Régulation et industrie biomédicale

51
Régulation et industrie biomédicale

description

Régulation et industrie biomédicale. Sommaire. Présentation & définition Des chiffres Surveillance et engagement qualité Régulation Conclusion. Présentation & Définition. Avant propos Définition DM et DMDIV Les Grandes catégories Les DM et DMDIV Exemples et illustrations. - PowerPoint PPT Presentation

Transcript of Régulation et industrie biomédicale

Page 1: Régulation et industrie biomédicale

Régulation et industrie biomédicale

Page 2: Régulation et industrie biomédicale

1. Présentation & définition 2. Des chiffres3. Surveillance et engagement qualité4. Régulation5. Conclusion

Sommaire

Page 3: Régulation et industrie biomédicale

1. Présentation & Définition

Avant propos

1.Définition DM et DMDIV

2.Les Grandes catégories

Les DM et DMDIV Exemples et illustrations

Page 4: Régulation et industrie biomédicale

Le secteur des dispositifs médicaux est un indéniable élément de structuration de notre système de soins.

Pour preuve, il constitue le second offreur de biens et produits de santé

En avant propos…

Page 5: Régulation et industrie biomédicale

Le dispositif médical est défini dans le code de la santé publique (articles L 5211-1 et R 5211-1)

Comme tout instrument, appareil, équipement, matière, produit, à l'exception de tous produits d'origine humaine, ou article utilisé seul ou en association, y compris les accessoires et logiciels intervenant dans son fonctionnement destiné à être utilisé chez l'homme à des fins médicales.

Ainsi, l'action principale voulue n'est pas obtenue par des moyens pharmacologiques ou immunologiques ni par métabolisme, mais dont la fonction peut être assistée par de tels moyens.

1. Définition

Page 6: Régulation et industrie biomédicale

Cette définition correspond à des milliers de produits très divers par leur poids, leur taille, leur coût de production, mais répondant tous aux mêmes objectifs : prévenir, diagnostiquer, contrôler, atténuer,…, une blessure, une maladie, un handicap.

L'industrie des technologies médicales regroupe un ensemble hétérogène de produits couvrant un champ thérapeutique et opérationnel infiniment vaste et étendu : de la seringue à l'IRM, du défibrillateur cardiaque implantable, au véhicule pour personne handicapée…

1. Définition

Page 7: Régulation et industrie biomédicale

Scanner/IRM

Electrode ECGRespirateur

Set de perfusion

Prothèse de hanche

Auto-piqueur pour glycémie

Stimulateur cardiaque

Exemples de DM : Les équipements (lits, scanners…) Les consommables (gants, seringues…)Les implants (prothèses de hanche…)

Gants chirurgicaux

Seringues

Page 8: Régulation et industrie biomédicale

Exemples de DMDIV * :

Réactifs et automates de laboratoire

Autotests (test de grossesse…)

Récipients pour échantillons…

Lecteur de glycémieConteneur d’aiguilles

Analyseurs délocalisés Tests de Grossesse

Automates de laboratoire

Il n'existe pas de liste exhaustive de DMDIV, toutefois on peut citer comme principales catégories

DMDIV * : Dispositif médical de diagnostic in-vitro

Page 9: Régulation et industrie biomédicale

2. Des chiffres: Positionnement

international européen Français

Les DM à usage individuel Les DM d'équipements Exemples et illustrations

Source d'information: Syndicat National de l'Industrie des Technologies

Médicales

Page 10: Régulation et industrie biomédicale

Des chiffres: Positionnement international

Amérique : 84 milliards d'€ (50,5%)   dont USA 75,2 milliards d'€ (45,3%)

Europe de l'Ouest : 39,7 milliards d'€ (23,9%)

Asie/pacifique : 27,1 milliards d'€ (16,3%)

dont Japon 17,8 milliards d'€ (10,7%)

Reste du monde : 15,4 milliards d'€ (9,3%)

En 2005, Le marché mondial

166,3 milliards d'euros

Page 11: Régulation et industrie biomédicale

Des chiffres : Positionnement européen

Allemagne : 10,4 milliards d'€ (26,3%)

France : 6,7 milliards d'€ (16,9%)

Royaume-Uni : 5,6 milliards d'€ (14%)

Italie : 3,9 milliards d'€ (9,8%)

Espagne : 2,2 milliards d'€ (5,6%)

Autres pays : 10,9 milliards d'€ (27,5%)

