PA R I S - J E U D I 2 0 M A R S 2 0 0 8 - E S PA C E TA J A N

Exposition Espace Tajan

37 rue des Mathurins - 75008 Paris - T. +33 1 53 30 30 30

Du lundi 10 au vendredi 14 mars de 9h à 18h

Le samedi 15 mars de 11h à 18h

Du lundi 17 au mercredi 19 mars de 9h à 18h

Directeur du Département Wilfrid CazoT. +33 1 53 30 30 21cazo-w@tajan.com

Spécialistes

Experts

Commissaire-Priseur habilité Wilfrid Cazo

Jeudi 20 mars 2008 à 19h00

TAJAN S.A. Société de Ventes Volontaires de meubles aux enchères publiques - Société Anonyme agréée en date du 7 novembre 2001 sous le n°2001-006. N° RCS Paris B 398 182 295

Espace Tajan37 rue des Mathurins 75008 Paris

CÉRAMIQUE, MOBILIER ET OBJETS D’ART DES XVI I E, XVI I I E ET XIX E SIÈCLES

La vente est soumise aux conditions générales imprimées en fin de catalogue

Georges et Louis Lefebvre (lots 15, 36, 37, 57, 58)24 rue du Bac 75006 Paris+33 1 42 61 18 40

Camille Bürgi(lots 1 à 8, 10 à 21, 23 à 24, 26 à 27, 29 à 31,33 à 35, 38 à 40, 42 à 45, 47 à 56, 60 à 79, 81à 82, 84, 86 à 94, 97, 100, 103 à 105, 107 à110, 112 à 118, 120 à 129, 131, 133 à 138,140 à 142, 144 à 145, 148 à 156, 158 à 168,171 à 184)3, rue Rossini 75009 Paris+33 1 48 24 22 53

Cabinet le Fuel et de l’EspéeRoland de l’EspéeMarie de la Chevardière(lots 9, 22, 25, 28, 32, 41, 46, 59, 80, 83, 85,95 à 96, 98, 101 à 102, 106, 111, 119, 130,132, 139, 143, 146 à 147, 169, 170)14 rue Drouot 75009 Paris+33 1 42 46 10 46

Odile Vérot (lot 166)123, rue des Dames 75017 Paris+33 6 85 83 71 10

Caroline BessonT. +33 1 53 30 30 60besson-c@tajan.com

Fax +33 1 53 30 30 69

Sandrine Crochat T. +33 1 53 30 30 84crochat-s@tajan.com

Vente 8854

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1CABINET FLAMANDde forme allongée avec un ressautcentral qui dissimule une rangée decinq tiroirs. Il ouvre en façade pardeux rangées de trois tiroirs en écaillede tortue rougie. Il repose sur quatrepieds à tournage en bobines reliéspar deux arcatures en fer. Entrées deserrure en bronze patiné.XVIIe siècleHAUT. 141 - LARG. 69 - PROF. 24 CM

18 000/25 000 €

2IMPORTANT LAMPADAIRE en bronze ciselé et redoré, à fûttriangulaire à décor de bustesféminins, urnes fleuries et feuilla-ge. Pied tripode à crosses repo-sant sur une base en marbrefleur de pêcher.Style Régence, fin du XIXe siècle.Signé LAGAR à Paris sous labase.HAUT. 195 CM

25 000/35 000 €

8

3PAIRE D’APPLIQUES en bronze doré à trois bras delumière surmontant un masque desatyreEpoque Napoléon IIIHAUT. 38 CM

4 500/6 000 €

4CARTEL ET SA CONSOLEen placage d’écaille rouge et laitonmarqueté de rinceaux feuillagés etvolutes, le cadran à chiffresémaillés pour les heures.Décoration de bronzes ciselés telsque pots enflammés, mascarons,appliques à décor d’allégories, lespieds en forme de griffes. Il reposesur une console.Style Louis XIV, XIXe siècle(Avec des éléments anciens, manques etaccidents)SANS SOCLE : HAUT. 81,5 - LARG. 54,5 CM

PROF. 23,5 CM

AVEC SOCLE : HAUT. 114,5 - LARG. 54,5 CM

PROF. 23,5 CM

4 000/5 000 €

5 CABINETlaqué noir et rouge ouvrant à deuxrangées de cinq tiroirs, au centresimulation d’une architecture enca-drée de colonnes torses surmon-tées d’un chapiteau corinthien,orné dans sa partie supérieure demotifs floraux. Piétement rapportéà torsade en poirier noirciXVIIIe siècleHAUT. 200 - LONG. 104 - PROF. 64 CM

13 000/15 000 €

9

8EXCEPTIONNELLE TABLE CONSOLE DE MILIEUen bois sculpté et doré à quatre faces en très bon état ; elle repose sur quatrepieds mouvementés terminés par un enroulement ; les deux traverses de faça-de sont ajouréesEpoque Régence, début du XVIIIe siècle. Sud de la FranceHAUT. 82,5 - LARG. 170 - PROF. 93 CM

50 000/80 000 €

Bibliographie : à rapprocher de la console dans le Tome II Mobilier du Musée du Louvrepage 44

10

6LUSTREde forme “Mazarin” en bronze doré,finement sculpté à six bras de lumière.Fin XIXe siècle HAUT. 70 - LARG. 78 CM

13 500/15 000 €

7MIROIR À PARCLOSESà fronton en bois sculpté doré, àdécor de rinceaux et palmettes.Epoque régenceHAUT. 235 - LARG. 129 CM

14 000/18 000 €

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9 *COMMODEDe forme rectangulaire en placage d’ébène et bois teinté, marqueté d'unvase de fleurs sur un entablement décoré d’oiseaux, feuilles d’acanthes,volutes. Elle ouvre à trois rangs de tiroirs, les montants arrondis à cannelures simu-lées. Elle repose sur des petits pieds. Epoque Louis XIV(Restaurations, reprises de placage)HAUT. 84 - LARG. 131 - PROF. 59 CM

60 000/80 000 €

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11 PAIRE D’ENCOIGNURESen bois de rose et de violette, marqueterie losangée. Entrées de serrure, tablier et chutes en bronze doré et ciselé.Dessus de marbre gris.Epoque Régence(Certains bronzes postérieurs)HAUT. 93 - LARG. 57 - PROF. 57 CM

10 000/12 000 €

10PAIRE DE BOUGEOIRSen bronze doré ciselé. Ils reposent sur un piedoctogonal orné de guirlandes feuillagées et demédaillons. La base présente un décor losan-gé. Le fût en balustre est décoré demédaillons. Ils possèdent leurs bobèches.Début du XVIIIe siècle.Style Régence(Usures de la dorure)HAUT. 25 CM

1 500/2 000 €

15

12LUSTRE en bois sculpté et doré à huit bras de lumière, à décor de feuillages, de feuilles d’acanthe et graine dans la partie inférieure. Epoque Louis XIV Coupelle en tôle du plafonnier rapportée.HAUT. 71 - DIAM. 89 CM 20 000/30 000 €

13BERGÈRE LONGUE À OREILLESen noyer mouluré et sculpté reposant sur six pieds cambrés de forme bateau, bout de pied amovibleEpoque RégenceHAUT. 112 - LARG. 206 - PROF. 83 CM 12 000/15 000 €

16

14PAIRE DE BOUGEOIRSen bronze ciselé et doré, le fût en forme de carquoisest surmonté de trois têtes de femmes voilées. Lespieds reposent sur une base circulaire.Epoque EmpireHAUT. 30 - DIAM. 14 CM

3 000/4 000 €

16CONSOLE D’APPLIQUEen bronze ciselé et doré orné de feuilles d’acanthestylisées.Epoque Louis XV HAUT. 25 - LARG. 24,5 CM

6 000/8 000 €

15CHINE (PORCELAINE)Tasse à décor camaïeu bleu avec fleurettes rouges et or dans lestyle imariXVIIIe siècle(Socle usé)Monture en métal doréFin XIXe siècleHAUT. 12,2 CM

1 000/2 000 €

17

17TABLE EN CONSOLE en bois doré, reposant sur quatre pieds cambrés sculptés de coquilles de rinceaux, reliés par une entretoise en X. Le car-touche en ceinture est sculpté d’une coquille rocaille.Epoque Louis XVHAUT. 80.5 - LARG. 108 - PROF. 23 CM

45 000/60 000 €

18

18CONSOLEde forme mouvementée en bois doré et sculpté, reposant sur un piétement présentant deux atlantes à l’avant et deux espa-gnolettes à l’arrière. L’entretoise est centrée de deux putti. La ceinture est ornée d’une coquille sculptée à claire-voie et reprendle décor du piétement, de rinceaux et de feuilles d’acanthe. La console est surmontée d’un plateau de bois en trompe l’œilimitant le marbre.Travail VénitienFin XVIIe siècleHAUT. 84 - LARG. 152 - PROF. 69 CM

55 000/60 000 €

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19RARE PAIRE DE CASSOLETTES en bronze ciselé et doré, à décor d’écailles et de feuilles d’acanthe. Prise de couvercle orné d’une graine. Elles reposent surquatre petits pieds cambrés.Epoque Louis XV, milieu du XVIIIe siècle HAUT. 10,5 - LONG. 10 - PROF. 7 CM

20 000/30 000 €

Provenance : Ancienne collection “M. Sigismond Bardac” vente à la Galerie Georges Petit en 1920; lot N°58Des urnes similaires ornent le bureau du Roi dans le cabinet intérieur de Louis XV à Versailles, exécuté par Jean-François Oeben et Jean-Henri Riesener entre 1760 et 1769.“Ledit secrétaire orné de quatre vases aux quatre coins de la balustrade, d’une pendule entre deux cassolettes faite par Lépine, à cadrand’émail… (sic)… les Arts et les Vertus cardinales portant le médaillon de Louis XV. La construction générale par Oeben, sous la direction deFontanieu, Garde Général des Meubles de la Couronne et amateur averti. Lors de la mort de Oeben en 1763, la conception de ce meubleextraordinaire, à laquelle le modeleur Duplessis, le ciseleur Hervieux, le marqueteur ouvrier d’Oeben, Wynant Stylen, la répartition du travailétait confirmée. Cet ouvrage collectif demandera neuf ans et le prix le plus élevé jamais payé pour un meuble (62000 livres en 1769) Pièceunique donc ce meuble de Louis XV et Louis XVI qui, à sa place d’origine, est sans doute l’œuvre la plus extraordinaire du mobilier Royalconservé à Versailles”.Bibliographie : Le mobilier de Versailles XVIIe et XVIIIe siècles tome I pages 124, 125,126,130.

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20PAIRE D’APPLIQUESen bronze doré et ciselé à deux bras de lumière.Epoque Louis XV, vers 1750HAUT. 60 - LARG. 34 CM 30 000/35 000 €

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21SCULPTURE “LE PRINTEMPS”en plâtre patiné. Femme en robeample tenant une corbeille de fruits.Elle repose sur une base carrée.Travail allemand du XVIIIe siècle(Petites égrénures)HAUT. 174 - LARG. 70 CM

10 000/15 000 €

23

22 *COMMODEde forme galbée en laque noir, or et polychrome dans le goût de la Chine à décor de personnages, oiseaux et pagodes. Elleouvre à deux tiroirs sans traverse en façade et repose sur des pieds cambrés. Décoration de bronzes ciselés et dorés telsque : chutes, poignées, sabots.Dessus de marbre fleur de pêcher.Deuxième moitié du XIXe siècle, style Louis XV(Quelques éclats)HAUT. 83 - LARG. 85 - PROF. 49 CM

8 000/10 000 €

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23ÉLÉGANT BUREAU PLAT de forme galbée en placage de palissandre marqueté, en feuilles il ouvre à trois tiroirs en cein-ture et repose sur des pieds cambrés. Riche décoration de bronzes tels que poignées feuilla-gées, chutes ajourées ornées de volutes, sabots fermés et ceinture d’un bec de corbin sur leplateau.Estampille de Jacques DUBOISEpoque Louis XVHAUT. 78 - LARG. 150 - PROF. 69 CM 80 000/100 000 €

Reçu maître le 5 septembre 1742. Jacques DUBOIS (~ 1693 - 1763). Un des plus célèbre des grands ébénistes parisiens sous le règne deLouis XV ; un bureau similaire de Dubois est conservé au musée de Cleveland, Etats-Unis.

