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Notes du mont Royal Cette œuvre est hébergée sur « No- tes du mont Royal » dans le cadre d’un exposé gratuit sur la littérature. SOURCE DES IMAGES Bibliothèque nationale de France www.notesdumontroyal.com

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Notes du mont Royal

Cette œuvre est hébergée sur « No­tes du mont Royal » dans le cadre d’un

exposé gratuit sur la littérature.SOURCE DES IMAGES

Bibliothèque nationale de France

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BUREAU DE LAt REVUE DES DEUX MONDESaux BONAPARTB, 17.Min-"aw a» a. 1’

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HISTOIRE ROLITIQUE. PHILOSOPHIE, venus, SCIENCES, BEAUX-un

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LIVRAISON DU 1* SEPTV’EMRREÇIMR.»

1., - LE CONSEIL DIETAT ET LES RECOURS POUR EXCES DE POUVOIRS,

N par M. Léon Aucoc; dgï’ïnstîtut. de FrànCe. I

Il. - L’ÉTOILE DE JEAN,.SECONDE PARTIE, par M. Mario Uchard.

III. -- LE PHILOSOP-HE CARNEADE A.ROME,ïpa1-, M, Constant Marthe,

de l’Institut de France; I C i O .1v. a. ÉTUDE SUR LA POLITIQUE FRANÇAISE EN 1866. R-S. I. Z LÀ QUESTION

.DANOISE, L’ENTREVUE DE RIARRITz, pan-glu. (anomaux. .

v. - LES. TUILERIES ET LE LOUVRE; PENDANT;- L’AI COMMUNE. 4 Il. 4L’INCENDIE DU ’PALAI’SÏÎE ÎÊÎËËËRVAÏÎÔÎ-DES Ï-MUSEES DU

LOUVRE, a1- M. Maxime Du Gamin " -’ * *MFK..pA-I

V1. - LES IONS MILITAIRES ET LES ARMEES. - III. - L’ÉDUCA-

TION ET.I.A DISCIPLINE; par un 0fficier en retraite.

vu. --L’EXPRESSION DES EMQT;0NS ET L’ORIGINE DU LANGAGE, D’APBÈS

DE RÉCENTES PUBLICATIOngpar tu. Ludovic Cari-an.

VIH. - POËTES ET HUMOBISTES. - I. - NICOLAS LENAU, par M. André

Thenrfiet. S .1 *lIx. -- CHRONIQUE DEI’LA QUINZAINE, HISTOIRE meUE ET LITTÉRAIRE.

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X. - BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. ’à

de nos souscripteur: dont l’abonnement expira avec la livraison duI" replemlme I878 sont priés de le renouveler, pour p’dprouoer aucun retarddans l’envoi de la hlm.

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XLVIII° ANNÉE. - TROISIÈME. PÉRIODE

7mn: un. - l" samnnnnr. 1878. l

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TOME VINGT-NEUVIÈME

PARISBUREAU DE LA RÈVU-E pas DEUX MONDES

aux BONAPART8,17

1878

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Notes du mont Royal

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LE JAPON LITTÉRAIRE 1

tu... Amante-guai; Ban-sai-zau. Genève, 1877,. Tunettini. -- il. - Asiaticsoct’ety or lapai-t;Transactions. - m; - Tales Ôf old Japan. Mitford. - N. -- Ernest Satan: Littçratw: cfJapon. Antérican Cyclopædia.

Après avoir parcouru le cercle d’activité dans lequel se meut une .nation, interrogé son histoire, sa religion, ses arts, ses lois, sa con-Stitution poli-tique et sociale, c’est encore à la littérature qu’onvient en dernière analyse demander la confirmation ou le redresse-ment des jugemens qu’on a portés sur son compte. De tous les in-strumeus d’observation qui peuvent servir à. mesurer la valeurd’une race disparue ou lointaine, le meilleur, le plus précis et sur-tout le plus aisé à consulter, c’est l’œuvre intellectuelle qui s’est,

au cours des siècles, élaborée dans son sein. Il faut, à. la vérité,pour s’en servir utilement, tenir compte des différences de mi-lieu, des, degrés divers de culture et de maturité des peuplesqu’il s’agit de classer. Il ne suIIit pas d’étudier les. œuvres enelles-mêmes; il en faut analyser le sens psychologique, remonter dela pensée exprimée au sentiment qui l’a dictée; reconstituer avec leschants d’un poète la structure de caractère et d’esprit de toute sa.génération; apercevoir les hommes vivans sous les lignes serrées

de l’impression, comme derrière les barreaux d’une cage, les consi-dérer à leur cOmptoir, dans leur boutique, dans leur manoir, che-vauchant dans leurs chemins de plaine ou de montagne, les suivredans toutes leurs démarches, calculer tous les mouvemens de leurmachine et découvrir le ressort-de toutes leurs actions. Seule, l’é-tude judicieuse des littératures permet à. l’investigateur le plus con-

i . u.x l ade l’observation directe et d’envelopper dans une vue synthétique

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7b8 - REVUE DES maux MONDES.,to’us’lè’sîrïi’t’s’ dômiüaîis’prôpfês’ï’èâràctéfis-ér têt-classer une fa.

mille humaine. Il est rare qu’ensuivant cette méthode d’examen on lne découvre pas, sens la littérature, une phil’Osophie qui résume en ’elle les dispositions innées et rudimentaires qu’un groupe d’hommesapporte avec lui en naissant à la lumière de l’histoire, et qui consti-tuent précisément, la race. *

I...Il’ne nous est parvenu aucun menumentécrit de l’ancienne lit- -

« tèrature japonaise antérieure au vm° Siècle de notre ère. C’est alors g

seulement, que. furent introduits les caraCtères’chinois. et avec euxl’étude des livres, classiques et des méthodes de. composition envogue à la cour des Tang. Tout porte à croire néanmoins qu’iltait auparavant des compositions, tant en prose qu’en vers, trans-mises oralement d’une génération à l’autre, et dont on peut retrou-

ver la. trace dans les plusanciennes compilations écrites, telles que

v .. . ,. , , . . . .rement indigènes et exempts de tout mélange étranger, ou il eûtété si curieux de chercher les inspirations originales de la race?Sans doute des chants de guerre, des récits de combats homéri-ques à la façon de certains chants slaves; des incantations et desfragmens de liturgie à l’usage des prêtres qui desservaient lestem-ples des Kamis, génies protecteurs de chaque localité. Le peu qui ensubsiste a été tellement déformé en passant par-la filière des signesidéographiques qu’il est souvent difficile aux philologues les plusexercés de saisir le sens de ces antiques rapsodies, et toujourshasardeux d’en rechercher le caractère dans l’état où elles nons

sont livrées. - « -’ En dehors de cette époque orale, l’histoire littéraire du Japon, peut se diviser en, quatre périodes distinctes"; La première :6911!-

mence avec l’introduction de l’écriture chinoise et se termine à lafin,du me siècle : c’est l’âge de la poésie et de la littérature pure;-ment héroïques. Le barde partage la vie guerrière des chefs dont Ilcélèbre les exploits; toutvnoble porte l’armure; lesnmiçrllixrdwés

n ontpapplïïs, à tracer. les. caractères et à cadencer les phrases. etbrillent par leur esprit comme nos trouvères, au milieu des délas-semens d’une cour militaire. La seconde période va du x° au un” 51è-

; clé; on voit alors apparaître les travaux historiques, les annales, etse former la prose classique. La culture intellectuelle est encoreconfinée dans la «:1an (rônin gap ’ sacour; un petit nombre d’écrivains composent pour un petit nommede lecteurs des ouvrages officiels, d’un style froid et châtié. on

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LE JAPON 71:9Iv’éfgè’dè’pIu’S’ en’plus dans l’imitation; desChinois, auxquelson em- -

runte non-seulement leur.,éc1iture,’mais leurs mots, parfois leursyntaxe et surtout leurs-idées et leur philosophieiï’? * n. .p’La troisième période, qui s’étend du xin° au commencement’d’u

me siècle, est remplie par les guerres intestines , les violencesd’une féodalité en délire, et répond aux jours les’plus sombres de *notre moyen âge. La littérature reste stationnaire; selle se réfugiedans les. bonzeries, d’où elle sort complètement pétrifiée, sous Yéyas

(1610), pou’rKiEposerwdés’ormais ses formes raides, ses procédés, 4’

ses allures à" l’imagination des âges pestérieurs, comme au moyenage la scolastique emprisonnait les. esprits dans ses formules in,-

. franchissables. I t - ILa quatrièmepériodè, qui .s’ouvre alors et dure encore,’se dis-tingue par une production infiniment plus abondante que les pré-i jcédentes et par la propagation des lumières dans les centresprovinciaux. L’imprimerie, connue dès lexme siècle, mais peu em-

’ r ployée jusqu’au xvnî, multiplie. les livres et les moyens d’instruc-

H: .5: a . sur I..’ . un - - ’ 0.- l.’ 07’ e haleine;leS.monarques encouragent un mouvement intellectuel qui éloigne lesesprits de toute tentative’d’opposition. Une foule d’hommes émi-nens s’enfonce plus avant dans, l’étude des textes chinois, fouille lesannales du Japon, reconstitue son histoire, Commente ses anciensmonumens, restaure même sa vieille religion passée de mode. Onvoit les Japonais s’essayer aux investigations archéologiques et phi-lologiques. Avec Mabuchi et Mootori Horinaga apparaissent les pre-

. liniers essais de critique. Le second atteint même un. style deg’vagédes termes. chinois, clair et facile, qui n’est malheureusement pasassez imité par ses successeurs. Enfin dans ces. dernièresrannées il Isemble se produire une nouvelle évolution encore mal dessinée;des tentativescomme la traductionïitïStuartitfilr et-de- PEssai surla civilisation en Europe brisent la langue sans l’assouplir etmontrent clairement ses imperfections, sans y remédier. L’étudiantjaponais laisse de côté ses anciens livres classiques pour apprendrenos langues occidentales et s’assimiler les fruits de notre culture;mais, trahi par l’insuffisance de son idiome, il ne peut plus exprimerses notions de fraîchejdate que dans un patois barbare. La littéra-ture contemporaine vit de traductions ou d’imitations informes.Jamais on n’a pu dire avec tant de vérité : Traduttore, traditore.

De toutes les branches de la littérature japonaise celle qui adonné le plus de fruits estsans contredit l’histoire ; longue serait lanomenclature des écriuains (il qui depuis l’an 7M jusqu’à nos jours

(l) Voir la liste de ces historions dans un intéressant article de M. E. Sntow, inséré

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750 ’ ” REVUE DES DEUX MONDES.’ ont féciiéilliles’ événemens passés ou (contemporains pour en fixer

le souvenir. La plupart de ces travaux ne. sont que des annalessèches, d’insignifiantes compilations de faits, des récits mal reliésentre eux, des) enfilades d’aventures qui semblent d’autant plusmonotones que les traits caractéristiques qui pourraient les diver-lsifier disparaissent dans une narration rapide et sanswrelief. Enfait d’une importance capitale, comme l’avènement d’un pouvoir

d nouveau, la créatibn d’une. fonction nouvelle, une révolution-en- ’germe dans une institution,’ne tient pas plus de place qu’un. duel,une conspiration déjouée, une simple .observation.météorologique, ,En vain on demanderait à l’annaliste une vue d’ensemble, une,concluSion phi1050phique, un jUgement, une appréciation générale jsur la période qu’il étudie. il Semble qu’en adepte docile de la. doc...

trine bouddhique il tremble de prêter (un enchaînement logique à. lasérie des faits; qu’il raèonte, et n’y voie qu’une accumulation dephénomènes purement fortuits. La plupart du . temps il se [borne asuivre de; mais en mois l’ordre chronologique sans s’occuper derelier dans un même chapitre et d’exposer avec suite les événe-mens quÎsont la conséquence les uns des autres. On reconnaît icil’absence de méthode qui frappe de stérilité toutes les créations

des Japonais. l ’Ce n’est que vers le milieu du xvnI° siècle qu’on voit se dessinerdans les œuvres d’Arai Hakuseki un essai de système philosophique.Les vingt-deux volumes du Nihon Gaishi publiés par Bai Sanyo(1780-1833) sont également construits sur un plan rationnel. L’au-teur, ayant à raconter la période qui s’écoule du x11e au xvne siècle,s’efforce de présenter les débuts, l’apogée et la décadence dechacune des familles princières qui à. cette époquew s’arrachèrent

0 successivement le pouvoir dont i elles avaient dépoSsédé les mika-dos; il met dans la bouche de Ses personnages discourait. lafaçon de Tite-Live, uniHLàfgv’çÂall’toge la vérité historique, musiom

""dtî moins connaître les sentimens qu’un Japonais du xvnr’ siècleprêtait à ses compatriotes du me. .Kyomori, chef de la maison desTaïra, parvenu au faite de la puissance et des honneurs, a con?uquelques soupçons contre des rivaux qui (s’efforcent de ruiner soncrédit auprès de l’empereur. Il forme le projet d’arracher lauper’ F

sonne sacrée du minimaux ceurtisans qui le circonviennent, et àcet effet appelle auprès de lui tous les chefs militaires..Au momentde la réunion, Sigémori, fils de Kyomori, plus touché par le res?cetd’un fidèle sujet envers son souverain que par le devoir filial, seprésente devant son père :

dans l’American Cyclopædia, auquel nous renvoyons pour la nomenclature desprincipaux auteurs japonais dans les «titrerons genres.

