P O R TF O L I OILAN BITOUN2 0 1 3

UNE ECOLE DE DANSEEQUIPEMENT - Programme mixteUniversité de MontréalMaster 1 - Avril 2011Georges Adamczyk

IUT ET GRANDS ATELIERS NAVALEQUIPEMENT - Centre de formationEcole d’architecture de Paris-BellevilleDIPLOME - Juillet 2013G. Desgrandschamps, S. Guevel, N. André, A. Pénin

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NEW AMERICAN THEATREQuartier des théâtres, NYCArchmedium competitionJuillet 2011Projet personel

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BORDS DE SEINEAMMENAGEMENT URBAINEcole d’architecture de Paris-BellevilleMaster 2 - Juin 2012David Elalouf

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BORDS DE SEINELOGEMENT - Logement collectifEcole d’architecture de Paris-BellevilleMaster2 - Jun. 2012David Elalouf

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37 STATIONSGares du Grand ParisAgence FortierAvril 2012Bruno Fortier, architecte

Table des matières

Projets étudiant

Parcours Personnel

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CVIlan Bitoun

30, quai de la Loire, 75019 Paristel 06 79 78 88 58ilan.bitoun@gmail.com

Architecte Diplômé d’Etat - ENSA Paris Belleville Mémoire de master réalisé sous la direction de David Elalouf, sur la Domestication de l’Espace Industriel, mention bien. Projet de Fin d’Etude réalisé au sein du studio Edifices et Pré-existance, G. Desgrandchamps. Conception d’un Centre de Formation, de Recherche et de Production Navale à Dieppe, mention bien.

.

UdM Année d’échange universitaire réalisée à l’université de Montréal.

CNAM Formation en double cursus au sein du Conservatoire National des Arts et Métiers, Paris. Qualifi-cation en résistance des matériaux ( RDM I et II).

Baccalauréat S Section scientifique, mention bien.

Bruno Fortier Architecte, Paris employé, 1 an. - Restructuration du Cours des 50 otages, Nantes. Projet urbain. Modernisation de l’avenue, dessin du nouveau tracé du cours. Elaboration de la notice de prescription, incluant un plan de calpinage. - Gares du Grand Paris, ConcoursConception d’un modèle pour les futurs gares du Grand Paris. Illustration et modélisation de la proposition. Projet finaliste, exposé à la Maison de l’Architecture.

The Commons Inc. , Montréal stagiaire, 5 mois. - Empress Cultural Center, MontréalAvant projet, réhabilitation. Relevé et modélisation de l’existant, proposition d’un programme en vue de réhabiliter l’Empress Theatre - icône du quartier de Westmount. - Life at High Speed Rail, ConcoursModélisation et réalisation de pièces graphiques pour promouvoir le projet de réseau ferré à grande vitesse d’Amérique du Nord.

Moatti et Rivière, Paris stagiaire, 2 mois. Participation graphique à divers projets de l’agence, notament un projet d’hôtel à Courchevel

Informatique+++ AutoCad+++ Sketchup Pro++ Rhinoceros 4 ++ Grasshopper

+++ Adobe (Ps, Ai, Id, Pr, Ae) +++ Vray++ Maxwell

DiversAnglais - Bilingue (évaluation TOEIC 950/1000)Photographie

2010-2011 |

2009 |

2006 |

2011 |

2010 |

2011-2012 |

2006-2013 |

ARCHITECTE

FORMATION

COMPETENCES

EXPERIENCES

666666

IUT ET GRANDS ATELIERS NAVALS

Programme: IUT et Grands Ateliers naval Localisation: Dieppe - NormandieJuillet 2013Diplôme, ENSA Paris-BellevilleGuy Desgrandchamps, Solenn Guével, Nicolas André et Antoine Pénin

Au coeur de la ville et à la fois en retrait, entre la falaise qui marque l’entrée du port et le che-nal qui la matérialise, le site questionne l’identité de Dieppe ainsi que le devenir de son port.