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24FRAGMENT DE TAPISSERIEen laine. Décor à la Berain représentant des jeux d’enfants dans un médaillon centralsurmonté d’un dais. Présence d’un cadre. Epoque Louis XIVHAUT. 75,5 - LARG. 58 CM

3 000/3 500 €

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25COMMODE de forme galbée en placage de bois de violette et satiné marqueté de filets. Elle ouvre à quatre tiroirs en façade et repose surdes pieds cambrés. Décoration de bronzes ciselés et redorés tels que : chutes feuillagées, sabots à feuilles d’acanthe, poi-gnées, entrées de serrure, tablier asymétrique. Estampillée J.TUART.Epoque Louis XV(Restaurations, reprises dans les tiroirs et les serrures)HAUT. 89 - LARG. 147,5 - PROF. 69 CM

25 000/35 000 €

Jean-Baptiste TUART, ébéniste reçu maître en 1741. Ce modèle est caractéristique de l’ébéniste Jean-Baptiste TUART. On retrouve des chutes identiques sur deux autres commodes (1).(1) - Vente à l’hôtel George V le 25 juin 1996 n°215.- Vente à Zurich le 3 juin 1997 n°151.

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26BUSTE D’HOMMEen marbre de Carrare sculpté. Il repose sur un socleà piédouche en marbre brèche. Signé PUGIFin XIXe siècleBUSTE : HAUT. 71 - LARG. 43 CM

10 000/15 000 €

Actif à Florence de 1870 à 1915.

27SUITE DE QUATRE FAUTEUILS à dossier plat, en bois relaqués blanc, rechampisd’or. Moulurés et sculptés d’urnes et feuillages.Pieds cambrés. Garniture de tapisserie à décor ani-malier et floral. Style Louis XVHAUT. 96 - LARG. 66 - PROF. 57 CM

10 000/15 000 €

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28COFFRE À BIJOUX de forme rectangulaire légèrement galbé en placage de bois de violette marqueté de losange. Le pla-teau démasque huit casiers, il ouvre à un vantail latéral démasquant six tiroirs, pieds cambrés réunis parun plateau. Décoration de bronzes ciselés et redorés tels que : chutes, sabots. Estampillé I. DUBOIS.Epoque Louis XV(Quelques restaurations)HAUT. 117,5 - LARG. 64 - PROF. 50 CM

20 000/30 000 €

Jacques Dubois, ébéniste, reçu maître en 1742.

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29PAIRE D’ENFILADESde forme mouvementée en chêne mouluré et sculpté ouvrant à quatre vantaux. Repose sur deux pieds droits à l’arrière et surquatre pieds antérieurs à enroulement et feuilles d’acanthe.Dessus de marbre rouge belge. Style Louis XVHAUT. 97.5 - LONG. 173 - PROF. 65 CM 17 000/20 000 €

30PEINTUREDans l’esprit d’HUET, représentant un groupe de chinois surun pont.Huile sur toileFin XIXe siècleHAUT. 202 - LARG. 233 CM

20 000/30 000 €

31TABLE À GIBIER en noyer sculpté mouluré reposant sur quatre pieds cam-brés, chaussés de sabots de biche. Première moitié du XVIIIe siècleDessus de marbre gris veinéHAUT. 81 - LARG. 152 - PROF. 73 CM

28 000/35 000 €

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32PAIRE DE CHENETSen bronze ciselé et doré représentant un couple de personnages symbolisant Vulcain et Vénus assis sur des bases rocaillesornées de feuilles d’acanthe, volutes.XVIIIe siècle(Quelques restaurations).HAUT. 37 - LARG. 38 CM 10 000/12 000 €

Ces chenêts sont à rapprocher d’une paire conservée au Musée du Louvre et reproduite dans “Vergoldete Bronzen” par H. Ottomeyer et P.Pröschel, Munich 1986 p 113 n° 2.4.4.

33CHEMINÉEen marbre brèche d’Alep, galbée et sculptée d’une coquille. Fin XVIIIe siècle.Plaque de cheminée à décor de la fable de La Fontaine “Le renard et la cigogne” avec son entourage en fonte. XIXe siècleLARG. 106 - HAUT. 101 - PROF. 29 CM 8 500/10 000 €

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34IMPORTANTE LANTERNE à six bras de lumière en bronze ciselé et redoré à décor rocaille à volutes et feuilles d’acanthesstylisées. Style Louis XVHAUT. 150 - LARG. 85 CM

45 000/60 000 €

Exécutée d’après le modèle du château de Fontainebleau, Escalier du Roi.Pierre Verlet note que Lazare Duvaux en livra une similaire en 1758 pour le salon de Saint Hubert. D’autresfurent commandées pour les châteaux de Choisy et Bellevue.Bibliographie : Les bronzes dorés français du XVIIIe siècle, Pierre Verlet, page 95, planche 105.Vergoldete Bronzen, Die Bronzearbeiten des Spätbarock und Klassizimus, Hans Ottomeyer / Peter Pröschel,page 136, planche 2.10.1

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35PETIT MIROIR de forme chantournée, en bois doré mouluré et sculp-té de volutes et feuilles d’acanthe. A l’amortissement,se trouve un panache.Travail Italien du XVIIIe siècle.HAUT. 62 - LARG. 40 CM

1 200/1 500 €

36CHINE (PORCELAINE)Plat creux festonné à décor camaïeu bleu de branchesfleuries rayonnantes, au centre rochers percés avecarbustes.XVIIIe siècleMonture en argent hollandaise XIXe siècle(Cheveux)DIAM. 27 CM

200/300 €

37DELFT (FAÏENCE)Intéressante garniture à décor camaïeu bleu représen-tant des scènes chinoises avec coquilles et lambre-quins composée de trois vases couverts de formebalustre et d’une paire de vases cornet couverts à panscoupés.Marque d’atelier WVDB, XVIIIe siècle(Réparations)HAUT. DES VASES : 36 CM

2 300/3 000 €

38PORTE-MONTREen bronze doré et ciselé, supportée par un taureau che-vauchant une terrasse mouvementée de rocaille. Decette dernière s’émancipe un bouquet fleuri en porcelai-ne de Meissen. Signé sur le mouvement Abraham Vuer (ou AbrahamYver) à AngoulêmeXVIIIe siècleHAUT. 23 - PROF. 17 CM

15 000/16 000 €

39TABLEde milieu de forme rectangulaire en bois sculpté à décorde feuillages. Plateau à décor en léger relief, le piéte-ment ajouré repose sur quatre pieds en console à décoren volutes et feuillages terminés par des griffes, réunispar une entretoise en X portant en son centre un motiffloral.XVIIe siècle(Restaurations et parties refaites)HAUT. 95 - LARG. 181 - PROF. 65 CM

22 000/25 000 €

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40 ENCOIGNURE PROVENCALEen vernis Martin ouvrant à une porte à décor de fleurset papillons. Elle repose sur trois pieds droits.Dessus de marbre.Epoque Louis XVHAUT. 92 - LARG. 51 - PROF. 51 CM

6 000/8 000 €

41 *PAIRE DE BERGÈRESà dossier violonné en bois naturel mouluré et sculptéde fleurettes. Les accotoirs galbés, la ceinture mou-vementée, elles reposent sur cinq pieds cambrés.Deuxième moitié du XVIIIe siècle(Renforts)HAUT. 82 - LARG. 65 - PROF. 55 CM

12 000/15 000 €

42BUFFET À DEUX CORPSen bois laqué vert en rechampi or, richement décoré, la partie haute ouvrant à deux portes, la partie basse à trois tiroirs gal-bés. Décor de rinceaux à fond verts et moulures en bois doré. Il repose sur six pieds droits.XVIIIe siècle(Parties refaites, moulures manquantes)HAUT. 247 - LARG. 130 - PROF. 53 CM

12 000/15 000 €

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44SECRÉTAIRE À ABATTANTde forme rectangulaire, marqueté en placage desatiné et de bois de violette. La partie supérieureouvre à un abattant de forme chantournée. Lapartie inférieure présente deux vantaux.Montants à pans coupés. Sabots, entrées deserrure et tablier en bronze doré et ciselé. Dessus de marbre brèche d’Alep.Epoque Louis XV HAUT. 129 - LARG. 84 - PROF. 40 CM

13 000/15 000 €

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43RARE GROUPE REPRÉSENTANT UN JEUNE COUPLE DE MUSICIENSen porcelaine de Meissen. Monté en bronze ciselé et doré. Epoque Louis XVHAUT. 27 - LARG. 30 CM

15 000/20 000 €

Bibliographie : reproduit dans le Pierre Kjellberg Objets Montes page 89.

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45PETIT CARTELen bronze doré et ciselé à décor de feuillages, fleurs et rocailles.Le cadran émaillé blanc est signé Le Cois à Paris.Epoque Louis XVHAUT. 38 - LARG. 40 CM

7 000/8 000 €

46PENDULE AU SANGLIERen bronze ciselé, doré et patiné, la partie supérieure ornée d’unchinois, le cadran signé de Delisle à Paris avec indication desheures et des minutes. Elle repose sur une base mouvementéedécorée de feuilles d’acanthes.Style Louis XV, deuxième moitié du XIXe siècleHAUT. 40,5 - LARG. 27 CM

3 000/5 000 €

47BUREAU PLAT en placage de bois de rose et bois de violette ouvrant par trois tiroirs en ceinture, reposant sur quatre pieds cambrés, doubleface. Dessus de cuir vert. Riche ornementation de bronzes ciselés et dorés.Epoque Louis XV(Certains bronzes rapportés)HAUT. 77 - LARG. 182 - PROF. 96 CM

30 000/40 000 €

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48TRÈS RARE BUREAU DE PENTEen laque de Chine rouge et vernis Martin ouvrant à un abattant. Il est orné sur toutes les faces de scènes chinoises et demotifs végétaux. Il repose sur quatre pieds légèrement cambrés. L’intérieur présente six tiroirs à décor de cannage et troiscasiers à secret. Il est orné de chutes, sabots, encadrements en bronze ciselé et doré. Dans le goût de BVRB.Epoque Louis XV(Restaurations)HAUT. 86 - LARG. 98 - PROF. 55 CM

250 000/350 000 €

BVRB, dynastie d’ébénistes originaires de Hollande, qui travaille à Paris à partir de 1696. Trois générations, portant les mêmes prénoms etnoms et se distinguant par un chiffre. BVRB a été l’un des premiers à cintrer les panneaux de laque de Chine pour leur donner les formesgalbées de l’époque.

