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NORD ONTARIEN 10 et B3 La magie des Fêtes se fait sentir un peu partout Vol. 47, No 21 Mercredi 3 décembre 2014 Numéro de convention 40012374 1,50 $ TVH incluse TIMMINS NORD ONTARIEN TIMMINS 2 6 et 7 Petites et grandes misères de notre réseau routier 9 Une première réunion pour le nouveau conseil municipal Les Premières Nations et Goldcorp signent une entente historique TOP 1 0 DOSSIER EXCLUSIF

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NORD ONTARIEN

10 et B3La magie des Fêtes se fait sentir un peu partout

Vol. 47, No 21 Mercredi 3 décembre 2014

Numéro de convention 400123741,50 $ TVH incluse

TIMMINSNORD ONTARIEN

TIMMINS

26 et 7Petites et grandes misères de notre réseau routier

9Une première réunionpour le nouveau conseil municipal

Les Premières Nations et Goldcorp signent une entente historique

TOP10

DOSSIEREXCLUSIF

Page 2: TOP · Vol. 47, No 21 Mercredi 3 décembre 2014 Numéro de convention 40012374 1,50 $ TVH incluse NORD ONTARIEN TIMMINS TIMMINS Petites et grandes misères 6 et 7 2 de notre réseau

Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.2 ACTUALITÉ

actualité

Sommaire

ACTUALITÉ 2 et +ÉDITORIAL 4VIE ACTIVE 8 et 12

DOSSIER 6 et 7CONSEILS SCOLAIRES 13 à 17 AVIS DE DÉCÈS 18 et 19

DIALOGUE 20ARTS ET SPORTS Cahier B

Une entente est signée entre Goldcorp et quatre communautés des Premières Nations

Après huit ans, la compagnie minière Goldcorp Porcupine Gold Mines et quatre communautés des Premières Nations signaient un accord la semaine dernière. Il s'agissait d'un évènement historique qui a valu une célébration à la suite de négociations relatives à un projet de développement des ressources.

C'est le 21 novembre dernier qu'a eu lieu cette célébration réunissant entre autres, au centre de villégiature Cedar Meadows, des dirigeants de Goldcorp et les chefs des communautés des Premières Nations de Wahgoshig, Mattagami, Flying Post et Matachewan.

À la suite d'une cérémonie spirituelle autochtone, précédée par un spectacle traditionnel de tambours, des discours ont été prononcés par les chefs Walter Naveau, de la Première Nation de Mattagami, David Babin, de la Première Nation de Wahgoshig, Murray Ray, de celle de Flying Post, et Elenore Hendrix, de celle de Matachewan. Au nom de Goldcorp, Chris Woodall et Marc Lauzier ont exprimé leur enthousiasme par

rapport à cet accord qui pavera la voie vers un avenir «opérationnel et prospère».

Selon M. Lauzier, directeur général de Goldcorp Porcupine Gold Mines, cet accord facilitera le processus de demandes de permis visant à amorcer de nouveaux projets ou encore modi er certains plans de fermeture. En e et, les documents qui ont été signés lors de la cérémonie o cielle favoriseront les occasions d'a aires, la création d'emplois et la formation, sans oublier de mentionner les remises de bourses, les perspectives d'avenir et plus encore.

La protection de l'environnement étant une nécessité d'intérêt général, M. Lauzier indique que l'entente

favorisera les consultations avec les Premières Nations. Être à l'écoute de ces communautés et prendre en compte toutes leurs préoccupations dans les projets et activités à venir fait partie intégrante de cet accord.

Ceci démontre que l'industrie minière et les Premières Nations peuvent en e et travailler main dans la main et tirer pro t de ce secteur économique selon leurs objectifs visés.

À la suite des signatures o cielles, c'est dans une atmosphère conviviale et cérémoniale qu'a eu lieu un échange de cadeaux. De l'or et une tapisserie murale signi cative ont entre autres été échangés.

Émilie DeschênesLe Voyageur

TIMMINS

Photo : Émilie Deschênes

La séance de signature officielle entre Goldcorp et quatre communautés des Premières Nations était suivie d’un échange de cadeaux.

Hearst perd sa Cour provinciale

La nouvelle est tombée le 17 novembre, mais s'est répandue comme une trainée de poudre à la n de la semaine dernière : la Cour de justice de l'Ontario ne siégera plus à Hearst à compter du 1er mars prochain. Les travaux de rénovation d’un nouveau lieu d’audiences ont été interrompus.

La Cour de l'Ontario annonce plutôt que cette cour satellite s’arrêtera à Kapuskasing, soit à 100 kilomètres à l'est de Hearst.

Le maire de Hearst, Roger Sigouin, mis au courant jeudi dernier, a tenté de joindre la procureure générale et ministre des A aires francophones, Madeleine Meilleur, à ce sujet. Il ne mâchait pas ses mots. «Je ne sais pas qui a joué des games avec ça, lance-t-il. J'attends un appel des personnes en charge pour savoir ce qui va se passer avec ça. On va tout faire pour garder la Cour chez nous. C'est inacceptable!»

La lettre, signée par le juge local Pat Boucher au nom du juge principal régional Martin Lambert, justi e la décision par la non-convenance des lieux. Actuellement, la Cour siège à la Place des arts de Hearst, qui héberge aussi une école.

Pierre Payeur, directeur adjoint de la Clinique juridique Grand-Nord, a été avocat de la défense et procureur de la Couronne à Hearst pendant 20 ans. Il indique qu'en e et, le site est devenu inopportun. «Depuis deux ou trois ans, la Cour tente de changer d'endroit. Il y a plusieurs dates butoirs, explique-t-il. On traitait d'a aires de

comportements sexuels qui avaient a ecté des enfants et on entendait des enfants rire de l'autre côté du mur. La Cour ne peut pas bien fonctionner là-dedans. La Cour a été excessivement patiente.»

Selon plusieurs sources pourtant, des travaux étaient en cours a n d'assurer le déplacement du site d'audience de la Cour. M. Sigouin indique que 50 000 $ avaient été investis dans une ancienne école a n que la Cour ait un siège convenable à Hearst. «J'ai entendu dire qu'ils avaient eu le oui pour aller de l'avant, et là, tout s'est arrêté», explique le maire. M. Payeur avance qu'il pourrait s'agir d'une décision prise par de nouveaux fonctionnaires entrés en poste après les élections provinciales de juin, qui ont fait des compressions.

Le maire Sigouin est décidé à y voir clair. «Je ne l'accepte pas, a rme-t-il. Ça enlève encore un service dans la communauté de Hearst. Imagine, le transport, la PPO [Police provinciale de l'Ontario], le volume d'automobiles sur la route, les dépenses qui vont incomber aux contribuables. Les avocats et le juge qui voyagent, les gens de Hearst et de Calstock devront voyager de deux à quatre heures pour se rendre à Kapuskasing. Ça n'a aucun sens.»

La cour satellite se présente à Hearst une fois par semaine. L'ancien procureur de la Couronne Pierre Payeur estime qu'on y traite 200 dossiers par année. «C'est majeur pour les clientèles autochtone, francophone et anglophone.» dit-il.

Ce dossier évolue d’heure en heure. Pour en savoir plus, consultez le www.lavoixdunord.ca.

Andréanne JolyLe Voyageur

HEARST

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3ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.

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Un appel force Stack Brewing à changer le nom de deux de ses bières

Shawn Mailloux, propriétaire de Stack Brewing, ne s’attendait pas à cet appel à la mi-novembre. Patrick Oland, membre de la famille Oland, propriétaire de Moosehead Breweries Limited, située au Nouveau-Brunswick, a communiqué avec lui. Cet appel a eu pour résultat que Stack Brewing changera le nom des bières Angry Moose et Friendly Moose.

M. Oland l’a appelé pour discuter de l’utilisation du mot «moose» (orignal) et de l’image de l’animal sur une bière. «Il m’a suggéré que cela pourrait être constituer une violation du droit d’auteur si on utilisait le portrait de l’orignal ou le mot, explique le propriétaire de Stack Brewing, Shawn Mailloux. Je ne m’attendais pas à cela. On est une petite brasserie, mais on grandit vite et on n’est pas dans le même genre de bière. Ils sont dans la lager et on est dans l’IPA [India Pale Ale], ce qui n’est pas la même sorte de bière.»

L’homme d’a aires a ensuite étudié la question avant d’en arriver à une

décision. «Je ne pense pas qu’on copie leur marque. C’est contestable en cour, indique M. Mailloux. Par contre, je me suis dit que ça revenait à deux choix : je change de nom tout de suite ou je prends une chance, j’embauche des avocats et peut-être que je devrai changer de nom en n de compte. Je préfère investir mon argent ailleurs pour peut-être développer une autre bière. À certains moments, tu mets ton pied à terre et te défends, à d’autres moments tu te dis “on va laisser passer ça”.»

La compagnie Stack produit neuf sortes de bière, dont plusieurs sont disponibles dans 25 commerces de la région du Grand Sudbury. La bière Saturday Night est présentement disponible dans les centres de distribution du LCBO.

M. Mailloux a décidé de renommer les bières Angry Moose et Friendly Moose et a demandé l’aide du public par le biais des médias sociaux. «Depuis que l’on a parlé qu’on cherchait un autre nom, on a eu plus de 200 suggestions, dit-il. On les a comparées et analysées. Certaines sont très intéressantes et elles ont des jeux de mots intéressants. On va peut-être les utiliser plus tard, pour d’autres bières peut-être.» L’annonce

o cielle du nouveau nom des deux bières aura lieu le 18 décembre prochain à la Fromagerie Elgin.

Pour ce qui est des marques de commerce, Shawn Mailloux commence à s’y connaitre. Il avait déjà entamé les démarches pour enregistrer Stack Brewing comme marque de commerce, et d’autres démarches ont été entreprises pour certaines des marques produites, mais cela prend du temps. «Cela fait plus de neuf mois qu’on a entrepris les démarches pour obtenir la marque de commerce de Stack, explique-t-il. Ça prend environ un an. On est pas mal avancé dans le processus. Je ne l’ai pas fait quand j’ai ouvert, mais environ cinq mois après l’ouverture. Encore une fois, c’est une question d’argent. Quand c’est une petite entreprise, seule, il faut ménager les sous. Les démarches ont débuté aussi pour la Saturday Night.» Des démarches débuteront pour enregistrer le nom de deux autres bières au début de 2015. Il s’agirait de deux autres bières qui seraient encore une fois distribuées au LCBO. Le Voyageur a tenté d’obtenir les noms, ainsi que les nouveaux noms des bières Angry et Friendly Moose, mais sans succès.

Shawn Mailloux dans le centre de production de Stack Brewing

Patrick BretonLe Voyageur

SUDBURY

Photo : Patrick Breton

Un diacre restaurateur

Au début octobre, cinq hommes participaient à une cérémonie spéciale lors de laquelle ils devenaient diacres. Le plus jeune d'entre eux, Bruno Michel, âgé de 52 ans, est aussi propriétaire du restaurant Gloria's. Bien que son horaire comme propriétaire et restaurateur soit chargé les ns de semaine, il a décidé d'o rir de son temps aux paroisses aux paroisses Our Lady of Hope et Holy Redeemer.

«Mes parents m'ont toujours poussé à aller à la messe, explique M. Michel. Au début, j'y allais pour leur plaire, comme tous les enfants. Par la suite, c'était une habitude, c'était une routine. Comme jeune adulte, je me disais que c'était une heure par semaine et ça plaisait aux parents. Ensuite, à 24 ans, j'avais eu plusieurs blondes, mais je n'étais pas capable de les garder. Je pensais que c'était un signe du bon Dieu. Je suis allé voir l'évêque et je lui ai dit que je voulais devenir prêtre. Quand il m'a demandé pourquoi, j'ai expliqué que je ne pouvais pas me garder de blonde. Il m'a alors dit que ce n'est pas comme ça que ça fonctionne, c'est une vocation.» L'évêque Jean-Louis Plou e lui a alors dit qu'on demande aux prêtres, habituellement, de faire des études en philosophie. Il lui a conseillé de réaliser ses études et que s'il se sentait toujours appelé à la prêtrise, il pourrait alors le faire.

Présentenant, M. Michel est res-ponsable du centre commercial de la famille, où est situé le restaurant. «Avec l'appui de la famille, comme on est un commerce familial, je me suis inscrit en philosophie et littéra-ture française, poursuit-il. Pendant ma première année, je rencontre une belle demoiselle, Jennifer. Deux ans plus tard, nous sommes mariés.»

Il a terminé ses études en philosophie, obtenu un certi cat en théologie et un baccalauréat en éducation, et suivi des cours en restauration tout en restant actif dans la communauté paroissiale. «Mais je sentais toujours que je devais faire quelque chose de plus», ajoute-t-il. ne fois ses deux lles rendues à l'université, il a décidé de suivre un cours avec sa conjointe. Ils ont suivi un cours en anglais, avec le diocèse, ce qui lui a permis de mieux comprendre sa religion. Il a ensuite réalisé les exercices de St-Ignace avec les Jésuites. «Je suis retombé en amour avec le bon Dieu, dit-il. Je m'occupais alors du restaurant à temps plein, avec

45 employés. L'évêque m'a alors appelé pour m'inciter à suivre les cours pour le diaconat. J'ai suivi le cours, qui comporte une dissertation écrite par mois pendant trois ans. Par la suite, j'ai refait les exercices de St-Ignace une seconde fois pour voir si je me sentais vraiment appelé à faire cela. Eh oui, c'est ce que je voulais faire.»

Bruno Michel estime que Dieu est partout, mais qu'on ne remarque plus ses gestes. «Ça me fait penser à l'histoire de l'homme qui était perdu seul, sur un petit rocher, indique-t-il. L'eau montait et il allait mourir noyé.

Il priait Dieu pour qu'il lui vienne en aide. n canot passe et on lui o re d'embarquer. Il refuse et dit que Dieu va l'aider. Le canot repart, l'eau continue de monter. L'homme prie encore plus fort. Un bateau passe pour venir l'aider. L'homme refuse encore, les gens quittent. L'eau monte et l'homme prie encore plus fort. On lui envoie un hélicoptère et encore une fois, accroché à sa foi, l'homme refuse, car Dieu va le sauver. Il nit noyé. Au ciel, il demande à Dieu pourquoi il ne l'a pas sauvé. Dieu lui répond qu'il y a envoyé un canot, un bateau et un hélicoptère. C'est ma vision de mon travail. Il faut montrer aux gens à reconnaitre les signes que le Seigneur nous envoie.»

Pour un entrepreneur ayant les pieds sur terre, il estime que l'Église doit ajuster la manière qu'elle communique avec le monde. «C'est comme le restaurant, croit-il. Le menu que ma tante Gloria o rait en 1952, ce n'est pas le même menu que j'o re en 2014. On fait des ajustements ou on ferme nos portes. Ce n'est pas de changer le message, mais la présentation. Comment rejoindre le monde ? Il faut moderniser les exemples pour rejoindre le monde dans leur vie d'aujourd'hui. C'est aussi d'être un peu plus chaleureux. Ceux qui décident d'aller à l'église après 20 ans, ils ne se souviennent plus des gestes, des mots. Il faut alors les inviter et les aider pour qu'ils se sentent comme faisant partie du groupe, qu'ils ne se sentent pas jugés.»

Patrick BretonLe Voyageur

SUDBURY

Photo : Patrick Breton

Bruno Michel, restaurateur

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Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.4 ÉDITORIAL

éditorial

Timmins : 136, avenue ThirdTimmins (Ontario)P4N 1C6Téléphone : 705-269-8307,

poste 100 (Emilie Deschênes)Télécopieur : 705-269-8305Courriel : [email protected]

Grand Sudbury : 336, rue Pine, bureau 302Sudbury (Ontario)P3C 1X8Téléphone : 705-673-3377Sans frais : 1-866-926-3997Télécopieur : 705-673-5854Courriel :[email protected]

Nipissing : 300, rue KingSturgeon Falls (Ontario)P2B 3A1Téléphone : 705-893-8306,

poste 1003 (Catherine Levac)Télécopieur : 705-893-0520Courriel :

[email protected]étairePaul LefebvreRédacteur en chefPatrick Breton, poste [email protected]édacteur déléguéPierre Lemelin, poste 6211JournalistesÉric Boutilier (sports), poste [email protected] Levac (Nipissing)[email protected] Aubin (arts et culture)Randy Pascal (sports)CorrespondantsÉmilie Deschênes (Timmins)[email protected]éanne Joly (Kapuskasing)[email protected] Léveillé (New Liskeard) Claire PilonMaquettistes, graphistesRobert CharetteLiane BrunetChroniqueursMarcel GoupilMarguerite Bordeleau Administration, distributionGuy Rouleau, poste 6203Anie Cousineau, poste 6200Directeur du marketingYves Nadeau, poste 6205Conseillers en publicitéYves NadeauLucie Boudreau, poste 6206Lise Beaulieu, poste 6214

Le Voyageur, propriété de Publications Voyageur inc. Imprimé par Journal Printing, 34, Fir Lane, Sudbury.

Le Voyageur est un hebdomadaire. Courrier 2e classe,«Envoi de Poste-publications – Numéro de convention

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payé pour la partie de l’annonce qui contient l’erreur.

Toute personne qui envoie une lettre ou une photo pour être publiée dans le journalassigne implicitement et sans appel ses droits d’auteur aux Publications Voyageur Inc.Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.

On appelait «voyageurs» les gens qui faisaient le tra c des fourrures entre Montréal et

Fort William, aujourd’hui Thunder Bay. Pour se rendre à Fort William, les voyageurs

devaient passer par la rivière des Français et les lacs Huron et Supérieur. Certains se

rendaient aussi au poste Brunswick House, au sud de Kapuskasing, ou empruntaient

la rivière Missinaibi pour se rendre jusqu’à la baie James. Ces voyageurs transportaient

vivres et fourrures, mais acheminaient aussi des messages et les nouvelles qu’ils glanaient

le long de leur parcours. Le journal Le Voyageur est er de perpétuer cette tradition.

Nos bonnes traditionsEn n de semaine dernière, j'étais particulièrement er d'être un Canadien français.Non, il n'y avait pas de manifestation monstre

pour revendiquer nos droits, pour lutter contre la fermeture de telle ou telle institution ou contre la perte d'un droit quelconque.

Non, ce n'était pas la Fête du drapeau franco-ontarien, la St-Jean Baptiste ou la Semaine de la francophonie.

Ce n'était rien de cela. C'était simplement que, pendant cette n de semaine, on se préparait à célébrer No l comme il se doit.

Dans les médias sociaux, nombreuses étaient les images de sapins décorés, de tartes, de tourtières et de beignes en quantité. J'allais quali er le tout de quantité industrielle, mais disons plutôt quantité familiale.

On a cuisiné, popoté et décoré au son des airs de No l, qu'ils soient d’un CD, d'un iPod ou simplement de la radio avec l'émission Le Petit Noël du Grand Nord à Radio-Canada ou Sors ton sapin, Noël s'en vient sur les ondes du Loup FM.

Chez nos voisins du Sud les Américains , la folie du endredi noir ou du endredi fou (Black Friday) a frappé fort, créant une hystérie collective de bas prix et de rabais à tout prix, bousculant les autres au passage a n de pouvoir crier victoire et de payer quelques dollars en moins. Tant pis pour le respect des autres, la bonté, les bonnes manières. Je veux et j'exige, j'exige et je veux.

Au lieu de passer notre journée du samedi à se vanter des rabais obtenus, des bonnes a aires et des gros cadeaux qu'on pourra o rir parce qu'on a passé une partie de la nuit devant la porte de tel ou tel commerce, ou encore pansé nos blessures ou nos yeux au beurre noir. Nous, on s'est préparé à No l.

On a chanté des airs de No l, on a monté des sapins en famille, on a décoré nos maisons et on a préparé des plats traditionnels.

Et pendant tout ce temps, on a échangé, on a partagé nos traditions. On a expliqué à nos enfants comment on prépare tel ou tel plat, pourquoi on

place telle ou telle décoration dans l'arbre de No l et, quelques fois, on a été ému en entendant une chanson particulière qui nous rappelle un membre de la famille qui nous a quittés. On est revenu à la base, avec nos traditions, nos valeurs, nos chansons, nos souvenirs.

Nos voisins du Sud ont eu ce vendredi de congé, qu'ils ont passé (pour plusieurs d'entre eux) à courir, jouer du coude et s'acharner dans les magasins. Nous, on ne l'a pas ce endredi noir et ce Samedi noir.

Et c'est bien mieux comme cela. N'est-ce pas ?

Patrick Breton, rédacteur en chef

Chez nos voisins du Sud — les Américains —, la folie du Vendredi noir ou du Vendredi fou (Black Friday) a frappé fort, créant une

hystérie collective de bas prix et de rabais à tout prix, bousculant les autres au passage afin de pouvoir crier victoire et de payer

quelques dollars en moins. Tant pis pour le respect des autres, la bonté, les bonnes manières. Je veux et j’exige, j’exige et je veux.

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5ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.

Autisme Ontario dans votre communauté!

