r l rl!ct ut Un bon Discours L'Art à...

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ton (Soliste : M. Chnvanne). Pans , 4 Fuust, grande fantaisie, Gounod 5, Obéron, ouverture, Webcr 6 Désespérance, mélodie pour hautbois (Soliste : M. Débatty), Pli. Fion 7 Hymne Sacrée (soliste :M. Wagemnns) P. Jeanjean ; 8- Marche des Nobles de Tannhauser, Wagner. Bains de mer de Monaco (Plage de Larvotto). L'Etablissement des Bains de Mer est ouvert tous les joii" do 7heures t\ 13 heures, et de 15 lieu res à 19 heures- Leçons de natation; douches; mas sage, etc. __ fc __ COUP DE SOLEIL, Petit dialogue devant la porte Alors, votre oncle ? Toujours de mime ? — Hélas ! Pas d'amélioration ? -— A T OR, ni dans un s PUS, m dan Vmitre... HOTEL DES PINS hauteurs et hit l'ûtonni- M Bnaml U nt • ce qu'on nt parlr rxv? tic lui. M Dclcoué tient coi Quand à M F.alliire» il i lin "l ïcurs . Oncroirait vraiment que Li PrCii en lie la RÉpubliqut- est cntathfe de quel que dtc< t Joiw m I cindicKt •Peut-être i3c -. r - ..... mLnt public. Pour parler net les Françaii •seuirnt voir à !a t&tc de l'Etat non pas un bourgeois qui vit là comme retiré dw affai rageux lc tlo Un bon Discours A l'occasion de l'ouverture de la deuxième session de 1912 du Consei gênera! des Landes, M- Lourtie , pn. sident, sénateur et ancien ministre, f prononcé un substantiel discoui 01 nous avons clé heureux de tromer le formules salvatrices, qui sont comme un rappel au respect des principe au jourd'liui méconnus, et dont ! appli cation a permis nu parti rèpublicun de-remporter tant d'éclatantes \ictoi res durant unesérie de plus de trente années. M. Lourtieb-, dont la vie politique déjà longue a été consacrée sans inler ruption ni défaillance a la défen-e de la République, appartient a cette ci tégorie de démocrates rectilïgnes rtbo lumen! partisans du progrès el qui e tiennent u égale distance des partis qui veulent marquer le pas et que le* réformes les plus légitimes effraient et de ceux qui, par leurs excentricités et leurs violences, s'efforcnt de pré cipîter le pays dans l'abîme d'une ré- volution. Il est, parmi ces NeMor dont on devrait écouter les avis et suivre le conseils, toujours dictés par l'e\pé rïence et la sagesse II est parmi ceu\ dont toutes les paroles et tous les ac- tes ne sont inspirés que par le souci de faire de la République toujours plus forte et plus prospère, M. Lourties, dont la campagne i ardente et si généreuse en faveur de l'enivre de la Mutualité, d'une oeuvre belle entre toutes, a rendu le nom po pulaire en France et à l'étrangr, a eu raison 0 it1re«er un pressant appel au\ ret'irditnire'î et de leur montrer la faute m e qn il coinmettment Pn se rof suit i leiéfîuer de h loi sur les rclmte ouvrières qui eM une de plus l elles lois de soliiîintf sociale vo If-e Tir li République II s est pnncip lement dres é \ H démocratie runle qui e c t 11 il di! " le plus snlule fondement de no h bres institutions pt que les avanti gps de la nouvelle loi retiendront dan les nnipiMies de plui en plus (léser oninic courageux ciipiiljlc tlo ton s n crifiecs et prêt à îissiimcr les plus gri^t. rc ponsabilîtês. On cherche ri_t liomni Lss président tv rntnels font un peu Irop lc^ dégoûta M. Ltoii Bourgtois qui serait iccïnmè par tons les rÉpublitims e conduit avec la Ré publia uc comme avec im flirt, b il Û I intention IÎC rclu^cr TL pou oir quou lui oflre qu'il le dise c-t qu'il nous permette do no. retenir U p ht |u pMtitnt at tendre Attendre quoi î Nous avons dtj\ fait l'esptntnce de- la retraite <lt M Dclc*. t tt ttte optration n't t pai 4 l'ht nncur du parti rarlica.1 Il serait souveraincmunt d^inccrcux de recoinTiicncor ectto finisse nu noeuirc dont les résultats ne nous sont pas eWitrcnicut douloureux, jïtiis^uo M. D£ (.ni nel Tétt nommt, mai? ijiii eut cependant pour conséquence l'cllmination d'un homme trop scrupuleux que, vingt-quatre hum i %ant l'élection, onsaluait d'un commun at tord comme le président de la Chambre L'Awort.sm la reforme électorale A quelque systêmt que s'arrttent les Ch im bres, le moment est venu do le définir II L t impo^ible de laisser plus longtemps la que tion en suspens La rclormeélectorale — M, Bienvenu .Martin It faisait encore justement arrÉtf tout le travail parlementaire. La Cham bre et le Sénat, et aussi le p a y -rf>nt