« Happee cristmas à tous les potterhead ! »

* Interview de Patrick Messe *

: Concours lance par aurelia beaupommier :

> News pour la wttms 2 <

Numero 6

Pour ce numéro de Décembre de So Potterhead, nous nous allions avec tous les Potterheads du monde pour rendre hommage aux victimes des attentats de Paris en Novembre mais aussi à ceux de Janvier ainsi qu’à toutes les victimes d’attentats dans le monde.

L’année 2015 fut une année difficile pour nous Français mais n’oublions pas que l’amour et la liberté vaincront toujours la haine. Ce trimestre, à l’image de centaines de personnes prêtes à risquer leur vie pour sauver celle des autres, Hagrid sera à l’honneur comme un héros du quotidien. Il est à la fois fort et sensible et a toujours un oeil pour veiller sur les per-sonnes à qui il tient. C’est aussi le spécialiste du sapin de Noël et à cette période ce n’est peut-être pas un hasard ! Les fêtes de fin d’année vont nous réchauffer le coeur un peu comme un gros câlin d’Hagrid.

Joyeuses Fêtes de fin d’année à vous lecteurs, Potterheads, amis et à dans trois mois !

Une saison, un portrait : Rubeus Hagrid 06

Chez hagrid 14

Facts ! 16

Zoom sur 18

Dans la peau d’Hagrid ! 22

Fabriquez vos objets de potterhead ! 24

Dans la cuisine de Molly 32

Dans la vie de Potterheads passionnés : 36

Journal d’une pottergeek by Mariko 44

Magie et fantastique dans la musique :

Enchantez vos oreilles. 52

Tout ce qu’il faut savoir pour devenir

Un bon sorcier 54

Ouvrez votre livre page 394 58

Minute détente 60

Les coulisses de SoPotterhead 66

Présentation du débat 68

Présentation site web 69

The End ! 71

6

Il était une fois un enfant né d’une union entre un sorcier et une géante nommée Fridluva. Ils le nommèrent Rubeus Ha-grid. Fridluva n’étant pas faite pour la vie de famille, les aban-donna. Le petit sorcier dû donc élever ce demi-géant tout seul. A l’âge de six ans, il arrivait déjà à soule-ver son père et à l’asseoir sur le buffet. Hagrid en-

tra à Poudlard et fut envoyé à Gryffondor. Son père mourra lors de sa deuxième année à l’école. Lors de cette période, l’aide du professeur Dumble-dore fut très précieuse. Pen-dant sa troisième année, Hagrid

fut renvoyé de Pou-dlard. Cette année-là fut le théâtre d ’ é v é n e -ments ter-rifiants ! En effet un monstre se

se baladait dans le château en pétrifiant les élèves nés-moldus, jusqu’à ce que le pire arriva : une élève fut tuée. L’école menaçant de fer-mer, un élève du nom de Tom Jedusor décida de révéler au grand jour celui qu’il savait à l’origine de cela : Hagrid. Il fut

alors renvoyé et sa baguette cassée en deux. Cepen-dant, le professeur Dumble-dore étant persuadé de son innocence décida de faire de lui le garde-chasse de l’école afin qu’il puisse rester à Pou-dlard.

devient très ami avec les maraudeurs et Lily. La mort de Lily et James l’avait donc beau-coup affecté car il les aimait beaucoup. A leur mort, il va chez eux pour prendre Harry. Il tomba alors sur Sirius qui lui prêta sa moto afin qu’il puisse emmener Harry chez les Durs-ley.

Lorsque Harry eu atteint onze ans, Hagrid vint le chercher car Harry ne recevait pas ses lettres d’admission à Pou-dlard. Il se rendit alors compte que Harry n’était au courant de rien. La tâche lui revint alors de tout lui raconter : la mort de ces parents, le fait qu’il soit un sorcier et le fait qu’il soit cé-lèbre. Il l’emmena également sur le chemin de traverse pour qu’il puisse faire ses achats.

Chaque début d’année, Hagrid fut celui qui emmenait les pre-mières années du Poudlard Express au château en barque. Durant la première année, il s’attacha très vite au trio. Un soir, alors que le trio se rendait chez lui pour avoir plus d’infor-mations au sujet de la pierre philosophale, ils découvrirent qu’il avait un œuf de dragon dans sa marmite prêt à éclore.

Hagrid l’appela alors Norbert. Il était cependant illégal de dé-tenir un dragon chez soi, et le trio, inquiets pour leur ami le persuadèrent de s’en débar-rasser. Hagrid, dévasté par le départ de son dragon dû tout de même accompagner le trio ainsi que Drago Malefoy dans la forêt interdite afin qu’ils fassent leur punition.

Le passé de Hagrid refait sur-face lors de la deuxième année du trio : La Chambre des se-crets a été ouverte de nouveau. Le ministère de la magie soup-çonna alors Hagrid et l’envoya à Azkaban pour la sécurité des élèves. Harry en voulant sau-ver son ami et Ginny, découvrit alors que c’était Tom Jedusor alias Lord Voldemort qui avait ouvert La Chambre des se-crets cette fois-ci et il y a 50 ans. Hagrid fut alors libéré.

Cette année-là, Hagrid fut nommé professeur de soins aux créatures magiques. Il était très heureux de cette nomina-tion d’autant plus qu’il ado-rait les créatures peu importe leur taille ou leur dangerosité. Lors de son premier cours, il présenta un hippogriffe du nom de Buck aux élèves. Mal-heureusement, Drago Male-foy fut blessé par Buck après avoir ignoré les avertissements d’Hagrid et insulté l’animal. Cependant, un procès fut tenu pour juger l’hippogriffe qui sera alors condamné à être exécu-té. Harry le sauva in extremis avec l’aide d’Hermione.

La quatrième année voyait arri-ver le tournoi des trois sorciers et deux écoles. Hagrid tomba alors sous le charme immédiat de Madame Maxime, la direc-trice de Beauxbâtons. Il lui ré-véla alors sa nature de demi-géant qu’il n’avait jamais révélé à personne de peur qu’on le juge. En effet, la communauté de sorciers voyait les géants comme des tueurs sans pitié. Rita Skeeter, journaliste pour la Gazette du Sorcier, avait tout entendu et publia alors un article sur la véritable nature de Hagrid. Celui-ci fut dévas-

té, ne donna plus ces cours et s’enferma dans sa cabane. Il souhaitait que Dumbledore le renvoie mais celui-ci refusa ca-tégoriquement. Après une dis-cussion avec Harry et le pro-fesseur Dumbledore, celui-ci décida d’assumer sa condition et de sortir de sa cabane.

