Présentation Blois Vs Bcs

Entraineur : Nicolas FAURE

N° JOUEURS TAILLES ANS POSTES44 ARLIN JordanARLIN Jordan 1m811m81 19891989 MeneurMeneur55 ALAO ZakalihaouALAO Zakalihaou 1m871m87 19811981 ArrièreArrière77 BLOT JohanBLOT Johan 1m981m98 19751975 IntèrieurIntèrieur88 KOLB OlivierKOLB Olivier 2m062m06 19871987 PivotPivot99 BROCHARD PierreBROCHARD Pierre 1m851m85 19801980 MeneurMeneur

1010 RECOURA BenjaminRECOURA Benjamin 1m981m98 19841984 AilierAilier1111 WILLIANS KaiWILLIANS Kai 1m971m97 19881988 AilierAilier1212 NIKTASH NavidNIKTASH Navid 2m022m02 19911991 IntèrieurIntèrieur1414 DELOURME ErwanDELOURME Erwan 1m831m83 19911991 MeneurMeneur1515 TARVIS WilliamsTARVIS Williams 2m052m05 19781978 PivotPivot

C’est en 1907 que le Patro de la rue du Plessis voit le jour sous le nom d’Abeille des Aydes. Il s’agit au tout début d’un lieu de pratique de la Gymnastique puis du Tir.

C’est dans les années de l’après-guerre que le Basket Ball fait son entrée dans le club omnisports.

L’ADA Basket : deux décennies de folie

Mais dans un passé plus récent, l’histoire de l’ADA Basket s’articule autour des deux dernières décennies pendant lesquelles le Basket est devenu un sport majeur dans la cité blésoise.

1986 - 1995

Ces années folles verront la montée de l’équipe première de l’ADA Basket de Régionale 2 en Nationale 2 (4 accessions consécutives de 1987 à 1991) sous la conduite de Jean-Raoul Baudry, coach de l’équipe pendant toutes ces années.

Nationale 4 – 1989/1990

Ce parcours exceptionnel a réuni des jeunes formés à l’ADA et des joueurs plus expérimentés. Tous les spectateurs qui ont eu la chance de suivre les 4 années de N.2 (1991/1995) se souviennent de cet engouement extraordinaire, du Palais des Sports archi-plein à chaque match et des exploits des Léo, Georget, Rambault et s’il ne fallait retenir qu’un nom, c’est à l’évidence celui d’Etienne Preira qui apparaîtrait, tellement ce joueur a enthousiasmé le Palais des Sports de Blois par son talent et sa classe ! Et si notre cœur devait parler, celui que nous citerions serait une autre grande figure du club : Hervé Famchon.

1986/1987

Rég.2 : 2ème du classement

Jean-Raoul Baudry (Coach) Raczek + les jeunes formés au club : M.Rétif, C.Deslandes, J-C Lignée, P.Dufour, H.Famchon, L.Pradel …

1987/1988

Rég.2 : 1er du classement

Jean-Raoul Baudry (Coach) E.Aouizrat, D.Boistard, J-C Bichon, E.Brulard,

1988/1989


Jean-Raoul Baudry (Coach) A.Mohamed

1989/1990

N.4 : 1er du classement

Jean-Raoul Baudry (Coach) F.Vincent, A.Bérenguer

1990/1991


Jean-Raoul Baudry (Coach) B.Georget, D.Got

1991/1992

N.2 : 11ème du classement

Jean-Raoul Baudry (Coach) J.Wiley, Y.Léo

1992/1993


Jean-Raoul Baudry (Coach) E.Preira, V.Bouscarbies, J-P Ville

1993/1994


Jean-Raoul Baudry (Coach) D.Sweet, E.Rambault, D.Talbot

1994/1995


Jean-Raoul Baudry (Coach) G.Upchurch, O.Hanart

Nationale 2 – 1994/1995

A la fin de l’année sportive 1994/1995, le club déposait le bilan et repartait en Championnat Régional.

1995 - 2005

La grande force de l’ADA, face aux difficultés de cette période sombre, a été de savoir rebondir, de ne pas baisser les bras, tant au niveau des dirigeants que des joueurs.

Nationale 3 – 1997/1998

Autour de Raoul Baudry, Président, une nouvelle équipe se met en place avec comme objectif de reprendre la marche en avant. Le Club des Supporters se met en quête de partenaires et sur le terrain, autour du nouveau coach Eric Aouizrat, ce sont les jeunes blésois qui vont se battre pour relancer le club : Bertrand Rétif, Cédric Laurancy, Romain Bourgeois, Stéphane Klein, Franck Simon, Fabrice et Stéphane Robillard, David Chrismousse, Richard Derouin, Olivier Lambourde, Olivier Bichon, avec le renfort de Frédéric Bengue, vont remporter le titre régional - et même le titre inter-régional contre Dijon -

et ainsi accéder à la Nationale 4. Puis ce sera la Nationale 3, l’accession en Nationale 2 en 2001 avec le coach Christophe Ivars et le capitaine Nicolas Raimbault. A noter les mêmes progressions en N.3 et N.2 (10ème, 5ème, 3ème et 1er).

Et c’est enfin sous la houlette de Gilles Versier l’accession en Nationale 1 agrémentée le 29 Mai 2005 du titre de Champion de France de Nationale 2 … le premier titre de Champion de France de l’ADA Basket !Entre temps, sous la présidence de Jean-Claude Botton, la section Basket de l’ADA Omnisports a pris son indépendance pour devenir l’ADA Blois Basket 41. Grâce à la ténacité efficace de Claude Dérue, le Basket Club Entreprises a été créé et mis sur de bons rails. Il est aujourd’hui, avec nos partenaires institutionnels que sont la Ville de Blois, le Conseil Général 41 et la D.D.J.S, un des piliers essentiels du club.

Un nouveau président, Philippe Daudin, est venu prendre la relève et c’est avec lui que le club accède à la Nationale 1 en 2005, avec un nouveau projet pour les années à venir.

1995/1996


Eric Aouizrat (Coach)

1996/1997


Eric Aouizrat (Coach) S.Benassis, J.Chardon

1997/1998


Eric Aouizrat (Coach) C.Deslandes, P.Larnicol, F.Clermont, H.Thimodent

1998/1999


Eric Aouizrat

1999/2000


Christophe Ivars (Coach)Antso Razafindrabe, N.Raimbault, A.Comara

2000/2001


Christophe Ivars (Coach) D.Fofona, J.Chardon (retour)

2001/2002


Christophe Ivars (Coach) H.Chollet, P-P Gauduin, S.Rollin

2002/2003


Christophe Ivars (Coach) T.Traîneau, A.M'Baski

2003/2004


Gilles Versier(Coach) T.Zaïre, N.Joncoux, D.Pipereau

2004/2005


Gilles Versier(Coach) T Nesmith, E.Blévin, A.Francin

Les faits marquants chez les équipes de jeunes

A la lecture de ces commentaires, il est évident que la place de la formation est considérable dans l’histoire du club. Elle est la base de tous les succès. Depuis longtemps le club est l’un des meilleurs clubs formateurs de la Ligue du Centre. C’est en grande partie avec des jeunes ¼ de finalistes du Championnat de France Benjamins en 89/90 et ¼ de finalistes du Championnat de France Minimes en 91/92 que le club est reparti en 1995 !

Plusieurs titres régionaux et de nombreux titres départementaux illustrent la volonté des dirigeants de mener une politique résolument tournée vers les jeunes. Cette volonté se traduit dans les faits par les résultats convaincants de nos Minimes France et aussi par les parcours individuels de joueurs formés au club comme Benoît Georget, Philippe Amagou, Souarata Cissé et le « petit dernier », Alexis Tanghe, médaillé d’argent des Championnats d’Europe en Août 2005 avec l’équipe de France cadets.

2005 – 2006, le début d’une nouvelle aventure

Le 10 Septembre 2005, une nouvelle aventure commence pour l’ADA Blois Basket 41 avec le début du Championnat de Nationale 1 et une équipe motivée pour écrire de nouvelles pages de l’histoire du club.

Entraîneur Eberlin Stéphane - Assistant Pereira Daniel

N°N° JOUEURSJOUEURS TAILLESTAILLES AGESAGES POSTESPOSTES

55 Alex NKEMBEAlex NKEMBE 1,971,97 3131 3/43/4

66 Mouhamadou M'BODJI Mouhamadou M'BODJI 1,931,93 2929 3/43/4

77 Romain APPELRomain APPEL 1,941,94 3030 2/32/3

88 Fred BROLIRONFred BROLIRON 1,931,93 3030 22

99 Jacques ALINGUEJacques ALINGUE 2,002,00 2222 44

1010 Jérémy TSCHAMBERJérémy TSCHAMBER 1,901,90 2626 1/21/2

1111 Sébastien KANCELSébastien KANCEL 2,052,05 3030 4/54/5

1212 Tony TRAINEAUTony TRAINEAU 2,042,04 3030 44

1313 David WEBERDavid WEBER 1,911,91 2121 11

14 Sanko CAMARA BLESSE BLESSE BLESSE1515 Jovan STEFANOVJovan STEFANOV 2,05 27 4/5

BC SOUFFELWEYERSHEIM 2010/2011 NM1

1945Création du Basket à Souffelweyersheim en tant que section du FC Souffelweyersheim par Eugène DAUSCHER (Président), Joseph BREGLER, Robert ANDRES, Raymond SCHOTT, Albert PETER, Lucien GLADY, René STROH

1947Quatre équipes sont engagées dans les différents championnats : Seniors 1 – Seniors 2 – Cadets – Seniors Féminines

1948Les premiers renforts arrivent : Albert Eber – Albert Sitz – Richard Sitz et Jean-Pierre Georg. Le futur archiviste du club Joseph Koessler prend une place prépondérante dans la vie du club.