neca parus pu a u >]uc lion qui yibe ivoir tout détruit autour d elle Si a la rentrée je njt t nk i s'en occuper, la présidence de la I«-pul)ln]ue —comme le développait hier . M HinotiiMhns un artHc du Fibiro — ! ra tllc-mî-ine accaparée par la proportion' nellc Us consiquenses d'une pareille itua tion peu vint ûtre coasidérablcs. Le partir^ publtcain tiait dfa aujourd'hui, s'en pnlocu per itiitlcluiLOKilk n inUiït 1 m ttrfit de la République sont dans une piomp tL solution Dulé n tel bondant baguge hllfir on il offirmi lovtr ù lour potl «M* IL, n i I U'i 1>T* d ' l'cur l duc trin cl et rok de- etn i dt 1 \vl i lfccolc o M llunr i) K o I il P UnnUr h M en pot te e I '* po^f. la be u Pour !r d produlk Jt dans la p\m Inim développe peu ft t féconde. it •niin ihli h lu I ut qit* (.i> mfuil- Mi rythme, k t> été oftcrls ù jjar des m i)n n île . L 1 port ail M apil i Ik » de tri nu en! cl si thez(k I-, .k ntt» «fi qn pro re-*- 11 I agi d'aborJ par 1Jivfe'i ni il I !écor. Ln pointure en ciair des muraille le? verdures dans Tes cour», la lumière dans les préaux el les salles oui halnlui l'enfant h revenir avot gaieté dans le- lieux où son esprit demeura sans peine oltcnlif et appliqué. Puis rornemejil de cc> -illo-s voulu le plus allrayant, grâce J de- fn-t ck fcitill gt U dt Jkur *UT 11 L'Art à l'École >id il i lîurd i dont II a le i à dir sur la réforme électorale, qui divise passagèrement le? républicains, « Le Sénat s'efforcera, a déclarô M. Lourties, de trouver une formule de conciliation susceptible de rallier les rt-publirains et de faire ln concentra- tîoi pbt« iiidisponstiblo ffue jnmnis F,t riionmblc scnsiteur a terminé sa harangue en .idre^anf de chaudes et élorjiientP 1 * félicitations aux chefs qui dirigent les opérations militaires au Maroc Pt a l'entrain et l'endurance de nos vaillants soldats. Ah ! ces vieux républicains, si pleins de Bon sens et blanchis dans les luttes politiques, si l'on suivait leurs bons conseils, comme tout irait mieux sous «ne République meilleure ! Cabinet dn docteur MALET REVUE DE LA PRESSE L'Exctlsier. sus l'élection présidentielle prochaine - II y a grève, de présidents. M Léon Bour geois, devant lequel chacun s'effacerait, h t site recule refuse Monsieur PoincarÊ n ac cepte môme pas que la question lui soit po- sée. M, Paul De'schanel ne liit ni oui, ni non mais dirait bien oui s'il ne craignait que ctr tain 1 ; puissent lui répondre non SI, Antonin Dubost devient incapable (l'exprimer li moindre opinion M. Hibot |>la«c sur lii plein es or MIIL <J èlro igfttkc RI com me uni, de* plus -.ignitieali\e«< du génie fronçai LJ botiÉti fi le pourrai! inscrire en exergue i es lui cote phrase que Michclel plue H lu bouche des \ainqiieiir p\ thiqut* lonl t h l'Eco -ilul* idn mplc de Delphe i le- Ddolt ( Sois beau, embcliia-loi de formes h roïques el d'oeuvres généreuses qui «ra p)is?enl le monde de joie 1 » En effet, n. bu! de celle ligue d'cxallalion nationale cet d'cmbelk dès L'enfance Urne dea hommes de» demainL u Construire pour r«»{*nce la maison -cru'elle mérite, lui donnée IV^duc-iiTijon rïarrnonieiive qui h préparera (lour le goût, pour la satisfat lion de* yeux el de l'esprit, édifier depin le premier ûge l'homïne robuste et q am pcn'nnt beau, agiwmnt bim » larque i pr. 11..L0 Président de la République rinslniciion publique, !t ou* I cinge compte le li M le Con il diid mini Ir 1 n M Cmivba pour prf^idpnl F rtlimn 1 Billion X Gnsquet F Jour hn F Poiner Th Homolle Fd Pelit Muiu -\n Bi^nnrd, el pour membres hono r irr MM. Alfrfd lîruncaii, GitsUie Charpentier, Armand Payel, Lm lier 1 Hin lier Geoffroy, J. F, Raffoellî, Mme Sève me. i en pas : d.- friires atn ini m M Ou. t I artistes, écr cimimi k disiil !e politiques, «ducale 1 Iniits fonctionn urc lui npporlîrcnt kur ^iriLrosi!!. tï^ penseur* et dhonim<* d ir ; sa des de lem •nfai mps ( l'ei it qu'inséparable do la LU nié' île* metibleî noirs el des mure de In rla«se. \uji>urd'hui, pour que lu vie soil & l'école du inouï?, plus rianto iiux po- lit ton- res grind nin-^ 'kr B'nt pen Et l'Etat ouvre largement ÏH bour.-e poui qiu- la Soeii'lé pui^e y puiser H subven linnner ^ fil.