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ASSOCIATION FRANÇAISE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE l’ENREGISTREMENT & DE LA REPRODUCTION SONORES SECTION .PRISE DE SON. SECTiON ETUDES TECHNIQUES. SECTION AUDIO-VISUEL ET CREATION SONORE. (1)42 592332 Assoc 6, rue Myrha iation sans but lucrat 75018 PARIS C C.P if. Loi de 1901 Agrément Paris 6511 53 F ~N°19252 Présidents d’Honneur Georges BATARD et Pierre-Jean RADIGUET Président Maurice FAVRE . Secrétaire Général Henry LANDON Trésorier Claude OLLIVIER Rédacteur Jean-MarI. GRANDEMANGE COMMISSION PARITAIRE AS 68404 Le Numéro 10 F. N04 NOUV. SER. NOVEMBRE J. 986 Abonnement annuel: (6 num.) 50 F. (France)— 70 F. ( Etr.et DOM ) SOMMAIRE P. 2 Editorial P. 4 C’est oui à Xénon p. 6 Résultats Financiers de 1’AFDERS P. 8 Rapport Moral P. 9 CCIR contre NAB P.12 P.l5 P.l8 C.D., on écoute P.21 Chargeurs pour Accus PRIMO P.22 J’achète ou je Vends P.23 La Tribune du Président Impressions de voyage aux U.S.A. Eléments de Physique du Solide ( Partie 1 PUBLICATION BIMESTRIELLE EDITEE PAR L’ P.24 Les Programmes

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SectionETUDES TECUNIQUES

Séancesà 14 h 30Président Oldier A. R. SIMON

06 l)écembre

10 Janvier07 Fevrier

CALENDRIER DES SEANCES 1986— 1987

AU FOYERINTERNATIONAL D’ACCUEIL DE PARIS30,rite Cabanis,75014PARIS Salle n’ S

Section ‘ETUDES TEChNIQUES”

SectionPRISEDE SONSéancesà 20 b

!~skknlGilles MARGIJERON

13 Décembre2~I Janvier

SectionAUDIO-VISUEL ET

CREATION SONORE’.Séancesà 20 h

PrésidentJean-MarcGUILION20 l)écembre31 Janvier

Samedi 06 Décembre à 1!th.30 — TEC1INICS —

Conférence Présentation: Amplificateurs de classe A. A— Enceintes à haut parleurs plans coaxiaux.

SameciilO janvIer à 11

4h.~0 - REVOX FRANCE -

Conférence Présentation par Monsieur Nicolas GIDDINGS de la Console(le mélange C 279 et de la nouvelle table de lecture TD 291.Samedi 01 Février à 1

14h.,~0 - AIWA FRANGE -

Conférence Présentation du Magnéto cassette 6~tO MX PRO et du doubleMagnéto cassettes Duplicateur en hit de temps.WIIARFEI)ALE — Conférence Présentation par Monsieur Niell PAUSONSdes enceintes DIAMONI) actiye,5O

14 et OPTION.

Section “PRiSE DE SON” Enregistrement collectif

Samedi1,~ ~éce~bLe_à,_2~hs~. Ensemble de JAZZ - TRIO Serge MEI1LAUD -

Guitare: Serge MERLAUD, Contrebasset DIJYLING NGUYEN, Batterie:Cliristophe MAJ1GUET.

Samedi 21

t Janvier à 20h. Trio de MUSIQUE CLASSIQUE

harpe: Annie GLATTAUER, cor: Marc DELEPLACE, flûte: Cécile P1GIIETT1Oeuvres de BOCCIIERINI, IÇRLJMPIIOLTZ, IBERT, GOTKOWSKY.

Section “AUDIO-ViSUEL ET CREATION SONORE”

Samedi 20 Décembre à 20h. Cours de Son par Maurice FAVRE3ème Séance — La présentation d’images sur écran

— Ilistorique: aspects technique et esthétique— Les formats et leur exploitation: normal, large, multiécran.

Démonstration (le Diaporamas avec la collaboration de la SociétéT.A.V. SIMDA

Cours de Son par Maurice FAVRE

- l4ème Séancelii storique de J tenregistrement magnetique.Les matériels multipistes et leur utilisation.Exercices pratiques: Montage d’une bande magnétique (ciseaux,collants).

Samedi 31 Ja,ivTer à 20h.

ASSEMIILEE GENEIiALE

Samedi 17 Janvier 1987 à 20h.

Voir encart joint

fléa li sé en Xérogs-aplii e Le Direc teur,

FIs, B.A.C.336 Ter, rue (le Vaugirard Maurice FAVRE

75015 PARIS

ASSOCIATION FRANÇAISE POUR LE DÉVELOPPEMENTDE l’ENREGISTREMENT & DE LA REPRODUCTION SONORES

SECTION .PRISE DE SON. — SECTiON • ETUDES TECHNIQUES.

SECTION • AUDIO-VISUEL ET CREATION SONORE.

(1)42 592332

Assoc

6, rueMyrha

iation sansbutlucrat

75018 PARIS C C.Pif. Loi de1901 Agrément

Paris 6511 53 F~N°19252

Présidentsd’Honneur GeorgesBATARD et Pierre-Jean RADIGUETPrésident Maurice FAVRE . Secrétaire Général Henry LANDON

Trésorier Claude OLLIVIER

Rédacteur Jean-MarI. GRANDEMANGE

COMMISSION PARITAIRE AS 68404

Le Numéro 10 F.N04 NOUV. SER. NOVEMBRE J. 9 8 6Abonnement annuel: (6 num.) 50 F. (France)— 70 F. ( Etr.et DOM )

SOMMAIRE

P. 2 EditorialP. 4 “ C’est oui à Xénon “

p. 6 Résultats Financiers de 1’AFDERSP. 8 Rapport MoralP. 9 CCIR contre NABP.12P.l5P.l8 C.D., on écouteP.21 Chargeurs pour Accus PRIMOP.22 “ J’achète ou je VendsP.23 La Tribune du Président

Impressions de voyage aux U.S.A.Eléments de Physique du Solide ( Partie 1

ASSOCIATION FRANÇAISEPOURLE DEVELOI’PEMENT DE L’ENREGISTREMENT& DE LA REPRODUCTION SONORES

PUBLICATION BIMESTRIELLE EDITEE PAR L’

P.24 Les Programmes

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2LA TRIBUNF Du

- EDITORIÊiLPOUR LA RECONQtJ~TEDE FRANCE-4IUS lOUE

L’assetr,bl~ génétala annuelle de l’association, aura lieu lesamcdi 17 janvier 1987. ê 20 heures.

Inutile de rappeler limpurtanice de cette manifestation, qui est1ucua~ion de faire le point chaque année sur l’activité de l’associa—tiuni, et en particulier d’approuver les initiatives prises par leconseil d’administration en votre nom, ainsi que de renouveler lacomposition de ce C.A. et d’orienter l’activité future.

Faire le point, tout d’abord. Dans ce but, le présent numéro deAFDERS CONFIDENCES comporte un bilan d’activité et un rapportfinancier, qui sera en outre examiné avant l’A.G par une commissionde contrôle indêpendante.

Renouveler le C.A. , ensuite. Cette année, cinq mandats sont àrenouveler, deux personnes acceptant de se représenter Ceci signifieque si vous souhaitez que l’activité de votre association soitmaintenue, voire développée, et qu’il puisse être répondu aux souhaitsque vous avez pu manifester dans vos réponses au questionnaire du N~3de AFDERS CONFIDENCES. il faut vous manifester.

Nous faisons donc un appel à toutes les bonnes volontés quisouhaitent apporter leurs idées et leur concours, dans une ambiancesympathique. A titre d’exemple, la mise sur pied de possibilités decomparaison des techniques de prise de son mises en oeuvre lors desséances, est souhaitée par un certain nombre d’adhérents, mais elle abesoin de bonne volonté pour pouvoir être traduite dans les faits.

Venez donc nous rejoindre si vous le pouvez Sinon, venez tout demême à l’assemblée générale pour nous remotiver, que nous repartionstous gonflés à bloc pour un nouvel exercice.

Dans cette attente, passez tous de bonnes fêtes de fin d’année!

J. M GRANDEMANGE.

P. 5. : Tous les questionnaires joints au bulletin N~3revenus. N’hésitez pas, si ce n’est déjà fait,vOtre. Sur la base d’un premier dépouillement,affiner notre réflexion et éventuellement vousnouveau pour aller plus loin, rubrique par rubrique.

En outre n’ hds if es pas à donn~’r votre nom pour qu’ il puissefigurer sur 1’ onnuaire, qui ne sera transmis qu’ aux personnes quiy f iguret-cil

Lm situation peut s’exprimer bien simplement depuis cinq ans,en compagnie de centaines de milliers d’autres Parisiens, je ne peuxplus écouter France-.Musique. La monstrueuse chienlit hertzienne dé—chainée en 1981 , avec des émetteurs, autorisée ou non, dont les an-tennes mont installées en plein tissu urbain, ont ruiné, pour une du-rée indéterminée, tout espoir d’entendre France—Mumique, et France--Cul-ture en stéréo dans mon entourage, découragé, ce n’est même plus unsujet de conversation,

On n’en mesure que mieux l’attitude ubuesque d’un pouvoir qui, enmême temps qu’il entretient un réseau national de la plus haute quali-té, en interdit l’écoute en laissant proliférer, — quand il ne les en-courage pas —, une profusion d’émetteurs privés, dont pour la plupartla médiocrité des programmes déoourage d’ailleurs l’aualyse.

I.i est à noter que ce sont les jeunes — auditoire revendiqué deplus par ces radios ~r qui subissent de plein fouet cette médiocrité,s’arr~tsnt sur le cadran de leur récepteur aux programmes qu’ils en-tendent le mieux • Il en résulte l’accablante conséquence que tous lesmoins—de—vingt—ans qui m’entourent n’ont jamais entendu France—M etFranco—C , et même pour certaine en ignorent l’existence...

L’ APPERSa lancé en 1984 une action auprès des pouvoirs publicscontre les nuisances des radios “libres”,après une enquête auprès deses membres, mn réalisant notamment un Rapport contenant une série depropositions diffusées auprès des autorités responsables de l’époque~Des poursuites judiolaires ont même abouti dans un cas particulière-ment provocant.

Or, depuis, la situation s est considérablement aggravée. Aupoint que, fait symptomatique, une importante firme d’installation d’an-tennes nous disait que, depuis deux ans, elle préfère refuser toutes lescommandes d’installation d’antennes FM De plus, il semble bien queTélédiffusion de France, ( P8? ), qui assure le gardiennage de la ban-de FM , se voit de plus en plus contrée par le pouvoir lui—même.

Alors ? L’ AFDERS, qui comporte, parmi ses missions, celle de dé-velopper la reproduction sonore, ne doit—elle pas reprendre la lutte ?Pour notre part, nous le croyons. Forte de ses centaines de membres mo-tivés, elle peut, à Paris particulièrement, permettre d’abord de rassem-bler un solide faieoeau de témoignages • Avant tout, bien connaitre l’ennemi fréquence d’émission, localisation précise, dénomination, natio-nalité . Pourra suivre ensuite une action concertéè, en liaison avecd’autres organismes et associations concernées, sous la forme d’un en-semble de propositions, administratives et techniques, élaborées en com-mua, présentées aux pouvoirs public~.

Ainsi, que chacun se considère comme mobilisé pour la bonne cause t

envoyez dès maintenant à l’Association vos témoignages détaillée, sansomettre les indications relatives à votre propre s~tuation t lieu d’é-coute, type d’antenne, type de récepteur par exemple.

A bientêt vos courriers I

ne sont pasà envoyer lenous pourrons

solliciter è

o MAURICE FAvRE

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y;ACCUS + CHARGEUR POliR MICRO PRIF’~)

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(‘‘ES’l’ 0111 A ZEI-lOil. - -

L’ AFDERG s ouvert ~es ~« ‘rhes récemment è un fabricant d’ enceintes~,‘-,“,‘;~,Jea ‘lont la .lémaroli’-’ n ‘c-si pas saris rappeler cc-l le d ‘un autre

“r s it’-’un (Hol’iph’irie) , lotit les oreilles ‘I,rivent siffler de temps à

c,l.r~’ barri l’n,cceuil q’.ni lii -s éts’ fait peut être qualifié de mitigé,i,~ pas lire glacial pour certains. Monsieur NOEL, responsable de

lU avait entrepris de nous convaincre des qualités de son modéles’ira, r,,’is expliquer son f,-,r,r’tionriement, C’est là prendre des risquesdev~r,i un auditoire composé en grande partie de techniciens,

A son avantage,il avait amené ‘in exemplaire “deshahillé” qui per-~,ott.a1( (le prendre contact avec les enceintes “ZENON” Surprenant: unsimple haut-parleur de 7 cm surmonte une colonne dont l’apparence faitpenser d’abord à une trachée—artère, ou è un tuyau souple d’évacuation.C’est d’ailleurs à ce dernier qu’or, peut assimiler la paroi souple en-tourant une spirale qui charge le haut—parleur, Son rôle est d’évacuerl’onde sonore arrière qui débouche sur un évent à la base de l’encein-te Cet évent permet de récupérer l’énergie rayonnée dans le grave. Al’autre extrémité du spectre, un tweeter additionnel est monté ~ 45~su bord dii H.P principal (ce dernier étant horizontal, rappelons—le),(‘t le relaye à partir de 15 kHz.

Le tout une fois emballé se présente sous la forme d’un obélisque.4 l’extrémité pointue ou plate, selon les versions, L’aspect généralest, t,rès séduisant, et même décoratif, J’y vois deux avantages.

Cela évite les réflexions du type “je ne veux pas de ça dans lesalon!”

Cela permet d’éviten~ les réflexions (les autres, celles quiviennent du mur), en écartant les enceintes de la paroi arrièresans pour autant défigurer votre cadre de vie.

