salle Jacques Tati - letheatre-saintnazaire.fr · salle Jacques Tati Agora 1901 – 2 bis avenue...

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salle Jacques Tati Agora 1901 – 2 bis avenue Albert de Mun Saint-Nazaire – 02 40 53 69 63 www.letheatre-saintnazaire.fr du 17 janv. au 13 fév. 2018 photo du film Makala

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salleJacques

Tati

Agora 1901 – 2 bis avenue Albert de Mun

Saint-Nazaire – 02 40 53 69 63www.letheatre-saintnazaire.fr

du 17 janv. au 13 fév. 2018

phot

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film

Mak

ala

calendriersemainedu 17 au 23 janvier mer 17 jeu 18 ven 19 sam 20 dim 21 mar 23

Ice Mother * 14h30 21h 16h15 17h50 21h 18h45

Western * 21h 14h15 18h45 - 16h20 14h

Makala * 16h30 18h30 21h 16h 14h30, 18h40 16h15

L’Intrusa * 19h 16h30 14h15 14h, 20h30 20h50

semainedu 24 au 30 janvier mer 24 jeu 25 ven 26 sam 27 dim 28 lun 29 mar 30

Le Grand méchant… 14h30+ - - 10h45+, 10h45+ - -16h30

Logan Lucky * 16h - 21h10 - - - 14h15

Le Caire… * 18h15 - - 14h15 - - 21h10

Certaines femmes * 21h+p - 18h30 - - - 16h30

120 battements… - 14h30 - - 16h45 20h -

The Lost City of Z * - 17h10+p - - 20h 14h30 -

Les Bonnes - 20h30 - - - - -manières * AVP

Faute d’amour * - - 14h15 18h - 17h -

La Villa - - 16h30 21h 14h45 - 18h30

semainedu 31 jan. au 6 fév. mer 31 jeu 1er ven 2 sam 3 dim 4 mar 6

À voix haute 14h30 16h - - 16h15 -

Une suite qui… * 16h30 - 20h45 - - 18h

Diane a les épaules 19h 14h15 16h15 18h15 20h30 20h30

Centaure * SN 20h45 18h 14h30+c 14h30, 18h45 16h1520h30

Irrintzina - 20h30+ d - 16h15 - 14h15

J’ai même - - 19h+ p - 14h30 -rencontré… *

semainedu 7 au 13 février mer 7 jeu 8 ven 9 sam 10 dim 11 mar 13

Rita et Crocodile 15h+ - - 11h+, 16h+ 11h+ -

Centaure * 16h 18h15 14h45 17h 14h30 14h45

Vers la lumière * 17h45 20h30 19h 14h, 21h15 20h30 20h30

Hannah 20h15 14h30 16h30 19h30 16h15 16h30

Blast of Silence * - 16h30+p 21h+p - 18h15 18h15+p

* = VO +d = débat+ = goûter ou brunchSN = sortie nationale

+c = ciné-caféAVP = avant-première+p = présentation

Fest

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Makaladocumentaire de Emmanuel Gras• France • 6 décembre 2017• couleur • 1h36 • VOSTFavec Kabwita Kasongo, Lydie Kasongo… • Grand Prix Nespresso Semaine de laCritique - Festival de Cannes 2017

En RD Congo, un jeune villageois espèreoffrir un avenir meilleur à sa famille. Il acomme ressources ses bras, la brousseenvironnante et une volonté tenace.Parti sur des routes dangereuses etépuisantes pour vendre le fruit de sontravail, il découvrira la valeur de soneffort et le prix de ses rêves. Par leréalisateur de Bovines.

«Emmanuel Gras fait plus que de documenter une réalité extérieure (…).Puisqu’il est un vrai cinéaste, il sublimecette réalité en révélant sa part d’étran-geté, de grandeur ou même de beauté,et il élève son personnage à hauteur demythe en faisant résonner la conditionhumaine en ce seul être, sorte de Sisypheincarné en un miséreux prolétaireafricain». Marcos Uzal – Libération

«Image somptueuse, cadrages soignés,lumière naturelle choisie, EmmanuelGras ose la beauté de l’humain et dela matière pour filmer le travail (…)».Dominique Martinez – Positif

«Si la grandeur du cinéma réside danssa puissance d’incarnation, de dévoi-lement, de renouvellement du regard,alors on sait que Makala est grand dèsses premières minutes». Serge Kaganski – Les Inrockuptibles

«Ce qui m’intéresse, c’est de faire surgirdu concret une autre dimension. Leconcret, c’est la rencontre de l’hommephysique avec la réalité matérielle dumonde. Cela peut passer par l’effort,la douceur… On existe par l’action quel’on a dans le monde. Si les enjeux sontsimplifiés au maximum, comme dansMakala, ressort de façon très clairel’effort de l’homme pour continuer àvivre. Or, en tant que cinéaste, je voissurgir de cela une beauté humaine, quidépasse le prosaïsme. Il y a une beautédans le savoir-faire que Kabwita meten œuvre». Emmanuel Gras, réalisateur

du 17 au 23 janvier

coup decœur

Westerndrame de Valeska Grisebach• Allemagne/Bulgarie /Autriche• 22 novembre 2017 • couleur• 2h01 • VOSTF avec Meinhard Neumann, Reinhardt Wetrek, SyuleymanAlilov Letifov…