1954Le troisième terrain extérieur est construit rue des Cigognes (toujours en place actuellement).

1963Eugène Dauscher, Président Fondateur, demande à être déchargé de ses fonctions pour des raisons d’âge et de santé. René Stroh est élu Président.

1964D’un commun accord, la section basket décide de se séparer du FC Souffelweyersheim pour créer son propre club : Le BCS (Basket Club Souffelweyersheim) est né ! Marcel Wintz – MAWI – rejoint le Comité. Directeur Sportif, sa compétence et sa disponibilité le rendent indispensable dans la bonne marche du Club

1965Championne d’Alsace, l’équipe fanion du BCS monte en Championnat de France Fédéral. Après quatre années, elle dut redescendre en Régional suite, essentiellement, à des difficultés matérielles (manque de gymnase).

HISTORIQUE DE SOUFFEL

1966Le Basket de Souffelweyersheim sort de l’anonymat : Le 24 janvier 1966, en 32ème de finale de la Coupe de France, Souffel est opposé à l’Etoile de Charleville, Champion de France en titre. Les adversaires alignent des joueurs internationaux tels que JP Beugnot, Perniceni ou Le Goff. À 42 – 42, Souffel perd son quatrième joueur. L’actuel Président, Gilbert Mittelhaeuser est le meilleur marqueur avec 31 points contre 26 points à Beugnot. Souffel eu le mérite de limiter la marque finale à 11 points : 61 – 50. Le journal « L’Equipe », dans son article du 21 janvier 1966, fît l’éloge du club : « Qui parlerait de Souffelweyersheim, perdu dans la banlieue de Strasbourg, si sa section de basket n’existait pas ?

1972En 1971, la Commune décide la construction du Gymnase actuel. Ce dernier est inauguré le 4 novembre 1972.

1974Nouvel essor sportif avec le retour de Gilbert Marschall parti pour évoluer avec l’Elite du Basket Français au sein de l’AS Strasbourg.

1975Champion d’Alsace, le BCS accède en Championnat de France Nationale 4.

1976L’euphorie de la saison 75/76 qui suit et grâce à ce joueur d’exception que fut Gilbert Marschall, le BCS monte en Nationale 3.

1977Le Comité décide de renforcer l’équipe 1. Ce sera l’ère américaine à Souffel : court intermède d’un étudiant américain Horton – en 1977 : Paul Ellis – en 1978 : Graig Butrym – de 1979 à 1981 : Mike Reilly. L’éventuelle accession en Nationale 2 (les PRO A et B n’existaient pas à l’époque) est plombée par des moyens financiers restreints. En 1982, la Fédération interdit les joueurs étrangers en Nationale 3.

1977 : une année référence pour le BCS. En championnat N 3, devant plus de 1000 spectateurs, le match au sommet oppose le BCS à la SIG. Victoire du BCS : 111 à 89. Dirigée par Désiré Schohn, l’équipe est composée de Paul Ellis, Gilbert Marschall, Jean Mittelhauser, Francis Kiefer, Roland Kleiss, Jean-Louis Koessler, Jean-Pierre Uthdinger, Gilbert Heinrich, Christophe Oberlé et Claude Schott.

1984Les Anciens du BCS sont Champions du Bas-Rhin.

1985Les Anciens du BCS remportent leur premier titre de Champions d’Alsace. Ils remporteront 14 fois le Titre de Champions d’Alsace, consécutivement, de 1985 à 1998.

1992Le 4 octobre 1992, le président René Stroh décide de mettre un terme à son mandat après 29 années et 9 mois de bons et loyaux services. À la même date, est élu son successeur : Gilbert Mittelhaeuser, troisième Président depuis la création du club !…

1996La Fédération décide la suppression de la Nationale 4. Le BCS, comme beaucoup d’autres, en fait les frais ! Après une année de purgatoire en Championnat Régional, le BCS remonte en Nationale 3.

2003Champion de poule en Nationale 3, le BCS sous la férule de l’entraîneur Stéphane Jung, accède en Nationale 2.

2007À l’heure où ces lignes sont écrites, le BCS entraîné par Stéphane Eberlin, occupe la deuxième place de la NM 2 D.

2008Souffel domine le championnat, ils font la course en tête et passe à côté de deux matches en play-offs.Battu, en mai, par Juvisy en quart de finale,le BC Souffelweyersheim a trébuché pour la deuxième année consécutive sur la dernière marche menant à la N1.

2009Souffel termine le championnat en 2ème place et passe à côté du deuxiéme matche en play-offs.Battu, en mai, par Saint léonard d'Angers en quart de finale,le BC Souffelweyersheim a trébuché pour la 3ème année consécutive sur la dernière marche menant à la N1.Vainqueur et Champion du Trophée Coupe de france contre Denain le 16 mai 2009 à Bercy.

2010L’équipe fanion du BCS sous la Houlette des coachs Stéphane Eberlin et Daniel Pereira termine 1er de sa poule avec seulement 2 défaites. Elle termine également vice championne de France et accède enfin en Nationale 1. En 32e de finale de la coupe de France, le BCS crée l’exploit en battant la JDA DIJON pensionnaire de PRO A, c’est une première dans l’histoire du Basket hexagonal.

Pos EQUIPES Pts Vict Déf % P.M P.E Dif Q Jour.8 BLOIS 32 11 10 52,3 1641 1623 +18 1,011 21

10 SOUFFEL 31 10 11 47,6 1495 1510 -15 0,990 21

Pos EQUIPES Pts Vict Déf % P.M P.E Dif Q Jour.12 BLOIS 16 6 4 60,0 792 760 +32 1,042 10

7 SOUFFEL 18 7 4 63,6 766 742 +24 1,032 11

Pos EQUIPES Pts Vict Déf % P.M P.E Dif Q Jour.5 BLOIS 16 5 6 45,4 849 863 -14 0,984 11

13 SOUFFEL 13 3 7 30,0 729 768 -39 0,949 10

Matches 21Pts 78,1T2 459/833% 55,1T3 6,6/19,0% 34,8LF 21,0/14,6% 69,5F 23,0

Fpr 20,8Ro 8,0Rd 26,0Rt 34,0In 6,3Ct 2,0Bp 17,4Pd 15,0

Eval 81,5

SOUFFEL

Stats cumul esé

Matches 21Pts 71,2

T2 406/846% 48,0T3 5,7/19,6% 28,9LF 23,4/15,6% 66,5F 21,0

Fpr 21,4Ro 11,0Rd 24,6Rt 35,6In 7,0Ct 2,8Bp 14,3Pd 11,4

Eval 70,9

BLOIS

BLOIS Résultat Résultat SOUFFELMatche à l'extérieur St Chamond Denek Bat Matche à domicile

1er Q-T 14 - 22 23 - 15 1er Q-T

2ème Q-T 16 - 22 16 - 20 2ème Q-T

3ème Q-T 24 - 23 26 - 18 3ème Q-T

4ème Q-T 16 - 11 12 - 18 4ème Q-T

Pts Marqués 78 77 Pts Marqués

Pts encaissés 70 71 Pts encaissés

Paniers 54% 31/57 27/53 51% Paniers 3Pts 35% 6/17 8/23 35% 3Pts 2Pts 63% 25/40 19/30 63% 2PtsL-F 71% 10/14 15/22 68% L-F

Rebonds Off 4 9 Rebonds OffRebond Deff 26 21 Rebonds Deff

Balles perdues 17 13 Balles perduesContres 1 1 ContresFautes 30 15 Fautes

EV 89 91 EVJOUEURS Pts Pts JOUEURSALAO 23 15 NKEMBEKOLB 19 14 TSCHAMBERBLOT 17 11 STEFANOVBROCHARD 13 10 ALINGUERECOURA 4 9 KANCELNIKTASH 2 5 TRAINEAUGIRARD 0 5 BROLIRONWILLIAMS 0 4 APPELDELOURME 0 3 WEBERARLIN * 1 M'BODJI

LE CLUB DES CINQ

07/02/2011

Samedi à Saint-Chamond, l'ADA a été contrainte d'utiliser son arme fatale pour s'imposer : son cinq majeur composé de Brochard, Alao, Recoura, Blot et Kolb.

Malgré son problème de genou, Pierre Brochard a une nouvelle fois été déterminant dans la victoire de l'ADA. - (Photo archives cor. NR, Patrice Juin)

Tous les ingrédients étaient réunis pour que la journée de samedi soit un cauchemar. Une équipe en déroute : l'ADA (4 défaites en 5 matchs, seule victoire face au Centre fédéral). Un groupe amoindri et pas vraiment en forme : Grimm désormais out pour le reste de la saison, Brochard blessé au genou et Recoura au pied. Un match à l'extérieur dans une salle où l'ADA n'avait jamais gagné face à une équipe (Saint-Chamond) qui lui avait infligé une sévère correction lors de la phase aller, et venait juste de retrouver sa pleine mesure dans le secteur intérieur avec l'arrivée dans la semaine de Viglianco, un intérieur reconnu meilleur rebondeur de la saison dernière avec le Denek Bat. Enfin, pour couronner le tout : la non-qualification de Tarvis Williams, le tout récent joker blésois, un intérieur américain d'expérience arrivé

mercredi. Autant dire qu'avant le début du match, la cote n'était pas vraiment en faveur de l'ADA. Un cauchemar annoncé...Mais c'était sans compter sur le talent des cadres de l'équipe qui sont parvenus à se mettre au diapason. Un niveau de référence qui leur permet de se sortir des pires situations pour éviter la dégringolade au classement et retrouver un peu de sérénité.