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fît-65553535542: par la porte du château» les gens. de 133m;

étaient tous occupés à revêtir leur armure ou à harnacher leurs che-vaux; les bannières étaient rangées chacune à sa place, et toute la troupe

0 «allait sîèbranler. Sigémori entra avec son costume de cour et le yabosi (1)sur la. tête; MunémOI’Ï le prit par la manche et lui dit tu Pourquoin’avez-vous pas endossé votre cuirasse? » Sigémori, Je. regardant de

Havas, répliqua : (l Et vous» Pourquoi portez-vous la votre? Où se. tfoutre dOnc l’ennemi? Moi, je suis grand ministre et grand généra]

et je dis que, si personne n’attaque le palais de l’empeureur, il estinutile de s’armer. » l. Î I . t

. ï ’KYOŒOI’Î, levant les yeux, aperçut son. fils Sigémori’; il se couvrit ans?

". sitôt d’un habit de couleur foncée; mais en se dirigeant vers lui les cor-"-dons se défirent et laissèrent voir la cuirasse. Alors, s’adressant à -Sigé-.

I mori, il-lui dit à «-Nos ennemis sont unis entre. eux comme la branche 4

LB JAPON LITTÉRAIRE. . n 751x.. --...-...-.--.-...-

l’est aux feuilles; chaque jour voit grossir leur nombre, et ils sont tou- .jours à épier l’occasion d’influer sur, la conduite de l’empereur pour lui ’ *

faire prendre des décisions précipitées. Je veux de nouveau prier l’em-pereur d’aller s’établir au palais de Toba. Si on peut le décider, j’espère

que tout rentrera dans l’ordre. » Il n’avait pas fini de parler que lesyeux de son fils Se remplirent de larmes, et après un long silence :a Je connais, dit SigémOri, votre situation et je sais que pour ceux devotre famille. l’heure de la décadence a sonné. Mei, Sigémori, j’ai en-

tendu dire qu’il y a quatre sortes de bienfaits, et les plus grands sontceux de l’empereur. a)

Le loyal sujet énumère ensuite tous les bienfaits dont lui et lessiens ont été l’objet. Le souverain qui leur a si bien rendu justicen’écoutera pas les calomniateurs.

- u Maintenant, conclut-il, je ’suis placé dans une triste alternative :si jet-jeux servir mon prince, il faut manquer de piété filiale, forcé queje suis d’être sujet infidèle ou mauvais fils. Dans le cours de ma vie,j’ai souvent rencontré, l’amiction ;et j’en suis venu à penser que rienn’est préférableà la mort. Sidonc veus êtes décidé à mettre à exécu-

tion vos projets, commencez par immoler votre fils Sigémori, car jene saurais vous seconder dans vos desseins. n v

. . Cependant la guerre s’allume; les Minamoto lèvent l’étendard, dela rébellion, et les Taîra entrent en campagne contre eux. Leur gé-néral a dans ses rangs deux guerriers dont les fils combattent sousla bannière opposée. Il les fait appeler et leur dit :

a Vos fils sont avec les Minamoto dans la province de Musashi. N’irez-q

... ..n .. V - a a. . u v .q -A.:.:n(l) Sorte de comme de carton laqué usitée à la cour impériale, en temps de paix.

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752 4 i anus uns DEUX nonnes."” ”* F” di’féfiîêîi’VôilâVin-gî’ïrïsîue les-’Tair’a nous comblent de leurs bien,

faits et maintenant, i parce que. nous sommes. en présence du danger,nous vous quitteriOns? Jamais nous ne commettrons un acte aussi désho.norant. - L’amour. des pères pour leurs enfans se rencontre chez lesnobles-comme chez les roturiers, repartit Munemori; si lespères sonten Occident et les fils en Orient, ils se détruiront mutuellement, et jene saurais le permettre; il faut donc que vous passiez promptementdans le camp de Yoritomo. » Ces deux hommes [écoutaient en pleurant,etcene futÏpas.Sausbeaucoupd’hésitation Qu’ilsjarfirent’pumï l’Orient.

U On voit par cette citation le tour oratoire et a demi. poétique qu’af. .i p fecte l’histoire chez l’un des écrivains les plus estimæ du Japon;

. A côté des traités-.d’hiStoire se placent les monographiesü), des amémoires, des relations partielles: dontquelques-unes portent les .titres de : Mz’dsu Kayamz’, lma Kagamz’, le miroir, ou le miroir duprésent, par une métaphore semblable à. celle qui a fait appeler Mi-roir de Samba, Miroir de Saxe, les recueils de..coutumes. et tra-ditions relatifs à ces pays. Puis viennent les compilations légis-latives, parmi lesquelles les livres relatifs au cérémonial tiennentune place prépondérante. Le Beigi Ruz’ten ou code de l’étiquette,

en cinq cent dix volumes, est consacré aux usages de la cour desmikados. .Deux cent quatorze volumes s’appliquent aux jactionsordinaires de la vie, le reste aux kagura, anciennes pantomimescélébrées en l’honneur des .parens célestes du souverain, auxprières en faveur de la pluie ou du beau temps, à l’exaltation età l’abdication de l’empereur, aux fêtes des moissons, aux voyagesde la cour, aux naissances, mariages et décès dans la famille im-périale etc. Enfin de nombreuses biographies d’hommes illustresviennent. compléter l’énorme amas de documens qu’aucun érudit,ni indigène, ni européen, ne pourra jamaisparcourir que superfi-ciellement;.les modifications du langage ont rendu très difficile la

4 lecture des plus anciens; les’redites, la stérilité monotone de tous,* rebutent à la longue les lettrés les plus persévérans.

A part quelques maximes, empruntées peur la plupart aux Chi-nois, éparses çà et là,-il est rare de rencontrer, dans ces œuvresraisonnées, une idée générale, une pensée originaleriet profonde,comme on en trouve à chaque pas’cli’ez’ lès-maîtres puissans qui ont

donné à notre esprit latin sa forme classique. Rien qui éclate commeune fanfare, rien qui s’allume tout à coup pour éclairer toute unepage; l’écrivain s’attelle à son sujet et le traîne péniblement au

ras de terre au lieu de le dominer. Aussi bien n’est-ce pas dans

(Î) Comme le Ninon hucha soudan, souvenirs de cent généraux du Japon, traduit WIl. Carlo Valenzianl, l’éminent philologue italien, dans le Banni-mu, f. 15-16.

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LE JAPON LITTÉRAIRE. ’ l 753in"? limas? la littérature qu’il faut satirique.- à sans. in"Conœptions favorites de l’esprit japonais; les œuvres d’imaginationlui olïrent un champ plus libre et nous promettent au point "de vueesthétique une plus ample moisson de renseignemens. i ’ n I:-. ce n’est pas toutefois dans la poésie proprement dite que le génie

t national se donne le plus volontiers carrière. La prosodiedes Japo-nais n’a jamais dépassé les formes les plus élémentaires. Leurs .uta(méchants sont comPOSés de cinq vers de trente etune ’syllabes. Siices.

chants furent aux âges primitifs le produit d’une inspiration sponta-,née, ils devinrent plus. tard un simple exercice mécanique, dont tout a

’A le mérite Consistedans des jeux de mots et de véritablesjcalembours.Les amateurs de Versification se réunissaient à. la cour. et formaientde petites académies où les Vadius et les ’«Trlissotin du tempss’exerw

- géant à. improviser sur des sujets tirés au sort. C’est ainsi qu’ontété composées la, plupart despetites pièces qui nous ont été con-servées dans les difi’érens recueils, dont le principal est le"Manyoslzz’u I

ou. recueil des dix mille feuilles, contenant quatre mille cinq cent

. - I. .- . . .. - ...il;!:. Ê: "î .-;I.UI II’.nll; U0. . ’1’ v" Ilula ou longues chansons consistant en vers alternés en forme de-distiques, et des sedolm, sorte de sonnets en vers de cinq et septpieds arrangés dans l’ordre suivant 5. 7.7. 5. 7.7. .

L’abus des pointes,d’esprit et l’emploi des mêmes caractères chi-

nois, tantôt avec leur valeur idéographique et signifiant un objet,tantôt. avec leur seule valeur phonétique et exprimant simplementun son, de manière à. former un rébus, rendent très ardue mêmepour un érudit japonais lailecture de ces compositions, a l’intelli-gence desquelles on a consacré au Japon dès le xvne siècle de vo-lumineux comméntaires. M. Léon de Rosny, dans son’Anthologiejaponaise, a réussi à traduire plusieurs pièces extraites. du, Mm a

.ngoshlz’zt qui nelsegmblent pas propres à donner une haute idée du

souille poétique des Japonais.” - la C’est en regardant les canards sauvages qui crient sur l’antique.

étang d’Ivari que je m’éclipserai dans les nuages. a)

«Malgré les mille obstacles que le lit du courant leur appose, les9305, longtemps divisées par les sables, finissent par se réunir. a)

Même en tenant compté des imperfections inévitables de toutetraduction, on voit que la pensée ne sort qu’à peine dégrossie deces essais. Sauf un madrigal ou une sentence morale, que peut-onfinfertner dans les quelques syllabes dont se compose une stanceJaponaise? Pégase prend ici les allures d’un cheval poussif etutile. Ün constate encore une foxs’l’mfortune séculaire de cetterace dont le génie a subi l’éternelle contrainte déformes répu-

NII un. - 1878. 48

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7511 v REVUE pas DEUX MONDES.v ’* * * 7* "m * "gaïaŒ*"s*és"in’stnîTcs,-doîifles’s-eütîfiëus ’ëhevzîleîëtîüësmm été

gênés dans leur essor par la solennité de rites exotiques, dont le.tour d’esprit ingénieux. et compréhensif a été emprisonné dans les

formules algébriques d’une langue rebelle. Sa sève s’est trouvéeconstamment refoulée par une culture à. contre-Sens. comme cellede ces cerisiers nains qu’on voit dans les palais daïmios, bi.zarrement torturés par un jardinier entêté; ses poètes ont de romtemps traîné péniblement le pas dans les mètres chinois, commeaujourd’hui ses soldats s’écorchent les pieds dans nos. brodequins

serrés. Parfois cependant un sentiment vrai se dégage de cettelogomachie embarrassée; l’esprit donne son coup d’aile, le cœurtrouve son accent. "Où rencontrer une mélancolie plus douce etplus profonde que dans ces versets extraits du Hyakzt-ninslzt’u: . i

...4

(c Bien que, depuis mon départ, men palais soit inhabité, n’oublierpas, fleurs de prunier, de v0us épanouir au bordnde sa toiture. » .. a Dans ce monde il n’y a pas de voie. le songe. à’ me retirerdaus laprofondeur des montagnes; mais la encore, le Cerf pleure! n

Millevoye ou Lamartine n’eussent-il pas signé cette plainte dumalade condamné à. mourir jeune z .

a Ma vie, semblable aux feuilles desséchées que l’hiver n’a pas encore

fait-tomber des arbres de la campagne, s’en ira au moindre vent. n

Et moi je suis semblable à la feuille flétrie.Emportez-moi comme clic, Orageux aquilons,

a dit presque dans les mêmes termes l’auteur des Méditations.Une histoire sans philosophie, une poésie sans souille, une théo-

logie obscure et mystique, des traités de morale sans élévation. et .fondés sur une étude incomplète de la nature humaine ; un pédalktisme froid, desvues bornées, des systèmes d’école, des concep-tions artificielles, un verbiage scolastique, des niaiseries solen-nelles et d’incessantes redites, voila ce qu’ollre la haute littérature.celle qui, venue de la Chine, s’est toujours inspirée de ses origines.Ce tableau rappelle par ses traits généraux celui de notre muffinâge eurOpéen du’vc au x1v° siècle; la raison semble frappée de il- Vmidité et l’imagination d’une sorte de stérilité prolixe. Les écrivainS

n’ont à. leur service ni la haute inspiration qui permet d’embrasaerd’un seul regard tout l’ensemble d’un sujet, ni la langue docile etl’observation méthodique qui permettent d’en fouiller” toutes lesparties. Faute de ces instrumens puissans que les fondateurs de 13

W6 nos mains-ris w î. ,jabordent maladroitement les œuvres qu’ils entreprennent, et si

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LB JAPON errÉRAar. ’ ’ 755noient. C’est En vain (futon chercherait parmi enrageâmes; vi-goureux eSprits qui ont chez nous, au temps. de Périclès ou de

- îéon X, embrassé d’un regard et maniéd’une main hardie toutes

les idées, pressenti toutes les. évolutions possibles de l’eSprit hu-Ïmain. Le cercle où ils" se meuvent est infiniment plus étroit; leursmouvemens sont.plus contraints, leurs perceptions moins fines etmoins justes. Le moyen âge japonais,- qui dure encore, ressemble -comme le nôtre à un polype aVeugle étendant ses tentacules vers ,des objets quîil Ire-peut saisir nimesurerr’ se » -- - A a

A défaut. de l’esprit systématiqtie et des œuvres méthodiquesmuret-on; du moins. ici l’inspiration chevaleresque qui, apparaît .dans les races germaniques avant l’heure du raisonnement, pourdicter des épopées nationalescomme l’Edda et la Chanson de Ro-land? C’est ce que l’on peut se demander en parcourant les diverspoèmes désignés sous le nom de monogatarz’.

