Newsletter Impact n°26

4
Avec plus de 120 nouvelles références lancées chaque année, Marie n’avait plus à prouver sa capacité à valoriser ses marchés par son dynamisme et sa capacité d’innovation. Mais on ne change pas la nature de Marie : avec “Les Illimités”, on retrouve les gènes d’une marque qui innove par le contenu de sa promo comme par ses choix médias. Rencontre avec Laetitia Neuville, experte en marketing clients, et décryptage du succès de la campagne en PQR 66. Rien que par son nom, Marie inspire la sympathie. Que doit-on savoir de cette marque pour décrypter son arrivée en PQR 66 ? Laetitia Neuville : Marie bénéficie d’une très bonne noto- riété (45 % de notoriété spontanée et 96 % en assisté), et son image est elle aussi très positive. Elle recouvre avec cohérence le large territoire des produits qu’elle pro- pose, à la fois au rayon Frais - avec ses plats cuisinés individuels (ses quiches et tartes et ses pâtes à dérou- ler) - et au rayon Surgelés - depuis 1985 - avec sa gamme généreuse de plats cuisinés. Ce succès d’estime souligne la pertinence de la vocation - nous disons “mission” ! – de la marque, qui entend pla- cer l’innovation au cœur de sa stratégie. En faisant le pari de la différence appliquée à une offre large, le but est d’apporter au consommateur les réponses conjointes qu’il attend entre le plaisir, l’équilibre nutritionnel et la praticité. “Renforcer notre effet de levier entre image/notoriété et activation des ventes” Mais, si cet acquis d’image-notoriété est capital pour la marque, notre problématique se pose à la charnière de l’achat, avec un effet de levier sur l’activation des ventes que nous souhaitons renforcer. Notre enjeu marketing consiste donc à travailler à cette charnière de l’activation des ventes, par une présence à l’esprit et une proximité de la marque plus clairement placées au service de la motivation d’achat. Quels étaient donc les objectifs fixés à cette action “Illimités 2 ” ? L. N. : Cette offre exclusive PQR 66 s’appliquait à l’ensem- ble de nos Plats Cuisinés. Pesant 49 % des volumes Plats Elaborés, il s’agit d’une catégorie stratégique qui a été touchée par la crise mais qui se reprend depuis le début de l’année, en nous rappelant son fort potentiel de croissance. Une catégorie intéressante aussi en communication parce qu’elle répond à la fois à des attentes rationnelles (praticité, rapidité, facilité d’usage et de consommation) et émotionnel- les - plaisir. Nous avons donc décidé d’en faire le support de cette campagne promo “Illimités 2 ”. Sur cette catégorie, le poids de la promo est très impor- tant : tous acteurs confondus, 40 % des volumes de vente concernent des offres promotion ! Or, la grande majorité des promos sont attribuées aux enseignes de distribution qui les proposent et non aux marques qu’elles concernent, parce qu’elles sont émises via leurs seuls prospectus et consumer magazines. “Se réapproprier une zone aujourd’hui charnière : la promotion” La marque se retrouve donc à financer des efforts prix pour le consommateur sans en retirer le moindre bénéfice d’image ! Ce constat est à rapprocher de la place très importante qu’occupent les marques distributeurs : 59 % de PDM Plats cuisinés surgelés… En cette période de crise, il nous est apparu que cette situation était d’autant plus pénalisante que le consom- mateur est à même de percevoir - au travers des offres promos qui lui sont destinées - les efforts consentis par les marques pour agir et l’accompagner concrètement dans sa problématique de pouvoir d’achat. Bien gérée, une action promo n’a donc jamais été aussi compatible qu’aujourd’hui avec l’image, et inversement. Or, on se situe bien là dans cette zone charnière image/notoriété - efficacité sur les ventes qui nous occupe pour Marie… % Annonceur : Renault Dispositif PQR 66 : 1 page quadri Période : 13 mars 2010 Responsable Annonceur : Isabelle Fossecave Agence conseil : Publicis Responsable agence conseil : Stéphane Gaillard Agence média : OMD Responsable agence média : François Petitjean Un excellent score pour la campagne Renault et le meilleur enregistré dans la catégorie Automobile depuis le début de l’année. LE SCORE 72 Evelyn Soum parle avec l’accent P4 strategieS & pqr DOS SIER Les Français et les commerces de proximité P3 L’origine de toute chose est locale MAI 2010#26 Suite en page 2 Marie casse les codes du grand froid Laetitia Neuville Responsable Marketing Clients de Marie.