Un groupe de travailleurs allemandsdébute un travail difficile de constructionsur un site de la campagne bulgare. Cetteterre étrangère éveille le sens de l’aven-ture de ces hommes, confrontés à leurspréjugés et à la méfiance des locaux àcause de la barrière de la langue et desdifférences culturelles. Les hommes vontalors tout faire pour tenter de gagnerla confiance des habitants…

«Un séjour en Bulgarie qui saisit. Lewestern revisité. C’est fort et ample etça raconte le monde. Valeska Grisebachtranscende son récit naturaliste en uneenvolée mystérieuse et dense». Olivier Pélisson – Bande à part

«Une brillante fable moderne qui dresseun constat amer de l’Europe». Luc Chessel – Libération

«Un saisissant portrait des hommesentre eux, doublé d’une étude précisedu geste, de la mobilité masculine».Mathieu Macheret – Le Monde

«Western est un western dans la doubleet ambiguë dimension du genre. D’unepart, en traduisant un mouvement impé-rialiste, une conquête territoriale, brutale,avide, coloniale (…). D’autre part, enaccompagnant le mouvement par lequel,en se projetant vers un ailleurs, un hommeespère s’arracher à son passé, à soi-même». Jean-Christophe Ferrari – Positif

L’Intrusadrame de Leonardo Di Costanzo• Italie • 13 décembre 2017• couleur • 1h35 • VOSTF avec Raffaella Giordano, Valentina Vannino, Martina Abbate…

Naples. Aujourd’hui. Giovanna, travailleusesociale combative de 60 ans, fait face àune criminalité omniprésente. Elle gèreun centre qui s’occupe d’enfants défa-vorisés et offre ainsi une alternative àla domination mafieuse de la ville. Unjour, l’épouse d’un criminel impitoyablede la Camorra, la jeune Maria, en fuiteavec ses deux enfants, se réfugie dansce centre. Lorsqu’elle lui demande saprotection, Giovanna se retrouve confron-tée, telle une Antigone moderne, à undilemme moral qui menace de détruireson travail et sa vie.

« Le récit est une fiction bel et bien ficelée, écrite et poétique tout en frôlantl’aspect d’un flux documentaire oùchaque réponse semble authentiquementdécidée par les âmes qui le traversent».Jérémy Piette – Libération

«Jamais L’Intrusa ne fantasme le grandbanditisme : le film refuse de montrerexplicitement sa violence et substitueà ses traditionnelles figures héroïquesmasculines, les figures inverses : lesfemmes, silencieuses mais déterminéesà sortir par le haut du cauchemar danslequel elles sont plongées». Thomas Choury – Critikat.com

du 17 au 23 janvier du 17 au 23 janvier

Ice Mothercomédie dramatique de Bohdan Sláma• République Tchèque/Slovaquie/France • novembre 2017• couleur • 1h45 • VOSTF avec Zuzana Kronerová, Pavel Novy, Marek Daniel… • Prix du Meilleur scénario - TribecaFilm Festival 2017

Hana, 67 ans, se sent seule depuis la mortde son mari. Ses deux fils lui rendentrégulièrement visite, mais les repas defamille se terminent invariablement endisputes… Lorsque Hana rencontre Brona,qu’elle sauve par hasard de la noyade,elle fait connaissance avec un groupe denageurs en eau libre dont la spécialitéest de braver les rivières glacées. Aveceux, c’est tout un monde qui s’ouvre àelle. Hana intègre leur bande et s’initieà la baignade en eau froide, apprenantà son tour à repousser ses limites et àbousculer ses habitudes. Sa vie s’entrouve dès lors bouleversée…

«Dans la lumière déclinante de l’hiverpraguois, ce beau film sensible sur ladifficulté de (dé)nouer les liens du cœuret les liens du sang, surprend jusqu’aubout». Jérémie Couston – Télérama

« En quelques plans, en déroutant un peule scénario attendu du psychodramefamilial attablé, Bohdan Sláma pose lesenjeux de son film : la manière dont lefroid réchauffe moins les cœurs – nousne sommes pas dans une bluette,mais dont il active le sang et redonnede l’intelligence à cette femme commeau cinéma». Frédéric Mercier – Transfuge

du 17 au 23 janvier

Festival Télérama - AFCAE21e édition du 24 au 30 janvier 2018

334 cinémas, adhérents de l’Association Française des CinémasArt et Essai, participent à cette rétrospective des meilleurs filmsde l’année, dont un coup de cœurJeune Public, sélectionnés par larédaction Cinéma de Télérama.Comme l’an dernier, chaque salleArt et Essai participante proposeune avant-première de l’un des 5 films choisis par Télérama, enconcertation avec l’AFCAE.

L’AFCAE collabore avec les associations Retour d’Image - Cinéma & Handicap et Ciné Sens,afin de mieux informer les spectateurs déficients sensoriels,de l’organisation de séances accessibles en audiodescription (AD)pour les personnes malvoyantesdans les salles participantes. À noterque le Cinéma Jacques Tati est dotéd’une boucle magnétique pour lespersonnes malentendantes.