1L

Le monogatarz’, si l’on s’en rapporte à la définition d’un critique

japonais, désigne un genre de composition qui diffère de l’histoireen ce que l’auteur ne s’applique pas à discerner la vérité de la fic-

tion, et se contente de reproduire la tradition courante au sujetde son héros. Nulle forme n’est donc plus favorable au libre essorde l’imagination, qui peut se restreindre ou se répandre a loisir. i:liissl ce genre peut-il être conSidéré comme le genre" national etpris pour étalon de la force et de la nature des conceptions japo-naises. Tantôt l’histoire y est suivie pas à pas, et l’auteur se berneadonner un tour oratoire et pompeux aux discours dont. il entre-mêle son récit; tantôt, au contraire, il mêle le merveilleux au réel,la légende à l’histoire et les puissances surnaturelles à. la vie ter-restre. Le plus ancien menumentde ce genre, intitulé Tashi [myeun maki, raconte les aventures d’un jeune homme qui fait naufragesur les côtes d’un pays enchanté, ou il rencontre des bêtes quiParlent, des géans et des monstres, et d’où il rapporte une harpemagique qu’il lègue en mourant à sa fille. Les accords de la harpeattirent dans sa maison un jeune seigneur qui passe un beau soir(levant sa porte et disparaît après l’avoir rendue mère. Elle met auinonde un fils qui accomplit des prodiges de piété filiale et la nour-rît avec des racines qu’il arrache dans les montagnes. A l’approche(le l’hiver, il l’abrite dans une caverne abandonnée par les ours, et

" la singes qui habitent les environs leur apportent de l’eau et desProvisions. Enfin le père ingrat de ce fils modèle reparaît et se’fixe

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756 ’ avec pas DEUX MONDES." * auprèS’de la jeune mère, avec iaquelle il mène une heureuse fié

Dans le Talcetorz’ monogatarz’, un vieillard trouve dans un nœud

de bambou une petite fille haute de trois pouces qu’il ad0pte etqu’il élève avec le plus grand soin. Elle devient en grandissant une pbelle jeune fille entourée d’amoureux. Sa main est demandée par cinqprétendans, à. qui elle impose divers travaux qu’aucun d’eux ne peutmener à fin; elle refuse jusqu’à. l’anneau d’un empereur, et bientôt

après déclare à son protecteur. qu’elle est une habitante de la lune,bannie sur la terre pour certaine faute, et que, son temps d’épreuveétant révolu, elle va retourner dans son ancien séjour. Vainement levieillard se répand en protestations pour la retenir, vainement le mi.

. kado fait placer une garde de deux mille-hommes devant sa maisonet sur son toit; elle est emportée dans un char volant par les. mes-sagers de son père céleste. Elle laisse en partant des lettres d’adieuémouvantes à. son père adoptif et lui remet un élixir d’immortalité,que l’empereur fait enfouir au sommet d’une montagne, qui depuislors s’appelle le Fusiyama, la montagne immortelle. Nous sommes

-- 0.! -oon.a-o- on- 9: z: .:- en." : se. .neuf siècles au Japon; passons dans celui du roman.a Le sujet compliqué du Sumz’yoshz’ monogatarz’ n’emprunte rien à

la féerie. Un daïmio, déjà père de deux filles légitimes, en a unetroisième que sa naissance irrégulière expose à la haine et auxembûches de sa marâtre. Grâce à l’intermédiaire de sa sœur delait, elle entre en correspondance avec un jeune noble qui s’estépris d’elle sur le simple récit de sa beauté. Mais la préférence que

son père lui accorde sur ses autres filles est cause que la marâtre, a juré sa perte : elle veut persuader au père qu’on a vu un prêtresortir de la chambre de sa fille, et trouve un misérable pour jouerle rôle d’un amant découvert. La jeune fille estéonfondue par la 4calomnie. et condamnée par son père irrité à épousera un hommequ’elle n’a jamais vu. Sa ruine n’est pourtant pas assez complèteaux yeux de sa marâtre, qui veut la faire enlever par un méchantVieillard, dont elle n’a pas eu de peine à éveiller les passions. Mais,prévenue à. temps, l’héroïne s’enfuit avec sa sœur de lait auprèsd’une religieuse élevée avec elles, qui réside à. Sumiyoshi, au bord

de la mer. Le jeune amoureux tombe dans un profond désespoir fanapprenant la fuite de celle qu’il aime; mais le lieu de sa retraite

’ lui est révélé en songe; il se met aussitôt en route, et l’amène,déguisée en paysanne, à. Kioto, où il l’épouse. Elle lui donne (leuxenfans. Le père, mieux informé, est resté inconsolable du départde sa fille préférée. Mais au bout de sept ans. invité à un repas Parun jeune noble, il se trouve chez son gendre et reconnaît dans sonhôtesse la fille que longtemps il a cru perdue. La méchanceté de

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LE a JAPON LITTÉRAIRE. 757la marâtre est découverte, elle subit la peine de ses méfaits enmourant dans la misère; tous ses complices sont punis par le sort,et le père se confine dans la retraite, tandis que chaque personnage

’- du roman reçoit une récompense proportiOUnée à ses mérites.

Le plus célèbre sans comparaison de tous ces monogatarz’ est leGengi monogzçtarz’, en cinquante-quatre livres, dû a la poétesse Mue

maki Shikibu, qui vivait au x1° siècle de notre ère; on montre-encore près du lac Biwa l’éminence ou, elle s’était fait construire.

Il une sorte de petit oratoire et passait de longues heures a contem-pler le site romantique qu’elle avait sous les yeux. Gengi- est lefils d’une des favorites "du mikado; la nature l’a;a doué si brillam-ment qu’il peuple’ le Japon de ses conquêtes amoureuses; le nom vde chaque nouvelle victime fournit son titre à un nouveau livre.C’est surtâut par les. qualités du style et le progrès qu’il marque

. dans la formation du langage que se recommande Cet ennuyeuxroman de la Scudéry japonaiSe. ’ ’. Quelquefoisle-monogatàrz’ se rapproche de la vérité historique au

Il d Il, ’ . - .. pour le Hez’lre monogatarz’, relation a demi poétique des guerresféodales qui divisèrent pendant plusieurs siècles .les..puissantesfamilles de Hei et de Gengi, désignées plus souvent par les noms de

p Taïra et de Minamoto. Voici le début devcette composition, qu’on

ose à peine qualifier de poème : v 1 ’a Si le son de la cloche du. temple de Gion est l’écho des vicissi-

. tudes humaines, l’éclat passager des fleurs des arbres montreque toute prospérité a son déclin. Les orgueilleux ne; subsistentpas longtemps; leur vie est comme le songe d’une nuit d’été.Les guerriers aussi finissent par tomber; ils ressemblent a unelampe exposée au vent- » Puis vient une biographie très exacte ettrès prosaïque des divers personnages, entremêlée d’anecdoctes

a puériles, de renseignemens chronologiques et d’épisodes parfois in-téressans comme celui de Hotoké Gozen. C’est une danseuse quise présente devant Kyomori, le chef du clan des Taîra, dans l’es- ’-poir de faire agréer ses services par le tout-puissant seigneur. Il larepousse d’abord; mais, sur les instances de sa favorite Giwau, . illa rappelle, consent a la regarder et à l’entendre; elle chante : a EnYol’ant pour la première fois le jeune prince, il m’apparut comme unlefme pin de la plus belle espèce, pouvant vivre même au-dela deIlfille générations. Sur la colline des Tortues qu’entoure l’étang

dOmayé. des grues viennent en foule se divertir. » Le prince, ravi

desabea -a 0’ .’ se. :"--.*:;;’* n o.:o-rameuse, qui proteste en vain contre tant d’honneur. Giwau s’é-loigne tristement en chantant : « Soit qu’elles germent, soit qu’elles

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758 savon pas DEUX MONDES.sel-dessèchent, les. herbes du même pré, quand arrive l’autoriinè

de toute manière doivent périr. a Puis elle se rase les. cheveux,ainsi que sa mère et sa sœur, et toutes trois vont cacher leur de.sespoir et leur honte dans une retraiteignorée. Cependant un soir,au crépuscule, une femme. se présente a la porte en treillis de’bam. 4hou, qui fermait le modeste jardindes trois ermites : c’est. Hotoke. ’Gozen qui, ne pouvant supporter le poids de ses remords, est venuechercher pardon" et consolation auprès de" celle qu’elle a détrônée " ldans l’amour de Kyomori. Giwau reçoit en grâce son ancienne

- 4 rivale- et toutes deuxs’associent pour. vivre ensemble, commeidesaintes femmes, couvrir de fleurs l’autel domestique et « devenirun même nénufar dans l’adoration de Bouddha. Le cœur peut-i1en effet concevoir quelque chose . de meilleur?» C’est sur cette

4 réflexion morale que se termine le premier livre du Heike mono-

Composés au milieu des luttes féodales,a l’âge héroïque et mili-

taire du Japon, tous ces poèmes respirent l’eSprit chevaleresque,viîameurdesaetienseelatantesetdessennmensg cesdans un langage solennel et men sans enflure. Si les vieilles chansonsde geste, par leur mélange du réel et du merveilleux, semblentdans notre littérature le genre qui s’en rapproche le plus, que dedifférencies pourtantasignaler l Tandis que le naïf conteur françaislaisse toujours percer un vague et fin sourire derrière les mots, etraille tout bas ses héros, aimant à. nous les montrer au besoin endéshabillé,le rapsode japonais ne quitte jamais le ton épique et l’al-lure guindée. Les preux de Charlemagne et Charles lui-même ontparfois des gaîtés ou des faiblesses étranges qui nous font toucher dudoigt leur humanité; ceux de Taïra ne cessent jamais d’être conven-vtionnels et froids. Chez nos vieux romanciers,le paradis lui-même se ,mêle d’une façon touteterrestre des affaires d’ici-bas; Dieu le père se

laisse, fléchir avecw une bonhomie douce par les prières de ses féaux,embarqués au milieu de quelque difficile aventure, com-muais la ’chanson du pèlerinage de Charlemagne. Ici au contraire la Divinitén’intervient pas personnellement dans les scènes de ce monde pé-rissable, elle n’a pas ses favoris, elle ne descend pas du ciel, ouplutôt ne sort pas du vide où elle se cache éternellement. L’hommea beau se hausser et se tendre,il n’atteint pas jusqu’à elle. L’eSl’ècede camaraderie entre les grands hommes et les dieux qu’atteste lerôle prêté” dans ’ toutes les épopées nationales de l’Occident aux

habitans de l’Olympe ou à ceux du Walhalla n’a. pas (l’analogue

4.. . . . . .. , , H , . ”]’uni-verset et ratât écrasement quî pèse sur tes inertes; et si le mi"racle éclate parfois, ils en sont les jouets, non les collaborateurso

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LB JAPON unénxmgïfmmww 759oïl-résonne connue une fanfare l’expansion joyeuse du trouvère, onn’entend. ici que l’accent mélancolique du bouddhiste désolé : a Les

exposée au vent. »

III.

souille héroïque des anciens monégazarz’; les nz’njo-bon, où l’amour

joue le plus grand rôle, et les Æusa-zoshz’ ou romans populaires, im-o primés en caractères vulgaires, que l’on trouve entre les mains detoutes les femmes. Nos lecteurs ont déjà. pu juger le premier genrepar l’histoire émouvante des quarante-sept ronines racontée ici mêmepar 3.1. Roussin (il) et connaissent le second par l’analyse que nousavons donnée des amours lamentables de Kosan et. Kinguro (2). Ilsnous permettront de placer encore sons lelirqggug gemme glgésimendu premier genre une histoire de vendetta qui les introduira enpleine féodalité japonaise, a la vengeance de Kadzuma. n

On sait quelle importance le samurai attachait a son sabre. Lafaorication des lames était un art qui anoblissait celui qui l’exer-çait. du. moment critique ou la pointe d’acier va s’incorporer à. lalame de fer, sous l’action du marteau, c’était une coutume, chez lesarmuriers célèbres d’autrefois, de se revêtir de l’habit somptueuxporté par les nobles de cour, pour mettre la dernière main à. leurœuvre. La possession d’une lame signée d’un nom connu faisaitl’orgueil de son heureux pr0prie’laire, et se transmettait de père enfils comme un héritage aussi précieux que l’honneur de la maison.

un ami.* lieuxvassaux du même prince se montraient un jour leurslarmes.”’

l’un d’eux reconnaît entre les mains de son compagnon un sabreperdu par son père mort sur un champ de bataille; le nouveaupropriétaire, Matazayémôn, ne fait aucune difficulté de faire pré-sent a l’ancien, Yukiyé, de cette relique de famille, ce qui lui vautde la part de ce dernier une gratitude sans bornes, et de longs re-grets à. sa mort. Cependant Matagoro, fils et héritier du donateur,"(Me que cette reconnaissance platonique ne vaut pas un beauPrésent fait en retour, et ne se gêne pas pour le dire. lndignationdu donataire. Celui-ci se rend immédiatement chez MatagoroLet,

(il Voir’la Revue il" 1873.il) Voir la Revue du 15 août 1874.

a[laniers aussi finissent par tomber, ils ressemblent à une lampe A.

a . .. -A côté du monogatarz’, il convient de placer les romans modernes, t

qui sont de plusieurs sortes : " les [resalua-bon, qu’anime encore le, V

Aussi un beau sabre était-il le plus précieux Cadeau qu’onpût faire

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760 REVUE DES DEUX MONDES.après une scène violente , tombe assassiné traîtreusement par lejeune homme, qui prend aussitôt la fuite et va chercher refuge au;près.d’une bande de partisans qui tient la campagne dans les envi.

rons. ’ I ’ ’Le jeune Kadzuma, fils de la victime, intéresse son prince à savengeance; les rebelles osent braver le daïmio; la guerre, uneguerre sans merci, est sur le point d’éclater, quand le gouvemeqment inquiet imagine un moyen de faire cesser le combat en sup.primant les .combattans. Un des conseillers dépêche auprès du daî.mio courroucé un vieux médecin comblé jadis de bienfaits par leshogun et à. sa dévotion. Tsusen se rend en effet auprès du princemalade, lui. présente un remède, et, suivant la coutume imposée auxmédecins des princes japonais, en boit d’abord la moitié. Le prince,rassuré par cette épreuve que n’affronteraient pas partout les