Transcript of Newsletter Impact n°26

Page 1: Newsletter Impact n°26

Avec plus de 120 nouvelles références lancées chaque année, Marie n’avait plus à prouver sa capacité à valoriser ses marchés par son dynamisme et sa capacité d’innovation. Mais on ne change pas la nature de Marie :avec “Les Illimités”, on retrouve les gènesd’une marque qui innove par le contenu de sa promo comme par ses choix médias.Rencontre avec Laetitia Neuville, experteen marketing clients, et décryptage du succès de la campagne en PQR 66.

Rien que par son nom, Marie inspire la sympathie.Que doit-on savoir de cette marque pour décrypterson arrivée en PQR 66 ? Laetitia Neuville : Marie bénéficie d’une très bonne noto-riété (45 % de notoriété spontanée et 96 % en assisté), etson image est elle aussi très positive. Elle recouvre aveccohérence le large territoire des produits qu’elle pro-pose, à la fois au rayon Frais - avec ses plats cuisinésindividuels (ses quiches et tartes et ses pâtes à dérou-ler) - et au rayon Surgelés - depuis 1985 - avec sa gammegénéreuse de plats cuisinés.Ce succès d’estime souligne la pertinence de la vocation- nous disons “mission” ! – de la marque, qui entend pla-cer l’innovation au cœur de sa stratégie. En faisant le paride la différence appliquée à une offre large, le but estd’apporter au consommateur les réponses conjointesqu’il attend entre le plaisir, l’équilibre nutritionnel et lapraticité.

“Renforcer notre effet de levierentre image/notoriété

et activation des ventes”Mais, si cet acquis d’image-notoriété est capital pour lamarque, notre problématique se pose à la charnière del’achat, avec un effet de levier sur l’activation des ventesque nous souhaitons renforcer. Notre enjeu marketingconsiste donc à travailler à cette charnière de l’activationdes ventes, par une présence à l’esprit et une proximitéde la marque plus clairement placées au service de la motivation d’achat.

Quels étaient donc les objectifs fixés à cette action“Illimités 2 €” ?L. N. : Cette offre exclusivePQR 66 s’appliquait à l’ensem-ble de nos Plats Cuisinés.Pesant 49 % des volumesPlats Elaborés, il s’agit d’unecatégorie stratégique qui a ététouchée par la crise mais quise reprend depuis le début del’année, en nous rappelant sonfort potentiel de croissance.Une catégorie intéressanteaussi en communication parcequ’elle répond à la fois à desattentes rationnelles (praticité,rapidité, facilité d’usage et deconsommation) et émotionnel-les - plaisir. Nous avons doncdécidé d’en faire le support decette campagne promo“Illimités 2 €”.

Sur cette catégorie, le poids de la promo est très impor-tant : tous acteurs confondus, 40 % des volumes de venteconcernent des offres promotion ! Or, la grande majoritédes promos sont attribuées aux enseignes de distributionqui les proposent et non aux marques qu’elles concernent, parce qu’elles sont émises via leurs seulsprospectus et consumer magazines.

“Se réapproprier une zoneaujourd’hui charnière :

la promotion” La marque se retrouve donc à financer des efforts prixpour le consommateur sans en retirer le moindre bénéfice d’image ! Ce constat est à rapprocher de

la place très importante qu’occupent les marques distributeurs : 59 % de PDM Plats cuisinés surgelés… En cette période de crise, il nous est apparu que cettesituation était d’autant plus pénalisante que le consom-mateur est à même de percevoir - au travers des offrespromos qui lui sont destinées - les efforts consentis parles marques pour agir et l’accompagner concrètementdans sa problématique de pouvoir d’achat. Bien gérée,une action promo n’a donc jamais été aussi compatiblequ’aujourd’hui avec l’image, et inversement.

Or, on se situe bien là dans cette zone charnièreimage/notoriété - efficacité sur les ventes qui nousoccupe pour Marie…

%

Annonceur : RenaultDispositif PQR 66 : 1 page quadriPériode : 13 mars 2010Responsable Annonceur : Isabelle FossecaveAgence conseil : PublicisResponsable agence conseil : Stéphane GaillardAgence média : OMDResponsable agence média : François Petitjean

Un excellent scorepour la campagneRenault et le meilleurenregistré dans lacatégorie Automobiledepuis le début de l’année.

LE SCORE

72Evelyn Soumparle avec l’accent P4

strategieS & pqr

DOSSIERLes Français et les commerces de proximité P3

L’origine de toute chose est locale

MAI 2010#26

Suite en page 2

Marie casse les codes

du grand froidLaetitia Neuville Responsable Marketing Clients de Marie.

Page 2: Newsletter Impact n°26

L’objectif stratégique était donc le suivant :1. Améliorer notre image prix auprès de nosconsommateurs en se réappropriant une partiedes messages promotionnels.2. Ancrer la marque dans la quotidienneté : placer cette communication promo sur le terrain et avec la tonalité d’une vraie relationdirecte one to one avec le consommateur.