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Un corps recherché à la baie Minnehaha

Un adolescent est présumé noyé après être tombé dans les eaux de la rivière Sturgeon jeudi en soirée. Il était accompagné d’un ami et se promenait sous le pont de la route 17 à Sturgeon Falls. Dylan McManaman, élève de la 9e année à l’école Northern Secondary School de Sturgeon Falls, aurait glissé sur les roches au long de la rive et serait tombé à l’eau.

La police a e ectué des recherches sur l’eau et à pied sur la rive pendant plus de cinq heures le même soir et a repris les recherches le lendemain matin. L’Équipe de récupération sous-marine de la Police provinciale de l’Ontario est arrivée à la baie Minnehaha vendredi matin pour tenter de retrouver le corps du jeune.

Le chef du Service de police de Nipissing Ouest (SPNO), Chuck Séguin, explique que le Service d’incendie de Nipissing Ouest assistait avec son bateau pour briser la glace, tandis que l’Équipe de récupération sous-marine se promenait avec son bateau pour

Caisses populaires :

Une fusion acceptée

À la suite d’un refus de la fusion avec la Caisse populaire Vermillion en juin dernier, les membres de la Caisse populaire d’Azilda ont accepté cette amalgamation lors de la dernière assemblée générale extraordinaire qui a eu lieu en novembre. Selon le président de la Caisse populaire

d’Azilda, Roger Gauthier, les sociétaires des deux caisses ont voté en faveur du regroupement proposé. «La Caisse populaire Vermillion a voté à 100 % tandis que la Caisse populaire Azilda a accepté à 95 % la fusion», dit-il.

M. Gauthier indique que le chan-gement à la nouvelle caisse sera en vigueur le 1er janvier 2015 et que l’institution sera appelée Caisse po-pulaire Vermillion. «La nouvelle caisse comptera quatre points de services, soit à Chelmsford, Dowling, Espanola et Azilda, avec 39 em-ployés», ajoute-t-il. La caisse compte-ra 10 000 sociétaires et 14 membres du conseil d’administration avec un volume d’a aires de 4 7,2 millions $. Selon M. Gauthier il n’y aura aucune perte d’emploi. Jean Bisson assume-

ra le poste de directeur général de la nouvelle caisse.

«Cette fusion est un bon changement et ce sera avantageux pour les sociétaires puisque la caisse sera en position d’o rir des services

nanciers de grande qualité et de plus en plus spécialisés. La caisse sera aussi en mesure de faire davantage de dons à la communauté», ajoute M. Gauthier.

Le président du conseil d’adminis-tration de la Caisse populaire Ver-millon, Pierre Messier, se dit heureux de la fusion. «Je suis certain que tous les sociétaires de la Caisse populaire Vermillon et ceux des communautés qui sont impliquées pourront béné-

cier de cette fusion, puisqu’un re-groupement constitue une réponse aux dé s de l’avenir», souligne-t-il.

Claire PilonLe Voyageur

AZILDA

Photos : Catherine Levac

Catherine LevacLe Voyageur

NIPISSING OUEST

sonder les eaux. Le bateau du SPNO a aussi été mis à l’eau pour aider aux recherches.

Dans un communiqué publié dimanche soir, le chef Séguin a indiqué que les recherches ont été suspendues en raison des conditions qui seraient devenues dangereuses pour les plongeurs, puisque la température de l’eau est maintenant sous le point de congélation. Les recherches ont été e ectuées jeudi en soirée ainsi que vendredi, samedi et dimanche à la lumière du jour.

Une cinquantaine de gens de la communauté se sont rassemblés vendredi soir pour une vigile.

Concours de la cour d’école la plus laide

La communauté de l’école Immaculate Conception remercie chaleureusement les entreprises et les organismes suivants pour leur appui dans le cadre de son projet de reverdissement de la cour d’école :

Un merci tout particulier est adressé à notre principal commanditaire :

Pour visualiser les resultants de l’effort de reverdissement des cours d’école, consultez le site Web www.grandsudbury.ca/VETAC

Azilda GreenhousesBrown’s ConcreteCanadian Tire, rue RegentÉquipe du Programme de

réhabilitation des sols du Grand SudburyFuturescape LandscapingJetty’s Landscape SuppliesNorthern WildflowersSMS RentsSociété d’horticulture de SudburySouthview Greenhouse GrowersSudbury Master GardenersVale

CONSULTATIONS PRÉBUDGÉTAIRES 2015

2015 PRE-BUDGET CONSULTATIONS

des consultations prébudgétaires.

avant le mercredi 10 décembre 2014 à midi.

avant le vendredi 30 janvier 2015 à 17 h.

Katch KochGreffier / Clerk

Soo Wong Présidente / Chair

Bureau 1405, édifice Whitney / Room 1405, Whitney Block Queen’s Park, Toronto ON M7A 1A2

Nous acceptons les appels à frais virés. / Collect calls will be accepted.This information is available in English on request.

Téléphone / Telephone : (416) 325-3526

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Courriel / E-mail : [email protected]

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Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.6 ACTUALITÉ

dossierLes routes du Nord pour les nuls

Les gens du Nord de la province savent que l’hiver peut apporter toutes sortes de surprises sur les routes. Les règlements en ce qui concerne l’entretien des routes varient pour chacune des municipalités, mais s’avèrent tout de même assez simples partout en province, avec quelques variations pour le Nord et le Sud.

Le ministère des Transports de l’Ontario (MTO) a mis en place une liste de normes à suivre. D’abord, il est important de savoir que le Ministère embauche des contractants pour e ectuer l'entretien des routes l’hiver. Quatre contractants travaillent dans le Nord-Est de la province, soit Intergrated Maintenance and Operations Services pour les régions de Cochrane et New Liskeard, Trans eld Services à North Bay, DeAngelo Brothers Ltd. à Sudbury et Trans eld Services dans la région de Sault-Ste-Marie, qui touche une

partie du Nord-Est.

Les normes de déneigementEn Ontario, les normes d'entretien

sont plutôt simples. Carole Paiement, coordonnatrice des services de com-munications pour le MTO, rapporte que le déneigement commence lors-qu’il y a une accumulation de deux centimètres de neige ou de gadoue mouillée (slush) sur les routes. Quant au sable et au sel, l’application dé-pend du temps qu’il fait. L’un ou l’autre est appliqué dans les 30 pre-mières minutes d’une tempête. Si les

Catherine LevacLe Voyageur

NORD ONTARIEN

températures sont près du point de congélation, soit zéro degré Celsius, du sel est appliqué. Le sel fait e et jusqu’à -12 o C. Lorsqu'il fait trop froid pour que le sel agisse, du sable est appliqué.

Après qu’une tempête se soit atténuée, les contractants doivent nettoyer la neige jusqu’au pavé, et ce, dans une certaine période de temps, selon le type de route. Une tempête importante peut toutefois prolonger ce temps de déneigement. Mme Paiement souligne que la décision de fermer les routes est strictement déterminée par la Police provinciale de l’Ontario.

L’an dernier, explique-t-elle, des amendes totalisant près de 3,2 millions $ ont été imposées aux contractants pour ne pas avoir respecté certaines normes. Elle souligne toutefois que l’Ontario a certaines des normes d'entretien des routes les plus strictes en Amérique du Nord.

La province ou la municipalité ?

Lorsqu’une route provinciale passe dans les limites d’une municipalité, il peut facilement y avoir de la confusion par rapport à qui doit faire son entretien. On pense ici, par exemple, à la route 17 qui passe à North Bay ou la route 9 qui se termine à l’intérieur des limites du Grand Sudbury. Le terme utilisé dans cette situation est un lien de connexion de deux sections d’une route provinciale, mentionne Mme Paiement.

«Les liens de connexion sont maintenus par la municipalité locale, indique-t-elle. La municipalité décide des standards d'entretien et est responsable de gérer les travaux ou d’allouer le contrat à un fournisseur de services.» Elle ajoute que certaines municipalités choisissent d’embaucher les contractants du Ministère, mais avec un contrat unique.

Tableau général de classement des routes (Note : Certains autres facteurs peuvent in uencer ce classement.)

91 - 100 81 - 90 71 - 80 61 - 70 51 - 60 41 - 50 1 - 4015 000 ou plus 1 1 1 2 2 2 212 000 – 14 999 1 1 1 2 2 3 310 000 – 11 999 1 1 2 2 3 3 38 000 – 9 999 1 1 2 3 3 3 36 000 – 7 999 1 2 2 3 3 3 35 000 – 5 999 1 2 2 3 3 3 34 000 – 4 999 1 2 3 3 3 3 43 000 – 3 999 1 2 3 3 3 4 42 000 – 2 999 1 2 3 3 4 4 41 000 – 1 999 1 3 3 3 4 4 5500 - 999 1 3 4 4 4 4 5200 - 499 1 3 4 4 5 5 550 - 199 1 3 4 5 5 5 50 - 49 1 3 6 6 6 6 6

Source : Loi de 2001 sur les municipalités de l’Ontario

Le Nord et le SudCertains règlements routiers varient pour le Nord et pour le Sud de l’Ontario. Par exemple, les pneus à crampons ne sont permis qu’à partir de Parry Sound et pour les districts d’Algoma, Cochrane, Kenora, Manitoulin, Nipissing, Parry Sound, Rainy River, Sudbury, Thunder Bay et Temiskaming. Ceux-ci sont permis du 1er septembre au 30 avril. Quant au sel et au sable, les mêmes règlements s’appliquent pour toute la province.

Route 11 :

Des conditions difficiles

Les conditions routières dans le Nord divisent les usagers : certains composent avec les routes telles qu’ils les trouvent, d’autres en sont incommodés. Chose certaine, c’est que les conditions hivernales nécessitent une adaptation et que l’état de la route, sur quelques tronçons, est déplorée.

Nancy Girard, qui fait l'aller-retour entre Kapuskasing et Smooth Rock Falls au quotidien, ce qui représente 35 kilomètres par semaine sur la

route 11, est du premier camp. «C'est l'hiver! Il faut avoir de bons pneus», et, idéalement, suivre la déneigeuse lorsqu'il y a chute de neige, rappelle la directrice d'école. Pour elle, c'est

la loi de la navette : l'hiver, il faut s'attendre à voir des conditions routières hivernales.

Monique Rocheleau, directrice générale adjointe du Réseau du mieux-être du Nord de l’Ontario, voyage de deux à trois fois par semaine entre North Bay et Sudbury, mais parcourt toutes les routes du Nord, travail oblige. Elle aussi croit qu’il faut adapter sa conduite à des conditions météorologiques qu’elle trouve plus di ciles depuis quelques années.

Elle constate également qu’elle roule plus souvent sur une route enneigée dans le corridor nord de la route 11 que dans celui de la 17. En e et, ce sont ceux qui circulent entre Hearst et Kapuskasing qui critiquent vertement les conditions routières, et ce, qu’importe la saison.

«La route est horrible. Elle est très cahoteuse et étroite, croit Louanne

Dubosq, hygiéniste dentaire, qui se rend de Kapuskasing à Hearst au moins quatre fois par mois depuis neuf ans.

Le verdict de Fabien Hébert tombe rapidement. «Ça fait dur», indique celui qui fait hebdomadairement deux allers-retours soit

40 kilomètres entre sa résidence de Hearst et l'Hôpital de Smooth Rock Falls, qu'il dirige depuis 2004. «Du Flying J [à l'extrémité est de Kapuskasing] jusqu'à Hearst, et en particulier de Mattice à Hearst, c'est dénivelé, plein de roulières, c'est craqué. Entre Mattice et Hearst, il ne faut pas lâcher le steering», illustre-t-il.

Julie Dinnissen, intervenante en éducation spécialisée, qui se déplace de Kapuskasing à Hearst au moins une fois par semaine depuis six ans, tient exactement le même discours. «L'état des routes est inacceptable. Je trouve que c'est pire que

jamais. Ils doivent réparer la route immédiatement», croit-elle.

Les conditions hivernales ne font qu'attiser la situation. «Il me semble que la route n'est pas aussi déblayée qu'avant et qu'ils mettent moins de sel ou de sable», a remarqué Mme Dinnissen qui, comme Fabien Hébert, préfère de plus en plus éviter la route. La semaine dernière, alors que la route a été fermée à deux occasions, M. Hébert dit avoir conduit sur la glace de Mattice à Smooth Rock Falls. «Et je n'ai pas vu un camion qui mettait de sable», ajoute-t-il.

Selon Gilles Bisson, député néodémocrate de Timmins-Baie James, ces professionnels en navette voient juste. «La réalité, c'est que lorsque le ministère [des Transports] était responsable du déneigement, les routes étaient plus belles», soutient M. Bisson, qui circule beaucoup, mais qui a aussi fait des conditions routières hivernales un cheval de bataille l'hiver dernier. Selon lui, lorsque le ministère des Transports veillait à l'entretien des routes et que les besoins excédaient sa capacité d'exécution, des sous-traitants entraient en jeu. Cette capacité se mesurait à deux facteurs : la catégorie de la route (notamment mesurée à l'achalandage) et le temps requis pour l'entretien, divisé en circuits.

Le député croit même que le Ministère surpassait souvent ses propres exigences en matière de déneigement. «Le Ministère faisait une job au-dessus des standards à cause du circuit time», dit-il. Aujourd'hui, par contre, les politiques mises en place en vue de la sous-traitance des services d'entretien routier seraient plus permissives, au détriment de l'usager.

Il attribue la situation aux conservateurs, qui avaient voulu transférer l'entretien hivernal des routes au secteur privé, et aux libéraux, qui ont complété la privatisation et relâché les délais d'entretien hivernal. «Selon les catégories, il faut que le centre soit dégagé, que ce soit déglacé selon la catégorie de route et les délais, dit-il. Des fois, les contracteurs prennent deux fois plus de temps que le Ministère prenait à cause du circuit time. Ça fait plus de neige, plus de glace sur les routes. Ils font ce qui leur est demandé dans le contrat. «Il y a plus souvent de temps où je me rends compte qu'il n'y a pas de sableuse ou de déneigeuse», a justement constaté Fabien Hébert.

Gilles Bisson souhaite un retour aux exigences précédentes et des quelques centaines de véhicules

environ 500 à 00 déneigeuses et sableuses perdus avec la privatisation du service. Au début de l'année, une centaine de véhicules ont repris du service sur les routes de la province. «C'est mieux, mais on a encore un problème», croit le politicien.

Monique Rocheleau préfère jouer de prudence. «C’est di cile de dire si c’est la privatisation, parce qu’il y a tellement de facteurs qui entrent en jeu», croit-elle. Elle préfère ne pointer personne du doigt, mais soulève la question des conditions météorologiques. «Par exemple, cette année, la neige est arrivée beaucoup plus tôt que la normale, ajoute-t-elle. Aussi, est-ce que les gens ont leurs pneus d’hiver ? Est-ce qu’ils ralentissent ? Ce que je vois, c’est que ça devient plus di cile parce que les conditions météo sont pires qu’avant.»

Andréanne JolyLe Voyageur

NORD ONTARIEN

L’hiver sur nos routes

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7ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.

dossierLe poids financier de la neige pour les villes du Nord

Chaque ville du Nord est unique. C'est ce que chaque politicien municipal dira à qui veut bien l'entendre. Il en est de même pour les routes lors des tempêtes de neige. Bien que toutes les villes doivent se plier aux mêmes normes provinciales, il existe plusieurs di érences entre elles. Par exemple, lors de tempêtes, la Ville de Kapuskasing doit dégager 100 kilomètres de routes. À Sudbury, c'est 3 560 kilomètres de routes, soit

l'équivalent de la distance entre Sudbury et la frontière du Mexique.

De plus, les normes provinciales sont basées sur six types de routes, celles de type 1 étant les plus achalandées et celles de type 6 étant très peu fréquentées. Les types de routes que l'on retrouve sur un territoire municipal ont un impact sur le budget qu'on doit prévoir pour le déneigement. Une artère de connexion, par exemple, est souvent considérée comme une route de type 2. Cela in uence la rapidité et la fréquence des opérations de déneigement.

Ainsi, la part du budget accordée au déneigement des routes varie

selon les villes. Pour Kapuskasing, le montant accordé au déneigement est de 540 000 $. Pour Sudbury, le montant pour l'entretien hivernal des routes est de 15 millions $, selon le

) de 2012. Ce montant inclut aussi le montant pour la réparation de routes et de structures liées pendant les mois d'hiver. À Elliot Lake, un peu plus de la moitié du budget de 2014 attribué au transport est consacré à l'entretien des routes (1 669 541 $ sur 3 982 571 $).

Selon l'information apparaissant

Patrick BretonLe Voyageur

NORD ONTARIEN

sur le site de la Ville de Timmins, le budget pour les routes représente 19 % du budget municipal total. Pour North Bay, l'information recueillie sur le site internet de la Ville indique que 17 % du budget global est investi dans les Services et travaux d'ingénierie et environnementaux, dont une partie comprend l'entretien des routes. Ce montant pour les Services de travaux et d'ingénierie équivaut à environ 19,4 millions $ du budget global de 113 millions $ de la Ville.

Ainsi, en plus des di érences quant à la façon de classer ce montant (certaines villes attribuent un montant au déneigement, d'autres ne font que le compter dans l'enveloppe globale), celui-ci varie aussi selon la façon dont il est calculé. ves Labelle, qui était responsable des Travaux public avant de devenir directeur général de la Ville de Kapuskasing, explique comment le budget de déneigement est déterminé. «On prend toujours une moyenne de cinq ans quand on prépare le budget et on ajuste un peu plus pour l'in ation, explique-t-il. Si on calculait notre budget en se basant seulement sur l'année d'avant, on se ferait prendre “les culottes à terre” assez vite. Comme on a des extrêmes de température, on a deux

ou trois années avec presque pas de neige, l'année dernière beaucoup de neige. Avec la façon dont on calcule le budget, on est très près de notre budget. On “pètera” pas notre budget cette année. Et c'est comme ça chaque année parce qu'on prend une moyenne de cinq ans». Selon M. Labelle, le budget de déneigement représente environ pour 9 % du budget annuel total des Travaux publics.

Les montants varient donc beaucoup de ville en ville. De plus, chaque ville peut décider d'instaurer des normes plus élevées que la norme provinciale. Dans certaines villes comme North Bay, les trajets d'autobus sont dégagés en priorité (qui sont souvent les artères les plus fréquentées). La plupart des municipalités ont des dépôts de neige ainsi que des réserves de sel et de sable. Fait intéressant, des camions ont déversé leur charge de neige quelque 2 715 fois au dépôt à neige municipal de Timmins en 2013.

Il est à noter que lors d'accidents, les dépenses entourant les services policiers et ambulanciers ne sont pas comptabilisés dans le budget des routes, mais amortis dans l'ensemble des frais des services de police, d'incendie et d'ambulance des villes.

Tableaux des normes provinciales imposées par le ministère des Transports de l’Ontario

Normes imposées lors de l'accumulation de neige

Type de route Accumulation de neige

Temps pour nettoyer

1 2,5 cm 4 heures2 5 cm 6 heures3 8 cm 12 heures4 8 cm 16 heures5 10 cm 24 heures

Normes imposées lors d'annonces de chaussée glissante ou de traitement de la chaussée glissante

Type de route Temps requis1 3 heures2 4 heures3 8 heures4 12 heures5 16 heures

Source :

Quelques statistiques concernant les fermetures de routes

En hiver au cours des trois dernières années, les résidents du Nord de

l'Ontario ont été incommodés par de nombreuses fermetures de routes sous la responsabilité de la province. Entre 2011 et 2014, pendant les mois enneigés, il y a eu plus de 344 fermetures sur 32 routes provinciales situées sur le territoire de l'indicatif 705 au nord de la

rivière des Français. Le ministère des Transports a cinq zones dans le Nord-Est de la province, soit les régions de Cochrane, New Liskeard, North Bay, Sault-Ste-Marie et Sudbury.

Selon la zone a ectée, une personne souhaitant faire un trajet vers sa destination en voiture serait

TableauxFermetures dans la région de Cochrane

ROUTE 11 101 144 562 652 655Accidents 23 1 4 1 3 2Météo 21 1 1 0 1 2Autres raisons 1 0 0 0 1 0

Fermetures dans la région de New Liskeard ROUTE 11 65 66 101 112 144 560 569 572 577 672

Accidents 31 0 2 1 0 2 0 0 0 0 0Météo 13 1 2 1 1 0 2 2 2 1 1Autres raisons 1 0 1 0 0 1 0 0 1 0 0

Fermetures dans la région de North BayROUTE 11 17 63 64 531 533 534 575

Accidents 12 10 1 0 0 1 1 0Météo 14 5 0 4 0 4 0 2Autres raisons 3 5 0 4 1 0 0 0

Fermetures dans la région de Sault-Ste-MarieROUTE 17 101 129 519 552 556 631

Accidents 15 1 3 1 0 1 0Météo 32 5 7 0 1 10 11Autres raisons 2 0 0 0 0 0 0

Fermetures dans la région de SudburyROUTE 6 17 69 144 537 540 542 607 637

Accidents 1 16 7 6 0 1 0 1 0Météo 0 7 6 4 3 0 1 0 1Autres raisons 1 3 2 0 0 0 0 0 0

incapable de l'e ectuer faute de détours convenables ou disponibles.