Les 7 films présentés au Jacques Tati :• 120 battements par minutede Robin Campillo• Faute d’amour d’Andreï Zviaguintsev• The Lost City of Z de James Gray• Logan Lucky de Steven Soderbergh• Le Caire confidentiel de Tarik Saleh• La Villa de Robert Guediguian• Certaines femmesde Kelly Reichardt • Le Grand méchant Renard et autres contes de Benjamin Renneret Patrick Imbert - coup de cœurJeune public• Les Bonnes manièresde Marco Dutra et Juliana Rojas- en avant-première

Pour bénéficier du tarif festival, il suffitde présenter à la caisse, dûment rempli,le pass pour deux personnes à découperdans les Télérama des 17 et 24 janvier2018. Vous recevrez en échange unecarte valable jusqu’au 30 janvier, quivous permettra de bénéficier du tarifde 3,50 € par personne et par séance.

120 battementspar minutedrame de Robin Campillo• France • 23 août 2017 • couleur• 2h22 • Avertissement : des scènes, des propos ou desimages peuvent heurter la sensibilité des spectateursavec Nahuel Perez Biscayart, Arnaud Valois, Adèle Haenel… • Grand Prix et Prix Fipresci - Festival deCannes 2017 / Prix du Public - Festivaldu Film de Cabourg 2017 / Queer palm- Festival de Cannes 2017 / Prix FrançoisChalais 2017

Début des années 90. Alors que le sidatue depuis près de dix ans, les militantsd’Act Up-Paris multiplient les actionspour lutter contre l’indifférence générale.Nouveau venu dans le groupe, Nathan vaêtre bouleversé par la radicalité de Sean.

«Sous ses airs naturalistes, le film esttravaillé, en filigrane, par une structurenarrative sophistiquée, qui va du généralvers le particulier, de la collectivité versl’individu, seul face à la mort (…) : 120battements par minute est l’un des plusbeaux films de l’année». Jean-Baptiste Morain – Les Inrockuptibles

«Le film est si réussi, si passionnant,si emballant, si émouvant qu’il sembleéchapper à tout, et notamment auxcalculs. 120 BPM est en état de grâce,poussé par sa propre énergie, sonpropre désir. II touche chacun au plusprofond. Cela s’appelle une grandeœuvre». Éric Libiot – L’Express

Ce film est disponible en audiodescription

Certainesfemmes drame de Kelly Reichardt• USA • février 2017 • couleur• 1h47 • VOSTF avec Kristen Stewart, Michelle Williams, Laura Dern,Lily Gladstone…

Quatre femmes font face aux circons-tances et aux challenges de leurs viesrespectives dans une petite ville duMontana, chacune s’efforçant à sa façonde s’accomplir.

«Le récit, inspiré de trois nouvelles del’écrivaine montanienne Maile Meloy,dresse côte à côte les magnifiques por-traits de trois femmes, sculptés dansla matière même du quotidien». Mathieu Macheret – Le Monde

«Il faut voir Certaines femmes dans leprolongement magnifique des grandsfilms américains récents (…), comme sidans une configuration heureuse et sansqu’ils aient accordé leurs ondes, descinéastes indépendants travaillaient àrecueillir ce qui peut encore être sauvé del’expérience véritable, à hauteur humaine,loin du virtuel tentaculaire, des discourstonitruants et d’une économie hors deses gonds». Didier Péron – Libération

«Avec Certaines femmes, Kelly Reichardtréalise un magnifique film, aussi pas-sionné qu’élégiaque». Damien Aubel – Transfuge

Mercredi 24 janvier à 21h, le filmfera l’objet d’une présentation parCéline Soulodre de l’associationVersion Originale.

du 25 au 29 janvier Festival Télérama

du 24 au 30 janvierFestival Télérama

coup decœur

Faute d’amourdrame de Andreï Zviaguintsev• Russie /France • 20 septembre2017 • couleur • 2h08 • VOSTFavec Marianna Spivak, Alexei Rozine, Matvei Novikov,Marina Vasilieva…• Prix du Jury - Festival de Cannes 2017

Boris et Genia sont en train de divorcer.Ils se disputent sans cesse et enchaînentles visites de leur appartement en vue dele vendre. Ils préparent déjà leur avenirrespectif : Boris est en couple avec unejeune femme enceinte et Genia fréquenteun homme aisé qui est prêt à l’épouser…Aucun des deux ne semble avoir d’in-térêt pour Aliocha, leur fils de 12 ans.Jusqu’à ce qu’il disparaisse…

«Andreï Zviaguintsev (Le Retour, LeBannissement, Elena, Leviathan) poseson regard implacable sur la sociétérusse. Le cinéaste ne condamne pastant ses personnages de parents murésdans leur haine, leur indifférence et leurégoïsme qu’il ne dresse un constat moralterrible sur un monde radicalement ma-térialiste, déshumanisé jusqu’à l’horreur.(…) Faute d’amour est un film admira-ble et terrible qui vient nous rappelerl’intelligence et l’absolue maîtrise deZviaguintsev, dont la direction d’acteurs etla mise en scène sont impressionnantes.L’inspiration de Zviaguintsev n’est pasconfinée au domaine de l’étude psycho-logique. Il se révèle aussi grand cinéastedes espaces intimes et des paysagesurbains, capable d’apporter une dimen-sion picturale, organique ou mentale àdes décors d’appartements ou de ruines».Olivier Père – arte.tv

