Seniors Région - Parution Janvier 2011

www.seniorsregion.frAgenda des manifestationsdans la région

3e Forum des Seniors1/2 avril 2011- Marseille

Adoptez une bonnealimentation pouraffronter l’hiver

Dossier Santé

SpécialAudition

Séjours sportifsou bien-être : destination neige !

Édition Provence-Alpes-Côte d’AzurN°2 – Janvier/Février/Mars 2011

L’invité :Jean-PierrePernaut

2 Retrouvez toutes nos infos sur www.seniorsregion.fr

Interview

Un regardsur notre régionInterview de Eric Ciotti, Député et Président du Conseil général des Alpes-Maritimes

Quelles sont les actions menées par le Conseil général auprès des seniors des Alpes-Maritimes ?

Le Conseil général des Alpes-Ma-ritimes intervient sur plusieurs aspects, avec toujours le même objectif, l’accompagnement pour le maintien à domicile et la préser-vation de l’autonomie.

Il y a d’abord l’enjeu de l’héberge-ment, qui représente une véritable

diffi culté pour nombre de personnes âgées. Le schéma dépar-temental gérontologique 2006/2010 a permis d’ouvrir plus de 2 200 nouveaux lits, et le Conseil général est le premier dépar-tement en France à imposer d’offrir 20% de lits à prix modérés réservés aux personnes âgées éligibles à l’aide sociale pour tous les nouveaux projets de maison de retraite.

Il y a ensuite une offre de services, qui doit être adaptée pour répondre aux besoins des seniors. L’allocation personnalisée d’autonomie versée par le Conseil général permet aux per-sonnes âgées de fi nancer un service d’aide à domicile, des frais d’accueil temporaire dans des établissements, des travaux d’amélioration du logement, ou toute autre aide recommandée dans le cadre d’un plan personnalisé proposé par une équipe médico-sociale. 120 millions d’euros ont été dépensés en 2010 dont 80 millions pour 15 000 seniors qui peuvent ainsi rester chez eux. J’ai aussi le projet de créer prochainement une Mai-son des Seniors, destinée à apporter toute l’information néces-saire à cette population.

L’accès aux soins et la prise en charge des malades doivent aussi être intégrés pour une réponse complète. Un Plan départemental Alzheimer a été mis en place pour accompagner les malades. Il a permis l’autorisation de 203 places d’accueil de jour et 120 lits d’hébergement temporaire. Il doit permettre maintenant d’avancer sur la recherche, la qualité de vie des malades, la for-mation et l’information. Pour la question médicale, il existe aussi 4 maisons de santé rurales qui font un lien avec les personnes âgées résidentes de villages du haut-pays, une cinquième en projet, pour lesquelles le Conseil général a investit 634 440 € en locaux et 312 700 € en équipements.

Enfi n, j’ai tenu à ce que l’on inclue la protection des personnes dans notre réfl exion. La maltraitance des personnes âgées, plus

vulnérables, a été au cœur des débats, aussi le Département a engagé des actions très fortes afi n de renforcer la prévention de la maltraitance avec une mission d’accompagnement des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépen-dantes qui coûte 110 000 euros chaque année ; la création d’une cellule de contrôle associant l’ensemble des institutions et services qui ont vocation à contrôler les établissements ; la mise à disposition d’un psychologue pour l’antenne d’écoute, d’orientation et d’accès aux droits des victimes de maltraitance du CHU de Nice ; l’instauration d’un numéro vert accessible à tous, 0 800 746 606.

Il est important de souligner que, pour mener à bien toutes ces dispositions, que je veux volontaristes et solidaires, cette année le Conseil général consacre 500 millions d’euros à l’action so-ciale, dont 360 millions pour la santé et les solidarités.

Le Conseil général a récemment édité un guide spécial senior « le guide du Bien vivre ». D’où vous est venue l’idée ? Comment et où peut-on se le procurer ?

C’est un outil qui dresse la liste exhaustive de toutes les actions mises en place en faveur des seniors. Je voulais qu’il soit une source d’information, de conseils concrets, d’aide, de services, d’adresses et de numéros de téléphone utiles concernant aussi bien les lieux de vie, les divertissements, les déplacements, que les droits, la protection, ou encore les associations, les Centres Locaux d’Information et de Coordination, les Circonscriptions d’Action Médicale et Sociale. Il est disponible gratuitement dans les CLIC, les CAMS, les Centres Communaux d’Action Sociale et les Maisons du Département.

La dépendance est plus que jamais d’actualité, quel regard portez-vous sur le sujet ?

Avec l’allongement de la durée de vie, le nombre de personnes âgées de plus de 80 ans, particulièrement soumises au risque de dépendance, est en constante augmentation. Dans un même temps, avec l’amélioration des conditions du vieillissement, ces mêmes personnes souhaitent logiquement préserver leur autonomie et aspirent à vivre dans les meilleures conditions. Le rôle du Conseil général, c’est de les aider et les accompagner, notamment avec des services d’hébergement et des prestations comme l’allocation personnalisée d’autonomie.

2010 était une année clé puisqu’elle marquait le renouvelle-ment du schéma départemental gérontologique. J’ai souhaité que le Conseil général s’associe à l’INSEE, dans le cadre d’un partenariat sur le thème des personnes âgées dépendantes, afi n de mener une étude précise des projections dans les Alpes-Maritimes à l’horizon 2020. Elle montre que le taux de dépen-dance dans le département aura reculé de 1,3% entre 2005 et 2020, et que le nombre de personnes âgées dépendantes dans les Alpes-Maritimes aura progressé de 1,1% en 2020 alors que les autres départements de la région PACA oscillent entre 10,3 et 19,8%. Ce qui nous permet de jeter les bases du schéma 2011/2015 considérant l’évolution de la démographie et de la dépendance en privilégiant clairement le maintien à domicile.

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SommaireÉdito

Cher(s) lecteur(s),Vous pouvez désormais consulter notre magazine dans plus de 130 villes de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, et vous tenir ainsi informés des actualités et sujets qui vous intéressent.Dans ce numéro, Jean-Pierre Pernaut, invité de marque, nous parle entre autre de son dernier livre « L’Almanach 2011 des Régions » qui met à l’honneur nos régions ainsi que nos belles traditions françaises. Vous y trouverez également un dossier santé sur les problèmes de l’audition, véritable phénomène de société qui toucherait plus de sept millions de personnes en France. L’hiver est aussi une saison propice pour s’oxygéner et découvrir les trésors cachés de nos montagnes : nous vous avons sélectionné quelques destinations à découvrir ou à redécouvrir…sans modération.Enfi n, un grand merci aux 3300 professionnels de la santé de la région qui, chaque trimestre, vous donnent la possibilité de lire ce magazine dans leurs salles d’attente.Toute l’équipe de Seniors Région vous souhaite une excellente lecture et une très Bonne Année 2011 !Olivier MARTINDirecteur de la publication

Magazine consultable dans les salles d’attente de professionnels de santé de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Magazine consultable et téléchargeable sur www.seniorsregion.fr

Possibilité de recevoir le magazine à domicile moyennant une participation aux frais de port de 8€ : voir conditions de l’abonne-ment sur www.seniorsregion.frDirecteur de la publication : Olivier MARTIN – Directrice de la rédaction : Sabine BERTRAND – Graphiste : Luc PLAYOUST – Seniors Région est imprimé en Espagne et édité par 2M REGIE – SARL au capital de 4000 euros – 13, allée des Lauriers – 13124 PEYPIN – SIRET 522 495 225 RCS Marseille – Code APE : 7311Z – Tél : 04 42 82 72 09. Toute reproduction même partielle de tous les éléments parus dans le magazine « Seniors Région » et sur le site internet www.seniorsregion.fr est interdite. L’annonceur est seul respon-sable des informations contenues dans les annonces et garantit 2M REGIE contre toute condamnation prononcée à son encontre sur ce point. Malgré le soin apporté par la rédaction pour assurer l’exactitude des informations publiées, ces informations venant de sources très diverses, ni l’éditeur, ni l’imprimeur ne pourraient être tenus responsables d’éventuelles erreurs ou

omissions. Le directeur de la publication se réserve le droit d’interdire toute publication. Marque déposée à l’INPI sous le n°national 10 3 726 0 44 © 2M REGIE - 2010. Dépôt légal à parution – ISSN : 2110-8307. Ne pas jeter sur la voie publique. Sauf erreurs typographiques.

4 L’invité de Seniors Région

Santé & Bien-être 6 Un vrai problème de santé publique ! 8 Une défi cience diffi cile à vivre au quotidien 10 La correction auditive 12 Adoptez une bonne alimentation

Habitat & Confort 14 Attention aux murs humides !

Droit & Patrimoine 18 Les nouveautés du code de la route 20 Bien se protéger des risques de la vie 22 Faire face à la dépendance

des personnes âgées

Loisirs & Détente 24 Pour le plaisir... et pour le reste 26 Destination neige !

Animaux de compagnie 30 Bien nourrir nos amis du ciel

Activités en PACA 31 Agenda des manifestations en PACA

Cuisine & Saveurs 32 A la Chandeleur, l’hiver se

meurt ou prend vigueur » 33 Fiches cuisine


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Journaliste et animateur télé, Jean-Pierre Pernaut

est l’une des personnalités préférées des fran-

çais. Depuis près de 25 ans, il nous emmène à la

découverte des villes et villages de nos belles régions

de France dans son journal de « 13 heures » sur TF1.

Avec son nouveau livre, L’Almanach 2011 des régions,

il nous propose de découvrir de façon ludique les spé-

cifi cités locales de notre pays.

Vous qui portez autant d’intérêt aux régions et à leurs

traditions, connaissez-vous la région Provence-Alpes-

Côte d’Azur ?

Oui, mais pas très bien. Je la connais d’une part à tra-

vers les vacances que je passe près du Lavandou dans

le Var, où j’y vais avec bonheur depuis plus de 30 ans,

mais je la connais surtout par nos correspondants du

journal de « 13 heures » qui travaillent beaucoup pour

nous montrer l’actualité mais aussi les richesses patri-

moniales de cette magnifi que région.

Parlez-nous de votre nouveau livre, « L’Almanach

2011 des régions ».

Nous l’avons conçu comme un almanach dans lequel

nous racontons chaque jour des petites histoires très ra-

pides sur une ville, un village... Ce calendrier, ponctué de

devinettes et de citations, évoque tour à tour toute l’his-

toire de la France. Des fêtes, des monuments, des lieux,

des recettes, des personnages attachés à une région…

En France, nous avons des richesses extraordinaires que

nous essayons de montrer dans le journal de « 13 heures »

avec de belles images, de belles histoires sur des métiers

étonnants et des cultures très fortes. Les français sont véri-

tablement attachés à leurs racines. Je compare souvent

la France à une sorte de forêt où les régions, les villes

et les villages en sont les arbres avec leurs racines sous

la terre. Tout cela s’entremêle, s’entrelace ... mais chaque

arbre a sa racine principale avec des petites racines à

côté. Les racines, ce sont un peu les cultures françaises

avec leurs histoires et parfois leurs langues anciennes,

comme la langue nissarte qui reste encore parlée par les

anciens, ou encore le basque et le breton qui sont des

langues très fortes.

Jean-Pierre Pernaut,

l’ambassadeur des régions

L’invitéde Seniors Région

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D’où vous est venue l’idée de mettre à l’honneur les

régions de France?