Le programme ancre un savoir-faire, fondé sur une vision de l’enseignement, de la recherche et de l’expérimentation comme renouveau possible d’une activité portuaire en déclin.

Le travail du sol crée une continuité depuis le chenal jusqu’aux falaises de craies par le jeu de déblai/remblai. Ancrés dans ce talus, les trois vol-umes diaphanes du centre s’organisent en bandes programmatiques successives qui surplombent une cale de mise à l’eau. La continuité physique entre chenal et falaise se lit aussi à travers les vides, les interstices qui marquent la progression d’un bâtiment à l’autre. Ces cours dont l’usage n’est pas prédéfini permettent d’intégrer les fluctuations d’activités, des “lieux-des possibles” à la fois cohérents dans leur ex-pression et multiples dans leurs usages.

1

3

1Enveloppe translucide Façade double peau Polycarbonate

2Structure principale Ossature métallique HBE 400

3

1

2

Traitement du sol Talus et carpente

Plan masse1:5000Dieppe

777777777777777777777777

Vue aérienne du siteParvis d’entrée et volumes programmatiques.

Coupe transversale A Du chenal aux falaises, les volumes programma-tiques matérialisent la continuité transversale du site;

ancrés dans le talus, projetés au dessus de l’eau.

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Géométraux 1:1000Plan R+1

Coupe B

Coupe C

B

A

C

Diagrammes1. DevoiementRamener la route long de la falaise permet de dégager les berges de l’Arque. L’implantation dans le site permet de con-server en partie sud le chemin de halage et de l’élargir. Une serie d’espaces publics, parcs et places, s’insèrent dans la continuité du centre-ville.

3. Bandes programmatiquesLes éléments du programme s’insèrent dans le site en lanières transversales. L’implantation permet à la fois d’installer une progression séquentiel dans le site et de con-server en permanence un lien entre le chenal et la falaise.

2. Travail du solLe travail de déblai/remblai permet d’une part d’amménager un accès direct à l’eau pour les ateliers et d’autre part d’accentuer le rapport entre falaises et chenal. D’autre part, installé sur ce promontoire, le projet illustre une ambition de renouveau pour l’activité portuaire.

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Cale de mise à l’eauLes prototypes ont un accès direct à l’eau par cette cour.

Vue depuis les falaisesLa vue depuis la chapelle Notre-Dame de Bonsecour est orienté par la disposition des bâtiments vers la ville et vers le large.

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GRAND-PRÉ

RUE

DE

RUE DROLET

AVENUE

HENRI-JULIEN

RUE

VILLE

NEUVE

Plan masse1:2000Plateau Mont-Royal

UNE ECOLE DE DANSEProgramme: Studio de danse - Agence d’architecture - Cafetéria - Logements étudiantsLocalisation: Montréal - Plateau Mont RoyalJanvier 2011Université de MontréalGeorges Adamczyk La recherche d’harmonie entre l’état stable et le déséquilibre du corps fonde le travail du chorég-raphe. Créer un bâtiment illustrant cette dualité s’est imposé comme fondement du projet, concevoir un lieu ou les usages sont interprétés comme un état d’équilibre. Ainsi, la salle de représentation et le cabi-net d’architecte constituent un volume en suspens au dessus d’une place publique. Celui-ci est ancré dans une bande latérale de distribution, constituée de trois piles massives reprennant le porte-à-faux qui sur-plombe la place. Ainsi, l’effort nécessaire à la tenue du bâtiment s’efface: ne reste que la légerté suggérée par le volume en suspension.

