Saison 2012-2013

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productions 2012-2013 Photo © Manu Di Martino, cie OKUS

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Productions ST'ART UP 2012-2013

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Établie à Liège, l’association sans but lucra­tif ST’ART UP est active depuis septembre 2011. Elle se donne pour mission de pro­duire et de soutenir des initiatives de créa­tifs et d’artistes en voie de professionnali­sation.

ST’ART UP tient à susciter l’engouement des citoyens pour les nouvelles formes ar­tistiques et met à disposition des ressources nécessaires aux artistes expérimentés afin qu’ils concrétisent leurs créations. ST’ART UP est active à tous les niveaux de la pro­duction et de la promotions d’initiatives culturelles et artistiques.

QUI SOMMES-NOUS ?

L’équipe est constituée de François, étu­diant en communication et apprenti pro­ducteur, Tim, jeune danseur internatio­nal (Cirque du Soleil, Mayumana, Franco Dragone), Sandro, peintre et graphiste, et Sébastien, journaliste indépendant (TALK Magazine, Le Poiscaille).

NOS DÉBUTS EN 2011

L’ASBL ST’ART UP est déjà forte de plu­sieurs événements organisés en 2011. Le festival gratuit et tout public « Liège Danse pour Haïti » a mis en avant plus de 40 artistes. Les bénéfices ont été reversés à l’ASBL TIGOUTDLO, qui se charge de la reconstruction d’un orphelinat en Haïti.

Le Transcultures Live Unit, soirée de per­formances d’art sonores et numériques, a accueilli Philippe Franck, le directeur de Transcultures, Centre interdisciplinaire

d’art sonores et numériques à Mons. Ac­compagné d’artistes d’horizons et disci­plines divers, Franck a proposé une soirée riche en surprises et en innovation.

Enfin, la Grappe d’Artistes Contem poraine Liégeoise (G.A.C.L.), un concept multi­disciplinaire issu de la danse et du théâtre contemporain, a proposé un concept scé­nique prenant.

OBJECTIFS A LONG TERME

ST’ART UP souhaite développer un véri­table réseau d’échanges socio­profession­nels international dans le but d’amener entreprises privées et pouvoirs publics à encourager la Belgique à s’ouvrir aux nouvelles formes artistiques étrangères. À Liège, mettre sur pied une structure de « résidence de créations » accessible au pu­blic, capable d’encadrer tout type de pro­ductions d’envergures diverses ; entrainant de facto des retombées médiatiques. Dans un cadre de détente et de divertissement, seraient également organisées des exposi­tions gran deur nature, des présentations live d’artistes et des workshops.

Dans la foulée, un magazine semi­régio­nal et national serait lancé essentiellement pour nourrir les artistes, les créatifs et les intermittents du spectacle belge.

Le site Internet, lui, fera office de vraie plate­forme internationale de médiation artistique pour nos jeunes artistes contem­porains.

QUE FAIT ?

Ce dossier reprend les projets, productions et coproductions d’une prometteuse et future pépi-nière de la création artistique en Wallonie. ST’ART UP part à la rencontre de nouvelles créations

et les soutient afin les emmener le plus loin possible... Pour chacune des créations suivantes, une présentation complète est disponible à la demande par courriel via [email protected]

L’équipe

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SOMMAIRENOS RÉALISATIONS

Tournée du spectacle liégeois G.A.C.L.Appel aux Jeunes Artistes (AJA)Show Beat The BoxeFestival Liège Danse pour le BrésilConcours Incidences Graphiques

NOS COLLABORATIONS

Festival Les TransnumériquesCréation hybride et contemporaine D-COMPO 2.0Théâtre de rue Y a d’la lumière chez le voisinSpectacle international multimédia INFLUXFilm Des gens bien (polar belge)Journal satirique belge Le Poiscaille

45678

91010111213

Agence de réal isat ions ar t is t iques

Nono Battesti & Didier Laloy, à l’accordéon extrait du spectacle SourceS © Cie Dessources

