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Séquence 10-SN02 335 > Immunologie : Les vaccins et la mémoire immunitaire

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Séquence 10-SN02 335

> Immunologie :Les vaccinset la mémoire immunitaire

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Les vaccins et la mémoire immunitaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 339

A Le principe de la vaccination

� Les pères fondateurs de la vaccination

� Vaccination et mémoire immunitaire

� L’immunisation de l’organisme par la vaccination

� Le calendrier vaccinal

B Les difficultés et les espoirs pour la mise au point d’un vaccin anti-VIH

� Les difficultés rencontrées pour la mise au point d’un vaccin anti-VIH

� Un espoir : l’immunité cellulaire

C Le phénomène immunitaire : interaction entre le génotype et l’environnement

� L’immunité innée ou répertoire immunologique d’un individu

� La sélection des clones immunocompétents

� Le phénotype immunitaire : interaction entre le génotype et l’environnement

Corrigés des activités autocorrectives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 351

Sommaire séquence 10-SN02

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Séquence 10-SN02 339 Séquence 10-SN02 339

es vaccins et la mémoire immunitaire

IntroductionLes maladies infectieuses restent la première cause de mortalité humaine. Aujourd’hui encore, le palu-disme, la tuberculose, le choléra et bien d’autres infections sont causes de nombreux décès dans le monde, principalement dans les pays en voie de développement.Pourtant, la puissance des défenses immunitaires contre les infections est remarquable (voir chapitre 1), surtout lorsqu’elles sont stimulées par les techniques de vaccination. En témoigne l’éclatant succès de la campagne de vaccination qui a éradiqué totalement la variole : le dernier cas d’infection naturelle, en somalie, remonte à 1977. On espère parvenir au même résultat avec la poliomyélite qui semble déjà avoir disparu des pays de l’ouest.

Problèmes scientifiques

Sur quoi repose le principe de la vaccination ? Comment expliquer les succès remarqua-bles de cette technique de stimulation des défenses immunitaires ?Comment expliquer enfin, les difficultés rencontrées dans la mise au point de certains vaccins comme celui contre le virus VIH ?

A Le principe de la vaccination

� Les pères fondateurs de la vaccination

Dès le XVIIIe siècle, en Europe, les observations fréquentes de la résistance à la réinfection chez certains individus, avaient conduit à pratiquer la transmission de la maladie pour protéger contre cette même maladie. La variolisation par exemple, consistait à induire la variole par scarification avec des croûtes varioleuses. La proportion de décès provoqués par la variolisation était importante, mais la pratique fut en vogue dans les classes privilégiées y compris à la cours puisque les petits fils de Louis XV (lui même mort de la variole), Louis XVI, Louis XVIII et Charles X se firent inoculer.C’est au médecin britannique Edward Jenner (document 1) que l’on doit la mise au point du premier vaccin contre la variole. Jenner se fondait sur les mêmes bases empiriques que la variolisation : il avait observé que, lors des épidémies de variole, la proportion d’individus résistants était non négligeable parmi les individus s’occupant de la traite des vaches. Or ces employés contractaient souvent la maladie de la vaccine, alors très répandue chez les bovins et qui se manifestait par l’apparition de pustules sur les pis. Cette maladie ressemblait un peu aux premiers stades de la variole humaine, mais elle était inoffensive pour l’homme comme pour les animaux.Ainsi Jenner eu l’idée de vacciner, c'est-à-dire de transmettre la vaccine, afin de protéger contre la variole. Le succès fut si important que Napoléon ordonna la vaccination de ses armées. Il organisa ainsi la première grande campagne de vaccination obligatoire de l’histoire, ouvrant la voie de la santé publique fondée sur la médecine préventive.Pendant un siècle, seule la variole fut prévenue par un vaccin : il était difficile de trouver une autre situation aussi idéale, avec l’existence naturelle d’un virus faiblement pathogène qui protégeait contre un virus plus dangereux, d’autant plus que l’on ignorait tout à cette époque de l’origine des maladies infectieuses.

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C’est à Pasteur (document 1) que l’on doit l’avancée décisive en matière de vaccination, après sa décou-verte des micro-organismes et l’élaboration de la théorie infectieuse de la maladie. Ayant découvert le phénomène de l’atténuation de la virulence des micro-organismes pathogènes, il disposait de plusieurs formes des mêmes micro-organismes et pouvait utiliser la forme atténuée comme vaccin protecteur de l’infection naturelle.Après quelques succès remportés par la mise au point de vaccins pour les animaux (choléra de la poule, charbon du mouton…), le grand retentissement de la vaccination contre la rage du jeune alsacien Joseph Meister instaura définitivement l’idée que les vaccins représente nt une arme efficace contre les maladies infectieuses.

Document 1 Les pères de la vaccination

Le médecin britannique Edward Jenner pratiqua la première vaccination contre la variole en 1796. Pasteur testa son vaccin contre la rage en 1885.

Depuis Pasteur, les techniques de fabrication des vaccins se sont rapidement affinés. La plupart des succès obtenus (document 2) le sont en utilisant comme vaccins de petites doses de micro-organismes tués ou atténués.

Document 2 L’histoire de la vaccination

- 23 Pline l’Ancien relate que le foie de chiens enragés protège contre la rage 1500 Des médecins asiatiques obtiennent quelques succès contre la variole à l’aide de croûtes prélevées sur des malades 1796 Le médecin britannique Edward Jenner utilise le virus de la vaccine pour immuniser contre la variole 1885 Pasteur teste son vaccin contre la rage 1890 - 1904 Emil von Behring et Kitasato Shibasaburo testent avec succès les vaccins contre la diphtérie et le tétanos 1900 Production de vaccins contre la fièvre typhoïde et contre le choléra 1914 Vaccins contre le tétanos 1920 Calmette et Guérin fabriquent le vaccin contre la tuberculose (B.C.G) 1930 Production des vaccins contre la diphtérie et contre la fièvre jaune 1940 Création des vaccins contre la grippe et contre le rhume des foins. 1955 - 1960 Jonas Salk et Alfred Sabin créent leurs vaccins contre la poliomyélite 1960 Elaboration des vaccins contre la rougeole et contre la rubéole 1968 Le vaccin contre les oreillons est mis au point. 1970 Production du vaccin contre les maladies à méningocoques 1978 Mise au point d’un vaccin contre les maladies pulmonaires 1980 Production du vaccin contre l’hépatite B et du vaccin mixte contre la rougeole, la rubéole et les oreillons. 1990 Réalisation d’un vaccin contre l’hemophilus influenzae cause de méningite.

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Il est remarquable de constater que les bases pratiques de la vaccination aient été établies bien avant que l’existence du système immunitaire ne soit soupçonnée : d’ailleurs, l’étude du système immunitaire a été initialement entreprise pour comprendre le phénomène de la vaccination et en généraliser la méthode.

� Vaccination et mémoire immunitaire

Un individu qui a contracté la rougeole durant son enfance, n’est plus infecté par le virus, même s’il ne le rencontre pas pendant 60 ans ; en revanche, en raison de la spécificité immunitaire, il restera insensible aux oreillons tant qu’il n’aura pas été atteint. Nous venons de voir que la vaccination repose sur cette propriété. Qu’elle en est la base ?