La Villa drame de Robert Guédiguian• France • 29 novembre 2017• couleur • 1h47 avec Ariane Ascaride, Jean-Pierre Darroussin, Gérard Meylan…

Dans une calanque près de Marseille,au creux de l’hiver, Angèle, Joseph etArmand se rassemblent autour de leurpère vieillissant. C’est le moment poureux de mesurer ce qu’ils ont conservé del’idéal qu’il leur a transmis, du mondede fraternité qu’il avait bâti dans ce lieumagique, autour d’un restaurant ouvrierdont Armand, le fils aîné, continue des’occuper. Lorsque de nouveaux arrivantsvenus de la mer vont bouleverser leursréflexions…

«Pour son vingtième film, Guédiguianrassemble sa troupe, ses thèmes etfilme, en hiver, dans une calanque idéale,une histoire de rêve d’hier, solidaire etgénéreux, qui, avec le monde défait etdes réfugiés échoués, se réinvente aujourd’hui». Isabelle Danel – Bande à part

«On est frappé, dès le prologue, par laprécision et l’économie narrative qui nouele récit en quelques plans. Et qui faittomber une émotion profonde, commeune chape, qui ne quittera plus le film».Jean-Sébastien Chauvin – Cahiers du Cinéma

«Ce film est tellement élégant, tellementévident. Sa simplicité même, son éco-nomie sûrement sont une humanité».Sigolène Vinson – Charlie Hebdo

Ce film est disponible en audiodescription

du 26 au 29 janvier Festival Télérama

du 26 au 30 janvier Festival Télérama

coup decœur

Le Caire confidentielfilm policier de Tarik Saleh• Suède/Danemark/Allemagne• 5 juillet 2017 • couleur • 1h50• VOSTFavec Fares Fares, Mari Malek, Yasser Ali Maher…• Grand Prix du Jury - Fiction étrangère- Festival du film de Sundance 2017 /Grand Prix du Festival du Film Policierde Beaune 2017

Le Caire, janvier 2011, quelques joursavant le début de la révolution. Une jeunechanteuse est assassinée dans unechambre d’un des grands hôtels de laville. Noureddine, inspecteur revêchechargé de l’enquête, réalise au fil deses investigations que les coupablespourraient bien être liés à la garderapprochée du président Moubarak.

«Tarik Saleh, ex-graffeur né en Suède,auteur de documentaires sur Che Guevaraet sur Guantánamo, a un regard aigu, unefaçon rageuse de suggérer l’émiettementsocial, la détérioration de la simplemorale». François Forestier – Le Nouvel Observateur

«L’essentiel, c’est le talent et l’inspira-tion de Tarik Saleh pour transcender cematériau réaliste, renouveler ses codes,en s’échappant dès qu’il le peut desclous de l’enquête de son flic pour selaisser porter par les vents d’une baladecinématographique sensualiste etsensorielle». Serge Kaganski – Les Inrockuptibles

«Ce polar haletant et très réussi réinven-te les codes du genre dans une sociétéégyptienne sous tension, gangrenée parla corruption. Brillant». Sabrina Nadjar – Femme actuelle

Logan Luckycomédie policière de Steven Soderbergh• USA • 25 octobre 2017 • couleur• 1h58 • VOSTFavec Channing Tatum, Adam Driver, Daniel Craig, Riley Keough…

Deux frères pas très futés décident demonter le casse du siècle : empocherles recettes de la plus grosse courseautomobile de l’année. Pour réussir,ils ont besoin du meilleur braqueur decoffre-fort du pays : Joe Bang. Le pro-blème, c’est qu’il est en prison…

«Un film de braquage au scénario cons-tamment inventif et surprenant, menébon train par un casting haut de gamme,une réalisation virtuose et une distanceironique qui rend le tout particulièrementjouissif». Jean Serroy – Le Dauphiné Libéré

«C’est L’Ultime razzia et Ocean’s Elevenen mode série B, avec arrière-fond socialsur l’Amérique des perdants». Éric Libiot – L’Express

«Si Ocean’s Eleven était un tube pop etétincelant, Logan Lucky s’apparente àune longue et touchante chanson folk,où le bon sens de la classe ouvrièretriomphe de la bêtise de l’Amérique deTrump». Nicolas Schaller – Le Nouvel Observateur

«Logan Lucky s’emploie avec bonheur àredorer le blason de prolétaires lessivésque le rêve américain a effleurés avantde disparaître à jamais». Damien Bonelli – Critikat.com

du 24 au 30 janvier Festival Télérama

du 24 au 30 janvier Festival Télérama

Les Bonnes manièresdrame fantastique de Juliana Rojas et Marco Dutra• Brésil /France • 21 mars 2018• couleur • 2h15 • VOSTF avec Marjorie Estiano, Cida Moreira, Andrea Marquee… • Mention Spéciale - Festival de Biarritz,cinémas et cultures d’Amérique Latine2017 / Prix du public – Etrange Festival,Paris 2017 / Prix spécial du jury interna-tional – Festival du Film de Locarno2017