Bibliographie : Dictionnaire des Mobiliers et des Objets d’art : du Moyen Age au XXIe siècle, Aurélia et Anne Lovreglio, p.81

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49MOBILIER DE SALONcomprenant huit fauteuils, uncanapé en bois mouluré et doré,dossier plat cintré. Pieds cam-brés. Garniture en tapisseried’Aubusson à décor des fables dela Fontaine. Epoque Louis XV, travail parisienDIM. DES SIÈGES : HAUT. 96 - PROF. 60 CM

LARG. 68 CM

30 000/45 000 €

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50MEUBLE À HAUTEUR D’APPUIde forme mouvementée en placage de bois de violette, galbé sur trois faces, ouvrant par un rideau coulissant à lamelles. Richeornementation de bronzes dorés et ciselés tels que chutes, sabots, applique, repose sur quatre petits pieds cambrésDessus de marbre brèche d’AlepEstampille de Jacques DUBOISEpoque Louis XVHAUT. 93 - LARG. 98 - PROF. 41 CM

12 000/15 000 €

Reçu maître en 1742.Jacques Dubois (~1674-1763). Un des plus célèbre des grands ébénistes parisiens sous le règne de Louis XV.

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51MIROIR CINTRÉen bois doré et laqué gris. Orné au sommet d’une tête de femme. Il est agrémenté de deux appliques en bronze ciselé et doréreprésentant des amours tenant un bras de lumières dans chaque main.Fin XIXe siècle.HAUT. 172 CM

LARG. (AVEC APPLIQUES) 155 CM

LARG. (SANS APPLIQUES) 94 CM

12 000/15 000 €

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52COMMODE À RESSAUTen bois de placage et marqueterie. Il ouvre à trois tiroirs en ceinture et deux tiroirs sans traverse à décor d’un trophée demusique, rubans, vases fleuris. Montants à cannelures simulées, reposant sur quatre pieds cambrés. Riche ornementation debronzes ciselés et dorés tels que : entrelacs, chutes, sabots, entrées de serrure, appliques, poignées mobiles.Dessus de marbre blanc veinéEstampille de Jean-Girard SAR Epoque TransitionHAUT. 99 - LONG. 130 - PROF. 63 CM 30 000/45 000 €

Jean-Girard SAR reçu maître en 1766.

53EXCEPTIONNEL MIROIRenchâssé dans une riche armaturerocaille en bronze ciselé et doré;agrémenté de deux bras de lumière àvolutes et soutenus par une consoleen bronze doré, décoré de chimères,de deux putti et sommé d'un angelotsurmontant une coquille.Début de l'époque Louis XVHAUT. 81 - LARG. 49 CM

120 000/150 000 €

A rapprocher du pendule de SaintGermainBibliographie : Pierre Kjellberg, “ LaPendule Française” pendule à musiquefigure F page 116

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54CONSOLE D’APPLIQUEen bronze ciselé et doré orné de feuillesd’acanthe stylisées. Dessus de marbre rose.Signée PICART.Style Louis XVI HAUT. 25 - LARG. 24,5 CM

6 000/8 000 €

55 CHAISE À LA REINEen bois doré naurel mouluré et sculpté.Estampille de BOUCAULTEpoque Louis XVHAUT 89,5 - LARG.57 - PROF. 40 CM

4 500/ 6 000 €

Reçu Maître le 8 avril 1786Jean BOUCAULT (1705-1786) Menuisier ensièges, il produit des modèles Louis XV et tran-sition de bonne qualité, élégants, discrètementsculptés ou moulurés.Bibliographie : Pierre Kjellberg, Edition del’amateur, Le mobilier français du XVIIIe siècle,p.84

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56PETITE TABLE en vernis Martin ouvrant par une porte en façade découvrant un intérieur plaqué de satiné et d’amaran-te, à décor d’oiseaux, papillons, rubans et fleurs. Elle repose sur quatre pieds légèrement cambrés, des-sus de marbre fleur de pêcher.Style Louis XVHAUT. 70,5 - LARG. 40,5 - PROF. 32 CM

35 000/50 000 €

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57NAPLES (FAÏENCE FINE)Paire de groupes émaillés blanc représentant des couples surmontés de branchages et reposant sur des socles ajourés“rocaille”.XIXe siècle, marqués(Accidents et manques)HAUT. 41 CM

8 000/10 000 €

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58JACOB PETIT ET SAXE -GENRE DE- (PORCELAINE)Paire d’importantes figurines à décor polychrome représentant un couple portant des corbeilles ajourées “rocaille” avec desguirlandes de fleurs en relief reposant sur des socles “rocaille” à motifs blancs et or pouvant faire usage d’encrier.Les socles marqués Jacob Petit, fin du XIXe siècleLes figurines portent des marques apocryphes de MeissenHAUT. 36 - LONG. 34 CM

6 000/8 000 €

59CHEMINÉEde forme mouvementée en marbre blanc mouluré et sculpté de coquilles, feuilles d’acanthe, fleurettes. Les montants termi-nés par des enroulements.Deuxième moitié du XIXe siècle(Egrenures)HAUT. 140 - LARG. 180 - PROF. 49,5 CM

15 000/20 000 €

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60 PAIRE DE PETITS VASESen jaspe et monture en bronze doré à décor de corde-lettes.Epoque Louis XVIHAUT. 20 - LARG. 7 CM

6 000/7 000 €

61PAIRE DE CANDÉLABRESen bronze doré et ciselé à deux bras de lumière ornéd’un pot à feu, montants à cannelures reposant surune base ronde.Epoque Louis XVIHAUT. 38 - LARG. 26 CM

7 000/8 000 €

62IMPORTANTE ARMOIRE FORMANT SECRÉTAIREen bois de placage et marqueterie. Les montantsarrondis à cannelures simulées reposent sur des piedsfuselés. La partie inférieure du meuble ouvre par quatrevantaux. La partie médiane ouvre par un abattantdécouvrant un secrétaire muni de rayons et de tiroirs. Ilest flanqué de deux vantaux découvrant six tiroirs etdes étagères. La partie supérieure ouvre par deux van-taux vitrés. Il est orné de marqueterie de bouquets defleurs, rubans et l’abattant est orné d’un paysageanimé en médaillon fleuri. Il est orné d’éléments enbronze ciselé et doré aux chutes, aux entrées de ser-rures et aux extrémités des vantaux et de l’abattant.Epoque Louis XVIHAUT. 216 - LARG. 148 - PROF .53 CM

22 000/25 000 €

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63TRÈS BEL ENCRIERen bronze ciselé et doré à décor de postes etguirlande de feuilles retenues par des pastilles ;surmonté de deux encriers.Epoque Louis XVILONG. 31,5 - PROF. 19 - HAUT. 13,5 CM

15 000/20 000 €

64PENDULEen bronze ciselé, doré et patiné. L’amour soulevantune draperie découvrant un boîtier circulaire àcadran émaillé, supporté par une demi-colonnecannelée. Base rectangulaire ornée de guirlandes.Socle en marbre blanc à frise de postes.Style Louis XVI, milieu du XIXe siècle(Restaurations)HAUT. 58 - LONG. 44 CM

6 000/8 000 €

Bibliographie : Modèle reproduit dans l’ouvrage Diefranzosische bronzeurn, planche 245, page 209.

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65BUREAU PLATde forme rectangulaire en amarante et placage d’amarante, incrusté de filets de laiton. Il ouvre à deux tiroirs en ceinture. Ilrepose sur quatre pieds fuselés. Dessus de cuir marron. Riche garniture de bronze.Modèle de MONTIGNYSigné GROHE sous les tiroirsStyle Louis XVI, époque XIXe siècleLARG. 113 - PROF. 65 CM

15 000/20 000 €

GROHE Guillaume (1808-1885)Il est un des principaux ébénistes de son époque. Il acquiert en quelques années une brillante réputation et se spécialise dans les meubles destyle. Il est le fournisseur du roi Louis-Philippe, des princes et princesses, de l’empereur Napoléon III et de l’impératrice Eugénie, et après 1862,de la reine d’Angleterre. On lui confie l’ameublement de Chantilly et du château de Chenonceau.Bibliographie : ULRICH LEBEN, Molitor, ébéniste de Louis XVI à Louis XVIII, p.56.

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68PAIRE DE CANDÉLABRES en bronze doré et ciselé. A décor de vase ovoïde àdeux anses reliées par des guirlandes de fleurs ; sixbras de lumière à décor de volutes feuillagées naissentd’une couronne de pampre. Ils sont sommés de troistêtes d’aigles et d’un bouquet de fleurs. Le tout reposesur un pied cannelé avec une base circulaire à décor deperles et de rubans torsadés.D’après un modèle de GOUTHIEREFin XVIIIe - début XIXe siècleHAUT. 74 - LARG. 32 CM

25 000/35 000 €

Pierre GOUTHIERE (1732-1813)Il travailla pour Madame du Barry et pour la Couronne deFrance.Un modèle très rapprochant est conservé à la Frick Collection,New York, U.S.A.

66BAROMÈTREen bois sculpté et doré à trophée de chasse surmonté d’unruban noué. XVIIIe siècleHAUT. 107 - LARG. 54 CM

5 000/8 000 €

67VASE POT POURRI en forme d’urne en bronze patiné et doré sommé d’uncouple d’oiseaux. A décor d’anses en têtes de lion réuniespar des draperies. Il repose sur une demi colonne garnie deguirlandes de feuillages. Base en bronze doré et marbre.Style Louis XVIHAUT. 39 CM

2 000/3 000 €

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69PETIT BUREAU DE DAME reposant sur quatre pieds gaine terminés par desroulettes. Il ouvre par deux tiroirs en ceinture etprésente deux tiroirs simulés au dos. Il est sur-monté d’un plateau gainé de cuir agrémentéd’une lingotière. Il est marqueté de bois de placa-ge à motif de frise de postes. L’ensemble est ornéde bronze doré et ciselé tels que : moulures, cha-piteaux, triglyphes, chutes, aux entrées serrures,aux bagues et sabots, poignées mobiles. Estampillé GARNIEREpoque Louis XVI HAUT. 72 - LARG. 84 - PROF. 48.5 CM

90 000/100 000 €

Pierre GARNIER (vers 1720 - 1800) reçu Maître le 31décembre 1742Il est l’un des grands ébénistes du XVIIIe siècle. Grâce àsa faculté d’adaptation aux fluctuations du goût, ilcompte parmi sa clientèle de très riches personnagesdu royaume qui lui passeront d’importantes com-mandes. Avec Leleu, Œben, Montigny, Riesener, PierreGarnier, trop souvent oublié, reste un des promoteurs etun des maîtres les plus originaux du style Louis XVI. Bibliographie : Pierre Kjellberg édition de l’amateur Lemobilier français du XVIIIe siècle p. 338

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71PETITE TABLEen bois de placage et marqueterie debois exotiques reposant sur quatrepieds cannelés et présentant un tiroiren ceinture surmonté d’un plateauagrémenté d’une galerie ajourée, àdécor de motifs à la reine.L’ensemble est orné d’éléments debronze doré et ciselé et d’un enca-drement de filet de perles en ceintu-re. Le plateau présente. Style Louis XVI, XIXe siècle(Manques et restaurations)HAUT. 71 - LARG. 62,5 - PROF. 30,5 CM

3 000/4 500 €

70PAIRE DE CASSOLETTES FORMANT BOU-GEOIRSen bronze doré et ciselé. La panse est en bron-ze patiné vert. Elles reposent sur de largesbases ornées d’un décor de filet de perles, depalmettes et des rais de cœur, liés aux vases parde larges feuilles d’acanthe, se prolongeant pardeux anses. Sommé d’un couvercle terminé parune graine et frise feuillagée. Style Louis XVI(Manque une graine)HAUT.19 - LARG. 8 CM

2 500/3 500 €

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72LUSTRE EN BRONZEà six bras de lumière retenus par trois chaînes.Le corps du lustre est surmonté d’un pot à feu etse termine par une pomme de pin. Epoque Louis XVIHAUT. 88,5 - DIAM. 58 CM

20 000/35 000 €

73 SCULPTUREen plâtre patiné représentant le Duc de Saint Simon Elle est la réplique réduite d’une statue des arcades du Louvre réaliséepar Pierre Hebert, en 1857.Elle porte la signature «Pierre HEBERT, 1857»XIXe siècleHAUT. 154 - LARG. 46 - PROF. 54 CM

12 000/13 000 €

Le Duc de Saint Simon (1675-1755) est un écrivain français célèbre pour sesmémoires dans lesquels il raconte la vie de la Cour sous Louis XIV.

