TERRE DEinfoterre.brgm.fr/rapports/RR-35785-FR.pdfde profondeur. Un essai destructif a confirmé...

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VILLE DE FONTENAY-AUX-ROSES 75, rue Boucicaut 92260 FONTENAY AUX ROSES BRGM L'ENTREPRISE AU SERVICE DE LA TERRE FONTENAY-AUX-ROSES (Hauts-de-Seine) ECOLE JEAN MAGE AVIS TECHNIQUE SUR LES SOLS DE FONDATION p. MARTIN R35785 IDF 4S/92 Septembre 1992 rj r,*' r 2r .1992 BIBLIOTHEQUE BRGM AGENCE ILE DE FRANCE ZJ. LA HME CnSOlE 27, ru* du « Mal 1»4S Bolu20e «4478 BOISSY SAINT LEGER CEDEX T«. : 46.69.33.33 Fw. :4S.9«.34.34 VILLE DE FONTENAY-AUX-ROSES 75, rue Boucicaut 92260 FONTENAY AUX ROSES BRGM L'ENTREPRISE AU SERVICE DE LA TERRE FONTENAY-AUX-ROSES (Hauts-de-Seine) ECOLE JEAN MAGE AVIS TECHNIQUE SUR LES SOLS DE FONDATION p. MARTIN R35785 IDF 4S/92 Septembre 1992 rj r,*' r 2r .1992 BIBLIOTHEQUE BRGM AGENCE ILE DE FRANCE ZJ. LA HME CnSOlE 27, ru* du « Mal 1»4S Bolu20e «4478 BOISSY SAINT LEGER CEDEX T«. : 46.69.33.33 Fw. :4S.9«.34.34

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VILLE DE FONTENAY-AUX-ROSES75, rue Boucicaut

92260 FONTENAY AUX ROSES

BRGML'ENTREPRISE AU SERVICE DE LA TERRE

FONTENAY-AUX-ROSES(Hauts-de-Seine)

ECOLE JEAN MAGEAVIS TECHNIQUE SUR LES SOLS DE FONDATION

p. MARTIN

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Septembre 1992

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BIBLIOTHEQUE

BRGM AGENCE ILE DE FRANCEZJ. LA HME CnSOlE27, ru* du « Mal 1»4S

Bolu20e«4478 BOISSY SAINT LEGER CEDEX

T«. : 46.69.33.33Fw. :4S.9«.34.34

VILLE DE FONTENAY-AUX-ROSES75, rue Boucicaut

92260 FONTENAY AUX ROSES

BRGML'ENTREPRISE AU SERVICE DE LA TERRE

FONTENAY-AUX-ROSES(Hauts-de-Seine)

ECOLE JEAN MAGEAVIS TECHNIQUE SUR LES SOLS DE FONDATION

p. MARTIN

R35785IDF 4S/92

Septembre 1992

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BIBLIOTHEQUE

BRGM AGENCE ILE DE FRANCEZJ. LA HME CnSOlE27, ru* du « Mal 1»4S

Bolu20e«4478 BOISSY SAINT LEGER CEDEX

T«. : 46.69.33.33Fw. :4S.9«.34.34

FONTENAY-AUX-ROSES(Hauts-de-Seine)

ECOLE JEAN MACEAVIS TECHNIQUE SUR LES SOLS DE FONDATIONS

RESUME

N° Rapport : R3578S ffiF 4S/92

N" P.R. : 93 158 16211

Le BRGM Ile de France, à la demande des Services Techniques Municipaux de la Ville de

Fontenay-aux-Roses, s'est rendu sur le site de l'école Jean Macé, pour évaluer les risquesd'effondrement des sols de fondation, consécutivement à l'apparition de fissures sur lebâtiment O'eudi 21 mai).

Après examen de l'ouvrage, le BRGM a proposé de réaliser des essais mécaniques en vuede vérifier l'absence d'anomalie des sols de fondation, au droit de la zone fissurée. Lecontexte géologique du site laisse craindre en effet des poches de dissolution dans des

formations gypseuses.

