telle - ABC-chi

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une connexion vivante avec le sol, capable de s'adapter aux changements de pressions ou dbrientation de la pression. En idéal, le point Yongquan ne touche pas le sol lorsqubn vit harmonieu- sement pieds nus. Que les personnes aux << pieds plats > ne se sentent pas pour autant mal à I'aise à cause de la lecture de notre afticle ! On peut vivre bien avec une forme différente de la norme générale. Néanmoins, lhppui stable au sol est un des éléments constitutif de la confiance en soi ou au minimum d'une sensation de sécurité et déquilibre physique. UN LIEN DE CAUSE A EFFET. Nous avons constaté que la plupaft des personnes aux pieds plats, comme celle aux pieds creux d'une autre façon, ressentent consciemment ou inconsciemment un déséquilibre intérieur accentué. Nous n?vons pas dit qu'elles étaient déséquilibrées, mais que leur situation pafticulière faisait naitre un sentiment d'instabilité physique. Cette sensation les distingue des autres personnes et les oriente vers une psychologie légèrement différente. Leur instabilité les met en mouvement, de manière imagée : ils balancent. Ils luttent contre ce balancement. Cela peut les conduire parfois jusqu'à une démarche de recherche spirituelle. La quête est pafois plus utile a la vie que l?tteinte de son objet. Nombre d'entre elles dans un souci de réalisme terrestre ou d'efficacité participent a des æuvres humanitaires. J'y vois un lien de cause à effet, comme si l'excès dénergie dépensée par I'individu pour se stabiliser physiquement révélait une insatisfaction ou un manque. Si la base est instable, c'est le sommet qui balancera le plus, ou c'es là que sera le plus ressentie l'instabilité, donc à lbpposé des pieds au niveau de la tête, paftie céleste et cérébrale. Une telle analogie pourrait paraitre arbitraire, pour les spécialistes en afts dAsie c'est un constat banal dbbserver que les Yin et les Yang trouvent toujours une voie d'harmonie et déquilibre dans l'être. S'il y en a trop en haut, il y aura moins en bas et vice versa. EMPRISONNER LA FOURMI. Il est fréquent dans les exercices de Qigong, comme celui de la posture de l'arbre (Zhang zuan), d'utiliser |lmage de la fourmi prisonnière pour activer le point Yongquan.On visualise une fourmi sous le point Yongquan, le pied posé au sol. On emprisonne l'insecte. On I'immobilise dessous, mais suttout sans le blesser, ni lécraser. Cet entrainement conditionne à une juste répartition du poids et de léquilibre dans le pied, et place correctement le point Yongquan en position de légère surélévation par rapport au sol. Dhutres exercices plus complexes peuvent stimuler la fonction dénergie < jaillissante >> qui émerge a ce point. Le pied entier devient alors une < pompe à énergie >>. Nous ne saurions les décrire dans un afticle écrit, une transmission directe étant plus probante. Page | 12

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une connexion vivante avec le sol,capable de s'adapter aux changementsde pressions ou dbrientation de lapression.En idéal, le point Yongquan ne touchepas le sol lorsqubn vit harmonieu-sement pieds nus. Que les personnesaux << pieds plats > ne se sentent paspour autant mal à I'aise à cause de lalecture de notre afticle ! On peut vivrebien avec une forme différente de lanorme générale. Néanmoins, lhppuistable au sol est un des élémentsconstitutif de la confiance en soi ou auminimum d'une sensation de sécuritéet déquilibre physique.

