Revue de presse de la semaine 38 2012

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Retrouvez une sélection des meilleurs articles de la presse immobilière de la semaine.

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La revue de Presse KYLIA

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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 17 au 21 Septembre 2012

LES ARTICLES DE LA SEMAINE

Crise du logement : les premières mesures du

gouvernement

Le 17/9/2012

Premier poste de dépenses des ménages, devant l'ali mentation et le transport, le logement n'a

cessé de voir son poids croître au cours des vingt dernières années. Si un ménage sur deux

consacre plus de 18,5 % de ses revenus à son habita tion principale, ce " taux d'effort médian "

monte à 26,9 % pour les locataires du parc privé, i ndiquait une étude du ministère du logement

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publiée en mars 2012. Dans les grandes villes, étud iants, jeunes salariés, mais aussi familles

issues des classes moyennes doivent arbitrer entre surface, éloignement et prix.

Face à une situation unanimement dénoncée comme fol le, le gouvernement se devait d'agir.

Précisée en conseil des ministres le 18 juillet, la feuille de route de la ministre du logement, Cécile

Duflot, est claire, à défaut d'être facile à tenir. Elle repose sur deux principaux objectifs : ralentir la

hausse des loyers et réussir à construire 500 000 logements par an sur la durée de la mandature,

dont 150 000 sociaux. " C'est très ambitieux mais nécessaire, dans une situation où le secteur de la

construction, très fragilisé, a besoin d'un signal fort ", a reconnu Mme Duflot.

Les prétentions gouvernementales, en droite ligne avec la promesse faite par François Hollande

durant la campagne présidentielle, arrivent en effet au moment où la conjoncture de la construction

n'a jamais été aussi mauvaise. Entre avril et juin 2012, les constructions immobilières neuves se sont

effondrées de 14 %, par rapport à la même période en 2011.

Le rabotage et la disparition programmée au plus tard au 31 décembre 2012 du dispositif Scellier - un

rabais fiscal accordé aux investisseurs achetant des logements neufs afin de les louer - et le

resserrement du prêt à taux zéro expliquent en partie ces mauvais résultats. La crise qui pèse sur les

budgets des ménages a aussi joué.

Certes le gouvernement se veut proactif. Mais, pour l'instant, les premières mesures qu'il a fait

adopter ne vont pas agir directement sur l'offre. La première est plutôt d'ordre symbolique, puisqu'elle

consiste à abroger la loi du 20 mars 2012 relative à la majoration des droits à construire, dernier texte

du quinquennat Sarkozy, qui ajoutait 30 % de droits construire à tous les terrains à bâtir, mais qui n'a

pas eu le temps d'être appliquée.

La seconde, très attendue, met en place un dispositif d'encadrement des loyers dans 38

agglomérations, 27 en métropole et 11 dans les départements d'outre-mer. Entré en vigueur le 1er

août 2012, ce décret n'agira cependant pas sur les causes de la crise immobilière - en particulier la

pénurie de logements abordables.

Pour atteindre son objectif des 500 000 logements annuels, le gouvernement compte actionner

d'autres leviers, notamment la réforme des aides à la pierre (subventions de l'Etat à la construction

neuve) et l'augmentation du plafond du livret A, principal financeur du logement social . Ainsi, mercredi

22 août, le ministre de l'économie et des finances Pierre Moscovici annonçait une augmentation du

plafond du Livret A de 25 % et le doublement de celui du Livret de développement durable. Ces

plafonds sont respectivement portés à 19 125 euros et 12 000 euros, par un décret publié en

septembre et qui entrera en vigueur "dans les meilleurs délais".

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La mise à disposition de terrains appartenant à l'E tat pour construire des logements sociaux est

aussi un moyen de doper la construction. Les premières cessions gratuites pourraient commencer à

l'automne, une fois fait l'inventaire des terrains disponibles. A Paris, 8 050 logements sont envisagés

sur 59 hectares, selon le ministère. Dès 2012, 11 000 logements pourraient être mis en chantier sur

du foncier public en Ile-de-France.

Lors de la réunion des préfets à Matignon, le 31 juillet, Jean-Marc Ayrault a aussi confirmé que le

gouvernement porterait à 25 % au lieu des 20 % actuels, le taux minimal de logements sociaux par

commune, dans le cadre de la loi Solidarité et renouvellement urbain (SRU) du 13 décembre 2000.

Dans la foulée, le niveau des pénalités pour les communes " mauvaises élèves " devrait être relevé.