Trois essais au pénétrométre dynamique ont atteint le refus entre 4,00 et 4,70 m de

profondeur.

Un essai destructif a confirmé l'absence de zone décomprimée ou de cavité jusqu'à 20 m deprofondeur.

On peut en conclure que la configuration actuelle ne présente pas de risque d'effondrementdes sols de fondation.

Les fondations peuvent néanmoins continuer à tasser. Les tassements observés seraient à

rattacher, en première analyse, aux effets de la sécheresse et de la dessication sur des

"argiles ocres à rousses, très sèches" rencontrées entre 2,00 m et 4,30 m de profondeur.

FONTENAY-AUX-ROSES(Hauts-de-Seine)

ECOLE JEAN MACEAVIS TECHNIQUE SUR LES SOLS DE FONDATIONS

RESUME

N° Rapport : R3578S ffiF 4S/92

N" P.R. : 93 158 16211

Le BRGM Ile de France, à la demande des Services Techniques Municipaux de la Ville de

Fontenay-aux-Roses, s'est rendu sur le site de l'école Jean Macé, pour évaluer les risquesd'effondrement des sols de fondation, consécutivement à l'apparition de fissures sur lebâtiment O'eudi 21 mai).

Après examen de l'ouvrage, le BRGM a proposé de réaliser des essais mécaniques en vuede vérifier l'absence d'anomalie des sols de fondation, au droit de la zone fissurée. Lecontexte géologique du site laisse craindre en effet des poches de dissolution dans des

formations gypseuses.

Trois essais au pénétrométre dynamique ont atteint le refus entre 4,00 et 4,70 m de

profondeur.

Un essai destructif a confirmé l'absence de zone décomprimée ou de cavité jusqu'à 20 m deprofondeur.

On peut en conclure que la configuration actuelle ne présente pas de risque d'effondrementdes sols de fondation.

Les fondations peuvent néanmoins continuer à tasser. Les tassements observés seraient à

rattacher, en première analyse, aux effets de la sécheresse et de la dessication sur des

"argiles ocres à rousses, très sèches" rencontrées entre 2,00 m et 4,30 m de profondeur.

SOMMAIRE

TEXTE

RESUME

1. OBJET DE L'INTERVENTION 1

2. ENVIRONNEMENT ET ANTECEDENTS 4

2.1. CONTEXTE GEOLOGIQUE 4

2.2. TRAVAUX VOISINS 6

3. TRAVAUX DE RECONNAISSANCE EFFECTUES 7

CONCLUSIONS - RECOMMANDATIONS 9

ANNEXES

Annexe 1. - Diagrammes représentatifs. Pénétration dynamique.Annexe 2. - Forage destructif. Coupe et diagrammes.

HGURES DANS LE TEXTE

Figure 1. - Plan de situation 2

Figure 2. - Localisation de la zone fissurée 3

Figure 3. - Implantation schématique des sondages 8

SOMMAIRE

TEXTE

RESUME

1. OBJET DE L'INTERVENTION 1

2. ENVIRONNEMENT ET ANTECEDENTS 4

2.1. CONTEXTE GEOLOGIQUE 4

2.2. TRAVAUX VOISINS 6

3. TRAVAUX DE RECONNAISSANCE EFFECTUES 7

CONCLUSIONS - RECOMMANDATIONS 9

ANNEXES

Annexe 1. - Diagrammes représentatifs. Pénétration dynamique.Annexe 2. - Forage destructif. Coupe et diagrammes.

HGURES DANS LE TEXTE

Figure 1. - Plan de situation 2

Figure 2. - Localisation de la zone fissurée 3

Figure 3. - Implantation schématique des sondages 8

1. OBJET DE L'INTERVENTION

A la demande des Services Techniques de la Ville de Fontenay-aux-Roses, le BRGMAgence Ile de France s'est rendu sur le site de l'école Jean Macé, à Fontenay-aux-Roses le jeudi 21 mai 1992, à la suite de l'aggravation brutale de l'état de fissurationdu mur porteur de l'école, côté jardin du presbytère (voir figures 1 et 2).