«Les incidences vont bien au-delà du temps de travail des professionnels en navette, indique Fabien Hébert, directeur de l'Hôpital de Smooth Rock Falls. Pour nous, toutes les fois que la route est fermée, ça représente des situations où l'on ne peut pas transférer nos patients. Ça peut représenter une vie humaine. C'est ça la réalité. Et souvent, si les routes sont fermées, il n'y a pas d'hélicoptère non plus parce qu'on ne peut pas avoir quelqu'un pour accompagner la personne grièvement blessée. Et souvent, les chemins sont fermés parce qu'il y a de gros accidents. Les conditions routières ont un impact réel sur le système de santé.»

La région de New Liskeard a connu

66 fermetures en raison d'accidents de voiture, de la météo ou d'autres incidents lors de cette période. La durée moyenne de ces fermetures est de 5,4 heures. Les routes de la région de Cochrane ont été fermées 62 fois pour une durée moyenne de 6,6 heures. La région de North Bay en a eu 67 pour un délai de 6,5 heures en moyenne.

Là où on voit une augmentation du nombre d'heures des fermetures, c'est dans les régions de Sudbury et de Sault-Ste-Marie. La région de Sudbury a connu quelque 60 fermetures pendant cette période, mais pour une durée moyenne de 9,5 heures. À Sault-Ste-Marie, ce nombre est de 89 fermetures d'une moyenne de 15,1 heures.

Éric BoutilierLe Voyageur

NORD ONTAIRIO

L’hiver sur nos routes

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Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.8 ACTUALITÉ

La Caisse populairede Noëlville ltée

87, rue Saint-David NordC.P. 100, Noëlville, ON P0M 2N0Tél : (705) 898-2350 / 898-2813Téléc : (705) 898-3265

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Depuis plus de 40 ans, nous versonsdes ristournes (bonis) à nos membres.

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la vie activeTextes : Claire Pilon

Cette page vous est offerte par le Club des bons vivants d’Alban et le Club des aînés de la Rivière des Français de Noëlville Publireportage

On fait des tartes

Lorraine Courchesne est membre du Club des bons vivants à Alban depuis 15 ans et cette année elle propose une nouvelle activité aux membres. «Chaque année, moi et mon mari Claude allons en Floride et nous participons à une soirée qui se nomme Pot Luck Pie Party et j’ai décidé d’organiser une telle soirée au Club», explique Mme Courchesne. Elle et Lilliane Courchesne ont sollicité des tartes des membres participants.«Chacun doit apporter une tarte, que ce soit une tarte salée ou sucrée qui est coupée en petits morceaux et partagée par les participants. Nous avons seulement des tartes avec des breuvages pour cette occasion», ajoute-t-elle. Les tartes peuvent varier et être avec ou sans croûte. La soirée aura lieu le 19 décembre et Mme Courchesne s’attend à avoir une trentaine de tartes. «C’est la première fois que nous avons l’occasion de participer à un tel repas au Club et les gens semblent être très intéressés», indique-t-elle.

Mme Courchesne a été présidente du Club des bons vivants pendant

deux mandats. Elle se rend au Club pour jouer aux cartes, aider lors des diners et rencontrer ses amis. Native d’Alban, elle a passé quelques années à Toronto pour revenir à Alban en 1968. Mme Courchesne est à la retraite depuis 1996. Elle a deux lles. dont une qui demeure à Ottawa, ainsi que trois petits-enfants. «Je passe autant de temps que je peux avec ma famille et on se rend souvent à Ottawa visiter celle qui est loin», a rme-t-elle. Mme Courchesne aime aussi lire, faire de la recherche à l’ordinateur, cuisiner, s’occuper de son jardin et de ses eurs, et faire des conserves. «Depuis 1968, nous n’avons pas acheté une boite de nourriture puisque je fais toutes les conserves dont nous avons besoin», a rme-t-elle. Mme Courchesne aime aussi faire de la peinture sur les roches. «Nous devons nous occuper de notre édi ce de quatre logis qui demande beaucoup de travail», ajoute-t-elle. Pendant trois mois, en hiver, Mme Courchesne et son conjoint se rendent en Floride. «Nous avons beaucoup de plaisir et nous apprenons de nouvelles choses», conclut-elle.

ALBAN

Photo : Courtoisie

Lorraine et Lilliane Courchesne

Une nouvelle vie

André Gélinas a rme que depuis qu’il est à la retraite, c’est-à-dire depuis quelques mois seulement, il a trouvé une nouvelle vie. «J’aime la vie de pensionné, c’est une di érente vie lorsqu’on est pas obligé de se lever à une telle heure pour aller travailler», explique-t-il. Né à Québec il est venu s’établir en Ontario en 1958 pour travailler comme bûcheron jusqu’à l’âge de 72 ans. Il a pris sa retraite en février 2013. Il a quatre enfants, cinq petits-enfants et un arrière petit-enfant.

Depuis quelques semaines, M. Gélinas demeure à la résidence des Pionniers, une résidence pour personnes âgées à Noëlville. Il aimerait pouvoir avoir devant la

résidence un jardin communautaire avec des boites dans lesquelles les résidents pourraient planter des grains, s’en occuper et garder les récoltes. «Ce serait des boites assez hautes pour que les gens n’aient pas à se pencher», explique-t-il. M. Gélinas aime demeurer à la résidence des Pionniers. «Nous sommes comme une grande famille. Nous avons l’occasion de participer à plusieurs activités et on ne s’ennuie pas», dit-il. Il souligne que l’après-midi, les gens se rencontrent pour partager des nouvelles et le soir ils peuvent jouer aux cartes.

M. Gélinas est connu comme le bon samaritain. «Si quelqu’un a besoin d’un tour d’automobile, il me fait plaisir de l’aider et je ne demande pas de paye. Ça me fait plaisir. Je peux

rencontrer des gens, jaser et rendre service en même temps», indique-t-il. M. Gélinas fait partie des Chevaliers de Colomb depuis 35 ans, il membre du quatrième degré et il a été nommé grand chevalier deux fois. Il est aussi reconnu pour la friture de poisson pour les Chevaliers de Colomb. Il se rend au Club des retraités de la Rivière des Français. «Une fois par mois, se sont les hommes qui préparent le repas et la dernière fois nous avons servi des ailes de poulet. Comme je suis reconnu pour mes fèves au lard, j’ai demandé d’en préparer», souligne M. Gélinas. Au Club, il aime jouer aux galets et aux cartes. Il aime sa vie de retraité et a rme que c’est vraiment une vie di érente qu’une vie de travail.

NOËLVILLE

André Gélinas

Photo : Courtoisie

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9ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.

TFO.ORG

J’AIME

LE NOUVEAU REGARD FRANCOPHONE | TOUS LES SOIRS 20H30

Inauguration du nouveau conseil municipal

C'est le 1er décembre que la Municipalité de Timmins inaugurait son nouveau conseil municipal. Le maire de 32 ans, Steve Black, a été assermenté devant une salle comble.

«C'est un honneur d'assumer le rôle du maire de Timmins et je remercie les résidents qui m'ont donné cette chance», dit-il en prononçant son premier discours en tant que maire quelques instants après avoir pris possession du siège tant convoité.

En tant que père de famille, il a rme vouloir investir dans la qualité de vie à Timmins a n qu'elle conserve le titre de Ville au cœur d'or où il fait bon vivre, travailler et s'amuser.

«Nous devons trouver d'autres moyens de générer des revenus pour notre municipalité et nous ne devons pas avoir peur d'investir dans l'avenir de notre communauté, poursuit-il. Nous venons de terminer de célébrer les 100 dernières années de la fascinante histoire de Timmins. Maintenant, le temps est venu de commencer à bâtir et à investir pour les 100 prochaines années.»

Tout en priorisant les résidents, le jeune maire promet de prendre des décisions judicieuses et à long terme.

Bien qu'œuvrer main dans la main avec la communauté d'a aires, les partenaires locaux et régionaux,

les gouvernements supérieurs, les Premières Nations et autres constitue une de ses perspectives, demeurer une communauté forte et croissante est de très grande importance.

Le conseiller Michael Doody, qui gurait parmi les quelques anciens à

la table, a par la suite présenté son allocution en souhaitant la bienvenue à l'équipe désormais à la tête des décisions à la Ville de Timmins, dont le nouveau maire, qui a récemment achevé son premier mandat à titre de conseiller municipal.

Quatre conseillers municipaux sont de retour à la table du conseil : Michael Doody, Pat Bamford,

Andrew Marks et Noella Rinaldo. Pour leur part, André Grzela, Walter Wawrzaszek, Joe Campbell et Rick Dubeau ont été nouvellement accueillis. Un aperçu des antécédents professionnels de chacun a été présenté.

La présence des anciens maires Vic Power et Tom Laughren a été digne de mention en début de cérémonie. Amis, familles et membres du grand public se sont également réunis dans la salle du conseil municipal à l'occasion de l'inauguration de l'équipe désormais aux commandes de la Ville de Timmins.

Photo : Émilie Deschênes

Émilie DeschênesLe Voyageur

TIMMINS

Les anciens maires de Timmins, Tom Laughren et Vic Power (à l’avant) ont pris part à la cérémonie inaugurale.

Foires artisanales :

Dernière fin de semaine

À l'approche du temps des Fêtes, les foires artisanales se sont multipliées dans le Nord-Est ontarien. Village Noël Temiskaming, foires des centres culturels de Hearst et de Kapuskasing, celles du Nipissing-

Ouest…

Il n'est toutefois pas trop tard pour découvrir le travail des artisans lo-caux. À Kapuskasing, une quinzaine de kiosques seront dressés dans le Model City Mall vendredi et samedi.

À Timmins, la chaine de boutiques équitables Dix Mille Villages tient un festival vendredi à l'école secondaire O'Gorman. Des artisans autochtones doivent aussi être de la partie.

Andréanne JolyLe Voyageur

NORD ONTARIEN

Photo : Andréanne Joly

Tricot, conserves, produits du bois ou délices sucrés, la saison des foires artisanales tire à sa fin.

Un prix national pour les conseils scolaires catholiques

Les huit conseils scolaires catho-liques de langue française de l’Onta-rio ont remporté le prix Bravo lors du 30e congrès annuel de l’Association canadienne des agents de communi-cation en éducation (ACACÉ) qui se tenait à Québec au début novembre.

Ce prix d’excellence a été décerné pour la campagne conjointe du Regroupement des agents de communications catholiques de l’Ontario (RACCO), qui avait pour but de mieux faire connaitre la valeur ajoutée de l’école catholique et d’inciter le personnel, les élèves et les parents à démontrer leur erté et

leur engagement envers l’éducation catholique de langue française. Une page Facebook a été créée dans le cadre de la Semaine de l’éducation catholique qui a permis de rejoindre la population.

Ce projet est le fruit d’une collaboration entre le Conseil scolaire catholique de district des Grandes Rivières, le Conseil scolaire catholique du Nouvel Ontario et le Conseil scolaire catholique FrancoNord, entre autres.

Les prix Bravo soulignent le travail au niveau des communications éducationnelles d’individus ou d’organismes.

ONTARIO

Photo : Courtoisie

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Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.10 ACTUALITÉ

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La magie de Noël règne au centre-ville de New Liskeard

Du 27 au 30 novembre, des gens sont arrivés de partout pour admirer le Village Noël Temiskaming à New Liskeard et pro ter de tout ce qu’il avait à o rir.

Émilie DeschênesLe Voyageur

NEW LISKEARD

Malgré les vents froids, la communauté s’est réunie au Village Noël Temiskaming le samedi 29 novembre. Tandis que quelques-uns visitaient les maisonnettes remplies de créations uniques réalisées par des artistes et artisans du Nord-Est de l’Ontario et du Nord-Ouest du Québec, d’autres se gâtaient au marché fermier

Des artistes ambulants de la Nouvelle-France, portant des vêtements d’époque, circulaient parmi les visiteurs tout en jouant leur rôle respectif. La bonne sœur Émilie n’hésitait surtout pas à bénir les enfants qu’elle croisait.

les sentiersde Marguerite Bordeleau

Dans nos bois Le sapin de Noël réveille en nous

1 000 souvenirs magiques de notre enfance. Le sapin aromatique, si vert, aux aiguilles aplaties est l’arbre de rêve pour tous les Canadiens. La coutume de fêter Noël avec un sapin auquel on suspend de petits cadeaux est née dans les provinces germaniques de l’Est à la n du XVIIIe siècle. Il fut introduit en France et en Grande-Bretagne à peu près à la même époque. 1. En médecine naturelle, la gomme de sapin que l’on trouve surtout du côté sud du tronc peut servir à frotter les gencives contre les maux de dents.

2. Vous connaissez aussi la recette du sirop fait de gomme, de gin et de miel.

3. Pour soulager les blessures, on perçait la gomme et on laissait couler le liquide sur la plaie. Le premier arbre de Noël canadien : En 1781, Frederika von Riedesel, épouse du baron Friedrich Adolf, a placé un arbre de Noël dans sa maison de Sorel. Il faudra attendre encore 100 ans avant que la coutume se répande. Les décorations de maison étaient tout simplement des festons qui couraient au plafond. L’arbre était décoré de papier de couleur et de guirlandes. Et puis, il y avait le réveillon qui attendait tout le monde. Les mets traditionnels étaient la dinde, la tourtière, le ragoût de pattes, les beignes et les petites douceurs. La crèche de Noël nous vient du Cahors, en l’an 1316. La création de la crèche serait attribuée à St-François d’Assise. Noël est une grande fête qui réunit tous ceux qui s’aiment, mais il ne faut pas oublier ceux qui ont faim.

Tourtière à la canadienne

La tourtière traditionnelle était faite de porc seulement et on n’y mettait que peu d’épices a n d’y garder le bon goût de la viande. Une tourtière : 2 livres de porc haché 2 3 t. d’ognons hachés

t. d’eau sel, poivre

de c. à thé ou moins de : clou de Giro e, cannelle, toute-épice (all spice) 1 gousse d’ail, si désiré. Mélanger tous les ingrédients et cuire à feu doux environ 1 heure. Laisser tiédir. Remplir l’abaisse de pâte, recouvrir d’une autre pâte et

cuire au four à 400 degrés F jusqu’à ce que ce soit doré. P.S. Si le mélange est trop liquide, y déposer des petits cubes de pain ou en cuisant, une pomme de terre râpée.

Cipaille ou cipâte, on fête le jour de l’An (recette facile)

livres de lard salé, en cubes 2 livres de cubes de bœuf 2 livres de porc maigre en cubes 1 poulet de 4 livres, en morceaux 3 gros ognons hachés sel et poivre un peu de cannelle, très peu de clou un peu de sarriette du bouillon pâte à tarte

1. Couper le bœuf, le porc en cubes et la poule sans peau en morceaux. Mettre ces viandes dans des bols séparés. 2. Faire la pâte à tarte, rouler trois grandes abaisses de 14 pouces pour les étages. 3. Dans une grande marmite en fonte, y déposer une autre grande pâte pour couvrir le fond et les côtés. 4. Mettre un rang de viande, une grosse poignée d’ognons, sel et poivre et un peu d’épices, recouvrir d’une pâte trouée au centre et recommencer deux autres fois avec le reste des ingrédients. Mettre une belle pâte sur le dessus. verser du bouillon jusqu’à égalité. Placer le couvercle sur le chaudron et cuire au four à 275 degrés F au moins 5 heures. Durant la dernière demi-heure de cuisson, enlever le couvercle pour dorer. Servir avec des betteraves marinées et des cornichons. La tradition permet aussi d’y mettre 2 rangs de tranches de pomme de terre. Le cipâte ou cipaille est d’origine montagnaise, léguée par les Montagnais.

Mot de la fin : décembre le neigeux!

Le 25 décembre, qui était le jour du solstice d’hiver, était un grand jour de fête. C’est le jour où l’on célébrait la naissance du soleil et son retour vers nous en entrant dans le Capricorne. Les Égyptiens célébraient Osiris. Les peuples du Nord l’appelaient la mère des nuits et voyaient en elle le retour. Décembre est avant tout le mois de Noël, mot mystérieux dont une des origines pourrait être une abréviation d’Emmanuel. L’institution de la fête de Noël serait due au pape Telesphore, mort en l’an 138.

Photos : Émilie Deschênes

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11ACTUALITÉ Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.

TransCanada est une entreprise canadienne qui, depuis plus de 60 ans, construit des pipelines et des infrastructures énergétiques sécuritaires et fiables.

« Je trouve important que les communautés soient entendues. »Je m’appelle Jon et, en tant que responsable des relations avec les communautés pour l’Ontario, j’ai eu la chance de parcourir la province de long en large pour aller à la rencontre des gens. J’ai appris à les connaître, j’ai écouté leurs inquiétudes et j’ai personnellement vu leur enthousiasme, lors des quelque 40 portes ouvertes auxquelles j’ai assisté. J’ai entendu combien ils espèrent les nouveaux emplois, les revenus fiscaux et les avantages économiques qu’apportera le nouvel oléoduc. Nous travaillons ensemble à bâtir quelque chose dont nous pourrons tous être fiers et, pour ça, il faut que tout le monde puisse être entendu.

Mieux s’informer sur le projet Oléoduc Énergie Est, c’est découvrir un projet d’avenir sensé et bien pensé.

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Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.12 ACTUALITÉ

la vie activeTextes : Claire Pilon

Cette page vous est offerte par le Centre Club âge d’or de la Vallée

Publireportage

Siège social Hanmer1-4477, av. Notre-DameHanmer (Ontario) P3P 1X5Tél. : 705-969-2052

Centre de services Val Caron3077, ch. 69 Nord

Val Caron (Ontario) P3N 1R8Tél. : 705-897-6701

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Du Nouveau-Brunswick à Hanmer

Originaire de St-Sauveur, Fernande Landry vit à Hanmer depuis 48 ans. «Nous sommes venus en Ontario parce que mon conjoint, Émile, avait trouvé du travail», dit-elle. Pour sa part, Mme Landry a gardé des enfants pendant plusieurs années. Elle a décidé de laisser ce travail il y a 45 ans.

Elle a trois enfants et quatre petits-enfants. «Certains de mes enfants ne demeurent pas dans la région, alors j’aime les visiter le plus souvent possible», ajoute-t-elle. Mme Landry est une bonne cuisinière et elle cuisine avec une de ses petites- lles. «J’ai une petite- lle de 11 ans qui adore faire de la pâtisserie, alors chaque fois qu’elle me visite, on fait des pâtisseries. Je lui enseigne aussi comment coudre. Nous avons beaucoup de plaisir ensemble», indique-t-elle.

Mme Landry est membre du Centre Club âge d’or de la Vallée depuis cinq ans et elle participe surtout au cours de yoga et d’exercice. «Je participe

aussi au programme Musclez vos méninges pour m’aider à conserver ma mémoire», dit-elle. Mme Landry explique que le groupe participe à plusieurs activités qui aident la mémoire, comme trouver la lettre qui manque dans un mot, faire des dessins avec des points et des activités qui nous font ré échir», souligne-t-elle. Mme Landry aime aussi jouer aux cartes, s’occuper de ses eurs et de son petit jardin et lire des revues et des journaux.

«Depuis 20 ans, je fais partie d’un groupe de 12 femmes qui sont amies et qui se rencontrent depuis plusieurs années pour partager un repas donner de nos nouvelles», dit-elle. Chaque jeudi Mme Landry se rend au casino. «Parfois, je suis chanceuse, mais pas souvent», admet-elle. Mme Landry joue aux cartes à l’ordinateur et passe autant de temps que possible avec ses petits-enfants. «À un moment, nous avions une roulotte et nous avons fait beaucoup de camping à l’île Manitoulin». dit-elle. Elle se rend au Nouveau-Brunswick chaque deux ans.

Photo : Courtoisie

HANMER

Yvonne Ferron, Gaetane Drolet et Fernande Landry

Les bienfaits de la méditation

Allen Hall aime beaucoup la méditation et faire de la recherche concernant surtout la religion catholique, ce qui implique toutes les religions. «J’ai commencé à m’intéresser à ce sujet en 1951 et je crois que cette étude prend toute une vie», a rme-t-il. Il fait aussi partie de la chorale de la paroisse Notre-Dame-du-Rosaire et de la chorale des funérailles à la paroisse Marguerite d’Youville. «Je fais beaucoup de méditation. Une personne qui n’en fait pas ne peut pas comprendre ce que c’est et connaître ses bienfaits», indique-t-il.

M. Hall explique que même si ce ne sont que les personnes âgées qui assistent à la messe, cela ne veut pas dire que les jeunes ne croient pas en Dieu, la source. «Ils ont une façon di érente de voir les choses tandis que les personnes plus âgées ont été élevées avec une certaine croyance qu’elles ne veulent pas abandonner.

Elles se sentent sécures avec ce qu’elles ont appris», a rme-t-il.

Natif de Gauvreau, au Nouveau-Brunswick. M. Hall est arrivé en Ontario en 1951. Il a travaillé pour la compagnie INCO et pour Val Caron Plumbing. Il est à la retraite depuis 1991. Son épouse est décédée

il y a un an. Il a six enfants et quatre petits-enfants. M. Hall est membre du Centre Club âge d’or de la Vallée depuis quelques mois seulement. «Je me rends au Club spécialement pour faire des exercices, car j’ai besoin de bouger», ajoute-t-il. Pendant l’été, il aime beaucoup jouer au golf.