'' J'ai l'impression d'être le seul à comprendre notre situation ''

Brochard, Alao, Recoura, Kolb et Blot, le « cinq » majeur de l'ADA, a donc littéralement pris de court ses adversaires en leur opposant une défense très agressive et hermétique, induisant en premier lieu le faible scoring adverse, puis dans un deuxième temps une redistribution offensive efficace de son jeu. Le seul hic, c'était l'agressivité de cette défense justement, qu'ils ont payée cher dans le dernier quart temps avec les éliminations successives de Blot (31 e ), Kolb (38 e ) et Brochard. Une situation qui a permis à Kai Williams et Navid Niktash d'avoir un bon temps de jeu, même si le premier des deux est décidément très loin du niveau que le staff blésois serait en droit de lui demander (26 minutes de jeu, 0 pt, 3 rebonds, 1 passe décisive). Finalement, en l'état, le groupe blésois n'est pas si différent de celui de l'an dernier alors que l'on s'attendait en début de saison à trouver une équipe compétitive. Car il est entendu qu'une équipe compétitive n'a pas grand-chose à voir avec un « cinq » compétitif.Samedi soir dans la Loire, c'est donc bien un « cinq » qui a assuré cette précieuse victoire, au grand dam d'Alain Thinet, fier de pouvoir aligner son nouvel intérieur de talent Viglianco. Malheureusement, il est bien difficile d'imaginer que ce club des cinq parviendra seul à qualifier l'ADA pour les play-off de Nationale 1. Et Nicolas Faure n'a pas peur de parler de lutte pour le maintien. « J'ai l'impression d'être le seul à comprendre notre situation, prévient-il. Ce n'est pas faire du catastrophisme que de dire que l'on se bat pour notre survie dans la division. C'est juste la réalité. Ce week-end, si on perd, on est quasiment relégable ! » Et la situation d'ajouter à la colère de l'entraîneur blésois : « La non-qualification de Tarvis Williams aurait pu nous coûter très cher ! Il est certain qu'il doit nous apporter de la stabilité dans la raquette. » Il est évident que samedi soir, le fameux club des cinq Blésois a terminé son match sur les rotules, voyant Saint-Chamond venir « mourir » à huit petits points de lui à la fin du match. Samedi prochain face à Souffelweyersheim, il devrait en être autrement...

les réactions

NICOLAS FAURE '' ÉNORMES ''

« Nous avons été énormes ! Tant dans le jeu produit - c'est notre meilleur match de la saison - que dans la maîtrise qu'on a dégagée. Clairement, le score ne reflète pas la partie. On aurait dû leur reprendre le panier-average, c'est certainement le seul regret que l'on peut avoir. Nous étions bien concentrés dès le début du match, on a récité ce qu'on fait la semaine à l'entraînement. Si l'on accroche aussi Souffelweyersheim le week-end prochain à la maison, l'horizon pourra peut-être se dégager. »

JOHAN BLOT '' Plus de risques ''

« Depuis quinze jours, on a changé notre défense. Celle que l'on propose désormais est plus agressive. On prend plus de risques. Ce soir, le problème est que les arbitres ne laissaient rien passer et que les fautes se sont accumulées. Mais ça permet aussi à l'effectif de tourner. Heureusement quand même qu'on a eu vingt points d'avance car on termine avec le banc ! Mais le rythme qu'on prend en défense nous aide bien car il nous permet de développer notre système offensif. C'est notre atout depuis quinze jours. Mais il est temps que Tarvis arrive, ça va nous faire souffler. Offensivement, il nous apportera moins que Chris Grimm, mais en défense il est extrêmement intimidant. »

BENJAMIN RECOURA '' Dur à la fin ''

« Je me sentais bien en jambes ce soir, malgré mon souci au talon. C'est une belle victoire d'équipe. Olivier Kolb a fait un gros boulot, mais on l'a bien servi aussi. Avec la moitié de l'effectif à cinq fautes, c'est dur à la fin, mais cette victoire fait vraiment du bien. Maintenant, il ne faut pas se louper le week-end prochain à domicile face à Souffelweyersheim. »

le point

Ouf !

Heureusement que l'ADA s'est imposée à Saint-Chamond samedi, car les autres résultats ne lui auraient pas été favorables. En cas de défaite, elle se serait retrouvée à la 13 e place, avec le même nombre de points que Le Puy, qui aurait alors été premier relégable ! Mais elle est bien en 8 e position aujourd'hui (32 pts), à 3 pts du 3 e (Angers). En haut du tableau, Bordeaux semble intouchable (39 pts). La surprise du jour : la victoire de Roche-la-Molière à Saint-Quentin (62-73).

le chiffre

10

C'est le nombre de passes décisives adressées par Pierre Brochard samedi soir à Saint-Chamond. Cette statistique de tout premier plan lui permet, une nouvelle fois, de figurer comme meilleur passeur de la division, sur la journée bien sûr, mais aussi depuis le début de la saison. Mais samedi, ses statistiques ne se sont pas limitées aux passes décisives : 13 pts, 4 rebonds, 4 fautes provoquées, 2 interceptions.

Pierre Hénault

Le 7 fevrier 2011

Nationale 1 masculine / Après BCS - Bayonne (77-71)

Le seigneur des anneaux

Le très aérien Jaques Alingue a largement participé au succès du BCS. (Photo archives DNA - Alain Destouches)

Fan absolu des Los Angeles Lakers, Jacques Alingue a, toutes proportions gardées, un petit trait de ressemblance avec son idole Kobe Bryant. Dès lors qu'il prend une impulsion, l'intérieur souffelois n'est jamais loin de plonger ses adversaires dans un profond traumatisme psychique. Rencontre avec un spécialiste du dunk et du contre en haute altitude.

Pour résumer à quel point la réception de Bayonne constituait un match charnière, l'intendant du BCS, Olivier Schann, a trouvé une jolie formule samedi soir : « Si on ne gagne pas, on aura un pied dans le sable mouvant. » Jacques Alingue, lui, a retrouvé deux jambes libres comme l'air. Handicapé par une béquille au mollet gauche subie sur le parquet de Challans le 15 janvier, l'intérieur souffelois a aujourd'hui réintégré la plénitude de ses moyens. Les ultimes doutes à ce sujet se sont évaporés, samedi soir, dans la folie d'une confrontation au couteau, qui a abouti à un exemple de « constance » et de « maîtrise collective sur 40 minutes », dixit le coach Stéphane Éberlin.

« Je ne sais pas d'où vient cette détente »

Le moins que l'on puisse dire, c'est que Jacques Alingue a apporté un coup de pinceau inspiré à l'oeuvre souffeloise (10 points, 5 rebonds, 13 d'évaluation), notamment en première mi-temps. « Franchement, ça va beaucoup mieux, confie le jeune Tchadien de 22 ans. Je ne ressens plus aucune douleur. » Les amateurs d'actions aériennes, de dunks et autres contres venus d'une autre planète, retrouveront, avec lui, le sourire. Tenter un alley-oop sur une remise en jeu, c'est normalement l'assurance de perdre le ballon. Avec Jacques Alingue, on peut s'y risquer, sans hésiter à opter pour une passe (très) haute.

Il ira la chercher, à une main s'il le faut... « Je ne sais pas d'où vient cette détente, je ne l'ai jamais vraiment travaillée, assure l'étudiant en mathématiques. Beaucoup de basketteurs possèdent d'énormes qualités athlétiques au Tchad. Mais ils manquent de fondamentaux. » Jacques Alingue les a acquis en France : à Haguenau, en Nationale 3, durant l'exercice 2008-2009 ; au BCS, ensuite, où l'ailier fort boit les consignes de Stéphane Éberlin comme paroles d'évangile. « Il veut tirer le maximum de nous tous, constate le joueur. Il adapte ses entraînements et quand il a quelque chose à dire, il ne s'en prive pas. Pour ma part, je dois travailler mon adresse aux lancers-francs, qui ne sont pas ma tasse de thé. »

« Le basket ne représentait pas du tout un projet »

Aussi vrai qu'il aime déployer ses ailes en match, l'intérieur bas-rhinois n'en garde pas moins les pieds sur terre. « A la base, le basket ne représentait pas du tout un projet, susurre-t-il. Je jouais simplement au street avec des potes... Si j'ai la possibilité d'aller plus haut, j'irai, mais je suis aussi conscient qu'une carrière de sportif ne dure pas éternellement. J'ai choisi de continuer mes études. A mon sens, ce n'est pas une si mauvaise idée. » Jacques Alingue ne se contente pas de prendre son envol. Il s'épargne également tout risque de mauvaise chute...

Amaury Prieur

Palais des Sports4 rue du Plessis

41000 BloisTélephone : 02.54.78.01.50

Capacité : 1000

Couleur des maillots

ADA BLOIS BASKET 41

27, rue des Ecoles 41000 BLOIS

Fax : 0254550987 Tél bureau : 0254559993

email : [email protected]

Président

DAUDIN PHILIPPE 30 AVENUE DES NOELS

41350 VINEUIL email : [email protected]

Correspondant

BONAMY FABRICE 27 rue des ecoles

41000 BLOISTél. : 0254559993 Fax : 0254550987

Port. : 0661447885 0672582749 email : [email protected]

Site Web : www.ada-basket.com

mailto:[email protected]

DEMAN ALEXANDRE (444.00 kms)

AIT BARI AHMED (293.00 kms)

Rue des Sept Arpents 67460 Souffelweyersheim – 4 Rue du Plessis 41000 Blois

Distance 633 km

ALLER / RETOUR : 1266 km

Blois, ville d’art et d’histoire

En 1986, Blois reçoit le label « Ville d’art et d’histoire », appellation décernée par le Ministère de la Culture aux villes s’engageant à valoriser et à protéger leur patrimoine. La convention liant l'État et la collectivité locale par le label a été reconduite en 2010.