En 1986, un affaissement du dallage, à l'intérieur du sanitaire, avait provoqué unedésorganisation de l'assise du mur porteur de façade. Des travaux confortatifs, avecreprise en sous-oeuvre du mur de façade avaient été entrepris.

C'est à ce même endroit que des fissures anciennes se sont ouvertes de nouveau, et ce

d'une manière si brutale (des craquements auraient été entendus) que l'école a été

évacuée.

Parmi les diverses personnes convoquées, un expert de l'entreprise BOUYGUES est

plus particulièrement chargé de statuer sur les risques encourus du fait de lafragilisation de la structure du bâtiment. Le BRGM quant à lui est intervenu pourstatuer sur les problèmes de fondations de l'immeuble.

La mission précise confiée au BRGM est d'apprécier les risques d'effondrementimmédiat de la structure, par suite d'une défaillance des fondations du bâtiment.

1. OBJET DE L'INTERVENTION

A la demande des Services Techniques de la Ville de Fontenay-aux-Roses, le BRGMAgence Ile de France s'est rendu sur le site de l'école Jean Macé, à Fontenay-aux-Roses le jeudi 21 mai 1992, à la suite de l'aggravation brutale de l'état de fissurationdu mur porteur de l'école, côté jardin du presbytère (voir figures 1 et 2).

En 1986, un affaissement du dallage, à l'intérieur du sanitaire, avait provoqué unedésorganisation de l'assise du mur porteur de façade. Des travaux confortatifs, avecreprise en sous-oeuvre du mur de façade avaient été entrepris.

C'est à ce même endroit que des fissures anciennes se sont ouvertes de nouveau, et ce

d'une manière si brutale (des craquements auraient été entendus) que l'école a été

évacuée.

Parmi les diverses personnes convoquées, un expert de l'entreprise BOUYGUES est

plus particulièrement chargé de statuer sur les risques encourus du fait de lafragilisation de la structure du bâtiment. Le BRGM quant à lui est intervenu pourstatuer sur les problèmes de fondations de l'immeuble.

La mission précise confiée au BRGM est d'apprécier les risques d'effondrementimmédiat de la structure, par suite d'une défaillance des fondations du bâtiment.

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Ecole Jean Macé - Fontenay-aux-Roses (92) Avis technique sur les sols de fondation

2. ENVIRONNEMENT ET ANTECEDENTS

2.1. CONTEXTE GEOLOGIQUE

La carte géologique PARIS à 1/25.000 précise au droit du site un affleurement des

formations du Stampien supérieur constituées des Sables et Grès de Fontainebleau

(g2b)-

Ce faciès fait partie de la succession des terrains suivants, décrits ci-après, du plusrécent au plus ancien :

- SABLES ET GRES ET FONTAINEBLEAU (g2b)

Ce sont des sables siliceux fins, de couleur blanc-grisâtre à roux argileux à la base dela formation. Ils renferment des niveaux gréseux discontinus. Cet horizon constitue lesubstratum géologique des zones à altitude la plus élevée. La cote de la base de cettecouche est située aux environ de 110 m NGF.

- MARNES A HUITRES (g2a)

Ce sont des marnes blanches grisâtres, mais le plus souvent vertes, avec des litsintercalés argilo-sableux.

Elles affleurent au niveau du territoire communal dans la zone de transition entre leplateau et les versants.

- ARGILE A MEULIERE ET CALCAIRE DE BRIE (g 15)

Il s'agit de bancs de calcaire silicifié alternant avec des lits de marnes blanchâtres à

beiges plus ou moins calcareuses, d'induration variable. La partie supérieure de cetteformation dont l'épaisseur maximale est de l'ordre de 10 mètres, est constituée par unfaciès d'altération composé d'argile brune à grise emballant des blocs irréguliers, dedimensions variables (souvent plurimétriques), de calcaire silicifié (meulières).