Je suis d’origine picarde, je suis né à Amiens et j’y

ai vécu longtemps avant de travailler sur Paris. Autre-

fois, les journaux télévisés « nationaux » étaient des

« journaux parisiens » dans lesquels on ne parlait que

de l’actualité sur Paris. C’était un peu énervant, par

exemple pour moi qui ne vivais pas dans la capitale

(rires). Quand on m’a demandé en 1988 de rempla-

cer Yves Mourousi au journal de « 13 heures », la pre-

mière des choses a été de mettre en place un réseau

de correspondants régio-naux en partenariat avec les

presses quotidiennes régionales, comme La Provence

ou Nice Matin par exemple. Aujourd’hui, ce sont 19

bureaux régionaux avec 150 journalistes complète-

ment implantés dans les régions qui couvrent toute

l’actualité de la France. Je suis pour la proximité

avec les Français et j’ai donc fait le choix d’orienter

le journal vers un portrait de la France « en région »,

en remplaçant la partie « invités » en fin de journal

par des reportages sur notre patrimoine et nos diffé-

rentes cultures. On y parle aussi des métiers anciens,

ou en voie de disparition, qui sont appelés mainte-

nant des « métiers d’art » comme les ferronniers, les

vitraillistes, les charrons… Je suis très fier d’en parler

et de contribuer, je l’espère, à ce regain d’intérêt pour

ces « trésors nationaux ».

Gastronomiquement parlant, vous êtes plutôt

« cuisine du nord » ou « cuisine du sud » ?

Culturellement je suis plutôt un homme du nord où l’on

mange des plats qui réchauffent quand il fait froid, même

s’il ne fait pas si froid dans le nord (rires). Ma cuisine, c’est

la cuisine de Picardie comme les pâtés de canard, les

abats, le pot au feu ou les tripes à la mode de Caen... Mais

quand je vais dans le midi, je ne mange pas comme ça

bien sûr ! Je m’adapte aux produits de saison et je mange

local : salades, poisson grillés, aïolis... J’aime beaucoup me

rendre sur les marchés du Lavandou ou de Cavalière.

Comment

Je suis pd’habiter un beau jler, planteJ’ai aussenfants qça m’aidpeu de sans avesionnelsur glaMercanc’est trbeauc

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CuisineSaveurs

« À la Chandeleur, l’hiver se

meurt ou prend vigueur »

La Chandeleur se fête le 2 février, soit 40 jours après

Noël. Son nom vient du mot «chandelle». Tous les

ans, la tradition veut que l’on cuisine de délicieuses

crêpes à déguster avec la famille et les amis.

La Chandeleur marque la fi n des fêtes de Noël et c’est le

moment de démonter les crèches installées deux mois

plus tôt. En Provence, la tra-

dition veut que l’on aille faire

bénir une chandelle, puis

rentrer à l’intérieur des mai-

sons avec la chandelle allu-

mée. Si la chandelle s’éteint

avant, le présage est catas-

trophique. Une fois dans

la maison, la maîtresse de

maison fait le signe de croix

avec la chandelle allumée

devant chaque ouverture,

chaque porte et fenêtre,

pour protéger la maison de

la foudre. A l’occasion de la

Chandeleur, toutes les bou-

gies de la maison doivent être allumées.

Ensuite, c’est le moment des crêpes. Pour connaître la

prospérité pendant toute l’année, la tradition symbolique

est de faire sauter de la main droite et de faire retomber

correctement dans la poêle la toute première crêpe, en

tenant dans la main gauche une pièce d’or (par exemple

un Louis d’or) ou à défaut une pièce de monnaie. On dit

aussi que cette première crêpe confectionnée doit être

gardée dans une armoire et qu’ainsi les prochaines ré-

coltes seront abondantes. On place alors la pièce à l’inté-

rieur de la crêpe que l’on enroule et on met celle-ci à

l’abri dans l’armoire jusqu’à la prochaine chandeleur. La

crêpe de l’année précédente est jetée et la pièce donnée

à un pauvre.

La chandeleur, c’est aussi en Provence le moment des

fameuses navettes de Saint-Victor, du nom de l’Abbaye de

Saint-Victor de Marseille où

l’on bénissait des cierges

verts le jour de la chande-

leur. En forme de barque,

ces navettes représentent

l’accostage sur les rivages

des Saintes Maries par qui

l’évangile fut transmise aux

chrétiens. Marseille connaît

une tradition propre qui est

la montée de la Vierge Noire

de la crypte de Saint-Victor

dans la basilique supérieure

tous les 2 février. Chaque

année, sur la place Saint-

Victor, l’archevêque procède

à la bénédiction de la ville et de la mer, puis les fi dèles

en procession regagnent l’abbaye. La procession passe

par le Four des Navettes qui est, lui aussi, béni ainsi que

ses navettes. Le Four des Navettes est édifi é sur le territoire

de l’abbaye, il est la représentation symbolique de l’ancien

four de l’abbaye. La Vierge est ensuite redescendue dans

les cryptes où sont dites, pendant huit jours, des messes

toutes les heures. Au retour de la procession, les fi dèles rap-

portent les fameuses navettes qui sont traditionnellement

mangées en Provence pour la Chandeleur.

Source : www.notreprovence.fr/

Tradition

Boulettes de bœuf

provençales

Soupeà l’oignon

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LoisirsDétente

Découverte

Destination

neige !des Écrins : Vallouise, plus nature et patrimoine, est le

point de départ des activités de ski de fond, de raquettes

ou de randonnée hivernale ; Quant à Freissinières, c’est

une vallée protégée offrant des paysages grandioses

pour tout ceux qui souhaitent pratiquer le ski de fond et

la randonnée hivernale en ski, raquette ou à pied.

Idée séjour : Festival du Rire de Puy-Saint-Vincent du

22 au 29/01/2011 à partir de 224€/pers. Une semaine

de glisse, de rires et de rencontres insolites... venez

skier à petits prix, profi tez tous les soirs d’un spectacle

délirant et passez une soirée au restaurant du Fes-

tival, peut-être à la table d’une star du rire ! Séjour 6

jours / 7 nuits en appartement, forfaits de ski 6 jours,

passfestival (2 spectacles par soir du dimanche au

vendredi, avec Yves Lecoq en spectacle d’ouverture).

Informations et réservations : www.paysdesecrins.com -

www.reservations.paysdesecrins.com

Le SPA thermal du Mont-Blanc

Station thermale historique, la plus haute des Alpes,

Saint-Gervais est réputée pour sa source d’eau chaude

naturellement sulfurée, idéale pour la balnéothérapie et

la dermatologie depuis plus de 200 ans. A tester cet hi-

ver : les nouveaux bains en extérieur dans une eau à 38

degrés avec un parcours entre le Ying et le Yang. Sur 600

m², le spa thermal du Mont-Blanc offre un nouvel es-

pace de détente. Bains de vapeur, lit de bulles et d’eau,

alcôves d’hydromassage, sièges de massage, marche

à contrecourant... Ce rituel spa intérieur/extérieur allie

chaleur, minéralité, émotions et plaisir. Au fi l des es-

cales, le ressourcement est complet, la sérénité gagnée,

l’équilibre retrouvé. Informations et réservations :

www.spa-thermal-mont-blanc.com – 04 50 47 54 57

Un plaisir gastronomique : Valloire et sa bière

Galibier

Valloire, village de charme et première station de Mau-

rienne, vous propose de goûter une bière d’altitude

artisanale 100% authentique, inédit! La recette est

secrète…Du malt, du houblon et d’autres ingrédients

bien protégés font l’alchimie de cette bière unique, pour

donner deux nectars naturels : une bière blanche et une

autre ambrée bien caractérisées. Pour la première an-

née, 500 hectolitres de bière seront brassés à l’eau des

glaciers, l’eau de la fameuse Clapière au dessus de la

station. Cela représentera près de 66 000 bouteilles par

an ! Au programme cet hiver, après le ski ou à la place du

ski, des visites, des journées pour assister au brassage

artisanal et comprendre toutes les particularités des

bières comme en savoir plus sur le taux d’amertume.

Des balades en raquettes jusqu’à la micro-brasserie

sont aussi prévues. Informations et réservations : Offi ce

de Tourisme - 04 79 59 03 96 - www.valloire.net

Destination magique : un écolodge en Auvergne

À près de 1 200 mètres sur un plateau volcanique, l’Au-

vergne vous offre à vivre une montagne insolite pour des

vacances d’hiver inédites. Blotti au cœur du Parc Naturel

Régional des Volcans d’Auvergne, un espace secret pour

des sorties inoubliables en attelage de chiens de traîneaux,

à cheval ou à raquettes. Le soir venu, l’embrasement du

paysage au soleil couchant sur un magnifi que lac d’altitude,

avec en toile de fond les Monts du Cantal, vous transportera

dans une ambiance de Grand Nord. Un bain bouillonnant

à fl eur de lac, un moment d’intimité dans le sauna ou le

hammam nordique - en exclusivité en France - puis viendra

le temps du dîner avec une soupe chauffée chaque soir

au cœur du grand Cantou, lieu des veillées, mais aussi «

les partitions givrées de Sébastien » (cuisine semi-gastro-

nomique d’hiver à base de produits frais de proximité : feuil-

leté de Fourme d’Ambert et sa poire pochée, pot au feu de

canard et ses légumes oubliés, soupe glacée d’agrumes)

et les fondues de Daniel, à savourer à une table amie. Parce

qu’en hiver, l’écolodge se fait refuge de montagne avec son

service de bouillotes pour vous cajoler des nuits douillettes.

Informations et réservations : NEORIZONS - 1er spécia-

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- 01 56 28 01 46 - www.neorizons-travel.com

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DroitPatrimoine

Accident, maladie, décès… ces évènements

peuvent entraîner des frais ou une baisse de

revenu conséquents. Des contrats d’assurance

et de prévoyance permettent de vous protéger, vous et

vos proches.

Le conseil des experts de BNP Paribas.

76 % des Français estiment que « ne pas se protéger

des risques de la vie et de

leurs conséquences relève

de l’inconscience »(1). Vous

partagez cette opinion ?

Dans ce cas, ne tardez pas

à organiser la protection

de votre famille si vous ne

l’avez pas encore fait. Vous

gagnerez en sérénité !

Vous souhaitez avant tout

sécuriser l’avenir de vos

proches s’il vous arrivait

quelque chose ? L’assurance décès leur garantit le

versement d’un capital ou d’une rente pour maintenir

leur niveau de vie. En général, vous avez le choix entre

différentes formules. Par exemple, si vous avez encore

des enfants à charge, vous pouvez opter pour une rente

d’éducation exonérée d’impôt sur le revenu.

Vous êtes inquiet des conséquences qu’aurait un acci-

dent de la vie quotidienne sur votre existence ou celle

de vos proches ? Chaque année, les accidents de la

vie comme la chute, la noyade ou l’électrocution font 4

millions de victimes en France. Si la plupart s’en sortent

avec quelques blessures, d’autres doivent faire face à

un handicap voire en décèdent. Avec une garantie acci-

dents de la vie, vous assurez le versement d’indemnités

journalières en cas d’hospitalisation ou un capital en

cas de handicap ou décès. Près de 6,6 millions de Fran-

çais ont déjà opté pour ce type de couverture(2) !

Vous voulez rester bien couvert face à l’augmentation

des dépenses de santé ? Une complémentaire santé

adaptée à vos besoins vous permet de rester serein.

Par exemple, certaines mu-

tuelles proposent la prise

en charge des dépenses

non remboursées par la

Sécurité sociale, comme la

chiropractie ou l’ostéopa-

thie, ou encore des services

d’assistance, comme l’aide

à la vie quotidienne, bien

utiles en cas d’hospitalisa-

tion ou d’immobilisation.

Vous tenez à décharger

vos proches des tracas liés au fi nancement et à l’or-

ganisation de vos futures obsèques ? La prévoyance

obsèques vous permet d’y remédier, en organisant tout

à l’avance, ou simplement en versant un capital à vos

proches ou aux pompes funèbres. De plus en plus de

Français souscrivent une assurance obsèques, notam-

ment pour s’assurer que leurs dernières volontés soient

bien respectées.