Le document 3 montre l’évolution du nombre de plasmocytes producteurs d’anticorps contre un anti-gène donné.

Document 3 Mise en évidence d’une mémoire immunitaire

Dix souris reçoivent une première injection de globules rouges de mouton (GRM).

� La moitié du lot subit alors des prélèvements de rate (organe lymphoïde, riche en lymphocytes) : une première souris le jour de l’injection des GRM, une seconde 2 jours après l’injection, une troisième 4 jours après… (voir tableau).

� Les souris restantes reçoivent une seconde injection de GRM, le 30e jour après la première injection. Des prélèvements de rate sont ensuite réalisés de manière échelonnée (voir tableau).

Les lymphocytes de la rate sont mis en culture en présence de GRM. Des plages d’hémolyse se déve-loppent autour de certains lymphocytes différenciés en plasmocytes sécréteurs d’anticorps anti-GRM. Le nombre de plages de lyse est donné dans le tableau ci-dessous :

Souris ayant subi la 1ère injection de GRM

Souris ayant subi la 2e injection de GRM

Jour de prélève-ment

0 2 4 6 8 30 32 34 36 38 40 42

Nombre de plages de lyse (en milliers)

0 3 80 98 20 1,8 180 860 500 320 120 70

Activité autocorrective n° 1 Expliquez en quoi ces expériences permettent d’envisager l’existence d’une mémoire immunitaire ?

Lors d’un premier contact avec un antigène, la réponse immunitaire encore appelée réponse primaire n’est pas toujours très efficace. Lors d’un second contact avec le même antigène ou réponse secon-daire, la réponse est quasi immédiate. Le premier contact a été mémorisé. Quels sont les supports de cette mémoire immunitaire ?

Tous les lymphocytes B résultant de l’expansion clonale au cours d’une réponse primaire ne se diffé-rencient pas en plasmocytes. Un certain nombre d’entre eux deviennent des cellules à mémoire (docu-ment 4) capables de réagir rapidement lors d’un second contact avec le même antigène. Ces cellules à mémoire sont beaucoup plus nombreuses que les lymphocytes B vierges qui leur ont donné naissance et elles ont une durée de vie très longue.

Le même phénomène se produit pour les lymphocytes T4 ayant subi la sélection clonale et probablement aussi pour les lymphocytes T8.

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Document 4 La production de cellules B à mémoire.

Notons à nouveau que cette mémoire est spécifique d’un antigène donné. Le document 5 montre les réponses primaire et secondaire d’un individu suite à l’injection successive d’un même antigène X. Lors de la seconde injection, on introduit également dans l’organisme un antigène Y, différent de l’antigène X. Cet antigène Y provoque une réponse de type primaire (délai de plusieurs jours, faible amplitude des variations du taux d’anticorps circulants). La production de cellules à mémoire vis-à-vis de l’antigène X n’a pas d’effet sur l’antigène Y.

Document 5 Évolution des taux d’anticorps spécifiques produits par un individu suite à deux injec-tions successives du même antigène X et à l’injection d’un antigène Y

� L’immunisation de l’organisme par la vaccinationLe principe de la vaccination repose sur l’existence de la mémoire immunitaire et sur le caractère spécifique de cette mémoire.

Les vaccins préparent le système immunitaire à neutraliser rapidement des virus, des bactéries ou des parasites dangereux avant qu’ils ne s’installent dans l’organisme.

Les vaccins classiques sont des préparations contenant des micro-organismes tués, des extraits micro-biens ou bien des micro-organismes vivants (ou leurs toxines) atténués par des traitements physiques ou chimiques (voir document 6). Ces préparations ont un pouvoir pathogène très faible, voire nul, mais sont très immunogènes. Le système immunitaire est alors dupé. Il réagit comme s’il était assailli par un micro-organisme vivant et actif.

La vaccination augmente l’état immunitaire d’un sujet vis-à-vis d’un antigène donné. En effet le taux d’anticorps protecteurs ou le nombre de cellules à mémoire spécifiques de cet antigène étant accru, la réaction du sujet sera immédiate lors d’un éventuel contact ultérieur avec l’agent pathogène et ce dernier sera neutralisé.

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Document 6 Les principaux vaccins actuellement sur le marché

VACCINS ANTI-VIRAUX VACCINS ANTI-BACTERIENS

Virus vivants atténués Bactéries vivantes atténuées

variole BCG

poliomyélite (voie orale) Salmonella typhi (Ty21A, mutantgénétiquement manipulé)

rougeole Bactéries inactivées

adénovirus Vibrio cholerae

fièvre jaune Bordetella pertussis

oreillons Yersinia pestis

rubéole Streptococcus pneumoniae

Virus inactivés Salmonella typhi

influenza Hemophilus influenzae type B

rage Neisseria meningitidis

poliomyélite (voie sous-cutanée) Anatoxines

hépatite B Clostridium tetani (tétanos)

influenza A Corynebacterium diphteriae (diphtérie)

Combinaisons de vaccins Combinaisons de vaccins

rougeole + oreillons + rubéole diphtérie + tetanos + coqueluche +hemophilus influenzae type B

Activité autocorrective n° 2 On vaccine un individu contre le virus de l’hépatite B (antigène HBs). Le vaccin contient des particules

virales inactivées.Le document 7 montre l’évolution du taux d’anticorps anti-HBs au cours du temps.

Justifiez et expliquez le schéma vaccinal pratiqué (3 injections rapprochées et un rappel 5 ans plus tard).

Document 7 Évolution du taux d’anticorps d’un individusuite à sa vaccination contre le virus de l’hépatite B

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� Le calendrier vaccinal

Le Conseil supérieur d’hygiène publique est chargé en France de proposer un calendrier des vaccinations obligatoires et recommandées qui tient compte des connaissances épidémiologiques et immunologiques actuelles.

Le document 8 indique les vaccinations à pratiquer. Il existe deux sortes de vaccins :- les vaccins obligatoires : diphtérie, tétanos et poliomyélite avant 18 mois et le BCG avant 6 ans ;- les vaccins recommandés : coqueluche, rougeole, rubéole, oreillons, méningite à hémophilus, hépatite B.

Les parents qui oublient ou refusent les vaccinations obligatoires le font sous leur propre responsabilité, étant entendu que cette abstention peut entraîner l’interdiction de l’entrée à l’école. Ils sont passibles de poursuites : amendes, citation à comparaître au tribunal.Les vaccins doivent être notés sur le carnet de santé de l’enfant avec la date et la signature du médecin.

Document 8 Calendrier vaccinal recommandé par le ministère de la santé (source Institut pasteur)

Dès le 1er mois TuberculoseLa vaccination BCG précoce est réservée aux enfants vivant dans un milieu à risques.La vaccination par le BCG est obligatoire pour l’entrée en collectivité (crèche) incluant la garde par une assistante maternelle. L’épreuve tuberculinique doit être pratiquée 3 à 12 mois plus tard.