. t princes de la science, absorbe le poison sans défiance et meurtbientôt, tandis que Tsusen, agonisant, se fait emporter en hâte danssa litière. Kadzuma, privé de son appui, ne se fie plus qu’à lui-même du soin de venger son père. Son beau frère etdeux aventuriers de bonne volonté se joignent a lui, et tous quatre se mettenta la recherche du coupable, que protège une escorte de trente-sixfidèles. Ils réussissent a l’atteindre après mille péripéties et n’ont

d’autre souci que d’empêcher les trente-six adversaires de leuréchapper. Au moment où la lutte va s’engager, un ancien ami de lafamilleède Kadzuma, ayant appris qu’il était en train de vider uneaffaire, vient, par pur amour des grands coups d’épée, mettre sonbras au service de la bonne cause, et les cinq preux, après une luttehomérique où ils laissent sur le carreau deux des leurs, étendentmorts leur ennemi et ses séides. Ils coupent la tête de Matagoro, et

’ V Kadzuma va la déposer pieusement sur la tombe de son père.A défaut d’un intérêt, très vif et d’uneOrdonnance très heureuse

dans le récit, ce roman de chevalerie offre un tableau sincère desmœurs violentes et des sentimens effrénés du temps. On y voit enpleine lumière les passions ardentes, le point d’honneur exalté, lemépris de la mort et l’amour des aventures qui animaient leshommes de la classe guerrière, la fidélité à leur seigneur, à leur

imaître, a leur patron, qui les guidait à. travers ’mille dangers.L’histoire des amours de Gompachi et Komurasaki, empruntée au

genre des m’njo- bon ou romans d’amour, nous ramènera vers desscènes plus touchantes. Il y a environ deux cent quarante ans vivait,au service du daïmio d’Inaban, un nommé Gompachi, qui dès l’âge ,deseize ans était d’une beauté et d’une force extraordinaires. A la sin"?d’une quereme futile, il tua un de ses compagnont ct dut s’eniurîYédo. ll entra au cours de son voyage dans une maison qu’il prit P0un

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LE JAPON LITTÉRAmE. ’ 761une auberge et quin’était qu’un repaire de voleurs qu’alléchèrent

aussitôt ses armes richement ornées. Pendant son sommeil unejeune fille vint le trouver pour l’avertir du danger suspendu sur same et lui, demander de la "délivrer elle-même des mains de cesmalfaiteurs, qui l’avaient enlevée l’année d’avant avec les trésorsjde

son père. En effet, ïtGompachi tua i tous les voleurs et ramena la ’jeune fille à. son père, un vieux marchand de Mikawa. Celui-ci vou- ’lai; l’adopter comme gendre, mais Gompachi rêvait de plus [hautesdestinées, "il voulait s’engager. chez un prinCe.f Il partit, résistant.aux prières de. la jeune-fille et promettant de revenir. l

I . En arrivant a,,;Yé’do, il ’tombaqdans une "embuscade de brigands;

seCOurupar un passant, "il put mettre les voleurs en fuite. Il.voulutconnaître le nom de son libérateur r c’était Chobeî, chef d’uneas- ’

4 l sociaüon de gardiens volontairéS-d’YédO, qui l’attaCha sans ’héSiter à

sa troupe.- Pendant plusieurs mois notre héros mena la Vie d’unhomme d’armes bien .soldé,,.:payant de sa personne, faisant chèrelie et fréquentant le yoshz’rara, où sairéputation de générosité et

.;..e-:.n- . .-. . . "un P...célèbre sous le nom de Komurasaki, faisait alors fureur, éclipsanttoutes ses rivales par une beauté et des grâces accomplies. O sur-prise! c’était la jeune fille qu’il-avait sauvée, c’était la fiancée qu’il

V avait promis - de retrouver un jour; il l’avait laissée heureuse,digne et riche; ilpla retrouvait dans une maison mal famée. Hélas!les parens de lajeune fille s’étaient ruinés, et elle, pour leur veniren aide, s’était vendue; mais son généreux sacrifice avait été inu-tile;flsoerèr:eet sa mère étaientJnorts de misère, la laissant seule

a au monde, sans autre espoir que l’assistance providentielle de Gom-pachi, que le. ciel lui envoyait une seconde fois. A partir de ce jOur,Gompachi. ne cessa devenir régulièrement visiter sabelleàl’aubergedes Trois Rivages; mais a chaque visite le’maître de la maison per-cevait son’impôt, et la bourse du pauvre diable s’allégea si bien que,pour la remplir, il osa commettre .un vol à main armée. Gompachi pritbientôt des habitudes de larron; repoussé de la troupe de Chobeï,dénoncé à la police, pris sur le fait, il fut condamné et décapité. MaisChobeï, qui l’avait livré a la justice, ne voulait pas laisser son ancienassocié sans sépulture. Il vint réclamer son corps, le brûla et l’en-terra a Meguro.’A la nouvelle de cette mort, Komurasaki, folle de ndouleur, s’enfuit de chez son maître, vint se prosterner sur la tombede son ami et s’y tua d’un coup de poignard. Les prêtres du temple,en apprenant la cause de son suicide, furent pris de pitié et l’enter-rèrent à côté de Gompachi. Sur la pierre unique qui les recouvrit, ils

une me 1p ton qu - c - n o . "r .desqShiyoku (ces oiseaux fabuleux qui, vivant deux en un seul corps,

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762 ’ REVUE DES DEcx MONDES.’ 7"""S’yîiibtiîîseîît’la’fidélité conjugale):«fies-deuxoiSeaux,’beaùi’c;,fi,fi,é’ ’

les cerisiers en fleurs, ont péri avant leur temps, comme les Hembrisées par. le vent avant d’avoir donné leur graine. a Le peupled’Yédo vient encore brûler de. l’encens et déposer des fleurs surcette tombe; la piété filiale et la. passion sincère ont sanctifié dansla légende populaire les désordres des deux amans. 4

Au Japon comme en Europe, les romanciers aiment les dénoù.mens tragiques, qui ne se rencontrent pas plus dans la vie, ordinairechez eux que chez nOus. Dans les deux récits qui précèdent, les évé-nemens dramatiques s’accumulent sans vaincre l’impression demonotonie qui ressort de cette lecture; les sentimens s’enfient jus.qu’au’sublime, les aptitudes. et’les exploits des héros dépassent la .

. mesure commune; nulle étude ressorts Secrets du cœur bu.main, nulle analyse; nous Sommes en pleine fiction, *en.pleine 1é-

gende héroïque. A . -Le .Irztsa-zoshz”ofïre un spectacle plus trivial, mais plus instruc-.tif.sous le rapport; des moeurs; il nous introduit dans l’intimité dela vie réelle, au milieu de personnages que nous croisons tous lesjours dans la rue. M. Turettini a donné, a Genève, la traductiond’un roman de ce genre du a la plume féconde de Riutei Tanefico.Comme le fait remarquer l’auteur dans sa préface, nous ne sommespoint ici jetés au milieu d’aventures étranges Où interviennent despuissances surnaturelles, des machines poétiques; nous sommesinitiés aux sentimens, aux pensées, aux actes de dévoûment ou aux

j défaillances morales de deux jeunes gens qui s’aiment. Le réoitserre la réalité de près et puise son charme’dans la vérité des dé-tails, la vraisemblance des faits et le naturel des discours.

Le seigneur Tamontaru est a la chasse; il arrive avec toute sasuite. au bord d’un étang où l’on voit écrit sur une planche verti-cale, comme on en rencontre souvent aux amarantacée vers duprêtre Saizan : « Je conçois d’où me vient cette tristesse qui malgrémoi me saisit; c’est qu’en automne,-aux approches de la nuit, jeme trouve dans cette solitude de Sigi-tadzu-sawa. » Lia-dessus unediscussion s’engage sur le sens du mot Sigi; elle dégénère, et lejeune Simamsuki, ayant manqué de respect a son maître, est bannide sa présence; nul ne saitvers quel point de l’horizon il dirige sa

fuite.Huit ans s’écoulent. Nous sommes transportés a Atsinosima. dansla province de Setziu, ou nous trouvons, à. son comptoir, un Naïfjeune homme qu’on appelle Sakitsi, si zélé, si exact, si absorhcpar son commerce, qu’il est sur le point d’en faire une maladlc

ricin.UÛ g I l I . I r :7. Il l III x tw, ,( "’7’; A V! l i ’ lUEn passant à Nora, ses regards sont attirés et ses sens charmes Par

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- .-An.-.vva.v,.r» mm- .. h.-.-...».- h . ...--..-

A L8 JAPON artémias. - 763i une je-unénfille, accempaguéed’une-enfant-de-quatre ans, quirend.c,haque jOur au temple. On la nomnie Miosan : sa petite com-agne s’appelle Koyosi. Sakitsi n’a pas encore pu lui exprimer son

amour lorsqu’un beau jour-elle; disparaît. . ’ i .Pour mieux. nous renseigner sur le compte de Miosan, il faut

pénétrer dans le modeste intérieur d’un porteur de kango nomméTofei. Il a jadis servi le prince Teidafu, dont il a eu le. malheur deséduire la belle-soeur Kanayo: Il l’a enlevée, emmenée dans sa chau-mière auprès de sa vieille-mèreaveugle; Kutsiwa, et. de leurs amoursest née une fille, la petite Koyosi. La’feMe de Teidafu, abandonnéepar son maripet gênée pour élever sa’fille Miosan, avait eu l’idée del’envoyer chez sa jeune sœur, dont la retraite ne. lui était pasïincon.nue. La tante reçoit-sa nièce avec tendresse, mais malheureusementelle n’a d’autres richesses à. lui prodiguer quenelles du. coeur. Lapauvreté s’est assise au foyer de Tofei; ila beau travaillerjusqu’abriser son corps de fatigue, il n’arrive pas à gagner ce qu’il faut de ’riz pour nourrir sa; famille.’Aussi Miosan ne veut pas rester plus,

-- longtemps a sa charge. C’est pour mendier quelques menues pièces-- de monnaie qu’elle se rend chaque jour au temp’re; mais ces au-

mônes ne suffisent pas à. faire vivre les siens, il faut plus, il fautqu’elle fasse le sacrifice de sa personne. Un pourvoyeur de la Vinede Kamakura lui a fait des propositions qu’elle accepte. Unjour elle quitte la maison, .en disant. à. la vieille Kutsiwa et à. la p3-tite Koyosi qu’elle est appelée à. l’honneur de servir un puissantseigneur; elle laisse enfermés dans un jouet les 100 rios, prix dufuneste marché qu’elle a conclu, et une lettre Où elle explique saconduite. (c Qu’est-ce qu’un pinceau peut dire et laisser sur le pa-pier? Vous avouerai-je, cher époux, que je vous trompais en vousdisant que j’allais. chaque jour adorer Kwanon-sama, accompagnéede Koyosi. La vérité est que la je demandais l’aumône, et au retourje prétendais que l’argent ainsi récolté m’était envoyé pannes pa-

rens. Faible secours sans doute, mais qui a soulagé quelque tempsvotre infortune. A la fin, désespérant de voir jamais l’aisance s’é-tablir chez vous et pressentant que vos peines et vos misères iraienttoujours en augmentant, je me suis vendue pour 100 rios. Avec cetargent, vous pourrezlentreprendre un petit commerce et soigner enmême temps Kutsiwa. S’il vous arrivait dans la suite défaire quel-que profit, veuillez, je vous prie, envoyer à Kamakura votre su-perflu,’afin que, s’il est possible, mon père renonce à l’existencepeu enviable de chevalier errant. »

Ce n’est pas sans peine qu’on persuade à Tofei d’accepter cet ar-

’ " "niquons-lune H-IÔl-MÜ-iin’(flikm v ’ v r v v à si ’ .décide enfin a transporter ses pénates à Naniwa engoula; niions

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76h sans pas DEUX nonnes.-,---.--..-nw.le.retranvensi-bate1ier,-sa-iemme--tær ’ namæsœ-èe-màohvîîèmênm

mère est guérie, et la famille prospère grâce au capital laissé parMiosan. Nous retrouvons aussi Sakitsi, qui, a force de,distraire sonchagrin, est devenu un libertin effréné, dont les déportemens ami.gent viVement sa mère. Un jour, dans la cabane de Tofei, il ren.*contre,,sous le nom de guerre de Komatsu, la belle’Miosan, dom 18’souvenir n’a cessé de le poursuivre depuis leurs rencontres autemple de Nara. Elle ne se rend pas du premier coup à son amour,qu’elle croit banal-,4, comme celui de ses. adorateurs habituels; mais, .quand elle en a reconnu la sincérité, ”elle*S’e***donne tŒFêntière et -

exclusivement à son bien-aimé. Le: malheur est. que cette liaison -- efi’raie la mère de Sakitsi, laquelle enferme son fils avec défenSe de .sortir. Mais .Hanay’o, tante de Komatsu, réussit,.sous le. déguise-’mentld’une, sorcière, à pénétrer jusqu’au " jeune homme et lui ap- -

prend que le père de Komatsu la réclame, et que, la croyant teu-l ljours au service d’un seigneur, il l’a. fiancée à. un jeune samurai de-ses amis.’Il faut donc à tout prix racheter Komatsuides mains de ’Son maître actuel et la disputera Son..futur époux. .Sakitsi. est

------ -""’.Piûugé dans une profonde perpiexité que vient encore augmenteri une réprimande maternelle.

a Ce qui vous rend malade, dit la respectable matrone, c’est cefléau de Komatsu, avec qui vous vivez dans la mollesse. Appuyés surle même coussin, vous vous dites l’un à l’autre de-tendres propos,sur le vin et l’amour; Vous avez fini par perdre votre attitude mar-tiale; maintenant vous avez un air efféminé. Ne comprenant pas,