R35785 IDF 4S/92

Ecole Jean Macé - Fontenay-aux-Roses (92) Avis technique sur les sols de fondation

2. ENVIRONNEMENT ET ANTECEDENTS

2.1. CONTEXTE GEOLOGIQUE

La carte géologique PARIS à 1/25.000 précise au droit du site un affleurement des

formations du Stampien supérieur constituées des Sables et Grès de Fontainebleau

(g2b)-

Ce faciès fait partie de la succession des terrains suivants, décrits ci-après, du plusrécent au plus ancien :

- SABLES ET GRES ET FONTAINEBLEAU (g2b)

Ce sont des sables siliceux fins, de couleur blanc-grisâtre à roux argileux à la base dela formation. Ils renferment des niveaux gréseux discontinus. Cet horizon constitue lesubstratum géologique des zones à altitude la plus élevée. La cote de la base de cettecouche est située aux environ de 110 m NGF.

- MARNES A HUITRES (g2a)

Ce sont des marnes blanches grisâtres, mais le plus souvent vertes, avec des litsintercalés argilo-sableux.

Elles affleurent au niveau du territoire communal dans la zone de transition entre leplateau et les versants.

- ARGILE A MEULIERE ET CALCAIRE DE BRIE (g 15)

Il s'agit de bancs de calcaire silicifié alternant avec des lits de marnes blanchâtres à

beiges plus ou moins calcareuses, d'induration variable. La partie supérieure de cetteformation dont l'épaisseur maximale est de l'ordre de 10 mètres, est constituée par unfaciès d'altération composé d'argile brune à grise emballant des blocs irréguliers, dedimensions variables (souvent plurimétriques), de calcaire silicifié (meulières).

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Ecole Jean Macé - Fontenay-aux-Roses (92) Avis technique sur les sols de fondation

- ARGILE VERTE {z\2)

Cette argile plastique, franchement verte, compacte, renferme des rognons calcareuxcentimétriques à décimétriques disposés en cordons.

En place et non remaniée, l'épaisseur totale de cette formation est d'environ 6 m. Enbordure de versant, l'effet de fauchage des couches ainsi que les phénomènes defluage et de décompression peuvent provoquer des variations d'épaisseur. Il est, de cefait, possible de rencontrer de l'argile verte sur 12 m d'épaisseur.

- MARNES SUPRAGYPSEUSES (evc)

Cet ensemble comprend les Marnes blanches de Pantin et les Marnes bleuesd'Argenteuil. Il atteint une épaisseur d'environ 10 m. Affleurantes en zone de versant(sous couvert d'éboulis), elles sont souvent signalées remaniées, voire glissées.

Les "Marnes de Pantin" sont calcareuses blanchâtres, d'aspect crayeux, à fissurationverticale et débit prismatique, d'argilosité croissante vers la base. Elles peuventlocalement être silicifiées ou gypseuses.

Les "Marnes d'Argenteuil" sont plus argileuses, généralement feuilletées, de couleurgrise, verdâtre ou bleutée, comprenant parfois des intercalations calcareuses ou degypse microcristallin.

- MASSES ET MARNES DE GYPSE s.L (675 - eya)

Cette formation est constituée d'une alternance de masses gypseuses et de banc demarne atteignant 30 à 35 m d'épaisseur.

La stratigraphie de cet ensemble se compose du haut en bas :*

- 1ère Masse du gypse- Marnes à fers de lance- 2ème Masse du gypse

- Marnes à Lucines- 3ème Masse du gypse

- Marnes à Pholadomies

- 4ème Masse du gypse

(e7b)

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Ecole Jean Macé - Fontenay-aux-Roses (92) Avis technique sur les sols de fondation

- ARGILE VERTE {z\2)

Cette argile plastique, franchement verte, compacte, renferme des rognons calcareuxcentimétriques à décimétriques disposés en cordons.

En place et non remaniée, l'épaisseur totale de cette formation est d'environ 6 m. Enbordure de versant, l'effet de fauchage des couches ainsi que les phénomènes defluage et de décompression peuvent provoquer des variations d'épaisseur. Il est, de cefait, possible de rencontrer de l'argile verte sur 12 m d'épaisseur.