Avec le retour de Voldemort, Dumbledore décida de refor-mer l’Ordre du Phénix et en-voya Hagrid en mission. Il partit alors à la rencontre des géants avec Madame Maxime. Il ren-contra son demi-frère Graup et décida de le ramener car étant un géant relativement petit, il se faisait maltraiter par les autres. A son retour, il fit la rencontre de Dolores Ombrage qui ne cacha pas son intention de le renvoyer dès que possible. A peine Ombrage fut parti de la cabane que le trio le ques-tionna sur son absence. Il finit par accepter de leur révéler son périple chez les géants. Hermione décida de l’aider à organiser ses cours, connais-sant son habitude à leur pré-senter des créatures dange-reuses. Celui-ci se défendit en prétendant que ce sont des « créatures qui n’ont besoin de

personnes pour se débrouiller » et qu’elles ne sont donc pas dangereuses. Son premier jour de cours qui passa sous l’ins-pection d’Ombrage se révéla catastrophique. Elle voulait ab-solument le renvoyer et sabota donc son cours avec l’aide des Serpentards. Devant ce dé-sastre, Hagrid décida d’écou-ter Hermione en leur présenter donc des créatures totale-ment inoffensives pendant ses cours. De peur d’être renvoyé, il présenta Graup au trio pour qu’ils s’en occupe si jamais il était renvoyé. Le départ de Dumbledore ne fit que confir-mer ses craintes : il allait être renvoyé. Un soir, Ombrage se rendit avec l’aide de deux au-rors dans la cabane de Hagrid. Dans leur tentative d’emmener

Hagrid, ils blessèrent le profes-seur McGonagall. Cependant il réussit malgré tout à s’enfuir dans les montagnes après les avoir assommé.

Pour la sixième année d’Harry, Hagrid fut chargé d’emmener Harry sur le chemin de tra-verse en tant que protection rapprochée. Ce dont il en fut très fier. Il accueillit également une nouvelle fois Buck après la mort de Sirius qu’il rebaptisa Ventdebout.

Lors de cette même année il perdit l’un de ces plus anciens amis : Aragog. Après une cé-rémonie très intime en compa-gnie d’Harry et du professeur Slughorn il l’enterra près de sa cabane. Mais son plus grand

chagrin fut la perte du profes-seur Dumbledore. Il le pleura à la hauteur de l’estimation qu’il avait pour ce grand homme.

Lors de cette dernière année où le château fut assiégé par les mangemorts et où la peur y règnait, il décida de contes-ter ce nouveau régime à sa fa-çon. Il organisa des soirées de « Soutien à Harry Potter ». Les mangemorts décidèrent alors de le capturer mais il réussit une nouvelle fois à s’échapper avec Graup. Il revint ensuite à Poudlard pour la bataille finale. C’est lui qui porta Harry lorsque celui-ci faisait semblant d’être mort. Il survit à la bataille.

Rubeus Hagrid est un demi-géant à l’apparence effrayante mais qui se révèle être une personne au cœur tendre, très gentil et loyal. Il a les cheveux hirsutes et une grosse barbe qui lui cachent la moitié du visage. Grâce à son sang de géant, il dispose d’une force hors du commun qui lui per-mettra notamment de tordre le canon du fusil de Mr Durs-ley. Ses mains sont souvent décrites comme deux cou-vercles. Il se révélera être un ami précieux pour le trio.

Dragon

Bonjour à tous, je vous retrouve pour un article très passionnant ! En référence au très cher Norbert de Hagrid j’ai choisi de vous parler de ces créatures si mystérieuses. Aujourd’hui c’est un peu particulier car j’ai décidé de ne vous parler que du côté sorcier car les mol-dus sont partis beaucoup trop loin dans leurs légendes et je ne sais pas laquelle sélection-ner tellement elles sont nombreuses !

Comme beaucoup le savent les dragons sont des créatures d’une envergure impres-sionnante, dotés de gigantesques ailes et d’écaille pour certains, elles appartiennent à la catégorie des reptiles. Il est difficile de faire des généralité sur les dra-gons. En effet ceux-ci d’une espèce à l’autre sont très différents, ils peuvent vivre dans le monde entier, peuvent être très agressif ou alors au contraire paisible, la femelle est en général plus agressive que le mâle. Par ail-leurs, ils sont tous capable de cracher du feu, pondent des œufs et ont un seul point faible : les yeux ! Pour ceux qui voudraient s’aven-turer dans le domptage de dragon, le sorti-lège Conjonctivite est le seul capable de les neutraliser. Surtout n’essayer même pas un Stupéfix, il est totalement inoffensif pour eux !

L’élevage de dragon à été interdit par la Convention des sorciers de 1709, ainsi plusieurs réserves ont été créées afin de les accueillir. * Roumanie : centre de recherche, plu-sieurs types de dragons y vivent. (où Charlie Weasley y est gardien de dragons) * Hébrides : le clan MacFusty s’occupe depuis plusieurs générations des dragons originaires de cette région. * Pays de Galles : dans les plus hautes montagnes. * Suède : entre Arjeplog et Kopparberg ; la course de balais annuelle passe au travers .

Beaucoup d’objets sont fabriqués grâce aux dragons. * Peau : gants (très résistants souvent utili-sés en botanie), bottes, boucliers . La peau du Suédois à museau court est particulière-ment résistante. * Sang : il a plusieurs propriétés, comme l’a découvert Albus Dumbledore , dont la dou-zième est d’être un nettoyant pour fours . * Foie : Les 500g coûtent 17 Mornilles sur le Chemin de Traverse. * Cœur : Les nerfs sont utilisés dans les ba-guettes magiques. * Corne(s) en poudre : Les cornes de Cornelongue roumain sont répertoriées dans la classe B des marchandises dont

10

la commercialisation est soumise à certaines conditions. * Œufs : Définis comme étant une marchan-dise non-commercialisable. Les coquilles d’oeufs du Boutefeu chinois sont très prisées en tant qu’ingrédients pour les potions. * Bouse : A vendre en barils dans l’Allée des Embrumes. La bouse de dragon est utilisée en botanique.

Anecdotes Les dragons utilisés pour le Tournois des trois Sorciers étaient des femelles. Ainsi lorsqu’elles couvaient, ils ont remplacé leurs œufs par l’œuf d’or.

«Draco dormiens nunquam titillandus»

(Il ne faut jamais chatouiller un dragon qui dort) est la devise de Poudlard.

Il est très difficile de cacher l’existence des dragons aux moldus, c’est pourquoi le Minis-tère à souvent recours à des sortilèges d’Am-nésie. Mais parfois certains échappent au contrôle du Ministère c’est pourquoi comme toujours les moldus inventent énormément d’histoires sur les dragons.

Source : wikia HP

12

Le prénom de Hagrid vient de l’anglais Hagridden qui signifie tourmenté par des cauchemars, ce qui s’apparente à passer une mauvaise nuit. J.K. Rowling lui a attribué ce prénom car Hagrid était un grand buveur, ce qui

signifiait qu’il passait beaucoup de mauvaises nuits.

Rowling a expliqué que la scène dans laquelle Hagrid transporte le corps apparemment mort de Harry dans ses bras est symbolique. En effet, Hagrid est celui qui a tiré Harry de chez les Dursley, il était comme son gardien, il était évident pour elle que c’était Hagrid qui devait le

sortir de la forêt.

Dans HP1, Hagrid a été doublé par Martin Bayfield, un ancien joueur de rugby de 2m80 pour créer un contraste avec les autres acteurs. C’était Martin qui jouait Hagrid quand il devait paraître immense et

Robbie Coltrane quand il devait paraître de taille normal.

Hagrid est l’un des premiers personnages créés par J.K. Rowling.

