Orléans, une Ville culturelle · PDF fileClément Peyredieu : guitare Et avec le...

Orléans, une Ville culturelle

Orléans, capitale de la région Centre, se situe à la croisée de repères culturels forts. Entre le Val de Loire inscrit au patrimoine mondial de l’Humanité* (UNESCO), le patrimoine architectural dense, l’épanouissement ou le passage de grandes figures de l’Histoire dans la ville, et la présence en nombre d’établissements culturels, Orléans est dotée d’un paysage culturel et artistique foisonnant.Cette richesse préservée à travers les époques, et mise en valeur de nos jours, a valu à Orléans la reconnaissance nationale. Gratifiée en novembre 2008 du prestigieux label « Ville d’Art et d’Histoire », Orléans va s’attacher dans les mois et années à venir à faire vivre cette distinction. Pour l’année 2010, plus de 20 millions d’euros ont été prévus par l’équipe municipale pour l’action culturelle et la création artistique.

Ville ligérienne de près de 117 000 habitants, Orléans voit sa vie rythmée par des événements phares qui offrent un attrait culturel et touristique fort.

Un Festival de Loire qui, tous les deux ans, accueille toujours plus nombreux des visiteurs venus redécouvrir leurs racines ligériennes (600 000 visiteurs en 2009), des Fêtes de Jeanne d’Arc qui, plusieurs jours durant, plongent la ville à l’époque médiévale sur les pas de la pucelle, ou encore la création en 2010 d’une manifestation « street art », lors de la première quinzaine de juillet, qui permettra à ce mouvement de s’exprimer dans des lieux culturels de la ville…Orléans fourmille d’animations…Et chaque année, en juin c’est le jazz qui s’empare d’Orléans.

Orléans’Jazz, 20ème édition

20ème grand rendez-vous de jazz à Orléans. 20ème immersion dans un univers qui éveille nos sens, étoffe notre champ musical et nous gratifie de fabuleuses rencontres artistiques. Orléans’Jazz, durant deux semaines en juin, est un événement aux ambitions multiples.Orléans ouvre la saison des festivals de jazz, et donne le ton des grandes tendances à découvrir tout l’été à travers la France.Orléans fait de son festival un événement multiculturel, où toutes les couleurs du jazz se retrouvent, et intergénérationnel, où les stars montantes, les groupes en devenir, les monuments du genre se côtoient.Et Orléans imagine son événement comme une fête populaire, en privilégiant les rencontres, les moments de partage et de convivialité. Le jazz descend dans la rue, avec de nombreux concerts gratuits organisés sur les places de la Ville et une programmation également gratuite au Jardin de l’Evêché, le midi et le soir. Le Campo Santo et ses grandes vedettes internationales clôturent en 4 soirées une quinzaine qui à coup sûr reste dans les mémoires.

…Voilà comment Orléans vous accueille, bon Festival !

* au titre de paysage culturel évolutif et vivant

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20ème Orléans’Jazz : une programmation fédératrice et ouverte

Avec 35000 spectateurs de toutes les générations, 400 musiciens, des concerts gratuits, des tarifs attractifs, une programmation fédératrice et ouverte, du local à l’international, Orléans’Jazz se positionne dans le top 10 des festivals français en ouvrant la saison d’été. Le jazz attire par sa diversité. Orléans’Jazz se veut l’écho de cette richesse des genres, et multiplie les initiatives pour faire de cet événement une grande fête du jazz.Depuis 4 ans, notre tremplin progresse et révèle de jeunes artistes régionaux. Puis le Festival garde le rythme, en déroulant sa programmation sur deux semaines pleines, sans jour « off ». Enfin, le jazz se doit d’aller à la rencontre du public. Du quartier Bourgogne au Jardin de l’Evêché, en passant par les médiathèques et l’Institut, les initiatives se veulent fédératrices, pour faire du jazz, quelques jours durant, le symbole identitaire de toute une ville. S’approprier la musique, vivre avec, voilà notre ambition, et voilà comment au Campo Santo nous avons créé le Village, lieu des « afters » et des espaces de convivialité pour déguster la musique... Quelques temps forts de cette 20ème édition : la venue de la superstar Marcus Miller pour sa relecture de l’album culte « Tutu » écrit pour Miles Davis, l’hommage à Django Reinhardt pour son 100ème

anniversaire, avec son petit-fils David, Biréli Lagrène et Didier Lockwood ; la création spéciale du chanteur Christophe qui invite pour l’occasion le trompettiste Erik Truffaz ; la clôture en World Music avec Salif Keita qui vient de remporter une Victoire de la Musique ; le retour sur scène après 4 ans de silence de l’organiste Eddy Louiss dont ce sera le premier concert public. Nous accueillons l’immense René Urtreger avec sa toute récente légion d’Honneur, l’ONJ, et les Orléanais François Couturier et Arnaud Methivier. Mes remerciements vont à Monsieur le Député Maire d’Orléans Serge Grouard, et Monsieur Eric Valette, adjoint à la culture, pour leur confiance, aux professionnels du Comité de Pilotage pour leur investissement, ainsi qu’aux programmateurs associés réunis par la Direction de la Culture et de la Création Artistique. Le Jazz fait du bien aux autres, et à soi même : au plaisir de partager l’émotion musicale avec vous ! Stéphane Kochoyandirecteur artistiquemyspace.com/stephanekochoyan

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SOMMAIREPage de présentation : PAGE 1Présentation Stéphane Kochoyan PAGE 2Récap’ du 14 au 26 juin PAGE 4

PROGRAMMATION DU JARDIN DE l’ÉVÊCHÉ PAGE7les midis Lundi 14 juin - Mardi 15 juin PAGE 8Mercredi 16 juin-Jeudi 17 juin PAGE 9Vendredi 18 juin -Samedi 19 juin PAGE 10les soirées Lundi 14 juin - Journée d’ouverture PAGE 11Mardi 15 juin PAGE 13Mercredi 16 juin PAGE 15Jeudi 17 juin PAGE 17Vendredi 18 juin PAGE 19Samedi 19 juin PAGE 21

PROGRAMMATION PLACE AU JAZZ BOURGOGNE PAGE 23Vendredi 18 juin PAGE 25Samedi 19 juin PAGE 27Dimanche 20 juin PAGE 29Lundi 21 juin PAGE 31Mardi 22 juin PAGE 33

PROGRAMMATION DU CAMPO SANTO PAGE 35Mercredi 23 juin PAGE 37Jeudi 24 juin PAGE 39Vendredi 25 juin PAGE 41Samedi 26 juin PAGE 43

SCENE DU VILLAGE PAGE 45AUTOUR DU JAZZ PAGE 46

contact presse Thomas galopin [email protected] Tél : 02 38 79 29 98 – 06 77 27 93 38

RECAP´ DU 14 AU 26 JUIN

JARDIN DE L’ÉVÊCHÉ LUNDI 14 JUIN 12h30 3SOME 19h30 BEC DE CHA 21h00 L’ORCHESTRE NATIONAL DE JAZZ DANIEL YVINEC - PROGRAMME «BROADWAY IN SATIN»

MARDI 15 JUIN 12h30 COLLECTIF LE’S DRIGOUGNENT ! 19h30 GIULIA VALLE 5TET 21h00 STÉPHANE GUILLAUME 4TET

MERCREDI 16 JUIN 12h30 ANTOINE BERNOLLIN OCTET 19h30 TRICIA EVY TRIO 21h00 DAVID REINHARDT TRIO

JEUDI 17 JUIN 12h30 THE FRIENDS UNIVERSITY JAZZ ENSEMBLE 19h30 DAVID SEVESTRE 4TET 21h00 NAGUAL ORCHESTRA

VENDREDI 18 JUIN 12h30 SEXTET DE L’ÉCOLE DE MUSIQUE DES BLOSSIÈRES SOLISTE INVITÉ: VINCENT LEMAIRE 19h30 GREG ZLAP 21h00 SUSIE ARIOLI – NIGHT LIGHTS

SAMEDI 19 JUIN 12h30 «TEACHING STAFF, SOUNDPAINTING PROJECT» 19h30 RENÉ URTREGER TRIO 21h00 PINK TURTLE

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PLACE AU JAZZ BOURGOGNEPLACE SAINT-PIERRE EMPONT ETSCÈNE ANGLE RUE SAINT-GERMAIN/BOURGOGNE

VENDREDI 18 JUIN 18h30 ROBERTO NEGRO TRIO + 2 19h30 SWING BABYLON 21h00 SELLAM/RENNE AFRICAN PROJECT 22h00 4,5G / RICHTER

SAMEDI 19 JUIN 18h30 PAINT ATONIK 19h30 ASTRAKAN 21h00 PAINT ATONIK 22h00 CATACLYSM BOX

DIMANCHE 20 JUIN 12h00 SWING BABYLON 17h00 CAMINHO 19h30 LES VALSEUZES 21h00 SPIKE DRIVERS

LUNDI 21 JUIN 18h30 EAST TEMPS BULL’S 19h30 COROMS 21h00 TIERRA SABROSA 22h00 LES FRÈRES ANDRÉ

MARDI 22 JUIN 18h30 FD VOIE EXPRESS 19h30 TFT - TERÇA FEIRA TRIO 21h00 CARTE BLANCHE DAVID HAZAK 22h00 CECCALDI BROTHERS

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CAMPO SANTO

MERCREDI 23 JUIN 19h00 VINCENT VIALA TRIO 20h30 GENERAL ELEKTRIKS 22h30 CHRISTOPHE & GUEST ERIK TRUFFAZ

JEUDI 24 JUIN 19h00 FEDERATION FRANÇAISE DE BARYTON 20h30 EDDY LOUISS 22h30 BIRÉLI LAGRÈNE TRIO INVITE DIDIER LOCKWOOD

VENDREDI 25 JUIN 19h00 TAKE 3 20h30 CANDY DULFER 22h30 MARCUS MILLER « TUTU REVISITED »

SAMEDI 26 JUIN 19h00 BELTUNER 20h30 RACHID TAHA 22h30 SALIF KEITA

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JARDIN DE L'ÉVÊCHÉ

DU 14 AU 19 JUIN LES MIDISA l’heure du déjeuner, des concerts composés par des groupes d´élèves et des professeurs du Conservatoire d’Orléans seront présentés au Jardin de l’Evêché. Nous accueillerons aussi le Big Band de Wichita et un groupe issu de l’Ecole de Jazz à Tours dans le cadre de notre partenariat avec cet établissement.