L’ éloignement de la paroi est à choisir soigneusement car, eneffet, ce transducteur est omni—directionnel! C’est là que va commet,-sen la polémique. Parce que ces enceintes ont de gros défauts etd’énormes qualités Commençons par les défmut.s:

1) Le H.P. de 7 cm ne supporte pas des puissances extraordinaires(l’enceinte est donnée polir 60 M, et vendue pour 2000 F). Néanmoins,le niveau général obtenu est amplement suffisant pour que votre voisinmartèle la cloison de ses poings rageurs le week—end où vous avezdécidé d écouter l’intégrale des oeuvres de Wagner,

2) L’équilibre tonal tel qu’on peut le mesurer en chambre semi-réverbérante présente ‘inc prédominance très marquée du secteur 500 Hz.4 2 khz. Dc- chaque côté, on trouve un plateau régulier de 80 à 500 Hz-‘t de 2 4 8 kHz, puis la réponse chute régulièrement.

‘Four le secteur grave le résultat obtenu dépendra essentiellementde’ la 1cc-si isat,iuri de 1’ er,,’pinte dans la pièce. Le niveau relativementfaible (le l’extrême gravl~ incite à placet cc-r; enceintes à proximité

un, angle. 30 .4 90 cm lu mur arrière sont des. valeurs de base ~ç’arhir desquelles or, pc-ut (asayer quelques variantea, Rien entendu.

~o er,ceentes doivent impérat ivemerit être posées SI, sol.

nr,e ,Jp~ expi j ‘at j,n,’, ‘1,, ‘ ars’ tére - n,,odlun,,” le la Zerier , en, (leI,’ ii s‘I la ré[-’’ra. e pn’’pre l’r ‘haut parleur. ‘-~i’-fl( (le ‘‘e que l’évent ra’.’’’r,n

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B - CLAVECIN : FISCHER (1670 ? — 1746)

William CHRISTIE Réf. HMC 90 1026AAD. Date s Mars 1979Durée : 46’30

* LE PARNASSE MUSICAL

s En t~aautta no.t-Cce donnée avec te C.V., on peut é-tic e6~aAépa~kLeman~&~tofat,ou pîte~sque,de ce-’t-ti_tude à p’topoà de t’hommee~tde àon oe.uvke s àe.powvtaLt que..., c’e-s.t p t-é-t-se... Tou.te~o.Ls, on ‘,saLt que F-Lsche~îtllaLt ma.-t-t’te de.chapelle à Le. Cou-i de Rade. de (695 à (138, e-t que le “Pcvt,sa,~i.6eMu-sj.icaL” dtrte de (138.

F,Lsche.ît avttC,t composéI àu-Lte à 5paiutCe-s, de-s oeuvlteà accuses, deux ‘te.cue-Ll~d’oîtgue, un opésa lla.tsien 11120)dou-t on e. peitdu complé-tensen-t la ;t~/tace, de-s “p-Cècespou-i ctavec.n” san 1696, c-te..

V’apaès E. L.Geibe’t “-U5

ÇcUsa~ctpaît-t-Ce de~sptus ~‘tands ma~Ltîte.sdu c-tcw-Lvt deté poque et U eu-t Le eéîtLte d’avo.Ot ~aLt conne-tt’te e-t etépandite en Attemagne te-ssan-Claies (oainemen.ts) a-Ce-s-L que ta bonne exécu.t-Lonsuai ce-t -Ln41/usnlent”.

Qu’ Lmpoaite, ces taté-s be-Ue-s pUces pou-i c.tavecCn5on~t‘ie.maitquablemen-tLn-teitpîté-téespaît W~t-é-CamCh’oiStiie quC joue fou-t en ~ÇLnesseavec un en.tlusAin de bon aLoi. Un beauC.V. qui aio’ct de-s sen~tCeesbattus.

TechnIque En~.Cnun ctavec-Cn où le. té-te. ne ptonge pas dedans, On le. sait p/tésen.te-t 6%en devasit soi. Toute-i le-s a-t-taques son-t paat6aLtemerit ate-s-tLtuées. TaLs gaiandedét-Cca.tesse de t’aab.Le.nce. On sa~C-t que. Le-s co’tde-i son-t mé-taUiques sans é-taie. aie-s-sen-t-Le-s.Cette puLse de son e-s-t d’une -t-il-s gauinde cLasse (iean-Faie.nço-C.s Pon-taie~auxc-t).

Qu~a d~Ct que t’ anaf.og~Lqueétait mauvais T

lui—même Jusqu’à des fréquences de 1 ordre de 2 kHz - La nature du soln’ est donc pas rségligeahle, et la présence l’une moquette ne peutqu’ aruéliurer 3es choses dans ce domaine.

Gi l’on s la curiosite de regarder à travers lâ toile inamoviblequi entoure complètement. l’enceinte, ors peut découvrir sjanss lefaisceau d’une lampe de poche hiers dirigée, deux haut-parleursd’origine AUDAX. Certeirss constructeurs prétersderst - retoucher leshaut—parleurs saris que l’on puisse vraiment vérifier la véracité deleurs affirmations; ici, il n’y a aucun doute: les traitements’ subispar les membranes, aussi bien du tweeter que du large bande,justifieraierst à eux seuls une inscription dans les dossiers d’AmnestyInternational - Les pointes qui hérissent le centre de chaquetransducteur semblent satisfaire aux obligations du culte Vaudou. Toutceci n’existe que pour répondre à des considérations électro-magnétiques et mécaniques sur lesquelles M. NOEL semble peu disposé às’étendre, mais qui font l’objet d’investigations systématiques. Ceciexplique entre autre que les cables de limison soient solidaires del’enceinte, et cela m’amène à parler des qualités de ce modèle:

-L’absence de filtre (un simple condensateur) permet à cestransducteurs une restitution liée aux qualités de l’amplificateur- Lehaut—parleur large bande est en “prise directe’ avec les circuitsd’amplification et les Zener sont très fiables dans les comparaisonsd’amplificateurs.

—L’absence de ‘boite’ explique sans doute une grande transparerscedu son. Pas de paroi, donc pas de vibrations intempestives, ni deréflexions internes qui moduleraient l’émission de la. membrane.L’écoute de ces enceintes m’a laissé plus d’une fois perplexe.

Le caractère tronqué de la courbe de réponse peut être aisémentcorrigé avec des correcteurs de tonalité classiques. Il faut prendresoirs de ne pas exagérer dans les graves pour ne pas mettre à mal le7 cm! Dans tous les cas, le sors semble très équilibré; je dirais mêmeque moins on corrige, plus les enceintes se font oublier. L’absence deniveau aux extrémités liée aux caractéristiques de directivitésuggèrent un espace sonore très ouvert. Plus la salle d’écoute estpetite,- plus l’image sonore virtuelle semble occuper un espaceimportant, bien au delà des limites physiques des murs. Malgré cela,la localisation reste précise, sans doute grace à la source unique, etla définition ne peut être critiquée: tout est là. Cela n’a riens àvoir avec l’écoute d’enceintes BOSE (que je supporte difficilement),si vous étiez tentés d’y trouver une analogie,

La deuxième explication que l’on peut avancer dans le caractèrersaturel de cette restitution, réside dans l’atterstion que 14. NOEI.porte à la réponse impulsionnielle et aux temps de propagation. LesZenors seraient très performantes dans ce domaine et coaperssersieni-ainsi largemerst leurs possibilités limitées dans le domaines despressions sonores maximum. Tout cela peut paraitre contestable t,certains - Personnel lement., j ai remisé mes enceintes “monitor etmultiplié les essais pour essayer ‘le cc,ml,rendre ce qui me fait.

craquer’. IJn gros’ modèle est à l’étude. équipé durs large ban,.bcFOCAl, de forte puissance, Vivement demain

* PROCHAINEMENT

Didier A..R. SINON.

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RECETTES

Cotimatione 28200,00

Abonnementm revues 10510,00

Donslntérets caisse d’épargne

Rétrocesmion de matérielParticipation membres aux fraim dedéplacement musiciene

Remboursement assurance,vol femtival du mon

Commentaires mur Ie~ résultats de l’exercice 1888.

La réorganisation du con~e1l d’adminis-tration, la recherche de nouvelles activitè~, ou denouveaux supports pour communiquer, nous s amenés kcertaines dépenses qui devraient porter leursfruits dans les années à venir~

Le nouveau bu! latin plus copieux en pages,et édité régulierement, s trouvé le Soutien degénéreux donateurs parmi les prof’èmmionneln duson -

Les avantages du changement de siègesocial sont triples.’

Une économie prévue d’environ 3500,00 F par an;—Des délais de transmission de courrier plusréduits;—Un’ contact avec nos membres amélioré grkce à unepermanence téléphonique, avec répondeur,

Quand on écowtp L.rpa.tt~ ou P.L’re-~ on ne peut natte-t inaen.nibfe au cha~niequ’.LtndépfoÀieivt e-t à l’e.nvoCnteinepntqu’iln êvoquen.t ; on e e.nvLe de uaf,Seit I

VéJà te’tpn~téeade nnanil’te etempfui.te avec Lpat~t~,e-ften 8oftt Uttéciemen.tan4cendéea arec P-une-i gniice à ~on .touche-t à fa Ço~.sendiab(é et nseôacutesx de

~ne,s~e, de douceu.’n, de cla,’nté ma-a awitt de ketenue,Ev.Ldemmen.t,fa fechutque4onoke péna.fL,~enenn~btemeutL.ipcttt.~,mct~ on ~e ‘tend

pa)n~a,.i,teme-n.tcompte de ce qu’il noun donne peut un e~o/rtde nnpo~,.cttonen~afaan.t 568faacLn~.ondat b’uiLt.,,s d.Lvat~se-t de ce-i,ta.inen cofo’ta.t.~on.ne,t dia on-i’ton.n

ca.n. n’oubuona pat que ce 4on~t34 année-i que 8épa/ten.tce-s deux enitegtt.t,xemen.tiJe k000e néanmo-in,s6ofl in,tenpPtttrtt,ion conrine un f~.énnoignageea~icn-t~tef e-t d’awtan.tptwi émouvautque “~at” VaLie-6 ~uJten.tekegJ,i~Sfaée,6quelque-4 mo~6avanet8a eo’rt6u/tvenueè f’fge de 33 aui.

Pi,’te-i a.t~te.nin.tde-i c-Lise-i datqueLfe,i beaucoupd’au.txe p.LanLite-s kette-’tou-této~Lgné~ià jamafa. Sa ~inat.ée, 8e gnlce, ‘ia ma-~-tJtfaepait~ai_tede tin-ifawnent(e-fIe ~a~tt co’tp8 avec tuf)

1Çon.t, 45u6 sut doute, de ce-t-te .iin-tekpké-ttt-Lonune

kê~ékence qwL ~e-’tadette dan-e, t’hLe,.tofaedu C,V.

P~L’tat ou LipoJti, Lepa,ttri ou Pi_xe8, je np1~L~eJta,f en dttan.t P~cke~$ET L.Lpattiice-k je pan-6e que t’un ne va pat 8ana f’awtte e-f qu’il ett .‘Lnconcevabtedecossa-Z-finet’un ma,f~ipat t’au.t’te c’e.tt ce que Von appelle, je c-no-Li, de-iREFEgE$R,’E5 ABSOLUES.

8Iofa n RCA ke8onJ (au pn.,Lx impontnt,fon I) te4 Val_cat pain Rubiaite-~nma-ci je te-i,~Z”~nn.Lie8votontat~’te,nen~tdan,i ce-t-te con~’ton-ta,t)ionpout ta ‘wLion que je f e-6 t.kouvetkop “bnllta,vtat” (excusez-moi potvn te jeu de mofal e-t même ,ii e.t-fe4 4e ii_tuent àun .t,t(’,i, (neuf niveau elle-i kee,.tentpowrtan.t en de~èd~celte-e évoquée-i c,—de-e-iu4,

TechniqueeT !i,~,a,W n mctfg’té un t’tè8 tégekb’ueal de Mut6ace (18 t) e-t quelque-6 4aiu~iat.Lon4

-ci o/n6ion (pat de. bande pou,”L ce-t en,keg.Lif’temen.t —te magnétophoneex.Lt.tttLtdéjà potvniai’et- ca’n, à ce-t-te époque (1950) on pfté~Çén.a.ctencone eo’reg.Latne-ten g’tavulned-L’ncc,te I),

((ah, c,toçjee-mo.~,c’e-,it pi_u-e, qu’”écou,tebte” e-t au bout de quelque-i ridnu~tenon~e ta,Lini~aile-t è ta nnuilque e-t foui te ‘teste ,s’e~ace,Vonc, du t)nè beau -t’tavail de!JuZSÀc/v_fpfaonSWt C.V.. Bn.avo à EMI I A quand te-i oeuv’te-e, de Bach ou de Moza.t.t 7

b) Piaat n Pat ginand cho8e à dune. Eh ouf, que cWte de ta pe-’t~ec~t.fonCe-tic pin-Lie~ï”~’~n /téa.Ue,éepak Votan,ta Skuinjz à ta Salle Açjd,faind à PrVri.-i -sa.(te qu’a

1~ec-

.tfonnaji Andité CbainLLn- ,Su/tc,tat8efaut ce que j’ai pu ee-te,nd-’te jntnque i_à, Ce-i-t d’unevéaiié e~td’une pnéche-Lonhnliucainan~tes.Vouin ê.te.é au 5ème ou 6ème itang d’oinchefjte,te p.i.ano es-t pa&~ahtemen,t“6oca.Uié” e-t fout y cil cia-un ; te-i a-t-taque-i 4es-t..,noua al_tons pa4 eut en ‘tevue foui te-s 8upcin.faLf~4peut tien d-Lie.

Ma conctu.ilon e_if que c’es.t t’un,Lque C.V. de piano que je pwLi4e ab4otunnen.tk~acom-mandéjt,unC,V. “étaion”, l’orsi mat compilmcn.ta, Madame Slawta ‘ Vi_te, un au-t-te,, -

P.S. J’at-tah oubi~eitde roui di_”te que ta pnhe de 4on e fIé ~aLte arec dat euc’to~B’ulel e-t KjJe”t (Omn.f) don-t ta bande paasa,ttea-t-te-tint 40 Kh’z avec une ‘téposer enpha,ie qua~iiidéale, Cec_t expfaquecela. - -

t4E3L,.~ NJ3II~I~L~

~ F~I NAN~ I ~Exercice du 01/01/1988 au 25/11/1986

8575,00

2074,18

11898,84

82l~5,0O

5100,00

70571,02

SOLDE EN CAISSE AU 31/12/1985 40871,25

11 1442,27

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18 <C.D.... c~EWJ[E!>

IJEE’ENSES

7

Che-us Amis, Bon jouit

Je tiens tout d’aboaid è aieme-’Lc-ieai ceux qu.t ont pîtLs ta pe-sne de aiépondaie e-t d’appoe-teaitewis idées à La consultation suis. l’ouvejt.twne d’une compaetothèque. Toate~o.is, douzeképonses seulement... C’es.t peu e-t cee-L m’aWristeaia.it s-i je ne aies-tais pejusu.adé quebeaucoup d’au-taie-s paainu vous on-t di~éaié t’envo-i de Lee-ît~ia.kgumen.ts que j’auis.a.L plaisiis.à aiecevoi.s p’tochainemen-t.