Activités à venir 5 décembre à 14 h : Fête et souper de Noël souper à 17 h 30 exclusivement pour les membres billets 10 $

disponibles au Centre jeux et cadeaux de présence renseignements : 705-969-8649 8 décembre à 10 h 30 : Présentation du Centre d’accès communautaire sujet : Le lien entre vous et les soins dont

vous avez besoin à domicile 9 décembre à 19 h : Assemblée mensuelle 15 décembre à 12 h 30 : Musiciens amateurs 16 décembre à 13 h 30 : Rencontre de la Vie montante 18 décembre à 12 h : Diner amical 7 $ la personne

Souper et danse de la veille du jour de l’AnLes membres organisent une soirée de la veille du jour de l’An le 31 décembre avec cocktail à 18 h suivi d’un souper de prime rib au jus à 19 h et d’une soirée dansante avec la musique de Hac Vong en personne. Les billets sont disponibles au Club au cout de 35 $ à l’avance et de 40 $ à la porte. Renseignements : 705-969-8649. Tous sont la bienvenue.

Photo : Courtoisie

HANMER

Allen Hall

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13CONSEILS SCOLAIRES Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.

conseils

Excellence, foi et culture

École secondaire catholiqueÉlisabeth-Bruyère7e-12e année359, rue BrydgesMattawa705-744-5505

École LorrainMaternelle - 8e année245, rue YongeBonfield705-776-2261

École secondaire catholique Franco-Cité9e-12e année90, rue MainSturgeon Falls705-753-1510

École élémentaire catholique Saint-JosephMaternelle - 8e année93, rue MichaudSturgeon Falls705-753-0750

École La RésurrectionMaternelle - 8e année136, rue ThirdSturgeon Falls705-753-1100

École Sainte-Marguerite -d’YouvilleMaternelle - 8e année73, rue Principale EstVerner705-594-2385

École Christ-RoiMaternelle - 8e année7, avenue ForgetRiver Valley705-758-6288

École MarialeMaternelle - 8e année1000, rue BirchThorne705-981-9191

École secondaire catholique Algonquin7e-12e année555, avenue AlgonquinNorth Bay705-472-8240

École Saint-VincentMaternelle - 6e année124, rue King EstNorth Bay705-474-6740

École Saint-RaymondMaternelle - 6e année22, avenue Borge (via Lakeshore et Joseph)North Bay705-472-5933

École élémentaire catholique Saints-AngesMaternelle - 6e année681-B, rue Chippewa OuestNorth Bay705-472-4963

École Saint-Thomas-d’AquinMaternelle - 8e année1392, chemin VillageAstorville705-752-1200

École élémentairecatholique Sainte-AnneMaternelle - 6e année361, rue BrydgesMattawa705-744-2441

Nos écoles acceptent les

Our schools accept registrations at any time!

Ronald Demers, président | Monique Ménard, directrice de l’éducation

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inscriptions en tout temps !

En rejoignant toutes les dimensions du bien-être personnel, y compris la dimension spirituelle, nos élèves s’épanouissent pleinement !

Nos élèves acquièrent aussi un bilinguisme durable,leur ouvrant tout plein de portes, à travers le monde.

Un char allégorique à l’image des Griffons

Il y a trois semaines, des parents dévoués ont mis la main à la pâte a n de réaliser leur rêve d’un char allégorique digne de représenter les Gri ons de Saints-Anges lors de la parade de Noël. Le groupe s’était surpassé l’an dernier et avait remporté le prix du plus beau char allégorique. Il va sans dire que le groupe était de nouveau motivé à maintenir la réputation d’excellence et plusieurs idées furent considérées, mais celle du Grincheux fut retenue. Ce thème a résonné avec les Gri ons et tous, grands et petits, se sont mis à

l’œuvre. Plus de 1 200 cartes de vœux avec grelots ont été fabriquées et distribuées aux enfants qui s’étaient alignés avec parents et amis le long de la route. Tous ont pu pro ter de cette belle journée. Vous vous demandez

quels sont les résultats de ce magni que projet collaboratif ? Pour une deuxième année consécutive, une première place dans la catégorie «meilleur char allégorique» ainsi qu’une première place au niveau des

écoles élémentaires! Bravo au comité organisateur, à tous les parents qui ont consacré plusieurs heures en soirée et en n de semaine, aux élèves et membres du personnel, et un gros merci à nos commanditaires : Home

Depot, PGI Fabrene, Lafarge, Canor et First North Enterprise.

Les Gri ons de Saints-Anges vous souhaitent un joyeux Noël 2014!

Pratiquer les vertus… à la manière de JésusNathalie Massé (membre du comité des vertus et enseignante au préscolaire à Ste-Marguerite-d’Youville)

L’école Ste-Marguerite-d’Youville de Verner est ère d’annoncer le relancement du Projet des vertus pour l’année 2014-2015. Le tout a débuté en 2004 lorsque Julie Dubois, qui était enseignante au préscolaire, a eu l’excellente idée de mettre en œuvre un projet qui aiderait à forger le caractère des enfants tout en ayant une approche positive a n de se servir «des mots pour le dire». Serge Levac, directeur à ce moment-là, croyait en ce beau projet et fut réjoui de l’excellente idée. Avec son appui constant, le projet a avancé rapidement tout en créant un climat

d’unité. «C’est comme la pierre qui est

lancée dans l’eau», de dire Mme Dubois. Elle savait que si l’enfant pratiquait des vertus de façon quotidienne, il et elle se sentirait heureux, en paix et en sécurité tout en contribuant à bâtir un monde meilleur. Voilà les ondulations de la pierre lancée dans l’eau. Les e ets du Projet des vertus furent tellement positifs que l’atmosphère de l’école en fut améliorée. L’école recevait beaucoup de compliments et de beaux mots, et ce, à tous les niveaux. Les témoignages des parents, des suppléants et des visiteurs re étaient les e ets positifs des pratiques des vertus dans l’école et à la maison.

Plusieurs années plus tard, en juin 2013, un besoin de redonner sou e et vie à ce beau projet se fait ressentir dans l’école. C’est ainsi

que le comité des vertus prépare la Journée des vertus à la n de l’année scolaire. Pendant une journée complète, les élèves participent à toutes sortes d’activités qui encouragent la pratique des vertus, et cela en lien avec les H.H. (habiletés d’apprentissage et habitudes de travail) et la politique «Faire croître le succès» du ministère de l’Éducation de l’Ontario. L’atmosphère de l’école était parfumée de joie, de bonheur, de respect et d’amitié. Les enfants vivaient activement et pleinement le langage des vertus par l’entremise de situations authentiques. Les témoignages des élèves ont été des plus positifs et la tradition de la Journée des vertus est née.

Notre directrice, Tina Legault-Ouellet, croit énormément en ce beau projet et elle nous témoigne à son tour les e ets positifs,

entre autres l’harmonie qui en découle. Lorsqu’elle est arrivée en septembre 2013, le comité des vertus de l’école et les membres du personnel lui ont fait part du Projet des vertus et elle s’est tout de suite intéressée à lui redonner sou e de vie. La mission du projet des vertus pour les enfants de l’école : que chaque enfant puisse réaliser qu’il possède de belles pierres précieuses dans son cœur a n de s’en servir au quotidien. «Il su t de les développer a n de grandir en tant qu’être humain, dit-elle. Ainsi, nous espérons pouvoir outiller nos élèves a n de créer un climat des plus respectueux à Ste-Marguerite-d’Youville, basé sur le positivisme et les relations interpersonnelles positives.»

Ce beau projet, qui vient directe-ment toucher la vie des enfants et du personnel, ne fait qu’avancer avec

ardeur. Les vertus vedettes men-suelles telles que la considération, la reconnaissance, la compassion et la tranquillité sont parmi plusieurs autres vertus vécues à l’école à la ma-nière de Jésus. Lorsque nous entrons dans l’école, nous ressentons une at-mosphère positive, nous voyons des beaux gestes par les élèves et nous en-tendons le langage respectueux des vertus. Quelle belle façon de vivre en harmonie!

NORTH BAY

VERNER

Photo : Courtoisie

Photo : Courtoisie

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Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.14 CONSEILS SCOLAIRES

conseilsL'école catholique Georges-Vanier est en fête

Les élèves du cours Les grandes religions du monde de Mme Gagnon ont tenu leur journée de la culture juive. Plusieurs traditions étaient récemment à l’honneur à l'école

catholique Georges-Vanier de Smooth Rock Falls. Mentionnons entre autres des costumes, de la gastronomie et di érentes fêtes religieuses. Grâce à cette activité, le groupe d’élèves catholiques a eu l’occasion de se familiariser avec les

laktes, le Yom Kippour, les falafels, le chabbat et la coi e juive, pour ne nommer que ceux-ci. Le tout s’est déroulé dans une atmosphère d’accueil et d’ouverture sur le monde. Quelle belle façon de combattre stéréotypes et préjugés!

SMOOTH ROCK FALLS

Photo : Courtoisie

Une troisième Guerre intergalactique des Apollos

Depuis trois ans à l’école secondaire catholique Sainte-Marie de New Liskeard, c’est devenu une habitude d’organiser la Guerre intergalactique des Apollos. En e et, l’école est divisée en deux groupes portant les deux couleurs représentatives de l’école : le bleu et le jaune. Il y a ainsi une féroce compétition entre les équipes jaune et bleue.

Parmi les activités prévues pour cette année, il y avait entre autres la charade, le génie en herbe, la course à obstacles, la dictée, le drapeau, la course éponge, le ballon-chasseur et une course consistant à lancer des cannettes vides dans un contenant de

plastique. Les juges, choisis parmi les élèves et les membres du personnel, surveillaient chaque station de jeu et donnaient des points aux joueurs de l’équipe gagnante selon leur performance. Les points pouvaient être attribués à une équipe, par exemple, pour avoir démontré l’esprit du groupe, du cri de ralliement ou encore pour avoir gagné la course. Pour cette année scolaire, les jaunes l’ont emporté sur les bleus. L’année dernière, ce sont les bleus qui avaient gagné.

Sur toute la ligne, les jaunes ont eu raison sur les bleus. Le tout s'est déroulé dans un esprit de convivialité et d'ouverture entre nouveaux élèves et anciens Apollos d'une part et membres du personnel d'autre part.

Photo : Courtoisie

Jean-Marcel Ndumbi-TshingombeNEW LISKEARD

L’équipe des bleus tente d’envoyer le sac de fèves dans le cerceau à l’aide d’une taie d’oreiller, un exercice très périlleux.

Les Flammes défendent encore leur titre

L'équipe de ballon-panier féminin senior de l'école secondaire catho-lique Thériault (ÉSCT) de Timmins gagne pour une deuxième année consécutive le Tournoi annuel fran-co-ontarien. L'an dernier, les lles ont gagné la 23e édition de ce prestigieux tournoi organisé par l'école secon-daire catholique E.J. Lajeunesse de Windsor. Il s'agissait de la première médaille d'or remportée par notre équipe sénior lors de ce tournoi.

Cette année, les lles ont eu la chance d'accueillir à leur tour 26 équipes scolaires francophones de l'Ontario dans le cadre du 24e Tournoi franco. Les Flammes de l'ÉSCT ont a ronté les Tigres de l'école secondaire catholique l’Essor de Windsor lors de leur première joute jeudi dernier. Grâce au travail ardu de l'entraineur de Thériault, Richard Cornell, ainsi que des coéquipières, l'équipe a surpassé les Tigres, menant ainsi l’ÉSCT vers une première victoire par la marque de 64 à 27. Lors de leurs deux autres joutes le lendemain, les Flammes ont vaincu l'école secondaire catholique

Sainte-Famille de Mississauga par un pointage de 60 à 35 ainsi que l'école secondaire catholique l'Horizon de Val Caron par la marque de 67 à 9.

Les trois victoires des Flammes ont mené l'équipe en demi- nale, samedi matin, contre les Patriotes de l'école secondaire catholique La Citadelle, où elles sont ressorties encore une fois avec une victoire de 42 à 28 pour maintenant atteindre la grande

nale. L'e ort de chaque membre de l'équipe ainsi que l'atmosphère intense des partisans de l'ÉSCT dans leur propre gymnase ont permis aux Flammes de détruire les Tornades de l'école secondaire catholique Nouvelle-Alliance avec un pointage

nal de 53 à 22.

Photo : CourtoisieMégan RoyTIMMINS

L’équipe des Flammes de l’école secondaire catholique Thériault

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15CONSEILS SCOLAIRES Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.

nouvelles de nos écolesLes élèves de St-Paul sont contre l’intimidation

Du 17 au 21 novembre, les élèves et le personnel de l'école St-Paul à Lively ont participé à des activités liées à la Semaine de la sensibilisation à l'intimidation et de la prévention. Le 18 novembre, l’agent Michel Brunette, du Service de police du Grand Sudbury, a lu des livres aux élèves de la 2e à la 4e année. Ces livres racontant des histoires d'intimidation identi aient également des solutions de prévention. Les élèves ont également signé une bannière dans le but de s'engager à contrer l'intimidation dans le milieu scolaire. De plus, les membres du parlement

étudiant ont présenté de petites pièces sur cette thématique. En n, le

21 novembre, les élèves ont porté des chandails roses en guise de solidarité.

LIVELY

Photo : Courtoisie

On vogue vers le succès

Pour la quatrième année consécutive, les élèves de la 7e et de la 8e année de l’école Saint-Joseph de Wawa ont participé, le 18 novembre dernier à Thunder Bay, à la course annuelle de bateaux en carton et ils ont relevé le dé de charge dans une piscine. Sous la direction de l’enseignant René-Guy Nobert, les deux équipes étaient prêtes pour la grande course.

Cette compétition organisée par Compétences Canada – Ontario comporte divers critères d’évaluation, dont la plani cation et la conception du vaisseau, la qualité de la construction, l’aspect esthétique, la capacité à travailler en équipe et l’esprit d’équipe, la connaissance des compétences essentielles, la sécurité et la propreté ainsi que la vitesse et la capacité de charge du bateau. Les

courses et les dé s de charge sont chronométrés et évalués par les juges.

L’équipe 1, composée d’Amily Bouchard, Spencer Terris, Nicolas Lafrenière et Hunter Schumacher, a mérité une deuxième place tandis que l’équipe 2, composée de Talus Laing, Dimitri Lévesque, Sunil Oberai-Cotterill et Seth Smedts, a ni sixième. L’équipe 1 a parcouru la distance de 25 mètres en 26,75 secondes et son bateau a supporté une charge de 577 livres. L’équipe 2 a été la plus rapide de la journée avec un chrono record de 20,72 secondes.

En raison de ce succès, les membres de l’équipe 1 de l’école Saint-Joseph s’est quali ée pour participer au championnat provincial.

«Ce fut un voyage très agréable et une expérience enrichissante pour tous les élèves», a rme M. Nobert.

WAWA

Photo : Courtoisie

Découvrir le plaisir du partage

Les élèves de l’école Notre-Dame-du-Sault de Sault-Ste-Marie ont tout récemment participé au projet Bas de Noël organisé par la Soupe communautaire de Sault-Sainte-Marie dans le but d'aider les gens dans le besoin de leur communauté. Les élèves de chaque classe ont apporté un article spéci que à placer dans le bas de Noël. Par leur participation à ce projet, les enfants ont découvert qu'on retire autant de plaisir à donner qu’à recevoir.

SAULT-STE-MARIE

Photo : Courtoisie

Page 16: TOP · Vol. 47, No 21 Mercredi 3 décembre 2014 Numéro de convention 40012374 1,50 $ TVH incluse NORD ONTARIEN TIMMINS TIMMINS Petites et grandes misères 6 et 7 2 de notre réseau

Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.16 CONSEILS SCOLAIRES

conseils

É. p. Camille-Perron, Markstay705-853-0596

É. p. de la Découverte, Val Caron705-897-1304

É. p. l’Escalade, Wawa705-856-0123

É. p. Foyer-Jeunesse, Hanmer705-969-3246

É. p. Jean-Éthier-Blais, Sudbury705-566-1071

É. p. Jeanne-Sauvé, Sudbury705-675-1613

É. p. Pavillon-de-l’Avenir, Chelmsford705-855-8733

É. p. Franco-Manitou, Manitouwadge807-826-2684

É. p. Franco-Nord, Azilda705-983-4213

É. p. Hélène-Gravel, Sudbury705-522-6779

Journées d'inscriptionÉcoles élémentaires publiques

de langue française

du 19 au 23 janvier 2015

«À mon école, j’apprends beaucoup, j’ai plusieurs amis et je découvre le monde entier.»

Afin de connaître l’heure et les détails pertinents touchant l’inscription de votre enfant ainsi que la documentation nécessaire, communiquez avec l’école de votre région ou avec le CSPGNO au

705-671-1533.

705-671-1533

Un coup de pouce à la Maison Vale

Le jeudi 20 novembre, cinq élèves du comité OUICare de l’école secondaire Hanmer se sont rendus à la Maison Vale Hospice a n de remettre un chèque de $ 500 à la résidence.

OUICare est un comité de bienfaisance qui organise un grand nombre de collectes de fonds au sein de l’école. Entre autres, les élèves ont rasé la tête de leur directeur d’école et ont fait la vente de bonbongrammes à l'Halloween. De plus, ils ont fait la collecte de canettes d’aluminium, de bouteilles vides, d’argent Canadian Tire et de dons monétaires a n de récolté l’argent qui a été donné à la Maison Vale Hospice.

Les élèves de ce groupe philanthropique était ravis de

remettre le chèque en personne et de faire une tournée de l’établissement qu'ils ont aidé. Léo Therrien, le directeur de la Maison, et deux de ses collègues ont chaleureusement servi un diner aux élèves.

«La Maison Vale Hospice est une place un lieu paisible pour les personnes qui se rapprochent de la n de leur vie», a dit Coralie Chevalier, un des élèves du groupe. «Nous

sommes très ers du travail de nos élèves et de notre personnel dévoué, a ajouté Jean Bigras, directeur de l’école secondaire Hanmer. C’est important que les élèves se rendent compte de la valeur de redonner à leur communauté.»

Les élèves et le personnel du comité OUICare ont aussi èrement envoyé un chèque de 500 $ à Enfants Entraide.

Les élèves Coralie Chevalier, Sophie Ménard, Martine Mallet-Thériault, Miriame Bédard et Vincent Villeneuve

HANMERPhoto : Courtoisie

Un forum intéressant

Les 24 et 25 novembre, Josée Lamoureux, une élève de la 10e année, et Cassie Lafortune, de la 8e année de l'école de la Rivière-des-Français ont participé au forum des jeunes Ontario sans fumée au Centre Cedar Glen du YMCA à Schomberg, en Ontario. Cet évènement était organisé par YATI, OPHEA et la Commission des étudiants. Lors de ce forum, ces deux élèves ont participé à plusieurs activités qui étaient toutes dirigées par et pour les jeunes. Josée et Cassie ont aussi interprété la chanson Ça y est, qui a été enregistrée

l'an dernier par un groupe d’élèves de l’école. De plus, elles ont présenté l'annonce publicitaire qui a été lmée par ces mêmes élèves cette année. Les membres de l’équipe OSF 2014-2015 sont Josée Lamoureux, Cassie Lafortune, Amika Gauthier, Chase Duval, Émelie Keenan, Alexie Séguin et Angel Duval. Un grand merci à Daniel Prévost, des Services de santé publique, qui est responsable de ce groupe. Pour voir l'annonce publicitaire, consultez la page Facebook de l’école ou suivez la discussion via Twitter à #forumOphea2014.

NOËLVILLE

Photos : Courtoisie

L’apprentissage par le jeu

Hanmer – En apprenant par le jeu et en petits groupes, les enfants de la maternelle et du jardin de l’école publique Foyer-Jeunesse obtiennent une base solide pour l'apprentissage dans plusieurs domaines, dont le langage et le calcul. Ils développent des aptitudes sociales et a ectives

grâce à leur interaction avec leurs camarades. Les élèves apprennent à partir de leurs connaissances antérieures et de leur vécu. Ils font des découvertes au sujet de carrières variées, ils font des additions en participant à un jeu de société et ils apprennent du vocabulaire tout en créant un restaurant.

NOËLVILLE

Photo : Courtoisie

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17CONSEILS SCOLAIRES Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.

conseils Conseil scolaire du Nord-Est de l'OntarioL'enfant au cœur de nos décisions!

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* École publique Passeport JeunesseMaternelle à la 10e

Hearst Tél. : 705.362.7111

* École publique Le Coeur du NordMaternelle à la 8e

Kapuskasing Tél. : 705.335.2199

* École publique Étoile du NordMaternelle à la 8e

Iroquois Falls Tél. : 705.232.2000

* École publique des NavigateursMaternelle à la 8e

New Liskeard Tél. : 705.647.8700

* École publique Lionel-GauthierMaternelle à la 6e

Timmins Tél. : 705.264.3858

École publique Jeunesse ActiveMaternelle à la 8e

Sturgeon Falls Tél. : 705.753.4770

École publique HéritageMaternelle à la 6e

North Bay Tél. : 705.497.8700

* Journée d’inscriptions le mardi 27 janvier 2015Communiquez avec l’école publique de votre communauté

Denis Labelle, DHA : président Roch Gallien : directeur de l’éducationcspne.ca

Au public, c’est comme ça !

