M A G A Z I N E D ’ I N F O R M A T I O N S M U N I C I P A L E S

Dossier :

FEVRIER 2015

Magazine

Femmes dans la ville 2015

Sommaire

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820

Cherbourg-Octeville en images30-31 Retour sur

13

Dossier

Infos pratiques Horaires et numéros de téléphone29

Focus sur... Le service éducation18-19

7-11-21 En bref

Cuture12 L'Arbre à parapluies : derrière la caméra les scolaires

8Culture L’Ensemble Magnétis : vers un éveil musical des jeunes

Culture

Le Challenger de La Manche-Cherbourg remet le set

Cadre de vie

6Spring 2015 : pleins feux sur la création circassienne !

Evènement

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Enfance Réforme des rythmes scolaires : la concertation se poursuit10

Assises de la solidarité : des échanges prometteurs22 Solidarité

Le budget 2015 de la Ville est adopté23 Budget

La place Jacques Hébert bientôt achevéeTravaux20

24 Tribunes politiques

Femmes dans la ville 2015

Concours : les 10 commandements de la nuit 5

Conseils de quartier 20 commissions pour favoriser les démarches citoyennes25

Association Soins palliatifs : l’ASPNC accompagne les malades27

International Femmes et élues : une conférence sur l’égalité en politique26

Culture Baby K, graffeur tout terrain28

Eva de Amorim, il était une fois une conteuse4 Portrait

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Cherbourg OctevilleCherbourg OctevilleM A G A Z I N E D ’ I N F O R M A T I O N S M U N I C I P A L E S

Dossier :

FEVRIER 2015

Magazine

Femmes dans la ville 2015

“Cherbourg-Octeville Magazine” - numéro 157.Bimestriel d’informations municipales.BP 823 - 50108 Cherbourg-Octeville CedexTéléphone 02 33 87 88 89www.ville-cherbourg.fr mairie@ville-cherbourg.frDirecteur de la publication : Jean-Michel Houllegatte. Rédaction, coordination : Service CommunicationPhotos : JM Enault, Cie In Vitro, D Sohier / muséeThomas Henry, Cherbourg-Octeville, CDN Haute-Normandie,Mise en page : Imprimerie MunicipaleConception : Libre Cours, CaenImpression : Léonce DeprezNombre d’exemplaires : 23 000. Dépôt légal : à parution.Le magazine municipal est imprimé sur papier PEFC

EditorialJean-Michel HoullegatteMaire de Cherbourg-Octeville

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Dimanche 11 janvier, 25 000 personnes défilaientdans les rues de Cherbourg-Octeville pour défendre la liberté d’expression. Crayonsà la main, dessins brandis vers le ciel : nous étions tousCharlie, et le sommes encoreaujourd’hui. Cet élan de solida-rité pour l’égalité des droitsrestera longtemps dans les mémoires, tout comme les noms des dix-sept victimesdes attentats qui ont frappé la France.

La Ville poursuit son combatpour la liberté, l’égalité et la fraternité avec, dès le 28 février, la 16e édition du festival Femmes dans la ville. L’événement réunira les habitants et les visiteursautour d’un thème cher à lamunicipalité : l’égalité entre les femmes et les hommes. Des spectacles, des comédiesmusicales, des expositions etdes rencontres viendront jalonner ces quelques jours,avec notamment la venue

exceptionnelle de Liane Foly,qui débutera sa tournée fran-çaise au théâtre à l’Italienne.

Le festival Femmes dans la ville, c’est aussi de belles rencontres citoyennes. Le premier jour sera marquépar la signature de la Charteeuropéenne pour l’égalité des femmes et des hommesdans la vie locale.Parallèlement, les Assises de l'égalité se tiendront, avec pour objectif de rédiger, ensemble, le plan égalité de la Ville.

Enfin, le week-end de clôturesera dédié au sport et au bien-être. Les participants pourrontprofiter des nombreux stands et ateliers organisés pour l’occasion, avant de se lancerdans une course chaque année plus populaire, La Cherbougeoise. Pour la première fois, les hommesseront les bienvenus… encoreun pas de plus vers l’égalité !

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Parcours de la cOmpagnie a deux pas

Eva de Amorim, il était une foisune conteusePortrait

4

Il était une fois une Cherbourgeoise de35 ans, Eva de Amorim,

passionnée par les contes, le théâtre d'objets, la jonglerie,

la lecture... En 2010, elle crée

la cOmpagnie a deuxpas et s’invite depuis 2014

chez les particuliers.

En 2010, Eva de Amorim fonde lacOmpagnie a deux pas, sous formed'une association loi 1901 présidée parCatherine Doos. Son but : favoriser l'émergence de spectacles vivants et del'oralité. Et donc du conte. Pour sa fon-datrice, « la culture est indispensableau développement de l’enfant, à laconstruction de ses rapports à l'autreet au monde. Notre spécificité, c'est le tapis de conte, adapté selon les tran-ches d'âge ». Celui de La Grenouille à grande bouche, par exemple, s'adresseaux enfants de 18 mois à 3 ans. A la fin

2005 : Création de la compagnie sous le nom de l'Orange bleue2008 : Oh Pied du sapin, chalet d'automates2009 : The United colors of chaussettes band, chalet d'automates2010 : Création de La cOmpagnie a deux pas

Tapis dans l'Ombre, spectacleWood dancing, chalet d'automatesBlanche-Neige et les 7 chaussettes, chalet d'automates

2011 : Jungle party, chalet d'automatesSalon du chocolat et des douceurs, la Cité de la Mer : scénographie (+ 2012 et 2013)

2012 : Hopï, spectacleL'Elan de Noël, chalet d'automates

2013 : Pôle Ouest, chalet d'automates2014 : Scénographie du spectacle de La Chorale des Babouches

Nouveau : contes à domicile

du conte, le jeune public rejoint laconteuse et peut manipuler les personnages du tapis. « C'est rare d'avoir un tapis en trois dimensions : les conteurs s'appuient souvent sur desimples tapis de lecture, à plat. Desplasticiennes ont tout particulière-ment confectionné des volumes pournos tapis ». Ces plasticiennes sont ÉliseLetulle des Ronds' Chapo, CatherineDoos (professeur d'arts plastiques),Florence du Fil de Flo et AnissaAllam, une Nantaise originaire deCherbourg. La compagnie développe

parallèlement une partie scénogra-phie, avec Laurent Eugénie, avec parexemple la réalisation d’un Chalet desautomates au marché de Noël.

Contes à domicile : la Ville partenaire

La compagnie a lancé en 2014 des contes à domicile. Ce projet estsoutenu par la Ville de Cherbourg-Octeville, le Conseil général de laManche et l’Agence de la cohésionsociale et l’égalité des chances « pourque chacun trouve sa légitimité à vivreet partager un moment culturel ». Si lepublic visé pour les contes est celui desécoles (où Eva de Amorim intervientégalement dans le cadre des TAP), desRelais assistantes maternelles et descrèches, le public des contes à domicileest celui des habitants des quartiersdits prioritaires, adultes compris.L'idée est d’aller au devant des publicspour faciliter l'accès à la culture, et « rendre à la population des quartierssa légitimité de spectateur ».

Contact : compagnieadeuxpas.comet 06 21 42 59 23

Eva de Amorim, fondatrice de la cOmpagnie a deux pas, organise des lectures de contes pour les enfants.Ici, à la Maison Flora Tristan.

Concours : les 10 commandements de la nuit Cadre de vie

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Afin de préserver la tranquillité, la propreté et la sécurité sur la voiepublique, la Ville de Cherbourg-Octeville organise un jeu-concoursludique, dont l’objectif est de respon-sabiliser les acteurs de la nuit. Intitulé« Devenez les dieux des nuits de votreville », il consiste à rédiger les dix com-mandements du fêtard exemplaire.Propreté, tranquillité, respect desbiens et des personnes, et préventiondes risques liés à l’alcool et aux dro-gues sont les quatre thématiquesretenues.

Des commandements originaux et percutants

Les habitants et les touristes sont doncinvités à mettre leur talent d’auteur en pratique, en se rendant dans l’undes établissements adhérant à laCharte de la vie nocturne pour remplirles bulletins de participation ou sur la page facebook de la Ville(www.facebook.com/villedecher-bourg) en déposant leurs propositionsde commandements dans la rubrique « commentaires ». « Nous attendons

Un jeu concours permettra d’établir les 10 commandements du parfait fêtard.

La Charte de la vie nocturne, une action communeRédigée en juillet 2012, la Charte de la vie nocturne définit les conditions d’une vie noc-turne raisonnable et de qualité, dans le respect de l’autre, tout en conciliant les intérêtsdes acteurs de la nuit et des riverains. Signée par les pouvoirs publics et les représentantsdes professions concernées, elle formalise l’engagement de chacun, dont les établis-sements partenaires, à améliorer les conditions de la vie nocturne. Outre le rappel deslois et des règlements en vigueur, cette charte encourage les exploitants qui la signentà mener de nouvelles actions permettant de mettre fin aux nuisances, comme par exem-ple la promotion des boissons non alcoolisées grâce à des prix attractifs ou l’arrêt dela vente d’alcool au moins un quart d’heure avant la fermeture des bars. Cette charteencourage également le dialogue et la concertation, en s’appuyant sur le Comité deMédiation et de Conseil qui se réunit chaque semestre. « Ce comité est en premier lieuune instance de dialogue entre les représentants des exploitants et ceux de la PoliceNationale, de la Préfecture, des collectivités territoriales et des autres institutions et orga-nes représentatifs (CCI, OCA, etc.), souligne Guylaine Godin. Nous y examinons lesdemandes de fermetures tardives présentées par les exploitants et proposons nos conclu-sions au maire afin qu’il puisse rendre un avis éclairé au préfet ».

Du 7 février au 1er mars,dans le cadre de

la Charte de la vie nocturne, la municipalité et

ses partenaires lancentun jeu concours :

« Devenez les dieux des nuits de votre ville ».Le défi ? Trouver les dix

commandements du parfait noctambule !

des commandements originaux etpercutants », souligne GuylaineGodin, maire-adjointe. Les gagnantsrecevront deux entrées et consomma-tions sans alcool, valables dans lesdiscothèques partenaires.

T-shirts, cendriers, préservatifs… et autres

produits dérivés

A l’issue du jeu-concours, la Ville et lesnombreux partenaires de la Charte (laCommunauté Urbaine, la PoliceNationale, la Sous-préfecture, l’Uniondes Métiers et des Industries del’Hôtellerie, la Chambre de Commerceet d’Industrie, l’Office du Commerceet de l’Artisanat et la Ville de laGlacerie) réaliseront des produitsestampillés 10 commandements/Charte de la vie nocturne : tatouageséphémères, préservatifs, T-shirts, cen-driers de poche… Ils seront distribuésau cours des manifestations munici-pales et dans les établissementsadhérents et partenaires de l’opération.

Pour tout renseignement complé-mentaire, contactez le 02 33 87 88 10.

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Le Challenger La Manche-Cherbourg remet le set Evènement

La 22e édition duChallenger de tennis

La Manche-Cherbourgaura lieu du 21 février

au 1er mars 2015. Dans le top 10

des tournois ATP enFrance, elle attend

les espoirs du tennisinternational.

A ne pas manquer !

De nombreux jeunes tennismen sontpassés par le Challenger de tennisavant de devenir des grands noms dutennis. Rafael Nadal, Gaël Monfils,Novak Djokovic ou encore Jo-WilfriedTsonga ont notamment disputé desmatchs sur le terrain en dur indoor ducomplexe sportif Chantereyne. LeChallenger La Manche-Cherbourg estorganisé tous les ans au mois defévrier et accueille une compétition ensimple et en double. Il est réservé à des joueurs classés entre la 70e et la 180e

place mondiale. Le vainqueur dutournoi de simple remporte un prix de6 150 € et bénéficie de 90 points àl’ATP, l’association des joueurs de tennis internationaux masculins professionnels. Ces points leurs permettent de progresser dans le clas-sement mondial. L’année dernière, le Français Kenny de Schepper (101e

joueur mondial) a vaincu le SerbeNorbert Gombos au terme d’un matchen 3 sets. En double, c’est la paire cons-tituée du Russe Kravchuk Konstantinet du Finlandais Kontinen Henri quien est sortie vainqueur. Près de 12 000spectateurs, fans de tennis de hautniveau, ont vécu cette dernière édition.Au premier rang, des habitants de l’agglomération de Cherbourg-Octeville, mais pas seulement !