Programmation : collectif de professeurs du Conservatoire d’Orléans

LES SOIRÉESLes soirées sont consacrées aux «Lauréats du Monde», musiciens nommés ou primés sur les plus grands concours internationaux du jazz.

7Photo : Ville d’Orléans

12h30-14h JARDIN DE l´ÉVÊCHÉ

14 juin3SOME

Trio improvisé Gabriel Bouillon : guitareJulien Rascagnière : basseAntoine Hefti : batterie

15 juinCOLLECTIF LE’S DRIGOUGNENT !

Ce collectif est composé d’élèves et de professeurs du Conservatoire d’Orléans qui poursuivent leur découverte de l’improvisation autour de compositions, d’arrangements des élèves, mais aussi de thèmes aux accents orientaux. Cette année ils sont heureux d’acceuillir Quentin Biardeau (Walabix) qui leur concocte des arrangements savoureux...

Quentin Biardeau : saxophoneCarole David : vibraphoneFabien Bonardi (dit le Corse) : saxophoneKaî Ono : violon, guitare Marième Sow : flûteFlorence Hatab : contrebassePierre Baranger : flûteFrancis Lecointe : saxophoneMoran Lebars : percussionsYann Kaddachi : percussionsPatrick Sintès : machines, contrebasse


Les midis

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12h30 JARDIN DE l´ÉVÊCHÉ

16 juin

ANTOINE BERNOLLIN OCTET

Concert proposé dans le cadre d’un partenariat entre l’association Musique et Equilibre, le Conservatoire d’Orléans, et le festival Orléans’ Jazz. Cet ensemble, qui regroupe des grands élèves de l’école Musique et Equilibre et du Conservatoire, sera dirigé par le pianiste Orléanais Antoine Bernollin.La musique du saxophoniste John Coltrane sera le fil conducteur d’un travail, qu’il se propose de mettre en place pour ce premier partenariat.

Antoine Bernollin : claviers

L’association Musique et Equilibre est représentée par:Valentin Ceccaldi : horizoncelleGabriel Lemaire : saxophone

Le Conservatoire d’Orléans par:Jean-Baptiste Cuenot : corFrancis Lecointe : saxophoneClément Peyredieu : guitareEt avec le concours d’une section rythmique issue de la classe de jazz du Conservatoire.

17 juinTHE FRIENDS UNIVERSITY JAZZ ENSEMBLE

Les midis

Droits réservés

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12h30-14h JARDIN DE l´ÉVÊCHÉ

18 juinSEXTET DE L'ÉCOLE DE MUSIQUE DES BLOSSIÈRES.

SOLISTE INVITÉ: VINCENT LEMAIRE.

Etudiants et professeurs du Conservatoire sont réunis pour l’occasion autour du batteur orléanais Vincent Lemaire.Une formation originale, avec une instrumentation et des associations de timbres qui devraient réserver quelques surprises..

Vincent Lemaire : batterieJessica Hate : chantPauline Dhuisme : violonPascale Auteroche : pianoJean-Baptiste Cuenot : corPhilippe Recard : contrebassonPatrick Sintès : contrebasse

19 juin«TEACHING STAFF, SOUNDPAINTING PROJECT»

Concert de musique improvisée donné par un ensemble composé d’une quinzaine d’enseignants du Conservatoire d’Orléans.Avec la participation de Yann Kaddachi (direction) et Simon Couratier.Les deux «soundpainters» orléanais proposent avec leur ensemble un programme de musique improvisée. Technique de langage de «composition/direction» créée par le musicien New-Yorkais Walter Thompson, le soundpainting est un langage des signes qui permet de communiquer avec un orchestre de façon improvisée.

Paul Cadier : saxophone altoJeremy Jegou : saxophone altoGilles Theureau : pianoThomas Fyot : guitareClément Peyredieu : basseSimon Aufranc : batterie

Les midis

14 juin


Les soirées sont consacrées aux «Lauréats du Monde», musiciens nommés ou primés sur les plus grands concours internationaux du jazz.

Bec de Cha

http://www.arnaudmethivier.com

Le groupe Bec de Cha c’est un folklore poétique porté par l’accordéoniste orléanais Arnaud Méthivier accompagné par Pascal Ducourtioux et Jean-Hugues Billman. Arnaud Méthivier et Pascal Ducourtioux ont collaboré à plusieurs reprises pour écrire et interpréter des musiques pour le théâtre et la danse. Puis l’envie est venue d’écrire des morceaux pour se mettre en scène avec leur complice Jean-Hugues Billman et inviter le public à partager des musiques issues d’un folklore imaginaire…

Reconnu en France comme un pionnier, un innovateur dans le monde de la musique et de l'accordéon, Arnaud Méthivier, compositeur et instrumentaliste, oeuvre dans l'univers du rock, de la chanson (Suzanne Véga, Stéphan Eicher, Francis Cabrel, Georges Moustaki, Kent, etc.) et de la musique classique ("Opéraccordéon" fantaisie lyrique pour soprano et accordéon)… Depuis quelques années, il créée un univers musical particulier dans lequel on reconnaît son utilisation personnelle de l'accordéon mais aussi sa voix atypique…

Arnaud Méthivier : accordéonJean-Hugues Billman : contrebassePascal Ducourtioux : guitare et percussions

11Droits réservés

14 juin


L’Orchestre national de jazz Daniel Yvinecprogramme "Broadway in Satin" (Victoire du Jazz 2009)

http://www.onj.org/ http://www.myspace.com/onjazz

Certaines musiques ne meurent jamais, elles se magnifient avec le temps. C’est le cas des chansons populaires de l’Amérique des années 1920 à 1950, nées des comédies musicales de Broadway et des musiques de films d’Hollywood. Ces mélodies, ornées de soyeux arrangements pour les crooners de l’époque, servent encore de socle à la musique populaire d’aujourd’hui et constituent par ailleurs le terreau des improvisations des jazzmen. Daniel Yvinec poursuit sa quête d’une relecture des grands standards d’outre-Atlantique, évoquant à travers Broadway in Satin la mémoire de Billie Holiday dont le cinquantenaire de la disparition a été commémoré en 2009. Gardant intacts les merveilleux contours des mélodies, l’orchestre aborde un recueil de chansons emblématiques interprétées par la diva (God Bless the Child, I Am a Fool to Want You, Strange Fruit…) en les dotant de singulières couleurs orchestrales, s’aventurant ainsi sur des terrains sonores inexplorés. La complicité d’Alban Darche, arrangeur subtil, projette une lumière inédite sur ces mélodies en utilisant avec pertinence les particularités de l’orchestre (piano préparé, traitements électroniques, instruments jouets). Empruntant aussi bien à l’écriture classique qu’à la musique de film, le jazz, la pop ou l’électronique, ces versions transfigurées seront portées par deux voix rares, deux personnalités contrastées : Karen Lano, précieux talent à découvrir, et Ian Siegal, charismatique bluesman anglais. Broadway in Satin est un spectacle à part entière où se rencontrent tradition et modernité, voguant vers une multitude de genres à l’image d’un Tom Waits en queue de pie qui dirigerait la musique d’un film de Tim Burton arrangée par Gil Evans et Ennio Morricone.

Eve Risser : Piano, piano préparé, flûtes, objets sonores / Vincent Lafont : Claviers, électronique / Antonin-Tri Hoang : Saxophone alto, clarinettes, piano / Matthieu Metzger : Saxophones alto, soprano et sopranino, traitements électroniques / Joce Mienniel : Flûtes, électronique / Rémi Dumoulin : Saxophones, clarinettes / Guillaume Poncelet : Trompette, piano, synthétiseurs, électronique / Pierre Perchaud : Guitares, banjo, dobro / Sylvain Daniel : Basse électrique, cor d'harmonie, effets électroniques / Yoann Serra : Batterie/Karen Lano : voix /Ian Siegal : voix/Daniel Yvinec : Direction artistique.