À partir de 2 mois Diphtérie, Tétanos, Coqueluche, Poliomyélite, Hémophilus influenzae b3 injections à 1 mois d’intervalle.

Hépatite BDeux injections à 1 mois d’intervalle.Troisième injection entre 5 et 12 mois après la 2e injection

� Remarque La vaccination contre l’hépatite B peut être commencée à partir de 2 mois (sauf le cas des enfants nés de mère antigène HBs positif, chez qui elle doit être faite à la naissance).

À partir de 12 mois Rougeole, Oreillons, RubéoleLa vaccination associée rougeole – oreillons - rubéole est recommandée de façon indiscriminée pour les garçons et les filles.

� Remarques La vaccination contre la rougeole peut être pratiquée plus tôt, à partir de 9 mois pour les enfants vivant en collectivité, suivie d’une revaccination 6 mois plus tard en association avec les oreillons et la rubéole.En cas de menace d’épidémie dans une collectivité d’enfants, on peut vacciner tous les sujets sup-posés réceptifs, à partir de 9 mois. La vaccination immédiate peut être efficace si elle est faite moins de 3 jours après le contact avec un cas.

Hépatite B3e injectionCette 3e injection peut être réalisée entre 5 et 12 mois après la date de la 2e injection.

16-18 mois Diphtérie, Tétanos, Coqueluche, Poliomyélite, Hémophilus influenzae b1er rappel.

� Remarques Lors du 1er rappel on peut, si nécessaire, pratiquer, la vaccination associée rougeole-oreillons-rubéole.

Entre 3 à 6 ans Rougeole, Oreillons, Rubéole2e dose : recommandée pour tous les enfants.

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Avant 6 ans TuberculoseLa vaccination par le BCG est obligatoire pour l’entrée en collectivité, donc pour l’entrée à l’école maternelle ou à l’école primaire.

6 ans Diphtérie, Tétanos, Poliomyélite2e rappel.

Rougeole, Oreillons, RubéoleLa vaccination associée rougeole-oreillons-rubéole est recommandée chez les enfants n’ayant pas encore été vaccinés ou n’ayant reçu qu’une dose. L’entrée à l’école primaire est une bonne occasion de faire cette vaccination éventuellement le même jour que le 2e rappel diphtérie, tétanos, polio et/ou le BCG.

11-13 ans Diphtérie, Tétanos, Poliomyélite3e rappel.

CoquelucheUn deuxième rappel de vaccination contre la coqueluche est recommandé chez tous les enfants, l’in-jection doit être effectuée en même temps que le 3e rappel diphtérie, tétanos, polio avec le vaccin coquelucheux acellulaire.

Rougeole, Oreillons, Rubéole (rattrapage)Une vaccination associée rougeole, oreillons, rubéole est recommandée pour tous les enfants n’en ayant pas bénéficié, quels que soient leurs antécédents vis-à-vis des trois maladies.

Hépatite BSi la vaccination n’a pas été pratiquée dans l’enfance, un schéma complet en 3 injections.

Epreuve tuberculiniqueLes sujets ayant un test tuberculinique négatif (réaction intra-dermique à la tuberculine négative), seront vaccinés ou revaccinés.

� Remarque Après 2 vaccinations par le BCG réalisées par voie intradermique, les sujets qui ont une intradermoréac-tion à la tuberculine négative sont considérés comme ayant satisfait aux obligations vaccinales.

Diphtérie, Tétanos, Poliomyélite

16-18 ans 4e rappelLes rappels ultérieurs contre le Tétanos et la poliomyélite se feront tous les 10 ans.

Rubéole pour les jeunes femmes non vaccinée (sous contraception)La vaccination contre la rubéole est recommandée, par exemple lors d’une visite de contraception ou prénuptiale.Eviter toute grossesse dans les 2 mois suivant la vaccination.Si la sérologie prénatale est négative ou inconnue, la vaccination devra être pratiquée immédiatement après l’accouchement, avant la sortie de la maternité.

À partir de 18 ans Tétanos, Poliomyélite1 rappel tous les 10 ans.

Hépatite BUniquement pour les personnes appartenant à un groupe à risque.

RubéolePour les femmes non vaccinées en âge de procréer, avec contraception efficace.Eviter toute grossesse dans les 2 mois suivant la vaccination.

À partir de 65 ans Grippe1 injection chaque année, en automne.

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Séquence 10-SN02 346

� L’efficacité des vaccins

Les vaccins classiques sont-ils tous efficaces ?

Les micro-organismes inactivés, tel que le vaccin injectable contre le virus de la poliomyélite, n’infectent pas les cellules, de sorte qu’ils sont bloqués uniquement par la production d’anticorps et n’activent pas les lymphocytes T cytotoxiques. La protection par des virus morts est souvent provisoire et nécessite des rappels périodiques.

Les micro-organismes vivants atténués, généralement des virus (voir document 6), infectent des cellules. Ces antigènes activent alors à la fois la production d’anticorps et de lymphocytes T cytotoxiques. Cette double action bloque efficacement les infections virales et assure une immunité plus forte dans des cas où la seule présence des anticorps est insuffisante.

Malgré leur supériorité, ces vaccins « vivants » ne sont pas la panacée : certains sont insuffisamment efficaces chez quelques individus, provoquent des troubles chez des personnes dont le système immu-nitaire est défaillant (personnes atteintes d’un cancer, du SIDA, personnes âgées…) Pire encore, des individus récemment vaccinés transmettent parfois la maladie à ces personnes vulnérables et il arrive que des virus atténués, qui se multiplient très lentement, retrouvent leur virulence par mutation.

Par ailleurs, pour certaines maladies infectieuses dont l’agent est pourtant bien caractérisé, aucun vaccin n’existe. Ainsi, aucun vaccin n’a jamais été mis au point contre la syphilis ou le paludisme, par exemple. Le plasmodium, l’agent du paludisme est pourtant connu depuis le XIXe siècle mais les recherches qui se poursuivent aujourd’hui restent décevantes. Le cas du virus VIH, responsable du SIDA, illustre plus que tout autre les difficultés que rencontrent les chercheurs pour élaborer un vaccin.

B Les difficultés et les espoirs pour la mise au point d’un vaccin anti-VIH

� Les difficultés rencontrées pour la mise au point d’un vaccin anti-VIH

Dès le début de l’infection, le virus VIH détruit les cellules T4 dont la fonction est précisément de lutter contre lui. Cette capacité offensive du VIH se double de remarquables aptitudes défensives : lorsque les réactions immunitaires sont enclenchées, le virus dispose de moyens pour les contourner. D’abord il se réfugie dans des sanctuaires de l’organisme, tel que le cerveau, où les lymphocytes ne pénètrent pas et où il est donc protégé. Par ailleurs, il peut passer directement de cellule en cellule en évitant de séjourner dans le liquide interstitiel ; il échappe ainsi aux anticorps neutralisants.