île II semble qu'on se trouve en présence l' npc de poêle, songe trts tendre l C pn ! M efM (th i I 1 ! fi\ . Rio! r « c l m oiirdlnu devoi» f*pnl PoMo il n 1 ti pli,* n clin : Uni et clarté di dldtU* à Utri- (\L1 kl" k our une cl< délébi e 1 hirmri mil poi 1C9 \lll à ne » ( autint pupitre \i de d m*crt[)li \ n i rmi'fri ou li ier il de- le ou ! "7 ir ! -(.ni un qiK dl h Uil |>1\C mn k il id« il e-l Cfl ont U <|in L 1 | i ik 1 que 11 quelq i : ut rnnkni] 1 tdui 'ho]l)BR 1ICIR de cho que «ï utile d um e i ic élu ; le irl di^ np .tive ! s«O Cl \oran i k Sr C 1 dt dl cl Ci e 1 il n it* cw «e 1 mpr.se r\ li n \ lenne irli le illuvn rt u.ruilkimil m IL fui point n ! enf ni detnon ob et« nsutK ile proportion 1 * le« plm ordinal nblc de Ij'e, in hll r «ur un le oit point len cime une mnle n onl poinl fui n ibk et le plu pour la rendçç 1 Is di nk- de ihêli' lion V ne- piquantes de Drt'aw hi^lo riinl < I T Clnn-ion des M011 » de Bon kav, reproduction tîes ero^ui^ nere-les Uf Millet, ce son! de lîclles images "dont clin cun *Hjuliaite la eolleclion entière Le primordial nitrite de lous ce* efforl 1 part: les « ificalîons h travers le pays entier = cieu L de pr^erver et il'aceroîlre la ehesse profonde de ntmque pro^ ir Cil . m .pi pnm.ir- I 1 I. 1 li pitronifiL île 1 c, Arl h I Erale ) Vï^erT 1 dun^ ls commune mixle di. ni Min mu i ir \emnle neuf écoles n i 11 en eM nnt 1 1 I ! forl oh qui 1 I offiri onntnn, mil M t K ifrnlnn nlec Mire , 1 mp i Mni de r m Iruction- ln f u nt le 'i ilis e un rnnt el \ninl -éjonr 1 « \rl 4 l Tiolc i mura p mcdioercmonl cnnlnbii \ développer fi formation inlpl'orluel' pas ri 1 li 1 dc\ Tpni eomplétfr ^ nlitntl II cîf^in tst plan tlvliid prolongement de la valeur ftlucilie in d cor m en n limt li ' îtln l chez le vre-, Uy a eu la mieux que Je? ébauche* rmii nentoiri. uni fnî hmr el unt 1 ir (liesse de coloralinn« remarqunblc* une tt! l ftretf^ de ^o it 11 lu libre, pou re Koblnde . « U Crapaud , el tel prévint un h n n g t exnlté dw nuquii 1enfin! ( 'Xnu" 1 . f Ç°n« que lobel de« NMI dudcraiw Congri^, de réalt-ation pnlique- mit Ht olilt. mie Lea thwwii du lerroir k fa hlnux, les kgmdL prouncue* ml I uliliwe - . , . . . El pm on a propagé !es msrcne le ron.de et !c cortège" lu d»f a "'•' m Ire et ni urc Qi"- 1 > fui i ibîerel ouor on \ iijouk ée muiiMl mcoup pour litn iles]Ut lion pub np •nvjif n p i d dt- lu - Mirhtlti n ce propo c i 1 lui jm iNc Fil ) r Ifbmt la meni-il tu ifluenrc df fi.li' ur In i c t rl!ct l ut - il (JIR 1 duc&lion de 1homme & e rc tiiioio pdr ce- fêles App iudi= oni itii Ion > jrriM-, que pnr (Ik on i to =en de la pompe source i n f 1 d enlhou îûsnte pqii i ' J i n colkelive dont le ULI d t g a ••" I 1 11 réUil là u ble (joftt Lt 1 Po 10=1 m ;s il faud puisse p uwiiifeae !e l n ren C 1 cxislc uni 11 rr i.!]c din t mn r lllcndn idu r ctt fait mqi n\ n R un MlC ( 1 f tança article main Ici le dan* iMkr h 1 «Vrl :IK( d a outl'e quarli. rloiU on 1 ior q n P 1 il et •î nt (]i li que lile i dt li lEtol re dn _ cm d ; Lom IIIIULI: Fmnnnu bira mporl iwpii PHI III inimalographique.' qu'elle organhi ci •Clemenle Klle lui fera aimer \a terre ir la quelle 11 grandit enguidant ie i n 1 il cri k p rc cl au on res u cr1< tte po=îblt t u di Mire IJUI forlifk uple rend prospère le mtion* ) ni de 1 \rt h FCOIP I qui nira fi«i «an" o k en lOïC h Pin* -ibnnlil ^ 1 appli îhon N loule ]e 1 l nioniietï* IGUE D'UNION FlEP'iBLICAlNE POUR LA REFORME ELECTORALE Appel aux Républicains Au moment, le Sénat est appelé se prononcer sur la réforme électo- •ale, les républicains qui l'ont votée i\ la Chambre, ceux qui l'ont soutenue dans le pays, entendent la défendre contre les inleipiOitions inewte* a les attaques injustifiées par quoi l'on ^'ingénie k la dénaturer, à la trav< - a la faire échouer. Placés a l'avant-garde du Parti Ré- publicain, ennemis irréductibles de toute réaction, épris de toutes les ré- formes laïques et sociales, ils se sont toujours montrés, aux Heures du pé- -il comme aux jours de victoire, les nrtisans tenaces d'une entente étroite •t féconde entre tous les républicains. Cette volonté immuable d'union ré- publicaine qui, sans cesse et en tous temps, n dîrifié leurs actes politiques Leur dîcte, cette fois encore, leur atu ttide en présence d\i problème- élecio ml, e( inspîrp l'appel qu'ils adressent tons les républicains claivoyants La réforme électorale, votép par la Chambre, est désormais inéluctable. L'heure n'est plus aux cirgutjK ,, ne opposition ncgalne et st(me a "- I es rt public uns sinu es0,lt . %ou dt s'attachera l'ex imen Jf * MO \ottc p u la Chimbie MU, ' ges sans parti [IMS san urrL P Jl ste d m s h seule p., om.