Pou-i ce butte-tin n’ 4, ou-taie Le C.V. annoncé (Vatse- de Chopin paît PIRES) un évènementdiscogaiapkique .incon-test,able es-t paire chez CMI, je veux pa.Js.tejn de-s mêmes oeuvaies paîtV-mu LIPATTI. En possession de-s deux d~isques,je n’ai pu m’empéche.aid’en l-tablé-itt le.pcvtatf.ète. Donc, une ce-i-tique “jume-fle” vous es patoposée.

Un au-tic d.isque e. aie-tenu la mention “excellent” s Oeuvaies pou-ai Clavee-in de F-ische-ai(NULias CIvristie(.

isa vous Cnv~teà en-taie-ai dans te v.i6 du sujet.

A-PIANO Frédéric CHOPIN (1810-1849)

- Dinu LIPATTI * Réf. EMI CDC 7473902

P.AD - Enr, juin 1950Durée s 45’49

- Maria Joâo PIRES Réf, EISATO EcD 88067DDD - Enr, Février 1984Durée 49’13

* LES VALSES

Autistique s Ces deux C.V. de vaLses on-t pLu-s.ieuir-s point-s communS- te. top niveau en (ait-Claie d’-in-teaipaié-ta-tion,- l’oaidaie d’exécution,- t’espurt avec Lequel elles sont jouées.

Ces page-s ~igu-îten~tpaauni ceLte-s qui sont tes ptu-s aiabêchées au même titane que lesQua-taie Saisons de V-ivald,i ou t’Adag-io d’Atb-cTnon-i.

Le-s Valses sont issues de dansescampagna.’tdesappelles Ltndte-’t e-t basées suis. te.‘tgthrne (.2.3. Elfes 6wien-t asap~Cde,mentt en vogue aupaiè.s de La haute bouitgeo-Cs.Ce e--t sepeur6ec-t-ionnèaien.t pas ta suite. CHOPIN entendIt tes paies-Claies à Vienne enIS3O. C’e-s.tlu-i quC nLu-sst à en 6a-C.’ie de-s che6s-d’oeuvaie de d-istine-tion e~tde i-inemen~telles son-t chacune comme une peu-te dans un écu—in de velowrs.

Les Va-t-ses -Sont anndépendan-tes et peuvent exécutées soit dans un oandute nu.mée-Lque(cas te pfus ~Çuéquen-t),soit dan-s un oaidaie churonotog-ique. V-mu Lipa-tti e. chois-L uno-id-te tout à ~ait peansonnel dit “esthétique” e-t qui aiompt avec no-s habitudes.

Pitres a atepaUs ce déaioulemen.t qui, je do-is l’avoue-i, me pta.it à ~‘tav-iai.

Nomb,ie de mus UCens “piano.ten.t” soit de san-Claie mécanique (on aie-s-te de gee.ce(soit de man.iè’se éLéphantesque, ou paclnideaimique, coasse vous voulez. Ca.i -LE ne ~autpas pc-id-se de vue qu’if s’agit de vaLses e-t non d’un ca.ainavat d’animaux, de p-ièce.sde buias.’ou.se ou... de pièces tniLi-tases. Danses d’une ~actuJie délice-te, elles doiventétne jouées comme telle.

Prime d’assurance R.C.Taxe frais de tenue de compte CCP

Le stock de cartes de membre et devignettes étant arrivé à épuisement, nous avons dûle renouveler. Cette dépense devrait nousapprovisionner pour 3 ans en cartes et 5 ans eny ignet tee.

Le vol d’un magnétoscope en dépôt surnotre stand au festival du son, nous a coûté2000,00 F, montant de la franchise d’assurance.

Les rémultats financiers du 1er janvier au31 décembre 1986 (année civile complète ) vousSeront communiqués lors de l’assemblée générale du17/01/1988.

Location Balle pour séancesDom ici li at ionTaxe d’abonnement téléphone

12390,002293,40

188,43

Abonnements aux revues 11215,00

Fra is de réalisat ion du bullet inet frais d’expédition 8965,74

A Eien.tât,

G. MARGUERON

Achat matériel d’équipementAchat matériel pour rétrocessionFrais de déplacement musiciensFrais festival du sonRemboursement constructeur duvol au festival du son

AchatFraisFraisFrais

cartes vignettes et logosde fournitures de bureaude bureau C Timbresde gestion

1581,8012034,394708,504284,32

7100,00

3400,003939,75898,40

1060,00

718,005,00

74778,53

SOLDE EN CAISSE AU 25/11/1888 = 38883,74

- 111442,27

Claude OLLIVIER

* Ce C. V. compoui-te égaLement La Ba’ica.-’iote, op. 60 - Noctuitne, op. 27 n~2 -

Mazuirbe., op. 50 n’ 3 - ce qui poante ta duusée oLa-te du C.V. à 64’31.

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p

ASSEMBLEE INERALE t~i17JANVIER1987

RAPPORT Mo~êL

L’exercice 1986 de l’Association commenté ci—après sfé~e~g entreles deux Assemblées Générales successives de fin Déoembr~ 1985 à Janvier1986.

Un premier point à noter est constitué par les changements qui sontintervenus soit au sein dur Bureau, soit du Conseil, certains étant moti-vés par des raisons de santé, d~a~trespar des difficultés de disponibi-lité. L’équipe nouvelle s repris le flambeau avec ardeur, en s’efforçantd’abord d’examiner les moyens d’augmenter le nombre des membres, d’unepart en connaissant mieux les souhaits de ceux—ci, d’autre part en appor=tant à nos amis de province, privés des manifestations parisiennes, denouvelles raisons d’appartenir à 1’ AFDERS. Ce qui a abouti à une consul-tation générale par Questionnaire, actuellement en cours de dépouill~ment,et qui fait apparaitre d’intéressantes suggestions et ce qui s déterminéaussi l’étude et la réalisation d’un, Bulletin, AFDER8—CONPIl~NCES~mainte-nant à son quntrième numéro bimestriel, et dont lecteurs et firmes ont bienvoulu reconnaltre l’intérêt. Que tous en soient remeroiés.

Par ailleurs, la gestion administrative de 1’APDERS a été transforméepar passage en Informatique des fichiers, avec imprimante sortant directe-ment listes, échéances , étiquettes pour courrier et envoi bulletins, etc..

Les séances AFOERSont observé leur rythme habituel, avec 23 manifes-tations dans l’année, Le stand de ~ Association su Festival Internationaldu Son a été très fréquenté, avec le Concours“ Le B~’uitMystérieux “,quis permis de collecter plus de 180 réponses.

Parmi les orientations nouvelles, un déveisppemen’t en direction del’audiovisuel e~t en vue, d’une part aveo les groupements et clubs de pho-tographie, pour le Son dans les diaporamas, d’autre part, prudemment, avecla Video .. J!ais bien entendu, sans perdre de vue que c’est le Bon, enre-gistré ou reproduit, qui constitue l’objet unique de l’APB~RS.

- Il est d’autre part suggéré que la culture musicale, par l’intermé-diaire de la disoophilie,, soit également remise à l’honneur à 1’ AFDEBS.Ce serait la renaissasce du Cercle ui’Etttdee Musicales de Paris, patronnéautrefois par 1’ Association, et que le départ de l’éminent musicologuequi l’animait avait fait disparaltre. Il semble intéressant d’étudier sarenaissance.

Le Conseil de 1’ association doit ~tz’e statutairement renouvelé pourun tiers I d’autres membres ne peuvent coa’tinuer à en faire partie pourraisons personnelles.

C’est pourquoi un appel amical et pressant est fait maintenant, enterminant, pour que se manifestent, lors de P AssembléeŒénérale, rie nom—breiix candidats c’est, en quelque sorte, le sang nouveau indispensableà la vie de notre chère AFDERS

On volt donc qu’une faible variation du potentiel de la grille(commandée, par exemple, par un microphone ou toute autre source devariation de courant), se traduira par une grande variation ducourant traversant la triode et une variation corrélativeimportante de la tension U=RJ aux bornes de la résistance R

On pourra mesurer le degré d’amplification apporté par cedispositif par le rapport entre la tension U et la tension egénérée par le microphone, ou encore en décibels selon la relationexplicitée par J.P, BREVANdans le N’3 de AFDF,RS CONFIDENCES

Le phénomène de l’amplification consiste donc è moduler le débitd’une source potentielle d’énergie (dans notre domaine d’activité,le secteur, les piles ou les accus), par un dIspa~ltjf de commandene nécessitant qu’une faible puissance.

Vous me direz: tout ceci est bien trivial, Peut-être Iin’empêche que j’ai entendu un jour (haut et. fort) dans un transporten commun: “c’est idiot de prendre un ampli puissant parce que l’onécoute généralement à faible puissance, et toute l’énergie qui neva pas dans le haut-parleur est dépensée dans le potentiomètre” En,réalité, si, pour des raisons de limitation de la djstorejon, onn’introduisait pas un courant de repos dans les amplificateurs, cesderniers ne consommeraient (quasiment) aucune énergie en l’absencede signal.

Autre conséquence immédiate de la définition précédente:l’importance de la qualité de l’alimentation: il ne s’agit pasqu’elle s’écroule dès que vous lui demandez de fournir de lapuissance, à l’image d’une voiture Poussive qui s’étouffe à lamoindre sollicitation de l’accélérateur, ou d’un réseau dedistribution d’eau dont la pression s’écroule dès que vous ouvrezle robinet: dans ce ces, la proportionnalité recherchée entre lavariation du dispositif de commande et la variation de puissancefinale n’est plus atteinte et le résultat n’est pas glorieux,

Nous venons de voir le fonctionnement de la lampe triode (lefonctionnement de l~ diode est encore plus simple: enlevons lagrille: si P est placé è un potentiel positif per rapport à F, lecourent passe; si P est è un potentiel négatif, les électrons sontrepoussés par l’anode, le courant ne passe plus),

Comment obtenir ces fonctions sans utiliser ces composantsencombrants et coOteux que sont les tubes, et en uti1isentuniquement des composants è l’état solide? Chacun sait que certainscorps conduisent l’électricité: on dit que ces corps sc,ntconducteurs D’autres ne conduisent pas l’électricité: ils sontdits isolants, Pour assurer les fonctions décrites précédemment, cequ’il noue faut, ce sont des corps intermédiaires qui peuvent seconduire, è la demande, tantôt comme des conducteurs, tantôt commedes j.solant~, Le comportement des “semi—conducteurs” sera abordé‘i~is la oini~ ‘‘ l’—et .or~i,-]s aprés qui,-, détour sic ~ i’ijl’ o’,,’ lastructure de la matière,

POUR LE CONSEIL

A suivreJ. M. GRANDF,MANGE.

LE PRÉSIDENT MAURICE FAVRE

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Réservoir -

~ Glissière-

L’ENREGISTREMENT MAGNETIQEJEET LEÇ

NORMES CCIR CONTRENAB

flux d’eau, donc la puissance de la turbine, avec de très faibles Chacun a pu voir, quelquefois avec une certaine perplexité, sur leefforts, en translatant simplement cette glissiere- légendaire REVOXA 77 , un inverseur permettant de choisir, en lecture, la

position soit CCIR soit NAB . Cette altern~’t ive est générale en matièred’enregistrement magnétique. Sur quels principes repose—t—el le ?

U DES COURBESCOMPLEMENTAIRESOn sait que l’enregistrement magnétique repose sur la

magnétisation d’une oouohe ferromagnétique déposée sur une bande.

Cette bande défile devant l’entrefer d’une tête d’enregistre-

ment, alimentée par le signal électrique musical, où elle se trouve

magnétisée. Pour la lecture, le processus inverse se produit, la bande

magnétique passant devant l’entrefer d’une tête de lecture, où sa ma-

gnétisation induit des signaux électriques qu’on amplifie ensuite pour

~

Or, si l’on alimente la tête d’enregistrement à niveau

constant pour toutes les fréquenoea audibles, la tête de lecture~ ne

restitue qu’un signal de niveau éminemment variable,

La courbe en est donnée en (A) sur la figure I, et fait

apparaitre une forme caractéristique en “dos de chameau”. 1~ne la pre-

mière partie (i), la courbe est ascendante, et le niveau double quand

double la fréquence, ( 6dB’ par octave ). C’est la conséquence du prin-

cipe électromagnétique sur lequel repose la tête de lecture.

Mais la situation se gête dans la partie (2), où les per-

tes dues à diverses causes, ( réduction des longueurs d’onde enregis

trées devant l’entrefer, dénsagnétisation p’rogressive, etc...), font chu-

ter progressivement le niveau.

Le remède ? Une courbe de lecture de forme complémentaire.

C’est la courbe (B) sur la figure I, reflet’inversé de la courbe (k),et

qui permet finalement d’obtenir le résultat idéal “droit” de la courbe G.

Grille.

nTurbine.