Deux cabanes de Hagrid furent construites. Une aux dimensions immenses pour que les acteurs paraissent petits et une aux di-

mensions normales afin qu’Hagrid paraisse immense.

16

Hello mes Pott’s d’amour ! Ce mois-ci, nous allons nous intéresser à Robbie Coltrane et plus particuliè-rement à From Hell d’Albert et Allen Hughes.

Robbie Coltrane est un des plus grands acteurs de second rôle de sa généra-tion. Il a incarné des personnages tous plus différents les uns que les autres

et surtout notre Hagrid préféré. On le retrouve dans un thriller tout sanguino-lent dans From Hell.

From Hell est un thriller d’épouvante anglo-americano-tchèque d’Albert et Allen Hughes sortie en 2002.Londres 1888 : L’inspecteur Fred Abberline (Johnny Depp) travaille à Scotland Yard et est opioman.

. From Hell .D’Albert et Allen Hughes

A la suite de la découverte d’une pros-tituée sauvagement assassinée, il va mener l’enquête la plus importante de sa vie secondé par le Sergent Peter Godley (Robbie Coltrane). Sur fond de scandale royal Jack l’éventreur se met à l’oeuvre.

Les réalisateurs se sont passion-nés pour “Jack l’éventreur” plusieurs années avant de faire ce film, ils ont aussi rencontrés Johnny Depp à cette période. Six ans après From Hell sor-tait en salles. Personnellement je ne connais pas très bien l’histoire de Jack l’éventreur mis à part qu’il tuait des prostituées à Londres au XlXème siècle.

Le scénario des frères Hughes tient la route, ils nous offrent une interpré-tation de l’histoire tout à fait crédible. L’ambiance est sombre, sale et très franchement je ne m’amuserais pas à me balader seule dans ces rues mal famées de Londres. Rien qu’en regar-dant le film j’ai eu l’impression que tout puait grâce aux décors magnifiques, la lumière, la mise en scène et la réalisa-tion qui sont tous très bien effectués et permettent aux spectateurs d’entrer dans cette ambiance morbide et dan-

gereuse tout de suite.

Johnny Depp est comme dans pratiquement tous ses films juste, cré-dible sans en faire des tonnes. Il a trou-vé le juste milieu entre l’homme bon, l’opioman, et l’homme brisé.

Heather Graham quant à elle fait une très belle interprétation d’une pauvre fille qui se prostitue pour survivre et qui rêve de retourner sans son village natal au bord de la mer.

Le personnage de Jack l’éventreur est très bien amené grâce à la transforma-tion de la voix et à sa silhouette ombra-gée. On ne découvre qui il est vraiment

qu’à la fin du film en même temps que l’Inspecteur Fred Abberline.

Pour ce qui est de Robbie Coltrane, il incarne un sergent assez dur avec les policiers à ses ordres mais confiant quant aux aptitudes de l’inspecteur avec qui il travaille. Il veut résoudre ces meurtres mais ne comprend pas les tenants et les aboutissements de cette histoire et les comprend peu à peu grâce à Fred Abberline.

Robbie Coltrane a un jeu très pur, très fluide qui permet à Johnny Depp d’avoir un personnage fort. La force de cet acteur est d’incarner des seconds rôles sans passer au dessus du per-sonnage principal. Même si le sergent a un fort tempérament, il ne nuit pas à l’histoire ni à l’inspecteur.

Le film est un peu long car il fait deux heures mais il ne traîne pas. Chaque scène a une utilité. Rien n’est laissé au hasard pour arriver au dénouement. La fin est à la fois surprenante et amenée depuis le début.

N’hésitez pas à me contacter pour me donner votre avis sur cet article ou si vous avez des questions sur Twitter : P_Ravenclaw ou sur la page Facebook de notre magazine.

Bisous à tous et à la prochaine pour un nouveau film et une nouvelle critique !

18

Voici une sélection de photos de cosplayeurs qui pourront vous inspirer !

22

Pour ce nouveau numéro, notre cher Hagrid est mis à l’honneur. Et comme à chaque fois, j’ai essayé de trouver l’objet qui correspondait le mieux au personnage, ce qui n’est pas évident

car pour Hagrid beaucoup de choses me sont venu en tête. Son parapluie rose, son manteau, et même sa barbe (même si c’est pas du tout un objet)..

Le résultat final : en deux versions :un oreiller carré / rectangle et un oreiller rond.

Puis j’avais d’abord eu l’idée de faire Le livre des Créatures, mais comme ce n’est pas évident de trouver de la fourrure (du moins, je n’en ai pas trouvé), j’ai préfé-ré mettre cette idée de côté. Ma deuxième idée, je souhaitais faire des décorations de Noël “Spécial Hagrid”.Avec un mini parapluie, un mini gâteau “Happee Birthdae” et un mini livres des créatures magiques. Tout ça en pâte fimo et feutrine, mais là aussi se fut compliqué et plus je travaillais ce projet, plus je me disais que le rendu ne serait pas très joli.

C’est donc avec ma troisième idée que je suis là aujourd’hui !Faire son propre oreiller : Hap-pee Birthdae !

Je tiens de suite à préciser que je ne suis pas du tout couturière et que c’est la première fois que j’ai fait ça. C’est donc mon premier et seul essai que vous verrez en photo pour ce nouveau “Fabri-quez vos objets de Potterhead”, alors soyez indulgents s’il vous plaît !

Voici donc le rendu final en deux versions : un oreiller carré/rec-tangle et un oreiller rond.

Ce qu’il vous faut :

* Du tissu rose

* Du tissu marron

* Un stylo spécial tissu de couleur verte

*Un oreiller

* De la colle à tissu

Avant que vous me disiez quoi que ce soit, je vous laisse regarder les étapes à suivre et vous comprendrez pourquoi mon oreiller rond n’est pas au final pas rond.

Je vais commencer par vous expliquer comment faire l’oreiller en version car-ré/rectangle, et ensuite je vous ferai la version ronde.

Première étape :Pour commencer, repassez les deux tissus pour un plus beau rendu à la fin. Puis placez les deux tissus l’un sur l’autre.

Deuxième étape :Mettre de la glue sur le contour du premier tissu. Puis rabattez le second tissu sur le premier, pour que la colle prenne bien aux deux tissus.

Attention à ne mettre de la glue que sur trois des quatre côtés, sinon il n’y aura plus d’ouverture pour pouvoir passer l’oreiller. Et laisser une petite marge pour faire l’ourlet par la suite.

Troisième étape :Puisque vous avez laissé un peu de tissu dans la colle ( voir photo au dessus ), on va faire l’ourlet grâce à ce “trop pleins de tissu”. Il suffit de rabattre le tissu, et d’y mettre de la colle. Cela permettra de faire une belle fini-tion au niveau de l’ouverture de la taie d’oreiller.

Vous réalisez cela aussi sur le second tissu.

Voici donc une belle finition pour l’ouverture !

Ensuite, quand la colle est sèche, il suffit de retourner la taie pour pouvoir vérifier que tout est bien collé.