Clara, une infirmière solitaire de labanlieue de São Paulo, est engagée parla riche et mystérieuse Ana comme lanounou de son enfant à naître. Alors queles deux femmes se rapprochent petit àpetit, la future mère est prise de crisesde somnambulisme…

«Attention, certaines scènes sont susceptibles d’éblouir les spectateurs».Télérama

«Après l’éblouissant Aquarius, l’épous-touflant Les Bonnes manières». Chaos Reigns

«Une flamboyante réussite venue duBrésil». FilmDeCulte

The Lost City of Zfilm d’aventures de James Gray• USA • mars 2017 • couleur• 2h21 • VOSTFavec Charlie Hunnam, Sienna Miller, Tom Holland, Robert Pattinson…

L’histoire vraie de Percival HarrisonFawcett, un des plus grands explorateursdu XXe siècle. Percy Fawcett est un colo-nel britannique reconnu et un mari aimant. En 1906, alors qu’il s’apprêteà devenir père, la Société géographiqueroyale d’Angleterre lui propose de partiren Amazonie afin de cartographier lesfrontières entre le Brésil et la Bolivie.Sur place, l’homme se prend de passionpour l’exploration et découvre des tracesde ce qu’il pense être une cité perduetrès ancienne. De retour en Angleterre,Fawcett n’a de cesse de penser à cettemystérieuse civilisation, tiraillé entreson amour pour sa famille et sa soifd’exploration et de gloire…

«Avec une suprême élégance, JamesGray met en scène un film épique d’ungenre nouveau, où les héros ne s’ex-priment que par murmures, plongeantle spectateur dans une atmosphèrecotonneuse, de celles qui nimbent lesrêves les plus entêtants, d’une infiniedouceur jusque dans les scènes de con-frontation les plus violentes». Emmanuel Raspiengeas – Bande à part

«(…) une odyssée généreuse, où les rêvesenfantins, confrontés à la réalité, dériventvers une apothéose inattendue. Unesplendeur». Marcos Uzal – Libération

Jeudi 25 janvier à 17h10, séanceprésentée par le programmateurde la salle.

Projection unique en avant-premièrejeudi 25 janvier à 20h30 Festival Télérama

du 25 au 29 janvier Festival Télérama

avant-premièr

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Centauredrame de Aktan Arym Kubat• Kirghizistan/France/Allemagne/Pays-Bas • 31 janvier 2018• couleur • 1h29 • VOSTFavec Aktan Arym Kubat, Bolot Tentimyshov, Zarema Asanalieva, Ilim Kalmuratov…• Prix CICAE - Festival internationalde Berlin 2017

Dans un village au Kirghizistan, Centaure,autrefois voleur de chevaux, mène désor-mais une vie paisible et aime conter àson fils les légendes du temps passé, oùles chevaux et les hommes ne faisaientqu’un, les premiers donnant des ailesaux seconds. Mais un jour, un mystérieuxvol de cheval a lieu et tout accuseCentaure… Par le réalisateur du Filsadoptif et du Voleur de lumière.

«Qu’on ne s’y trompe pas, l’intrigue deCentaure ne tourne pas autour d’unesimple opposition entre tradition, forcé-ment bonne, et modernité, forcémentmauvaise. Le propos de Arym Kubat estplus subtil, comme le sont sa mise enscène et les parcours de ses protago-nistes. Le film doit plutôt être pris commeun instantané poétique, évitant les clichésexotiques, traçant le portrait d’une so-ciété en pleine mutation, subissant desinfluences multiples dans une régiondu monde secouée par la guerre – enAfghanistan tout proche – où un islam

rigoriste tente de s’imposer. Le sérieuxdu propos n’empêche pourtant pasl’humour de s’immiscer dans le récit,lui donnant une légèreté bienvenue. Enfait, Centaure, tourné au Kirghizistan,développe une intrigue à la portée uni-verselle menée de main de maître par unréalisateur qui s’impose aussi – encoreune fois – comme un acteur de talent».Martial Knaebel – Trigon-films.com

«Rien de ce qui est dans ce film n’estinventé. (…) Je pense qu’un artiste nepeut intéresser le monde que s’il parlede sa propre culture. Je suis né et j’aigrandi dans un village et je montre la vietelle qu’elle est, ce qui a le malheur dedéplaire au gouvernement et au prési-dent ! Même un de mes coscénaristesse demandait si ce que je faisais n’étaitpas de l’exotisme pour Occidentaux etque c’est ainsi que je soutirais de l’argentà ces derniers ! Mon producteur lui aalors répondu : «Oui, c’est exotique cinqminutes, comme tout film provenant d’unpays que je ne connais pas. Mais, aprèsces cinq minutes, on voit si c’est du ciné-ma ou pas. » En fait, ce qui m’intéresse,c’est ce que disait Léon Tolstoï en exergued’Anna Karénine : « Toutes les famillesheureuses se ressemblent, mais chaquefamille malheureuse l’est à sa façon.»C’est justement cette différence qui in-téresse l’artiste : à quoi bon suivre unpersonnage repu, content, heureux ?Que puis-je en dire ? De plus, je ne dispas que l’État est mauvais, je dis que lesgens vivent mal». Aktan Arym Kubat

du 31 janvier au 13 février

sortie nationale

coup de cœur

Diane a les épaulescomédie de Fabien Gorgeart• France • novembre 2017• couleur • 1h27 avec Clotilde Hesme, FabrizioRongione, Thomas Suire…

Sans hésiter, Diane a accepté de porterl’enfant de Thomas et Jacques, sesmeilleurs amis. C’est dans ces circons-tances, pas vraiment idéales, qu’elletombe amoureuse de Fabrizio.