Certains se sont déplacés du Nord-Cotentin, voire même des régionsvoisines pour assister à l’événement.

Suspense sur les participants

Depuis sa création, la Ville deCherbourg-Octeville apporte son aidefinancière et logistique au tournoi afinque cette organisation soit une belleréussite : « la mairie met à dispositionde l’association la totalité du complexeChantereyne pendant deux semaineset les agents de la Ville participent aubon déroulement de cet événement »,explique Franck Tison, maire-adjointaux sports. Depuis 1994, des centainesde bénévoles permettent le bondéroulement de cet événement. Lesarbitres sont eux aussi très impor-tants. Le juge arbitre de l’édition 2015sera Patrick Verel, accompagné d’unetrentaine de juges de lignes qui serelaieront toute la journée afin d’as-surer au mieux le déroulement desmatchs. La liste des joueurs 2015 seradévoilée début février. Pour savoirqui succédera cette année à Kenny deSchepper, rendez-vous au complexeChantereyne à partir du 21 février2015 ou sur le site internet pour

Les modalités pratiquesVous pouvez assister aux qualificationsgratuitement au complexe Bagatelle àTourlaville, du samedi 21 février au lundi23 février. Pour assister aux matchs dutableau final, les places sont disponiblesà partir de 4 € pour les adultes et 3 € pourles jeunes. Un forfait à la semaine estdisponible au prix de 40 €. Vous avezaussi la possibilité d’assister aux entraî-nements au tennis club de la Glacerie etau complexe Chantereyne.

Les vainqueursAvant Kenny de Schepper en 2014,Jesse Huta Galung, actuellement 197e

joueur mondial, a remporté le tournoi2013. Avant lui les Français JosselinOuanna (2012), Nicolas Mahut (2010),Arnaud Clément (2009), ThierryAscione (2008) et le Serbe GrigorDimitrov (2011) ont gagné le premierprix.

consulter les scores et les tableaux : www.challengerdecherbourg.com

L’émotion à son comble lors de la balle de match de Kenny de Schepper, en 2014.

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Fermeture temporaire de la bibliothèque municipale En bref

Musée Thomas Henry : acquisition de L’église de

Gréville, de Millet Le musée Thomas Henry enrichit sescollections, avec l’acquisition récented’un dessin de Jean-François Millet,intitulé L’église de Gréville, achetéavec la participation de la Société desamis des musées et des monuments deCherbourg et du Cotentin. Réaliséevers 1866-1871 à l’encre et au lavis desépia sur papier, cette œuvre estemblématique du dernier séjour del’artiste à Cherbourg. En août 1870, ilquitte Barbizon avec sa famille pours’établir dans le Cotentin, jusqu’ennovembre 1871. Durant cette période,il visite à plusieurs reprises Gréville,son village natal situé dans La Hague.L’auberge qui l’accueille se trouve faceà l’église, ce qui lui inspire de nomb-reux dessins, de la simple esquisse(Vue de l’église de Gréville, vers1871, musée Thomas Henry), à la bellefeuille détaillée (L’église de Gréville,1871, Princeton University Museum)en passant par le clocher (Eglise decampagne, musée du Louvre). Ce tra-vail lui permettra de peindre, entre1871 et 1874, le tableau L’église deGréville, une huile sur toile conservéeau musée d’Orsay. Le musée ThomasHenry compte désormais 77 œuvresde Jean-François Millet (31 peintures,27 dessins et 19 gravures), léguéespour la plupart par la belle-famille de l’artiste en 1914. Par la suite, cettecollection a été étoffée par les conser-vateurs successifs. Le dessin deL’église de Gréville, en rapport avec lecontexte local du musée, présente unintérêt indéniable. Son caractèredétaillé, mis au regard de l’esquisseplus sommaire déjà conservée par lemusée, offre un nouvel éclairage sur le travail graphique de l’artiste.Actuellement fermé pour travaux, le musée Thomas Henry rouvrira sesportes au second semestre 2015.

Contact : conservation des muséesau 02 33 23 39 30

musees@ville-cherbourg.fr

Le déménagement de la bibliothèqueJacques Prévert, délocalisée depuis les travaux de réaménagement duQuasar à l’ancien hôpital des armées,commencera en avril 2015. C’est laraison pour laquelle elle fermera sesportes le 11 avril 2015, pour quelquesmois, le temps pour les services de laVille de conditionner l’ensemble des ouvrages (environ 3 000 cartons), de les déménager, puis de les classerdans les nouveaux mobiliers.

Du RFID pour plus d’efficacité

A l'ouverture du Quasar, la biblio-thèque Jacques Prévert, agrandie de400 m2, proposera de nouveaux espa-ces de convivialité et de jeux. Deséquipements RFID, qui permettentd’identifier les livres et autres sup-ports de prêts pour faciliter la gestionet le retour des documents, serontinstallés. « Nous avons choisi d’équiper la bibliothèque de ce sys-tème d’identification par radio

fréquence pour des transactions rapides et une réelle autonomie dupublic », précise Catherine Gentile,maire-adjointe à la culture. Quatreautomates de prêts/retours serontégalement mis à la disposition dupublic, ainsi que des tablettes numé-riques et des liseuses. Cette offredocumentaire dématérialisée per-mettra à chacun de se familiariseravec ces supports et d’accéder à denouveaux contenus culturels.

La Bibliothèque RaymondQueneau reste ouverte

En attendant l’ouverture du Quasar,la bibliothèque Raymond Queneaurestera ouverte les mardis, jeudis etvendredis de 13h à 18h, et les mer-credis et samedis, de 10h à 17h. Le bibliobus, quant à lui, continueraà stationner tous les jeudis sur le parking situé en face de la maisond’arrêt, de 9h30 à 12h30.

Contact : Marine Cabon 02 33 95 40 25

Culture

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Spring 2015 : pleins feux sur la création circassienne !

« Spring 2015 sera l’occasion de montrer au public que les arts du cirqueont enfin décroché leurs lettres denoblesse », souligne Yveline Rapeau,directrice de La brèche. En effet, avec 21 spectacles au programme, la qualitéde ce festival ne cesse de s’affirmer. La diversité des arts présentés lors decette sixième édition permettra de« donner une excellente visibilité à lacréation circassienne récente, grâce à

Focus sur CridacompanyDepuis deux ans, à chaque édition, le festival Spring s’attache à mettre enavant une compagnie. Cette année,Cridacompany est mise à l’honneur. Sesmembres, Jur Domingo et Julien Vittecoq,sont deux artistes accomplis. Outre leurspectacle Mañana es mañana, l’une seraen concert vendredi 13 mars à La brèchetandis que l’autre exposera ses photo-graphies tout au long du festival. JurDomingo et Julien Vittecoq ont égalementcollaboré au dernier film de Tony Gatlif,Geronimo, qui sera projeté mercredi 11 mars, au cinéma CGR Odéon deCherbourg-Octeville. Ils ont composé untitre de la bande originale qu’ils jouerontavant le début du film.

Dios Provera, un spectacle conçu par David Bobée, est l’une des créations de Spring 2015.

Du 7 au 31 mars 2015, le festival Spring

décline les arts ducirque sous toutes leursformes. Danse, jonglage, photographie, musique

et théâtre sont au rendez-vous, pour

une 6e édition qui promet d’être

féerique…

une programmation variée », ajouteYveline Rapeau. L’un des spectaclesphares, Les Limbes, d’Etienne Saglio,raconte ce lieu mystérieux habité pardes âmes errantes, avec beaucoupd’illusion et d’effets sophistiqués.Egalement au programme, 4x4, de lacompagnie Gandini Juggling, associéepour l’occasion au Royal Ballet deLondres. Une rencontre rare, entre uncollectif de jongleurs et la danse clas-sique, qui séduira petits et grandsamateurs de prouesses.

Un Family Fun Day

Cette année, les familles sont attenduesen grand nombre ! Pour la premièrefois, le festival propose le « Family FunDay ». Un jour pas comme les autres,ouvert à tous, surtout aux plus petits. « Le dimanche 22 mars sera consacré au jeune public », précise la directrice deLa brèche. Le collectif Petit Traversjouera son spectacle Nuit, dans lequeltrois jongleurs évoluent dans un mondede lumières et de flammes. Paral-lèlement, l’atelier French Remix pré-sentera sa dernière création mêlantcirque, théâtre et arts numériques, enprésentant les travaux réalisés par une

soixantaine de personnes âgées de 5 à20 ans, toutes amatrices. Pour YvelineRapeau, il s’agit de « la première mar-che d’une école du spectateur, vouée àformer le jeune public à la découvertede spectacles de très grande qualité ».

La musique au cœur des créations

Autre nouveauté 2015, la musique.Placée au centre des programma-tions, elle viendra ajouter à la magieambiante. Dios Provera, de DavidBobée, ouvrira les festivités avec unspectacle illustrant avec brio toute la violence de la Colombie, pays enguerre contre lui-même depuis desannées. « A cette occasion, onze acro-bates colombiens investiront la scène.Ces virtuoses seront accompagnés del’ensemble Les nouveaux caractèresqui revisitera la musique baroque sud-américaine ». Le spectacle de RolandAuzet, A travers Max, proposeraquant à lui un alliage extraordinaireentre le cirque, la musique et le théâ-tre, en collaboration avec l’orchestrerégional de Basse-Normandie.

Contact : labreche.fr ou 02 33 88 33 99

L’Ensemble Magnétis : vers un éveil musical des jeunes

Tout commence en 2009, lorsqueSébastien Bouveyron donne ses premiersconcerts gratuits dans le département.Seul ou en duo, il concocte un pro-gramme qui ne laisse pas indifférent :le public est conquis, et le violoniste,lui, veut aller plus loin encore. C’estainsi qu’avec d’autres artistes issus desplus grandes institutions musicaleseuropéennes, il fonde l’EnsembleMagnétis. « Le dynamisme culturel deCherbourg-Octeville et le fait qu'il n'yait pas d'ensemble de ce type installédans la Manche ont permis que ce pro-jet aboutisse rapidement à la signatured'une convention de résidence »,explique Sébastien Bouveyron.

Sensibiliser les plus jeunes à la musique

Cet accord a débouché sur des actionsen direction des scolaires. Ainsi leconcert organisé au Vox, le 5 décem-bre dernier, en présence d’élèves del’école primaire Baquesne, du collègedes Provinces et du lycée Millet,Vincent Lonjon, professeur au lycée

9

Culture

Sébastien Bouveyron et ses partenaires jouent devant les élèves du lycée Millet.

Millet, a emmené ses élèves deseconde à cette représentation. « Comme toujours lorsque des élèvesse retrouvent en face de musiciens, ilsont été très impressionnés par leurniveau et par le fait, tout simplement,de voir et d'écouter de la musiquevivante », précise-t-il. Des proposconfirmés par Sébastien Bouveyron,pour qui « jouer devant les jeunes per-met de les sensibiliser à la musique dechambre et leur donner envie de s’yintéresser ».

Des concerts commentés

Les performances de l’EnsembleMagnétis ne se limitent d’ailleurs passeulement à l’acte musical. Chaqueconcert est commenté et mis en réso-nance avec d’autres branchesartistiques et intellectuelles. « Lespièces jouées, issues du répertoirebaroque (Torelli, Bach, Vivaldi,Haendel), ne sont pas forcément cequ'écoutent les élèves dans leurs uni-vers personnel, indique VincentLonjon. Les explications et éclaircis-

sements de Sébastien Bouveyronétaient passionnants, car ils mettaienten lumière ces musiques avec leurfonction et place dans l'esthétique deleur époque. » Les élèves ont ainsi puse rendre compte que toute musiqueet celle-là en particulier, s'apprécieencore davantage lorsqu'on enexplique le contexte dans lequel elle aété créée. En mars 2015, l’EnsembleMagnétis organisera une nouvellerencontre avec les élèves du lycéeMillet. Elle sera suivie d’un concert ensoirée, ouvert à tous.