[email protected] www.startup-ASBL.com François : +32 495 67 06 98

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NOS RÉALISATIONS

Tournée du spectacle G.A.C.L.Grappe d’Artistes Contemporaine LiégeoiseLa Grappe d’Artistes Contemporaine Liégeoise G.A.C.L. rassemble de jeunes artistes actifs dans le do-maine de la danse et du théâtre contemporains. Les Misentroupe du Théâtre en Île, Venuz et le Labo Danse Sans Nom labo DSN forment ce collectif, partageant ainsi l’envie de croiser leur pratique de la scène avec d’autres formes artistiques. Autonomes et indépendants, les éléments de la Grappe forment une œuvre visuelle unique, une recherche esthétique mise en scène et chorégraphiée, où se mêlent son, vidéo et performance, dans une ambiance de cabaret.

Unis et solidaires, leur ambition est de montrer à la Belgique, le potentiel de la jeune scène contempo-raine liégeoise, et de refléter leurs réalités d’artistes évoluant dans trois disciplines distinctes, au sein de trois structures professionnelles différentes.

Le Théâtre Universitaire Royal de Liège (TURLg) a accueilli la première représentation de la G.A.C.L le jeudi 22 décembre 2011. Dans une ambiance chaleureuse et familiale, les spectateurs ont bénéficié de places assises et d’un service à table, ainsi que d’un bar et de tapas, pour suivre le spectacle, d’une durée de deux heures. Confortablement installé, le public a pu découvrir des univers proches de celles vus dans Moulin rouge.

Cette première date a été le coup d’envoi d’une tournée qui est actuellement en cours d’organisa-tion et qui emmènera les membres de la G.A.C.L. à travers la Wallonie et si possible au-delà.

Vidéo du spectacle TURLg : bit.ly/ynObbS

multidisciplinaire cabaretscène

NOS COPRODUCTIONS

Spectacle international multimédia INFLUX Film Des gens bien (polar belge)

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889

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AJA : Appel aux Jeunes ArtistesL’idée est la suivante : lancer un appel à candidatures d’artistes bimestriel durable. Constitué d’experts, de médiateurs et des partenaires, un jury retient en fin de parcours trois artistes de disciplines diffé-rentes.

Ces derniers bénéficient alors deux voire trois semaines de répétitions en vue d’une présentation de leur création face à un public. Le déroulement de ces présentations sont alors proposées gratuitement à des établissements régionaux de tout type culturel, habitué à recevoir un large public. Les heures de répétition et la représentation sont encadrées par des médiateurs, choisis parmi les partenaires.

Les prestations sont rémunérées grâce à l’ensemble des partenaires. Le soutien continu d’une créa-tion en particulier est envisageable, notamment dans une perspective d’exportation du travail effectué au sein de la résidence choisie. Parmi les vingt artistes produits durant l’année, plusieurs d’entre eux travailleront autour d’un spectacle pluridisciplinaire, qui s’adapte facilement aux structures culturelles notables à Liège comme à l’étranger.

Dans cette optique, il est surtout l’occasion de faire découvrir des artistes à un public qui n’est pas né-cessairement un grand consommateur de spectacles. D’autant plus, le projet souhaiterait investir des cadres différents. D’une part, dans les milieux scolaire et académique sous la forme d’ateliers profes-sionnalisants. D’autre part, dans le secteur HORECA où une adaptation du spectacle est envisageable. Tout cela dans le but de donner la possibilité à un nouveau public de se familiariser sans douleur avec les arts du spectacle.

jeune périodiqueinterdisciplinaire

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Beat The Boxeen résidence de création

S’inspirant de la boxe noble et des célèbres shows de catch américain, Beat The Boxe est une œuvre chorégraphique multidisciplinaire inédite, à destination d’un public mixte. Le premier est vivant, festif, habitué des clubs et des discothèques, fréquentant les festivals et les soirées dites hype, où s’entre-croisent tendances et audace. Le second est amateur d’arts du spectacle et de la scène. Beat The Boxe est une création adaptée à des moyens et grands espaces qui n’ont pas peur de séduire leur public par la nouveauté et la créativité.