- l’importance de l’argent, vous le dissipez en miroirs ou autres ob-jets futiles. Les conseils qu’on vous a donnés n’ont eu aucune in-fluence sur vous; ils étaient comme le couvercle carré qui ne peuts’adapter. sur une boîte ronde. Hier encore cet enfant couchait avecses parens; aujourd’hui ils sont comme une épine dans. ses yeux Ctil ne peut voir sans se fâcher le bonnet de vieillesse qu’ils portentsur leur tète. » A ce sage discours, elle ajoute une conclusion peulogique, le don d’un paquet de 100 rios. -

Nanti de cette somme, Sakitsi s’élance tout joyeux vers la demeurede sa bien-aimée, qu’il espère grâce à. cet argent racheter de saservitude. Mais, au moment d’escalader la palissade de la maison

4 .où elle l’attend, il est interrompu par les ahoiemens de chiens me-naçans; il leur jette des pierres, et, faisant un projectile de tout cequi se trouve sous sa main, il lance à toute volée, sans faire atten-tion, le précieux paquet de rios. Tout à coup une lanterne qui lâfll’lait à quelque distance s’éteint, et l’on entend une voix s’écrlel’:

a 01ml pva aSakitsise glisse auprès de Komatsu, qu’il trouve plongée dans la

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LE JAPOËI - t 765-- ---dw1eup,»à-l-Îidée-de. le - quitter son pèrerllse-troü’"-*" " ’ ’ *’*

Sm- de la consoler en lui montrant le prix de sa rançon, mais, ôdouleur! son argent a disparu, et il fait touthaut cette réflexionéminemmént sage que, s’il l’eût noué dans un mouchoir, cet acci-H

dent ne lui serait pas arrivé. A .quoi il ajoute qu’il fera bien demettre fin à. ses jours, car il y a- vraimentavantage à se débarras-ser de la vie quand on peut se tromper au point de prendre 100 riospour une pierre ou un tesson. Cet accès de. désesPOir amène lesdeux amans t’a-former sérieusement le projet de se, tuer. ’ I ’

Ils sent interrompus par l’arrivée de Rieské, serviteur envoyé deKamakura par le père de Komatsu, peur la ramener ;.-*i1 lui apprend .qu’il’vient de payer sa rançon, qu’elle n’a plus qu’à le suivre, et .

’ s’indigne de.la voir hésitante. et’désolée au moment de rentrer dans . . *son pays. natal. Que dira son père, quia donné parole à un Samuel.rai? De que] front lui proposerait-on pour sa fille l’alliance d’un

, marchand-comme Sakitsi? Que dira sa tendre mère, qui compte sur.. ses. doigts .le jour du retoür, en disant: Sera-ce aujourd’hui? sera-

ce demain? Komatsu proteste de sa. piété filiale; elle obéira, maiselle demande encore une heure pourfaire ses adieux à son amant.A peine seule avec lui, elle tombe dans ses bras et se laisse emme-ner furtivement par la fenêtre. En s’éloignant de la maison et pas-sant près du pont des .Pruniers, ils, entendent la mélopée plaintived’un drame qu’on représente non loin d’eux :

Que reste-t-il de l’existence?La vie est le chemin qui mène à la mort,Route solitaire à travers les landes désolées,

Qui ne garde pas même la trace du pied qui la foule.Faible écho qui ne peut répéter les sept coups que sonne .

I la cloche à l’aurore. . l’ a j lDes lanternes qui courent à quelque distance les avertissent p

qu’on-estîieur recherche; profitaînîde-l’absënce’deTé-üî’s’ïmis’, ils

se glissent dans la maison de Tofei pour s’y préparer tranquillementà la mort. Cependant levdrame continue à portée de leur oreille.

Autrefois l’une des étoiles de laëænde-Gurses’éta’rt-éprisœde-la ’brillante Véga.

Mais devant elle les sombres nues tendaient leur rideau de vapeurs.’«Des corbeaux vinrent à passer et firent un pont sur la voie lactée.

Ces deux astres purent ainsi à travers l’espace confondre leur amour.

ifs deux amansnemenquent pasîte s’appîquer ces paroles quisemblent faites pour aux. Quiconque a entendu déclamer d’un ton

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766 REVUE DES. Deux nonnes.plaintif nies-acteurs-japonais conclura avec Sakitsi’que ’ces’îïceiïs’ d

font désirer la mort : ta On a discouru sur tel ou tel sujet; on a parlé d’autre chose encore

jusqu’à hier, jusqu’à aujourd’hui. ia Mon existence est aussi éphémère que les vains pr0pos des hommes. h

Cependant, avant d’en finir,.KomatSu veut lire la lettre de sa mèrel apportée par Rioské, qu’elle avait gardée d’abord’dans la pensée de

la lire dans l’autre monde; mais elle remarque judicieusement que.si elle est à. cause de Ses crimes plongée dans les ténèbres, elle ne "pourra distinguer les caractères; Or Kamatsu, aveuglée par leslarmes, ne peut poursuivre sa leéture. Sakitsi prend la lettre et conrtinue: «. Sachez qu’à l’âge de trois ans vous avez été promise à. si.

manosuki, filsïde lllidzuma Ugenda. Ce jeune homme a encouru la .disgrâce de. son prince,"mais celui-ci lui a rendu sa, faveur, et l’onse livre a d’actives’rrecherches pour-savoir ou il se trouve. Sitôt queSimanosuki sera de retour,- nous célébrerons votre noce; 4» ..

sakitsi ne laisse pas voir tout d’abord les sentimens que lui in-epire cette lecture. a N’êtes’-vous pas, dlt-ll à. Komatsuja tille duseigneur Teidafu, attaché à la maison du seigneur Abosi, et, quandvous aviez cinq ou six ans, ne vous appelait-on pas Osen? ». Tofeisurvient au moment où la jeune fille repenti alIirmativement. Il veutempêcher les jeunes gens de Se tuer. Mais sakitsi lui répond qu’uncontrat passé entre deux samurai est inviolable; que Romatsu se

’ soumette donc a la volonté. paternelle. a Il lui en coûtera moins sans Idoute quand elle saura que le .Simanosuki qu’elle doit épouserc’est moi-même. Tombé en disgrâce pour avoir soutenu contre monmaître une discussion trop vive, j’ai caché ma condition de soldat,j’ai vécu comme un fils de marchand, et je serais peut-être, sansvous, Komatsu, resté dans cetétat, car .j’ignorais,.j.usqu’au momentoù"j’ai ouvert cette lettre, que la faveur de mon prince’m’était ren-

due. n On devine la joie de la jeune fille, la joie de Tofei, qui, Pourcomble d’allégresse, rapporte le paquet de 100 rios jeté par Sakitsiet tombé dans son bateau. Les heureux fiancés se décident à partirimmédiatement pour Kamakura, où leurs familles les attendenttoutes prêtes à les unir. Les derniers vers. du drame qui finit dansle théâtre voisin semblent leur apporter en. ce moment un souhait

de bonheur. I l(l Que le lierre grimpe le long de votre demeure et qu’il la couvrede son feuillette mireurs vert cndant des milliers d’années sans jamais

a: Ppérir! J)

Ce récit moderne emprunte un grand charme la simplicité des

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LE JAPONLITTÉRAIREÏ * Mir-w 767-3»: .»

-- enjeuerarlarbunne ordonnance. L’art d’écrire,*c’est-’Mme de , grouper les événemens, de les’éclairer les uns par lesautres, de préparer l’émotion, de faire un tout avec des élémens.épars habilement combinés, cet art sans. lequel un livre n’est qu’unbabil d’enfant, semble moins inconnu à. l’auteur qu’à. la plupart de

ses confrères. Il compose avec réflexion; il a des intentions, sinonmajeurs justes, du moins toujours précises; bien supérieur en celaaux autres romanciers japonais qui laissent courir leur plume et leurimagination au hasard, menant pasà pas leurs héros gîta-vers des a .aventures bizarres, sans lien logique, sans conclusion nécessaire, -sans autre enchaînement que le caprice de l’auteur, quiïlesras-semble ou plutôt les enfile la suite. les unes des autres Comme. ’

. leslgrains. d’un chapelet.Lap-science- de la composition littéraire suppose laïréflexion; elle

n’apparaît qu’après l’éveil de la logique, lorsque les peuples sontassez avancés dans les sciences, dans la chronologie, dans [l’étude

, (les phénomènes de lavie, en Un mot, ont réuni et groupé un assezgland nombre de faits positifs pour faire une comparaison et unchoix, découvrir et mettre en lumrere les trans essentiels et carac-téristiques des choses, échapper au bavardage sans tomber dans lasécheresse. Ce sont la des qualités de peuple mûr qui sont peu déve-loppées au Japon. La méthode, n’existe en effet dans le discours qu’ala condition de présider aux opérations mémés de l’intelligence;or l’intelligence pourtant très développée des Japonais ne semble

’ pas opérer comme la nôtre, suivre une série progressive d’idéescontiguës pour gagner, sans secousse de la première à. la dernière, -des prémisses à la conclusion, mais plutôt marcher par saccades etpar bonds irréguliers, enjambant des échelons du raisonnement quisemblent indispensables à nosorganisés différemment.

A défaut de cette précision et de cette netteté qui sont les qua-lités dominantes de l’eSprit français, par exemple, rencontre-t-ondu moins, ici la manifestation de ce génie intuitif si puissammentdéveloppé chez les races germaniques? Trouve-t-on, à la place denos procédés sages et mesurés, la vision inspirée, l’évocation sou-

daine du monde supérieur, familières à nos voisins du nord? Enaucune façon. Il faut pour cela l’élan spontané vers les choses,la grande sympathie pour la nature et la vie, qui animent lesPeuples épiques et manquent aux peuples vieillots et sceptiques;cette émotion fait défaut dans toutes les productions du Japon. LesPeintures sont froides immine les conceptions, faute de ces divina-îlons qui viennent du fond du oeur. indistinctement d’abord et plus

N ’ ale éfrit, Itevne - . a . H aun glacé a la lecture de ces actions héroïques ou de ces aventures

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. a m. .......... .--

768.. ------j--næ:vvn-ŒS-DEUXMONDES.

-»-romanesques?-G’est qu’on sent dans l’auteur-un bon élève qui com,

pose une narration d’après les préceptes-reçus, un lettré qui fange,l’esprit, non un inspiré qui formule les sensations intimes de sonâmeou les visions de son cerveau. Sous la culture d’emprunt, oncherche vainement les penchans nobles, les accens élevés, les cris su.blimes. Tout est compassé, médiocre, sec et en somme de petit aloi.

Une pensée enfantine, peuplée de songes frivoles, de notions su.perficielles et conques, des vues imparfaites et mesquines, voilà, enrésumé ce qui au premier abord paraît sertir de l’œuvre que nousvenons d’examiner. Mais à. ces défauts correspondent naturellement

- des qualités que nous devrons observer au mêmedegré; seulementces qualités, la vivacité et le piquant des. détails, la bonne humeur,le réalisme amusant, se déploient moins à. l’aise dans les poèmes etromans d’allures solennelles ou sentimentales que dans les produc-tions d’un genre plus modeste, coMe le conte populaire, dont

nous allons nous occuper. .Le conte populaire est, dans sa naïveté mêlée de malice, l’expres-

sion la plus, exacte des visions qui hantent un cerveau japonais.V ’ - * ornanîsou’s la forme orale ou écrite ou nousle recueillons, il nous initie aux habitudes d’esprit du vulgaire,comme un choix de légendes de chaumières, au me siècle, nous fa.miliariserait avec le bon peuple du moyen âge. Autant la haute litté-

rature est pauvre en œuvres dignes d’être citées, autant est fécondecette mine où le lecteur nous saura gré de ne puiser qu’avec modé-ration. Volontiers on se croirait, en entendant ces récits, transportéau chevet d’une nourrice douée d’imagination, inventant à mesurequ’elle parle, pour un auditoire peu exigeant ;’ et volontiers on in-sisterait, comme fait d’habitude l’auditoire en pareil cas, pour en-tendre encore une histoire. Rappelons d’abordl’anecdote de l’enfant ’

ingénieux, représentée sur nombre de peintures et de broderies. Cetenfant jouait avec ses camarades autour d’une grande jarre de grèsplushautequ’eux-tous etpleine d’eauTLïun- (Feux, grimpé sur lebord, se laissa choir dans le vase, où il disparut submergé. Com-ment Ie tirer de la? Notre bambin saisit une pierre, fait un grandtrou dans le ventre fragile de la jarre; l’eau s’échappe avec violence

entraînant par ce nouvel petiemaladroit quLallait senoyer. C’est le même enfant prodige qui se signala plus tard parun trait d’esprit non moins remarquable. Il s’agissait de peser unéléphant, et l’on ne savait ou prendre des engins assez puissans. Ilfit monter l’animal sur un radeau, et marqua de combien le plan-cher s’enfonçait dans l’eau; puis, ayant fait descendre l’éléphant.

il! - la. 1..--’ . 0;. ......,...-. n atrium-na; a lanu-eût obtenu le même niveau.