(1) Étude menée par l’Observatoire de la Prévoyance de novembre

2008 à mars 2009.

(2) Source : FFSA et GEMA, juin 2010.

Bien se protéger

des risques de la vie

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Fabienne Ulrich. À

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SantéBien-être

L’audition est précieuse car elle joue un rôle déter-

minant dans notre existence et notre vie sociale.

La moyenne d’âge augmentant, il devient essen-

tiel d’en préserver durablement la pleine effi cacité.

12,7 % de la population déclare souffrir de défi cience au-

ditive, ce qui en fait un des handicaps les plus répandus

en France. A partir de 74 ans, la proportion est de 31% :

c’est la presbyacousie, perte d’audition naturelle due à

l’âge, dont la gêne induite n’est pas une fatalité si l’on a

recours aux aides auditives. Cependant, au prix d’une ré-

percussion importante sur leur vie quotidienne, 5 millions

de personnes ne sont pas appareillées(1), même pour

plus d’un million d’entre eux qui affi rment avoir une perte

sévère ou profonde de l’audition. Il existe aujourd’hui des

solutions effi caces et très discrètes pour améliorer la plu-

part des gênes auditives. Alors, pourquoi s’en priver?

Qu’est-ce que presbyacousie ?

S’il est courant de tendre l’oreille pour attraper une bribe

de conversation échappée dans le bruit ambiant, il l’est

beaucoup moins de faire évaluer son audition par un spé-

cialiste ou de s’équiper d’appareillages adaptés. Pourtant,

tout comme la presbytie marque le vieillissement naturel

des fonctions visuelles, la presbyacousie signe le déclin

tout aussi naturel du système auditif. A partir de 50 ans, ce

vieillissement est susceptible d’entraîner une dégradation

plus ou moins rapide et plus ou moins manifeste des facul-

tés d’audition, pouvant aller jusqu’à la surdité sévère.

Incidences de la presbyacousie

Selon les derniers chiffres existants, 12,7% de la population

seraient aujourd’hui atteints de défi ciences auditives, soit

7,6 millions de Français adultes(1). Parmi les plus de 60 ans,

un quart serait concerné. Principale forme de cette malen-

tendance, la presbyacousie plus ou moins invalidante en

fonction du bagage génétique de chacun et des exposi-

tions aux risques ototoxiques au cours de la vie... Elle l’est

d’autant plus que le problème devrait s’aggraver avec le

vieillissement annoncé de la population française. Les plus

de 60 ans formeraient en 2025 le tiers de la population…

et se trouveraient du même fait atteints de presbyacousie !

La surdité est d’ailleurs inscrite au rang des axes prioritaires

du plan national « Bien vieillir 2007-2009 ». Il est donc im-

portant d’agir et d’informer les futurs seniors des moyens

de prévention et de compensations possibles.

Les manifestations de la presbyacousie

Le développement de la perte auditive est souvent insi-

dieux. Le mécanisme de ce vieillissement est aujourd’hui

bien connu et référencé par les spécialistes. Caractérisée

par des troubles de plus en plus marqués de la compréhen-

sion de la parole dans le bruit, la presbyacousie se marque

par une lente aggravation des symptômes. A un premier

stade, les personnes touchées perçoivent moins bien les

sons aigus (comme les sonneries ou des chants d’oiseaux),

certains bruits stridents deviennent même insupportables

(moteur de motocyclette, cris d’enfants,…). Parallèlement,

la compréhension se fait diffi cile dans un milieu bruyant.

Au stade avancé, seules les voix fortes peuvent être per-

çues. En moyenne, entre la première gêne et une audition

insuffi sante pour maintenir une vie sociale satisfaisante, il

s’écoule environ 7 ans.

(1)Résultats de l’étude européenne EuroTrak 2009, conçue et exé-

cutée par Anovum pour l’organisation European Hearing Instrument

Manufactures Association (EHIMA)

Audition

Un vrai problème

de santé publique

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Journaliste et animateur télé, Jean-Pierre Pernaut est l’une des personnalités préférées des fran-çais. Depuis près de 25 ans, il nous emmène à la

découverte des villes et villages de nos belles régions de France dans son journal de « 13 heures » sur TF1. Avec son nouveau livre, L’Almanach 2011 des régions, il nous propose de découvrir de façon ludique les spé-cifi cités locales de notre pays.

Vous qui portez autant d’intérêt aux régions et à leurs traditions, connaissez-vous la région Provence-Alpes-Côte d’Azur ?

Oui, mais pas très bien. Je la connais d’une part à tra-vers les vacances que je passe près du Lavandou dans le Var, où j’y vais avec bonheur depuis plus de 30 ans, mais je la connais surtout par nos correspondants du journal de « 13 heures » qui travaillent beaucoup pour nous montrer l’actualité mais aussi les richesses patri-moniales de cette magnifi que région.

Parlez-nous de votre nouveau livre, « L’Almanach 2011 des régions ».

Nous l’avons conçu comme un almanach dans lequel nous racontons chaque jour des petites histoires très ra-pides sur une ville, un village... Ce calendrier, ponctué de devinettes et de citations, évoque tour à tour toute l’his-toire de la France. Des fêtes, des monuments, des lieux, des recettes, des personnages attachés à une région… En France, nous avons des richesses extraordinaires que nous essayons de montrer dans le journal de « 13 heures » avec de belles images, de belles histoires sur des métiers étonnants et des cultures très fortes. Les français sont véri-tablement attachés à leurs racines. Je compare souvent

la France à une sorte de forêt où les régions, les villes et les villages en sont les arbres avec leurs racines sous la terre. Tout cela s’entremêle, s’entrelace ... mais chaque arbre a sa racine principale avec des petites racines à côté. Les racines, ce sont un peu les cultures françaises avec leurs histoires et parfois leurs langues anciennes, comme la langue nissarte qui reste encore parlée par les anciens, ou encore le basque et le breton qui sont des langues très fortes.

Jean-Pierre Pernaut,l’ambassadeur des régions

L’invitéde Seniors Région

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L’invité

D’où vous est venue l’idée de mettre à l’honneur les régions de France?

Je suis d’origine picarde, je suis né à Amiens et j’y ai vécu longtemps avant de travailler sur Paris. Autre-fois, les journaux télévisés « nationaux » étaient des « journaux parisiens » dans lesquels on ne parlait que de l’actualité sur Paris. C’était un peu énervant, par exemple pour moi qui ne vivais pas dans la capitale (rires). Quand on m’a demandé en 1988 de rempla-cer Yves Mourousi au journal de « 13 heures », la pre-mière des choses a été de mettre en place un réseau de correspondants régionaux en partenariat avec les presses quotidiennes régionales, comme La Provence ou Nice Matin par exemple. Aujourd’hui, ce sont 19 bureaux régionaux avec 150 journalistes complète-ment implantés dans les régions qui couvrent toute l’actualité de la France. Je suis pour la proximité avec les Français et j’ai donc fait le choix d’orienter le journal vers un portrait de la France « en région », en remplaçant la partie « invités » en fin de journal par des reportages sur notre patrimoine et nos diffé-rentes cultures. On y parle aussi des métiers anciens, ou en voie de disparition, qui sont appelés mainte-nant des « métiers d’art » comme les ferronniers, les vitraillistes, les charrons… Je suis très fier d’en parler et de contribuer, je l’espère, à ce regain d’intérêt pour ces « trésors nationaux ».

Gastronomiquement parlant, vous êtes plutôt « cuisine du nord » ou « cuisine du sud » ?

Culturellement je suis plutôt un homme du nord où l’on mange des plats qui réchauffent quand il fait froid, même s’il ne fait pas si froid dans le nord (rires). Ma cuisine, c’est la cuisine de Picardie comme les pâtés de canard, les abats, le pot au feu ou les tripes à la mode de Caen... Mais quand je vais dans le midi, je ne mange pas comme ça bien sûr ! Je m’adapte aux produits de saison et je mange local : salades, poisson grillés, aïolis... J’aime beaucoup me rendre sur les marchés du Lavandou ou de Cavalière.

Comment entretenez-vous votre forme au quotidien ?

Je suis passionné par le jardinage et j’ai la chance d’habiter en région parisienne dans un endroit où j’ai un beau jardin et où je passe beaucoup de temps. Tail-ler, planter, ramasser des feuilles mortes, j’adore ça ! J’ai aussi la chance d’avoir une famille avec des petits enfants qui ont 7 et 8 ans et jouer au football avec eux, ça m’aide à garder la forme (sourire). Je fais aussi un peu de sport, notamment du sport automobile depuis six ans avec mon fi ls aîné qui est lui un pilote quasi profes-sionnel. Nous participons au Trophée Andros de course sur glace et je serai de passage à Isola 2000 dans le Mercantour les 7 et 8 janvier prochains. Le sport auto, c’est très physique et même quand on a 60 ans, ça aide beaucoup à garder la pêche !

L’Almanach 2011 des RégionsJean-Pierre PernautEditions Michel Lafon336 pages - Prix : 19,95 €


SantéBien-être

L’audition est précieuse car elle joue un rôle déter-minant dans notre existence et notre vie sociale. La moyenne d’âge augmentant, il devient essen-

tiel d’en préserver durablement la pleine effi cacité.

12,7 % de la population déclare souffrir de défi cience au-ditive, ce qui en fait un des handicaps les plus répandus en France. A partir de 74 ans, la proportion est de 31% : c’est la presbyacousie, perte d’audition naturelle due à l’âge, dont la gêne induite n’est pas une fatalité si l’on a recours aux aides auditives. Cependant, au prix d’une ré-percussion importante sur leur vie quotidienne, 5 millions de personnes ne sont pas appareillées(1), même pour plus d’un million d’entre eux qui affi rment avoir une perte sévère ou profonde de l’audition. Il existe aujourd’hui des solutions effi caces et très discrètes pour améliorer la plu-part des gênes auditives. Alors, pourquoi s’en priver?

Qu’est-ce que presbyacousie ?

S’il est courant de tendre l’oreille pour attraper une bribe de conversation échappée dans le bruit ambiant, il l’est beaucoup moins de faire évaluer son audition par un spé-cialiste ou de s’équiper d’appareillages adaptés. Pourtant, tout comme la presbytie marque le vieillissement naturel des fonctions visuelles, la presbyacousie signe le déclin tout aussi naturel du système auditif. A partir de 50 ans, ce vieillissement est susceptible d’entraîner une dégradation plus ou moins rapide et plus ou moins manifeste des facul-tés d’audition, pouvant aller jusqu’à la surdité sévère.

Incidences de la presbyacousie

Selon les derniers chiffres existants, 12,7% de la population seraient aujourd’hui atteints de défi ciences auditives, soit

7,6 millions de Français adultes(1). Parmi les plus de 60 ans, un quart serait concerné. Principale forme de cette malen-tendance, la presbyacousie plus ou moins invalidante en fonction du bagage génétique de chacun et des exposi-tions aux risques ototoxiques au cours de la vie... Elle l’est d’autant plus que le problème devrait s’aggraver avec le vieillissement annoncé de la population française. Les plus de 60 ans formeraient en 2025 le tiers de la population… et se trouveraient du même fait atteints de presbyacousie ! La surdité est d’ailleurs inscrite au rang des axes prioritaires du plan national « Bien vieillir ». Il est donc important d’agir et d’informer les futurs seniors des moyens de prévention et de compensations possibles.

Les manifestations de la presbyacousie

Le développement de la perte auditive est souvent insi-dieux. Le mécanisme de ce vieillissement est aujourd’hui bien connu et référencé par les spécialistes. Caractérisée par des troubles de plus en plus marqués de la compréhen-sion de la parole dans le bruit, la presbyacousie se marque par une lente aggravation des symptômes. A un premier stade, les personnes touchées perçoivent moins bien les sons aigus (comme les sonneries ou des chants d’oiseaux), certains bruits stridents deviennent même insupportables (moteur de motocyclette, cris d’enfants,…). Parallèlement, la compréhension se fait diffi cile dans un milieu bruyant. Au stade avancé, seules les voix fortes peuvent être per-çues. En moyenne, entre la première gêne et une audition insuffi sante pour maintenir une vie sociale satisfaisante, il s’écoule environ 7 ans.