La lampe amplificatrice réalise un fonction tout à faitsimilaire: Soit une source d’électrons (l’équivalent de l’eau dansl’exemple ci dessus) obtenue en chauffant un filament F, et unedifférensce de potentiel entre filament et plaque P attirant lesélectrons ainsi émis. (Cette d.d.p. est équivalente à la hauteur àlaquelle se trouve le réservoir dans l’exemple précédent) Si nousplaçons une grille é1ecl~riq’seaent neutre entre cathode F et anodeP, le flux d’électrons entre F et P s’effectue libremenit- ler’uurarst lassE’ e~ in ha’.st —parleur inséré dans le ci rouit bouge:

Ir( J - -

Ci Fi gril le ~-~((ttS un ~,,t,-rnst5pl ,-~gat.if (même faiblement), par

rapport à la cathode, ollr’ repousse les électronis (qui sont égale—ment chargés n,égat.ive,sent.) : le courant passe plus difficilement,voire ne peut plus F~aSser - C’est également ce qui se passe dans

l’exemple précédenut si l’on exerce un léger effort pour trarssl aterla glissière-

fig. 1

o

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1 ()

* tES tOIS DE I’INTERCHANGEABft!JE

Il faut que toute bande enregistrée puisse ~tre relue sur

tout matériel • cette condition évidente d’exploitation s entraîné la

normalisation rigoureuse d’une des deux courbes, et ~ la courbe de

lecture qui s été définie

Il ne peut en effet y avoir de courbes d’enregistrement

normalisées, car elles dépendent trop du type et de la nature du maté—

riau magnétique, les réglages de prémagnétisation et m~medes t~tes d’en-

registrement. On peut seulement dire qu’une oourbe d’enregistrement com—

porte toujours une remontée importante dans la partie sigtle du spectre

sonore, pour compenser là perte à la lecture illustrée sur la figure I

partie 2 ). C’est la préaccentuation des aigøes à l’enregistrement.

tES DEUX COTES DE L’ATLANTIQUE

La normalisation des courbes de lecture seules étant admi-’

se, l’Europe et l’Amérique n’ont pu~ il y s quelques décennies, s’en’ten—

dre sur des valeurs communes.

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I. INTRODUCTION:

Les techniques d’enregistrement et de reproduction sonore fontintervenir, dans l’ordre:

1)—Un phénomène de transduction, réalisé par le microphone,permettanit de passer d’une variation de la pression de l’airsous l’effet des ondes sonores, à sa ‘traduction” sous laforme d’une variation de courant électrique.

2)--Le traitement et l’amplification de ce courant.

3)-Un phénomène de transduction en sens inverse du premier, réalisé par l’enceinte acoustique ou le casque, transformant lesvariations amplifiées du courant en variations de pression del’air.

la phase 2) intermédiaire peut comprendre elle-même des phases de:—transduction (dans les deux sens), cx: gravure et lecture d’un

disque noir,-modulation/démodulation, ex’ émissions radiophoniques,-codage/décodage, ex: disque compact.

Dans cette série d’articles, nous ne nous intéresserons qu’è lapartie purement électronique de cette chaine et, pour bien corsprendre son fonctionnement, nous ferons un retour sur la physiquedu solide. Mais, tout d’abord, un rappel sur l’amplification et, uneincidente sur les lampes amplificatrices.

II LA LAMPE AMPLIFICATRICE.

Il vous arrive souvent de manoeuvrer un intêrrupteur, d’ouvrir oude fermer un robinet, d’enfoncer un accélérateur. Dans toue lescas, en exerçant un effort d’ampleur limitée, vous maitrisez àvotre guise le fonctionnement d’appareillages divers mett,antéventuellement en jeu des puissances importantes (votre robinetpeut commander une turbine, votre accélérateur vous permet derégler à votre guise la puissance de votre moteur.

Il y e manifestement amplification entre l’énergie mise en jeupar vous et le résultat obtenu!

Une des explications les plus claires que j’ai lues sur le phéno-mène de l’amplification est celle donnée dans l’ouvrage de E. LEIPP,“Acoustique et musique”, dont je ne saurais trop recommander lalecture Je reprendrai ci-après l’exemple qu’il retient:

Soit un réservoir plein d’eau, une canelisat,ioni comportant unegrille, et une turbine entraînée par la pression de l’eau Si l’ondispose soirs cette grille une glissière comportant des trousidentiques à ceux de la grille, il est possible de contrôler le

QLJE!,QUES ELEMENTS DE PHYSIQUE DU SOLIDEPOUR BIEN COMPRENDRE L’ ELECTRONIODE

II III

‘t,

fIg. 2

œ‘t,

CC~R

NAS

20 50 100 500 11< 5K 10M 20K

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11

j’,’’ l-~ui~ 15,51 qui’—’; l’--al -c. hast; 1-i s ,—~1, s, de ,;ass l”s cli FI,’’’, ‘fi peut1’-c-,u,,lui--,h’l’-O —-c ,ia9as jt,c -I’ I --li-s ii,,-’ ‘ru)l-IED- hELORDC

~5 IX 5 - ,-‘ulut-’l,,s,rs,,rst ,1~-’ II Fi di lui lors (‘1? o L3tF) , avec sussew ‘‘,--,—iil se vej s 14 d’-II o s-o (01 F . l’-i -t’ ,Ss s. - les è isquses les plus chers- - - -u I 10; - s sup’ ri s , puis les DRIll 114, suai s les européenis

LA VIDED-

Ers vide,,, I ‘-‘s prix des magnétoscu ,pes de salon s’ èchelonsnserst deliLu) dollars (230oF) peur un modèle déjà convenable, à 750 dollars(49001”) pour uns VIlS l-II FI. lIn gadget étonnant, une télévision de lataille durs paquet de cigarettes, avec écrans à cristaux liquidès noircL tIans’ (la coulessr est. en préparation): 100 dollars (650F).

La trassssçsissi’jrs des programmes de télévision s’effectue par troisprocedés distincts

-par voie hertz iensnse nsormale,-par sable, ~rsuver,t avec péage (mais avec beaucoup de programmes

pour le même prix qu’un seul ers France),par satellite, dans la bande des 10 GUs; les téléviseurs sont

tiers sûr équipés e,ns consséquensce.

La vidéo est hansdicapée par le standard NTSC, assez médiocre,surnommé par dérisions: ‘ilever Twice tise Sasse Color’.

DIVERS:

Encore quelques découvertes en produits de bonne technologie:-un petit multimètre numérique à gammes automatiques, au format

calculette, de fabrication très soignée en composants à montage desurface, parfait pour aller sur le terrain: 30 dollars (200F),

unie montre avec de nombreuses fonctions, permettant de mémoriseret d’afficher 50 noms et numéros de téléphone, ou d’autres informa-tiens: 40 dollars (260F); pour un peu plus cher, on avait la tempéra-ture extérieure (‘C et ‘F), à quand l’altitude?

un téléphone sans fil sophistiqué de grande marque: sécurité parc’:,de, diversité de fréquence de transmissions automatique sur 10 canauxpour éviter les interférences- 180 dollars (1200F).

Les srsagasinss de la chaine TAUDY-RADIO SFIAK se trouvent au con-fluenst de la Hi Fi, de l’audio, de l’électronique, de l’informatique;une visite s’ impose, vous ressortirez rarement les mains vides, Anoter aussi de bons magasins pour l’électronique et le modélisme(superl»-i), car il s’agit ‘l’activités florissarstes aux U.S.

J,a visite des nsugasirss de gadgets est un délassement, même sil-s m.s. cious,1 lac su’ est, pas toujours du mci 1 leur goût, - comment se décidesenti e 551 vrai faux m’,uv’-’rnenst perpétuel - une horloge à pommes de terre,un C-I. i --ku-r ‘‘sssi que, les taris -,st.s saut euro ou ors ‘1 insosaure gonsflable’?

Au fut sise-: vous -pie 1’—’ moI. g’-ilgel vis-est du nons du franç-ai-OAGEÎ, ,—;c,li-t’-usl f

1’-’ la ut ~f uF l~- la lit,’rté le Dartholdi’?

En Europe, le Comité Consultatif International de Radiodif-

fusion (GCIR), a choisi une formule cartésienne ( ~ig.2 ) * une droite

descendante à & dB par octave, avec toutefois un “arrondi” vres les ai—

g-iles.( “coude”à 2275 Hz pour 19 cm/8 et à 4550 IIz pour 38 cm ).

Aux Etats—Unis, — et plus tard bien, entendu au Jàpon—, la

National Lssooiation 0f B~oadcasters (NàB), a de son côté choisi de pré-

voir un second “arrondi”, ici dans les graves. ( “ooudes”à 50 Hz, et

3180 Hz pour les aigiles ). Et celà quelle que soit la vitesse ( 19 ou 38cm)

T a—t—il alors interchangeabilité des bandes enregistrées ?

U DES AlGUES GRATUITES

Tant qu~ofl enregistre et lit des bandes dans le même sian—

dard, tout va bien . Encore que 1’ “arrondi” NAH’ de la courbe dans les

graves oblige à pré—accentuer celles—ci è l~enregistresent, ce qui dans

l’abso1~ est criticable.

Mais si l’on “croise” les standards 7 Alors 1 tableau chan-

ge s la lecture des valeurs de niveau do sortie comparées sur les figures

2 et 3 montre en effet que, entre 1000 et 10000 Hz, la oourbe NAB abaisse

le niveau do II dB, contre 7 dB- pour la courbe CCIR.

Alors ‘~ Bi on lit une bande NAB suivant CCIR, on a plus

d’algUes s la bande est plus brillante. Par contre, si on lit une bande

COIR suivant NAB-, on perd des aig~es s le Bon est plus sourd I

La vérification est immédiate sur un REVOXÂ 77~ qui~ bien

qu’enregistrant en NAB~possède les deux courbes de lecture par le simple

jeu d’un inverseur.

U CONCLUSION s UN ETIQUETAGE INDISPENSABLE

D’où résulte la nécessité de savoir, devant une bande ma-

gnétique enregistrée d’origine inconnue, suivant quel standard elle doit

être lue. C’est une indication è porter impérativement sur les bottes et

bobines, sinon, on peut se trouver en présenos de deux documents sono-

res è monter ensemble, de même vitesse, mais de standards différents et

non précisés.,, Cruelle énigme I

J~P~BREVAII.O Maurice FAVRE

Page 12: SOMMAIRE - AFDERS · P. 9 CCIR contre NAB P.12 P.l5 ... tous gonflés à bloc pour un nouvel exercice. Dans cette attente, passez tous de bonnes fêtes de fin d’année! J.M GRANDEMANGE.

12

IMPRESSIONS DE VOYAGE AUX U. S. A. —-- -- - -

Le pr~eent article donne quelques impressions sur le marché amé-ricain de 1m III-FI, de l’audio-vidéo, de l’électronique, recueillieslors d’un voyage d’affaires qui nous a conduit en Californie et auTexas, cri septembre 1986.

Sans nous attarder sur les différences de politique fiscale, com-merciale, monétaire, qui peuvent expliquer certains écarts de prix,nous tenterons de vous informer et de vous aider à bien utiliser vosdevises, si vous envisages un voyage aux U.S,A. Il est conseillé departir léger, afin d’éviter les excédents de bagages au retour.

CONSIDERATIONSF’RATIQTJES:

Avant d’envisager un achat sur place, veuillez prêter attentionaux considérations suivantes

-le secteur US. est en 11OV/60Hz, contre 220V/5OHz en Francs;les appareils sont souvent démunis du 220V, et le 50 Ha posera unproblème pour les horloges et les moteurs synchrones incorporés danslee appareils.

-les prises d’entrée et de sortie secteur sont différentes dusystème français, la mécanique et la visserie sont aux normes U.S. etnon métriques,

-la télévision est en système NTSC 525 lignes- 30 images/seconde,rien à voir avec le système européen CCIR 625 lignes— 25 images/secon-de, q’j’il soit PAL ou SECAM.

—en F.M. ,la désaccentuation est de 75~ts, contre 50~.us en France,d’où un affaiblissement de 3 dB au delà de 10 kHz,

—le réseau téléphonique est presque entièrement en fréquences vo-cales (“tons’ ), ce qui permet de transmettre directement des donnéesnumériques avec les touches; en France, il existe encore de nombreuxcentraux n’acceptant que les impulsions (“pulse’), et non les fréquen-ces vocales.

—les livrets sont rarement en français,-vous êtes sur un autre continent, la garantie sur un produit n’a

pas forcément un caractère international, ou pire, la marque ne serapas représentée en Francs, ou ce modèle ne sera pas importé,

-pour les appareils portables, il faut aussi voir le problème del’adaptateur secteur éventuel, encore qu’un bon bricoleur puisse tou-jours s’en tirer,

-les prix sont généralement annoncés hors taxe de vente, cette“sale-tax” diffère selon les états, mais n’atteint pas les sommets denotre T.V.A.,

-enfin, la parité des cours-billets du dollar et du franc sera àprendre en compte (actuellement, 1 dollar 6,50 francs environ),

—pour le paiement aucun problème grâce à votre indispensablecarte de crédit internationale, et aux “travellers checks”, bienacceptés partout.

QUE PEUT-0W ACHETER7

Il ne faudrait pas que ces mises en garde vous donnent l’impressien que l’on ne peut rien acheter en confiance; un peu de réflexionmontre qu’ il y a une foule 1’ ar’h at.s poso i1-,le~ -

1e~ appareils autonomes ou sans alimentation, les casques, leshaut-parleurs, les micros, les cellules de lecture,

les accessoires, les cables, les produits consommablesles bandes magnétiques, les cassettes, les iliaques noirs

compacts,--1er; produits pour ordinateurs: disquettes, logiciels.

LA CHASSE AUX MAGASINS:

Il reste encore à localiser des magasins intéressants pour lesproduits audio vidéo et électroniques, ce qui n’est pas toujours com-modes sauf dans les très grandes villes comme New York, Les Angelès,Chicago, disposant de véritables quartiers pour ce genre de commerce,Il vous faudra user de tous les moyens pour les découvrir’ pagesjaunes de l’annuaire du téléphone, publicités des revues spécialiséeset du journal du dimanche (plusieurs centaines de pages~). Vous pouvezaussi demander des renseignements aux commerçants eux-mêmes, qui mêmes’ils ne disposent pas des produits que vous cherchez, se feront undevoir de vous renseigner.

Dans les villes moyennes, les meilleurs commerces sont générale-ment situés dans des “shopping—centers”, hors du centre—ville qui estsouvent décevant, Certains de ces “shopping—centers” sont au moinséquivalents à ce qu’il y e de mieux en Francs, et ils sont ouverts ennocturne, ce qui est bien utile, si l’on voyage pour affaires. Il nefaudra tout de même pas s’attendre à des miracles, pour les produitsqui nous intéressent, l’essentiel de la distribution est assuré pardes magasins de style grande surface présentant des produits de milieude gamme, souvent japonais.

ce vaste pays, le temps et la distance seront vos ennemis= moins de 2 miles!), ne soyez pas déçus si vous ne pouvezmoi—même, je n’ai pratiquement rien vu de la Hi-Fi “under-

Californie, faute de temps et d’adresses,

Enfin, on ne dédaignera pas les “flea markets” (marchés aux pu-ces), florissants dans certains états, à visiter pour le coup d’oeilaussi bien que l’achat,

LE DISQUE COMPACT:

Ce marché, qui e souffert à ses débuts du complexe MIII (“NetInvented Here”), est à présent en pleine expansion, mais encore loinderrière la cassette, qui reste le premier support d’enregistrement.