UN LIEN DE CAUSE A EFFET.Nous avons constaté que la plupaft despersonnes aux pieds plats, commecelle aux pieds creux d'une autrefaçon, ressentent consciemment ouinconsciemment un déséquilibreintérieur accentué. Nous n?vons pasdit qu'elles étaient déséquilibrées, maisque leur situation pafticulière faisaitnaitre un sentiment d'instabilitéphysique. Cette sensation les distinguedes autres personnes et les orientevers une psychologie légèrementdifférente. Leur instabilité les met enmouvement, de manière imagée : ilsbalancent. Ils luttent contre cebalancement. Cela peut les conduireparfois jusqu'à une démarche derecherche spirituelle. La quête estpafois plus utile a la vie que l?tteinte

de son objet. Nombre d'entre ellesdans un souci de réalisme terrestre oud'efficacité participent a des æuvreshumanitaires. J'y vois un lien de causeà effet, comme si l'excès dénergiedépensée par I'individu pour sestabiliser physiquement révélait uneinsatisfaction ou un manque. Si la baseest instable, c'est le sommet quibalancera le plus, ou c'es là que sera leplus ressentie l'instabilité, donc àlbpposé des pieds au niveau de latête, paftie céleste et cérébrale. Unetelle analogie pourrait paraitrearbitraire, pour les spécialistes en aftsdAsie c'est un constat banal dbbserverque les Yin et les Yang trouventtoujours une voie d'harmonie etdéquilibre dans l'être. S'il y en a tropen haut, il y aura moins en bas et viceversa.

EMPRISONNER LA FOURMI.Il est fréquent dans les exercices deQigong, comme celui de la posture del'arbre (Zhang zuan), d'utiliser |lmagede la fourmi prisonnière pour activer lepoint Yongquan.On visualise unefourmi sous le point Yongquan, le piedposé au sol. On emprisonne l'insecte.On I'immobilise dessous, mais suttoutsans le blesser, ni lécraser. Cetentrainement conditionne à une justerépartition du poids et de léquilibredans le pied, et place correctement lepoint Yongquan en position de légèresurélévation par rapport au sol.Dhutres exercices plus complexespeuvent stimuler la fonction dénergie< jaillissante >> qui émerge a ce point.Le pied entier devient alors une< pompe à énergie >>. Nous ne saurionsles décrire dans un afticle écrit, unetransmission directe étant plusprobante.

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Nos contemporains, vous ne pourrezqu'en convenir nbnt généralementplus de pied, en sensation bien sur. Laplupaft des personnes ne sentent ni necommandent leurs ofteils. Les boitesdans lesquelles nous emprisonnons nospieds, appelées chaussures, lesdéforment, nous déforment. O racontequ'n cordonnier New-Yorkais du débutdu siècle avait atteint une réputationétrange : aucun de ses clients netombait plus malade. De cordonnier, ilétait devenu chausseur et il ne faisaitque du sur mesure... Pour des raisonsde mode ou d'esthétique, dhrgent, deconformisme, on met des chaussures.Pouftant, c'est une habitude biendifficile à imposer aux jeunes enfants,qui sentent naturellement que cela neleur convient pas. Hormis pourmarcher dans des cailloux, des ronces,la neige ou le sable trop chaud etquelques autres cas particuliers commele ski, le golf ou le bowling, l'humainn? pas besoin de chaussures. Lesdéformations créées par le poft dechaussures sont multiples et fonttravailler ceftains professionnels utilescomme les podologues. Il existepouftant des chaussures anatomiquesqui ne nous déforment pas.

Malheureusement, elles ne suivent pasla connivence sociale appelée<< mode >>. Quoique la souplesse deschaussures grand public se soitaméliorée, il faut constater depuis prèsde vingt ans l'apparition systématiqueen leur intérieur dhrches de soutien à

la voute plantaire. Le pied est si biensoutenu qu'il ne travaille plus. Souventla fausse voute proposée nh rien a voiren dimension avec le besoin du porteurde soulier... Pour courir c'est sansdoute utile. Courrons-nous si souvent ?Nous ne saurions que conseiller à ceuxqui le souhaitent de s'informer sur lesdiverses proposition j'oserais dire< biologiques >>, faites auconsommateur afin qu'il se chaussedignement.