Quatrième étape :C’est le moment d‘écrire le fameux “Happee Birthdae”.Faites bien attention à ce qui est écrit comme indication sur les stylos spécial Tissu. Car certains doivent être ou non repassé. Pour ma part, il a juste séché.

Je suis vraiment contente du résul-tat parce que le vert est bien “flashi”, et surtout l’écriture n’est pas passée au travers du tissu !

Cinquième étape :Il ne vous reste plus qu’à y glisser votre oreiller, et le tour est joué. Pour ma part, j’ai prit un vieil oreiller, d’où le fait qu’il n’est plus réellement de forme carré.

Maintenant je vais vous montrer com-ment faire celui en forme ronde.

En réalité tout est pareil, sauf qu’au début, quand vos deux tissus sont l’un sur l’autre, suffit de dessiner un cercle. Vous pouvez le faire à l’aide d’un com-pas si vous le souhaitez, ou prendre un oreiller rond et d’en faire le contour.

Vous découpez les tissus

Sur la partie du dessous du coussin, vous allez faire une fente (pour faire une ouverture pour pouvoir passer l’oreiller)Et pour que ça fasse propre, vous allez coller les deux petits bouts.

Il faut mettre de la colle sur l’un des deux tissus, et ça sur tout le rond.Collez les deux tissus ensemble.

Si jamais en retournant la taie d’oreille, vous voyez qu’à certains endroit ce n’est pas collé, n’hésitez pas à rajouter de la glue.

Ensuite vous pouvez écrire “Hap-pee Birthdae” comme pour la version carré/rectangle.

Et il reste plus qu’à y glisser l’oreiller.

Et là, si mon oreiller n’est pas rond, c’est tout simplement parce que j’ai utilisé le même vieux oreiller qu’au des-sus et à la base il est carré.

Je pense me le refaire avec un vrai oreil-ler rond car je préfère la version ronde.Et vous ? Qu’en pensez-vous ? Allez-vous le faire ? Dîtes nous tout !

Retrouvez les créations de Floriane

dans sa boutique :

Sur ETSY !

A chaque numéro, découvrez une recette exclusive SoPotterhead de l’auteur

Aurélia Beaupommier

qui a publié :

Retrouvez aujourd’hui une recette sur le thème de Tonks et Lupin !

Bon appétit bien sûr ! N’hésitez pas à nous envoyer vos plus belles photos, à nous dévoiler vos gouts !

30

Harry Potter : Manuel Non-officiel de cuisine pour Sorciers

et Non-magiciens

CONCOURS

Aurélia Beaupommier lance son premier concours : changement de peau pour sa couverture de livre.

Les meilleurs projets seront publiés et les fans invités à voter pour élire la nouvelle couverture.

Les inscriptions se feront via sa page Facebook jusque fin janvier. Vous retrou-verez tous les liens sur notre site et page Facebook.

Les créations seront à envoyer jusque fin février.

Le résultat sera annoncé dans le numéro de mars.

Bonne chance à tous !

36

Retrouvez toutes nos

interviews sur notre

page youtube !

Nous voici au salon des séries et du doublage. Avec Aliya, nous participons à un débat qui a pour invités : Nicolas Marie, Lae-titia Lebfèvre, Patrick Messe et Patrick Noérie. Ce débat va nous en ap-prendre beaucoup sur Patrick Messe qui est la voix française de Rubeus Hagrid. C’est un homme très rieur avec une grande énergie. Il affirme d’ailleurs que c’est un métier courageux ou fait pour les fous.

Voici l’interview que l’on a pu réaliser après le débat. Bonne lecture !

Vous êtes Patrick Messe, la voix fran-çaise de Hagrid dans Harry Potter. Ce qu’on aimerait savoir c’est comment vous avez obtenu ce rôle ?Ah mais moi j’ai rien obtenu du tout. On m’a appelé, on m’a dit «Tiens, on fait le premier Harry Potter, ce serait bien que ça soit toi qui le fasse». Voilà, c’est aussi simple que ça.

Quels souvenirs gardez-vous de ce rôle ?J’ai trouvé très dommage qu’il ne soit pas aligné sur les bouquins. Parce que, effectivement pour les besoins d’efficacité cinématographique, ils ont beaucoup coupé, arrangé, compressé, changé les… Par exemple dans le nu-méro deux il était beaucoup plus im-portant dans le livre que dans le film. Ça c’est un exemple. On enlève pour les besoins du récit parce que le met-teur en scène trouve que c’est mieux.

Vous avez lu les livres Harry Potter ?Pas du tout ! Je ne les ai jamais lus, je n’ai pas vu un Harry Potter. Sauf quand j’ai travaillé dessus.Donc vous ne connaissez pas du tout

les autres personnages ?Je connais les acteurs qui les ont doublé et ceux avec qui j’ai travaillé.

Tout le monde se connaît un peu dans le métier. Du coup vous avez participé un peu au doublage des autres comé-diens, est-ce que vous vous voyez dans un autre personnage ?Non, non, non ça m’allait très bien. C’était très bien là où j’étais.

Avez-vous de nouveaux doublages prévus prochainement ?Oui, il y en a plusieurs. Il y a des séries qui reprennent comme Ghost, je sais plus comment ça s’appelle… Vous sa-vez j’oublie aussi vite. Quand j’ai fait un truc je l’oubliei et ce que je vais faire je le sais pas, je le note dans un carnet sinon j’oublie tout. Donc je ne vais pas être d’un grand secours. Je sais que je fais un truc la semaine prochaine, je ne sais même pas comment ça s’appelle. Mais voilà je sais que j’ai un gros ma-chin à faire.

Vous avez travaillé aussi pour des en-treprises étrangères ou vous travaillez en France ? J’ai travaillé principalement en France. J’ai tourné plusieurs fois au Canada et aux Etats-Unis, en Belgique, en Allemagne, même en Angleterre. Voilà.

Quelles sont les différences notoires par rapport à la France ?Non globalement les acteurs anglais et les acteurs allemands sont les acteurs français qui ressemblent aux acteurs norvégiens. Tu sais les acteurs sont à peu près tous pareils. Non ils ne sont pas tous pareils c’est faux parce qu’on a des cultures différentes mais ça re-vient au même. C’est jouer, il ne s’agit que de jouer.

Avant de jouer un film, est-ce que on vous fournit un peu le script avant pour que vous voyez un peu ?Avant de le jouer, quand je le tourne, quand on est pour le doublage en général on a la chance de pouvoir voir un DVD avant du film en version originale, mais quelques fois non. Des fois on arrive, et on découvre.

Des fois ça doit être un peu dur pour jouer.C’est un peu mon travail. Donc il y a un directeur artistique qui est là et qui me fait le speech, qui me dit un peu les grandes lignes, mais après je découvre au fur et à mesure.

Par exemple tout à l’heure on a appris que des fois vous jouiez des scènes complètement décalées.Oui ! La fin, le début, le milieu. C’est comme dans les tournages, c’est pareil. C’est la même chose. C’est la même gymnastique. Donc faut avoir une idée, savoir où ça se situe, puis se mettre en route en fonction de ça.