Pour tout renseignement complé-mentaire, contactez le 02 33 87 89 08.

Il y a un an, le violonisteSébastien Bouveyroncréait avec quelques

musiciens l’EnsembleMagnétis. Aujourd’hui,cette formation rayonnedans toute la Manche,

avec un objectif : promouvoir la musiqueclassique, notamment auprès des scolaires.

10

Réforme des rythmes scolaires : la concertation se poursuitEnfance

La réforme des rythmes scolairesmise en place dans les écoles de la Villede Cherbourg-Octeville est en coursd’évaluation. Cette concertationconcerne toutes les écoles. Pendanttrois mois, entre novembre et janvier,des comités techniques se sont réunisdans chaque établissement. Tous lesacteurs ont été conviés : directeurs de

Suite à la réforme des rythmes scolaireslancée en septembre,

une évaluation est en cours

dans toutes les écoles. Cette concertation

permettra un ajustement

de l’organisation.

La réforme des rythmes scolaires permet à de nombreux élèves de s’adonner à des activités périscolaires.

l’école, enseignants, parents d’élèves,élus de la Ville, agents municipaux duservice éducation, personnels chargésdu périscolaire, de la cantine, du net-toyage des locaux, des tempsd’activités périscolaires (TAP) ainsi que le délégué départemental de l’éducation nationale. « Cette démar-che de concertation est un engagement

Les Clubs Coup de Pouce, une aide à la lecture

important de la municipalité, souligneLydia Thieulent, maire-adjointe à l’é-ducation. Elle permet d’avoir unretour très riche au bout de quatremois sur cette nouvelle organisation.Dix-neuf réunions ont été organisées.Notre volonté est que chacun puisses’exprimer. La parole est libre. »

Vers un ajustement du système

Parallèlement à ces réunions, ladémarche d’évaluation portée par laVille en partenariat avec la Ligue del’enseignement se poursuit dans troisécoles (Bayet, Asselin-Dujardin etTournesols). Un questionnaire a étéadressé à tous les enseignants et tousles encadrants. De plus, les parentspourront répondre à un questionnaireen ligne sur le site de la Ville. Cetteétape sera suivie d’une période d’ob-servation. Un comité technique dédiéaux enseignants a également été misen place. « Un rapport d’analyse seraremis au printemps au comité de pilo-tage du projet. Il permettra, le caséchéant, d’ajuster l’organisation. Nousveillerons à informer toute la com-munauté éducative ainsi que lesparents des décisions qui seront pri-ses », précise Lydia Thieulent.

Contact au 02 33 87 88 47

Mis en place il y a six ans à Cherbourg-Octeville, les Clubs Coup de Pouce ontpour objectif d’aider les enfants de CPdans l’apprentissage de la lecture. Cette année, à Cherbourg-Octeville, dix-huit élèves des écoles Robert Doisneau,Hameau Baquesne, Hameau Noblet etAmont-Quentin sont concernés. Tous lessoirs, après le temps scolaire, le ClubCoup de Pouce leur propose de suivredes ateliers, encadrés par des intervenantsmotivés et qualifiés. La Ligue de

l’Enseignement assure le suivi de cesintervenants. Pendant 1h30, les enfantspeuvent s’adonner à des activitésludiques autour de la lecture et de l’écri-ture, tout en savourant leur goûter. « En cinq ans, le dispositif a permis à 95 élèves de faire d’importants pro-grès en lecture, explique Jean-MichelHoullegatte, maire de Cherbourg-Octeville. Un questionnaire distribué enfin d’année a montré que 80 % des parti-cipants ont progressé et amélioré leurrapport à l'écriture et à la lecture. Lesparents et les enseignants sont toussatisfaits du dispositif. » L’année dernière,en France, 9 822 enfants ont bénéficié dece dispositif.

Pour tout renseignement : Philippe Saint-Aubert : 02 33 22 37 59

Course de caisses à savon : les inscriptions sont ouvertes !

Forte de son succès l’an passé, la course de caisses à savon, organisée par la Villede Cherbourg-Octeville, embraye pour une deuxième édition, le 17 mai 2015.Dans le cadre de la fête de la Sainte-Echelle, la municipalité invite les habitantsà concevoir des bolides sans moyens de propulsion. Au programme : une des-cente de 700 mètres, à condition d’avoir de bons freins et un système de directioninfaillible ! Restauration, jeux et défis viendront rythmer cette journée festive,le tout dans une ambiance conviviale. Pour participer, inscrivez-vous vite surle site ville-cherbourg.fr et téléchargez le cahier des charges détaillé. Des exem-ples de plans seront mis en ligne pour aider les participants dans la conceptionde leurs caisses à savon. Rendez-vous également sur la page facebook villedecherbourg pour suivre et échanger sur les différentes étapes, de la fabri-cation à la course.

Contact : Jean-Marc Vallance au 02 33 87 88 33

En bref

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Stationnement : abonnez-vous !La Ville de Cherbourg-Octevillecontinue à moderniser son offre destationnement. Depuis le 1er juillet2014, un nouvel abonnement àmoins d’un euro par jour est proposéau parking Napoléon (25 € parmois et 275 € par an). Les vacancierset les plaisanciers qui souhaitent ydéposer leurs véhicules pendantleur absence peuvent eux-aussisouscrire à un abonnement s’élevantà 10 € la semaine. Les parkingsGambetta-Fontaine et Notre-Damebénéficient également de forfaitsattractifs. Pour en savoir davantage et vousabonner, rendez-vous à l’accueildu parking Gambetta-Fontaine,muni de votre carte grise. Si vousêtes résidant, vous pourrez profiterde tarifs préférentiels en hypercen-tre. Deux justificatifs de domicilevous seront alors demandés.

Contact : Hélène Debroise au 02 33 87 88 74

Soutien aux tuteurs familiaux : la permanence change d’horairesLe soutien aux tuteurs familiaux estun service gratuit destiné aux per-sonnes confrontées à la protectionlégale d’un proche, handicapé oumalade. Il propose une aide auxdémarches administratives et desconseils adaptés aux besoins spéci-fiques des individus placés soustutelle ou sous curatelle. CorinneDalsorg, mandataire judiciaire, vous accueille désormais chaquedeuxième lundi du mois de 10h à 16hau tribunal d’instance, 38 rueFrançois Lavieille, à Cherbourg-Octeville. Vous pouvez prendrerendez-vous en téléphonant au 02 33 78 15 30.

Zone 30 de Cherbourg Centre : de nouveaux panneaux « Cédez le passage »

A l’intérieur de la zone 30 de Cherbourg Centre, sur l’ensemble des intersec-tions, des panneaux « Cédez le passage » remplacent désormais lespanneaux « Stop ». Plus de cinquante intersections sont concernées, parmi lesquelles celles situées entre l’avenue Delaville et le boulevard Schumann, la rue des Halles et la rue des Tribunaux ou encore, la rue de l’Eglise et la ruede la Marine.

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CultureL'Arbre à parapluies :

derrière la caméra les scolaires

Tout est parti, en 2013, de la lecture dulivre L'Arbre de pluie, de MercéCompany Gonzalez, illustré parAgusti Asensio Sauri. Les élèves dugroupe scolaire Jean Jaurès (maternelleet primaire) et du collège IngénieurCachin ont transposé l'histoire dansune localité imaginaire du nom deCherbourgville où... il ne pleut jamais !

A Cherbourgville, un parapluie qui parle

Les habitants ne savent pas ce qu'estla pluie, les gouttes et encore moins lesinondations. Mais un jour, surviennentun orage et des averses. Le lendemain,les enfants découvrent un parapluie

qui parle. Ils le plantent en terre et l’arrosent. Bientôt, il donne plein dejolis parapluies colorés... « Ce sont les jeunes eux-mêmes qui ont écrit lescénario, inventé des comptines, des saynètes, des poésies et des cho-régraphies sur le thème de l'eau et des parapluies », explique ChristineDespringres, alors principale adjointeau collège Cachin. Le défi était de fairese rencontrer les écoliers et les collé-giens, et de créer ensemble un film. « Les maternelles ont conçu des para-pluies en carton plume et les ontdécorés avec les 5e », ajoute-t-elle. Lesprimaires, eux, se sont attaqué à desparapluies de toile et de bois, assistéspar les collégiens en cours de techno-logie. « Les échanges entre les jeunesont été très riches, tout comme lesnotions abordées : lecture, écriture,fabrication d'instruments de musiqueetc. », se réjouit Christine Despringres.

Une journée aux studiosde France 3 Lille

Ensuite est venu le temps du tournage,au sein de l'école Jean Jaurès, puis celui

Les élèves de maternelleet de primaire

de l’école Jean Jaurès et les collégiens deCachin ont travaillé

ensemble à la réalisationd’un film, L’Arbre à

parapluies. Un projetenthousiasmant qui a

créé des vocations.

Les écoliers et les collégiens ont conçu un film, du tournage au montage, en passant par la création des décors.

du montage. Cela a demandé dutemps et le projet s'est étendu à l'annéescolaire suivante. Pour se former, 13 élèves de 4e se sont rendus aux studios de France 3 Lille pour profiterdes conseils d'une professionnelle,Édith Paquet, chef monteuse à FranceTélévision. « C'était impressionnant,les machines, et le nombre de person-nes nécessaires au montage d'undocumentaire », raconte Timothée.Une de ses camarades, aujourd'hui en3e, souhaite depuis devenir monteuse :« c'est le premier film qu'on aurajamais tourné. C'est une expérienceunique et incroyable ». Les enseignantssont eux aussi ravis de l'aboutissementdu film : « les jeunes ont été acteursdans tous les sens du terme. Ils sontmaîtres de leur projet ».

Le projet est soutenu par la Villedepuis le commencement. LeConseil général et l'Acsé, Agencepour la cohésion sociale et l'égalitédes chances, ont eux aussi financéL’Arbre à parapluies.

Femmes dans la ville 2015Le festival Femmes dans la ville 2015, qui aura pour thématique l’égalité entre

les femmes et les hommes, débute le 28 février. Découvrez le programme !

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Dossier

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DossierFemmes dans la ville 2015,

un festival au plus près de l’égalité

Clarence Rodriguez est la seule jour-naliste accréditée permanente enArabie Saoudite. Dans son ouvrageRévolution sous le voile, huit femmesracontent leur combat pour leursdroits, elle dresse une série de portraitspoignants qui illustre, sans concession,le quotidien des Saoudiennes. A sescôtés, Yves Deloison, journaliste àL’Express, est lui aussi capable de por-ter haut et fort la voix des femmespuisqu’il est l’auteur de Pourquoi lesfemmes se font toujours avoir etmode d’emploi pour que cela change,enfin et L’Homme, le nouveau sexefaible, manifeste pour un nouveaumâle. Par leurs écrits et leurs engage-ments, ces deux personnalités reflètentles thèmes phares du festival : lesdroits des femmes dans le monde etl’implication des hommes dans lecombat pour l’égalité.

Un rendez-vous citoyen

Clarence Rodriguez et Yves Deloisonparticiperont aux nombreux rendez-vous citoyens du festival, de la

Le Cabaret des filles de joie, monté par la compagnie de Juliette Dragon, met en scène la libération et laliberté des femmes sous toutes leurs formes.

Rencontre internationale des femmesélues à la signature de la Charte euro-péenne pour l’égalité des femmes etdes hommes dans la vie locale, quipermet aux communes de s’engagerpubliquement en faveur des droits desfemmes. Parallèlement, les Assises del’égalité se dérouleront sous forme dequatre ateliers, avec pour objectif derédiger le plan égalité de la Ville.

