMagic supporte l'interface de QuickLoo( très utile avecles documen§ pour les regarder avant de les ouvrir.LaunchMagic est puissant mais lourd. Et c'est aussi l'utilitaire leplus cher de cette sélection - bien trop cher.
i Vous et Votre Mac No94 , Novembre 2013
Optimiser l'autonomiepour profiter plus de son podable
ir- Bien que læ MocBook bénéficienl ù choque nouveou
modèle, d'une réserve d'énergie loujours plus importonle,
oplimiser l'usoge de lo botlerie resle un impérolif.
Non seulemenl pour prolonger lo période d'oclivilé du
portoble, mois ousisimplemenl porce qu'une boTterie
coûle cher el qu'il esl bien bêle de ne pos essoyer de lo
conserver le plus longlemps possible!
ourquoi optirhiser l'auto-nomie dema nderez-vous ? La dernière généra-
tion de MacBookAir 11" a
une autonomie de neuïheures selon Apple, et le 1-3 " une au-
tonomie de onze heures !Vous par-
tez le matin pour une journée detra-vail, et vous rentrez le soir sans avoir
eu besoin de recharger dans le cou-
rant de la journée. SiApple ne mentpas sur les chiffres qq'ilannonce,l'usage que nousfaisonstous les jours
de notre ordinateur nous amène à
faire varier son autonomie du simple
au double. ll faut donc rester prudent
etveiller à optimiser l'autonomie de
la batterie. Pourcela quelques règles
simples sont à suivre.
UNr sffrrRtt rru aounr smrÉ!llespérance de vie d'une batterie se
décrit en nombre de cycles. Un cycle
de charge correspond à l'utilisation
de I'intégralité de l'énergie de la bat-
terie - pas nécessairement une
charge complète. Un cycle complet
peut être décompté au fil de plu-
sieursjours, avec des alternancesd'utilisation du Mac connecté au sec-
teur.Appledonne pourchaque modèle de
MacBoolç un nombre de rycles maxi-
mum au-delà duquel l'autonomien'est plus garantie. La batterie pourra
toujours fonctionner mais la charge
sera de moins bonne qualité (en des-
sous de 80 %) et il sera alors conselllé
de la changer.
Connfirnr LE NoMBRE DE cYcLEs
Quel est donc le nombre de cycles ?
Pour un MacBook récent (livré depuis
2011), il s'agit de 1000 rycles. Si vous
effectuez un cycle parjour, cela re-piésente quasiment trois années
d'utilisation intense. À titre d'exem-ple, mon MacBookAira douze mois.
Je l'utilise tous les jours mais il n'af-
fiche que L53 cycles. À ce rythme, je
dépasserai allègrement les trois an-
nées. Sans aucun doute, les batteries
livrées parApple offrent plusieurs an-
nées de bonne autonomie.
Cê;YMatÉrie!
Àimertatlon
Àsd io
8lüÈtoolh ' o,
CüftÊs fthÊrnet 'vfÀltes Fflcane: vidÈa I mâfi.t...DiaÈnôsG( tFibrc Ck**sÈlFirewlrecrÀuüre de ditEÊe
ItrpaimàntÉsLettËur dÊ calteMBtÉriea flÀlBItdÉnrûirE
5À5
SÀTAlSATÀExpres !§fsl para:lêle
sFr
5tÉEkâscI tundel§odÎ
: usB
L:=:ï*-"
l{formntions d! la büncrit :
lnformàtiofls gur lt moCèle:Na dç sdr;ei -
Fabriranl:Nom dÈ l'àppÀreil:Pack Lat füdÈlPC§ Lot aBd€:Veasion dü prcgrsmril€ interneRÉYision dù milÈTitllRËütiùt de piie:
lnfëmètiois 5ur la chlrgelahar§e restnfrte [mAh]lCharge complète:En asûr5 de Èharsement;
?büil
!173
NsnNÈh
lnt€nsitÉ dÊ lsurefti (mÂ): -:.44flTensiof, (mV): 7715
i RéslègÊ5 d'êliwiltatiûs du §y§témÈ i
ÀlimentÀtisn 5Èrtcur:Mtfiuteri€ dÈ susÊeirsisn d'ùfiiîité d! 5yÉtÈmt {,triôlte5}:Mi*uterle d€ suspensièF d'àçtivitÉ du dilque (ffinutê§:: Û
Miîutërh de !uspÊnsisn d'üctivltê du flûniteu. (ffiintnȧ;:
RèJct;vation Far un (hangcment de tenlioF:
€conomiseur d'énergie-ffi]
aL
]5 mn
§!uspendre dès que potsible l'àctiYité des dllques durg
tObscurcir légèremènt l'é(tan quând I'ordinateur forctionne su. bàtterie
-j Àctivêr Power Nap guand l'ordinateur fon«ionne sur batie.ie& ruspenrion d'adMté. 6tê Màt côitlnu€ dc 5'd.ofr du rftrdêr" das (ÀlendaieB et d'autrcÉmi5e5 àlour lcloud
th
ordinâteur en veille, apr!: , Æ^,
1mn ,,mo**)Ê.(ranenveillÉaprèc: V
gAfficher l'état de lÀ batterie dèns la barre des mtnus
Pour êmpêcher les modtfitàtions, cliqdez icl
Vous et Votre Mac * No94. Novembre 2013
L'alimentation Bluetêoth e5t désactivée. Pour utiliser Blu€tooth, vouJ dêvez diabordl'a.tiver,
,,.,,lctva §l rite(têbiÈ
6Afficher Elueteoth drRs la barre des menus
Ssuspendre'dQs que possible |activité des disques dursldah..,,..i' l;-À..-Âàr I'i.'.x â',.âi l,^,/;-!)-!,, r^-.)r^6È-.,!, L,*À-r-
l-lAdiÿer Power Nap guand l'ordinateur fonctionne sur batterieh lusBnsion d'ôdiliaé, rctr€ Ma( (ontlnuê d! !'maupêr du rourrlèr, dê! Glendriers êt d'Àutreltis€5 àjour icloud
Ch.rge èduelh de Ia batêrie : 99 X Duréê €itifrèe de re.ha.ge : 0:4 I Rêsièqer pâr délau!
gAffichèr l'état de là batterie dêns la barre des menus
,_)
f4" Pou. emoêcher le! modi6(arions. (liquez icl.
Prôgômmer
Pour connaître le nombre de cycles
déjà effectués, demandez À p roposde mon Mqc dans le menu Apple(Pomme), puis cliquez sur Ie boutonPlus d' infos..., ce qui ouvre l' util itaire
lnformations système. Dans la co-
lonne de gauche sélectionnezA/i-mentdtion à la sedion MoÉ rteb l§.Notez la ligne lnlormotion sur lqsonté : vous ytrouvezle @mptoge de
cycles. U ne r ubrique Con dition doitêtre sulvie de Normof ce qui indiqueque la batterie fonctionne bien.
Dors-.lr uorn MA BATTERTE?
C'est une question qui est souvent po-
sée... Réponse : OUI -au minimumune fois par mois. C'est le conseil d'Ap-ple qu'il convient de suivre !
Pour vider votre batterie, Cest simple.Débranchez l'adaptateur secteur, pla-
cez les réglages d'économie d'énergie
serceftains éléments. Gardez à l'esprit
ces cinq règles fondamentales...
) ll est indispensable de déconnectertous les motériels USB de votre Mac.
Ces disques durs ou lecteurs DVD utili-
sent le port USB pour leur alimenta-tion, celle-ci provient du Mac !
) Désactivez /es composonts radio.Wi-fi et Bluetooth sont gourmands en
électricité. Sivous ne les utilisez pas
pour un bon moment, arrêtez-les Ë[.Rendez-vous dans les préférences sys-
tème pour les désactiver. Plus rapide ?
Apple fournit des icônes qui sont plo-
cées dons lo borre des menus, afiïchez-les et utiliæz-les ffi .
) Diminuez la luminosité. Même si
une option permet d'automatisercettefonction dans le panneau de pré-
férence Économie d'énergie lEE,
lorsque vous regardez un film, dimi-nuez manuellement la luminosité:
tammentsous Parallels. Malgré les
progrès en matière de gestion de l'àli-
mentation, les machines virtuellessont gourmandes. Et Windows gère
moins bien la consommation élec-trique quand il est exécuté dans une
machine virtuelle. Éteignez ces ma-chines dès que possible.
Uur vrrl-t-É orouToNNE
La décharge en veilleçst une réalité etc'est normal. Vou$erdrez L % de
charge par heure soitl4 % parjour. En
modeVeillesystèràe, votre Mac ne
tiendra doncquetrois à 4jours !
C'est pourquoiApple cherche diffé-rentes solutions pour diminuer la
consommation même lorcque le Macest enveille. La technologie PowerNap est une solution maisApple sem-
ble s'orientervers une alternative, le
serue, Lorsqu'il esten mode réserve, /e
portoble peut« suruivre » jusqu'à30jourc sans être connedé ou secteur.
OS X s'assure que les sous-systèmes de
la machine sont en sommeil et la mé-
moire est écrite sur le disque duravantde passer en mode veille. Globole-ment ce système ploce le Moc en lé-
thorEe.
MncBoox Rrnm.. LE DTLEMME
D'un côté, vous avez la possibilitéd'utiliser lq veillesysfème, qui peut
vous emmenerentre 4 et 5 jours d'au-
tonomie, ou bien utiliser/emode Ré-
serue qui saura pofter l'autonomie devotre Mac à 30 jours. Le problème estqu'il fout choisi r entre le mode Veille
système, avec l'option Power Nap ac-
tive qui permet dd recevoir les e-mails
et autres mises à jour des applications
d'Apple, et l'option Veille systèmesans Power Nap, mais quiau bout
'd'une heure passe en mode Reserve.
Comment se décider? Sivous partez
en voyage, optez pour la version Re-
serue car il est peu probable que vous
ayez ou que vous utilisiez de la
connexion Wi-Fi, Power Nap ne sertalors à rien. Si vous restezchezvous ou
si vous effectuez des allers/retoursavec votre lieu de travail, activez Po-
wer Nap, les e-mails arriveront même
si le portable est en veille. lepossogede l'un à I'autre des modes sefait en
désodivant I'option Power Nop dons
l' on g I et Botte ri e d e l' éco nomiseurd énergie.
Mavericks regorge, lui, de petites at-tentions quivontfaire des MacBookles meilleurs portables, avec une auto-
nomie inégaléel
I HenriDominique Rapin
ffiSuspendre dès que possible I'activité des disques durs
M Obscurcir légèrement l'êcran quand l'ordinateur fonctionne sur batterie Ë
sur la mise en veille système et le cur-
seur sur lomors &tr et laissez votreMac fonctionner. Pourfaire plus ra-pide, lancez un film en boucle, votreMac ne passera jamaisen modeveilleet la batterie ÿépuisera bien plusvite.
Drs RÉouers flÉurHnrnrsLisez attentive me nt I'o rtide consocré
ou Ponnesu de préférences Écono-mie {énergie, publié dansce mêmenuméro de WMoc. ll fournit de nom-breuses informations sur les réglages
proposés, en particulier pour les por-
tables.
Afin que l'autonomie soit préservée,
vous devez désactiver ou cesser d'utili-
l'impact sur la batterie est importantvous gagnerez en autonomie.
) Une bonne pratique est de nepasI a isse r ouve rte s d e n om bre u se s a p pl i-cotions si elles ne sont pos utilisées.Lorsqu'une application est ouvertemais ne sert à rien, elle consomme dela ressource donc de l'énergie. Ce
conseil sera moins d'actualité avec
Mac OS X Mavericks, puisque la fonc-tion Power Nop (lire un article qui lui
est consacré dans ce numéro deWMac) se chargera de mettre ensommeil les logiciels qui ne servent pas
ou qui ne sont pas en premier plan.
) Fermez vos machines virtuelles.J'utilise des machines virtuelles, no-
mode Reseruequi est apparu sur les
MacBookAir Retina de mi-2010. ll nefonctionne que sur les modèles Retina
où il s'active après une heure de mode
Veille système. Les conditions sont dra-
coniennes ! Le portable doit être surbatterie, aucun périphérique USB
connecté, pas de carte SD dans le lec-
teur, pas de périphérique Bluetoothju-
melé, pas de moniteur externe et sur-
tout la fonction PowerNop nedoitposêtreqdivée.C'est pourquoi la case à
cocher Power N d p fr n' est po s qctïvée por défoutdans le panneau depr êf ér ences Éco n o m i e d é ne rg ie I
Apple préfère que l'autonomie soit im-portante en optant pour le mode Re-
.'r i Vous et Votre Mac " No94. Novembre 2013
- SoLUTIoNS I MoBILITE -
Les bons réglages à faire pout
gererau mEuxl'énergie!
Apple o foil du ponneou de préÎérences Économiseur d'énergie
lo tour de contrôle de lo gestion énergélique des Moc. C'esl dons ces
fenêtres que vous réglerez les poromèlres quilouchenl de près ou
de loin les élémenls qui influeronl sur lo consommolion de voïre mochine,
et donc impocteront en pofiiculier l'oulonomie des MocBook.
ivous ne disposez pas à la fois d'un Mac « de bu-
reau » et d'un portable, vous ne le savez sans
doute pas mais il existe deux variantes du pan-
neau de Préférences Économiseur d'énergie. La
première comporte un seulonglet, et c'est elle
que l'on voit surtous les Mac. La seconde version n'apparaît,
sous forme d'un onglet supplémentaire, dénommé batte-
rie, que sur les MacBook
tly a doncsurlesportobles, deuxséries de régloges à poro-
métrer. La première contient les réglages appliqués quand
le Mac est connecté à la prise de courant; la seconde quand
il fonctionne sur batterie.
Commençons notre exploration par l'onglet commun à tous
les Mac, celui dont les réglages opèrent dès qu'un iMac ou
un MacBook sont branchés sur le courant et allumés. Notez
que même là, s elon le M ocBook utilisé, il peut y avoir des
dffirences etcertains réglages seront absents de la fenêtre.
Ainsi, les MacBookéquipés de deux cartesvidéo verront-ils
une option Perm utotion qutomqtique du Grophisme.
Qurs nÉoucEs PouR LES cunsruns?Commençons par les éléments communs et placés en pre-
mier. Le pannea u offre deux curseurcqui représentent deux
lignesdetemps' r; .
Vous choisirez dans la première, la durée à compter de la-
quelle I'ordinoteur inodif posse en mode veille système. Je
reviendraijuste après sur la notion d'inactivité.
Le second curseur présente le délai configuré ovantlo mise
en veille de l'écrqn En effet, l'ordinateur peut continuer à
fonctionner normalement alors même que l'écran est, lui,
éteint. Notez que quand l'ordinateur est placé en veille sys-
tème, la mise en veille de l'écran est impérative. C'est pour
cette raison que l'on ne peut pas déplacer le curseur de la
veille de l'écran ou4elà de lo pértode sé-
ledionnée au niveou du curseur de mise en
veille du Moc Por défaul l'écron et l'ordina-
teur sont placés en mode veille du'bout de
dixminutes.J'aitendance à réduire, pour ma
part, ce délai pour l'écran à cinq minutes, car
c'est un élément qui consomme beaucoup,
inutilement sije ne suis pas en face du Mac-
Book (ou de l'iMac d'ailleurs).
Par ailleurs, laisser en permanence le curseur sur
Jomoisn'estpas une bonne pratique, pourvotre
facture électrique, ni pour lescomposants quivieilli-
ront plus rapidement. Comme tout bon sportif, le Mac a
besoin de périodes de récupération.