«À travers les échanges tendres etparfois mordants de ce quatuor insolite,Fabien Gorgeart bouscule avec humourles conventions de genre. (…) ClotildeHesme révèle un corps burlesque et enjoue avec une extrême précision, dansla liberté et le mouvement d’abord, dansla gêne, ensuite, alors que son ventres’arrondit. On ne l’a jamais vue aussidrôle, aussi solaire». Samuel Douhaire – Télérama

«Sans chercher à faire la morale ouêtre prosélyte, le réalisateur prend leprétexte de la GPA pour parler desnouveaux codes du couple et de l’éclate-ment des modèles familiaux. Piquante,émouvante, sexy, agaçante, ClotildeHesme, lumineuse, a les épaules pourjouer toutes les émotions». Barbara Théate – Le Journal du Dimanche

«Le primo-cinéaste Fabien Gorgeartlibère le débat sur la GPA avec unecomédie fine et gracieuse». Emily Barnett – Les Inrockuptibles

Ce film est disponible en audiodescription

J’ai même rencontré des Tziganes heureuxdrame de Aleksandar Petrovic• Yougoslavie • novembre 2017• couleur • 1h32 • VOSTFavec Bekim Fehmiu, Gordana Jovanovic, Bata Živojinovic…

De nombreux Tziganes vivent dans lavaste plaine de la Voïvodine, en Serbie,où ils exercent de petits métiers. Vivantde son commerce de plumes d’oie, Bora,jeune et insouciant, se veut libre maisil est marié à une femme plus âgée. Ilrencontre Tissa, une jeune sauvageonne,et s’éprend d’elle. Mais Mirta, beau-pèrede Tissa, déjà son rival en affaires, devient aussi son rival en amour.

«J’ai même rencontré des Tziganesheureux s’affirme comme le grand film,furieux et turbulent, sur la conditiontzigane. Aleksandar Petrovic prend le parti d’une immersion (…) âpre, ensuivant les pérégrinations ordinairesd’un Rom sédentarisé, dans la plaine dela Voïvodine, en Serbie, sans la moindreforme de romantisme ou d’idéalisation».Mathieu Macheret – Le Monde

Film présenté en partenariat avecSCALA – salles de cinémas asso-ciatives en Loire-Atlantique dansle cadre de la circulation Lesgrands classiques du cinéma.

Vendredi 2 février à 19h, séanceprésentée par le programmateurde la salle.

du 31 janvier au 6 février vendredi 2 et dimanche 4 février

grand

classique

Irrintzina : le cride la générationclimatdocumentaire de Sandra Blondelet Pascal Hennequin• France • novembre 2017• couleur • 1h40

Face au sentiment d’impuissance queprovoque l’extrême gravité du dérègle-ment climatique, quelques militants del’organisation basque Bizi ! font un parifou : construire en quelques années unemobilisation sans précédent en vue dela COP21 et lancer un grand mouvementnon-violent pour le climat : Alternatiba.De Bayonne à Paris, sur des vélos mul-tiplaces, coup de pédale après coup depédale, en multipliant les villages desalternatives, de petites victoires engrandes mobilisations contre les mul-tinationales des énergies fossiles et lesbanques qui les soutiennent, le filmraconte les étapes de cette mobilisation.

«C’est une aventure humaine et politiquequi est racontée par Pascal Hennequinet Sandra Blondel qui jettent un regardnouveau sur cette vaste entreprise.Le documentaire, critique et engagé,suit la vague de films comme Demainou Merci Patron !, qui témoignent tousd’une sorte de renouveau du cinémamilitant qui a enfin réussi à sortir dela marginalité». mrmondialisation.org

Soirée-débat, jeudi 1er février, organisée en partenariat avecATTAC en présence du réalisateurPascal Hennequin et de AlternatibaNantes.

Une suite qui dérange, le tempsde l’actiondocumentaire de Bonni Cohen et Jon Shenk• USA • 27 septembre 2017• couleur • 1h38 • VOSTFavec Al Gore, Donald Trump, Angela Merkel…

L’ex vice-président Al Gore poursuitinfatigablement son combat en voya-geant autour du monde pour formerune armée de défenseurs du climat etexercer son influence sur la politiqueclimatique internationale. Les camérasle suivent en coulisse, saisissent desmoments publics et privés, drôles etémouvants : alors que les enjeux n’ontjamais été aussi importants, il défendl’idée que les périls du changementclimatique peuvent être surmontés parl’ingéniosité et la passion des hommes.

