Octobre 2008

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* Les fêtes de fin d'année... utiles ou pas ? * Tout ce qu'il faut savoir sur les Bahamas * Vous habillez- vous pour réussir… ou végéter ? * Propriété intellectuelle * Minceur oblige : bonjour les pèse-bagages * L'addition SVP...

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Le mystère des hot-dogs résoluMais pourquoi, diable les saucisses à hot-dogs se vendent-

elles en paquets de 10 et les pains en paquets de 8 ou 12 ?Les boulangers emballent leurs produits 12 à la fois ou enmultiple de trois ou quatre. La viande se vend à la livre ou aukilo et une saucisse à hot-dog ordinaire pèse 0,1 livre. OscarMayer estime que seulement une dizaine de consommateurs(ou 12 ?) se plaignent chaque année.

Whistler : la nouvelle cabine réjouitles skieurs

Le ski est superbe au centre Blackcomb de Whistler maisles skieurs se plaignaient que le temps passé entre Whistler etBlackcomb les privait de temps sur les pentes.

Séchez vos larmes ! — la nouvelle cabine Peak 2 Peakdevrait résoudre le problème dès décembre en reliant les deuxmontagnes à un peu plus de 6 000 pieds par une traversée de2,73 milles. Départ toutes les 49 secondes. Le trajet de 11 mi-nutes dans des cabines de 28 passagers offrira une vue impre-nable à la plus haute altitude du monde : 91 427 pieds au-dessus d’un fond de vallée. La cabine franchira aussi la distancela plus longue du monde en portée non soutenue : 91,88 milles.

Sur le Web : www.whistlerblackcomb.com

Air Canada dit oui au WiFiLes Canadiens en route pour les États-Unis auront bientôt

le WiFi à 40 000 pieds d’altitude, mais juste dans l’espace aérien des É.-U. Air Canada disait récemment qu’elleserait la première société aérienne canadienne à offrir l’accèssans fil à bord de vols transfrontaliers. Le transporteur national, dont le siège est à Montréal, projette d’offrir le service mobile à large bande Aircell LLC « GoGo » à bord decertains Airbus A319 vers les É.-U. à partir du printemps 2009.

Le système ne fonctionnera qu’aux É.-U. où les avionsauront accès au réseau de communication américain air-sold’Aircell. Transport Canada interdit actuellement l’utilisationd’appareils électroniques dans les avions au Canada mais lerégulateur étudie la possibilité d’autoriser l’utilisation des cellulaires après l’atterrissage.

Aircell dit avoir hâte d’installer un réseau air-sol qui établitla liaison entre l’avion et les tours de cellulaires au sol, faisantde la cabine un point d’accès WiFi au Canada comme aux É.-U. La technologie ressemble à celle des systèmes télé-phoniques classiques en avion. Aircell a annoncé un accordsimilaire avec Delta le 6 août et installera un réseau mobiledans le parc de plus 330 avions de la compagnie dans la zonecontinentale des É.-U. Rien à signaler des prix d’Air Canadamais Delta projette de demander 9,95 $ pour un vol de troisheures ou moins et 12,95 $ pour un vol de plus de troisheures.

Sur le Web : www.aircell.com.

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2105, de la Montagne, bureau 100Montréal, Québec H3G 1Z8

Téléphone : (514) 849-6841 poste 331 Télécopieur : (514) 284-2282Vos commentaires sont appréciés : [email protected]

Le Planificateur est diffusé mensuellement aux professionelscanadiens de l’industrie du tourisme et des affaires.

Le Planificateur utilise du papier recyclé 30 %.

Résistons à la récessionLe Canada n’est pas encore en récession et nous

devrions tous faire ce que l’on peut pour que nousn’y passions pas aussi.

Pour cette raison, Le Planificateur introduira dèsnovembre deux nouvelles rubriques qui, nous l’espérons, bénéficiera àtous dans l’industrie des événements.

La première rubrique, intitulée Les Aubaines, listera les offres spéciales dont les fournisseurs nous auront fait part afin de vous aider àéconomiser. Nous demandons ainsi aux fournisseurs de nous communi-quer les promotions spéciales qu’ils désirent lancer afin de vous aider àrespecter vos budgets amoindris en cette période d’instabilitééconomique. Notre but demeure d’informer et de soutenir l’industrie àlaquelle nous souhaitons prospérité.

La seconde sera intitulée Éloge des planificateurs. Dans cette rubrique,nous publierons vos commentaires au sujet de fournisseurs qui aurontdépassé vos attentes. Porter attention sur des choses négatives est facileet parfois nécessaire mais assez de gens, ou encore de publications, lefont ; nous voulons parler de ce que les gens font de bien.

Nous appliquerons donc la règle du ratio 20/80 et parlerons ainsi dechoses plutôt négatives 20% du temps et de choses bien plus positives,80% du temps. Nous en sortirons assurément tous gagnants.

Comme vous le savez, Le Planificateur n’est pas une publication baséesur la perception mais bien au contraire sur l’information qu’elle délivre,et c’est ce que nous nous efforçons de vous offrir. De l’information pertinente qui vous sera utile dans votre travail. Merci de nous lire etcomme toujours, faites-nous parvenir vos commentaires.

— Leo Gervais

> Note de l’éditeur

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Survol des Bahamas Alors que le froid nous guette, il fait bon d’en-visager vos voyages de groupe dans des des-tinations plus chaudes. Avant que l’hiver nenous surprenne, Janet Cuffie, de l’Office detourisme des Bahamas, répond à quelquesquestions qui sauront vous aiguiller dans vosrecherches de destinations.

Nouveau tournantpour les partys de find’annéeLa saison des fêtes de fin d’année ne sauraittarder et votre party de bureau pourrait bienêtre rehaussé grâce aux conseils de notrecollaborateur Renaud Huot, spécialiste etformateur en événements. Suivez le guidedans vos préparatifs…

Un brin d’originalitéMade in Québec Avec un hiver des plus rigoureux, le Québecne se laisse pas abattre et regorge d’originalitépour rendre vos événements hivernauxmémorables. Deux professionnels de l’industrie vous confient ce mois-ci des idéesde décor et d’ambiance qui sauront réchaufferle cœur de vos groupes !

LEPLANIFICATEURRÉDACTEUR Leo Gervais [email protected]ÉDACTRICE ADJOINTE Camille Lay [email protected]ÉDACTRICE ADJOINTE Jyl Ashton Cunningham [email protected] Matt RiopelADMINISTRATION Debbie Barlow, Tania Joanis, Patricia LemusCONTRIBUTEURS Renaud Y. Huot, Don Murray, Barry Siskind

Dans ce numéro

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Poste-publication No. 40934013

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L’économie de Québecfait un bon en avant

Selon le bimensuel américain SiteSelection, qui a établi un palmarès desrégions les plus performantes

économiquement, la région de Québec est passée du qua-trième au deuxième rang des Top Canadian Metros. Basé surl’analyse de nouveaux projets de construction et d’expansion,à l’initiative d’entreprises privées entre le 1er juin 2007 et le 31mai 2008, ce classement met en avant les métropoles les plusdynamiques, comme Edmonton qui arrive en tête et Montréalégalement, qui se classe derrière Québec, en troisième position.