Pierre HEBERT (1804-1869) est élève de Jacquot et rentre le 2 avril 1831 àl’Ecole des Beaux Art de Paris. Il expose au Salon de 1839 à 1869.Bibliographie : E. Benezit, Gründ, Dictionnaire des peintres sculpteurs dessina-teurs et graveurs; p.449.

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74PAIRE DE BRÛLE-PARFUMen bronze ciselé et doré et porcelaine de Sèvres à fond bleu. Emprise en forme de pomme de pin. Ils sont agré-mentés de deux anses et d’un couvercle ajouré à décor de feuilles d’acanthe. Ils reposent sur un piédouche cir-culaire. Socle de forme carrée.Epoque Louis XVIHAUT. 27 - LARG. 15 CM

8 000/10 000 €

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75TABLE À ÉCRIREde forme ovale en acajou et placage d’acajou, elle ouvre à deux tiroirs en ceinture, le plateau ceintd’une galerie, pieds gaine ornés de plaques brettées réunis par une tablette d’entrejambe incur-vée à galerie. Pieds terminés par des cubes ornés de mascarons.Attribuée à RœntgenFin du XVIIIe siècleHAUT. 77,5 - LARG. 75,5 - PROF. 52,5 CM

25 000/30 000 €

Bibliographie : ABRAHAM UND DAVID RŒNTGEN, MÖBEL FÜR EUROPA, 621, p313

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76PENDULEen bronze doré représentant l’allégorie de la sagesse. Elle repose sur une base en marbre bleu Turquinornée d’un perlé.Cadran signé de PÉRACHE, horloger à ParisBronze signé MORLAYEpoque Louis XVI, vers 1770 HAUT. 39 - LARG. 40 - PROF. 17 CM

20 000/25 000 €

René François MORLAY (1756-1786) fondeur et ciseleur à Paris en 1779. PÉRACHE a été nommé maître en 1733, il fut horloger à Paris

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77TABLE À OUVRAGEen acajou et placage d’acajou décorée de filets noirs, laiton et acajou massif pour les moulures. Les deux montants latérauxsont décorés de fausses cannelures de laiton teminées par des roulettes. Dessus de marbre brocatelle d’Espagne encerclédans une large galerie en bronze doré. Attribuée à WEISWEILEREpoque Louis XVI(Restaurations)HAUT. 77 - LARG. 81,5 - PROF. 45,5 CM

20 000/30 000 €

78PENDULE en bronze doré et ciselé reposant sur une colonne décorée d’une scène de putti jouant avec les attributs des sciences (map-pemonde, télescope, etc.) Elle est flanquée de deux pilastres sur lesquels reposent un homme et une femme Leurs mains sont liées et entourent lecadran. L’ensemble est surmonté de deux colombes.Style Louis XVIHAUT. 50 - LARG. 22 - PROF. 12 CM

3 000/5 000 €

79ELÉGANTE TABLE DE SALONdite tricoteuse en acajou et placage d’acajou de Cuba. Plateau rectangulaire à abattant ceint d’une moulure de bronze cise-lé. Des balustres en bronze reposant sur des montants en colonne à cannelures d’étain terminés par des pieds toupie réunispar une entretoise à la découpe caractéristique de Weisweiler.Estampille A.WEISWEILER sur la traverse arrière.Epoque Louis XVILONG. 54 - LARG. 27 - HAUT. 74 CM

35 000/40 000 €

Reçu maître le 26 mars 1778.Adam Weisweiler, un des brillants ébénistes de son époque, passe pour être né à Neuwied-sur-le-Rhin, où il aurait reçu sa formation tech-nique dans l’atelier de David Roentgen.Il vint à Paris au début du règne de Louis XVI et s’établit rue du Faubourg Saint Antoine, il est reconnu pour son ébénisterie de luxe ce quilui valut des commandes pour la Reine à Saint Cloud. Ces œuvres sont des meubles de fantaisie pleine de grâce et de légèreté. Il continuaà travailler pendant la révolution et sous l’Empire ,il est à la tête d’un négoce considérable. Il se retira des affaires en 1809.Bibliographie : Le Mobilier du XIXe siècle, Kjellberg, les éditions de l’amateur, p.162.

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80 *TABLE DE SALONde forme rectangulaire à léger ressaut dans les angles en placage de bois de rose, amarante, loupe et bois teinté, marquetéde livres, encrier, draperies, dans des encadrements de filets à grecques. La façade marquetée d’une frise de postes sur destablettes saillantes. Le plateau coulissant démasque un tiroir formant écritoire et trois casiers. Elle repose sur des pieds engaine. Décoration de bronzes ciselés et dorés tels que : rosaces, moulures, triglyphes, sabots. Estampillée C.TOPINO.Epoque Louis XVI(Restaurations)HAUT. 69,5 - LARG. 46,5 - PROF. 31 CM

60 000/75 000 €

Une table similaire mais non estampillée se trouve au Musée Nissim de Camondo à Paris, sous la référence n°346, dans la pièce intitulée“Petit Bureau”. Ces modèle de table se distinguaient des tables ordinaires, elles étaient généralement munies d’une tablette formant un pupitre, de tiroirspour loger encre, plumes…La table à écrire est devenue, au milieu du XVIIIe siècle, un élément important du mobilier féminin. Celle-ci, comme bon nombre de ces tables,ne révèle sa fonction qu’une fois la tirette sortie et le tiroir ouvert avec tous les accessoires requis.Ajoutons que, pour satisfaire la passion d’écrire du XVIIIe siècle, les marchands à la pointe de la mode déployèrent toute leur ingéniosité pourembellir ces jolis meubles. Charles TOPINO fut reçu maitre à Paris en 1773. Cet ébéniste rencontra un franc succès auprès des amateurs de mobilier ancien comme en témoigne l’abondance de ses œuvres dans lacollection de Camondo. On lui doit quantité de petits meubles tels que les tables “chiffonnières”, les bonheurs du jour, les consoles ou tablesde toilettes à transformation. Bibliographie : Le mobilier français du XVIIIe siècle, dictionnaire des ébénistes et des menuisiers, Pierre Kjellberg, les éditions de l’amateur,page 841.

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81SCULPTURE “LA MOISSONEUSE”en marbre blanc représentant une femme dans un drapé, coiffée d’un chapeau et portant unegerbe de blé. Elle repose sur une base carrée.Signée sur la terrasse H.LOMBARDXIXe siècleHAUT. 87,5 - LARG. 26,5 CM

6 500/8 000 €

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82SIX CHAISES ET DEUX FAUTEUILS laqués blanc à dossier canné. La ceinture est ornée de motifs floraux et d’une coquille. Les pieds sont cannelés et rudentés. Epoque Louis XVIHAUT. 90 - LARG. 59 - PROF. 48 CM

12 000/15 000 €

83 *MIROIR À FRONTONen bois doré mouluré et sculpté à décor ajouré de trophées de musique, fleurettes et guirlandes de feuillesde chêne, frises de rais de cœur avec des fleurons en écoinçons.Epoque Louis XVIHAUT. 173 - LARG. 97 CM

12 000/15 000 €76

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84CONSOLE DEMI-LUNEen bois doré et sculpté, elle repose sur quatre pieds fuselés cannelés surmontés de rosaces, réunis par une entretoise ornéeen son centre d’un vase couvert et de guirlandes feuillagées. Dessus de marbre gris Sainte Anne.Epoque Louis XVI(Eclats de dorures)HAUT. 87 - LARG. 148 - PROF. 63 CM

15 000/18 000 €

85PAIRE DE VASES de forme ovoïde en pierre et pierre reconsti-tuée sculpté de lambrequins et surmontésde fruits, grappes de raisin et feuillages à lapartie supérieure. Ils reposent sur une baseronde à piédouche et un socle carré.Fin du XVIIIe - début du XIXe siècle(Accidents et parties refaites)HAUT. 75 CM

3 000/4 000 €

86PAIRE DE BERGÈRESde forme incurvée en hêtre mouluré, dossieren chapeau de gendarme. Accotoirs termi-nés par un enroulement. Elles reposent surquatre pieds fuselés et cannelés. Epoque Louis XVIHAUT. 92 - LARG. 66 - PROF. 58 CM

6 000/8 000 €

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87 CASSOLETTEen spath fluor et bronze doré et ciselé. Anses à décor de têtes debélier. Elle repose sur un piédouche. Socle de marbre brèched’Alep. Emprise en forme de pomme de pin.Fin XVIIIe siècleHAUT. 29 - LARG. 10 CM

6 000/8 000 €

88PETITE CONSOLE DESSERTEen acajou et placage d’acajou. Le piétement composé de quatrepieds fuselés surmontés de quatre balustres cannelées reliés parune tablette d’entretoise agrémentée d’une lingotière de bronze.Ceinture ouvrant à un tiroir. Elle est ornée d’éléments de bronzeciselé et doré aux mains et entrées de serrures ; motifs de grat-toirs aux montants, encadrement et sabots.Dessus de marbre blanc veiné gris serti d’une lingotière en bron-ze doré.Début du XIXe siècleHAUT. 78 - LARG. 70 - PROF. 46 CM

4 500/6 000 €

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89TRÈS BELLE TABLE DE SALONen placage d’acajou et acajou de forme ovale ouvrant à trois tiroirs agrémentés d’une moulure de bronze doré. Letiroir central laisse apparaître une tirette amovible avec un cuir vert formant écritoire et miroir, les tiroirs latéraux pivo-tent sur l’axe de ce dernier. Pieds gaines agrémentés de bronze bretté et surmontés d’une rosace stylisée et de cannelures. Le meuble estceinturé d’une lingotière de bronze bretté. Dessus de marbre brèche du Languedoc orné d’une galerie en bronze doré.Attribuée à Rœntgen Epoque Louis XVIHAUT. 77,5 - LONG. 78 - PROF. 61 CM

130 000/150 000 €

Rœntgen (1743-1807), maître en 1780. Ebéniste allemand qui a travaillé pour la Cour de France. La Reine Marie Antoinette et leComte d’Artois, frère du Roi, lui achètent des meubles. Il a fourni au Roi Louis XVI le meuble le plus cher jamais commandé : “lecabinet du Roi”.

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90BAROMÈTRE-THERMOMÈTREen bois sculpté et doré surmonté d’un bouquet floral, orné de feuilled’acanthe, fleurs stylisées et godrons dans la partie inférieure.XVIIIe siècleHAUT. 99 - LARG. 42 CM

3 500/4 000 €

91FAUTEUIL en cabriolet, en hêtre mouluré et laqué crème àdossier en médaillon. Il présente des frises de raisde cœur sur la traverse, les consoles d’accotoir etle dossier. Il repose sur des pieds fuselés à canne-lures. Estampille de C.SENEEpoque Louis XVIHAUT. 97,5 - LARG. 58 - PROF. 50 CM

6 000/8 000 €

Reçu maître le 31 juillet 1769.SENE Claude travaille rue du Faubourg Saint Denis jus-qu’en 1783, puis s’installe rue de Cléry. Il aurait reçuquelques commandes du Garde-meuble de la Couronne,mais il semble avoir surtout travaillé pour une clientèle pri-vée. Sa production cessera avec la révolution, mais onignore la date de sa mort. Il a laissé d’excellents siègesLouis XVI, élégants, bien dessinés, très délicatementsculptés.Bibliographie : Pierre Kjellberg édition de l’amateur Lemobilier français du XVIIIe siècle, p.804-805.