Le virus VIH a une autre propriété : il mute à un rythme rapide et il existe même souvent, lors d’une infection, des variants capables d’échapper aux premiers anticorps et aux premiers lymphocytes T cytotoxiques activés par le variant dominant. Une vaccination dirigée contre les parties variables du virus laissera toujours échapper des variants et se révélera inefficace.

Dotés d’armes qui détruisent les défenses de l’hôte et de boucliers qui le protègent, le VIH sait en outre exploiter les défenses immunitaires dirigées contre lui pour assurer sa propre reproduction. La pénétration du VIH déclenche l’expansion clonale des lymphocytes T4 qui sont précisément les cellules, contrairement aux autres virus, où le VIH se reproduit. Ainsi, c’est le système immunitaire lui même qui lui fournit les moyens de se reproduire.

On conçoit bien que la mise au point d’un vaccin anti-VIH pose des problèmes sans commune mesure avec ceux qu’ont posés les vaccinations existantes.

La plupart des vaccins anti-viraux stimulent, chez le sujet vacciné, la production d’anticorps capables de neutraliser le virus, c'est-à-dire capables de se fixer sur des sites d’interaction avec les récepteurs cellulaires des cellules cibles.Le document 9 détaille l’arrimage complexe du virus VIH sur une cellule cible CD4.

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Activité autocorrective n° 3 D’après les données du document 9, quelles pourraient être les cibles potentielles d’un vaccin anti-VIH

efficace ?

Document 9 L’arrimage du virus VIH sur un lymphocyte T4 (voir encart couleur E50)

Figure a Figure b

Figure c Figure d

Lorsqu’un VIH attaque un lymphocyte T4, il se fixe d’abord par sa protéine d’enveloppe gP120 (en orange) sur deux récepteurs, le récepteur CD4 (en vert) et le récepteur CCR5 (en violet). Un des sites de la protéine gP120 reconnaît la molécule CD4 et s’y fixe (figure a); cette interaction découvre le deuxième site (par ouverture de la boucle V3), jusqu’alors inaccessible, dont le récepteur est CCR5 (figure b). Cette double interaction assure un contact étroit entre le virus et la cellule; la protéine gP41, jusque là cou-verte par gP120 se déploie (figue c). Ceci permet à gP41 d’assurer l’arrimage (figure d) et la fusion des enveloppes, grâce à laquelle le contenu du virus est injecté dans la cellule (figure d).Les études menées sur les anticorps produits par des sujets infectés, montrent que l’organisme produit très peu d’anticorps contre la molécule gP41, masquée par la protéine gP120 et contre le site de fixation complémentaire au récepteur CCR5, lui aussi peu accessible. Le seul site qui déclenche une production abondante d’anticorps est la boucle V3.La mise au point d’un vaccin dirigé contre l’arrimage du virus VIH (vaccin anti-V3) a pu être mené à bien mais les résultats des premiers essais de vaccination ont été très décevants. En effet, les anticorps

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anti-V3 obtenus ne sont guère efficaces car cette partie de la protéine gP120 est hypervariable : la plupart du temps, les anticorps dirigés contre la boucle V3 d’un variant sont inefficaces contre les autres variants. Plus grave encore, les anticorps dirigés contre la boucle V3 ne sont efficaces qu’à l’égard des souches virales cultivées en laboratoire (document 10) mais restent quasiment inefficaces contre les virus sauvages. C’est pourtant contre ces derniers qu’il faut vacciner.Ainsi les chances réelles d’efficacité d’un vaccin fondé sur les protéines de l’enveloppe virale paraissent aujourd’hui bien faibles.

Document 10 Virus VIH de laboratoire et virus sauvages (voir encart couleur E51)

Le VIH a une très curieuse propriété lorsqu’on le met en culture. Dans les cultures de tissus utilisées pour produire le VIH en grande quantité, sont sélectionnés des variants viraux qui sont peu représentatifs des variants sauvages qui infectent l’homme.

Comment expliquer cela ?

Les variants de laboratoire ont des sites d’arrimage moins protégés que les virus sauvages. Dans l’or-ganisme humain, ils sont défavorisés car ils sont rapidement neutralisés par les défenses immunitaires. En revanche, en culture, où ils ne subissent pas la pression des réactions immunitaires, ils accèdent particulièrement vite aux cellules cibles et deviennent rapidement dominants.

� Un espoir : l’immunité cellulaire

On s’interroge actuellement sur la possibilité d’obtenir une protection sans anticorps neutralisants, en induisant des réactions dites d’immunité cellulaire, à base de lymphocytes T cytotoxiques.

Deux types de vaccins sont à l’étude et semblent prometteurs :

� Les lipopeptides : ce sont des fragments de protéines virales choisis parce qu’ils déclenchent d’ex-cellentes réactions antivirales par activation des lymphocytes T4 et T8. Par ailleurs, la mémoire des réponses cellulaires déclenchées par ces molécules est probablement plus longue que celle conférée par les anticorps.

� Les vaccins à ADN : il s’agit de fragments d’ADN viral qui, administrés par voie intradermique ou intramusculaire, pénètrent dans certaines cellules et y déclenchent la production des protéines correspondants à un taux suffisant pour provoquer des réactions immunitaires des sujets vaccinés, notamment des réactions cellulaires contre ces cellules infectées. Les résultats d’expérimentation sur des modèles animaux (singes en particulier) sont pour l’instant décevants. Toutefois, l’association d’un vaccin à ADN avec des lipopeptides semble prometteur.

Pour l’instant, aucune vaccination de ce type à grande échelle n’a été réalisée. Nous sommes loin de disposer des informations suffisantes pour prendre la décision de vacciner des milliers de volontaires, d’autant plus que nous manquons cruellement de modèles animaux, le SIDA est une maladie très spécifique à l’homme.

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C Le phénotype immunitaire : interaction entre le génotype et l’environnement

� L’immunité innée ou répertoire immunologique d’un individu

On distingue deux types de lymphocytes : les lymphocytes B et les lymphocytes T. Les premiers naissent et acquièrent leur immunocompétence dans la moelle osseuse (B comme Bone qui veut dire os en anglais). Par contre les lymphocytes T, qui proviennent eux aussi de cellules souches situées dans la moelle osseuse, en sortent sous la forme de cellules immatures appelées lymphocytes pré-T et deviennent immunocompétentes dans le thymus (T comme Thymus).Nous avons vu dans le chapitre 2 de la séquence 9 que l’immunocompétence des lymphocytes signifie l’acquisition de récepteurs membranaires spécifiques à un antigène donné.Dès la naissance, préexistent donc, avant toute stimulation antigénique, des récepteurs membranaires spécifiques : on parle du répertoire des récepteurs spécifiques ou répertoire immunologique de l’individu.

Cette très grande diversité du répertoire immunitaire est le résultat d’une expression complexe du génome. En effet, il existe des milliards de déterminants antigéniques possibles, mais il n’existe pas des milliards de gènes correspondants aux milliards de récepteurs spécifiques impliqués dans les réponses immunitaires.

