Questionnaire

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QUESTIONNAIRE ADRESSE AU SECTEUR FINANCIER INTERNATIONAL Dans le cadre de l’élaboration de la thèse de doctorat d’Etat en sciences de gestion, nous vous prions de bien vouloir répondre à ce questionnaire qui a pour objectif de recenser l’opinion des experts dans les institutions financières quand aux interventions publiques nationales et internationales comme mode de gestion des crises financières ; leur légitimité et leurs effets. Avec tout mes remerciements. MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET DE LA TECHNOLOGIE UNIVERSITÉ DE LA MANOUBA ECOLE SUPÉRIEURE DE COMMERCE ECOLE DOCTORALE DE L’ECOLE SUPÉRIEURE DE COMMERCE ECCOFIGE DOCTORANTE : AMIRA KADDOUR. TEL : 0021623955248 EMAIL : [email protected] NOM DE LINSTITUTION :…………………………………………………………. RAISON SOCIALE :……………………………………………………………………… ADRESSE :………………………………………………………………………………. CAPITAL SOCIAL :………………………………………………………………………. ADRESSE A : MR/MME………………………………………………………………..

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QUESTIONNAIRE ADRESSE AU SECTEUR FINANCIER INTERNATIONAL

Dans le cadre de l’élaboration de la thèse de doctorat d’Etat en sciences de gestion, nous vous prions de bien vouloir répondre à ce questionnaire qui a pour objectif de recenser l’opinion des experts dans les institutions financières quand aux interventions publiques nationales et internationales comme mode de gestion des crises financières ; leur légitimité et leurs effets.

Avec tout mes remerciements.

1. Comment résumez-vous l’évolution des marchés financiers ?

MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET DE LA TECHNOLOGIE

UNIVERSITÉ DE LA MANOUBAECOLE SUPÉRIEURE DE COMMERCE

ECOLE DOCTORALE DE L’ECOLE SUPÉRIEURE DE COMMERCEECCOFIGE

DOCTORANTE : AMIRA KADDOUR.TEL : 0021623955248 EMAIL : [email protected]

NOM DE L’INSTITUTION :………………………………………………………….RAISON SOCIALE :………………………………………………………………………ADRESSE :……………………………………………………………………………….CAPITAL SOCIAL :……………………………………………………………………….

ADRESSE A : MR/MME………………………………………………………………..

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- Elle a donné lieu à une diversité des acteurs et intervenants face à une uniformité dans

les méthodes de gestion des risques.

- Elle a contribué à cristalliser les anticipations sur les prix d’actifs.

- Elle a entraîné une augmentation généralisée de l’incertitude.

- Elle a fait preuve d’une grande capacité d’innovation et de création d’une panoplie de

produits répondants aux besoins des intervenants.

2. Voyez-vous que les modèles de valorisation des actifs financiers sont pertinents ?

Oui Non

3. Jugez-vous l’expansion de nouvelles techniques et de nouveaux produits sources de

complexité technique ?

Oui Non

4. Expliquez-vous le comportement moutonnier pour maximiser le rendement à CT, par la

complexité des méthodes de valorisations et par la capacité limitée du marché à analyser les

fondements économiques et financiers ?

Oui Non

5. Comment estimez-vous la capacité des marchés financiers à prévoir les périodes de

turbulences ?

-Insuffisante.

- Faible.

- Moyenne.

- Suffisante.

- Bonne.

6. Attribuez les pourcentages adéquats selon le degré d’importance ;

Les causes du dysfonctionnement du comportement financier des agents privés est du à :

-Prise de risque excessive

-Recherche de rendement

-Recherche de création de valeur

-Dysfonctionnement du couple risque-rendement

-L’émergence du nouveau type d’investisseurs : les investisseurs

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Institutionnels.

-La détérioration de la prime de risque.

7. Voyez-vous qu’au vue de la répétition des épisodes des crises financières, il y a  lieu de

revoir les méthodes de gestion utilisées pour juguler ces turbulences ?

Oui Non

8. Estimez-vous une investigation dans les causes les plus profondes des crises financières et

une compréhension des comportements microéconomiques des agents privés, constitue la

nouvelle logique d’explication des périodes de turbulences ?

Oui Non

9. Voyez-vous, que sans une action des pouvoirs publics en matière de surveillance et

d’information, la logique privée de maximisation du profit ne peut suffire à assurer un

fonctionnement véritablement efficace de la sphère financière ?

Oui Non

10. Comment jugez-vous les mécanismes de gestion des crises financières ?

a. Inefficaces.

b. Sujet de multiples controverses.

c. Satisfaisants.

d. Efficaces.

11. Appuyez-vous l’existence du phénomène de myopie au désastre pour les acteurs du

marché ?

Oui Non

12. Estimez-vous possible, que les marchés soient capables de gérer eux-mêmes les

problèmes et les déséquilibres vécus?

Oui Non

13. Voyez-vous que l’intervention des autorités en cas de crise est un passage obligatoire ?

Oui Non

14. Voyez-vous que l’existence d’intervention en cas de crise est une éventualité certaine ?

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Oui Non

15. Renvoyez-vous les interventions publiques dans le cadre de la crise actuelle, à l’état de

l’économie capitaliste du marché ?

Oui Non

16. Voyez-vous que l’existence d’assistance exante et exposte en cas de crise constitue un

précurseur pour la prise de risque excessive ?