Sur le Web : www.siteselection.com

Quand le huard favorise les départsSelon Statistique Canada, la hausse qu’a connue le huard a

favorisé les déplacements des Canadiens vers l’étranger aupremier trimestre 2008. Ayant effectué un total de 4,5 millionsde voyages avec nuitées aux États-Unis, les Canadiens ontaugmenté leurs séjours chez leurs voisins de 21,5 pourcentpar rapport à l’année précédente. Une hausse qui s’est égale-ment faite sentir au niveau des déplacements outre-mer à la

même période, puisque ces derniers ont atteint un total de 2,8millions, incluant des nuitées ; ce qui traduit une augmenta-tion de 12 pourcent par rapport au premier trimestre de 2007.Cet accroissement serait en lien avec la hausse du dollar cana-dien, enregistrée à la même époque. En effet, selon StatistiqueCanada, la valeur moyenne du huard était de 99,6 cents US aupremier trimestre 2007, en comparaison avec une moyennede 85,4 cents US au même trimestre en 2008.

L’Auberge Saint-Antoine récompensée

On se souvient des vastes rénovations qu’a entreprisesl’Auberge Saint-Antoine à Québec en 2003 ; les travauxavaient modernisé et agrandi l’hôtel-boutique qui offreaujourd’hui 31 chambres. Reconnu depuis pour son confortalliant l’histoire du bâtiment à son décor contemporain, l’établissement de propriété familiale a reçu tout récemmentun Prix d’excellence de la Fondation Héritage Canada, unereconnaissance des plus prestigieuses portant sur les réalisa-tions et l’excellence dans la conservation du patrimoine bâtiau Canada. Depuis 1973, la fondation récompense des per-sonnes, des groupes ou des collectivités dont l’action, enfaveur de la défense et de la conservation du patrimoine,redonne vie aux lieux historiques du pays. Un défi quel’Auberge Saint-Antoine a relevé haut la main ! Découvrez par vous-même les artéfacts authentiques et restaurés exposés dans l’hôtel.

Sur le Web : www.saint-antoine.com

> Ici et làDE CAMILLE LAY

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Entrevue avec l’Office de tourisme des Bahamas :1. Qu’est-ce-qui motiverait un planificateur à choisir lesBahamas comme destination pour un voyage de groupe ?

Les îles des Bahamas constituent un archipel d’exception, unedestination idéale pour le voyage de motivation, les conférenceset le tourisme collectif. Sur 11 îles uniques, nous offrons unchoix considérable d’hôtels et centres de villégiature pouvantloger des groupes. Ces îles tropicales situées au milieu d’eauxturquoises et limpides sont encerclées de plages de sable fin àperte de vue. De plus, les Bahamiens et Bahamiennes sont desgens très sympathiques et chaleureux.

2. Y a-t-il un nombre minimum requis de personnes par groupe ?Nos établissements peuvent loger des groupes de dix per-

sonnes et plus.

3. Quel est le taux de change du dollar canadien par rapportau dollar bahamien ?

Le dollar bahamien est à parité avec le dollar américain. Ledollar américain est accepté dans tout l’archipel ainsi que lamajorité des cartes de crédit et chèques de voyage.

4. Quels documents exige-t-on des citoyens canadiens pourvoyager aux Bahamas ?

Les citoyens canadiens doivent être munis d’un passeport

valide et doivent détenir un billet pour un vol en continuation ouun billet de retour. Toutefois, pour les séjours de 21 jours oumoins, les voyageurs n’ont qu’à présenter une pièce d’identité avecphoto émise par un gouvernement et un certificat de naissance.

5. Quel type de climat retrouve-t-on aux Bahamas ? Quelle estla température moyenne en été et en hiver ?

Les Bahamas bénéficient d’un climat semi-tropical, grâceaux courants chauds du golf et des alizés qui soufflent con-tinuellement sur les îles et rendent la température agréabletoute l’année. La température moyenne varie entre 21 et 27degrés Celsius, elle peut atteindre 32 degrés en été et baisserarement en dessous de 16 degrés en hiver. La saison fraîches’étend de novembre à avril.

6. Quelles sont les diverses activités offertes aux groupes ?Les îles des Bahamas offrent une variété d’activités conçues

pour le voyage de stimulation et tourisme collectif. Les acti-vités en mer incluent, entre autres, la nage avec les dauphins,le kayak de mer, la voile, la pêche et des excursions en bateauaux îles Exumas et Habour.

D’autres activités s’ajoutent au programme : casinos, golf,écotourisme et plus encore. Les groupes pourront aussi vivreune expérience culturelle en prenant part aux nombreux festivals des îles, tel que le festival Junkanoo.

7. Y a-t-il des taxes et des frais de services (TVA, frais de service, taxes de vente, etc.) ?

Les planificateurs bénéficient d’une exemption de taxes dedouanes sur le coût des marchandises expédiées auxBahamas pour des conférences, à condition que ces items nedemeurent pas au pays après les évènements.

8. Combien y a-t-il d’hôtels aux Bahamas destinés au tourismecollectif ?

Plus de 50 hôtels et centres de villégiature répartis sur 11îles sont idéalement conçus pour le voyage de motivation etle tourisme collectif.

9. En conclusion, pourriez-vous nous décrire brièvement cequi distingue les Bahamas des autres destinations soleil ?

Les îles des Bahamas constituent un archipel unique,offrant une multitude d’activités et d’expériences diversifiées.Les Canadiens choisissent cette destination pour ses plagesparadisiaques et l’accueil chaleureux de ses habitants, maisaussi pour sa proximité. En effet, l’archipel est une des des-tinations les plus accessibles à partir du Canada, ce quireprésente un grand avantage.

Sur le Web : www.bahamas.comPour plus d’info, contactez Janet Cuffie au 1-905-672-9017.

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Tout ce qu’il faut savoir sur les Bahamas

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Les fêtes de fin d’année... utiles ou pas ?DE RENAUD Y. HUOT

Le party de Noël des entreprises a-t-il sa place dans lecontexte économique actuel ? Pourquoi remettre enquestion sa raison d’être et d’y être ?

D’entrée de jeu, je n’ose m’imaginer le prochain Noël ouJour de l’An sans mes enfants, mes proches amis, sous pré-texte que le contexte économique est inquiétant. Ce serait, àmon avis, faire preuve d’un manque d’analyse et d’objectivité.Bien sûr, devrais-je peut-être faire différemment, en fonctionde ma situation financière. Mais, au grand jamais, y renoncer.Que ce soit en milieu familial, en présence d’amis, avec nosemployés, nos collègues de travail, le party des fêtes nedevrait-il pas susciter l’émerveillement, la magie qui enchantel’enfant en chacun de nous?

