Planificateur média 2011 - Québec Pharmacie · 2018. 11. 22. · ni ’ el t ssu, ni l o...

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PLANIFICATEUR MÉDIA 2011

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Planificateur média 2011

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CHAMPS D’INTÉRÊT• Actualité politique et sociale• Articles scientifiques et cliniques• Rapports de congrès scientifiques• Les Cahiers de MedActuel, révisés par des pairs, pour la formation

professionnelle continue• Finances• Technologie• Santé et environnement• Psychologie et communications• Nutrition• Loisirs et découvertes

FAITS SAILLANTS• Publication régulière des bulletins de cinq associations

médicales représentant les résidents, les omnipraticiens et les spécialistes :

CQMF (Collège québécois des médecins de famille)MFC (Médecins francophones du Canada)FMRQ (Fédération des médecins résidents du Québec)ACMDP (Association des conseils de médecins, dentistes et pharmaciens)AMQ (Association médicale du Québec)

• Sondages périodiques menés par un groupe de recherche en ligne, permettant de cerner les besoins et la satisfaction de nos lecteurs.

• Rencontres de planification du contenu avec notre comité de rédaction scientifique.

• Notre portail en ligne Professionsanté.ca offre un complément d’information et des fonctions interactives

DIFFuSIoN• Diffusion contrôlée (moyenne totale) : 16 700 (Rapport d’ABC, mars 2010)• 8 400 omnipraticiens et médecins de famille• 7 200 spécialistes• 1 100 autres, incluant les résidents

PoRTÉe39 388, soit une moyenne de 2,1 lecteurs par exemplaire(Sondage du groupe de recherche des publications d’affaires et professionnelles Rogers, avril-juin 2009)

FRÉQueNCe 20 fois par an

LE SEUL JOURNAL MÉDICAL POUR LES MÉDECINS DU QUÉBEC

Après trente ans d’existence, L’actualité médicale continue d’être la publication par

excellence des médecins francophones. On y traite d'une grande variété de sujets,

depuis les questions politiques et sociales jusqu’aux grands enjeux scientifiques et

la pratique clinique, sans compter les articles de formation professionnelle continue,

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1. Étude sur les médias médicaux 2009, lectorat et visibilité, PMB

Avec son contenu primé et conçu pour le médecin d’aujourd’hui, L’actualité médicale est

le numéro 1 en matière de lectorat

et de visibilité !1

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LECTORAT

Étude sur les médias médicaux 2009, PMB

L’actualité médicale est la publication NuMÉRo 1 des médecins francophones, omnipraticiens, médecins de famille et spécialistes

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Format unique : Nouvelles en format tabloïd, 4 couleurs sur toutes les pages, incluant les pages de renseignements thérapeutiques

Plus de 52 minutes par mois sont consacrées à la lecture de L’actualité médicale par les médecins francophones

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des médecins francophones lisent L’actualité médicale.

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« En tant qu’auteur, je remercie L’actualité médicale de me donner accès à un formidable bassin de lecteurs. Les médecins et les infirmières me disent toujours combien ils apprécient ces articles et ces reportages. Merci de diffuser mes messages dans vos pages. Longue vie à L’actualité médicale ! »—Dr Marc Steben, MF, Montréal

« Grâce à L’actualité médicale, les médecins, chacun dans son domaine, peuvent obtenir des informations essentielles et sans biais à propos d’études impor-tantes publiées dans les plus prestigieuses revues scientifiques de la dernière décennie. » —Dr Michel Labrecque, MF, Québec

« Quelle créativité en trente ans ! Le magazine est une tribune privilégiée où les médecins québécois peuvent tirer profit d’un contenu scientifique original, pertinent, exclusif, précis et pratique. »—Dre Francine Léger, MF, Montréal

« Trente ans d’information et de formation médicale, à couvrir des sujets aussi variés que les questions psychosociales et les soins intensifs, mais aussi la bureautique et la pédagogie. Des articles si inté-ressants, édifiants et distrayants ! Merci à tous les auteurs, et merci à L’actualité médicale qui offre aux médecins la possibilité d’écrire et de poursuivre leur formation continue. »—Dre Diane Poirier, urgentologue, Montréal

« L’actualité médicale fait partie de mes lectures régu-lières. Je garde souvent des articles pour référence ultérieure ou pour les faire lire à mes collègues. »—Sonia Santerre, chef des affaires institutionnelles, BoehringerIngelheim (Canada) Ltée

« Pourquoi je lis L’actualité médicale »

« Articles brefs et succincts sur des sujets d’actualité »

« Facile à lire. Les articles sont pertinents par rapport à ma pratique.

« Clair, concis, pertinent, varié, couvre autant les questions cliniques que les loisirs. »

« Un magazine formidable. Je l’adore ! »

« Ça fait partie de mon programme de formation médicale continue »

« Articles qui vont au fond des choses, sujets variés. »

« Les nouvelles en bref, qui nous mettent rapidement au courant de l’actualité médicale, administrative, politique et pharmaceutique. »

« Titres de la une particulièrement accrocheurs »

« Qualité et variété des articles et des commentaires. »

* Sondage auprès des lecteurs, GPAP Rogers, 2009

« Pourquoi lisez-vous chaque numéro de L’actualité médicale ?* »

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CALENDRIER ÉDITORIAL 2011

FORMAT DES ANNONCES 2011 / TARIFS BRUTS (N/B)1 x 13 x 32 x 52 x 112 x 156 x 201 x 235 x 268 x

Pleine page tabloïd 4 330 $ 3 920 $ 3 627 $ 3 335 $ 3 032 $ 2 879 $ 2 726 $ 2 494 $ 2 266 $

Pleine page magazine 2 443 $ 2 211 $ 2 047 $ 1 882 $ 1 712 $ 1 625 $ 1 538 $ 1 408 $ 1 276 $

1/2 tabloïd horiz. 2 164 $ 1 959 $ 1 814 $ 1 668 $ 1 516 $ 1 440 $ 1 364 $ 1 246 $ 1 130 $

1/2 tabloïd, vert. 2 164 $ 1 959 $ 1 814 $ 1 668 $ 1 516 $ 1 440 $ 1 364 $ 1 246 $ 1 130 $

1/3 tabloïd, horiz. 1 443 $ 1 307 $ 1 209 $ 1 112 $ 1 011 $ 960 $ 909 $ 831 $ 754 $