^Pen SUIPI pnr une Itfnslntion tZi équitable et pntique le libreJ 01 " loppunent de nos in titutions i e peiKtance et les Oroifs dua ult n i ^ verscl. bUl| i- r est dans cet espnt quVSt f--,, la fi te d'Union Hépublicalnit * la lia foi me Flectorale P 0 * ion but ? Agir énergîmipi»,.,,, prK dn Ptntaimt cl ibS, W »»• révéler ù ce»\ qms \ montrent eL ' opo^es Jes forces (l'affrancliRçpr-T les %eitus rég( nerotnees queTZt \n réforme , convier tou le vj, , ' cmiK \ 1honneur de contée/Tu 1 * menl u la démocratie franc,,., ™" nliWe chnrte électorale M w De l'entente et de r un , on rmiiMin m le« icpuMmms JSl tinnnnli^lw prétendent nftr, n fflr ni victimes. "PW Sinj doute des Innsiaior,, w . IX- ^siblPs sur les mralnlites el i,,?' taiK mais le pnnciiie d'une r*f n élcctonle par le scrnlin dt 1"'°^ repiesenh,,™ des „„„„„,& jlB ^ Donner à la Nation qUl ^. qu'elle veut et mieux enerre fP jft c ? elle ne veut plu» une coDtreraZ plus ou moins adroite et mloniX! du régime é'ectoral iciuel c ^i , défi que d'autre ongeront peut w™ IL lui portet nou n'en asMimeiï pis la tespnn^biliU Car la Natl0n' a pailé Elle i mnqui chirement sa \n lonti d obtenu une rcprescnhlinnV(. litique, qui leproduisp we? plus H P fidélité sa propre im ige Aux élections législatives de I9|n elle a en\o\é à la Ghimbre une irn joiitf d élus qui ont pn 1 1 % gemen[ formel (lesubstituer au^rutin rt ir rondissement un large scrutin de hsip assurant une repiésentation cniuiahie des minorités Les élections partielle ont confirmé et accentué le mouve ment qui s'était manifesté aux élec- tions générales Aussi, M, Clemenceau, le premier dans sa (léclnration ministérielle du è novembre 1906 .nffïrmaiui], la nfces ;ité <( d'élargir le mode de scrulin dans le élection l^islali\es > apn. lui tous le* yoin ernements au cou de ces six dernières années, ont pr&- clamé l'urgence de la réforme éleclo- rale. On semble oublier que dis le 8 ro- vemhre 1909, la Cliamhre s'était ral- liée au scrutin de liste par 379 \mx contre 112, et S la représentation pro- portionnelle par 299 contre 23 A la demande de M- Brianrl, prf>i dent du Conseil, on convint {l'ajourner le débat pour procéder ù une nouvelle, consultation des électeurs. Leur répon- se fut telle au renouvellement de 1310 que toute Équivoque devenait împos i ble, et le gouvernement eut le devoir de se conformer à leur indication. Le Cabinet lîriand a déopsé, le *ÎO juin 1910, un projet de loi instituant le « scrutin de tisk avec représenta tion proportionnelle des minorités. Le deuxième Cabinet Rrintul a main tenu les principales dispositions du projet, notamment la répartition des suves pnr le système du quotient élec- toral Le Cabinet Monis les a acceptées et précisées et en a fait commencer la discussion a la Cliamhre Le Cabinet Caillaux leur adonné son adhésion, et a eu l'honneur de faire \oter par l'unanimité des députés, !e G juillet 1911, le principe fondamental du quotient. C'est au cours de celle SLIPCC que M fnilhu\ pasi(' n nl du Conseil, faisait cette constatation d* oisive « sur h quotient, tnvt le mon- h est d'accord » Cette unanimité qu'a rcnronlrfe ie principe de ln réforme danstocou scils du gouvernement, l'effort de no- tre propagande tendra ft la maintenir au Sénat La Constitution et ln tradi- tion confèrent à la Haute-Assemblée, un rôle d'arhitrciKC et de conciliation. Confiants dans son esprit politique, et dans sa sagesse démocratique, nous lui demanderons de ne pus abandon- ner cette éminente préroRfdive. ite ne pas prêter l'oreille h ceux qui demeu- rent (ÎKés dan-, des formule usée' et dont l'ohstination aveugle tendrait a déchirer le Pnrti républicnin, el k foi re courir n la République elle-mfmP, les plus redoutables aventures. Reconnaître le droit des minorité la représentation nationale, ce n'est pis s écirter de la tradition répub» caine ; maïs bien la restaurer, telle que nous l'ont léfiitep les prands pe" senrs les gmnrN tubuns dont la RP- nnbliriup se rfrhme De Mirnbei" r.nnfloi-cpt et ^ievès à Edcnrd Ouinft, Victor fonsidArnnt «t J oui* î" inf In is les fondateurs du sufTn^P un" fr sel n'ont cessé de préconispr In rep 1 ^"