8ôr-i Ëconomiseur d'énergte
* :, i I Tout affichrr
ot
Ordifiâteur en veille après
Écran en veille après
Imn .15fln th Ih ,lamôi5
lmn 15mn th
fl §uspendre dès que possible l'activité des disques durs
lÿ RÉactiver lors des acrÈs réseau
1ÿ Perrnettre la suspension d'activiré viÀ le bouton d'alimentarion-
Démarrer automatiqueffent après une panne de ccurant
Vous et Votre Mac No94 , Novembre 2013
O ft n Ëcommiseurd'énergie
'.Më:*C:r:s:eyjOrdioateu. en vèille aprè3 :
/:mn lsm th ,h Jàmts
Écra en veille après ;
lmn lsnn lh 3h Jrffib
@§uspendre dès que possible l'activité dês disques durs
fllObscurcir légàrerænt l'écran guand l'ordinateur fonçtionne sür baËe.ie
i l Actiyer Puer Ne quand l'ordinateur fonctionne sur bâtteriè
ml5c5 à.lour lcldd
64ryàcullledehbacrie:99X Duréecsdnéed.r€dEræ:0:41 ile!lârês pdr déliâuI
8A§cher l'état de la batterie dàns la bere de5 menus programmer...
S lourempaclerte5modift.arioni,cltqrezici. a2)
\
Qu'rsr cr our rirnlcnvrÉo'un Mlc?Nous avons vu qu'un Mac passe en
mode Veille système lorsqu'une pé-
riode d'inactivité est détectée. Maisqu'est ce que l'inactivité au sens OS X
du terme ? Les deux premières condi-
tions sont /'obsence d'utilisation duclqvier etde la soun:s. Celles-ci sontsomme toute évidentes. Mais il existe
d'autres « activités » qui empêche-ront votre Mac de passer en modeVeille système: levisionnage d'un film(peu importe le logiciel), l'écoute de la
musique (iTunes en particulier), une
sauvegardeTime Machine en cours,et letransfertde gros fichiers par le ré-
seau.
OS X Intègre un mécanisme, unesorte de compteur, qui porte le nomde Minuterie de suspension {octi-vité. ll est réinitialisé dès lors qu'une
opération sur le dlsque dur, le lecteur
de CD/DVD, le clavier, la souris outous les périphériques d'entrée estdétectée.
Par{ois des applications êmpêcherontle compteurdese déclencher. C'est le
cas de Spotlight ou de Trme Mschineq ui accèdent aux disques du rs trèssouvent. Gordez à I'esprit que toutoccès répété ou disque durinterdit lomiseenveillesystème.Plus sensibles, les services de partage
de fichiers, l'accès aux sites Wèb ou le
partage d'imprimante auront un im-pact sur la mise en veille. Dans cer-tains cas, comme celui d'une Queued'impression, ils empêcheront la mise
en veille du système. Donc, sivouspartagez des fichiers, des serviçes ou
des périphériqu es, désoctivezlo miseen veille en ptaçant le curseur surJq.mais ou bien vbscollègues ou mem-bres de la famille risquent de ne pou-
voir accéder aux éléments partagés.
On l'oublie souvent, lqisser ilu nesjoue r de I a musique to ute lo jou rnéee m pêche tout si m pleme nt le Mqc deposseren mode veille. Alors en quit-
tant votre domicile, n'oubliez pas dequitter les applicotions qui occèdentau disque duren continu.
Écoruourr o'ÉrrRctE, PRÉcEoNS'
tES RÉGIAGES !Continuons notre exploration avec les
différentes cases à cocher EI.La première estSuspendre dèsquepossible I' adivité des disq ues d u rs.
Cette option a une importance clé sur
la veille du svstème. Une activité sur le
disque dur n'interdit pas l'activationde la veille de l'éérdg,maiselle em-pêche lo veille du^ÿstème.Veillezdoncù cochercettef,lse ou bien vo-tre Mac risque de nÈ pas se mettre en
veille système.
Cocher la case Réadiverlorsdesoc-
cès réseou n'est pas obl igatoire.
Lorsque le Mac est en veille, ilgardeun ceil sur l'activité du réseau. Si un
type de données réseau frappe à la
porte cela peut réveillervotre Mac. Ça
n'a pas beaucoup d'importance pour
les Ma§-.ytilisés par un particulier,mais cette option estessentielle en
entreprtse pour superuiser les ordina-teurs à dîstonce. À noter que sur le
MacBoo( elle présente un intitulé lé-
gèrement diffè ren|: Réactiver lorsdes accès réseou WîFi (l'adaptateur
RI45 ne supporte pas cette fonction).
Attention : sivous êtes sur MacBoo( il
y a une subtile différence entre les on-glels Botte ri e el Ad d ptqte u r Se de u r.
Dans Ie premier, il n'est pas fait men-
tion de cette option. En effet Réqcti-
verlors d'occès l/ÿr'-Fi ne fonctionneque si le Mac estsursedeur(voirl'en-cadré sur PowerlVap). Quand le por-
table est sur Batterie,l'option estr emplacée par Obscu rci r légè re mentl'écran qusnd l'ordinoteur fonc-tîonne sur batterie EI - cette fonc-tion est toujours actlvée en mode
. Sedeur.L'option Permettre lo suspensiond'activité viq le bouton d' olimento-tion n'est disponible que sur les Macet Mac mini. lloption est explicite,pressez le bouton d'alimentation etparmi les options, vous pourrez met-tre en veille l'ordinateur.
Toujours sur les Mac de bureau, unequatrième option offre la possibilité
de red é m a r re r q utomotiq ue me ntl'ordinqteur lori d'une coupure decouront. lmaginons que vous venez
de débrancher la prise secteur par
inadvertance, votre machine redé-marrera automatiquement dèsqu'elle sera de nouveau branchée.C'est important sivous pilotez un Mac
à distance : rTdoit pouvoir se réactivertout seul une fois que le couront estrétobli après une ponne. Et grâce aux
options proposées par{pple depuis
Lion, on retrouve applications et do-
cuments ouverts tels qu'ils étaientavant la coupure d'alimentation.Le bouton Régloges pordéfoutsertàse recaler sur les suggestions d'Appleen termes d'économie d'énergie. Je
ne les suis pastoutes à la lettre.Je pré-
fère réduire le temps de veille de
l'écran et je coche le redémarrage au-
tomatique de mon Mac. Mais ce sont
là des préférences personnelles... qui
n'ont que peu d'impact sur la
consommation électrique.
Ordinateur en veille apràs :
Ëcran en veille après :
@§orp.ndre dès que psssibte I'activité des disques durs Et
G Réactivër lürs des accÈs rêseau
S Permettre la suspensisn d'activitÉ via le bouton d'alirnentatlnn
i]] DÉmarrer autsmâtiqu*ment âprès unÊ pânne de courant
§f §uspendre dès que possible I'activité des disques durs
S Obscurcir lÉgèrernent llécran quand l'ordinatrur fsnctionne sur batterie EI
l] Artiner Power tlap quand l'ordinaterr fsn{tionne sur batterieEn ruspension d'aatlvité, rrutrÊ Mi( (ontinu€ de s'occuprr du courrirr, des calerdriers êt d'autresmiscr à Jour iCloud
§5 I Vous et Votre Mac. No94. Novembre 20.13
es MacBook Mac assez récents disposent d'une
fonction qui fait beaucoup parler d'elle depuis
Mountain Lion: Power Nap. rVap est un mot américain
signifiant grosso modo piquer un petit somme. Mais
pour Apple, il s'agit d'un node veille intelligent qui
laisse la nachine effectuer quelgues fonctions en nodebasse consonnafion Mais, avant d'aller plus avant, un peu
d'histoire ne peut pas faire de mal... Power Nap existe depuis
longtemps. Au départ, sous le nom de code DarkWare, ellefutcréée pour Snow Leopard. ll s'agissait de contourner un pro-
blème avec le DHCP (le système d'attribution des adresses lP).
Problème qui fut résolu en créant une soluiion fonctionnant
même en veille système. Ce n'est qu'avec Mountain Lion que
DarkWare est devenu public, sous le nom de Power Nap. Mais
dans 0S X Mavericks, Power Nap prend une tout autre
dimensionl C'est lui qui est en charge de placer les applications
en sommeil, ce qui est un grand pas en avant: plus nombreuses
seront les applications mises en veille par Power Nap, plus
rapidement le Mac passera lui aussi en veille système.
Si Power Nap n'apparaît pas dans les préférences d'économie
d'énergie de votre MacBook, c'est tout simplement parce qu'il
ne supporte pas cette fonction. Elle n'est disponible que sur /es
nachines équipées d'un disque dur SSD, sorties depuis
ni-2011. Pourquoi cette exigence du disque dur SSD?
Ça s'explique par la basse consommation du disque, mais
surtout sur sa capacité à écrire rapidement des informations, là
oir les disques mécaniques sont lents et gourmands en électri-
cité. Par défaut Power Nap n'est pas activé lorsque votreMac est sur batterie.Le choix d'Apple peut paraître
surprenant d'autant qu'en dessous de 30 0/o d'autonomie, Power
Nap est systématiquement désactivé. Mais il existe une raison
qui justifie cette désactivation par défaut, vous ôurez à faire un
choix cornélien - comme je vous l'ai expliqué dans l'articleprécédent, sur l'optimisation de la batterie des MacBook.
0uelles sont donc les opérations que votre portable peut
continuer à réaliser tout en restant en mode veille? La liste des
applications impactées et des fonctions supportées par Power
Nap est très précise et les développeurs n'ont pas pour le
moment la possibilité d'utiliser Power Nap pour leurs propres
applications - ce qui est dommage, mais cette contrainte est
compréhensible tant ce mode est complexe à implémenter. Les
tableaux ci-contre présentent les applications et Ies services
utilisant Power Nap, la fréquence des mises à jour et les fonc-
tions supportées.
(l) Power Nap et le raccordement au secteur
ll existe deux classes d'opérations réalisées par Power Nap. Celles qui le sont alors que le
portable est connecté au secteur, et les autres. Ces différences sont dues au mode de fonc-
tionnement des communications: lorsque Ie portable est sur secteur, Power Nap fonc-
tionne en continu et il peut donc maintenir les échanges sur le réseau, alors qu'en mode
Batterie, Power Nap fonctionne selon des cycles où il ne peut utiliser le réseau que
quelques secondes.
En mode Batterie, Power Nap exécute uniquement les opérations dites légères 0u essen-
tielles des applications Mail, Contacts, Calendrier, Notes et Rappels; les mises à jour des in-
formations sont effectuées même lorsque le Mac n'est pas connecté au secteur. En re-
vanche, lorsque l'alimentation n'est plus limitée, il accomplit en plus des opérations plus
« lourdes » comme les sauveqardes de Time Machlne ou l'indexation de Spotlight.
Ne soyez donc pas étonné de ne pas trouver les mises à jour d'0S X téléchargées dans vo-
tre MacBook, si vous ne l'avez pas raccordé au secteur...
(2) La particularité de la fonction localiser mon Mac
Lorsque l'on n'arrive plus à remettre la main sur son MacBook Air, on peut demander qu'il
émette un son. Ce serait un moyen de le repérer facilement dans les reliefs de la couette
du lit! Malheureusement, l'émission de son n'est pas supportée par Power Nap. ll en va de
même pour le message envoyé. Pour que Localiser mon Mac fonctionne, le Mac doit être
éveillé !
Les nouvelles photos sont téléchargées depuis le
Flux de photos dès qu'un appareil i0S Ies ajoute.
Sauveqarde Time
Machine en réseau
sur Time Capsule 0)
Toutes les heures,
jusqu'à sauvegarde
complète
Exécution des sauvegardes Time Machine -
attention il y a une condition à cela (1).
Lbrdinateur envoie sa géolocalisation aux
serveurs Apple, en retour vous pouvez demander
qu'il soit verrouillé et effacer (il faut qu'une
connexion réseau soit active pour cela). (2)
Les alertes de mises à jour ainsi que les mises à
jour du système sont téléchargées en tâche de
fond, mais pas celles des applications tierces. (1)
Les mises à jour des documents sont faites sur
votre lvlac pendant son sommeil,
Vous et Votre Mac . No94 . Novembre 2013
afi "\ '-' É.conomiseur d'énergie
(,(t.rrr:rt,:.,...liiirr.:1r:.ririiia.:.ti:rriir:.rirrtaa::ir11!i:rrrr....:..r!].::.::i.:'
$ Change.*ot aurernâtiqLrÊ de mode graphique . I
VûtrÊ ordinateur chàn§€ra autctràtiqlJemeflt de modÊ qraFhique afin de présrruer I'autrnom;e dÊ la bàtt€rie. l
Er us MncBooK ALoRs?
lJénergie est un élément impor-tant pour les portables. Deux op-tions quivisent à garantir unemeilleure autonomie sont doncproposées pour ce type de ma-chines. La première ne concerneque les portables ayant deuxcartes vidéo. Ce fut le cas il y a
deux ans pour des MacBook Proquiétaient équipés d'une carte vi-déo haute performance et d'uneseconde intégrée à la carte princi-pale (SoC ou System on Chip),moins consommatrice et moinsperformante. Sivotre machine enest équipée, un e option Permuto-tion automotique du grophismeli ir estvisibletouten haut de lafenêtre. Cochez là, vous économi-serez ainsi de la batterie. Le Macse chargeant de passer de l'une à
l'autre des cartes vidéo en fonc-tion de l'autonomie de la batterie.fautre option proposée estPo-
wer Nop, auquel est consacré ci-contre un encadré. Si vous ne sou-haitez pas lire ce développementretenez que Power Nap n'est, à cejour, disponible que sur des por-tables récents équipés de SSD,
pou r les se u les a p plications d Apple et que seuls des éléments es-
sentiels sont mrs àjour. Je voussuggère de ne l'utiliser quelorsqu e I e M o cBook e st co nnedéausedeur.
Pnoomuurz LE RÉvEtL Erfrxrngno]l DE voTRE MAcNous avons couvert jusque-làtoutes les options du panneau depr éf ér ence Éco nomie d éne rgie.ll en reste une qui passe inaper-
çue pour les nouveaux utilisateursde Mac, c'est pouftant une exclu-sivité d'OS X. No us ovons en effetle choix d'allumer ou d'éteindrele Moc en fondion d un jour de losemaineet{uneheure .C'est
très pratique I Parexemple le ma-
tin à votre réveil, votre Mac est al-
lumé, il charge automatiquementvos e-mails, affiche votre page
d'actualité préférée et, le soir,vous le programmez pour qu'ils'éteigne à une heure précise. Pas
de gaspillage d'énergie et pas
d'attente pour que l'ordinateurs'allume. Vous noterez les options
Réodiverpourle sortirde sa veillesystème etSuspendre pour lemettre en veille système. Vousavez là un nouveau moyen de le
forcer à se mettre en veille, toute-fois cette commande ne peutaboutir que si le disque dur estinodif.ie terminerai cet article par unedernière différence entre les Macde bureau et les MacBook.. Surces derniers, une cose à èocher
affiche dans la barre des me-nusl'outonomie de la boiterie.I HenriDominique Rapin
Qur mrnr PouR soRTrR uN MAc DU
MODE VEILLE SYSTÈUT?
Pour sortir lbrdinateur du mode veille,
utilisez une des méthodes suivantes:. Appuyez sur une touche. Cliquez sur un bouton de la souris. Relevez l'écran (s'ilshgit d'un MacBook). Raccordez ou débranchez un appareil USB
Cotvturnr METTRE EN vEttLE soN MAcIMMÉDIATEMENT?
ll existe trois méthodes pour mettre en veille
sans attendre le délai défini dans le panneau
de préférences:. Par le menu Pommeensélectionnant
Suspendre l'activité.. Cliquez sur Ie bouton Suspendreaprès avoir
appuyé sur la touche dhlimentation du Mac
(si cette option est activée).. Pour les MacBook, rabattre le couvercle.