Donc le directeur artistique vous aide beaucoup aussi pour retranscrire les émotions.Tout à fait ! Il nous aide dans tous les cas pour nous dire là où on en est, quelle est la situation à ce moment- là. Après c’est à nous d’aller chercher… De venir avec nos valises.

Pour quelqu’un qui souhaiterait faire du doublage, quel serait le conseil que vous pourrez lui donner ?D’aller assister. De regarder, de s’asseoir et de bien regarder et de bien écouter surtout. Il ne s’agit pas que de jouer la comédie. Il faut d’abord jouer la comédie. Souvent les gens le mettent à l’envers, ils se disent «Je vais aller voir

et je jouerai la comédie après». Moi je dis «Non il faut commencer par jouer la comédie, si vous savez jouer la comé-die à ce moment-là vous pouvez aller regarder comment ça marche». C’est une technique.

Jouer du théâtre avant ça peut être un plus ?C’est bien.. De toute façon tout est un plus. C’est juste un tiers de notre métier. Moi je fais du théâtre, de la télé, du cinéma et je fais ça. Donc c’est une partie de mon métier. Mais ce n’est pas que ça, ce n’est pas mon métier dou-bleur, du tout. C’est une partie, c’est un tiers. Un gros tiers on va dire.

Vous disiez tout à l’heure que vous aimiez beaucoup les rencontres, que c’était vraiment important pour vous, est-ce que ça vous intéresse toujours de rencontrer les fans de Harry Potter ?Ce n’est pas les fans spécialement. Moi je suis content de rencontrer les gens. Alors qu’ils soient fans, pas fans. S’ils sont fans tant mieux c’est acquis mais non je suis content de rencontrer les gens. C’est les rencontres qui sont riche. Le qualificatif après de fan bon tout ça est très relatif.

Passionnés ? Mais même passionnés. Non moi je trouve que ce sont les gens qui sont intéressants.

Cela vous apporte quelque chose en plus ? Ah bah bien-sûr ! Même si j’ai une émotion à attraper, je l’ai. Je la prends.

Très bien. Merci pour tout !Merci beaucoup !

Il y a une semaine, mon amie Aurore (Aurora dans le texte) m’a demandé d’écrire un petit texte rétrospectif de la nuit où nous avons eu leprivi-lège de... presque rencontrer David Thewlis. Après y avoir réfléchi en-core et encore et écrit une version encore plus longue, voici donc mon produit fini.

Pour ceux qui l’ignoraient, David ap-paraissait dans une pièce au théâtre : The Children’s Monologue pour l’asso-ciation Dramatic Needs qui était jouée au Royal Court Theatre Londres le 25 Octobre 2015. Ayant voulu avoir cette opportunité depuis très longtemps, nous avons donc décidés, Aurore et moi, de descendre au théâtre dans l’espoir de le voir. Comme les circons-tances l’ont montré, nous n’avons ni réussi à obtenir un autographe ou une photo. Comme il a quitté le théâtre à une heure assez tardive, nous avons pu seulement pendant un bref moment lui parler.

La soirée ne s’est pas passée exacte-ment comme je l’avais imaginé, mais du début à la fin c’était une superbe expérience. C’était quelque chose que je n’avais jamais fait de ma vie et rencontrer David était quelque chose d’extrêmement important pour moi. En très peu de temps j’ai expérimen-

té tout un tas d’émotions toutes aussi différentes qu’ incroyables. Tout le temps où nous étions en train de pré-parer le projet, j’essayais de ne pas trop penser à ce qui se passerait si vraiment je le rencontrais. J’étais ner-veuse, anxieuse sur comment ça se passerait ou encore pétrifiée que je me ridiculise devant lui en m’évanouissant ou étant incapable de lui parler.

Même après être allée à Londres et au théâtre, je ne crois pas vraiment réa-liser que ça se soit bien passé, et je pense qu’au plus profond de moi j’étais convaincue que ça n’allait jamais se produire. Par exemple, on aurait pu y aller, ne pas le voir ou ne pas réussir à lui parler. Ce sentiment de déception ne fit que s’accroître plus la soirée avan-çait et qu’on ne l’avait toujours pas vu, en particulier après que des gens aient mentionné l’avoir vu courant journée. Si seulement j’avais pu arriver plus tôt à Londres...

Ce fut alors qu’il sortit par la porte de la sortie des artiste, que nous eûmes notre première entrevue avec David. J’entrais alors dans un état de choc to-tal : mon cœur battait super fort, mon estomac faisait des nœuds et mes ge-noux tournaient en jelly. Je crois que j’étais proche de m’évanouir, du moins j’en avais vraiment l’impression. Je ne pouvais juste pas réaliser que l’homme que j’admirais tant depuis tant d’an-nées et dont le travail a eu un impact tellement positif sur ma vie, se trouvait en face de moi.

Ensuite, nous l’avons entre-aperçu à deux-trois reprises par la suite et je me suis trouvée tellement submergée par les émotions que c’est probablement aussi bien que je n’ai pas eu l’opportu-

Rencontreavec David Thewlis :

une retropective

Par Louise Fisher

The Late Hector Kipling, sortit en 2007 qui est une comédie noire. Sortie en 2007 en Grande-Bretagne

et 2008 aux USA.

nité de vraiment lui parler. J’en aurais certainement perdue ma voix. J’étais tellement perturbée que j’étais proche des larmes. Ça montre donc combien ça m’a touché. Le rencontrer enfin représente tant pour moi qu’une des filles présentes a dû me conforter pour me calmer.

Nous nous sommes rapprochés alors qu’il partait mais il n’avait pas le temps de rester et signer mon livre car sa voi-ture était déjà là  ; il était tard et cela se voyait qu’il était exténué. Ils avaient répété toute la journée avant la pièce du soir et la presse était là comme des vautours donc je ne pouvais le blâmer de vouloir partir. Suis-je déçue de ne pas lui avoir parlé et de ne pas avoir eu un autographe ? Peut-être un peu, mais

avec du recul la façon dont la soirée s’est jouée était par-faite. Au moins je l’ai vu et à un certain moment je me suis trouvé à moins de 2 mètres de lui, ce qui est moins que ce que j’ai toujours espéré. Lui aussi, il m’a vu et peut-être que la prochaine fois je ne serai pas juste « un autre fan».

Pour être honnête, je ne pense pas que je l’aurai sup-porté émotionnellement si je lui avais parlé aujourd’hui. La prochaine fois, je serai prête et j’aurai mon autographe !

Louise Fisher

Ma Rencontreavec David Thewlis.

Par Aurore guégan.

J’ai espéré cette opportunité depuis onze ans et demi (and I’ve done my waiting,,, in Azkaban!). Rencontrer des acteurs de Harry Potter et en particulier David Thewlis était ma raison n°1 de venir habiter à Londres. C’est un rêve datant de douze ans. J’ai découvert David Thewlis en 2004 grâce à Harry Potter 3 puis quelques temps après j’ai vu Dinotopia à tout hasard à la télé. Ensuite, j’ai enchaîné sa filmographie y compris des court-métrages dispo-nibles sur Youtube ou ses apparitions dans des séries TV. En 2010 environ, j’ai créé un groupe Facebook privé de soutien à David Thewlis.