Les lecteurs de salon de grande marque se trouvent à partir de150 dollars (975F); pour un bon modèle, 400 dollars suffisent (2600F),et à 1000 dollars, on est dans le domaine professionnel (appareil criplusieurs coffrets...). Pour un lecteur C.D portable de grandemarque, compter 200 è 300 dellars (1300 è 2000F). selon 1e~’possibilitéa et. l’éventuelle présence de la F.M.

Les disques compacts se trouvent rarement riens les grandes surfsces, amie plutôt dan;; les magasina spécialisés; l’approvisionnementétait bon en Californie, avec toute la production internationale e’

Dans(tout prèstout voir;grounid” en

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IMPRESSIONS DE VOYAGE AUX U. S. A. —-- -- - -

Le pr~eent article donne quelques impressions sur le marché amé-ricain de 1m III-FI, de l’audio-vidéo, de l’électronique, recueillieslors d’un voyage d’affaires qui nous a conduit en Californie et auTexas, cri septembre 1986.

Sans nous attarder sur les différences de politique fiscale, com-merciale, monétaire, qui peuvent expliquer certains écarts de prix,nous tenterons de vous informer et de vous aider à bien utiliser vosdevises, si vous envisages un voyage aux U.S,A. Il est conseillé departir léger, afin d’éviter les excédents de bagages au retour.

CONSIDERATIONSF’RATIQTJES:

Avant d’envisager un achat sur place, veuillez prêter attentionaux considérations suivantes

-le secteur US. est en 11OV/60Hz, contre 220V/5OHz en Francs;les appareils sont souvent démunis du 220V, et le 50 Ha posera unproblème pour les horloges et les moteurs synchrones incorporés danslee appareils.

-les prises d’entrée et de sortie secteur sont différentes dusystème français, la mécanique et la visserie sont aux normes U.S. etnon métriques,

-la télévision est en système NTSC 525 lignes- 30 images/seconde,rien à voir avec le système européen CCIR 625 lignes— 25 images/secon-de, q’j’il soit PAL ou SECAM.

—en F.M. ,la désaccentuation est de 75~ts, contre 50~.us en France,d’où un affaiblissement de 3 dB au delà de 10 kHz,

—le réseau téléphonique est presque entièrement en fréquences vo-cales (“tons’ ), ce qui permet de transmettre directement des donnéesnumériques avec les touches; en France, il existe encore de nombreuxcentraux n’acceptant que les impulsions (“pulse’), et non les fréquen-ces vocales.

—les livrets sont rarement en français,-vous êtes sur un autre continent, la garantie sur un produit n’a

pas forcément un caractère international, ou pire, la marque ne serapas représentée en Francs, ou ce modèle ne sera pas importé,

-pour les appareils portables, il faut aussi voir le problème del’adaptateur secteur éventuel, encore qu’un bon bricoleur puisse tou-jours s’en tirer,

-les prix sont généralement annoncés hors taxe de vente, cette“sale-tax” diffère selon les états, mais n’atteint pas les sommets denotre T.V.A.,

-enfin, la parité des cours-billets du dollar et du franc sera àprendre en compte (actuellement, 1 dollar 6,50 francs environ),

—pour le paiement aucun problème grâce à votre indispensablecarte de crédit internationale, et aux “travellers checks”, bienacceptés partout.

QUE PEUT-0W ACHETER7

Il ne faudrait pas que ces mises en garde vous donnent l’impressien que l’on ne peut rien acheter en confiance; un peu de réflexionmontre qu’ il y a une foule 1’ ar’h at.s poso i1-,le~ -

1e~ appareils autonomes ou sans alimentation, les casques, leshaut-parleurs, les micros, les cellules de lecture,

les accessoires, les cables, les produits consommablesles bandes magnétiques, les cassettes, les iliaques noirs

compacts,--1er; produits pour ordinateurs: disquettes, logiciels.

LA CHASSE AUX MAGASINS:

Il reste encore à localiser des magasins intéressants pour lesproduits audio vidéo et électroniques, ce qui n’est pas toujours com-modes sauf dans les très grandes villes comme New York, Les Angelès,Chicago, disposant de véritables quartiers pour ce genre de commerce,Il vous faudra user de tous les moyens pour les découvrir’ pagesjaunes de l’annuaire du téléphone, publicités des revues spécialiséeset du journal du dimanche (plusieurs centaines de pages~). Vous pouvezaussi demander des renseignements aux commerçants eux-mêmes, qui mêmes’ils ne disposent pas des produits que vous cherchez, se feront undevoir de vous renseigner.

Dans les villes moyennes, les meilleurs commerces sont générale-ment situés dans des “shopping—centers”, hors du centre—ville qui estsouvent décevant, Certains de ces “shopping—centers” sont au moinséquivalents à ce qu’il y e de mieux en Francs, et ils sont ouverts ennocturne, ce qui est bien utile, si l’on voyage pour affaires. Il nefaudra tout de même pas s’attendre à des miracles, pour les produitsqui nous intéressent, l’essentiel de la distribution est assuré pardes magasins de style grande surface présentant des produits de milieude gamme, souvent japonais.

ce vaste pays, le temps et la distance seront vos ennemis= moins de 2 miles!), ne soyez pas déçus si vous ne pouvezmoi—même, je n’ai pratiquement rien vu de la Hi-Fi “under-

Californie, faute de temps et d’adresses,

Enfin, on ne dédaignera pas les “flea markets” (marchés aux pu-ces), florissants dans certains états, à visiter pour le coup d’oeilaussi bien que l’achat,

LE DISQUE COMPACT:

Ce marché, qui e souffert à ses débuts du complexe MIII (“NetInvented Here”), est à présent en pleine expansion, mais encore loinderrière la cassette, qui reste le premier support d’enregistrement.

Les lecteurs de salon de grande marque se trouvent à partir de150 dollars (975F); pour un bon modèle, 400 dollars suffisent (2600F),et à 1000 dollars, on est dans le domaine professionnel (appareil criplusieurs coffrets...). Pour un lecteur C.D portable de grandemarque, compter 200 è 300 dellars (1300 è 2000F). selon 1e~’possibilitéa et. l’éventuelle présence de la F.M.

Les disques compacts se trouvent rarement riens les grandes surfsces, amie plutôt dan;; les magasina spécialisés; l’approvisionnementétait bon en Californie, avec toute la production internationale e’

Dans(tout prèstout voir;grounid” en

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11

j’,’’ l-~ui~ 15,51 qui’—’; l’--al -c. hast; 1-i s ,—~1, s, de ,;ass l”s cli FI,’’’, ‘fi peut1’-c-,u,,lui--,h’l’-O —-c ,ia9as jt,c -I’ I --li-s ii,,-’ ‘ru)l-IED- hELORDC

~5 IX 5 - ,-‘ulut-’l,,s,rs,,rst ,1~-’ II Fi di lui lors (‘1? o L3tF) , avec sussew ‘‘,--,—iil se vej s 14 d’-II o s-o (01 F . l’-i -t’ ,Ss s. - les è isquses les plus chers- - - -u I 10; - s sup’ ri s , puis les DRIll 114, suai s les européenis

LA VIDED-

Ers vide,,, I ‘-‘s prix des magnétoscu ,pes de salon s’ èchelonsnserst deliLu) dollars (230oF) peur un modèle déjà convenable, à 750 dollars(49001”) pour uns VIlS l-II FI. lIn gadget étonnant, une télévision de lataille durs paquet de cigarettes, avec écrans à cristaux liquidès noircL tIans’ (la coulessr est. en préparation): 100 dollars (650F).

La trassssçsissi’jrs des programmes de télévision s’effectue par troisprocedés distincts

-par voie hertz iensnse nsormale,-par sable, ~rsuver,t avec péage (mais avec beaucoup de programmes

pour le même prix qu’un seul ers France),par satellite, dans la bande des 10 GUs; les téléviseurs sont

tiers sûr équipés e,ns consséquensce.

La vidéo est hansdicapée par le standard NTSC, assez médiocre,surnommé par dérisions: ‘ilever Twice tise Sasse Color’.

DIVERS:

Encore quelques découvertes en produits de bonne technologie:-un petit multimètre numérique à gammes automatiques, au format

calculette, de fabrication très soignée en composants à montage desurface, parfait pour aller sur le terrain: 30 dollars (200F),

unie montre avec de nombreuses fonctions, permettant de mémoriseret d’afficher 50 noms et numéros de téléphone, ou d’autres informa-tiens: 40 dollars (260F); pour un peu plus cher, on avait la tempéra-ture extérieure (‘C et ‘F), à quand l’altitude?

un téléphone sans fil sophistiqué de grande marque: sécurité parc’:,de, diversité de fréquence de transmissions automatique sur 10 canauxpour éviter les interférences- 180 dollars (1200F).

Les srsagasinss de la chaine TAUDY-RADIO SFIAK se trouvent au con-fluenst de la Hi Fi, de l’audio, de l’électronique, de l’informatique;une visite s’ impose, vous ressortirez rarement les mains vides, Anoter aussi de bons magasins pour l’électronique et le modélisme(superl»-i), car il s’agit ‘l’activités florissarstes aux U.S.

J,a visite des nsugasirss de gadgets est un délassement, même sil-s m.s. cious,1 lac su’ est, pas toujours du mci 1 leur goût, - comment se décidesenti e 551 vrai faux m’,uv’-’rnenst perpétuel - une horloge à pommes de terre,un C-I. i --ku-r ‘‘sssi que, les taris -,st.s saut euro ou ors ‘1 insosaure gonsflable’?

Au fut sise-: vous -pie 1’—’ moI. g’-ilgel vis-est du nons du franç-ai-OAGEÎ, ,—;c,li-t’-usl f

1’-’ la ut ~f uF l~- la lit,’rté le Dartholdi’?

En Europe, le Comité Consultatif International de Radiodif-

fusion (GCIR), a choisi une formule cartésienne ( ~ig.2 ) * une droite

descendante à & dB par octave, avec toutefois un “arrondi” vres les ai—

g-iles.( “coude”à 2275 Hz pour 19 cm/8 et à 4550 IIz pour 38 cm ).

Aux Etats—Unis, — et plus tard bien, entendu au Jàpon—, la

National Lssooiation 0f B~oadcasters (NàB), a de son côté choisi de pré-

voir un second “arrondi”, ici dans les graves. ( “ooudes”à 50 Hz, et

3180 Hz pour les aigiles ). Et celà quelle que soit la vitesse ( 19 ou 38cm)

T a—t—il alors interchangeabilité des bandes enregistrées ?

U DES AlGUES GRATUITES

Tant qu~ofl enregistre et lit des bandes dans le même sian—

dard, tout va bien . Encore que 1’ “arrondi” NAH’ de la courbe dans les

graves oblige à pré—accentuer celles—ci è l~enregistresent, ce qui dans

l’abso1~ est criticable.

Mais si l’on “croise” les standards 7 Alors 1 tableau chan-

ge s la lecture des valeurs de niveau do sortie comparées sur les figures

2 et 3 montre en effet que, entre 1000 et 10000 Hz, la oourbe NAB abaisse

le niveau do II dB, contre 7 dB- pour la courbe CCIR.

Alors ‘~ Bi on lit une bande NAB suivant CCIR, on a plus

d’algUes s la bande est plus brillante. Par contre, si on lit une bande

COIR suivant NAB-, on perd des aig~es s le Bon est plus sourd I

La vérification est immédiate sur un REVOXÂ 77~ qui~ bien

qu’enregistrant en NAB~possède les deux courbes de lecture par le simple

jeu d’un inverseur.

U CONCLUSION s UN ETIQUETAGE INDISPENSABLE

D’où résulte la nécessité de savoir, devant une bande ma-

gnétique enregistrée d’origine inconnue, suivant quel standard elle doit

être lue. C’est une indication è porter impérativement sur les bottes et

bobines, sinon, on peut se trouver en présenos de deux documents sono-

res è monter ensemble, de même vitesse, mais de standards différents et

non précisés.,, Cruelle énigme I

J~P~BREVAII.O Maurice FAVRE

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1 ()

* tES tOIS DE I’INTERCHANGEABft!JE

Il faut que toute bande enregistrée puisse ~tre relue sur

tout matériel • cette condition évidente d’exploitation s entraîné la

normalisation rigoureuse d’une des deux courbes, et ~ la courbe de

lecture qui s été définie

Il ne peut en effet y avoir de courbes d’enregistrement

normalisées, car elles dépendent trop du type et de la nature du maté—

riau magnétique, les réglages de prémagnétisation et m~medes t~tes d’en-

registrement. On peut seulement dire qu’une oourbe d’enregistrement com—

porte toujours une remontée importante dans la partie sigtle du spectre

sonore, pour compenser là perte à la lecture illustrée sur la figure I

partie 2 ). C’est la préaccentuation des aigøes à l’enregistrement.

tES DEUX COTES DE L’ATLANTIQUE

La normalisation des courbes de lecture seules étant admi-’

se, l’Europe et l’Amérique n’ont pu~ il y s quelques décennies, s’en’ten—

dre sur des valeurs communes.

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I. INTRODUCTION:

Les techniques d’enregistrement et de reproduction sonore fontintervenir, dans l’ordre:

1)—Un phénomène de transduction, réalisé par le microphone,permettanit de passer d’une variation de la pression de l’airsous l’effet des ondes sonores, à sa ‘traduction” sous laforme d’une variation de courant électrique.

2)--Le traitement et l’amplification de ce courant.

3)-Un phénomène de transduction en sens inverse du premier, réalisé par l’enceinte acoustique ou le casque, transformant lesvariations amplifiées du courant en variations de pression del’air.

la phase 2) intermédiaire peut comprendre elle-même des phases de:—transduction (dans les deux sens), cx: gravure et lecture d’un

disque noir,-modulation/démodulation, ex’ émissions radiophoniques,-codage/décodage, ex: disque compact.