1/2 magazine, horiz. 1 222 $ 1 106 $ 1 023 $ 940 $ 856 $ 813 $ 769 $ 704 $ 638 $

1/2 magazine, vert. 1 222 $ 1 106 $ 1 023 $ 940 $ 856 $ 813 $ 769 $ 704 $ 638 $

1/4 tabloïd, horiz. 1 082 $ 980 $ 907 $ 833 $ 758 $ 720 $ 681 $ 623 $ 565 $

1/5 tabloïd, vert. 866 $ 784 $ 725 $ 667 $ 607 $ 576 $ 546 $ 499 $ 452 $

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DAte De

PARutiONDAte De tOMBÉe DOssieR sPÉCiAl suPPlÉMeNt

DAte De

tOMBÉe

19 janvier 23 déc. 2010

9 février 24 janvier La pomme de discorde entre les psychiatres et les omnipraticiens

23 février 7 février

9 mars 18 février

23 mars 18 février Technologie Dermatologie (Guide de pratique clinique) 14 janvier

6 avril 21 mars

20 avril 4 avril Allergies/asthme (Points de discussion) 11 février

11 mai 25 avril La perte du jugement clinique Gastro-entérologie (Guide de pratique clinique) 25 février

25 mai 9 mai Sondage sur les MVL auprès des médecins

8 juin 20 mai Cardiologie (Guide de pratique clinique)

1er avril

22 juin 6 juin Gestion de la douleur (Points de discussion)

15 avril

13 juillet 24 juin La féminisation de la profession

3 août** 15 juillet** Édition en ligne seulement**

17 août 29 juillet

7 septembre 22 août

21 septembre 2 septembre

5 octobre 19 septembre

19 octobre 30 septembre Le choix du lieu d’exercice et la vie de famille

9 novembre 24 octobre Pédiatrie (Points de discussion) 9 septembre

23 novembre 7 novembre La santé des sans-abri Diabète (Guide de pratique clinique) 30 septembre

14 décembre 28 novembre

tARiFs ANNONCes COuleuRQuadrichromie, par page 1 125 $2e couleur (rabais de 25 %) 845 $Couleur PMS 520 $Couleur de la quadrichromie, par page 415 $Ajoutez une couleur sur vos pages de renseignements thérapeutiques sans frais.

* Date de tombée pour le numéro du 19 janvier : 4 janvier** Édition spéciale en ligne seulement : renseignements à venir

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Nos suppléments thématiques ciblés, en format tabloïd, traitant de diverses spécialités thérapeutiques, présentent des articles d’actualité, des dossiers spéciaux, des Questions-réponses et bien davantage. lectorat cible : médecins de première ligne et spécialistes.

SUPPLÉMENTS – POINTS DE DISCUSSION

THÈMeS eT DATeS De PARuTIoN

GUIDES DE PRATIQUE CLINIQUE 2011 - TARIFS BRuTS

NuMÉRoS eT DATeS De PARuTIoN

Anglais FrançaisPleine page mag./4C 6 605 $ 4 345 $Pleine page mag./N&B 4 386 $ 2 693 $2/3 page/N&B 3 759 $ 2 336 $1/2 page/ N&B 2 815 $ 1 683 $1/3 page/ N&B 2 157 $ 1 300 $1/4 page/ N&B 1 703 $ 1 005 $Diffusion 47 000 17 000

Allergies/Asthme Traitement de la douleur Pédiatrie

The Medical Post 22 mars 24 mai 18 octobre

L’actualité médicale 20 avril 22 juin 9 novembre

Pharmacy Practice Avril-mai Juillet-août Novembre

Québec Pharmacie Juin Juillet-août Novembre

Dates de tombée 11 février 15 avril 9 septembre

POINTS DE DISCUSSION 2011, TARIFS BRuTS

Date de parution Date de tombée

Dermatologie 23 mars 14 janvier

Gastro-entérologie 11 mai 25 février

Cardiologie 8 juin 1er avril

Diabète 23 novembre 30 septembre

Les points saillants du Congrès canadien pour la santé cardiovasculaire

4Éliminer le syndrome de la blouse blanche

10L’artériopathie oblitérante des

membres inférieurs : grande tueuse

insuffisamment diagnostiquée et traitée

17Exploiter au mieux la tomodensitométrie

cardiaque

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SUPPLÉMENT

CARDIOLOGIE

Le diabète de type 1 est re-lié à une destruction auto-immune des cellules bêta, menant à une hyperglycé-

mie d’apparition relativement aiguë et à une dépendance à l’in-sulinothérapie pour la survie.

Le diabète de type 2 est la forme la plus fréquente de cette maladie. Il est habituellement associé à un excès de poids et débute par une résistance à l’insuline, compensée par une hypersécrétion d’insuli-ne. L’évolution de la maladie des états de pré-diabète à un diabète franc, puis la détérioration de l’état métabolique subséquent en-traînant le besoin d’une thérapie par des antihyperglycémiants à doses progressives puis fréquen-tes, l’insulino thérapie semble reliée à un « épuisement » du pancréas, menant à une baisse de la capacité de celui-ci à sécréter les quantités

requises d’insuline. Il est mainte-nant bien démontré que l’évolu-tion des états pré-diabétiques vers le diabète franc peut être préve-nue par des approches liées aux habitudes de vie ou par des médi-caments.

L’obésité étant de plus en plus fréquente au Canada, il en est de même pour le diabète de type 2, qui augmente de façon épidémi-que. Auparavant considéré com-me survenant presqu’exclusive-ment après 40 ans, le diabète de type 2 est de plus en plus fréquent chez les enfants et les adolescents. L’article des Drs Wicklow, Sellers et Dean dans ce supplément dé-crit une approche spécifique à cette population au niveau du dé-pistage, du diagnostic et du traite-ment.

Le diabète mène à des complica-tions chroniques malheureuse-

ment trop fréquentes. Il augmente le risque de maladie cardio-vasculaire de deux à cinq fois. La néphropathie diabétique est la principale cause d’insuffisance ré-nale, surpassant toutes les autres causes réunies. La rétinopathie diabétique est la principale cause de cécité chez les jeunes adultes, et la neuropathie diabétique est la principale cause d’amputations non traumatiques. Heureuse-

ment, il existe de nombreuses stratégies préventives, dont la maîtrise stricte des glycémies. Des études randomisées ont démon-tré que l’atteinte d’une HbA1c d’environ 7 % réduit les compli-cations microvasculaires (reins, yeux, pieds) de 50 % à 75 % par rapport à une HbA1c de 8 %-9 %. Ces études n’ont pu démontrer d’effets bénéfiques significatifs au niveau cardiovasculaire, sauf lors du suivi à long terme de ces pa-tients alors que le bénéfice se mani-festait tardivement. Les tentatives récentes de diminuer davantage l’HbA1c aux environs de 6 %- 6,5 % n’ont pas réussi à montrer d’effets bénéfiques clairs, et ont même mis en évidence les risques de mortalité accrus de tenter cette diminution chez certains patients à haut risque cardiovasculaire.

Maîtrise des glycémiesLa thérapie du diabète de type 1 nécessite des injections multiples d’insuline ou une pompe à insu-

line, et déborde le cadre de cet ar-ticle.