Même si ces mesures sont menées tambour battant, il faudra sûrement du temps pour inverser la

tendance et réussir à tenir l'objectif de construction. Début août, en attente de voir les premiers

résultats de sa politique, Mme Duflot a néanmoins eu une première satisfaction : obtenir en 2013 un

budget global de 8,2 milliards d'euros, soit une somme identique celle de 2012.

Source : LeMonde.fr

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L'immobilier parisien attire les fonds souverains

18/9/2012

INFOGRAPHIE. L'avenue des Champs-Élysées garde touj ours la cote auprès des investisseurs.

Aux côtés des classiques VIIIe et XVIe arrondisseme nts, les fonds souverains parient aussi sur

le développement du XIIIe arrondissement.

Pour investir leurs immenses liquidités, les grands fonds souverains se tournent vers l'immobilier. En

2011, selon SIL Bocconi, ils auraient déboursé 13,4 milliards de dollars, sur un total de 81 milliards,

dans cette tranche d'actif. Environ un quart de cette somme est alloué à l'immobilier européen, réparti

essentiellement entre Londres et Paris. Selon une étude du centre de recherche IEIF, les grands

fonds souverains auraient ainsi acquis depuis deux ans pour près de 4 milliards d'euros de biens

réputés de prestige à Paris.

Plutôt que d'investir dans l'immobilier coté, les grands investisseurs parapublics privilégient les

opérations en direct. Ils plébiscitent le traditionnel quartier central des affaires de Paris, une zone,

définie par la chambre de commerce de Paris, qui comprend le VIIIe arrondissement et des parties

des Ier, IIe, IXe, XVIe et XVIIe arrondissements. Au cœur de ce quartier, la valeur symbolique de

l'avenue des Champs-Élysées ne se dément pas.

Au début de l'été, le fonds du Qatar QIA a ainsi mis sur la table plus de 500 millions d'euros pour

s'offrir l'immeuble du magasin Virgin, au numéro 52-60. Quelques semaines plus tard, le fonds de

Norvège rachetait à Generali la moitié de l'immeuble situé au numéro 100 de l'avenue.

Un goût pour les palaces

Un mouvement de diversification se dessine toutefois. Depuis le début de l'année, les fonds

souverains ont élargi leurs centres d'intérêt pour miser en parallèle sur des quartiers en plein

développement. Les fonds de Norvège et de Hongkong ont ainsi acquis chacun un immeuble dans le

nouveau quartier des affaires du XIIIe arrondissement, avenue de France pour les Norvégiens et

avenue Pierre-Mendès-France côté hongkongais.

L'acquisition de grands hôtels et palaces reste également très appréciée des Qatariens. Katara

Hospitality, une entité contrôlée par le fonds souverain de la famille régnante, va mettre la main sur

quatre fleurons du Groupe du Louvre, dont à Paris l'Hôtel du Louvre et le Concorde Lafayette. Dans la

capitale, le holding détenait déjà le Royal Monceau. En 2007, il avait acquis l'ancien centre de

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conférences avenue Kléber qui, reconverti en palace, ouvrira l'année prochaine sous la marque -

Peninsula.

Source : Le Figaro.fr

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Nouveau Scellier: l'investissement locatif Duflot e st-il si

attractif?

Le 19/9/2012

La ministre du logement a dévoilé mercredi les gran des lignes du dispositif appelé à remplacer

le Scellier pour favoriser l'investissement locatif . Reste à savoir s'il est aussi incitatif qu'elle l e

dit. Décryptage.

Le nouveau dispositif d'incitation à l'investissement locatif qui entrera en vigueur début 2013 sera plus

intéressant fiscalement que le Scellier.

Très attendu pour remplacer la loi Scellier, qui disparaîtra le 31 décembre 2012, le nouveau dispositif

en faveur de l'investissement locatif, annoncé aujourd'hui par Cécile Duflot, a plutôt rassuré le petit

monde de la promotion immobilière touchée par la crise. Interrogée par le Figaro, la ministre du

logement a de fait vanté "un dispositif plus incitatif fiscalement". Qu'en-est-il vraiment?

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A première vue, ce nouveau mécanisme, plus social - avec ses loyers de 20% en dessous du marché-

, a de quoi séduire : c'est un système simple pour les acheteurs, avec une réduction d'impôt de 17% à

20% (contrairement à l'amortissement) étalée sur 9 à 12 ans (contre 13% pour le Scellier "classique").

Et, pour les locataires, c'est l'occasion de louer un logement neuf au prix d'un ancien. Bref, c'est un

bon compromis pour faire repartir le marché du neuf et relancer l'offre de nouveaux logements à louer.

