Rédaction : association Le Carré et association ...et dans un deuxième temps les professeurs leur...

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Rédaction : association Le Carré et association

Géoarchi, élèves de l’institut

Responsable mise en page : Pauline Chaptal

Cher-e-s géoarchitectes,

Voilà, c’est déjà la fin. L’année scolaire 2017/2018 se termine sous le soleil du mois de mai (qui s’est fait attendre,

il était temps). Et avec ces beaux jours, arrive le dernier numéro du Géoarchitexte, la revue annuelle de l’institut. Ce

dernier numéro affiche un nouveau profil cette année. La seconde association, Géoarchi, a en effet mis en place une

gazette mensuelle cette année. Nous vous proposons donc, en collaboration, un best-off des articles qu’ils ont

publiés, avec bien entendu des inédits ! L’ensemble de l’année sera retracé et illustré à travers les rubriques habituelles

(les sujets de mémoire, les ateliers, les expatriés, etc), mais aussi de nouvelles thématiques à découvrir...

Nous remercions les auteurs des récits, les dessinateurs et les photographes.

En vous souhaitant une bonne lecture et un bel été !

Géoarchicalement,

L’équipe Le Carré Géoarchi

Hélène, Ilanka, Maëva, Mélanie, Pauline, Thomas

EDITO

Nouveaux bureaux des deux associations

Intégration et rentrée de Septembre

Nouvelle venue : Pauline Delbosc

Interviews décalés

Les expatriées en République-Tchèque

Les licences en balade à la capitale

Sortie écologique – Presqu’île de Crozon

Le voyage des M1 à Barcelone

Les M2 à Marseille

Forum des métiers

Journée de recherche M1 Lorient

Sujets de mémoire S1 et S2

Les ateliers des M1 et M2

Les perles d’Olivier Duigou

Les montages photos de l’année

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La vie de l'institut

Géoarchi en voyage

L'institut au travail...

Pour le plaisir

SOMMAIRE

Géoarchitexte | 1

Des nouvelles assos

Avant toute chose, laissez nous vous présenter ceux qui ont fait vivre votre année scolaire. En effet,

cette année encore les bureaux des deux associations se sont renouvelés pour perpétuer l’ambiance

unique de Géoarchi.

Vous avez élu cette année le plus grand cru des élèves, et ils sont ici aujourd’hui pour vous présenter le

géoarchitexte de l’année 2017-2018, sous vos yeux ébahis.

Des nouvelles assos

Avant toute chose, laissez nous vous présenter ceux qui ont fait vivre votre année scolaire. En effet, cette année encore

les bureaux des deux associations se sont renouvelés pour perpétuer l’ambiance unique de Géoarchi.

Vous avez élu cette année le plus grand cru des élèves, et ils sont ici aujourd’hui pour vous présenter le géoarchitexte

de l’année 2017-2018, sous vos yeux ébahis.

Géoarchitexte | 2

Nom de l’opération : Thomas Kolanek

Type : Licence 3

Intérêt principal : Président

Hauteur : 186 cm

Chronologie de construction : DUT Carrières Sociales option

Gestion Urbaine à Belfort, puis intégration de l’institut en Licence 3

Composition : Un couvre-chef toujours présent au sommet et un

accent de l’Est

Nom de l’opération : Nino Cléva

Type : Licence 3

Intérêt principal : Vice-Président

Hauteur : 176cm

Chronologie de construction : Une année de licence de Géographie

à Rennes et un DUT Carrières Sociales option Gestion Urbaine à

Alençon avant de d’intégrer l’institut de Brest en Licence 3

Composition : Un physique gringalet qui cache un mental d’acier

Nom de l’opération : Eliot Bouzy

Type : Licence 3

Intérêt principal : Trésorier

Hauteur : 180 cm

Chronologie de construction : Quelques années à la fac de droit

avant un DUT Carrières Sociales option Gestion Urbaine à Alençon

pour ensuite arriver à Géoarchi en Licence 3

Nom de l’opération : Pierre-Alan Jobic

Type : Master 1

Intérêt principal : Vice-trésorier

Hauteur : 180 cm en temps normal, 40 cm lorsqu’il est en PLS

Chronologie de construction : Une licence en architecture

paysagère avant d’intégrer directement le master 1 de l’institut

Composition : Son cœur est rempli d’une grande peur envers le

voyage à Barcelone

Géoarchitexte | 3

Nom de l’opération : Elisa Lami

Type : Licence 3

Intérêt principal : Secrétaire

Hauteur : 160 cm


Gestion Urbaine à Belfort, puis intégration de l’institut en Licence 3

Composition : Ses jambes de 80 cm font d’elle la petite de l’asso

Nom de l’opération : Alan LE BERRE

Type : Licence 3

Intérêt principal : Vice-secrétaire

Hauteur : 182 cm

Chronologie de construction : Après une licence de génie thermique

et énergie, c’est en licence 3 qu’il intègre l’institut

Composition : D’après quelques sources sûres, il aurait le plus beau

fessier de l’Ouest

Nom de l’opération : Antoine Chameau

Type : Master 1

Intérêt principal : Chargé de communication

Hauteur : 179 cm

Chronologie de construction : Licence de Géographie avant

d’intégrer l’institut en master 1

Il aurait cependant l’ambition de devenir proctologue

Composition : Sourire niais, amateur de soupe aux lentilles, interdit

de casino

Nom de l’opération : Cécile Bercegeay

Type : Master 1

Intérêt principal : Webmaster

Hauteur : 169 cm

Chronologie de construction : Après 2 ans de CPGE, une Licence 3

de Géographie et un master 1 en Erasmus, c’est en master 1 qu’elle

rejoint Géoarchi

Composition : cheveux d’anglaise mais pas Ginger

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Géoarchitexte | 4

Nom de l’opération : Mélanie Cario

Type : Master 1

Intérêt principal : Présidente

Hauteur : 171 cm

Chronologie de construction : Licence de géographie à Lyon 2 avant

d’intégrer l’institut en Licence 3

Composition : ancienne secrétaire de l’association et accro aux listes,

elle a tout d’une présidente hors-pair

Nom de l’opération : Hélène Steinbach

Type : Licence 3

Intérêt principal : Secrétaire

Hauteur : 176 cm

Chronologie de construction : DUT carrières Sociales option

Gestion Urbaine à Alençon a

Composition : Athlète de la tête aux pieds

Nom de l’opération : Thomas Cabanel

Type : Licence 3

Intérêt principal : Trésorier

Hauteur : 173 cm

Chronologie de construction : Il rejoint Géoarchi en Licence 3 après

un DUT Génie Civil et une licence pro Génie civil à la Rochelle

Composition : A la capacité de se coiffer dans toutes les circonstances

Nom de l’opération : Pauline Chaptal

Type : Licence 3

Intérêt principal : Chargée de communication

Hauteur : 169 cm


Gestion Urbaine à Alençon avant de retourner sur sa terre natale en

Licence 3

Composition : Chevelure de feu

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Géoarchitexte | 5

Nom de l’opération : Maëva Cru

Type : Master 1

Intérêt principal : Chargée du réseau

Hauteur : 170 cm

Chronologie de construction : Une licence de sociologie à Rennes

avant de rejoindre géoarchi en master 1

Composition : Sa cigarette électronique lui est presque greffée à la

main, ce qui fait d’elle un véritable dragon, mais un gentil dragon

Nom de l’opération : Ilanka Albérola

Type : Master 1

Intérêt principal : Chargée de l’insertion professionnelle

Hauteur : 166 cm


Gestion Urbaine à Alençon avant d’intégrer l’institut en Licence 3

Composition : Toujours le sourire et un rire reconnaissable à des

kilomètres à en déboucher les oreilles des sourds ; fan de magic system

dans ses heures les plus sombres.

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INTÉGRATION 2017 : BATZ COMME TERRAIN DE JEU

Géoarchitexte l 6

LA VIE DE L'INSTITUT

Géoarchitexte | 7


A l’exception de quelques âmes égarées et d’un retardataire, tous les étudiants de Géoarchi sont chargés, bagages

compris, dans un des deux bus qui doivent les conduire vers l’embarcadère de Roscoff à 10 H précise : direction

l’île de Batz !

Parmi nos joyeux drilles certains accusent une fatigue bien surprenante pour un second jour de rentrée scolaire, et

un petit nombre d’inconfort stomacaux sont à déplorer au sortir d’un bateau à accoster au Porz Kernok.

Le ciel est gris, bas au-dessus des têtes, la chaleur qu’on devrait trouver en cette période semble balayée par un vent

soutenu. Il faudra se réchauffer et cela débutera par une marche ! Voici donc nos géoarchitectes qui crapahutent

jusqu’aux rêves de Mer où ils passeront trois jours. Une fois installés et restaurés, ils découvrent les jeux ludiques et

cérébraux préparés pour l’occasion !