La thérapie initiale du diabète de type 2 implique d’abord les chan-gements du mode de vie, visant d’abord une perte de poids (dimi-nution des calories ingérées, haus-se de l’activité physique) et un étalement des apports en gluci-des, soit par la prise de petits repas et de collations, et en favorisant les aliments à index glycémique bas.

La metformine est le premier agent oral recommandé, pour la diminution de la mortalité et des complications macrovasculaires dans l’étude UKPDS, l’absence de prise de poids et d’hypoglycé-mies.

Le choix du second agent est laissé à la discrétion du médecin, tenant compte des avantages et désavantages des médicaments disponibles, tels que décrit dans le tableau II.

Les inhibiteurs du DPP-IV sont des sécrétagogues qui ont l’avan-tage de ne pas causer de prise de poids ni d’hypoglycémies, et d’être très bien tolérés. Leur inno-cuité à long terme demeure ce-pendant à être démontrée.

Les thiazolidinediones ont la meilleure durabilité de leur effet antihyperglycémiant, et ne cau-sent pas d’hypoglycémies, mais une prise de poids, la rétention

Le diabète sucré

Nous avons les moyens de faire tellement mieux ! Le diabète est une composante des dysglycémies, menant à des complications chroniques, notamment cardiovasculaires.

SuppléMent d i a b è t e

Suite à la page S11

tableau iObjectifs glycémiques

tableau iiOptions thérapeutiques pour la maîtrise glycémique dans le diabète de type 2

Un patient vous consulte pour un problème de peau. Vous observez une zone rouge et enflée et détectez qu’elle est chaude. S’agit-il d’une dermatite de contact ou d’une infection ? Ou encore, il se peut que le patient ait quelques plaques rouges et squameuses sur la peau – un fongus ou de l’eczéma ?

Il existe divers problèmes de peau qui peuvent embrouiller de nombreux médecins, ce qui complique les choix de

traitement. Mais, selon la Dre San­dra Skotnicki­Grant, professeur adjoint de dermatologie et de san­té occupationnelle à l’Université de Toronto, il existe plusieurs in­dices qui aident à comprendre de quoi il s’agit.

« La région rouge, chaude et en­flée est l’une des présentations les plus délicates à diagnostiquer. Alors qu’il pourrait s’agir d’une derma­tite de contact allergique due à quelque chose comme de l’herbe à la puce ou du Rhus vénéneux, ce trio de symptômes est aussi classi­que lors d’une infection. »

« En médecine, nous ne voulons pas passer à côté d’une infection », a­t­elle dit. Ainsi, il n’est pas rare que les médecins prescrivent un antibiotique oral. D’un côté, le fait de donner un antibiotique pour traiter une dermatite de contact n’est pas aussi mauvais que de four­nir de l’hydrocortisone pour quel­que chose qui se révèle être une in­fection. Ce dernier agent peut grandement empirer le problème.

« Si vous n’êtes pas sûr, il est pré­férable de se tromper en penchant

du côté de l’infection, a­t­elle rele­vé. D’un autre côté, si le patient ne répond pas au traitement anti­in­fectieux, il est alors temps de penser différemment et d’envisager d’autres causes, non infectieuses. Mais, en premier lieu, il y a des in­dices qui aident à distinguer entre les causes infectieuses et celles qui ne sont pas infectieuses. Certains de ces indices proviennent des an­técédents : demandez aux patients s’ils ont déjà eu des problèmes de peau ou s’ils sont allés dans la forêt ou dans une région sauvage. »

Exogène ou endogène« En dermatologie, nous parlons souvent du contraste entre exogène et endogène. Exogène signifie un problème causé par le monde exté­rieur qui nous touche, tandis qu’en­dogène qualifie un problème qui vient de l’intérieur et se manifeste à l’extérieur », explique­t­elle. En gé­néral, les causes exogènes se mani­festent de façon asymétrique – p. ex., sur un bras ou une jambe. Un problème endogène peut ressortir, mettons, sur les deux jambes, les deux coudes ou sur tout le corps.

Si l’éruption apparaît sur tout le corps, il pourrait s’agir d’une réac­tion à un médicament ou d’une

autre pathologie, alors qu’une peti­te tache sur un bras aura plus vrai­semblablement une cause exogène.

Ensuite, il y a l’érysipèle – une in­fection de la peau provoquée par un streptocoque qui peut aussi se manifester par la trilogie rougeur­œdème­chaleur. On peut le confondre avec une dermatite de contact ou même avec un zona. Or, chacune de ces trois maladies né­cessite un traitement très différent. Cependant, la Dre Skotnicki­Grant a relevé que l’éruption du zona res­semble à des grappes de raisin. On traite l’érysipèle par la pénicilline, alors que le virus varicelle­zona exi­ge un agent antiviral.

Les manifestations rouges et squameuses sont aussi difficiles à interpréter. La teigne, causée par des fungi (champignons), tombe dans cette catégorie, comme l’eczé­ma et le psoriasis. Comment les différencier ?

« La teigne ou l’infection fongi­que est typiquement asymétrique ou exogène, et on l’observe généra­lement dans une seule région. Le psoriasis se manifeste souvent sur les deux coudes ou les deux ge­noux. L’eczéma a sûrement certai­nes caractéristiques, il se manifeste souvent de façon symétrique et dans des régions spécifiques », pré­cise­t­elle.

Pour démêler tout cela, « si vous donnez de l’hydrocortisone pour traiter un champignon, le problè­me va empirer », ajoute­t­elle. Les antécédents familiaux sont suscep­tibles de fournir plus d’indices pour guider le diagnostic, en particulier pour le psoriasis et l’eczéma.

Si le problème se manifeste sur les ongles des orteils ou des doigts, le fait de prendre un échantillon à partir d’une rognure d’ongle ne donnera pas la réponse que vous voulez lorsque cet échantillon sera

analysé. « Vous devez prélever un échantillon des débris situés sous l’ongle en essayant d’aller aussi pro­fondément que possible parce que c’est là que se trouve le fongus vi­vant », explique la Dre Skotnicki­Grant.

Les boursouflures rouges qui dé­mangent sont d’autres mystificatri­ces, elles peuvent être une chose parmi tant d’autres, peut­être une réaction à des piqûres d’insectes comme les punaises des lits ou les puces.

Il n’en reste pas moins une confu­sion possible entre les piqûres d’in­sectes et les exanthèmes viraux, qui apparaissent généralement sur le tronc puis s’étendent. Malheureu­sement, les réactions aux médica­ments peuvent aussi apparaître d’abord sur le tronc.

En outre, les piqûres d’insectes sont exogènes et asymétriques, alors que les exanthèmes viraux et les réactions médicamenteuses ont une origine endogène et se mani­festent de façon symétrique.