Ëc*nara!se u r d'É narçie
srl Eemaineie vrsek-end
S Démarrer ou rÉac
I .'!;':tr:'rlir-r lundi*tardirirerçrcdije::divendredisartredidisr:anche
t/ Suspendre dès q ue pas s i b le l'actiyite,rtræx:r&rsrrs§:s{*r§l
ird RÉaçtiver l*rs des accàs rÉseau
à ûü:ü*
;r SCI:SS
I h lamais
*ril ÿx l3 h ,lamais
lrl
Ordinateui
Êcrar
Vous et Votre Mac No94 Novembre 2013
i
l' i:l:,a:rii: dl
Aucun Moc n'esl livré ovec un lecteur Blu-roy, pos même les fuTurs Moc Pro. Mois on
peut touTelois ocheler un lecleur externe USB eT le connecler. Resle ù lrouver l'indispensoble
logiciel quivo vous permetlre de lire les disque+ molgré leur proTeclion. C'esl possible,
sons plus.. .
ne des contraintes tech-
niques du Blu-ray, c'est sa
protection contre la co-
pie. Le verrou électro-niqueou DRM. Pourque
toutfonctionne parfaitement, il aurait
fallu que OS X embarque la lecturedes Blu-ray vidéo afin que le Mac soit
reconnu comme un « appareil auto-
risé ». Car il faut que, dans toute la
chaîne de lecture Blu-ray,
tous les
appareils qui interviennent soient re-
connus et autorisés. Selon toute vrai-
semblance, les logiciels de lecture de
Blu-ray disponibles sur Mac opèrent
de façon détournée. C'est pourquoi,
à chaque changement de protection,
il sera nécessaire de mettre à jour lelogiciel afin qu'il puisse outrepasserles nouveaux DRM. C'est aussi ce qui
explique sans doute les tarifs des édi-
teurs -outre que ce soit un marché
de niche. Vous pourrez opterpouruntarif « plein
I . pot»avec
des mises à jou r ilf{.mitées dans le
temps, ou des prii moins élevés mais
des mises à jour pour une année seu-
lement. Gardez à l'esprit qu'un disque
Blu-ray récent pourra donc rencon-
trer des problèmes de lecture sur
Mac à cause de la protection.
TRouvrn uN LEcTEUR ExTERNE
Quoi qu'il en soit sivous avez une col-
lection de films sur disques Blu-ray, il
peut être i ntéressa nt d'utiliser votre '
Mac pour lesvisionner, soit parce que
la « grande » télévision est occupée
par d'autres, soit parce que vous ai-
mez visionner des films de cettequalité même sur l'écran
de votre MacBook Pro
dans la chambre d'un hô-
tel ou dans le train.
Deux éléments sont néces-
saires poury arriver. Le premier le lec-
teur de disques lui-même. Si sur les
Mac Pro, on peut envisager d'en inté-grer un en interne, la solution évi-
i{ 1-ô
Vous et Votre Mac " No94 " Novembre 2013
Sourre rer.2008.3D.MULT|.1080p.8luRay.,AVC.DTS-BlueBird.iso [1Destination ïü"rrr.iltir'i*lerrffiiolirn,."-üi;; - -,_.rri
-59,-!rç!.1!i,c .. srltirgi.,
. File NameJumper.2008.3D.MULTI. VqkpnllluRây'AVC"OTS-BlueBi rd
Filp §iza: 37.8§ 68 §peed: [ : 1
File Type: lS0 File L Ad#ced I
visit website i- tti{ j
Sauvegarder ses disgues Blu-nay
I I peut être intéressant de cloner un Blu-ray en créant un fichier lS0
I identique au disque physique. C'est idéal pâur archiver et pérenniser
I vos investissements. Vous pensez peut-être que l'opération est
compliquée? Eh bien, elle est mQme plus simple que de les lire! Et ne vous
coûtera pas un centime de plus que l'achat du lecteur Blu-ray externe. Un
logiciel gratuit comme Aurora Mac Blu-ray Copy fera l'affaire. Déplacez
l'application vers le dossier Applications et lancez-le, puis sélectionnez la
source Blu-ray et le chemin de destination. Patientez, sur un Mac récent
comptez la même durée d'acquisition que la durée de lecture du film.
www.bluray'player'sof tware.com/mac-bluray-dvd-copy.htm
dente sera le lecteursur port USB 2 ou
3 (sur les Mac les plus récents, par
exemple le Storeva Slim Burner U3que propose Macwayll). Les sim-ples lecteurs Blu-ray sont rares; il est
plus courant de trouver des lecteurs
et graveurs Blu-ray - on descendmême auxalentours des 70 euros en
cherchant bien.
Ensuite il vous faudra acheter un logi-
ciel de lecture. lls sont peu nombreux,j'en ai compté trois :Aurora (40 euros,
www. b I u ray- p I aye r'sof twa re.co m),
iDeer (50 euros, www.ideenpp.conl etDVDFab (60 eu ros, http://fndvdfab.con/ nac-blu-ray-plaqrffm). Les trois
applications propdsbnt une version
d'évaluation. Après l$ avoir essayés,
j'ai conservé pour èetarticle Aurora,mais ily a peu de différences entrechacune d'elles. Aurora présenfenéanmoins un avantage : ouvrir des fi-chiers lSO. On trouve très facilementsur lnternet des « sauvegardes » de
Blu-ray, des copies intégrales (et illé-
gales). Le poids du fichier est énorme,
entre 30 et 50 Go. Sans participer au
piratage, il peut être intéressant pour
les passionnés de vidéo, de lire lecontenu Blu-ray sans avoir à se colti-nersans cesse le lecteur externe.
Aunom PouR LIRE LEs BLU-RAY
Ilapplication téléchargée sera platée
dans le dossierApplications. Si un
disque est présent dans le lecteur, il
sera automatiquement détecté dès
l'application lancée, et le menu appa-
raîtra E. On peut bien entendu navi-
guer dans le menu et sélectionner les
sous-titres ou la langue de la vidéo.
Comme avec tout bon lecteur, vous
pourrez mettre en pause ou repren-
dré la lecture, et gérer les chapitres du
film.Si DVDFab E semble plus complet, il
a planté à plusiêurs reprises sur monMac sous OS X 10.8. Sans compter
que Ia période d'essai est très courte :
un seul disque Blu-ray I Difficile d'éva-
luer la pertinence de l'utilitaire face
aux DRM.
VLC ouvre sans difficulté les disques
Blu-ray (disque physique et même
ISO), affiche la première image mais
ne va pas au-delà ! Les développeurs
de VLC ont annoncé qu'ils casseraient
la protection des Blu-ray. Je pense
que nous n'en sommes pas loin sur
Windo6 mais sur Mac cela ne fonc-
' tionne pas. Quelques utilisateursavancés ont réussi à chargerdes com-
posants dans VLC mais le résultat est
hasardeux.
llfaut retenirque si la lecture des Blu-
ray est facilitée par ces applications, il
ne faut pas considérer que ça va mar-
cher à tous les coups ! Tôut dépendra
de la capacité de l'application à ren-
dre le Mac compatible avec la protec-
tion du disque.
Fondamentalement, avec du recul,
on peutse demandersi Apple n'a pas
eu raison d'abandonner l'optiquepour la vidéo en ligne, et nous inciterà
acheterou louer des films sur l'iTunes
Store. Le Blu-rayesttoujours là mais
les beaux jours ont disparu et les
ventes stagnent.
I HenriDominique Rapin
§* ! Vous et Votre Mac. No94. Novembre 20.13
Le monde Apple est porfois mql ficelé! Le porToge simplifié des fichiers AirDrop est une fonction d'OS X
mois oussi désormois d'iOS 7. Monque de chonce ou volonté délibérée, Ies deux systèmes ne...communiquenT pos! Pour pollier les corences dAirDrop entre Moc et opporeils i0$ il exisle plusieurs
outres solulions - grotuites pour Io pluport. Loquelle choisir? Pour quoi foire? Réponses.,.
e n'est pas de la science-fic-
tion : demain vous transfé-
rerez des documents entrevos différents appareils en
les faisant glisser d'unécran vers l'autre d'un simple geste
de la main. En attendant ce futurproche, il faut se contenter d'AirDropqui n'est malheureusement pas en-
core la solution idéale. En effet, sous
Loin et Mountain Lion, Airdrop est as-
sez mâl pensé, obligeant à passer par
une fenêtre du Finder. De plus, saufbidouille, il ne fonctionne pas surtoutes les machines, enfin il n'est pas
compatible avec la nouvelle fonctionAirDrop d'iOS 7, un comble I
Plusieurs développeuri ont donc in-
vesti le champ et proposent des outils
similaires, gratuits ou peu chers qui
simplifient réellement l'échange de fi-chiers entre différents appareils par-
tageant le même réseau local en Wi-Fi, voire par lnternet. Parfois, ils ne se
limitent même pas aux Mac et auxappareils iOS mais prennent en
charge les PC sous Windows et les
mobiles Android. En voici six dont les
prixvontde0à4euros.Au-delà de leur habillage, ces applica-
tions se distinguent par le ÿpe de leur
interface, qui a une Incidence directesur leur mise en æuvre.
Druxwpts o'TNTERFAcE
On trouve d'un côté les applicationsqui proposent une interface fixe:DropCopy, File Transfer ou FileDrop,
constituée essentiellement d'unezone de dépôt; de l'autre, cellesconstituées d'un simple menu qui se
loge dans la partie droite de la barrede menus: lnstaShare, Any Send etDeskConnect. Les premières s'utili-sent en déposant le fichier à partager
sur la zone de dépôt; les secondes en
faisant glisser le fichier sur l'icône de
l'application dans la barre de menus,puis sur la machine de destinationdans le panneau qui apparaît. Cettedernière façon defaire est assez acro-
batique pour qui maîtrisetout juste sa
souris.
Qursnm DhuToRrsATroNS
Sauf DeskConnect et File Transfer qui
permettent d'échanger librementdes fichiers, les autres utilitaires de-
mandent de façon systématique,comme AirDrop, de valider une de-
mande d'autorisation de réception,soit au coup par coup comme File-
Drop, soit une foH pour toutes en
fonction de l'expâditeur comme le
proposent Any Send èt I nstaShare.
Drop Copy dispose aussi d'un sys-
tème d'autorisation, mais ilfonc-tionne « à l'envers »: il est désactivé
par défaut. Dans un contexte d'utilisa-
tion domestique, entre membresd'une même famille, ou d'un petitgroupe detravail, voire entre appareils
appartement au même utilisateur, ce
système d'autorisation est plus une
gêne qu'autre chose. Surtout, par'exemple, s'il n'y a personne devantl'appareil ou l'ordinateur destinatairepour réceptionner les fichiers.
Écmrcrrvrc0SÉvidemment, offrir un fonctionne-ment encore plus fluide qu'AirDrop
entre Mac voire entre Mac et PC estune chose, mais l'important est de gé-
rer l'échange avec des appareils mo-
biles iOS et pourquoi pas Android.Dans ce cas, la meilleure solution est
la réponse minimum de DeskConnect
et FileDrop qui proposent une simple
boîte d'envoi et de réception, et non
un énième gestionnaire de docu-ments complet, avec lecteurs inté-grés, comme lê font les autres. Sur les
appareils iOS, à cause du systèmed'apps compartimentées, aucun dé-
veloppeur n'a trouvé la solution mira-
cle : l'envoi d'un fichier se fait toujoursen deuxtemps : copie de l'application
possesseur du fichier vers l'utilitairede transfert, puis envoi vers l'appareil
destinataire.
Dernier point, tous ces utilitaires ne
fonctionnent qu'en réseau local : tous
les appareils concernés doivent être
sur le même réseau Wifi... sauf avec
DeskConnect qui passe par lnternetet un serveur intermédiaire. Envoyer
ponctuellement un dossier d'un Mac
à un iPad éloigné de 10000 kilomè-
tres n'estvraiment pas un problème,
et c'est plus simple qu'avec Dropbox
etconsæurs !
Au moment de faire ldchoix ne per-
dez pas de vue votre quête initiale:vous n'avez pas besoin d'une nou-velle usine à gaz, vous cherchez sim-
plement un outil pour échanger des
fiôhiers entre vos deux Macetvos ap-
pareils iOS. Dans ce cas, la meilleuresolution est selon moi FileDrop. Le
seul petit défaut de I'application est sa
gestion des autorisations de transfeftqui ne semble pas débrayable.
I Mathieu l-avant et Bernad Le Du
#* È Vous et Votre Mac * No94 " Novembre 2013
h:7 ü El § é6 Pd <.,> ü
§!n §EL Airdrop Like'dotryl Bô{ument Microssft Vyord SZ - ?tt}4
View Received Files
Prafrr*nces-. -
Quit,Any Send
on attend touiours les versions i0S...
ny Send présente une mise en æuvreun peu aÿpique : contrairement aux
autres outils de ce type qui exploitentle glisser-déposer, il fonctionne par
« copier-envoyer ». Sur Mac, on copie
le fichier [cmd][c] à envoyer, puis on déroule le
menu d'Any Send dans lequel on sélectionne le
destinataire... un autre Macou un PCWindowsdu même réseau Wifi sur lequel Any Send est ins-
tallé. En pratique la méthode se révèle efficace
car elle évite de faire glisser des fichiers vers un
menu déroulant ou une zone de dépôt plus ou
moins accessible.
Lors d'un premiertransfert, AnySend affiche une
demande d'autorisation que le destinataire doitvalider. Cet accord valable une fois pourtoutes,
les envois suivants provenant du même Macseront automatiquement dirigés vers le dossier
Any Send créé automatiquement dans le dossier
Téléchargements.
Any Send supporte tous types de fichiers mais
aussi l'adresse de la page Web ouvertè dans le
@ **ttvbPrix: GratuiL
Éditeur: Adylitica '
Configurations supportées :
Mac lntel 0S X 10.7+, Windows 7+,
Android (i0S en attente)
Distribution : ww.getanysend.mn
Les plus: dossier de réception spécifique,
envois de lien. Les moins: pas de version iOS.
navigateur courant (qui s'affichera automatique-ment sur la machine du destinataire) ou unparagraphe de texte qui selon son origine sera
transmis au format .bd ou sous forme d'imagebitmap. Malgré l'absence de version iOS (en
cours de développement), Any Send est une
excellente application, simple d'usage, à laquellè
on s'habitue très rapidement. Elle est parfaitepour un échange de fichiers au vol entre votreiMac à la maison et votre PC portable de travail,juste avant de quitter la maison.
Contacts ! Ainsi que les plans... Sur l'appareil cible(Mac, iPhone, iPad), une alerte informe del'arrivée du document quisera affiché via le sous-
menu Recent de DeskConnect. Ou bien le numérode téléphone est composé sur l'iPhone ! Sur Mac,DeskConnect stocke les fichiers reçus dans un dos-sier spécifique(-/Bibliothèque/ Applicationsupport/DeskConnect). Sur un iPhone ou un iPad -même si sur un iPad, l'écran n'est pas exploité, çan'a pas vraiment d'importance -,les fichiers reçus s'affichent dans l'interfaceprincipale de DeskConnect depuis laquelle on les
ouvre dans l'application choisie dans le menuOuvrir avec... standard d'iOS.Si l'on veut dépasser la contrainte d'un réseau
local, DeskConnect est une excellente solution.
e ***ttPrix: Gratuit Éditeur: DeskConnect Configuration: Mac lntel, 0S X 10.6.+, iPhone, iPad
Distribution: //ar App Store et App Store, http//deskmnnut.mnles plus: fait éclater les limites du ré-
seau local; pas de contrainte de nombre de fichiers ni de taille; envoi du document actif; trans-
fert iOS. Les moins: pas d'application adaptée à l'écran de l'iPad.
il passe par lnternet, et pour de bonnes raisons
lors que les autres outils de cettesélection ne fonctionnent qu'entreappareils présents sur le même réseau
local à un instantT, DeskConnect lui
assure un envoi aussi transparent de
fichiers entre machines éloignées de plusieurs
milliers de kilomètres et pas forcément en lignesimultanément, car il utilise lnternet. C'est aussipourquoi il faut créer un compte utilisateur sur les
serveurs de l'éditeu r, et le déclarer sur tous les
appareils qui pourront s'échanger des fichiers.Les serveurs conservent temporairement les
fichiers transmis, sans [imite de nombre ni de
taille, au maximum 30 jours, suite de quoi ils sontautomatiquement effacés.