On constitue les équipes, mixtes et paritaires, et se positionne sur les terrains ; au programme jeux de rapidité, sports

collectifs, agilité et, pour respecter le taux moyen de blessures, un peu de lutte sur terrain glissant ! A peine

l’échauffement avait-il commencé que certains s’étaient déjà inquiéter de la phase d’hydratation post effort et s’y

attelaient avec minutie. Sous une couche nuageuse obstruant toujours les horizons, les placages, manchettes et autres

cavalcades effrénées s’enchainent et la pluie qui passe de temps à autres ne décourage personne ! Aussitôt la final achevée

les étudiants doivent rapidement se rendre au centre de l’île pour rencontrer le maire et écouter les consignes qu’il va

leur transmettre pour le lendemain. Car le second jour sera productif : par équipes de 7 ou 8 les géoarchitectes devront

trouver un lieu où implanter un observatoire sur Batz et justifier leur choix en fin de journée devant un jury constitué

d’enseignants et de monsieur le maire !

En attendant de visiter l’île les Brestois et néophytes ont du temps à tuer et vont prendre leur mission à bras le corps

! Au prix d’éreintants efforts et après une organisation parfaite, qu’on sait être leur point fort, les préparatifs pour la

première soirée d’intégration sont achevés ! La suite appartient à l’Histoire, seuls les chanceux présents ce soir-là

pourront narrer ces évènements.

Après un réveil plus ou moins coordonné les groupes se constituent et partent à l’aventure. Des dizaines d’aménageurs

en herbe sillonnent l’île afin de trouver le « spot » idéal ! Les heures tournent et les idées fulminent, tandis que l’heure

de la présentation avec les professeurs (arrivés plus tôt dans la matinée) approche, et voilà bientôt tout notre petit

monde qui se dirige vers les bungalows.

Géoarchitexte | 8


S’égrènent alors plusieurs heures de comptes rendus, que d’aucun ne qualifierai de longues, mais qui

s’achèvent malgré tout. Un barbecue t quelques boisons houblonnées ou non viendront raviver les

conversations laissées quelques heures durant de côté pour certain et commencer à « poncer le parquet »

pour d’autres, (expression entendue qui semblerait signifier « danser », ndlr). Le temps prend alors une

autre tournure : les musiques s’enchainent, les rencontres (y compris avec les professeurs) aussi et le soleil

viendra rappeler aux plus endurants que l’heure d’aller se coucher est arrivée.

Le dernier jour n’est sans doute pas celui au cours duquel on a pu saisir le plus le dynamisme de nos

géoarchitectes, néanmoins ils ont tenu bon et se sont rendus à Morlaix pour une visite de la ville ! En

premier lieu ils ont assisté à deux présentations à la mairie, dont une assurée par un de leur prédécesseur,

et dans un deuxième temps les professeurs leur ont assurée une visite guidée du haut et du bas de la ville.

Après quoi les bus se sont remplis pour la dernière fois : direction Brest !

Voilà comment l’année 2017/2018 s’est préparée, dans la bonne humeur et avec une convivialité

de bon augure.

Romaric Richard,

Ancien webmaster de l'association Géoarchi


N O U V E L L E V E N U E

Avant d’arriver ici j’ai fait un Master en ingénierie en

écologie et gestion de la biodiversité J’ai fait ma

première année de Master à Marseille et ma deuxième

année à Montpellier. Suite au M2 on m’a conseillé de

faire une thèse car j’avais fait plusieurs stages en

phytosociologie, du coup j’ai contacté Frédéric Bioret,

ici à Brest.

Pourquoi l’écologie ? C’est depuis ma plus petite enfance...j’ai toujours aimé être dehors avec la nature. Après, pour mes

études, très rapidement je m’y suis intéressée. J’ai fais un BAC spécialisé dans l’agroenvironnement.

Après, pourquoi ? C’est réellement le fait d’être au contact de la nature, des plantes, c’est quelque chose

qui me plait.

L’intégration s’est fait assez rapidement. En fait j’ai réalisé ma thèse ici, mais en partenariat avec le

conservatoire botanique de Corse. Très rapidement je suis partie en Corse, donc je n’ai pas

réellement eu à faire à l’équipe dès le départ. Quand je revenais l’hiver, pour faire l’analyse de

données, c’est à ce moment là que j’avais contact avec eux. On faisait des séminaires de travail, donc

on apprenait à se connaître, savoir qui faisait quoi dans le laboratoire, c’était assez sympa. Pour

quelqu’un qui n’était pas dans l’équipe en permanence ça permet de se mettre un peu à jour.

Géoarchitexte | 9


Totalement ! (rires) Alors je suis originaire de l’Aveyron.

C’est un très très long chemin ! J’ai vécu en Aveyron jusqu’à mes dix-huit ans, après je suis partie pour mes

études. J’ai d’abord été en Corrèze, un département du Limousin un peu perdu, pour faire un BTS en gestion

et protection de la nature. Ensuite je suis allée en Lozère, j’ai du faire le deuxième département le moins

peuplé de France (rires) où j’ai fait une Licence Pro en gestion et protection de la nature aussi. Après je suis

partie à Marseille pour mon M1, puis Montpellier pour mon M2, et je suis arrivée à Brest en 2011 pour la

thèse.

La Bretagne ressemble beaucoup à chez moi dans le sens où la mentalité des gens est assez “proche du

terroir”. Les bretons sont très ouverts, on peut facilement discuter avec eux, ils sont très simples. Ce qui peut

me manquer sont mes attaches personnelles que j’ai là-bas, le côté familial. Puis le caractère un peu bourru

des aveyronnais...mais on retrouve ça chez les bretons donc finalement…(rires). La montagne me manque

par contre.

Ricard sans hésiter !

Alors je mange pas de viande, donc je dirais aligot !

Plage de sable...c’est mieux pour marcher.

P

Alors complètement contre de manière générale, et encore je pense qu’ils ne sont pas près de mettre un

Mc Do’ en Corse...

Géoarchitexte | 10


Francis Cabrel parce qu’il est du Lot juste à côté de l’Aveyron (rires).

Huile d’olives, ça c’est le sud…

Euh...sur les bretons...c’est qu’ils mangent des crêpes et qu’ils boivent du cidre, qu’ils sont un peu

bourrus. Et sur les aveyronnais c’est qu’on est hyper bornés !

Vive la Bretagne et vive l’Aveyron ! (rires)

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Géoarchitexte | 12

« Alors c’est vrai, euh... tout simplement parce que contrairement à Daniel, je n’ai jamais exercé le métier d’architecte au sens où on l‘entend habituellement. La cotisation à l’ordre n’est obligatoire que pour deux choses: porter le titre mais surtout, ça permet de régler quelques questions de responsabilité sur les bâtiments. Donc pour déposer un permis de construire mais aussi pour une question d’assurance [...]. Je n’en voyais donc pas l’intérêt et j’ai également un lointain passé militant… J’avais bataillé contre l’existence même d’un ordre professionnel, qui était à l’époque une institution assez poussiéreuse. Même si la question ne se pose plus dans les même termes aujourd’hui, adhérer si tardivement serait étrange.»

« Un été de flemme qui s’est consolidé. Pas de règlement intérieur car étant au poste de directeur depuis

un certain temps, j’aurais dû porter une fausse barbe (postiche). »

LA VIE DE L’INSTITUT

Géoarchitexte | 13

« Hélas non...(pour le pot de vin) Il y a eu une forte proportion de candidature venant de cet IUT et ça s’est donc transcrit dans les admissions. Jusqu’ici je n’ai pas à m’en plaindre mais on souhaite quand même à nouveau diversifier nos recrutements car c’est ce qui fait la richesse des groupes qu’on accueille. On constate une évolution qui n’est pas seulement brestoise, les DUT de gestion urbaine deviennent de plus en plus des classes préparatoires aux instituts d’urbanisme. Eux même ayant fait évoluer leurs programmes un phénomène d’articulation s’enclenche. Des cours afin de préparer leurs dossiers de candidature ? Je ne sais pas. Concernant les candidatures il y a tout de même de moins en moins de candidats venant des départements de géographie, les sociologues sont également de moins en moins présents. C’est donc un jeu de vases communicants, avec une part de hasard donc mais il ne faut tout de même pas que la promotion d’Alençon deviennent notre L3 car ça fausserait le jeu.»

« Vous allez le chercher longtemps !! Gérard Lesne. Je suis davantage porté vers la musique classique, c’est donc un chanteur qui fait partie de la catégorie des « haute-contre », de voix très aiguës. C’est donc plutôt dans ce répertoire, la musique baroque et ses voisinages, que vous aurez le plus de chance de me rencontrer en concert plutôt que chez Johnny. »


Géoarchitexte | 14

Après avoir interviewé Patrick Dieudonné, directeur de l’institut de géoarchitecture, nous avons questionné cette semaine Chantal HILY MAZE, responsable du secrétariat pédagogique de l’institut de Géoarchitecture.

Travailler moins ! (Rires)

(temps d’hésitation) de l’institut-institut ? Ou peut-on prendre des intervenants extérieurs ?

Ahhhh bah Lionel DANIELOU ! (Lionel DANIELOU, Professeur associé à l’Institut de Géoarchitecture et ajoint au directeur de l’aménagement urbain de Brest Métropole)

Pourrie... Déjà au vu du temps qu’il faisait dehors. Et j’ai commencé par me couper le doigt… Non, mais après ça été !


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Euh… Chanteur préféré du coup… Bah ils sont tous morts les miens ! (Rires) Donc non pas de craintes particulières. Il faut tout de même faire un choix de chanteur ? On va dire... Renaud, qui va être le suivant peut-être...