Le 27 Septembre 2015, il était à Edim-bourg à la Première de MacBeth et j’étais trop dégoûtée de ne pas pou-voir y aller. J’ai quand même réussi à lui faire parvenir un fanbook par le biais de l’une de mes membres, et quand il l’a reçu en mains propres c’était genre le plus beau jour de notre vie. L’un des plus beaux.

Le second, c’était le 25 Octobre 2015 – presque un mois après - lorsqu’avec une autre membre de mon groupe nous avons pris la décision de descendre au Royal Court Theatre où The Children’s Monologue, une pièce pour l’associa-tion Dramatic Needs était jouée. Le jour même, nous sommes arrivés après 16h30... Et apparemment, juste après

l’heure à laquelle il était rentré dans le théâtre pour s’entraîner. En fait, appa-remment, de midi jusqu’à environ 16 heures 30, il serait sortit régulièrement donc j’étais encore plus dégoûtée de ne pas être arrivée au moins une heure plus tôt au Square !

Malgré la longue attente pour ne se-rait-ce que l’apercevoir, malgré le froid et le mal de jambe à force de rester debout, je le referai si c’était à refaire. Car l’expérience de l’avoir au moins vu sortir ou descendre les escaliers rends encore plus réel l’admiration que j’ai nourris pour cet acteur depuis 12 ans ( au diable les 6 mois restants ). Et au moins, j’ai la consolation de penser qu’il sait à présent qu’on existe, que j’  existe et ce fait simple me remplit d’une joie inouïe. Premièrement, par le fanbook qu’il a reçu en septembre ; deuxièmement, par le brownie que j’ai quand même réussi à lui faire parvenir en le donnant à la femme qui a refermé la portière derrière lui (son agent?) et la première fois qu’il est sortit, il m’a bien entendu appeler, s’est retourné mais a gesticulé qu’il ne pouvait pas rester. Ensuite, alors qu’il était à l’intérieur et aux pieds des escaliers, j’étais en train de filmer et de chantonner «Da-vid, Da-vid, Da-vid...» et il a relevé la tête plusieurs reprises vers là où j’étais... S’il ne m’a pas au moins aperçu, je ne sais plus que penser !

Donc il nous a au moins aperçues et même si réussir à lui parler était l’objet réel de ce soir-là, c’est plus ce que j’ai réussi à faire en l’espace de trois ans à Londres ! Parlons d’ailleurs de cette première fois où il est sortit, j’avais car-rément les jambes en guimauve... et avec du recul, je me dis que c’est pro-bablement aussi bien qu’il ne soit pas

pas venu vers nous. Je ne sais pas vraiment si j’aurai été en possession de mes moyens et si j’aurai été capable de prononcer un seul mot devant lui! La dernière fois où on l’a vu, le moins que je puisse dire est que je n’avais pas les jambes en guimauve. J’ai qua-siment détallée en direction de la sortie des artistes pour réussir à le voir par-tir. Néanmoins, alors qu’il s’excusait auprès de quelqu’un qui lui demandait une photo, j’ai ressenti une pointe lé-gère de déception même si, à sa voix,

j’ai vite senti qu’en effet il était fatigué (et réellement déçu de ne pas pouvoir rester).

Un autre souvenir aussi de la soirée qui me restera gravé c’est lorsque j’ai don-né mon petit sac dans lequel se trouvait mon Brownie. Pendant que je « priais » la femme de prendre le sac pour le donner à David, j’ai eu conscience du visage de David tourné vers nous, ou moi, en tous cas dans ma direc-

tion. D’une certaine manière, cela m’a donné encore plus de courage pour la convaincre de prendre absolument mon présent. Je garde le fol espoir que la prochaine fois que je le rencontre-rai, il me reconnaîtra ! Quoiqu’il en soit, cela fait une super drôle d’impression (mais tellement magnifique) de me dire qu’au moins maintenant il sait à quoi je ressemble même si l’allée n’était pas très illuminée – la voiture n’était quand même pas très loin du hall éclairé par lequel il est sortit.

Hier, j’ai appris par un tweet que Da-vid Thewlis avait été apparemment aperçu à Windsor là où il a une mai-son. J’ignore combien de temps il y sera mais je tente le tout pour le tout, je tente ma chance et ce weekend, je vais à Windsor  en espérant l’aperce-voir ! Episode à suivre...

18.11.2015Aurore guégan

Retrouvez chez SoPotterhead la cultissime bande dessinée «Journal d’une pottergeek» écrite et réalisée par Mariko. Cette jeune artiste s’allie à nous pour nous faire pleurer de rire et nous émouvoir.

Elle sera souvent présente là on nous allons !

Bonne lecture !

64

Retrouvez la sur son blog :

http://zeblogbddemariko.canalblog.com/

La suite dans le prochain numéro

70

Harry Potter à l’Ecole des Sorciers, BO

2001, sortie du premier film Harry Potter. On découvre alors les comédiens qui interpréteront les personnages et tout un univers re-transcrit à l’écran. Mais on découvre également la musique du film et celle-ci n’aura aucun mal à se créer une place de choix dans le cœur des fans.

« Tamtamtatatamtatataaam », le leitmotiv musical se met en place très rapidement et va connaître « l’effet Star Wars », à savoir un thème identifiable, reconnaissable, qui marque musicalement etdura-blement une œuvre cinématogra-phique.

Il faut dire aussi que Star Wars, on peut en parler, car il ne s’agit ni plus, ni moins que de John Williams aux commandes de cette première BO des aventures de notre sor-cier à lunettes et ses camarades, ainsi que des deux films suivants. Certaines envolées de violons de par leur approche épique, donnent vraiment cette identité « à la John Williams ». Il n’hésite pas égale-ment à partir sur quelques fantai-

sies, comme cette touche presque militaire sur l’introduction de la mu-sique du match de Quidditch. La confrontation avec Voldemort musicalement impose une tension. On sent une dimension fantastique noire et une certaine dramaturgie qui s’opère.

Étrangement, cette BO de ce pre-mier Harry Potter me fait tout autant penser à du John Williams tel qu’on le connaît, à savoir des thèmes mar-quants et épiques, mais qui sait aus-si se faire plus discret et qui réussi à imposer une ambiance magique un peu plus minimaliste. Difficile par moments de ne pas penser au travail de Danny Elfman. C’est ce mélange de grandiloquent et de légèreté qui peut permettre cette comparaison.

En tous les cas, cette musique aura marqué sans nul doute les fans de la saga et son thème principal risque de résonner encore longtemps dans les oreilles des potterheads !

Eh oui ! Vous avez parfaitement lu ! A chaque numéro, nous vous donnerons des astuces pour pouvoir devenir un véritable sorcier et pouvoir lancer des sorts. Je suis certaine que ça vous tente !

Dans ce numéro, je vais vous conseiller un outil. Curieux ? C’est par ici :

78

Mes petits crapauds, j’espère que mes conseils et leçons vous plaisent. Si vous avez des questions ou des dé-saccords, n’hésitez pas à m’en parler via notre nouvelle page “Tout ce qu’il faut savoir pour devenir un bon sor-cier”. Dans cette page, nous allons reprendre les différents sujets abordés depuis le premier numéro. J’ajouterai des conseils au jour le jour selon les événements du moment, comme Hal-loween dernièrement.