Plusieurs en rêvent toute l’année. D’autres le boudent.Pour certains, c’est un mauvais moment à passer. Pourquoi enest-il ainsi ? Chacune et chacun a ses raisons. Mais encorefaut-il tenter de savoir. À nous, employeurs, patrons, organi-sateurs de faire l’exercice.

À NOUS, RESPONSABLES Toutes les raisons pourraient justifier de mettre un terme à

ce type d’événement du genre : les employés pourraient y voir làune folle dépense en période difficile ou encore, la participationdes employés est en décroissance depuis quelques années, etc.

À ceux-là mêmes, je pose la question suivante : dans cesconditions, retireriez-vous toute campagne publicitaire sur vosproduits et/ou services ? Poser la question, c’est y répondre.

Un événement est une activité de communication. Un partyde Noël de vos employés, même en période difficile, doitcompter parmi les stratégies de relations de travail, four-nissant ainsi l’occasion au personnel de se serrer les coudes,de se regrouper, de développer un sentiment d’appartenance,de se connaître davantage, souvent sous des angles différents.

Communiquer, tout comme communiquer par l’événement,c’est prendre un risque. Mais, comme praticien et formateuren ce domaine, je me permets d’avancer que le plus grandrisque est celui de ne pas communiquer.

Quoi qu’il en soit, le party des fêtes est l’occasion rêvée demobiliser ses membres, ses employés et de projeter uneimage positive de l’entreprise.

RAPPELONS-LE : PLUSIEURS EN RÊVENT TOUTEL’ANNÉE TANDIS QUE D’AUTRES PRÉFÈRENTL’ÉVITER. ESSAYONS DE SAVOIR POURQUOI.

On ne sait pas si c’est le comité qui est las d’organiser leparty des fêtes ou si c’est l’entreprise qui ne sait pluspourquoi elle maintient la tradition de cet événement annuel.Le résultat est un party où les gens s’amusent plus ou moins,un événement qui devient vite une espèce de répétition despartys des années passées.

Mais quand avez-vous examiné et évalué le party des fêtesde votre organisation ? Comment jugez-vous si l’événementétait réussi ou non ? Est-ce suffisant que les gens aient bienmangé, bien bu et bien ri ? Êtes-vous suffisamment à l’écoutede vos employés, lorsque vous choisissez l’endroit, le menu etl’ambiance qui les mettront à l’aise, malgré vos préférencespersonnelles ? Quelles dispositions avez-vous prises pourminimiser les craintes de la part d’employés en matière deharcèlement, tout confondu soit-il, entre employés et gestion-naires, gestionnaires et employés, et employés, en matière dedébordements de consommations alcoolisées ?

Voici quelques éléments de réflexions, des façons de fairedifféremment qui vous aideront à trouver la magie d’un partydes fêtes.1. Une thématique et un rythme en proposant différentstypes d’activités (faire un sondage auprès des employés).

La thématique doit être établie en fonction de son person-nel. L’agencement et le rythme de différentes activités favori-seront les bons échanges entre les employés écartant ainsi lamonotonie et toute forme de harcèlement. Et qui plus est,l’élaboration d’un scénario rythmé s’impose davantage pourles partys de petits groupes.

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Une animation choisie d’avance permet de donner, dansl’invitation, un avant-goût de l’événement. Évitez les surprises– ce n’est pas vendeur. Elle ne force personne à faire quoi quece soit : les gens ne peuvent tout simplement pas y résister.

Le party des fêtes des employés n’est pas une assembléedes actionnaires. Au contraire, c’est une occasion de leur fairesentir, plutôt que de leur dire, que leur travail est apprécié. Sile gestionnaire veut prendre la parole, et je l’invite fortement,il doit être concis, efficace, « punché » et en arriver rapidementà l’effet party. Et ce, en cinq minutes tout au plus. Pas tou-jours facile, j’en conviens pour plusieurs. Mais un messagecourt, percutant, délivré d’une bonne façon retiendra davan-tage l’attention de l’auditoire.

QUELQUES SUGGESTIONS :Pour des entreprises ayant un nombre élevé d’employés,

voici une suggestion : accorder une certaine somme par per-sonne et diviser ce budget entre tous les services. Chaqueservice choisit la façon qui lui convient de célébrer les fêtes.

Dans le contexte économique actuel qui nous frappe en sigrand nombre, pourquoi ne pas opter pour un party aubureau sur les heures de travail (de midi à 16 heures), avantle départ du personnel pour la période des Fêtes, dans lacafétéria bien aménagée, décorée, avec une animation appro-priée, un menu bien choisi (différent des repas habituels)avec la complicité du chef cuisinier. Après tout, le but fonda-mental de cette tradition est que les gens aient du plaisirensemble. C’est l’occasion de prendre une grande respirationavant l’année suivante et de consolider l’esprit d’équipe. J’enai réalisé au sein de grandes entreprises et croyez-moi, lespatrons et les employés ont grandement apprécié, en toutpoint, notamment pour les raisons suivantes : réduction descoûts et de la consommation d’alcool ainsi que du harcèle-ment en raison du lieu et de la période de la journée.

Et pourquoi ne pas tenir cet événement durant le mois dejanvier, en dehors de la grande période de pointe des fêtes etprofiter d’une réduction des frais pour la location de salle etpour les autres produits et services ?

2. La modération a bien meilleur goûtBien que les partys de Noël se soient rangés (on évite de

plus en plus des situations comme celles où le patron se sauveavec sa secrétaire, un employé qui vomit près du bar, ouencore des collègues qui en viennent aux coups), il existe tou-jours d’inévitables débordements.

Quoi qu’il en soit, il s’agit ici d’une responsabilité partagée.Qu’en est-il de la vôtre comme gestionnaire d’entreprise et/ouorganisateur de cet événement ?

L’alcool étant un ingrédient majeur de la majorité des anec-dotes savoureuses de partys des fêtes des employés, lesappels à la modération s’inscrivent dans tout code de con-duite concocté pour ce type d’événement. Il convient de rap-peler que l’alcool vient fragiliser ce qu’une personne est déjà.Ainsi, une personne qui entretient une colère sourde enversun supérieur ou un collègue exprimera plus facilement sonagressivité sous l’influence de l’alcool. S’il y a écart sexuel,c’est que le désir était latent sinon déjà présent.

Comment y parvenir et avec doigté ?Voici quelques trucs et astuces, nonobstant les points

précités (agencement et rythme des activités, animation, etc.) :

1. Durée et heure de fermeture Si l’événement se produits pendant les heures d’ouverture

du bureau : de midi à 16 heures.S’il se produit en dehors des heures d’ouverture du bureau :

de 18 heures à minuit – c’est après que survient le risque dedérapage.

Le but de cette tradition est d’avoir du plaisir

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Vous habillez- vous pourréussir… ou végéter ?

Notre tenue vestimentaire fait partiede notre « marque personnelle » ;

autrement dit, de la façon dont les autresnous voient. Nous pensons peut-être que

nous en préoccuper est une chose futile et une perte detemps. Après tout, beaucoup d’entre vous diront, « Quelleimportance ont mes vêtements, l’intérieur importe plus quel’apparence » ou « Que m’importe l’opinion des autres ? ».