Transcript of r l rl!ct ut Un bon Discours L'Art à...

ton (Soliste : M. Chnvanne). Pans ,4 Fuust, grande fantaisie, Gounod5, Obéron, ouverture, Webcr 6Désespérance, mélodie pour hautbois(Soliste : M. Débatty), Pli. Fion 7Hymne Sacrée (soliste :M. Wagemnns)P. Jeanjean ; 8- Marche des Nobles deTannhauser, Wagner.

Bains de mer de Monaco (Plage deLarvotto). — L'Etablissement desBains de Mer est ouvert tous les joii"do 7 heures t\ 13 heures, et de 15 lieures à 19 heures-

Leçons de natation; douches; massage, etc. _ _ f c _ _

COUP DE SOLEIL,

Petit dialogue devant la porte— Alors, votre oncle ? Toujours de

mime ?— Hélas !— Pas d'amélioration ?-— ATOR, ni dans un s PUS, m dan

Vmitre...

HOTEL DES PINS

hauteurs et h i t l'ûtonni- M Bnaml U nt •ce qu'on nt parlr rxv? tic lui. M Dclcoué •tient coi Quand à M F.alliire» il i lin "lïcurs . On croirait vraiment que Li PrCii en

lie la RÉpubliqut- est cntathfe de quelque dtc<

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cindicKt•Peut-être i3c - . r - . . . . .mLnt public. Pour parler net les Françaii•seuirnt voir à !a t&tc de l'Etat non pas unbourgeois qui vit là comme retiré dw affai

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Un bon DiscoursA l'occasion de l'ouverture de la

deuxième session de 1912 du Conseigênera! des Landes, M- Lourtie , pn.sident, sénateur et ancien ministre, fprononcé un substantiel discoui 01nous avons clé heureux de tromer leformules salvatrices, qui sont commeun rappel au respect des principe aujourd'liui méconnus, et dont ! application a permis nu parti rèpublicunde-remporter tant d'éclatantes \ictoires durant une série de plus de trenteannées.

M. Lourtieb-, dont la vie politiquedéjà longue a été consacrée sans inlerruption ni défaillance a la défen-e dela République, appartient a cette citégorie de démocrates rectilïgnes rtbolumen! partisans du progrès el qui etiennent u égale distance des partisqui veulent marquer le pas et que le*réformes les plus légitimes effraientet de ceux qui, par leurs excentricitéset leurs violences, s'efforcnt de précipîter le pays dans l'abîme d'une ré-volution.

Il est, parmi ces NeMor dont ondevrait écouter les avis et suivre leconseils, toujours dictés par l'e\pérïence et la sagesse II est parmi ceu\dont toutes les paroles et tous les ac-tes ne sont inspirés que par le soucide faire de la République toujours plusforte et plus prospère,

M. Lourties, dont la campagne iardente et si généreuse en faveur del'enivre de la Mutualité, d'une œuvrebelle entre toutes, a rendu le nom populaire en France et à l'étrangr, a euraison 0 it1re«er un pressant appelau\ ret'irditnire'î et de leur montrer lafaute m e qn il coinmettment Pn serof suit i leiéfîuer de h loi sur lesrclmte ouvrières qui eM une deplus l elles lois de soliiîintf sociale voIf-e Tir li République

II s est pnncip lement dres é \ Hdémocratie runle qui ect 11 il di!" le plus snlule fondement de no hbres institutions pt que les avantigps de la nouvelle loi retiendront danles nnipiMies de plui en plus (léser

oninic courageux ciipiiljlc tlo ton s ncrifiecs et prêt à îissiimcr les plus gri^t. rcponsabilîtês. On cherche ri_t liomni