Le Label « Ville d'art et d'histoire » garantit la qualité des visites et des animations par la compétence de guides agréés et par la qualité scientifique de l'animateur du patrimoine et de l'architecture, responsable du service Ville d'art et d'histoire. Inscrite dans ce réseau national de 147 villes, Blois s’est ainsi engagée à mieux sensibiliser les habitants à leur cadre de vie, promouvoir un tourisme de qualité, engager des actions auprès du jeune public et contribuer au rayonnement de son image.

À travers la ville, vieille de plus de 1 000 ans, vous découvrirez une histoire illustrée par un riche patrimoine : maisons à pans de bois, hôtels particuliers de la Renaissance, palais épiscopal du XVIIIe siècle, urbanisme du XIXe siècle, patrimoine industriel représenté par la chocolaterie Poulain et un patrimoine ligérien valorisé par l'inscription du Val de Loire au patrimoine mondial de l'UNESCO

Le Château royal de Blois est l'unique exemple de l'évolution architecturale française. Du Moyen-Âge jusqu'aux temps modernes, c'est à travers la Salle des États, la façade des Loges et l'aile Gaston d'Orléans que vous pourrez appréhender les grandes périodes de l'histoire française : la puissance des comtes de Blois à l'époque médiévale, le départ de Jeanne d'Arc pour délivrer Orléans, la magnificence de la cour royale à la Renaissance.

Pour découvrir le patrimoine blésois, et durant toute l'année, le service Ville d'art et d'histoire propose des visites thématiques commentées par des guides conférenciers, une signalétique patrimoniale, des parcours balisés par « des petits clous ! », et des publications « Laissez-vous conter... » disponibles gratuitement à l'office de tourisme.

Le service pédagogique Ville d'art et d'histoire, en collaboration avec les enseignants, propose au jeune public de s’initier à l’architecture, à l’urbanisme et au patrimoine par des visites générales ou thématiques comme « L'habitat à la Renaissance », « Blois Memory » et par des ateliers d’initiation au montage d'une voûte d'ogives ou à des techniques artisanales comme celui du vitrail.

Chaque année, la Ville de Blois participe aux rendez-vous annuels des Journées européennes du patrimoine, le 3e week-end de septembre, l'occasion pour les habitants et les visiteurs de découvrir le patrimoine blésois de manière insolite.

Duc de Guise

Duc de GuiseHenri Ier de Guise, dit le Balafré, est né le 31 décembre 1549 et assassiné le 23 décembre 1588 au Château de Blois. D'abord prince de Joinville, puis duc de Guise (1563) et pair de France, comte d'Eu et Grand Maître de France. Il est l'un des bénéficiaires politiques de la Saint-Barthélemy en 1572, chef de la Ligue catholique (1576) durant les guerres de Religion en France. Très populaire, il devint le maître de Paris après la journée des Barricades (12 mai 1588). Il fut assassiné sur l'ordre d'Henri III lors des États Généraux de Blois.

Catherine de Médicis

Catherine de MédicisCatherine de Médicis est née le 13 avril 1519 à Florence (Italie), et morte le 5 janvier 1589 à Blois (France). Fille de Laurent II de Médicis (1492-1519), duc d'Urbino, et de Madeleine de la Tour d'Auvergne (1495-1519), elle grandit en Italie d'où elle est originaire par son père. Par son mariage avec le futur Henri II, elle devient Dauphine et duchesse de Bretagne de 1536 à 1547, puis reine de France de 1547 à 1559. Mère des rois François II, Charles IX, Henri III, des reines Élisabeth (reine d'Espagne) et Marguerite (dite « la reine Margot »), elle gouverne la France en tant que reine-mère et régente de 1560 à 1564. Elle réside souvent à Blois avec la cour.

Catherine de Médicis est une figure emblématique du XVIe siècle. Son nom est irrémédiablement attaché aux guerres de Religion. Partisane de la tolérance civile, elle a, de nombreuses fois, tenté une politique de conciliation.Catherine de Médicis est aussi une mécène exceptionnelle qui a financé de nombreux chantiers de construction et a protégé de nombreux artistes français.Une légende noire persistante la dépeint comme une personne austère, jalouse du pouvoir, ne reculant devant aucun crime pour conserver son influence. Aujourd'hui, la tendance tend à la réhabiliter, voire à reconnaître en elle une des plus grandes reines de France.

Henri III

Henri IIIHenri III (19 septembre 1551 à Fontainebleau - 2 août 1589 à Saint-Cloud) est roi de France de 1574 à 1589. Quatrième fils d'Henri II, roi de France et de Catherine de Médicis, il est dans un premier temps, baptisé sous le prénom d'Alexandre-Édouard, et titré duc d'Angoulême. En 1560, à l'avènement de son frère Charles IX, il devient duc d'Orléans. Il prend lors de sa confirmation à Toulouse, en 1565, le prénom de son père : « Henri ». Le 8 février 1566, il devient duc d'Anjou.Le 11 mai 1573, il est élu roi de Pologne. Il règne sur la Pologne du 11 mai 1573 au 12 mai 1575. Le 30 mai 1574, son frère Charles IX étant mort, il quitte la Pologne en catimini pour le trône de France. Il est sacré à Reims le 13 février 1575 sous le nom d'Henri III et, le 15 février, il épouse Louise de Lorraine.

En montant sur le trône de France, Henri III a hérité d'un royaume divisé où son autorité n'est que partiellement reconnue. Son règne est marqué par de sérieux problèmes religieux, politiques et économiques. En 1576 et 1588, il convoque par deux fois les États Généraux à Blois où il fait assassiner son rival le duc de Guise. Henri III doit faire face à des partis politiques et religieux soutenus par des puissances étrangères, qui finissent par venir à bout de son autorité, le parti des Malcontents, le parti des protestants et pour finir celui de la Ligue qui parvient à le faire assassiner. Il meurt à Saint-Cloud le 2 août 1589 après avoir été poignardé par le moine Jacques Clément.

François Ier

François IerFrançois Ier (1494 – 1547), est sacré roi de France le 25 janvier 1515 dans la cathédrale de Reims, et règne jusqu’à sa mort en 1547. Fils de Charles d’Angoulême et de Louise de Savoie, il appartient à la branche des Valois-Angoulême. François Ier est considéré comme le monarque emblématique de la période de la Renaissance française. Son règne permet un développement important des arts et des lettres en France. Il entreprend la construction du Château de Blois et de Chambord, puis de Fontainebleau. Sur le plan militaire et politique, le règne de François Ier est ponctué de guerres et d’importants faits diplomatiques. Il a un puissant rival en la personne de Charles Quint et doit compter sur les intérêts diplomatiques du roi Henri VIII d’Angleterre toujours désireux de se positionner en allié de l’un ou l’autre camp.Au plan intérieur, son règne coïncide, en effet, avec l'accélération de la diffusion des idées de la Réforme. François Ier introduit une série de réformes touchant à l'administration du pouvoir et en particulier à l'amélioration du rendement de l'impôt, réformes mises en œuvre et poursuivies sous le règne de son successeur Henri II.

Louis XII

Louis XIILouis XII, né le 27 juin 1462 au Château de Blois, mort le 1er janvier 1515 à Paris, surnommé le « Père du peuple » par les États généraux de 1506, est roi de France de 1498 à 1515. Il épouse en deuxièmes noces, en 1499, Anne de Bretagne (1477-1514), veuve de Charles VIII, fille du duc François II de Bretagne et de Marguerite de Foix. Il réside souvent au Château de Blois qui l'a vu naître et où il construit l'aile qui porte son nom. Son règne est marqué par les guerres d'Italie, qui s'achèvent avec la défaite de Novare en 1513 et, au plan intérieur, la réforme de la justice et des impôts.

Gaston d'Orléans

Gaston d'OrléansNé le 24 avril 1608 à Fontainebleau, mort le 2 février 1660 à Blois, il est le troisième fils d'Henri IV (1553-1610) et de Marie de Médicis. Frère du roi Louis XIII, Gaston est titré duc d'Anjou, comme plus proche héritier du trône, il est aussi appelé Monsieur (titre conféré au frère du Roi), puis (à partir de 1643) le Grand Monsieur par opposition au Petit Monsieur, Philippe, son neveu, frère de Louis XIV.

En 1626, Gaston accepte à regret d'épouser Marie de Bourbon, duchesse de Montpensier que lui impose Richelieu. Il reçoit alors en apanage les duchés d'Orléans et de Chartres, augmentés du comté de Blois. De ce mariage naît, l'année suivante, Anne Marie Louise d'Orléans de Montpensier, future Grande Mademoiselle. En 1635, de retour d'exil, Gaston s'installe à Blois où il entreprend la construction d'un nouveau château dessiné par François Mansart ; seule une aile a été réalisée.

Cultivé et raffiné, mais velléitaire et inconstant, Gaston de France passa sa vie à conspirer, d'abord contre son frère et le cardinal de Richelieu, puis contre sa belle-sœur Anne d'Autriche et le cardinal Mazarin. Ces conspirations échouèrent toujours, faute de réel projet politique. Gaston dénonça souvent ses complices, puis les vit périr (D'Ornano, Chalais, Montmorency et Cinq-Mars).