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92VASE À CANDÉLABRE en porphyre suédois. De formeovoïde à décor d’un bouquet defleurs en bronze doré et ciselé ilrepose sur un piédouche. Socle deforme octogonale.XVIIIe siècleHAUT. 136 - DIAM. 26 CM

30 000/40 000 €

Cadeau du roi de Pologne Stanislas auComte de Ludre.

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93PAIRE DE CONSOLES DESSERTE en acajou et placage d’acajou toutes faces. La ceinture ouvre à deux tiroirs. Les montants fuselésreposent sur quatre pieds fuselés et cannelés terminés par des roulettes, réunis par une entretoiseagrémenté d’une galerie. Elles possèdent deux tirettes de côté. Ornementations de bronzes ciseléset dorés tels que sabots, poignées mobiles. Dessus et entretoise de marbre gris Sainte-Anne. Epoque Louis XVIHAUT. 89 - LARG. 147 - PROF. 39 CM

100 000/120 000 €

La console desserte est une création typique du mobilier Louis XVI, elle est utilisée pour les premières salles àmanger pour recevoir la vaisselle destinée aux repas. Ces dessertes sont munies de roulettes qui leurs permet-tent d’être déplacées au gré de leur utilisation pour les grands dîners.

94DEUX GRANDS MIROIRSen bois sculpté, doré et laqué à décor de fleurs, feuilles et volutes. Fronton ajouré.Travail italien, XIXe siècleHAUT. 227 - LARG. 114 CM POUR L’UN

HAUT. 230 - LARG. 124 CM POUR L’AUTRE

12 000/15 000 €

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95 *PAIRE D’APPLIQUESà deux branches de lumière ornées de guirlandes deroses en bronze doré, ciselé, le fût agrémenté d’unecoupe enflammée et décoré de nœuds de ruban.Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle(Percées pour l'électricité)HAUT. 68,5 - LARG. 29 CM

20 000/30 000 €

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96PAIRE DE CONSOLESde forme demi-lune en bois relaqué vert et doré, la ceinture sculptée de guirlandes de laurier, perles. Elles reposent surdes pieds en gaine cannelée décorés de palmettes.Travail italien, fin du XVIIIe - début du XIXe siècle, Piémont.Dessus de marbre brècheHAUT. 91,5 - LARG. 100 - PROF. 50 CM

25 000/35 000 €

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97BAROMÈTREen bois sculpté et doré surmonté d’une couronne de laurier etdes attributs de la science tels que mappemonde et règleXVIIIe siècleHAUT. 80 - LARG. 51 CM

3 500/4 000 €

98TABLE À JEUde forme rectangulaire avec un plateau creusé. Elle ouvre à deuxpetits tiroirs latéraux, deux tiroirs en façade, et un compartimentformant damier et en se déployant un tric-trac avec ses jetons.Elle repose sur des pieds fuselés et cannelés terminés par desroulettes.Estampillée MOREAU.Epoque Louis XVI.(Restaurations).HAUT. 74 - LARG. 88,5 - PROF. 56 CM

4 000/6 000 €

Louis MOREAU, ébéniste reçu maître en 1764.Provenance : Vente à Lyon le 6 mars 1989 n° 123.

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99PAIRE DE CANDÉLABRES en granit vert à cinq bras de lumière en bronze doré en forme de bouquet de fleurs, à décor de vase à deux anses à tête deboucs reliées de guirlandes de fleurs ; reposant sur un pied cannelé et une base carrée.XVIIIe siècleHAUT. 66 - LARG. 23 CM

25 000/30 000 €

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100SURTOUT DE TABLEen bronze ciselé et doré, de forme ovale ceint d’une balustrade à décor de guirlandes de fleurs et de fruits. Quatre pilastresen marbre blanc supportant quatre urnes formant bougeoirs. Fond de glace.Style Louis XVI, fin du XIXe siècleHAUT. 18 - LARG. 74 - PROF. 44 CM

10 000/15 000 €

101 *TABLE DE SALLE A MANGERde forme ovale à deux volets rabattables en acajou et placage d’acajou. Elle repose sur six pieds gaine à pans coupés termi-nés par des sabots de bronze et des roulettes.Epoque Louis XVI(Restaurations et possibilité d’allonges)HAUT. 71 - LONG. 140 - PROF. 71,5 CM

12 000/15 000 €

102 *JARDINIÈREen acajou et placage d’acajou, ornementation en bronze doré et ciselé. Sur chaque montant des panneaux, présence d’ou-tils de jardin, instruments de musique et fleurs avec, au centre, deux chiffres : “C.G”. Les deux autres d’un chapeau, d’un flam-beau, d’un cahier et sa plume et d’une enveloppe, avec, au centre également les chiffres : “A.V”. Un tiroir latéral caché est intégré dans une ceinture cannelée, avec deux macarons situés à chaque angle. Sur chaque mon-tant des panneaux est incrusté une ornementation de lauriers en bronze doré et ciselé. Elle repose sur quatre pieds fuselésréunis par un entrejambe agrémenté d’une galerie.Entrejambe en acajou encadrée d’une galerie de bronze. Epoque louis XVIHAUT. 82,5 - LARG. 75,5 - PROF. 46,5 CM

10 000/12 000 €

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103PAIRE DE VASES COUVERTSen marbre noir dit « petit antique » et enbronze doré et ciselé. le couvercle estorné d'une pomme de pin, de feuillesd'acanthe ainsi que de godrons. La panseest ornée de têtes de bélier en bronzedoré et ciselé. Le vase repose sur unsocle godronné, perlé, orné de couronnesfeuillagées. Base carrée.Modèle de GouthièreEpoque Louis XVIHAUT. 51 - LARG. 29 CM

80 000/100 000 €

Ce marbre (début de l’exploitation de la carriè-re pendant l’Antiquité) a été utilisé pour deuxautels à l’église de Saint Germain des Prés àParis, pour l’église Saint Andréa della valle àRome pour l’église de la Madeleine à Paris etau château de Versailles.

Pierre Joseph Désiré GOUTHIÈRE (1732 ou1745- 1813 ou 1814), dessinateur, ciseleur surbronze et ornemaniste. On lui doit de nom-breux ouvrages personnels, où la virtuosité neva pas sans une vive sensibilité. Son œuvre laplus connue est la lanterne du Trianon, àVersailles, de 1776

Bibliographie : E. BENEZIT, Dictionnaire despeintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs,Gründ, p.137.

Provenance : Château de M.

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104SECRÉTAIREen placage d’acajou. Il repose sur quatre pieds toupies. La partie supérieure ouvre par un abattant découvrant un cabinet munide nombreux tiroirs et de petits vantaux.Au dessus de l’abattant, un tiroir, surmonté d’un marbre gris turquin. La partie inférieure présente deux vantaux ouvrant surtrois tiroirs. Les montants arrondis sont cannelés. Incrustation de bois noirci aux encadrements de l’abattant et des vantaux.Les entrées de serrures, grattoirs et chutes sont en bronze doré.Epoque Louis XVI(Marbre accidenté)HAUT. 144 - LARG. 97 - PROF. 39 CM

7 500/9 000 €

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105PAIRE DE VASESen porcelaine de Canton montés en candélabres à dix bras de lumières. Monture en bronze ciselé et doré, à décor d’ange-lots et feuillage. Ils reposent sur une base ronde à quatre pieds à enroulements.XVIIIe siècle pour la porcelaine.Milieu du XIXe siècle pour la monture.HAUT. 118 - DIAM .24 CM

18 000/25 000 €

106 *EXCEPTIONNELLE BIBLIOTHÈQUEBASSE à ressaut en plaquage d’ébène incrustéde filets de laiton. Elle repose sur six piedstoupies écrasés et ouvre par trois portesvitrées découvrant trois étagères.L’ensemble est surmonté d’un dessus demarbre. Elle est richement ornée par des bronzesdorés et ciselés tels qu’en ceinture, parune frise alternant des feuilles d’acanthesdéchiquetées et des coquilles, aux enca-drements, par des frises de feuilles devigne, au piètement, par des bagues surla traverse inférieure, par des frises d’oveset des fleurettes et sur les montants auniveau des entrées de serrures par deslyres couronnées croisées de deux flam-beaux.Estampille de Levasseur jeune, frère dePierre Etienne, il travailla de 1798 à 1841.Début du XIXe siècleHAUT. 120 - LARG. 171 - PROF. 56,5 CM

60 000/80 000 €

LEVASSEUR jeune maintint les traditions de safamille et, comme ses prédécesseurs, se spé-cialisa dans la confection et la réparation desmeubles de Boulle, meubles peu répandus,mais recherchés avec avidité des amateurs etdes antiquaires, dit Le Bazar parisien quisignale que LEVASSEUR est peut-être le seuldans Paris à faire ce genre de travail.

Bibliographie : Le mobilier français du XIXe

siècle, dictionnaire des ébénistes et desmenuisiers, Pierre Kjellberg, les éditions del’amateur, page 432.

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107LUSTREen bronze ciselé, doré et patiné à six branches de lumière, orné de trois amours jouant du pipeau et d’uneflamme. Fin XIXe, début XXe siècleHAUT. 103 - LARG. 60 CM

10 000/15 000 €

101

108VASEen marbre, de forme Médicis. La panse à motif de godrons surmonte un piédouche circulaire évasé et unebase quadrangulaire. Orné de deux anses en bronze doré et finement ciselé à motif de feuilles d’acanthes. Ilrepose sur une gaine en spath fluor et marbre.Attribué à Matthew BoultonEpoque XVIIIe siècleHAUT. 34,4 - LARG. 12 - PROF. 12 CM

18 000/20 000 €

Le spath fluor est exploité uniquement en Angleterre à partir des années 1760 dans des carrières et des mines près deCasteldon dans les Derbyshire : le spath fluor est utilisé par les lapidaires afin de réaliser des objets d’ornement.Le bronzier anglais Matthew Boulton s’intéresse à ce matériau dès 1768. il renonce par ailleurs à son projet d’exploiter unemine, mais prétend plus tard avoir obtenu l’exclusivité de la production. En réalité, il achète en 1770 plus de 14 tonnes despath fluor au marchand John Platt. Boulton devient alors le spécialiste de cette pierre et plus particulièrement de la varié-té appelée « blue john », et l’utilisait dans un grand nombre de ses productions : pendules, vases, luminaires…

Bibliographie : The Work of Matthew Boulton, M. Goodison, Londres, 1974 Phaidon, page 29.