Dans cette série d’articles, nous ne nous intéresserons qu’è lapartie purement électronique de cette chaine et, pour bien corsprendre son fonctionnement, nous ferons un retour sur la physiquedu solide. Mais, tout d’abord, un rappel sur l’amplification et, uneincidente sur les lampes amplificatrices.

II LA LAMPE AMPLIFICATRICE.

Il vous arrive souvent de manoeuvrer un intêrrupteur, d’ouvrir oude fermer un robinet, d’enfoncer un accélérateur. Dans toue lescas, en exerçant un effort d’ampleur limitée, vous maitrisez àvotre guise le fonctionnement d’appareillages divers mett,antéventuellement en jeu des puissances importantes (votre robinetpeut commander une turbine, votre accélérateur vous permet derégler à votre guise la puissance de votre moteur.

Il y e manifestement amplification entre l’énergie mise en jeupar vous et le résultat obtenu!

Une des explications les plus claires que j’ai lues sur le phéno-mène de l’amplification est celle donnée dans l’ouvrage de E. LEIPP,“Acoustique et musique”, dont je ne saurais trop recommander lalecture Je reprendrai ci-après l’exemple qu’il retient:

Soit un réservoir plein d’eau, une canelisat,ioni comportant unegrille, et une turbine entraînée par la pression de l’eau Si l’ondispose soirs cette grille une glissière comportant des trousidentiques à ceux de la grille, il est possible de contrôler le

QLJE!,QUES ELEMENTS DE PHYSIQUE DU SOLIDEPOUR BIEN COMPRENDRE L’ ELECTRONIODE

II III

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CC~R

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20 50 100 500 11< 5K 10M 20K

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Réservoir -

~ Glissière-

L’ENREGISTREMENT MAGNETIQEJEET LEÇ

NORMES CCIR CONTRENAB

flux d’eau, donc la puissance de la turbine, avec de très faibles Chacun a pu voir, quelquefois avec une certaine perplexité, sur leefforts, en translatant simplement cette glissiere- légendaire REVOXA 77 , un inverseur permettant de choisir, en lecture, la

position soit CCIR soit NAB . Cette altern~’t ive est générale en matièred’enregistrement magnétique. Sur quels principes repose—t—el le ?

U DES COURBESCOMPLEMENTAIRESOn sait que l’enregistrement magnétique repose sur la

magnétisation d’une oouohe ferromagnétique déposée sur une bande.

Cette bande défile devant l’entrefer d’une tête d’enregistre-

ment, alimentée par le signal électrique musical, où elle se trouve

magnétisée. Pour la lecture, le processus inverse se produit, la bande

magnétique passant devant l’entrefer d’une tête de lecture, où sa ma-

gnétisation induit des signaux électriques qu’on amplifie ensuite pour

~

Or, si l’on alimente la tête d’enregistrement à niveau

constant pour toutes les fréquenoea audibles, la tête de lecture~ ne

restitue qu’un signal de niveau éminemment variable,

La courbe en est donnée en (A) sur la figure I, et fait

apparaitre une forme caractéristique en “dos de chameau”. 1~ne la pre-

mière partie (i), la courbe est ascendante, et le niveau double quand

double la fréquence, ( 6dB’ par octave ). C’est la conséquence du prin-

cipe électromagnétique sur lequel repose la tête de lecture.

Mais la situation se gête dans la partie (2), où les per-

tes dues à diverses causes, ( réduction des longueurs d’onde enregis

trées devant l’entrefer, dénsagnétisation p’rogressive, etc...), font chu-

ter progressivement le niveau.

Le remède ? Une courbe de lecture de forme complémentaire.

C’est la courbe (B) sur la figure I, reflet’inversé de la courbe (k),et

qui permet finalement d’obtenir le résultat idéal “droit” de la courbe G.

Grille.

nTurbine.

La lampe amplificatrice réalise un fonction tout à faitsimilaire: Soit une source d’électrons (l’équivalent de l’eau dansl’exemple ci dessus) obtenue en chauffant un filament F, et unedifférensce de potentiel entre filament et plaque P attirant lesélectrons ainsi émis. (Cette d.d.p. est équivalente à la hauteur àlaquelle se trouve le réservoir dans l’exemple précédent) Si nousplaçons une grille é1ecl~riq’seaent neutre entre cathode F et anodeP, le flux d’électrons entre F et P s’effectue libremenit- ler’uurarst lassE’ e~ in ha’.st —parleur inséré dans le ci rouit bouge:

Ir( J - -

Ci Fi gril le ~-~((ttS un ~,,t,-rnst5pl ,-~gat.if (même faiblement), par

rapport à la cathode, ollr’ repousse les électronis (qui sont égale—ment chargés n,égat.ive,sent.) : le courant passe plus difficilement,voire ne peut plus F~aSser - C’est également ce qui se passe dans

l’exemple précédenut si l’on exerce un léger effort pour trarssl aterla glissière-

fig. 1

o

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p

ASSEMBLEE INERALE t~i17JANVIER1987

RAPPORT Mo~êL

L’exercice 1986 de l’Association commenté ci—après sfé~e~g entreles deux Assemblées Générales successives de fin Déoembr~ 1985 à Janvier1986.

Un premier point à noter est constitué par les changements qui sontintervenus soit au sein dur Bureau, soit du Conseil, certains étant moti-vés par des raisons de santé, d~a~trespar des difficultés de disponibi-lité. L’équipe nouvelle s repris le flambeau avec ardeur, en s’efforçantd’abord d’examiner les moyens d’augmenter le nombre des membres, d’unepart en connaissant mieux les souhaits de ceux—ci, d’autre part en appor=tant à nos amis de province, privés des manifestations parisiennes, denouvelles raisons d’appartenir à 1’ AFDERS. Ce qui a abouti à une consul-tation générale par Questionnaire, actuellement en cours de dépouill~ment,et qui fait apparaitre d’intéressantes suggestions et ce qui s déterminéaussi l’étude et la réalisation d’un, Bulletin, AFDER8—CONPIl~NCES~mainte-nant à son quntrième numéro bimestriel, et dont lecteurs et firmes ont bienvoulu reconnaltre l’intérêt. Que tous en soient remeroiés.

Par ailleurs, la gestion administrative de 1’APDERS a été transforméepar passage en Informatique des fichiers, avec imprimante sortant directe-ment listes, échéances , étiquettes pour courrier et envoi bulletins, etc..

Les séances AFOERSont observé leur rythme habituel, avec 23 manifes-tations dans l’année, Le stand de ~ Association su Festival Internationaldu Son a été très fréquenté, avec le Concours“ Le B~’uitMystérieux “,quis permis de collecter plus de 180 réponses.

Parmi les orientations nouvelles, un déveisppemen’t en direction del’audiovisuel e~t en vue, d’une part aveo les groupements et clubs de pho-tographie, pour le Son dans les diaporamas, d’autre part, prudemment, avecla Video .. J!ais bien entendu, sans perdre de vue que c’est le Bon, enre-gistré ou reproduit, qui constitue l’objet unique de l’APB~RS.

- Il est d’autre part suggéré que la culture musicale, par l’intermé-diaire de la disoophilie,, soit également remise à l’honneur à 1’ AFDEBS.Ce serait la renaissasce du Cercle ui’Etttdee Musicales de Paris, patronnéautrefois par 1’ Association, et que le départ de l’éminent musicologuequi l’animait avait fait disparaltre. Il semble intéressant d’étudier sarenaissance.

Le Conseil de 1’ association doit ~tz’e statutairement renouvelé pourun tiers I d’autres membres ne peuvent coa’tinuer à en faire partie pourraisons personnelles.

C’est pourquoi un appel amical et pressant est fait maintenant, enterminant, pour que se manifestent, lors de P AssembléeŒénérale, rie nom—breiix candidats c’est, en quelque sorte, le sang nouveau indispensableà la vie de notre chère AFDERS

On volt donc qu’une faible variation du potentiel de la grille(commandée, par exemple, par un microphone ou toute autre source devariation de courant), se traduira par une grande variation ducourant traversant la triode et une variation corrélativeimportante de la tension U=RJ aux bornes de la résistance R

On pourra mesurer le degré d’amplification apporté par cedispositif par le rapport entre la tension U et la tension egénérée par le microphone, ou encore en décibels selon la relationexplicitée par J.P, BREVANdans le N’3 de AFDF,RS CONFIDENCES

Le phénomène de l’amplification consiste donc è moduler le débitd’une source potentielle d’énergie (dans notre domaine d’activité,le secteur, les piles ou les accus), par un dIspa~ltjf de commandene nécessitant qu’une faible puissance.

Vous me direz: tout ceci est bien trivial, Peut-être Iin’empêche que j’ai entendu un jour (haut et. fort) dans un transporten commun: “c’est idiot de prendre un ampli puissant parce que l’onécoute généralement à faible puissance, et toute l’énergie qui neva pas dans le haut-parleur est dépensée dans le potentiomètre” En,réalité, si, pour des raisons de limitation de la djstorejon, onn’introduisait pas un courant de repos dans les amplificateurs, cesderniers ne consommeraient (quasiment) aucune énergie en l’absencede signal.

Autre conséquence immédiate de la définition précédente:l’importance de la qualité de l’alimentation: il ne s’agit pasqu’elle s’écroule dès que vous lui demandez de fournir de lapuissance, à l’image d’une voiture Poussive qui s’étouffe à lamoindre sollicitation de l’accélérateur, ou d’un réseau dedistribution d’eau dont la pression s’écroule dès que vous ouvrezle robinet: dans ce ces, la proportionnalité recherchée entre lavariation du dispositif de commande et la variation de puissancefinale n’est plus atteinte et le résultat n’est pas glorieux,

Nous venons de voir le fonctionnement de la lampe triode (lefonctionnement de l~ diode est encore plus simple: enlevons lagrille: si P est placé è un potentiel positif per rapport à F, lecourent passe; si P est è un potentiel négatif, les électrons sontrepoussés par l’anode, le courant ne passe plus),

Comment obtenir ces fonctions sans utiliser ces composantsencombrants et coOteux que sont les tubes, et en uti1isentuniquement des composants è l’état solide? Chacun sait que certainscorps conduisent l’électricité: on dit que ces corps sc,ntconducteurs D’autres ne conduisent pas l’électricité: ils sontdits isolants, Pour assurer les fonctions décrites précédemment, cequ’il noue faut, ce sont des corps intermédiaires qui peuvent seconduire, è la demande, tantôt comme des conducteurs, tantôt commedes j.solant~, Le comportement des “semi—conducteurs” sera abordé‘i~is la oini~ ‘‘ l’—et .or~i,-]s aprés qui,-, détour sic ~ i’ijl’ o’,,’ lastructure de la matière,

POUR LE CONSEIL

A suivreJ. M. GRANDF,MANGE.

LE PRÉSIDENT MAURICE FAVRE

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18 <C.D.... c~EWJ[E!>

IJEE’ENSES

7

Che-us Amis, Bon jouit

Je tiens tout d’aboaid è aieme-’Lc-ieai ceux qu.t ont pîtLs ta pe-sne de aiépondaie e-t d’appoe-teaitewis idées à La consultation suis. l’ouvejt.twne d’une compaetothèque. Toate~o.is, douzeképonses seulement... C’es.t peu e-t cee-L m’aWristeaia.it s-i je ne aies-tais pejusu.adé quebeaucoup d’au-taie-s paainu vous on-t di~éaié t’envo-i de Lee-ît~ia.kgumen.ts que j’auis.a.L plaisiis.à aiecevoi.s p’tochainemen-t.

Pou-i ce butte-tin n’ 4, ou-taie Le C.V. annoncé (Vatse- de Chopin paît PIRES) un évènementdiscogaiapkique .incon-test,able es-t paire chez CMI, je veux pa.Js.tejn de-s mêmes oeuvaies paîtV-mu LIPATTI. En possession de-s deux d~isques,je n’ai pu m’empéche.aid’en l-tablé-itt le.pcvtatf.ète. Donc, une ce-i-tique “jume-fle” vous es patoposée.

Un au-tic d.isque e. aie-tenu la mention “excellent” s Oeuvaies pou-ai Clavee-in de F-ische-ai(NULias CIvristie(.

isa vous Cnv~teà en-taie-ai dans te v.i6 du sujet.

A-PIANO Frédéric CHOPIN (1810-1849)

- Dinu LIPATTI * Réf. EMI CDC 7473902

P.AD - Enr, juin 1950Durée s 45’49

- Maria Joâo PIRES Réf, EISATO EcD 88067DDD - Enr, Février 1984Durée 49’13

* LES VALSES

Autistique s Ces deux C.V. de vaLses on-t pLu-s.ieuir-s point-s communS- te. top niveau en (ait-Claie d’-in-teaipaié-ta-tion,- l’oaidaie d’exécution,- t’espurt avec Lequel elles sont jouées.

Ces page-s ~igu-îten~tpaauni ceLte-s qui sont tes ptu-s aiabêchées au même titane que lesQua-taie Saisons de V-ivald,i ou t’Adag-io d’Atb-cTnon-i.

Le-s Valses sont issues de dansescampagna.’tdesappelles Ltndte-’t e-t basées suis. te.‘tgthrne (.2.3. Elfes 6wien-t asap~Cde,mentt en vogue aupaiè.s de La haute bouitgeo-Cs.Ce e--t sepeur6ec-t-ionnèaien.t pas ta suite. CHOPIN entendIt tes paies-Claies à Vienne enIS3O. C’e-s.tlu-i quC nLu-sst à en 6a-C.’ie de-s che6s-d’oeuvaie de d-istine-tion e~tde i-inemen~telles son-t chacune comme une peu-te dans un écu—in de velowrs.

Les Va-t-ses -Sont anndépendan-tes et peuvent exécutées soit dans un oandute nu.mée-Lque(cas te pfus ~Çuéquen-t),soit dan-s un oaidaie churonotog-ique. V-mu Lipa-tti e. chois-L uno-id-te tout à ~ait peansonnel dit “esthétique” e-t qui aiompt avec no-s habitudes.

Pitres a atepaUs ce déaioulemen.t qui, je do-is l’avoue-i, me pta.it à ~‘tav-iai.