Bah oui évidemment ! Au terme de cet entretien, Chantal HILY-MAZE s’est vu offrir un massage par les étudiants pour son

investissement tout au long de l’année.


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Pour cette nouvelle gazette, nous interviewons Frédéric BIORET, directeur de l’équipe de recherche de l’institut de Géoarchitecture. Les propos ont été recueillis lors de « la journée de la recherche » du 2 février 2018 à Lorient.

Bah c’est une phrase que j’utilise souvent donc euh… C’est un peu ironique comme formule mais c’est pas complètement vrai ! C’est-à-dire que plus on cherche moins on trouve quoi… Enfin quand on est chercheur chaque fois qu’on va un peu plus loin dans la problématique de recherche, de nouvelles questions se posent et on est de moins en moins pétri de certitudes.

C’est assez difficile parce que les deux sont toxiques en fait.

Je préfère Minorque en fait, plus rurale, plus naturelle on va dire.

(Rires) … Pas forcément non. Surtout aujourd’hui avec l’agriculture intensive, ce n’est pas évident de trouver un pré favorable.



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Cette question, il faudrait la lui poser …

Comme un pair. Son père c’est pas moi, c’est (Daniel) Le Couédic.

Qu’est-ce que c’est ?

Ha oui, sans doute, parce que j’ai du mal à me connecter à internet chez moi.


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Pour cette nouvelle gazette, nous interviewons H. MARTIN-BRELOT, enseignante chercheuse à l’institut. Les

propos ont été recueillis le 7/03/2018.

Une expression? Par rapport à ce sujet? … Aaaah D’accord. (rires) Je ne sais pas, il faudrait que quelqu’un m’observe pour le dire, je me rends pas compte.

Si je vois quelque chose qui me choque je serais capable d’être au niveau de Brigitte Bardot après je n’y pense pas tous les jours comme elle quoi. Donc on va dire que “un peu moins que Brigitte Bardot…” (rires)



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Ah ! … Hmm .... Les relations que j’ai réussi à tisser avec les acteurs locaux qui me facilite le travail en fait. Et puis la proximité aussi ! Il y a encore des choses à améliorer je pense.

(rires) Bonne question ! C’est toutes les limites de ces approches. “con” dans ce sens veut dire “avec” donc faut juste espérer que l’on ne nous prenne pas pour des cons. (rires)

J’avoue que… je ne suis pas une féministe enragée mais il y a probablement effectivement beaucoup de problèmes à régler, notamment le sentiment d’impunité vis-à-vis de certains comportements […]. Par rapport à cette affaire qui déclenche beaucoup de réactions, je pense aussi qu’il faut respecter les hommes et comprendre pourquoi on en est là. Après, les représentations évoluent et l’éducation va jouer un rôle essentiel. J’ai deux filles qui ont presque 3 ans et je me disais justement qu’elles vivront sûrement leur féminité complètement différemment par rapport à ce que moi, ou ma mère avons pu expérimenter. Par exemple, si elles voulaient faire du foot, ça ne me dérangerait pas, alors que ça ne m’aurait peut-être pas paru aussi évident il y a 10-20ans.

LA VIE DE L’INSTITUT LA VIE DE L’INSTITUT


Géoarchitexte | 20

Pour cette nouvelle gazette, nous interviewons Lionel PRIGENT, enseignant chercheur à l’institut. Les propos ont été recueillis le 06/04/2018.

Ahhh… Très bonne question… Alors attends… C’est dans ces cas là qu’il faut réfléchir… C’est dommage que “-ipède” ça veut rien dire parce que palme-ipède ça sonnait bien… Plame-ier aussi… Palme-yr, mais on a plus le droit aujourd’hui… Palme-ade c’est pas drôle...C’est dur après… La palme du quoi ? Alors : Peut-être la palme de l’agitation gratuite dans tous les sens. Ça ce serait pas mal ! Comme le petit bonhomme qui court partout !

Non, plutôt le petit oiseau… Ah oui Bip Bip ! Y’a un truc qui serait assez intéressant. Bon la palme Bip Bip pour un oiseau, faudrait vérifier la nature de l’oiseau mais il me semble que c’est le pied..

Alors, je vais vous décevoir beaucoup… Je n’ai sans doute à peu près jamais pratiquer. C’est encore plus pervers que ça. N’en ayant pas pratiquer, j’en faisais pratiquer aux autres. Mais je fais pareil ici ! (à l’institut) C’est à dire, n’ayant jamais suivi de cours de géoarchitecture, je me sens d’autant plus enclin à en dispenser. Voilà, c’est plus sûr. Donc je n’ai pas vécu ce que je fais souffrir aux autres.



Géoarchitexte | 21

Euhh non, c’était pas un projet. C’était pas un projet du tout. Après ça facilite énormément de choses. Ça veut dire des centres d’intérêts, ça veut dire aussi sans doute une compréhension d’un certain nombre d’exigences et de contraintes qui sont plus faciles à partager. Là je suis un peu plus sérieux, mais c’est certain que ça veut dire que oui on comprend un tout petit peu mieux ce qu’est un rythme qui peut être parfois un peu différent de celui qu’on attend d’autres types de métiers Donc euh, ce n’est pas une mauvaise idée dirai-je. Et ce n’est pas ce qui peut arriver de pire.

Alors 1, oui je sais. Et ça m’a été dit y’a déjà plusieurs moi. Et je sais même que l’image a été prise depuis mon bureau. Mais je réfute toutes les accusations disant que c’est moi qui l’aurait indiqué, et d’un. Ensuite, j’ai joué une fois à pokemon go et euh.... ça a provoqué deux choses. C’était au tout début du jeu, les toutes premières semaines quand le jeu est arrivé à Rennes et j’y ai passé toute la soirée parce que tout le monde autour de nous jouait à ça donc on a finit par se dire qu’on allait y jouer aussi. Juste quand on était un tout petit peu pris dans le jeu, j’ai une diplômée de l’institut qui venait passer son week-end à Rennes qui m’a croisé. *Rires* Moi j’avais pikachu là (mimant son portable devant lui)… Voilà… La réputation intact.

Non !

Euh, correct ! Très correct ! Et donc oui je savais qu’il y avait un personnage ou quelque chose ici, et oui j’y ai déjà joué, c’était très très drôle. C’était n’importe quoi. On en trouvait partout, jusque dans le bus pour rentrer “Oh j’en ai encore un”. D’ailleurs ils doivent toujours être dans mon portable. Et c’est pas bégueule. Blague à part. Pour les gamins et pour les moins gamins mais encore grands gamins, qui veulent jouer, y’a un certain nombre de trucs sur la manière d’aborder la ville qui doivent être regardées avec intérêt pour nous ! C’est pas juste “ Allez dégagez, c’est juste pour les mômes”. Ça mérite sans doute plus d’attention et qu’on soit un peu vigilant sur la façon que ça peu avoir de fabriquer une lecture de l’espace. Très bien. On pense qu’on a ce qu’il faut pour notre interview parce qu’elles sont normalement assez courtes. Il faut que ça reste court et conci. Mais encore merci de nous avoir accordé du temps.

Association Géoarchi.



Géoarchitexte | 22

Place Zelný trh - Brno, République tchèque.

Villa Löw-Beer - Brno, République tchèque.

Cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul vue depuis le château - Brno, République tchèque.

Forteresse du Spielberg - Brno, République tchèque

Oyé Oyé !

Voilà maintenant 3 mois que nous sommes parties à la conquête de l’Est en commençant par Brno, deuxième ville de

République tchèque. Après des au revoir plus ou moins difficiles et matinaux, nous voilà prêtes à affronter le grand froid (-

22 °C !) et à découvrir l’Europe centrale.

Nous passons notre première semaine dans une auberge de jeunesse dans le centre de Brno en attendant d’avoir une chambre

aux dortoirs de l’université, et nous en profitons pour visiter la ville.

LES EXPATRIEES en republique tcheque

Géoarchitexte | 22

GEOARCHI EN VOYAGE

Géoarchitexte | 23

La semaine d’intégration qui nous est organisée passe vite : visite de Znojmo, petit

village réputé pour son vin, sorties au musée, au restaurant pour découvrir le plat

typique tchèque Svickova, et en club pour découvrir le code vestimentaire des serveuses,

parfaitement adapté aux températures extérieures…

Il y a beaucoup d’activités à faire ici et la vie n’est vraiment pas chère ! Ce n’est pas un

mythe, l’eau est vraiment plus chère que la bière et il faut compter 2euros pour une

bonne pinte (il est rare que les bars affichent des prix pour des quantités inférieures).

Il est maintenant temps pour nous de découvrir notre nouvelle faculté – qui n’a rien à

envier à l’UBO architecturalement parlant –, nos enseignements et nos enseignants.

Nous retrouvons Hélèna Zemanckova qui nous enseignera la reconversion des bâtiments et nous accompagnera

dans la réalisation de notre mémoire. Les autres cours sont en fait des projets à réaliser : l’aménagement d’un îlot à

Brno, l’aménagement d’un axe et l’aménagement d’un espace vert.

Nous profitons de la proximité de Brno avec les autres grandes villes d’Europe centrale pour voyager pendant nos

week-ends.