Lss président tv rntnels font un peu Iroplc^ dégoûta M. Ltoii Bourgtois qui seraiticcïnmè par tons les rÉpublitims e conduitavec la Ré publia uc comme avec im flirt, b ilÛ I intention IÎC rclu^cr TL pou oir qu ou luioflre qu'il le dise c-t qu'il nous permette dono. r e t e n i r U p ht |u pMti tnt attendre Attendre quoi î Nous avons d t j \fait l'esptntnce de- la retraite <lt M Dclc*.t t t ttte optration n't t pai 4 l'ht nncur

du parti rarlica.1 Il serait souveraincmuntd^inccrcux de recoinTiicncor ectto finisse nunœuirc dont les résultats ne nous sont paseWitrcnicut douloureux, jïtiis^uo M. D£ (.ninel T étt nommt, mai? ijiii eut cependantpour conséquence l'cllmination d'un hommetrop scrupuleux que, vingt-quatre h u m i%ant l'élection, on saluait d'un commun attord comme le président de la Chambre

L'Awort.sm la reforme électoraleA quelque systêmt que s'arrttent les Ch im

bres, le moment est venu do le définir II L timpo^ible de laisser plus longtemps la quetion en suspens La rclormeélectorale — M,Bienvenu .Martin It faisait encore justement

arrÉtf tout le travail parlementaire. La Chambre et le Sénat, et aussi le p a y -rf>nt necaparus pu a u >]uc lion qui y i b e ivoirtout détruit autour d elle Si a la rentrée je

njt t nk i s'en occuper, la présidence dela I«-pul)ln]ue —comme le développait hier .M Hinot i iMhns un artHc du Fibiro — !

ra tllc-mî-ine accaparée par la proportion'nellc U s consiquenses d'une pareille ituation peu vint ûtre coasidérablcs. Le partir^publtcain tiait dfa aujourd'hui, s'en pnlocuper i t i i t l c lu iLOKi lk n inUiït 1 mttrfit de la République sont dans une piomptL solution

Dulé n tel bondant baguge hllfiron il offirmi lovtr ù lour potl

«M* IL, n i I U'i 1>T* d ' l'curlduc trin cl et rok de- etni dt 1 \vl i lfccolc o

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!écor. Ln pointure en ciair des muraillele? verdures dans Tes cour», la lumièredans les préaux el les salles oui halnluil'enfant h revenir avot gaieté dans le-lieux où son esprit demeura sans peineoltcnlif et appliqué. Puis rornemejil decc> -illo-s voulu le plus allrayant, grâce Jde- fn-t ck fcitill gt U dt Jkur *UT 11

L'Art à l'École

>id il i lîurd idont

II a le i à dirsur la réforme électorale, qui divisepassagèrement le? républicains,

« Le Sénat s'efforcera, a déclarôM. Lourties, de trouver une formule deconciliation susceptible de rallier lesrt-publirains et de faire ln concentra-tîoi pbt« iiidisponstiblo ffue jnmnis

F,t riionmblc scnsiteur a terminé saharangue en .idre^anf de chaudes etélorjiientP1* félicitations aux chefs quidirigent les opérations militaires auMaroc Pt a l'entrain et l'endurance denos vaillants soldats.

Ah ! ces vieux républicains, si pleinsde Bon sens et blanchis dans les luttespolitiques, si l'on suivait leurs bonsconseils, comme tout irait mieux sous«ne République meilleure !

Cabinet dn docteur MALET

REVUE DE LA PRESSEL'Exctlsier. sus l'élection présidentielle

prochaine -

II y a grève, de présidents. M Léon Bourgeois, devant lequel chacun s'effacerait, h t

site recule refuse Monsieur PoincarÊ n accepte môme pas que la question lui soit po-sée. M, Paul De'schanel ne liit ni oui, ni nonmais dirait bien oui s'il ne craignait que ctrtain1; puissent lui répondre non SI, AntoninDubost devient incapable (l'exprimer l imoindre opinion M. Hibot |>la«c sur lii

plein es or MIIL <J èlro igfttkc R I comme uni, de* plus -.ignitieali\e«< du géniefronçai

LJ botiÉti file pourrai! inscrire en exergue i eslui cote phrase que Michclel plue Hlu bouche des \ainqiieiir p\ thiqut* lonl

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( Sois beau, embcliia-loi de formes hroïques el d'œuvres généreuses qui « r ap)is?enl le monde de joie 1 » En effet, n.bu! de celle ligue d'cxallalion nationalec e t d'cmbelk dès L'enfance Urne deahommes de» demainL u Construire pourr«»{*nce la maison -cru'elle mérite, luidonnée IV duc-iiTijon rïarrnonieiive qui hpréparera (lour le goût, pour la satisfatlion de* yeux el de l'esprit, édifier depinle premier ûge l'homïne robuste et qampcn'nnt beau, agiwmnt b im »

larque i pr.