Au cours de sa pratique, la Dre Skotnicki­Grant a aussi eu des patients qui venaient lui raconter qu’on leur avait dit qu’ils avaient une rosacée, une affection qu’elle pense être surdiagnostiquée. « Les critères pour présenter une rosacée ne sont pas solides chez de nom­breux patients. Mais je trouve que beaucoup de gens ont seulement un teint rougeâtre », dit­elle.

Les patients qui rapportent avoir une « peau sensible » ne sont pas non plus d’une grande aide. « La peau sensible ne constitue pas un diagnostic, indique­t­elle. Elle si­gnale plutôt que le patient a une pathologie sous­jacente comme la rosacée ou l’eczéma. »

Parfois, il suffit d’un petit travail de détective pour résoudre ces énigmes.

SupplémEnt D E R M AT O L O G I E

Un petit travail de détectiverésout les problèmes cutanés difficiles

asthme et allergies

le premier d’une série de suppléments éducatifs destinés aux médecins de soins primaires et aux pharmaciens

avril 2010

pointsdediscussionVers l’amélioration de la communication patient-professionnel

la gestion de la douleuraoût 2010

le deuxième d’une série de suppléments éducatifs destinés aux médecins de soins primaires et aux pharmaciens

Vers l’amélioration de la communication patient-professionnelpointsdediscussion

Tarifs

Pleine page tabloïd, 4C 3 570 $

Pleine page magazine, 4C 2 755 $

Surcharge de 15 % pour espace sur la couverture arrière

la série de suppléments éducatifs Points de discussion, en format magazine, a pour objectif d’améliorer la communication entre les médecins, les pharmaciens et leurs patients. Ces suppléments explorent des questions qui concernent les patients et les fournisseurs de soins ainsi que le rôle des médecins et des pharmaciens en matière de diagnostic, de traitement, d’éducation et d’observance thérapeutique. Distribué aux omnipraticiens, médecins de famille et spécialistes concernés, ainsi qu’aux pharmaciens.

SUPPLÉMENTS – GUIDES DE PRATIQUE CLINIQUE

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ÉDITION SUR MESURE

Stuart A. Ross, MB, ChB,FRACP , FRCPCEndocrinologueFoothills Medical CentreProfesseur de médecine cliniqueUniversité de CalgaryCalgary, Alberta

CTIONA clinique

Publié grâce à une subvention à visée éducative de Novo Nordisk Canada inc.

Les traitementsincrétinomimétiques

Plus de trois millions de Canadiens souffrent de diabète et on s’attend à ce que ce nombres’élève à 3,7 millions d’ici 2020. La hausse considérable du nombre de personnes atteintes dediabète de type 2 est associée aux taux croissants d’obésité et aux modes de vie de plus enplus sédentaires.Les Lignes directrices de pratique clinique 2008 de l’Association canadienne du diabète pour

la prévention et le traitement du diabète au Canada réitèrent l’importance du contrôle glycé-mique pour prévenir et retarder le développement de complications microvasculaires etmacrovasculaires liées au diabète. Ces lignes directrices recommandent un taux cible d’hé-moglobine glyquée (HbA1c) inférieur ou égal à 7 % pour la plupart des diabétiques. L’étudeÉvaluation du diabète au Canada (DICE, 2003) révèle que 49 % des patients atteints de diabètede type 2 ont un taux de HbA1c supérieur à 7 %; plus la durée de la maladie est longue, plusles taux de glycémie sont élevés.De toute évidence, il est urgent de trouver de nouveaux moyens d’améliorer la maîtrise de

la glycémie et de réduire les risques de complications liées au diabète. Les chercheurs s’inté-ressent particulièrement aux hormones incrétines, notamment le GLP-1 (glucagon-like pepti-de-1) et le polypeptide insulinotrope glucose-dépendant (PIG). Ces hormones produites parle tube digestif ont pour effet de réduire la glycémie. De récentes études sur les mimétiqueset les analogues de l’incrétine et sur les inhibiteurs de la dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4) permet-tent de penser que ces nouveaux médicaments pourraient réduire la glycémie dans le diabè-te de type 2 en imitant les effets des incrétines naturelles.

Stewart Harris, MD, MPH,FCCP, FACP MProfesseur de médecineDépartement de médecinefamilialeUniversité de l’Ouest del’OntarioLondon, Ontario

DIABÈTE DE TYPE 2

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Quels ingrédients contient PreserVision Lutéine ?

Quantité d’ingrédients par capsule molle

Vitamine C (acide ascorbique) 226 mg

Vitamine E (acétate de d-alpha-tocophérol) 200 UI

Zinc (oxyde de zinc) 34,8 mg

Cuivre (oxyde de cuivre) 0,8 mg

Lutéine 5 mg

PUBLICITÉ • Septembre 2009

Autresingrédients:gélatine, glycérine, huile de soja, cire jaune non blanchie, huile d’annatto, dioxyde de titane

Qu’est-ce que la DMLA ?La DMLA est une maladie évolutive de l’œil qui provoque une dégénérescence de la macula, la zone de la rétine qui assure la vision centrale. En général, les deux yeux sont affectés.

La DMLA est la principale cause de malvoyance grave au Canada chez les plus de 50 ans. Plus d’un million de Canadiens en sont atteints. Au cours des 25 prochaines années, on s’attend à un doublement du nombre de personnes atteintes .

La forme sèche de la DMLA concerne de 85 % à 90 % des cas et survient souvent sans symptômes. La forme humide est plus grave et se traduit par une importante perte de la vision centrale : 43 % des cas de DMLA sèche évoluent en DMLA humide en moins de cinq ans .

Comment traite-t-on la DMLA ?Il n’existe actuellement aucun remède pour la DMLA, quelle qu’en soit la forme .

Le traitement standard actuel de la forme sèche de la DMLA consiste à prendre des suppléments vitaminiques ophtalmiques. L’étude AREDS a montré qu’un traitement vitaminique spécifique est efficace pour réduire le risque de DMLA et pour ralentir l’évolution de la maladie .

La DMLA humide est traitée par la chirurgie au laser, par la thérapie photodynamique et par des injections ; mais la maladie peut continuer à progresser en dépit de ces traitements .

Qu’est-ce que la lutéine et quel rôle joue-t-elle dans la réduction du risque de développer la DMLA ?La lutéine est un caroténoïde antioxydant que l’on trouve en forte concentration dans la macula de personnes en bonne santé. Chez les sujets atteints de DMLA, la densité pigmentaire au niveau de la macula est généralement inférieure à celle de personnes en bonne santé .

Il a été démontré qu’un apport quotidien complémentaire régulier de 10 mg de lutéine – seule ou en association avec des caroténoïdes, des vitamines C et E antioxydantes et d’autres vitamines et sels minéraux – se traduit par une augmentation de 36 % de la densité de la pigmentation maculaire .