Protestez autant que votre petit cœur le désire, la réalité estlà, les gens forment leurs impressions et leurs opinions trèsvite la première fois qu’ils rencontrent quelqu’un. De vastesrecherches révèlent qu’il suffit souvent de quelques secondes .

Il est donc essentiel de nous rappeler que la façon dontnous nous présentons au monde par notre tenue peut influ-encer la réception que nous aurons, la réussite que nous con-naîtrons et même l’argent que nous gagnerons.

Prétendre le contraire, c’est s’enfouir la tête dans le sable.Nous pouvons l’ignorer mais ça n’en restera pas moins la réalité.

Le sachant, je me demande combien d’entre nous pour-raient modifier leur tenue et soigner davantage leurapparence.

Imaginez que vous avez une entrevue pour un nouvelemploi. Comment votre tenue pourrait-elle différer de ce quevous portez maintenant pour un poste que vous occupezdepuis un moment ? Faites-vous preuve d’un peu de complai-sance en matière de vêtements et d’apparence parce que vousvous sentez à l’abri dans votre emploi ?

Je pense que nous nous sommes peut-être mis dans demauvais draps avec l’arrivée de la « tenue décontractée » au

bureau. Pour beaucoup, cela a signifié la mort du tailleur, descollants ou même des talons hauts au travail et nous avonsbaissé la barre d’une coche ou deux.

Bien sûr, pour certains, le « vendredi décontracté » a encorebaissé la barre et ouvert la porte au port du jean au travail. Jecrois me souvenir qu’au début, les vendredis décontractésavaient un but, comme verser environ un dollar à une bonnecause mais aujourd’hui, on dirait que nous le faisons parceque c’est vendredi et nous portons n’importe quoi !

Quand je passe dans des bureaux pendant le reste de lasemaine, je remarque que beaucoup ont pris la liberté de nepas distinguer « tenue décontractée » et « vendredi décontracté »au point que je suis étonnée de voir ces personnes se deman-der pourquoi elles sont parfois perçues de manière moinsprofessionnelle.

Certaines personnes ont l’air d’être venues au bureau ausaut du lit tellement elles semblent n’avoir rien fait poursoigner leur apparence. Et elles se demandent pourquoi lepatron ne les a pas promues ou pourquoi les clients leurréservent un accueil plutôt tiède.

Ce matin même, dans le métro, un jeune homme est montéavec un polaire à capuche et une culotte de pyjama. J’espèrequ’il n’allait pas travailler parce que je me demanderais quellesorte de compagnie accepte qu’un employé arrive au bureauou au magasin ainsi attifé.

Avez-vous déjà pensé que notre tenue est souvent perçuecomme le reflet de notre attitude envers le client ? Avez-vousdéjà remarqué l’ourlet des pantalons et des jeans ? Avez-vousdéjà baissé les yeux et vu l’effet désordonné d’un pantalontrop long, surtout quand l’ourlet est élimé et sur le point delâcher complètement ?

DE SHARON WORSLEY

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Je suis souvent stupéfaite de voir non seulement de jeunesadultes mais des hommes et des femmes qui portent des vête-ments de bon goût au-dessus du mollet mais qui gâchent touten laissant leur pantalon s’abîmer en mangeant la poussière.Quand je pense qu’ils ont probablement payé l’ensembleassez cher (y compris une somme rondelette pour le jean) etqu’ils refusent de payer 10 $ chez le nettoyeur ou le tailleurpour faire faire l’ourlet.

Ma conclusion, bien que non scientifique, devient unequestion : « Comment cette personne va-t-elle s’occuper demon argent, mon activité ou mes affaires si elle ne prendmême pas le temps de s’occuper de ses vêtements ? Si ellenéglige son apparence, va-t-elle s’occuper de mon intérêt oule négliger lui aussi ? »

J’entends les protestations des gens qui disent qu’ils n’ontrien à faire de leur apparence et de l’opinion des autres maisje ne sais pas s’ils sont vraiment honnêtes avec eux-mêmes. Sivous vous habillez sans soin, quelle image donnez-vous devous ? Que vous dites-vous – que vous ne valez pas le coup ?

Alors, si vous ne vous habillez pas pour réussir, est-ce quecela veut dire qu’il n’y a rien à faire ? Bien sûr que non ! Çaveut seulement dire que vous devez vous y prendre plus intel-ligemment et plus efficacement. Cherchez une personne dontle style vous plaît et demandez-lui où elle s’habille.D’habitude, les gens vous aident volontiers quand vous venez

de leur dire que vous les admirez pour une raison ou uneautre.

Pourquoi ne pas vérifier si votre magasin local offre unservice d’achat personnalisé ? Ce service en magasin est sou-vent gratuit. L’assistant ou l’assistante d’achats connaît lesdernières tendances et la marchandise qui arrive en magasin.C’est une relation qu’il vaut vraiment la peine de cultiver. Etnon, ce n’est pas réservé aux personnes qui ont un gros budget vêtements.

C’est sans compter toutes les émissions télé qui s’adressentaux personnes soucieuses d’en savoir plus sur le style person-nel et qui passent à travers les étapes qui peuvent vous aiderà transformer votre marque personnelle.

Quel message voulez-vous transmettre à votre sujet ?Quelle est l’impression ultime que vous voulez donner auxgens ? Ne leur donnez pas l’occasion de vous oublier parceque vous n’avez pas assez pris soin de votre personne.

Sharon Worsley, Chef de la direction de Live With Intent, est une

formatrice en leadership personnel et une conférencière inspirante.

Son mot d’ordre « Live By Choice, Not By Chance » (Pour une vie faite

de choix et non de hasards) aide les particuliers et les organisations à

comprendre clairement comment ils peuvent garantir la qualité de leur

vie ou de leur organisation.

Pour joindre Sharon : [email protected].

Apprenons à soigner notre apparence

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2. La consommation d’alcool • Limiter les heures de bar ouvert et le nombre (2 est l’idéal)

de consommations alcoolisées gratuites par personne ; lesinvités pourront néanmoins commander, à leurs frais uneautre consommation auprès du serveur selon son état.

• Laisser à l’établissement-hôte ou au traiteur le service duvin aux tables qui en contrôlera aussi la distribution (ne paslaisser les bouteilles de vin sur les tables) ; ainsi, après lesquantités écoulées et autorisées par vous, il reviendra àquiconque de commander personnellement et à ses frais sapropre consommation, si son état le permet, tout en deman-dant au serveur d’exercer une certaine vigilance à cet égard.

• Disposer d’un poste de service de café sur place, aubesoin d’un service de sécurité pour éviter que toute person-ne en état d’ébriété ne puisse prendre le volant et d’un trans-porteur responsable : ami en état de la reconduire en toutesécurité à son domicile, Opération Nez-Rouge, etc.