11..L0 Président de la République

rinslniciion publique, !t ou*

I cinge compte lel i M le Con il d iidmini Ir 1 n M Cmivba pour prf^idpnlF rtlimn 1 Billion X Gnsquet F Jourh n F Poiner Th Homolle Fd PelitMuiu -\n Bi^nnrd, el pour membres honor irr MM. Alfrfd lîruncaii, GitsUieCharpentier, Armand Payel, Lm

lier 1 Hin lierGeoffroy, J. F, Raffoellî, Mme Sève

me. i en pas: d.- friires atnini m M Ou. t I

artistes, écrcimimi k disiil !epolitiques, «ducale1

Iniits fonctionn urc lui npporlîrcnt kur^iriLrosi!!. tï^ penseur* et dhonim<* d ir

; sa des de lem•nfai mps ( l'ei

it qu'inséparable do la LUnié' île* metibleî noirs el des mure de Inrla«se. \uji>urd'hui, pour que lu vie soil& l'école du inouï?, plus rianto iiux po-lit ton- res grind nin-^ 'kr B'nt pen

Et l'Etat ouvre largement ÏH bour.-e pouiqiu- la Soeii'lé pui^e y puiser H subvenlinnner ^ fil.île

II semble qu'on se trouve en présencel' npc de poêle, songe trts tendre

l Cpn !M

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1 hirmrimil poi1C9 \lllà ne » (autintpupitre\i de dm*crt[)li

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n« nblc de Ij'e,in hll r «ur unle oit point len

cime une mnlen onl poinl fui

n ibk et le plupour la rendçç

1 Is di nk- de ihêli'

lion V ne- piquantes de Drt'aw hi^loriinl < I T Clnn-ion des M011 » de Bonkav, reproduction tîes ero^ui^ nere-les UfMillet, ce son! de lîclles images "dont clincun *Hjuliaite la eolleclion entière

Le primordial nitrite de lous ce* efforl

1 part:

les «ificalîons h travers le pays entier =

cieu L de pr^erver et il'aceroîlre laehesse profonde de ntmque pro^ irC i l . m .pi t« pnm.ir-

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1 I.1

u« li pitronifiL île 1 c, Arl h I Erale )Vï erT1 dun^ ls commune mixle di.

ni Min mu i ir \emnle neuf écolesn i 11 en eM nnt 1

1 I ! forl oh qui

1 I offiri onntnn,m i l M t K ifrnlnn nlecMire , 1 mp i M ni de r m Iruction-ln f u nt le ' i ilis e un rnnt el \n in l-éjonr 1 « \rl 4 l Tiolc i mura pmcdioercmonl cnnlnbii \ développerfi formation inlpl'orluel'

pas

ri 1 li1 dc\ Tpni eomplétfr nlitntl I I cîf^in tstplan tlvliid

prolongement de la valeur ftlucilie ind cor m en n limt li ' îtln l chez le

vre-, U y a eu la mieux que Je? ébauche*rmii nentoiri. uni fnî hmr el unt 1 ir(liesse de coloralinn« remarqunblc* une

tt ! l ftretf^ de o it11 lu

libre, poure Koblnde .« U Crapaud ,

el

tel prévint unhnngt exnlté dw

nuquii 1 enfin! (

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que lob el de« N M I du dcraiw Congri^,de réalt-ation pnlique- mit Ht olilt.mie Lea thwwii du lerroir k fahlnux, les kgmdL prouncue* ml Iuliliwe - . , . . .

El pm on a propagé !es msrcne leron.de et !c cortège" lu d»f a "'•' m

Ire et ni urc Qi"- 1

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ibîerel ouoron \ iijoukée muiiMlmcoup pour

litn iles]Utlion pub np

•nvjif n p i d dt- lu- Mirhtlti n ce propo c i 1 lui jm

iNc Fil ) r Ifbmt la meni-il tuifluenrc df fi. l i ' ur In i c t r l ! c t l u t -

il (JIR 1 duc&lion de 1 homme &e rctiiioio pdr ce- fêles App iudi= oniitii Ion > jrriM-, que pnr (Ik on

i to =en de la pompe sourcei n f 1 d enlhou îûsnte pqii i ' J

i n colkelive dont le ULI d t g a••" I 1 11

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i n 1 il cri k p rc cl au on res u cr1<tte po= îblt t u di Mire IJUI forlifkuple PÏ rend prospère le mtion* )

ni de 1 \rt h FCOIP I qui nira fi«i «an"o k en lOïC h Pin* -ibnnlil ^ 1 appliîhon N loule ]e 1 l nioniietï*

IGUE D'UNION FlEP'iBLICAlNEPOUR LA REFORME ELECTORALE

Appel aux RépublicainsAu moment, où le Sénat est appelése prononcer sur la réforme électo-

•ale, les républicains qui l'ont votée i\la Chambre, ceux qui l'ont soutenuedans le pays, entendent la défendrecontre les inleipiOitions i n e w t e * ales attaques injustifiées par quoi l'on^'ingénie k la dénaturer, à la trav<

- a la faire échouer.Placés a l'avant-garde du Parti Ré-

publicain, ennemis irréductibles detoute réaction, épris de toutes les ré-formes laïques et sociales, ils se sonttoujours montrés, aux Heures du pé--il comme aux jours de victoire, lesnrtisans tenaces d'une entente étroite•t féconde entre tous les républicains.

Cette volonté immuable d'union ré-publicaine qui, sans cesse et en toustemps, n dîrifié leurs actes politiquesLeur dîcte, cette fois encore, leur atuttide en présence d\i problème- élecioml, e( inspîrp l'appel qu'ils adressent

tons les républicains claivoyantsLa réforme électorale, votép par la

Chambre, est désormais inéluctable.

L'heure n'est plus aux cirgutjK ,,ne opposition ncgalne et st(me

a "-I es rt public uns sinu es 0,lt .