109PAIRE DE VITRINESen bois sculpté, laqué et doré. Elle ouvre par deux portes vitrées ornées de motifs feuillagés.Style Louis XVI, fin XIXe siècle(Avec éclairage)HAUT. 199 - LARG. 73 - PROF. 20 CM 15 000/25 000 €

102

103

110PENDULEen bronze doré et ciselé, porcelaine ornée d’angelots en médaillon. Cadran indiquant jours de la semaine,mois, heures, minutes, secondes, phases de la lune. Sonne les heures et les demi-heures. Mouvement et cadran émaillé blanc de FILON à ParisEpoque Louis XVI(Accident au cadran et sur la porcelaine)HAUT. 51 - LARG. 32 - PROF. 20 CM

40 000/50 000 €

104

111 *SUITE DE SIX FAUTEUILSà dossier en chapeau de gendarme en bois redoré mouluré et sculpté de raies de cœur, piastres, feuilles d’acanthe. les accou-doirs terminés par des enroulements, la ceinture légèrement cintrée. Ils reposent sur des pieds fuselés et cannelés.Estampillés DIEUDONNEEpoque Louis XVI(Petits éclats)HAUT. 84,5 - LARG. 60,5 - PROF. 53 CM

25 000/30 000 €

DIEUDONNE Claude (II), 1739-vers1780, Maître le 30 mai 1765. Fils et successeurd’Etienne II Dieudonné, il a laissé des sièges Louis XV et Louis XVI dans le goût classique.Provenance : Versailles, le 1er décembre 1985.Bibliographie : - B.C.B. Pallot, “L’art du siège au XVIIIe siècle”, Paris, 1987, p.305.- Kjellberg, “Le mobilier du XVIIIe siècle”, Paris, 1989, p.263

105

112PAIRE DE GRANDES APPLIQUES en bronze doré et ciselé orné de rubans, de nœuds, guirlandes de fleurs et de masques.Présence des bobèches.Epoque Louis XVIHAUT. 145 CM

20 000/25 000 €

106

113PAIRE DE COLONNESde forme oblongue en marbre“Nero antico” reposant sur desbases rondes en marbre blanc etsocle en marbre carré du XIXe

siècle.Epoque Romaine HAUT. 193 - BASE : 31 X 31 CM

20 000/25 000 €

Une paire de colonnes semblable estvisible au musée de la Villa Borghèse àRome.Bibliographie : Marmi antichi edizionide Luca 1997 page 254 et 255Roma, Museo della Villa Borghese,sala Egizia, edicola della porta colonnedi rimpiego in nero antico.

107

114PAIRE D’ATHÉNIENNESen bois peint, doré et mouluré, vasque en bronze. Elle repose sur trois pieds ornés dans la partiesupérieure de tête de bouquetin, dans la partie inférieure, sabots sur la base tripode ornée d’unmotif central. Epoque Louis XVI pour les vasques en bronzeAthénienne en bois du XIXe siècle.HAUT. 83 - LARG. 37 CM

60 000/70 000 €

Bibliographie : Nicole de Reyniés, conservateur de l'inventaire général et des fouilles archéologiques, “LeMobilier domestique, vocabulaire typologique”, Ed. 1987, Imprimerie Nationale, p. 1149

115VITRINE À RESSAUT en bois sculpté et doré. A décor de guirlandes, rais de cœur et feuilles d’acanthe. Surmontée par deux amours. Elle ouvre partrois portes vitrées. Elle repose sur huit petits pieds fuselés.Style Louis XVI. Fin du XIXe siècle.HAUT. 160 - LARG. 142 - PROF. 42 CM 10 000/15 000 €

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109

116DEUX VASES en porphyre suédois, couvercle à prise de pomme de pin en bronze doré.Epoque Louis XVI(Eclats)HAUT. 35 CM (38 CM AVEC SOCLE) POUR L’UN

HAUT. 36 CM (39 CM AVEC SOCLE) POUR LE SECOND

15 000/20 000 €

110

117IMPORTANT LUSTREà dix-huit lumières, en bronze doré et ciselé, pampilles de cristal.Circa 1920HAUT. 100 - DIAM. 80 CM

2 000/3 000 €

118PAIRE DE PARAVENTS À TROIS FEUILLES ET PAIRE DE PARAVENTS À DEUX FEUILLESen soierie imprimée et cloutée à motif de guirlandes de feuilles et de fleurs stylisées, de volutes et de rinceaux dans la partieinférieure. Dans la partie supérieure, motifs de guirlandes et écusson orné de deux cygnes.Style NéoclassiqueDIMENSIONS D’UNE FEUILLE HORS TOUT : HAUT. 311 - LARG. 80 CM

5 000/6 000 €

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119 *IMPORTANT ET RARE BUREAU PLAT de forme rectangulaire en acajou et placage d’acajou. Il ouvre à quatre tiroirs en ceinture. Le plateau est garni de cuir. Il repo-se sur des pieds gaine. Ornements de bronze ciselé et doré tels que bagues, entrées de serrure et sabots. Estampillé JACOB FRERES, RUE MESLEE (1796-1803) Epoque EmpireHAUT. 77 - LARG. 195- PROF. 85 CM

30 000/45 000 €

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Les deux fils de Georges Jacob, Georges II et François-Honoré-Georges s’associent en 1796 pour reprendre l’atelier de leur père sous laraison sociale et l’estampille “Jacob frères, rue Meslée”.Cette courte association (1796-1803) se situe à un très important moment où la reprise commerciale, après le marasme révolutionnaire, etla faveur dont les Jacob jouissaient auprès de Bonaparte leur permirent de donner une nouvelle extension à leur affaire, ce qui les plaça aupremier rang des fabricants, suprématie qu’ils conservèrent pendant toute leur activité. Bibliographie : Le mobilier Français du XIXe siècle, Denise Ledoux-Lebard, les éditions de l’amateur, page 270.

120LUSTREà seize lumières en bronze doré ajouré, guirlandes de cristal.Travail suédois circa 1830HAUT. 93 - DIAM. 80 CM

12 000/15 000 €

114

121GUÉRIDONen acajou et placage d’acajou. Piétement cariatide réuni par une entretoise de forme stylisée. Riche ornementation de bron-ze ciselé et doré. Agrémenté d’une galerie ajourée.Dessus de marbre bleu turquin, orné de bronze doré.Signé GROHEXIXe siècleHAUT. 74 - LARG. 71.5 CM

25 000/35 000 €

GROHE Guillaume (1808-1885)Il est un des principaux ébénistes de son époque. Il acquiert en quelques années une brillante réputation et se spécialise dans les meublesde style. Il est le fournisseur du roi Louis-Philippe, des princes et princesses, de l’empereur Napoléon III et de l’impératrice Eugénie, et après1862, de la reine d’Angleterre. On lui confie l’ameublement de Chantilly et du château de Chenonceau. Bibliographie : ULROCH LEBEM, Molitor, ébéniste de Louis XVI à Louis XVIII, p.56.

115

122LAMPE BOUILLOTEen bronze doré et ciselé à trois lumières, surmontée d’un abat-jour vert.Probablement Russe.Début du XIXe siècleHAUT. 70 - LARG. 30 CM

3 000/4 500 €

123BUREAU PLATen acajou et placage d’acajou, il ouvre par cinq tiroirs en cein-ture et repose sur quatre pieds-gaine à décor de cariatides etterminés par des pieds-griffes. Dessus de cuir vertStyle EmpireHAUT. 72 - LARG. 85 - PROF. 49 CM

3 000/4 500 €

116

124BIBLIOTHÈQUEen acajou et placage d’acajou ouvrant à trois portes à décor de cariatides et garnie de bronze ciselé et redoré. Elle reposesur huit pieds griffés.Style EmpireHAUT. 166,5 - LARG. 160 - PROF. 46,5 CM

3 000/4 000 €

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125CONSOLE en bois doré et sculpté reposant sur deux pieds droits à l’arrière et deux pieds antérieurs à décor de griffons réunis par uneentretoise ajourée ornée d’un blason. La ceinture ouvrant par deux tiroirs, poignées de tirage à masques. Dessus de marbre blanc.HAUT 95 - LARG 182 - PROF 65 CM

8 000/10 000 €

126PAIRE DE VASESen bronze doré et ciselé, à décor d’enfants jouant de la flûte et de nymphes jouant du pipeau, se terminant en chandeliersimulant un bouquet de roses. Ils reposent sur un piédouche. Socle de forme carrée.Epoque EmpireHAUT. 63 - LARG. 34 CM

25 000/30 000 €

Provenance : collection LEDOUX LEBARD

119

127PENDULEen porphyre et marbre blanc. Un personnage symbolisant probablement le temps est accoudé sur lapendule surmontée d’une urne tronconique. Ornementation de bronzes ciselés et dorés tels quemotifs feuillagés, vase, étoiles et scène animée.Epoque Louis XVI(Manque pied, aiguilles, mouvement en bon état)HAUT. 51 - LARG. 39 - PROF. 17 CM

9 000/12 000 €

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128CONSOLE de forme rectangulaire en acajou et placage d’acajou. La ceinture est décorée d’une rosace ornée de deux palmettes en soncentre. Elle repose sur deux montants postérieurs encadrant un fond en miroir et deux montants antérieurs surmontés depilastres en bronze doré. Dessus de marbre griotte rouge. Estampillée Jacob D. R. Meslee (1803-1813)Epoque EmpireHAUT. 100 - LARG. 144 - PROF. 42 CM

30 000/40 000 €

Ce marbre très exploité au XVIIIe siècle : “cheminée et dessus du médailler, Cabinet intérieur du Roi et plateau des commodes Mazarines,Château de Versailles”.Bibliographie : Identification des marbres de Jacques Dubarry de Lassale, Edition H. Vial, pages 94-95.

129PAIRE D’APPLIQUES en bronze doré à quatre lumières à décor demasques, de palmettes et de cors de chasse termi-nées par une flèche. Signées de F. LINKEStyle EmpireHAUT. 64 - LARG. 36 CM

8 000/9 000 €

François LINKE (1855-1946) présenta à l’exposition univer-selle de 1900 un bureau en bois de violette et bronze d’unstyle Louis XV extravagant pour lequel il obtint une médailled’or. Toutes ses oeuvres sont d’une grande qualité d’éxé-cution.Bibliographie : Mobilier français du XIXe siècle, DeniseLedoux Lebard, les éditions de l’amateur, page 439.

122

130PENDULEen bronze ciselé doré et patiné représentant “leporteur au panier”. Elle repose sur une base rec-tangulaire ornée d’un singe, de vase fleuri et pal-mettes. Elle repose sur des patins.Epoque Restauration(Restaurations, fêles au cadran, choc, manques)HAUT. 35 - LARG. 27 CM

6 000/9 000 €

Cette pendule a été exécutée d’après le dessin du bron-zier Jean André Reiche en janvier 1808.Cf exposition : “De noir et d'or” pendule au bon sauva-ge. Bruxelles 1993 Musées Royaux d'art et d'histoire.

123

131VASEen spath fluor monté sur bronze ciselé et doré. Il repose sur unsocle orné de motifs feuillagés.Attribué à Matthew BOULTON vers 1780.HAUT. 29 - LARG. 10 CM

DIM. SOCLE : 8,5 X 8,5 CM

10 000/15 000 €

Le bronzier anglais Matthew Boulton s’intéresse à ce matériau dès 1768.Il renonce par ailleurs à son projet d’exploiter une mine, mais prétend plustard avoir obtenu l’exclusivité de la production. En réalité, il achète en1770 plus de 14 tonnes de spathfluor au marchand John Platt. Boultondevient alors le spécialiste de cette pierre et plus particulièrement de lavariété appellée “blue john”, utilisait dans un grand nombre de ces produc-tions : pendules, vases, luminaires… Bibliographie : The Work of Matthew Boulton, M.Goodison, Londres, 1974Phaidon, page 29.