Dans le dernier numéro je vous ai conseillé des sorts sur le sujet de l’amour. J’ai réfléchi longtemps au su-jet de mon article. Je vais vous parler d’un jeu divinatoire.

Mon petit Karma

C’est un outil qui nous enseigne la pa-tience du bouddhisme, vertu qui nous fait souvent défaut et qui nous nuit dans nos comportements face aux événements de notre vie. Le boudd-hisme enseigne qu’il existe un temps pour attendre et un temps pour agir. D’où le terme de «Karma».

Pourquoi « Petit » : Il nous fournit des prédictions à court terme, 30 jours maximum, il nous donne une petite portion de notre chemin de vie.

Il contient 25 cartes carrées, de 7 cm sur 7. Le 7 est un chiffre magique, ce n’est pas un hasard si il y a 7 tomes dans la saga Harry Potter ! En bouddhisme aussi, c’est le chiffre sacré par excel-lence. Le chiffre 7 est représenté par les 7 emblèmes de Bouddha et les 7 cieux bouddhiques, les 7 Chakras. En numérologie le 7 représente la Vie inté-rieure. Autres exemples : les 7 jours de la semaine, les 7 merveilles du monde...

Principe : Chaque carte du jeu n’a aucune signification, par elle-même, puisqu’elle ne dispose que de 4 moi-tiés de symbole Tibétain.

Après avoir mélangé (ou battu) les cartes et coupé le jeu de la main gauche. Gauche car notre coeur se trouve à gauche dans notre poitrine. Elles trouvent leur signification que, lorsque l’on déroule le jeu par la jux-taposition de deux cartes, faisant ap-paraître un symbole (horizontalement ou verticalement) dans son intégralité. Dérouler le jeu, c’est distribuer les 25 cartes du jeu, carte après carte, ligne après ligne pour former un carré de 5 lignes, de 5 colonnes.

Chaque symbole apparaissant dans le déroulement du jeu est associé à un numéro identique de part et d’autre du symbole (placé horizontalement ou verticalement), vous permet, d’une part, de vous assurer qu’il s’agit des deux moitiés d’un même symbole, et, d’autre part, ce numéro sert d’index, permettant de connaître les mots-clés attachés à ce symbole se trouvant sur la notice, jointe avec les cartes. Ces mots-clés attachés à un symbole servent à déclencher en votre conscient une interrogation personnelle, liée à l’actualité de votre vie.

Philosophie : Ce jeu met l’accent sur des événements de votre actualité de vie, il peut vous donner des conseils, des comportements à avoir, plein de sagesse, afin d’améliorer les choses de votre vie. L’une des bases du Boudd-hisme Tibétain enseigne qu’il faut don-ner du temps au temps, attendre que les événements se déroulent, par eux-mêmes, savoir se taire, ne pas interagir sur l’ordre des choses, attendre que les choses se passent, pour prendre les bonnes décisions qui s’imposent et seulement quand c’est le moment. Rien ne sert de s’inquiéter, de s’angois-ser inutilement, tant que la difficulté ou l’événement n’existent pas.

J’ai cet outil depuis quelques années, il me suit depuis tellement longtemps que je ne sais plus exactement. Il est fiable et me permet de me canaliser.

Je sais comment appréhender les jours qui arrivent.

Vous pouvez commander vos cartes sur «www.lepetitkarma.eu» ou par mail : contact@lepetitkarma.eu

86

Hello les p’tits loups ! Aujourd’hui, on va enfin s’occuper de notre bon demi-géant. Ce cher Hagrid qui occupe une place très importante dans la vie d’Harry.

Après avoir flâné sur internet et être tom-bée sur des fictions à la grammaire et à l’orthographe dramatiques, après avoir vu des scénarios étranges et pour certains un peu choquants, d’avoir lu des fictions qui dénaturaient totalement le personnage…. J’ai cru que je ne m’en sortirais jamais !

De plus, Hagrid étant un personnage se-condaire, trouver une fiction ne traitant que de lui relève limite de l’impossible. Comme il en faut plus pour me décourager, j’ai fini, à force d’obstination, par vous en dénicher une plus sympa que les autres.

J’ai donc choisi : Le ciel brille quand tu ris mon Ange de Julia Erwelin

http://www.hpfanfiction.org/fr/viewstory.php?sid=21185&textsize=0&chapter=3

«Vous savez, je ne suis pas une géante, j’ai simplement une forte ossature. Cela me vient de ma mère, il me semble. Quoique mon père fût un homme de sacré taille également. Enfin, vous voyiez, tout cela provient de mes prédécesseurs, mais il ne fût jamais question de géants, colosses, ou autres créatures dangereuses ! finit Madame Maxime en écla-tant de rire.

Hagrid sentit une brusque chaleur l’envahir et il émit un brusque borborygme pour seule réponse, ce qui redoubla le rire de son aimée et la gêne du demi-géant. Merlin, comme son rire le renversait sans dessus dessous, le faisant fondre, lui, une créature repoussante et dangereuse. Cette femme était vraiment incroyable et il ne savait comment le lui dire. Oh, bien sûr, il pourrait lui murmurer « Le Ciel brille lorsque tu ris, mon Ange », mais, soyons franc, cela ne collait pas à sa personnalité et ça effraierait sa douce Maxime. Et pourtant, il donnerait n’importe quoi pour pouvoir lui su-surrer ! Effrayé par ses soudaines pensées, Hagrid se resservit brusquement une chope de Whisky-Pur-Feu et poussa un long sou-pir tonitruant. Par Merlin, Madame Maxime le rendait abruti de mièvrerie, ce qui ne lui ressemblait affreusement pas.»

Cette fiction est incroyablement courte mais c’est la seule vraiment qui m’ait mar-qué. J’aurais pu en choisir d’autres, mais cela aurait été m’éloigner de mon objectif principal…. Vous faire partager mes lec-tures …..enfin celles qui me plaisent !Tout d’abord, le texte est bien mené, il y a un style certain, peu de fautes (voir pas). On entre rapidement dans le vif du sujet mais malheureusement le texte est bien trop court. C’est dommage car l’écriture est agréable à lire et entraînante. Cela au-rait mérité quelques lignes voir quelques pages de plus. Il y avait moyen d’étoffer ce bref texte.

Ce n’est pas courant une fiction avec Ha-grid comme personnage principal et il au-rait été intéressant d’exploiter cela. Enfin ne faisons pas de plan sur la comète, le texte est ainsi et dire ce que j’aurais aimé ne changera rien à son statut !

Ma chronique est (déjà) terminée, à bientôt pour une nouvelle les p’tits loups !

Lorsque l’on pense au mois de Décembre, l’une des première chose qui nous vient en tête est Noël : la neige, l’ambiance festive et, bien sûr, la magie de Noël.

Aussi lorsque l’on pense à Noël à Poudlard, on ne peut ignorer Mr Rubeus Hagrid, notre demi-géant pré-féré, un personnage important (mais aussi sous-estimé, si je peux me permettre) dans la saga et dans la vie d’Harry Potter.