(1)Résultats de l’étude européenne EuroTrak 2009, conçue et exé-

cutée par Anovum pour l’organisation European Hearing Instrument

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Des préjugés tenaces

Signe extérieur de vieillesse pour les uns, signe révélateur de faiblesse mentale pour les autres, la malentendance souffre depuis des siècles du poids de préjugés tenaces. « Dans l’imaginaire populaire, l’aveugle est celui que l’on plaint, le sourd celui dont on rit, constate le professeur Bruno Frachet, Chef du service ORL à l’Hôpital Avicenne AP-HP Bobigny, et président de l’association FrancePres-byAcousie. La connotation est tenace ». Elle a surtout des conséquences douloureuses pour des personnes qui préfèrent encore régulièrement dissimuler leurs défauts d’audition et tenter de compenser les défi ciences plutôt que de s’appareiller et de prendre le risque de s’expo-ser aux regards et railleries. Avec une perte moyenne de 33 décibels qui n’affecte pas encore la conversation au quotidien, seulement 10% des malentendants sont appareillés. Ils sont 55% avec une perte moyenne de 45 décibels, avec laquelle les diffi cultés de compréhension sont bien plus diffi ciles à masquer.

Une gêne sociale grandissante

Ce poids d’un regard extérieur nourri de clichés s’ac-compagne d’une diffi culté réelle à communiquer avec son environnement social. La presbyacousie entraîne en priorité une perte des fréquences aiguës, celles qui com-posent principalement la voix humaine. Une personne presbyacousique moyenne âgée de 60 à 70 ans aura une baisse moyenne de 60% sur ces fréquences aiguës et seulement 10% sur les fréquences graves. En découle une diffi culté grandissante à distinguer les consonnes (portées par moins d’énergie dans la voix, et donc moins perceptibles que les voyelles). Puis les voix chuchotées,

les dictions accélérées et certaines voix familières se brouillent à leur tour. Cette gêne à entendre entraîne une diffi culté croissante à communiquer. « Le malenten-dant perd une forme de spontanéité puisqu’il est obligé de discerner le propos de son interlocuteur avant de le comprendre et de lui répondre », atteste Jens Kofoed de l’association France PresbyAcousie. Les souffrances psychologiques et la tentation d’un isolement croissant sont les résultantes aussi naturelles que redoutables de ces situations de gêne sociale.

La perte d’audition, un risque d’exclusion sociale à combattre

Enquêtes et études scientifi ques confi rment et corro-borent ces constats d’isolement et d’exclusion. Des enquêtes de la Direction générale de la Santé en 2003 éclairaient également un lien entre la presbyacousie et la fréquence des accidents domestiques. Les études démontrent de même l’importance de la prise en charge pour prévenir et limiter ces risques. Une étude du CNRS menée dans la région lyonnaise auprès de plusieurs centaines de malentendants a récemment montré que le sentiment de dépression diminuait nettement au bout de six mois chez ceux qui s’étaient appareillés. Par ail-leurs, une récente étude à l’initiative du Grap (Groupe de recherche Alzheimer Presbyacousie), conduite entre 2004 et 2007, montre de son côté que le risque de dé-velopper une maladie dégénérative de type Alzheimer serait 2,48 fois plus élevé chez les sujets atteints de sur-dité qui ressentent une gêne sociale importante.

Source : Dossier de presse « L’appareillage auditif en France : toujours

un tabou ? » - Association France PresbyAcousie - 24/11/2010

Une défi cience diffi cileà vivre au quotidien

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La correction auditive

L’enquête EuroTrak 2009 montre que 86 % des utilisa-teurs sont satisfaits de leurs appareils auditifs et que les appareils améliorent la majorité des aspects de

leur vie sociale. Porter une aide auditive a une infl uence positive sur la capacité de communiquer en famille et sur la participation aux activités de groupe. Il y a un bénéfi ce des aides auditives non seulement pour la personne – réécouter de la musique, regarder de la musique en famille ou avec des amis... – mais aussi pour l’entourage et la collectivité constatant une meilleure participation de la personne à la vie en société, et une préservation de son autonomie.

Réussir votre correction auditive

Il est capital de réagir dès les premiers signes d’une gêne auditive. Plus la baisse de l’audition est traitée tôt, plus vite vous retrouverez une audition satisfaisante. Lorsque l’audi-tion est corrigée précocement, vous avez préservé dans votre mémoire la plupart de vos repères auditifs, ce qui rend beaucoup plus facile l’adaptation à vos aides auditives.

Retrouver le plaisir de mieux entendre

En améliorant votre confort auditif, vous retrouvez des relations normales avec votre entourage et profi tez d’une nouvelle qualité de vie. Les réunions familiales, les sorties entre amis redeviennent des moments forts que vous ai-mez partager avec vos proches. Vous retrouvez également des sons et des sensations oubliés qui feront de chaque nouvelle étape un encouragement à mieux entendre.

Deux professionnels de l’audition à votre écoute

L’oto-rhino-laryngologiste (ORL) est un médecin spécialisé dans l’examen et le traitement médical des oreilles, du nez

et de la gorge. Il a un rôle important dans l’information du patient et de sa famille. Le médecin ORL établit le diagnostic de surdité, recherche les causes de la défi cience auditive et évalue la baisse de l’audition. C’est lui qui délivre le certifi cat médical indispensable à l’acquisition de vos aides auditives.

L’audioprothésiste a pour mission d’améliorer vos capaci-tés auditives. Sur la base du bilan et du diagnostic réalisés par le médecin ORL et après un entretien approfondi avec vous, il vous conseille la solution la mieux adaptée à vos besoins. Il se charge de l’adaptation et du contrôle d’effi ca-cité de vos aides auditives. Il vous explique comment utiliser celles-ci et procède ensuite à des contrôles réguliers afi n de vous garantir un confort d’audition durable.

La recherche de la meilleure solution : des aides auditives parfaitement adaptées à vos besoins

Le choix d’une solution auditive est un moment impor-tant. Toujours plus minis, plus technos et plus design, les nombreux modèles d’appareils sont de mieux en mieux adaptés aux besoins de malentendants: contour, intra-auriculaire, système Open ou RIC (avec écouteur déporté dans le conduit auditif). Chaque cas de baisse de l’audition est particulier, c’est pourquoi le conseil de votre audioprothésiste est déterminant dans le choix de vos aides auditives. Lui seul peut vous proposer une ré-ponse adaptée à vos besoins. Les tout derniers modèles, par exemple ceux de Siemens ou de Phonak, s’adaptent automatiquement à l’environnement sonore. La directi-vité des sons est maintenant respectée, plus besoin de se retourner pour entendre un son venant de l’arrière !

Source : Le Guide de l’Audition - Audition Conseil, 1er réseau d’audio-

prothésistes indépendants en France

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Pour aller plus loinTest de dépistage par téléphone : 0892 790 791 (0,34 €/mn)

L’Association France PresbyAcousie propose au public de tester son audition par des tests sonores ( www.hein-test.fr) . C’est le seul test téléphonique médica-lement validé. Il teste la compréhension de la parole dans le bruit et dépiste vraiment les premières gênes dues à la presbyacousie. Ce service a déjà reçu plus de 55 000 appels.

Sur Internet : http://francepresbyacousie.org/

Promotion du dépistage et de la compréhension de la perte auditive, informations sur les solutions d’appareillage.

La prise en charge fi nancièreLe coût d’un équipement de deux appareils varie entre 1 400 et 4 400 € selon le type de l’appareil et le distributeur.

La Sécurité sociale

Les modalités de remboursement se font en fonc-tion de l’âge : les plus de 21 ans bénéfi cient d’un remboursement égal à 65 % d’un tarif forfaitaire de 199,71 €, complété par les mutuelles ; les moins de 20 ans et les malvoyants bénéfi cient d’un rem-boursement égal à 65 % du T.I.P.S. (Tarif Interminis-tériel des Prestations Sanitaires). Dans le cas d’un appareillage stéréophonique, les deux appareils sont pris en charge de façon identique.

Les mutuelles

Les mutuelles remboursent 2 à 5 fois la base Sé-curité sociale, voire la totalité, selon les contrats. Renseignez-vous auprès des organismes dont vous dépendez.

La CMU

Les personnes bénéfi ciaires de la CMU ont droit à une prise en charge spécifi que. Pour en savoir plus, adressez-vous à votre audioprothésiste. Il existe des accords de réseaux entre audioprothésistes et mu-tuelles avec des réductions importantes sur les prix pratiqués.

L’allocation forfaitaire d’entretien

Vous avez droit à une allocation forfaitaire an-nuelle de 36,59 € par aide auditive qui couvre l’achat des piles et de vos produits d’entretien. Pour en bénéficier, vous devez justifier d’une fac-ture et d’une feuille de soins. Pensez à demander ce justificatif à votre audioprothésiste.

Sources : Dossier de presse « L’appareillage auditif en France :

toujours un tabou ? » - Association France PresbyAcousie -

24/11/2010 / Le Guide de l’Audition - Audition Conseil, 1er réseau

d’audioprothésistes indépendants en France

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SantéBien-ÊtreNutrition

L’hiver est là et pour lutter contre tous ses petits désagréments qui arrivent avec lui, votre façon de vous nourrir compte beaucoup. Car la qualité de

votre alimentation va vous permettre de conserver un bon état immunitaire et de passer cette saison froide dans les meilleures conditions. Du point de vue nutri-tionnel, les points importants à vérifi er seront donc l’apport énergétique, l’apport en protéines, en calcium, et en vitamine D.

Veillez à un apport énergétique suffi sant

L’une des idées reçues en ce qui concerne l’alimentation est que, lorsque l’on vieillit, on a besoin de moins man-ger. Pourtant cela ne s’avère pas toujours vrai ! Si vous conservez chaque jour une activité physique comme la marche ou que votre mode de vie n’a pas changé depuis votre retraite, votre besoin énergétique ne diminue pas. Il ne faut donc pas vous laisser aller à réduire vos rations alimentaires, car le risque de dénutrition existe réelle-ment, avec pour conséquence d’affaiblir l’organisme, et de le rendre plus sensible aux pathologies de l’hiver. En tout état de cause, l’apport énergétique ne devrait jamais être inférieur à 1500 kcal/jour, ou exprimé en fonction du poids, à 30 kcal/kg.

L’importance des protéines

Deuxième point important : la suffi sance de l’apport pro-tidique. Cet apport est essentiel puisque les protéines, entre tous les rôles qu’elles jouent au sein de notre orga-nisme, servent notamment à la fabrication de la masse musculaire et à la fabrication des anticorps. Si l’apport en protéines n’est pas suffi sant, il y a perte de masse mus-

culaire, puisque l’organisme ira «récupérer» les protéines dont il a besoin pour assurer la synthèse de nombreuses molécules (enzymes...) là où il y en a en grandes quan-tités, c’est à dire dans les muscles, avec pour corollaire la destruction du muscle. Le vieillissement induisant par ailleurs une fonte musculaire, il est inutile que vous l’ac-célériez par une carence alimentaire en protéines. En ce qui concerne la résistance et la lutte contre les infections, notre organisme fabrique des anticorps qui ont une struc-ture protéique. Si l’apport en protéines n’est pas suffi sant, la fabrication de ces anticorps sera défi ciente et votre organisme ne pourra pas lutter effi cacement contres les maux de l’hiver. Un banal rhume peut devenir grave et entraîner des problèmes majeurs en termes de santé. Le besoin en protéines est quotidien, puisqu’il n’y a pas de réserves en protéines, à l’exception de la masse muscu-laire. L’apport journalier doit être de l’ordre de 1 g à 1,2 g par kilogramme de poids, soit pour une personne pesant 70 kg, un apport de 70 à 84 g de protéines. Cet apport sera atteint avec la consommation de 3 à 4 produits laitiers, et 150 g de viande ou poisson ou œufs sur la journée.