Acheter ; rassembler ; envoyer pour enfin recevoir son remboursement… il est demandéau consommateur de suivre un long cheminavant de profiter de cette offre. Qu’en dites-vous ?L. N. : Si je suis satisfaite de ce montage promoinédit, c’est qu’il est de nouvelle génération, ausens où il a su faire le pari des attentes et com-portements réellement nouveaux du “consom-mateur de crise” d’aujourd’hui.Dès lors qu’il y voit un réel bénéfice pour sonpouvoir d’achat, ce nouveau consommateur estdésormais prêt à s’investir en “réflexion”

comme en temps passé, pour profiter d’uneoffre. Plus que jamais, c’est la valeur réelle del’offre prix qui importe, et non le mécanismepar lequel on profite de l’offre.

“Cette campagne “home made Marie”

a été regardée de très prèspour sa valeur de test !”

Avec ce prix facial clair et attrayant de 2 €, simple-ment et généreusement appliqué à jour nommépour l’ensemble des références produits de lacatégorie, l’insight de cette promotion était facile,direct, appropriable et particulièrement mémori-sable. Le consommateur avait tout pour se direqu’il y avait là une exceptionnelle opportunité deprofiter d’une affaire hors du commun. Restaitpour lui à se plonger dans la lecture de la règle dujeu, et là, merci le contrat de lecture PQR ! Lesrésultats de l’opération donnent la preuve de l’im-plication des consommateurs : cette promotioncomprise comme exceptionnelle, ils se sont plon-gés dans le “mode d’emploi” en lisant bien le texte.

Quels résultats cette campagne a-t-elle obtenus ? Quelle trace cette novation médiaa-t-elle laissé chez Marie ?

L. N. : S’agissant de surgelés, l’action promovisait un objectif de volume d’achat, sur le cri-tère d’UVC (unité de vente consommateur) quinous est cher. Ici, nous avons plus que doublénos objectifs, avec un nombre moyen de pro-duits achetés de 4 à 5 UVC !

Les post-tests IFOP, eux aussi, sont très bonspour une première en PQR 66 et nous avons étéagréablement surpris du professionnalisme dela régie et de son “service après vente”. Ils’agissait d’une innovation média test, “àl’aveugle” et donc à risque. J’ai dû convaincreen interne pour relayer la proposition PQR 66de KR Média, mais les résultats ont été plusqu’à la hauteur de nos espérances. Cette actionneuve est aujourd’hui jugée unanimementcomme très belle et qualitative.

“La PQR, un nouvel axe de différenciation possible

pour Marie”Je retiens pour ma part qu’elle nous ouvre desvoies nouvelles et prometteuses, parce que laPQR inscrit l’action au cœur de notre probléma-tique marketing : le point de jonction entreimage et trafic commercial ; notoriété et vente ;affinité et relation de proximité. L’absence de nos concurrents dans ce massmédia en fait un point de contact à la fois utile etefficace pour la marque et sans doute aussi unnouvel axe de différenciation possible pour Marie.Une situation suffisamment rare pour êtreexploitée, surtout si le média prouve son effica-cité sur les ventes. Une action que nous sommestentés de reconduire sur un autre marché straté-gique pour nous, les Plats Cuisinés Frais.Propos recueillis par Verbahuit. [email protected]

Franck BoniniKR Média. Directeur deClientèle

« Maximum de puis-sance et d’impact ;

période très courte ; média en affinitéavec la problématique de vente pourun objectif de retour d’investisse-ment : voilà le résumé du brief ! »« Nous avons tout de suite pensé àla PQR, pour sa forte puissance ins-tantanée, sa capa-cité à créer unimpact très fortgrâce à 3 parutions(1/2 pages) sur 3jours de suite, ladernière correspon-dant à la date de l’opération Les illi-mités 2 €. »« Selon EPIQ, il ressort de notre dis-positif 26 millions d’individus tou-chés ! Nous avons pu travailler avecune affinité particulière à la cible :les couples 25–49 ans, avec une sur-pondération sur les 35–49 ans ensituation de famille avec enfants. »« Au premier abord, l’équipe Marie aété un peu surprise de notre recom-mandation qui les amenait au grandsaut du détachement de la TV, médiarassurant s’il en est pour le food ! »« Travaillant précédemment enGrande Distribution, Laetitia connais-sait bien la PQR et son efficacité pourgénérer du trafic commercial. Elle acertainement eu en interne le mêmetravail de pédagogie que nous ! »