C’est pourquoi nous consacrons cette édition de Noël 2015 à notre cher Hagrid !

Je dois l’avouer, trouver des fanfictions sur Hagrid n’est pas si simple. Personnage secondaire (bien que précieux), Rubeus Hagrid ne fait pas l’objet d’un grand choix d’histoires.

Cependant, j’ai tout de même réussi à vous trouver deux petites fanfictions qui vous plairont, je l’espère !

Le noël d’un garde-chasse à travers les âges de LaSilvana

https://www.fanfiction.net/s/10929421/1/Le-noël-d-un-garde-chasse-à-travers-les-

âges

«Les années passent, les élèves changent... Mais lui, il ne bouge pas. Il reste, fidèle au poste, veillant à faire vivre la magie de noël au château de Poudlard.»

Pour coller parfaitement avec le thème de ce numéro, un petit One Shot de Noël, qui parle des différents Noëls qu’Hagrid a pu passer à Poudlard, que ce soit avant l’arrivée d’Harry Potter, pendant ses années à Poudlard, ou bien juste après la guerre. Une chose ne semble pas changer, la présence constante d’Hagrid pour faire vivre la magie de Noël.

Garde, gardien de Leo Poldinehttps://www.fanfiction.net/s/6365701/1/

Garde-gardien

«Garde, gardien... C’est la même chose, non ?»

Cet OS, très très court, n’a pas forcément d’histoire, il se concentre plus sur le per-sonnage d’Hagrid. Je l’ai choisi parce que l’auteure a centré son écrit sur Hagrid et (de mon point de vue) sur l’importance qu’il a dans la saga. Il ne passe peut-être qu’au second plan, mais il fait bien plus que ce que l’on voit. Cette histoire, je dirais, rend hommage à Rubeus Hagrid.

Je vous souhaite à tous une bonne lecture !

Salut à tous ! Je suis Pauline, la nouvelle chroniqueuse de So Pot-terhead, je m’occupe de la chronique “Zoom Sur…”.

J’ai 20 ans, je viens de finir mes études de comédienne à l’Acting Studio de Lyon et je suis Serdaigle.Je suis Potterhead depuis la sortie du premier film en 2001 ; j’avais donc 6 ans ; grâce à ma maman qui m’a em-mené au cinéma ! J’ai vu tout les films au ciné et lu tous les livres dès que j’ai pu. Harry Potter est le premier film dans lequel j’ai voulu jouer vers mes 10 ans environ. Emma Watson est encore à l’heure d’aujourd’hui ma comédienne préférée.

La saga m’a apportée des amis magnifiques au fil des années cer-tains ne sont plus là mais d’autres font encore partie de ma vie comme Aliya, Angélina et Mary qui m’ont très gentiment invitées à venir étaler ma (petite) science dans ce magazine. Je

tiens à les remercier car j’adore écrire pour vous tous les trimestres.

J.K. Rowling a abordé des thèmes qui me tiennent toujours à coeur dans ses livres et notamment la notion d’amour éternel qu’entretient Rogue pour Lily. J’ai aujourd’hui la chance de partager ma vie avec un homme extraordinaire que j’aime de tout mon coeur et qui j’espère restera mon amour éternel. Il est tellement extra qu’il m’a offert tous les Blu-Ray d’HP pour mon anniver-saire avec les posters !

Parlons maintenant un petit peu plus de mon parcours. J’ai fait un BAC Littéraire avec option Cinéma Audio-visuel et ensuite 2 ans de formation à l’Acting Studio. Grâce à ces forma-tions j’ai pu acquérir du sens critique surtout dans le jeu d’acteur pour vous offrir la meilleure analyse possible des films que je visionne pour vous. Je suis actuellement en année plus ou moins sabbatique (faite de jobs alimentaires)

94

tout en ayant des projets pour remon-ter sur les planches le plus rapidement possible ! J’ai comme projet de dé-ménager en Angleterre pour reprendre une école d’acteur. Pourquoi l’Angle-terre ? D’abord pour le pays que j’adore et ensuite parce qu’à mon humble avis les anglais sont les meilleurs acteurs du monde et que j’ai très envie d’aller ap-prendre chez eux et tenter des castings là bas. Et puis sans vous mentir, j’irais bien entendu aux studios à Leavesden !

Il y a un autre thème qui me tient à coeur dans les Harry Potter c’est la famille. En effet, j’ai 4 frères et soeurs issus de familles très recomposées et ce sont les amours de ma vie ! Ils ont entre 5 et 16 ans, je ne pourrais pas vivre sans eux; ce sont un peu mes Weasley à moi. Je ne les vois plus très souvent depuis que j’habite avec mon

chéri mais je pense tout le temps à eux et essaye de les rendre les plus fiers possible de leur grande soeur !

Je vous fais d’énormes bisous ma-giques pleins d’amour et je vous donne rendez vous dans ce numéro pour Zoom Sur … consacré à un acteur in-croyable qu’est Robbie Coltrane et à dans 3 mois !

N’oubliez pas que je serais très heu-reuse de répondre à toutes vos ques-tions mais aussi à toutes vos réactions sur mes articles (ou autres choses d’ail-leurs) sur mon twitter: P_Ravenclaw ou sur la page facebook du magazine.

Je vous aime.

96

Présentation Debat

Petite nouveauté pour cette fin d’année :

L’idée est de crée un débat avec vous autour d’une question concernant un mystère d’un des personnage de Harry Potter ! Le but est simple je vous pose une question à la fin de chaque numéro et on en discute. Pour la première fois dans ce magazine vous aurez aussi droit à la parole, car c’est aussi important de pouvoir parler avec vous qui êtes en train de nous lire, nous sommes tous actifs de ce magazine en quelque sorte ! Ont écrit mais vous nous dites vôtres ressentis qui nous pousse encore à écrire. C’est une réaction en chaîne !

Donc je disais pour la première fois ici je vais vous posez la question

simple afin d’en débattre au mieux avec vous dans la joie et la bonne

humeur.

Contexte : Hagrid a était expulsé de l’école en 1943, on nous dit qu’il a était gardé à Poudlard pour devenir garde chasse. Cela laisse suppose que cette fonction a été créé spécialement pour Hagrid, c’est d’ailleurs ce qu’il affirme et ce que confirme Rita skeeter. Seulement voila ; parce que oui il y a un «seulement voila ; Molly weasley nous apprend que jusqu’à sa sortie de Poudlard en 1968, il a y avait un garde chasse du nom de Ogg !

La question est donc simple : qu’a fait Hagrid de 1943 à 1968 ?

A vos plumes et vos parchemins je veux tout ça pour dans 3 mois !

Pourquoi suivre notre site web ?

Découvrir nos rubriques :

* Les partenaires *

qui vous permettra de découvrir ceux avec qui l’on

travaille. Ceux qui nous permettent de vous offrir les

meilleures interviews et actualités.

* Nos interviews *

qui contient les vidéos de nos interviews faîtes

spécialement pour vous.

* Les fan fictions *

toutes celles que nous avons sélectionnées pour vous

et que vous pourrez relire autant que vous voudrez.

97

The End ! 21 décembre 2015