Ça peut ressembler à une mini Dropbox, sauf que
l'utilisation de DeskConnect est complètementtransparente, tout en glisser-déposer. On glisse
depuis une fenêtre du Finder le fichier à envoyer.sur l'icône de DeskConnect dans la barre de menuset on le dépose sur le nom du matérieldestinataire. On peut aussi envoyer le documentouvert dans la fenêtre de premier plan, une page
web ou encore le contenu du presse-papiers.
Mieux encore, ilsait gérer les appels
téléphoniques via un menu contextuel dans
Vous et Votre Mac'No94 , Novembre 2013
:1,:iir ilrl
e **lr',rr;rPrix: 3,60 € (Mac) 1,80 € (i0S). Éditeur: Delite Studio
Configuration: Mac lntel 0S X 10.6+, iOS 5+
Distribution: I/ar App Store ü App Store, www.delitestudio.con
Les plus: Accesible sous forme de Service depuis h Finder; la zone de dépôt.
Les moins: h prix; h partEe dèpuis iOS malficelé.
en glisser'déposer façon i()S
une solution payante, sans attluts
ourquoi débourser4 euros quand il existe des
alternatives gratuites et performantes? C'est la question
qu'on peut se poser lorsqu'on découvre File Transfert. Si
l'application de Delite Studio est assez simple à utiliser
pour les échanges entre Mac; en revanche les transferts
defichiers entre appareils iOS et Macssont d'une mise en æuvre
tordue qui vous ferâ regrettervotre achat sur l'App Store. Rien qui
contrebalance donc le fait qu'elle est payante aussi bien sur Mac
que sur iOS...
Pour les échanges de Mac à Mag FileTransfer utilise la technique
de la zone de dépôt: un panneau qui liste les machinesaccessibles
sur le réseau local. Sur l'appareil destinataire, aucun système
d'autorisation n'est prévu; on reçoit une notification de transfert et
le fichier est enregistré automatiquement dans le dossier
Téléchargementssur Mac (option à modifierdans les Préférences)
ou dans l'application iOS.
llfaut penser à activer l'option lmport > From otherdevlces, sans
quoi votre appareil ne sera pas visible dans le panneau de
l'application Mac ! Pouréchangerdes fichiers dans l'autre sens, la
procédure n'est pas plussimple carvous devrezd'abord récupérer
le document à envoyer dans File Transfer puis activer l'option Send
etchoisir Other Device. À ce moment seulementvous accès à la
liste des appareils connectés. FileTransferest une solution detrans-
fert de fichiers que vous pourrez adopter entre Maq si vous n'aimez
pas AirDrop. Mais si vous avez aussi des appareils iOS, mieuxvaudra
vous tournervers un des autres outils de cette sélection.
vec lnstaShare, Luké§ Foldÿna montre que l'on peut
exploiter simplement le glisser-déposer depuis un
appareil iOS. C'est la seule application quiexploite
cette mise en æuvre pourtant naturelle dans une
interface tactile. Lorsqu'on ouvre lnstaShare sur un
iPhone, un iPad ou un appareilAndroid, on obtient dans la
partie gauche de l'écran un panneau Files qui sert de boîte
d'envoi et de réception. La partie droite, dénommée Devices,
affiche, elle, les autres appareils détectés sur le réseau local (et
sur lesquels lnstaShare est également actifl. À partir de là, on
glisse le fichier à envoyer sur l'icône de l'appareil cible. Après
acceptation de l'envoi, le fichier reçu est enregistré dans le
dossier Téléchargements (à modifier dans les préférences de
l'application Mac) ou dans lnstashare iOS. Sur Mac, lnstaShare
s'installe en barre de menus et son icône liste les appareils
àccessibles sur le réseau local et fait office de zone de dépôt.
Pour des transferts entre Mac, on peut autoriser une fois les
transferts, ce qui ne semble pas être le cas depuis un appareil
iOS. Sur iOS, à l'exception des photos qui sont accessibles
directement à partir de l'application Photos standard, les
autres fichiers sont envoyés ou réceptionnés dans lnstaShare
depuis leurs applications respectives avant d'être transférés
vers un autre appareil.
g ffi**Ë#*;il,ltm+,r**,gratuite d'lnstaShare i0S
E MacBook h de kvet Mash
,ii;l: Vous et Votre Mac . No94. Novembre 2013
ifil,tt,l'llrr. r'!r ft , ,! t,
,.i ,, r :,r.t
la solution presque parfaite
our effectuer une tâche simple comme un transfert de
fichiers, autant utiliser une application simple ! lvan
Pashchenko l'a bien compris qui nous propose FileDrop, dis-
ponible gratuitement sur la Mac App Store. Une fois
installée et lancée sur les Mac, FileDrop dévoile une
intedace au look de diapositive qui affiche les fonds d'écran des
différentes machines connectées au réseau. ll s'agit bien d'une zone'de
dépôt et vous n'aurez pas besoin d'une longue explication pour
comprendre l'utilisation de l'application. Côté réception, la même sim-
plicité est de mise mais on doit accepter manuellement chaque envoi.
Les fichiers reçus sont alors enregistrés dans le dossier
Téléchargements, mais on y accède aussi via le « tiroir » situé dessous
la zone de dépôt.La version iOS de FileDrop (1€) pour iPhone ou iPad (n'exploite pas le
grand écran) présente une inteface identique et une mise en æuvre
aussi proches que possible de celles de la version Mac. Y compris le
tiroir en bas de l'écran dans lequel seront stockés les fichiers reçus.
Côté envois depuis iOS, il faut transférer les documents dans le tiroir de
FileDrop avant de les expédier vers un autre appareil du réseau. Sauf
s'il s'agit de photos: FileDrop a un accès direct à la bibliothèque photos
iOS. Pour ceux qui recherchent la simplicité, FileDrop est la solutionpresque parfaite; il ne lui manque qu'un système de validation qui per-
mettrait de donner une autorisation permanente à certains appareils
et éviterait d'avoir à va lider la réception de chaque fichier.
lhpplication pionnière, touiours aussi efficace
orti ilya des annéet bien avantAirDrop, DropCopyest« le mo-
dèle » de base detous ces outilt même si aujourd'huisoninterface n'est pas la meilleure. ll y a deux manières d'utiliserDropCopy. Soitvia son « trou noir » quis'affiche surle bureau
etsur lequelon glisse les fichiers à transférer; soitvia son icône
en barre de menus, qui dévoile la liste les appareils cibles quand on glisse
un fichier. Hélat la zone de dépôt est très petite et il est délicat de cibler
le bon destinataire. Le développeur devrait l'améliorer. Sinon, DropCopy
fonctionnetrès bien; il est le seul à offrir autant de possibilités etd'options. Par exemple, le paramétrage des notifications et autorisations
est le plus précis. Ce peut être un moinl si on recherche l'extrême simpli-
cité, mais Cest un plus, sur un réseau un peu complexe avec différentstypes d'appareils.
Du côté d'iO§ lesfichiers reçussur l'iPad (l'interface estadaptée)ou
l'iPhone, sont consignés dans une boîte de réception. On peut ouvrir en
lecture certainsfichiers et les envoyervers d'autres applications pour
édition ou si DropCopy ne sait les lire. Pour l'envoi defichiers depuis iO$l'interface estfortsimllaire à celle sur Mac. En envoidepuis iOS,
Dropcopy est aussi le seul à accéderà certains dossiers de iOS, voire à la
totalité du stockage sur un appareiljailbreaké !
Parmi les nombreuses options, ily a la possibilité d'envoyer un message
texte direct entre appareils, de partager le presse-papiers de chaque
appareil. Le menu DropCopy sur Mac offre un historique des derniers
transferts effectués. Dans certaines circonstances-entre Mac
uniquement et si la machine cible est en connexion directe avec lnternetavec une lPfixe-, DropCopy sait aussi transférer des fichiers à distance.
e ri*r*Prix: Gratuit (Mac), I € (iOS) Éditeur: lvan Pashchenko
Configuration: l,/ac lntel 0S X10.6+, iOS 5+
Distribution: urr,w.filedmpme.com lcs plus: homogénéité des interfaces;
simplicité d'emploi;prix. Les moins: pas de version iPad adaptée.
e i*ittPrix: Sur Mac, gratuit (jusqu'à trois matériels), sinon version
Pro payante (4,50 €, sans limite d'installation). Sur iOS: version Lite
gratuite, sinon 450 €. Éditeur: l0-BaseT lnteractive
http/fi0fue-t.mn nac App Sbre AW StffeConfiguration: Mac lntel,
depuis 0S X 104+, iOS 3.x + Les plus: les options de paramétrage
et de mise en æuvre; le support du presse-papiers; les messages directs.
Les moins: une interface à améliorer.
?iËùd-aini-d*"Ac';u'c {iÇ5}
lrPàane-dt"Êenard {iO§l ''--
Vous et Votre Mac ' No94 ,, Novembre 20'13
ilw
§-
iI*3:ia
l'iI.
I
I
L0) est la référence en matière d'im-pression « pro ». Les particules d'en-
cres restentà la surface du papieretof-
frent une bonne stabilité des teintes(en condition de stockage). Mais les
teintes sont moinsvives qu'avec les co-
lorantt l'encre peutse détacher, et des
variations ou une perte de brillance ,
peuvent également survenir. Enfin, le
coût à la page est généralement bien
plus élevé que celui des encres à base
de colorants.
Ces deux technologies ont progressé
de manière très significative ces deux
dernières années. Les défauts aux-quels on devait faire face (bronzing,
métamérisme, inconsistance des cou-
leurs, défaut de brillance...)tendent à
iil
i
^rl - ({!fi!.!:Wri&ir!!!SqÊ@.s@f!!ffi
*,@îîïlïlttmr*iiffi dc filra§., |î@âffi]ll**ll
r !àûtârx95grÈ
l' r trêre §&da sùr ]re§*
Mçmri*lr.tm seasü fr irq.
Moîtrisez mpres$oncouleur à la maison
Lo prolique du lobo pholo o considéroblemenl évolué.
[ogrondisseur el lo lompe inoctinique ont loisé ploce ù
l'ordinoleur el l'imprimonle. Aujourd'hui, l'impresion ù
domicile esl devenue inconlournoble pour les possionnés
de photogrophie!
e tirage donne un véritablesupport à une image. Unephotographie peut faire illu-
sion tant que l'on n'est pas
confronté à sa représenta-tion papier. Une fois imprimée, les
choses changent. La composition peut
sembler anodine, bancale, les effets ar-
tificiels, la profondeur limitée. lmpri-merest donc important-ça l'est pour
moi. La pièce maîtresse du labo numé-
rique est donc... l'imprimante !
C'est l'imprimante quigarantit la qua-
lité esthétique et technique des ti-rages. Elle conditionne aussi son coût.
Si réaliser des agrandissements photo-
graphiques à la maison est passion-
nant Cest une passion onéreuse !
Pour le marché grand publig la techno-
logie à jet d'encre demeure majori-taire. Les formats de tirage vont du A6(10x15 cm) au A3+ (environ 33 x48,3 cm). Côté consommables, les mo-
dèles haut de gamme embarquentune belle batterie de cartôuches, amé-
liorant sensiblement la reproductiondes teintes ainsi que l'impression en
noir et blanc. Mais ce n'est pas si sim-ple. ll ne suffit pas d'avoir des car-touches dédiées à la reproduction des
gris pour obtenir un bon rendu mono-
chrome. Sivous ne réalisez que des ti-rages au formatd'une carte postalesur
papier brillant l'imprimante à sublima-
tion-telle que la Canon CP-900-sera
une bonne alternative; le rendu cha-
toyant est obtenu par une cire pigmen-
tée conditionnée sous la forme d'unruban encreur.
Au-delà de l'imprimante, il y a la tech-
nologie des encres qui n'est pas acces-
soire même si l'on parle « vulgaire-ment » de consommables I
EHcnrs À cor-oRANTS ou
PIGMENTAIRES?
Les encres à colorant sont celles que
l'on trouve sur la plupart des impri-mantes bureautiques et sur quelques
modèles photo que vous retrouverez
dans mon tableau de synthèse âë.Cette encre produit destirages auxto-nalités vives. Absorbée dans les fibres
du papier au moment de l'impression,
elle ne laisse aucune rugosité. Le
temps de séchage complet reste long
et la résistance à la décolorations'avère inférieure à celle des encrespigmentaires. llencre pigmentée (utilÈ
sée par les Epson R3000 et Canon Pro
Tragps coruulanrs surrpepier glaeâ eu tuslré
! Nbirel.blanaIr Tirrages d:ad'
) Ardrli,iage
ËSffin §t$tæ PlÉh ftmffirÊM 4
ceü§RënE {6"F2€}'
Vous et Votre Mac ,. No94 " Novembre 2013
§93I lâ
ffilffim
PlàriEhe farôtàct
Bsi'dEle sim&lê
Càdm sifiFlÈ
Câdra drilêlè
{. Fage I silr I *
tmÊrimante: I ii1"; !!9,j9q!-1"1 I Tairte du pàriêt
PrÉrâslaees : I P#ffi;!Ëb-'FË:Il raillê d'lmprêsrion
disparaître si l'on utilise bien les encres
et papiers recommandés par le fabri-cant. Ce pointest important ! ll n'ya au-
cune arnaque: l'encre et le papierd'une même marque sont coordonnés
de façon à obtenir le meilleur rendu et
la meilleure stabilité du tirage possible.
Un rmor NUMÉRpuE PAR
LA PRATIQUE
Une fois les modificationstonales et au-
tres retouches accomplies, vient l'étape
de l'impression. Quelle que soit l'appli-
cation, c'est tou jours Fichier > I mprïmer. Dans le cas de Lightroom, ilsuffitdechoisirle moduledu même nom.
Si vous imprim ez avec le popier de lomême morque que celle de l'imprïmante, choisissez tout d'abord la taille
du papierdans le menu localidoine.Dans Aperture, demandez que le profi Icouleur soit géré par l'imprimanteCliquez surle bouton Plus d'options':-',,
ajustez la luminesité, le contraste
ainsi que la netteté sltela s'avère né-
cessaire. Si vous uïilise4Lightroom, de-
mandez la gestio n dg Profil por l'imprïmonte li.j,puis cochez la case Sortiel6bits DansrPhoto,choisissezunique-
mentleÿpe de popierutilisé ainsi
que la toil/edu papier,'':.Cliquez sur le boutonlmprimerpourfaire apparaître la fenêtre d'impression
d'OS X. Cliquez, le cas échéant surAff-cher les détails. Dans Quqlité et su p-portl:f :l, choisissez expressément /e
type de pspierque vous allez utiliser,r' . Demandez/o plushoutequalité
d'impression :. rl . Et si l'option existe,
activez l'optimiseur de brillonce(Gloss). Vous pouvez imprimer !
PRons colonrMÉTRnuEs
Sivous imprimezsur du popier d'ort,assurez-vous tout d'abord que le fabri-
cant propose des prolils colorimé-triques compatibles avec votre impri-
mante. TéléchargezJes puis placez-les
dans le dossier -/ Bi b I i oth è q ue / Co I o r-
Sync/Profiles,,t: '. Si le dossier Profiles
(en anglais) n'existe pa5 ilvousfaudra le
créerau préalable. Ensuite, dansle mo-
dule d'impression d'Aperture ou de
Lightroom, sélectionnez le profil cone*pondontau popier utilisé . Choisis-
sezcomme rend u Perception (pour ob-
tenir des teintes proches de celles affi-
chées à"Ëécran) ou bien Colorimétrierelative (pourimprimer dans des cou-
leurs proches du fichier image original).