Nomb,ie de mus UCens “piano.ten.t” soit de san-Claie mécanique (on aie-s-te de gee.ce(soit de man.iè’se éLéphantesque, ou paclnideaimique, coasse vous voulez. Ca.i -LE ne ~autpas pc-id-se de vue qu’if s’agit de vaLses e-t non d’un ca.ainavat d’animaux, de p-ièce.sde buias.’ou.se ou... de pièces tniLi-tases. Danses d’une ~actuJie délice-te, elles doiventétne jouées comme telle.

Prime d’assurance R.C.Taxe frais de tenue de compte CCP

Le stock de cartes de membre et devignettes étant arrivé à épuisement, nous avons dûle renouveler. Cette dépense devrait nousapprovisionner pour 3 ans en cartes et 5 ans eny ignet tee.

Le vol d’un magnétoscope en dépôt surnotre stand au festival du son, nous a coûté2000,00 F, montant de la franchise d’assurance.

Les rémultats financiers du 1er janvier au31 décembre 1986 (année civile complète ) vousSeront communiqués lors de l’assemblée générale du17/01/1988.

Location Balle pour séancesDom ici li at ionTaxe d’abonnement téléphone

12390,002293,40

188,43

Abonnements aux revues 11215,00

Fra is de réalisat ion du bullet inet frais d’expédition 8965,74

A Eien.tât,

G. MARGUERON

Achat matériel d’équipementAchat matériel pour rétrocessionFrais de déplacement musiciensFrais festival du sonRemboursement constructeur duvol au festival du son

AchatFraisFraisFrais

cartes vignettes et logosde fournitures de bureaude bureau C Timbresde gestion

1581,8012034,394708,504284,32

7100,00

3400,003939,75898,40

1060,00

718,005,00

74778,53

SOLDE EN CAISSE AU 25/11/1888 = 38883,74

- 111442,27

Claude OLLIVIER

* Ce C. V. compoui-te égaLement La Ba’ica.-’iote, op. 60 - Noctuitne, op. 27 n~2 -

Mazuirbe., op. 50 n’ 3 - ce qui poante ta duusée oLa-te du C.V. à 64’31.

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RECETTES

Cotimatione 28200,00

Abonnementm revues 10510,00

Donslntérets caisse d’épargne

Rétrocesmion de matérielParticipation membres aux fraim dedéplacement musiciene

Remboursement assurance,vol femtival du mon

Commentaires mur Ie~ résultats de l’exercice 1888.

La réorganisation du con~e1l d’adminis-tration, la recherche de nouvelles activitè~, ou denouveaux supports pour communiquer, nous s amenés kcertaines dépenses qui devraient porter leursfruits dans les années à venir~

Le nouveau bu! latin plus copieux en pages,et édité régulierement, s trouvé le Soutien degénéreux donateurs parmi les prof’èmmionneln duson -

Les avantages du changement de siègesocial sont triples.’

Une économie prévue d’environ 3500,00 F par an;—Des délais de transmission de courrier plusréduits;—Un’ contact avec nos membres amélioré grkce à unepermanence téléphonique, avec répondeur,

Quand on écowtp L.rpa.tt~ ou P.L’re-~ on ne peut natte-t inaen.nibfe au cha~niequ’.LtndépfoÀieivt e-t à l’e.nvoCnteinepntqu’iln êvoquen.t ; on e e.nvLe de uaf,Seit I

VéJà te’tpn~téeade nnanil’te etempfui.te avec Lpat~t~,e-ften 8oftt Uttéciemen.tan4cendéea arec P-une-i gniice à ~on .touche-t à fa Ço~.sendiab(é et nseôacutesx de

~ne,s~e, de douceu.’n, de cla,’nté ma-a awitt de ketenue,Ev.Ldemmen.t,fa fechutque4onoke péna.fL,~enenn~btemeutL.ipcttt.~,mct~ on ~e ‘tend

pa)n~a,.i,teme-n.tcompte de ce qu’il noun donne peut un e~o/rtde nnpo~,.cttonen~afaan.t 568faacLn~.ondat b’uiLt.,,s d.Lvat~se-t de ce-i,ta.inen cofo’ta.t.~on.ne,t dia on-i’ton.n

ca.n. n’oubuona pat que ce 4on~t34 année-i que 8épa/ten.tce-s deux enitegtt.t,xemen.tiJe k000e néanmo-in,s6ofl in,tenpPtttrtt,ion conrine un f~.énnoignageea~icn-t~tef e-t d’awtan.tptwi émouvautque “~at” VaLie-6 ~uJten.tekegJ,i~Sfaée,6quelque-4 mo~6avanet8a eo’rt6u/tvenueè f’fge de 33 aui.

Pi,’te-i a.t~te.nin.tde-i c-Lise-i datqueLfe,i beaucoupd’au.txe p.LanLite-s kette-’tou-této~Lgné~ià jamafa. Sa ~inat.ée, 8e gnlce, ‘ia ma-~-tJtfaepait~ai_tede tin-ifawnent(e-fIe ~a~tt co’tp8 avec tuf)

1Çon.t, 45u6 sut doute, de ce-t-te .iin-tekpké-ttt-Lonune

kê~ékence qwL ~e-’tadette dan-e, t’hLe,.tofaedu C,V.

P~L’tat ou LipoJti, Lepa,ttri ou Pi_xe8, je np1~L~eJta,f en dttan.t P~cke~$ET L.Lpattiice-k je pan-6e que t’un ne va pat 8ana f’awtte e-f qu’il ett .‘Lnconcevabtedecossa-Z-finet’un ma,f~ipat t’au.t’te c’e.tt ce que Von appelle, je c-no-Li, de-iREFEgE$R,’E5 ABSOLUES.

8Iofa n RCA ke8onJ (au pn.,Lx impontnt,fon I) te4 Val_cat pain Rubiaite-~nma-ci je te-i,~Z”~nn.Lie8votontat~’te,nen~tdan,i ce-t-te con~’ton-ta,t)ionpout ta ‘wLion que je f e-6 t.kouvetkop “bnllta,vtat” (excusez-moi potvn te jeu de mofal e-t même ,ii e.t-fe4 4e ii_tuent àun .t,t(’,i, (neuf niveau elle-i kee,.tentpowrtan.t en de~èd~celte-e évoquée-i c,—de-e-iu4,

TechniqueeT !i,~,a,W n mctfg’té un t’tè8 tégekb’ueal de Mut6ace (18 t) e-t quelque-6 4aiu~iat.Lon4

-ci o/n6ion (pat de. bande pou,”L ce-t en,keg.Lif’temen.t —te magnétophoneex.Lt.tttLtdéjà potvniai’et- ca’n, à ce-t-te époque (1950) on pfté~Çén.a.ctencone eo’reg.Latne-ten g’tavulned-L’ncc,te I),

((ah, c,toçjee-mo.~,c’e-,it pi_u-e, qu’”écou,tebte” e-t au bout de quelque-i ridnu~tenon~e ta,Lini~aile-t è ta nnuilque e-t foui te ‘teste ,s’e~ace,Vonc, du t)nè beau -t’tavail de!JuZSÀc/v_fpfaonSWt C.V.. Bn.avo à EMI I A quand te-i oeuv’te-e, de Bach ou de Moza.t.t 7

b) Piaat n Pat ginand cho8e à dune. Eh ouf, que cWte de ta pe-’t~ec~t.fonCe-tic pin-Lie~ï”~’~n /téa.Ue,éepak Votan,ta Skuinjz à ta Salle Açjd,faind à PrVri.-i -sa.(te qu’a

1~ec-

.tfonnaji Andité CbainLLn- ,Su/tc,tat8efaut ce que j’ai pu ee-te,nd-’te jntnque i_à, Ce-i-t d’unevéaiié e~td’une pnéche-Lonhnliucainan~tes.Vouin ê.te.é au 5ème ou 6ème itang d’oinchefjte,te p.i.ano es-t pa&~ahtemen,t“6oca.Uié” e-t fout y cil cia-un ; te-i a-t-taque-i 4es-t..,noua al_tons pa4 eut en ‘tevue foui te-s 8upcin.faLf~4peut tien d-Lie.

Ma conctu.ilon e_if que c’es.t t’un,Lque C.V. de piano que je pwLi4e ab4otunnen.tk~acom-mandéjt,unC,V. “étaion”, l’orsi mat compilmcn.ta, Madame Slawta ‘ Vi_te, un au-t-te,, -

P.S. J’at-tah oubi~eitde roui di_”te que ta pnhe de 4on e fIé ~aLte arec dat euc’to~B’ulel e-t KjJe”t (Omn.f) don-t ta bande paasa,ttea-t-te-tint 40 Kh’z avec une ‘téposer enpha,ie qua~iiidéale, Cec_t expfaquecela. - -

t4E3L,.~ NJ3II~I~L~

~ F~I NAN~ I ~Exercice du 01/01/1988 au 25/11/1986

8575,00

2074,18

11898,84

82l~5,0O

5100,00

70571,02

SOLDE EN CAISSE AU 31/12/1985 40871,25

11 1442,27

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20 5

B - CLAVECIN : FISCHER (1670 ? — 1746)

William CHRISTIE Réf. HMC 90 1026AAD. Date s Mars 1979Durée : 46’30

* LE PARNASSE MUSICAL

s En t~aautta no.t-Cce donnée avec te C.V., on peut é-tic e6~aAépa~kLeman~&~tofat,ou pîte~sque,de ce-’t-ti_tude à p’topoà de t’hommee~tde àon oe.uvke s àe.powvtaLt que..., c’e-s.t p t-é-t-se... Tou.te~o.Ls, on ‘,saLt que F-Lsche~îtllaLt ma.-t-t’te de.chapelle à Le. Cou-i de Rade. de (695 à (138, e-t que le “Pcvt,sa,~i.6eMu-sj.icaL” dtrte de (138.

F,Lsche.ît avttC,t composéI àu-Lte à 5paiutCe-s, de-s oeuvlteà accuses, deux ‘te.cue-Ll~d’oîtgue, un opésa lla.tsien 11120)dou-t on e. peitdu complé-tensen-t la ;t~/tace, de-s “p-Cècespou-i ctavec.n” san 1696, c-te..

V’apaès E. L.Geibe’t “-U5

ÇcUsa~ctpaît-t-Ce de~sptus ~‘tands ma~Ltîte.sdu c-tcw-Lvt deté poque et U eu-t Le eéîtLte d’avo.Ot ~aLt conne-tt’te e-t etépandite en Attemagne te-ssan-Claies (oainemen.ts) a-Ce-s-L que ta bonne exécu.t-Lonsuai ce-t -Ln41/usnlent”.

Qu’ Lmpoaite, ces taté-s be-Ue-s pUces pou-i c.tavecCn5on~t‘ie.maitquablemen-tLn-teitpîté-téespaît W~t-é-CamCh’oiStiie quC joue fou-t en ~ÇLnesseavec un en.tlusAin de bon aLoi. Un beauC.V. qui aio’ct de-s sen~tCeesbattus.

TechnIque En~.Cnun ctavec-Cn où le. té-te. ne ptonge pas dedans, On le. sait p/tésen.te-t 6%en devasit soi. Toute-i le-s a-t-taques son-t paat6aLtemerit ate-s-tLtuées. TaLs gaiandedét-Cca.tesse de t’aab.Le.nce. On sa~C-t que. Le-s co’tde-i son-t mé-taUiques sans é-taie. aie-s-sen-t-Le-s.Cette puLse de son e-s-t d’une -t-il-s gauinde cLasse (iean-Faie.nço-C.s Pon-taie~auxc-t).

Qu~a d~Ct que t’ anaf.og~Lqueétait mauvais T

lui—même Jusqu’à des fréquences de 1 ordre de 2 kHz - La nature du soln’ est donc pas rségligeahle, et la présence l’une moquette ne peutqu’ aruéliurer 3es choses dans ce domaine.

Gi l’on s la curiosite de regarder à travers lâ toile inamoviblequi entoure complètement. l’enceinte, ors peut découvrir sjanss lefaisceau d’une lampe de poche hiers dirigée, deux haut-parleursd’origine AUDAX. Certeirss constructeurs prétersderst - retoucher leshaut—parleurs saris que l’on puisse vraiment vérifier la véracité deleurs affirmations; ici, il n’y a aucun doute: les traitements’ subispar les membranes, aussi bien du tweeter que du large bande,justifieraierst à eux seuls une inscription dans les dossiers d’AmnestyInternational - Les pointes qui hérissent le centre de chaquetransducteur semblent satisfaire aux obligations du culte Vaudou. Toutceci n’existe que pour répondre à des considérations électro-magnétiques et mécaniques sur lesquelles M. NOEL semble peu disposé às’étendre, mais qui font l’objet d’investigations systématiques. Ceciexplique entre autre que les cables de limison soient solidaires del’enceinte, et cela m’amène à parler des qualités de ce modèle:

-L’absence de filtre (un simple condensateur) permet à cestransducteurs une restitution liée aux qualités de l’amplificateur- Lehaut—parleur large bande est en “prise directe’ avec les circuitsd’amplification et les Zener sont très fiables dans les comparaisonsd’amplificateurs.

—L’absence de ‘boite’ explique sans doute une grande transparerscedu son. Pas de paroi, donc pas de vibrations intempestives, ni deréflexions internes qui moduleraient l’émission de la. membrane.L’écoute de ces enceintes m’a laissé plus d’une fois perplexe.

Le caractère tronqué de la courbe de réponse peut être aisémentcorrigé avec des correcteurs de tonalité classiques. Il faut prendresoirs de ne pas exagérer dans les graves pour ne pas mettre à mal le7 cm! Dans tous les cas, le sors semble très équilibré; je dirais mêmeque moins on corrige, plus les enceintes se font oublier. L’absence deniveau aux extrémités liée aux caractéristiques de directivitésuggèrent un espace sonore très ouvert. Plus la salle d’écoute estpetite,- plus l’image sonore virtuelle semble occuper un espaceimportant, bien au delà des limites physiques des murs. Malgré cela,la localisation reste précise, sans doute grace à la source unique, etla définition ne peut être critiquée: tout est là. Cela n’a riens àvoir avec l’écoute d’enceintes BOSE (que je supporte difficilement),si vous étiez tentés d’y trouver une analogie,

La deuxième explication que l’on peut avancer dans le caractèrersaturel de cette restitution, réside dans l’atterstion que 14. NOEI.porte à la réponse impulsionnielle et aux temps de propagation. LesZenors seraient très performantes dans ce domaine et coaperssersieni-ainsi largemerst leurs possibilités limitées dans le domaines despressions sonores maximum. Tout cela peut paraitre contestable t,certains - Personnel lement., j ai remisé mes enceintes “monitor etmultiplié les essais pour essayer ‘le cc,ml,rendre ce qui me fait.

craquer’. IJn gros’ modèle est à l’étude. équipé durs large ban,.bcFOCAl, de forte puissance, Vivement demain

* PROCHAINEMENT

Didier A..R. SINON.