12Crédit Photo : Annabelle Tiaffay

15 juin


Giulia Valle 5tet

(sélection « Catalan meet Jazz 2009 »)

http://www.giuliavalle.com/http://www.myspace.com/giuliavalle

Giulia Valle, contrebassiste catalane de renommée internationale développe un jazz aérien, mélodique et empreint d'émotions. Elle représente le dynamisme de la scène jazz de Barcelone. Un jazz fluide et généreux. Après plusieurs collaborations de qualité (Bill McHenry, Ben Waltzer, Dave Schnitter...), cette instrumentaliste fine et précise s'est entourée de quatre musiciens tout aussi aventureux qu’elle pour tracer une route originale, entre harmonies be-bop, expérimentations contemporaines, folklore sud-américain et sonorités balkaniques. Sans jamais oublier, bien sûr, l'émotion et la sensibilité des rythmes andalous. La voix de chaque musicien trouve alors sa place dans le jeu des improvisations, avec au coeur de la danse l'archet énergique de Giulia Valle. Une artiste à découvrir de toute urgence…

Giulia Valle : contrebasseMarti Serra : saxophones ténor et sopranoGorka Bénitez : saxophone ténor, flûteMarco Mezquida : piano, claviersDavid Xirgu : batterie

13Crédit Photo : Jordi Farré

15 juin


Stéphane Guillaume 4tet

(Académie du Jazz 2009 : Prix Django ReinhardtMeilleur musicien de l’année et Prix du meilleur disque de jazz français pour « Windmills Chronicles»)

http://www.myspace.com/stephaneguillaume

Ce jeu si atypique fait de Stéphane Guillaume un des musiciens les plus reconnus en France actuellement. On a pu le retrouver au côtés de Benoit Sourisse et André Charlier, avec lequel il a enregistré 2 albums. Il joue aussi régulièrement Tenor et Soprano dans le "Paris Jazz Big Band". Stéphane fait également parti du Septet de Pierre de Bethmann, dont l'album est nommé aux victoires du Jazz 2008. Sans cesse bouleversé et enrichi par les musiciens qui l’accompagne sur une route sans limitations, Stéphane Guillaume prend le temps de mettre son immense talent et son incroyable inventivité au service de sa musique. Il est un poly-instrumentiste, un improvisateur , un compositeur et un arrangeur de grand talent doté d’une immense culture musicale. Encensé par la presse dès son premier opus (sorti il y a déjà 12 ans), il construit l'avenir comme il a composé "Soul Role".

Stéphane Guillaume : saxophone, flûteFrédéric Favarel : guitares Marc Buronfosse : contrebasseAntoine Banville : batterie, percussions

14Crédit Photo : Jean-Mars Adams

16 juin


Tricia Evy trio

(Découverte Carib’in Jazz festival)

http://www.myspace.com/triciaevy

Née le 26 Avril 1984 à Bondy, Tricia Evy a grandit sur l'île de la Guadeloupe. Très tôt, son goût pour la musique se manifeste et sa passion pour le chant s'affirme à l'écoute d'artistes tels que Patrick Saint-Eloi, Georges Brassens... De retour en France, elle se consacre au Jazz. Tricia Evy interprète des standards de grands compositeurs (George Gershwin, Cole Porter, Jérôme Kern..) mais, n'oubliant pas ses origines, elle associe judicieusement le jazz et la biguine et en exploite toutes les richesses mélodiques et harmoniques. Parmi les chanteurs dont elle s'inspire on peut citer Ella Fitzgerald, Billie Holiday ou Mel Tormé... Cette union musicale voix-piano-saxophones n'est que rarement entendue et le choix du répertoire aux couleurs jazz et Caraïbes participe sans aucun doute à l'originalité de cette formation...

Tricia Evy : voixJean- philippe Bordier : guitareXavier Richardeau : saxophones ténor et baryton

15Droits réservés

16 juin


David Reinhardt trio

(Choc jazzman)

http://www.myspace.com/davidreinhardt1986

Né en 1986 à Longjumeau (Essonne), il est le fils de Babik Reinhardt et donc le petit-fils du grand Django Reinhardt. Il fait ses premières armes le 14 mai 1993 à 6 ans, au Théâtre de Boulogne-Billancourt, sur la scène des Django d’Or « Trophées Internationaux du Jazz », aux côtés de son père Babik. Tous deux ont rendu l’un des plus beaux hommages à Django Reinhardt l’inventeur du jazz européen. Quelques années plus tard, voici David Reinhardt propulsé sur les scènes de jazz les plus prestigieuses. Aujourd’hui, il joue régulièrement avec Christian Escoudé, Noé Reinhardt, Richard Manetti, Romane et Stochelo Rosenberg... Django d’or, trophées internationaux, festivals internationaux de Jazz… David nous propose le meilleur de la tradition «djangophile» en créant son propre langage épanoui et généreux... David Reinhardt assure avec talent la tâche qui lui incombe : transmettre l’héritage et poursuivre la route familiale. Pour commémorer le centenaire de naissance de Django, David Reinhardt invite son trio à présenter sur les scènes nationales et internationales, des morceaux de son grand-père avec une coloration musicale forte d’un héritage assimilé et revisité.

David Reinhardt : guitareFlorent Gac : orgue HammondYoann Serra : batterie

16Crédit Photo : Eric Mollet & Julien Shwartz

19 juin


David Sevestre 4tetPremier lauréat du Tremplin Orléans Jazz 2010

Ce quartet, fondé à l'initiative de David Sevestre puise son inspiration dans diverses musiques. On y retrouve la liberté d'improvisation d'un jazz américain, la fougue rythmique des musiques de danse (funk, musique africaine) et la rigueur d'écriture du jazz contemporain. La formation atypique (sax, orgue Hammond, guitare, batterie) donne à cette jeune formation un son original et jubilatoire.

David Sevestre : saxophone tenorNicolas David : guitareBruno Denis : orgue Hammond, Bertrand Hurault : batterie

17Crédit Photo : Céline Bachelet

17 juin


Nagual Orchestra

(Lauréat « Trophées du Sunside »)

http://www.myspace.com/nagualorchestra

Le Nagual Orchestra est un quintet de jazz moderne créé en 2000 et dirigé par Matthieu Bloch (contrebasse). Au fil des années et des expériences, le Nagual a su évoluer pour trouver un son qui lui est propre. Le son du quintet est très personnel, le groupe privilégiant un travail collectif pour les arrangements des morceaux de chacun. C’est une musique à la fois savante et très libre avec des influences free, classique, groove et même rock. Le Nagual a une esthétique moderne, un son « New York » et des climats plus européens. Ses compositions sont influencées par Charlie Haden, Miles Davis, Bach, Dave Holland, Ravel, Steve Coleman, Wayne Shorter. Il est le récent vainqueur des trophées du Sunside…Dans le cadre de notre partenariat avec le Sunset, nous sommes heureux de présenter cette formation très prometteuse. Nagual Orchestra vous surprendra par son originalité.

Florent Hubert : saxophone ténor et clarinetteOlivier Laisney : trompetteAlexis Pivot : pianoDavid Georgelet : batterieMatthieu Bloch : contrebasse

18Crédit Photo : Cédric Bosquet

18 juin


Greg Zlap (Johnny Halliday Route 66 Tour, meilleur harmoniciste européen de l’année 2008 Festival Harmoliège, Belgique)

http://www.myspace.com/gregzlap

Greg Zlap est l'un des meilleurs harmonicistes de la scène internationale. Sollicité par les plus grands artistes du moment, Greg Szlapczynski, polonais d’origine, promène son harmonica diatonique et sa voix avec une élégance et une facilité déconcertante. Tout au long de sa jeune carrière, il collabore avec des artistes d’horizons très différents, jouant aux côtés de Rhoda Scott, Ian Siegal, Keith B. Brown, J.J. Milteau, mais aussi Johnny Hallyday, Francis Cabrel, Charles Aznavour, et pour des musiques de film avec Vladimir Cosma. En constante évolution, Greg Zlap travaille très tôt autour de projets plus personnels, où il écrit, compose et revisite la musique qui l’inspire, fusion entre blues et jazz. En 2008, il produit notamment un très bel album "Road Movie’s" (Nocturne), en hommage aux musiques de cinéma. Ce disque est alors salué par l’ensemble de la presse (4* Jazzman, Must TSF…) il remporte le prix du meilleur harmoniciste européen de l’année 2008 Festival Harmoliège en Belgique et voit naître le début d’une très belle aventure avec ses musiciens. Greg Zlap revient à Orléans après son dernier passage très remarqué avec Johnny Halliday. Il se produit avec Johnny sur toute la tournée « Route66 » où il tient une place très importante, tout en poursuivant sa carrière solo.