Plan de rez-de-chaussée et Coupe Géométraux 1:500 - R+1

CAFETERIA

ACCUEIL

LOGEMENTS ETUDIANTS

PARKING

REPETITION

REPRESENTATION

ARCHI

ADMINISTRATION

EXPO

PLACE PUBLIQUESPECTACLES

TERRASSE PRIVEE

Elévation nord

Elévation Sud

Structure / Espaces publics / Circulation

Diagrammes - Programmation

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Vue NordEntrée depuis la rue Villeneuve

Vue du sudDanser dans le parc

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BORD DE SEINE

Programme: Logements collectifsLocalisation: Ris-OrangisAvril 2012Ecole d’Architecture de Paris-Bellevilleavec David Elalouf

Ce projet tente de répondre aux questions contemporaines du logement: lier les nécessités de densité et d’intimité, associer la volonté de grands espaces tout en gardant des habitations à échelle hu-maine. Le logement se dessine de l’intérieur vers l’extérieur. L’épaisseur principale s’organise autour d’un espace totalement traversant (salon, salle à manger cuisine). On y accède directement depuis l’extérieur, et la faible épaisseur bâtie permet d’entrevoir l’horizon dès l’entrée. Sur ce noyau linéaire est fixé un débord d’1m50 tout autour du bâtiment qui fait office de filtre. Desserte d’un côté, jardin d’hiver de l’autre, il enrichit le vocabulaire du logement d’une nouvelle fonction. Côté cour, ce filtre prend la forme d’une coursive filante qui dessert les logements. Coté ville, les balcons sont des jardins d’hiver. Ils reprennent les mêmes principes que la coursive, “pluggés” à la structure principale. Inspirés du moucharabieh, ils sont enveloppés de persiennes diaphanes qui permettent de faire entrer la lumière sans pour autant que l’on sente peser le regard des passants. La mécanique de l’objet permet trois niveaux d’intimité puisque les ailettes sont inclinables mais que les cadres qui les soutiennent peuvent être entièrement ouverts.

Détail de l’enveloppe 1:50Coupe sur les jardins d’hiver.L’épaisseur d’un mètre cinquante amortit la transition entre extérieur et intérieur. Close en hiver, complète-ment ouverte en été, ces balcon à géométrie variable s’daptent aux besoins. Lumière, vue et air sont des paramètres ajustables.

Plans de logements1:200

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Vue sud-ouest

Croquis d’intentnionAccès direct au logement, transparence du bâtiment.

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NAUTICAL

CIRCUS

VIEWPOINT

PARC

MARKET STATION SQUARE

CULTURAL CENTER

RAILWAY

GREEN PATH

STATIONPIVOTIN BETWEENRIVER BANKMICROSITUATIONS:

BORDS DE SEINEProgramme: Stratégie UrbaineLocalisation: Ris-OrangisAvril 2012Ecole d’Architecture de Paris-BellevilleAvec David Elalouf

Si le RER est un lien à l’échelle du territoire, il se révèle souvent être une faille pour les villes qu’il traverse. Nous avons abordé ce site d’un kilomètre de long avec la volonté de faire d’un défaut la qualité principale du lieu. La première étape consiste à s’appuyer sur la cicatrice produite par le tracé de la voie ferrée et d’y installer un espace public planté, une promenade, remettant en dialogue le centre ville et les berges de la Seine. De nouveaux programmes requis par la ville s’installent ensuite la long de cette axe. Le sys-tème se complexifie, tous les éléments participent à l’ensemble. L’espace public lie des évènements architecturaux jusqu’alors délaissé, ceux-là trouvent un second souffle par l’apparition de nouveaux pro-grammes qui, en retour, apportent une justification supplémentaire à la nécessité de l’espace public. Enfin, en négatif du projet urbain, apparais-sent des micro-situations propices à l’installation de logements. Chacune d’entre elle bénéficie d’atouts particuliers. Les milieux créés apportent un élément de réponse à cette question; qu’est ce qui rend ce lieu unique? Pourquoi habiter ici?