« Cette recommandation PQR 66étant clairement ressentie commeindissociable d’une prise de risque, ilnous fallait rassurer et aller plus loindans la démonstration. Malgré le fai-ble temps que nous avions (la campa-gne s’est montée en 3 semaines,travail de l’agence Euro RSCG com-pris !), nous leur avons envoyé la listede tous les quotidiens et ils ont pris letemps de se pencher sur tous lesjournaux pour se familiariser aux ver-tus de cette presse ! Ils ont su prendrela mesure de la fonction d’informationde proximité propre au média, du

contrat de lectureparticulier qui lecaractérise et de ceque celui-ci pouvaitapporter à la marque,indépendamment detoute considération

chiffrée. Ils ont fait leur chemin eux-mêmes pour s’approprier ce nouveaumédia qu’ils n’attendaient pas. »« J’ai aussi essayé de leur démon-trer que - contrairement à l’idée justeque la presse en général est unmédia lent - le PQR 66 fait exceptionet qu’il rejoint ainsi les vertus de la TVpar son exceptionnelle puissance ins-tantanée. Ils ont été rassurés par lefait que d’autres acteurs majeurs dufood y investissaient déjà… »« Aucun concurrent direct de Marien’étant présent en PQR 66, cettecampagne restera comme une inno-vation de plus à mettre dans la richeescarcelle des innovations Marie. Jesuis très heureux de cela, cette opé-ration ayant été pour eux un francsuccès. »

verbateam

Le Télégramme vient d’être une nouvelle fois étoilé par l’OJD pour la meilleure progression des ventes de la Presse Quotidienne Régionale en 2009 La Dordogndiffusion en Presse Quotidienne Départementale en 2009 La Nouvelle République du Dimanche obtient l’étoile OJD pour la meilleure progression dans la catégornouvelle version plus moderne, claire et aérée, plus riche en contenus et plus interactive Le Parisien publie un supplément de 24 pages “Spécial emploi” et offrela Nouvelle République des Pyrénées et le Petit Bleu) avec des maquettes rénovées et une meilleure mise en valeur de l’information locale et régionale Du 6 au 8 men presse quotidienne auprès des jeunes créatifs d’agence La République des Pyrénées et l’Eclair, titres du groupe Sud Ouest, rénovent leur maquette et offretéléphones mobiles Les résultats de l’étude EPIQ 2009 montrent une très forte pénétration de la PQR : 31 253 000 personnes sont exposées chaque semaine aux m

Après le Parisien et la Dépêche du Midi, La Voix du Nord vient de sortir son application pour iPhone, disponible dans l’AppStore PQR 66 lance son OFFRE ÉTÉ “

strategieS & pqr

“On a tout de suitepensé à la PQR,

pour sa forte puissance instantanée”

• Appel prix : 2 €, quels que soient les plats familiauxMarie du rayons surgelés.

• Jour nommé : le 30 janvier, la date exclusive à nepas manquer.

• Contrat de lecture : une offre non directe en caissequi nécessite de se poser, de plonger dans une règledu jeu clairement explicitée. Acheter + rassembler +envoyer = recevoir son remboursement. C’est à lirebien entendu.

• Efficacité sur les ventes : la campagne obtient plusdu double des objectifs fixés en UVC (unité de venteconsommateur) : un achat moyen de 4 à 5 plats cui-sinés pour 2 objectivés…

• Proximité en sus : vite rentrer chez soi pour lachaine du froid…

Les illimités de Marie auscanner PQR 66.Retour analytique sur un succès annoncé.

ça

bo

ug

e…

54%

77% 75%

51%46%23%

25%49%

Frai

s

Sucr

é

Plat

s él

abor

éset

cui

siné

s

Plat

scu

isin

és

Surg

elés

Salé

Prod

uits

bru

ts

Plat

s él

abor

ésdo

nt Q

TT, P

izza

s,

crêp

es

Global MarieMarie est N° 2 après

Fleury Michon

Focussurgelés

Focussurgelés salés

Focus platsélaborés et plats

cuisinés

PDM Marques (Val.)• MDD : 50,3 %• Maggi : 14,2 %• Marie : 10,7 %• Findus : 6,7 %

Marie, chaleureuse entre frais et grand froid(Base % volume - Source : IRIP13, 2009)

Yvon MartinDirecteurMarketing etDéveloppement.Marie.