Vous commencez à y penser?Inscriptions à la maternelle : Septembre 2015Choisissez l’école publique de langue française pour votre enfant !

Une saison parfaite pour les Jags

L’équipe de ballon-panier des lles de la 7e et 8e année de l’école publique Renaissance de Timmins a réussi tout un exploit. Elles ont complété la sai-son régulière de leur division, et ce, sans aucune défaite. Deux membres de l’équipe fréquentent l’école pu-blique Lionel-Gauthier et elles ont participé à la cueillette des nom-breuses victoires de l’automne 2014. Bravo aux lles et aux entraineurs pour une superbe saison!

TIMMINSPhoto : Courtoisie

Une petite bouchée pour le diabète

Le diabète peut être di cile et a un impact sur le quotidien et la vie de 366 millions de personnes et leur famille qui vivent avec le diabète. Pour démontrer l’appui des élèves et du personnel de l’école publique

Le Cœur du Nord de Kapuskasing, tout le monde était invité à porter du bleu. De plus, un petit déjeuner équilibré était servi aux élèves. Il avait été préparé par les élèves de l’école secondaire publique Écho du Nord. Belle initiative de sensibilisation conjointe!

KAPUSKASING

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Dragons et Phénix dans la parade

La période festive est bien lancée dans la région de North Bay. D’ailleurs, les écoles publiques Héritage et Odyssée participaient

èrement à la parade du temps des

Fêtes tenue le 23 novembre dernier. C’est tout en couleur que les écoles ont présenté leur char allégorique et partagé la joie qui entoure cette saison remplie de bonheur, de joie et de grande générosité.

NORTH BAY

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Le Voyageur offre ses plus sincères condoléances à toutes les familles éprouvées.

18 AVIS DE DÉCÈS18

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AHO, George est décédé, entouré de sa famille, le mercredi 19 novembre 2014 à l’âge de 75 ans. Époux bienaimé de 48 ans de Madeleine (née Lafond) Aho. Cher père de Paul Aho (Diana) et Pauline Guerra (Anthony), du Texas. Cher grand-père de Carl Aho, Victoria Aho, Austin Guerra, Nathan Guerra et Morgan Guerra. Cher frère d’Ingrid Saikonen, de Lindsay, et feu Anita (Simola). Fils de feu Alfred et feu Tynne (née Jokelin) Aho. Cher beau-frère de Diane MacCumber (Murray), Donald Lafond (Susan), Robert Lafond (Connie), Laurelle St. Amant (feu Neil) et Marcel (Tracey Gilles). Gendre de feu Roger Lafond et feu Béatrice (née Labelle) Lafond. Il laisse également dans le deuil ses 16 neveux et nièces.

BAKER, Thomas Joseph est décédé à Sudbury le vendredi 21 novembre 2014 à l’âge vénérable de 92 ans. Fils de feu Thomas Joseph Baker et Gladys (née Mable) Baker. Il sera grandement regretté par ses chers enfants, Cathy Adamo, Patricia Baker et Barbara Ellen La eche (Ron), et par Stacey Easton, sa lle «honoraire». Prédécédé par son frère, Harry Baker. Ses petits-enfants, Darryl, Carla, Rachel, Alice, Tom, Russell, Rhiannon, Bridget, Pamela et Austin, son petit- ls «honoraire», garderont de doux souvenirs de lui. Cher oncle de Michael, Howard, Stuart et Peggy. Il sera regretté par son

dèle compagnon, Patchy, ainsi que par plusieurs amis et voisins.

BÉLANGER, Denise (née Aubertin) est décédée à Sudbury le mardi 18 novembre 2014 à l’âge de 59 ans. Fille de feu Cérola (née Martin) et Armand Aubertin. Épouse de feu Laurier Bélanger. Chère compagne de Gérard Lapierre et belle- lle de Rita (feu Dave Bélanger). Mère bienaimée de Tammie Sullivan (Leo) et Laurent «Larry» Bélanger (Shannon). Memère chérie de Tia, Hunter, Morgan et Sophie. Elle laisse également dans le deuil ses frères et sœurs, Gilles (Betty), Linda, Suzanne Ryan (Ken), Gérald (Annabelle), Yvon (Sonia), Diane Lepage (Bernard), Pauline Brabant (Marcel), Jacqueline Payne (Andre), Lise Benoit (Everett Blacklock) et Anne Kirkpatrick (John). Prédécédée par sa sœur, Lorraine, et son frère, Raymond (Sharon). Raymond Benoit, Connie Blais ainsi que d’autres membres de sa famille et plusieurs amis la regretteront également.

BIELANSKI, Krystyna «Kiki» (née Brill) est décédée à l'Hôpital St-Joseph d'Elliot Lake le mardi 24 novembre 2014 à l'âge de 78 ans. Épouse bienaimée de feu Stanislaw Bielanski, prédécédé en 2004. Chère mère de Stanley Bielanski, feu Henry Bielanski, Edward Bielanski (épouse Kathy) et feu Christopher Bielanski. Chère «babcia» de Henry Jr (Kristin), Ashley (Brodie), Eryn, Samantha, feu Dina et Karina. Arrière-grand-mère de Blake. Fille de feu Julia (née Ruba) et Alexander Brill. Chère sœur d'Alex Brill. Elle laisse également dans le deuil ses neveux et nièces au Canada et en Pologne.

BJERKNES, Aage «Yogi» est décédé au Regional Hospital d’Edmundston (Nouveau-Brunswick). Époux bienaimé de feu Carolyn (née Martel) Bjerknes. Cher compagnon de Mona (née Bouchard) Michaud, de Drummond (Nouveau-Brunswick). Cher père de Loretta Bjerknes, Sean Bjerknes et Melisa Bjerknes (époux Donald Wurster). Cher grand-père de

Courtney Bjerknes, Ashton Bjerknes et April Bjerknes. Cher frère de Richard Bjerknes (Bernadette), Ron «Cappy» Bjerknes (feu Sandy), Darlene Dunkley (Randy) et Kris Bjerknes (Martha). Cher beau-frère de Judy Green (Rick). Il laisse également dans le deuil plusieurs neveux et nièces ainsi que les membres de la famille de Mona, Céline Michaud, Monique Michaud, Michel Michaud et Christine Michaud.

BLAIS, Yvan Roger est décédé à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le vendredi 28 novembre 2014 à l'âge de 87 ans. Fils de feu Joseph et feu Marie Louise (née Parent) Blais. Époux bienaimé de Clair Blais. Prédécédé par ses frères, Roméo, Hector, Léo et Robert Blais. Il sera regretté par Tracey Sheehand et ses enfants, Caitlin, Cooper et Lorie Graham (époux Scott), et ses petits-enfants, Gatlin et Emilie. Chère belle-sœur de Rita Lapointe, Aline Machin, Roma Miron (épouse Angèle), Roger Miron, André Miron (épouse Mado Toupin) et Lucien Miron. Il sera également regretté par ses amis, Guy Lafrance et son ls Éric, Denis Lafrance, Bob et Lynn Gilbert, Mike et Denise Swiatek.

BUREAU, Gaetan Joseph «Gates» est décédé paisiblement à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury, sa chère famille à son chevet, le vendredi 21 novembre 2014 à l’âge de 50 ans. Partenaire bienaimé de Sue Pedwell. Il laisse également dans le deuil sa mère, Rolande Vachon, ainsi que ses frères et sœurs, Lise Ritter, Yves Bureau, Jacques Bureau (partenaire Gisèle Contant), Raymond Bureau et Nicole Bureau. Fils de feu Leo Bureau. Il sera chaleureusement regretté par plusieurs nièces, neveux, amis et membres de sa famille par association.

CASE, Jeanne Brenhilda (née Sobers) est décédée paisiblement à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le jeudi 20 novembre 2014 à l'âge de 83 ans. Épouse bienaimée de feu Winslow Case, prédécédé en 2004. Chère mère d'Anne Roise, Arlene Case et David Case. Chère grand-mère de Joshua Roise. Chère lle de Colvin et Geraldine Sobers. Chère sœur de Walter Sobers, Monica Sobers et Daphne Bisphaim. Elle laisse également dans le deuil plusieurs neveux, nièces et amis au Canada, en Angleterre et aux Caraïbes.

COUTURE, Orval «Ovila» est décédé à Chelmsford le samedi 29 novembre 2014 à l'âge de 84 ans. Fils de feu Louis et feu Sara (née Fournier) Couture. Époux bienaimé de feu Lorraine (née Graham) Couture. Cher père de Carol Winch (Gord), Brian (Maureen), Randy (Suzanne), Cathie Rorberg (Je ), Kelly et Mark Couture. Cher frère de Claudette Sabourin (feu Guy), feu Carmen, feu Fernand, feu Fernande et feu Paul Couture. Cher grand-père d'Aaron, Kara, Brandi, Buddy, David, Ryan, Alyssa, Zac, Ashley, Kevin et Evan. Il laisse également dans le deuil ses arrière-petits-enfants.

CUNNINGHAM, Glena Marie est décédée à la Maison Vale Hospice de Sudbury le dimanche 23 novembre 2014 à l'âge de 68 ans. Chère lle de Marie Gladys Brightman Cunningham, de Sudbury, et feu William Burton Cunningham. Épouse bienaimée de Norman Proulx. Chère mère de Sheila Proulx (époux Carter Elsasser), de

Sudbury, Kenneth Proulx ( ancée Christina), de Fort McMurry (Alberta) et Patrick Proulx (épouse Jennifer Labelle Proulx), de North Bay. Chère belle-mère de Kathy Bennet. Chère grand-mère de Justin, Michaela, Nathan, Leah, Brittany et Mercedes. Chère sœur de James Cunningham (épouse feu Pat), feu Beverly Picard (époux André Picard) et Anne Watts (époux Frank). Sœur adoptive de Mark Sancouy. Mère adoptive de Robert Grenier. Elle laisse également dans le deuil plusieurs neveux et nièces.

DALLE VEDOVE, Phil est décédé à l’Extendicare Falconbridge de Sudbury, entouré de sa chère famille, le lundi 24 novembre 2014 à l’âge de 78 ans. Fils de Santo et Inez (née Mazza) Dalle Vedove. Époux bienaimé d’Ann (née Samborski) Dalle Vedove. Cher père de Debbie Dalle Vedove (Richard Preyde), Laura Falvo, Danny Dalle Vedove et Phillip Dalle Vedove (Rachelle). Cher «nonno» de Deanna, Marissa, Sara, Philip, Emme et Paige. Cher frère d’Angela (feu Onelio Sera ni), Louise (Randy Dussiaume) et Madelyn Dalle Vedove. Gendre de feu Jennie Samborski, prédécédée en 2013). Il laisse dans le deuil plusieurs neveux, nièces, cousins, cousines et amis. Il sera également regretté par Karen Hastie ( lle Hailey).

DEETH, Alan est décédé paisiblement à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury, entouré de sa chère famille, le mercredi 26 novembre 2014 à l'âge de 79 ans. Époux bienaimé de 54 ans de Mary Margaret (née Caswell) Deeth. Cher père de Tom, Bev, Bob, Shelley et Ted Deeth. Cher grand-père de Chelsey, Jake, Ainsley et Paige. Cher beau-frère de Craig (Elaine), feu Laura Jean (feu John, Gino), feu Corky (feu Irene) et Ruthie (feu Brian, Don). Cher oncle de Leslie, Heather, feu Johnny, Garnet, Neil, Brent, Bernard, Bill, Steve et Heidi.

DEMINION, Olga (née Chirsky) est décédée paisiblement au Centre de soins continus St-Joseph de Sudbury, entourée de sa chère famille, le mercredi 26 novembre 2014 à l’âge de 85 ans. Épouse bienaimée de feu Thomas Joseph Deminion, prédécédé en 1988. Chère mère de Frances Deminion, Michael Deminion (épouse Leslee) et Daniel Deminion (épouse Angela). Chère «baba» de Lila (époux Michael Jermey), Bruce (Natalie Stanhope), Krista (époux Michael McNaney) et Robert. Arrière-grand-mère de Sydney. Fille de feu Joanna (née Harlivitch) et Nicholas Chirsky. Chère sœur d’Alex, Walter, Helen, Mary, Stella et Michael Chirsky, tous prédécédés. Elle laisse également dans le deuil plusieurs neveux et nièces.

DOWSE, Donald «Don» William est décédé à la Maison Vale Hospice de Sudbury le mercredi 26 novembre 2014 à l’âge de 76 ans. Époux bienaimé de 51 ans de Frances (née Faught) Dowse, de Sudbury. Cher père d’Alison Aubin (Alain), de Sudbury, et Paul Dowse, de Lloydminster. Cher grand-père d’Adam (Emilie), Lindsay, Mackenzie et Sarah. Cher frère de Joy (feu Tom), de Sudbury, Bunny (Dale), de l’Alberta, Stanley Dowse (Monique), de l’île Manitoulin, feu Dorothy (Merv) et feu Lorraine. Cher beau-frère de Jacqueline (Ray), de Sarnia, et Donat, de Hanmer. Fils de feu Percy et feu Edith (née Lockwood) Dowse.

DUBE, David «Dave» Joseph est décédé à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury, entouré de sa chère famille, le mardi 18 novembre 2014 à l’âge de 50 ans. Époux bienaimé de Barb (née Wilson) Dube, de Sudbury. Fils bienaimé de Jack et Bruna Dube, de Sudbury. Cher frère de Ti any (C.J. Kovelowski), du Connecticut. Petit- ls de feu Giuseppe et Monica Biscaro. Cher gendre de May Wilson (feu Tom, prédécédé en 1994), de Sudbury. Cher beau-frère de Steven (Melanie), d’Ajax, Pamela (Anthony Ferrara), de Scarborough, et Cathie Wilson, de Brampton. Cher oncle de Jake, Isabella, Luke, Christopher, Scott, Lucas, Cole et Jessica. Oncle «honoraire» de Jaime Belyea, Victoria Belyea, Jared Scott, Callum Bruce, Liam Bruce et Tyler Smith. Il laisse également dans le deuil plusieurs oncles, tantes, cousins et cousines ainsi que les membres de la famille Maki.

DUKE, Marguerite May (née Fulcher) est décédée paisiblement à l’Extendicare Falconbridge de Sudbury, entourée de ses êtres chers, le mercredi 19 novembre 2014. Épouse bienaimée de feu Roy Duke. Chère mère de Stephen Duke (Jackie), de Garson, Scott Duke (Janet), de Naughton, et feu Susan. Chère sœur de Betty Lebarr (Lloyd), de Bracebridge, feu Shirley, feu Dorothysons et feu Bill Fulcher. Chère grand-mère de Sarah, Lauri, Christopher, Drew, Adam et Rebecca. Arrière-grand-mère d’Addison, Owen, Ethan et Spencer.

FRATIN, Trever David est décédé à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le jeudi 20 novembre 2014 à l'âge de 33 ans. Fils bienaimé de Grace (née Santi) Fratin et feu Dario Fratin, prédécédé en octobre 2012. Cher frère de Stephen Fratin (épouse Natalie Lemieux) et Jamie Fratin (épouse Celina Van Druenen). Cher «zio» de Jett, Reid, Kyra et Giulia. Neveu spécial de Lee et Sam Sloat, Gino et Susan Santi, Lucia Parolin (feu Bruno Parolin) (Leif Hanson), Anna Fratin (époux feu Dominico) et Teresa Fratin (feu Giovanni). Il laisse également dans le deuil plusieurs cousins et cousines.

GERVAIS, Lillian Viola (née Therriault) est décédée à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le lundi 24 novembre 2014 à l’âge de 53 ans. Épouse bienaimée de Claude Gervais. Chère mère de Melissa Monahan (compagnon Evan). Chère sœur de Janet Therriault (feu Carl Steed), Thomas Therriault (Angela), Douglas Therriault (Lilianne), feu Suzanne Therriault et feu Gordon Therriault. Fille de feu Thomas et feu Mary (née Oskineegish) Therriault. Elle laisse également dans le deuil plusieurs neveux et nièces.

GERVAIS, Mendoza est décédé paisiblement à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le jeudi 27 novembre 2014 à l'âge de 87 ans. Père bienaimé de Lorie Paul (époux Glenn), Carmen (Cli ord Brunelle), Mandy (épouse Ginette), feu Ronald Larabie et feu Brian Gratton. Cher «poppa» de Tara-Lynn, Chelbi, Danielle et Chloe. Fils de feu Adelard Gervais et feu Beatrice Bertrand. Il laisse également dans le deuil plusieurs neveux, nièces, cousins et cousines.

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1919AVIS DE DÉCÈS

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KERR, Gerald Vincent «Jerry» est décédé paisiblement à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury, entouré de sa chère famille, le jeudi 27 novembre 2014 à l'âge de 91 ans. Époux bienaimé de feu Viola (née Marenger) Kerr, prédécédée en 1994. Cher père de Charmaine (époux Robert Antoine) et Marc T. Kerr (compagne Diane). Cher «pepere» de Robert Jr (Natalie), Yvan (Nikkie), Jennifer (Jamie Gibson), Mylie (John), Eric et David. Arrière-grand-père de Wesley, Sadie, Christopher, Caleb, Madison, Kaelynn et Letesha. Fils de feu Sarah Jane (née Gough) et John Kerr. Frère de Dave Kerr (Ann), Stanley Kerr (Nora) et Jack Kerr (Elsie), tous prédécédés. Ami spécial de Pearl Serpell. Il laisse également dans le deuil plusieurs neveux et nièces.

KOSARCHYN, Stephan John est décédé subitement à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le mercredi 12 novembre 2014 à l’âge de 63 ans. Fils de feu Sam, prédécédé en 1991, et feu Iwanna Kosarchyn, prédécédée en 2004. Cher compagnon de Catherine Dow, de Sudbury. Cher cousin de Tanja Wacyk (époux Greg Spencer), Maria Wacyk (époux Frank Polan), toutes deux de Toronto, et Peter Mandryk (épouse Cheryl), de l’Australie.

LEBLANC, Dorothy «Dot» (née Desjardins) est décédée paisiblement au Finlandia Village de Sudbury le jeudi 20 novembre 2014 à l'âge de 76 ans. Épouse bienaimée de feu Roy LeBlanc, prédécédé en 1991. Chère mère de Sandra LeBlanc, Rick LeBlanc (Judy) et Leo LeBlanc (Rose). Chère grand-mère de Corrie-Anne Blais (Robert), Jennifer Brouse (Troy), Tanis Wallrich (Matt), Trista LeBlanc (Connor) et Keanna LeBlanc. Arrière-grand-mère de Rae-Ann, R.J., Tren et Noah. Fille de feu Peter et feu Bertha Desjardins. Chère sœur de Léo Desjardins, feu Ellen Stryklaa (Joe), Wayne Desjardins (Joanne), Gloria White (Bruce), Brian Desjardins (Frances) et feu Violet Goudreau (feu Sam). Elle laisse également dans le deuil plusieurs neveux et nièces.

LORTIE, Harry est décédé à Sudbury le dimanche 23 novembre 2014 à l’âge de 79 ans. Époux bienaimé de Yollande (née Marcotte) Lortie, de Sudbury. Fils de feu Arthur et Julia (née Boulrice) Lortie. Père chéri de Cheryl Ingram (Brian), d’Owen Sound, Randy Lortie (Anne), d’Elliot Lake, et Martin Lortie (Brenda), de Kingston. Cher beau-père d’Anna Lacoursière (Randy), de Sudbury. Prédécédé par son beau-

ls, Alain Lacoursière (feu Kerrie Leblanc). Lui survivent ses deux frères et ses cinq sœurs. Prédécédé par trois frères. Ses petits-enfants, arrière-petits-enfants ainsi que les enfants et arrière-petits-enfants de ses beaux-enfants se souviendront de lui avec amour. Il sera également regretté par plusieurs nièces, neveux, parents et amis.

LOWE, Frederick Nelson Peter est décédé paisiblement à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le lundi 24 novembre 2014 à l'âge de 64 ans. Fils de feu Samuel Nelson Lowe et Gertrude Neuner. Cher frère de Linda Maria, de Newmarket, Shirley Lalonde (Gerry), de Sudbury, et feu Edward Anthony Lowe. Il sera grandement regretté par ses neveux, Trevor et Je rey.

MARTIN, André est décédé subitement à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le mercredi 19 novembre 2014 à l'âge de 55 ans. Fils de feu Henri et feu Gracia (née Therrien) Martin. Cher frère d'Archil Martin (épouse Susan), Angèle Depatie (époux Gilbert), Maurice Martin (épouse Ellen), Rhéal Martin (épouse Pierrette) et Jacqueline Singer (époux Daniel). Il laisse également dans le deuil plusieurs neveux et nièces.