• Exiger, dans les cas précités, de l’établissement ou dutraiteur le refus de servir d’autres consommations à toute per-sonne en état d’ébriété et de l’inviter poliment à quitter leslieux.

Il convient de rappeler qu’il ne s’agit pas de mesuresd’austérité budgétaire de la part d’une entreprise, mais d’unesensibilisation aux dangers de l’alcool au volant et d’uneresponsabilité partagée entre trois intervenants : celui qui

organise l’événement, celui qui sert les consommations etcelui qui les consomme.

3. Le contrôle des lieuxEn dépit de toutes les précautions précitées, j’invite égale-

ment à prendre les dispositions nécessaires suivantes enmatière de harcèlement potentiel et notamment, aux endroitsen faible lumière, à proximité des toilettes pour dames ; aubesoin, prévoir un service de sécurité empêchant tout accèsaux intrus.

Bien sûr, il y aurait matière à écrire davantage sur le sujet,notamment l’organisation d’une réception réussie.Néanmoins, je vous souhaite chaleureusement un excellentparty de Noël avec vos employés, les membres de votreorganisation, tout comme avec les membres de votre familleet vos proches.

La période des fêtes, c’est une tradition, une valeur qu’il fauttransmettre à ceux et celles qui nous accompagnent et nous suiv-ent, contre vents et marée. J’en suis profondément convaincu.

Et, à quelques semaines qui nous séparent de cette joyeusepériode des fêtes, qu’il me soit permis de vous transmettremes meilleurs vœux.

• • •

Renaud Y. Huot est Président-directeur général et formateur

à l’Académie de formation en événement. Pour vous informer des

différentes formations qui y sont offertes, consultez le site Web :

www.formation-evenements.qc.ca.

SUITE DE LA PAGE 9

Il est important de sensibiliser lesemployés aux dangers de l’alcool

Les planificateurs nous voient. N’ont-ils pas besoin de vous voir ? Appelez-nous au (514) 849-6841 ext. 331

« J’ai lu Le Planificateur du début à la fin... »« Je prends toujours le temps de lire Le Planificateur...»

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Octobre ’08 17LePLANIFICATEUR

D’origine japonaise, chaque case doit contenir unchiffre de 1 à 9 de façon à n’utiliser chaque chiffrequ’une fois par ligne, colonne et grille.

SUDOKU SUR LE WEB :www.websudoku.com

www.sudoweb.comwww.dailysudoku.comwww.sudokupuzz.com

Niveau facile Réponse à la page 24.

Niveau moyen Réponse à la page 24.

SudokuCommandité par le Centre Mont-Royal

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18 Octobre ’08LePLANIFICATEUR

Le bottin des Pages Jaunes est-il encore d’actualité ?

Ce mois-ci, nous vous avons interrogés sur l’usage que vous faites de l’annuaireimprimé des Pages Jaunes. En voici les réponses :

À quelle fréquence consultez-vous l’annuaire imprimé des Pages Jaunes pour trouver un numéro de téléphone ?Toujours : 17 %Rarement : 53 %Jamais : 30 %

Si vous utilisez la version imprimée des Pages Jaunes, s’agit-il de la version laplus récente ou bien d’une ancienne version ?Récente : 73 %Ancienne : 27 %

Ce sondage a été envoyé à 3 556 personnes, dont 219 ont répondu.

Certains planificateurs ont voulu nous en dire plus sur leur usage des Pages Jaunes :

« Je le mets au recyclage dès que je le reçois. Je vais plutôt sur Canada 411 en ligneou bien je consulte les sites internet des entreprises que je recherche pour obtenirleur numéro de téléphone. Comme je n’a plus de jeunes enfants qui viennent à lamaison, il ne me serait même pas utile comme siège rehausseur !!! »

« Je préfère la version papier qu’électronique, j’ai l’impression que cette dernièrenous donne les coordonnées des compagnies qui ont payé plus cher leur pub, d’au-tant plus que le système ne respecte pas nos critères de recherche par ville. »

« Je n’utilise jamais les Pages Jaunes imprimées à moins que ce soit dans ma région(Laurentides), dans ce cas, j’utilise la version la plus récente des Pages Jaunes locales. »

« Vive Internet ! Google est mon ami »

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Octobre ’08 19LePLANIFICATEUR

Une solution simple pourrespecter les droits des créateurs et de leurs éditeurs

PAR ROSE-MARIE LAFRANCE

Hormis quelques exceptions prévues par la Loi sur le droitd’auteur, la reproduction d’une œuvre protégée ou d’un

extrait de celle-ci nécessite l’autorisation de son auteur ou del’éditeur de l’œuvre. Ainsi, la diffusion de revues de presse auxemployés ou aux membres d’une organisation, la reproductiond’articles spécialisés à des fins d’information ou de formation,par exemple lors de congrès, exigent l’obtention d’une licence.

Afin de faciliter l’accès aux œuvres et de limiter lesdémarches nécessaires à l’obtention de licences de reproduc-tion, les auteurs et les éditeurs ont mis sur pied des sociétés degestion collective. Le formateur, la compagnie, l’agence touris-tique, l’association qui souhaite reproduire des extraits d’œuvress’adresse ainsi à un seul interlocuteur pour obtenir les autorisa-tions requises. Dans le secteur des œuvres imprimées, Copibecreprésente des milliers d’auteurs et d’éditeurs canadiens et

étrangers et négocie, en leur nom, des licences de reproduction.Copibec a conclu des ententes avec le secteur de l’éducation

(universités, cégeps, collèges privés, écoles d’enseignementprimaire et secondaire), les ministères provinciaux et fédéraux,les bibliothèques, ainsi que de nombreuses compagniesprivées et associations diverses. Les licences de Copibec cou-vrent la photocopie et/ou la reproduction numérique à des finsdiverses telles que les copies effectuées par les employés, lanumérisation d’articles et leur diffusion sur un intranet, la dis-tribution de textes à des fins de formation, etc.

Les entreprises et les associations (à but lucratif ou non)dont les employés effectuent des reproductions d’articles derevues ou de journaux, ainsi que d’extraits de livres, devraientavoir conclu une entente avec Copibec afin de légaliser leurspratiques. De plus amples renseignements sont disponiblessur le site de Copibec au www.copibec.qc.ca ou par télé-phone au 1 800 717-2022. Les sommes perçues par Copibecsont versées aux auteurs et aux éditeurs dont les œuvres sontutilisées. Acquérir une licence Copibec contribue ainsi àencourager la créativité et la publication d’œuvres diversi-fiées, répondant aux besoins en information, en formation eten recherche de divers secteurs d’activité.

Rose-Marie Lafrance est Directrice du service des licences et du

développement de Copibec.

Propriété intellectuelle

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20 Octobre ’08LePLANIFICATEUR

Et vive l’hiver ! Et vive la fête !L’éclairage est soigné et ajoute un cachet feutré à ce cadre

tout à fait sympathique. Au centre trône le bar, où sont con-coctées de belles boissons chaudes ou glacées, pour réchauf-fer ou stimuler, selon le moment et l’occasion. L’atmosphèreest toujours très détendue et cordiale car, après tout, c’est icique se vit l’hiver à son meilleur !