Greg Zlap : harmonica, voix Éric Starczan : guitare, voixDamien Cornelis : clavierTristan Brés : basseToma Milteau : batterie

19Droits réservés

18 juin


Susie ArioliNight Lights (Meilleur Album Jazz Vocal de l’Année –Must TSF)

http://www.susiearioli.com/

Susie Arioli est reconnue pour sa voix douce et chaude, ses interprétations authentiques de mélodies jazz et blues, et sa passion pour Billie Holiday, Ray Charles ou encore Nina Simone. En plus d’envoûter le Québec, Susie jouit d’une popularité grandissante en France, au Japon, ainsi qu’aux États-Unis, où elle a vendu plusieurs milliers d’albums. Susie Arioli égrène sa musique au fil des scènes depuis la fin des années 1990. A l'aide de son complice, le guitariste et arrangeur Jordan Officer, elle fonde le Susie Arioli Band, dont la popularité se développe lorsqu’il est sollicité pour ouvrir le spectacle de Ray Charles en 1998.S’ensuit un premier album immédiatement auréolé de succés : «It’ s Wonderful» (2001), dont les influences swing sont également à l’origine de ‘Pennies from Heaven’ l’année suivante. Après un détour par une veine plus country lors de l'enregistrement de 'Learn to Smile Again' (2005), composé en majorité de reprises du chanteur Roger Miller, Susie Arioli revient rapidement à ses premières amours avec 'Night Lights' en 2008, où elle continue de développer son style vocal atypique et de puiser ses références dans l'univers du jazz.

Susie Arioli : chant et caisse claireJordan Officer : guitareBill Gossage : contrebasse

20Crédit Photo : Laurence Labat

17 juin


René Urtreger Trio

(Chevalier dans l’Ordre de la Légion d’Honneur)

Très jeune, René Urtreger est engagé par les plus grands tels que Don Byas, Chet Baker, Jay Jay Johnson, Stan Getz, Zoot Sims, Stéphane Grapelli, Bobby Jaspar, Lester Young, Stuff Smitt, etc ... avec lesquels il joue et enregistre pour Barclay dans la foulée. Il signe son premier disque en trio « René Urtreger plays Bud Powell » en 1954, toujours en vente aujourd'hui (Universal). Il accompagne Miles Davis pendant deux tournées européennes (1956 et 1957), dont le point d'orgue est la musique du film « Ascenseur pour l'échafaud ». En 1960, il obtient le Prix Django Reinhardt pour le disque enregistré avec son trio (Pierre Michelot et Daniel Humair) qu'il intitule « H.U.M ! ».

Réitérant en 1979 et 1999, le trio obtient la Victoire du Jazz en 2000. Pour diverses raisons, il se détache du Jazz vers 1965 - car le Jazz se détache de la scène, laissant la place aux idoles du moment. Claude François lui demande alors de travailler avec lui. Puis Sacha Distel, Serge Gainsbourg, etc. Il se produit alors en concert et/ou enregistre avec des musiciens de haut niveau - Dizzie Gillespie, Sonny Stitt, N.H.Ø.P - et fait découvrir de jeunes talents tels que Marc Fosset, Eric Le Lann, Eric Dervieu, Sylvain Beuf, Stéphane Belmondo, Hervé Meschinet, etc.

René Urtreger : pianoYves Torchinsky : contrebasseÉric Dervieu : batterie

21Droits réservés

19 juin


Pink Turtle http://www.myspace.com/pinkturtlemusic

Pink Turtle interprète avec la créativité du jazz et l’efficacité du swing, les plus grands succès mondiaux de la Pop Music des trente dernières années. La puissance de ces chansons connues de tous est amplifiée par les arrangements d’une formation semblable à un brass band festif et restitue le meilleur de ces mélodies habillées du savoir-faire harmonique du jazz. Leur album « Pop in Swing » est un disque de création récréative, des arrangements très bien pensés, étonnants, plein d’humour et de finesses avec un sens de « l’entertainment ». En 1969 - les Pink Turtle se retirent, victimes de leur succès après une tournée triomphale sur les plus grandes scènes internationales. Le groupe se reforme aujourd’hui et c’est en version originale que le public retrouvera des tubes qui ont fait en leur temps le tour de la planète. Sept musiciens, instruments et voix, pour un effet euphorisant garanti. Un style impeccable et la French Touch du Swing.

De Simon & Garfunkel à AC/DC, de Stevie Wonder à Michael Jackson, de Supertramp aux Bee Gees, tous sont redevables au pouvoir créatif de ce groupe emblématique du swing.

Allistair Chevillard – Musicologue – extrait « Nouveau regard sur les racines du pop rock » Tome 1.

Patrick Bacqueville : trombone, voixMichel Bonnet : trompette, choeursPierre-Louis Cas : saxophone, clarinette, flûte, choeursChristophe Davot : guitare, voixJean-Marc Montaut : piano, triangle, percussionsLaurent Vanhee : contrebasseStéphane Roger : batterie, voix

22Photo André Fossati / I Love Jazz Festival”

Place au Jazz BourgogneDu 18 au 22 juinPlace Saint Pierre EmpontScène angle rue Saint Germain/rue de Bourgogne

"Place au Jazz Bourgogne" propose des concerts, plusieurs expositions photographiques et de peinture dédiées au jazz, des rencontres, des signatures... autant d'animations orientées vers un même objectif : partager avec le public l'amour et les plaisirs de la musique en général et du jazz en particulier, en donnant aux musiciens d'ici toute la "place" qu'ils méritent au sein d'Orléans'Jazz.

Programmation : - Association le Nuage en Pantalon- Pierre Richard


Du 18 au 22 juin

Placette située derrière la Place Saint Pierre Empont

Autour des programmations musicales, les associations «Le Nuage en Pantalon» et «ô jazz!» proposent un ensemble d’animations dans le quartier Bourgogne (entre la Préfecture et la rue des Pastoureaux, et entre la Cathédrale et la rue du Poirier).

Exposition : « Vingt ans de jazz à Orléans »20 ans, 20 photographes, 20 photos... c’est le principe de l’exposition géante dédiée aux 20 ans du festival Orléans’Jazz qui sera installée rue de Bourgogne entre la Préfecture et la rue des Pastoureaux.Un parcours historique et iconographique en 20 images, 20 reproductions sur bâche (2,50 m x 1,50 m) suspendues au fil de la rue.Photographes amateurs et professionnels orléanais ont été conviés à sélectionner un de leurs clichés « fétiches » pour constituer cette installation, qui sera accompagnée d’un livret.

« Murs en jazz »Quand la vidéo fait swinguer les murs ! Comme en 2009, mais avec plus d’ampleur encore, les murs du quartier Bourgogne, dès la nuit tombée, vont vibrer au rythme du jazz.A partir de 21 heures au cours des cinq soirées de Place au Jazz Bourgogne, cinq murs du quartier accueilleront des projections vidéos géantes alternant retransmissions en direct de concerts, archives vidéos de festivals antérieurs, photos, captations inédites de projets jazz...

Apéro-jazzdimanche 20 juin Apéro-Jazz avec Swing Babylone (swing manouche)

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Place au Jazz Bourgogne

18 juin

Place au Jazz Bourgogne Place Saint Pierre Empont Scène angle rue Saint Germain/rue de Bourgogne

18h30

ROBERTO NEGRO TRIO + 2Une musique organique, en mouvement, gorgée de générosité et d'énergie.Les compositions sont modelées comme des courts métrages, dont les scénarii restent ouverts à toute improvisation.Ici les frontières de style deviennent un jeu.

Et ce jeu une richesse. Pour le Festival Orléans'Jazz le Trio devient Quintet avec Lucas Saint-Cricq et Maxime Berton au saxophone.Cinq musiciens en interaction permanente, toujours prêts à se surprendre, pour une musique en quête d'images captivantes et d'humour.

Roberto Negro : pianoJérôme Arrighi : basseAdrien Chennebault : batterieLucas Saint-Cricq : saxophonesMaxime Berton : saxophones

19h30

SWING BABYLON2 guitares, un accordéon, …pour un voyage en jazzgypsyswingbalkanik !

Tristan ClaudelGaël FourdrinFred Ferrand

25

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18 juin


21h00

SELLAM/RENNE AFRICAN PROJECTLa langue jubilatoire de Déba Sungu conte des histoires hautes en couleur, véritables chroniques de la vie quotidienne, le chant du Balafon de Jean Paul Tona, exhale les parfums du Cameroun, Mike Armoogum impulse cette "tournerie" obsédante dont les bassistes Mauriciens et leur Sega ont le secret. À la batterie, Sony Troupe construit une fondation rythmique rigoureuse, à partir de laquelle les autres musiciens prennent leur envol avec une autonomie accrue.

Philippe Sellam : saxophoneGilles Renne : guitareJean-Paul Tona : balafonMike Armoogum : basse-chantDeba Sungu : percussions-chantSony Troupe : batterie-tambour ka

22h00

4,5G / RICHTERUne création sur la demande de l’association «Le Nuage en Pantalon». Un croisement, une carte blanche à 3 musiciens orléanais. Une rencontre et un mélange musical improbable… et indéfinissable.

JT25 : machinesBenoit Lavollée : vibraphone, marimbas, percus,…Simon Couratier : saxophone, flûte

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19 juin


18h30 et 21h00

PAINT ATONIKPaint Atonik est un collectif composé de musiciens orléanais qui travaille depuis plusieurs années autour du soundpainting afin de proposer des projets artistiques novateurs dans la région. L’orchestration éclectique du groupe est composée de 9 musiciens jouant des instruments de la famille des vents, percussions et machines électroniques. Paint Atonik propose un projet improvisé autour de la musique d’Henry Threadgill (saxophoniste et compositeur de Chicago) dont les arrangements sont écrits par Marc Béguin. Ce collectif travaille régulièrement avec Walter Thompson, le créateur du concept.