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y;ACCUS + CHARGEUR POliR MICRO PRIF’~)

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(‘‘ES’l’ 0111 A ZEI-lOil. - -

L’ AFDERG s ouvert ~es ~« ‘rhes récemment è un fabricant d’ enceintes~,‘-,“,‘;~,Jea ‘lont la .lémaroli’-’ n ‘c-si pas saris rappeler cc-l le d ‘un autre

“r s it’-’un (Hol’iph’irie) , lotit les oreilles ‘I,rivent siffler de temps à

c,l.r~’ barri l’n,cceuil q’.ni lii -s éts’ fait peut être qualifié de mitigé,i,~ pas lire glacial pour certains. Monsieur NOEL, responsable de

lU avait entrepris de nous convaincre des qualités de son modéles’ira, r,,’is expliquer son f,-,r,r’tionriement, C’est là prendre des risquesdev~r,i un auditoire composé en grande partie de techniciens,

A son avantage,il avait amené ‘in exemplaire “deshahillé” qui per-~,ott.a1( (le prendre contact avec les enceintes “ZENON” Surprenant: unsimple haut-parleur de 7 cm surmonte une colonne dont l’apparence faitpenser d’abord à une trachée—artère, ou è un tuyau souple d’évacuation.C’est d’ailleurs à ce dernier qu’or, peut assimiler la paroi souple en-tourant une spirale qui charge le haut—parleur, Son rôle est d’évacuerl’onde sonore arrière qui débouche sur un évent à la base de l’encein-te Cet évent permet de récupérer l’énergie rayonnée dans le grave. Al’autre extrémité du spectre, un tweeter additionnel est monté ~ 45~su bord dii H.P principal (ce dernier étant horizontal, rappelons—le),(‘t le relaye à partir de 15 kHz.

Le tout une fois emballé se présente sous la forme d’un obélisque.4 l’extrémité pointue ou plate, selon les versions, L’aspect généralest, t,rès séduisant, et même décoratif, J’y vois deux avantages.

Cela évite les réflexions du type “je ne veux pas de ça dans lesalon!”

Cela permet d’éviten~ les réflexions (les autres, celles quiviennent du mur), en écartant les enceintes de la paroi arrièresans pour autant défigurer votre cadre de vie.

L’ éloignement de la paroi est à choisir soigneusement car, eneffet, ce transducteur est omni—directionnel! C’est là que va commet,-sen la polémique. Parce que ces enceintes ont de gros défauts etd’énormes qualités Commençons par les défmut.s:

1) Le H.P. de 7 cm ne supporte pas des puissances extraordinaires(l’enceinte est donnée polir 60 M, et vendue pour 2000 F). Néanmoins,le niveau général obtenu est amplement suffisant pour que votre voisinmartèle la cloison de ses poings rageurs le week—end où vous avezdécidé d écouter l’intégrale des oeuvres de Wagner,

2) L’équilibre tonal tel qu’on peut le mesurer en chambre semi-réverbérante présente ‘inc prédominance très marquée du secteur 500 Hz.4 2 khz. Dc- chaque côté, on trouve un plateau régulier de 80 à 500 Hz-‘t de 2 4 8 kHz, puis la réponse chute régulièrement.

‘Four le secteur grave le résultat obtenu dépendra essentiellementde’ la 1cc-si isat,iuri de 1’ er,,’pinte dans la pièce. Le niveau relativementfaible (le l’extrême gravl~ incite à placet cc-r; enceintes à proximité

un, angle. 30 .4 90 cm lu mur arrière sont des. valeurs de base ~ç’arhir desquelles or, pc-ut (asayer quelques variantea, Rien entendu.

~o er,ceentes doivent impérat ivemerit être posées SI, sol.

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2LA TRIBUNF Du

- EDITORIÊiLPOUR LA RECONQtJ~TEDE FRANCE-4IUS lOUE

L’assetr,bl~ génétala annuelle de l’association, aura lieu lesamcdi 17 janvier 1987. ê 20 heures.

Inutile de rappeler limpurtanice de cette manifestation, qui est1ucua~ion de faire le point chaque année sur l’activité de l’associa—tiuni, et en particulier d’approuver les initiatives prises par leconseil d’administration en votre nom, ainsi que de renouveler lacomposition de ce C.A. et d’orienter l’activité future.

Faire le point, tout d’abord. Dans ce but, le présent numéro deAFDERS CONFIDENCES comporte un bilan d’activité et un rapportfinancier, qui sera en outre examiné avant l’A.G par une commissionde contrôle indêpendante.

Renouveler le C.A. , ensuite. Cette année, cinq mandats sont àrenouveler, deux personnes acceptant de se représenter Ceci signifieque si vous souhaitez que l’activité de votre association soitmaintenue, voire développée, et qu’il puisse être répondu aux souhaitsque vous avez pu manifester dans vos réponses au questionnaire du N~3de AFDERS CONFIDENCES. il faut vous manifester.

Nous faisons donc un appel à toutes les bonnes volontés quisouhaitent apporter leurs idées et leur concours, dans une ambiancesympathique. A titre d’exemple, la mise sur pied de possibilités decomparaison des techniques de prise de son mises en oeuvre lors desséances, est souhaitée par un certain nombre d’adhérents, mais elle abesoin de bonne volonté pour pouvoir être traduite dans les faits.

Venez donc nous rejoindre si vous le pouvez Sinon, venez tout demême à l’assemblée générale pour nous remotiver, que nous repartionstous gonflés à bloc pour un nouvel exercice.

Dans cette attente, passez tous de bonnes fêtes de fin d’année!

J. M GRANDEMANGE.

P. 5. : Tous les questionnaires joints au bulletin N~3revenus. N’hésitez pas, si ce n’est déjà fait,vOtre. Sur la base d’un premier dépouillement,affiner notre réflexion et éventuellement vousnouveau pour aller plus loin, rubrique par rubrique.

En outre n’ hds if es pas à donn~’r votre nom pour qu’ il puissefigurer sur 1’ onnuaire, qui ne sera transmis qu’ aux personnes quiy f iguret-cil

Lm situation peut s’exprimer bien simplement depuis cinq ans,en compagnie de centaines de milliers d’autres Parisiens, je ne peuxplus écouter France-.Musique. La monstrueuse chienlit hertzienne dé—chainée en 1981 , avec des émetteurs, autorisée ou non, dont les an-tennes mont installées en plein tissu urbain, ont ruiné, pour une du-rée indéterminée, tout espoir d’entendre France—Mumique, et France--Cul-ture en stéréo dans mon entourage, découragé, ce n’est même plus unsujet de conversation,

On n’en mesure que mieux l’attitude ubuesque d’un pouvoir qui, enmême temps qu’il entretient un réseau national de la plus haute quali-té, en interdit l’écoute en laissant proliférer, — quand il ne les en-courage pas —, une profusion d’émetteurs privés, dont pour la plupartla médiocrité des programmes déoourage d’ailleurs l’aualyse.

I.i est à noter que ce sont les jeunes — auditoire revendiqué deplus par ces radios ~r qui subissent de plein fouet cette médiocrité,s’arr~tsnt sur le cadran de leur récepteur aux programmes qu’ils en-tendent le mieux • Il en résulte l’accablante conséquence que tous lesmoins—de—vingt—ans qui m’entourent n’ont jamais entendu France—M etFranco—C , et même pour certaine en ignorent l’existence...

L’ APPERSa lancé en 1984 une action auprès des pouvoirs publicscontre les nuisances des radios “libres”,après une enquête auprès deses membres, mn réalisant notamment un Rapport contenant une série depropositions diffusées auprès des autorités responsables de l’époque~Des poursuites judiolaires ont même abouti dans un cas particulière-ment provocant.

Or, depuis, la situation s est considérablement aggravée. Aupoint que, fait symptomatique, une importante firme d’installation d’an-tennes nous disait que, depuis deux ans, elle préfère refuser toutes lescommandes d’installation d’antennes FM De plus, il semble bien queTélédiffusion de France, ( P8? ), qui assure le gardiennage de la ban-de FM , se voit de plus en plus contrée par le pouvoir lui—même.

Alors ? L’ AFDERS, qui comporte, parmi ses missions, celle de dé-velopper la reproduction sonore, ne doit—elle pas reprendre la lutte ?Pour notre part, nous le croyons. Forte de ses centaines de membres mo-tivés, elle peut, à Paris particulièrement, permettre d’abord de rassem-bler un solide faieoeau de témoignages • Avant tout, bien connaitre l’ennemi fréquence d’émission, localisation précise, dénomination, natio-nalité . Pourra suivre ensuite une action concertéè, en liaison avecd’autres organismes et associations concernées, sous la forme d’un en-semble de propositions, administratives et techniques, élaborées en com-mua, présentées aux pouvoirs public~.

Ainsi, que chacun se considère comme mobilisé pour la bonne cause t

envoyez dès maintenant à l’Association vos témoignages détaillée, sansomettre les indications relatives à votre propre s~tuation t lieu d’é-coute, type d’antenne, type de récepteur par exemple.

A bientêt vos courriers I

ne sont pasà envoyer lenous pourrons

solliciter è

o MAURICE FAvRE

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SectionETUDES TECUNIQUES

Séancesà 14 h 30Président Oldier A. R. SIMON

06 l)écembre

10 Janvier07 Fevrier

CALENDRIER DES SEANCES 1986— 1987

AU FOYERINTERNATIONAL D’ACCUEIL DE PARIS30,rite Cabanis,75014PARIS Salle n’ S

Section ‘ETUDES TEChNIQUES”

SectionPRISEDE SONSéancesà 20 b

!~skknlGilles MARGIJERON

13 Décembre2~I Janvier

SectionAUDIO-VISUEL ET

CREATION SONORE’.Séancesà 20 h

PrésidentJean-MarcGUILION20 l)écembre31 Janvier

Samedi 06 Décembre à 1!th.30 — TEC1INICS —

Conférence Présentation: Amplificateurs de classe A. A— Enceintes à haut parleurs plans coaxiaux.

SameciilO janvIer à 11

4h.~0 - REVOX FRANCE -

Conférence Présentation par Monsieur Nicolas GIDDINGS de la Console(le mélange C 279 et de la nouvelle table de lecture TD 291.Samedi 01 Février à 1

14h.,~0 - AIWA FRANGE -

Conférence Présentation du Magnéto cassette 6~tO MX PRO et du doubleMagnéto cassettes Duplicateur en hit de temps.WIIARFEI)ALE — Conférence Présentation par Monsieur Niell PAUSONSdes enceintes DIAMONI) actiye,5O

14 et OPTION.

Section “PRiSE DE SON” Enregistrement collectif

Samedi1,~ ~éce~bLe_à,_2~hs~. Ensemble de JAZZ - TRIO Serge MEI1LAUD -

Guitare: Serge MERLAUD, Contrebasset DIJYLING NGUYEN, Batterie:Cliristophe MAJ1GUET.

Samedi 21

t Janvier à 20h. Trio de MUSIQUE CLASSIQUE

harpe: Annie GLATTAUER, cor: Marc DELEPLACE, flûte: Cécile P1GIIETT1Oeuvres de BOCCIIERINI, IÇRLJMPIIOLTZ, IBERT, GOTKOWSKY.

Section “AUDIO-ViSUEL ET CREATION SONORE”

Samedi 20 Décembre à 20h. Cours de Son par Maurice FAVRE3ème Séance — La présentation d’images sur écran

— Ilistorique: aspects technique et esthétique— Les formats et leur exploitation: normal, large, multiécran.

Démonstration (le Diaporamas avec la collaboration de la SociétéT.A.V. SIMDA

Cours de Son par Maurice FAVRE

- l4ème Séancelii storique de J tenregistrement magnetique.Les matériels multipistes et leur utilisation.Exercices pratiques: Montage d’une bande magnétique (ciseaux,collants).

Samedi 31 Ja,ivTer à 20h.

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Samedi 17 Janvier 1987 à 20h.

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FIs, B.A.C.336 Ter, rue (le Vaugirard Maurice FAVRE

75015 PARIS

ASSOCIATION FRANÇAISE POUR LE DÉVELOPPEMENTDE l’ENREGISTREMENT & DE LA REPRODUCTION SONORES

SECTION .PRISE DE SON. — SECTiON • ETUDES TECHNIQUES.

SECTION • AUDIO-VISUEL ET CREATION SONORE.

(1)42 592332

Assoc

6, rueMyrha

iation sansbutlucrat

75018 PARIS C C.Pif. Loi de1901 Agrément

Paris 6511 53 F~N°19252

Présidentsd’Honneur GeorgesBATARD et Pierre-Jean RADIGUETPrésident Maurice FAVRE . Secrétaire Général Henry LANDON

Trésorier Claude OLLIVIER

Rédacteur Jean-MarI. GRANDEMANGE

COMMISSION PARITAIRE AS 68404

Le Numéro 10 F.N04 NOUV. SER. NOVEMBRE J. 9 8 6Abonnement annuel: (6 num.) 50 F. (France)— 70 F. ( Etr.et DOM )

SOMMAIRE

P. 2 EditorialP. 4 “ C’est oui à Xénon “

p. 6 Résultats Financiers de 1’AFDERSP. 8 Rapport MoralP. 9 CCIR contre NABP.12P.l5P.l8 C.D., on écouteP.21 Chargeurs pour Accus PRIMOP.22 “ J’achète ou je VendsP.23 La Tribune du Président

Impressions de voyage aux U.S.A.Eléments de Physique du Solide ( Partie 1

ASSOCIATION FRANÇAISEPOURLE DEVELOI’PEMENT DE L’ENREGISTREMENT& DE LA REPRODUCTION SONORES

PUBLICATION BIMESTRIELLE EDITEE PAR L’

P.24 Les Programmes