Deux interrogations majeures

Cependant, à y regarder de plus près, le dispositif pourrait se révéler moins attractif que prévu.

D'abord parce que, en choisissant la réduction d'impôt, le gouvernement inclut (sauf changement

ultérieur) le dispositif " Duflot " dans le plafond des niches fiscales, soit 10.000 euros par an. Si

l'investisseur possède déjà un appartement acquis en Scellier, il ne pourra pas profiter en même

temps des avantages du " Duflot ", en cas de 2e achat : pour un bien de 300.000 euros, la réduction

s'élève à 60.000 euros sur 9 ans, soit plus de 7.000 euros par an. Pour deux appartements, c'est

14.000 euros, soit 4.000 euros de plus que le plafond autorisé. Or, ce sont ces acheteurs aisés, déjà

propriétaires de biens locatifs, qui investissent en temps de crise. A l'exclusion des classes moyennes

visées par Cécile Duflot.

Ensuite, en baissant les loyers de 20%, le gouvernement oblige les promoteurs à vendre leurs

logements moins chers. Ce qui peut se révéler difficile, compte tenu des prix du foncier. Un exemple :

au centre de Toulouse, les loyers tournent aux alentours de 11 euros le mètre carré. Si la décote

prévue par le gouvernement est appliquée, les loyers tomberaient à 8,8 euros. Or, pour que

l'investissement vaille le coup (avec une rentabilité à 3,5%), l'acheteur devra acquérir son bien 20%

moins cher. Des prix de vente à la baisse impossibles à tenir, selon les promoteurs de la région.

" Même si la mesure va dans le bon sens, je crains que ses effets (si les modalités n'évoluent pas), ne

restent limités ", regrette Guy Nafylian, président de Kaufman and Broad. Et que les 40.000 logements

locatifs supplémentaires espérés en 2013 ne soient pas au rendez-vous.

Source : L’Expansion.com

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Des immeubles « low cost » pour répondre à la crise du

logement

Le 20/9/2012

L’UNPI relance le débat de la construction de logem ents sur la notion d’ «

habitat essentiel » .

L’UNPI relance le débat de la construction de logements sur la notion d’ « habitat essentiel ».

(Philippe Huguen - AFP)

L'Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI) a suggéré la construction de logements à bas

prix pour répondre à la crise du logement, une idée qui pourrait aussi favoriser la reconversion de

sites industriels dans la production en France d'éléments préfabriqués. Dans une série de propositions

souvent iconoclastes, l'organisation, virulente contre des « contraintes » actuelles qu'elle juge

excessives, prône notamment de supprimer les ascenseurs, quitte à n'offrir l'accès aux handicapés

qu'aux seuls appartements « situés en rez-de-chaussée ».

C’est « une fausse bonne idée », a immédiatement rétorqué la Fédération des ascenseurs, qui « tient

à faire remarquer que les personnes handicapées ne sont pas les seules à avoir un besoin vital des

ascenseurs. Il y a aussi les mères de famille avec de jeunes enfants, les femmes enceintes, les

personnes âgées ». L'organisation dénonce, par ailleurs, « l'accumulation de contraintes qui finit pas

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interdire la mise sur le marché de logements » dont la « surenchère » d'exigences environnementales

pour la construction, et pointe du doigt les normes sur « l'accessibilité physique » qui ont « tué

l'accessibilité financière » des logements.

Pour l’UNPI, « la question est simple : voulons-nous des logements parfaits, avec des centaines de

milliers de demandeurs de logements ou voulons-nous mettre en œuvre des moyens pratiques

nouveaux pour répondre aux besoins ? ». Son président, Jean Perrin, demande à la France de

s'engager dans une « nouvelle voie », celle de « l'habitat essentiel », autrement dit à bas coûts, qui

permettrait de faire face à l'actuelle pénurie logements dans le pays. L'objectif serait de « faciliter le

logement de tous » en permettant des « loyers modiques ».

En bannissant tout équipement « superflu », et en ayant recours à des process industriels, l'UNPI

espère réduire les coûts de construction à 900 €/m² contre 1 400 à 1 700 €/m² actuellement. Citant

l’exemple su secteur automobile, qui, « en dépit d'exigences réglementaires fortes liées notamment

aux impératifs de sécurité », est parvenu à élaborer le concept de la « voiture à bas coût », moins

chère et « adaptée au déplacement urbain », l’association de défense des bailleurs privés propose de

recourir à la préfabrication ou la fabrication en série d'éléments du bâtiment « comme des modules de

salle de bain ou de cuisine ». Certains sites industriels pourraient se reconvertir dans la production de

ces éléments, contribuant ainsi à maintenir ou augmenter l’emploi dans l’Hexagone.