Les récepteurs membranaires des lymphocytes sont issus de l’expression combinée de plusieurs gènes, certains codant pour les parties variables, d’autres pour les parties constantes de ces récep-teurs.Les lymphocytes ont par ailleurs la particularité (unique parmi les cellules de l’organisme) de présenter un génome réarrangé, souvent simplifié et/ou recombiné donc différent par rapport à celui de la cellule-œuf à l’origine de l’organisme.Par exemple, lors de leur formation dans la moelle osseuse, les lymphocytes B perdent, de façon aléatoire, des segments d’ADN pouvant coder pour des parties des chaînes lourdes ou légères des immunoglo-bulines de surface (rappel : séquence 9, chapitre 2, document 16). Les gènes résultant sont donc, d’un lymphocyte B à l’autre, très variés.

Cette diversité génétique des lymphocytes d’un même organisme explique la diversité des récepteurs de surface, en réponse à la diversité des antigènes.

On peut s’interroger à cet instant sur le fait qu’aucun lymphocyte ne dirige ses récepteurs vers les structures chimiques du soi ?

Autrement dit, pourquoi, si la mise en place d’un répertoire de récepteurs est inné et aléatoire, n’y a-t-il jamais de cellules B ou T qui dirigent leur immunocompétence vers le soi ?

On peut avancer l’hypothèse suivante : une sélection des cellules immunocompétentes s’effectue. Les lymphocytes B et T dirigés vers les « antigènes du soi » sont détruits.

� La sélection des clones immunocompétents

Au cours de leur maturation dans la moelle osseuse et dans le thymus, les lymphocytes B et T sont sélectionnés. Les clones de cellules B et T reconnaissant les molécules du soi sont repérés et éliminés. Ainsi se met en place ce que l’on nomme la tolérance au soi.

Le mécanisme de la tolérance au soi a été bien décrit pour les lymphocytes T. Les cellules du thymus jouent un rôle important dans la sélection des clones de lymphocytes T immunocompétents. Elles frag-mentent dans leur cytoplasme des protéines du soi. Les fragments obtenus ou peptides du soi sont ensuite présentés à la surface de ces cellules, de manière tout à fait semblable à ce qui se passe pour une cellule infectée par un micro-organisme (voir séquence 9, chapitre 2).

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Séquence 10-SN02 350

Les lymphocytes pré-T qui arrivent par voie sanguine dans le thymus seront mis en contact avec ces cellules thymiques. Trois cas se présentent :– reconnaissance de la cellule thymique et du peptide du soi = signal de mort;– reconnaissance de la cellule thymique mais pas du peptide du soi = signal de fin de maturation, la

cellule deviendra un lymphocyte T immunocompétent;– aucune reconnaissance, ni de la cellule thymique, ni du peptide du soi = dégénérescence du lympho-

cyte T par absence de maturation.

Un mécanisme de sélection existe aussi pour les lymphocytes B au niveau de la moelle osseuse.

Activité autocorrective n° 4 Traduisez par un schéma le mécanisme de la tolérance au soi des lymphocytes T décrit ci-dessus.

� Le phénotype immunitaire : interaction entrele génotype et l’environnement

Le phénotype immunitaire peut être défini comme l’ensemble des spécificités des lymphocytes B et T à un moment donné de la vie d’un individu. Il résulte d’une interaction complexe entre le génotype et l’environnement.La population qui constitue chaque clone de lymphocytes T ou de lymphocytes B est restreinte. Lorsque l’organisme entre en contact avec un antigène (environnement modifié), certaines populations voient leurs effectifs augmenter (expansion clonale, voir chapitre 2 de la séquence 9) et il apparaît des lym-phocytes B et T4 mémoire, spécifiques de cet antigène.Le phénotype immunitaire d’un individu évolue donc en même temps qu’évolue son environnement antigénique. Le phénotype immunitaire, qui change sans cesse, s’adapte à l’environnement

L’évolution permanente du phénotype immunitaire permet le maintien de l’intégrité de l’organisme.

La vaccination réalise un contact avec un antigène (tout ou partie d’un micro-organisme pathogène rendu inoffensif tout en gardant son pouvoir immunogène) et prépare, par la construction d’une mémoire, à un contact ultérieur possible avec l’agent pathogène portant le même antigène.

La vaccination fait donc évoluer artificiellement le phénotype immunitaire del’individu.

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Séquence 10-SN02 351

orrigé des activités autocorrectives

Activité n° 1 L’apparition des plages de lyse est un indicateur de la réponse immunitaire des souris suite à l’injection de globules rouges de mouton (GRM). Plus le nombre de plages de lyse est important, plus l’individu produit des plasmocytes sécréteurs d’anticorps anti-GRM.Lors de la première injection de GRM, la réponse immunitaire met un certain temps à s’établir. Ce délai de 4 jours correspond au temps nécessaire à la reconnaissance, l’activation, la prolifération et la maturation des lymphocytes B en plasmocytes.La réponse immunitaire est par ailleurs assez peu importante (98 000 plasmocytes comptabilisés au maximum de la réponse le 6e jour après l’injection) et disparaît rapidement puisqu’au bout d’une semaine il ne reste déjà plus que 20 000 plasmocytes.

Lors d’un second contact, le 30e jour, avec le même antigène (GRM), les souris réagissent de manière différente :– l’augmentation du nombre de plasmocytes sécréteurs d’anticorps est presque immédiat, le délai est

réduit à 2 jours ;– le nombre maximum atteint est nettement supérieur au nombre maximum atteint lors du premier

contact ;– les plasmocytes ont une action beaucoup plus prolongée.

Tout se passe comme si la souris avait mémorisé le premier contact avec l’antigène GRM. On met ainsi en évidence la notion de mémoire immunitaire.

Activité n° 2 Pour obtenir une protection efficace, le tau d’anticorps anti-HBs doit dépasser les 102 mUI. mL-1. Il est nécessaire pour cela de pratiquer 3 injections de vaccins espacées d’un mois. La première injection permet une réponse primaire (premier contact avec l’antigène), puis par deux réponses secondaires successives (injections dits de « rappel »), la vaccination augmente l’état immunitaire du sujet vis-à-vis de l’antigène HBs de manière à ce que le taux d’anticorps dépasse le seuil recommandé.Six mois à un an plus tard, le taux d’anticorps s’abaisse naturellement dans le sang du sujet vacciné d’où la pratique d’une nouvelle injection de rappel à ce moment-là. Cette injection est très efficace puisqu’elle accroît considérablement le taux d’anticorps sanguin (104 mUI. mL-1).La protection du sujet vacciné est alors d’environ 5 ans. Le taux d’anticorps s’abaisse progressivement dans le sang et se rapproche de la zone limite de protection. Il faut alors pratiqué une nouvelle injection de rappel pour « réveiller » la mémoire immunitaire de l’individu.

� N.B. Une injection de rappel tous les 5 à 10 ans est recommandée pour la plupart des vaccins.