132COMMODEde forme rectangulaire en acajou et placage d’acajou maillé et boispatiné. Elle ouvre à quatre tiroirs, les montants en pilastre. Ellerepose sur des pieds antérieurs à griffes de lion et des pieds pos-térieurs fuselés.Epoque EmpireDessus de granit noir.(Restaurations)HAUT. 88,5 - LARG. 128 - PROF. 62 CM

7 000/10 000 €

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133PAIRE DE CONSOLES de forme rectangulaire en acajou et placage d’acajou.Elle ouvre par un tiroir en ceinture orné de godrons. Pieds antérieurs sculptés de caria-tides, pieds postérieurs gaine. Réunis par une entretoise en forme d’accolade. Plateau enscagliola à décor antiquisant. Travail italien du début du XIXe siècle.HAUT.95 - LARG.125 - PROF.62 CM

38 000/45 000 €

La scagliola est une technique destinée à imiter la marqueterie de pierres dures. A base de poudrede marbre, cette technique économique était déjà employée sous l’Antiquité. La poudre de marbrede couleur est mélangée à de la poudre de sénélite, à du plâtre et de la colle ; puis appliquée surun enduit mouillé. L’ensemble est alors poli pour faire ressortir les couleurs, donnant ainsi l’impres-sion d’un marbre

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134SCULPTUREen marbre blanc présentant un faune et une jeune femme portant une cruche.HAUT. 145 - LARG. 105 - PROF. 52 CM

18 000/25 000 €

Madrassi né à Tricessimo (1848-1919) Il vient étudier à Paris à l’école des Beaux-Arts et prend la nationalité française. Très imaginatif, il exé-cute de nombreux bustes, des statuettes de groupes et de genre.Bibliographie : Pierre KJELLBERG “Les bronzes du XIXe siècle”, dictionnaire des sculpteurs, pages 445 à 447.

135BIBLIOTHÈQUEen noyer, la partie haute ouvre par deux portes vitrées montants à chapiteau corinthien. La partie basse ouvre à une tirette enceinture et deux vantaux. Elle repose sur une plinthe. Corniche moulurée.Epoque EmpireHAUT. 266 - LARG. 165 - PROF. 51 CM

13 000/15 000 €

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136PANNEAUà décor de rubans, de panier fleuris, de vase à anses.Début XIXe siècleHAUT. 141 - LARG. 45 CM

1 500/2 000 €

137THERMOMÈTREen marbre, signé de GAGGINI opticien de S.M. l’Empereur,rue de l’échelle.Début XIXe siècle(Fronton rapporté)HAUT. 115 - LARG. 35 CM

3 000/4 500 €

129

138STATUE en marbre blanc représentant une femme au tam-bourin avec un panier de grappes de raisin. Fêtedes vendanges. Elle repose sur socle en bois peint.Signée SCHLOTH Ferdinand sur le socle et datéROME 1874.HAUT. 136 CM

35 000/45 000 €

SCHLOTH Ferdinand (1818-1891) maître de la sculptureSuisse, étudia à Bâle, à Munich mais surtout à Rome. Ila laissé une grande production dont certains modèlessont dans les musées de Bâle et Neuchatel.Bibliographie : E. Benezit, Gründ, Dictionnaire despeintres sculpteurs dessinateurs et graveurs, pages 230.

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139 *JARDINIÈREde forme octogonale en acajou et placage d’acajou. Le futen balustre, elle repose sur une base quadrangulaire termi-née par des patins, décoration de bronzes ciselés et redo-rés tels que : bagues et patins.Epoque Empire(Quelques accidents de placage)HAUT. 92 - LARG. 49 CM

8 000/10 000 €

140 *GAINEde forme carrée en acajou et placage d’acajou mouluré. Ellerepose sur une plinthe. Dessus de granit noir.XIXe siècle(Quelques accidents de placage, petits manques)HAUT. 132 - LARG. 38,5 - PROF. 38,5 CM

4 000/6 000 €

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141CENTRE DE TABLEen bronze patiné et doré, orné de putti portant flambeaux,couronnes de fleurs et corbeilles de fruits. Surmonté d’unecoupe en cristal travaillée en pointes de diamant.Epoque EmpireHAUT. 38 - LARG. 26 CM

8 000/10 000 €

142PAIRE DE CENTRES DE TABLEen bronze doré et ciselé, décor de puttitenant une vasque en cristal. Décor defleurs de laurier sur la base. Trois cou-pelles de cristal gravées.Epoque Empire(Fêlures sur deux plateaux)HAUT. 57 - LARG. 21 CM

8 000/10 000 €

143IMPORTANTE BIBLIOTHÈQUEen acajou et placage d’acajou, elle repose sur une plinthe et ouvre par six portes vitrées découvrant des étagères amovibles.Montants ornés de quatre pilastres. Ensemble coiffé d’une corniche moulurée en doucine.XVIIIe siècleHAUT. 280 - LONG. 512 - PROF. 38 CM

35 000/45 000 €

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144PAIRE DE BOUGEOIRSen bronze ciselé et doré, ornée de cariatides repo-sant sur une base perlée ornée de feuillesd’acanthe.Epoque début XIXe siècleHAUT. 33 - DIAM. 14,5 CM

12 000/15 000 €

145VASE COUVERTen bronze doré, ciselé et patiné de forme Médicis repo-sant sur un piédouche. Le couvercle supportant unputto tenant deux cornes d’abondance d’où jaillissentdes raisins grappillés par des putti en frise sur la panse.Epoque XIXe siècle(Probablement pot à tabac)HAUT. 40 - DIAM. 15 CM

4 000/6 000 €

146 *PAIRE DE FAUTEUILSen acajou et placage d’acajou. Ils sont ornés d’incrustations d’ébène à décors de grecque en bandeau et de larges filets auxmontants. Le dossier est ajouré et sculpté. L’assise est garnie de cuir et repose sur quatre pieds sabre.Epoque Regency, travail anglais.HAUT. 90 - LARG.49 - PROF. 43 CM

10 000/15 000 €

147 *SUITE DE SIX CHAISESen acajou et placage d’acajou. Elles sont ornées d’incrustations d’ébène à décors de grecques en bandeau et de larges filetsaux montants. Le dossier est ajouré et sculpté. L’assise est garnie de cuir et repose sur quatre pieds sabre.Epoque Regency, travail anglais.HAUT. 90 - LARG. 51,5 - PROF. 45 CM

20 000/30 000 €

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148SCULPTURE en bronze ciselé et doré représentant un personnageaustro-hongrois fumant la pipe. Il est accoudé sur unecolonne en marbre. L’ensemble repose sur un socleégalement en marbre souligné par un liseré de perles.XIXe siècle HAUT. 22 - LARG. 14 CM

2 000/3 000 €

149BUREAUen bouleau de Carélie, ouvrant par un tiroir en ceintu-re et présentant deux casiers sur le plateau. Il reposesur des pieds fuselés.Début du XIXe siècle, travail RusseHAUT. 84 - LARG. 97 - PROF. 47 CM

7 000/9 000 €

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150ENSEMBLE DE SIX FAUTEUILSen hêtre sculpté. Le dossier est centré d’un losange, reposant sur des pieds fuselés.Modèle d’Henri JACOB.Epoque DirectoireHAUT. 90 - LARG. 55 - PROF. 48 CM

12 000/15 000 €

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151BOÎTEen ivoire et nacre. Le corps à décor ajouré de croi-sillons et perles sculptées. Plaque de nacre sculptéereprésentant la Cène.Fin XVIIIe - Début XIXe siècleHAUT. 12 - LARG. 22 - PROF. 17,5 CM

5 000/6 000 €

152PAIRE DE CASSOLETTES en marbre gris nuancé. Ornementation de bronzesciselés et dorés etls que volutes rocailles, fleurs,roseaux. Signées COLIM à ParisXIXe siècleHAUT. 28,5 CM

5 000/6 000 €

Bibliographie : Pierre Kjellberg, Les bronzes du XIXe siècle,dictionnaire des sculpteurs, page 658.

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153LUSTREà six bras de lumières torsadés enbronze doré et sculpté, orné de pam-pilles de cristal et six suspensions.Circa 1850HAUT. 110 - DIAM. 60 CM

15 000/20 000 €

Modèle similaire à celui de la chambre deMarie-Antoinette.

154GROUPE EN BRONZEpatiné noir et vert. Représentant le centaure Chiron chevauché par Eros, le dieu grec de l’amour,sous la forme d’un enfant ailé. Il repose sur une base ovale.Fonte signé sur la terrasse LACARRIERE FRERES DELATOUR ET Cie.HAUT. 145 - LARG. 105 - PROF. 52 CM

50 000/60 000 €

Ce Modèle s’inspire de la sculpture de marbre du Louvre, anciennement dans la collection Borghèse (acqui-se par le louvre en 1808). Elle date de l’époque impériale romaine (Ier -IIe siècle).Le Centaure chevauché par l’AmourDeux Centaures, conservés au Musée du Capitole de Rome, portent la signature d’artiste originaire de cetteville.Un modèle similaire fut vendu le dimanche 10 décembre 2007, SVV Mercier & Cie à Lille (59)

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155TERRE CUITEreprésentant une femme dénudée ajustant sa coiffure. Elle est allongée sur une méridiennerecouverte d’une peau de tigre avec un dossier en forme de coquille, orné de motifs grecques.Drapé stylisé. Présence d’une urne aux pieds de la jeune femme.Première moitié du XIXe siècleHAUT. 96 - LARG. 44 - LONG. 110 CM

25 000/35 000 €

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156PAIRE DE CONSOLES en loupe d’Amboine à décor de feuillages et de rinceaux, incrustations de fleurettes en nacre, astragale en bronze, très belledécoration de marqueterie et bronze.Epoque EmpireHAUT. 86 - LARG. 149 - PROF. 75 CM

70 000/80 000 €

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157STATUE REPRÉSENTANT HERCULE enfant nu accolé à sa gauche à la léonté et la massue. Le corps est particulièrement déhanché. Marbre blanc à patine rou-geâtre. Ier-IIe siècle ap. J.-C. pour le corps et XVIIe-XVIIIe siècle pour la tête.(Manques, base recollée et tête rapportée et scellée).HAUT. 76 CM POUR LE CORPS ET 19 CM POUR LA TÊTE

18 000/22 000 €

158SUITE DE TROIS DESSUS DE PORTE RECTANGULAIRESreprésentant des frises de guirlandes et scène à l’antique. Toiles marouflées sur panneaux. Cadre en bois doré.Style néoclassique.HAUT. 98 - LARG. 148 CM

15 000/20 000 €

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159BOUGEOIR À MAIN en forme de trèfle, en bronze ciselé et doré, àdécor d’une marqueterie de marbre et pierresdures représentant des cartes à jouer et desjetons. La pièce de pouce est gravée deslettres “MB” entrelacées. Il repose sur despetits pieds griffes.XIXe siècle.HAUT. 9 - LONG. 17 CM

15 000/20 000 €

160GUÉRIDONen bronze ciselé et doré, dessus en marque-terie de marbre représentant un échiquier. Ilrepose sur un tripode terminé par des griffes.Epoque RestaurationHAUT. 71 - LARG. 68,5 CM

30 000/40 000 €

161 PAIRE DE CONSOLES en fer battu ciselé et doré. Ornementation de feuilles d’acanthe, de grecques, de motifs floraux. Pieds incurvés réunis par uneentretoise agrémentée d’anneaux.Dessus de marbre brocatelle.XIXe siècleHAUT. 97 - LARG.162 - PROF. 40 CM

15 000/18 000 €

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162 COFFRET VIZAGAPATAMen bois et ivoire incrusté, en forme de sarcophage. L’extérieur est orné de sadeli d’ébène et d’ivoire. Le couvercle et lesbaguettes montées sur les côtés sont ornés de motifs géométriques. L’intérieur présente plusieurs compartiments, en sadelid’ivoire.Circa 1810HAUT. 11 - LARG. 35,5 – PROF. 21 CM

6 500/8 000 €

Un autre modèle, exposé au Victoria & Albert Museum de Londres, présente la même forme en sarcophage. Datant d’environ 1800-1810,elle est originaire de la résidence présidentielle de Bombay. Elle fut achetée par le Colonel C.J Call puis présentée en 1926 au V&A.