Le marché de l'Europe de l'Ouest est de

39,73 milliards d'euros

Page 12: Régulation et industrie biomédicale

Des chiffres: Positionnement Français

Le marché français 2005 est estimé à 6,7 milliards d'euros.

les DM à usage individuel : 5,07 milliards d'€ les DM dits d'équipements : 1,64 milliards d'€

Afin d'être le plus exhaustif possible; il convient d'ajouter :

les prestations diverses et services associés : 1,62 milliards d'€ les DM de diagnostic in vitro (DMDIV) : 1,5 milliards d'€ les DM d’optique : 4,24 milliards d'€ les DM dentaires : 2,18 milliards d'€ les équipements de protection individuelle : 0,75 milliards d'€

Marché global (technologies et dispositifs médicaux) :

16,99 milliards d'€

Page 13: Régulation et industrie biomédicale

Les dépenses de santé

Il est usuel de présenter la structure des

dépenses de santé en proposant une approche par

agrégats.

Un des agrégats le plus fréquemment retenu est la

"consommation médicale totale".

La CMT est composée de dépenses liées à/au : la consommation de soins hospitaliers la consommation de soins ambulatoires la consommation de médicaments &

autres biens médicaux (dont Dispositifs Médicaux)

la consommation de services de médecine préventive

le transport de malades

La CMT par habitant a atteint 2 449 € en 2005

25 %25 %

Page 14: Régulation et industrie biomédicale

3. Responsabilité et Surveillance

Réglementation = Marquage

classification Étapes et suivi

Page 15: Régulation et industrie biomédicale

Les dispositifs autres que ceux sur mesure et ceux destinés à des investigations cliniques mis sur le marché ou mis en service en France doivent être revêtus du marquage CE, selon la directive 98/79/CE.

Le fabricant choisit une procédure de marquage CE, qui fait ou non, intervenir un organisme notifié, notamment selon la classe du DM.

Réglementation : Qu’est-ce que le marquage CE ?

3. Responsabilité et Surveillance

Page 16: Régulation et industrie biomédicale

Dans le cadre du marquage, il existe des normes qui ne sont pas obligatoires mais les industriels ont tout intérêt à les observer car leur application présume la conformité aux exigences essentielles.

>>>Ainsi, le marquage CE peut être apposé préalablement à la mise sur le marché.

Les normes harmonisées sont élaborées par des organismes européens de normalisation (CEN, CENELEC etc.), sur mandat de la commission, afin de correspondre aux exigences communautaires.

Qu’est-ce que le marquage CE d’un DM ?

Comité Européen de Normalisation Electrotechnique

Comité européen de normalisation

Page 17: Régulation et industrie biomédicale

Le marquage CE atteste que:

• les produits sont conformes aux exigences essentielles des directives applicables

• les produits ont été soumis à la procédure d’évaluation de la conformité prévue dans les directives.

Qu’est-ce que le marquage CE d’un DM ?

Ils sont ensuite publiés au JOCE et transposés en normes nationales.

En France, les normes européennes (EN) sont

reprises sous les termes NF-EN par l'AFNOR.

JOCE -Journal Officiel des Communautés Européennes

Page 18: Régulation et industrie biomédicale

Les 3 acteurs du marquage CE :Les 3 acteurs du marquage CE :

FabricantFabricant : responsable de la mise sur le marché, il choisit l’organisme notifié et il appose le marquage CE une fois obtenu.

Organisme notifiéOrganisme notifié : évalue la conformité aux exigences essentielles et délivre le certificat de marquage CE.

Autorité compétenteAutorité compétente :

•Désigne et inspecte les organismes notifiés

•Surveille le marché

•Centralise et évalue les données de vigilance

•Prend les mesures de police sanitaires appropriées

Qu’est-ce que le marquage CE d’un DM ?

Page 19: Régulation et industrie biomédicale

Il existe 18 règles de classification permettant de déterminer la classe des dispositifs autres que les dispositifs implantables actifs.

Elles sont définies dans l’annexe IX de la directive 93/42CEE

Classification des dispositifs médicaux

« Les dispositifs médicaux sont répartis en 4 classes dénommées classe I, classe II a, classe II b, et classe III » (Article R. 5211-7) en fonction du niveau de risque du dispositif par rapport aux critères suivants :

invasif actif implantable court ou long terme ...

Page 20: Régulation et industrie biomédicale

Identification des dispositifs concernés et

de la classe à laquelle ils appartiennent

Choix de la procédure d ’évaluation de la

conformité

Choix d ’un organisme notifié

Apposition du marquage CE

Auto certification

Mise sur le marché

Étapes pour apposer un marquage CE

Page 21: Régulation et industrie biomédicale

Comment se matérialise le marquage CE ?