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araméenne. I 769mulons-nous maintenant des contes de l’enfance remonter à

ceux dont on amuse les adultes? Arrêtons-nous devant un de ces. déclamateurs en plein vent, installés par un jour de beau temps

dans quelque carrefour, un.vaste parasol ouvert sur la tête, unesorte d’estrade sous les pieds en guise de tribune et le claquoir debois à. la main. Écoutons l’anecdote du kerai ignorant. Ce pauvrediable ne savait pas lire. son maître, un daïmio d’un méchant natu-rel, appréciant médiocrement ses services, l’envoie un jour chez unarmurier avec qui il était en marché pour un sabre précieux, et,afin d’éprouver la lame, écrit au vendeur de l’essayer sur la tête du

porteur de sa lettre. Notre homme se met en route sans se douter- ile rien, tout flatté de la mission de confiance qu’on lui derme. et

des marques, de bienveillance que lui accorde en le congédiant sonmaître ému sans doute de quelque remords. Voici qu’au passaged’une rivière la lettre tombe dans l’eau. Pour la faire sécher, il’.’-étend au soleil. Tandis qu’il attend, un. samurai vient à passer, re-

garde la lettre et lui dit: « Pauvre bête, c’est ta mort qu’elle con-tent. C’est l’ordre dessaler un sabre sur ta nuque. n Notrehomme confus jette la lettre, et, abandonnant un maître inhumain,entre au service d’un noble en qualité de momban (portier). La, sti-mulé par la honte de son ignorance, il apprend à. lire; il devientmême un érudit, avance en grade, attire les regards du souverain,finit" par être élevé au même rang que son ancien maître. Alors ilra lui faire visite et lui apporte de riches "cadeaux, en lui disant:« Je vous rends grâces; c’est vous. qui avez fait . ma fertune enm’apprenant qu’il était dangereux d’être un ignorant. n

Laissons la ce narrateur édifiant et allons entendre au prochaincarrefour son confrère en a gaie science, n qui raconte la vie, lesaventures et la fin tragique du célèbre Ishikawa Goyémon,, un

’ brigand aussi fameux, au temps de Taïkosama (1586-1598) que,Cartouche ou Fra Diavolo l’étaient dans le leur. Toute la matinée aété consacrée à raconter comment, jeune encore, surpris dans lesmontagnes par une bande de voleurs, il les étonne tous par samerveilleuse adresse a l’escrime, s’aflilie à. leur bande, en devientbientôt le chef et se rend redoutable par des exploits où l’audace asouvent plus de part que la délicatesse. Le brigand prend parfoisdes allures de justicier, comme dans l’aventure que la foule écouteen. ce "moment bouche béante. Un délégué de la cour impériale sel’6nd à travers les montagnes dans un fief éloigné pour y donnerl’investiture à un prétendu héritier du seigneur défunt qui .n’est

qu’un usurpateur et un faussaire. Ishikavra Goyémon, déguisé en

MW .- , a à" . r "z CII’ :3 . "a a a a" r- r"- ; "-avec une liqueur empoisonnée et, lorsque le mal les terrasse, sur-

fin un. - 1878. 49 o

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770 REVUE uns .nnnx MONDES.’ âneries-si sans, les (repentira-as "reusvëiënëhëët’sïpiëéëhï’ -

au palais ou le délégué était attendu, sous son nom et en sa qualité.Là, comblé d’honneurs et de prévenances, il se laisse traiter engrand seigneur, découvre la supercherie du faux héritier, le faitmettre en croix et rend la succession au fils légitime du défunt,C’est seulement bien des années après que la cour apprend parquel étrange personnage elle a été représentée. Mais n’imitons pas

les ’ badauds réunis autour du conteur, et ne nous laisSons pascomme eux retenir jusqu’à l’heure tardive ou arrive enfin le récitdu supplice du célèbre bandit; d’autres tableaux nouslréclamem,

IV.

La littérature d’un peuple n’est pas tout entière dans ses livres.Aux heuresoù le génie national. est encore dans sa gangue, et n’ani trouvé sa forme, ni forgé son instrument, il se révèle presqueaussi clairement, parfois plus sincèrement, dans les légendes orales,les contes du foyer, les récits de chaumière, que dans les œuvres

"apprêtées et réfléchies. Il ne sera donc pas sans Întérêt de fouilÎer

dans cet inépuisable répertoire de fables et de traditions que recèlela mémoire d’une famille japonaise, et d’écouter derrière le légerparavent de papier, tandis qu’on se chuchote à. l’oreille les anec-dotes merveilleuses ou terribles; La plupart se placent sous lespremiers mikados, dans cette période préhistorique dont il nereste, à. défaut d’annales, que des vestiges épars et plus qu’a demi

fabuleux.’ Voici d’abord la légende d’Urashima, dont les doubles liens de

parenté avec notre mythe européen de Pandore et avec la fable de’l’Ondine ne peuvent manquer de frapper tous les yeux. C’était un.pécheur célèbrepar son habileté. Un jour il prit dans son filet unetortue de mer qu’il s’empressa de rapporter dans sa cabane. (211911ene fut pas sa surprise en voyant, sortir de la carapace une femmeresplendissante de beauté l Elle l’enivre de ses caresses. l’enlace etl’emmène avec elle dans son pays, appelé llorai (nom poétiqued’une des îles Lin-Kiu). Après avoir goûté avec sa compagne, P31?dam une longue période de temps, un. bonheur sans nuage, ilfut I ’pris du mal du pays, et souhaita de revoir le toit paternel. Elle la!donna, comme présent d’adieu, une cassette précieuse, qui devaitlui assurer-une vigueuretune jeunesse éternelles tant qu’il s’abstien-drait (le l’ouvrir. Quand il regagna sa vallée, tout avait changé d’as-pect; ses anciens amis avaient disparu; les lieux témoins de sajeu’

.(W .r trésor en trouva avan « .’se flattant que la cassette contenait quelque talisman pour faire

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vw" ’ ’MLEWJhPON ’Lirrrnams. - 711revivre tontes les’scènes d’autreflîis, il l’B-IîvritIÂiis-Si’tïî-tll’iinprïidënt

se, sentit défaillir; ses pheveux blanchirent, ses jambes flageolèrent,

et la mort vint bientôt le saisir. , , lLa mer, aussi pleine de mystères que, féconde en bienfaits, a detous temps sollicité l’imagination des Japonais : elle est le théâtred’une grande partie de leurs légendes. Un mikado, ayant marié safille à. un empereur de Chine, mit dans la corbeille de noces unglobe de cristal, où l’on voyait l’image de Bouddha, de quelque côtéqu’onletournât. Le navire qui portait cette merveille fit naufrage;le mikado, désireux de recouvrer son joyau, vint en personne àl’île de. Sikok, pour. diriger les recherches; Les hbmmes n’étaient *Pas seulsalors, à. s’employer comme plongeurs; les femmes errer-,-çaient la même profession. Le souverain vint à en aimer une, àqui il confia l’objet de ses recherches et qui résolut d’arracher cetrésor al’abîme’, au périlde sa vie, si son royal amant consentait à

laisser le trône au fils qu’elletportait dans ses flancs. Une corde’ attachée à la ceinture, elle s’enfonça sous les vagues, bien loin,

bien loin, jusqu’aux demeures mystérieuses, où dans des temples ade jaspe et de porphyre était enl’erméeÎa précieuse bonifié En;

un, sous la garde de deux redoutables dragons. Comment, aprèsavoir soustrait le trésor a leur surveillance, l’emporter à, leur insuvers la surface? Elle se rappela que dans ces régions les cadavres in-spirent une profonde horreur; alors, s’ouvrant le flanc gauche d’uncoup de poignard et y cachant le globe de cristal, elle simula la morteet, tirant sur la corde par laquelle on devait la remonter, elle regagnale séjour des mortels, sans être troublée. Avant de mourir de cetteterrible expédition, elle donna le jour à. un enfant mâle qui fut plustard nommé Fusa-saki et devint premier ministre. Un jour qu’il se

, promenait sur le bord de la mer, il rencontra une vieille femme quilui apprit-qu’elle était l’âme de sa mère. Elle lui expliqua ses droitsau troue et s’évanouit. il fit dire des prières en son honneur dansles temples et fut comblélde prospérités j usqu’à. son dernier jour.

Soit qu’elles dénotent une parenté avec les produits de l’imagi-nation européenne, soit qu’elles s’en éloignent absolument, ces tra-ditions oll’rent de curieux sujets de comparaison. Celle qu’on vientde lire n’a pas, a notre connaissance, d’analogue dans nos mythes.Quelquefois, au contraire, l’analogie est frappante. Un jeune guer-rier rencontre sur son chemin un groupe de fées dont la reine (unVampire déguisé) le grise de vin et d’amour. il se réveille sur lepoint d’être dévoré par ce deuton femelle (agui); mais il saute sursa bonne lame et du même bond atteint le vampire et le tue. On’Vïtfuvc uîrns un recit indien de la CUÎËCUUII ClÎÛJNMtLÎHî’ü une his-

toire analogue. Unjenne marchand fait route avec quatre pèlerins;

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772 neveu pas DEUX nonnes.MW- W ” ëfi"’à"rrîv’âfit”dans’ finé’forêt’enchantée,’ils sont attirés par une glas.

-schz’ni,-qui a c0utume de changer les hommes en bêtes pour les rôtiret les manger. C’est en jouant de la flûte qu’elle opère ses iman,tations; déjà. les quatre pèlerins ont pris des formes d’animaur im-mondes quand le jeune homme s’empare de la flûte, la brise et récitela phraSe magique qui réduit à. merci l’enchanteresse déSarmée.n’est aisé de. reconnaître ici la fable de Circé.- Mais comme chaquerace, en répétant cette même fable, l’a appropriée à son tempéra-lment! Dans l’Odyssée, la magicienne ne fait pas rôtir et nefdévorepas les pourceaux vidimes de ses enchantemens.wl’Le-g’énie grec la

’ peint comme une belle créature qui fait le mal sans intérêt positif,pour accomplir une destinée, jusqu’au jour où paraît l’homme quidoit la dompter et relâcher ses prisonniers. Il y a plus de réalisme

dans le mythe japonais. Les images qui se présentent. à l’eSprit dece peuple séduisent moins par leur charme qu’elles Vn’étonnent par

leur bizarrerie. Tandis que le paganisme antique peuple le sol etl’histoire de légendes gracieuses ’ ou terribles, mais toujours poe»tiques, de tragédie-sgtoujqurs humaines traversées par des massionsvraies et par-tin souille généreux, la mythologie du Japon nous in.-troduit dans un monde trop baroque pour être divin, qui n’a de’lafable que l’invraisemblance, sans en avoir le sens profond et la

forme enchanteresse. a . h. -’ Nulle recherche ne serait plus attachante que celle de la filiation.de certaines légendes européennes, à travers les siècles et les es-paces, jusqu’aux confins de l’Asie. Rien de plus curieux que d’ap-pliquer à de nouveaux documens les procédés de critique et d’in-vestigation inaugurés il y a quarante ans par les frères Grimm. Lesdécouvertes de ce genre sont d’autant plus surprenantes en ce quitouche le Japon, qu’il n’a jamais cessé, depuis des temps très recu- .lés, d’être isolé ou en communication avec la Chine seulement, etque, pour trouver un réservoir commun avec l’Europe, il faudraitplonger dans les ténèbres des époques préhistoriques. Sans vouloirembrasser dans les limites de ce travail un sujet aussi complexe,nous ne pouvons nous empêcher de signaler des rapprochemenscurieux indiqués par le docteur Goodwin dans une communication àla Société asiatique du Japon.

Dans le conte irlandais dont il a retrouvé la parenté asiatique, unbon petit bossu, Lusmore, unissant sa voix a un concert de péris,les séduit si bien par le charme de son organe qu’elles lui font fêteet le débarrassent de sa bosse. Son voisin envieux et méchant, bossucomme lui, va aussi mêler sa voix au concert des fées dans l’espoir61’ une sembîabîe guérison, mais, indignéesdë cri mmelles le chassent en lui appliquant par devant la bosse de Lusmore

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4

La JAPON LITTÉRAIRE. 773renée dans un coin. Tout cela se passe dans le palais sous-marindes fées, dans la région mystérieuse des rêves.

Le récit japonais n’est pas moins ingénieux, il est même plusspirituel, mais il y- manque le demi-jour poétique dont a su l’en- vmurer l’imagination des hommes du nord. Il était une fois unvieil homme qui avait une grosse. loupe à la joue. droite. Comme;il toupait du bois dans les montagnes, il fut surpris par un.-orage si épouvantable qu’il ne put regagner sa maison et duit se ré-fugier dans le tronc creux d’un arbre mort. Delà. il entendit. un bruit . vsemblable à.» celui d’une grande foule qui se serait apprOchée, et ivit paraître une. centaine d’êtres difformes, les uns avec une face qrouge et des vêtemens bleus,:-Ies autres avec un visage bleu et: 7vêtus de rouget; ceux-ci borgnes, comme des cyclopes, ceux-là. Sans ’bouche ou sans nez. Ils s’installèrent autour d’un grand feu, devant.l’arbre habité par le pauvre bûcheron, qui demeurait la plus mort ’que-vif, et se mirent à danser et cabrioler tout en buvant à. la rendedu saki, comme des êtres naturels. Au bout d’un certain temps, cettevue excita tellement le brave homme que, triomphant de sa peur,il se mit à danser à son tour au milieu des esprits qui firent cercle

’ pour le regarder; il exécuta, en s’accompagnant d’une voix éraillée

d’ivrogne, un pas de caractère, qui ob-tint le plus grand succès, car lechef de la bande lui fit promettre de revenir se joindre dorénavantfileurs ébats. Cependant un des assistans fit observer que pourgarantie de sa parole il serait plus sûr de lui retenir, à titre de gage,un membre ou un organe, par exemple cette loupe qu’il avait surla joue droite. A quoi notre homme se récria fort, offrant de laisserson nez- ou son œil, mais point un appendice que l’habitude. lui avaitrendu presque cher. Cette résistance fut pour les diablotins une

. raison d’insister et voilà la loupe enlevée d’une chiquenaude, si -nettement qu’on ne voyait même plus sa place. ’

Or à. côté du bûcheron vivait un autre vieillard affligé d’uneloupe sur la joue gauche. Ayant appris de son voisin par quelmoyen miraculeux il avait été débarrassé de son infirmité, il allas’embusquer dans le tronc d’arbre qu’il s’était fait indiquer. Les es-

Prits ne tardèrent pas à. paraître et à. se demander à la ronde si leur nhomme était fidèle au rendez-vous: a En effet, le voici, dit l’un.Allons, bonhomme, vite en danse. » Notre lourdaud n’y entendaitrien; il essayade faire quelques sauts, mais tellement grotesquestue le chef indigné s’écria : «Vous n’êtes aujourd’hui qu’un mala- ’-

droit. Assez comme cela! qu’on lui rende son gage et qu’il ne re-Paraisse plus devant nous. n Aussitôt un diablotin va chercher labien? tiersonrcempere et la Îuîappîtqeesurla joueŒeîtë, ente-ég-congédiant.