MASTORAKIS, George est décédé à l'Extendicare York de Sudbury le dimanche 23 novembre 2014 à l'âge de 73 ans. Il laisse dans le deuil sa lle, Sophia Mastorakis, et la mère de celle-ci, Lorrie Laderoute. Chère belle-mère de Brooke Smith-Laderoute. Elle sera également regrettée par les membres de sa famille étendue.

McLAUGHLIN, Jessa Dianne est décédée au Sick Kids Hospital de Toronto, dans les bras de ses parents, le dimanche 23 novembre 2014 à l’âge de trois mois. Fille bienaimée de Jason et Jennifer (née Baumhour) McLaughlin. Chère sœur de Jaycob et feu Matthew, prédécédé en 2008. Chère petite- lle de Kenneth et Diane (née Cayer) McLaughlin, Dennis et Dian Holmes, et feu Douglas Baumhour, prédécédé en 2014. Nièce spéciale de Kevin McLaughlin et Shannon Baumhour. Chère cousine de Benjamin, Adam et Connor McLaughlin, et cousine «honoraire» de Gabrielle et Alexa Goulard. Chère lleule de René et Melinda Goulard. Elle laisse également dans le deuil plusieurs parents et amis.

MILKS, Alice Jean (née Goddard) est décédée paisiblement à l'Extendicare York de Sudbury, entourée de sa famille, le jeudi 20 novembre 2014. Épouse bienaimée de 61 ans de feu Basil A. Milks, prédécédé en 2011. Chère mère de Robert Milks (Helen), de Winnipeg, Mary Ann Ricker, Nancy Hanhimaki (Jim), Ronnie Milks (Marta) et Bobbi Deisinger (Richard), tous les quatre de Sudbury. Chère grand-mère de Jamie Ricker (Candace), Jenn Joncas (Steve), feu Ashley Alice Hanhimaki, prédécédée en 1984, Matthew Hanhimaki (Christine), Christopher Hanhimaki, Greg Milks, Tori Milks, Roslyn Deisinger, Willem Derisinger, April Deisinger, tous de Sudbury, Julie Charbonneau, de Stratford, Dylan Milks (Tesha), Christian Milks (Shannon) et Sarah Milks, tous les trois de Winnipeg. Arrière-grand-mère de Jasmine Rafuse, Jonavan O’Reilly, tous deux de Stratford, Jacob Ricker, Lila Ricker, Beatrix Ann Joncas et Danika Hanhimaki, tous les quatre de Sudbury. Fille de feu Philip et feu Alice Goddard. Chère sœur de Phyllis Bissonnette (feu Cecil), Dorothy Crosier (feu Len) et Beth Fortin (feu Gary). Demi-sœur de Joe Martell, Nancy Young, Art Goddard, Doug Goddard et Raymond Goddard, tous prédécédés. Chère belle-soeur de Patricia Milks, Garnet Milks et feu Mary Milks. Elle laisse également dans le deuil plusieurs neveux, nièces, cousins et cousines.

OSBORNE, Mary Catherine Mick (Kay) (née Dempsey) est décédée à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le vendredi 28 novembre 2014. Mère bienaimée de Doug Osborne (Lanyin), feu Brian Osborne, Terry Osborne (Becky), Robert Osborne, Wendy McLaren (Orville) et Tracey Lowther (David). Chère grand-mère de Nicole Ryan (Henrik), Shawn McLaren, Amanda Hohmann, Sara McCleary (Mike), Kayla Venturi (Nick), Devin Osborne et Kyle Lowther. Prédécédée par ses

frères et sœurs, Mike Dempsey, Helen Ryan, Jack Dempsey et Joan Woods. Il laisse dans le deuil ses six arrière-petits-enfants et plusieurs neveux et nièces.

OSBURN, Deborah «Debbie» est décédée à sa résidence le mercredi 26 novembre 2014 à l'âge de 58 ans. Épouse bienaimée de Robert Murray. Chère mère de Jennifer Fleet (Mike), Jessica Robin, Jennifer Murray, Angela Lyttle (Barry Fenby) et Eric Murray (Danyii). Chère grand-mère de Kaley, Gri on, Braden, Logan, Ariellah, Lilly, Gabriel, Kaia et Jaelyn. Chère sœur d'Alan Porter (Wanda), Rodney, Charlene Charette (Gaston), John Osburn (Debbie), Kevin Osburn (Ann) et Tena Osburn. Fille de feu Sterling «Ozzy» et feu Claire (née Porter) Osburn. Elle laisse également dans le deuil plusieurs neveux, nièces, membres de sa famille étendue et amis.

PULVERMACHER, Honorine Cecile (née Ritchie) est décédée au Manoir des pionniers de Sudbury le mardi 25 novembre 2014 à l’âge de 82 ans. Épouse bienaimée de feu Raymond Pulvermacher. Chère mère d’Alan Pulvermacher (Louise), Brian Pulvermacher (Nadia), Gary Pulvermacher (Audrey) et Glenn Pulvermacher (Robin). Chère grand-mère de Je rey (Trina), Shawn (Tina), Amy, Mirko (Guylaine), Stephano (Amanda), Raymond (Kennedy), Jessy (Jean-Marc) et Melissa (Garrett). Arrière-grand-mère d’Emily, Madison, Abby, Evie, Ethan, Venessa, Camryn, Isabella, Lorenzo, Kaden et Kailey. Fille de feu Joseph et feu Leonia Ritchie. Prédécédée par ses deux frères et trois sœurs.

RAINVILLE, Hélène (née Lessard) est décédée à Sudbury le mardi 25 novembre 2014 à l’âge de 68 ans. Épouse de feu Roger Rainville. Chère lle de Madeleine (née Lacourcière) Mousseau et feu Lorenzo Lessard. Mère bienaimée de Rick (Chantale), Mimi (Louis), Rob (Claudette), Monique (Bruno) et Manon (Bryan). Chère sœur de Pauline Bourgeois (feu Gérard), Jean-Paul Lessard (Karen), Fern Michel (Claudette) et Taro Michel (Nicole). Prédécédée par son frère, Denis Lessard (Thérèse), et sa sœur, Pierette Bellemare (feu Rhéal). Elle sera également regrettée par ses petits-enfants, Roger, Daniel, Michel, Mel, Roxanne, Kevin, Kettlyn, Rhéal, Jasmine, Pierrette, Taya et Tyler, et ses arrière-petits-enfants.

ROBERT, Aline (née Brunet) est décédée à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury le jeudi 20 novembre 2014 à l'âge de 83 ans. Aline est née le 20 octobre 1931 à Cochrane. Fille de feu Olier et feu Aurore (née Gendreau) Brunet. Prédécédée en 1999 par son époux, George Robert. Mère bienaimée de Luc (Lise), Marc (amie Lynn), Joel (Karen) et Paul. Grand-maman chérie de Janik Aubin-Robert et arrière-grand-maman de Theo. Sœur de feu Jeannine Therrien (feu Réal) et feu Roland Brunet. Elle laisse dans le deuil Georgette Foster (feu Gerald) et Armande Kadiko (feu Louis).

SAVAGE, Lorraine (née Benoit) est décédée à Sudbury le vendredi 21 novembre 2014 à l’âge de 80 ans. Épouse de feu Romeo Savage. Fille de feu Joe et Lina (née Lacourse) Benoit. Mère bienaimée de Linda Savage (Julien), Suzanne Edwardson (Gord), Michael Savage (Carole) et Ronald Savage (Linda). Prédécédée par ses

frères, Raoul Benoit et Rudy Benoit (feu Gail), et sa sœur, Georgette Schelstad (feu Marvin). Ses petits-enfants, Gilles, Lynne, Carole, Eric, Ron Jr, Michel, Derek et Tina, garderont de doux souvenirs de sa tendresse. Fière arrière-grand-maman de Courtney, Melissa, Ashley, Bailey, Riley, Danika, Myla, Eastyn, Emmy-Lee, Colton, Gabrielle, Danika et Hunter.

SEVIGNY, Patrick John est décédé à Sudbury le lundi 24 novembre 2014 à l’âge de 67 ans. Fils de feu Edmund et Irene (née Carty) Sevigny. Père bienaimé de Bleir Millions (Melissa), de Sudbury, et Joanna Millions (Shawn), de Hamilton. Cher frère de Colleen Carty, Joe Sevigny (Linda), Max Sevigny (Theresa), Paul Sevigny (feu Linda), tous de Sudbury, Margaret Van Allen, d’Orillia, et Mary Therrien (Denis), de Blezard Valley. Grand-papa chéri de Jade, Drake et Charlotte.

SHEPPARD, Thomas Saxton est décédé le lundi 24 novembre 2014 à l’âge de 93 ans. Fils de feu Beatrice et Harold Sheppard. Père bienaimé de Harry Sheppard (épouse Susan), feu Erie Crawley et feu Sarah Harrington. Cher grand-père de Thomas Crawley, de Vancouver. Cher frère d’Alison Sheppard, de Toronto, et feu Molly Sheppard.

TAIT, William «Bill» est décédé à sa résidence de Sudbury le mercredi 26 novembre 2014 à l'âge de 60 ans. Époux bienaimé de 40 ans de Paulette (née Marier) Tait. Cher père de David Tait (Louisa), de Lively. Cher grand-père d'Alex, Ethan et Logan. Cher ls de Gordon et Ruth Tait, de Sudbury. Cher frère de Bob Tait (Alison), Wendell Tait (Anne), Bruce Tait (Carole) et Wanda Kett, tous de Sudbury. Il laisse également dans le deuil plusieurs neveux et nièces.

TRAHAN, Helen (née Somers) est décédée paisiblement à Health Sciences North / Horizon Santé-Nord de Sudbury, entourée de sa chère famille, le vendredi 28 novembre 2014 à l'âge de 85 ans. Épouse bienaimée de Patrick Trahan, de Lively. Chère mère de Gary (Gisele), d'Onaping, et Lori (Simon Ibrahim), d'Ottawa. Chère grand-mère de Nicole Lafreniere (Phil), de Chelmsford, Elyse Trahan (Brent Harmiden), de Sudbury, Taylor, d'Onaping, et Jacob, d'Ottawa. Arrière-grand-mère de Maverick et Eric Lafreniere. Chère sœur de Peggy Somers, de Sarnia, feu Claude, feu Basil, feu Muriel, feu Gerald, feu Bruce, feu Nora Alkins (Tommy), Lillian Couroux (Tony) et feu Clive Somers (Eunice). Chère belle-sœur de Gerry Somers, de Penticton (Colombie-Britannique). Fille de feu William et feu Mabel Somers, de Cache Bay. Elle laisse également dans le deuil plusieurs neveux, nièces, parents et amis.

TREITZ, Albert est décédé à Sudbury le lundi 24 novembre 2014 à l’âge de 74 ans. Époux bienaimé de 52 ans de Helen (née Kingsley), de Val Caron. Fils de feu Arthur et Exilda (née Laforest) Treitz. Il laisse également dans le deuil ses enfants, David (épouse Shelley) et Tina (époux Tomm Orendor ). Prédécédé en 2010 par sa

lle, Kimberley Ann. Cher frère de Richard Treitz (épouse Lorraine) et Linda Simonini (feu Larry). Grand-papa chéri de Jesse, Kira, Krista et Destiny (époux Matt). Il sera également regretté par plusieurs nièces, neveux, parents et amis.

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Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.20 ACTUALITÉ

Textes : Claire Pilon

le dialogue

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L’esprit de Noël

Les membres du comité de pastorale de l’école secondaire du Sacré-Cœur ont organisé l’activité Opération enfants de Noël pour permettre aux enfants de pays en voie de développement d’avoir un beau Noël.

Selon le responsable de l’activité et enseignant à l’école du Sacré-Cœur, Opération enfants de Noël est un projet de la Bourse du Samaritain qui permet de combler de joie les

enfants de pays sous-développés. «Grâce à la participation des élèves et du personnel scolaire, nous avons préparé 139 boites de Noël qui seront distribués dans les pays défavorisés», dit-il. Selon ce dernier, les boites à chaussures étaient remplies de jouets, de fournitures scolaires et d’articles hygiéniques.

«Par ce geste, la communauté scolaire de Sacré-Cœur souhaite permettre à ces enfants de célé-brer cette fête importante», ajoute M. Chartrand.

Photo : Courtoisie

SUDBURY

Alex Zannier, Danica Rivard, Haley Green et Danielle Pominville

Des livres en abondance

Encore une fois cette année, l’école St-Joseph de Sudbury a donné aux élèves et aux parents l’occasion de se procurer de beaux livres en français.

«La Foire du livre avait lieu à l’école St-Joseph le 20 novembre et proposait une excellente sélection de

livres pour petits et grands», indique la directrice de l’école, Christine Laframboise. Selon cette dernière la vente était une excellence occasion d’o rir aux parents des choix judicieux pour des cadeaux de Noël.

«Sous la tutelle de la bibliotechni-cienne, Gaetanne Gauthier, des cen-

taines d’exemplaires de livres étaient mis à la disposition des élèves», dit-elle. Près de 150 personnes ont pro-

té de cette foire. Les livres prove-naient de Livres Scolastic.

«L’école a aussi pro té de cette vente, puisqu’elle gardait 25 % des pro ts», souligne Mme Laframboise.

SUDBURY

Niharika Bradley, Alexis Côté, Shane Cobbs et Ange Goho

Photo : Courtoisie

Un franc succès

Le Thé de Noël de la paroisse St-Jean-de-Brébeuf a été un vrai succès avec un pro t net de plus de 15 000 $. La gagnante du tirage 50/50, qui a remporté la somme de 3 000 $, est Marguerite Vincent. Le tirage a rapporté 6 000 $.

«Le Thé de Noël est un projet d’en-semble qui nécessite la collaboration de tous, Ce n’est pas le projet d’une seule personne, mais le résultat d’une vision communautaire ancrée dans la foi», explique le responsable de la

paroisse, Mgr Jean-Paul Jolicoeur. Il désire remercier tous ceux et celles qui ont aidé d’une façon quelconque.

En brefLa paroisse St-Jean-de-Brébeuf distribuera plus de 400 paniers de Noël s aux familles démunies et plus de 400 billets ont été distribués pour le Souper-partage, qui aura lieu le 13 décembre à la paroisse.

* * *

La paroisse St-Jean-de-Brébeuf a reçu un don de 1 000 $ pour aider les nécessiteux de la paroisse. L’argent est un don des membres du Club Richelieu Féminin. Merci à Nicole Taillon, Madeleine Michel et Jeannine Rouleau, qui ont fait le don au nom du Club.

Laurier Frappier, Madeleine Michel, Jules Dubé, Claudia Peloso, Jocelyn Robichaud

et Anton Plosingac; devant : Marguerite Vincent et Lucille Dignard

SUDBURY

Photo : Courtoisie

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SUDBURY

B2Je n’y suis plus au TNO :Un monologue épatant, bien rythmé

Vol. 47, No 21 Mercredi 3 décembre 2014

Numéro de convention 400123741,50 $ TVH incluse

Pour la réussite de votre enfant! Au public, c’est comme ça!

Denis Labelle, DHA : président Roch Gallien : directeur de l’éducationcspne.ca

KAPUSKASINGSUDBURY

NORD ONTARIEN

B6B8La quatrième édition du tournoiSilver Stick attire 80 équipes

B4Basketball universitaire : Une saison difficile pour les formations du Nord

Les écoles participent avec enthousiasme à Jeunes en forme

Page 22: TOP · Vol. 47, No 21 Mercredi 3 décembre 2014 Numéro de convention 40012374 1,50 $ TVH incluse NORD ONTARIEN TIMMINS TIMMINS Petites et grandes misères 6 et 7 2 de notre réseau

ARTSB2 Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.

artsL’humour percutant de Je n’y suis plus

Nous constatons tous de temps à autre que nos vies semblent se poursuivre sans direction, sans mise en scène de notre part. La routine et le train-train de la vie quotidienne provoquent d’une façon presque inévitable la sensation d’être un quelconque automate, un robot ouvrier dépourvu de liberté. Parfois, ces moments nous surprennent avec un choc soudain où notre perspective est bizarrement transformée, où on se sent hors de soi. C’est précisément ce genre de moment qui se retrouve à la source de l’épatant monologue que nous livre la comédienne Magali Lemèle dans Je n’y suis plus.

Coproduit par Mme Lemèle elle-même avec les Créations In Vivo et le Théâtre français du Centre national des arts, Je n’y suis plus est construit à partir d’un texte rythmé, humoristique et bien senti de Marie-Claude Verdier. On y rencontre Ariane, une jeune femme qui nous raconte tous les méandres d’une crise existentielle qu’elle subit d’une façon nalement assez prévisible pour quelqu’un qui arrive à l’âge adulte sans trop savoir où elle se lance. Tout de même, ce n’est pas l’originalité du propos, mais bien le style qui fait le charme de ce texte et de cette production. Au niveau du texte, on apprécie les critiques humoristiques de la culture de bureau, des médias sociaux et d’une culture avare d’actualité déconnectée. On pourrait dire que nous avons ultimement a aire

avec une polémique généralisée de la société contemporaine. Le personnage d’Ariane se dé nit presque exclusivement par le dédain ou le dégoût qu’elle éprouve pour le monde qui l’entoure, les petits rituels de fausse amitié entre ses collègues au travail et tous les grands sujets d’actualité dont elle ignore les particularités.

En dépit du pessimisme qui l’habite jusqu’à la chute du monologue, elle nous raconte tout ça d’une façon amicale, a able et avec le sens de l’humour bien placé (même si celui-ci s’appuie surtout sur une déconstruction sarcastique des gens et phénomènes ciblés). Au niveau de la production, les mouvements sont bien découpés et soulignés par les changements de rythme, les permutations du décor et l’impressionnant environnement sonore que produit sur scène le multi instrumentalise Jean-Sébastien Dallaire.

Avec un musicien sur scène et un décor formé que de deux grands écrans rétroéclairés, les choix esthétiques relèvent clairement de l’évocation au lieu de l’illustration;

c’est un choix judicieux vu la nature du texte et les lieux multiples où se déroule l’action. Thématiquement, il est intéressant de noter que cette pièce de théâtre où le personnage principal remet en question les excès d’une société de surconsommation soit livrée dans un décor des plus minimalistes : la parure correspond au propos.

Alors que le texte dessine un parcours un peu invraisemblable pour Ariane (je pense surtout à la résolution tardive où elle réclame un quelconque optimisme), Magali Lemèle nous dessine son trajet avec énergie et justesse. Elle habite pleinement le personnage et chaque instant est de toute évidence ré échi et calculé. De temps à autre, son attention est attirée vers les panneaux qui s’illuminent à la façon de voitures qui passent. C’est une image fabriquée entièrement par la production, mais elle s’accorde parfaitement avec les thèmes soulevés par le texte. Après tout, on se sent tous parfois comme des piétons immobilisés devant l’éternel tra c de la vie.

Daniel AubinLe Voyageur

SUDBURY

calendrier culturelLa culture à la carte Daniel AubinNous voici au début du mois de

décembre où on constate que la programmation culturelle sudburoise continue à o rir une belle gamme d’activités aux intéressés qui cherchent un répit des préparations pour le temps des Fêtes.

Tout d’abord, le chanteur d’opéra sudburois Joey Niceforo sera en spectacle le mercredi 3 décembre à 19 h 30 à l’auditorium Fraser. Couronné par la critique dans le monde de l’opéra, M. Niceforo est un des membres fondateurs du groupe The Canadian Tenors. Le concert s’inscrit dans le cadre d’une tournée promotionnelle pour son nouvel album Live Like Horses. Les billets, au prix de 33 $, sont disponibles au 705-674-8381.

Le club de lecture grand public du Salon du livre du Grand Sudbury se rencontrera le jeudi 4 décembre de 17 h 30 à 19 h au Carrefour francophone. Au programme : une discussion autour de Fragments de mon enfance, de l’auteur Jean-Éthier Blais – une recommandation de Stéphane Gauthier. La discussion sera animée par Lucien Pelletier. Évènement gratuit.

Theatre Cambrian présente The Wedding Singer, une comédie musicale à l’honneur de la culture populaire des années 1980, à partir du jeudi 4 décembre. Cette production communautaire est une adaptation du lm populaire du même nom. Pour de plus amples renseignements et l’achat des billets, au prix de 25 $, visitez le www.theatrecambrian.ca. Jusqu’au dimanche 14 décembre.

On célèbre le lancement du second volume de We Live Up Here, le recueil de photos sudburoises prises par des photographes amateurs de la région, avec une grande célébration au Grand Theatre le vendredi

5 décembre. Cet évènement gratuit rassemble un peu de tout : installations interactives, soirée dansante, serveuses sur patins à roulettes, des grilled cheeses artisanaux et plein d’autres surprises. Les premières 25 personnes recevront un exemplaire gratuit du livre. Portes ouvertes à 20 h.

L’altiste Jane Russell o rira le troisième concert de la série Pop Up! le samedi 6 décembre. Pour avoir les détails exacts, l’heure et le lieu du concert, il faut trouver l’évènement Pop Up Concert! sur Facebook ou suivre le quatuor à cordes Silver Birch sur Twitter (@SilverBirchSQ). Les détails seront annoncés quelques jours d’avance. Évènement gratuit.