Cochez la case C,o m pe nsotio n d u poi ntde noir , Passez à l'impression,comme expliquée précédemment.
Avec une imprimante à colorantt lais-
sez reposer le tirage au moins 30 mi-
nutes, pour que les teintes se stabili-
sent. Surtout, gardez-vous dejuger de
la qualité du tirage dans les premières
minutes après l'impression ! N'oubliez
pas que vos tirages sont fragiles: pour
les manipuler, utilisez des gants en co-
ton (environ 5 euros la paire).
ConrouRmn us DrFFrcuLTÉs
Si votre tirage apparaîttrop « foncé », il
y a plusieurs explications possibles.
ll se peut que l'écran de votre Mac n'ait
pas été correctement calibré. La lumi-
nance recommandée est générale-
ment de 120 cd/m2. llacquisition d'une
sonde de calibrage n'est pas inutile lÀdéfaut, ajurtez sur 77 lo luminosité de.
fécron devolre iMac ou de votre Mac-
Book Pro. Si vous utilisez une versionancienne de Lightroom, volts êtes face
à un bogue répertorié. Vous pouvez
corriger la luminosité du tirage en bas à
droite du module d'impression. Autrepossibilité: créez une copie ürtuelle de
la photo à imprimer, puis écloircissezJa
par le biais des réglettes d'ajustements.
Vous imprimer en noir et blanc et vous
constatez une dérive couleur sépia ou
verte ? Ce phénomène est à distinguer
du métamérisme (quiest un change-
ment de couleur selon le type d'éclai-
rage). ll peut s agir d'un dysfonctionne-
mentdu pilote d'impression, les encres
couleur continuant à être sollicitéesmême lorsque la case Noir et blonc est
cochée. Avec certaines impri mantes,
on peut ruser en modifiant le profild'impression dons le diolque {OS X >
O ptions Couleurc: choisissez Ton froidouTonchoudselon les cas. Autre cause
possible avec une imprimante jetd'en-
cre à colorants: le papier utilisé ne
convient tout simplement pas.
Voilà, vous êtes paré pour obtenir les
meilleurs tirages. À vous de faire les
photos qui les méritent !
r David A. Mary
ÈsBBôËJi:!r
--- : . i.:t:i tit::
,lffiG"a-3lr' Sens bo.durc : l
.l!!,9]!l- l-kgllffi-i
Qualité et support :
Type de suppon
Alimentation papier: i *.êreptacle arrière
quditÉ d'imFressisn: Haute
.,.,r lmpression phato noir et blant
lg:j §ihlisthàque
Pheto Pro$rssionnsl Lustrè *
IËÆL*-EL; i+; Ë *".- f, qûaüi§}'.
Càrhes
Cal*§dâriC6lerPi(ksffi
itI
i
i
l.' C+nùü PRO-L*i) far ta*ser lnfinit!. Âffh€r.,qquaselfe Êag e
r: C4fi6fi PËü-I§ü ftr Cs,nssfl 'lûfiflity Â.nh*:i b{àlin klil$tfiffi F
L fsnûR P*.ü*1üü {§r CânÉûn lritifti$ Eârfla Fhût*qr*plniquêr flâfl{n ÊRü-1*il fsr Cânrûn lsfifiitï BifÉ F.}VIS II$"iqe
Rendu 'i
Profll touleur ;
§l.rtsfitlon ds rûndu :
Rêsolution d'irnpr€stiûû :
farr§n P*§-1"O0 for flahtreruuh]e fine ifldl*{1t,*: ltr ü,!'::r-',r rr in
t,:,§ittt *.:i1: ll a,l !l;.a,11 lrti,i
I Perceprion ; I
m
l{+:,
' 1,&B
l§,qJgsr*rrerris de f irnag*
Lusrlnû§rit€ :
CsrrtffstÊ :
§âruratiGn :
I Vâkür
*eÿor
Oprlnffi d§mase
ry"t,oc.'ry'-t,oû.'-Heneré
.. ü,5§ .
'- 6,66 '''
[§ ra-irs pitûstÈr pscr dqtet au f.onmat I
m
Vous et Votre Mac ,'No94 ' Novembre 20'13
* §*LUTI§I§§ I §ÿTeJ§tæUE *
Un iPad comme studiod'en reg istrement m usica I
l,r,' Tous les modèles d'iPod onï lo puissonce nécesoire pour foire fonclionner un pelil sTudio portolif. Lo Ioblelte dlpple esl
devenue lo nouvelle coqueluche des musiciens. Un pelil lour d'horizon s'impose !
i vous n'avez pas beaucoup
de moyens, dans le cadred'un Home Studio, pas la
peine d'investir dans unestation de travail onéreuse
et compliquée à mettre en æuvre.Optez donc pour un ministudio porta-
tif, dont le succès ne s'est jamais dé-
menti, et couplez-le avec un iPad.
Des premiers p ortostud io def ascamjusqu'aux appa reils d'enregistre-ments numériques Audio/MlDl ac-
tuels, la formule proposée estga-gnante, carelle ne requiert ni l'appren-
tissage de l'informatique ni une dé-
bauche de matériel.
Uru ÉourprurnT suR-MEsuRE
Le studio portatif EE est un appareil
autonome couvranttous les aspects
de la production discographique: de
la prise de son jusqu'au mixagefinal
sur CD. Avec l'évolution des technolo-gies, une tablette peut désormais
prétendre concurrencer un portastu-
dio-grâceà un choixtoujours plus
large de périphériques de qualité (mi-
crophones, table de mixage, carte au-
dio externe...) et à un parcfoisonnant
d'applications.
Pourtout travail de prise de son ou de
mixage, il est nécessaire d'investirdans un périphérique externe de qua-
lité §§. Selon le modèle d'iPad, les
possibilités de branchement diffèrent.
Certains boîtiers d'entrée de gamme
SI emploient la prise jack 4 pôles si-
tuée en haut de la tablette. lls'agitd'une solution pratique mais, revers
de la médaille, le convertisseur analo-
gique/numérique de l'iPad n'est pas
vraiment un équipement audiophile.
Pour une maquette faite sur le pouce,
on s'en contentera. Pour un travailplus ambitieux, ilfaudra jeterson dé-
volu sur un boîtier audio offrant une
connexion 30 broches « classique ». Si
vous ne disposez que d'un connecteur
Lightning, recourez à un adaptateurLightninÿUSB pour faire fonctionnervotre périphérique externe. Autre im-
pératif lié à l'usage de l'USB avecl'iPad : l'interface doit disposer d'unealimentation électrique autonome.Elle n'estquetrès rarementfournie ! ll
faudra donc l'ajouter à votre listed'emplettes. Concernant la qualité gé-
nérale des interfaces audio, elle de-meure identique aux modèles conçus
pour les ordinateurs. Des marquescomme Focusrite ou Apogee # en
profitent d'ailleurs pour proposer des
périphériques compatibles à la fois OS
X et iOS. Leur polyvalence justifie alors
l'investissement financier consenti.Enfin, si vous souhaitez raccorder un
instrument ou un conirôleur M lDl tra-ditionnel, les modèles signés Behrin-ger, Roland, Alesis §§ et Apogee vous
, l'autorisentfort simplement.
Urur pnooucnoN 48 PsrEs
SUR UN IPAD !Pour la partie logicièlle, la qualité des
séquenceurs sur iPad a quelque peu
progressé depuis deux ans. Sans être
révolutionnaires, d'agaçbntes restric-
tions ont été levées comme la prise en
charge des protocoles de synchronisa-
tion, la possibilité de changer la fré-quence d'échantillonnage par défaut
ou de profiter d'une profondeur de
traitement de 24 bits. La station d'en-
registrement Auria ffi (des WaveMa-
chine Labs) reste l'un desfleurons du
genre avecson traitement interne 64
bits double précision, la prise en
charge du format AAF (un formatd'échange de fichiers numériques) ou
Iarmm i[ Iort iPod {ronrorlon io& 4 @lorl À{ülldtrs slietos, (hrdom! 55É
teiringer i§?01 ûo* lPod ri ô r3 hregi5komnl li$ o! hmê 5tudlo 132 €
fotulrito 11û* lolotompotilb toû l8od êl Àfur
tûdrphlêu 0§t rcqdi)ilmê lhdio 136 €
tolord 0llMÀPllllt fl Tod iPd ftd{ildûur U§E et
ollmniolion flloms mqlhÊllome il{dio t80{
llesk i0 liir loui ikd fooü ligihlâg pMiPod
{ inrlusllnr.glstuonsîi ftm oü home stùdj! 250 (
Agqæ One nowelle wdonlorl iPld êt M{( {ldopirlê{t ü!l rt
ûli0mf8tioo *lm! hqùir,
mirortore lndu dws h loïierlHffie rhdo 3i5 É
Vous et Votre Mac " No94. Novembre 20'13
l'intégration d'effets de haute volée(réverbération à convolution, égali-
seur Mid/Side...). Sivous avez besoin
d'encore plus de pistes, il est possible
de faire travailler deux iPad simultané-
ment. Toutefoit selon la puissance de
votre tablette, le nombre de pistes
pourra être plafonné à 24 pistes sur un
iPad Lre génération, à 48 sur les mo-dèles plus récents. Pour une quaiité
d'enregistrement optimale, il est im-
portant de vérifier que votre boîtieraudio prend en charge le 24 bitslorsqu'il doittravailler avec l'iPad. Ce
n'est pas toujours le cas. Certainsconstructeurs limitent parfois leur ma-
térielà 16 bits (comme l'iTrackSolo de
Focusrite).
Drs ouns our sIMULENT LA
CRÉAION
Pour des travaux de compositionpure, GarageBand EI pour iOS
s'avère incontournable. Sa principale
qualité est d'être d'une grande facilité
d'emploi et intuitif. Plus traditionneldans son approche, Cubasis pour iPad
est une alternative de choix mais un
peu coÛteuse et pas nécessairement
adaptée à tous les styles de musique.
Les aficionados de rythmes électro-niques se laisseront séduire par Beat-
Maker 2 ou Fruiÿ Loop Studio MobileHD. Pour compléter le séquenceurtra-
ditionnel, on peut acquérir divers ins-
truments logiciels, échantillonneurs,
boîtes à rythmes et autres banqr",d'effets. Afin que ce petit mondepuisse fonctionner de concert, il vous
faudra recourirà la technologie Audio-
bus El. Son rôle est d'assurer le rou-
tage des signaux audio entre les
applications. Le principe est
intéressant, mais per-
fectible. Outre.lanécessité de
faire fonc-
tion-
nerAudiobusen
arrière-plan, la
compatibilité entre toutesles applications musicales n'estpas garantie, de même que la syn-chronisation des flux échangés. Ce-
pendant avec l'arrivée d'iOS 7, la pra-
tique du Home Studio sur iPad pour-
rait s'en trouverfortement améliorée.
LrsppoRrs D'0S7larchitecture Core Audio sous iOS 7
évolue de façon significative. On
pourra choisir, sur un périphériqueproposant des entrées multiples,celles destinées à l'enregistrement. La
'=directivité des microphones
pour iPad pourra
être
mo-difiée à la volée: l'utilisa-
teur pourra ainsi choisir l'un
des diagrammes polaires disponibles (cardolde, super-cardoide...) di-rectement dans son logiciel d'enregis-
trement. Les échantillons pourrontêtre transposés à la volée, sans que le
changement tonal interfère avec leur
synchronisation temporelle. Enfin, et
ô'est une innovation qui fait sens, les
applications musicales pourront com-
muniquer entre elles et se synchronÈ
ser au tempo. Si le mécanisme tienttoutes ses promesses, l'intérêt d'Au-
diobus risque de s'émousser=dumoins, pourtous les apparéils iOS qui
seront éligibles à cette nouvelle tech-
nologie (il semble que l'iPhone 4 ne
puisse en disposer). Avec l'arrivée de
cette API dénomroée inter-app audio,
il n'yaura plusà recourirà uneénième
application pour utiliser de front plu-
sieurs logiciels musicaux: le séquen-
ceur maître disposera de plusieurs en-
trées virtuelles dévolues à la capture
des sources internes (instruments vir-
tuels, générateur d'effets ou simula-
teurs d'ampli). Bien entendu, les infor-
mations échangées s'étendront aux
données MlDl et autres messages de
synchronisatlon (départ, arrêt, lec-
ture...).IDavidÀ. Mary
i1,'i' i Vous et Votre Mac . No94 . Novembre 2013
ir'. Plus bæoin d'ocheter dæ 0pplicolions pour monler dæ films, retoucher vos imogæ ou foire de lo musique, Dæsitæ web, souvenl en occàs libre, offient dâsormois dæ fonc{ions ousi ptiisontæ que læ Iogiciels nolib.
urfant sur le succès desréseaux sociaux et ducloud computing, les ap-plications web, aussinom mées weba pps, se
multiplient. Toutes les catégoriesd'applications sont concernées : bu-
reautique, assistance à la program-
mation, éducatif, graphique, lu-dique ou musical... Et pour en profi.ter, vous n'avez besoin que d'un na-
vigateur lnternet. Une webapp se
distingue d'une application nativesur deux points es§entiels. D'unepart, vous pouvez tfavailler surn'importe quel ordinateur, sans au-
tre forme de procès, et passerd'une plateforme à une autre sans
soucis. D'autre part, vous disposez
de vos documents de travail entoute liberté puisqu'ils sont sauve-gardés dans « le nuage ».
GnnurÉ ET PERFoRMANcE
Une webapp apporte un réel béné-fice si vous accordez de moins en
moins d'importance à la possession
d'un micro-ordinateur pour accom-plir des tâches spécifiques. N'im-
porte quelle machine peutfaire l'af-faire, peu importe son systèmed'exploitatio n. A controrio, sonusage reste discutable pour des tas
de raisons comme une défiance àl'égard de la politique de confiden-tialité des éditeurs d'applicationsweb ou l'attachement quê vousportez à votre Mac. Néanmoins, les
webapps ne manquent pas
d'atouts pou r séd uire ! Elles sont ca-
pables de concurrencer un logicielcommercial natif et ne requièrentquasiment aucune procédure d'ins-tallation. Vous pouvez faire appel àleur service ponctuellement sans
avoir rien à payer. Vous n'êtesmême pas obligé d'utiliser uneconfiguration musclée: la charge de
calcul (pour l'encodage ou l'utilisa-tion d'un.studio virtuel) est, aumieux, entièrement déléguée au
serveur qui accueille l'applicationweb, au pire, répartie entre le ser-üeur distant et votre Mac.
Pour des raisons diverses, les we-bapps sont souvent en délicatesseavec les standards du web. Etquand bien même le couple Javas-
cript/HTML5 serài, railiré, rien n'in-terdit aux développeurs de recourirà des spécificités propres à un navi-
gateur.
Aoosr FusH coNTRE HTMLSAinsi, JamWithChrome ne tourneque dans Google Chrome. Quant à
PopCornMaker, ils'avère bien plus
stable dans Firefox que dans Safarl..