19h30

ASTRAKANwww.myspace.com/quartetastrakan

Formation parisienne créée en 2007 à l’initiative du guitariste et compositeur Grégoire Carpentier, le Quartet Astrakan réunit des musiciens désireux de construire des atmosphères sonores, en utilisant le son comme un support pour l’imaginaire, comme une machine à inventer des voyages. Dans l’univers d’Astrakan, chaque composition naît d’une image (crépuscule dans un port étranger, un homme court dans une ville qu’il ne connaît pas...). Fil conducteur pour l’écriture et l’interprétation, elle donne au morceau sa couleur et sa cohérence. Il en ressort une musique sensible, alternant entre formes écrites et improvisées, mêlant jazz, rock, bruitisme et électronique. Tantôt douce et méditative, tantôt exubérante et violente, la musique d’Astrakan raconte des histoires sans les dire.

Grégoire Carpentier : guitar, electronics, compositionsStéphane Ghez : saxophones, electronics Pierre Cassat : double-bass, electric bass Adrien Plessis : drums, percussions, effects

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19 juin


22h00

CATACLYSM BOXwww.myspace/cataclysmbox

La première rencontre de Jean Gros (guitare et composition), Maxime Berton (saxophones), Martin Wangermée (batterie) et Jérôme Arrighi (basse) se fait au sein du CMDL (Centre des Musiques Didier Lockwood), où ils suivent ensemble deux ans de formation professionnelle avec des professeurs tels que Didier Lockwood, Benoit Sourisse, André Charlier, Pierre Jean Gaucher, Marc-Michel Le Bévillon et bien d’autres encore… Ils ont ainsi l’occasion de jouer ensemble et de se découvrir musicalement au sein des ateliers de l’école et dans les groupes plus ou moins éphémères qui s’y créent. Le groupe instrumental Cataclysm box se forme alors naturellement, dont les quatre musiciens décident, leurs diplômes en poche, de continuer l’aventure après l’école.Bien que réuni sous l’enseigne de la culture Jazz, ils nous livrent une musique empreinte de funk, de rock, parfois au seuil de la pop. Les compositions brassent des influences allant de la musique jazz pop de groupes comme EST à la musique répétitive de Steve Reich, en passant par les riffs de guitares du rock 70’s et la musique électronique, tout en laissant une place déterminante à l’improvisation.

Jean Gros : guitare, compositionMaxime Berton : saxophones tenor, sopranoMartin Wangermée : batterieJérôme Arrighi : basse

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20 juin


12h00

SWING BABYLON (Dans le cadre de la bourse musicale)www.myspace.com/blackberrynmisterboohoo

Le blues est leur vie. Après avoir joué au festival Europa Blues en Italie, au festival Blues des deux rivières à Belle-Isle-en-Terre, à Cahors, aux Harmonicales de Condat-sur-Vienne, au Brussels Summer festival en Belgique et autres, ils partent à San Francisco donner deux concerts dans un bar mythique : le « SALOON ». Blackberry ‘n Mr Boo-hoo sont dans le mouvement roots. Pas de fioritures ! Ils jouent le blues avec leurs tripes. Ils sont en duo : Blackberry joue de la guitare, chante et bat une rythmique sur un caisson en bois et Mr Boo-hoo joue de l’harmonica, chante et percute un caisson bois avec ses pieds. L’ensemble vous transporte dans le sud des USA où seule une chose compte : la bonne humeur !

Blackberry : guitare, voix, percussionsMr Boo-hoo : harmonica, voix, percussions

17h00

CAMINHO L’esprit de Caminho se veut résolument ouvert.Ce sextet formé à l’initiative de Nicolas David, puise son inspiration tant dans le répertoire classique que dans celui du jazz ou de la musique populaire brésilienne.Les compositions de Caminho s’écartent du style traditionnel pour s’inscrire dans le courant de la musique brésilienne contemporaine.

Chloé Deyme : voixNicolas David : guitareMathieu Gramoli : batterieDavid Sevestre : saxophoneNicolas Le Moullec : basseGuy Claude Charcellay : trompette

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20 juin

Place au Jazz Bourgogne Place Saint Pierre Empont Scène angle rue Saint Germain rue de Bourgogne

19h30

LES VALSEUZES

Écoutez, c’est le blues du coin !Ils sont quatre, une Suisse, un Lorrain, un Niçois et un Orléanais.Une commune envie de réveiller la mélodie, la chanson des cafés, la valse intemporelle, indifférente funambule et moderne qui nous promène de Gus Viseur à Jo Privat, de Biréli Lagrène à Richard Galliano.Quatre pour trois temps voire plus, d’une musette bien remplie. D’un souffle dévoilé, d’une poussée bleue d’envie du fameux swing de Paris.Alors en route sur les chemins du swing à trois pattes, du blues de bastille et du bop à valser. On est pas bien là !

21h00

SPIKE DRIVERSwww.myspace.com/spikedrivers

Trouvant leur inspiration à travers leurs racines américaines et le riche héritage musical de ce pays, les chansons, les harmonies vocales et instrumentales des Spikedrivers permettent de classer ce groupe parmi les plus originaux et novateurs. Si leurs racines sont ancrées dans Delta du Mississippi, leurs chansons et leur talent dans leurs arrangements en font un groupe très actuel. Ben Tyzack, guitariste chanteur et harmoniciste, originaire de Charleston, Caroline du Sud, s’est mis à la guitare en écoutant des gens comme Big Bill Broonzy, Blind Lemon Jefferson ou Doc Watson parmi la collection de disques de son père.

Constance Redgrave, bassiste et chanteuse, née à Hollywood en Californie vit maintenant à Londres où elle partage la scène avec Otis Grand, Steve Cropper et bien d’autres…Enfin, Maurice McElroy, percussionniste et chanteur est natif de Belfast.

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21 juin


18h30

EAST TEMPS BULL’Sdeuxième lauréat de Tremplin Jazz d’Orléans

Pour ce projet, Nicolas Alamichel a réuni autour de lui cinq autres musiciens, dont son frère Karim à la batterie, Guillaume à la basse, Julien au sax alto, Quentin au sax ténor et Clément à la trompette. Six esprits groovy jazz, le regard dirigé plein Est. Une section rythmique survoltée qui délire sur des rythmiques improbables. Une section cuivre qui balance des riffs explosifs et s’élance dans des improvisations endiablées !

Karim Alamichel : batterieNicolas Alamichel : basseGuillaume Commencais : guitareJulien Comola : saxophone altoQuentin Police : saxophone ténorClément Baldzhun : trompette

19h30

COROMSwww.myspace.com/côrôms

2 guitares, 1 cajon… un univers instrumental qui n’est pas sans nous rappeler celui de Django.

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21 juin


21h00

TIERRA SABROSA

Influencé par le courant cubain, Tierra Sabrosa propose une salsa énergique et métissée, mêlant des influences traditionnelles et jazzy, revisitant les grands standards tels que « Bilongo, Chan Chan, El cuarto de Tula… » en leur donnant une nouvelle couleur due à la personnalité de chaque musicien… La rencontre de ces artistes génère une salsa explosive ! Tierra Sabrosa enchantera sans conteste les danseurs et régalera les mélomanes !

Séverine Freitas : chantStéphane Decolly : basseRaphaël Louisy Louis : pianoThierry Jammes : trompetteDavid Sevestre : saxophoneThierry Tavernier : timbalesVictor Soares Lima : congas

22h00

LES FRÈRES ANDRÉwww.myspace.com/lesfreresandre

Les Frères André, dont la liberté de moeurs étonne encore leurs contemporains, sont les séduisants gardiens d'une société raffinée dont on croyait l'honneur perdue... Ils chantent l'amour avec une sensualité rare... Conçues lors du symposium de la Saint-André 2005, les délicieuses harmonies vocales de ce quartet sont comme autant d’intemporels et coquins battements de cils adressés aux Andrews Sisters. Le répertoire puise tant dans la suavité jazzy des années 30 que dans l’énergie bestiale des années 50.Dans le respect des consignes élémentaires de charme et d’élégance, et citant dans le texte les grands poètes décadents et libertins, le Hot Club des Frères André chante Sinatra, Nat King Cole, John Kirby, Chet Baker ou encore Elvis Presley.Batterie, contrebasse et banjo tissent les draps de soie dans lesquels trompette et harmonies vocales s’aiment avec ardeur…

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22 juin


18h30

FD VOIE EXPRESS

19h30

TFTTERÇA FEIRA TRIOwww.myspace.com/trecafeiratrio

C’est autour du choro, un des genres les plus anciens de la musique brésilienne, que Fernando Cavaco, Ricardo Herz et Sergio Krakowski, musiciens issus du dernier cru de la scène brésilienne, expriment leur créativité et leur capacité d’improvisation, avec, pour terrain de jeu, le vaste répertoire de la musique populaire.Un cavaquinho sensible et audacieux qui défie les mélopées du violon, jusqu' à l'unisson, sur un canevas percussif soigneusement brodé par les sonnailles du pandeiro... Le public n'a d'autre choix que de se laisser emporter dans ce voyage musical, jusqu'à ce que se révèle, qui sait, l'ineffable.Si Terça Feira a choisi le choro comme moyen d'expression, sa musique se glisse dans les interstices des rythmes traditionnels brésiliens et se dévoile dans un métissage contemporain, jusqu'à donner naissance à une pléthore de nouveaux styles. Entre musique populaire et érudite, matisses samba, teintes forro, ces touches pop flirtent ici impunément avec le jazz et la musique des Balkans.Un voyage qui ne vous laissera pas indifférent...