La même étude a également montré que les suppléments de lutéine avaient amélioré la vision dans les catégories de sujets 2, 3 et 4 de l’étude AREDS . (Les sujets de la catégorie 1 étaient pratiquement exempts de toute anomalie de la macula .)

Une autre étude de grande envergure a montré qu’une augmentation de l’apport alimentaire de certains caroténoïdes se traduit par une réduction de 43 % du risque de développer la DMLA. La lutéine et la zéaxanthine ont été plus particulièrement associées à cette réduction du risque. Dans le groupe des sujets ayant consommé les plus grandes quantités de lutéine et de zéaxanthine, le risque de développer la DMLA était réduit de 57 %. La lutéine et la zéaxanthine proviennent principalement des légumes à feuilles vert sombre .

Du fait de leur concentration dans la macula, on avait envisagé d’inclure la lutéine et la zéaxanthine dans la formule originale utilisée dans l’étude AREDS, mais à l’époque, ces caroténoïdes n’étaient pas faciles à trouver et on les avait donc remplacés par du bêtacarotène .

L’alimentation peut-elle à elle seule fournir suffisamment de vitamines et de lutéine ?Les taux de vitamines et de sels minéraux utilisés dans la formule AREDS sont si élevés qu’on ne peut pas les obtenir dans sa seule alimentation ou dans les seuls suppléments vitaminiques ordinaires .

Même si des études ont montré qu’une alimentation saine et équilibrée incluant beaucoup de légumes à feuilles vert sombre peut atténuer le risque de DMLA , il faudrait consommer plus de deux saladiers d’épinards crus tous les jours, par exemple, afin d’obtenir 6 mg de lutéine, soit l’apport quotidien minimal recommandé pour préserver la santé oculaire. Par ailleurs, la plupart des multivitamines ne contiennent qu’une fraction de cette quantité.

L’absence de bêtacarotène affecte-t-elle l’efficacité d’une vitamine ophtalmique ?Une étude d’une durée de 12 ans portant sur 22 000 sujets qui a été publiée en 2007 a montré que le fait de prendre des suppléments de bêtacarotène à long terme n’accroît ni ne réduit le risque de DMLA. Les auteurs en ont conclu que retirer le bêtacarotène de la formule AREDS ne devait pas avoir d’effet sur son efficacité . Contrairement à la lutéine, le bêtacarotène n’est présent qu’à l’état de traces dans la rétine, ce qui explique peut-être ces résultats .

Quelques conseils à donner• Faites régulièrementvérifier l’étatdevos

yeux, particulièrement après l’âge de 50 ans. Un diagnostic précoce est essentiel.

• Contrôlez régulièrement votre vue àl’aide de la grille d’Amsler et signalez tout

changement à un spécialiste des soins oculaires.

• Faites attention aux facteurs de risquequ’il est possible de maîtriser.

• Adoptez une alimentation saine – etincluez-y beaucoup de légumes à feuilles vert foncé.

• Prenez des suppléments vitaminiquesophtalmiques.

• Portez toujours des lunettes de soleil àindice de protection UV élevé.

Pourdeplusamplesrenseignements,visitezlesitewww.bausch.ca/fr_CA/default.aspx.

Q&R est publié par Rogers Media Limitée, 1200, avenue McGill College, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 4G7. Tél. : 514 843-2569. Téléc. : 514 843-2183. Ce Q&R ne peut être reproduit, en tout ou en partie, sans l’autorisation écrite de l’éditeur. © 2009

PreserVision® Lutéine – Supplément minéral et vitaminique pour les yeux

Environ trois tasses d’épinards crus équivalent à une demi-tasse d’épinards cuits

et contiennent 10,2 mg de lutéine .

Références :

Nbre relatif de patients par forme

de DMLA

Nbre relatif de patients qui perdent la vue

La forme sèche de la DMLA (85 %-90 % des cas) est responsable de 10 % à 15 % des pertes de vision liées à la DMLA

Perte de la vision en fonction du type de DMLA

rx

Les spéciaListes se prononcent...

TENDANCES ÉMERGENTES DANS lE TRAiTEMENT DE lA DySlipiDÉMiE

Stratégies pour faciliter l’atteinte des nouvelles cibles lipidiques canadiennes

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publiÉ GRâCE à uNE SubvENTioN à viSÉE ÉDuCATivE DE SEpRACoR phARMACEuTiCAlS iNC.

Les lignes directrices de la Société canadienne de cardiologie (SCC) pour le diagnostic et le traitement de la dysli-pidémie et la prévention des MCV, récemment révisées (en 2009), reflètent les nouvelles données d’études clini-ques démontrant l’efficacité d’un dépis-tage et d’un traitement énergiques sur un large éventail de patients. Les cibles lipidiques simplifiées décrites dans les lignes directrices de 2009 (voir tableau 1) facilitent la mise en œuvre par les médecins de stratégies hypolipémian-tes efficaces pour parvenir à des nor-mes de soins plus rigoureuses. D’autres modifications sont l’inclusion de l’apo-lipoprotéine B (apo B) comme princi-pale cible de substitution et l’évaluation de cibles secondaires selon les données dont nous disposons.

Selon le degré de réduction du cho-lestérol à lipoprotéines de faible densité

(C-LDL), un traitement par les statines permet de réduire de 25 % à 55 % l’incidence des événements cardio-vasculaires. Malgré cette réduction appréciable, de nombreux patients dyslipidémiques peuvent tirer avan-tage d’un traitement supplémentaire, soit parce que leurs cibles lipidiques n’ont pas été atteintes, soit parce qu’ils sont atteints d’une forme évolutive de la maladie. Les statines sont principale-ment des agents qui font baisser le taux de C-LDL et, aux doses couramment utilisées, elles n’ont qu’un effet limité sur les triglycérides et sur le choles-térol à lipoprotéines de haute densité (C-HDL). Un traitement d’association peut s’avérer nécessaire pour s’attaquer à des cibles lipidiques multiples. Le fait d’ajouter de la niacine ou un fibrate à une statine peut être une stratégie effi-cace pour abaisser le taux de triglycé-

rides et augmenter le taux de C-HDL dans certaines populations de patients.

On étudie la niacine depuis plus de 40 ans dans le traitement de l’athéro-sclérose. Un certain nombre d’études, dont celles utilisant des études par imagerie comme paramètres de substi-tution, ont régulièrement montré les avantages de la niacine. Il semble que, sur une gamme étendue de niveaux de risque, la hausse thérapeutique du taux de C-HDL – que la niacine per-met d’obtenir avec beaucoup d’effica-cité – est au moins aussi efficace que la baisse de pourcentages comparables de C-LDL pour réduire la progression de l’athérosclérose ou les événements cardiovasculaires cliniques.