Pour le reste, les technologiesAdobe, telles que l'ActionScript, de-
meurent largement prépondé-rantes. Dès lbrs, ilfaudra veiller à ce
que le plugin Flash soit bel et bieninstallé sur votre ordinateur. Et
donc, vous comprendrez que les
webapps sont de facto incompati-bles avec l'iPad. Fort heureuse-ment, certains éditeurs proposenten parallèle une application spéci-fique pour les tablettes. Enfin, uneconnexion permanente à lnternetest exigée. Cela ne va pas nécessai-
rement de soi, puisqu'une webapppeut très bien fonctionner partielle-
ment en local. Ce mécanisme,lorsqu'il existe, permet de prévenir
un éventuel ralentissement de la
. No94 " Novembre 2013
connexion ou toute coupure inopi-née du service. Une copiie de votredocument reste sur votre disquedur, à l'abri de toute défaillance ré-
seau, et vous pouvez continuer à
travailler comrne si de rien n'était.La vitesse de connèxion est impor-tante, comme vous pouvez vous en
douter. En pratique, le débit des-cendant (downlood) n'est pas un
critère discriminant: 1 Mbps peutsuffire. Par contre, le débit montant
lupload), souvent faible en ADSL,
constitue le piincipal goulotd'étranglement. ll n'empêchera pas
l'usage d'un synthétiseur virtuel ou
l'envoi d'une photo"à retoucher.Mais pour de la vidéo, il imposerades temps d'attente très longs.Aussi, le montage en ligne en HD
sera réservé aux abonnés à la fibreoptique. Pour la majorité des utilisa-
teurs en ADSL, je conseille de n'utili-ser que des clips dont le poids estfaible (déjà encodé en H.264). Ceux
provenant d'un compact, d'un ap-pareil photo ou d'une tablette fe-ront alors parfaitement l'affaire.I DavidA. Màry
˧ I Vous et Votre Mac
un petit Photoshop
et éditeur d'images bitmap s'inscrit dans la lignée de
Photoshop Elements ou de Pixelmator. Aussi puissant
que ces deux concurrents sur Mac, il possède deux
atouts non négligeables. D'abord, ilconsomme peu de
puissance processeur. Ensuite, il est totalement gratuitl
Contrairement à Photoshop Express, Pixlr Editor autorise la
retouche d'images de grand format.20 millions de pixels, ça ne
lui fait pas peur. Pour le reste, l'avalanche de fonctions rend
Pixlr Editor incontournable pour la pratique de la retouche
d'images. Outre les outils habituels (sélections, rognage,
cadrage, tampon, retouche des tons directs, fluidité/
contraction, dégradés, pinceaux...), vous disposez aussi de
calques (avec options reliefs, ombres et lueurs internes et
externes), des principaux modes de fusion et autres masques.
Les filtres ne sont pas pléthonques, mais ceux proposés
suffisent pour réussir la quasi-totalité des travaux courants:
rehaussement des teintes, virage partiel,
splittoninq,pseudo HDR, repique des pétouilles, lissage de
peau... À cet idyllique tableau, s'ajoute une interface
entièrement francisée. Enfin, bien que conseillée, vous n'avez
pas l'obligation de souscrire au service Pixlr pour l'utiliser. Des
applications iOS et Android sont également disponibles si vous
souhaitez prolonqer l'expérience sur votre tablette - elles
restent toutefois moins richement dotées.
un éditeur bitmap pour votre tacebook
I e service Aviary a considérablement évolué depuis que je vous l'ai
I présenté, il y a trois ans. Bien que la suite soit encore disponible à la
tsfois surGoogle Apps Marketplace et pour la plateforme Windows,
seul le module de retouche d'images demeure la priorité de la start-up
new-yorkaise. Celle-ci s'attaque désormais au marché très
concurrentiel des applications photo pour plateforme mobile. Pourse
démarquer de ses compétiteurs, Aviary combat surtous les fronts :
mise à disposition d'un kit de développement et offres de partenariat.
Côté fonctions, l'éditeur photo joue la carte de la synthèse. ll offre de
nombreuxfiltres vrntoges dans la veine d'lnstagram et desoutils plus
traditionnels à la manière de SnapSeed (luminosité, contraste,
saturation, ajouts de bordure...). [originalité de la version pour
navigateur lnternet réside dans son mode de distribution.Contrairement aux autres webapps présentées, le site lnternet d'Aviary
n'est pas destiné à accueillir l'application. llune des façons d'utiliserAviary Editor consiste à l'ajouter à son compte Faceboo( par le biais du
magasin d'applications. Sachant qu'un grand nombre d'internautesutilise le réseau social pour partager des clichés, disposer d'un outil de
retouche intégré s'avère parfaitement cohérent. f autre moyen de
disposer d'Aviary est de l'ajouter directement à votre blog. Malin ! Pour
ce faire, vous devrez vous inscrire à cette adresse (wvvw.aviory.com/
occount/signup). La suite des opérations n'est que simple formalité si vous avez quelques notions
de programmation HTML. Un assistantvous aide à personnaliserle widget, puis vous sélectionnez
un à un les outils que vous souhaitez utiliser et définissez l'interface-ancrée dans la page ou dans
une fenêtre satellite - et le code informatique apparaîg qu'ilfaut enfin inclure dans votre site.
ô *****
URL : h tt p / /p i x I r. c o n /e d i t o rConfiguration : Plugin Flash obligatoire
e ****'r:ir
URL : htt p//w w w.a v i a r y.c o nhtt p s / /a p p s.f a c e b o o k.co m /av i a ry e d ito r
Configuration: navigateur compatible HTML5, iOS inclus
Vous et Votre Mac No94 Novembre 2013
".. ,ii,i:_:i li'i'iiil'.i::, , ,i,.',;;iii,!:,,îit, ,:l,ii ii;i,j!,,lli;#lfiilii, ,.
e *t*l?*vjouer de la musique en réseau
ette application web se distingue par sa mise en æuvre puisqu'il vous faudra
impérativement installer le navigateur lnternet de Google. Comme le suggère son
nom, JamWithChrome a été créé pour « taper le bæuf » en réseau (jusqu'à quake
instrumentisies),
Lapplication s'inspire volontiers de GarageBand pour iPad. Toutefois, les possibilités sont
particulièrement limitées. Ainsi n'est-il pas possible de jouer depuis une tablette tactile ou
un contrôleur [4lDl externe. Les morceaux improvisés ne peuvent pas être enrêgistrés. mais
bon, si vous souhaitez vous initier à la musique ou à la composition, JamWithChrome fait
parfaitement l'affaire. Vous disposez pour cela de dix-neuf instruments virtuels, et d'un
générateur automatique d'harmonie. Pour chaque accord disponible, quatre variantes
d'accompagnement sont proposées. Sympathique et ludique.
€ *rirrun studio de musique électronique
e site propose un séquenceurde bonne facture auquel s'ajoutent un grand
nombre de synthétiseurs, de boftes à rythmes, d'effets en tout genre (égaliseul
limiteur, processeurs psycho-acoustiques...) et d'échantillons audio. linscription
au service Audiotool n'est pas obliqatoire, mais je vous la recommande pour
sauvegarder votre environnement de travail et vos compositions.
Au lancement, vous pouvez choisir l'une des configurations prêtes à l'emploi, ou bien
élaborer votre propre environnement de travail. La colonne latérale droite affiche
lênsemble des modules qu'ilest possible d'ajouter au studio. Sivous êtes un familierdu
home studio depuis des décennies, rien dans Audiotool ne sera difficile à comprendre. Se
situant à mi-chemin entre feu 0pcode Vision et Reason (édité par Propellerhead), les
vieux briscards des années1980 se trouveront en terrain connu. Pour la génération
Daft Punk, il est évident qu'une maîtrise de la synthèse sonore et de la théorie musicale
est ici requisel
O ***tt
URL : w w w.j a mw it h c h ro m e.co m
Configuration : Google Chrome
URL : htt p//a u d i oto o l.co m
Configuration: Plugin Flash obligatoire
URL: http/fi23appz.netConfiguration: Plugin Flash obligatoire
ati :.\ i .:t\
encoder et éditer des fichiers audio
ne start-up russe propose des outils d'édition audio de très bonnefacture,
et qui plus est avec une interface en franpis (sauf la page d'accueil). Les
concepteurs de cèttewebapp n'ontd'ailleurs pasfait les choses à moitié:voustrouverez une aideen ligne entièrement localisée, accompagnée dequelquestutoriels. Pour un usage basique, L23Appz peut remplacer un utilitaireaudio comme Fusion de RogueAmoeba. Lesformats reconnus sont nombreux
et la conversion (en MP3, MÇ Flac, Ogg)s'effectue en quelques clicsdesouris.Simple, mais passimpliste, le modulede conversion offre aussidesfonctions
avancées (débit binaire constant ou variable, fréquence d'échantillonnage,fondus entrée/sortie, réduction monophonique) ainsi que la possibilité
d'ajouterdes métadonnées (titre du fichier, artiste, album, genre...). 123Appz
vous propose en outre un module de découpage, de fusion de fichiers audio
ainsi que la possibilité d'extraire la bande-son d'un clip vidéo. Et sivous avez
besoin d'enregistrerdes mémos, un mini-dictaphone est également disponiblequiutilise pardéfaut le microphone devotre Mac. La captureachevée, lefichierest immédiatement disponible au téléchargement.
ryllnJqqs
: Gil -', "::::::':î .::'-.'*,,.,::-:.':-:,.rd
Vous et Votre Mac , No94," Novembre 2013
e service en liqne norvégien offre un espace de stockage pour les rushes et un
éditeurvidéo de bonne facture. Dans sa version de base, gratuite, il faudra se
satisfaire des limitations imposées:5 Go d'espace disque alloué, une résolution
standard 480p et la présence d'un filigranedans le film. Concernant l'ergonomie
générale, WeVideo rend hommage à iMovie. La timeline s'adapte aux compétencesde
l'utilisateul avectrois modes story'board, standard et avancé. Des thèmes prêts à
l'emploi (simple icy blast, fashionista, noir...)ainsi que des musiques d'illushatioh libre
de droits sont offerts. Le gestionnaire d'importation accepte les séquences stockées
aussi bien survotre disque durque sur un service en ligne (Flickr, Google Drive, Box,
DropBox, Facebook...). La version gratuite se destine aux vidéastes occasionnels,
utilisant leursmartphone en gqise de caméscope. Pourdestravaux plus ambitieux,
l'abonnement Premium est à moins de 4€ par mois pour une plus large bande passante,
la possibilité de monierde la HD720p et le montage collaboratif. Seulvéritable défaut
pour un outil prometteu la relative lenteurd'affichage des pages.
tr des diaporamas faciles à réaliser
f)e Bénérateurde diaporamasest beaucoup plus chiche en fonction que
I Fotomagico ou PulpMotion, mais ils avère pourtanttrès efficace.
V Iinscription au service en ligne est obligatoire. Passée cette étape,
le mode opératoire est d'une grande simplicité-à condition toutefoisd'avoir quelques notions d'anglais. Depuis l'interface de Picovico, vous
cliquez surCreate video pour générer un nouveau diaporama. Vous
attribuez ensuite un nom à votre projet. Vous choisissez un habillage
graphique, vous importezvos images (depuisvotre Mag Flickr ou Facebook)
et ajoutez des diapositives detexte ainsi que l'illustration sonore. Unevaste
bibliothèque de musiques libres de droits est à votre disposition. Enfin, le
diaporama vidéo obtenu peut être partagé sur Facebookou YouTube.
Etsivous préférezdestinervotreæuvreà un public restreint une URL
spécifique est alors générée par Picovico.
i" réussir des présentations multimédias
réé par la fondation Mozilla etexploitant l'interface deprogrammation enJavaScriptdu même nom, Popcorn Makerestavanttoutdestinéà la création de mash-upou dedidacticiels
vidéos. Sivous êtes déjà familieravec un banc de montagetraditionnel,l'outilsera facile à maîtriser.
La timeline occupe le bas de l'écran, avec un nombre de pistes illimite etalloué dynamiquement. La colonne latérale droite regroupe legestionnaire de médias ainsi que lesélémentsgraphiques et interactifs
à disposition : titrages, phylactèreg insertion de photographieg mais
aussi plan Google Maps, définitionsWikipédia... Une chose importanteà noter: la plateforme Mozilla Webmaker n'offre pas le stockage des
médias sur leur serveur. Aussi, pour importer les clips vidéos et les
illustrationssonoreE vousdevrez au préalable les hébergersur
YouTube,VimeoouSoundCloud. Enfin, le projetachevéeststockédans
votre compte Popcorn Makerd'où vous pouvez le partagersurIweeter,
Google Plus, ou bien encore l'insérerdans une page devotre blog.
URL: www.wevideo.com
Configuration : Plugin Flash obligatoire
URL : www. p i cov ico.co m/e n/h o m e
Configuration: navigateur compatible HTML5, i0S inclus
UnL : h tt ps//po p co r n.w e b ma ker.o rg
Configuration : navigateur Firefox recommandé
ffi*o**" **0*. *,J**" *,*,**. **:** Et
Sffificornmaker DÊmowiiu :'i1' " o * n Mymaies etr.ur
I a*=*"
lÊ tau
(D t*r
$ ;rp
ll Â-*
fl I Vous et Votre Mac ' No94 . Novembre 2013
" -ftH&Yâr;i.gi-_*, i;i FË;r q r ..
'éditeur Creaceed propose sur OS X un logiciel d'OCR original, multilingue,complet, et à un prix abordable (40 euros sur la Mac App Store). Prizmo serautilisé principalement pour transformer le texte présent dans des documentsscannés (en particulier des PDF dont la couche texte n'existe pas) ou dans desphotographies. Le texte récupéré, analysé et transformé (et éventuellement
même tradult) est ensuite stocké dans un fichier et on peut l'utiliser dans n'importequelle application. Les PDF peuvent être alors indexés et l'on peut y faire aussi desrecherches. Bien que de plus en plus de contenus soient directement disponibles sousforme numérique, il reste quantité de documents imprimés que l'on ne sauraitexploités sur ordinateur sans OCR préalable. Si disposer d'un scanner est indispensablepour traiter des documents multipages, un iPhone, un iPad ou un appareil photonumérique serviront tout aussi bien pour des textes courts ou des photos.
I Henri Dominigue Rapin
L'OCR des PDF et des photos,cêst facile avec Prizmo 2
ffiw§mrcffi- ffi§sre§çw§#* d'æuæp§ffi§.. "
e '] itl
-ih.à.dr.. @ E&,æ;aÈl';pie e;h.r;;é.Ë(g&!È&Fidsry!B:'xiÀ.eÀ
-r*E *Àx,j æ'Blw,ii k*dü r"4i!4 uç*tü rer*ti mÉuri r*c*'Sgub,@Ml
&5
ffi tetit tour Uans les préférences: Dans la section ocP
ffi choisisez les dictlonnaires utilisés par la reconnaissance.
N'en oubllez pas car la qualité de la reconnaissance dépend
beaucoup du contenu de ces dictionnaires de mots.
ffi Confiqurer les services pour les exportations: les
W scans et textes peuvent êke envoyés vers des services
comme Evernote ou Twitter mais aussi vers du stockage en ligne
autre qu'iCloud (proposé par défaut).
; .' - Utiliser la palette multimérlia: Outre votre disque local et
. :+ iCloud, Prizmo offre un accès direct aux photothèques
dAperture et d'iPhoto.
ffi æn e færan: pas même besoin d'avoir un fichier sous la
W main car, ave c l' icôrc de Prizmo de la bane dæ nenus.on peut dans toute application définir une zone de l'écran qui sera
extraite et transmise pour traitement au moteur d 0CR.
lmporter un document: l'oCR sait travailler sur un PDF
« image » ou une photo, y compris depuis un appareil
.".'.,i la reconnaissance effectuée: le texte est placé dans un
" " " fichie[ disponible dans Ie presse-papiers ou envoyé vers
Evernote. Le texte peut êhe lu ou même traduit en français par
exemple.
ffiphoto.
T§ I Vous et Votre Mac. No94 " Novembre 2013
Clonervos disgues dursavec Utilitaire de disque
Restent deux possibilités. 'Moyennant une petite acrobatie(détailléeà de nombreuses reprisesdansWMacetsur laquelleje ne reviens
donc pas ici), on peut créer une clé d'installation de Lion, de Mountàin
Lion ou de Mavericks, clé qui contient Utilitaire de disque. llautre
approcheestd'utiliser le disquesystème lui-même maisen redémar-
rantsurla partition desecours « cachée », créée automatiquement par
Lion et lessystèmes suivants lorsde leur installation.