Une programmation100% Cultur’Elles

Le festival propose aussi des spectaclesau féminin. Cette année, l’associationCultur’Elles est en charge de la programmation. Composée d’unesoixantaine d’adhérentes et d’unebonne dose d’imagination, elle pro-pose des spectacles détonants, avecLiane Foly en tête d’affiche, qui vien-dra présenter son dernier album au théâtre à l’Italienne, dimanche 1er mars. Trois autres dates sont à retenir : L’Île des Elles, par la compa-gnie Femmes dans la ville, samedi

Pour sa 16e édition, le festival Femmes dansla ville s’est choisi unemarraine et un parrain,

Clarence Rodriguez et Yves Deloison. Au programme

également : des spectacles

au féminin, la signaturede la Charte européenne

pour l’égalitéhomme/femme,

La Cherbourgeoise et une course

pour les hommes !

28 février au théâtre à l’Italienne,Quand nos luttes auront des elles, dela compagnie Mémoires vives, mardi3 mars, et Le Cabaret des filles de joie,avec la compagnie de Juliette Dragon,jeudi 5 mars.

La Cherbourgeoise s’ouvre aux hommes !

Enfin, pour clôturer le festival, le dernier week-end sera consacré à la santé et au bien-être. Le dimanche,pour la première fois, les hommespourront participer à La Cherbour-geoise. Ils partiront dimanche 8 mars,Plage Verte, à 15h, et défendront lesdroits des femmes et l’égalité dans lemonde, sur un parcours de trois ou sixkilomètres. Les femmes, quant à elles,débuteront leur parcours à 15h30.Comme chaque année, l’intégralité dessommes récoltées sera consacrée à lalutte contre le cancer du sein. Tout le programme sur ville-cher-bourg.fr et femmesdanslaville.com et entéléchargeant l’application CherbourgMsur Google Play et l’App Store

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DossierLes temps forts du festival

Inauguration et rencontres

Dès le 28 février, rendez-vous à la salledes fêtes pour le lancement des festi-vités. Les Assises de l'égalité serontl'occasion de participer à des ateliersthématiques, suivis d'un grand quiz de l’égalité. Un peu plus tard dans la soirée, des femmes élues des villesjumelées avec Cherbourg-Octevillese réuniront à l’Hôtel de Ville afin de débattre du rôle des femmes enpolitique. Le lendemain, dès 14h, le spectacle de rue Les Barbues ou de l’insatisfaction politique plongerales visiteurs dans un théâtre déam-bulatoire drôle et satirique, qui ques-tionne le jeu des identités et la placedes femmes dans la société.

Week-end sport, santé etbien-être au féminin !

Samedi 7 mars, trois espaces consacrésau sport et au bien-être seront instal-lés au Village du festival, plage Verte.Conseils minceur, soins du corps,

maquillages pour enfants et initiationssportives seront proposés. Le lende-main, place à La Cherbourgeoise,qui, pour la première fois depuis sacréation, s’ouvre aux hommes. Lesparticipants, qui partiront à 15h, cour-ront ou marcheront pour défendre lesdroits des femmes et l’égalité dans lemonde. Les concurrentes féminines,quant à elles, débuteront leur course à15h30 au profit de la lutte contre lecancer du sein. Les deux groupesauront le même parcours : trois ou sixkilomètres, avec un départ plageVerte.

Et de nombreuses expositions…

Tout au long du festival, la Ville deCherbourg-Octeville vous invite àdécouvrir différentes expositionsautour du thème de l’égalité. Parmielles, les résultats d’un concours d’af-fiches organisé par l’Académie sur lethème du respect mutuel entre fem-mes et hommes, à la salle des fêtes, ouencore une série d’images retraçantl'implication et le sacrifice des femmes

Cette année, La Cherbourgeoise s’ouvre aux hommes. Ils courront pour soutenir les droits des femmeset l’égalité dans le monde.

Entre rendez-vouscitoyens, débats

sociétaux et spectaclesau féminin,

la 16e édition du festivalFemmes dans la ville

promet d’être surprenante…

dans la résistance française pendantl'Occupation et jusqu'à la Libération.Taryn Simon, photographe améri-caine née en 1975, exposera égalementle fruit de quatre années de recherchedurant lesquelles elle a voyagé dans lemonde entier pour relater les histoiresde différentes lignées.

Liane Foly fête ses 30 ans de carrière

Liane Foly, chanteuse énergique à la voixlangoureuse, se produira le 1er mars authéâtre à l’Italienne. Un concert excep-tionnel, qui marquera le début d’unelongue tournée en France. Elle y présen-tera son nouvel album L’heure bleue,accompagnée de ses musiciens. Un opusaux sonorités pop et jazz, créé sous ladirection musicale de Jean-Yves d’Angelo.

Contact et réservations : culturelles50@yahoo.fr

Tarifs : 20 € et 15 €.

Dossier

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Cultur'Elles : l’art au féminin

L’Ile des Elles, l’un des spectacles programmés par l’association Cultur’Elles dans le cadre du festivalFemmes dans la ville 2015.

Cette année, la programmation

du festival Femmesdans la ville a été

confiée à l’associationCultur’Elles.

Une structure dynamique, chargée

d’émerveillerCherbourg-Octeville

durant huit jours.

La compagnie Femmes dans la ville

La 16e édition du festival Femmes dansla ville a été organisée par l’associationCultur’Elles. Reprenant le flambeau del’association Big Walter, dont elle estune émanation, cette structure réservede belles surprises. « Avec l’aide de lamairie de Cherbourg-Octeville, nousavons pu construire une programma-tion intéressante, qui s’accorde avec lethème de l’égalité homme/femme »,précise Mélanie Schneider, secrétairede l’association. Trois spectacles sont

proposés : L’Île des Elles, Quand nosluttes auront des Elles et Le Cabaretdes filles de joies. Mais ce n’est pastout, puisque cette année, Femmesdans la ville accueille Liane Foly, pourun concert exceptionnel. « La chan-teuse, qui sort un nouvel album aumois de mars, débutera sa tournée à Cherbourg-Octeville, se réjouitMélanie Schneider. C’est une sacréetête d’affiche pour la première annéede Cultur’Elles. »

Rendre la culture accessible à tous

L’association Cultur’Elles ne comptepas s’arrêter là. « Jusqu’à maintenant,l’organisation du festival a été notrepriorité, souligne Mélanie Schneider.Mais de manière plus générale,Cultur’Elles a pour objectif de pro-mouvoir la production culturelleféminine à travers la diffusion de spec-tacles, accessibles à tous. » La structurea d’autres projets, qu’elle espère pou-voir concrétiser et proposer à unlarge public, dès 2015. « Nous aime-rions monter des pièces de théâtre etdes comédies musicales, à des tarifsabordables, indique la secrétaire de

Créée en 2011, la compagnie Femmes dansla ville regroupe des artistes amateurs pas-sionnés, tous issus des maisons de quartiersde Cherbourg-Octeville. Elle compte à cejour une cinquantaine d’adhérents, tousplus motivés les uns que les autres. Quatreintervenants professionnels sont présentspour les encadrer : Christophe Tostain, écri-vain, Joël Dubois, chanteur, NoëllaAuguste, chorégraphe, et Michel Beurton,metteur en scène. Ensemble, ils ont conçuL’Île des Elles, la comédie musicale quiinaugurera le festival Femmes dans la ville,le 28 février prochain.

l’association, cela dépendra de nosmoyens humains et financiers ». Pourl’heure, un nouveau spectacle est encours d’écriture. Il devrait être pré-senté dans le cadre du festival Femmesdans la ville en 2016 ainsi que dansd’autres salles. L’association souhai-terait également organiser desreprésentations dans le quartier desProvinces, où se situe son siège social.

Contact : culturelles50@yahoo.fr

Dossier

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Une marraine et un parrain engagés

Clarence Rodriguez, marraine du festival 2015 et journaliste engagée

Yves Deloison, parrain du festival 2015, s’engage aux côtés des femmes

Clarence Rodriguez, marraine du festival, journaliste indépendante, est la seule à être accré-ditée permanente en Arabie Saoudite, où elle suitl'actualité du pays pour Radio France, RFI, Le Parisien, Elle, France TV, TV5 Monde... Ellevient de publier Révolution sous le voile, huit femmes racontent leur combat pour leursdroits, chez First Éditions, et interviendra pendantle festival. Entretien.

Pourquoi avez-vous accepté l'invitation du festival ?C'est un honneur pour moi. Je prends cette invitation à cœur. Je suis toujours heureuse de rencontrer des personnes qui s'in-téressent au combat des femmes saoudiennes pour leurs droits.Ce festival est pour moi une fenêtre, une tribune, l'occasion d'évoquer leur quotidien devant le maximum de gens et de trans-mettre mon expérience.

En Arabie Saoudite souffle une bise de ce que vous nommez des« réformettes ». Quelles sont-elles ?Pour nous, en France, il s'agirait en effet de « réformettes », maispour les femmes saoudiennes, c'est énorme. Tout bouge lentement, là-bas, et de façon silencieuse. Tous les changementsdoivent venir de la société : le roi Abdallah veut intégrer la femmedepuis plusieurs années, mais il ne peut pas imposer des réfor-mes sans l'accord de tous. Or les femmes réformatrices sontminoritaires. La plupart sont conservatrices parce qu'elles neconnaissent tout simplement pas leurs droits. Je me suis fait undevoir de médiatiser celles qui se battent pour changer les choses.

C'est le sujet de votre livre : Révolution sous le voile...Oui, il se passe en réalité beaucoup de choses sous ce voile hermétiquement clos. Les 8 femmes dont je dresse ici le portraitne sont pas passives et souhaitent au contraire jouer un rôlemajeur dans cette société qui nous semble, vue d'ici, sclérosée.Depuis peu, les femmes saoudiennes peuvent vendre de la lin-gerie, des cosmétiques, devenir avocate ou même participer auxJeux Olympiques. Il faut savoir qu'au pays du pétrole, elles n'ontpas le droit de conduire. Mais je me réjouis pour elles de l'obtention du droit de vote. Elles voteront pour la première foisaux élections municipales de mars 2015, au moment de Femmesdans la ville.

Soit 70 ans après les femmes françaises...C'est vrai. Et en France, à cette époque-là, les femmes étaientencore dépendantes de leur époux, par exemple pour accéder aucompte en banque du ménage, ou même pour le choix du bul-letin de vote. En Arabie Saoudite, les femmes sont encore ettoujours inféodées à un homme de leur entourage : père, mari,frère et parfois, il arrive que le fils que vous avez mis au mondedevienne votre tuteur, et ce, même si vous êtes chef d’entreprise...

Durant le festival, vous rencontrerez des scolaires. Quel messagesouhaiteriez-vous leur faire passer ?Le respect du Droit des femmes. La vigilance, aussi : ces droitsne sont pas acquis pour toujours. La nouvelle génération doit toutfaire pour transmettre ces valeurs pour demain. Les jeunes doi-vent prendre conscience qu'ils font partie d'une chaîne de ceuxqui construisent le Droit des femmes.

Journaliste pour L’Express,Le Courrier de l'Atlas ouencore Elle.fr, et spécialistedes questions d’égalité, le parrain du festival estl'auteur de Pourquoi lesfemmes se font toujoursavoir et mode d’emploi

pour que cela change, enfin (2013) etL’homme, le nouveau sexe faible, mani-feste pour un nouveau mâle (2014), tous deux parus chez First Éditions. A Cherbourg-Octeville, il viendradécrypter les stéréotypes.

Pourquoi avez-vous accepté l'invitation dufestival ?Je connaissais le travail mené par l'équipede Femmes dans la ville, j'apprécie soncontenu et sa pertinence. Je suis même déjàvenu en spectateur : j'avais assisté à uneprojection. L'invitation me fait plaisir et metouche. Je trouve que les sujets abordéssont en totale adéquation avec mes écrits,mon message.

Justement, quel est votre message ?Hommes et femmes s'enferment dans des rôles, des stéréotypes. Auparavant je travaillais dans la formation profes-sionnelle et j'ai souvent constaté que cesstéréotypes influençaient le parcours pro-fessionnel des femmes. Combien de foisai-je entendu, à propos de leur rémunéra-tion : Tu demandes une augmentation ?Avec ce que gagne ton mari ? Or ces phra-ses sont parfois dites par des femmes !C'est comme si elles devaient toujours faireprofil bas... Devenu journaliste, j'ai tout naturellement continué de traiter cesproblèmes.