SI LE YONGQUAN EST UNE SOURCE,QU'EST-CE QU'ELLE DISTILLE ?Le retour du sang au cæur s'organisedepuis le pied et par la jambe et lacuisse. Lorsque lbn marche, aumoment ou le poids appuie sur le pied,le sang relue vers le cæur, il remontedans la jambe. Lorsque le sangremonte mal, cela donne une maladieappelée varices (de grosses veinesgonflées sur le mollet souvent). Nousavons constaté systématiquementparmi nos élèves que les personnesatteintes de varices ne présentaientplus de mouvement naturel de pompeau pied. Ce mouvement, lesnourrissons sT entrainent déjà auberceau bien avant qu'ils nemarchent : regardez les faire si vousne voyez pas de qui je parle. Lesvarices ont bien des sources, mais lesommeil de la pompe au pointYongquan en est une sur laquelle onpeut agir et qui n'est pas répeftoriéeen médecine occidentale, c'est biendommage, car mon expérienced'enseignement en arts interneschinois m'a convaincu de l'efficacitéd'une rééducation basée sur cesexercices. Le sport bien pratiqué etsans abus a des répercussions sur lasanté. Et si tout va bien pour vous,c'est qu'à chaque pas que vouseffectuez, sans le savoir, le

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mouvement de pompe naturel de lazone Yongquan vous dynamise. Lamarche procure une sensation de bienêtre.

UN POINT DE REANIMATION.Le point Yongquan est cité dans denombreuses écoles d'afts martiauxcomme un point vital. Je me suisdemandé à lécriture de cet afticle,comment on pouvait le frapper. J'airapidement trouvé deux possibilitésdans le taijiquan de Yangluchan quej'enseigne. Il shgit d'un travail décoleà pieds nus qu'il faut relativiser, il esten effet rare qu'un ennemi vousattaque dans la rue en vous présentantle dessous de son pied nu.Si on touche ce point, le lien avec lerein est immédiat. En médecinetraditionnelle chinoise, une trop grandesensibilité à la douleur dans cette zoneest même un signe diagnostic dedisharmonie du méridien associé auxreins, ou des organes eux-mêmes.Un de mes formateurs mh comptécette histoire, arrivée en Argentine àun chirurgien, en salle dbpération. Lepatient passa en moft clinique : arrêtdu cæur, de la respiration sur la tablemême. On tenta de multiolesréanimations, y compris avec desélectrochocs cardiaques. En désespoirde causes, parce que Ie chirurgienavait lu la semaine précédente un livresur els point de réanimations, il plantason scalpel dans le point Yongquan :

blop, blop, blop le cæur était reparti.Yongquan est en effet répeftoriécomme point de réanimation, et c'estsans doute cette veftu cardinale qui luipermit d'entrer dans la liste des pointsvitaux décoles traditionnel les.

SECOURISME D'URGENCELorsque les boxeurs sont frappés auxtesticules, cela fait mal, cela paralyseaussi, on est plus capable depoursuivre le combat. II y a plusieursméthodes pour relancer le sang vers lebas du corps, sautiller sur les talonspar exemple. Nous avons aussi testéplusieurs fois le massage des pointsYongquan avec efficacité. Ce genre desecourisme d'urgence a ses veftus etest très appréciée de celui qui souffre.Cela ne dispense nullement d'uneconsultation médicale si nécessaire. Lepied et cette zone Yongquan sont siloin de l'esprit de nos contemporainscérébro-centriques que peu d'entre euxlui attribuent de l'importance. Tout auplus se rappelle t'il à eux lorsqu'il estsource de douleurs. C 'est là tout lemérite des traditions venues dAsie auxtravers des Arts maftiaux, de lacalligraphie, de la médecine, de ladanse, de pofter notre attention sur cequi est petit et patfois comme c'est lecas ici suppofte tout notre corps. Pourles spiritualistes, la pratique d'un aftmaftial est une méditation. Elle rejointpar la répétition, le pèlerinage.Combien de pas pour atteindreCompostelle ou la Mecque ? Combiende pressions sur la source jaillissanteYongquan ? Tourner tous les jours samarche de Baguazhang durant 20minutes autour d'un centre,concentré... Pratiquer une dansesacrée indienne, suivre commeautrefois le labyrinthe de la cathédralede Chaftres....L'harmonie est à la poftée de ceux quine négligent pas les détails, prenezsoin de vos pieds.