Dans un univers décalé, électro-hybride et mâtiné d’humour qui n’entache en rien son côté spectacu-laire, Beat The Boxe entraîne danseurs et danseuses averties, issus de disciplines diverses, à se mesu-rer simultanément les uns contre les autres, sur ring de quatre mètres carrés, « over staffé » grâce à sa solide structure (6 mètres sur 6) comprenant jeux de lumière, écrans et décors spécialement conçus à l’effigie des plus grands championnats de catch mondiaux.

Rien n’est laissé au hasard : affrontements prédéterminés laissés à la surprise du public, variés en mu-sique, chorégraphie, veejaying, lumières, coiffure, grimage et habillage ! Les concurrents n’ont donc aucun droit à l’erreur pour gagner la foule et convaincre le jury par la pertinence de leur performance.

Le vainqueur est celui qui réussit à rallier en son sein, non seulement le jury mais aussi le public (50/50), qui, à la fin de chaque « round » de 5 minutes attribuera un score à chacun des participants. Celui ou celle qui obtiendra le plus haut score à la fin du match de 15 minutes sera alors le nouveau champion attitré du championnat Beat The Boxe.

Afin d’étoffer et parfaire leur prestation, les danseurs et danseuses sélectionnés pour participer à Beat The Boxe sont encadrés par une équipe composée d’autres professionnels : un compositeur sonore électro (Jack 303), un vidéaste (Mike Latona), deux coiffeurs (Benoit Magis), un régisseur lumière (François De Brauwer), un scénographe (Marc-Antoine Colin), un chorégraphe (Manu Di Martino), une boîte de production (ST’ART UP), une habilleuse/maquilleuse (Virginie Wolfs), un présentateur et maître de cérémonie. La durée totale du show est de 65 minutes.

show hybridepluridisciplinaire

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Liège Danse pour le BrésilLe Brésil moderne est un immense creuset des traditions de tous les peuples qui y vivent. De la samba à la bossa-nova, de la lambada au funk carioca en passant par la capoeira ou le brega, la musique et la danse brésiliennes sont d’une richesse exceptionnelle. ST’ART UP souhaite les faire connaître du grand public et organise pour cela Liège Danse pour le Brésil, la deuxième édition du festival Liège Danse pour... La première, Liège Danse pour Haïti, a eu lieu en 2011 place Saint-Paul.

Vidéo de l’événement : bit.ly/At6i4X.

Organisé en septembre 2012 en plein centre-ville, Liège Danse pour le Brésil mettra la barre plus haute que son édition précédente. Il reste gratuit, ouvert à tous et donne l’oc-casion de monter sur scène (avec cachet) à plus de 40 artistes issus de nos régions, d’horizons brési-

lienne et latine en voie de professionnalisation.

Leur objectif est d’émerveiller la foule afin de récolter un maximum de fonds pour venir en aide à des enfants brésiliens en difficulté. Pas moins de 1 000 visiteurs sont attendus.

Liège Danse pour le Brésil est une occasion exceptionnelle de partager de façon divertissante, ludique et interactive la culture du Brésil à travers un concentré grandeur nature. Au programme : une journée et une pré-soirée d’immersion totale à travers le folklore et la culture brésiliens, des stands d’animation multiculturelle, des spectacles de danse, des concerts cosy et, bien sûr, une ambiance de folie digne du carnaval de Rio de Janeiro. De quoi donner à la Cité ardente des couleurs originales et offrir aux Liégeois des sensations inédites.

L’objectif de Liège Danse pour le Brésil est de tisser des liens durables avec une association bénévole belge, créée spécialement pour venir en aide à des enfants des favelas et leur famille. C’est elle qui sera chargée d’apporter de l’aide directement dans les bidonvilles grâce aux bénéfices du festival issus de la vente de boissons et de nourritures.

caritatifimmersion fête

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Incidences GraphiquesIl s’agit d’abord de lancer un appel à candidature de graphiste via les réseaux sociaux et le bouche à oreille. 10 d’entres eux seront retenus. Place ensuite à un concours itinérant : 10 graphistes deux par deux concourent à travers 5 lieux urbains (exemple : un snack, une laverie, un magasin de livres, etc.) de façon à créer des incidents artistiques d’expression numérique inattendues. Chaque duo de partici-pants a 2h pour réaliser une œuvre graphique qui restera exposée dans son lieu de création au moins un mois durant.