L’apport en calcium et en vitamine D

Troisième aspect de votre alimentation : la lutte contre l’ostéoporose, maladie qui se caractérise par une fragi-lisation des os et donc des risques de fractures accrues. Bien sûr, cette ostéoporose est très connue pour la femme post-ménopausique qui, du fait de la modifi cation hormo-nale à cette période de la vie, devient plus sensible à la perte de masse osseuse. Ce que l’on sait moins, c’est que l’ostéoporose atteint les personnes des deux sexes au-delà de 75 ans, et que la prévention est autant nécessaire auprès des hommes que des femmes. A partir de 65 ans,

Adoptez une bonnealimentation

vos besoins en calcium sont augmentés, parce que l’utili-sation du calcium ainsi que son absorption au niveau in-testinal sont moins effi caces : il vous faudra donc plus de calcium pour atteindre le même résultat. Votre besoin en calcium est estimé à 1200 mg/jour. Le calcium des pro-duits laitiers reste le mieux absorbé : 1 yaourt apporte 150 mg de calcium, 30g de Comté en apporte 300 mg, quant au fromage de chèvre et autres fromages «à tartiner», type Saint Môret, ils apporteront 30 mg de calcium par portion de 30g. Variez donc vos produits laitiers et privilégiez ceux dont l’apport calcique est conséquent.

Le complément calcique sera apporté par les légumes (épinards, fenouil, brocoli, haricots verts) et les fruits (orange, châtaigne, kiwi, cassis). Il semblerait aussi qu’une consommation importante de végétaux riches en phyto-oestrogènes permette de diminuer l’incidence de l’ostéoporose : les pays asiatiques, gros consomma-teurs de soja (riche en isofl avones), sont moins touchés par cette maladie. Ces végétaux riches en phyto-oestro-gènes sont donc le soja, mais aussi le blé, les lentilles, le maïs, l’ail, les carottes et les poires. Enfi n, certaines eaux de boisson apportent du calcium : si vous consommez de l’eau minérale embouteillée, une seule règle d’or, lisez les étiquettes ! Mais, le calcium a besoin de la vitamine D pour être absorbé et utilisé. La vitamine D est principale-ment fabriquée par l’organisme sous l’action des rayons du soleil. A partir d’un certain âge, cette synthèse s’effec-tue moins bien et la rareté des rayons de soleil en hiver diminue encore les capacités de synthèse. Or, sans vita-mine D, l’apport en calcium n’a pas grande utilité. Il vous faudra donc veiller à augmenter l’apport alimentaire de la vitamine D et manger sans modération pendant cette période saumon, hareng, sardine, thon, truite, maquereau, huître, œufs, foie et champignons !

Stéphanie Ealet - EMAS Consulting

Diététique et conseil en image - Tel : 06 474 734 67

Mon conseilMangez suffi samment, variez vos plats et n’oubliez pas les épices pour les rendre savoureux. Votre alimentation idéale sera composée tous les jours de 150g de viande, poisson ou œufs, 350g de légumes crus et/ou cuits, 150g (poids cru) de féculents, 2 cuillères à soupe d’huile, 3 produits laitiers et 2 fruits.

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Ce n’est pas parce que vos articulations prennent de l’âge, qu’il faut s’arrêter de vivre et les subir au quotidien. Il suffi t de prendre quelques précautions, d’adopter de bons gestes pour préserver vos articulations et surtout être à l’écoute de votre corps.

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La présence d’humidité sur les murs intérieurs ou extérieurs est le signe que votre maison est confrontée à des problèmes d’humidité dont l’ori-

gine et la nature peuvent s’avérer multiples et com-plexes. Les problèmes d’humidité des murs sont ren-dus visibles par des tâches d’humidité, de l’eau qui ruisselle, des moisissures, des champignons, l’appa-rition de salpêtre, etc… Écaillage de la peinture, clo-quage des enduits, décollement du papier peint, pour-rissement des boiseries, ce ne sont que quelques-unes des conséquences désagréables engendrées par les murs humides. Sans compter qu’un milieu humide est malsain pour les habitants et peut entraîner des pro-blèmes respiratoires ou des allergies chez les enfants et les personnes âgées.

Des causes diverses

Certains défauts de construction (une mauvaise isola-tion, un défaut de drainage, une mauvaise ventilation…), des problèmes accidentels (un dégât des eaux, une tuile manquante…) ou des phénomènes quotidiens (la respiration des personnes, les activités ménagères…) engendrent l’apparition de remontées capillaires, de condensation ou d’infi ltrations. En cas de condensation, l’air intérieur de vos pièces étant humide, il se trans-forme en eau au contact des murs ou fenêtres froids. Une remontée capillaire sur un mur se caractérise par une remontée de l’eau contenue dans le sol, à contrario les infi ltrations sont dues à des fi ssures locales ou des matériaux poreux qui ne sont plus imperméables. Une fois la cause diagnostiquée, vous pourrez traiter l’humi-dité en fonction de son importance.

Ventilation naturelle ou mécanique ?

Si l’humidité de vos murs est peu importante, il s’agit peut-être d’un simple problème de ventilation. La ven-tilation est la solution la plus effi cace pour lutter contre l’humidité due à la condensation à l’intérieur de votre logement, notamment dans les pièces humides (salle de bain, toilettes, cuisine). Elle peut être complétée par

un absorbeur d’humidité lorsque cela est nécessaire. La ventilation naturelle de vos pièces se fait par l’instal-lation de grilles d’aération hautes et basses (fenêtres, portes...) : pas besoin de moteur et le tirage se fait na-turellement avec les différences de température et de pression du vent entre l’intérieur et l’extérieur de votre logement. Pour installer votre ventilation naturelle, vous pouvez faire appel à un professionnel qui vous conseil-lera sur le choix et la disposition des grilles d’aération.

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Conformément à la loi n°78.17 du 6 Janvier relative à l’informatique, vous bénéficiez d’un droit individuel d’accés et de rectification pour les données vous concernant.


HabitatConfort

La ventilation naturelle seule peut fonctionner si elle est bien pensée mais elle est souvent inadaptée aux loge-ments actuels et donc ineffi cace : trop forte en hiver (courants d’air) et pas assez effi cace en été (conden-sation), possibilité de bouchage des grilles d’aération à cause de saletés…

Un autre type de ventilation est la ventilation mécanique contrôlée (VMC), un dispositif motorisé qui permet le renouvellement de l’air à l’intérieur des pièces d’une maison. La VMC simple fl ux fonctionne en continu : l’air extérieur pénètre par des entrées d’air placées dans les pièces de vie (chambres, séjour) géné-ralement au niveau des fenêtres, puis il est rejeté dans des bouches d’ex-traction placées dans les pièces humides (toilettes, cuisine, salle de bain). La VMC double fl ux, plus com-plexe d’entretien et plus chère, est équipée d’un échangeur thermique qui récupère la chaleur des pièces comme la cuisine ou la salle de bain. Cette cha-leur permet de préchauffer l’air qui arrive de l’extérieur et l’air neuf, ainsi réchauffé, est envoyé dans les pièces de vie par des bouches d’insuffl ation.

Les traitements de surface et les traitements en profondeur

Les traitements de surface permettent de lutter super-fi ciellement contre l’humidité. Il s’agit de diverses solutions qui imperméabilisent les surfaces poreuses ou fragilisées, refuges de l’humidité. Chaque traite-ment s’attaque à un problème spécifi que : étanchéité, mousse, salpêtre, condensation... Tous n’agissent pas de

la même manière, c’est pourquoi l’on distingue : les hy-drofuges de surface qui imperméabilisent les matériaux poreux sans en changer l’apparence, ni les mécanismes de diffusion de la vapeur d’eau (ils laissent les surfaces « respirer ») ; les peintures anti humidité , à la fois pein-ture et traitement de surface, créent une sorte de fi lm hydrophobe sur la surface traitée, tout en la colorant ; les enduits anti humidité ont un effet « bouche-pore » effi cace qui empêche les surfaces de respirer ; enfi n, les

traitement anti mousse qui, comme le nom l’indique, empêchent le développe-ment des mousses.

Un des traitements en pro-fondeur pour lutter contre l’humidité, notamment celle due aux remontées capillaires, est l’assèche-ment des murs qui se fait grâce à un boîtier électro-nique placé directement sur le mur. Grâce à ses deux électrodes, le boîtier émet dans le mur de faibles impulsions électriques vers le sol. Cela inverse la pola-

rité des champs électromagnétiques naturellement pré-sents dans le mur et chasse l’eau vers le sol. L’assèche-ment des murs, procédé naturel et écologique, n’abîme absolument pas les murs et convient très bien aux murs anciens ou fragiles. D’autres solutions sont également possibles, comme l’injection de résine, le drainage, la pose d’une membrane d’étanchéité ou le cuvelage. Mais la mise en œuvre de ces techniques est très complexe et il est indispensable de faire appel à un professionnel spécialisé pour un résultat effi cace dans le long terme.

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Comment traiterl’humidité ?

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ce type ne prend que quelques heures et vous garantit de nombreuses années de confort et de satisfaction.

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DroitPatrimoine

Un décret apportant plusieurs modifi cations au code de la route a été publiée au Journal Offi ciel en novembre dernier. Piétons priori-

taires, passage des vélos à certains feux rouges, for-mation obligatoire pour les scooters... Voici les princi-pales nouveautés au 1er janvier 2011.

Les piétons deviennent prioritaires partout

Désormais, le piéton n’a plus besoin de se trouver sur un passage protégé pour être prioritaire. Lorsqu’il s’engage sur la chaussée ou montre de façon claire son intention de traverser, les véhicules doivent lui céder le passage. L’automobiliste qui ne respecte pas ce nouveau principe est passible d’une amende de 135 € et d’un retrait de 4 points sur son permis. Toutefois, si un passage piéton est situé à moins de 50 mètres du piéton, ce dernier doit obligatoirement l’emprunter.

Un examen obligatoire pour les scooters

Le nouveau code de la route prévoit une formation de 7 heures pour tous ceux qui désirent conduire un scoo-ter de cylindrée inférieure ou égale à 125 cm3, sauf s’ils en ont utilisé un dans les cinq dernières années. Jusqu’à

présent, la simple détention du permis B autorisait la libre conduite de ces deux-roues.

Feu rouge autorisé pour les cyclistes

Autre nouveauté, et pas des moindres, la possibilité pour les cyclistes de franchir librement les feus rouges afi n de tourner à droite à certains carrefours signalés par la présence d’un nouveau panneau, le « tourne-à-droite ». Chaque maire devra défi nir pour sa commune les carrefours présentant toutes les conditions de sécu-rité pour cette nouvelle mesure. Mais les vélos ont tou-jours l’obligation de laisser passer les piétons protégés par le feu rouge.

Vie quotidienne

Les nouveautésdu code de la route

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&Je n’arrive plus à payer mon loyer... Que faire ? Alerter le propriétaire - bailleurDès que la situation se fait diffi cile, le locataire a tout intérêt à prévenir son bailleur qui se montrera certaine-ment plus compréhensif que s’il est mis devant le fait accompli. L’objectif est de trouver des solutions en com-mun, comme diminuer le montant du loyer en échange de quelques services par exemple.