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77li ’ REVUE. mas DEUX nouons.W..- -. - --.- ---..; -Lesdeuxnomesquelînnxienadelnesonaindubitablemefifiden: .

tiques. Peut-on croire que l’idée originale de prendre la bosse oula loupe d’un homme - pour l’appliquer à. un autre en punition desen envie soit venue à. deux. conteurs diflérens, séparément? N’est-il .pas plus probable que. l’une de ces histoires a été empruntée àl’autre? Mais dans ce cas à quel âge du monde faut-il faire remon.ter cet. emprunt? Car à aucune époque historique on n’aperçojt une

communication probable entre les deux pays. *Le rapport n’est guère mains-remarquable entre le récit japonais I ’

. qui va suivre et, celui qu’on trouve dans, les contes des frèresGrimm, sous ce titre : « le Pêcheur et Sa femme, » et don-t la m0.rale est qu’il faut savoir se contenter de son sort. Il y avait une fois.un couple de souris qui eut une fille. Jamais on ,n’avaitr’Wî-Î-de fparens si fiers de leur enfant, et quand .Vinthl’âge de lui choisir un

" mari, nul ne leur paraissait’digne de devenir leur gendre. Une souris,leur voisine,leur dit à Mariez-la au soleil; il n’y a rien au monde desi puissant, et vous serez sans égaux. Le soleil se montra-obligé desouvertures qu’on lui fit, mais fut fercé de convenir que ses rayons

l rencontraient parfois un obstacle plus puissant que lui, les nuages ’du ciel, et qu’il fallait donner la jeune personne à un nuage. Lenuage déclina l’honneur qu’on voulait lui faire en. confessant que levent le chassait et le dispersait à. son gré. a Oui, dit à. son tour levent, je disperse le nuage; mais je ne puis vaincre la résistance dumur quand je le rencontre sur mon chemin. » On alla donc propo-ser au mur de devenir gendre de ces fiers époux. Le mur dut cepen-- Adant reconnaître que,ls’il contenait les efforts du vent, il ne pouvaitlutter contre ceux de la souris. qui, de ses ongles menus, le perçaitde part en part. Il fut donc décidé que les souris étant plus puis-santés que le mur, le vent, le nuage et le soleil, on chôisirait un,gendreparmi les souris.’- Dansle conte désireras Grimm,il s’agit ’ ’ ’

d’un pêcheur dont la femme réussit à lasser, par ses exigences, lagénérosité d’une divinité déguisée en poisson , qui la comble, ainsi

que son mari, d’honneurs et de bienfaits sans parvenir à. contenter

son insatiable ambition. ’ ’" " ’ *Enfin c’est dans un de nos écrivains que nous prendrons, 5005 ’

sa forme la plus moderne et; la plus amusante, un conte d’originearyenne, évidemment identique cette fois à celui du narrateur japo-nais. Écoutons d’abord la version asiatique : a Kisaburo était unhomme d’esprit économe, qui abandonna son ancienneyhabitationpour prendre logement à côté d’un marchand d’anguilles. L’odeurappétissante des anguilles, frites dans le soya, se répandait dans la

TISIDII-Inuuualua-uvLmIInlII-uu-"flinguant-un.nattantuvnflzk . t a tde cette délicieuse odeur, sans se mettre en peine d’y ajouter les con-

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La JAPGN mrrÉnmm. v - 775"rdùnensrordinairesciiîhomme-manguifles ne turdapusî’s’aper’ce: ” "

voir de. la manœuVre, et présenta sa note en "paiement de l’odeur deses poissons. Kisaburo, le, regardant avec malice, tira-de son porte-feuille la somme demandée, la déposa sur la note et se mit a cau-ser avec son interlocuteur. Quand celui-d fit, mine de prendrecongé, Kisaburo replaça tranquillement l’argent dans sa poche.’«Quoi ldit l’autre, vous reprenez mon «argent. --Non pas, répliqua Kisa-buro, vous me réclamez un paiement pour l’odeur de vos poissons,

l je vous solde avec la vue de mon argent. n . I AChacun se.» rappelle le récit humoristique et mouvementé qu’on

tibuve dans Rabelais, et la façon dont’Seigni Joan, pris. pour ’ar-’Ibitre entre lei-rôtisseur et le a facquin "à qui la savouré sajiumée,

, Ï ’ exigeavde celuisciïun tournoitphilippus,le fit sonner pour en véri-- 4.. fier l’alliage, (t puis en . majesté présidentale , ’ tenant sa marotte l

au poing, comme si fût un sceptre, et affublant en tête son cha-peron de martres singesses à-aur-eilles de papier fraisé à pointsd’orgues, toussant préalablement deux ou troys bonnes çfoys’, dit à 4

haulte voix: La cour vous dict que le facqu-in, qui a son pain mangéa la fumée du roust, civilement ha payé le roustisseur au son de sonargent, ordonne la dicte cour que chascun. se retire en sa chascu-trière, sans despens et pour cause. » Il est superflu d’insister et surl’identité des deux anecdotes et sur la supériorité du récit gaulois,

qui fait prononcer la sentence par. un tiers avec une pompe gro-.tesque.

En descendant encore d’un échelon dans la série des productions ..mstmcuïes parmi lesquelles nous avons résolu de démêler la tour-nure d’esprit des Japonais, nous rencontrerons le cycle des contesde nourrice. Ici la fiction la plus invraisemblable. se mêle à la plustriviale réalité; le surnaturel s’introduit dans les détails du ménage.Ces contes. sont tranSmis. de bouche en bouche à travers les géné-rations; il en existe autant de versions dill’érentesîqu’il y "a de

"i’rîa’rrâ’teurs. La mè’re’eù*’sùp*piime peut-être pour sa fille quelques

détails que, devenue plus grande, celle-ci s’empresse de rétablir en" les redisant à ses jeunes cumpagnes; mais les traits généraux sub-sistent. Ce bavardage enfantin-ne saurait être mis sous les yeux delecteurs adultes sans les lasser; Il faut un auditoire très jeune pour Asuivre attentivement les péripéties de la lutte entre le singe et’l’ecrabe, et le triomphe de ce dernier aidé par l’œuf, le mortier à riz,la guêpe et l’algue marine. On trouverait encore dans les incidensde ce fabliau une analogie manifeste avec ceux du conte allemandEn une épingle, une aiguille et un œuf se coalisent avec le coq et

unaubeçgisee-mlæospttafiea-h- Üm 7Où s’arrètcrait-on si on se laissait aller a écouter les propos des

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"776 W" , REVUE pas DEUX MONDES." bêtés’qui parlent? Nous’veîioii’s de’cite’r’lé’s eprOits’du crabe. on à;

déjà. vu le raisonnement des deux souris, les miracles opérés parune enchanteresse déguisée en tortue de mer; les animaux ontaussi dans le. fabliau japonais leur caractèreprOpre et leurs traitsde race. Le renard en particulier jouit d’une réputation de finesse"aussi générale ethnon moins usurpée que chez nostfabulistes; mais

, il a pour rival et pour’compère le tanukz°’(blaireau), encore aujour.d’hui la terreur des femmes et des vieillesè’gensÎ ilionsprdgux sonnai

v marquables par la faéilité avec laquelle ils-revêtent à. volonté 1aforme. humaine. Tantôt ilsrsont associés, tantôt aux prises ensemble,luttant à qui tirera de sa gibecière les tours les plus fins, comme

l dans’l’anecdote où, S’étant provoqués à. qui prendrait le plus ma.

gnifique déguisement, le renard va attendre son adversaire au boutd’un pont, se promettant de le reconnaître sous. tous’les travestÎSSe-’ A

mens. Vient à passer un "daïmio en grand cortège. « Je te recon-nais! » s’écrie le renard en s’élançant vers la litière; mais qui futattrapé? ce fut maître renard, car le daïmio était un vrai prince ja- lponais, qui fit étrangler le pauvre hère. Quelquefois ile’zanukz’ estreprésenté comme un modèle de dévoûment et de fidélité; mais leplus souvent c’est un fourbe dont les tours sont découverts et punispar les hommes qui en sont victimes.

V.

Ce n’est pas assez, pour vivre intellectuellement au foyer d’une lfamille japOnaise, de savoir quels souvenirs classiques, quelles lé- .gendes, quels romans, quelles fables hantent ces eSprits; il fautconnaître encore la morale courante qui est admise, comme pourvoyager dans un pays il ne suffit pas d’en connait’re’Ia langue, sil’on ne sait en outre compter. sa monnaie. Cette moralevulgaire etpratique donne, mieux encore que les œuvres d’imagination, la me-sure des esprits et des cœurs. Nous devons à. M. Turrettini la tra-duction de contes moraux à l’usage de tous, réunis au commence-ment de ce siècle sous le titre : Tami-no-m’gz’wai, l’activité hu-maine. On y trouve consignés les conseils de la sagesse médioere etmondaine, tels que les écoute le plus volontiers un auditoire japo-nais. Nous nous bornerons à analyser rapidement les plus sail-1ans.

Un homme se réveilla au son de l’horloge qui annonçait huit

”’ -,lrl.lu.*’t:o- - tu . a on a ",émltpas encore jour, il s’emporta contre l’horloge qui l’avait trompéCelle-ci lui répondit : « Tu te plains sans raison; si ton horloge V3

a.

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-îw- . . . LE raremm’ritmaa. ----w 777 .’ m’ai, "c’est à’foi qu’il’*’faut’ t’éfipfëndîéïà: turquins placëeîiêïraî’w’"

vers, à) Le mal dont se plaignent les hommes, c’est eux qui en sont

les auteurs. * . - a ’ " j. Un lettré, aussi plein de conv0itise que bourré de science, ren-contra un génie bienfaisant, qui mita sa disposition, pour secourirsafaim, 21,000 sacs de riz. C’était trop pour un autre, ce n’était pas as-

sez pour cet homme, cupide, qui. demanda en outre un magasin. pour’ lesenfermer.rToutenblâmant l’excès de ses désirs, le génie. consent.w ’ me après "le magasin, il faut un palais; aprèsflle-palais, des caisses

’ d’or et’de vêtemens, et quand enfin l’insatiable solliciteur possèdetoutes ces choses, il réelame encore une dernière complaiSance ,:,a Ce qui surpasserait toutes vosfaveurs c’est si,’coupant votre au-guste doigt, vous me le donniez l il Alors ce génie, ne pouvant plussupporter tantd’insolence, fut sur le point de le faire périr aussitôt. *La" viet de l’homme a des limites; si on la met au Service des désirs,qui’n’en ont pas, viendra-t-il, dans toute la durée de l’existence,- un ’

jour où l’on pourra goûter la tranquillité? I ’Entre les mains d’un bon médecin,’les poisons deviennent des

remedes. Un jeune’hommejusquefrà-rangéîavaitété-W-ques débauchés dans une partie de plaisir. Au moment de payerl’écot, ceux-ci songèrent qu’en voyant sa part monter si haut, il se.dégoûteraitdès. le début d’un tel genre de vie ; ils payèrent donc àsa place et lui firent présenter une note du dixième de la dépenseréelle. En voyant cette somme minime, l’honnête jeune homme fitvenir tous ses serviteurs et leur dit z. Hier je me suis laissé entraî-ner dans une orgie, voyez le peu qu’elle coûte. Si" la foule des bouf-fons et deS’danseurs, en se mettant’tout en nage, aque cettefaible somme, c’est une preuve que rien n’est plus diffi-

I aile à acquérir que l’argent. Appliquons-nous. donc àIen gagner par-le travail et à éviter les dépenses superflues. « Lorsqu’on marchedans la voie dir- bientle mal ne peutvenir jusqu’à vous. »

Comme contre-partie, l’apologie suivant nous’mon’t’ré’îïîr’ënîre " ’

les mains d’un charlatan lesmeilleurs remèdes deviennent des poi-sons. C’est l’histoire d’un jeune prodigue à qui l’on donne le con-

seil de placer dans une tirelire tout ce qu’il pourra rogner surchaque dépense. Il adopté ce procédé avec tant d’enthousiasme-et ---prend tant de plaisir à. voir grossir sa tirelire qu’il se ruine pouravoir plus d’occasions d’économies. Moralité : «S’il n’est pas dans

une terre convenable, l’arbre le mieux cultivé ne croîtra pas. Lesparoles les plus sages seront perdues, sion les adresse à un hommemal disposé à. les entendre. » Citons enfin, non sans repoussertoutepsolidèrit-é avec notre auteur, l’aphorisme caractéristique quiclôt le recueil et résume le principal chapitre de la morale japo-

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778 REVUE pas DEUX nonnes.misera ’Le’trou’bleîie des-cend’paswduciel; il est produit par la

femme. n p - - .C’est cette même morale rampante et sans élan, cette sagessepratique et toute séculièrerque l’ont retrouve dans les seringas,sous l’invocation dupciel, il est vrai, mais invariablement corrobo.

rée, dans. chaque parabole, par des encouragemensL très positifs,Nous oll’re-t-on l’exemple du bon fils et du fidèle serviteur comme

- ponctuels observateurs de la, si voie n 2 On n’oublie pas de nousfaire remarquer que leur conduite leur a profité. Ainsidse’ marie àune doctrine religieuse transcendante, mais fort négligée’et fort

’ mal connue, un catéchisme moral utilitaire et mesquin. S’il fautH resPecter’ sesparens et ses maîtres, nous sommes avertis, que c’est ’

pour éviter "le danger. dqulisser de l’irrévérence au Crime, lequel estbientôt- suivi du supplice. Un vers écrit en l’honneur de l’empe-

v reur Kanshin dit :* ’ ’I

Les eaux de la vallée qui vont toutà l’heure former l’Océan 7- ontpendu goutte à goutte aux feuilles des arbres.