En 1638, la naissance inespérée d'un dauphin (le futur Louis XIV) le prive du rang de premier héritier de la couronne. Il perd son crédit financier et ne peut poursuivre la reconstruction du Château de Blois qu'il a entreprise.Louis XIII mourant le nomme gouverneur et lieutenant-général du Languedoc. À la mort de Louis XIII, Gaston de France est nommé lieutenant-général du royaume et chef des conseils sous l'autorité de la reine, pendant la minorité de Louis XIV. Pourtant, Anne d'Autriche s'impose au Parlement de Paris et prend les rênes du pouvoir. Gaston participe à la Fronde, et Mazarin le fait exiler dans son Château de Blois en 1652, où il meurt en 1660.

Anne de Bretagne

Anne de BretagneAnne de Bretagne, née le 25 janvier 1477 à Nantes, morte le 9 janvier 1514 à Blois, est duchesse de Bretagne. Elle était la fille de François II (1435-1488), duc souverain de Bretagne, et de sa seconde épouse Marguerite de Foix (v. 1449-1486), princesse de Navarre. Elle épouse en deuxièmes noces Louis XII, le 8 janvier 1499. Elle réside le plus souvent à Blois. De ce mariage naît Claude de France (1499-1524), duchesse de Bretagne et reine de France (1515-1524) par son mariage en 1514 avec François Ier. Elle est un enjeu central dans les luttes d’influence qui aboutiront après sa mort à l’union de la Bretagne à la France.

Claude de France

Claude de FranceNée le 13 octobre 1499 à Romorantin, morte le 20 juillet 1524 à Blois, Claude de France, fille du roi Louis XII et d'Anne, duchesse de Bretagne, fut duchesse de Bretagne et la première épouse du roi François Ier. Claude épouse le 8 mai 1514 son cousin le comte d'Angoulême, futur François Ier, lui assurant la Bretagne au moins, au cas où Louis XII et la nouvelle reine, Marie d'Angleterre auraient conçu un dauphin.

Demeurée toute sa vie dans l'ombre de son époux François Ier, auquel elle donne sept enfants, elle dut lutter contre sa belle-mère, Louise de Savoie, qui avait obtenu la mainmise sur les affaires de l'État. Elle gouverna son duché de Bretagne avec la même ardeur que sa mère, Anne de Bretagne. Également comtesse de Blois, elle a probablement supervisé la construction de l'aile François Ier du Château.

Jean-Eugène Robert-Houdin

Jean-Eugène Robert HoudinJean-Eugène Robert-Houdin (7 décembre 1805 à Blois - 13 juin 1871 à Saint-Gervais-la-Forêt) est le plus célèbre illusionniste français du XIXe siècle, le « rénovateur de l'art magique ». Considéré comme le plus grand illusionniste et prestidigitateur de tous les temps, à l'origine de presque tous les « grands trucs » de la magie actuelle, c'était aussi un grand constructeur d'automates. Il mourut le 13 juin 1871 à Saint-Gervais-la-Forêt, près de Blois.

Denis Papin

Denis PapinDenis Papin (22 août 1647 - vers 1712) est un physicien, mathématicien et inventeur français. Il est connu pour ses travaux sur la machine à vapeur. Né dans les environs de Blois, dans le petit village de Chitenay, et issu d'une famille bourgeoise, Denis Papin suit les cours d'une école de jésuites, avant d'étudier à l'université d'Angers et de décrocher un diplôme de médecine tout en montrant des dispositions et un intérêt prononcé pour la physique. Reçu docteur vers 1669, on le retrouve deux ans plus tard comme curateur auprès de Christian Huygens, qui dirige alors l'Académie des Sciences, au Louvre. En 1673, il travaille auprès de Gottfried Leibniz, du même âge que lui, qui restera son ami et son correspondant. Chassé en Angleterre par la révocation de l'édit de Nantes, il réalise sa « marmite » pour laquelle il imagine la soupape de sûreté. Puis parti résider à Kassel en Allemagne, il établit le principe de la machine à vapeur à piston (1697). Oublié il mourut dans la misère en Angleterre.

Abbé Grégoire

Abbé GrégoireHenri Grégoire, également appelé l'abbé Grégoire, né le 4 décembre 1750 et décédé le 28 mai 1831 à Paris, est un prêtre, ecclésiastique catholique, et homme politique français, l'une des principales figures de la Révolution française. En 1788, il se fait remarquer par un écrit intitulé, l’Essai sur la régénération physique, morale et politique des Juifs, ouvrage qui prône la tolérance civile et religieuse. Élu député du clergé aux Etats-Généraux, il est un des membres du clergé qui prête le serment du jeu de Paume, et il contribue par la suite à la réunion du bas clergé au Tiers-état.

En 1790, il devient président de la société des Amis des Noirs, et il est, en décembre, le premier à voter la Constitution civile du clergé. Élu en 1791 évêque conventionnel du Loir-et-Cher (Blois), il siège à la Convention, et défend avec persévérance la tolérance et la liberté. Promoteur de l’abolition de la royauté, il refuse de voter la mort du roi. Membre du comité d’instruction publique, il prend une grande part aux créations de ce comité, tels l’Institut national, le Conservatoire des Arts et Métiers et le bureau des longitudes. C’est lui qui est à l’origine du décret du 28 septembre 1791 qui accorde aux juifs leurs droits. Il est également un des principaux promoteurs du décret qui abolit l’esclavage le 4 février 1794.

En 1795, il est élu membre du Conseil des Cinq Cents, où il siège jusqu’en 1798. En février 1795, il obtient que soit proclamée la liberté des cultes. En 1798, il quitte le conseil des Cinq-Cents et est nommé bibliothécaire de l’Arsenal. Membre du Corps législatif en 1800, il est nommé au Sénat en décembre 1801.Sénateur en 1801, il fait partie de l’opposition : il refuse d’accepter le Concordat et vote contre le consulat à vie, l’établissement de l’Empire, contre le rétablissement de la noblesse. Sous l’Empire, son Histoire des sectes religieuses au XVIIIe siècle fut interdite. Élu par le département de l’Isère en 1819 à la Chambre, son élection est invalidée. Il est mort à Paris le 28 mai 1831.

Auguste Poulain

Auguste PoulainAuguste Poulain est né à la ferme des Bordes près de Pontlevoy le 11 février 1825. En 1834, à 9 ans, il quitte la ferme familiale et se fait employer comme épicier à Bléré, puis en 1837, il se fait embaucher à Blois chez un autre épicier avant de partir pour Paris travailler dans une épicerie de luxe tenue par M. Leguerrier qui fabriquait lui-même son chocolat.En 1847, Auguste Poulain s’installe à son compte comme confiseur-chocolatier à Blois, 68 Grande Rue, maison dans laquelle était né le prestidigitateur Robert Houdin. Aidé par sa femme, il vend lui-même le chocolat qu’il fabrique. Dès 1848, Auguste Poulain lance sa propre marque. En 1852, il dépose un brevet de fabrication.

En 1856, Poulain change de boutique et s’installe aux 8 et 10 de la rue Porte-Chartraine. Au 3 du Lion Ferré, il installe ses ateliers.De 1862 à 1864, c’est la construction de l’usine de la Villette, en dehors des barrières de la ville, entre la gare inaugurée depuis peu et le château qui n’était qu’une caserne.Albert Poulain, son fils, s'est associé à son père à partir de 1874. Il prend la direction de l’entreprise familiale de 1880 à 1893 et contribue à agrandir l’usine en achetant de nouveaux terrains et en construisant d’autres usines.

Visiter Blois

Ville à taille humaine de 50 000 habitants (92 000 à l'échelle de l'agglomération), Blois cultive douceur et qualité de vie, dynamisme économique et universitaire, richesse de la vie associative, culturelle et sportive. Dotée d'un environnement naturel et architectural exceptionnel le long de la Loire, la métropole blésoise est traversée par le fleuve, ce qui la place au cœur du périmètre classé depuis dix ans au Patrimoine mondial de l'Unesco au titre de « Paysage culturel ». Elle joue un rôle d'équilibre entre Orléans et Tours et a de quoi être fière de ses atouts.

Le Château royal de Blois, résidence des rois et reines de France

Site incontournable du Val de Loire, le Château royal de Blois présente un véritable panorama de l’architecture et de l’histoire des châteaux de la Loire.Demeure de 7 rois et 10 reines de France, le Château royal de Blois est un lieu évocateur du pouvoir et de la vie quotidienne de la Cour à la Renaissance, comme en témoignent les appartements royaux, meublés et ornés de magnifiques décors polychromes.

Avec quatre ailes de styles différents, sa richesse architecturale fait écho à la diversité des nombreux châteaux construits en Val de Loire du Moyen Âge au XVIe siècle. La salle des États généraux est ainsi la plus grande salle civile gothique du début du XIIIe siècle visible en France. La première moitié du XVIe siècle marque l’apogée du château sous les règnes fastueux de Louis XII et François Ier, qui reconstruisent le château au goût de la Renaissance. L’aile François Ier et notamment son célèbre escalier à vis constituent à coup sûr la partie la plus célèbre du château. Enfin, l’aile Gaston d’Orléans, conçue vers 1635 par François Mansart, est un chef-d’œuvre de l’architecture française.

À partir des années 60, de nombreux films ou téléfilms sont tournés dans le cadre du prestigieux château de Blois. « L’exécution du duc de Guise » en 1971 est un exemple phare car cet événement est le plus célèbre de l'histoire du château : son assassinat a été ordonné le 23 novembre 1588 par l'ordre d'Henri III, son rival politique lors des États Généraux de Blois.

Labellisé Musée de France et riche de plus de 30 000 œuvres, le Château royal de Blois présente une partie de ses collections dans les appartements royaux de l’aile François Ier, au Musée des Beaux-Arts installé dans l’aile Louis XII, ainsi qu’à l’occasion d’expositions temporaires.