Au terme de ce mois, un jury procèdera à la remise des prix qui aura lieu pendant les Transnumériques à Liège (cf. page suivante) et durant laquelle seront exposées toute les œuvres. Ce jury sera composé des tenanciers des lieux, de graphistes et des organisateurs ainsi que du public vote du public se fait par dépôt d’un coupon dans une boîte lors de l’exposition dans les lieux. Les jurés remettront à l’un des participants le prix de la meilleure création.

Il sera par ailleurs proposé aux lieux cibles de créer à partir du travail des participants une œuvre gran-deur nature en collaboration avec d’autres artistes du réseau des trois organismes d’organisation

Le projet est porté conjointement par l’agence Ethik (création de sites Web), ST’ART UP et Overall Vision (création d’identité visuelle). Il est durable et peut se refaire en tout lieu et tout temps pour un nombre de fois indéfini.

concours graphismeparcours

agence-ethik.comoverallvision.be

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Les Transnumériques # 4Lancé en 2005, Les Transnumériques est à la fois un festival et une plate-forme qui prend position sur les différents enjeux culturels, artistiques et sociaux que relaient les arts numériques et au-delà, les cultures numériques dans leur grande et intéressante diversité.

Philippe Franck, directeur artistique de Transcultures, structure qui a initié les Transnumériques, a invité Valérie Cordy, metteur en scène et artiste multimédiatique et du réseau à concevoir depuis le début, cette édition 2012.

Les Transnumériques se présente comme un archipel qui relie des îlots créatifs, des «zones d’autono-mie temporaire» (celles créées par les intervenants engagés sur un territoire, un lieu, un temps don-nés). Chaque événement a son indépendance et son angle d’attaque mais ensemble ils tisseront une sorte de toile de sensibilités et de créativités autres liées aux cultures numériques, sans prétendre à un impossible exhaustivité et en toute subjectivité affirmée.

ST’ART UP est chargée de la coproduction des artistes liégeois ainsi que de l’organisation des présenta-tions des Transnumériques dans la ville de Liège qui se fera aux Brasseurs (lieu dédié à la production, à la promotion et à la diffusion d’œuvres d’art).

Au programme : 3 jours d’expostions, vernissages, installations et performances numériques.

Artistes liégeois préssentis :

- Be Benedik- Manu Di Martino - SilverDave (David Caruana)- Florient Caucheteux (Florket)- Vincent Evrard (Ogre)- Philippe Cavaleri

interrégional installations & performancesexpo-festival

© Florkey (expo.florkey.be)

NOS COLLABORATIONS

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D-COMPO 2.0en résidence de création / cie oKuSAvec Mylena Leclercq, « étoile nivelloise à Macao pour Franco Dragone » Nivelles capitale

Le projet D-COMPO 2.0 de Manu Di Martino (compagnie OKUS) est un spectacle vivant dont l’aboutissement découle directement des incidents scéniques qui le composent de façon constante et évolutive, le temps d’un parcours itinérant à travers des endroits publics, insolites et conviviaux. L’originalité de cette création hybride et interdisciplinaire repose sur la fragmentation, la défragmenta-tion, la segmentation et l’association tangible des éléments qui en constituent l’essence. Au terme de ce rallye artistique se dévoile une production multidisciplinaire achevée, dont la partie vidéo s’inspire des lieux visités aupara-vant.

Le travail des artistes qui composent D-COMPO 2.0 repose notamment sur le veejaying, la danse contemporaine, la musique électronique live et le stop-motion. L’entrelacs de ces différentes disci-plines constitue le corps principal cette œuvre organique. Créatif dans le milieu de l’événementiel (Da-vid Guetta, L’Oréal), Manu Di Martino est un artiste au parcours singulier et atypique : après des études en biochimie et génétique, il s’initie au hip-hop et fonde OKUS, un collectif dont les productions mêlent la danse et les arts visuels.