Pour commencer nous choisissons de visiter Prague, qui n’est qu’à 2h de train. Malgré un triste temps nous

parcourons la ville en 4 jours : la vieille ville avec son quartier juif, ses belles places, le Klementinum, l’horloge

astronomique ; la nouvelle ville avec la Maison Dansante et son ancien château de Vyserald ; l’Ouest de Prague avec

son château, le Lennon’s wall ; et bien sûr le pont Charles. Les kilomètres nous creusent et le froid glacial nous

donne une excuse pour nous arrêter dans les nombreuses pâtisseries de la capitale.

Château de Prague - Prague, République tchèque.

Maison dansante - Prague, République tchèque.

Château de Prague - Prague, République tchèque.

GEOARCHI EN VOYAGE

Géoarchitexte | 24

Le week-end qui suit c’est à Budapest que nous déposons nos valises. La capitale hongroise nous plait dès les

premiers instants : les monuments sont magnifiques – le Parlement, la Citadelle, le Bastion des pêcheurs – et la ville

est très animée avec ses nombreux ruin bars (à ne pas louper !).

Nous continuons avec Bratislava, petite capitale de Slovaquie, que nous visitons rapidement et Cracovie, en Pologne

où nous affrontons de nouveau le grand froid. Le château et les églises sont magnifiques et nous découvrons une

nouvelle spécialité : les Pierogis, sortes de raviolis que nous pouvons déguster salés ou sucrés. Enfin, le printemps

montrant timidement ses premiers signes, nous avons pu abandonner nos innombrables couches de vêtements pour

déguster une pâtisserie à Vienne et en plein air, sans perdre l’usage de nos doigts.

Pont de Széchenyi lánchíd - Budapest, Hongrie.

Halles centrales de Budapest - Budapest, Hongrie.

La Barbacane, forteresse très bien conservée qui protégeait les portes de Cracovie - Cracovie, Pologne.

Centrale thermique Spittelau par Hundertwasser - Vienne, Autriche.

Karl-Marx-Hof, ensemble de logements sociaux d’un kilomètre de long réalisé entre 1927 et 1930 par l'architecte Karl Ehn - Vienne, Autriche.

GEOARCHI EN VOYAGE

Géoarchitexte | 25

Le temps nous rattrapant à grands pas, il a alors été nécessaire de se consacrer à nos rendus, aussi bien pour l’Institut

de Géoarchitecture que pour la Faculté d’architecture, et ce sans pour autant manquer nos apéros à admirer le

couché de soleil sur la colline surplombant nos dortoirs. Nous avons ensuite fait nos au revoir à notre professeur

Helena Zemankova, que nous remercions chaleureusement de son accueil et que nous souhaitons revoir

prochainement à Brest lors des soutenances.

Nous quittons la ville de Brno sous un soleil de plomb, gagnant plus de 30°C en trois semaines pour nous rendre

à Prague que nous redécouvrons sous ce beau temps. C’est de là que nous écrivons ces lignes, profitant de nos

derniers instants tchèques avant notre retour en France dans quelques jours seulement.

Cette belle aventure nous aura apporté des connaissances tant sur l’urbanisme que sur l’architecture, et nos

nombreuses excursions d’avoir un panel élargi de références. Il est maintenant temps de laisser la place au trio de

Géoarchitectes suivant, qui, nous l’espérons, profitera autant que nous de cette chance.

À bientôt,

Anne, Lisa et Mélanie.

La Hundertwasserhaus - Vienne, Autriche.

Kunst Haus, musée Hundertwasser - Vienne, Autriche.

Velky medlanecky kopec - Brno, République tchèque.

Château de Prague et Pont Charles - Prague, République tchèque.

GEOARCHI EN VOYAGE

Géoarchitexte | 26

Cette année encore, les licences ont eu la chance de visiter la capitale française. Et c’est après une longue journée de

11heures de Ouibus (merci les grèves SNCF), que les étudiants de L3 ont enfin foulé le sol parisien, encore frais

et tous heureux. Dès le mardi 15 mai, ils ont visité (ou plutôt couru dans) la ville de Plessis-Robinson, un cas d’école sur le courant

du « New Urbanism » en France.

C’est une ville qui a partagé les étudiants, entre ceux qui trouvaient la ville agréable à vivre avec une propreté non

négligeable, et les autres qui la percevaient plutôt comme une ville fantôme, spectacle, sans vie.

Les plus chanceux (les plus sportifs) ont eu la chance de profiter des commentaires de Daniel Le Couédic sur son

architecture, les autres essayant tant bien que mal de ne pas perdre le groupe.

LES LICENCES EN BALADE

GEOARCHI EN VOYAGE

Géoarchitexte | 27

Le projet urbain du boulevard McDonald est

également une visite qui a marqué les licences.

Un bâtiment de 600 mètres de long (presque

deux fois la tour Eiffel !!), ce qui en fait un des

plus longs bâtiments de la ville, dans le 19ème

arrondissement, réhabilité en différents

commerces, bureaux, logements, écoles et

parkings.

L’intervenant Daniel Chevalier, nous a expliqué

cette reconversion d’ampleur.

La structure du bâtiment a été dimensionnée

pour supporter une éventuelle surélévation. La

hauteur du bâtiment est alors doublée, passant de

13 à 28 m. Cependant, le bâtiment est jugé trop

large pour permettre une luminosité suffisante et

est donc partiellement éventré en son cœur pour

créer deux cours intérieures et des patios.

En plus de ça, le programme était chargé. Boulogne-Billancourt, anciennes fortifications, parc de la villette avec la

célèbre cité des sciences et de l’industrie, la cité de la musique ou encore la philharmonie de Paris, place de

Stalingrad, parc des Buttes Chaumont, place de la république, fondation le Corbusier, cité de l’architecture et du

patrimoine, cité universitaire internationale, opéra Garnier et même roof top des galeries Lafayette, ce sont autant

d’endroits qui ont mis des étoiles dans les yeux à nos apprentis urbanistes.

Une manière différente de visiter la ville, loin des endroits touristiques de base afin de faire redécouvrir Paris à tout

le monde.

GEOARCHI EN VOYAGE

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sur%C3%A9l%C3%A9vation

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Boulogne-Billancourt

Entrepôt McDonald

Cité de sciences et de l’industrie Parc de la villette

Louvre Cité universitaire internationale Toit-terrasse des galeries Lafayette

GEOARCHI EN VOYAGE

Géoarchitexte | 29

Après un ressenti d’avoir fait environ 4 fois le tour de

la ville en marchant, c’est les pieds endoloris, le corps

empli de fatigue mais la tête pleine de souvenirs que

les étudiants ont rejoint la terre bretonne pour la

préparation de leurs soutenances.

« une touche de soleil, des bons copains, un brin de

pollution, un hôtel f1 de qualite et une pointe de douleur

aux pieds, voilà la recette d’un bon voyage à Paris » E. MOGUEN, 2018

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Photos de Thomas Cabanel

On vous laisse quand-même sur un petit best-of !

MISTER RICARD !

Géoarchitexte l 34

Géoarchitecte |35

Le voyage des M1

à Barcelone et Minorque

Le 9 mai 2018, décollage imminent au départ

de Nantes direction...Barcelona ! Tout le

monde a sa valise prête pour les 10 jours à

venir, en prenant soin de ne pas oublier de

bonnes chaussures de marche, car le

programme est bien rempli. En effet, la classe

a été répartie en groupes selon plusieurs

thématiques, afin d’organiser le voyage tout au

long de l’année. Chaque groupe a pris le soin

d’organiser une journée et demie sur place.

Voici un échantillon de ce que nous avons fait

sur place :

L’après-midi même de l’arrivée, après avoir

déposé nos affaires à l’auberge où nous étions

tous logés, nous avons pris la direction du port

olympique de Barcelone et des aménagements

au niveau du Moll de la Fusta où Martin

CLAUX nous a dit quelques mots sur

l’opération viaire réalisée sur le site.

GEOARCHI EN VOYAGE

GEOARCHI EN VOYAGE

Géoarchitecte |36

Le jeudi suivant, nous avons été voir l'immanquable

Sagrada Familia. Édifice impressionnant tant par sa

taille que par ses nombreux éléments extérieurs, nous

avons profité de la tranquillité de son parc pour

entendre quelques mots du groupe chargé de cette

expédition.

L’après-midi du même jour, une longue balade

urbaine a été organisée afin d’aborder plusieurs

thématiques, notamment le plan Cerdà ou encore

quelques édifices représentatifs de l’architecture de

l’époque moderne.

Le vendredi matin, nous avons tous pris la direction

d’une école construite dans d’anciens locaux

industriels, avant de nous rendre sur les hauteurs de

Barcelone pour découvrir le parc Guell et la vue qu’il

offre sur toute la ville.

GEOARCHI EN VOYAGE

Géoarchitecte |37

L’après-midi a ensuite été dédiée aux problématiques du transport au sein de Barcelone, et notamment celles en lien

avec la politique “tramway”. Ainsi, nous avons été accueilli par Joaquim Maria Bestit, l’un des responsables de

l’opérateur des transports barcelonais, qui nous a présenté l’historique de ce mode de transport dans la ville, les

problématiques auxquels il répondait. Nous avons aussi visité les garages et les locaux qui s’y trouvaient.