«Nourri de ses échecs politiques et faceà la perspective d’un basculementinexorable vers des décisions politiquestoujours plus suicidaires, Al Gore, pluscombatif que jamais, convainc dans unfilm qui permet une incursion inéditedans la conférence de Paris et sesconfidences. Il permet également demieux appréhender l’obstacle DonaldTrump par ceux qui agissent de l’intérieur.Remarquablement équilibrée dans sondosage entre pédagogie et émotion,cette invitation à l’action est surtout lemanifeste d’un homme de l’establish-ment qui saura convaincre les plusdubitatifs et les plus récalcitrants.»Frédéric Mignard – aVoir-aLire.com

du 1er au 6 février du 31 janvier au 2 février

ciné-débat

2 films sur le dérèglement climatique

À voix haute, la force de la paroledocumentaire de Stéphane De Freitas et Ladj Ly• France • avril 2017 • couleur• 1h39• Prix des Etudiants - Festival 2 cinémade Valenciennes 2017

Chaque année à l’Université de Saint-Denis se déroule le concours Eloquentia,qui vise à élire « le meilleur orateur du93 ». Des étudiants de cette universitéissus de tous cursus, décident d’y par-ticiper et s’y préparent grâce à desprofessionnels (avocats, slameurs,metteurs en scène…) qui leur enseignentle difficile exercice de la prise de paroleen public. Au fil des semaines, ils vontapprendre les ressorts subtils de larhétorique, et vont s’affirmer, se révéleraux autres, et surtout à eux-mêmes.Munis de ces armes, Leïla, Elhadj, Eddyet les autres, s’affrontent et tentent deremporter ce concours pour devenir« le meilleur orateur du 93».

«On sort de là regonflé à bloc par tantd’intelligence, de sensibilité et de bonnevolonté de part et d’autre de la caméra.Ce film devrait être (…) remboursé parla Sécu : voilà un médicament puissantcontre la maladie des préjugés et durepli identitaire». Serge Kaganski – Les Inrockuptibles

«Ce documentaire drôle et émouvantinvite à porter un regard plus subtil surla jeunesse des banlieues». Samuel Douhaire – Télérama

Ce film est disponible en audiodescription

Hannahdrame de Andrea Pallaoro• 24 janvier 2018 • France/ Italie/Belgique • couleur • 1h35avec Charlotte Rampling, AndréWilms, Stéphanie Van Vyve,Simon Bisschop, Jean-MichelBalthazar, Fatou Traore…• Coupe Volpi de la Meilleure Actrice -74e Festival de Venise 2017

Hannah dresse le portrait intimed’une femme dont la vie bascule aprèsl’arrestation de son mari.

«Hannah explore les tourments inté-rieurs d’une femme prisonnière de sespropres choix de vie, paralysée par sonmanque de confiance en elle et sesdépendances, ainsi que par sa loyautéet son dévouement. Le désespoir deHannah me touche profondément, peut-être parce que je sais combien le mondepeut être sans pitié vis-à-vis d’elle, oupeut-être parce que je reconnais en ellecertains traits que je trouve en moi. Cedont je suis certain, c’est qu’à traversce film, j’ai voulu me sentir proche d’elle,lui donner la main, l’encourager, larassurer, et plus que tout, j’ai vouluque le monde la voie, qu’il perçoive sadouleur et l’aide dans son effort pourse redéfinir et se reconnaître par elle-même, avant de disparaître». Andrea Pallaoro – note d’intention

«Le meilleur rôle de Charlotte Ramplingdepuis Sous le sable».La Septième Obsession

«Bouleversant et authentique, déchirant».Transfuge

du 31 janvier au 4 février du 7 au 13 février

coup decœur

du 7 au 13 février du 8 au 13 février

Vers la lumièrecomédie dramatique de Naomi Kawase• Japon/France • 10 janvier 2018• couleur • 1h41 • VOSTFavec Masatoshi Nagase, Ayame Misaki, Tatsuya Fuji…• Sélection officielle - En compétition - Festival de Cannes 2017

Misako aime décrire les objets, lessentiments et le monde qui l’entoure.Son métier d’audiodescriptrice de films,c’est toute sa vie. Lors d’une projection,elle rencontre un célèbre photographedont la vue se détériore irrémédiable-ment. Naissent alors des sentimentsforts entre un homme qui perd la lumière et une femme qui la poursuit.

«Délaissant l’ésotérisme au profit d’unebelle fluidité, Naomi Kawase revientavec un poème philosophique élégant.Digressions émouvantes sur la vie etla mort, interrogeant aussi le pouvoirde la fiction à l’aune du réel». Alexandre Jourdain – aVoir-aLire.com

«Vers la lumière est un film qui parlede cinéma. Par le travail de Misako, etles remarques qu’elle reçoit durant lesprojections, Kawase exprime commentune œuvre peut être analysée, et révélerainsi ses intentions. Ainsi, les symbo-liques du film, décrites par Misako, répondent directement, autant au ciné-ma de Naomi Kawase qu’à la situationde ses personnages. Joliment accom-pagné par la composition d’IbrahimMaalouf, Vers la lumière offre un lotd’émotions qui mène à de grands moments de grâce». Pierre Siclier – leblogducinema.com

Blast of Silencefilm policier de Allen Baron• USA • 1961 • ressortie copierestaurée 6 décembre 2017• noir et blanc • 1h17 • VOSTF avec Molly McCarthy, Charles Creasap, Allen Baron…