Son et lumière, “Ainsi Blois vous est conté”

Prenez place au cœur de l’action ! Un festival d’effets spéciaux sonores et de projections géantes épousent l’architecture grandiose de la cour du Château. Les voix de Robert Hossein, Pierre Arditi, Fabrice Lucchini, sur un texte écrit par Alain Decaux, vous racontent les amours, les drames et les mystères du Château qui ont façonné l’histoire de France. Un spectacle unique et inoubliable !

Escrime et musique ancienne

Pendant l’été, la cour du Château s’anime des combats d’escrime : bretteurs et spadassins s’affrontent et vous font revivre l’âge du duel, mêlant sur scène théâtre, combat et musique ancienne.

Maison de la Magie : entrez dans l’univers des illusions !

Lieu de spectacle, musée et site interactif sur les arts de la magie, la Maison de la magie n’a pas fini de vous étonner !

Avant d’entrer, découvrez aux fenêtres le dragon à 6 têtes, gardien du temple magique. Initiez-vous ensuite aux arts magiques sur plus de 2 000 m² et 5 niveaux : automates, jeux d’optique, grandes illusions, histoire de la magie, vie et œuvre de Robert Houdin, théâtre des Soirées fantastiques avec animations et magiciens, l’hallucinoscope imaginé et créé par Gérard Majax, sans oublier un véritable spectacle de magie alliant grandes illusions et effets magiques !La Maison de la magie, c’est aussi :

* Des ateliers découverte pour les enfants et les familles, ainsi que pour les scolaires

* Des initiations à la pratique magique

* Un centre de formation aux arts magiques, en relation avec le C.I.P.I. (Centre International de la Prestidigitation et de l’Illusion)

* Des spectacles de magie différents tout au long de l’année.

Ben fait le mur

Passage incontournable à BloiMur de Bens, le mur de Ben se situe entre les salles de classe et les ateliers des écoles de musique et d’art. L'artiste écrit la vie avec « Le mur des mots ». Il s’agit d’une commande publique de la Ville de Blois et du Ministère de la Culture et de la Communication passée à Benjamin Vautier et inaugurée en 1995.

L’artiste y a rassemblé ses principaux tableaux-écritures des années 1960 aux années 1990, reproduits sur près de 300 plaques émaillées fixées sur une des façades. Sur ce mur de 30 mètres de long et 12 mètres de haut, Ben multiplie les sentences sur l’art, la vie, les choses... Fervent défenseur des langues minoritaires en France et dans le monde, Ben considère chaque idiome comme une vision singulière, les mots véhiculant des idées, des cultures. Avec « Le mur des mots », il interpelle et réveille le passant, le visiteur pour qu’il reste en éveil, s’interroge, doute de toutes les certitudes. Les mots comme matière première de la création artistique…

Installé dans le couvent des Jacobins, le Muséum d’histoire naturelle propose au public et aux scolaires :Une exposition permanente “Le blésois, carrefour de régions naturelles”

Richesses naturelles et diversité, le blésois est un concentré de nature à découvrir au fil de la Loire. De la plaine de Beauce aux étangs de Sologne, en passant par landes et forêts, retrouvez les animaux et leur milieu. Tel un naturaliste, prenez le temps de vous pencher pour découvrir le menu nocturne de la chouette, la multitude microscopique qui peuple la litière de nos forêts, ou la vie cachée sous l’écorce d’un vieux chêne.

Soyez curieux de nature et attentif au monde discret qui nous entoure.

Diaporama, modules interactifs, maquettes, jeux, animations audiovisuelles, permettent à tous, petits et grands de comprendre la complexité et la fragilité de notre environnement.

Des expositions temporaires artistiques, scientifiques et/ou ludiques…Des activités pédagogiques avec visites thématiques, en lien avec un projet de classe ou d’école peuvent y être organisées.

Une collection unique d’art contemporain

Inauguré en 1996, le Musée de l’Objet - Collection d'art contemporain présente une collection privée prêtée à la Ville de Blois pour une période de quinze ans. 50 artistes français et étrangers, parmi lesquels Dali, Man Ray, César, Arman, Ben, Raynaud, Paik, Isou, Kosuth, Baquié, Vilmouth, Cragg…, se sont emparés d’objets du quotidien pour les métamorphoser, donnant vie à plus de 120 œuvres.

Au fil du parcours, on retrouve les grands mouvements qui ont jalonné l’art du XXe siècle : Dada, Surréalisme, Lettrisme, Nouveaux Réalistes, Objecteurs, Fluxus, Art conceptuel, Nouvelle sculpture anglaise…

Un programme d’expositions temporaires, de visites guidées, de projets pédagogiques et de rencontres est proposé aux publics. Les visites guidées pour les groupes sont sur rendez-vous.Le Musée assure également une mission de développement du réseau des acteurs des arts plastiques en région Centre (information, promotion, projets communs, rencontres…).

Le musée de la Résistance, de la déportation et de la Libération en Loir-et-Cher, créé en 1995 à l’initiative d’anciens déportés et résistants du département, fait revivre avec force toute l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale.

Grâce aux nombreux documents et objets d’époque présentés au fil de 8 salles thématiques, nous assistons à la naissance de la Résistance intérieure et extérieure soutenue par les alliés, partageons les conditions de la vie quotidienne durant l’occupation, mais aussi l’engagement et l’espoir des Loir-et-Chériens jusqu’à la libération.

Le musée diocésain présente des collections variées : statuaire (pierre et bois, du XVe au XIXe), une importante collection d'orfèvrerie liturgique, dont le ciboire de Vendôme (XVIe, argent), des collections de reliquaires, de paperolles XVIIIe (rares) et un remarquable ensemble de paramentiques provenant du Carmel de Blois : chasubles et antependium brodés au fil d'or vers 1660.

Le musée conserve aussi bien les œuvres dont l'intérêt artistique est évident que des objets sans valeur marchande importante, mais témoins de la piété populaire au fil du temps.La bibliothèque du musée renferme des incunables, des manuscrits enluminés (XVe) et, par exemple, un ouvrage du XVIe dont la tranche est gravée aux armes des Médicis.

Des collections très intéressantes, donc, que l'exiguïté des Jacobins ne permet pas de présenter en totalité.L'exposition actuelle : "L'or du ciel" axe l'attention du visiteur sur l'orfèvrerie liturgique en offrant un parcours dans les formes des calices, ciboires, ostensoirs, encensoirs, navettes, pixides, du XVe à nos jours.

Lieux publics

* Château royal de Blois

Labellisé Musée de France et riche de plus de 35 000 œuvres, le Château Royal de Blois présente une partie de ses collections dans les appartements royaux de l’aile François 1er, au Musée des Beaux-Arts installé dans l’aile Louis XII, ainsi qu’à l’occasion d’expositions temporaires.

* Hall de l’Hôtel de Ville

La Ville met à disposition le hall de l’Hôtel de Ville pour permettre l’exposition d’œuvres d’artistes locaux.

* Bibliothèques de Blois

Dans le cadre d’événements blésois, les bibliothèques de Blois proposent des expositions thématiques (Rendez-Vous de l’Histoire, BD Boum…).

* « Expo 41 »: la culture en pleine lumière

Avec « Expo 41 » (anciennement nommée « Maison du Loir-et-Cher »), le Conseil général dispose d’un espace d’exposition en accès libre. Le public peut y découvrir les œuvres de peintres, sculpteurs ou photographes du département.

* Hall du Conseil général

Le Conseil général expose régulièrement des artistes locaux dans son hall d’accueil.

Lieux privés

* Galerie CARLA MILIVINTI

Carla Milivinti fut journaliste critique d'art. Durant sa carrière de galeriste, elle est allée à la rencontre de nombreux artistiques régionaux tout en prenant conscience du potentiel créatif de peintres et sculpteurs comme Jean-Gilles Badaire, Gérard Beaucousin, Paul Balme, Jean-Pierre Renard, Éric Ballaiche, ou encore Raphaël Avenant qui fut le premier exposant de sa nouvelle galerie professionnelle d'exposition et vente d'art contemporain à Blois. 6 à 7 expositions-vente y sont accueillies par an.

* Mixgraphik

Mixgraphik est un studio de création graphique intégrant une production photo et accueillant des expositions d'artistes plasticiens.

Balades en bateau traditionnel sur la Loire

Naviguez en bateau traditionnel au cœur de Blois avec l’Observatoire Loire, association d’éducation à l’environnement (environ 1 heure). Au rythme des mariniers, accompagné d’un guide expérimenté, venez admirer le patrimoine architectural, culturel et naturel de Blois. Observez la faune ligérienne : sternes, gravelots, aigrettes et autres oiseaux séjournant sur le fleuve royal. Au milieu du circuit, une petite halte aux abords d’une île vous permettra de repérer les traces du castor, le plus gros rongeur d’Europe.

Publics et périodes : de mars à novembre pour les groupes (comités d’entreprise, scolaires, centres de loisirs...) et de mai à octobre pour les individuels.

La Loire à vélo

La Loire à VéloLa Loire à vélo à Blois, Chambord et leurs environs, ce sont 13 boucles et 400 kilomètres de chemins, de pistes et de petites routes cyclables balisés, pour vous permettre de découvrir le territoire et les châteaux à vélo.Prenez le temps de partir à la découverte des prestigieux châteaux de Blois, Chambord et Cheverny, mais aussi des villages et du patrimoine naturel ligériens.

Ces itinéraires sont conçus pour une pratique familiale et sans difficulté.