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22 juin


21h00

CARTE BLANCHE DAVID HAZAK

KITOKOQuartet et groupe de travail autour du jazz et des musiques métisses improvisés.

Laurent Desmurs : piano, fender rhodes, claviersDany Mwanga : guitareThierry Tavernier : drumsDavid Hazak : basse

BLED’ART JAZZ BAND ET LE CONSERVATOIRE DU GHETTO !Un projet né d'une rencontre autour du groupe Waliyaan qui n'existe plus aujourd'hui. Un mélange de musiques africaines accompagné d’une voix et de textes envoûtants.

Djibril Sarr as Majnun : guitare, voixDavid Sevestre : saxophoneSimon Couratier : saxophoneLamine N’diaye : batterie

22h00

CECCALDI BROTHERSNouveau duo composé d’un violon et d’un violoncelle autour de musiques improvisées.

Théo Ceccaldi : violonValentin Ceccaldi : violoncelle

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Campo Santo

Du 23 au 26 juin

Ouverture des portes à 19h00

« Le Village » du Campo Santo vous accueillera avec des espaces « dédicaces », restaurations, expositions, des mini-concerts et des afters avec l’Astrolabe et l’Association ABCD.


23 juin : « Jazz Alternative Way »24 juin : « 100ème Anniversaire de Django Reinhardt»25 juin : « Jazz Prestige »26 juin : « Jazz in World Music »

23 juin

20h30 Campo santo

GENERAL ELEKTRIKS http://www.general-elektriks.com/http://www.myspace.com/generalelectriks

Une vraie pile, Elektriks. On l'appelle le sorcier des claviers. Ce petit génie de la musique s'appelle RV, de son vrai nom Hervé Salters, un franco-britannique que l'on ne peut absolument pas ranger dans un tiroir musical. Ce spécialiste des claviers des années 60 et 70 a déjà fait ses preuves aux côtés de M et de DJ Medhi ou encore dans le groupe Vercoquin. Fort des expériences partagées avec ses collègues du collectif hip-hop Quannum, le Général nous apporte un Funk futuriste qui défonce les barrières du genre. Il transforme l'essai sur scène avec une formation hors normes comprenant claviers vintage, MPC jouée live, guitare et vibraphone.

Exilé à San Francisco le groupe a fait des prestations remarquées dans l’émission musicale Taratata avec Mathieu Chedid puis encore aux Victoires de La Musique pour un hommage à Michael Jackson. Il puise avec la même intensité dans la pop, l'électro, le hip-hop, la soul, le funk, et le jazz. David Bowie, Michael Jackson ou Stevie Wonder sont pour lui des références... Un talent que lui reconnaît le public avec un Bataclan puis un Olympia complet à Paris.

Hérvé Salters : clavinet, rhodes et autres claviers vintage, chant, Jordam Dalrymple : MPC, batterieNorbert Lucarain : vibraphone, batterieEric Starczan : guitaresJessie Chaton : basse et basse synthé

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Crédit Photo : François Berthier

« Jazz Alternative Way »

23 juin

22h30 Campo santo

CHRISTOPHE & GUEST ERIK TRUFFAZ (CREATION ORLEANS’JAZZ 2010)http://www.christophe-lesite.com/www.eriktruffaz.comhttp://www.myspace.com/truffaz

Il a tout traversé. Le rock’n’roll, l’électro, la chanson : il les a habités, débauchés, magnifiés. Il a été le contemporain de Serge Gainsbourg et des juke-boxes, de John Lennon et des bals du samedi soir. Il vit désormais, même si son horloge avance, à sa propre heure, paré de son inséparable laptop, happé par l’électricité nocturne, révéré par les nouveaux artistes dans le vent, convoité par tous, insaisissable. En 1961, il fonde son premier groupe, Dany Baby et les Hooligans, Dany faisant référence à son véritable nom, Daniel Bevilacqua. Christophe pleure son «Aline» sur les ondes. Le disque se vend à plus d'un million d'exemplaires. Dans la foulée, il fredonne «Les Marionnettes» et signe d'autres tubes comme «J'ai entendu la mer» ou «Excusez-moi monsieur le professeur». Eclipsé par la fin des années yéyé, Christophe revient en 1973 avec «Le Paradis perdu», avant d'asseoir son succès grâce à ses «Mots bleus» deux ans plus tard. Personnage solitaire et mystérieux, Christophe est un véritable artiste de référence en France. Il interpelle et plus encore, fascine. Il propose à Orléans’ Jazz 2010 une création spéciale dans laquelle il recevra en invité spécial Erik Truffaz. Les deux hommes se connaissent et s’apprécient beaucoup, Erik ayant déjà invité Christophe sur son Album, le chanteur lui rend ici l’invitation.

Erik Truffaz fonde un groupe à l'âge de 30 ans, qui remporte en 1991 le prix Spécial du concours national de La Défense, et sort un an plus tard son premier album, «Nina Valeria». En 1997 paraît «Out of a Dream», sous le label prestigieux Blue Note : un succès considérable. Aventurier de la création, le trompettiste nuance son jazz de rock, hip-hop, drum' n'bass et musiques du monde, invitant Pierre Henry, Anouar Brahem, Mounir Troudi et le rappeur Nya à travailler avec lui. Erik Truffaz n'a donc qu'un seul objectif, ouvrir sa musique et son public à une liberté sans limite. Dans la lignée d'un Miles Davis, ce trompettiste a tenté multiples expériences jazzistiques (acoustique, électro, rock). Ainsi Truffaz plaît au-delà du jazz...

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« Jazz Alternative Way »

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24 juin

20h30 Campo santo

EDDY LOUISShttp://fr.wikipedia.org/wiki/Eddy_Louiss L'un de ses disques les plus réussis s'intitulait simplement « Orgue ». Pendant longtemps en Europe, Eddy Louiss a dominé l'instrument de sa personnalité au point de rendre marginale toute concurrence. Et pourtant, les talents d'Eddy Louiss sont loin de se limiter à ce seul instrument. Fils d'un musicien d'origine martiniquaise (le trompettiste Pierre Louiss), il a reçu des leçons de piano dès l'âge de cinq ans. Très jeune, il chante et joue dans l'orchestre de son père tous les étés. Sa curiosité pour le jazz le pousse à s'essayer à différents instruments : la trompette, le vibraphone et l'orgue qu'il découvre grâce à Lou Bennett.Au début des années 1960, il joue du piano dans des boites à Paris tout en poursuivant ses études. Il chante aussi avec le groupe musical les «Double Six» (avec sa fondatrice Mimi Perrin, Roger Guérin, Ward Swingle et Christiane Legrand, la soeur de Michel Legrand). Ajoutant l'orgue à sa palette instrumentale, Louiss joue dans les années 1960 avec Johnny Griffin, Art Taylor, Dizzy Gillespie et Stan Getz. À la fin des années 1960, il fait partie du trio de Kenny Clarke avec René Thomas et enregistre aussi avec Barney Kessel. Eddy Louiss joue et enregistre aussi avec Claude Nougaro, Jane Birkin Henri Salvador, Richard Galliano. Il forme un big band, "Multicolor Feeling" avec lequel il a réalisé de nombreuses tournées dans toute l'Europe. Il forme également en duo avec Michel Petrucciani, duo qui signe un double album live historique (« Conférence de presse ») au Petit Journal Montparnasse. Eddy Louiss retiré depuis 4 ans de la scène pour des raisons de santé revient donc en exclusivité pour le vingtième anniversaire d’Orléans Jazz…

Eddy Louiss : orgue et pianoChristian Martinez : trompetteThierry Farrugia : saxophoneJean-Marie Ecay : guitareFrancis Arnaud : batterieLaurent Vernerey : basse

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Crédit photo : Tempo 111

«100ème Anniversaire de Django Reinhardt»

24 juin

22h30 Campo santo

BIRÉLI LAGRÈNE TRIO INVITE DIDIER LOCKWOODSur le bout des doigts… Biréli Lagrène est un «phénomène de la guitare» (dixit John Mc Laughlin). Révélé au début des années 80, l'enfant prodige a su passer avec brio le cap de la maturité, s'affirmant de jour en jour comme un musicien de plus en plus incontournable dans le monde de la guitare et dans celui du jazz, où il fait désormais figure de référence. Issu d'une famille musicienne, Biréli Lagrène entame son fabuleux parcours par l'apprentissage de la guitare et des participations lors de festivals de musique tzigane. Remportant un premier prix à Strasbourg, il enregistre 'Route to Django' lors d'une tournée en Allemagne, accompagne Stéphane Grappelli ou Benny Goodman et rencontre Jaco Pastorius en 1985. Mais s'il est dès lors révélé au jazz fusion, cela ne l'empêche pas de passer par le rock - «Inferno», «Foreign Affairs» - l'acoustique - «Acoustics moments» - et le be-bop - «Standards» ! Recevant en 1993 le Django d'or du meilleur musicien français, il sort le sublime 'Jazz in Marciac' en 1994 et rend hommage à son maître avec 'My favorite Django' l'année suivante. Il collabore avec Didier Lockwood et le quartet de Richard Galliano, puis fonde le Biréli Lagrène Quartet et le groupe Front Page, dont l'album éponyme est élu album de l'année aux Victoires de la musique. Récoltant encore un prix avec 'Gipsy Project' avant de porter toute guitare aux nues via 'Move', c'est ainsi que Biréli Lagrène réussit finalement à devenir aussi libre et créatif que la musique qu'il aime.