Pour les mordus de plein air, le Bar d’hiver a aménagé uneterrasse extérieure avec foyers où il fait bon savourer une con-sommation sous le soleil hivernal, en embrassant le magnifique panorama qui s’offre à la vue, ou sous le cielétoilé d’une nuit chatoyante, avec les lumières des gratte-cielsdu centre-ville en arrière-plan, et les flammes dansantes desbraseros devant les yeux. À quelques pas à peine, c’est la pati-noire et sa cohorte de patineurs endiablés qui profitent allè-grement de la surface glacée. Et d’ailleurs, le temps d’unepause, on passe sans ambages de la patinoire au Bar d’hiverpuisque, en bottes ou en patins, le Bar accueille cordialementtous ses invités. Il y a, bien sûr, tout au long de l’hiver, lakyrielle d’activités et d’événements qui animent le secteur :Feux sur glace TELUS, Igloofest, spectacles musicauxextérieurs qui, tous, font la fête autour du Bar d’hiver pour enfaire le rendez-vous incontournable de ceux qui vivent l’hiverintensément.

Créer un événement inoubliable constitue tout un défi. Lajuste combinaison d’originalité, de confort et de convivialitéest un délicat mélange, et le Bar d’hiver offre un environ-nement où le dosage de ces ingrédients s’avère une rare réus-site, avec cette pointe ajoutée de « branchitude » bien mon-tréalaise qui se remarque au premier coup d’œil. Que l’occa-sion soit une activité de consolidation d’équipe, un lancementde produit, un événement reconnaissance ou encore un 5 à 7entre collègues et amis, elle n’en sera que plus remarquable

et plus mémorable dans le cadre inhabituel et engageant duBar d’hiver. Fait à remarquer, plusieurs forfaits aux noms évo-cateurs sont proposés : Terre de feu, La banquise, La cabaneurbaine ou Noël en ville réchaufferont le cœur de vos invitéset se présentent clés en main, pour un maximum d’agrémentallié à une planification ultra simplifiée. Partenaires, clients etemployés se réjouiront du cadre inattendu et de l’ambiancechaleureuse. Sans compter la possibilité de composer un for-fait sur mesure, adapté aux besoins du client, avec la firmeAvec Brio, créateur d’événements. Surprenez vos invités avecune virée sur la glace de la patinoire : ils en seront enchantés !Et, bien sûr, durant la période des fêtes, peu d’endroits àMontréal pourront se targuer d’offrir des lieux à la fois aussichaleureux, et aussi harmonisés à l’atmosphère festive de lasaison. La féérie du site enneigé des Quais tout autour, et duVieux-Montréal tout à côté, forme le décor par excellencepour les festivités de Noël et du Nouvel An. À la fois urbainet hyper convivial, le Bar d’hiver invite aux célébrations, tousgenres confondus, pour le plaisir de l’échange et de la nou-veauté, accueillant aisément 186 personnes sous sonchapiteau, et 300 personnes sur sa terrasse.

Faut-il ajouter que l’accès au Bar d’hiver est d’une grandefacilité, avec un vaste stationnement situé tout à côté, ainsiqu’un arrêt d’autobus et une station de métro à courte dis-tance. Mentionnons également que parmi les servicesdisponibles, on retrouve un service de bar et de traiteur ainsique de l’animation, des jeux et d’autres activités connexes. Etbien sûr, la firme Avec Brio élaborera avec plaisir le forfait quivous convient, selon vos désirs.

Josée Davignon est Créatrice de possibilités au sein de l’entreprise

Avec Brio. On peut la joindre au (514) 257-3035 ou encore consulter le

site www.bardhiver.com.

SUITE DE LA PAGE 16

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Octobre ’08 21LePLANIFICATEUR

Consciel pour les voyages d’affaireswww.rogerandrandy.com

Roger Collis et Randy Petersensont deux experts dans le voyage d’af-faires parmi les plus respectés. Colliset l’auteur du livre « The Survivor’sGuide To Business Travel » et il écritpour l’International Herald Tribune.Quant à Petersen, il est un expert enmatière de programme de primes-voyages et fondateur du siteFlyerTalk.com, WebFly.com etInsideFlyer.com. Leurs sites offrentdes discussions animées sur les ten-dances dans le voyage d’affaires.

Vos groupes auxfourneauxwww.ithq.qc.caEntre collègues ou amis, comme activ-ité para-congrès ou événement àsouligner, les cours proposés sur cesite divertissent et enrichissent lespersonnes qui en bénéficient. Courtset amusants, les ateliers culinaires del’ITHQ sont une forme originale deréunion.

À chacun sa valisewww.zippytags.comChoisir, appliquer, décoller ! Troisétapes faciles pour vous aider à dis-tinguer vos valises sur les carrouselsdes aéroports. Ce site vous proposeune solution d’identification de vosbagages : colorés et résistants, leszippy tags vous éviteront bien destourments à l’arrivée de vos sacs.

Sites Web d’intérêt

Sur le Web : www.leplanificateur.ca

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FORTE DE SON EXPÉRIENCEAnimation d’autrefois a su développer une approche per-

sonnelle et différente de l’histoire, afin qu’elle reste intelligibleet bien vivante dans la mémoire collective. L’équipe de Louis-Philippe s’efforce de partager cette passion. Pour ce faire, l’em-phase est mise en particulier sur le plaisir d’en apprendre pluslonguement sur son passé, tout en se divertissant. L’entreprises’efforce donc de concevoir et présenter au grand public desanimations à saveur historique, uniques et captivantes.

Les prestations sont exécutées par des comédiens chevron-nés, pourvus d’un savoir historique solide. Animation d’autre-fois dispose d’une banque d’une trentaine de pigistesdisponibles sur une base régulière. Ces derniers vulgarisent lepassé en reconstituant des scènes d’antan. Avec toute lafinesse et l’art requis, ils incarnent une panoplie de person-nages flamboyants, forgés sur la vie de nos ancêtres et bâtis-seurs d’une autre époque. Leur jeu dramatique va au-delà dela simple démonstration et d’explications de faits vérifiables etauthentiques. Le public est directement invité à participer et àinteragir avec les comédiens. L’ultime objectif est d’amener lespectateur à vivre une expérience d’un genre nouveau en met-tant à contribution chacun de ses cinq sens.

La présentation des comédiens est enrichie par la plusimpressionnante collection d’objets et accessoires de laNouvelle-France jusqu’aux années 1950.

Une visite dans les entrepôts d’Animation d’autrefois est unprivilège unique. Couvrant prêt de 15 000 pi2 de superficie,ces lieux vous transportent dans une autre dimension. Unesorte de voyage à l’intérieur même de la caverne d’Ali baba.Animation d’autrefois dispose d’innombrables armes à feu, decostumes, d’outils, de meubles, de vaisselle et d’artefacts entout genre rendant l’histoire vivante et bien réelle.