Y a de la lumière chez l’voisin 2.0

Y a de la lumière chez l’voisin 2.0 est un spectacle de Caroline Prévinaire issu d’un projet plus grand intitulé La rue du chat qui court. Ce projet, présenté lors de Namur en mai 2011 avec la collaboration du collectif de graphistes B71, Wall of Magic et des Arts Forains, occupait deux rues entières de la ville de Na-mur avec des projections monumentales sur ses bâtiments. Fort de l’accueil reçu par cette première ébauche de Y a de la lumière chez l’voisin 1.0, l’idée toute naturelle de pousser plus loin le concept pour en faire un spectacle à part entière s’est faite ressentir.

Y a de la lumière chez l’voisin 2.0 est un spectacle où interagissent les nouvelles technologies et trois comédiens en live pour animer la façade d’une maison. En résumé, l’histoire s’affiche sur les fenêtres, et les personnages s’échappent dans la rue. De témoin voyeur, le spectateur devient complice. Le projet réunit des comédiens passionnés d’histoires et des mordus d’arts graphiques et visuels. Ensemble, ils créent des espaces de liberté dans la ville, le temps d’un voisinage éphémère. L’orginalité de ce travail réside dans leur approche de la création : ils explorent la synergie de leurs disciplines unies autour d’un même projet. Ils fusionnent l’art du théâtre avec l’art du graphisme et des projections, l’un n’existant plus sans l’autre.

rallye

théâtre

inattendu

rue

urbain

projection

Les Dyslexiques – Caroline Prévinaire

Démo : http://vimeo.com/33785238

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INFLUXCie Hybrid, Lionel Hun. France / Belgique / Chine / autres

Investissant le champ de l’interdisciplinarité, à mi-chemin entre la danse et les arts visuels, ce travail chorégraphique multimédia s’inscrit dans la mouvance des nouvelles écritures contemporaines. Il s’agit de mêler l’art du mouvement aux arts numériques confrontant le corps matériel à l’immatériel informatique. Se nourrissant de la volonté de chacun d’interroger sa discipline, INFLUX se développe sur un terrain de recherche et l’exploration simultanée de différents arts dont l’objectif est de parvenir à la construction de liens entre le langage du corps et de l’image afin de créer un langage à part entière et étendre la gamme de diversité dans l’innovation des performances artistiques.

La création scénique de la pièce est perçue comme un espace interactif utilisant les dernières technolo-gies de vidéo de projection générant un paysage numérique dont la réponse en temps réel est exécutée par les mouvements du danseur. Cette performance met alors au défi le rôle de l’interprète et interroge le regard du spectateur.

Pièce chorégraphique multimédia, INFLUX est une œuvre ambitieuse et innovante qui bénéficie d’ores et déjà d’une programmation internationale au sein du réseau culturel des Alliances Françaises en Chine Macao, Chengdu, Hangzhou, Qungdao, Pékin, Wuhan, et d’autres lieux ou les alliances sont représen-tées. Une danse contemporaine dans une culture en constante évolution comme reflet de la progres-sion de l’homme dans ses relations avec la technologie.

Avec INFLUX, ST’ART UP entend contribuer à la représentation des couleurs de la Belgique à travers la Chine, la France et les autres pays éventuels où l’œuvre sera programmée. Une coproduction belge d’INFLUX est également l’opportunité de promouvoir d’autres créations de compagnie et d’artistes belges à travers les lieux considérables de diffusion du spectacle. Par exemple au Festival d’Avignon, qui reste une importante manifestation de l’art théâtral et du spectacle vivant en France et dans le monde.

ST’ART UP se donne la mission de programmer le spectacle en Belgique et établir un partenariat afin de permettre une post-résidence de finalisation de création de la pièce à Liège ou ailleurs en Wallonie.

Lionel Hun en solo : bit.ly/u8vs4P

danseinternational multimédiaCompagnie Hybrid

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Des gens bienJack, ancien flic dépressif tente de survivre à la mort de sa femme survenue six ans plus tôt. Il prend les choses en main lorsqu’il apprend que le meurtrier est retour dans la région. Jack engage alors deux anciens malfrats qu’il côtoyait auparavant qui s’occuperont du sale boulot. Pendant ce temps, Tom et Phil, deux flics marginaux fatigués de la vie doivent retrouver le maire de la ville qui a disparu avec une de ses anciennes maîtresses. Contre toute attente, ils vont très vite se retrouver confrontés à une série de meurtres qui n’ont ni queue ni tête.