La Slague présente un «double plateau alléchant» de musique country-folk le samedi 6 décembre au Moose Lodge. Les groupes au programme de la soirée sont les Hay Babies et les Sœurs Boulay. Respectivement un trio de femmes acadiennes et un duo de sœurs québécoises, ces deux groupes qui puisent l’authenticité à leur musique seront en parfait accord avec le décor qu’o re le club du Moose Lodge. Les billets, de 5 $ à 30 $, sont disponibles à la billetterie du TNO (www.letno.ca). Le spectacle est présentement à guichets fermés, mais il y a une liste d’attente!

Le groupe de blues rock planant sudburois Sulfur City lance son premier disque en vinyle lors d’un concert spécial à la taverne de la Townehouse le samedi 6 décembre à partir de 22 h. En première partie : Jaz Paradis et les Suicide Drifters. Exceptionnellement, le prix d’entrée ne sera que de 2 $ à la porte – l’entrée sera gratuite pour tous ceux qui apportent un don de denrées alimentaires non périssables.

Photo : Courtoisie

primordialoguesCoin de la poésie

Cette semaine, je passe au malaxeur le mythe du père Noël avec celui de la Fée des dents et le magasinage du temps des Fêtes. C’est une méditation sur le quotidien et toutes les listes de vœux qu’on transporte avec nous.

la Fée des dents

on me demande mon code postal et je place les trois chi res à l’endos de ma carte de crédit sous l’oreillerje me réveille comme un champion dont le sourire se souvient encore du rêve qui tranquillement s’écrouleje m’étire et je reste gé comme une ballerine dans une boite à musique

qui cherche son rêve et le cherche encore

j’ai pris trois coupons avec mon souper – j’ai vu ça à la télévision, on en a parlé à la radio et j’ai cliqué dessusles rabais travaillent fort au plus profond de moi, ils font des heures supplémentaires à temps double et demides fois je veux faire des prières comme on fait du jardinage mais il y a tant de choses à voir avant minuit

le tube de dentifrice est bloqué; je l’éventre et retrouve toutes les cennes noires que j’accumule depuis qu’on n’en fait plusje les rince dans l’eau sale épaisse

comme une soupe aux poids et haltères tenus par-dessus la têteje me lave le visage et j’ai mal aux dents qui goutent le steak bleu parce qu’ils goutent le sang parce qu’ils saignent

je crache du sang rouge comme le costume du père noël et je frotte le lavabo pour lui nettoyer la barbeje suis er comme une étoile quand je passe la soie dentaire comme on enrobe de guirlandes l’arbre de noël quand je dors je fais tout mon possible pour ne pas me mordre la langue et dire tout haut ce que je pense

je pense que j’aime rêver et me réveiller avec le sourire

Daniel AubinLe Voyageur

SUDBURY

Place au théâtre!

Au cours des trois dernières semaines, certains élèves de l’école secondaire Macdonald-Cartier ont assisté à un atelier o ert par les élèves de 3e et 4e année du programme de théâtre francophone de l’Université Laurentienne en vue de préparer une audition pour leur troupe de théâtre.

L’atelier, o ert après les heures de classe, traitait de plusieurs concepts de l’art clownesque tels que l’habileté à susciter l’attention de la foule et à entrer dans la peau d’un personnage, le mouvement et la bou onerie.

L’atelier était o ert en vue de préparer les élèves aux auditions de comédiens pour la pièce de théâtre des Draveurs, la troupe de théâtre de l’école. La pièce de cette année, qui raconte l’histoire d’un clown, a été lue par les élèves du programme de théâtre. Ils se sont inspirés de celle-ci pour conceptualiser leur atelier.

«Nous sommes choyés d’avoir

l’appui d’élèves de l’Université Laurentienne, a rme Anique Larose-Hogan, enseignante des Draveurs. C’est bien parce que certains d’entre eux ont déjà fait partie de la troupe, ici à Macdonald-Cartier. Alors ils savent comment fonctionne le processus d’audition.»

L’atelier a su montrer aux élèves plusieurs tactiques les aidant à préparer leurs auditions, qui auront lieu les 3 et le 4 décembre. Nous leur souhaitons un bon succès!

Alexandre Cachonélève de la 11e année, école secondaire

MACDONALD-CARTIER - SUDBURY

Magali Lemèle dans une scène de Je n’y suis plus

Photo : CSPGNO

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B3ARTS Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.

La St-Jean dévoile sa programmation

Pour sa 16e édition, le comité de la St-Jean de Kapuskasing accueillera le groupe Swing, Gabrielle Goulet et Dayv Poulin le 19 juin. Le lende-main, la St-Jean accueillera pour une deuxième fois Kevin Parent, qui avait o ert un spectacle particulièrement

long et endiablé dans le même cadre en 2003.

La première soirée, celle du 19 juin, se voudra toute franco avec des ha-bitués de la scène à Kapuskasing. Le groupe franco-ontarien Swing viendra présenter son album Le temps s’arrête, au son plus personnel mais aussi dyna-mique que les précédents. Le groupe avait été de la fête en 2009 alors que la St-Jean avait souligné sa 10e édition avec un spectacle franco-ontarien met-tant aussi en vedette Damien Robi-

taille, Paul Demers et Robert Paquette. Dayv Poulin en sera à son deuxième

passage à la St-Jean dans la Ville modèle du Nord. Le Sudburois était de la toute première édition de la St-Jean, en 2000, avec le groupe Kon it DramatiK. Depuis, le musicien a connu une métamorphose : du groupe rap et hip-hop, il est passé à la pop sous le nom du Paysagiste, à qui l’on doit deux albums, Le Paysagiste et Alter Ego. M. Poulin est aussi un habitué de la scène, reprenant les grands

succès pop-rock et des chansons d’Harmonium.

Gabrielle Goulet, jeune sensation country-pop originaire de Bourget, dans l’Est ontarien, sera la seule nou-velle venue en 2015. Depuis qu’elle a lancé son premier album, paru il y a près de deux ans, elle a fait la tournée au Nouveau-Brunswick et en Ontario. Elle a déjà pris part au Festival fran-co-ontarien d’Ottawa et aux Franco-folies de Montréal, et a remporté le prix Coup de foudre Salut à la vitrine

musicale franco-ontarienne Contact ontarois.

La deuxième soirée sera assurée par Kevin Parent qui, pour sa part, s’était présenté à Kapuskasing à la toute n de sa tournée suivant la sortie de son troisième album. Après avoir consa-cré quelques années au métier de co-médien, il revenait, en 2014, avec un sixième album de chansons originales, Face à l’ouest.

Les billets doivent être mis en vente bientôt.

Andréanne JolyLe Voyageur

KAPUSKASING

Noël arrive tôt au centre-ville

Pour une 26e année, North Bay a célébré sa Marche annuelle de Noël vendredi dernier. La le était longue

pour prendre sa photo avec père Noël et mère Noël devant le gros sapin illuminé à l’intersection des rues Main et Cassells, et de l’avenue Algonquin. Sur la photo, aperçoit Marguerite Gauthier, Marg et Frank Baxter, les sœurs Isabella, Amelia et Lily Baxter, Xavier Gauthier-Boucher et Omer Gauthier.

Catherine LevacLe Voyageur

NORTH BAY

Photo : Catherine Levac

Un petit Noël qui grandit

Depuis maintenant cinq ans, Radio-Canada propose le Petit Noël du Grand Nord, en collaboration avec le Club Richelieu les Patriotes de Sudbury, le Centre de santé communautaire du Grand Sudbury et les Scouts du district de Sudbury. Cette année semble avoir battu des records, selon les organisateurs.

Denis Constantineau, directeur général du Centre de santé, se réjouit du nombre de visiteurs, évalué à plus de 1 000 personnes. «Les salles sont pleines, les gens sont heureux», dit-il. «Comme vous le voyez ce matin, ça déborde de partout, ajoute Michel Morin, chef des services français, Ontario Nord de Radio-Canada. À 7 h 15, la salle était pleine et on commençait à 8 h, alors, on en est très ravi. L’atmosphère est là, les gens déjeunent, tout le monde est de bonne humeur et l’émission de radio procure, je pense, un énorme plaisir, même pour ceux et celles qui n’ont pas la chance de venir assister [à l’émission] en direct.»

Dans le cadre de ce partenariat, les élèves du Conseil scolaire catholique du Nouvel-Ontario et du Conseil scolaire public du Grand Nord ont présenté des pièces musicales en direct. Les Scouts ont préparé des activités pour les enfants et les Richelieu ont préparé le petit déjeuner. Selon M. Constantineau, la participation des enfants à l’évènement est un des facteurs qui a attiré autant de clientèle. «Évidemment, les jeunes amènent leurs parents et leurs grand-parents,

dit-il. Noël, c’est pour les enfants. Pour plusieurs d’entre nous, c’est le début du temps des Fêtes. Aussi, pour nous, c’est intéressant de voir des jeunes passer au Centre de santé parce que ça les conscientise à l’existence du Centre, à l’existence des services de santé en français. C’est Noël et il y a un élément de culture et de traditions à partager.»

M. Constantineau est con ant de pouvoir accueillir encore plus de gens l’an prochain. «On aura des nouveaux locaux l’an prochain pour accueillir le Petit Noël du Grand Nord parce qu’on voit que le nombre [de participants]

augmente chaque année.» Les rénovations au sous-sol devraient être terminées d’ici le printemps, ce qui permettra au Centre de santé d’agrandir considérablement ses locaux, avec plusieurs grandes salles supplémentaires.

L’émission a été di usée en direct de 8 h à 11 h, samedi dernier. Elle était animée par Éric Robitaille et Josée Perreault, avec la participation de plusieurs membres de la communauté et des étudiants du programme d’Études journalistiques de l’Université de Sudbury.

Photo : Patrick Breton

Patrick BretonLe Voyageur

SUDBURY

La chorale de l’école Ste-Thérèse

Le thème de Noël au cœur des chants des Troubadours

La chorale Les Troubadours a présenté son spectacle de Noël samedi soir à la Place St-Andrew’s au centre-

ville de Sudbury. Accompagné de sa chorale Relève, le regroupement communautaire a interprété une vingtaine de chansons du temps de Fêtes en français et en anglais.

SUDBURY

Photo : Éric Boutilier

St-Étienne à la parade du père Noël

Les élèves, le personnel et les familles de l’école St-Étienne de Dowling ont participé au traditionnel dé lé de Noël de Sudbury. Pas moins de 44 élèves, dont les membres de la chorale de St-Étienne, et 14 adultes ont participé à cette belle activité de Noël. Nous soulignons la participation remarquable des élèves de 7e et 8e année qui ont construit et peinturé des éléments du char allégorique dont le tipi, le foyer et la maison. St-Étienne était la seule école élémentaire à participer à la parade.

SUDBURYPhoto : Courtoisie

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SPORTSB4 Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.

sports

La Bottine Souriante

Les ompagnons des francs loisirs

2 0 1 4 - 2 0 1 5

Enfin North Bay réussit à obtenir une prestation du groupe superstar, La Bottine Souriante. Formé en 1976, cet ensemble de 11 musiciens folk du Québec vous

éblouira avec son genre unique de musique traditionnelle canadienne-française avec un petit cachet contemporain.

Présenté par le Capitol Centre et Les Compagnons des francs loisirs.Régulier 50$ | Membres 45$

Étudiant de Collège/Université 30$ | Enfant 30$

vendredi 30 janvier 2015 - 19 h 30

Idéal pour le bas de Noël

Billets: 705-474-4747www.capitolcentre.org

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Bilan de mi-saison des équipes de basketball universitaire

L’équipe de basketball féminin des Voyageurs de l’Université Laurentienne a remporté une de ses deux parties pendant la n de semaine dernière dans le cadre des célébrations des nouveaux athlètes et des équipes intronisées au Panthéon des Voyageurs. Vendredi, les Voyageurs ont perdu 67-57 contre les Gri ons de Guelph. Samedi, le club a gagné 66-61 face aux Thunderwolves de Lakehead. Les hommes ont perdu 85-69 contre Guelph et 62-52 contre Lakehead.

Ailleurs dans le Nord de la province, les Lakers de Nipissing et les Thunderbirds d’Algoma n’ont toujours pas connu la victoire cette saison. Dans le circuit féminin, Nipissing a perdu 89-36 contre Lakehead et 105-37 contre Guelph.

Algoma s’est incliné 72-38 face aux Gaels de Queen’s et 69-33 contre les Lions de York. Du côté des hommes, Nipissing a perdu 92-49 contre Lakehead et 67-44 contre Guelph. Algoma a subi des revers de 72-62 contre Queen’s et 110-75 face à York.

Au classement général du circuit féminin, l’Université Laurentienne se retrouve en troisième place de la division Nord avec une che de trois victoires et quatre défaites. Nipissing, avec sa che d’aucune victoire et six

défaites, se classe au quatrième rang. Algoma se retrouve en cinquième dans la division Ouest. Le classement des équipes masculines ressemble à celui de leurs homologues féminins. Dans la division Nord, les Voyageurs sont en troisième place avec une

che de deux victoires et cinq revers tandis que les Lakers se retrouvent en quatrième place avec aucune victoire et six défaites. Dans l’Ouest, Algoma est en cinquième place avec une che d’aucune victoires et sept défaites.

Éric BoutilierLe Voyageur

NORD ONTARIEN

L’alignement de l’équipe du Nord-Est est déterminé

L’Association de hockey du Nord de l’Ontario (AHNO) a dévoilé la semaine dernière sa liste des 19 joueurs midgets qui porteront l’uniforme rouge et blanc lors des nombreux championnats de hockey du niveau AAA de la province en 2014-2015. L’alignement de l’équipe AHNO sera composé de 11 attaquants, 6 défenseurs et 2 gardiens de but en provenance de quatre équipes midgets AA / AAA, soit les Élans de Hearst, les Trappers de North Bay, les Greyhounds de Sault-Ste-Marie et les Wolves

de Sudbury. L’équipe du Nord-Est de l’Ontario participera à son premier tournoi du 5 au 7 décembre prochains dans la région d’Orillia.

L’équipe de l’AHNO de 2014-2015 :Echo Bay : Max KhullGrand Sudbury : Bradley Chenier, Nick Chokan, Félix Côté, Keegan Gillis-McAnulty, Ryan O’Bonsawin, Justin Richer et Daniel WalkerHearst : Maxim LacroixKapuskasing : Brendan ClavelleNorth Bay : Eric AllairSault-Ste-Marie : Garrett Boyonoski, Steven Khull, Justin Ryyppo, Lucas Stefano, Gage Stephney, Mark Tassone et Zachary TaylorTimmins : Karter Renouf

Éric BoutilierLe Voyageur

NORD ONTARIEN

Photo : Éric Boutilier

Photo : Éric Boutilier

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B5SPORTS Ce journal est conforme à la nouvelle orthographe.

Écoutez les matchs des Canadiens de Montréalen direct sur les ondes de Le Loup FM

nos équipes de l’OHL

Wolves de SudburyLes Wolves ont subi une défaite

de 5-3 contre le Storm de Guelph vendredi. Le lendemain, ils ont forcé la tenue de temps supplémentaire à Barrie avant de s’incliner 4-3, en prolongation, face aux Colts. Nathan Pancel (13e), Danny Desrochers (4e) et Matt Schmalz (12e) ont touché la cible pour les Wolves

Face à la formation occupant le dernier rang de l’OHL, les Greyhounds de Sault-Ste-Marie auraient dû avoir la vie facile à Sudbury dimanche après-midi. Cependant, le gardien Troy Timpano, des Wolves, avait d’autres idées en tête, volant le spectacle en repoussant 39 des 40 tirs de l’adversaire pour mener les Sudburois à une victoire de 2-1. L’attaque était concentrée en deuxième période, alors que Michael Bunting a ouvert la marque pour les Hounds avant que Nathan Pancel rétablisse l’égalité à peine quatre minutes plus tard. Le sixième let de la saison du Tchèque Pavel Jenys s’est avéré le but de la victoire, permettant

aux Sudburois de récolter trois points sur une possibilité de six pendant une n de semaine parmi les plus fructueuses pour les hommes de Paul Fixter cette saison.

L’équipe sudburoise débute une séquence de six matchs à domicile sur sept en décembre contre les Generals Oshawa vendredi et les Steelheads de Mississauga dimanche. (R.P.)

Battalion de North Bay

Le Battalion de North Bay a eu une semaine productive contre trois adversaires qui, à un moment donné,

lui a causé des ennuis depuis son arrivée dans la région du Nipissing en 2013.

Jeudi soir, le Battalion accueillait pour la première fois depuis mai le Storm de Guelph, l’équipe qui avait défait l’équipe locale en cinq matchs lors du championnat de la Ligue de hockey de l’Ontario (OHL). Malgré un dé cit de deux buts contre les champions en titre, le Battalion a réussi à égaliser le pointage à trois reprises pendant les quarante premières minutes de jeu. Par contre, comme lors de la grande nale, le Battalion s’est incliné en prolongation 5-4 contre Guelph. Matt Amadio, Mike Baird, Ray Huether et Brenden Miller ont compté pour le Battalion.

Samedi, les troupes se sont dirigées vers la péninsule de Bruce Gray pour disputer un match contre l’Attack d’Owen Sound. Le gardien de but

réserviste Evan Cormier a obtenu le premier jeu blanc de sa carrière au junior majeur en arrêtant les 30 tirs

qui dirigés à son let. C’est grâce à Kyle Wood, Mike Baird et Matt Amadio (dans un let désert) que le Battalion a gagné 3-0 contre Owen Sound.

Dimanche, le Battalion a reçu au Memorial Gardens la visite des fameux Ice Dogs de Niagara, l’équipe qui avait causé tant de maux de tête aux joueurs, entraineurs et surtout aux amateurs de North Bay lors des quarts de nale le printemps dernier. Visiblement un peu fatigués du voyage d’Owen Sound, les joueurs du Battalion ont réussi à remporter ce match 4-2, et ce, au grand délice de leurs partisans. Matt Amadio, Nick Paul (à deux reprises) et Brenden Miller (dans un

let désert) ont compté les buts du Battalion dans ce dernier match de la n de semaine.

Le Battalion a présentement une che de 14 victoires, 5 défaites,

4 défaites en prolongation et 1 revers en fusillade. (É.B.)

Greyhounds de Sault-Ste-Marie

Pour une rare fois, les Greyhounds ont terminé leur n de semaine avec une che perdante. Ils ont été vaincus à deux occasions et ont gagné une fois.

Vendredi, l’équipe a été surprise sur sa propre patinoire par le Spirit de Saginaw. Ces derniers l’ont emporté 4-3 en tirs de barrage. Il s’agissait de la première défaite des Greyhounds dans de telles circonstances.

Samedi, toujours à Sault-Ste-Marie, l’équipe locale n’a fait qu’une bouchée du Storm de Guelph en l’emportant par la marque de 5-1. L’ailier droit Sergey Tolchinsky, qui connait une séquence des plus intéressantes depuis quelque temps, a marqué ses 14e et 15e buts de la saison et le gardien Joseph Raaymakers a bloqué 32 des 33 lancers en direction de son let.

À l’aréna municipal de Sudbury le lendemain, les marqueurs des Greyhounds étaient en panne ou presque. Seul Michael Bunting a compté dans une défaite de 2-1 face aux Wolves. D’autre part, la direction des Greyhounds a annoncé vendredi que le joueur de 20 ans Jean Dupuy, originaire d’Orléans, a signé un contrat de trois ans avec les Sabres de Bu alo. Depuis qu’il s’est joint aux Greyhounds en octobre 2013, cet ailier droit de 201 livres a accumulé 14 buts et 22 mentions d’aide en 64 matchs de saison régulière. Il a récolté 20 points jusqu’à maintenant cette saison.

Les Greyhounds a ronteront les Spit res à Windsor jeudi. Ils seront à London vendredi pour y a ronter les Knights et à Sarnia dimanche pour faire face au Sting, qui suit les Greyhounds au classement de la division Ouest. Ces trois adversaires font partie de la conférence de l’Ouest. (P.L.)

Alliance St-Joseph gagne le tournoi de badminton du CSCNO

Il y a deux semaines, l’école secondaire catholique l’Horizon de Val Caron a accueilli 57 équipes de badminton de 9 écoles élémentaires lors du tournoi de badminton double du Conseil scolaire catholique du Nouvel-Ontario (CSCNO). L’équipe de Tyler Roussel et Jackson Major, de l’école Alliance St-Joseph de Chelmsford, a remporté la première

place du tournoi des garçons tandis que leurs coéquipières Janelle Joly et Kayla Boulet ont gagné la compétition des lles.