Le week-end est là, pourtant il n’est pas question de baisser le rythme : nous voilà désormais guidés par le groupe

chargé de l’époque moderne de Barcelone. Plusieurs bâtiments sont alors exposés et décrits, notamment le musée

du design, la tour Agbar ou encore le musée des sciences naturelles. Suite à cette balade, nous avons pris la direction

des “superblocks”, opération urbaine réalisée tout récemment, qui a comme objectif de repenser l’espace public et

d’atténuer la place de l’automobile au sein des quartiers. L’après-midi de cette même journée a été consacrée à la

visite d’un ancien abri anti-aérien.

GEOARCHI EN VOYAGE

Géoarchitecte |38

Dimanche...jour du seigneur...nous nous dirigeons donc vers le cimetière du mont Juic. Un guide nous explique

tout d’abord l’ensemble de l’exposition d’anciens corbillards de toutes les époques (aussi surprenants que cela puisse

paraître, nous avons appris énormément de choses). S’en est suivi une longue balade dans les allées du cimetière,

impressionnant par la grandeur des concessions qui s’y trouvaient.

Suite au repas du midi, nous nous sommes tous donné rendez-vous à la place d’Espagne. Nous y avons découvert

quelques édifices construits lors de l’exposition universelle, mais aussi des bâtiments plus récents, comme le pavillon

allemand de Miss Van Der Rohe.

Une nouvelle semaine commence, il est temps de se reposer

un peu après tous ces kilomètres de marche. La matinée est

donc consacrée au quartier libre. Chacun organise son temps

libre comme il souhaite : baignade, repos, shopping, balade,

visite, découvertes culinaires...tout est bon pour reprendre des

forces ! L’après-midi est désormais encadrée par Mario

Holvoet qui nous a rejoint sur place. Une balade sur les

hauteurs de la ville a été organisée afin de profiter pleinement

de la vue.

GEOARCHI EN VOYAGE

Géoarchitecte |39

La fin de notre présence à Barcelone est déjà arrivée...puisque la journée du mardi 15 mai a été consacrée au rendu

des chambres, et au vol jusqu’à Minorque.

Nous commençons notre découverte de l’île par une visite de Lithica le mercredi matin. Ancienne carrière, elle

abrite aujourd’hui un parcours explicatif de l’histoire de l’extraction de la pierre, mais également une réserve

floristique importante. Sous la chaleur écrasante de Minorque, notre guide belge (Non non il ne s’agissait pas de

monsieur Holvoet) nous explique l’histoire de cette carrière et nous fait découvrir les recoins parfois surprenants.

L’après-midi se poursuit par une visite de la ville de ciutadella, à travers un commentaire sur l’histoire de la ville et

de l’île de Minorque.

Et oui..c’est déjà la fin du voyage...le jeudi matin est cependant organisé afin de profiter de l’île encore un peu. Le

matin, le car que nous louons sur place nous conduit au point culminant de l’île, la vue est magnifique et nous

donnerait (presque) envie de rester ici un peu plus longtemps. Après être descendu du monte Toro, nous avons eu

GEOARCHI EN VOYAGE

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rendez-vous dans la réserve naturelle des Grau, afin d’y rejoindre un guide. Nous avons pu y découvrir les enjeux et

objectifs de la mise en place du parc, tout en côtoyant quelques tortues.

Après avoir passé la nuit du jeudi au vendredi dans l’aéroport de Barcelone, nous rentrons tous chez nous...avant de

revenir à l’institut pour les soutenances de mémoire.

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A peine rentrés d’Ecosse en mai 2017, les M2 avaient déjà commencé

à préparer leur prochain voyage grâce au précieux concours de Martin

Claux et de Frédéric Bioret. En effet, fin octobre, notre promotion, qui

entamait sa dernière année dans les murs de notre belle Faculté, a

traversé la France en diagonale pour découvrir les richesses urbaines et

naturelles de la région de Marseille. Grisés par les magnifiques vues

aériennes du récent chef-d’œuvre télévisuel de Netflix, nous avons pu

découvrir que la cité phocéenne, ce n’était pas qu’un stade vélodrome

dont la réputation n’est plus à faire, de sulfureux quartiers Nord ou un

accent chantant dont les plus belles saillies accompagnent à merveille

la conduite cordiale et respectueuse des gens du pays.

Le programme était chargé : promenades pédestres dans le vieux

Marseille, découverte d’Aix-en-Provence et de son centre aux deux

visages, randonnées éblouissantes dans les Calanques, réflexions autour

des programmes pharaoniques d’Euroméditerranée, excursions

insulaires jusqu’au Frioul, visite de la gare Saint-Charles,

déambulations dans les centres commerciaux haut-de-gamme du front

de mer… L’heure n’était pas à la détente : un travail en groupes de la

plus haute importance devait nous mener à la rencontre des acteurs de

l’urbanisme local à travers l’analyse de six projets d’aménagement.

GEOARCHI EN VOYAGE

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Mention spéciale, toutefois, à quelques

moments inoubliables du séjour. Notre

descente des Calanques, emmenés de crêtes

escarpées en éboulis abrupts par notre dévoué

enseignant en mobilités, qui avait visiblement

omis de mettre sa carte IGN dans son sac à

dos. Notre passage rapide dans le centre-

commercial des Terrasses du Port, où la

simple vision des prix des restaurants suffisait

à provoquer des haut-le-cœur. Ou encore

notre arrivée dans la plaine de la Crau pour

une balade naturaliste, sous une chaleur

écrasante, au milieu d’un terrain vague

improbable, parmi les carcasses de voitures et

les cadavres de monster trucks, jusqu’à ce que

l’arrivée de notre guide naturaliste, sorti tout

droit d’une rangée de buissons, ne vienne

dissiper nos doutes (ou les renforcer pour

certains).

Cinq jours intenses qui ont passé trop vite. Le

charme méditerranéen de la cité phocéenne

invitait à davantage de découvertes, de

promenades urbaines, de moments de détente

les pieds dans l’eau, ou à la terrasse des bars

du front de mer. Et aussitôt notre retour en

Bretagne, dans le tourbillon de la recherche de

stage, nous nous remémorions avec nostalgie

la chaleur vespérale des soirées marseillaises,

Campari à la main et coucher de soleil sur les

îles du Frioul en guise de toile de fond.

GEOARCHI EN VOYAGE

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L’INSTITUT AU TRAVAIL…

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Le vendredi 16 février 2018 s’est déroulée la huitième édition du Forum des Métiers et de

l’Ingénierie Territoriale au sein de l’Institut. Cet événement, organisé par l’association Le Carré

Géoarchi a pour objectif de favoriser la rencontre et les échanges directs avec les anciens diplômés

de l’Institut. Ces professionnels expliquent les raisons et leurs choix concernant leurs parcours et

fournissent aux futurs urbanistes certains outils pour leurs métiers tout en leur laissant entrevoir

la multitude de débouchés existants au sortir de la formation.

Plusieurs diplômés de l’Institut de Géoarchitecture ont participé à cette journée d’échanges autour

de plusieurs tables rondes. Le public, composé des étudiants de chaque promotion et des

enseignants de l’Institut ont eux aussi répondu présents à cet événement et ont participé aux

échanges.

Cette année, le forum a accueilli au total 10 professionnels diplômés de l’Institut qui sont

intervenus sur de nombreuses thématiques permettant ainsi d’aborder les multiples enjeux de

l’aménagement du territoire et de l’urbanisme. Des thématiques telles que l’habitat, l’urbanisme

réglementaire et opérationnel, l’environnement, les mobilités, et le marketing territorial.


Géoarchitexte | 44

Après une brève présentation introductive de l’un des membres de l’association Le Carré Géoarchi,

les échanges sous forme de tables rondes ont pu commencer. Chaque professionnel, à tour de rôle

a commencé par une présentation succincte de son parcours depuis l’obtention de son diplôme à

l’Institut pour guider les étudiants sur les nombreux métiers possibles et envisageables après

leurs études. Les anciens diplômés présents ont été regroupés par thématiques pour permettre

aux étudiants d’avoir plusieurs avis et leur permettre d’adopter différents points de vues. Les

professionnels ayant participé à ce forum sont :

• André Douineau, diplômé en 1983 de la Maîtrise de Sciences et Techniques (à

l’époque). Après une courte expérience en création de BET, Responsable Animation et

Accueil du public dans les parcs départementaux, un passage au Conseil Général du Val de

Marne et un passage en tant que Directeur des Services Techniques à la ville de Quimperlé,

il est actuellement depuis 1997, Directeurs de Transports et Déplacements dans la

Communauté d’Agglomération du Pays de Lorient.

• Marine Guillemin, diplômée en 2014 du master AUDE spécialité urbanisme et

développement. Elle occupe actuellement depuis l’obtention de son diplôme, le poste de

responsable du service urbanisme/application du droit des sols à la communauté de

communes de l'Ernée depuis février 2015.

• Elodie Poiraud, diplômé en 2015 du master AUDE occupe actuellement le poste de guide

conférencier dans la région de Brest métropole. Elle a créée sa propre entreprise et

travaille de manière indépendante.

• Stéphane Loussouarne, diplômé en 2002 de la Maîtrise de Sciences et Techniques (à

l’époque). Après un passage en tant que chargé d’opération aménagement en SEM à Pau,

chargé de mission ZAC à ploemeur et chargé d’opération aménagement chez un bailleur

social à Angoulême, il occupe actuellement le poste de chef de projets Aménagement à

Bordeaux Métropole.