UNE OFFRE DIFFÉRENTE ET VARIÉEAnimation d’autrefois réalise annuellement plus de 75

événements. Un nombre qui est actuellement en pleine crois-sance. L’expertise de l’entreprise est variée et se transporte auquatre coins du Canada et même aux États-Unis. Qu’il soitquestion du simple divertissement corporatif ou d’une anima-tion didactique et pédagogique, les défis ne sont jamais troppetits ou trop gros. L’équipe d’Animation d’autrefois offre uneanimation continue pour des groupes de 30 à 800 personnes.Elles sont adaptées en fonction des lieux, du budget et desbesoins spécifiques de chaque événement.

Des thèmes comme la traite des fourrures, l’aventure maritime, les campements militaires ou la vie dans les aubergeset cabarets du 18e siècle sont de merveilleux moyens d’éveillerla curiosité d’un groupe. Les tipis amérindiens, les canots d’é-corce, les tonneaux de bon vin et ballots de marchandises con-tribuent à recréer l’atmosphère typique de ces soirées d’antan.Les premiers explorateurs, les bûcherons, les draveurs ou lesemployés du chemin de fer racontant leurs nombreuses anec-dotes cherchent à captiver un auditoire des plus alertes.Animation d’autrefois apporte beaucoup d’attention à l’am-biance. Que ce soit par le jeu, le chant, la danse, la musique oumême les récits traditionnels des conteurs, rien n’est laissé auhasard pour réussir à surprendre et à divertir.

Les décors, les contes et légendes, les soirées thématiques etla confection de costumes historiques ne sont là que quelques-unes des facettes offertes dans les musées, lors de mariages, defestivals, de congrès et même de « partys » de bureau.

LE SOUCI DU DÉTAIL Pour Monsieur Métail, chaque événement est une nouvelle

aventure. Le client bénéficie d’une approche personnalisée,faite en fonction de ses besoins spécifiques et à la hauteur deses attentes. Les prestations sont toujours adaptées en fonc-tion des lieux et des participants. Le moindre détail estsoigneusement pris en compte et contribue au succès de laprésentation. Les concepts originaux et authentiques de cetteentreprise dynamique sont à la fois éducatifs, divertissants,interactifs et enrichissants. À leur manière, ils contribuent auprésent à mieux comprendre notre passé, pour ainsi se pré-parer à notre avenir.

• • •

Steve Bernier est Directeur de l’entreprise Animation d’Autrefois.

On peut le joindre au (819) 379.1773. Pour plus d’information, visitez

le site www.animationdautrefois.com.

22 Octobre ’08LePLANIFICATEUR

Une expérience d’un genre nouveauSUITE DE LA PAGE 14

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Technologie payante ? Adieu clientsLes hôtels ont tout intérêt à laisser Fred utiliser le WiFi et

ses enfants Paul et Amanda profiter de stations d’accueil gra-tuites pour leurs iPods.

Certains hôtels – y compris des cinq étoiles – traînent del’arrière côté technologie et facturent les services Internet auxclients, préviennent les experts.

Ceux qui facturent en plus l’accès Internet ou qui n’offrent pasd’accès audio et télé faciles pour les appareils portables commeles iPods et les lecteurs MP3 pourraient y perdre, dit GuyRoukaerts, animateur de la conférence The Hotel Show SevenStar de juin dernier au centre d’exposition international de Dubai.

La nécessité d’imaginer l’avenir et de se préparer main-tenant aux besoins des clients d’aujourd’hui qui veulent plusde technologie s’est retrouvée sous le feu des projecteurs à laconférence qui fait partie de la plus importante exposition surles produits pour le secteur hôtelier du Moyen-Orient.

L’arrivée de « panneaux de connectivité pour clients » oùceux qui apportent leur propre contenu musical ou vidéo peu-vent se connecter aisément au téléviseur LCD ou au nouvelambianceur dans leur chambre se généralise, dit Roukaerts.

Ces panneaux permettent aux clients d’accéder à leur proprecontenu vite et facilement.

Plusieurs présentations ont traité de la convergence et dubesoin pour les hôtels de s’équiper en fonction des appareilsdes clients. Jusqu’à maintenant, les propriétaires d’hôtels onthésité à investir pour se mettre au même niveau que celui desclients à la maison mais ça ne saurait durer. En fait, les pro-priétaires et les exploitants hôteliers qui adoptent ces tech-nologies auront l’avantage sur les autres, dit-il.

L’hôtel-conteneurs ouvre ses portesTravelodge a récemment ouvert à Uxbridge (Angleterre)

un hôtel entièrement fait de conteneurs d’expédition préfabriqués. La conception utilise 86 conteneurs de taillesdifférentes transformés en chambres et boulonnés ensemblesur place. Expédiés de Chine, ils ont été assemblés sur placecomme un jeu de Lego géant en 20 jours. L’extérieur a étérevêtu et des fenêtres ont été ajoutées pour faire de l’assem-blage un hôtel sans soudure de 120 chambres. VerbusSystems estime que le préfabriqué a permis à la chaînehôtelière d’économiser plus d’un demi-million de livres et aumoins 10 semaines de construction. Travelodge utilise lamême technique pour construire un hôtel de 307 chambres àl’aéroport de Heathrow, à l’ouest de Londres.

Octobre ’08 23LePLANIFICATEUR

Beaucoup de planificateurs sontobsédés par le poids… de leursbagages. Quoi de plus démoralisantqu’un excès de bagages qui vous obligeà essayer de transférer des livres et dumatériel de réunion de la valise aubagage à main pour éviter les frais exor-bitants qu’on vous réclameraitautrement ! Comme les transporteursaériens vont continuer d’économiser lecarburant et que les limites de poidsvont continuer de baisser, la tendanceminceur va perdurer.

D’où le pèse-bagages portable, unappareil de poche qui vous permet depeser vos bagages et qui élimine lesdevinettes et les problèmes qui vousguettent si vous ne le faites pas. Il suffitd’accrocher vos bagages au crochet, deles soulever et de lire l’affichage,

numérique ou autre. Lors d’un voyagerécent en Europe, notre collègue MikeAuctor a utilisé un pèse-bagageTravelon et nous a dit : « Ça marche à la

perfection. Un bon investissement. » Le choix est vaste : numérique, poids

maximums variables, peu cher à trèscher, chic, toutes les tailles possibles.Nous avons dressé la liste de certainesdes marques les plus populaires et com-ment s’informer à leur sujet. Attendez-vous à payer au moins 20 $ pour un bonpèse-bagage portable et faites-en l’essaiavant de l’acheter.

Sur le Web :Balanzzawww.balanzza.com

TravelOnwww.travelonbags.com

xScalehttp://shop.heys.ca

Minceur oblige : bonjour les pèse-bagages

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24 Octobre ’08LePLANIFICATEUR

Du 1 au 5 novembre 2008International Congress & Convention Association,47ème congrès et exposition de l’ICCA, VictoriaConference Centre, Victoria, BC. Contact : www.iccaworld.com/dbs/congress2008.