- MARNES SUPRAGYPSEUSES (evc)

Cet ensemble comprend les Marnes blanches de Pantin et les Marnes bleuesd'Argenteuil. Il atteint une épaisseur d'environ 10 m. Affleurantes en zone de versant(sous couvert d'éboulis), elles sont souvent signalées remaniées, voire glissées.

Les "Marnes de Pantin" sont calcareuses blanchâtres, d'aspect crayeux, à fissurationverticale et débit prismatique, d'argilosité croissante vers la base. Elles peuventlocalement être silicifiées ou gypseuses.

Les "Marnes d'Argenteuil" sont plus argileuses, généralement feuilletées, de couleurgrise, verdâtre ou bleutée, comprenant parfois des intercalations calcareuses ou degypse microcristallin.

- MASSES ET MARNES DE GYPSE s.L (675 - eya)

Cette formation est constituée d'une alternance de masses gypseuses et de banc demarne atteignant 30 à 35 m d'épaisseur.

La stratigraphie de cet ensemble se compose du haut en bas :*

- 1ère Masse du gypse- Marnes à fers de lance- 2ème Masse du gypse

- Marnes à Lucines- 3ème Masse du gypse

- Marnes à Pholadomies

- 4ème Masse du gypse

(e7b)

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Ecole Jean Macé - Fontenay-aux-Roses (92) Avis technique sur les sols de fondation

Ce faciès peut être sujet à des phénomènes de dissolution, susceptibles d'engendrerdes décompressions ou des tassements des terrains surincombants.

Par ailleurs, cet ensemble gypseux a été exploité sur la commune de Fontenay-aux-Roses sur tout son pourtour nord-sud-est et localement sur les territoires communauxvoisins (Bagneux - L'Hay-aux-Roses - Clamart).

La consultation de la carte souterraine de l'Inspection Générale des Carrières (IGC),planche 80 J, ne fait pas état d'exploitation au droit du site.

Il est à noter que les formations énumérées ci-dessus sont susceptibles de présenter desmodifications superficielles par suite de phénomènes de colluvionnement par fluage etpar glissement.

2.2. TRAVAUX VOISINS

Les informations recueillies sur le site ont mis en évidence que les fissurations quiaffectent le bâtiment de l'école Jean Macé d'une manière générale, sont apparues,pour la plupart, à la suite des travaux de réalisation de la Salle des Fêtes, mitoyenne,qui comporte un niveau enterré.

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Ecole Jean Macé - Fontenay-aux-Roses (92) Avis technique sur les sols de fondation

Ce faciès peut être sujet à des phénomènes de dissolution, susceptibles d'engendrerdes décompressions ou des tassements des terrains surincombants.

Par ailleurs, cet ensemble gypseux a été exploité sur la commune de Fontenay-aux-Roses sur tout son pourtour nord-sud-est et localement sur les territoires communauxvoisins (Bagneux - L'Hay-aux-Roses - Clamart).

La consultation de la carte souterraine de l'Inspection Générale des Carrières (IGC),planche 80 J, ne fait pas état d'exploitation au droit du site.

Il est à noter que les formations énumérées ci-dessus sont susceptibles de présenter desmodifications superficielles par suite de phénomènes de colluvionnement par fluage etpar glissement.

2.2. TRAVAUX VOISINS

Les informations recueillies sur le site ont mis en évidence que les fissurations quiaffectent le bâtiment de l'école Jean Macé d'une manière générale, sont apparues,pour la plupart, à la suite des travaux de réalisation de la Salle des Fêtes, mitoyenne,qui comporte un niveau enterré.

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3. TRAVAUX DE RECONNAISSANCE EFFECTUES

Compte tenu du contexte évoqué et des antécédents, l'examen des lieux a permisd'écarter l'hypothèses d'une déstabilisation globale du massif par glissement deterrain.

Des causes locales doivent donc être recherchées.

Il convient de vérifier également l'absence de vide sous la structure pouvant résulterde l'évolution (fontis) soit d'une carrière souterraine non répertoriée, soit d'une pochede dissolution naturelle dans les horizons gypseux.