Cela rejoint le titre de votre livre Pourquoiles femmes se font toujours avoir [...]Oui en effet. Les femmes se freinent elles-mêmes dans leur carrière. Inconsciem-ment, la plupart se dirigent vers un nom-bre restreint de métiers et souvent les plusprécarisés. Seules les difficultés de recru-tement incitent des secteurs à s'ouvrir aux femmes. Heureusement, depuis les

années 90, on assiste à une prise de cons-cience et elles s’orientent par exemple deplus en plus vers des métiers scienti-fiques. Il faut creuser ces questions pouraller plus loin encore.

C'est pour cette raison que vous rencon-trerez des jeunes pendant le festival ?Oui, je suis ravi de rencontrer, entre autres, des collégiens et des lycéens. A chaque fois, je suis surpris de leurattention lors de ce genre de débats : celaremue beaucoup de choses chez eux.C'est une clé majeure que de s'adresser àeux pour lutter contre les stéréotypes, s'enémanciper, et pour instaurer d'autrestypes de rapports.

Participerez-vous à la course LaCherbourgeoise, ouverte cette année auxhommes ?Malheureusement, je ne cours pas beau-coup. Mais j'ai vu qu'il était possible de lafaire en marchant. Je serai donc sur laligne de départ le dimanche 8 mars !

Tous les jours, matin, midi et soir, onzesignaleurs sont postés aux points de cir-culation délicats. Ils aident à la traverséedes voies et protègent les enfants, maisaussi leurs parents, leurs enseignants…aux abords des écoles Bayet, Gibert,Amont-Quentin, Jean-Jaurès, Dujardin,La Polle, Jean-Goubert et Hameau Noblet.Ce dispositif a été mis en place par la Villedès 2003 avec la FCPE et repris depuis larentrée scolaire 2012 par l’association Ensortant de l’école, en lien avec la policemunicipale.

Focus sur...

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Le service éducation

Tout au long de l’année,le service éducation

qui compte 98 agentsveille sur le bon fonctionnement

des 120 classes répartiesau sein des 19 écoles

de la ville. Cette année, 2 543 enfants sont

scolarisés.

Chaque année, les agents municipaux etdes animateurs des Francas sont mobi-lisés pour proposer aux familles unepalette étendue de services avant, pendant et après le temps scolaire (res-tauration scolaire, accueil et activitéspériscolaires). L’accueil périscolaire, le matin, est gratuit depuis la rentrée. Il débute à 7h30 et concerne toutes lesécoles.

Dans les classes de maternelles, chaquejour, les ATSEM aident les professeurs desécoles dans leurs tâches. Ces professionnelsde la petite enfance assument une triplefonction éducative, pédagogique et d’en-tretien. Leur rôle est complémentaire àcelui des enseignants et les tâches qu’ilsassurent sont essentielles au bon fonc-tionnement des écoles maternelles.

L’enfant accompagné

toute la journée

Le chemin des écoliers

en toute sécurité

Des ATSEM auxcôtés des équipes

enseignantes

Le budget consacré par la Ville de Cherbourg-Octeville au fonctionnement quotidien des écoles s’élèveà plus de 4 millions d’euros dont les 3/4 sont liés aux dépenses de personnel (gestion, encadrement desenfants et animation).

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Focus sur...

Au cours des huit dernières années, la Villede Cherbourg-Octeville a investi un budget moyen de 480 000 € par an pourl’entretien de son patrimoine scolaire, afind’offrir aux élèves et aux enseignants des conditions d’accueil satisfaisantes :remises aux normes, achats de matériels,développement des équipements numé-riques, accessibilité aux personnes àmobilité réduite… Pour l’année 2014, unbudget de 450 000 € TTC a été dégagé, ycompris les interventions par les servicestechniques municipaux.

En moyenne, 1 400 enfants fréquententchaque jour les 19 sites de restauration scolaire de la ville. Ils sont encadrés par150 agents de restauration, ATSEM et animateurs des écoles élémentaires. A travers son service de restauration, la collectivité vise à promouvoir la santédes élèves et leur éducation au goût. Dansce cadre, elle travaille en partenariat avecl’association Dépistage Obésité Nord-Cotentin (DONC) pour veiller à l’équilibrenutritionnel des repas proposés auxenfants. Un aliment bio est proposéchaque semaine aux enfants. De plus, lesfilières courtes sont favorisées pour pro-mouvoir les producteurs locaux.

Chaque jour desrepas équilibrés

pour 1 400 enfants

Les démarches simplifiées

Outre les outils culturels mis à disposition desécoles pour les soutenir dans leurs projetspédagogiques (bibliothèque, artothèque,service éducatif des musées, centre des artsdu cirque, le Trident scène nationale, le Pointdu jour…), trois ETAPS municipaux inter-viennent dans les écoles sur le temps scolaireainsi qu’un intervenant musique. Des agentsde la Ville sont également impliqués dans les temps d’activités périscolaires.

Des activités sportives et culturelles pour tous

Des travaux régulierspour entretenir les bâtiments

Payer en ligne la restauration scolaire oul’accueil périscolaire, informer les servicesd’un changement de situation, c’est pos-sible grâce au portail familles accessible surle site internet de la Ville (www.ville-cher-bourg.fr). Pour faciliter les démarches lorsdes inscriptions, le service éducation sedélocalise dans les quartiers pour aller auplus près des parents.

Les contacts entre la communauté éducative et la Ville sont permanents. Dans cette optique, une démar-che de concertation a été mise en place afin d’évaluer la réforme des rythmes scolaires lancée en septembredernier (voir page 10).

Le service éducation

Travaux

En mars 2015, les travaux de la placeJacques Hébert, située en plein cœurdu quartier des Bassins, devraient s’achever. L’aménagement a été confiéà la Shema, spécialisée dans l’amé-nagement du territoire et le renouvel-lement urbain. « L’objectif est derendre la place Jacques Hébert vivanteet animée », précise Fabien Feuillette,chef de projet. Toute la partie sud dela place est désormais réalisée et lescandélabres sont déjà érigés. « Les tra-vaux de la partie Nord ont débuté ennovembre 2014, explique FabienFeuillette. Cette partie bénéficiera dumême traitement que la partie suddevant les Eléis, avec un revêtementen dalles granit de différentes teintes,agrémentées de pavés en gré. »

Une place conviviale

Des assises en granit seront installéesen plusieurs points, ce qui permettraaux passants de s’asseoir et de profi-ter du nouvel environnement. « Nouscomptons également sur les terrasses

La place Jacques Hébert bientôt achevée

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Un nouvel espace vert rue d’Alsace

La rue d’Alsace bénéficie d’un nouvelespace vert. Les peupliers seront rempla-cés par des chênes, de la caserne despompiers jusqu'à la place de Bourgogne,pour être en cohérence avec les arbres présents en bordure de l'avenue deNormandie.Le conseil de quartier Amont-Quentin/Provinces, après une concertation avec sesmembres, souhaite également la mise enplace de tables et de bancs pour profiterpleinement de ce lieu ensoleillé, ce qui seraà envisager avec Presqu'île Habitat, pro-priétaire du terrain. Enfin, une liaisonpiétonne sera créée, à la demande des habi-tants, pour rejoindre l'arrêt de bus à partirde la rue de Mézières. Ce passage, d'environ 1m50 de large, facilitera l’accèsdes riverains.

Les travaux de la 2e partie de la place Jacques Hébert devraient se terminer en mars 2015.

Les travaux de la place Jacques

Hébert, côté Mercure,ont débuté

en novembre dernier. Ils devraient s’achever

en mars 2015. Tour d’horizon.

des restaurants du quartier des Bassinspour animer l’endroit ». Le futurhôtel Mercure ouvrira prochainement.« Le bâtiment, qui occupera 5 277 mè-tres carrés pour un total de 94 cham-bres, est presque terminé », indiqueFabien Feuillette. Il disposera en rez-de-chaussée d’un restaurant et d’unbar ouvert à tous, de quoi attirer tou-ristes et visiteurs. « Le chantier est bienavancé. La livraison du chantier estprévue pour le mois de mars 2015. »

La création d’une rue

Non loin de là, la Shema engagera également les travaux de la partie sudde l’avenue Reibell, positionnée entrel’hôtel Mercure et le lycée aquacole.Ces travaux réalisés dans le cadre del’ORU et menés par la CUC ont pourbut de terminer l’avenue Reibel qui,pour l’heure, se finit en impasse. « Ce passage a été coupé lors de la construction du centre commercialLes Eléis, rappelle Fabien Feuillette.Demain, l’avenue Reibell rejoindra

le quai de l’Entrepôt et desservira l’hôtel Mercure et le lycée aquacole.

Sport Vacances : du 7 au 22 février

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En bref4e édition de Cherbourg Nauting,

salon nautique et plaisance

Sport Vacances, ce sont une quin-zaine d'activités sportives proposéesà environ 300 jeunes répartis en deuxtranches : les 8-11 ans et les 12-18 ans. « Les inscriptions se font, cette année,dans les Maisons Flora Tristan etFrançoise Giroud, à l’Espace loisirsAmont-Quentin et à Chantereyne »,explique Eric Leday, animateur spor-tif à la Ville. Pour les enfants hors

Trophée de l'Ile Pelée : 20e édition, du 9 au 15 mars

Le Trophée de l'Ile Pelée, c'est à la foisune coupe d’Europe de voile des universités et l'unique championnatde France universitaire de voile. « Lacompétition mobilise 200 étudiantssur flotte monotype J80, et 90 béné-voles », indique Olivier Gosselin,organisateur de la manifestation soutenue par la Ville de Cherbourg-Octeville et la Marine nationale. « Nous accueillerons des équipesd'Italie, de Suisse, d’Espagne ouencore d'Angleterre ». Le lundi et lemardi, les équipes s’entraînent dansla rade, et les courses se succèdent dumardi au samedi. Renseignements : tropheeilepelee.orgLa course de Class’40, organisée dans le cadre du Cherbourg-Nauting, se déroulera en trois étapes :

Cherbourg, Saint-Marcouf et Aurigny.

Du 17 au 19 avril 2015, l’association Aspronaute organise la 4e édition de son salon nautique à Port Chantereyne, où près de 9 000 visiteurs sont atten-dus. Pour l’occasion, le Cherbourg Nauting revient avec un programme completd'animations dans la voilure. « La grande nouveauté, c'est une course de Class40', les mêmes bateaux que sur la Route du Rhum », précise Bruno Archambaud,président de l’association Aspronaute. Cette course se déroulera en trois éta-pes, sur trois jours : Cherbourg, Saint-Marcouf et Aurigny, et une course triangledans la rade. Le salon accueillera une cinquantaine d'exposants de la filière nautique (ventede bateaux, permis, accastillage, vêtements etc.). Du côté des animations, lepublic pourra retrouver l'initiation à la plongée, au kayak de mer, à l'aviron,des sorties à la voile ou encore des visites de vieux gréements. « Le but est de pérenniser l’événement, souligne Bruno Archambaud. Les visiteurs et les professionnels du nautisme doivent y trouver leur compte pour que le Cherbourg Nauting devienne un rendez-vous annuel ».

Contact : Bruno Archambaud au 02 33 53 27 34

commune, les inscriptions s’effec-tuent uniquement le vendredi, aucomplexe Chantereyne. « Le but, c'estla découverte d'une activité sportivede façon ludique, ajoute Eric Leday.Chaque année, près de 800 jeuness'inscrivent à Sport Vacances, undispositif mis en place par la Ville deCherbourg-Octeville. »

Contact : 02 33 53 53 29

Tour de France 2016 :Cherbourg-Octeville,

à l’arrivée de la 2e étapeC’est maintenant confirmé : le Tourde France 2016 partira du Mont-Saint-Michel ! Après une premièreétape traversant d’Ouest en Est lapresqu’île du Cotentin, les cyclistesdébuteront leur deuxième jour decourse dans la vallée de la Vire, àSaint-Lô, pour arriver sur Cherbourg-Octeville. 182 kilomètres de tours de roues les attendent, longeant lessuperbes panoramas de La Hague etla difficile montée de La Glacerie,avec un passage à 14%.