• Pauline Euzen, diplômée en 2007 du master AUDE spécialité urbanisme et

développement. Après un passage en tant que chargée d'études urbanisme, chargée de la

programmation de la politique Habitat - Morlaix Communauté (Morlaix 29), Chargée de

mission gestion foncière et urbanisme - Mairie de Plédran (22), Chargée de mission

habitat - Auray Quiberon Terre Atlantique (Auray 56), Instructrice du droit des sols -

Commuanuté de Communes Pays d'Iroise (Lanrivoaré 29), Responsable programmation


Géoarchitexte | 45

et financement de l'habitat - Angers Loire Métropole (Angers 49), Assistante urbanisme -

Communauté de communes du Val d'Ille-Aubigné (Montreuil-le-Gast 35) elle est

actuellement Chargée d'études habitat - Soliha Habitat et Territoires (Plérin 22)

• Nadège Lourdeau, diplômée en 2011 du master AUDE spécialité urbanisme et

développement. Après un passage en tant qu’assistante d'études Habitat à l'ADEUPa, elle

est actuellement depuis janvier 2017, chargée d'études planification dans la même

structure.

• Elena-Catalina Siminiski, diplômée en 2007 du master urbanisme et développement. Elle

travaille actuellement pour Archipel Habitat, Office Public de l’Habitat de Rennes

Métropole. Intégrée dans la direction de l’habitat et du développement, sa mission est -

notamment - de gérer la production de nouveaux logements sociaux sur toute

l’agglomération rennaise.

• Gaëtan Le Petit, diplômé en 2010 du master AUDE spécialité urbanisme et développement.

Il est actuellement chef de projets aménagement urbain à Brest Métropole.

• Mathilde Thulliez, diplômée en 2015 du master AUDE spécialité urbanisme et

développement. Après un passage en tant qu’opérateur foncier à Brest Métropole, elle est

actuellement chargée d'études en urbanisme chez Prigent & Associés à Rennes.

• Agathe Larzillière, diplômée en 2006 du master AUDE spécialité aménagement et

environnement. Après un passage en tant qu’ingénieur d’études du milieu marin au

laboratoire LEMAR à l’IUEM de Plouzané, elle est actuellement chargée de mission

Biodiversité dans le parc naturel régional d'Armorique depuis 2009 dans la commune du

Faou.

Les anciens diplômés ont pu nous faire part de leurs expériences professionnelles, de leur métier

actuel et nous ont présenté une “journée-type”. Des parcours qui, comme on a pu le constater,

sont parfois éloignés leurs idéaux d’étudiants. Ceci aura été le premier enseignement de cette

journée. Entre idéaux et réalité, il y a parfois des concessions à faire, pas nécessairement pour

trouver un emploi, mais surtout pour pouvoir mener une action sur les territoires, car le métier

d'urbaniste est en constante évolution.


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Les diplômés ont mis un point d’honneur quant à l’importance de la formation qu’offre l’Institut

de Géoarchitecture, ainsi que l’opportunité que peut apporter le stage de dernière année pour

l’entrée dans la vie active en fonction de la thématique choisie. Ils ont également insisté sur la

polyvalence et l’adaptabilité importante à avoir lors de son premier emploi.

La journée s’est terminée aux alentours de 18h00 par un pot de clôture “pain pâté vin rouge”

organisé par les deux associations de l’Institut pour remercier les diplômés et le public de leur

présence. Un pot bien mérité pour les participants, qui était également l’occasion pour l’ensemble

des promos de festoyer gaiement.

Cette journée a été riche en discussions que ce soit pendant les tables rondes, les pauses café, ou

le repas du midi. L’ensemble de ces échanges entre les étudiants et des diplômés ont permis de

revenir sur les cursus des uns et des autres et de s’intéresser aux différents corps de métiers de

l’aménagement du territoire et de l’urbanisme.

L’ensemble des membres du bureau de l’association tient ainsi à remercier la totalité des

participants à cette journée qui a été victime de son succès.


Géoarchitexte | 46

Vendredi 2 février 2018, une horde de géoarchitectes dû se réveiller un peu plus tôt que d’habitude. Et pour cause,

ils étaient attendus à 7 h pile devant le restaurant universitaire Armen pour embarquer à bord d’un bus. Bus

mystérieusement affrété par l’équipe enseignante afin de transporter les étudiants de première année master AUDE

vers une autre centralité bretonne : Lorient.

A l’ordre du jour, la recherche. Enfin la vraie, la Recherche, quoi ! On ne parle pas, dans ce cas, de la recherche d’un

chat égaré, ni de celle de vos clés perdues dans un sac trop volumineux mais bien de la recherche académique.

Une journee a Lorient

L E S M 1 A U P L U S P R E S D E S

C H E R C H E U R S


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Cette dernière faisant référence à une liste arrogante de gros mots : thésard, docteur, professeur, comité de lecture et

on en passe des meilleurs.

On ne doute pas du sérieux de cette entreprise et encore moins à 8h30 quand on est accueilli par les étudiants

lorientais nous proposant des badges auto-collant. Avoir une étiquette sur le poitrail indiquant votre origine «

Institut de Géoarchitecture » et vous voilà emplis d’une soudaine fierté et sentiment d’appartenance. A 8h45, votre

belle étiquette n’est déjà plus ce qu’elle était, un pot d’accueil ayant eu raison de son élégance. Des miettes des gâteaux

ou des tâches de café la salissent quand elles se découlent pour beaucoup d’entre nous. Nous redevenons déjà des

anonymes !

Il n’est plus temps de s’empiffrer mais de se diriger vers l’amphithéâtre Massiac. Le petit-déjeuner est terminé, ce

n’est plus que de la nourriture intellectuelle que l’on pourra désormais apprécier. La session matinale débute alors

par la prise de parole de Frédéric Bioret, Directeur de l’équipe de recherche Géoarchitecture EA 7 462, aussi connue

sous l’appellation TUBE (Territoire, Urbanisation, Biodiversité, Environnement). La matinée est dédiée à la

présentation du TUBE, de ses recherches passées, en cours et à venir. C’est ainsi que l’on apprend que les domaines

de recherches sont vastes à l’image de la variété des sujets abordés. Il peut s’agir de géographie, d’urbanisme,

d’aménagement, de bio-chimie, d’économie, de sociologie, de l’environnement, discipline devant aider à traiter des

sujets comme ceux des mobilités, de la préservation des ressources naturelles, du droit à l’obscurité etc. L’équipe de

recherche est multi-site puisque ses chercheurs sont présents à Brest (UBO et Institut de Géoarchitecture), à Lorient

( UBS), à Vannes (UBS) et à Rennes. Elle est donc pluri-disciplinaire et même trans-disciplinaire.

On re-découvre alors le monde et surtout on prend connaissance de nos voisins. Il y a dans cet amphithéâtre des

étudiants, également en M1, venant d’autres horizons. Ils sont de Brest en Master GCBIO alias Gestion et

conservation de la biodiversité. Ils sont de Lorient en Master AUTELI : Aménagement et urbanisme des territoires

littoraux. On écoute à leurs côtés les différentes interventions :

– celle de Frédéric Bioret présentant les dernières théses sur la cartographie de la végétation,

– celle de Sébastien Gallet concernant la réhabilitation des zones humides dans le Finistère,

– celle de Nicolas Le Corre et le sujet des Sports de nature et aires naturelles protégées,

-celle sur les dimensions régionales du financement participatif,

– celle d’Edna Hernandez à propos du Projet Explo Noz,

– celle de Martin Claux et ses fameuses questions sur la mobilité,

– celle de Vincent Souquet présentant sa thèse sur la participation des locataires et l’amélioration potentielle du logement HLM,

– celle de Joel Audefroy illustrant la nécessaire prise en compte du changement climatique au travers l’exemple de l’habitat mexicain vulnérable aux risques …


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Cette nourriture intellectuelle suscite l’appétence ainsi que l’appétit. A 12h30, après les dernières questions, nous

étions tous devenus chercheurs, chercheurs de la salle à manger ! C’est autour d’un buffet composé de plats préparés

par l’ensemble des étudiants que nous nous sommes réunis. Le soleil étant au rendez-vous de cette folle journée,

nombre d’entre-nous en ont profité pour recharger leur stock de vitamine D.

Cette pause méridienne n’était qu’un leurre, un répit avant la bataille. En effet, à 14h nous étions tous réunis dans

l’amphithéâtre. Le programme de l’après-midi était simple : aux professeurs, enseignants et chercheurs un temps

dédié à l’échange lors d’une réunion plénière et aux étudiants un temps de travail encadré par les M2 AUTELI. Les

trois formations ont été mélangés afin de créer quatre groupes devant plancher sur les thèmes du paysage, de la

concertation, de l’expertise, de l’usage. A vos idées, ils ne vous restent plus que deux heures.

Ce délai imparti une restitution a eu lieu. Elle fut objet de questions, de débats mais surtout d’un constat. Ces

thèmes sont pluri-disciplinaires. Ils ont plusieurs interprétations, degré de lecture, définitions. On ne peut les

comprendre quand acceptant le discours de l’autre spécialiste.