Cette vérification a été effectuée dans un premier temps par l'intermédiaire de troisessais au pénétrométre dynamique. Ces essais, identifiés PDl à PD3 ont été réalisésdepuis le jardin du presbytère dans sa partie qui jouxte la zone la plus atteinte et quiavait fait l'objet d'une reprise en sous-oeuvre : les essais PDl et PD2 sont situés au

droit des deux fissures les plus importantes qui affectent le mur de façade. L'essaiPD3 a été réalisé à l'écart, dans une zone non fissurée, pour apporter un élément decomparaison (voir implantation en figure 3),

Ces essais sont arrivés au refus entre 4,10 m et 4,70 m de profondeur, en révélantpour les essais PDl et PD2 des résistances plus faibles jusqu'à 2 m de profondeur,profondeur à laquelle un schéma d'archivé situe le niveau d'assise de la longrine dereprise en sous-oeuvre.

Les courbes représentatives de ces essais sont fournies en annexe 1 .

L'obtention de ces refus a nécessité la réalisation d'un sondage profond pour vérifierl'absence de cavité ou de zone décomprimée dans les couches sous-jacentes,

A cette fin, a été réalisé un forage destructif au wagon-drill, avec enregistrement desparamètres de forage (vitesse d'avancement et pression d'injection). Cet essai a

permis également de révéler la coupe approchée des terrains,

La coupe de ce forage ainsi que les diagrammes enregistrés sont joints en annexe 2,

Ce forage ne révèle pas de vide ou de zone décomprimée jusqu'à 20 m de profondeur.

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3. TRAVAUX DE RECONNAISSANCE EFFECTUES

Compte tenu du contexte évoqué et des antécédents, l'examen des lieux a permisd'écarter l'hypothèses d'une déstabilisation globale du massif par glissement deterrain.

Des causes locales doivent donc être recherchées.

Il convient de vérifier également l'absence de vide sous la structure pouvant résulterde l'évolution (fontis) soit d'une carrière souterraine non répertoriée, soit d'une pochede dissolution naturelle dans les horizons gypseux.

Cette vérification a été effectuée dans un premier temps par l'intermédiaire de troisessais au pénétrométre dynamique. Ces essais, identifiés PDl à PD3 ont été réalisésdepuis le jardin du presbytère dans sa partie qui jouxte la zone la plus atteinte et quiavait fait l'objet d'une reprise en sous-oeuvre : les essais PDl et PD2 sont situés au

droit des deux fissures les plus importantes qui affectent le mur de façade. L'essaiPD3 a été réalisé à l'écart, dans une zone non fissurée, pour apporter un élément decomparaison (voir implantation en figure 3),

Ces essais sont arrivés au refus entre 4,10 m et 4,70 m de profondeur, en révélantpour les essais PDl et PD2 des résistances plus faibles jusqu'à 2 m de profondeur,profondeur à laquelle un schéma d'archivé situe le niveau d'assise de la longrine dereprise en sous-oeuvre.

Les courbes représentatives de ces essais sont fournies en annexe 1 .

L'obtention de ces refus a nécessité la réalisation d'un sondage profond pour vérifierl'absence de cavité ou de zone décomprimée dans les couches sous-jacentes,

A cette fin, a été réalisé un forage destructif au wagon-drill, avec enregistrement desparamètres de forage (vitesse d'avancement et pression d'injection). Cet essai a

permis également de révéler la coupe approchée des terrains,

La coupe de ce forage ainsi que les diagrammes enregistrés sont joints en annexe 2,

Ce forage ne révèle pas de vide ou de zone décomprimée jusqu'à 20 m de profondeur.

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Ecole Jean Macé - Fontenay-aux-Roses (92) Avis technique sur les sols de fondation

CONCLUSIONS - RECOMMANDATIONS

Les travaux de reconnaissance effectués permettent de conclure à l'absence de vide au

droit de la façade fissurée, jusqu'à une profondeur de 20 m.

Ceci élimine le risque d'effondrement brutal du bâtiment par défaillance du sol defondation.

Les désordres constatés ont donc une cause plus locale.

La masse d'argile ocre à rousse, très sèche, rencontrée entre 2,(X) m et 4,30 m deprofondeur, peut, en première analyse, être à l'origine des désordres par suite d'unphénomène de retrait dû à la sécheresse.