Du 9 au 12 novembre 2008MPI-Montréal - Convivium 2008, Sheraton Laval, Laval,Qué. Contact : (514) 493-9835.www.mpimontreal.com/fr/convivium.

Du 9 au 13 novembre 2008Financial & Insurance Conference Planners, Conférenceannuelle, Fiesta Americana Grand Coral Beach,Cancun, Mexico. Contact : www.ficpnet.com.

Le 10 novembre – Jour du Souvenir

Du 16 au 18 novembre 2008Association of Corporate Travel Executives, ACTECanada Education Conference, Sheraton Centre,Toronto, Ont. Contact : www.acte.org.

Du 2 au 4 décembre 2008European Incentive & Business Travel Meetings,EIBTM Exhibition, Fira Gran Via, Montjuic 2, Barcelone,Espagne. Contact : www.eibtm.com.

Du 5 au 8 décembre 2008Society of Incentive Travel Executives, SITE ConférenceInternationale, Fairmont Le Montreux Palace, Montreux-Vevey, Suisse. Contact : ww.site-intl.org.

SOLUTION SUDOKUFACILE PAGE 17

SOLUTION SUDOKUMOYEN PAGE 17

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Octobre ’08 25LePLANIFICATEUR

L’énergie donne un coupde pouce au Canada enjuillet

L’économie canadienne a progresséde 0,7 pourcent en juillet grâce à lapoussée de la production d’énergie, ditStatistique Canada. C’est la croissance laplus rapide depuis mars 2004, selon leséconomistes.

Ils attendaient une hausse de 0,2pourcent par rapport à juin. Le secteurde l’énergie explique environ la moitiéde la croissance du produit intérieurbrut réel en juillet, grimpant de 3,1pourcent selon StatsCan. La productionpétrolière a repris et l’extraction de gaznaturel a fait un bond pour refaire lesstocks.

Malgré un juillet dynamique, l’é-conomie canadienne n’a progressé quede 1,2 pourcent l’an dernier et le boule-versement récent des marchés boursiersfait parler nombre d’experts de réces-sion au Canada et dans le monde.

Chérie, tu veux conduire ? Prends mon téléphone !

Ah, ces Japonais ! Sharp Corp. sort untéléphone mobile qui déverrouilleautomatiquement les portières de lavoiture de son propriétaire et permet dedémarrer sans clé de contact.

L’appareil utilise une technologiedéjà développée par Nissan Motor C.,dite « Intelligent Key », qui permet auconducteur de monter et de démarrersans retirer la clé de sa poche ou de sonsac. La voiture équipée du systèmedétecte la présence de la bonne clé,déverrouille les portières et permet dedémarrer une fois la clé dans la voiture.Nouvelle tournure : la technologie estinstallée dans un téléphone qui fonc-tionne sur le réseau mobile de NTTDoCoMo Inc., la plus grande société detéléphonie mobile du Japon.

Les téléphones japonais sont parmi lesplus évolués du monde. La plupart onten équipement de série : télé numérique,lecteur de musique, GPS et caméra

capable aussi de lire un code barres etune carte de crédit sans fil. Sharp et NTTprojetaient de présenter la technologie àCREATEC, une conférence technologiquemajeure à Tokyo qui a eu lieu du 28 sep-tembre au 4 octobre cette année.

Sur le Web : www.sharp.ca

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DE DON MURRAY, CMP

J’imagine que nous avons tous vécu l’expérience du repasau restaurant qui s’éternise. Que nous le sachions ou pas,

nous avons tous un sablier interne qui, une fois vide, nousavertit qu’il faut passer à autre chose. Quand nous mangeonsau restaurant, que nous avons les choses à peu près en mainet que ce moment arrive, nous demandons l’addition, et voilà.

C’est la même chose quand nous partageons un repas engroupe, sauf que là, les choses se compliquent ; nous n’avonsni la liberté ni l’occasion de nous lever de table et de partirquand nous sentons que le moment est venu de le faire.

Que pouvons-nous faire comme planificateurs de réunionspour éviter à chacun de nos invités d’en arriver à ce momentoù il n’a plus envie de rester avec le groupe ? Nous ne pour-rons peut-être pas plaire tout le temps à tout le monde maisnous pouvons augmenter la probabilité d’avoir un dîner entierqui soit bénéfique, juste assez long et agréable.

Vous devez connaître les membres du groupe, savoir cequi leur plaît ou leur déplaît. Sachez d’où ils viennent et cequi les attend parce que cela affectera leur degré de tolérance.Vous aurez beau consacrer un temps et un argent fous à pré-parer l’activité, cela ne servira à rien si vos participants repar-tent avec un goût amer en bouche.

Le temps est le bien le plus précieux que vous et votre clientavez. Impossible de retourner en arrière et de retrouver le tempsperdu ou d’en rajouter par miracle si vous avez du retard. Il estdonc crucial d’être réaliste quand vous établissez votre horaire,sachant que plusieurs facteurs vont jouer sur le résultat.

Ce n’est pas réaliste d’espérer faire passer 500 personnes ducocktail à la table en moins de 15 minutes. Cela dit, le lieu dela réunion doit avoir toujours assez de personnel et rien,quelles que soient les circonstances, ne peut justifier que votreactivité soit pénalisée parce que le personnel est insuffisant.

Si votre horaire est vraiment serré, offrez moins de choixet optez peut-être pour une entrée froide prédéterminée. Unmenu et un choix de vins prédéterminés permettent un service plus rapide. Dites franchement au responsable du lieuà quel moment vous prévoyez les discours et quel servicevous désirez pendant ces discours.

Le conférencier principal prendra la parole une fois le caféet le dessert servis. Demander qu’on laisse une cafetière surla table après le premier service est une bonne idée. Vouspourriez aussi demander que le dessert soit placé au centre dela table pour que les invités se servent eux-mêmes. Le con-férencier principal devrait toujours prendre en compte letemps qui lui est alloué et respecter l’effet que cela aura surl’ensemble de l’événement.

Récemment, j’ai participé à un dîner où le conférencier adépassé d’une heure le temps qu’il avait. Inutile de dire quetout l’événement a été remis en question et que l’objectif dela réunion fût étudié à la loupe. La négligence d’une seulepersonne a mis en péril toute la raison d’être du dîner et lais-sé aux invités un arrière-goût.

Nous pensons souvent que le temps va de soi. C’estnotre bien le plus précieux et souvent le plus négligé.Organiser un dîner réglé comme du papier à musique n’estpas une option qu’on peut prendre à la légère, c’est uneobligation à respecter scrupuleusement. Respecter votrehoraire, c’est respecter vos invités et multiplier vos chancesque personne ne cherchera d’excuse pour quitter ce qui estcensé être, et qui peut en fait être, un dîner-rencontreexceptionnel.

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Don Murray est Directeur des opérations chez Avtec Services

Professionels Audio-Visuels. Pour le joindre : [email protected].

L’addition SVP...

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