Le bus est reparti à 17h, nous laissant méditer sur la recherche et ses implications …

Association Géoarchi


L'INSTITUT AU TRAVAIL...

LES SUJETS DE MEMOIRE LICENCES 3 PREMIER SEMESTRE

L’image d’une ville reconstruite, le cas de Brest Takfarinas Aberkane, Pauline Le Ber, Alice Pasquet

L ’agriculture urbaine : phénomène de mode ou concept structurel de la ville de demain ? Eliot Bouzy, Nino Cleva, Benjamin Leblanc

Brest, une ville verte dans un écrin minéral Shona Aubert, Elisa Lami, Emilien Moguen

L'évaluation de la rénovation urbaine de Pontanezen Simon Coant, Pauline Chaptal, Thomas Kolanek

Transport et mobilité à Brest Lauranne Crenn, Flavie Servel, Marlon Rose

Etude des pratiques illicites sur une place publique Thomas Cabanel, Linda Le Solliec, Léa Le Thomas

La cohabitation entre agriculture et étalement urbain Lucille Inizan, Solenn Lavasier, joséphine Pauly

Sport & Territoire Alan Le Berre, Clémence Le Loarer, Hélène Steinbach

Le centre - ville de Brest Alexandre Bonnardel, Raphaël Mallard

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LICENCES 3 SECOND SEMESTRE

Quel devenir pour nos églises ? Pauline Le Ber, Joséphine Pauly, Flavie Servel

Les usages alternatifs dans l’espace public Takfarinas Aberkane, Alexandre Bonnardel, Benjamin Leblanc

Mal logement en milieu rural (centre Bretagne) Solenn Lavasier, Alice Pasquet

Publicité urbaine, What else ? Alan Le Berre, Nino Cleva, Raphaël Mallard

Revitaliser le centre - ville en déclin Lucille Inizan

La vie en bord de mer : privilège ou risque mortel ? Thomas Cabanel, Simon Coant, Elisa Lami

Le design des politiques publiques Eliot Bouzy, Thomas Kolanek

L’aménagement des fleuves en milieu urbain Shona Aubert, Linda Le Solliec, Hélène Steinbach

Transition écologique Mamadou Alpha Barry, Laurane Crenn, Pauline Chaptal

Utopie Clémence Le Loarer, Léa Le Thomas, Emilien Moguen

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MASTERS 1

Habiter en ville : En quoi la maison de ville est - elle une forme attractive pour Brest ? Antoine Chameau, Emma Gervez, Aude Le Grand

Cimetière nouveau entre continuité et rupture Cécile Brecegeay, Thomas Le Meur

Renouvellement urbain durable Liudmila Biriukova, Maël Kerherve, Naïm Limam

Les coeurs d’îlots Ilanka Albérola, Tim Galleteau, Romaric Richard

La revitalisation d’un centre bourg Fanny Giraud, Ilham Maftah, Rachel Wadoux

La (re)dynamisation du quartier de Recouvrance Mélanie Cario, Marine Grall, Justine Pinel

Reconversion d’un patrimoine industriel délaissé Mélanie Eon, Anne Licois, Lisa Sherpa

Réhabilitation par l’arrivée du tramway Boukhalfa Ouaksel, Brice Klingemann, Maena Riou

Les impacts de la vacance commerciale à Kerinou Nicolas Bernardin, Alexandre Daeschler, Simon Le Breton

Le quartier de la Fontaine Margot Nicolas Dalibot, Delf Fourrier, Nathan Drugeon

Une connexion durable : La Penfeld Maëva Cru, Léa Martinez, Jules Boutry

Manières alternatives pour la ville Léa Daymier, Maël Gastebois, Pierre - Alan Jobic

Les - dessous - du - Pont Sarah Amina Chellat, Corentin Chevrollier, Louise - Anne Tanguy - Rullaud

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LES ATELIERS MASTERS 1

Comme chaque année, l’institut de Géoarchitecture renouvelle son lot d’ateliers avec cette année, de nouvelles missions toujours plus enrichissantes pour nos étudiants ! Voici, en quelques mots, la présentation de chacun d’entre - eux.

La revitalisation des centre - bourg : le label Ecobourg Commanditaire : DDTM29 Dans la veine des démarches qui visent la valorisation des collectivités s’engageant dans le développement durable, type écoquartiers, la région Bretagne comme d’autres en France s’est décidée à valoriser ses bourgs. A l’initiative de François Martin, agent de la DDTM 29, ce projet s’est déjà vu expérimenter dans plusieurs communes et à d’ici quelques années tous les départements bretons s’y seront essayé. La méthode se base sur une évaluation de chaque commune qui vise à faire ressortir les caractéristiques de celles - ci afin de pouvoir, par la suite, déterminer les axes de développement qui vont fonder leur projet politique. Ce schéma, assez basique, devient intéressant lorsque l’on applique la grille de vingt engagements, tirés de la méthode écoquartier et adapté aux bourgs ruraux, qui sont censés accompagner chaque commune afin de rester dans les normes du développement durable tout au long de leurs projets.

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Atelier Kerourien Commanditaire : Brest Métropole Dans une démarche de prospective d’aménagements, Brest Métropole a commandé, à l’Institut de Géoarchitecture, un travail complet sur le quartier d’habitat social de Kerourien. Situé sur la rive droite, entre le Bourg de Saint - Pierre et le centre commercial de l’Iroise, il offre à plus de 4 000 brestois, dont 1205 en zone Quartier Politique de la Ville (QPV), la possibilité de bénéficier d’un logement. Souffrant d’un déficit d’image médiatique et de problèmes communs à tout grand ensemble, Brest Métropole nous a questionné sur comment améliorer le cadre de vie des habitants. Nous avons réalisé dans un premier temps un diagnostic global afin de définir des enjeux et objectifs, qui nous ont guidés dans un second temps à la réalisation de 4 scénarios d’aménagements. On peut retenir comme proposition : la concertation avec une mise en place de mobilier urbain, un travail paysager des pieds d’immeubles et des allées piétonnes, la création d’une voie verte, la réhabilitation du gymnase de Kerzudal et dans les scénarios les plus ambitieux la déconstruction de barres d’immeubles. Toutes ces préconisations répondent aux besoins d’ouverture du quartier sur son environnement, l’amélioration de son image et l’incitation aux habitants de participer à leur vie de quartier.

Atelier Trame Verte Commanditaire : Brest Métropole L’atelier Trame Verte Urbaine constitue un exercice cartographique particulièrement exigeant et tout aussi formateur. L’objectif est atteint lorsque tous les espaces verts publics comme privés des territoires ciblés par le commanditaire sont cartographiés. Commanditaire qui n’est autre que la direction de l’Écologie Urbaine de Brest Métropole, à qui cette production cartographique doit être remis à l’issue. Un dossier accompagne les fichiers numériques, celui - ci contient l’explication de la méthode suivie pour l’exercice de cartographie sous Qgis, les limites de l’exercice, et quelques analyses de l’état final de la Trame verte. Constitué d’un groupe de 6 ou 7 étudiants, le travail doit être bien réparti pour qu’il avance de manière efficiente. Il faut garder à l’esprit que la cartographie de Qgis constitue l’essentiel du travail, il est très chronophage et laisse peu de temps à des analyses plus poussées sur ce qui a été produit. Pouvant paraître répétitif, l’exercice permet néanmoins de proposer des pistes de réflexions sur la Trame Verte Urbaine et son inscription dans des environnements urbains spécifiques, pour que les professionnels envisagent à l’issue de réelles applications en termes d’aménagement.

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Atelier référentiel foncier Commanditaire : Lannion-Trégor Communauté L’atelier référentiel foncier commandité par Lannion-Trégor Communauté, fait pour donner suite à la fusion, en janvier 2017, avec les communautés du Haut Trégor ainsi que celle de la Presqu’île de Lézardrieux. Cette fusion pose alors la question de la diversité des territoires. Entre territoires ruraux et littoraux, plusieurs problématiques sont présentes sur ces territoires (Etalement urbain, dévitalisation des centres bourgs, vacances…). Ainsi, il a été commandité à l’Institut de Géoarchitecture de réfléchir à une méthode d’élaboration de référentiels fonciers, visant à recenser le foncier disponible au sein de la zone urbanisée, pouvant être appliquée à l’ensemble de l’intercommunalité. Cet atelier s’est normalement déroulé en 2 phases : Théorique (Etat de l’art des référentiels fonciers existant) et Empirique (Application de la méthode sur 3 communes). A la suite de l’application sur les 3 communes (que sont Ploubezre, Loguivy-Plougras et Pleubian), nous avons prouvé que notre méthode était bien applicable à l’ensemble du territoire. Cependant, comme nous l’avions supposé, cette méthode utilisant des logiciels comme QGIS et EXCELL, nécessite d’être associée à un travail de terrain afin de confirmer ou d’infirmer les gisements recensés. Atelier revitalisation du bourg de Saint - Frégant Commanditaire : Commune de Saint - Frégant Nous sommes sept géoarchitectes à travailler sur cet atelier (Mélanie, Marine, Emma, Thomas, Corentin, Brice et Ilham) . Il est encadré par L. Danielou et M. Holvoet. La commande de départ était destinée à repenser l’organisation de plusieurs lieux dans le bourg. Pour avoir une vision globale, nous avons réalisé un diagnostic du territoire pour comprendre les enjeux et dysfonctionnements de la commune. Cela nous a ensuite permis de réfléchir à plusieurs scénarios adaptés au contexte et aux capacités (financières) de Saint - Frégant. Cet atelier professionnel nous aura permis de vivre une première expérience en tant que futurs urbanistes, d’être au contact d’acteurs locaux, et notamment d’élus. Grace à l’atmosphère de « village » de Saint - Frégant, les élus ont tenu à nous mettre en contact avec des associations locales (marcheurs, club des anciens, école) ce qui nous a permis de rencontrer pas mal de gens, et de réellement nous imprégner de l’ambiance sur place.