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DE L'HARMONIE DU VIDE.

L'EFFET CASIMIR.< Un vide plein de promesses >> titraitun journal scientifique récent. < Non levide n'est pas vide. >> La notion de vides'avère génératrice d'une activité derecherche intense et très anciennepour l'humanité. Les traces historiquespremières se situent en Asie. Ceparcours découvefte passe parl'invention du zéro, en Orient. Le zéroa permis aux mathématiques de faireun grand bond il y a plus d'unmillénaire. Cette quête prend unetournure spirituelle en passant par leWu chinois ou << absence pleine de >>...

l'essence du Wu en qui rien n'est néantmais vacuité dbù tout peut jaillir,comme le printemps qui chaque annéenous surprend. Ce Wu merueilleuxbrille dans I'esprit des innocents, despoètes et des rêveurs, de ceux quiapprécient I'unicité de chaque instant.Du vide stellaire, la science nousinforme aussi. Jaillit de luicasimir >>, exotique et presque hilarantde dénomination. Cêst une forcedécouvefte récemment par lesphysiciens. Les Yogis hindous nousrappellent que le vide de notre tubedigestif recèle un mystérieux pouvoiralchimique qui nourrit et entretiennotre vie. C'est aussi par le vide denotre bouche, de notre nez et de nospoumons que passe lbxygène qui nousabreuve. Paftout dans le monde depuisdes lustres, des jeûneurs puisent dansl'absence de nourriture, unepurification ou illumination spirituelle.Le sportif se concentre et fait le videavant de tenter l'exploit. Le moine zenl'apprivoise, tente de se fondre en lui.Pour l'aftiste, le peintre, le dessinateur,le calligraphe, c'est le vide qui faitressoftir I'harmonie des traces qu'il

pose sur la feuille. Le musicien connaîtle silence, l'utilise dans sa symphonie,ou dans sa quête d'inspiration.L'architecte répaftit les vides d'espaceet les ouvertures afin que la maisondevienne un lieu de circulation detemps et de vie harmonieux. Le poètesait que sa poésie jaillit de nulle paft,sinon il ne serait pas poète.

Au cæur du vide, que de solutions...Les anciens Grecs avaient placé léthercomme suppoft du monde. Lesphysiciens y revinrent au cours du 20esiècle. En 1948, Hendrick Casimirdécouvre une attraction entre deuxplaques de métal disposées dans levide. Cette force se distingue de laforce d'attraction de la gravitation.Depuis on la mesure, mais on nelêxplique pas. Le vide serait-il peupléde pafticules viftuelles, de forces oudbndes encore inconnues ?Certainement. Ma propre quête sur levide me fait percevoir que dès qu'onen décrypte une parcelle, celui-cirepousse sa limite au-delà. Derrière leconnu, il y a toujours du vide, et del'inconnu.

Jhi un jour posé cette question à mesélèves de Qigong : de quoi avons-nousbesoin pour que notre énergie vitalecircule librement ? La premièreréponse fut : le vide. Et cette réponsecontenait tous les développementspossibles : fondre nos blocages,sbuvrir, se détendre mentalement etphysiquement, etc. La libre circulationde toute matière, objet, onde ouconcept s'effectue facilement dans levide, dans ce qui est troué, ouvert outransparent. La lumière traverse ce quine la retient pas. Nombre d?utres