S’adresser à la caisse d’allocations familialesParallèlement, le locataire qui rencontre des diffi cultés de paiement peut s’adresser à la caisse d’allocations familiales (CAF) dont il dépend. Celle-ci attribue, sous conditions de ressources, certaines prestations qui al-lègent le coût du loyer, comme l’aide personnalisée au logement (APL), l’allocation de logement familiale (ALF) ou l’allocation de logement sociale (ALS).

Faire appel aux services sociauxSi la situation personnelle du locataire se dégrade et si les diffi cultés fi nancières perdurent, il est possible de s’adresser à l’assistant(e) social(e) du CCAS de la ville de résidence du locataire ou à celui du Conseil général du département. En effet, ce dernier propose un Fonds de Solidarité pour le Logement (FLS) pour aider les plus défavorisés à régler leurs dettes locatives, de factures d’eau, d’énergie et de téléphone. La plus belle façon de vivre votre nouvelle vie.

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DroitPatrimoine

Accident, maladie, décès… ces évènements peuvent entraîner des frais ou une baisse de revenu conséquents. Des contrats d’assurance

et de prévoyance permettent de vous protéger, vous et vos proches.

Le conseil des experts de BNP Paribas.

76 % des Français estiment que « ne pas se protéger des risques de la vie et de leurs conséquences relève de l’inconscience »(1). Vous partagez cette opinion ? Dans ce cas, ne tardez pas à organiser la protection de votre famille si vous ne l’avez pas encore fait. Vous gagnerez en sérénité !

Vous souhaitez avant tout sécuriser l’avenir de vos proches s’il vous arrivait quelque chose ? L’assurance décès leur garantit le versement d’un capital ou d’une rente pour maintenir leur niveau de vie. En général, vous avez le choix entre différentes formules. Par exemple, si vous avez encore des enfants à charge, vous pouvez opter pour une rente d’éducation exonérée d’impôt sur le revenu.

Vous êtes inquiet des conséquences qu’aurait un acci-dent de la vie quotidienne sur votre existence ou celle de vos proches ? Chaque année, les accidents de la vie comme la chute, la noyade ou l’électrocution font 4 millions de victimes en France. Si la plupart s’en sortent avec quelques blessures, d’autres doivent faire face à

un handicap voire en décèdent. Avec une garantie acci-dents de la vie, vous assurez le versement d’indemnités journalières en cas d’hospitalisation ou un capital en cas de handicap ou décès. Près de 6,6 millions de Fran-çais ont déjà opté pour ce type de couverture(2) !

Vous voulez rester bien couvert face à l’augmentation des dépenses de santé ? Une complémentaire santé adaptée à vos besoins vous permet de rester serein.

Par exemple, certaines mu-tuelles proposent la prise en charge des dépenses non remboursées par la Sécurité sociale, comme la chiropractie ou l’ostéopa-thie, ou encore des services d’assistance, comme l’aide à la vie quotidienne, bien utiles en cas d’hospitalisa-tion ou d’immobilisation.

Vous tenez à décharger vos proches des tracas liés au fi nancement et à l’or-ganisation de vos futures obsèques ? La prévoyance obsèques vous permet d’y remédier, en organisant tout à l’avance, ou simplement en versant un capital à vos proches ou aux pompes funèbres. De plus en plus de Français souscrivent une assurance obsèques, notam-ment pour s’assurer que leurs dernières volontés soient bien respectées.

(1) Étude menée par l’Observatoire de la Prévoyance de novembre

2008 à mars 2009.

(2) Source : FFSA et GEMA, juin 2010.

Bien se protégerdes risques de la vie

Prévoyance

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Fabienne Ulrich, Chef de Produit chez BNP Paribas

Pour connaître l’agence BNP Paribas la plus proche de chez vous, rendez-vous sur www.bnpparibas.net

BNP Paribas Protection Familiale, une assurance décès qui couvre également

la perte totale et irréversible d’autonomie pour maintenir le niveau de vie de vos

proches.

BNP Paribas Protection Accidents 2, qui vous assure, ainsi que vos proches, contre

les dommages corporels dus à un accident de la vie courante ou une agression.

BNP Paribas Protection Santé, une complémentaire santé offrant une bonne

prise en charge de vos dépenses médicales et des services adaptés.

Par exemple, si vous êtes hospitalisé à la suite d’une chute et si vous avez

plus de 65 ans, vous bénéfi ciez d’un programme de prévention pour vous

permettre de reprendre au plus vite vos activités.

BNP Paribas Obsèques, un contrat destiné au fi nancement et, si vous le souhaitez,

à l’organisation de vos obsèques pour soulager vos proches et vous assurer que

celles-ci se déroulent dans le respect de vos volontés.

À l’issue du Diagnostic Prévoyance, BNP Paribas peut vous proposer de nombreuses solutions :

BNP Paribas propose à ses clients de réaliser un Diagnostic Prévoyance. Il est gratuit et sans engagement.

À quoi sert le Diagnostic Prévoyance ?

Fabienne Ulrich. À vérifi er si votre niveau de couver-

ture actuel est suffi sant en cas de coup dur (maladie,

accident, décès) et à identifi er les solutions à mettre

en œuvre pour l’améliorer.

Comment se déroule-t-il ?

F.U. C’est simple et rapide. Au cours d’un rendez-

vous, un Conseiller BNP Paribas fait le point sur

vos besoins et ceux de vos proches. Ce diagnostic

s’appuie sur votre situation familiale, votre budget

et les éventuels contrats de prévoyance que vous

détenez déjà. Pour fi nir, il vous remet un document

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DroitPatrimoine

Aujourd’hui, la dépendance touche plus d’un million de personnes âgées en France. Avec le vieillissement de la population, les cas de per-

sonnes en situation de dépendance vont se multiplier dans les prochaines décennies. Selon une récente étude de l’Insee, près d’un tiers des habitants de notre pays devraient avoir plus de 60 ans d’ici 2060, contre 21,7% en 2007. Avec l’âge, le risque de perte d’auto-nomie partielle ou totale augmente fortement.

Comment est évalué le degré de dépendance ?

En France, le degré d’incapacité se mesure en GIR, un classement retenu comme critère de l’attribution de l’al-location personnalisée d’autonomie (APA). La grille AG-GIR (Autonomie Gérontologie Groupes Iso - Ressources) propose un classement offi ciel des niveaux de dépen-dance en six groupes, en fonction de critères physiques et psychologiques.

Le GIR 1 comprend les personnes âgées confi nées au lit ou au fauteuil, dont les fonctions mentales sont grave-ment altérées et qui nécessitent une présence indispen-sable et continue d’intervenants.

Le GIR 2 concerne les personnes âgées confi nées au lit ou au fauteuil, dont les fonctions intellectuelles ne sont pas totalement altérées et dont l’état exige une prise en charge pour la plupart des activités de la vie courante. Ce groupe s’adresse aussi aux personnes âgées dont les fonctions mentales sont altérées, mais qui ont conservé leurs capacités de se déplacer.

Le GIR 3 réunit les personnes âgées ayant conservé leur autonomie mentale, partiellement leur autonomie

locomotrice, mais qui ont besoin quo-tidiennement et plu-sieurs fois par jour d’être aidées pour leur autonomie cor-porelle.

Le GIR 4 intègre les personnes âgées n’assumant pas seules leurs trans-ferts mais qui, une fois levées, peuvent se déplacer à l’in-térieur de leur logement. Elles doivent parfois être aidées pour la toilette et l’habillage. Ce groupe s’adresse éga-lement aux personnes âgées n’ayant pas de problèmes locomoteurs mais devant être aidées pour les activités corporelles et pour les repas.

Le GIR 5 comporte des personnes âgées ayant seule-ment besoin d’une aide ponctuelle pour la toilette, la préparation des repas et le ménage.

Le GIR 6 réunit les personnes âgées n’ayant pas per-du leur autonomie pour les actes essentiels de la vie courante.

Seuls les quatre premiers GIR de la grille nationale ouvrent droit à l’APA, que les bénéfi ciaires se trouvent à domicile ou en établissement, à condition qu’ils répondent aux cri-tères d’âge et de résidence. Les personnes âgées classées en GIR 5 et 6 peuvent néanmoins prétendre au versement des prestations d’aide ménagère servies par leur régime de retraite ou par l’aide sociale départementale.

Faire face à la dépendance des personnes âgées

Société

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Quel est le montant d’APA attribuable par le Conseil général?

Le montant de l’allocation dépend du niveau de perte d’autonomie et des revenus du demandeur. Un barème national fi xe le montant maximum de l’aide en fonction de chaque niveau d’autonomie : GIR 1 (1235,65 €), GIR 2 (1059,13 €), GIR 3 (794,35 €) et GIR 4 (529,56 €). La participation du bénéfi ciaire est nulle si ses revenus sont inférieurs à 695,71 €/mois (à domicile), forfaitaire si ses revenus sont inférieurs à 2294,78 €/ mois (en établisse-ment), ou maximale à hauteur de 90% si ses revenus sont supérieurs à 2762,22 € (domicile) et de 80% s’ils sont supérieurs à 3530,42 € (établissement).

Un besoin urgent de fi nancement

Faire face à la dépendance pose bien entendu la ques-tion du fi nancement de ce nouveau champ de protection sociale. Le système actuel, complexe, est loin de pouvoir

répondre aux besoins d’une population vieillissante. Tout repose aujourd’hui sur l’APA, que la personne âgée vive chez elle ou en maison de retraite. Mais le montant de cette aide reste insuffi sant dans les deux cas. La réforme de la prise en charge de la dépendance, annoncée par Nicolas Sarkozy, sera effective en 2012 avec la création d’une cinquième branche de la sécurité sociale pour mieux aider les personnes âgées, aux côtés de la maladie, des accidents du travail, de la famille et de la vieillesse. Reste que ce cinquième risque devrait entre autre s’appuyer sur la prévoyance via une assurance privée obligatoire à partir de 50 ans, sur la modifi cation de la CGS avec une mise à contribution des retraités imposables et sur la révision des critères d’attribution de l’APA (de GIR 1 à GIR 3, au lieu de GIR 1 à GIR 4). Par ailleurs, les bénéfi ciaires dont le patri-moine est d’au moins 100 000 €, devraient accepter un droit de reprise sur leur succession (plafonné à 20 000 €). En cas de refus, leur allocation diminuerait de moitié.

Source : http://vosdroits.service-public.fr


LoisirsDétente

Dans son dernier livre Pour le plaisir... et pour le reste, Herbert Léonard nous livre ses quarante années de carrière avec ses hauts et ses bas, ses

émotions et ses chagrins et reconnaît que sa vie a été une somme de hasards, surtout professionnellement.

Le titre de votre livre fait référence à l’un de vos plus grand succès « Pour le Plaisir ». Dans ce livre, vous décrivez les moments forts de votre carrière mais aussi les moments diffi ciles que vous avez rencontrés. Est-ce que fi nalement on ne retient que les moments de plaisir ou bien « le reste » ?

Ce livre de «mémoires» plutôt qu’une autobiographie, retrace un parcours d’une quarantaine d’années d’expériences artistiques en tant que chanteur (interprète) et en tant que journaliste dans le domaine «curieux» (pour un chanteur populaire) de l’aviation, avec une spécialisation pour la Russie et l’Union Soviétique de 1915 à 1950. J’en retiens énormément de plaisir même lorsque les choses, parfois, ont mal tournées pour moi ! Les différentes rencontres, les évé-nements médiatiques, les joies d’avoir plusieurs chansons à succès de suite, puis une chute assez vertigineuse à la suite d’un accident de voiture (en 1970), suivie d’un passage de plusieurs années à la rédaction du journal «Aviation Maga-zine» (aujourd’hui disparu), ont forgé chez moi la conviction de pouvoir rebondir vers - ou pour - autre chose lorsqu’on le veut bien. Le salut ainsi que ma seconde chance sont venus de Vline Buggy, auteure et productrice de tous mes disques de 1980 à 1997 et de Julien Lepers, compositeur et mélo-diste génial, notamment de la chanson-standard « Pour le Plaisir », qui m’ont fait confi ance et à qui je l’ai bien rendu. Ce livre retrace mes aventures et mésaventures, mes joies et mes peines, mes ennuis et mes plaisirs à faire ce métier de

«chanteur populaire» pendant toutes ces années ... et encore aujourd’hui. Le milieu du show business n’a jamais été un milieu facile, même lorsqu’il l’était un peu plus au cours des années 1960 et 1970. Mais je n’ai aucun regret spécifi que et je ne peux que louer les qualités professionnelles et hu-maines de celles et ceux avec qui j’ai travaillé à partir des années 1980.