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MASTERS 2 Atelier “Désir d’habiter” Commanditaire : ADEUPa Brest - Bretagne La ville évolue et se réinterroge. L’accroissement démographique a repoussé, en une trentaine d’années, les frontières des agglomérations. Les territoires ruraux ont eux aussi évolué. Le développement des bourgs proches de villes grandes ou moyennes a été marqué par une urbanisation importante. Aujourd’hui, la frontière entre ville et campagne a volé en éclats. Cet atelier, commandité par l’ADEUPa Brest - Bretagne, peut se résumer ainsi Densités, choix résidentiels et renouvellement urbain en Pays de Brest. Il s’agit de comprendre quels sont les éléments (géographiques, sociaux, culturels, etc.) qui ont motivé les propriétaires occupants à s’installer dans un logement neuf (de cinq ans ou moins) situé en zone urbanisée (donc en renouvellement urbain ou en densification). Une étude sociologique a été réalisée auprès de ménages de six opérations dans le Pays de Brest préalablement choisis comme représentatifs. Cette étude constitue la première phase d’un travail pluriannuel qui vise, in fine, à comprendre comment attirer les habitants dans les centralités plutôt que dans les extensions périphériques des villes.

Atelier Logement - ADIL Commanditaire : Philippe Ranchère, Directeur ADIL 29 Notre atelier professionnel, commandité par l’Agence Départementale pour l’Information sur le Logement (ADIL 29) porte sur une analyse des aides à l’accession du Finistère. Notre travail a été de comparer les dispositifs de manière quantitative et qualitative, pour évaluer leur légitimité, leur efficacité et la pertinence de leur maintien suivant les spécificités du parc habité et des besoins de chaque territoire. Nous avons donc rencontré les acteurs des territoires (techniciens ou élus) de dix EPCI sur les onze possédants une aide locale à l’accession dans le Finistère. Ces rencontres, associées à un travail statistique (Insee et PLH) et un travail d’analyse, nous ont permis d’élaborer des « Fiches Types » par EPCI. Une « Fiche Habitat », permettant de connaître les réalités du marché immobilier sur chaque EPCI étudié, une « Fiche Dispositif », afin de connaître le nombre d’aides distribuées, leur montant dans le budget total de l’EPCI, les caractéristiques des bénéficiaires, ou encore d’avoir des informations sur les biens acquis à partir de l’aide. Et enfin, une dernière « Fiche Commentaire », pour synthétiser les deux fiches précédentes, analyser par écrit le territoire, et enfin apporter des renseignements et des préconisations pour améliorer l’aide.

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Atelier Beg Meil Commanditaire : Propriétaire du village vacance Beg - Meil Le village des Barbapapas ! C’est la première réaction que nous avons tous eu en découvrant notre atelier lors de la journée de présentations en début d’année ! En effet, nous avons eu le privilège de travailler sur un village de vacances unique en France mais aussi en Europe ! Connu pour ses formes rondes et l’utilisation de la technique novatrice du béton projeté, le village vacances de Beg - Meil est devenu l’un des emblèmes de l’architecture sculpture. Le site à récemment changé de propriétaire et appartient au groupe Les Villages Clubs du Soleil, un des poids lourds du tourisme sociale en France, et qui souhaite transmettre l’histoire du site mais aussi l’idéologie de ses fondateurs (Henri Mouette, Pierre et Véra Székely) à ses vacanciers. C’est donc dans le cadre d’une grande rénovation visant à remettre le site au goût du jour que nous sommes intervenus pour proposer des manières originales et ludiques de transmettre cette histoire aux visiteurs. Véritable mission de mise en valeur du patrimoine, notre atelier nous a tous permis d’apprendre beaucoup sur l’architecture, mais aussi de nous sensibiliser à l’identité de ce lieu singulier et à nous former à la relation étroite entre le tourisme et les lieux où ils s’épanouissent.

Atelier “Un Eco-Bourg à Daoulas” Commanditaire : François Martin, DDTM29 L’atelier Un Éco - bourg à Daoulas fut commandité par la DDTM29 en la personne de François MARTIN. Notre travail consistait à reprendre le travail réalisé par Léonard Abanda, ancien étudiant à Géoarchi qui durant son stage de fin d’études a posé les jalons de cette démarche auprès de la commune de Pleybert-Christ. Cette démarche reprend les critères d’un éco - quartier, mais qui doit être appliqué à l’échelle d’un bourg, afin d’avoir un territoire homogène et intégré. Notre travail s’est divisé en plusieurs temps : tout d’abord une phase de diagnostic de l’existant sur le terrain, auprès des élus locaux et après étude des documents de planification. Ensuite nous avons répertorié l’ensemble en s’inspirant de la grille de critères éco - quartier et sélectionné ce qui pourrait intégrer le cadre d’un Éco - bourg. Enfin dernière étape consistait en la réalisation de fiches actions qui furent présentées à la DDTM et à la municipalité de Daoulas.

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Atelier “Finances locales” Commanditaire : DDTM29 En lien très étroit avec notre formation de géoarchitecte, un atelier concernant les finances locales, a été confié à un groupe de 7 étudiants de Master 2 . Après quelques aller - retour à la DDTM29, et de multiples discussions avec nos deux tuteurs encadrants, nous nous sommes attachés à mettre en place un diagnostic financier des différentes communes du Finistère de moins de 10 000 habitants dans le contexte actuel et aux vues des changements à venir. L’objectif étant de réaliser un ensemble de fiches pédagogiques à destination des élus locaux et des agents de la DDTM et les éclairer de notre savoir durement acquis au sein de l’institut. Les grands principes des finances publiques locales, ratios, fiches métadonnées, entretiens avec les élus, font ainsi partis intégrantes de notre quotidien, pour le meilleur comme pour le pire …

Atelier “Les dynamiques du centre - ville de Plestin - les - Grèves” Commanditaire : Commune de Plestin - les - Grèves L’atelier qui nous a été confié a été commandité par la commune de Plestin-les-Grèves, située en Bretagne dans le département des Côtes d’Armor. Une mission nous a été confiée, avec pour intitulé « Les dynamiques du centre-ville de Plestin- les-Grèves ». Dans ce contexte, le centre-ville de Plestin-les-Grèves doit faire l’objet d’une opération de renouvellement dans le cadre particulier d’un appel à manifestation d’intérêt (AMI) « Dynamique des villes et des bourgs ruraux en Bretagne ». Notre travail s’est articulé en deux phases. La première a été de constituer un diagnostic territorial, indispensable à la bonne compréhension du territoire dans sa globalité (à l’échelle de la commune et de l’intercommunalité) afin de mieux appréhender la suite du travail. Nous avons donc adopté une méthode combinant des recherches bibliographiques, statistiques et cartographiques, ainsi que l’étude de terrain. Parallèlement nous avons analysé les principaux espaces structurants du bourg en s’attachant à leurs localisations et leurs fonctions, à leur accessibilité puis à leurs interconnexions. La seconde phase a été d’envisager plus finement ce qui pourrait être fait sur la commune, grâce à une réflexion globale répondant aux besoins de la population et de produire des orientations directrices pour mener un projet communal à court, moyen et long terme. Nous avons donc déterminé quatre enjeux qui sont la cohabitation des modes et des usages, les activités et services, l’identité du territoire et l’habitat. Nous avons ensuite produit des modélisations 3D, plans masses et dessins afin de présenter aux élus les différentes propositions d’action en fonctions de chaque objectif.

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Les perles

d’Olivier Cette année encore, notre cher Olivier Duigou nous a fait l’honneur d’illustrer l’année à

travers ses caricatures…Retrouvez ici les quelques dessins réalisés entre Septembre et

Avril, mais aussi un trombinoscope de l’équipe pédagogique, les reconnaîtrez-vous ? ;)

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Trombinoscope de l’equipe pedagogique

Ils nous ont rendu meilleurs cette année … les reconnaîtrez-vous ?

Nos chères enseignantes d'Anglais, assignées au tribunal par notre vénéré directeur pour

destruction de matériel informatique, n'ont pas pu se rendre disponible pour une séance

portrait. Laure Planchais, quant à elle, a prétexté une remise de prix

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Terminons cette édition du géoarchitexte par une autre forme d’expression artistique : le

montage photo. Ces œuvres ont été réalisées par des étudiants des trois années, leur

anonymat sera gardé secret par question de sécurité ;)

Quand le quotidien a l’institut inspire les

etudiants ...

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Rédaction : association Le Carré et association ...et dans un deuxième temps les professeurs leur...

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