Pour plus d’informations :www.letour.fr

Assises de la solidarité : des échanges prometteursSolidarité

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Les Assises de la solidarité, qui sesont déroulées le 11 octobre avec leshabitants de Cherbourg-Octeville et le 4 novembre avec les partenairesinstitutionnels et associatifs, ont été un vrai succès. « Elles ont réuni 200 personnes, représentant tous les quartiers de la ville et toutes lestranches d’âge », se réjouit Jean-Michel Houllegatte, maire de la Ville.L’objectif était de collecter les idées etles attentes des participants afin d’adapter les politiques sociales du

Les Assises de la solidarité ont réuni 200 participants, tous très impliqués dans la vie de leurs quartiers.

territoire, établies lors du précédentmandat dans le cadre du livre blancsolidaire.

Une offre sociale étoffée, mais pouvantmanquer de lisibilité

Les habitants et les partenaires ontainsi pu débattre, avec leurs élus, dequatre grands sujets : les politiques enfaveur des aînés, la lutte contre la pré-

Assises : les principales thématiques abordéesPremier constat des habitants et parte-naires présents aux Assises, les servicesd’aide aux personnes âgées - pourtantbien développés à Cherbourg-Octeville -ne sont pas suffisamment connus, notam-ment en matière de maintien à domicilepuisque 52% des personnes âgées viventseules. Concernant la lutte contre la pré-carité, selon les participants, les premierstouchés sont les locataires aux faibles reve-nus et les jeunes sans ressources. L’objectifest de rendre plus visibles et lisibles les offres des services concernés, tout en

Les Assises de la solidarité se sonttenues les 11 octobre et4 novembre derniers.

Cette démarche participative, engagée

par la Ville de Cherbourg-Octeville et le CCAS, a réuni denombreux habitants

et partenaires. Objectif :déterminer les prioritésen matière de solidarité.

développant la prévention et la veillesociale. Sur la promotion de la santé,quelques pistes de travail ont été définies,parmi lesquelles la mise en place d’uneréflexion autour de la consommation d’alcool – il existe déjà une action en direc-tion des jeunes – et le développementd’une culture de proximité. Les habitantssouhaiteraient également pouvoir orga-niser davantage d’animations populaireset d’événements fédérateurs dans lesquartiers.

carité, la promotion de la santé et l’animation sociale du territoire. « Nous avons constaté un manque delisibilité dans l’offre sociale proposée,précise Jean-Michel Houllegatte. Nousdevrons, à l’avenir, améliorer notrecommunication interne et externe ».De manière générale, les habitants se sentent bien. Ils souhaiteraient néanmoins renforcer leur identité d’ap-partenance à Cherbourg-Octeville,notamment en centre-ville.

Prochaine étape : la présentation des projets

au bureau municipal

Les résultats de ces Assises seront pré-sentés aux élus qui travailleront surcertaines de leurs propositions pourles intégrer au livre blanc solidaire. Lesélus se donnent six mois pour tra-vailler sur ce sujet, le temps deconsulter les services concernés,comme par exemple la culture, le sportou l’éducation, et de l’intégrer à la pro-grammation de mandat municipal.

Contact : Isabelle Vatinel au 02 33 01 50 61

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BudgetLe budget 2015

de la Ville est adopté

Quelques chiffresLe budget principal s'équilibre tant endépenses qu'en recettes à 68 676 566 €.Les budgets annexes, quant à eux, sedécomposent ainsi :- Port de plaisance : 3 208 805 €- Parkings : 481 100 €- Locations et prestations de service :

585 200 €- Espaces d'activités économiques :

1 285 768 €- Cimetières : 23 000 €

Le budget 2015 de la Ville prévoit l’achèvement des travaux du Quasar, un des principaux projets de mandat.

Adopté lors du conseil municipal du 18 décembre 2014,

le budget 2015 ne prévoit aucune

augmentation d’impôts.Les services publics,quant à eux, seront

confortés.

Le 18 décembre 2014, le conseil muni-cipal a adopté le budget 2015.Première annonce : en 2015, les tauxd’imposition n’augmenteront pas.Nicolas Vivier, maire adjoint auxfinances, assure que la municipalité a pleinement conscience de la situationéconomique parfois difficile des habi-tants et des entreprises. « La Villecontribuera aux efforts en n’augmen-tant pas la fiscalité, indique-t-il. Les dotations de l’Etat sont en baisse,certes, mais ce n’est pas pour autant

que nous sommes dans un état d’espritdéfensif, où il n’y aurait rien à faire. La municipalité continuera à gérerrigoureusement ses ressources, commeelle le fait depuis longtemps ». Pourfaire face à la diminution des recettesde fonctionnement, la municipalitépoursuivra les investissements qui ne génèrent pas de dépenses de fonc-tionnement, voire qui engendrent deséconomies. Pour cela, elle fait le choixd’adapter ses dépenses de fonction-nement tout en maintenant un hautniveau de service public, et de ne pasrecourir, pour la douzième annéeconsécutive, au levier fiscal.

Des services publics renforcés

Deuxième point fort de ce budget2015, le périmètre des services publicssera conforté, avec notamment unemise en œuvre ambitieuse de laréforme des rythmes scolaires surtoute l’année 2015. « L’accueil dumatin pour les enfants est gratuit,souligne Nicolas Vivier. Dans toutesles écoles, des accueils périscolaires

ont été mis en place le matin et le soir depuis la rentrée. A cela, viennent s’ajouter les temps d’acti-vités périscolaires. Les enfants peuventdonc être pris en charge de 7h30 à18h ». De même, les déplacements et la res-tauration des élèves qui se rendent en centre d’activités le mercredi ont été organisés par la Ville à la rentrée.Concernant la baisse des nouveauxinvestissements,qui passent à 8,174 M€en 2015 contre 17 M€ en 2014, NicolasVivier précise qu’à cette somme, doivent être ajoutés environ 1,5 M€provenant des budgets annexes et 10 M€ de crédits reportés au titre des nombreux projets engagés dans les années précédentes. En investis-sements réalisés, en conséquence, le rythme restera soutenu en 2015. « Parmi les projets importants, il y a lafinalisation du Quasar et du Café duThéâtre, et la construction de la pas-serelle, explique Nicolas Vivier. Parailleurs, la Ville de Cherbourg-Octeville prévoit d’importants chan-tiers d’entretien et d’amélioration du patrimoine, et des investissementspour l’efficacité énergétique. »

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Tribunes politiques

Majorité Municipale

Ils étaient journalistes, policiers, juifs, musulmans : des citoyens de laRépublique Française, victimes - au cœur de notre démocratie et de notrepays - de la haine, de la barbarie et de l’aveuglement.

En leur mémoire et au nom de nos valeurs républicaines, dimanche 11 jan-vier, dans un même élan, la France s’est levée et rassemblée. Quatre millionsde nos concitoyens ont marché ce jour-là pour porter un message de Libertéet de paix. À Cherbourg-Octeville, nous étions plus de 25 000 à nous retrouver au cœur d’un rassemblement aussi historique qu’émouvant.

Aujourd’hui, en dépit de la douleur et de la souffrance devant ce crime inqua-lifiable, la France est unie. Demain, nous devrons - élus et citoyens - faire vivrel’héritage historique des rassemblements du 11 janvier. La laïcité, valeur car-dinale de la République Française, devra plus que jamais être au cœur du pacteRépublicain qui fonde notre pays. Une laïcité qui accueille et n’exclut pas,garantit le droit et la liberté à chaque citoyen de notre pays de croire ou dene pas croire. C’est un message universel et une exigence que porte la France.

Si la fermeté devra être exemplaire pour faire face à la menace terroriste, l’unité de la République demeure notre meilleure arme. « Ce que nous devonsfaire, nous Républicains, c'est de vaincre les peurs » déclarait Léon Gambetta.La peur naît de l’ignorance et des amalgames, ne connait qu’un remède : lapromotion inlassable de la fraternité ; seul le prolongement de l’élan fraternel du 11 janvier auquel nous avons toutes et tous contribué permet-tra d’assurer la préservation du bien commun et de l’intérêt général.

Nos pensées les plus sincères et émues vont aux familles et aux proches desvictimes, aux forces de l’ordre dont l’engagement et la bravoure honorentla République et la Nation.

Rassemblons-nous dans cette épreuve. Devant cette tragédie, la France s’estrévélée telle qu’elle a toujours été au cours de son Histoire : libre, solidaireet debout dans l’adversité.

Que l’esprit de la République demeure et vive.

Liberté, Egalité, Fraternité

Groupe « La Gauche debout ! »,

L’ampleur de la réaction citoyenne à Cherbourg-Octeville, et partout enFrance après les assassinats abjects que le pays a connus, a constitué unmoment particulièrement poignant sous l’égide de la liberté et de la fraternité.

L’unité d’un pays qui n’est pas l’unanimisme et moins encore l’unionsacrée révèle une capacité rassurante à se réunir pour préserver les valeursde la laïcité et de la tolérance. Ce n’est pas rien.

Comme l’a dit avec une grande justesse Régis Debray : « nous étions tropnombreux pour être récupérables ».

A ce titre, celles et ceux qui auront tenté de tirer vers la division ou le rejetde l’autre cette journée n’ont pas été dignes de cet hommage exception-nel, toutes générations confondues.

Nous sommes bien conscients que cette irruption citoyenne planétaire nerègle pas la question de cette violence extrême. Entre sécurité et éduca-tion, il y a fort à parier que l’argumentation sécuritaire trouve un écho plusrapide que les vertus de long terme de l’éducation et du partage.

Les précédents évènements incitent pourtant à éviter les réponses en appa-rence les plus évidentes. Depuis le 11 septembre 2001, les stratégies deguerre déplacent, ajoutent et amplifient les désordres du monde. De nom-breuses voix en appellent à un retour de la diplomatie et dumultilatéralisme. Souhaitons qu’elles soient entendues.

Localement, des sujets importants sont devant nous, comme la questionde l'offre de soins ou celle de l’avenir du Forum. L'égalité, la solidaritéet le vivre ensemble doivent être défendus au quotidien.

Le sursaut citoyen

A l’heure où nous écrivons ces lignes, la France toute entière s’est ras-semblée autour des valeurs qui fondent son pacte républicain. Des valeursque nous avons tous en partage au-delà de nos différences, nos sensibi-lités, nos engagements. Ces rassemblements historiques sont l’honneurd’une France qui sait se mettre debout lorsque l’essentiel est en cause.

Face à la menace terroriste, l’unité nationale est en effet la première réponseque nous devions collectivement apporter. Car c’est bien la Républiquetoute entière qui a été frappée par la barbarie terroriste. L’horreur abso-lue, la haine aveugle ont tué des combattants de la liberté et des forcesde l’ordre républicaines. L’hommage aux victimes de la barbarie, le sou-tien aux familles des victimes doivent animer tous les républicains dansun esprit de concorde et de rassemblement.

Ce sont nos valeurs, notre identité, notre liberté qui sont attaquées, laFrance qui est frappée en plein cœur. Face à ces atrocités, la Républiquene peut pas avoir la main qui tremble, elle doit faire preuve d’une fermetétotale, intransigeante pour châtier les fanatiques islamistes.

Viendra ensuite le temps où des mesures fortes devront être prises pourtirer les enseignements de ces carnages et mieux protéger nos compatriotes.La République a sans doute parfois souffert d’un laxisme trop grand etde dérives qui ont lentement mais sûrement délité le « vivre ensemble ».

Celui-ci doit être réinterrogé en affirmant un modèle d’assimilationcomme un rempart aux morcellements communautaristes. La laïcité doitégalement être réaffirmée comme notre bien le plus précieux sans qu’ellesoit incompatible avec les valeurs qui ont fondé notre histoire et que nousdevons respecter.

La liberté et l’ordre républicain ne sont pas négociables. Si nous sommestous Charlie, nous sommes aussi tous policiers, tous citoyens. Nous som-mes tous Français. Fiers de nos valeurs, de notre histoire, de notre identité.Prêts à nous rassembler et à nous élever contre ceux qui veulent abattrenos valeurs.

Pour que vivent la France, la République et nos valeurs communes.