La niacine cristalline ou la niacine à libération prolongée (Niaspan, Niaspan FCT) a de multiples effets bénéfiques chez les patients atteints de dyslipidémie

athérogénique : elle fait augmenter le taux de C-HDL et baisser les taux de C-LDL, d’apo B, de triglycérides et de lipoprotéine (a) (Lp[a]), et elle permet de réduire le taux de lipoprotéines petites et denses. Trois importantes études comparatives contre placebo ont été menées pour établir l’efficacité et l’innocuité des comprimés de niacine à libération prolongée à prendre une fois par jour au coucher.

Prise seule ou ajoutée à une sta-tine, la niacine peut faire augmenter de jusqu’à 30 % le taux de C-HDL (voir figure 1). De multiples études angio-graphiques ont montré que la niacine, en association avec une statine ou une résine fixatrice des acides biliaires, ralentit la progression et/ou favorise la régression de l’athérosclérose.

L’étude ARBITER 6 – HALTS (Arte-rial Biology for the Investigation of the

ruth Mcpherson, MD, ph.D, FrcpcProfesseure, Département de médecine, Titulaire de la chaire Merck Frosst Canada de recherche sur l'athéroscléroseDirectrice, Clinique des lipides et Laboratoire de génomique de l’athéroscléroseInstitut de cardiologie de l’Université d’OttawaOttawa (Ontario)

Jean c. Grégoire, MD, Frcpc, FaccProfesseur agrégé de médecine Université de MontréalCardiologueInstitut de cardiologie de MontréalMontréal (Québec)

Gordon Francis, MD, Frcpc, FaHaDirecteur, Healthy Heart Program Prevention ClinicLaboratoire de rechercheSt. Paul’s HospitalProfesseur de médecineUniversité de la Colombie-BritanniqueVancouver (Colombie-Britannique)

Murray awde, MD, ccFp, FcFpSt. Joseph’s Healthcare CentreProfesseur adjoint de médecine familialeUniversity of Western OntarioLondon (Ontario)

a. shekhar pandey, MD, Frcpc, aBiM, cBncCardiologie invasive, non invasive et préventiveCardiologueCambridge Cardiac Care CentreCambridge (Ontario)

Les MaLaDies carDiovascuLaires (Mcv) sont responsaBLes D’un tiers Des Décès au canaDa. Qui pLus est, La Hausse Des taux D’oBésité et De DiaBète contriBue à La prévaLence croissante Des Mcv Dans une popuLa-tion De pLus en pLus séDentaire. pourtant, La MortaLité pour cause De coronaropatHie a Baissé De près De 40 % au cours Des Dernières Décennies, principaLeMent Grâce à La réDuction accrue De Facteurs De risQue carDiovascuLaire teLs Que Les taux De cHoLestéroL, Le taBaGisMe et L’Hypertension.

Mini-colloque

de derMatologie

toronto, ontario

5-7 février 2010

nouvelles sur le psoriasis du cuir cheveluenviron 2 % de la population est atteinte du psoriasis en occident. le cuir chevelu est l’un des sièges les plus fréquents, avec plus de la moitié des patients touchés, et souvent le premier à être atteint. la visibilité de la maladie ajoute au stress psychologique et social des patients. richard thomas, M.d., frcpc, professeur adjoint en clinique à l’université de colombie-Britannique, a passé en revue les difficultés de maîtriser le psoriasis du cuir chevelu et présenté de nouvelles possibilités de traitement.

les symptômes comprennent des plaques pouvant couvrir de petites ou de plus gran-des zones du cuir chevelu. de même que le psoriasis fessier et périanal et la dystrophie des ongles, le psoriasis du cuir chevelu est un prédicteur de l’arthrite psoriasique.

le psoriasis est plus difficile à traiter sur le cuir chevelu que sur le corps parce que les cheveux gênent l’application de médicaments topiques. il est significatif que, chez les patients ayant perdu leurs cheveux, l’atteinte du cuir chevelu est moins fréquente.

le commission médicale de la u.s. national psoriasis foundation et les lignes directrices canadiennes pour le psoriasis indiquent en traitement de première intention les corticostéroïdes topiques à court terme, les analogues de la vitamine d et une thérapie topique combinée.

de plus, un produit combinant les cor-ticostéroïdes et les analogues de la vita-mine d sous forme de gel a été mis au point pour le cuir chevelu. Bien qu’il existe des données cliniques sur l’innocuité de la plupart de ces médicaments pour de courtes périodes (quatre semaines), le gel est le seul produit à avoir fait l’objet d’essais cliniques randomisés à long terme (sur un an), qui aient été publiés.

le mode d’administration peut jouer un rôle important pour améliorer l’effica-cité du médicament et l’observance du traitement. les formules courantes com-prennent des onguents, lotions, émulsions, crèmes et gels. les mousses ne sont pas encore distribuées au canada.

les corticostéroïdes intra-lésionnels constituent une médication de deuxième intention et, en troisième intention, on pro-pose la photothérapie, les rétinoïdes oraux, les médicaments classiques qui modifient le cours de la maladie et les agents biologiques. de manière générale, le psoriasis du cuir chevelu peut répondre moins bien aux agents biologiques que d’autres affections.

les préférences du patient sont un pôle clé du « triangle de traitement », qui com-prend des médicaments éprouvés et l’expé-rience clinique du médecin prescripteur. de fait, quand le médecin doit proposer un trai-tement à un patient, il doit toujours se poser la question : que désire le patient et qu’est-il prêt à faire ?

Le gel pour le cuir chevelu combinant deux composésle gel Xamiol, associant 50 μg/g de calcipo-triol (sous forme de monohydrate) et 0,5 mg/g de bêtaméthasone (sous forme de diproprio-nate), a été mis au point spécifiquement pour le cuir chevelu. les études démontrent l’efficacité et l’innocuité du produit jusqu’à un an pour traiter le psoriasis du cuir che-velu. la première étude randomisée à long terme sur l’efficacité et l’innocuité du gel a porté sur 869 patients qui ont reçu soit le gel, soit la monothérapie au calcipotriol, durant 52 semaines . les patients appli-quaient le gel une fois par jour sur les zones touchées, là où on voyait des plaques, conformément à la pratique clinique habi-tuelle. d’après les consultations ultérieures, la maladie a été maîtrisée avec satisfaction chez 92,3 % des patients utilisant le gel, par rapport à 80 % chez ceux du groupe recevant le calcipotriol (p <0,001), avec des effets indésirables faibles dans les deux cas.

avant cette étude, on croyait que la première cause potentielle d’effets indési-rables marqués était l’usage à long terme de corticostéroïdes. on a donc considéré que le traitement au calcipotriol, non- stéroïdien, permettrait une comparaison appropriée avec le gel parce que, si une différence dans les effets indésirables était constatée entre les deux groupes de traitement, elle serait vraisemblablement due au composé stéroïdien.