Premier prix du conservatoire national de Calais, Didier Lockwood remporte dans la même année, le prix de la Sacem dans la catégorie musique contemporaine. Un an plus tard, il met un pied dans le rock progressif en devenant un membre à part entière du groupe Magma. A 21 ans, Stéphane Grappelli le remarque et lui propose de l'accompagner en tournée. C'est ensuite le pianiste Dave Brubeck qui le remarque mais il est temps pour Lockwood de commencer une carrière solo. Les albums s'enchaînent, les collaborations aussi notamment avec des duos avec Martial Solal, Gordon Beck, Marcus Miller, Elvin Jones ou encore Barbara, Claude Nougaro. Le succès aidant, il reçoit une victoire de la musique, un disque d'or et même la Légion d'honneur en 2003. Le secret de Lockwood se trouve dans son envie d'explorer tous les horizons.

Biréli Lagrène : guitareDidier Lockwood : violonFranck Wolf : saxophone, Jürgen Attig : contrebasse

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Crédit Photo : Ph.Etheldrede

Crédit Photo : Copyright Ph. Levy-Stab

«100ème Anniversaire de Django Reinhardt»

25 juin

20h30 Campo santo

CANDY DULFERhttp://www.candydulfer.nl/http://www.myspace.com/candydulfermusic

Dans le clip de son titre "Partyman", Prince chante «When I need trombone, my dog is Handy / But when I want sax, I call Candy». La Candy de la chanson, c'est Candy Dulfer invitée par la star à improviser un solo sur la scène qu'il partageait avec elle pour les trois concerts donnés par Prince aux Pays Bas en 1988. Elle participe à de nombreux autres concerts et enregistrements avec lui aux Etats-Unis. Elle avait auparavant fait la première partie de Madonna avec son groupe "Funky Stuff" lors d'un concert de la tournée européenne de la vedette en 1987. Elle a joué aussi avec Van Morisson, Les Pink Floyd... Il faut dire que Candy Dulfer est presque née avec un saxo dans les mains. Elle est, en effet, la fille du saxophoniste Hans Dulfer, ses premières influences sont celles de Sonny Rollins et David Sanborn. Sa carrière débute quand elle n'a que 12 ans lorsqu'elle fait partie du groupe de cuivres féminin de Rosa King. A 25 ans c'est sa première collaboration avec Dave Stewart, ex-guitariste des Eurythmics sur le titre «Lily was here», une chanson de film, qui sera en tête des Hit-parades européens en 1999. Son premier album «Saxuality» sort en 1990 (elle n'a alors que 20 ans) et connaît tout de suite un succès fulgurant. Nommé aux Grammy Awards, il sera disque d'or la même année. Elle retrouvera un succès international avec son quatrième album «For the love of you» en 1997 inscrit au hit-parade du Billboard Magazine pendant 40 semaines. En 2003, le titre «Finsbury Park, Café 67» (extrait de l'album «Right in my Soul») est un succès emblématique du Smooth jazz et prend la première place du hit-parade R&R - Smooth Jazz aux Etats-Unis. Candy Dulfer est aujourd'hui un modèle pour plusieurs artistes féminines, comme la guitariste Joyce Cooling ou les saxophonistes Pamela Williams et Mindi Abair. Elle est une habituée des plus grandes scènes et des plus grands festivals consacrés au jazz. Son jeu impeccable la place parmi les meilleures saxophonistes de smooth-jazz au monde. Elle présentera à Orléans son tout dernier album, Funked Up & Chilled Out sorti en 2009, jazzy, funky et sexy…

Candy Dulfer: saxophone/chantJan Van Duikeren : trompetteUlco Bed : guitare Chance Howard : claviers/chantRonald Kool : claviersManuel Hugas : basse Oscar Kraal : batterie 40

« Jazz Prestige »

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25 juin

22h30 Campo santo

MARCUS MILLER « TUTU REVISITED »http://www.marcusmiller.com/

Marcus Miller est encore dans le ventre de sa maman quand Miles Davis grave les cinq morceaux qui composeront Kind of Blue. Marcus souffle d'abord dans une flûte à bec, puis passe à la clarinette basse. Mais le jour où il s'empare d'une basse électrique, c'est pour ne plus jamais la lâcher. Miles Davis, Paul Chambers, Larry Graham, Stevie Wonder, Stanley Clarke, Jaco Pastorius, Earth, Wind & Fire, Grover Washington, etc, forment la voie lactée qui brille dans l'espace sonore de Marcus Miller. Bassiste d'exception, virtuose jamais démonstratif qui a su, mieux que quiconque dans les deux dernières décennies, transcender son rôle d'instrumentiste pour voir la vie en couleurs, pour donner au jazz, au funk et à la soul des allures et des airs plus (en)chantants.

Marcus Miler accompagne Miles de 1981 à 1983. Trois ans plus tard, c'est Marcus, le musicien, multi-instrumentiste, compositeur, arrangeur, producteur qui revient près de Miles. Ensemble, ils enregistrent Tutu. Succès immédiat. Miles est une pop star. Merci Marcus. Le titre éponyme est aujourd'hui un standard moderne, et le style Miller est définitivement scellé avec cet album-clé. Amandla (1989) prolonge le plaisir. En 1991, Miles tire sa révérence. Marcus Miller commence alors à enregistrer sous son nom. En dix ans et trois albums studio, Marcus Miller a définitivement imposé sa marque : celle d'un musicien respectable et respecté qui sait faire fructifier l'héritage des grandes musiques noires. Il revient avec de jeunes musiciens avec son hommage à Miles, « Tutu revisited » magnifique création donnée cette automne Salle Pleyel à Paris...

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Crédit Photo : Mathieu Zazzo

« Jazz Prestige »

26 juin

20h30 Campo santo

RACHID TAHAwww.rachidtaha.frhttp://myspace.com/rachidtaha

Né à Oran, Rachid Taha immigre en France à l'âge de 10 ans ; dès lors le thème de l'exil ne cesse de le mobiliser. Dans les années 80, il fonde le groupe «Carte de Séjour», qui a pour ambition de bousculer certains poncifs liés à l'immigration. Ils mettent en chanson des paroles de déracinés qu'écoute pour le moment un public encore essentiellement communautaire. Le groupe se délite et, dans les années 90, Rachid Taha continue son chemin seul. Son premier album solo, «Barbès» en 1991, défraye la chronique. De plus en plus reconnu par la critique musicale, il décide de travailler avec Patti Smith ainsi que Brian Eno, cela au gré de ses humeurs musicales. En 1993 sort son second album solo. Suivront assez rapidement 'Olé Olé' et le live «1, 2, 3 soleil» de 1999, qui rassemble les stars incontournables du raï, Faudel et Khaled, à ses côtés. Près de 10 ans après un premier album éponyme, «Diwan 2» est un mélange de mélodies arabisantes couplées d'une essence rock anglo-saxonne. Symbole de tolérance universelle qui s'incarne musicalement, Rachid Taha fait figure d'artiste libre qui, d'emblée, a su jeter des ponts entre l'Orient et l'Occident. Il livre des albums et des shows renversants et contemporains. Son nouvel album s’intitule «Bonjour», chapitre supplémentaire de la vision joyeuse et combattante d’un métissage que Mr Taha ne pensait pas devoir défendre si longtemps…

Rachid Taha : chant, Yves Aouizerate : synthéTerry Didier : basse, Rachid Belgacem : percussionsStéphane Bertin : guitareBenoit De Visscher : fohHakim Hamadouche : luthGuillaume Rossel : batterie

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Crédit Photo : Barbara Dallesandrie

« Jazz in World Music »

26 juin

22h30 Campo santo

SALIF KEITA (Victoire de la musique - L’album de Musiques du Monde de l’année)

http://salif-keita.artiste.universalmusic.fr/ http://myspace.com/salifkeitamusic

«Voix d'or de l'Afrique», «Caruso africain», les surnoms ne manquent pas pour qualifier la beauté de cette voix unique. Salif Keita est un artiste généreux qui séduit les publics du monde entier. Sans jamais perdre de vue ses racines les plus profondes, ce prince mandingue n'a de cesse de construire un pont entre l'Afrique et le reste du monde, mais aussi entre les différentes cultures africaines. Si l'on en croit les témoignages de son enfance, Salif Keita n'était pas promis à un destin radieux. Né albinos, on lui prête des pouvoirs maléfiques qui conduisent ses semblables à s'écarter de sa route. Le garçon veut devenir instituteur, ce à quoi il ne peut prétendre en raison de sa mauvaise vue. Il exprime alors sa passion pour le chant, sans compter que la musique est réservée aux griots, alors qu'il est issu d'une lignée de princes. Rejeté par les siens, Salif Keita part pour Bamako, où son talent peut enfin s'exprimer et bousculer les convenances. Il enregistre un album de soutien à la famine en Ethiopie en compagnie de Manu Dibango, participe à de nombreux concerts et festivals, chante les joies et les déboires du peuple malien et se rend régulièrement en Afrique pour apporter son aide aux jeunes musiciens. Son militantisme tous azimuts transpire encore sur «La Différence», le nouvel album qui vient de remporter une «Victoire de la Musique» dans la catégorie «L’album de Musiques du Monde de l’année».