-.-,.-.-...-.---.-’ ””””” W-grandes choses, notamment les plus grands maux, peu-

V vent avoir de petits commencemens. Voyez ce fumeur qui jette lacendre enflammée de sa pipe : son compagnon ’lui dit de prendregarde : a Bah! répondit-il, ce n’est pas un incendie !--- Mais la nattebrûle! - Ce n’est pas un incendie! - Mais la poutre prend feu!’mais le toit est en flammes! » C’est seulement quand tout le quar-tier crie «Au feu! » qu’il yveut croire. Eh bien, de même quandvotre père ou votre maître vous dit : a Faites cela, n et que vousrépondez brusquement : « J’ai autre chose à faire. n ou « Que meveut-on? » ce ne sont en apparence que des peccadilles; en réalitéce sent les premiers méfaits du serviteur félon ou du fils parricide,qu’on verra un jour exposé pendant trois fois vingt-quatre heuresau about du pont de ïNihonbashi sur une croix en forme de daz’.

Voyez" en"”’contraire la, .récompensèIde’ revenuI’soy’èmon’ dénua

jadis l’exemple de la plus admirable piété filiale. Placé un jourentre la volonté de son père qui lui ordonnait de mettre ses chaus-sons de paille et Celle de sa mère qui lui enjoignait de chausser sessabots de bois, après avoir opéré plusieurs fois ce changement dechaussures au gré du dernier qui parlait, il prit le parti de chausrser un pied de chaque sorte. Cette conduite, étant venue auxoreilles de son prince, lui valut de grands éloges et par la suite fut

la source de sa fortune. -Empruntons enfin’quelques sentences à la collection des pro-

m-Æa phîlmhië-Wpop - "Presque toutes celles que nous avons pu recueillir se distinguer!t

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LB saron 779r une certaine finesse satirique, une sorte de badinage recher-ohé. et je ne sais quel dégoût précoce de la vie et du monde. C’estlargagesse qui parle, mais une sagesse sceptique et désolée.

a Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches. " Au Être ignorant, c’est être Bouddha, D c’est-à-dire posséder le bonheur i

suprême. . » A " v l ’’ u Une preuve vaut mieux qu’un argument.a Le temps est com-menue flèche. "a ’

(c Qui rit aujourd’hui pleurera demain.’ .«Apprenez, envous blessant, la peinequ’endurent les autres. "u on regarde scuvent le ciel par le trou d’une clé. ’« Le déviance peutipas prédire son propre sort. . »

I . u. Buvons, chantons, à un pied devant nous est la nuitnoire.a La bouchée est à peine avalée qu’on a oublié la brûlure. 3«Marchandise au rabais, argentperdu. la La Providence est-inneétrange’chose. ya Une spécialité nous consume. ’ ’

a La vérité surnage are-dessus du mensonge. -u Les ,enfans haïs n’ont plus peur rle’rien dans le monde.a Une figure en larmes attire les piqûres de guêpes n revient à dire

.qu’un malheur n’arrive jamais seul. l . ea Lèpreux envieux des gens affligés d’ulcères n désigne les gens qui

préfèrent toujours la condition d’autrui à la leur.a A travailler sans récompense on se ,fat’igueyvite.

. u Les cnfans sont une cangue au cou dans les trois mondes (c’est-à-dire durant les trois existences, .celleaquîpr’écède la naissànÇëiÇ’èelIe n A

qui la suit’et celle qui suit la mort). n ’

Nous pourrions prolonger indéfiniment ces citations Curieuses;celles qui précèdent suflisenf’phur” servir de base aune "apprécia- *tion des caractères moraux (lu-peuple japonais. Il est inutile d’insis-ter sur l’analogie que les diverses périodes littéraires présentefit’avecle. moyen âge européen; même absence d’idées générales, même

finesse ironique, même philosophie railleuse et désolante, mêmeinfimité. Seulement cette infirmité se rencontre au sein d’une civi-lisation beaucoup plus raffinée, plus développée dans le sens desrecherches matérielles que celle de l’EurOpe aux époques intellec-tuellement parallèles, et semble s’associer non avec les rudes bé-gaiemens d’une nation qui prend naissance, mais avec la décrépi-tude d’une nation a son déclin. De même que dans notre moyenâge. on discerne ici sous le rire ou les larmes une philosophie morneCt désolée, issue au Japon du bouddhisme comme elle estnee chernous de l’ascétisme chrétien.

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780 arma pas DEUX montons.a M; ,. -. --.Iîe..-gënîé»»d4un-PeüÎjlë’pëIIt presque" toujours se rattacher me"

pensée maîtresse qui s’est à une certaine heure et dans certainesconjonctures emparée de la conscience populaire. Interrogez toutes i

. les œuvres de son intelligence, vous trouverez au centre une con-ception particulière du monde et de son principe. C’est la le moulesolide dans lequel se sont formées et se formeront a jamais sesidées; la base inébranlable sur laquelle se sont échelonnés tous sescaractères primordiaux; la raison obscure et. lointaine de toutes lesévolutions qui constituent son histoire et. attestent sa grandeur ouson infériorité. Essayez de pénétrer ainsi jusqu’à l’âme de l’auteur

et du lecteur japonais, qu’y trouverez-vous 2 Au milieu de .cata-str0phes tragiques ou burlesques, le monde va, en se heurtant etse blessant comme un homme ivre. Les événemens se suivent auhasard, sans direction ni lien entre eux; les hommes, jouets d’unedestinée capricieuse et bizarre, sont ballottés, sans boussole nigouvernail, sur l’océan ténébreux de la vie. Ils se laissent pousserparle vent d’un bord à l’autre de cet océan, mais sans pouvoir, souscette impulsion aveuglg donner à leur course un but- déterminé et

supérieur. - vDépourvu de toute haute aSpiration, renfermé dans les limitesétroites du monde positif, le génie national ne dépasse pas une cer-taine région moyenne, où il rampe paisiblement, au milieu despointes d’esprit, des observations fines et des heureuses rencontresde détail. On ne saurait demander davantage à. des dilettantes déli-cats etsceptiques, dontles œuvres sont empreintes des mêmes ca-iractères que leur tempérament : frivolité sans entrain, sécheressesans énergie, libertinage sans ardeur. Le m0yen âge, époque detransition partout ailleurs, a donné ici leur forme définitive aux con-cepts d’une race stationnaire, dont la médiocrité devient chaquejour plus frappante par le contraste avec les inStrumens perfec-tionnés de civilisation matérielle qu’elle emprunte aux nations del’Occident. L’irréparable malheur de la race japonaise c’est qu’au

sortir même de la barbarie, avant d’avoir pu prendre son essor,elle a subi la discipline chinoise et s’est modelée servilement, ellejeune et vivace, sur une nation vieillie et voisine de la décadence.Sa sève s’est rapidement figée dans ce-moule qu’elle n’a pas eu la hforce de briser. L’évolution, longtemps interrompue, reprendra-t-elle son cours? L’avenir dira si l’influence européenne, qui règneaujourd’hui sans partage, doit être plus salutaire que celle de laChine. Peut-être, après avoir imité tous ses voisins, le Japon pal”viendra-il à manifester enfin sa véritable originalité.

Germes BOUSQUET.

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Notes du mont Royal

Une ou plusieurs pages sont omises ici volontairement.

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’VINGTrNÈ-ÜVÎËIËEZÏVÔLÙME U

TROISIÈME PÉRIODE, -- XIÀVIII’ANNÉÈ.

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TABLE L DES . MATIÈRES" ,

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livraison du le! Septembre.La CONSEIL n’ira 81’ LBS mamans mon nxqàs m:- POUVOIRS, par M. LÉON AUCOC,

del’InstîtutdeFrance... . . . . .’. . . . . . .- ... ,-. . . . . . oUÉromn ne JEAN, secoùde partie, par MAnro UCHARD;. . . . . e. .ÎLE pmosopnn Cumin]: A i nous, paf M. CONSTANT MARTHA,- de l’Institut

deFrance...,..............a........s.........v.ÉTUDE sur; La POLITIQUE FRANÇAISE BN 4866. --- I. - LA QunsnoN DANOIsn, L’EN-

Tnzvon DE Bruant, par M. G. ROTHAN.Las rouannes n LB 1.00m PENDANT u commun. .- II. -- L’Incxnmn un

murs, LA mignvknon mis usina-nu Louvnnçpu’vM. Maxima DU CAMP;

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0.00.00.00.00,nua, parfinOnxcmxxN aman»; . I. . . .

nucnnons,parM.Lunovm cm0. . . .’. .,. . . . . u . o o o -.-POÈTES m Hammams. v- I... - Nxcous Luna, par M. ANDRÉ THEURIET . .

(hammam: un u QumzuNz, 813mm roman: n me. . . . . -. . . .

11men du 15 Septembre.

L’ÉTOIL: D. partie; MARIO. o e. o o e e i eÉtang" que u flou-noua 134ch13: au 1866. -’ Il. -’- La hmm minimums

AVAMMGïlnI,parM.G.ROTHAN . . . . . .’ .". . . 5,. .. . . .

parM.H.BLBRZY....’.........* mai-mm: a: ùôecoo m4132, pumas on sedum: me,

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UN GENTILHOIMR n’affirme, LB meus Cosn ne BmurœcAmpar M. Crânes

DBWE.Â......Â.I.............’.....l.Esqmsszs sermons. ---Cm1.ns Guru, par- M. 132mm MONTÉGIJT. . . .LA qusnon 9851m6. IY.-Lne TAXIS.DIRECTBS n 12mm 501113 nnvaII,

parM.IVIc’rOItB»01fî-1SIËIÏ... . . . .4. . . ... . M. . . . .,. . .. . I. . .LI: Boum MINIME?!- ANenmnnn. ’-’J4ND Ausm, par» MQLIEON BOUCHER.

CnONIQUDDanixmmlmsromronmgun n animaux. . . n. . . . .

EssuanNOïufgg......l......-..............I:...

Hudson duL’ÉTOIÏBVDÈ "lm, dernièI’e partie,- 1459M. Rhum UCEARDO. . ... .. . . .

M e

h Un Paon: DE DESCENTE muguetant éons-1.0013 XY. --’- La: CHEVALIER D’ÉON,

par M. le (115.ch BROGLŒ, de l’Académie Française. . . . .. .1 . .. . . .L’INvAsION emmusela 1.x socmuspîm’ Aux ÉTAfl’S-UNIS, par M. C. DE VABIGNY.

PneumDBSI,AncnIâOLOOIQIzns. --- L35 DERNIÈRES romans DE Pouvant D’OSTIx,, . " f 155m3, de l’Acàdémîe Françajsèîî’. . . .I . . .-------.-par-M-.-Gm0

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scope. l ’Girard m.) : Les métamorphosesdes insectes.Guillemin (Aï: Les chemins de fer.-- La vapeur. A .Hélène (Maxime). :’ Les gabier smashes.- Lalpondre à canon et les nouqeauæ corps

explosera f . . IJ’acqnemart (A) : Les merveilles de la céra-

cgramique. partie

-f mon : Les grandes chasses.

.L’ŒSIIIUT. -

PRÊGÉDEMMËNT .: ,

Lesbazeilles (3.) :u Les anciens etmodernes ’ ’

Lèvêquet: Les ketmies providentielles.Bastion (Fugace): L’optique. ’ .--- Les bullons cales agapes ariens.---* Les merveilles de la végétation.Marzy’Œ.) :-L’hydraulique.lassons; (Michel 2 Le dévouement.Menault (15.) .: ’intelligence des animaux.

’-- L’amour maternel chez. les animaux.

---.- Les grandes pêches.

seaux.

.uoitassier : L , fl--.La lumière. ’ IMoynet (6.-X.) : L’envers du théâtre ou lesmachines sales décorez

Radar: (3,.) :L’acoustzque."’65- LemagnettsmeTW-

Renard La); Les phares. --- L’art naval. (Renaud. (A.*)--:-I.e’hjroïsmc.a 4. ,Beynaud (J. : Esstùîre élémentals" des m:-

ne’rauæ «sue . . . -Sauzey, (A.) : La 0mSimon1n,(L.) : Les mervetlles du monde soue

4 terrain. i , A-"- L’or et l’aveu. -Sonrel IL.) : Le fond de la mer.Tissandier (6.) s L’eau.

La houille.

’àir.

(Occident). ç "T-- Larmes-veillait balsamique. Il? partieJ Occident). ’(a ) : L’anaznufi’ ’ ou.

Incombe (P.) : es armes et les armures.’Innndztn (L) :l.es plagale laitance.i2” m il??? Tl?noya . e s. ’ une sauvage.Myrte SE. de) : L’orlîvrerie.Louvre (A. z Les merveilles doras-chineurs.-- Les parcs et les jardins.Le Pilou (D’) z Les merveilles du corps hu-

-- La photographiaw-----’ vinettes? -’ - - . .

"Vinrent (l...) : Les merveilles de la Wtu.- Les merveilles de la peintur . -. 2 W-lumes. . « n-- La muselles de la sauveur: . ,6*zn;cher lamelle : Les ascenswns ce!

es.. . . I--"Les glaciers.-- Les météores.- Volcans et moumoute de terre.’--- Les naufrages célèbres.

main. --- Trombes et cyclones.

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