Oui Non

17. Voyez-vous qu’au vue de la répétition des crises financières, il serait judicieux de laisser

les marchés trouver leur chemin vers la stabilité ?

Oui Non

18. Croyez-vous à l’efficacité de la main invisible du marché ? (Adam Smith)

Oui Non

19. Voyez-vous qu’au niveau national (banque centrale) et international (IMF) une assistance

massive présente une source de sécurité ?

Oui Non

20. Voyez-vous la mise en application de la nouvelle architecture du système financier

internationale, comme un espoir pour une stabilité financière ?

Oui Non

21. Voyez-vous que l’implication des investisseurs privés, dans le cadre de la nouvelle

architecture du système financier, dans la prévention et la résolution des crises financières

constitue un vrai frein aux tendances excessives de prise de risque et à tout comportement

irresponsable ?

Oui Non

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22. Croyez-vous à la crédibilité de cette implication ?

Oui Non

23. Etes-vous avec une pénalisation des investisseurs privés en cas de défaillance ?

Oui Non

24. Voyez-vous qu’il est judicieux de continuer de traiter les crises de manière improvisée,

au cas par cas ?

Oui Non

25. Voyez-vous que l’intervention des autorités en cas de crise est un passage obligatoire ?

Oui Non

26. Voyez-vous que l’existence d’intervention en cas de crise est une éventualité certaine ?

Oui Non

27. Etes-vous avec une intervention limitée et sélective ?

Oui Non

28. Voyez-vous plus légitime :

- Une intervention lors d’un risque de liquidité.

- Une intervention lors d’un risque de solvabilité.

29. Comment voyez-vous la capacité de réalisation des objectifs macroéconomiques d’une

intervention des banques centrales face à un risque de liquidité ?

- Difficilement réalisables.

- Reste tributaire du choix des instruments le plus.

- Reste tributaire des circonstances d’interventions le plus.

- Satisfaisante.

30. Avec les caractéristiques actuelles du marché comment voyez-vous la répercussion des

chocs des prix d’actifs sur le bilan :

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- Modéré.

- Importante.

31. Comment jugez-vous une comptabilité basée sur la fair value (valeur du marché)  :

- Augmente la probabilité de faillite des établissements en moment de crise.

- Propose le problème d’efficience du marché.

- Incarne une forte liaison à la liquidité du marché.

32. Croyez-vous à l’efficacité des forces concurrentielles pour conduire à un système sain ?

Oui Non

33. Voyez-vous que le risque de liquidité et de solvabilité sont peu prévisibles dans le système

financier ?

Oui Non

34. Les instruments de la banque centrale sont-ils efficaces?

Oui Non

35. Enumérez les avantages des interventions en cas de marasme et de crise.

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36. Voyez vous que le système financier reconnait aujourd’hui une plus grande dépendance à

la liquidité du marché ?

Oui Non

37. Voyez-vous que la titrisation en est l’exemple ?

Oui Non

38. Rendez-vous le processus de création endogène de liquidité, le plus à :

- Tenue du marché (interaction antre agents privés)

- L’activité bancaire. (dépôt/ levier/ octroie de crédit)

39. Rendez-vous l’état d’inefficience des marchés, entre autre les facteurs inhibiteurs de la

création endogène de liquidité à :

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- Capacité générale des acteurs d’acheter et de vendre sur les marchés monétaires.

- Comportements moutonniers.

- Caractère incomplet du marché.

40. Estimez-vous l’adoption de la proposition d’Anne Krueger (le numéro deux du Fonds

monétaire) de créer un tribunal de faillite pour les États souverains, proposée en novembre

2001, une proposition applicable ?

Oui Non Neutre

41. Voyez-vous que l’existence d’un prêteur en dernier ressort ne suffit plus ?

Oui Non Neutre

42. Voyez-vous que la création et l’intervention d’un acheteur d’actifs en dernier ressort se

voit nécessaire ?

Oui Non Neutre

43. Croyez-vous que les interventions publiques créent le phénomène d’aléa moral ?

Oui Non Neutre

44. Voyez-vous qu’il y a lieu de revoir l’efficacité des interventions publiques et du FMI ?

Oui Non Neutre

45. Comment jugez-vous le pouvoir des Etats pour se mettre d’accord sur la mise en place de

codes de bonnes conduites financières ?

Oui Non Neutre

46. Voyez-vous que les plans d’austérité et les réformes proposées par les autorités publiques

constituent un véritable issu de stabilité ?

Oui Non Neutre

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47. Voyez-vous que le phénomène d’aléa moral du aux interventions publiques constitue le

précurseur préliminaire des crises financières suivantes ?

Oui Non Neutre

48. Attribuez les pourcentages selon le degré d’importance :

Afin d’atténuer le problème d’aléa moral, une intervention doit être :

- limitée et sélective.

- Appliquée selon des taux dissuasifs.

- En mesure de promouvoir une gestion rigoureuse de liquidité.

- Réalisée en faisant appel à un mécanisme d’adjucation.

49. Quels sont les moyens envisageables pour atténuer la question d’aléa moral ?

- Ne plus intervenir (ne plus socialiser les pertes).

- Intervenir uniquement dans des circonstances très défavorables.

- Intervenir de manière sélective et spécifiée.