Mini-colloque de derMatologie

Deux problèmes fréquents : le psoriasis du cuir chevelu et le contrôle des infections dans le cabinet du médecin

Le présent compte rendu est un article commandité visant à informer les médecins canadiens au sujet des plus récentes avancées et réflexions en matière de pratique clinique et thérapeutique. Avant de prescrire les médicaments dont il est question dans cet article, veuillez consulter la monographie des produits. Les informations et les opinions fournies ici ne reflètent pas nécessairement celles du commanditaire.

Compte rendu:

Rendu possible grâce à une subvention à visée éducative de LEO Pharma Inc.

Le mini-colloque de dermatologie vient remédier au trop long délai – 18 mois – séparant les rencontres d’information de 2009 et de 2010, avant de reprendre le calendrier habituel à l’automne.

Le congrès a réuni des représentants de diverses spécialités cliniques, de l’industrie et de la recherche, qui ont débattu de sujets de l’heure dans l’objectif d’améliorer les soins aux patients souffrant de maladies de peau au moyen d’une approche contemporaine et prospective.

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ProfessionSanté.ca: L’ACTUALITé méDICALE EN LIGNE

NOS BLOGUEURS :Dr Roger Ladouceur, Montréal, QCDr Alain Vadeboncoeur, Montréal, QCDre Johanne Blais, Québec, QCDre Jana Havrankova, Saint-Lambert, QCFabienne Papin, journaliste, L’actualité médicale

Pourquoi je consulte ProfessionSanté.ca« Le nouveau portail ProfessionSanté.ca facilite la transition entre générations. Il existe aujourd’hui de plus en plus de moyens de mettre à jour nos connaissances et d’assurer de meilleurs soins à notre clientèle. Le défi – et il est de taille – est de passer en douceur du format imprimé à la technologie informatique. Avec ProfessionSanté.ca, nous sommes dans la bonne voie puisque chaque génération y trouve quelque chose. »—Dr François Croteau, omnipraticien, Montréal, QC

Pourquoi consultez-vous ProfessionSanté.ca*• Facile à consulter; on peut avoir une vue d’ensemble de tous les articles • On fait une revue rapide de l’actualité médicale • Archives et outil de recherche de haute capacité • Présente l’actualité du secteur de la santé au Québec, comme La Presse,

Le Devoir (ce qui le distingue des autres sites)

* Sondage auprès des lecteurs, GPAP Rogers, 2009

ProfessionSanté.ca est la page d’accueil de L’actualité médicale. Ce portail santé sécurisé unique rassemble la communauté des médecins, pharmaciens, infirmières et gestionnaires d’établissements. Chaque groupe de professionnels y trouvera un contenu conçu exclusivement à son intention, et pourra en tirer un enseigne-ment et interagir avec d’autres confrères. Veuillez consulter le planificateur média de ProfessionSanté.ca pour obtenir des renseignements sur les options suivantes :• bandeaux publicitaires• annonces dans les infolettres• annonces ou commandites d’un info-flash• annonces bulletin/texte/image dans les infolettres• e-directs/courriels• commandite d’un champ thérapeutique• commandite exclusive d’une infolettre

spécialisée dans un champ thérapeutique• commandite d’un sondage sur mesure• microsite• commandite d’une section du site• toute autre solution sur mesure – informez-

vous auprès de votre directeur de comptes.

NoS ATouTS :• Fil de presse (La Presse canadienne)• Calendrier d’événements• Votre opinion, un sondage d’opinion permanent• Info-patients, par Santé Canada• Entrevues exclusives • Articles d’opinion

Lauréat MeiLLeur site Web Canadian PharMaCeutiCaL digitaL aWard 2010

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ÉTUDES DE MARCHÉ EN LIGNE ROGERS

Accès vertical à divers publics cibles par l'intermédiaire d'une vaste gamme de revues à diffusion spécialisée et positionnées en tête de marché

Le Groupe des études de marché et des services à la clientèle de Rogers vous offre des solutions clé en main pour posi-tionner nos clients comme des leaders de l’industrie :• Accès à des publics cibles pertinents• Collecte de données opérationnelles• Études de marché fiables, menées par des tiers• Positionnement de marques au moyen de commandites

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Plus de 600 projets inter-entreprises ou menés auprès de consommateurs, depuis 2004• Vaste équipe de professionnels spécialisés en études de marché • Connaissances ouvrant la voie à des possibilités uniques de recherche • Équipe dirigée par Tricia Benn, directrice principale des études

de marché, membre du conseil du National MRIA B2B Committee.

Accès à une grande équipe de professionnels pour l'élaboration de matériel à partir de nos études :• Comités consultatifs et tables rondes• Publireportages• Direction artistique• Bulletins électroniques• Contenu rédactionnel• Événements• Médias sociaux• Réalisation Web

le Groupe des publications d’affaires et professionnelles Rogers vous donne accès à 500 000 décideurs canadiens (incluant 150 000 décideurs québécois), ainsi qu’à leur adresse de courriel. Notre lectorat dans le domaine de la santé est composé de plus de 15 000 médecins, 34 000 pharmaciens, 2 000 ges-tionnaires d’établissements et 1 500 infirmières.

AUTRES OPTIONS DE PUBLICITÉ ET MARKETING

• Encart collé sur la couverture avant : 5 1/2 po x 10 1/2 polectorat total : 11 765 $ (tarif brut) incluant insertion en polysac** Informez-vous auprès de votre directeur de comptes pour d’autres options

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SPÉCIFICATIONS TECHNIQUES – L’ACTUALITé méDICALE

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Format tabloïd

FORMAt D’ANNONCe lARGeuR HAuteuR

1 Pleine page tabloïd 10-13/16 po 16-5/8 po

2 Pleine page magazine 7-7/8 po 10-3/4 po

3 1/2 tabloïd Horizontal 10 po 8 po

4 1/2 tabloïd Vertical 5 po 16-5/8 po

5 1/3 tabloïd Horizontal 10 po 5-1/2 po

6 1/2 magazine Horizontal 8-1/8 po 5-1/2 po

7 1/2 magazine Vertical 4 po 11-1/4 po

8 1/4 tabloïd Horizontal 10 po 4 po

9 1/5 tabloïd Vertical 2 po 16-5/8 po

IMPoRTANT :Marge de sécurité : 1/4 poLe corps du texte et les éléments visuels qui ne doivent pas être rognés à vif doivent être positionnés à 1/4 po du format rogné de la publication. L’éditeur se réserve le droit d’une variation de 3/16 po du format rogné de la publication.