%ou dt s'attachera l'ex imen Jf *MO \ottc pu la Chimbie MU, ' ?»ges sans parti [IMS san urrLP J l

ste d m s h seule p., o m . ^ PenSUIPI pnr une Itfnslntion t Z iéquitable et pntique le libre J01"loppunent de nos in titutions i e

peiKtance et les Oroifs du a u l t n i ^verscl. b Ul|i-

r est dans cet espnt quVSt f--,,la fi te d'Union Hépublicalnit *la lia foi me Flectorale P0*

ion but ? Agir énergîmipi»,.,,,prK dn Ptn ta imt cl ibS, W »»•révéler ù ce»\ qm s \ montrent eL 'opo^es Jes forces (l'affrancliRçpr-Tles %eitus rég( nerotnees queTZt\n réforme , convier tou le vj, , 'cmiK \ 1 honneur de contée/Tu1*menl u la démocratie franc,,., ™"nliWe chnrte électorale M w

De l'entente et de r u n , o nrmiiMin m le« icpuMmms JSltinnnnli^lw prétendent n ftr, n f f l rni victimes. "PW

Sinj doute des Innsiaior,, w .IX- ^siblPs sur les mralnlites e l i , , ? 'taiK mais le pnnciiie d'une r*fnélcctonle par le scrnlin dt 1"'°^repiesenh,,™ des „„„„„,& j l B ^

Donner à la Nation — qUl .qu'elle veut et mieux enerre fP jft

c?elle ne veut plu» — une coDtreraZplus ou moins adroite et mloniX!du régime é'ectoral iciuel c i ,défi que d'autre ongeront peut w™IL lui portet nou n'en asMimeiïpis la tespnn^biliU Car la Na t l0n 'apailé Elle i m nqui chirement sa \nlonti d obtenu une rcprescnhlinn V(.litique, qui leproduisp we? plus HPfidélité sa propre im ige

Aux élections législatives de I9|nelle a en\o\é à la Ghimbre une irnjoiitf d élus qui ont pn 11% gemen[formel (le substituer au rutin rt irrondissement un large scrutin de hsipassurant une repiésentation cniuiahiedes minorités Les élections partielleont confirmé et accentué le mouvement qui s'était manifesté aux élec-tions générales

Aussi, M, Clemenceau, le premierdans sa (léclnration ministérielle du ènovembre 1906 .nffïrmaiui], la nfces;ité <( d'élargir le mode de scrulindans le élection l^islali\es > apn.lui tous le* yoin ernements au coude ces six dernières années, ont pr&-clamé l'urgence de la réforme éleclo-rale.

On semble oublier que dis le 8 ro-vemhre 1909, la Cliamhre s'était ral-liée au scrutin de liste par 379 \mxcontre 112, et S l a représentation pro-portionnelle par 299 contre 23

A la demande de M- Brianrl, prf>ident du Conseil, on convint {l'ajournerle débat pour procéder ù une nouvelle,consultation des électeurs. Leur répon-se fut telle au renouvellement de 1310que toute Équivoque devenait împos ible, et le gouvernement eut le devoirde se conformer à leur indication.

Le Cabinet lîriand a déopsé, le *ÎOjuin 1910, un projet de loi instituantle « scrutin de tisk avec représentation proportionnelle des minorités.

Le deuxième Cabinet Rrintul a maintenu les principales dispositions duprojet, notamment la répartition dessuves pnr le système du quotient élec-toral

Le Cabinet Monis les a acceptées etprécisées et en a fait commencer ladiscussion a la Cliamhre

Le Cabinet Caillaux leur a donné sonadhésion, et a eu l'honneur de faire\oter par l'unanimité des députés, !eG juillet 1911, le principe fondamentaldu quotient. C'est au cours de celleSLIPCC que M fni lhu\ pasi('nnl duConseil, faisait cette constatation d*oisive « sur h quotient, tnvt le mon-h est d'accord »

Cette unanimité qu'a rcnronlrfe ieprincipe de ln réforme dans to couscils du gouvernement, l'effort de no-tre propagande tendra ft la maintenirau Sénat La Constitution et ln tradi-tion confèrent à la Haute-Assemblée,un rôle d'arhitrciKC et de conciliation.

Confiants dans son esprit politique,et dans sa sagesse démocratique, nouslui demanderons de ne pus abandon-ner cette éminente préroRfdive. ite nepas prêter l'oreille h ceux qui demeu-rent (ÎKés dan-, des formule usée' et

dont l'ohstination aveugle tendrait adéchirer le Pnrti républicnin, el k foire courir n la République elle-mfmP,les plus redoutables aventures.

Reconnaître le droit des minoritéla représentation nationale, ce n'estpis s écirter de la tradition répub»caine ; maïs bien la restaurer, telleque nous l'ont léfiitep les prands pe"senrs les gmnrN tubuns dont la RP-nnbliriup se rfrhme De Mirnbei"r.nnfloi-cpt et ^ievès à Edcnrd Ouinft,Victor fonsidArnnt «t J oui* î" in f

In is les fondateurs du sufTn^P un"fr

sel n'ont cessé de préconispr In rep1^"