La République debout et unie face aux ennemis de la France et de la liberté

Groupe « Retrouver Cherbourg-Octeville » .

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Conseils de quartier

Vingt commissions ont été créées lorsdes premières réunions des conseils dequartier en septembre 2014. Des grou-pes de travail composés de volontairesqui réfléchissent, débattent et font despropositions aux conseils de quartierdont ils dépendent. Aménagementurbain, propreté, cadre de vie, ani-mations ou encore jeunesse : les sujetsabordés sont variés et permettentaux participants de s’impliquer plei-nement dans la vie de leur quartier. Letravail des commissions défriche etcreuse au préalable les sujets pourinstaurer un véritable dialogue entreles conseils de quartier, les élus et lesservices municipaux.

Chaque conseil de quartier possède

ses propres commissions

- Quartier Amont-Quentin/Provinces :cadre de vie et aménagements urbains,animation- Quartier Centre Ville : attractivité ducentre ville, propreté et cadre de vie,accessibilité/déplacements urbains etcirculation, action sociale et solidarité, jeunesses, animation

20 commissions pour favoriser les démarches citoyennes

- Quartier Octeville Bourg : cadre devie et aménagements urbains, animation- Quartier Sud-Est : cadre de vie etaménagements urbains, jeunesse,place Jean Moulin et ses abords, ani-mation- Quartier Val de Saire : cadre devie/aménagements urbains et acces-sibilité, quartier des Bassins, animation- Quartier Vallons : voirie et urba-nisme, aménagements des Vallons etembellissement, animation

Participez aux prochains conseils de quartier :Il est toujours possible pour les habitants de Cherbourg-Octeville de s'inscrire dansles conseils de quartier, à partir du site internet de la ville (www.ville-cherbourg.fr)ou via les imprimés disponibles aux accueils de l'Hôtel de Ville, de la mairie de la Butteou des Espaces Solidaires (Olympe de Gouges, Flora Tristan, ou Françoise Giroud).Par ailleurs, le public, même non membre des conseils de quartier, peut assister libre-ment aux échanges. La plupart des réunions se tiennent désormais dans la soirée afinde permettre à tous d'y participer.- Le 2 mars, quartier Sud-Est, à 20h, maison Françoise Giroud- Le 5 mars, quartier Octeville Bourg, à 20h, mairie de la Butte- Le 9 mars, quartier Centre Ville, à 20h, Hôtel de Ville- Le 12 mars, quartier Vallons, à 20h, maison Flora Tristan- Le 16 mars, quartier Val de Saire, à 20h15, gymnase Marcel Arnaud (avenue AristideBriand)- Le 17 mars, quartier Amont-Quentin/Provinces, à 18h, maison Olympe de Gouges

Contact : service citoyenneté, 02 33 87 87 39 ou 02 33 87 87 26

La Ville à l’écoute de ses habitants

Pour tout problème concernant la muni-cipalité, les Cherbourgeois-Octevillaispeuvent appeler le 0 800 050 100, unnuméro vert spécialement mis à leurdisposition.Afin d’être toujours au plus près des pré-occupations de ses habitants, la Ville de Cherbourg-Octeville a mis en place unnuméro vert qui permet à chacun d’entreeux de poser une question ou de sou-mettre un problème. Pour cela, il suffit detéléphoner au 0 800 050 100, du lundi auvendredi, de 8h15 à 12h15 et de 13h30 à17h. Qu’il concerne un lampadaire enpanne, un trou dans la chaussée ouencore, un panneau d’affichage abîmé,vous aurez un interlocuteur unique quienregistrera votre demande. Le servicecompétent vous rappellera rapidementpour vous informer de la suite donnée. Ce numéro vert répond à la volonté de la Ville de développer la démocratie par-ticipative sur son territoire. Tout commeles conseils de quartiers, il facilite le dia-logue entre les élus et les habitants.Contactez le standard de la ville au 02 33 87 88 89 pour les appels habituels :dossiers en cours, rendez-vous avec les élus, etc.

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Femmes et élues : une conférencesur l’égalité en politique International

Table ronde des femmes élues :les sujets abordés

Le festival Femmes dans la ville sedéroulera du 28 février au 8 mars 2015,avec pour thème La place des hommesdans l’égalité et les droits des femmesau niveau international. C'est donctout naturellement que les organisa-teurs ont eu l’idée de cette tableronde, en présence des deux parrainsdu festival, les journalistes ClarenceRodriguez et Yves Deloison (voirnotre dossier en page 17). Depuis 2002,en France, la loi sur la parité oblige lespartis politiques à respecter la paritépour certaines élections en France. La réforme territoriale concernant les prochaines élections du conseildépartemental va plus loin encore enimposant la parité stricte dans l'exé-cutif par l'élection d'un binômetitulaire mixte. « Néanmoins, pou-vons-nous dire que la femme est unhomme politique comme les autres ? »,s’interroge Anna Pic, adjointe encharge des relations internationales àCherbourg-Octeville.

L’ébauche d’une réflexion communeEn effet, parité ne veut pas dire égalité.« Nombre de femmes élues à l'étranger

n'ont pas encore pu emprunter ce chemin, déplore Anna Pic. Cette tableronde sera l’occasion d’aborder les problématiques particulières liéesaux femmes en politique. Nous espé-rons pouvoir échanger et réfléchirautour de celles-ci, mais aussi per-mettre aux femmes politiques detrouver des pistes pour faciliter leurscarrières, ici et à l'international. » Aujour où nous publions, les invitées de la table ronde viennent deBremerhaven (Allemagne), Veles(Macédoine), Poole (Grande-Bretagne)et Coubalan (Sénégal). Toutes lesfemmes élues de l'agglomération, dudépartement et de la région sont invi-tées à y participer. Cette conférence,qui sera animée par Marie-ClaudeBoileau, présidente de l'Union fémi-nine civique et sociale (UFCS) et deFamilles rurales du Calvados, favori-sera peut-être l'émergence d'un réseauspécifique de développement descompétences. Il s’agit en tout casd’un premier travail « qui permettra àces femmes élues de se retrouverannuellement pour poursuivre leurcombat pour l'égalité ».

Dans le cadre du festival Femmesdans la ville 2015, une table ronde

internationale avec des femmes élues seraorganisée le 28 février.

Son thème : des hommes et

des femmes en politique, pour

quelles perspectives d’égalité ?

En 2013, la conférence des femmes élues avait été un succès. Cette année, elle abordera les perspectives d’égalité entre les femmes et les hommes en politique.

- Les freins à l’engagement politique,objectifs et subjectifs (temps, vie familiale,professionnelle, statut de l’élu…)

- La place des hommes et des femmes enpolitique (légitimité, regards, relations…)

- Existe-t-il un plafond de verre en poli-tique, et donc des postes qui ne seraientpas accessibles aux femmes parce qu'elles sont, justement, des femmes ?

- Quel impact des lois sur la parité en politique, comment et dans quellesmesures les choses ont-elles progressé ?

Une restitution des débats aura ensuitelieu à la salle des fêtes, où se tiendra leVillage de Femmes dans la ville. Elle serasuivie de la signature de la Charte pourl’égalité par le maire, Jean-MichelHoullegatte.

Contact : Estelle Tollemer au 02 33 87 89 18

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Soins palliatifs : l’ASPNC accompagne les malades Association

Très soudés, les bénévoles de l’ASPNC restent à l’écoute des malades et de leurs proches.

Devenir bénévoleDans un premier temps, les personnesintéressées joignent Nicole Benoit, qui lesconvie à un entretien. Elle leur expose cequ’elle attend des candidats, notammentune certaine disponibilité, à raison d’unaprès-midi ou d’une soirée par semaine.Différents documents leur sont remis,dont un questionnaire. Les réponses descandidats sont ensuite analysées, lorsd’un second entretien. « Cet échangereste très convivial, explique la coordi-natrice. Les personnes que je rencontrepeuvent me poser toutes les questionsqu’elles souhaitent. » Si tout va bien, lescandidats partent suivre une formationde trois jours à Paris, dispensée par l’as-sociation des soins palliatifs fondatrice.De retour dans le Nord-Cotentin, ils s’entretiennent avec une psychologue de Cherbourg-Octeville, avant de com-mencer leur nouvelle activité, en binômeles deux ou trois premiers mois.

L’association pour le développement

des soins palliatifs dans le Nord-Cotentin(ASPNC), composée

de 12 bénévoles, accompagne

les personnes dont le pronostic vital

est engagé.Présentation.

Créée en 1998 dans le Nord-Cotentin,l’ASPNC est une émanation de l’association nationale pour le déve-loppement des soins palliatifs. Sesdouze membres, tous bénévoles, accom-pagnent des personnes atteintes demaladies graves ou en fin de vie.Appelés à intervenir à Valognes et àCherbourg-Octeville pour le centrehospitalier du Nord-Cotentin, ou encorevia le service d’hospitalisation à domi-cile (HAD), ils sont joignables par mailet par téléphone (voir au bas de l’arti-cle). « Si une famille veut nous contacter,elle doit avoir l’accord du médecin soignant, ainsi que le nôtre, indiqueNicole Benoit, coordinatrice de l’équipe. Nous distribuons égalementdes tracts d’information ». Une conven-tion est alors signée, l’assistance peutcommencer.

Une présence et une écoute active

« Nous ne prodiguons pas de soins,nous sommes simplement présentsauprès du patient, précise Nicole Benoit.A lui de décider s’il veut parler ou s’ilpréfère que nous restions à ses côtés, ensilence ». L’ASPNC soutient égale-ment les proches des malades et lepersonnel hospitalier. « Ils ont parfoistrès peur. Nous buvons alors un café ou

un thé, tout en restant à leur écoute. »Un travail formidable, qui nécessite desuivre certaines formations pendant les-quelles les bénévoles développent descompétences indispensables. Les thé-matiques sont diverses et peuventporter sur l’écoute, le toucher, sur desmaladies spécifiques ou encore, sur dessujets qu’on aurait tendance à oubliercomme la sexologie en fin de vie. Laprochaine se tiendra au mois de mars,à Valognes, et traitera des pertes : cellesdu patient, mais aussi celles des béné-voles. « Une fois par mois, nousparticipons également à un groupe deparoles avec une psychologue, ajouteNicole Benoit. Cela nous permet d’évacuer et d’aborder, ensemble, lescoups durs ».

Des événements tout au long de l’année

L’engagement de l’association va encoreplus loin. L’ASPNC a ainsi participé àl’ameublement d’un studio et au finan-cement de lits pour les familles despatients à l’hôpital de Valognes. Uneexpérience qu’elle réitérera certaine-ment cette année à l’hôpital Pasteur àCherbourg-Octeville. L’associationorganise également des conférences toutau long de l’année ainsi que des ciné-débats en partenariat avec l’association

Vivre son deuil. En période de fêtes, le« Noël des malades » propose un pot,accompagné d’une décoration aux cou-leurs de Noël. Enfin, le 30 janvierdernier, l’ASPNC organisait un concertde Catherine Dargent, artiste locale, afinde récolter des fonds.Contact : Nicole Benoit au 06 77 22 70 29et aspnc@ch-cotentin.fr

Baby K, graffeur tout terrain

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Culture

Baby K, 31 ans, n’a plus ce visage debébé qui lui a valu son surnom degraffeur, mais une énergie folle,mêlée à 16 ans d’expérience tout terrain. Il a parcouru la Normandie,avant de quitter la France quelquesannées pour finalement revenir dansla Manche. « Je suis né à Urville-Nacqueville, précise-t-il, c’est là quetout a débuté ». En avril 1998, laMaison des Jeunes propose un stagede graffiti. Il y participe, et cette pas-sion ne le quittera plus. Son premiergraff, c’était sur les blockhaus duCotentin, en 1998. Ce qui lui plaît ?

L’Ecole du Louvre explore le néoclassicisme

En partenariat avec la prestigieuse Ecoledu Louvre, la Ville propose d’assister àcinq cours sur le néo-classicisme, dispen-sés par Aurélie Erlich, conférencière

Baby K,artiste de rue,

graffe sur commande. Sa dernière œuvre,

réalisée pour la communauté

urbaine de Cherbourg(CUC), est visible rue

Noël. Portrait d’undécorateur hors normes.