Pour les gabarits et les autres formats, rendez-vous sur addirect.sendmyad.com

DIMeNSIoNS STANDARD eN PouCeS

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SPÉCIFICATIONS TECHNIQUES – L’ACTUALITé méDICALE

PUBLICITÉ PLEINE PAGE• Prévoir 1/8 po (3 mm) de fond perdu

sur les quatre côtés de l’annonce pleine page (le cas échéant)

• Taille d’une annonce pleine page (fond perdu compris) : 10 3/16 po L × 16 5/8 po H (275 mm × 422 mm)

• Taille d’une annonce double page (fond perdu compris) : 21 5/8 po L × 16 5/8 po H (549 mm × 422 mm)

ZoNe uTILeLe corps du texte et les éléments visuels qui ne doivent pas être rognés à vif doivent être positionnés à 1/4 po du format rogné de la publication. Prévoir 1/4 po de chaque côté de la marge intérieure des doubles pages. L’éditeur ne sera EN AUCUN CAS RESPONSABLE de l’alignement de texte et d’images qui traversent la marge intérieure, pour les doubles pages, ou positionnés en contiguïté avec un encart, pour les pleines pages. D’ailleurs, nous déconseillonsVIVEMENT le positionnement de texte et d’images dans la marge intérieure.

PRoCÉDÉ D’IMPReSSIoNImpression sur rotative offsetPresse à débit élevé, procédé humide

TYPe De ReLIuReBrochage à cheval

SPÉCIFICATIoNS DeS FICHIeRS NuMÉRIQueSPDF/X-1a ou fichier PDF équivalent créé selon les spécifications de Rogers Média, envoyé en ligne par Magazines Canada AdDirect à www.addirect.sendmyad.com. Pour plus de détails, rendez-vous à www.rogersdigitalads.com ou communiquez avec la coordonnatrice de la production. Les Éditions Rogers ne pourront être tenues responsables du contenu ou de la prise de l’encre. Des frais seront facturés

en cas de non-respect des exigences techniques ou pour toute modification.

ENTREPOSAGE DES DOCUMENTSL’éditeur se réserve le droit de détruire tout le matériel qui lui a été fourni s’il ne lui a pas été réclamé trois mois après son dernier usage.

eNCARTS FouRNIS• Frais d’insertion : 1 200 $

(non sujets à commission)• Feuillets uniques – poids du papier :

minimum 70 lb et maximum 80 lb (texte) (entre deux formes)

• Encarts de plusieurs pages – poids du papier : minimum 45 lb et maximum 70 lb.

• Communiquer avec la coordonnatrice de la production pour obtenir les spéci-fications d’insertion et d’expédition des encarts

ENCARTS À VOLETS/RÉGIONS/ PuBLICITÉ PAR oBJeTS/ ENSACHAGE/TIRÉS À PART Communiquez avec votre directeur de comptes pour obtenir des renseignements sur ces demandes spéciales.

PoLITIQue eNVIRoNNeMeNTALePour prendre connaissance de la politique environnementale des Éditions Rogers, veuillez vous rendre à www.leseditionsrogers.ca/propos_nous/politique_environnement.shtml

CoMMISSIoNS• Commissions d’agence : 15 % – aux

agences reconnues seulement – sur le montant brut couvrant l’espace, la couleur, la position et les frais d’insertions spéciales.

• Les tarifs sont assujettis à la TPS et à la TVQ lorsque celles-ci s’appliquent.

• Les factures doivent être payées au bureau de la publication en monnaie

canadienne ou l’équivalent en mon-naies étrangères au taux de change en vigueur au moment du paiement.

CoNTRATS• Tarifs sous réserve de modification, sans

préavis.• L’annonceur ou l’agence de publicité

assument l’entière responsabilité du contenu des annonces publiées (incluant le texte, la présentation et les illustrations) ainsi que de toute réclamation qui serait adressée à l’éditeur à la suite de la paru-tion des annonces.

• Les positions garanties sont réservées pour 12 mois par contrat sans possi-bilité d’annulation.

CONDITIONS GÉNÉRALES• L’annonceur ou l’agence de publicité re-

connaît que L’actualité médicale ne peut en aucun cas être tenue responsable de n’avoir pas publié une annonce, et ce, pour quelque raison que ce soit.

• L’éditeur ne sera pas tenu respon-sable de la reproduction d’annonces en couleur, à moins que des épreuves en couleur format MAC ne lui aient été fournies.

• Tous les documents numériques seront détruits un an après leur dernier usage.

• L’éditeur pourra exiger d’être payé dans les conditions ici énoncées aussitôt que l’annonce aura été imprimée et que des dispositions raisonnables auront été prises pour faire distribuer la publication.

• Les annonces sous forme de reportage devront comporter le mot « Publireportage » écrit en 10 points au minimum en tête de page.

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SPÉCIFICATIONS TECHNIQUES – POINTS DE DISCUSSION

Format magazine

IMPoRTANT :Marge de sécurité : 1/4 poLe corps du texte et les éléments visuels qui ne doivent pas être rognés à vif doivent être positionnés à ¼ po du format rogné de la publication. L’éditeur se réserve le droit d’une variation de 3/16 po du format rogné de la publication. Pour les gabarits et les autres formats, rendez-vous sur addirect.sendmyad.com

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1 Pleine page 7-7/8 po 10-3/4 po2 Double-page 15-3/4 po 10-3/4 po3 2/3 page vertical 4-5/8 po 10 po4 1/2 page îlot 4-5/8 po 7-1/2 po5 1/2 page vertical 3-3/8 po 10 po6 1/2 page horizontal 7 po 4-5/8 po7 1/3 page vertical 2-1/4 po 10 po8 1/3 page horizontal 7 po 3-1/8 po9 1/3 Page Square 4-5/8 po 4-5/8 po10 1/4 page horizontal 7 po 2-3/8 po11 1/4 page carré 3-3/8 po 4-7/8 po

FORMAt ROGNÉ : 7-7/8 po 10-3/4 po

DIMeNSIoNS STANDARD eN PouCeS

la gestion de la douleuraoût 2010

le deuxième d’une série de suppléments éducatifs destinés aux médecins de soins primaires et aux pharmaciens

Vers l’amélioration de la communication patient-professionnelpointsdediscussion

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CONTACTS

MoNTRÉALDirectrices de comptes

Josée Plante514 [email protected]

Pauline Shanks514 [email protected]

Sans frais1 866 408-4455

ANNoNCeS CLASSÉeSCARRIÈReS eT PRoFeSSIoNSNancy Dumont514 843-2132Sans frais : 1 866 [email protected]

ÉDITRICe eXÉCuTIVeGROUPE SANTÉ ROGERSJanet Smith416 [email protected]

ÉDITRICe GROUPE SANTÉ, QUÉBECCaroline Bélisle514 [email protected]

RÉDACTRICe eN CHeFCatherine Choquette514 [email protected]

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