Cetteopération permetdoncde créerunecopie« carbone » de la partition de
boot sur laquellevous pourrez éventuellementdémarrer le Mac ettravailler,
avecvosapplications etvosdocumentq en casdegros pépin. Lesecond pas-à-pas,
en page de droitg va vous expliquercomment procéder pour réaliser ce clonage dans
de bonnes conditions. I Henri Dominigue Rapin
pple met à disposition un outil inclus à OS X qui, mine de rien,a plus d'un
tour dans son sac: Utilitaire de disque. Cette application permet devéri-
fier et de réparer des disques, ou de lesformater en utilisant un système
defichiers pour Macou pourWindows. ll existe uneoption moinsconnue
qui assure le clonage d'un disquevers un autre.
ll estfort simple d'utiliser Utilitaire de disque pour réaliser une « photocopie » d'un
disque externesurun autre. C'est l'objetdu premierpas à pasci-dessous. En revanche
cloner le volume contenant le système sur lequel votre Mac démarrage s'avère un
poilplus délicat. Utilitairede disque nesait pas clonerle disque à partirduquel ilest lui-
même lancé-à la différence des autresoutilsgénéralement payantscommeCarbon
Copy Cloner ou SuperDuper! (lire l'encadré). Avant, il suffisait de redémarrer le Mac
sur le DVD d'installation du système. Mais depuis Lion, Apple ne fournit plus ce DVD.
,--,', :, ; a rti :i ::'r:, .r"'i t .'§'ii",{al t:,"ï ; t,:r -ij'{ i i ,{.:;l':.,:i l.i i,i '.,..a .:i i: Itlf l!'!iri:a r $ rii' ir;.ir :i i.irr'-..* !:,:iil 'a:,§
titq*Ll**l", EEEEEI niar
r Lister tous lês disquesLister ious les disques ave( propriélés
Dénarrêr la progression
8Âtre de progressiôn indéterminéeProgre3sion ds ie5t long
Thousand Minute Counldown
r' PrÊndrê des notiicationsJ Afî.her châque partitiônÿ AiTcher les €stimÂlion5 de durée durant le! opératlor
Nivêau de message de débogêge
Si le disque dur n'apparaît pas dans la li$e, une solution
consiste à le débrancher puis à le reconnecter sur le f,4ac
vous pouvez aussl forcer la mise à jour de la liste des disques
durs. La commande se trouve dans le menu Déboguer
- I To SrJlmO528AS Med,À '_- I 'frà'è
Pr
:. Maclotosh HD
1,5 To TOSHIBA Externâl
Si là fonction léprrè. l. di5quc. $i pnt d'§À besoin d êï. réparé, il vous sern {ouhi dè
5i un fi(hiêr instàllé par lÊ progràmme d'insr.liquèz sur Répa.er l.§ perôrr.!ons d! dirq(
i2SAS Med
r0
hr« | xD_2ÀE.le.À
ôd, did, I Arthve
tuu dr(oû.( ùi! 'oürcn
rf€du
é "ô.k&
r* r ÿeb: r
._.. Sàns tiüe 1
lilTimÊMachire
t,,I Filmr
I 2,2 To Drôbo
1... Hô-2
Lancer Utilitaire de disque (Applicationÿutilitaire9. Son
interface présente dans la colonne de gauche, les dlsques
durs connectés à votre l'/ac. Ne sélectionnez pas le volume de
démarrage (ll porte par défaut le nom lr4acintosh HD).
s.Ôs rrrar uro a;,1.._tr..rl
, ,j." -",,r^ "'..^",.
l"aFiln§
aCI r., rocoh
Ila(hre
I -^*':r";i
a??rùo,ôbo
ar â!
IlH0-2
4,,, rcDobaaÂ(hw
Commencez par cliquer sur I'onglet Pesfaurerpuis
sélectionnez un volume ou une partition. Depuis la colonne
de gauche, faites g/r3ser æ volune sur la ligne nurce.
voulez-voqs vraimênt era(er « Ar.nive, etrêmplacer son.ontenu pâ. (êlul dê«HO-2"?
L efta<eûénrd'une pant'ôn s!ppnme roùlct lerdon4éûr de(et! p.tnion 3à.t ns...er lês ruÙêspi{iliôn5 !! aê6ê dkquè.
t=llùq'-,] Êtræei
:t:::::r:::
1
Ulrkné dê disq{ê r6rhânê eftectuèr detmodii<àtiôns. sÀr.issêz voÿÈ noi de F3i3ê
,." "..
poli donnêr t,àutoritario..
nô.ké. rri w.b rùtr ÿrrrl,
-1r@*"."-''. hur.opi.. ùnditeue. tnIes]tOlit!êi d.puis ln û3tc à
$,rc .li .i:t .
PoorrÉle(tô.n.r un ÿoûn. dcn,n.rrr.. tatttlc aliss.. d.et d{porèzrê dnir lè.hùnrp oernnaiion.
o.iÉildn,§ ,r'., ..
tdn(êr iAr<hiw ) eiÿcoÀèr1è.ôntè.ù dc. Ho-2 '.
Ensuite sélectionnez la destination. Attention, la sélection
du disque dur de destination est délicate. Vous devez
choisir un disque dur qui sera utilisé pour recevoir les données du
disque source.
Lorsque vous êtes prêt, cliquez sur le boulon Restaurer,
vous validerez l'effacement définitif du disque dur de
destination, point de salut, lbpération est définitive.
Pour restaurer ce disque sur un autre, le mot de passe
I adminiskateurestnécessaire.Aufinal,ledisquede
destination contiendra une exacte copie du disque source (les
fichiers auront été en plus défraqmenté9.
1qi:t
Vous et Votre Mac No94 Novembre 2013
OG- /^ow r #"rffi, t|D\g/ e]
a{§
 propo* d* ce MacMise à j*ur de loçËriefs,..App Store...
PréfÉrences §ystèr::e...Dnek >
ÉlÉmt*ts rÉcents :Fnrcer à quitten Findnr TûffiüSuspendre l'activitÉ
a
r , Fermez toutes vos applications proprement (ne forcez pas
la fermeture mais attendez qu'elles enregistrent tous les
fichiers ouverts et fassent leur propre ménage).
Denandez Mémanerdans le menu Apple (Pomme).
. . Si tout va bien, sélectionnez le volume de démarrage (en
:r général il s'appelle lr.4acintosh HD). Glissez-le sur le champ
Source Désignez ensuile le disque de desflnafibn (qui doit avoir
une taille au moins égale à celle du volume source).
. Pressez la combinaison [cmd][r] pour démarrer sur la
partition de secours. Le menu principal propose les
différentes opérations posibles depuis la partition secours, op-
tez pour tJtilitaire de disque (le quatrième choix).
!fü.i I 5hÈ ti!(â;iwiô
"û..tui dê
itrdia. ?
dnee{iMr..dihirot..l,êrlMrM!&1afu.r l.! auil.t
L:,lt!I{S: I rf{acer
Utilitaire se lance. Véifier votre disque de démarngeelréparez-le si c'est nécessaire. Ce serait vraiment idiot de
cloner un disque (ont utilitaire de disque souligne les déficiences!
Oémarraçe
Tsst affichsï
5élq{tionnez le lÿstèmc à utiliser pour dêmarrer ÿolte r
*1 iæ
Meirrosh ilt \la€rflîêsh ililos x, !a,8.5 ù5 x, 1ü.È.5
$ous are2 sélectrsnné û§ X. iû,9.5srr 1ê disque ( I{à.lntosh HD !.
Cliquez pour redêmdrrer cet ordinateur en mûde dirque ci
Àp,ês i\Ei. redÉmnré <et ordinf,Èeur en fiodÈ disque (itrle. t§!j psule ronnecter i un artre srdisùreur à l'ùids d'un ràblÊ Thllde.bott ûu
I Pour vérifier le clone, redémarrez sur ce dernier Sélection-
nezle dans le panneau Démarrage de préférence système
ou bien faites [alt] lors du redémarrage pour afficher les différents
volumes système présents.
Érir
.tt&et!§!nd6qu â{$_re er,r!êrd(r, r rJ
§§§"ryi,*ix*\ i'ii*r k''i-r*
. Validez l'alerte d'effacement du disque de destination.I Patientez... un certain temps. Une indication du délai restant
est placée devant la barre de progression. Pour un N4acBook,
nbubliez pas de ie bancher sur le secteurl
pt(lrduâ. aàqwgdê Ifia saaiiæ
Ob$rlrd. làAe.r llgeÈrt !,ri:r ',r.ÿi. i.rilIuilaalrcde dl3qu.
1,.
:riaià--ur,@,*--
§{,.; &*;e* di*6, tu:.!r @aoÉi.ed]@r&t' k*.L i$E-kd'Éra
rr Àat&'r!@«è ùtrx/ s- & $* ilr
Vous et Votre Mac No94 Novembre 20.13
* pffi&Tê*#ffis ffiHpffiffi§s *
Donnezdu gruin ù vos photos
ovec Gimpepuis que le numérique a remplacé l'argentique, le grain photo quifaisait le
charme de certains clichés a disparu, remplacé par un brui! beaucoup moins
esthétique, que produit le capteurdans certaines conditions. Heureusement,
comme ilexiste des solutions poursupprimerce brui! ilexiste aussides solutions
pour iedonner du grain à vos clichés, et c'est ce quejevous propose de découvrir
ici, en exploitant lefiltreNoise generotorde Gimp. Lesfiltres de Gimp n'étant pas
dynamiques,vous ne pouvez pas les activerou les désactiverà la demande pourtester
différents réglagessur un même cliché. La meilleure solution consiste à appliquer lefiltre sur
un calque doté d'un fond gris 50 % que l'on superpose au calque contenant l'image originale,
avec le mode defu sionFusion de groin Vous pourrez userd'une mise en æuvre identique
avec Pixelmatoretson filtre de bruit, maisdansce cas ilfaut choisir le mode defusion
lncrustation éqüivalçntau mode Fusion degrain deGimp.l Mathieu Lavant
ffiCréez un nouveau calque. Dans le dialogue qui s'affiche,
Wff renomnez le calque. Grain.ualidez. Cliquez sur la case
Échantitlon couleur de prenier plan,en bas de la barre d'outils.
ffiæremær Su ffisffi§m s rïræ§,§#tr&, . .
§ Eatance des couleurs.,,
Ë] Teinte-§atur*tion
# Çol*rier...
§ Lu m inos ité-{*ntru!te,.
I nyer5er
*f%0uvrez l'image de travaildans Gimp, faites Canlarn>
W Orut,*...et validez la commande avec ses réglages par
défaut; l'image ÿaffiche en niveaux de gris.Affichez le panneau
talguæ via le sous-m enu FeÉtrcs > ftrÉtræ anqüles.
t,.*l$*s*iffid.]...,...,.. : .-.,.,.iffii
lt'idth *--*e@ l0--.
Standard deviatiaal 1 /,32
§ Luminance noise only
l-l Camma correction
ElAp",çu
ffiDans le menu ETfies choisisez Erur'f > Noise genentor.
§&f Cliquez sur l'onglel llnilorndudialogue du filtre, réglez la
valeus Wilth à 60et validez. leffet de grain apparaît sur le
calque Grain.
ffi §euil...
ffi I'liveaux..
Lll LôErtrês,
t$ Coup+r
L,l !ùprÈr{+pier visible
f;l e*1ter
-L Lolter oans
C,:iler rqmrne
lres se-papiers
Ê: EÏÏâCET
^ , '.tLtr I +Àl!
.,^lLtrl+L!!
klaj+Ctrt+C!.:Ctrt+V1
!
):!
)l
#hDans le dialoque, entrez /es valeurs O O 50 dans tes
W cnnw n, i I Validez. Le calque Grain sélectionné, faites
Édition > Renplir avec la aulwr de PP.Le calque affiche un fond
gris qui masque la photo de départ.
fRÊi
lverrouiller
rlrlt:
l:5:
ijil tr,;1
Æ, Retour dans le oanneau Calques. Dans le menu ffode
BFchoisissez le nrode Fusion tle gnin.Gimp affiche la
photo avec son effet de grain. Vous pouvez le désactiver en
cliquant sur /1cône d'æit qui jouxte le ealque.
IffiSi le résultat vous convient, enregistrer l'imôge (Fichier )
E§ËExporte0. Sinon, créez un calque Grarh Z remplisserle
d'un gris neutre comme le premiet et testez une autre o(ition
dufillre Noise qenerafor- l'option Gaussrbn par exemple.
I de dÉsaturation : ticouleurs en niveaux i
- A §- p W 4 -S I t E l"Ef-uf -g*b.$l
î* ! Vous et Votre Mac . N"94 . Novembre 2013
Redécouvrir les fonctions lesplus utiles dAperÇu
perÇu est une application mature et polyvalente. Si son principal usage restela lecture de doôuments graphiques, ce serait dommage de passer à côté deses a utres q ualités. Aperçu peut être em ployée pour ojouter des
.
métadonnéesà des fichiers PDF ou aux images (se rendre dans le menuOutils > lnspecteur, puis cliquer sur l'icône en forme de loupe), et Spotlight
se fera fort de retrouver vos documents à partir des tags attribués. Grâce à la fonctionSignet > Ajouter aux signets,vous pourrez retrouver une page d'un documentélectronique ou même ouvrir en un instant une photo que vous auriez mémorisée parce biais. Aperçu sait piloter votre scanner, importer des images depuis votre tablette,votre téléphone ou votre APN (menu Fichier\.Vous pourrez aussi remplir un formulairePDF et même y apposer votre signature. Pou( scanner cette dernière, rendez-vous dansles préférences > Signotures.lDavid A. Mary
*ffi §* ræ§mu*he individr;*t*e 0u lrsifsn:*ret pr !*t
/ÊL Retoucher rapidement vos ohotos: recourez à ra
IFpabrte negla;es de la couteursenu0ut,i§ pour ajuuerle contraste, la saturation ou la netteté et produire des effets sépia
ou monochrome.
fi Détorr"r rn élément: faites appelau Lasn intelligentouEf la fonction I lfln instantaÉ.iôur dénicher ces fonitions,il vous faut afficher la barre dbutils d'édition.
Smffi ll#:§ffiJ',?it',:'#Ïlifffl[ffi :'*ïiïChaque élément a.l.outé (textes ou figures) peut être modifié ou sup-
primé depuis la palette lnspecteur.
Af§cÿrrr l'lnsÊe<Èe*rÂf§(her les pùlk*$Âfrcher la Ic*pe
Réglags df la ecæËeur..