Si la procédure choisie fait intervenir un organisme notifié, l’étiquetage du produit comporte :

où XXXX est le numéro d’identification de l’organisme notifié

Dans le cas d’une auto-certification (classe I), l’étiquetage du produit comporte :

Une déclaration CE de conformité est établie par le fabricant.Un certificat de marquage CE indiquant la procédured’évaluation appliquée et le champ des produits est établi parl’organisme notifié. Il est valable 5 ans au maximum, et peut être reconduit.

XXXX

Page 22: Régulation et industrie biomédicale

Après le marquage CE

Ainsi, le marquage CE permet la libre circulation du dispositif médical sur le territoire de l’Union Européenne.

Il engage la responsabilité du fabricant, sur tous les aspects relatifs à son produit.

Le fabricant doit conserver la documentation technique du dispositif et la tenir à disposition des autorités compétentes.

Traçabilité

Page 23: Régulation et industrie biomédicale

3. Surveillance et Engagement qualité

Surveillance du Marché Rôle de l’AFSSAPS Application Terrain

Page 24: Régulation et industrie biomédicale

  En France, les dispositifs médicaux (DM) et les dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (DMDIV) sont des produits de santé qui relèvent des compétences de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). 

Surveillance du Marché

>> Surveillance du marchéLa performance et la sécurité d'emploi des DM et des

DMDIV  sont contrôlées dans le cadre du programme de la surveillance du marché.

>> Application des procédures réglementaires Mise en place d’opérations d'évaluations et de contrôles obligatoires du marché

Page 25: Régulation et industrie biomédicale

Pour les dispositifs médicaux les plus sensibles, l'Afssaps intervient dès la phase des essais cliniques.

Elle poursuit la surveillance de la sécurité d'emploi de tous les dispositifs médicaux par une évaluation des bénéfices et des risques; dans le cadre des déclarations d'incident (vigilances) ou dans le cadre de la surveillance du marché.

Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

Surveillance du Marché

Page 26: Régulation et industrie biomédicale

Rôle de l’AFSSAPS

A partir des déclarations d’incident ou risque d’incident,

elle s’assure de la mise en oeuvre des différentes étapes de la

réactovigilance

►Elle réalise toutes études ou travaux concernant la qualité ou la sécurité d’utilisation des DMDIV

► Elle enregistre, évalue et exploite ces informations dans un but de protection de la santé des personnes

► Elle met en place et assure le suivi des actions correctives décidées

DEDIM / URV / L. BURC / CCREVI-2005

Page 27: Régulation et industrie biomédicale

La matériovigilance et la réactovigilance ont pour objet la surveillance des incidents ou des risques d'incidents mettant en cause respectivement un dispositif médical ou un dispositif médical de diagnostic in vitro. Elles s'exercent sur les produits après leur mise sur le marché.

Matériovigilance  pour les dispositifs médicaux

Réactovigilance  pour les dispositifs médicaux de diagnostic in-vitro

Rôle de l’AFSSAPS

Page 28: Régulation et industrie biomédicale

Le fabricant ou son mandataire, l’importateur, le distributeur, les professionnels de santé utilisateurs sont tenus de signaler sans délai à l’Afssaps toute défaillance ou altération d’un dispositif médical de diagnostic in vitro susceptible d’entraîner des effets néfastes pour la santé des personnes.

QUI SIGNALE QUOI ?Art. L. 5222-3 de la TRANSPOSITION DE LA DIRECTIVE

Application terrain

Page 29: Régulation et industrie biomédicale

Contexte Approche de la problématique Régulation

o Changements et évolutiono Accès au remboursement o Financement lié à l’activité o Fusion

4. Régulation

Page 30: Régulation et industrie biomédicale

Nous sommes face à une spectaculaire évolution des techniques thérapeutiques.

L’association de l’informatique, de la télématique et de l’imagerie a permis de faire des bonds fabuleux dans la technique médicale. Les techniques de chirurgie dites «non  invasives » ont gagné aussi toutes les disciplines: le viscéral, le vasculaire, l’orthopédie.

Le chirurgien n’ouvre plus le corps.

Il navigue dans les organes, le cœur, le cerveau grâce à des mini-robots dont il surveille la progression sur écran. Le progrès  fait des bonds technologiques prodigieux.