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NEW AMERICAN THEATREProgramme: Quartiers des théâtresLocalisation: New York City, Meatpacking districtMars 2011ARCHMEDIUM concours étudiantProjet personnel

What if theatre in New York wasReconsidering the creator’s space,Marrying the existing theatre that attracts a massive audience to the emerging theatre that inflames curios-ity and worries at the same time,Thinking of an ecosystem where one company is supported by the other, where the creative fuel is con-nected from one creator to the other,Offering a place of developpement for young com-panies,A place of creation and circulation of worlwide the-atre,Offering a unique urban place where the informal meets the scheduled, and where all kind of audience can meet in order to combine and form only one group of persons,Proposing an open forum to the active members of the audience that would like to request and welcome performances as much as creators would them-selves.

What if the theatre in New York wasAn incubator?

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ACT 1 SCENE I.

A circle of light esca-ping from a hole on the

r. A signal in the distance, a call.The audience comes closer as its desire grows.

SCENE II.

The entrance to the theater. An atrium, a theater in itself. And yet the experience of a

special environment.

to the um, a f. And ence of a

nment.

SCENE III.

Ticket in hand. Eve-ryone is waiting to enter the auditorium. Everyone is watching and sizing up each other. Various topics are raised. Everybody is enjoying the informal theater. The bell rings.

We get in.

SCENE II.

The applause. The end of the show. It’s time to go, to leave this world that we have perfectly captured and in which we were wrapped during

hours.ACTIV

SCENE I.

Leaving the room, it is the disenchantment. A path gives us access to the rest of the set. As a spectator-trave-ler we can go to the backstage, to some loges. We can watch the storage of the set through a wall, a kind of mashrabiya. We are witnessing the destruc-

tion of a world.

SCENE II.

The exit. Astreet. A new theater. An underside like a sort of temple with columns. Everybody meets here. It’s a pla-

SCENE II.

The exit. Astreet. A new theater. An underside like a sort of temple with columns. Everybody meets here. It’s a pla-ce for the informal, for the discussion. Small performances take place here and there. Groups of people are forming and forming again. Slowly the multi-

tude vanishes.

The show is over.

SCENE III.

Seated. We are back in our place, in our

row. Here we are again as a member of the

audience. But a mem-ber-actor transformed

by the experience.

SCENE IV.

the room. They are becoming a multitude. Noises, the audience is getting impatient.

ACTIIISCENE I.Darkness. The backs-tage are closing. The

magic begins

up each ous topics Everybody the informal e bell rings.

ACT ISCENE I.

The entrance to the

time we are on stage. We are dominating the assistance. We identify ourselves as an actor. We are even becoming hi f hil W

SCENE II.

The path we are taking claims to be a visit of what is going on behind the scenes. Rehearsal spaces can be seen through huge windows. We are becoming a spectator behind the curtain. A spectator of embryo-

nic performances.

ACT ISCENE I.

The entrance to the

time we are on stage. We are dominating the assistance. We identify ourselves as an actor. We are even becoming him for a while. We are picturing things. Then, slowly and almost with regret, we walk up to the stairs so we can

reach our seat.

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37 STATIONSProgramme: Gares du Grand Paris Localisation: Paris (Laboratoire du Grand Paris)Avril 2012Agence Fortier ArchitectureBruno Fortier et Jean-Thierry Bloch

Compétition pour le design générique des stations de métro du Grand Paris.

Le réseaux est abordé comme un anneau ponctué de points d’intérêts et d’objet libre d’interprétation.

SignalLes futures stations devront être des lieux chaleureux tout autant que des objets remarquables.

VoyageDe la ville aux quais, le cheminement devra être ponctué de places intérieures. Révéler le lien entre ce monde sous-terrain et le sol extérieur est un des points clés des gares du Grand Paris.

StationsEspaces et flux en même temps, les stations se dev-ront d’être aussi ouvertes que possible. Elles auront leur propre ciel et leur parois devront être des toiles ou s’expose l’art de la ville.

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