Vous êtes natif d’Alsace, vivez-vous toujours dans cette région ? Quels souvenirs en gardez-vous ?

Je ne vis plus en Alsace depuis mon retour de l’armée en 1966. J’ai fait un bout de chemin avec le groupe «Les Lion-ceaux» pendant une année, puis un autre en tant que musi-cien d’Antoine avant de chanter en solo sous le pseudonyme d’Herbert Léonard, avec la carrière qui en a résulté. Une partie de ma famille vit toujours en Alsace et j’y retourne hélas trop rarement, mais toujours avec beaucoup de joie.

Avez-vous une actualité à venir pour les lecteurs de Seniors Région ? A quand une tournée de vos plus grands tubes ?

Je fais actuellement partie de la «maintenant fameuse» tournée «Age tendre et têtes de bois» et ce jusqu’au dé-

but du mois de février 2011. C’est une tournée très conviviale qui réunit des milliers de spectateurs à chaque représentation et je suis très content de participer à cette aventure.

Pour le plaisir... et pour le reste,

par Herbert Léonard

Editions Florent Massot

Prix : 19 €

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Ateliers : bien-être, informatique, jardinage... Rencontres avec des professionnelsAnimations : concert, séjours et bons cadeaux à gagner

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1er & 2 avril 2011Parc Chanot

à Marseille


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La troisième édition du Forum des Seniors à Marseille se tiendra au Parc Chanot (Palais des Congrès) le 1er et 2 avril 2011.

Envie de rencontrer des professionnels et de bénéfi cier de conseils personnalisés ? Forme & Beauté, Épargne, Informatique, Services à la Personne, Loisirs & Voyages, Vie Associative… sont autant de thèmes que vous pour-rez découvrir, à travers les stands d’exposition et un riche programme de conférences. Les professionnels sont à votre disposition pour répondre à toutes vos questions et vous apporter des conseils personnalisés.

Envie de profi ter des nombreuses animations proposées ?

Pour vous initier à une discipline et connaître les bonnes pratiques, de nombreuses animations gratuites sont à votre disposition : les premiers pas sur internet, les bons gestes du jardinage, la forme (gym, marche nordique, danse), mais aussi des massages gratuits, des soins et des conseils en cosmétique, des rencontres… il y en aura pour tous les goûts !

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Une grande tombola vous permettra peut-être de gagner un séjour d’une semaine pour deux personnes, des soins cosmétiques, des bons d’achat et de nombreux autres lots.

Envie de passer un bon moment, tout simplement ?

Convivialité et échanges sont les maîtres mots du Forum des Seniors à Marseille animé, entre autres, par des bé-

névoles juniors…et seniors ! Une Cuvée Spéciale Forum des Seniors, d’un domaine prestigieux de la région, sera proposée en dégustation, en série limitée ! Enfi n, pour que vieillir rime avec plaisir, nous vous invitons à des concerts exceptionnels de swing et de jazz manouche : les premiers arrivés seront les premiers servis, alors, dé-pêchez-vous !

Infos pratiquesVendredi 1er et Samedi 2 avril 2011 de 10h à 18hParc Chanot – Palais des Congrès – MarseilleEntrée gratuite – Possibilité de restauration sur placeTout le programme sur www.forumdesseniors.com ou sur simple demande au 09 81 70 69 57

Bouches-du-Rhône

En route vers le 3e Forum des Seniors !


LoisirsDétente

Destinationneige !

Découverte

Les vacances à la neige restent la destination préférée des français en janvier et en février. L’enneigement est optimal à cette période et

c’est la garantie de skier dans de bonnes conditions, quelle que soit la station choisie. Voici quelques idées de destinations pour un séjour sportif ou découverte.

Tour du Queyras

Lové aux confi ns des frontières d’Italie, le massif du Queyras se dresse de part en part du Guil, qui prend sa source devant le Mont Viso et se jette dans la Durance à Mont-Dauphin. Sous le ciel bleu des Alpes Méridionales, c’est le pays des plus hauts villages perchés, avec ses maisons en bois, ses fontaines sculptées, ses cadrans solaires lumineux. Ici, la nature est sauvage et préservée par le Parc Naturel Régional du Queyras : forêts de mé-lèzes, de pins ou d’épicéas enneigés, pâturages blancs sillonnés de torrents, cascades gelées, pics rocheux et une faune omniprésente de chamois, lagopèdes, aigles royaux, gypaètes, renards, tétras lyre, moufl ons, loups ...

Un itinéraire éblouissant pour découvrir les points de vue les plus sublimes et les hameaux les plus charmants de ce haut pays de lumière. Forêt de Chanteloube, sommet Bûcher, hameaux de Souliers, chalets de Clapeyto, col des Prés Fromage, crêtes des Glaisettes, lac de Roue... Que de belles saveurs à venir déguster au cours de cette sauvage et gourmande itinérance au cœur du pays queyrassin. A partir de 495 €, 7 jours/6 nuits du di-manche au samedi, 5 jours et 2 demi-journées de rando.Informations et réservations : CHAMINA VOYAGES - 04 66 69 00 44 - www.chamina-voyages.com

Visite aux Pays des Écrins

Situé dans les Hautes-Alpes, le Pays des Écrins regroupe deux stations de ski, Puy-Saint-Vincent et Pelvoux-Val-louise, au cœur du Massif des Écrins. C’est un territoire de moyenne et haute montagne qui offre de nombreuses possibilités d’activités hivernales dans un cadre presti-gieux. Des vallées dans lesquelles les activités de pleine nature sont à l’honneur complètent l’offre ski du Pays

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Découverte

Destinationneige !des Écrins : Vallouise, plus nature et patrimoine, est le point de départ des activités de ski de fond, de raquettes ou de randonnée hivernale ; Quant à Freissinières, c’est une vallée protégée offrant des paysages grandioses pour tout ceux qui souhaitent pratiquer le ski de fond et la randonnée hivernale en ski, raquette ou à pied.

Idée séjour : Festival du Rire de Puy-Saint-Vincent du 22 au 29/01/2011 à partir de 224€/pers. Une semaine de glisse, de rires et de rencontres insolites... venez skier à petits prix, profi tez tous les soirs d’un spectacle délirant et passez une soirée au restaurant du Fes-tival, peut-être à la table d’une star du rire ! Séjour 6 jours / 7 nuits en appartement, forfaits de ski 6 jours, passfestival (2 spectacles par soir du dimanche au vendredi, avec Yves Lecoq en spectacle d’ouverture). Informations et réservations : www.paysdesecrins.com -www.reservations.paysdesecrins.com

Le SPA thermal du Mont-Blanc

Station thermale historique, la plus haute des Alpes, Saint-Gervais est réputée pour sa source d’eau chaude naturellement sulfurée, idéale pour la balnéothérapie et la dermatologie depuis plus de 200 ans. A tester cet hi-ver : les nouveaux bains en extérieur dans une eau à 38 degrés avec un parcours entre le Ying et le Yang. Sur 600 m², le spa thermal du Mont-Blanc offre un nouvel es-

pace de détente. Bains de vapeur, lit de bulles et d’eau, alcôves d’hydromassage, sièges de massage, marche à contrecourant... Ce rituel spa intérieur/extérieur allie chaleur, minéralité, émotions et plaisir. Au fi l des es-cales, le ressourcement est complet, la sérénité gagnée, l’équilibre retrouvé. Informations et réservations : www.spa-thermal-mont-blanc.com – 04 50 47 54 57

Un plaisir gastronomique : Valloire et sa bière Galibier

Valloire, village de charme et première station de Mau-rienne, vous propose de goûter une bière d’altitude artisanale 100% authentique, inédit! La recette est secrète…Du malt, du houblon et d’autres ingrédients bien protégés font l’alchimie de cette bière unique, pour donner deux nectars naturels : une bière blanche et une autre ambrée bien caractérisées. Pour la première an-née, 500 hectolitres de bière seront brassés à l’eau des glaciers, l’eau de la fameuse Clapière au dessus de la station. Cela représentera près de 66 000 bouteilles par an ! Au programme cet hiver, après le ski ou à la place du ski, des visites, des journées pour assister au brassage artisanal et comprendre toutes les particularités des bières comme en savoir plus sur le taux d’amertume. Des balades en raquettes jusqu’à la micro-brasserie sont aussi prévues. Informations et réservations : Offi ce de Tourisme - 04 79 59 03 96 - www.valloire.net

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Destination magique : un écolodge en Auvergne

À près de 1 200 mètres sur un plateau volcanique, l’Au-vergne vous offre à vivre une montagne insolite pour des vacances d’hiver inédites. Blotti au cœur du Parc Naturel Régional des Volcans d’Auvergne, un espace secret pour des sorties inoubliables en attelage de chiens de traîneaux, à cheval ou à raquettes. Le soir venu, l’embrasement du paysage au soleil couchant sur un magnifi que lac d’altitude, avec en toile de fond les Monts du Cantal, vous transportera dans une ambiance de Grand Nord. Un bain bouillonnant à fl eur de lac, un moment d’intimité dans le sauna ou le hammam nordique - en exclusivité en France - puis viendra le temps du dîner avec une soupe chauffée chaque soir au cœur du grand Cantou, lieu des veillées, mais aussi « les partitions givrées de Sébastien » (cuisine semi-gastro-nomique d’hiver à base de produits frais de proximité : feuil-leté de Fourme d’Ambert et sa poire pochée, pot au feu de canard et ses légumes oubliés, soupe glacée d’agrumes) et les fondues de Daniel, à savourer à une table amie. Parce qu’en hiver, l’écolodge se fait refuge de montagne avec son service de bouillotes pour vous cajoler des nuits douillettes. Informations et réservations : NEORIZONS - 1er spécia-liste de voyages haut de gamme bien-être et responsables - 01 56 28 01 46 - www.neorizons-travel.com

Avant de prendre la route, renseignez-vous bien sur la météo et sur l’état du réseau routier

www.meteo.frwww.infotrafi c.com

www.bison-fute.equipement.gouv.fr

Rhumatologie, phléBologie,fiBromyalgie

DAX une destination...

thermadax

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D A Xl’inspiration thermale


Animaux decompagnie

De plus en plus de gens nourrissent les oiseaux dans leur jardin. Tout le monde souhaite que différentes sortes d’oiseaux viennent s’alimen-

ter dans les stations de nourrissage construites rien que pour eux. Bienvenue aux merles, mésanges, char-donnerets et autres petits visiteurs !

Bien que le nourrissage des oiseaux soit une activité très plaisante, il n’est pas facile de déterminer comment vous allez nourrir ces petits compagnons de jardin. Si vous vou-lez alimenter des mésanges ou des verdiers par exemple, choisissez plutôt une mangeoire à silo ou à toit. Pour des oiseaux se nourrissant au sol comme les pinsons, les rouge-gorges ou les passereaux, utili-sez une mangeoire à plateau ou dispersez la nourriture directement sur le sol.