163 COFFRET VIZAGAPATAM en bois de santal, de forme rectangulaire, l’extérieur marqueté de cubes géométriques en ivoire et bois. Les bordures repren-nent la technique du sadeli d’ébène et d’ivoire. Mains, entrées de serrures et charnières en laiton argenté. Le centre du pan-neau intérieur est équipé d’un miroir encadré de chaque côté par une large bordure reprenant l’ornementation de l’extérieur.Elle ouvre sur plusieurs compartiments amoviblesCirca 1830HAUT. 13 - LARG. 44 – PROF. 31 CM4 500/6 000 ?

Une boîte présentant un décor similaire à notre ensemble est actuellement exposée au Peabody Essex Museum de Salem, USA. Elle rejointles collections du musée en 1939 grâce à son propriétaire Mrs. William Sutton qui la présenta à l’institut Essex. Elle provient de la résiden-ce présidentielle de Bombay et date de la fin du XIXe siècle.

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Les premiers modèles, qui datent de la fin du XVIIIe siècle - début du XIXe siècle, présentent de grands panneaux de mosaïque couvrant entiè-rement les boîtes.Les artisans améliorent leurs techniques dans les premières décennies du XIXe siècle en jouant sur les caractéristiques des matériaux qu’ilsutilisent : ils prennent alors en compte les forces mécaniques des matériaux, s’ils se dilatent ou se contractes, s’ils sont durs ou flexibles,selon les conditions climatiques.Les modèles sont si harmonieusement que leur incroyable complexité n’est pas immédiatement apparente.Le sadeli est une technique de marqueterie ancestrale. On dit qu’elle fut introduite en Inde à partir de Shiraz en Perse via Sind jusqu’àBombay, bien avant la domination anglaise. Cette technique, très complexe requiert beaucoup de patience et de compétences techniques.Elle n’était cependant que peu employée car, très coûteuse en matériaux, elle entraînait beaucoup de pertes. Ainsi les décors de sadeliemploient des matériaux tels que l’ivoire, parfois teint en vert, la corne, l’argent, l’étain ou les bois exotiques découpés en placage puisassemblés, pour former des décors géométriques. Cela induit un cloisonnement des motifs très net.Vizagapatam est un port situé au Nord de la Côte Coromandel. Il fit sa renommée au XVIIIe siècle par sa production d’objets et de meublesminiatures en ivoire.Ces petits objets, faciles à transporter par les voyageurs, avait une valeur décorative sur les meubles. Il est probable qu’ils étaient destinésà l’usage personnel des fonctionnaires de la «Compagnie des Indes Orientales».

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164PAIRE D’APPLIQUESdemi-vases balustres en porcelaine bleu turquoise, à cinq bras de lumières, rubans noués et motifs feuillagés.Fin du XIXe siècleAttribué à L’Escalier de Cristal.HAUT. 35 - LARG. 40 CM

7 000/9 000 €

165 JARDINIÈRE SURMONTÉE D’UN MIROIRElle est en bois doré et sculpté et ajouré. Ornementation de volutes et bouquets fleuris, fronton formé de voluteset de feuilles d’acanthe.XIXe siècleHAUT. 318 - LARG. 190 - PROF. 38 CM

9 000/10 000 €

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166RARE HARPE DU FACTEUR NADERMAN à mécanisme à fourchettes, vers 1825. Harpe à colonne cannelée surmontée d’un chapiteau ornéde rosiers, de têtes de béliers, de guirlandes de lauriers et de feuilles d’acanthe peinte en vert palrehaussé de deux tons de dorure. (Les ornements sont en stuc)Table d’harmonie en bois résineux, porte sur la partie supérieure droite la marque au fer : “NADER-MAN /A PARIS” Mécanisme à fourchettes à simple mouvement (système ERARD)7 pédales43 cordes

2 000/3 000 €

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167MEUBLE D’APPUI en citronnier et amarante agrémenté d’une doucine. Il ouvre par une porte centrale. Marqueterie représentant une allégoriedes Arts.Dessus de marbre brèche d’Alep.Trace de signature au pochoir.Epoque Napoléon III(Restauration du marbre)HAUT. 120 - LARG. 132 - PROF. 45 CM

15 000/20 000 €

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168PAIRE DE VASESen opaline de Baccarat. Décorés de guirlandes de fleurs hélicoïdales et peints aux émaux poly-chromes et à l’or sur le cristal opale blanc.Début XIXe siècle HAUT. 49 CM

10 000/15 000 €

Paire de vases attribués à JEAN-FRANCOIS ROBERTCollection Galerie Suger, ParisJean François ROBERT (1778-1832). De 1812 à 1827, il figura au Salon avec des paysages. Attaché à laManufacture de Sèvres, il produisit un certain nombre d’ouvrages sur porcelaine. Il fut peintre de paysage de laGrande Duchesse de Toscane et peintre des chasses du Duc de Berry. Ses lithographies représentent des por-traits, des paysages, des vues de châteaux, des sujets de chasse. Bibliographie :- Jean Louis CURTIS, Baccarat, édition du regard, pages 225,230 à 233.- E. Benezit, Dictionnaire des peintres sculpteurs dessinateurs et graveurs, Gründ, Tome 9, p. 6-7.

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169 *BRONZE fondu d’après l’antique. Jeuneéphèbe du IVe siècle av. JC.Repose sur un socle cubique.XIXe siècle.HAUT. 125 CM

15 000/20 000 €

Cette sculpture a été exécutéed'après l'exemplaire conservé àl'Altes Museum à Berlin.L’empereur Frédéric II en possé-dait une réplique qu’il avait faiteinstaller devant son bureau, sur laterrasse, au château de SansSouci.

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171CABINETen laque noir de chine ouvrant par deux ventaux dissimu-lant onze petits tiroirs. Ornements en laiton. Piétement dequatre pieds légèrement cambrés.Style Louis XVHAUT. 135 - LARG. 61 - PROF. 32,5

6 000/7 000 €

170PENDULE À L’ÉLÉPHANTen porcelaine polychrome et bronze ciselé, doré, la partie supérieure ornée d’un vase fleuri agrémenté de fleurs en porcelainedécoré de volutes, feuilles d’acanthe. Elle repose sur une base mouvementée décorée de fleurs de lys.Cadran émaillé blanc signé de MALBEC à Paris. XIXe siècleHAUT. 34 - LARG. 24 CM

7 000/8 000 €

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172IMPORTANTE ARMOIREen placage d’ébène. Elle ouvre par deux portes garnies de panneaux enlaque de Coromandel à décor de personnages, de paysages ainsi qued’intérieur de palais. Frontons à arcatures, à décor de feuilles d’acantheen bronze ciselé, doré et d’une tête d’Inro (dieu de la fertilité) en boissculpté. Elle repose sur une base à doucine, animée d’un tablier de mar-queterie dans le goût de Boulle.Estampillée LIPPMANNStyle Louis XIVHAUT. 245 - LARG. 162 - PROF. 57 CM

40 000/50 000 €

Les frères Lippmann, Heber et Alphonse, participèrent à l’Exposition universelle de1878 ; ils avaient présenté à l’Exposition de l’union centrale des Beaux-Arts en1865 une commode en vernis de style RégenceBibliographie : Le mobilier français du XIXe siècle, Denise Ledoux-Lebard, les édi-tions de l’amateur, page 444.Bibliographie : Modèle à rapprocher de celui reproduit dans L’art dans la maison,planche VII.

Provenance : Château de Hérivaux, qui fut la propriété de Benjamin Constant,auteur du XVIIIe siècle, où il logea sa maîtresse, Mme de Staël.

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173BUREAU PLATMarqueterie de fleurs en placage de palissandre et bois de rose, reposant sur huit pieds galbés. Ornementation de bronzesciselés et dorés tels que chutes et appliques. Inscription sur la serrure : “CHUBB’SON MAKESTO FOR MAJESTO, 57 SAINT PAUL SOHYE, LONDON”Travail anglais. XIXe siècle.LONG. 215 CM

20 000/30 000 €

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175EXCEPTIONNEL GUÉRIDONen bronze patiné et bronze doré à la mixion, dessus et tablette en onyx. Les montantsen forme de sphinges reposent sur des jarrets réunis par une entretoise à volutes etterminé par une base triangulaire. Dorure d’origine.Circa 1800, travail napolitain.HAUT. 84,5 - DIAM. 60 CM

40 000/60 000 €

Ce guéridon est inspiré d’un trepied antique découvert à Pompéï, conservé au MuséeArchéologique de Naples et reproduit dans les “Arts Décoratifs de 1790 à 1850” Bibliographie : Léon de Groër, Paris 1985, Edition du Chêne, page 14, n°1

176CONSOLE D’APPLIQUEen marbre. Plateau en sarrancolin, pieds en marbre gris à l’imitationdu sarrancolin.Epoque XIXe siècleLARG. 218 - HAUT. 89 CM

6 000/7 500 €

174STATUETTE de bronze représentant un putto sursocle de marbre.Travail Italien.XVIIIe siècleLONG. 15 - HAUT. 11,5 - PROF. 9 CM

2 200/2 500 €

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179PETITE BOÎTEen jaspe rouge de forme rectangulaire, montéen bronze doré et ciselé au couvercle et àl’entrée de serrure.Epoque Charles XHAUT. 12 - LARG. 6,5 - PROF. 6,5 CM

1 500/2 000 €

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177VASE CHINOISsang de bœuf, la monture en bronze doré et ciselé de stylerocaille.Porte le poinçon de la maison PICART à Paris.XIXe siècle.HAUT. 76 - DIAM. 26 CM

6 000/7 000 €

178GAINEen noyer sculpté chapeautée d’un dessus de marbre brèche.Style Louis XVIHAUT. 117 - LARG. 40 CM

1 500/2 000 €

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180ENSEMBLE DE DOUZE CHAISESà haut dossier, modèle à châssis, galettes d’assise amovibles. Pieds légèrement cambrés.Travail Italien.Fin XIXe siècleHAUT. 106 - LARG. 52 - PROF. 47 CM

7 000/8 000 €

181MOBILIER DE SALONcomprenant une grande table, deux guéridons et deux consoles, en fer forgé à pied incurvé terminé en enroulement relié parune entretoise ; deux tables basses à pieds incurvés. Ceinture à décor de cuir tressé. Plateaux en verre. Circa 1920.DEUX GUÉRIDONS : HAUT. 73 - LARG. 40 CM

DEUX TABLES : HAUT. 43 - LARG. 84 - PROF. 84 CM

DEUX CONSOLES : HAUT. 73 - LARG. 124 - PROF. 34 CM

DEUX PETITES TABLES : HAUT. 43 - LONG. 112 - LARG. 62 CM

7 000/ 8 000 €

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182SCULPTUREen marbre de Carrare représentant Diane sortantdu bain. Elle tient un drapé dans sa main droite. Ellerepose sur une base ronde.Inspiration de l’AntiqueEpoque EmpireHAUT. 178 CM (AVEC SOCLE)

25 000/30 000 €

183ENSEMBLE DE QUATRE COLONNES en bois et fer, à cannelures simulées. Chapiteauxcorinthiens à décor de guirlandes. Elles reposentsur des bases octogonales.Circa 1920HAUT. 370 CM

15 000/25 000 €

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184 GRANDE TABLEen bois doré et sculpté et en fer reposant sur quatre pieds réunis par une entretoise en H à volutes peints à l’imitation du sar-rancolin. Présence de polychromie.Composée d’éléments du XVIIIe sièclePlateau en verre.HAUT. 110 - LONG. 352 - PROF. 78 CM

15 000/20 000 €

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