43Crédit Photo : Richard Dumas

« Jazz in World Music »

Campo SantoScène du villagePour patienter agréablement avant les têtes d'affiche, nous vous proposons chaque jour durant la programmation du Campo Santo un concert... jazz évidemment !

23 juin19h00-20h30Scène du Village

VINCENT VIALA TRIO

Vincent Viala : pianoThierry Leu : contrebasseRégis Savigny : guitare


FÉDÉRATION FRANÇAISE DE BARYTONwww.myspace.com/ffbaryton

« Le quintet nommé « Fédération Française de Baryton » est composé d'Alain Coyral, Jean-Christophe Jacques, Francis Mounier, Guillaume Schmidt (saxophones baryton), et de Didier Ottaviani à la batterie. C'est une formation (bordelaise) dont le fonctionnement repose sur des arrangements tirés au cordeau de thèmes de la plume des quatre instrumentistes, et dont la musique est globalement plutôt d'humeur festive, ce qui n'empêche ni la poésie, ni la tendresse. Utilisant aussi les effets permis par la technologie la plus avancée, les quatre compères et leur percussionniste rivalisent d'échanges virtuoses, font sonner le baryton en ligne de basse mais aussi comme soliste, régalent par quelques beaux unissons à faire frémir les amoureux de la « West Coast », et font passer un très agréable moment au public à l'heure de l'apéritif, où il est encore trop tôt pour se laisser aller à l'émotion métaphysique, mais pas encore trop tard pour se réjouir de ce que l'intelligence musicale peut produire. »Jazz Magazine

Francis Mounier : sax barytonGuillaume Schmidt : sax barytonAlain Coyral : sax barytonJean-Christophe Jacques : sax barytonDidier Ottaviani : batterie 44


TAKE 3www.myspace.com/ffbaryton

« Ce trio nous offre un jazz vivant, romantique, poétique à la fois groovant et pudique. Il n'y a pas ici de prise de tête conceptuelle, juste un plaisir simple et intelligent... ce que j'attends de la musique ! » Didier Lockwood« 3 musiciens qui ont trouvé une véritable poésie de langage » Jean-Michel Proust (TSF, Paris Jazz Radio)« Le nouveau Take 3, personnel et inspiré, nous propose des ambiances rêveuses et sentimentales, expressives et animées, une musique d’aujourd’hui et d’hier par trois musiciens qui se sont bien trouvés. »Jazz Classique


BELTUNER Fanfare www.myspace.com/beltuner

Beltuner a été fondé en 2001. Depuis, Beltuner est devenu un groupe à l’avant-garde de ces musiques aujourd’hui en renouveau en France telles le swing manouche ou le musette parisien, apportant de nouvelles influences, un nouveau souffle, une nouvelle énergie. Une couleur unique se dégage au travers de leurs compositions et de l’interprétation originale de reprises.De retour du festival de jazz de Moscou, représentant la France aux côtés de Richard Galliano, à la veille d’une tournée en Grande Bretagne, ces quatre musiciens, héritiers de Django Reinhardt, Jo Privat, Astor Piazolla ou Serge Gainsbourg, entretiennent et renouvellent dignement l’esprit de ces musiques vivantes et évolutives…

Johann Riche : accordéonPascal Muller : guitareGuillaume Juhel : guitareNicolas Pautras : contrebasse

AFTERS EN COURS DE PROGRAMMATION 45

AUTOUR DU JAZZdu samedi 5 juin au samedi 3 juilletMédiathèque

Orléans’JAZZ s’afficheRassembler vingt ans d’affiches, c’est, au delà du souvenir des émotions musicales, se pencher sur la création graphique en France. L’Institut d’Arts Visuels d’Orléans aura été une pépinière de talents et nombre de graphistes appelés à réaliser les affiches d’Orléans’Jazz sont devenus de prestigieux artistes internationalement reconnus.

A travers la conception de l’identité visuelle des lieux et des événements culturels, les campagnes d’affichage, les artistes ont pleinement contribué à donner une âme à ce festival orléanais rayonnant.

19 juinMÉDIATHÈQUE DE LA SOURCE16h00

SEXTET ÉCOLE DE MUSIQUE DE LA SOURCE.Paul Cadier : saxophoneJeremy Jegou : saxophoneGilles Theureau : pianoThomas Fyot : guitareClément Peyredieu : basseSimon Aufranc : batterie

26 juinMÉDIATHÈQUE D’ORLÉANS16h00

NUNCA SHADEL’univers musical de Nunca Shade est original, obsessionnel, électro-acoustique, chaleureux, sensuel et nuancé...L'association de ces personnalités et de leurs influences, crée un mix de songwriting soul/ folk / électronica / downtempo.

Corinne Callès : voixChristophe Lardeau : guitaresPatrick Moriceau : claviers-machines

46Droits réservés

17 juinSALLE DE L’INSTITUT

(Conservatoire d’Orléans)

18h00

FRANÇOIS COUTURIER – PIANO SOLO

Orléanais, il fait des études de musicologie et de piano classique puis fonde en 1977 le groupe Impression. En 1978 il fait la connaissance de Jean-Paul Celea, qui joue à l'époque avec Jacques Thollot, avec qui il maintiendra une étroite relation. Il collabore par la suite avec Daniel Humair, François Jeanneau, Michel Portal et Didier Lockwood. En 1980 il est gratifié du prix Django Reinhardt de l'académie du Jazz. En 1981 et 1982 il intègre avec Celea la formation Translators menée par le guitariste américain John McLaughlin. Par la suite il continue de jouer dans diverses formations comme le Couturier-Celea Quintet, le quintette Black Moon (avec notamment Dominique Pifarély et François Laizeau), le groupe Passagio, entre autres. Parmi ses autres collaborateurs on peut citer Wolfgang Reisinger, Eddy Louiss, Didier Levallet, Michel Edelin, Anouar Brahem Anja Lechner, ou François Méchali. Il vient de sortir un album en piano solo sur le célèbre label ECM. Orléans’ Jazz est heureux de retourner à l’Institut, lieu cher à un de ses ex directeurs artistiques, Armand Meignan.

François Couturier : piano

47Droits réservés

INFORMATIONS

Office de Tourisme et de congrés d’Orléans : 02 38 24 05 05Ville d’Orléans : www.orleans.fr/orleanssjazzContact : [email protected]

LOCATIONS A Orléans : Office du Tourisme, 2 Place de l’Étape : 02 38 24 05 05 FNAC , 16 rue de la République : 08 25 02 00 20 Maison de l’Etudiant, Campus d’Orléans : 4 rue de Tours, 02 38 24 27 00 Planète Claire, 11 rue Croix de Malte : 02 38 62 94 44 Harmonia Mundi, 36 rue Jeanne d’Arc : 02 38 53 41 54

Pour l’Hexagone : Fnac - Carrefour - Géant - Magasins U - Intermarché www.carrefour.fr - www.francebillet.com 0 892 68 36 22 (0,34 €/min) www.fnac.com

Auchan – E.Leclerc – Virgin Megastore – Cultura – Cora 0892 39 01 00 (0,34 € /mn) www.ticketnet.fr

BILLETTERIE 24 € : plein tarif 20 € : groupes (à partir de 10 billets achetés simultanément pour le même concert) 13 € : moins de 26 ans 8 € : carte JPASS et PAC

Forfaits tout public : 39 € : forfait 2 jours 69 € : forfait 4 jours Forfaits collectivités (à partir de 10 forfaits commandés pour le même forfait) 34 € : forfait 2 jours 66€ : forfait 4 jours

Forfaits jeunes : 21 € : forfait 2 jours 37 € : forfait 4 jours Gratuit pour les moins de 12 ans au Campo Santo. Concerts gratuits au Jardin du Festival et à Place au Jazz Bourgogne.

LES PARTENAIRES

Les acteurs culturels s’associent de nouveau cette année à la programmation et à l’organisation de l’édition 2010, stimulant ainsi l’échange des styles de musique et la rencontre des publics.

Les programmateurs associés :Le ConservatoireL’AstrolabeL’Association ABCDLe Nuage en Pantalon

Le festival existe aussi grâce à ses partenaires institutionnels financiers, logistiques ou médiatiques.

Les partenaires financiers de la Ville d’Orléanspour Orléans’Jazz 2010 :

La Région CentreLe Conseil Général du LoiretLa Caisse d’Epargne du Val de France/ OrléanaisLe Crédit Mutuel du Centre

Les autres partenaires :

La République du CentreFrance bleuFrance 3 C entre FNACXCPHHarmonia MundiJazz à VienneL’Office du Tourisme d’OrléansOrléans GestionL’Institut d’Arts VisuelsL’Association O’JazzL’Association ABCDL’Ecole de Jazz à ToursLa FRACAMALe Petit FaucheuxLe Sunside-SunsetYamahaUp to Boutique Blanchet Dhuismes

Orléans, une Ville culturelle · PDF fileClément Peyredieu : guitare Et avec le...

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