En offrant de la nourriture, vous aidez les oiseaux à sur-vivre pendant la longue période hivernale de pénurie alimentaire naturelle. Vous leur permettez ainsi d’être en bonne condition pour l’élevage de leurs futurs oisillons lorsque le printemps reviendra. Cherchez un endroit calme pour nourrir vos oiseaux, près d’un abri et qui

donne une vue dégagée sur les alentours, là où ils ne seront pas dérangés par le bruit ou les passants. En règle générale, plus l’offre de nourriture est variée (caca-huètes broyées, mélanges de graines, boules de graisse, cœurs de tournesol, vers de farine…), plus nombreuses seront les espèces que vous attirerez.

Pour les oiseaux, l’eau est aussi importante que la nourriture. Certaines espèces, comme les mangeurs d’in-sectes, trouvent leur ration d’eau dans leur nourri-ture et n’ont besoin de boire qu’une ou deux fois par jour. Par contre, les man-geurs de graines doivent boire beau-coup plus souvent. Les oiseaux sont très vulnérables face aux prédateurs (comme les chats), il est donc préférable d’installer

les coupelles à eau près d’un abri afi n de réduire les risques de guet-apens.

Nourrir les oiseaux vous procure un vrai sentiment de satisfaction car vous contribuez à leur survie. Évidem-ment le jardin vous offre d’innombrables possibilités, mais le balcon d’un appartement est lui aussi un très bon endroit pour nourrir vos petits compagnons ailés.

Oiseaux

Bien nourrirnos amis du ciel

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ALPES DE HAUTE-PROVENCEDIGNE-LES-BAINS

Orchestre Régional de Cannes Provence-Alpes-Côte d’Azur – Musique classiqueCentre culturel René-Char - 14 janvier 2011

Concert : Enrico MACIAS Palais des Congrès - 09 février 2011

Brocante de Chemin d’EspoirSalle de l’Atrium - Bd Martin BretDu 25 au 26 mars 2011

ALPES-MARITIMESCANNES

Salon Zen City : Bien-être, Beauté, Massage, Habitat, Déco - Palais des festivals - Du 6 au 10 janvier 2011

MANDELIEU La Fête du Mimosa - du 18 au 27 février 2011

MENTON La Fête du Citron – du 18 février au 9 mars 2011www.feteducitron.com

NICE Spectacle musical : Il était une fois…Joe Dassin Palais Nikaïa – 02 février 2011 – 20h30

Carnaval de Nice du 18 février au 8 mars 2011Informations et programme sur www.nicecarnaval.com

Foire de Nice – Palais des Expositions et des CongrèsDu 12 au 21 mars 2011

Salon de l’Immobilier – Nice AcropolisDu 18 au 20 mars 2011

BOUCHES-DU-RHÔNEARLES

Foire d’Arles – Palais des CongrèsHabitat, loisirs, gastronomie, bien-être, immobilier, auto/moto... du 02 au 04 avril 2011

MARSEILLE Animal Mania – Parc Chanot Le salon des animaux de compagnieDu 08 au 09 janvier 2011

Salon du Tourisme Mahana – Parc ChanotDu 21 au 23 janvier 2011

Salon du Chocolat – Parc ChanotDu 09 au 13 février 2011

Salon des Loisirs Créatifs – Parc ChanotDu 17 au 20 février 2011

Salon Piscine et Jardin – Parc ChanotDu 4 au 7 mars 2011

Spectacle Chœurs et Danse de l’Armée RusseParc Chanot - 19 mars 2011

Salon International de l’Art – Parc ChanotPeintres, aquarellistes, sculpteurs, mosaïstes, photographes… du 25 au 28 mars 2011

Spectacle musical : Age tendre & Têtes de bois La Tournée des IdolesLe Dôme – 31 mars et 1er avril 2011

3e Forum des Seniors – Parc Chanot1er et 2 avril 2011 - www.forumdesseniors.com

LA CIOTAT Salon nautique – Bassin des CapucinsDu 12 au 20 mars 2011

SALON DE PROVENCE Exposition «Des hommes, une ville : Les maires de Salon, de la Révolution à nos jours »Hôtel de Ville - Exposition permanente

VARTOULON

14e Salon International du Tourisme et des Loisirs « Idées Week-end »Zénith Oméga – Du 29 au 30 janvier 2011

Spectacle musical : Il était une fois…Joe Dassin Zénith Oméga – 1er février 2011 – 20h30

Spectacle musical : Age tendre & Têtes de boisLa Tournée des Idoles - Zénith Oméga – 2 avril 2011

SAINT-RAPHAËL Salon de l’Habitat – Palais des CongrèsDu 25 au 28 février 2011

VAUCLUSEAVIGNON

Avignon Motor Festival – Parc des ExpositionsAvignon Sud – Du 25 au 27 mars 2011

L’agenda de la région

Liste non exhaustive. Informations données à titre indicatif. Sous réserve de modifi cations éventuelles de la part des organisateurs.

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CuisineSaveurs

« À la Chandeleur, l’hiver se meurt ou prend vigueur »

La Chandeleur se fête le 2 février, soit 40 jours après Noël. Son nom vient du mot «chandelle». Tous les ans, la tradition veut que l’on cuisine de délicieuses

crêpes à déguster avec la famille et les amis.

La Chandeleur marque la fi n des fêtes de Noël et c’est le moment de démonter les crèches installées deux mois plus tôt. En Provence, la tra-dition veut que l’on aille faire bénir une chandelle, puis rentrer à l’intérieur des mai-sons avec la chandelle allu-mée. Si la chandelle s’éteint avant, le présage est catas-trophique. Une fois dans la maison, la maîtresse de maison fait le signe de croix avec la chandelle allumée devant chaque ouverture, chaque porte et fenêtre, pour protéger la maison de la foudre. A l’occasion de la Chandeleur, toutes les bou-gies de la maison doivent être allumées.

Ensuite, c’est le moment des crêpes. Pour connaître la prospérité pendant toute l’année, la tradition symbolique est de faire sauter de la main droite et de faire retomber correctement dans la poêle la toute première crêpe, en tenant dans la main gauche une pièce d’or (par exemple un Louis d’or) ou à défaut une pièce de monnaie. On dit aussi que cette première crêpe confectionnée doit être gardée dans une armoire et qu’ainsi les prochaines ré-coltes seront abondantes. On place alors la pièce à l’inté-

rieur de la crêpe que l’on enroule et on met celle-ci à l’abri dans l’armoire jusqu’à la prochaine chandeleur. La crêpe de l’année précédente est jetée et la pièce donnée à un pauvre.

La chandeleur, c’est aussi en Provence le moment des fameuses navettes de Saint-Victor, du nom de l’Abbaye de

Saint-Victor de Marseille où l’on bénissait des cierges verts le jour de la chande-leur. En forme de barque, ces navettes représentent l’accostage sur les rivages des Saintes Maries par qui l’évangile fut transmise aux chrétiens. Marseille connaît une tradition propre qui est la montée de la Vierge Noire de la crypte de Saint-Victor dans la basilique supérieure tous les 2 février. Chaque année, sur la place Saint-Victor, l’archevêque procède

à la bénédiction de la ville et de la mer, puis les fi dèles en procession regagnent l’abbaye. La procession passe par le Four des Navettes qui est, lui aussi, béni ainsi que ses navettes. Le Four des Navettes est édifi é sur le territoire de l’abbaye, il est la représentation symbolique de l’ancien four de l’abbaye. La Vierge est ensuite redescendue dans les cryptes où sont dites, pendant huit jours, des messes toutes les heures. Au retour de la procession, les fi dèles rap-portent les fameuses navettes qui sont traditionnellement mangées en Provence pour la Chandeleur. Source : www.notreprovence.fr

Tradition

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Boulettes de bœuf provençales

Gâteau aux pignonsde pin

Soupeà l’oignon

Salade d’endivesaux noix et Roquefort

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Boulettes de bœufprovençalesPréparation : 20 mn • Cuisson : 15 mn • Diffi culté : facile

Pour 8 personnes600 g. de viande de bœuf hachée, 400 g. de chair à saucisse, 1 oignon, 1 œuf, 1 boîte de purée de tomate, 10 cl de vin blanc, basilic, farine, huile, sel, poivre.

Faites revenir l’oignon haché dans une poêle et laissez refroidir.Passez au mixeur la viande hachée avec la chair à saucisse. As-saisonnez avec le sel et le poivre. Ajoutez l’oignon haché, l’œuf et 2 cuillères à soupe de basilic fi nement coupés ou déshydraté.Formez des boulettes de taille moyenne et roulez-les dans la farine.Faite chauffer de l’huile dans une sauteuse et faite revenir quelques minutes les boulettes de viande jusqu’à ce qu’elles prennent une belle coloration. Réservez.Jetez l’huile de cuisson, déglacez avec le vin blanc, mouillez avec la purée de tomates, puis portez à ébullition 10 minutes. Rajoutez les boulettes à cette préparation et prolongez la cuis-son 5 minutes environ.Servir bien chaud avec des tagliatelles ou des spaghettis al dente.

Gâteau aux pignons de pin Préparation : 15 mn • Cuisson : 45 mn • Diffi culté : assez facile

Pour 4 personnes150 g. de sucre, 200 g. de farine, 125 g. de beurre, 2 œufs, 1 sa-chet de levure, 2 sachets de sucre vanillé, 200 g. de pignons, 20 cl de lait, 3 c. à s. de sucre glace

Dans un saladier, mélangez avec un fouet le sucre et le beurre ramolli, puis ajoutez les jaunes d’œufs tout en continuant à fouetter vigoureusement. Ajoutez ensuite la farine, le lait, la levure et le sucre vanillé au mélange.Incorporez 125 g. de pignons dans la pâte, puis délicatement les blancs en neige que vous aurez préalablement montés. Versez la préparation dans un moule beurré. Mettez les 75 g. restant de pignons sur le gâteau et saupoudrez de sucre glace. Enfournez dans un four préchauffé à 180°C. Laissez cuire 45 mn en surveillant.Dégustez tiède ou froid.

Soupeà l’oignonPréparation : 10 mn • Cuisson : 45 mn • Diffi culté : très facile

Pour 4 personnes4 gros oignons, 30 g. de beurre, 1 litre de bouillon de volaille ou 1 litre d’eau et 1 bouillon cube, 1 petite branche de thym frais, 8 tranches de pain baguette, 50 g. de gruyère râpé, sel, poivre.

Émincez les oignons fi nement. Faites blondir les oignons au beurre à feu très doux pendant 10 minutes. Ajoutez le bouillon de volaille, le thym et le sel. Laissez cuire 45 minutes à feu doux. Grillez les tranches de pain baguette et disposez-les au fond des assiettes ou de la soupière.Poivrez la soupe à convenance et versez-la sur les croûtons. Ser-vez le gruyère à part. Pour la gratiner, il suffi t de mettre une fi ne tranche de pain en surface, de recouvrir de fromage râpé et de passer au grill quelques minutes.

Salade d’endivesaux noix et RoquefortPréparation : 15 mn • Cuisson : sans • Diffi culté : facile

Pour 4 personnes4 belles endives, 150 g. de Roquefort, 60 g. de cerneaux de noix, 2 c. à s. d’huile de noix, 2 c. à s. d’huile de tournesol, 3 c. à s. de vinaigre de xérès, 1/2 c. à c. de moutarde, sel, poivre.

Otez les premières feuilles des endives. Pour ôter l’amertume des endives, n’oubliez pas d’enlever le cœur blanc qui est à la base du trognon de l’endive. Bien essuyer les endives et les coupez en lanières.Coupez le roquefort en morceaux. Cassez les coquilles de noix et séparez les cerneaux en deux.Mélangez le vinaigre, les 2 types d’huiles, la moutarde, le sel et le poivre pour faire une vinaigrette assez relevée.Disposez les lanières d’endives dans un saladier, versez la vinai-grette et mélangez le tout.Parsemez ensuite votre salade avec les morceaux de roquefort et les cerneaux de noix. Servez.

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Seniors Région - Parution Janvier 2011

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