Activité n° 3

Les cibles d’un vaccin efficace pourrait être les protéines gP120 et gP41 (voir schéma). Plus pré-cisément, on peut imager un anticorps interdisant la liaison de la protéine gP120 au récepteur CD4 ou bien une molécule interdisant la liaison de la protéine gP120 au récepteur CCR5 ; enfin un anti-corps dirigé contre la boucle V3 qui doit se déployer pour rendre accessible le site de fixation du virus au récepteur CCR5.

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Séquence 10-SN02 352

Activité n° 4

Page 17: SN02TE0-SEQUENCE-10.pdf

SÉQUENCES

Séquence 1:

Page 31 : Document 1 : CFC : A et B, d'après les Normentateln, C, d'après Rugh, simplifiée.

Page 32 : Document 2 : CFC : TAVERNIER-LIZEAUX, Sciences de la Vie et de la Terre, Terni. S, enseigne-ment obligatoire

Page 33 : Document 3 : CFC : TAVERNIER-LIZEAUX, Sciences de la Vie et de la Terre, Term. S, enseigne-ment obligatoire

Page 34 : Document 4 : CFC : Collectif, Biologie Terminale DPage 37 : Document 5 : CFC : Louis de BONIS, la famille de l’HommePage 39 : Document 6 : CFC : A. LANGANEY, Les hommes : passé, présent, conditionnelPage 40 Document 7 : CFC : P. DORLU, Science et Vie Hors Série n° 200

Page 41 : Document 8 : CFC : Mark RIDLEY, Évolution BiologiquePage 42 : Document 9 : CFC : Collectif, Histoire de l'humanitéPage 42 : Document 10 : CFC : Collectif, Sciences de la Terre et de l'UniversPage 43 : Document 11 : CFC : Jean CHALINE, Une famille peu ordinairePage 44 : Document 12 : CFC : Collectif, Sciences de la Terre et de l'Univers

Page 44 : Document 13 : CFC : Jean CHALINE, Une famille peu ordinairePage 45 : Document 14 : CFC : Collectif, Sciences de la Terre et de l'UniversPage 46 : Document 15 : © John Reader/SPL/Cosmos

Page 47 : Document 16 : CFC : Louis de BONIS, La famille de l’Homme

Page 47 : Document 17 : CFC : Jean CHALINE, Une famille peu ordinaire

Page 47 : Document 18 : © John Reader/SPL/Cosmos

Page 48 : Document 19 : CFC : Louis de BONIS, La famille de l’HommePage 48 : Document 20 : CFC : Jean CHALINE, Une famille peu ordinairePage 49 : Document 21 : Collection Musée de l'Homme, photo J. Oster

Page 49 : Document 22 : CFC : Jean CHALINE, Une famille peu ordinairePage 49 : Document 23 : Jean-Laurent MONNIER, La Préhistoire : les hommes du paléolithique ©

Éditions Ouest-France

Page 50 : Document 24 : CFC : Jean CHALINE, Une famille peu ordinairePage 50 : Document 25 : Jean-Laurent MONNIER, La Préhistoire : les hommes du paléolithique ©

Éditions Ouest-France

Page 51 : Document 26 : R. DELVERT

Page 53 : Document 27 : CFC : Louis de BONIS, La famille de l’HommePage 54 : Document 28 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la TerrePage 55 : Activité n°1 : CFC : TAVERNIER-LIZEAUX, Sciences de la Vie et de la Terre, Terni. S, enseigne-

ment obligatoire

Séquence 2 :

Page 62 : Document 1 : D.R.

Page 63 : Document 2 : haut droit : DR. ; haut gauche : F. DURAND © Sipa Press ; milieu droit et milieu milieu :

MARCO POLO/F. BOUILLOT; milieu gauche : DR.; bas (haut droit) : © Biophoto

Associates ; bas (haut milieu) : Dr J. PARINAUD 0 INSERM ; bas (haut gauche) : DR. bas (bas milieu) : SPL/Astrid and Hanns Frieder Michler/COSMOS

Page 66 : Document 5 : CFC : Collectif, Sciences Naturelles Terminale D - T. 1

Page 68 : Document 7 : Document provenant de l’université de Rennes 1, origine précise inconnue, document remanié

Page 70 : Document 8 : CFC : Collectif, Biologie Terminale D

Crédit photographique – SN02 353

Crédit photographique

Page 18: SN02TE0-SEQUENCE-10.pdf

Page 72 :Document 10 : doc 10 a et b : Bordas TS SVT – Collection Tavernier – 2002 ISBN : 2-04-729584-X - Page 114 ISBN : 2-04-729584-X - Page 116

Page 73 : Document 11 : CFC Collectif, Biologie Terminale DPage 74 : Document 12 : CFC Collectif, Biologie Terminale DPage 75 : Document 13 : CFC: Collectif, Biologie Terminale DPage 78 : Document 14 : CFC Collectif, Biologie, Géologie, Terminale DPage 79 : Document 14 : CFC Collectif, Biologie Terminale DPage 86 : Document 15 : © Michel BOULÉTREAU

Page 90 : Document 16 CFC : Collectif, Biologie Terminale DPage 97 : Activité n°1 CFC : Collectif, Biologie Terminale D

Séquence 3 :Page 111 : Document 1 : CFC : G. KELVIN, L'évolutionPage 112 : Document 2 : CFC : Francisco ALAYA, L'évolutionPage 113 : Document 3 : CFC : G. KELVIN, L'évolutionPage 114 : Document 4 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre, enseignement obligatoire, Term. SPage 118 : Document 8 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre, enseignement obligatoire, Terni. SPage 121 : Document 11 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre, enseignement obligatoire, Term. SPage 121 : Document 12 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre, enseignement obligatoire, Term. SPage 125 : Document 14 : CFC : Collectif, Biologie, Géologie, Terminale DPage 127 : Document 15 CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre, enseignement obligatoire, Term. Page 127 : Document 16 « L'adaptation », Richard Lewontin, L'évolution, © Éditions Pour la Science, 1979

Page 130 : Document 19 CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre, enseignement obligatoire, Term. SPage 131 : Document 20 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre - SecondePage 132 : Document 21 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre - SecondePage 132 : Document 22 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre - SecondePage 133 : Document 23 : © O. Meckes/Eye of Sciences/Cosmos

Page 133 et 134 : Document 24 : a : J. Burgess/SPL/Cosmos; b et c : F. R. TURNER. Indiana University

Page 135 : Document 25 : haut : Photo © Michel GUNTHER/BIOS

Page 135 : Document 25 : bas : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre, enseignement obligatoire, Term. SPage 136 : Document 26 : © A. TOURNEFIER

Séquence 4 :Page 150 : Document 3 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre, Terminale S, enseignement de spécialité Page 152 : Document 7 : J. P. FLOC'H

Page 153 : Document 9 : Frank SMITH, La Terre © Armand COLIN, 1987

Page 154 : Document 10 : D.R.