« La TV représente plus de 60 %des investissements médias sur lescatégories qui nous occupent, l’affi-chage venant ensuite avec près de30 %... Même s’il est clair que la TV ne peutplus tenir à elle seule tous lesobjectifs de la mar-que, elle reste lemédia référent. Noslogiques de travailrestent très liéesaux standards d’effi-cacité que nousconnaissons pourles suivre depuis des années. On nelâche donc pas la TV sans cham-bouler notre culture et nos conven-tions de pensée ! »« La politique de différenciation estpour Marie un axe stratégiquemajeur. Innovations produit sur lesrecettes, packagings blancs en rup-ture des standards des rayons fraisou surgelés, territoire de communi-cation… L’option PQR 66 vient pro-longer dans les médias cettepolitique de différenciation, dans larecherche d’un meilleur retour surinvestissement. »

« Les marques ne peuvent plusrester sur leur piédestal. On neparle plus aujourd’hui au consom-mateur comme on lui parlait encorehier. La simple présence en PQRprend une forte valeur de signequant au ton de la relation propo-sée. »« Etre dans le journal c’est venirsur un terrain qui “appartient” auconsommateur et qui lui est cher.C’est un registre relationnel plusaffectif, celui de la lecture, de l’im-plication aux réalités quotidiennes

et locales actuelle-ment difficiles pourchacun… »« Pour dessiner unavenir à une marquede produits alimen-taires, on doit avant

tout s’interroger sur ce que doitcontenir la valeur de marque vue duconsommateur. Il ne faut pasoublier qu’aujourd’hui nos premiersconcurrents sont finalement lesnon-marques MDD ! »« Pour la prochaine fois, nous ironsplus loin dans cette idée de proxi-mité : mieux sensibiliser et mobili-ser en amont notre force de vente(41 vendeurs pour 5 secteurs géo-graphiques) pour relayer efficace-ment l’opération dans les linéaires.Vous voyez, je me surprends à rai-sonner national-local ! »

verbatIm

“Être dans le journal,c’est venir sur un

terrain qui appartientau consommateur”

Page 3: Newsletter Impact n°26

Retour au village... et création de nouveaux villages en centres-villes Jusque dans les années cinquante, le commercetraditionnel de petite surface (moins de 100 m2 le plussouvent) était dominant, sa fonction de proximitécorrespondait aux besoins (produits de premièrenécessité, moyens de transport limités) d’une populationvivant en centre-ville, dans les quartiers urbains ou dansdes bourgs ruraux. La situation évolua rapidement et lesannées 1950-1960 furent celles de la “grandedistribution”. S’ouvrirent en 1949 le premier centreLeclerc, entre 1955 et 1960 les premiers supermarchésavec une surface de vente entre 400 et 2 500 m2, en 1963le premier hypermarché supérieur à 2 500 m2 enpériphérie et en 1969 les deux premiers centrescommerciaux qui inauguraient un concept original alliantune grande surface alimentaire (un hyper) et une galeriede boutiques dotées d’une offre diversifiée. La périphériedes villes fut le choix d’implantation privilégié en raison dela disponibilité du foncier et de son coût moins élevé, desfacilités d’accès et de stationnement avec la possibilité deréaliser des parkings aux dimensions adaptées. L’effetpervers fut un problème d’esthétique urbaine etd’engorgement du trafic. Il est vrai que les habitudes desconsommateurs avaient changé : l’habitat glissait aussivers la périphérie et les courses se faisaient en voiture, lesdéplacements automobiles à des fins d’achats étaient alorsconsidérés comme “normaux”.

Depuis 1999, la population des espaces ruraux croît aumême rythme que l’ensemble de la population française(0,7 % par an). Dans le même temps, la croissance de lapopulation des grandes villes s’accélère : dans la moitiédes cinquante premiers pôles urbains, la ville-centre croîtplus vite que la banlieue... où sont installés lessupermarchés. La croissance retrouvée des espacesruraux et des grandes villes depuis le début des années2000 remet en question le déploiement des différentesformes de vente et contribue à remodeler le tissucommercial.

Commerces de proximité : la tendances’inverseAinsi, selon une étude publiée en 2009 par l’INSEE, lenombre de magasins de proximité a diminué entre 1999 et2007, mais bien moins vite que lors de la période

précédente, entre 1993 et 1999. Et dans quelques secteurs(meubles, sport et loisirs, vêtements…), les petitscommerces sont même plus nombreux. Ce n'est pas pourautant la fin des hyper-marchés, dont les ouverturescontinuent. Mais leur croissance,en nombre, est moins rapideque par le passé : 2,3 % de 1999à 2007 contre 2,9 % de 1993 à1999.Cette évolution, selon GeorgesChetochine, expert de la grandedistribution, a plusieurs causes.“En ville comme à la campagne,dit-il, les petits commerces ontprofité de l'arrivée dans lecentre des hard discounters(Aldi et Lidl). Quand les gensviennent y faire leurs coursesalimentaires, ils en profitentpour faire des achats dans lesmagasins avoisinants.” Beaucoupde petits commerces sont ainsientrés de plain-pied dans leXXIe siècle. Ils ont “relooké”leur surface de vente, se sontdotés de sites Internet et ontsoigné leur accueil, un despoints faibles des centrescommerciaux installés en banlieue. Les préoccupations dedéveloppement durable et l'envolée régulière du prix del'essence incitent aussi à moins prendre sa voiture pourfaire ses courses. L’esthétique urbaine est par ailleursaujourd’hui un thème fondamental irriguant toute politique

publique. Les évolutions de ladurée du travail permettentd’accorder plus de temps auxloisirs et à la culture et moinsaux “courses”. Le vieillissementdes populations favoriseégalement l’habitat en centre-ville et donc le commerce deproximité.