Aju$er k râülls-^,
.. -. :a iiar/ Sélettbn rc€!Ârq deiÿe
Ânnëiâr
a
At€rdr-I6ûdlot3_I nc€txrriüemsnt vêrti€âl1." , ...
l - - --- --- -'§ -*- 'pree d'cruvrer phobgr*Si{$tf!"ilft e ecdfuotim É*fu{rk de 1619É ?i
ùrlE æ6d tSt@X JtrüùB ,6 aeifdt, )ffiÿ, # @F6 ô ù ffi @ii 6 r/q6s; de gfa rffi dei, M ,8Jc rsè$ d@Ë ra k Sà. & Câr.!tts lr tWldëi*rs fsôe$qsu,
*r,ÊT
f,| Reoimensionner un groupe de photos: ouvrez-res au
W préalable dans Aperçu, faites apparaître la colonne
latérale (Présentation > Vignette) ei dema ndez Édition > TNt s&lætionnupuis 0utils > Ajuster la taille.
fi Effectuer une rotation horaire (ou antihoraire) de plu-
E7 sieurs images: sélectionnez les photos dans la colonne la.
térale (comme à l'étape 4). Puis demandez tutik > Rohtion àdroitewà qatrcle.
t,hæ*o *U aHts,or il drfrs&@imffiir& ou! ihÆFds æ EérrB ffi dffi fan+@ r{ M.xcos-.*r-crffi---i-
§ mm,,:ï::ffi stî,1]:.itrïllt[Jlli **,0*,,Sélætion rcctangulairedélimitez la par:tie de la page à conserver
puis cliquez sur lbutil Rogrrr
:seÉ @ M* SÂ Ê%ii8 a È ddt$ æ s ùqùrdtn ;
hrs 6§tirbü ê,üwÉ es eds treôeÉr e ÉÉo€rd ,fiôpûr I
itr*Ëiw â{eéd eeÿest,§ Èenûlëi{{m lrdit/dr * i}i$§B :
T? i Vous et Votre Mac. No94 'Novembre 2013
* Pffi&TâffiffitrS HHPffiHSS *
Créezel publtezun screenmst en5 minutes chrono ovec QuickCost
uickGstestuneapplicationgratuitequiseplacedanslabarredemenu.Grâceàelle,vous.
enregistrertoutes les manipulationsvisibles à l'écran pendanttrois minutes maximum. Si
vousvoussentezl'âme d'un commentateur(ou d'unformateur),lawebcam devotre Mac
vousenregistrera aussi, image etson, dans une petitefenêtre quivient en surimposition et
que l'on peutdéplacerdans un endroit discret. La souris estenregistrée en mêmetemps que
d'aidevidéo. llestaussi possible decapturer une partie de l'écran et même de créerdirectementdesgif
animés pourdes captures inférieures à 300 pixels et L0secondes. Aufinal, QuickCastvous propose de
publiervotre screencastsurson site. Une inscription gratuite est alors nécessaire et le lien pourintégration
sur un site web ou pourenvoyerparcourrierélectroniquevous estenvoyé pare-mail. QuickGst
fonctionne à partird'OSX L0.Z surdes navigateurs modernes. llest en anglais, maisfacile à utiliser, gratuit
ycompris lestockagedesvidéos. I Alain hlisæ hW://quickcast.io
§æx"rcwffiY ffiffi**ffi'æ w§#qxo lr*uT rcx§wâJx qus m§§§æ rYsæm,,"
æ lJ#e,ilili,'.','#;:,$T ;f il,ï: ïTffï:ii,xî,,tout ou partie d'écran, et de spécifier le micro et la webcam
à utiliser 0n clique sur Recod OuickCast pour démarrer.
ffi :tJiifl:i,"ï'JJ:I:[f i:i:îilï'fJ;'§Ji:i;:,,compressée en .mp4, ce qui divise la taille d'un facteur 3 environ.
Les deux fornats restent à disposition dans le dossien
s ffi l,:::ni:i : Ëi:J:i:';J::: ÏJJJ::[ïIà partir des Sninufes naxinunaulorisées. Pour stopper
l'enregistrement, faites tctrlltalltcndJl4/(et non pas [0]... pro-
blème de clavier AZERTY-0WERTY).
G}',xj,i,lii[îff :i ff:;ffi ir,f ,Îil',f,flT;, *,.,de passe. Une adresse e-mail est nécessaire pour recevoir les liens
de publication. Le service est simple et peu contraignant.
§i:lï:îfi ,u»:ff[]ïH;,Hiil:i:::'ff i:l::,dossier où sont stockés les screencasts enregistrés. 0n peut les lire
avec n'importe quel logiciel compatible 0uickTime.
tI ô-.t"*,--__,._r ]L,,.,.,,,.
II
I
G}[iffiï,1','L'lfi lffi'fl iïJffi i:i:iïiffi *,quand vous y aurez pris goût et aurez des dizaines de fichiers,
Seul, le titre est obligafoire. La publication est transparente.
Y*u r' i-*te rt ürici..lall:Shnw ln Finder
Piease enler yôur deiâils
?8 ! Vous et Votre Mac . No94 . Novembre 20'13
ïrer porli des piles pqurilierles photos dons Aperture
u temps de l'argentique, le nombre d'images prises par l'appareilétait limlté: la
pellicule 24x36offrait le plussouvent entre 12 et 36 poses. Uélectronique ayant
aujourd'huisupplanté lefilm, la carte mémoire d'un appareil numérique peut
enregistrer plusieurs centaines devues. Dès lorq on n'hésite plus à appuyersurle déclencheur. Du bracketingd'exposition aux prises devue en rafale,tous les
moyens sont bons pourtenterd'obtenir« la » bonne photo. Mais de retourà la maison,une autre difficulté surgit:séparer le bon grain de l'ivraie IChoisir l'image la plus représenta-
tive parmiune quinzaine devariantes devient un exercice pourle moinsfastidieux. Pourvousfaciliter la tâche, Aperture propose de regroupertoutes les photographies prises dans
un laps detemps donné. Lecontenu de chaque pile d'images peut alors être examiné etcomparé. Àvous, ensuite, d'indiquerlaquelledu lotestla meilleure.l DaüdA. Mary
ffirep§§ær §ffiffi *reæ6æs f*c§§§§æ §æwr mq*§æffi§*m
Empiltr§ii*ire ia pileStinder la pilefxtrilirê i€§ élénrenlr
Choisir la nre
ÿ{irrtio*nerÉlavar
Abaisser
Sélectiernner to*s k: élérnents rle la pile ;
Pile précédente i
Pih suivante
§,* --:Ç*.ÿi ii. -.- - " -., -- --.-,.,---, -,.- l
I Extraire l'élément
1 Empilerautomatiquement
Àbaisstr"
§électionner tousPile précédentePile suivantr
fermer la pilri Ouvrir toutes les piles
I
les éhÉments de la pilr
Lieux
;ffi Pour regrouper automatiquement les clichés dont la date
W de prise de vue est proche, sélectionnez l'ensemble des
images et demandez Piles > Enpiler autonatiguenent.Danslapalette flottante, indiquez 1 seconde.
ffi Séhctionnez ensuite dans chaque pile, la photo que vous
E# estimez être la meilleure du lot et faites Piles ) Choisir ta
neilleure(lcndll:l). limage va alors seplacer en tête de pile.
gffi La première image du lot (en vert) sert d'élément de
ffi comparaison. Pour faire défiler les autres images de la
pile, recourez aux f/èches du clavier.Pour passer à la pile
suivante, utilisez /a f/ècfe pointant vers le bas.
Pour affiner la sélection, scindez donc une pile en
plusieurs piles plus petites. Désignez la photo qui
servna de point de xission puis demandez Piles > ÿinder la pile
i Pile prdrêdentc; Pih ruivant*
i Fermer la pile0uvrir t*uter ler pllcs
Plein écranAfffcher les poj.ls
Visuali!.Naüqat ÿlnspect
RedulltZom iZci& i
Afficher plusieurs imagesAfficher une seule imagePar trois
ÏUÏR\H
)I)I!
i Mcttre ler zones dynamiquer et stàtiqu€s eî surbrlllrnce
I Àftcherla lolpej Options d! loup€
. r*+-o r**+r,*Â -->l
ffi Pour comparer la première photo de la pile avec les autres
t&rfl de la même pile, basculez l'affichage d Aperture en mode
Scinder la vue ou Wsualiseur.Puis, dansle menu Présentation,
optez pour Visualiseur Pincipal > Par piles.
ffi Le travail de sélection achevé, refermez toutes les piles
meilleure inage de /apiles'affichera dans Aperture - les
autres seront dissimulées (mais pas supprimées !).
?S i Vous et Votre Mac' No94 " Novembre 20]3
* fÉffi&Tâ*#fl§ ffiHFffiffiS§ *
*}7 Optimisez une bibliothègue bien
?q rempliedans iMovieu fil du temps, la bibliothèque d'événements d'iMovie prend de
l'embonpoint. Retrouver un plan ou une séquence est molns facile.
Le travail de montage devient fastidieux. Ces vidéos sur votre disque
dur interne provoquent un ralentissement sensible des performances
de votre ordinateur. ll est grand temps de faire le ménage ! Je vous
recommande de vous débarrasser régulièrement des rushes inutiles (les plans
ratés, et ceux ne présentant aucun intérêt sentimental). Ensuite, archivez sur un
ou plusieurs disques externes les éléments de la vidéothèque que vous n'utilisez
plus, Même déportés, ils continueront d'être disponibles dans iMovie et vous
pourrez les réemployer le moment venu. Comme vous le feriez avec iPhôto,
donnez un titre clair et explicite aux événements, et n'oubliez pas d'attribuer à
chaque séquence des métadonnées de classement (mots-clés etfavoris).
I David A. Mary
ffiuxæ§qesws ffiffiffi§&§§s p*urr §ü ffe§§sn de we&'e ss§d{&*§et&qwæ
t-.-.. -.-* -.. -
,gfte Pour faciliter la recherche des plans, rcnonnez læ
W évenenentst« Dans les rues de Positano » donnera plus
d'indices sur le contenu de l'événement que l'intitulé par
défaut « Nouvel événement ».
u#& Gardez sur votre disque dur interne les séquences vidéo
E# les plus récentes seulement. Déportez les autres sur un
disque dur externe. Pour cela, cliquez.au yéalable sur le bütonReErruper les événenents pardique.
êh Déplacez ensuite l'événement en procédant comme suit.
Ëf uarntenez tir touche [cnd] et îoncée.ûeptacez t tcône oe
l'événement sur celle du disque externe. Une barre de progression
vous indiquera l'avancée des opérations.
gffu Les clips que vous ne destinez pas au montage, et dont
&# I'lmportance est relative, peuvent être compressés dans un
format plus petit. lls occuperont ainsi moins de place sur le disque.
Faites un clic droit et denandez 0ptiniser la vid& Gnnd
ffi À chaoue nouvelle importation, faites le ki parmi les
W rushes. Attribuez-leur des nots'clés(avec Ia palette). Puis
narquez les clips favonsà l'aide du bouton arborant une étoile
pleine.Reiete les plansnfésà l?ide de la croix.
&i.ru:ru;:i;:itïilïln:ff ,[iThïiti'Refust uniguenent Cliquez ensuite sur §rpprinrles pbns
rcfusés.
Récupénr de I'erpacê .ur vo(re dltqre dur ên déplaçetlêi plans êjêtér dâns la @rbellle.
Rejeter l'inlégrallté dês plus sl une parliê :
&n'ert pas a]ou!éê à un poiet.] n'est par signalée cofime tâwrt€. -i ne dlspose pât dè mot-clé
LireLire la sélêÊtienVisionner €n boucle l* §élâclia.lLire depuis le dàbutlire en rnode de lecture pleir écran
CopierRefr:ser ta sêlectionftefuser [e plan earier
RÉçl*r la date et I'heure d* §lan...Ânalyser la vidêo
iser la vidêo - Êntier (taille d'
Scinder l'événement âYant le plan
*# i Vous et Votre Mac ' No94 . Novembre 2013
Privilégi ezl'usage desraccourcis clavier dans iPhoto
! ehoto a beau être d'une simplicité d'usage exemplaire, cela n'empêche nullement
a l'utilisateurdeparcourirplusieursécransavantd'atteindrelafonctionrecherchée.
! Pour gagner en efficacité, je vous recommande donc d'utlliser les raccourcis
! clavier. Ainsi, pour changer le sens d'orientation d'une image, soit vous utilisez leI men u contextuel (peu pratiq ue), soit vous activez le m ode Édition > Retouches
ropides etvous cliquez sur Foire pivoter - ce qui est trop long ! En utilisa nt le raccourciclavier [cmd r], l'opération prend une seconde. Pour se souvenir de certains raccourcis,
recourez à des moyens mnémotechniques: r pour la rotation d'une image, i pour la
colonne lnfo... Vous trouverez la liste complète des raccourcis clavier au détour dumenu Aide. J'attire toutefois votre attention sur le fait que la traduction françaisecomporte des erreurs. Pour une balance des blancs, ilfaut utiliser la touche [w] (commewhite bolonce) et non [m] comme indiqué. I David A. Mary
ffi= m w: x. ü
§
#u:'l:'*t;lll:î',iïiiiïi,.',il:iJ:îiï::i;lJe,'J*mode d'organisation à un auke (Événements, Photos, Albumgquand vous êtes dans la colonne latérale gauche.
ffi Afficher la olonne lnb:utitlsez le raccourci [cmd][].W Changer le mode dhffichage: pour examiner un
événement, frappez la touche [enkée], pour afficher une photo plein
cadre, utilisez la [bârre d'espace].
lcmd]tmailt.(point)1. Éditionpour zooneréncore ptui,trappez alors tmailt2l. ::l:l:.,,.etoucnes rapio.r 1q1.
Læm ffimm§§*§Ts ffisffi&m?*sltr*§ su hmu§ ffiæm S*§ffit-*
W t§eyr9'-'-treriaeType: JPÉc
QualitéJPE6: Moyenoe
#F HtrffiTmÏ,'mHil:: ii:#iff iffiiï#;fl îPour exportei utilisez le raccourci [cmd][maj][e].
&,i i Vous et Votre Mac. No94. Novembre 2013
* PRATIOU˧ EXPRT§§ *
Maîtrisez la dynamique sonoredans GarageBand
rra. -
a réussite d'un enregistrement ou d'un mixage résidedans la maîtrise du
volumesonore de chaque piste. Sinon, on obtientau mieuxdestimbres mal
définis ou lourds, au plre des grésillements ou toutes sortes d'artefacts (des
cû'cs, par exemple). C'est ce que l'on appelle lasofuration. Por.lr l'éviter,
il semble logique de vouloir ajuster la réglette de volume de chacune des
pistes. En fai! non : en procédant ainsi, on diminue la puissance sonore générale et on
perd aussi de la précision dans le traitement du fluxaudionumérique. Pourgarder un
volume sonore élevé sans pour autant être saturé, il faut recourir à un efJetspécial
dénommé compresseur.Attention, ce dernier n'est pas à confondre avec l'archivage
des f ichiers ! Son rôle cônsiste à robo ter les éventuels pics de dyno mique (éclat de voi&
percussions, articulations orchestrales...)et Cest aussil'un dessecreædefubrtcation de
l'industrie musicole. I David A. Mary
Érritrez I« ss?urtxTion en enreEistremsnt *ÿ §*, nrTixss§
jI
/ÉlAvant de lancer un enregistrement, réglez toujours le
!f n,u,rr ronore oe ra pnse oe son. uans ra coronne raterdre
Itlos de pistæ > Parcwrtr utilisez pour cela la réglette tllivaau
d'emqistmrcnt
6l Si vous utilis ez une piste de Guitarc, cliquez sur
9 ranpnilcatelnpurs sur re Douton t?aon pour acceoer
aux paramètres de réglages du niveau sonore. Un panneau de
contrôle rougeva alors apparaître en dessous.
â\Vous oouvez vérifier à chaoue instant le niveau réel
lETo rn,.rg,ur.rent .ans renlete 0e prsle. tn côs oe
dépasemenl du niveau maximal, nbubliezpas de rcnettrc à
zérc les indicatun de anilencliqwnt dessus.
4IAu mlxage, afin de conkôler la puissance sonore d'une
lSiJ potr, ,ors p ouvez recourir à la rûllette de I en-tête de
pisfe C'est le moyen le plus simple, mais il ne permet pas de faire
face à tous les problèmes rencontrés.
o;f J[:[ilï::l;:ï,ii:',ffi ::ïi,:":',:,'j#:[ffifattt utiliær b Conprcsseur (hfos de piste > orykit Édition).
Dans le menu déroulant, choisissez l'un des préréglages
@Iffi i:ï#iîi::Tiîfl :i,Hiifiï,gaTbnpesnr. Cliquez sur hnde I et abaisæz le seuil de
ænpessbn.Pour les bandes 2 à 4, ajustez le seuil à 0 dB
82 | Vous et Votre Mac. No94 . Novembre 20.13
Top Related