Page 155 : Document 11 : CFC : Collectif, Le temps en géologiePage 155 Document 12 : CFC : SMITH, La TerrePage 156 : Document 13 : CHAUMETON/Laboue - NATURE

Page 157 : Document 14 : CHAUMETON/Laboue -NATURE

Page 158 : Document 16 : CFC : d'après M. Condomines (physicien à l'OPGC)

Page 165 : Document 19 : http://www.,ggl.ulaval.ca/planette-terre.html

Séquence 5 :Page 173 : Document 1 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre 1re SPage 174 : Document 2 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre 1re SPage 175 : Document 3 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre 1re SPage 176 : Document 4 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre 1re S

Crédit photographique – SN02354

Page 19: SN02TE0-SEQUENCE-10.pdf

Page 176 : Document 5 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre 1re S

Page 177 : Document 6 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre 1re S

Page 178 : Document 7 : CFC : texte : Collectif, Planète Terre

Page 178 : Document 7 photos : haut droit, haut milieu, haut gauche et bas droit : Heilprin bas gauche : Lacroix

Page 179 : Document 8 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre 1re S

Page 180 : Document 9 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre 1re S

Page 180 : Document 10 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre 1re S

Page 181 : Document 11 : CFC : Collectif, Sciences de la Terre et de l'UniversPage 183 : Document 12 : Hatier TS SVT – Collection Bergeron – 2002 ISBN : 2-218-73785-X - Page 298

Page 183 : Documents 13, 14, 15 : B. DURUELLE, UPMC Paris VI

Page 185 : Document 16 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre 1re SPage 186 : Document 17 : Bordas TS SVT – Collection Tavernier – 2002ISBN : 2-04-729584-X - Page 223

Page 187 : Document 18 - 19 : D.R.

Page 190 : Document 22 : CFC Collectif, De l'océan à la chaîne de montagnesPage 191 : Document 23 : CFC Collectif, Biologie Géologie 1re SPage 191 : Document 24 : Didier TS SVT – Collection Calderon – 2002 ISBN : 2-278-05204-7 – Page 182

Page 192 : Document 25 : Hatier TS SVT – Collection Bergeron – 2002 ISBN : 2-218-73785-X - Page 325

Page 193 : Document 26 : CFC : S. DESCLOS

Page 194 : Document 29 : © Marcel LEMOINE

Page 194 : Document 30 : B. DERUELLE, UPMC Paris VI

Page 194 : Document 31 : Centre Briançonnais de Géologie Alpine

Page 195 : Document 32 : Centre Briançonnais de Géologie Alpine

Page 196 : Document 35 : Centre Briançonnais de Géologie Alpine

Page 197 : Document 36 : CFC Collectif, Biologie Géologie 1re SPage 198 : Document 38 : CFC Collectif, Biologie Géologie 1reSPage 199 : Document 40 : CFC : Collectif, Sciences de la Terre et de l'UniversPage 200 : Document 42 : D.R.

Page 202 : Document 44 : CFC : Collectif, La Vie et la Terre, 1re S

ENCART COULEUR :Page I : Documents El et E2 : © John Reader/SPL/Cosmos

Page I : Document E3 : Collection Musée de l'Homme, photo J. Oster

Page I : Documents E4 et E5 : Jean-Laurent MONNIER, La Préhistoire : les hommes du paléolithique © Éditions Ouest-France

Page Il : Document E6 : CFC : R. DELVERT

Page Il : Document E7 : haut droit : DR. ; haut gauche : F. DURAND © Sipa Press ; milieu droit et milieu milieu :MARCO POLO/F. BOUILLOT; milieu gauche : D.R.; bas (haut droit) : © Biophoto

Associates ; bas (haut milieu) : Dr J. PARINAUD © INSERM; bas (haut gauche) : D.R.

bas (bas milieu) : SPL/Astrid and Hanns Frieder Michler/COSMOS

Page III et IV : Document E8 :

Page IV : Document E9 : © Michel BOULÉTREAU

Page V : Document E10 : « L'adaptation », Richard Lewontin, L'évolution, © Éditions Pour la Science, 1979

Page V : Documents E11 et E12 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre - SecondePage VI : Document E13 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre, Terminale S, enseignement de spécialitéPage VI : Document E14 : CFC : J. P. FLOC'H

Page VI : Document E15 : Frank SMITH, La Terre © Armand COLIN, 1987

Page VII : Document E16 : D.R.

Page VII : Documents E17, E18, E19 et E20 : CHAUMETON/Laboue - NATURE

Crédit photographique – SN02 355

Page 20: SN02TE0-SEQUENCE-10.pdf

Page VII : Documents E21, E22 et E23 : CFC : B. DERUELLE, UPMC Paris VI

Page VIII : Document E24 : CFC : Collectif, Sciences de la Vie et de la Terre 1re SPage VII I: Document E25 : D.R.

Séquence 6 :Page 212 : © C. LIÈVRE

Page 213 : Colonne stratigraphique d’El Kef © C. LIÈVRE

Page 213 : Photos de Globigérines © C. LIÈVREPage 214 Document 4a : Nathan TS SVT – Collection Périlleux – 2002 ISBN : 2-09-172346-O – Page 376Page 214 Doc. 4b : Bordas TS SVT – Collection Tavernier – 2002 ISBN : 2-04-729584-X - Page 196

Page 216 : Doc. 6 : CFC - É. PÉRILLEUX, SVT Terminale S, Enseignement de spécialitéPage 217 : Doc. 8 : CFC - É. PÉRILLEUX, SVT Terminale S, Enseignement de spécialitéPage 218 Document 9a : Nathan TS SVT – Collection Périlleux – 2002 ISBN : 2-09-172346-O – Page 377Page 218 Document 9b : Bordas TS SVT – Collection Tavernier – 2002 ISBN : 2-04-729584-X - Page 197

Page 221 : Doc. 14 : CFC - R. TAVERNIER, SVT Terminale S

Séquence 7 :Page 230 : Doc. 1 : CFC - É. PÉRILLEUX, Biologie humainePage 231 : Doc. 2a : CFC - É. PÉRILLEUX, Biologie humainePage 231 : Doc. 2b : CFC - R. TAVERNIER, Biologie Terminale DPage 231 : Doc. 3 : CFC - Biophoto Ass./SPL/Cosmos

Page 232-233-234 : Docs. 4, 5, 6, 7, 8 : CFC - D’après A. JOST

Page 235 : Doc. 9 : CFC - R. TAVERNIER, SVT Terminale SPage 238 : Doc. 10 : CFC - É. PÉRILLEUX, Biologie humainePage 238 : Doc. 11 : CFC - Lennard NILSON

Page 238 : Doc. 12a : CFC - Ph. Biophoto Associates

Page 238 : Doc. 12b : CFC - D’après O. BUCHER, 1973, modifié

Page 239 : Doc. 13 : CFC - DM Phillips/Photo Researchers/Cosmos

Page 239 : Doc. 14 : CFC - Pr Georges PELLETIER/T

Page 240 : Doc. 15 : CFC - M. KAGER/SPL/Cosmos

Page 240 : Doc. 16 : CFC - C. CALAMAND, SVT Terminale SPage 242 : Doc. 18d : CFC - Pr H. DUVERNOY (Fac. médecine et pharmacie Besançon)