L’aspect artistique, bien sûr, mais passeulement. « La technique de l’aéro-sol est très pratique : elle ne nécessiteni pinceau, ni eau, le travail est doncplus rapide qu’à la peinture »,assure-t-il.

La rue Noël transforméeBaby K peut donc graffer sur tous lessupports et en un temps record. Il tra-vaille pour des particuliers, comme ce garagiste situé avenue de Paris, àCherbourg-Octeville, ou encore pourla CUC. Pour elle, il a peint, entre

autres, le grand escalier des nouveauxbureaux, rue de la Marine, et vient determiner la réfection d’une palissade,rue Noël, juste derrière la basilique dela Trinité. « J’ai eu l’aval des Bâtimentsde France, qui exigeaient quelquechose de propre. » Désormais, la rueNoël est plongée dans l’ambiance desannées 40, entre une épicerie aux cou-leurs brunes et une boutique jaune, quirappelle les drogueries d’avant-guerre.

Contact : Kevin Legoff, alias Baby K06 22 47 83 28

www.decoration-painting-com

L’artiste graffeur Baby K décore les bâtiments de la CUC, rue Noël.

nationale et enseignante diplômée. « L’offre a été conçue en fonction des œuvres conservées au musée ThomasHenry et se décline du 5 mars au 9 avrilselon des thématiques précises », ajouteLouise Le Gall. L’art du beau idéal, de l’hé-roïsme et du devoir moral est né dès lemilieu du XVIIIe siècle en réaction au stylerocaille, jugé frivole et excessif. Les pein-tures de David, dont le musée ThomasHenry conserve l’Académie d’homme, ensont l’une des expressions les plus par-lantes. Les élèves inscrits en auditeurslibres pourront ainsi aborder les origines

de ce mouvement, la peinture, la sculp-ture et l’architecture qui y sont associées,ainsi que la diversité des arts décoratifs de l’époque.

Contact : musees@ville-cherbourg.fr ou 02 33 23 39 30

Pour vous inscrire, téléchargez la pla-quette de l’Ecole du Louvre surwww.ville-cherbourg.fr ou retirez-la auxaccueils Mairie ou à la conservation desmusées, 22 place Napoléon.

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Les bibliothèques

Bibliothèque Jacques-PrévertEspace René Le Bas - Bat. A61, rue de l’AbbayeTél. 02 33 23 39 40Mardi et vendredi : 13h-18hMercredi et samedi : 9h-17h

Bibliothèque Raymond-QueneauPlace de Bourgogne50130 Cherbourg-OctevilleTél. 02 33 44 73 73Mardi, jeudi et vendredi : 13h-18hMercredi et samedi : 10h-17h

Bibliothèque des Sciences 21, rue BonhommeTél. 02 33 53 28 06Mercredi et vendredi : 14h-17hSamedi : 9h30-11h et 14h-16h30

Les muséesMusée d'art Thomas-HenryFermé pour travaux. Les équipes dumusée vous accueillent 22, placeNapoléon. Tél. 02 33 23 39 30

Muséum LiaisParc Emmanuel LiaisDu mardi au samedi de 10h à 12h et de 14hà 17h, le dimanche de 14h à 18h. Fermélundi et jours fériés. Gratuit.Tél. 02 33 53 51 61

Musée de la LibérationFort du RouleDu mardi au samedi de 10h à 12h et de 14hà 18h, le dimanche de 14h à 18h. Fermélundi et jours fériés.Tél. 02 33 20 14 12

Suggestions, idées, réclamations... :la ville est à votre écoute

au Numéro vert : 0 800 050 100

Infos PratiquesHoraires

et numéros de téléphone

Urgences : Hôtel de police, 2 rue Val de Saire. Tél. : 02 33 88 76 76 - Pompiers : 18Police Secours : 17 - S.A.M.U : 15 - Secours depuis tous les portables : 112

Police municipaleet objets trouvés

22 rue de la Bucaille Tél. : 02 33 10 05 10

Du lundi au vendredi de 8h à 12h et de 14h à 17h

mairie@ville-cherbourg.frwww.ville-cherbourg.fr

Hôtel de villePlace de la RépubliqueBP 82350108 Cherbourg-Octeville CedexTél. 02 33 87 88 89Fax : 02 33 87 88 88Mardi et jeudi : de 8h15 à 17hentre 12h15 et 13h30 uniquementServices Accueil, Etat-Civil, PopulationLundi, mercredi, vendredi : de 8h15 à 12h15 et de 13h30 à 17hSamedi : de 9h à 12h(Services Accueil, Etat-Civil, Population et une permanence au Secrétariat Général)

Services situés à l'hôtel de ville ou à proximité :Etat civil : 02 33 87 88 20Population (élections, logement) : 02 33 87 88 22Culture : 02 33 87 89 26Services techniques : 02 33 87 88 90Développement économique et commerce : 02 33 87 89 14Point d'accueil insertion-centre : 02 33 01 50 60Relations publiques et promotion :02 33 87 88 30Ressources humaines : 02 33 87 89 80Service 3e âge02 33 01 50 60 ou 02 33 01 50 71Services financiers : 02 33 87 88 70Service communication : 02 33 87 88 32

Mairie de la ButtePlace René CassinTél. 02 33 87 88 89Fax : 02 33 87 87 30

Du lundi au vendredi : de 8h15 à 12h15 et de 13h30 à 17h(Services Accueil, Etat-Civil, Population)

Services situés à la mairie de la Butte ou à proximité :Etat civil : 02 33 87 87 32Population (élections, logement) :02 33 87 87 32Citoyenneté : 02 33 87 87 26Education : 02 33 87 87 33Petite enfance et jeunesse : 02 33 87 87 43Point accueil insertion : 02 33 87 87 06Points associations : 02 33 87 87 56Solidarité : 02 33 87 87 20Sports : 02 33 87 87 07Service d'hygiène et de santé : 02 33 87 87 60

Centre Communal d’Action Socialerue Paul Talluau 02 33 01 50 60Espace Brassens rue du G. de Gaulle 02 33 87 87 06

Piscine de la ButtePériode scolaire

Lundi de 17h à 18h15Mardi de 12h à 13h30 et de 17h à 18h45

Mercredi de 15h à 17hVendredi de 17h à 19h30

Samedi de 10h à 11h45 et de 14h à 17h30Dimanche de 9h15 à 10h (créneau nageur)

de 10h à 12h15

Vacances scolairesLundi, mardi, mercredi, jeudi

de 14h à 18hVendredi de 14h à 19h30

Samedi de 10h à 11h45 et de 14h à 17h30Dimanche de 9h15 à 10h (créneau nageur)

et de 10h à 12h15

Piscine ChantereynePériode scolaire

Lundi de 12h à 13h30 et de 17h15 à 19h15Mardi de 12h à 13h30 et de 17h15 à 19h

Mercredi de 14h à 18hJeudi 12h à 13h30 et de 17h15 à 19h

Vendredi de 12h à 13h30, de 17h15 à 19h et de 20h30 à 22h

Samedi de 14h à 18hDimanche de 9h à 13h

Vacances scolairesLundi, mercredi de 14h à 18h

Mardi, jeudi de 12h à 18hVendredi de 14h à 20h Samedi de 14h à 18h

Dimanche de 9h à 13h et de 15h à 18h

Archives municipales9, rue Paul TalluauTél. 02 33 94 51 50

Lundi : 13h30-18h Jeudi : 13h30-17h.

5 décembre 6 décembre

Retour sur

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Lancement des festivités de NoëlA la tombée de la nuit, la Ville s’esthabillée de lumière, replongeant petits etgrands dans la magie de Noël et des fêtesde fin d’année. Les chalets de la Place deGaulle, ornés de guirlandes et décorés de rouge et vert, ont ouvert leurs devan-tures pour faire rêver les nombreuxpassants et leur donner des idées de cadeaux. L’initiative de l’Union desCommerçants d’installer une patinoirede 300 m² et une piste de luge a été un succès avec plus de 26 000 entrées. Pour réchauffer les visiteurs, les tam-bours rythmés de la compagnie TranseExpress ont pris possession de la placede Gaulle et de la Fontaine Mouchel.Regroupés sur une scène, les musiciensont fait un véritable show agrémenté de feux de Bengale et de feux d’artifice.

Inauguration de l’Esplanade de la LaïcitéConçue par Serge Renaudie, architecte et urbaniste, l’Esplanade de la Laïcité,située devant le Quasar, est avant tout un lieu de rencontres au cœur de la ville.Des bancs, des tabourets et des gradinspermettent aux passants de se reposerdans un cadre verdoyant. Outre les bambous et autres arbustes d’origineasiatique, cette place arbore une série de bustes en bronze réalisés par l’artisteChristine Larivière. Roland Barthes,Alexis de Tocqueville, Barbeyd’Aurevilly et Jean-François Millet y sontreprésentés tandis qu’une cinquièmeœuvre sculptée, intitulée Métamorphose,propose une allégorie de l’homme au cœur de la cité.

24 novembre

Forum Santé vous bien ! Organisé par la Ville de Cherbourg-Octeville, la CUC et de nombreuxpartenaires, le forum Santé vous bien !s’est déroulé dans une ambiance convi-viale. Conférences, rencontres, ateliersdivers et animations se sont succédé, avec chaque jour une thématique différente. Des rencontres avec des professionnels du logement et la présence de spécialistes ont conduit àdes moments de partage et d’échangesenrichissants. La prochaine manifestationliée aux problématiques de la santé auralieu dans trois ans. En attendant, la villes’attellera à valoriser d’autres dyna-miques. Le prochain forum en novembreprochain portera sur le handicap et l’accessibilité.

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17 janvier11 décembre 17 janvier

Retour sur

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Portes ouvertes au gymnaseMarcel ArnaudInauguré en novembre dernier en présence de Marcel Arnaud, le nouveaugymnase du Club gymnique cherbour-geois, qui porte désormais son nom,organisait une après-midi portes ouvertes le 17 janvier. Les sportifs detous niveaux s’y sont retrouvés pourapprécier le beau résultat d'une longuemobilisation. Construit sur les anciensterrains Halley, avenue Aristide Briand,le gymnase flambant neuf dispose d’une salle de 1 400 m² pour pratiquertoutes les disciplines liées à la gymnas-tique et d’une annexe de 200 m². Des vestiaires, des rangements, une sallede réunion et un local spécialementdédié à la « baby gym » sont égalementprévus.

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La galette des rois des seniorsCette année encore, la galette des rois deCherbourg-Octeville a été un vrai succès.Le 17 janvier, plus de 300 personnesétaient présentes à Octeville, à la salleMontécot. Le lendemain, 400 seniors ontparticipé à l’événement, qui se déroulaitau stade Maurice Postaire. Dans uneambiance festive et conviviale, menéepar le groupe Armada, les convives ontdansé la salsa, le rock et la java, tout endégustant une délicieuse galette des rois.Cerise sur le gâteau : le CCAS leur aoffert à chacun un calendrier ainsiqu’une boîte de chocolats de Neuville.

Noël des Conseils de quartier Le coup d’envoi a été donné le 11 décembre par le Conseil de quartierAmont-Quentin/Provinces. Tout l’après-midi, le Père Noël a distribué des friandises tandis que les enfantsétaient invités à décorer les sapins. Le Conseil Centre-ville a mis en place, àla salle des fêtes, des ateliers de créationde décorations de Noël à base d'embal-lages recyclables. Le Conseil de quartierSud-Est a projeté, quant à lui, un filmd'animation, Le Bonhomme de neige,suivi d'un goûter intergénérationnel à l'école Doisneau. Le 16 décembre, le Conseil de quartier Val de Saire et l’association Cap Val de Saire ont organisé la fête des lumières place Saint-Clément. Le Conseil de quartierOcteville- Bourg, de son côté, a organisé, le 18 décembre, des promenades à poneys dans le parc de la piscine de la Butte ainsi qu’un concours de décora-tions de Noël. Le 9 janvier, le jury arécompensé les plus belles créations enoffrant aux lauréats de très beaux paniersgarnis.

LA MANCHE-CHERBOURG