Le réalisateur, Thomas Protin, est un jeune graphiste passionné de cinéma. Sa rencontre avec la société liégeoise Overall Vision (tournage, montage) l’aidera fortement à mener à bien son projet déjà soutenu par Luc Baiwir.

Placée dans l’univers sombre du thriller, l’histoire peut se dérouler n’importe où et à n’importe quelle époque. La ville de Liège est ici considérée comme un personnage à part entière du récit.

L’acteur principal, Arnaud Bronsart, est diplômé d’art dramatique. Il débute sa carrière de comédien au cinéma en 2004 dans Belhorizon de Carlo Brandt. On l’a vu dans Mobil Home de François Pirot et dans cowboy de Benoit Mariage aux côtés de Benoît Poelvoorde, Bouli Lanners et Julie Depardieu. À la télévision, il a aussi joué dans deux téléfilms, l’un pour la RTBF et l’autre pour France 2.

Le matériel de cette production est assez conséquent et nécessite trois caméras numériques différentes. Le tournage se fait au cœur de Liège, mais également à Chiny ainsi qu’au Luxembourg.

1ère réalisationpolar cinéma belge

Réalisateur, scénariste et second rôle : Thomas Protin / Caméraman, cadreur et chef d’équipe technique : Cedric Lejeune / Photographe, Caméraman, Live Stroyboard : Sabrina Baiwir / Storyboard : Olivier Massa, Sabrina Baiwir, Thomas Protin / Chef décoratrice : Melissa / Designer et maquettiste : Maxime Guesquierre / Caméra et Chef photographie : Thibeault Docquier / Consultant photographie et photographe tournage : Victor Hoffman / 1er Assistant : Christophe Baiwir / Prise de son : INRACI / Chef armurier : Raph / Chorégraphe des cascades et combats : Julien Lays / Maquillage : Overall Vision et Benja / Musique : Remi Rotsaert, Thomas Protin et Alexandre Massa / Monteur : Ced, Thibeault Docquier et Thomas Protin / Producteurs : OverallVision et ST’ART UP ASBL / Coproducteur pour la province du Luxembourg : Eric Gelay / Styliste : Manon Brasseur / Mixage : Luc Baiwir-Quinet

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Adepte d’humour grinçant et de satire sociale, le journal Le Poiscaille est animé depuis février 2010 par une équipe bénévole de chroniqueurs, caricaturistes, étudiants et diplômés en journalisme. Ils pro-posent un regard sur l’actualité différent du consensualisme ambiant. Amoureux de l’investigation, ils partent à la recherche des sujets peu traités pour offrir à leurs lecteurs des angles originaux, enlevés et décalés. Le journal est vendu chaque mois à 1 €, ne contient aucune publicité et n’en publiera jamais.

En soutenant financièrement ce canard, ST’ART UP souhaite contribuer à la pérennité de cette initiative autonome, bénévole et unique en son genre. Le Poiscaille commence seulement à se faire connaître. Un soutien massif en communication lui permettrait d’étendre son lectorat et d’arriver alors à s’autofi-nancer grâce à la vente de ses numéros.

caricatures critiquerireLe PoiscailleJournal satirique belge

www.lepoiscaille.be

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BrAZIKAcie DeSSourceS

cie oKuSDIDIer LALoY

DYNA BeXALTer

KoFILABo DSN

LeS VoLeurS De PouLeSoLD JAZZY BeATS MASTAZZ

PrIMITIV THe BLue WILD SouND

THeATre eN ILeTIM VrANKeN

ToSKATrANScuLTureS LIVe uNIT

VeNuZ

samba, funk et capoeirahip-hop contemporainhip-hop et arts numériquesaccordéon musique soulélectro/ethnique/sensationreggae-fusion et électroniquedanse contemporainejazz manouchehip-hop, reggae et funkbeatboxfunkthéâtre contemporaindanse Mayumana/Dragonepeinturearts sonores et numériquescabaret contemporain

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