Des cibles émer-gentes et variées“Cet engouement pour laproximité s'explique aussi pardes facteurs objectifs”, estimePhilippe Moati, directeur derecherches au Credoc. “Il y aune réduction de la taille desménages. On trouve de plus enplus de solos ou de seniors quin'ont pas besoin de faire degrosses courses et donc de serendre dans des hypermarchésen banlieue”. Vieillissement dela population, mariage tardif etéclatement de la famille

traditionnelle centrée sur le couple avec enfants : autantde facteurs qui jouent en faveur d’une relocalisation descommerces en centre-ville. Que ce soit chez lestravailleurs pressés, les étudiants ne possédant pas devéhicules ou encore les personnes âgées auxdéplacements limités, on ne peut qu’imaginer lacroissance que devrait connaître ce secteur d’activité.Selon l'Insee, ce retour vers les commerces de proximitén'est pas une simple mode, mais devrait se confirmerdans les prochaines années. L’étude SIMM 2009 de TNS Media Intelligence enfonce leclou : les Français veulent pouvoir faire leurs courses prèsde chez eux. C’est un critère important pour 78 % d’entreeux. La moitié des consommateurs rêve de pouvoir y allerà pied ou en transport en commun, contre seulement 30 %en 2002. Et le shopping en centre-ville progresse lui aussi.C’est l’un des facteurs faisant souffrir les centres

commerciaux. À l’avenir, le premier souhait desconsommateurs est d’avoir plus de petits supermarchésdans les quartiers d’habitation, selon l’enquête SIMM. Il s’yajoute des attentes en matière de services. Et chezcertains l’envie de recréer un lien avec le commerçant.

Le “convenience store”, nouvel eldorado des distributeursLes enseignes de la grande distribution l’ont bien compris,qui développent toutes depuis l’an dernier leur propreconcept du “convenience store” à la française et réoriententleur politique vers le commerce de proximité, comme lefaisaient Franprix, Monoprix ou Petit Casino depuis longuedate. Simply Market pour le groupe Auchan, U Express pourSystème U, Intermarché Express ou encore Carrefour City(en ville) et Carrefour Contact (à la campagne), tous ont encommun de viser une clientèle de quartier avec des servicesadaptés : points de vente de taille réduite, horairesd’ouverture élargis pour coller au mieux à l’emploi du tempsdes citadins, caisses automatiques pour gagner du temps,service de livraison à domicile, produits prêts à consommeret plats préparés à réchauffer, voire restauration sur place.Le pari de “Chez Jean” (union Casino/Relay) : miser sur lamultiplicité de l’offre : à la fois épicerie, point de vente dejournaux, de billets de loto, de fleurs, mais aussi dépôt depain, et même point d’accès wifi ou encore de recharge debatteries de téléphone portable. Reste à savoir commentvont coexister ces nouveaux commerces de proximité avecles commerces traditionnels de quartier…

Pour en savoir plus : [email protected]

ne Libre adopte une nouvelle formule avec une maquette modernisée et une Une repensée. Le quotidien obtient également sa 7e étoile OJD pour la meilleure progression derie Presse Quotidienne du 7e jour pour l’année 2009 Les sites internet du groupe Nice Matin (nicematin.com, varmatin.com et corsematin.com) font peau neuve avec unee à plusieurs milliers de demandeurs d’emplois de publier gratuitement une petite annonce Nouvelle formule pour les titres du groupe La Dépêche du Midi (La Dépêche,ai à Bruxelles, la PQR organise la 9e édition du concours européen “best YET”, en association avec la presse quotidienne européenne, pour promouvoir la création publicitairent ainsi plus de clarté et de visibilité Le site internet de Sud Ouest propose une nouvelle formule avant de développer dans les mois qui viennent une version pour les

marques de PQR au travers de leurs éditions print et des sites web Aubade a remporté le Grand Prix Impact 66 de la PQR en 2010 avec sa campagne pour la Saint Valentin“Liberté 360” : 360 K€ nets pour un crédit d’espace modulable print + web à utiliser entre le 12 juillet et le 31 août. Tous les détails sur www.leseminairepqr66.fr

in situ marketing

Les Français et les commerces

de proximité

Révolutionnant l’univers de la consommation, les grandes surfaces ont bousculé le commerce de proximité, incapable d’offrir aux consommateurs autant de références à des prix si compétitifs. Aujourd’hui, la tendance s’inverse : crise, hausse du carburant, croissance démographique des espaces ruraux et des grandes villes, démarche développement durable, volonté des consommateurs de ne pas céder à l’achat inutile et de retrouver qualité et traçabilité des produits… Les très grandes surfaces voient leur fréquentation stagner, au profit des commerces de proximité de centre-ville et de “centre-bourg”. Les grandes enseignes s’adaptent donc et lancent de nouveaux concepts de proximité.