Page 242 : Doc. 19 : CFC - R. TAVERNIER, SVT Terminale SPage 243 : Doc. 20 : CFC - D’après A. CARATY - INRA de Nouzilly

Page 244 : Doc. 22g : CFC - M.C. LEVASSEUR, Ch. THIBAULT, La reproduction chez les mammifères et l’hommePage 245 : Doc. 23 : CFC - D’après A. CARATY - INRA de Nouzilly

Page 246 : Doc. 25 : CFC - D’après M. BLANC - INRA de Nouzilly

Page 249 : Doc. 28 : CFC - R. TAVERNIER, SVT Première ESPage 250 : Docs. 29, 30 : CFC - R. TAVERNIER, SVT Première ESPage 251-252 : Docs. 31, 32, 34, 35 : CFC - R. TAVERNIER, SVT Première ESPage 251 : Doc. 33 : CFC - Dr PYE/Petit format

Page 253 : Doc. 37 : CFC - R. TAVERNIER, SVT Terminale SPage 254 : Doc. 38 : CFC - R. TAVERNIER, SVT Terminale SPage 255 : Doc. 39 : CFC - D’après M. TOURNAIRE

Page 256 : Doc. 40 : CFC - R. TAVERNIER, SVT Terminale SPage 256 : Doc. 41a : CFC - J.C. THIERRY - INRA de Nouzilly

Page 256 : Doc. 41b : CFC - A. CARATY - INRA de Nouzilly

Page 258 : Doc. 43 : CFC - D’après A. CARATY - INRA de Nouzilly

Crédit photographique – SN02356

Page 21: SN02TE0-SEQUENCE-10.pdf

Séquence 8 :Page 271 : Doc. 2 : CFC - F.C. CHRÉTIEN

Page 271 : Doc. 3 : CFC - PÉRILLEUX, GOURLAOUEN, DEMOUNEM, Biologie Terminale DPage 272 : Doc. 4b : CFC - Collectif, Biologie Terminale DPage 275 : Doc. 7 : CFC - G. GODET, La reproduction humainePage 277 : Doc. 9 : CFC - R. TAVERNIER, SVT Terminale SPage 277 : Doc. 10 : CFC - BSIP

Page 280 : Doc. 12 : CFC - Ph. PAILLY/EURELIOS

Page 282 : Doc. 13 : CFC - É. PÉRILLEUX, SVT Terminale S ; Enseignement de spécialitéPage 282 : Doc. 14 : CFC - É. PÉRILLEUX, SVT Terminale S ; Enseignement de spécialitéPage 286 : Doc. 17 : CFC - É. PÉRILLEUX, SVT Terminale S

Séquence 9 :Page 295 : Doc. 1.1 : CFC - Institut Pasteur

Page 295 : Doc. 1.2 : CFC - CNRI

Page 295 : Doc. 1.3 : CFC - CNRI/Institut Pasteur

Page 295 : Doc. 1.4 : CFC - INSERM Photothèque (Pr D. CAMUS)

Page 295 : Doc. 1.5 : CFC - BSIP

Page 300 : Doc. 3 : CFC - Institut Pasteur

Page 300 : Doc. 4bg : CFC - Phototake CNRI - Carolina Biological Supply Company

Page 300 : Doc. 4bd : CFC - CNRI

Page 301 : Doc. 5 : CFC - Collectif, Biologie Terminale DPage 301 : Doc. 6 : CFC - Institut Pasteur

Page 302 : Doc. 7 : CFC - W. HASELINE, F. WONG-STAAL, Pour la Science n° special; La génétique du virus du SIDA

Page 302 : Doc. 8 : CFC - Cosmos/University medecine and dentistry of New Jersey/SPLPage 304 : Doc 11 : Hatier TS SVT – Collection Bergeron – 2002ISBN : 2-218-73785-X - Page 131

Page 305 : Doc 12 : Hatier TS SVT – Collection Bergeron – 2002ISBN : 2-218-73785-X - Page 131

Page 306 : Doc 12 (suite) : Bordas TS SVT – Collection Tavernier – 2002 ISBN : 2-04-729584-X - Page 370

Page 306 : Doc 13 : Nathan TS SVT – Collection Périlleux – 2002ISBN : 2-09-172346-O – Page 334

Page 307 : Doc 14 : Nathan TS SVT – Collection Périlleux – 2002 ISBN : 2-09-172346-O – Page 327

Page 309 : Doc. 15 : CFC - Collectif, Biologie Terminale DPage 310 : Docs. 16-17 : CFC - Collectif, Biologie Terminale DPage 310 : Doc. 18g : CFC - C. SAHANOUK/Institut Cabanel/Mr LAMBIN

Page 311 : Docs. 19-20 : CFC - CNRI/J.C. REVI

Page 312 : Doc. 21 : CFC - Collectif, Biologie Terminale DPage 313 : Doc. 23 : CFC - É. PÉRILLEUX, SVT Terminale SPage 313 : Doc. 24 : CFC - C. SAHANOUK/Institut Cabanel/Mr LAMBIN

Page 315 : Doc. 26g : CFC - Andrew SYRED/Science Photo Library

Page 315 : Doc. 26d : CFC - SECCKI-LECAQUE, Roussel UCLAF/CNRI

Page 315 : Doc. 27g : CFC - Carolina Biological Supply Company-Phototake/CNRI

Page 315 : Doc. 27d : CFC - SECCKI-LECAQUE, Roussel UCLAF/CNRI

Page 315 : Doc. 27 : CFC - Dr ARBEILLE/APBG/Tours

Page 316 : Doc. 28 : CFC - PÉRILLEUX, GOURLAOUEN, DEMOUNEM, Biologie Terminale DPage 317 : Doc. 29 : CFC - PÉRILLEUX, GOURLAOUEN, DEMOUNEM, Biologie Terminale DPage 321 : Doc. 33 : CFC - SECCKI-LECAQUE, Roussel UCLAF/CNRI

Page 322 : Doc. 34 : CFC - PÉRILLEUX, GOURLAOUEN, DEMOUNEM, Biologie Terminale DPage 323 : Doc. 35 : CFC - É. PÉRILLEUX, SVT Terminale SPage 324 : Doc. 36 : CFC - D.R./Archive Nathan

Crédit photographique – SN02 357

Page 22: SN02TE0-SEQUENCE-10.pdf

Crédit photographique – SN02358

Page 324 : Doc. 37 : CFC - Archive Nathan/Dr ZAGURY

Page 329 : Activité n° 1 : CFC - C. CALAMAND, SVT Terminale S

Séquence 10 :Page 340 : Doc. 1g : Gravure de Rombaldi – Paris, B.N. © Boyer-Viollet

Page 340 : Doc. 1d : Portrait de Pasteur dans son laboratoire, par Baschet © Collection Viollet

Page 342 : Doc. 4 : CFC - R. TAVERNIER, SVT Terminale SPage 343 : Doc. 7 : CFC - R. TAVERNIER, SVT Terminale SPage 347-348 : Docs. 9-10 : Jean-Paul LEVY

Page 349 : Activité n° 3 : Jean-Paul LEVY