L’itinéraire de la Loire à vélo s’intègre à l’EuroVélo 6, appelée “Eurovéloroute des fleuves”, qui permettra de relier, à vélo, la façade atlantique à la Mer Noire, en longeant les fleuves (Loire, Rhin, Danube) à travers 10 pays sur 3 650 kilomètres.

Les p'tits clous : découvrir Blois à piedCircuit des Ptits clousLes p’tits clous, ce sont quatre circuits piétonniers de Blois, balisés de clous de bronze, pour comprendre et découvrir un savoir-vivre à la française sur près d’un millénaire !

Chaque circuit, organisé en boucle et d’une longueur de 2 kilomètres environ, vous permet de partir à la découverte d’un quartier de Blois.

Quatre signes distinctifs représentent les différentes promenades et convergent vers le centre-ville :

* Le circuit du porc épic (2 km) : emblème de Louis XII, le porc épic vous conduira vers les quartiers du château et les jardins royaux.

* Le circuit des flèches de l’abbatiale Saint-Nicolas (1,8 km) vous fera découvrir le quartier pittoresque des étudiants autour des anciennes abbayes.

* Le circuit de la fleur de lys vous emmènera dans le quartier ancien du Puit-Châtel, où se concentrent les hôtels particuliers d’époque Renaissance.

* Le circuit de la gabarre, quartier rive gauche, offre quant à lui, les plus beaux points de vue sur la ville.

Blois en segway

Découvrez de nouvelles sensations de plaisir et de liberté grâce au gyropode Segway, véhicule électrique auto-équilibré, intuitif et ludique.Au départ de la place Louis XII, aux pieds des escaliers du Château, partez à la découverte de Blois au cours d’une balade accompagnée de 2 heures à travers les ruelles et monuments de la cité. Vous pourrez admirer le panorama exceptionnel sur la Loire et la ville du haut des Jardins de l'Évêché, et découvrirez les lieux chargés d'Histoire : le Château royal, la Maison de la magie, la cathédrale St Louis, l'église St Nicolas, la Roseraie, la scène nationale de la Halle aux Grains…Au terme de cette visite, Blois n'aura plus aucun secret pour vous !

* Balades accompagnées de 2 heures, initiation incluse (groupes de 4 à 10 personnes maximum).

* À partir de 12 ans.

* Période estivale : chaque jeudi à 18h30 au départ de la place Louis XII, sur réservation.

* Hors saison : tous les jours sur réservation

Montgolfières

Portez un autre regard sur Blois et la vallée de la Loire ! Laissez-vous porter et touchez du doigt les nuages ! Vous apprécierez la liberté et la légèreté que procure la montgolfière. Ni vertige ni mal de l’air, cette merveilleuse aventure est à la portée de tous.Vols au départ de Blois.

Balades en attelage

Vieux BloisDécouvrez les vieux quartiers de la ville et les bords de Loire autour du château de Blois, au rythme tranquille d’un attelage de percherons. Les circuits durent 25 minutes.

Blois : ville royale au cœur du patrimoine mondial de l’UNESCO

Inscrit au patrimoine mondial de l’humanité depuis novembre 2000, le Val de Loire représente le site le plus vaste inscrit en France, avec 800 Km² de superficie. De Sully-sur-Loire dans le Loiret, à Chalonnes-sur-Loire en Anjou, le Val de Loire suit le fleuve royal sur 280 Km. Outre la Loire et les paysages naturels ligériens, le périmètre retenu par l’UNESCO intègre le cœur historique des grandes villes, dont la ville royale de Blois.

Construite de part et d’autre du fleuve, Blois a su mettre en valeur ses bords de Loire pour que Blésois et touristes en bénéficient au fil des saisons. Rive gauche, le port de la Creusille, aménagé en parc et espace de loisirs, accueille ainsi une guinguette et divers spectacles et animations théâtrales durant l’été. Il est également le point de départ de balades pédestres et cyclables au long du fleuve, mais aussi lieu de rendez-vous de l’Observatoire Loire pour partir découvrir la Loire en bateau traditionnel. Rive droite, les bords de Loire ont également été aménagés pour offrir des espaces de promenade aux piétons. Pour découvrir la Loire sous un “autre jour”, ne ratez pas le feu d’artifice du 14 juillet : tiré depuis le port de la Creusille, il se reflète à la nuit tombée sur la Loire, offrant à tous un spectacle grandiose !

Les jardins de l’ancien Évêché

La création du diocèse de Blois en 1697 a conduit à la construction d’un splendide palais épiscopal classique, actuelle mairie de Blois, entouré de vastes jardins surplombant la Loire. À cet emplacement, se trouvaient autrefois les salles de “jeu de paume”, ancêtre du tennis, très en vogue quand la Cour était à Blois.Les jardins de l’Évêché ont été réaménagés en 1991 et accueillent une roseraie, un jardin des sens et un jardin aromatique :

La Roseraie

Située sur la terrasse basse des jardins de l'Évêché, la roseraie décline couleurs et parfums dès le printemps. Ses concepteurs, Arnaud Maurières et Eric Ossart, ont en effet fait appel à deux spécialistes pour choisir les meilleures variétés de roses odorantes.Le Jardin des sens

Lieu semi-clos dominant la vieille ville et la Loire, le jardin des cinq sens de Blois, également appelé Jardin des plantes médicinales, se situe dans le parc derrière l’Hôtel de Ville. Conçu par une classe de collégiens, ce jardin associe végétaux et aménagements stimulant les facultés sensorielles des visiteurs…

Les jardins du Roy

Parcs et jardinsEntourant avec élégance le château royal, les jardins du Roy ont été parmi les premiers à utiliser l'espace des fortifications comme espace d'agrément. Créés à l’origine par Louis XII, ils abritaient des cultures de fruits, légumes et plantes médicinales.

Aujourd’hui, ce sont des jardins contemporains architecturés et fleuris par le paysagiste Gilles Clément en 1992. Ils reflètent l'histoire du château en créant les ambiances de trois époques (médiévale, Renaissance et classique) en fonction des trois façades du château.

Bel ensemble agrémenté d'une cascade sur une grotte d'améthyste, le jardin des fleurs royales offre des parterres de lis, d'iris et d'hémérocalles. Le jardin des simples, composé de parterres et de pots dans un dallage de terre cuite, rassemble des plantes aromatiques, condimentaires et médicinales autour d’un bassin carré et ouvre la vue sur le centre-ville.

Quant au jardin du Roy, en forme de belvédère, il offre une magnifique vue sur la ville et sur deux façades du château.Cette agréable composition contribue largement à valoriser le château royal.

Jardin des plantes médicinales

Situé rue Vauvert, à proximité du grenier à sel, ce jardin abrité de murs offre aux visiteurs un espace de verdure dans la vieille ville.

Église Saint-Nicolas (XIIe-XIIIe)

Ancienne église abbatiale Saint-Laumer, elle est issue de deux campagnes de travaux, qui se situent à une période charnière pour l’histoire de l’architecture, entre art roman et gothique.

Basilique de la Trinité (Xxe)

Rare témoignage de l’architecture religieuse des années 30, la basilique de la Trinité renferme un riche ensemble décoratif caractéristique du renouveau créatif de l’entre-deux guerres.

Église Saint Saturnin (Xve-XVIe-XVIIe)

Cette paroisse, l’une des plus anciennes de la ville, était le siège d’un important culte à notre Dame des Aydes, patronne de la ville, dont le souvenir est bien présent dans les nombreux ex-voto qui ornent l’église.

Aître Saint Saturnin (XVIe)

Ancien cimetière à galerie du XVIe siècle, l’aître conserve les traces de sa première destination dans une danse macabre qui orne ses chapiteaux. Il abrite aujourd’hui les collections lapidaires de la ville.

Cathédrale Saint-Louis (Xe-XIIe-XVIe-XVIIe)

L’ancienne église Saint-Solenne, devenue cathédrale Saint-Louis en 1697, est pour l’essentiel une église gothique du XVIIe siècle, construite sur des bases plus anciennes. Elle a reçu en 2000 un ensemble de vitraux contemporains, conçus par Jan Dibbets.

Le couvent des Jacobins (Xve-XVIe-XVIIe)

Les dominicains s’installent dans ce quartier au XIIIe siècle, grâce à une donation du comte de Blois. Leurs bâtiments, sévèrement amputés par les destructions révolutionnaires et la percée de rues nouvelles, abritent aujourd’hui le Muséum d’Histoire Naturelle et le musée d’Art Religieux.*

Congrès, réceptions et événements dans trois sites prestigieux

A seulement 1h30 de Paris, Blois, ville d’Art et d’Histoire, traversée par la Loire, fleuve royal classé patrimoine mondial de l’UNESCO, est un lieu de destination unique pour un tourisme d’affaires ou de loisirs. Pour magnifier ce passé prestigieux, la ville de Blois propose pour les congrès, séminaires, réceptions et événements des prestations de haut niveau dans 3 sites remarquables, pouvant être utilisés seuls ou en complémentarité. Ces prestations sont complétées par une importante capacité d’accueil en matière d’hôtellerie de proximité, de tous niveaux de confort jusqu'au 4 étoiles.