Il convient de vérifier cette hypothèse et d'étudier les dispositions appropriées pourreconstituer une assise stable aux fondations du bâtiment.

Le présent avis technique ne statue pas sur l'effet des tassements qui pourront encoreintervenir sur la structure de l'ouvrage, ni des mesures à prendre pour consolider cettestructure.

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Ecole Jean Macé - Fontenay-aux-Roses (92) Avis technique sur les sols de fondation

CONCLUSIONS - RECOMMANDATIONS

Les travaux de reconnaissance effectués permettent de conclure à l'absence de vide au

droit de la façade fissurée, jusqu'à une profondeur de 20 m.

Ceci élimine le risque d'effondrement brutal du bâtiment par défaillance du sol defondation.

Les désordres constatés ont donc une cause plus locale.

La masse d'argile ocre à rousse, très sèche, rencontrée entre 2,(X) m et 4,30 m deprofondeur, peut, en première analyse, être à l'origine des désordres par suite d'unphénomène de retrait dû à la sécheresse.

Il convient de vérifier cette hypothèse et d'étudier les dispositions appropriées pourreconstituer une assise stable aux fondations du bâtiment.

Le présent avis technique ne statue pas sur l'effet des tassements qui pourront encoreintervenir sur la structure de l'ouvrage, ni des mesures à prendre pour consolider cettestructure.

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ANNEXE 1

DIAGRAMMES REPRESENTATIFSPENETRATION DYNAMIQUE

ANNEXE 1

DIAGRAMMES REPRESENTATIFSPENETRATION DYNAMIQUE

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COTE JETE DE SIDNOAGE 77V Ecole _ Av. Jeanne et Maurice Dolivet

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PENETROAETRE DYNAAIQUE PD 2 ^^«-^"^ " °=( BEVAC ) PROVENANCE : 92 FONTENAY AUX ROSES

COTE JETE DE SIDNOAGE 77V Ecole _ Av. Jeanne et Maurice Dolivet

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COTE TETE DE SOtOAGE TA/ Ecole _ Av. Jeonne et Maurice Dolivet

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PENETROAETRE DYNAAIQUE PD 3 ''"'^ " "( BEVAC ) PROVENANCE : 92 FONTENAY AUX ROSES

COTE TETE DE SOtOAGE TA/ Ecole _ Av. Jeonne et Maurice Dolivet

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REFUS

xecute le 22/05/92

PENETROAETRE DYNAAIQUECORRELATION

COTE TETE DE SOTCAGE

FORAX DOSSIER rf : C.92.34

PLANCHE rf : 04

PROVENANCE : 92 FCNTENAY AUX ROSES

Ecole _ Av. Jeonne et Maurice Dolivet

RESISTANCE DYNAAIQUE APPARENTE (bars )

20 30 40 50 L00_ 500

xecute le 22/05/92

PENETROAETRE DYNAAIQUECORRELATION

COTE TETE DE SOTCAGE

FORAX DOSSIER rf : C.92.34

PLANCHE rf : 04

PROVENANCE : 92 FCNTENAY AUX ROSES

Ecole _ Av. Jeonne et Maurice Dolivet

RESISTANCE DYNAAIQUE APPARENTE (bars )

20 30 40 50 L00_ 500

ANNEXE 2FORAGE DESTRUCTIF

COUPE ET DIAGRAMMES

ANNEXE 2FORAGE DESTRUCTIF

COUPE ET DIAGRAMMES

FORAX DOSSIER N° 52-34PLANCHE N" 05PROVENANCE t S^- fOA/TEAiAY

Avy J^oses

SONDAGE N" f^/) -Cote de tête de sondage : 7/Vdate d'exécution ! 2^.0^.92 " Machine utilisée j BVB 14

- Outil î taillant /J 64 croix

Coupe approchée du pression d'injectlorterrain ^wc;y!.»./o*»i/et^r; ®^" ^^^*^^ln 5 n

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SONDAGE H" /^ fsoi/^d) -Cote de tête de sondage t

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