Évolution en moyenne annuelle du nombre de commerces de détail entre 1993 et 2007

Nombre de commerces de détail pour 10 000 habitants en 2007Espace à Espace à

Nombre de commerces pour 10 000 habitants Métropole dominante dominanterurale urbaine

Alimentation générale / Supérette 4,2 5,9 3,8Boulangerie / Pâtisseries 8,5 11,9 7,7

Alimentaire Boucherie / Charcuterie 4,0 5,8 3,6Primeur 0,9 0,8 0,9Supermarché / Hypermarché 1,8 2,4 1,7

Pharmacie Pharmacie 3,8 4,2 3,7

Magasin de vêtements 9,5 6,1 10,2Magasin de chaussures 1,9 1,4 2,0Magasin d’électroménager 2,0 1,8 2,0

Non-alimentaire Magasin de meubles 1,9 1,2 2,1(hors pharmacie) Quincaillerie / Bricolage 2,0 2,7 1,9

Librairie 3,1 2,9 3,2Sport et Loisirs 2,1 3,0 1,8Fleuriste 2,8 3,4 2,7

Champ : France métropolitaine. Sources : Insee, Répertoire des entreprises et des établissements (Sirene) et Recensement de la population 2006.

-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4

1999-2007

1993-1999

TOTAL

Fleuriste

Sport & Loisir

Librairie

Quincaillerie / Bricolage

Magasin de meubles

Magasin d’électroménager

Magasin de chaussures

Magasin de vêtements

Pharmacie

Supermarché / Hypermarché

Primeur

Boucherie / CharcuterieBoulangerie / Pâtisserie

Alimentation générale / Supérette-5 -4 -3 -2 1 02 -1 0

Champ : France métropolitaine. Sources : Insee, Répertoire des entreprises et des établissements (Sirene).

Page 4: Newsletter Impact n°26

Votre PQR à vous, c'est où ? Je suis l’heureuse proprié-taire d’une maison à Sètedans le Languedoc Roussillon.Un coin pour l’âme encoreplus que pour le cœur. Sur lacolline, j’ouvre mes volets surla mer - extraordinaire -, lesPyrénées et l’étang de Thau…Au loin par temps clair, lesommet enneigé du MontCanigou vous laisse pantois ! Abonnée au Kiosque (la ver-sion web de Midi Libre), j’ouvresymboliquement mes voletschaque jour depuis Paris !Je me rééquilibre à lire dessujets nationaux traités parles journalistes de la région.Je suis frappée par le profes-sionnalisme et la grandeintelligence populaire aveclesquels les sujets nationauxsont traités, pour les actuali-tés culturelles notamment. Ily a une place pour la passionet la fraîcheur, avec ce côtétrès direct du commentairequi interdit tout écran defumée cérébral… c’est extrê-mement bien fait.

Vos premières émotions PQR : le souvenir d’une anecdote ? Je suis née en Alsace au bibe-ron des DNA que mon père -qui était très cultivé - lisaitchaque jour comme d’autresjournaux. Les DNA y avaientun statut “normal” à côté dela presse nationale et alle-mande. C’est après que j’aidécouvert le sens très péjora-tif appliqué par l’establish-ment à cette presse derégion. Mais je suis uneaffreuse intellectuelle trèsdétachée de l’establishmentjustement ! Rajoutez à celama passion pour Sète…

Comment cette “affreuseintellectuelle” fâchée avecl’establishment décode-t-elle la spécificité PQR ? La PQR nous rappelle chaquejour avec fraicheur que tout

ne passe pas par le mouleambiant et vaniteux de l’abs-traction intellectuelle et de lanébuleuse cérébrale généra-lisée ! Elle propose un ton, unefaçon très respectueuse etempathique de s’adresserhorizontalement à des gens“normaux”.C’est une philosophie de laréalité qui sous-tend la PQR.Elle est une interpellationdirecte du lecteur dans sonrôle actif qui est le sien pourpuiser, dans les réalités duquotidien, le sens du bon-heur ! Avec sa vérité de lan-gage assumée commevaleur journalistique propre,cela dessine sociologique-ment une empathie, uneconsidération de l’autre, unsentiment d’égalité, derééquilibrage et de respectpour et entre les lecteurs.Aucune autre famille depresse ne sait faire cela, enrésistant – paradoxe ? - àcette espèce d’embarque-ment effrayant (de l’ensem-ble du PAF comme de lapresse) dans la fascination

pour l’émotion, la captationdu fil émotionnel et la stricte répétition des chosesjusqu’à l’usure et l’implo-sion…