Contexte : un renouveau permanent

Page 31: Régulation et industrie biomédicale

Maîtrise des dépenses de Santé

Approche de la problématique

Organisation du système social

Contraintes de marché Compétitivité Recherche et développement Garantie et sécurité

= > Retour sur

Investissements Profit & Rentabilité

Tutelle Fournisseurs

Fortes préoccupations économiques

Réelles difficultés, s’agissant de deux axes opposables pour lesquels les objectifs sont divergents.

Page 32: Régulation et industrie biomédicale

Régulation : Changement et évolution

La haute Autorité de Santé a été créée par la Loi du 13 août 2004 relative à l’assurance maladie afin de contribuer au maintien d’un système de santé solidaire et au renforcement de la qualité des soins, au bénéfice des patients.

Pour la HAS, les technologies de santé innovantes concernant les dispositifs et équipements médicaux, sont considérées comme porteuses de progrès (Amélioration de façon importante de la prise en charge thérapeutique ou diagnostique du patient).

Page 33: Régulation et industrie biomédicale

• Pour ce faire, la HAS s'engage à :

1. Evaluer les dispositifs prometteurs, voire émergents dans

les plus brefs délais, ce qui lui permettra de réduire le décalage qui se tient entre la rapidité de l'évolution technologique et la lenteur des processus

organisationnels et décisionnels.

=> rôle de la Commission d’évaluation des produits et prestations (CEPP)

Régulation : Changement et évolution

Page 34: Régulation et industrie biomédicale

2. Assurer une veille sur les technologies innovantes:

Ses Objectifs :

• repérer les technologies nouvelles et émergentes à fort impact sur le systèmes de soins

• Maîtriser l'information sur les technologies émergentes

• Participer à un réseau d'information international permettant de favoriser les échanges et l'alimentation d'une base de données communes.

Régulation : Changement et évolution

Page 35: Régulation et industrie biomédicale

3. Favoriser les contacts entre les industriels et les professionnels de santé sur les dispositifs à fort potentiel.

4. Anticiper l'examen des produits innovants susceptibles d'être porteurs de progrès.

Régulation : Changement et évolution

Page 36: Régulation et industrie biomédicale

La CEPP donne un avis sur les demandes d’inscription ou de renouvellement d’inscription des dispositifs médicaux à usage individuel, tissus et cellules issus du corps humain, produits de santé autres que les médicaments et prestations associées, sur la liste des produits et prestations remboursables par l’assurance maladie (LPPR)

Régulation : Accès au remboursement

Commission d'évaluation des produits et prestations visés à l'article L.165-1 du code de la sécurité sociale

Page 37: Régulation et industrie biomédicale

L’avis de la CEPP porte sur l’appréciation :

Du "Service attendu" : permet de mesurer l'utilité médicale et la performance de la technologie en terme d'efficacité et de risques

De l’ "Amélioration du service attendu" qui permet de mesurer le progrès thérapeutique apporté par cette technologie par rapport à une autre

Régulation : Accès au remboursement

Page 38: Régulation et industrie biomédicale

Procédure d'inscription et de décision

Procédure d'inscription et de décision

Page 39: Régulation et industrie biomédicale

Régulation

Les produits présentant un caractère innovant sont inscrits sur la LPPR sous nom commercial

L’inscription sous nom commercial concerne également les produits dont « l'impact sur les dépenses d'assurance

maladie, les impératifs de santé publique ou le contrôle des spécifications techniques minimales nécessite un suivi particulier du produit ou de la prestation. »

Les autres produits sont inscrits par la description générique du produit ou de la prestation

Page 40: Régulation et industrie biomédicale

Régulation …

Qui dit nouveauté, ne dit pas forcément « Innovation » .  Ainsi, nous avons également des dispositifs médicaux «me-too»  inscrits sur la ligne générique pour lesquels nous observons une technologie différente, voire améliorée. Cependant, très souvent ces différences par rapport à l'existant sont porteuses de progrès qui induit aussi des risques nouveaux qu'il convient alors, de surveiller.

Page 41: Régulation et industrie biomédicale

Dispositifs réglementaires : • Codification et inscription aux actes remboursés à la CCAM

Valeur de la lettre clef ( B, K, Z, …)

Nomenclatures des actes de biologie médicale (NABM)

Pour exemple :

Baisse de prixBaisse de prix : En juin 2006, l'union des Caisses d'assurance Maladie a décidé de diminuer le tarif des 13 actes les plus prescrits et de supprimer le remboursement de certains profils .