Enfin, l’UNPI préconise de s’orienter vers de nouveaux mode d’habitat s’inspire du succès des

colocations pour proposer « un autre mode d'occupation » qui se traduirait, par exemple, par « une

multiplication des espaces collectifs » permettant ainsi de réduire la taille des pièces des

appartements. « Les laveries déjà fréquentes dans les résidences étudiantes pourraient être

complétées par des espaces de séjour commun », affirme l'organisation. Pour mener à bien son

projet, l'UNPI demande le soutien des pouvoirs publics, en réduisant la TVA sur la construction ou en

baissant l'imposition fiscale du bailleur.

Source : LeNouvelObs.com

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Investir dans la location meublée pour préparer sa retraite

Le 20/9/2012

A l'heure où l'investissement locatif fait l'objet de nouveaux coups de rabot, certains investissements

immobiliers, comme la location meublée de biens non professionnels, conservent tout leur attrait.

Surtout en vue de préparer sa retraite et d'obtenir des revenus réguliers.

A l’heure où les investisseurs se creusent sérieusement la tête pour savoir où aller trouver du

rendement, les spécialistes des placements retraite font également tourner leurs calculettes pour

trouver les meilleures solutions. Pas évident en cette période de refonte fiscale, de crise du

financement et d’incertitude géopolitique d’imaginer ce que seront les rentes de demain. Et ce, alors

que la préparation en amont de sa retraite n’a jamais été aussi impérative. Certains, comme Benjamin

Nicaise, président de la plateforme immobilière Cerenicimo, s’est par exemple, longuement penché

sur le sujet. Pour lui, les solutions immobilières sont les plus prometteuses. Mais pas n’importe

lesquelles. Commentant les dernières annonces de Cécile Duflot pour relancer l’investissement

locatif, il se montre tout d’abord assez noir sur le dispositif retenu. «Il fallait une réforme de fond. Or, le

processus retenu aboutira surtout à une baisse des rendements pour les investisseurs qui ne

répondront sûrement pas massivement présents. Du coup, même en relevant les minima de

construction de logements sociaux, il n’est pas sûr qu’ils soient construits!», lance-t-il.

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Les atouts pérennes du statut du LMNP

Selon ce professionnel, l’outil actuel le plus intéressant et peu susceptible d’être «revisité» par les

services fiscaux est le LMNP. Ce statut LMNP (loueur en meublé non professionnel) permet d’investir

dans des biens immobiliers locatifs en générant des revenus sécurisés et non fiscalisés grâce aux

amortissements différés. D’un point de vue fiscal, la location d’un bien immobilier meublé constitue

une activité commerciale dépendant du régime des BIC (bénéfices industriels et commerciaux) non

professionnels. Le principe consiste à se porter acquéreur d’un bien immobilier neuf ou ancien,

meublé, permettant de se constituer une rente défiscalisée. Le logement doit être loué meublé à

usage d’habitation (cela peut aussi bien prendre la forme de chambres d’hôte et autres gîtes ruraux;

d’une partie de la résidence principale du loueur; la location saisonnière d’une villa ou d’un

appartement; de logements situés dans une résidence de tourisme, étudiants, ou médicalisée de type

EHPAD, et confiées par bail commercial à un exploitant professionnel.

Un rendement de 4%

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Et de fait, ce type d’investissement permet de dégager un rendement annuel tournant autour de 4% et

de percevoir à terme une rente annuelle bien supérieure à celle issue de placements dans

l’assaurance-vie ou un PERP, sans toucher au capital, c'est-à-dire le bien en lui-même, que l’on peut

toutefois vendre en cas de besoin. Investissement que Benjamin Nicaise juge beaucoup plus

approprié dans une logique de préparation de sa retraite que des parts de SCPI ou OPCI, les

rendements offerts par ces produits étant largement écornés par les impôts. Reste aussi la possibilité

d’acquérir un bien immobilier tout simplement en vue de l’habiter lors de l’arrêt de l’activité

professionnelle. Mais là, il ne faut pas compter sur des revenus réguliers.

Source : LaTribune.fr

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A propos de KYLIA

KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction. Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes : • La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières traditionnelles. • L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients. • La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun : La croissance ! Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

Marie LAURENT / [email protected] / 01 46 51 93 39