Retiré des affaires depuis quelques temps,Frankie Bono, tueur à gages, revient àNew York pour un dernier contrat :l’assassinat d’un gangster de moyenneenvergure. Lors de sa traque, il s’emploieà éviter tout contact avec sa futurevictime. Mais excédé et distrait par sarencontre avec une vieille connaissance,il va commettre une nouvelle erreur…

«(…) séduit par son modernisme dansla construction du récit et l’inventivitéde sa mise en scène, qui ne sont passans rappeler celles des cinéastes dela nouvelle vague. Magistral». Xavier Leherpeur – TéléCinéObs

«Cette fuite en avant magnifique estcelle d’un obsessionnel poursuivi parses contradictions, qui recherche lasolitude autant qu’il la redoute».Jacques Morice – Télérama

«Noir et blanc chargé et utilisationgéniale de la ville de New York, impres-sionnante toile de fond de ce lancinantpolar hivernal». Vincent Ostria – L’Humanité

Jeudi 8 février à 16h30, vendredi9 février à 21h et mardi 13 févrierà 17h45, séances présentées parle programmateur de la salle.

grand

classique

Le Grand méchantRenard et autrescontes3 courts métrages d’animation deBenjamin Renner et Patrick Imber• France • 21 juin 2017 • couleur• 1h20 • tout public à partir de 5 ans

Ceux qui pensent que la campagne estun lieu calme et paisible se trompent, ony trouve des animaux particulièrementagités, un Renard qui se prend pour unepoule, un Lapin qui fait la cigogne et unCanard qui veut remplacer le Père Noël.Si vous voulez prendre des vacances,passez votre chemin…

«En moins d’1h30, sans insister, sansse prendre au sérieux, et dans de grandséclats de rire : le comble de l’élégance !»Bernard Génin – Positif

«Un film d’animation français, au traitdélicat et à l’humour poétique et déjanté».Isabelle Danel – Bande à part

«Basculant d’une péripétie et d’un déguisement à l’autre, le petit mondefarfelu du Grand méchant Renard, avecses personnages hauts en couleur etses poussins à croquer, offre une re-lecture espiègle, ludique et attachantede nos souvenirs d’enfance». Nicola Brarda – Critikat.com

«En adaptant sa BD, Benjamin Renner,le réalisateur d’Ernest et Célestine, signeune pépite tragicomique». Renaud Baronian – Le Parisien

Ce film est disponible en audiodescription

Rita et Crocodilefilm d’animation de Siri Melchior• Danemark • 7 février 2018• couleur • 40’ • à partir de 3 ans

Rita, petite fille de quatre ans au carac-tère bien trempé, découvre le monde encompagnie de son fidèle ami, Crocodilequi vit dans une baignoire et qui ne pensequ’à manger comme tout bon crocodilequ’il est. Ensemble, ils apprennent àpêcher, ramassent des myrtilles dans laforêt, tentent d’apprivoiser un hérisson,partent camper dans la montagne etquand il neige, font des courses de lugeou encore du ski. Ils partent même surla Lune !! En somme, une amitié entreaventuriers !!

«Rita, le personnage principal, repré-sente la liberté de l’enfance. Elle estlibre d’explorer sans barrière le mondequi l’entoure, mais aussi son mondeintérieur, sans avoir à subir le jugementdes adultes, complètement absents deson univers. Le spectateur et Rita sontentre de bonnes mains, gentiment guidéspar Crocodile. La nature joue un rôlefondamental et bienveillant dans lesaventures des deux amis, qui je l’espère,inspireront les jeunes spectateurs etleur donneront envie de s’ouvrir au mondeextérieur tout en laissant s’exprimerleur imagination». Siri Melchior

du 24 au 28 janvierFestival Télérama

du 7 au 18 février

sortie

nationale

cinémômesà voir en famille

à voir le moisprochain• L’Usine de rien de Pedro Pinho• Oh Lucy ! de Atsuko Hirayanagi• Mulholland Drivede David Lynch• La Danse, le ballet de l’Opéra de Paris de Frederick Wiseman

Grands froids• Winter Brothersde Hlynur Pálmason• Thelma de Joachim Trier• Heartstone de GudmundurArnar Gudmundsson

…Cinémômes• Festival Télérama Enfantsdu 21 février au 6 mars

cinéma Jacques TatiAgora 1901 2 bis av. Albert de Mun (ex salle René-Guy Cadou)

programmation du mardi au dimanchesalle classée Art et Essai,labellisée Patrimoine,Recherche et Découverteet Jeune public

nouveauté !• boucle à induction magnétique pour les personnes malentendantes• rampe d’accès pour les personnesà mobilité réduite• système Fidélio pour les personnes malvoyantes

tarifs• plein 6,50 €• réduit* 5,50 €• carte 6 entrées 28,50 €• cinémômes** 4 €• – de 14 ans 4 €*abonné le théâtre, jeune de - 25 ans, demandeur d’emploi, adhérent CCP,La Couronnée, Version Originale,abonné des cinémas Pax au Pouliguenet Atlantic à La Turballe, bénéficiaire de la Charte Culture et Solidarité**par enfant et par accompagnateur

attention, les séances commencent à l’heure !l’accueil cinéma est ouvert 1/2 heure avant les séances

programmation Simon Lehingue02 40 53 65 [email protected]/ séances scolaires

02 40 53 69 63www.letheatre-saintnazaire.fr

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