Photo : Courtoisie CSCNO

Deux joueurs du Nord au camp de sélection de l’équipe Canada-Est

Vendredi, Hockey Canada a annoncé sa liste de 40 joueurs qui participeront au camp de sélection de l’équipe Canada-Est lors du Dé mondial de hockey junior A. Deux joueurs de la Ligue de hockey junior A du Nord de l’Ontario (LHJNO), Brenden Locke, des Eskimos d’Abitibi, et Luc

Soares, des Gold Miners de Kirkland Lake, tenteront de se tailler une place avec l’équipe qui a rontera les meilleurs joueurs de l’Ouest canadien et ceux parvenant de pays d’outre-mer. L’équipe Canada-Est sera composée de joueurs en provenance de cinq ligues de hockey junior, soit la LHJNO, la Ligue de hockey junior A du Sud de l’Ontario (OJHL), la Ligue de hockey canadienne centrale (CCHL), la Ligue de hockey junior A

du Québec (LHJQ) et la Ligue de hockey junior A des Maritimes.

Le camp de sélection se déroulera du 6 au 9 décembre à l’aréna Buckingham de Toronto. Les joueurs sélectionnés accompagneront Marc La eur, un entraineur des Gold Miners et adjoint de l’équipe Canada-Est à Kindersley, en Saskatchewan, la ville hôte du Dé mondial de hockey junior A, du 14 au 20 décembre prochains.

Éric BoutilierLe Voyageur

IROQUOIS FALLS et KIRKLAND LAKE

Photo : Éric Boutilier

Photo : Éric Boutilier

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Une compétition pour encourager la bonne santé des jeunes

C’est avec beaucoup d’anticipation que la compétition des Jeunes en forme a débuté la semaine dernière à l’école secondaire catholique Cité des jeunes de Kapuskasing. Une idée développée par les responsables de l’éducation physique il y a trois ans, Jeunes en forme a pour but de promouvoir une vie active et de saines habitudes chez les adolescents de cette région du Nord de l’Ontario.

«La compétition est composée d’un mélange d’activités physiques comme des tests d’endurance, de cardio, d’équilibre, de force et de puissance ainsi que le temps de réaction d’un athlète. Notre objectif c’est d’inciter les jeunes à bouger et à rester en

forme. En conséquence, ils pourront voir eux-mêmes les béné ces que ça leur rapporte», explique Gilles Filion, un professeur d’éducation physique à Cité des jeunes.

Trois écoles ont participé à la première édition des Jeunes en forme, soit l’école secondaire catholique Thériault de Timmins, l’école secondaire publique Écho du Nord et l’école secondaire catholique Cité

des jeunes de Kapuskasing. Chaque école a délégué huit athlètes pour la compétition, quatre lles et quatre garçons. Chaque participant devait participer à trois épreuves a n d’accumuler des points pour son équipe. Les organisateurs de Jeunes en forme espèrent augmenter le nombre d’écoles participantes à la compétition de 2015.

Photo : Courtoisie CSCDGR

Éric BoutilierLe Voyageur

KAPUSKASING

Quatre prix en musculation pour un couple de Sturgeon Falls

Joe et Monique Cormier, de Sturgeon Falls, ont remporté plusieurs prix lors des Championnats GNC il y a deux semaines à London, dans le Sud de la province. Un homme d’a aires de profession, M. Cormier a ramené avec lui de la compétition deux trophées pour avoir terminé en troisième place au niveau de la musculation des grands maîtres et en cinquième au niveau léger ouvert des poids lourds.

«Moi, rendu à 50 ans, je ne pensais pas que ça aurait été possible, raconte M. Cormier. Lorsque j’ai entendu parler de la compétition pour les gens de 50 ans et plus, moi et ma femme avons commencé un programme de nutrition et d’entrainement. Je me suis dit que si par le mois d’aout j’étais rendu à 200 livres [il pesait 242 livres à l’époque], que c’était quelque chose que je ferais. Je suis allé d’un pourcentage de gras de 32 % jusqu’à 8 %.»

Monique Cormier, entraineuse à un club de conditionnement physique à North Bay, a ramené avec elle deux trophées de London, soit une première place pour sa gure au niveau des maîtres et une première place pour sa gure au niveau ouvert et court.

Elle explique qu’elle devait se concentrer mentalement a n de se préparer pour être jugée. «Ce n’est pas facile de monter sur une estrade et de ne pas être gênée de marcher avec un bikini pour ensuite se faire juger. Alors, nous étions tous les deux très nerveux, indique Mme Cormier. Cependant, je voulais montrer à mes clients que tout est possible et que n’importe qui peut le faire avec beaucoup de concentration et d’engagement. Je trouvais que me présenter sur l’estrade et poser pour les juges était plus di cile que de m’entrainer et de bien manger.»

Le couple s’est quali é pour les Championnats provinciaux à Toronto et se dirigera vers la Ville Reine en juin pour la compétition.

Éric BoutilierLe Voyageur

NIPISSING OUEST

Joe et Monique Cormier

Photo : Courtoisie

Trois ajouts au Panthéon des Voyageurs

La communauté sportive de l’Université Laurentienne s’est rassemblée samedi au club Idylwylde du Grand Sudbury pour introniser et commémorer les performances de deux athlètes et d’une équipe du programme sportif des Voyageurs. Cory Bailey, un ancien joueur de basketball, Bronwen (Davies) Lash, une ancienne skieuse, et l’équipe de basketball féminin des Voyageurs de 1975-1976 font partie de la classe de 2014 du Panthéon des Voyageurs de l’Université Laurentienne. Entre 1993 et 1998, Cory Bailey a évolué quatre saisons avec l’équipe de basketball masculin des Voyageurs. Natif de Scarborough, il a été sélectionné à trois reprises au sein de la première équipe d’étoiles de la division Est des Sports universitaires de l’Ontario (SUO). Il a aussi joué un rôle important lorsque l’équipe des Voyageurs s’est rendue au championnat national des Sports interuniversitaires canadiens (SIC) à trois occasions lors de son séjour à l’Université Laurentienne.

Bronwen Lash a été membre de l’équipe de ski de fond des Voyageurs. Skieuse depuis son jeune âge, elle a été nommée l’athlète féminine de l’année de la Laurentienne en 1999. Depuis, après avoir conclu ses études, elle a remporté deux médailles d’or en 2012 lors du Championnat des maîtres en ski de fond.

L’équipe de basketball féminin des Voyageurs de 1975-1976, menée par l’entraineur-chef Norm Vickery et la gérante Marian Disano, a connu beaucoup de succès. L’équipe a eu une che parfaite et a remporté son deuxième titre consécutif des SUO. De plus, l’équipe a gagné le championnat canadien des SIC

contre l’Université du Nouveau-Brunswick. Onze joueuses ont été membres de cette formation légendaire, soit Eileen Buckingham (Galuska), Cindy Williams (Feren), Michele Bélanger, Donna Rudakas (Roman), Kathy Shields (Williams), Karen Ban eld, Debbie Snow, Kathy Jennings, Terry Moss (Hanson), Janice Trombly et Anne McGrath (Hurley).

Depuis 1994, 34 athlètes, 17 bâtis-seurs et 16 équipes ont été introni-sés au Panthéon des Voyageurs en reconnaissance de leurs nombreuses contributions au programme de sports de l’Université Laurentienne.

Éric BoutilierLe Voyageur

SUDBURY

Photo : Éric Boutilier

Cory Bailey

Motoneige :

Le travail de surface est en cours

Avec 237 millimètres de pluie et 80 centimètres de neige en novembre, presque le double de neige que la moyenne du mois, et le temps relativement doux qui a empêché le gel du sol, l’Association de motoneige du Corridor du Nord doit consacrer ses e orts à préparer la surface des sentiers qui étaient détrempés avant la première neige.

«Certains sentiers sont d’accès di cile et di ciles à faire geler, explique la directrice générale de l’Association, qui veille à l’entretien des sentiers de Cochrane à Hornepayne, Candace Fortin.

Les clubs doivent aller préparer les sentiers détrempés, à problème, pour qu’ils gèlent bien, puis nous pourrons compacter la surface et damer en vue de la saison.»

Une telle situation ne s’était pas présentée dans les dernières années : le gel avait durci les sentiers avant que la neige les couvre. Ces saisons avaient duré plus de 16 semaines.

Mme Fortin demeure positive quant à la saison à venir et croit même que des sentiers bien au goût des motoneigistes pourront ouvrir avant Noël, ce qui n’est pas fréquent. «J’espère qu’il fera assez froid pour que ça gèle, puis assez doux pour qu’on puisse en pro ter», lance-t-elle

en souriant.La neige et les deux dernières

saisons, particulièrement longues, ont aussi stimulé la vente des permis d’utilisation des sentiers. Avant le 1er novembre, alors que les prix étaient réduits, les ventes étaient en hausse de 25 % par rapport à l’année dernière. L’Association prévoit des ventes de 1 500 à 1 700 permis.

Soulignons que deux nouveaux ponts ont été installés cette année dans la région de Smooth Rock Falls. «La rivière Driftwood prend plus de temps à geler et dégèle plus tôt, ajoute Mme Fortin. Ça aidera à étirer la saison.» L’autre pont enjambe le ruisseau Sheri .

NORD ONTARIEN

Une fin de saison inoubliable pour Sacré-Cœur

L’équipe de volleyball masculin junior des Gri ons de l’école secondaire du Sacré-Cœur de Sudbury a été reconnue par le Conseil scolaire catholique du Nouvel-Ontario (CSCNO) pour sa performance sur le terrain dans l’Association des sports des écoles secondaires du district de Sudbury

(SDSSAA). L’équipe a remporté le championnat junior de la SDSSAA et a atteint la demi- nale du tournoi de n de saison de l’Association des sports des écoles secondaires du Nord de l’Ontario (NOSSA). Les Gri ons ont a ché une che parfaite avec six victoires pendant la saison régulière ainsi que deux autres pendant les séries éliminatoires. (É.B.)

Photo : Courtoisie CSCNO

SUDBURY

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Le YMCA de Sudbury est un organisme de bienfaisance qui encourage l’appartenancede chacun. Mené par des bénévoles et un personnel, l’organisme est voué à l’épanouissement du corps, de l’intelligence et de l’esprit de chacun, ainsi qu’au service à l’autrui. Les services de garde autorisés du YMCA de Sudbury sont actuellement à la recherche du ci-après afin de joindre notre équipe de professionnels compétents :

Sous la direction du gestionnaire supérieur des Services de garde des enfants, le Superviseur bilingue en prestation de Services de garde des enfants fournira une direction et une surveillance au personnel et aux bénévoles du Service de garde des enfants du YMCA. Le titulaire du poste est également responsable du fonctionnement global du site des Services de garde, en conformité à la Mission, Vision et Valeurs des normes du programme éducatif Apprendre pour jouer, ainsi qu’à tous les exigences législatives du ministère de l’Éducation, des Municipalités, de la Santé publique et du chef de service d’incendie.

Faites nous parvenir votre CV et lettre d’accompagnement

Attn: Comité du personnel [email protected]

Pour une description détaillée, veuillez consulter la section Career Opportunities de notre site Web au www.sudbury.ymca.ca

Les renseignements personnels soumis le sont uniquement afin de déterminer l’admissibilité à ce concours, conformément à la Loi sur l’accès à l’information municipale et la protection de la vie privée. Nous remercions tous les candidats de leur intérêt à l’égard de ce poste. Toutefois, nous ne communiquerons qu’avec les personnes convoquées à une entrevue.

Si nous communiquons avec vous lors du processus de recrutement et que vous avez un besoin en matière d’adaptation ayant trait à une incapacité, veuillez en informer le gestionnaire d’embauche.

La Ville du Grand Sudbury (VGS) encourage les étudiants à explorer une multitude de choix de carrières par l’entremise d’une variété de possibilités d’emplois d’été. Les étudiants qui sont actuellement inscrits à temps plein à un établissement secondaire ou postsecondaire et qui envisagent de retourner aux études à temps plein après la période d’emploi seront considérés.

Les formulaires de demande d’emploi d’été pour étudiants sont disponibles aux Centres de services aux citoyens situés dans le Grand Sudbury (Capreol, Dowling, Chelmsford, Lively, Garson, Hanmer, Place Tom Davies), à la Bibliothèque publique centrale du Grand Sudbury, à la Bibliothèque publique du Nouveau-Sudbury, à la Bibliothèque publique du Sud, au Département des ressources humaines et du développement organisationnel à la Place Tom Davies et dans le site Web de la Ville. Les demandes d’emploi doivent être reçues avant le vendredi 20 février 2015, à 16 h 30. Faites-nous parvenir votre demande par courriel à [email protected] ou encore acheminez-la par la poste ou déposez-la en personne à l’un des endroits ci-dessus.

Pour plus de renseignements, consultez le site Web de la Ville ou communiquez avec le Département des ressources humaines et du développement organisationnel au 705 674-4455, poste 2440.

La VGS tient à maintenir un milieu de travail juste et équitable et est heureuse de recevoir les demandes de tous les candidats qualifiés.

Emplois d’été pour étudiantswww.grandsudbury.ca/emplois

Trouvez-nous sur Facebook : www.facebook.com/greatersudburySuivez-nous sur Twitter : @greatersudbury

HYDRO DU GRAND SUDBURY INC.

cherche à combler le poste suivant :

D’ÉLECTRICIEN DE LIGNE ÉLECTRIQUE “A”

Vous travaillerez sous le superviseur de l’exploitation et vous aurez de l’expérience dans tous les aspects d’un réseau de distribution électrique, aérien ou souterrain, dont la

puissance potentielle peut atteindre et inclure 44 kV.

Vous devrez posséder :

lois applicables.

Ressources humainesHydro du Grand Sudbury Inc.

B.P. 250Sudbury, Ontario

P3E [email protected]

Offre d’emploi – à temps partiel

La bibliothèque publique de Nipissing Ouest est à la recherche d’un ou une assistant(e) de bibliothèque

Pour connaître les détails et les exigences du poste, consultez notre site WEB www.wnpl.ca/fr

Les personnes intéressées à postuler sont invitées à faire parvenir leur CV au plus tard le vendredi 12 décembre à 17 h.

Carole Marion, Directrice générale Bibliothèque publique de Nipissing Ouest 225 rue Holditch, Suite 107 Sturgeon Falls, ON P2B 1T1 705 753 2620 [email protected]

La Ville du Grand Sudbury s'est engagée à fournir un excellent accès à des services et un leadership solide dans le développement social, environnemental et économique de notre communauté. Nous invitons toute personne intéressée à travailler au sein d'un milieu municipal dynamique à prendre connaissance des possibilités d'emploi suivantes et à y postuler.

Conseiller(ère), Communications et services en français

Service du Bureau de l administrateur # EO14-471

Date de clôture: Le 15 décembre 2014 à 16 h 30

La Ville du Grand Sudbury est un employeur souscrivant au principe de l'égalité d'accés à l'emploi. Nous remercions toutes les personnes qui poseront leur candidature mais nous communiquerons uniquement avec celles retenues pour une entrevue.

Des moments difficiles pour la LHCI

Au début octobre, la Ligue de hockey canadienne internationale (LHCI) est arrivée sur la scène du hockey junior A avec huit formations dans quatre mar-chés du Nord et quatre autres dans le Centre-Sud de l’Ontario. Voulant se distinguer de Hockey Canada, la LHCI est devenue membre de l’UHU (United Hockey Union) des États-Unis a n de pouvoir, selon elle, promouvoir ses joueurs auprès des dépisteurs et des entraineurs des programmes de hockey de la NCAA (National Colleges Athle-tic Assocation).

Aujourd’hui, la ligue se retrouve à recon gurer son calendrier avec un peu moins de la moitié de ses équipes, mais aussi avec l’ajout récent du Spirit Warriors de Markstay-Warren et des Rhinos de Kalkaska, une équipe du Michigan. Trois des quatre clubs du Sud, soit l’Ice de Collingwood, les Cobras de Milton et l’Académie de hockey junior de Toronto, ont décidé de créer leur propre ligue, la Ligue de hockey unie du monde. Les deux autres formations, le Spirit de Saint-Charles et les Cramahe Hawks de Colborne, ont tout simplement cessé leurs opérations.

«C’est une situation très di cile pour la ligue. J’ai inclus des gens qui n’au-raient pas dû être engagés dans le hoc-key junior, car ils le sont, d’après moi, pour les mauvaises raisons, a rme Tim Clayden, président de la LHCI et propriétaire des Rivermen d’Espa-nola. Nous sommes toujours engagés à promouvoir les joueurs aux dépisteurs des collèges américains et de retourner à notre plan d’origine, c’est-à-dire de jouer dans l’État du Michigan sur une base régulière.»

M. Clayden ajoute que certaines formations ont été victimes de pro-priétaires qui ont négligé leur équipe, tandis que d’autres ne pouvaient plus se permettre des pertes de plusieurs mil-liers de dollars.

«À Saint-Charles, l’entraineur-chef et directeur général du club pensait qu’il pouvait faire les choses à sa façon vu que le propriétaire n’était pas au-tour. Il y avait huit joueurs qui ont payé des frais d’inscription pour jouer avec l’équipe. Par contre, il avait aussi huit à douze autres joueurs qui ne payaient pas pour faire partie de l’équipe. Certains d’entre eux recevaient même de l’argent pour de l’essence et des in-citatifs pour jouer, ce qui est interdit selon les règlements de la NCAA, ex-plique M. Clayden. En conséquence, le propriétaire a perdu son club.»

Plus tôt en novembre, les équipes de Saint-Charles et du Grand Sudbury se sont présentées aux amphithéâtres des équipes du Sud de la province pour disputer des matchs prévus à l’horaire. À la suite de la découverte d’un aréna vide, les équipes du Nord ont appris que les matchs avaient tout simplement été annulés sans préavis. Les équipes de Batchewana et Espanola l’ont appris lorsque les deux autres clubs de la ligue ne se sont pas présentés chez eux.

Éric BoutilierLe Voyageur

NORD ONTARIEN

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Accountant

DANIELPIQUETTE

Plusieurs équipes du Nord remportent des trophées au Silver Stick

Pendant quatre jours, quatre-vingt équipes en provenance des quatre coins de la province et des États-Unis ont participé à la 45e édition du tournoi de hockey Silver Stick présenté dans le Grand Sudbury. Dimanche, les meilleures équipes du tournoi se sont a rontées sur plusieurs patinoires a n de déterminer les champions de chaque niveau. (É.B.)

Novices :A : Nipissing Ouest 3, Kapuskasing 2AA : Nickel City 3, West Ferris 2Atomes : A : Temiskaming Shores 6, Copper Cli 3AA mineur : Sault-Ste-Marie 11, North Bay 1AA majeur : Nickel City 2, Timmins 1

Peewees :A : Hearst 1, Temiskaming Shores 0Bantams :A : Kapuskasing 6, Nipissing Ouest 0AA majeur : Nickel City 1, Sudbury 0Midgets :AA majeur : Markham 5, Copper Cli 0

Photo : Éric Boutilier

NORD ONTARIEN

12 heures de volleyball pour une 18e année

Un tournoi de volleyball s’échelonnant sur une période de 12 heures a gardé en haleine les spectateurs au gymnase de l’école publique Renaissance. Depuis 18 ans, ce tournoi amical a lieu chaque année dans le but d’aider à nancer les activités sportives de cette école.

Encore cette année, l’activité fut couronnée de succès, explique le chef du département d’éducation physique de l’école, Claude Lapointe. «On a ni par avoir 54 élèves du Pavillon, donc les 7e et 8e année, et du secondaire, de la 9e à la 12e année. En tout, on a prélevé au-delà de 4 500 $, dit-il en plein feu de l’action. Quand on a au-delà de 45 élèves, je suis bien satisfait.»

Chaque élève devait récolter un minimum de 50 $. Les fonds serviront à défrayer le cout des uniformes, de l’équipement sportif, des compétitions et des tournois. «Tous les fonds vont envers le conseil de sports. [...] Ça paye une partie de nos dépenses, poursuit M. Lapointe. Il y a d’autres activités de prélèvement de fonds pendant l’année, mais celle-ci

c’est le top des tops.»L’esprit d’équipe régnait à l’école

le vendredi 28 novembre. Tandis que certains étaient en position sur l’un des deux terrains, d’autres étaient a ectés au système de pointage, à l’arbitrage ou encore à l’encouragement dans les gradins. «Les jeunes sont excités, ils jouent au ballon-volant pendant 12 heures. Il y a un terrain pour les 7e et 8e année et l’autre pour le secondaire. On fait des intervalles de 12 minutes et on choisit des équipes au hasard», explique M. Lapointe.

On a déterminé les gagnants du

tournoi au moyen d’un système de pointage personnel.

Les parents étaient invités à appuyer leurs enfants au gymnase en poussant des cris d’encouragement ou tout simplement en faisant acte de présence. «J’aimerais remercier les parents qui ont aidé à soutenir le conseil de sports. C’est grandement apprécié. C’est notre 18e tournoi annuel et la communauté commence à le connaitre et à savoir où vont les fonds, conclut-il. Je tiens à remercier tous les élèves participants», conclut-il.

Photo : Émilie Deschênes

Émilie DeschênesLe Voyageur

TIMMINS

Tournoi de volleyball de 12 heures à l’école publique Renaissance

Défaite crève-cœur des Patriotes

L’équipe de hockey masculin des Patriotes de l’école secondaire catholique Franco-Cité a perdu son

match de dimanche après-midi 5-4 contre les Wildcats de Widdi eld. Le match était présenté à l’aréna de Sturgeon Falls.

NIPISSING OUEST

Photo : Éric Boutilier