Economie estimée de 126 millions d'€uros en année pleine CCAM : Classification commune des actes médicaux

NABM : Nomenclature des actes de biologie médicale.

Régulation L’ensemble des actes professionnels fait l’objet de dispositions réglementaires

Page 42: Régulation et industrie biomédicale

Les financements liés à l’activité: les suppléments

Pour rappel: Les médicaments et les dispositifs médicaux, par principe, sont inclus dans les GHS.

Exception, les médicaments onéreux qui ont un fort impact sur le coût des GHM et les DMI (dispositifs médicaux implantables) coûteux sont facturés en plus du GHS.

Une liste des médicaments onéreux et des DMI donnant lieu à facturation est publiée chaque année.

Les molécules et les DMI coûteux sont remboursés à 100% si l’établissement a adhéré à un contrat de bon usage avec l’ARH

Si l’activité nationale augmente de manière importante, les tarifs sont ajustés l’année suivante pour rester dans l’enveloppe.

Page 43: Régulation et industrie biomédicale

Dispositifs réglementaires

• Négociations Recommandations des bonnes pratiques Convention avec les Médecins (Janvier 2005) -

Détermination des objectifs de Maitrise médicalisée qui ont permis de réaliser 720 millions € d'économies

Certification et accréditation Numerus Clausus ( Biologistes… ) Validation des compétences & mise à jour des

connaissances L’accès au savoir (Médecins et Patients ) Contrat de bon usage

Régulation

Page 44: Régulation et industrie biomédicale

Contrat de bon usage

Il est conclu pour une durée de 3 à 5 ans entre le directeur de

l’ARH et le représentant légal de chaque établissement public

et privé de chaque région .

Le décret 2005-1023 relatif au contrat de bon usage desmédicaments et Produits médicaux a été Publié au J.O du

26Août 2005.

Le pilotage du plan régional d'actions de régulation est assuré

par l’URCAM qui est chargée d’en assurer la coordination.

URCAM : Unions régionales des caisses d’assurance maladie

Régulation =

Page 45: Régulation et industrie biomédicale

Régulation et Impact de l’industrie

Outre le système de régulation liée à l’organisation, on retrouveles industriels qui détiennent une place prépondérante sur leterrain et oriente fortement les changements et l’offre de soins.

>> Contraint de faire évoluer ses Produits et ses Services, quinécessitent des ressources incontournables … La pression du « Marché » est forte et les besoins de financement sont grands.

Résultat = > Fusions

Page 46: Régulation et industrie biomédicale

Pour exemple: Régulation et Fusions

1.Vente officielle de Bayer Diagnostics à SiemensLa cession des activités de Bayer Diagnostics est désormais effective. Bayer et Siemens étaient arrivés à un compromis de vente pour un montant de 4,2 milliards d'euros en juillet 2006. En 2005, Bayer Diagnostics employait plus de 5000 personnes et a généré un Chiffre d'affaires de 1,4 milliard d'euros.

Page 47: Régulation et industrie biomédicale

General Electric reprend le diagnostic d'Abbott pour 8,1 milliards de dollars

Le groupe dirigé par Jeffrey Immelt a repris les activités de tests in vitro et d'appareils de surveillance des patients sur leur lit d'hôpital.

Le conglomérat qui présente ses résultats aujourd'hui, renforce son pôle médical d'une nouvelle activité qui pèse 2,7 milliards de dollars.

Pour exemple: Régulation et Fusions

Page 48: Régulation et industrie biomédicale

5. Conclusion

Page 49: Régulation et industrie biomédicale

En Conclusion…

Le secteur des dispositifs médicaux fait partie intégrante de

notre système de soins d’aujourd’hui et, le sera encore plus

demain.

Son évaluation demeure multiple, elle est d’ordre : 1. Technologique2. Ergonomique3. Médicale

4. Economique

Page 50: Régulation et industrie biomédicale

En Conclusion …

La façon de soigner subit de profondes transformations et des

changements structurels qui conduisent à une réorganisation

incontournable .

Mise en commun d’équipements Développement des coopérations (Plan Juppé) Entretien de la dynamique Démarche Qualité ( Formation, certification,

accréditation)

Page 51: Régulation et industrie biomédicale

Les sources d’information

L'essentiel du droit français www.legifrance.gouv.fr

Syndicat National de l'Industrie des Technologies Médicales www.snitem.fr

Haute Autorité de Santé (HAS) www.has-sante.fr

Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé www.afssaps.fr

Portail des agences sanitaires www.sante.fr