En plein cœur du centre-ville, le Château royal, construit du XIIIe au XVIIe siècles, ouvre tout au long de l’année ses 6 salles situées dans l'aile classique dite Gaston d'Orléans, avec une capacité d’accueil de 50 à 300 personnes. Des réunions de travail aux dîners de gala ou à thème, plus de 800 m² sur deux étages proposent leur cadre prestigieux. Face au château, la Maison de la Magie, musée unique en France, met à disposition son théâtre/auditorium de 360 places et ses espaces cocktails, pauses inattendues et insolites au milieu de jeux d’illusion. Patrimoine classé, la Halle aux Grains, construite au XIXe siècle, devenue salle de spectacles et Palais des congrès, allie sa beauté architecturale aux propositions les plus contemporaines en terme d’accueil et de fonctionnalité. Outre son parvis extérieur de 1200 m², et selon l’événement accueilli – congrès, réunions, lancements de produits, défilés de mode, séminaires, la Halle aux Grains offre un espace de 800 m², un auditorium de 630 places et 5 salles modulables de 25 à 40 m².

Le service Blois-Congrès est à votre disposition pour répondre à tous vos besoins avec une offre sur mesure : devis, organisation générale, gestion de l’hébergement et du transport, réservation de matériel adapté, propositions originales pour des soirées ou animations à thème. Blois-Congrès propose également de découvrir les vieux quartiers de la ville en calèche, ou de réviser son histoire de France avec le spectacle son et lumière « Si Blois m’était conté ». Et pour le plaisir de vos clients et partenaires, Blois-Congrès offre un large panel d’activités ou excursions autour de Blois pour découvrir le patrimoine– seuls quelques kilomètres séparent Blois de Chambord et de Cheverny – pratiquer le canoë ou la montgolfière, découvrir la faune et la flore, ou se laisser tenter par quelques étapes gourmandes autour du vin et de la gastronomie.

Cinéma Les Lobis

Implanté en centre-ville, le cinéma Les Lobis est le lieu de rendez-vous des cinéphiles d’art et essais à Blois ! Grâce à une programmation très pointue, Les Lobis ont acquis les trois labels d’art et essais - Jeune public, Recherche et découverte, Patrimoine et répertoire – mais aussi le label Europa, qui récompense les cinémas programmant un large choix de films européens en version originale.

Le cinéma Les Lobis est associé avec la Ville de Blois et Ciné-dimanche pour la diffusion de films Jeune public, ainsi qu’avec l’association Ciné’fil pour la programmation de films du Patrimoine et de Recherche.

Les Lobis accueillent régulièrement des comédiens et réalisateurs, parmi lesquels Bertrand Tavernier, Jean-Pierre Mocky, Anémone, Philippe Lioret, Richard Bohringer…

Lieu de spectacle accueillant également depuis septembre 2009 les concerts organisés par All that Jazz, la grande salle des Lobis a été entièrement rénovée, et le lieu abrite désormais un bar accueillant et convivial ouvert à tous.

Cap'ciné : le multiplex de Blois

Retrouvez la majorité des films en sortie nationale à Cap’ciné !Les 9 salles de ce multiplex sont toutes équipées du son numérique, ainsi que du format scope et numérique.

Cinéfil : art et essai au programme

Les LobisL’association Cinéfil se consacre à la promotion du cinéma d’auteur en VOSTF, ainsi qu’au cinéma de patrimoine. Tout au long de l’année, une programmation hebdomadaire est proposée aux amateurs du 7e art, mêlant cycles thématiques et rencontres avec des réalisateurs, des comédiens, des critiques, des historiens…

Les séances Cinéfil se déroulent au cinéma Les Lobis :

- Les jeudis à 18h et 20h30- Les samedis à 16h- Les dimanches à 21h- Les lundis à 18h et 21h.

Blois en fête durant tout l’été

Parce que l’été est la saison idéale pour goûter au plaisir des spectacles en extérieur, la Ville de Blois, en partenariat avec de nombreux acteurs associatifs et mécènes, propose chaque année le Festival Des Lyres d’été, un programme d’animations gratuit et varié pour tous les publics. Concerts, théâtre de rue, contes, déambulations à thème, cinéma, initiation à la danse et aux arts plastiques, cirque, magie, escrime, astronomie, mais aussi séances de relaxation et observations naturalistes… sur les plus belles places du centre-ville et au port de la Creusille en bord de Loire, quelques 200 rendez-vous sont proposés, offrant à chacun l’opportunité de découvertes artistiques et de pratiques culturelles et sportives.

En ouverture de cette manifestation, la “Guinguette” de la Creusille, scène ouverte au métissage musical et aux cultures du monde, est un lieu de rencontres convivial et coloré. Un grand concert gratuit se déroule tous les 13 juillet au soir, en plein air, juste après le grand feu d'artifice de la ville. Un bal en costumes d’époque clôture Des Lyres d’été dans la ferveur populaire.

Prochain rendez-vous : du 5 juillet au 28 août 2011

Les bibliothèques de Blois-Agglopolys sont ouvertes à tous, il n'est pas nécessaire d'être abonné pour y venir. Sur place tout est gratuit, pour tout le monde.

* Elles sont un lieu de ressource pour l'information comme pour le loisir. Elles sont aussi un lieu culturel vivant pour les adultes et les enfants, proposant de nombreux rendez-vous avec des conteurs, des auteurs, des artistes, et aussi des projections cinématographiques, des expositions...

Où ?

* Les bibliothèques de Blois-Agglopolys sont un réseau qui accueille le public dans deux bâtiments.

* La bibliothèque Abbé-Grégoire est le cœur de ce réseau. Bâtiment moderne élégant et chaleureux, elle se trouve en centre ville, à côté de la Halle aux grains et de la Préfecture. Des lignes de bus régulières la desservent. Deux parkings payants permettent de stationner à proximité.

* La bibliothèque Maurice Genevoix a été construite en 1981. Elle est située dans les quartiers nord. Depuis septembre 2010 elle fait l'objet d'un important chantier d'agrandissement et de modernisation, dont la durée sera d'un an environ. Pour cette raison, elle est temporairement fermée au public. Durant cette fermeture, un point bibliothèque, la Minibib, est ouvert à une centaine de mètres.

* Un bibliobus assure des dessertes dans 5 autres lieux de la ville.

* L'espace est organisé par centre d'intérêt (musique, cinéma, livres pour les adultes, livres et presse pour les enfants, presse information et actualité, patrimoine et région, internet). La bibliothèque Abbé-Grégoire héberge aussi des ruches, que l'on peut observer depuis les grandes baies vitrées de son escalier. Au 2e étage de la bibliothèque Abbé-Grégoire se trouve la bibliothèque de l'antenne blésoise de l'Université de Tours.

L’École d’art de Blois

Un site artistique au cœur de la ville

L'école d'artIl y a quinze ans s’ouvrait à Blois un "Observatoire des pédagogies nouvelles", une école d’art dont une partie de l’enseignement allait s’appliquer aux enfants dans le temps scolaire. Un projet qui touchait toute une génération d’âge et permettait une véritable rencontre avec l’art vivant, une rencontre avec les artistes et les œuvres de notre temps.

Depuis, l’école d’Art de Blois a développé en France un projet unique d’initiation à l’art contemporain à destination des jeunes publics (entre 1 000 et 1 500 enfants sont accueillis chaque année, avec leurs classes, dans les ateliers de l’école d’art, dans le temps scolaire, à raison de 25 heures de pratiques pour chaque classe). Elle a multiplié les expériences pédagogiques innovantes avec de nombreux artistes, elle a collaboré aux projets d’institutions nationales comme le Centre Pompidou ou à ceux d’éditeurs « jeunesse », comme les éditions Milan ; elle a établi de multiples contacts avec d’autres écoles d’art et des lieux artistiques qui ont également des programmes en direction des enfants en France autant qu’à l’étranger comme à Reggio Emilia en Italie.

La présence sur le même site d’une collection d’art contemporain, installée depuis 1996 au Musée de l’Objet, donne une ampleur toute particulière à ce projet pédagogique. Cet ensemble de plus de 130 œuvres s’est construit autour du thème de l’Objet dans l’art du XXe siècle, il livre aux élèves de l’école une matière artistique et historique exceptionnelle, exploitable de façon permanente, offrant un contact direct avec les œuvres.

L’école développe par ailleurs un enseignement de loisir, cours du soir, stages à l’adresse des adultes et des cours destinés aux étudiants pour, entre autres, la préparation de dossiers artistiques en vue de concours.

Douceur de vivre, plaisir du bien manger

Un chef au travailLa gastronomie blésoise épouse subtilement la richesse du patrimoine historique et naturel qui entoure la ville.Les doux paysages regorgent de produits du terroir se déclinant au rythme des saisons : tendres asperges et confitures de mirabelles, liqueurs de fruits et croquets aux noisettes, faisans et champignons sauvages, palets solognots et petits fromages de chèvre fermiers… La Loire, fière et sauvage, livre ses plus beaux habitants : silures, brochets, anguilles et écrevisses.

Majestueux comme les châteaux royaux, les foies gras et gésiers confits rivalisent de saveurs, tandis que les papilles s’adoucissent en croquant l’Aristocrate, précieux biscuit du XIXe siècle et voyagent en faisant fondre sous la langue les chocolats des maîtres chocolatier locaux.

Cet art de vivre se retrouve dans nos vins : Coteaux du Vendômois, Touraine, Touraine-Mesland, Cheverny, Cour-Cheverny, Valençay et Crémant de Loire, autant de cépages récoltés avec le plus grand soin par plus de 70 vignerons. Les notes florales ou fruitées de ces vins de caractère, rouges, blancs, gris ou pétillants, épicés ou poivrés, accompagnent chaque assiette gourmande des bistrots et bonnes tables de Blois.

Source et photos site off de la ville de Blois

LIENS DU MATCH ALLER

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Présentation BCS Vs BLOIS

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Stats par Quart Temps BCS Vs BLOIS

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Photos BCS Vs BLOIS

Création Kerfanto Sarah

Présentation Blois Vs Bcs

Documents

Transcript of Présentation Blois Vs Bcs