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ondes traversent aussi l'espace. Lesfibres optiques laissent libre le passagede lumière, et les fils électriques avecplus ou moins de résistance ouvrent lepassage au flux électrique. La notionde transparence appliquée à léthergalactique, au vide de matière, poftealors l'évidence de ce qubn a appelél'effet Casimir. Ses lois seront un jourdécryptées repoussant sans douté levide un peu plus loin, un peu plus au-delà de notre compréhension, car parnature il est insaisissable. Où se situentles méridiens dhcupuncture ? Sansdoute dans un vide corporel ténu, siténu qu'il ne puisse être mesuré. Quesont les points d'acupuncture ? Destrous, des creux dans ce réseau de finsfils vides et invisibles. Que sont les Qiqui traversent ou résonnent dans leréseau des méridiens et pointsd'acupuncture ? Un substrat qui passepar transparence comme une onde ou

un corpuscule. Ce substrat peut parfoiss'accumuler si le réseau est bouché, oudisparaître si celui-ci est trop lâche etlaisse s'enfuir la vitalité en ceftainsendroits ou points.

En une époque ou le visible etl?pparence l'empoftent sur tout,apprenons à considérer ce qui ne sevoit pas et pouftant entretient notrevie. Les éruptions volcaniques, solaires,les tremblements de terre et lestyphons replacent l€tre humain à savéritable dimension infinitésimale. Laconscience du vide relativise lénormitédes appétits de l'ego humain. Ce qubnappelle humilité en jaillitnaturellement, comme l'effet casimirdu vide stellaire. Nous vivons à lasudace d'un caillou projeté à plusieursmilliers de kilomètres à la secondedans un immense espace, allant verson ne sait où... Alors sourions.

G. SABY

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LE POINT YONGQUAN.La fontaine jaillissante.

En Chinois, prononcer iong tchuan. Cepoint est le premier du méridienassocié au rein, méridien de qualitéchaoyin, c'est-à-dire au cæur del'intérieur de lêtre humainénergétique, d'où son impoftance.Anatomiquement, il commence aupied. Nous verrons plus loin qubnnéglige généralement le pied enoccident, qu'on ne le considère passelon sa juste impoftance dans laglobalité de lêtre humain. Lalocalisation de Yongquan est simple, àla plante du pied, dessous. Chacunconnait évidemment la voute plantaire,qui est la grande arche du pied allantde l?vant a l'arrière. Cette archesécroule dans le cas de personnesayant les << pieds plats >> ou bien, ellese déforme par trop de raideur enposition haute dans le cas du < piedcreux >>. Le point Yongquan se situesous le pied, un peu a l'avant, aumilieu de la petite arche moins connuequi traverse, elle, le pied en arrièred'une ligne qui va du petit au grosorteil. En position debout, le pointYongquan est le lieu primaire de notrecontact avec la terre. Nous parlons decontact énergétique pafticulier, encorefaut il I'expliquer ou le préciser. Ontraduit souvent Yongquan par sourceou fontaine jaillissante. Cettedénomination précise montre qu'il estle lieu d'un mouvement interneinvisible qui pousse vers le haut, De laterre, indépendamment de notrevolonté quelque chose mont, une forceYin. Nous sommes responsable dujaillissement de cette source ensoudant avec souplesse les deuxarches du pied au moyen d'une forcede nature plus Yang et active.

Lorsque lénergie Yang céleste descendcorrectement à travers le corpshumain, celui-ci est en mesured'harmoniser l'appui des ofteils pourconstituer la petite arche du pied etdéquilibre ainsi le poids entre I'avantet l'arrière du pied en activantl'élévation de la voute plantaire, lagrande arche. Les exercices de tui-shou ou < poussée des mains >nécessitent et développent en mêmetemps nos habilités. Une dêntre ellesouvent appelée enracinementrecouvre la capacité à se connecter ausol. Lbrientation de la force mentaleautant vers l?dversaire (à pousser oua tirer) que vers le sol, s'étend dans lecorps, I'irrigue et le rend foft ou pleinde Chi. Le pied s'appuie alorsparfaitement au sol comme s'il étaitcollé. Mais il ne s'agit pas d'un pied quis'écroule ou se fige. La souplesse desarches ou voutes plantaires assurent

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