Si vous discutiez avec desPrésidents de journaux… Je leur donnerais ce conseilde revisiter leurs journauxvus comme système d’appro-priation de valeurs, dansl’idée de rapprocher une pos-ture de marque avec les sys-tèmes de valeurs ambiants eten mutation, notammentchez les jeunes. Je suis sûreque les grands journaux dePQR qui feront ce travail demarque réussiront à aller aubout d’eux-mêmes avecgrand succès. Je dis cela sans optimismedémesuré, parce que la PQR a cette chance historiqued’avoir à la fois une ligne deforce solide et un enracine-ment à la fois vertical et hori-zontal. Une posture demarque pour une question deréglage : vers quoi se projeterpour aller au bout d’elle-même, de sa nécessité et desa raison d’être !

En tant que Présidente ducollectif Démocratie etCommunication, j’imagineque vous attendez beaucoupde la PQR ? L’abstention aux rendez-vousélectoraux nous renvoie à nosfailles citoyennes et civiques.Pour moi, c’est un engage-ment ni politique ni économi-que, autant maternel quecitoyen : qu’ils votent, qu’ils yaillent, surtout les jeunes !Nous sommes impliqués à ceque la presse écrite joue plei-nement son rôle dans ce com-bat citoyen. Parce que lejournal régional est le lieu desynthèse naturel et global dela vie politique au niveau local,il peut être l’allié privilégiépour porter ce débat, pourmener ce combat. Je suis pro-che de la PQR pour cela !

Un petit slogan pour Midi libre ? Allez, juste un… La réalité à vivre. La PQR estla seule famille de presse quine se contente pas de donnerà savoir et à voir…Propos recueillis par Verbahuit.Emmanuel de Chevigny. [email protected]

• Journée Mondiale du Commerce équitable 9 mai 2010

• Journée Internationale de la Biodiversité 22 mai 2010

• Fête des Mères 30 mai 2010

• Journée Mondiale de l’Environnement 5 juin 2010

• Journée Mondiale du Don du sang 14 juin 2010

• Fête des Pères 20 juin 2010

…Toutes les dates sur demande à votre régie.

14 juin 2009 :Journée Mondialedu Don du sang L’EtablissementFrançais du sangsaisit l’occasion dela Journée Mondialedu Don du sang pourinterpeller lesFrançais sur cettegrande cause nationale 2009.

stabilo dates

ma pqr a moi

Evelyn Soum Président Directeur Général, Ailleurs Exactement.Présidente du Collectif Démocratie et Communication.

Elle, c’est à Sète

5 juin 2009 : Journée Mondialede l’environnement Siemens profitede cette journéedédiée à l’environnementpour promouvoirses nouvellesaides auditivesécologiques et rechargeables.

8 au 4 juin 2009 :Les journées de la Mer Dans le cadre duGrenelle de la Mer,le Ministère del’Ecologie invite les Français à participer auxconsultations publiques desJournées de la Mer.

CSA

en

colla

bora

tion

avec

VER

BAH

UIT

, cré

dit p

hoto

s: G

etty

imag

es.fr

.

Avec sa nouvelle offre ACCESS EVENEMENT, PQR 66 propose à tous les annonceurs un tarif exceptionnel de 195 K€ net, s’ils communiquent en pleinepage quadri sur une des dates référencées.

Pho

to :

Mar

c C

HA

UM

EIL

Chaque jour, un bouquet de réalités

à vivre autantqu’à lire…

en direct sur

www.pqr.org

Mesures d’audience et média marchés

• Audipresse PREMIUM 2009. Les toutpremiers chiffres de la nouvelle étuded’audience de référence menée parAudipresse auprès des populationsACTIV (Décideurs Économiques) et EASY (Foyers à haut pouvoir d’achat).PQR 66 touche 2/3 de ces populationschaque semaine.

• EPIQ 2009. Les derniers chiffresd’audience du PQR 66, de la PQN, de laPQG et de la PHR (accès gratuit, réservéaux agences & annonceurs). Tendance àla stabilité pour PQR 66.

• EPIQ 2007-2009 (cumul – 75 000 itw).Tous les chiffres d’audience et lescartographies associées de 40 titres et19 groupes de PQR.

Mesures d’audience sur cibles Décideurs

• Les Décideurs de la Grande Distribution(Ipsos).

• Les Décideurs des CollectivitésTerritoriales (Ipsos).

Mesures de l’efficacité

• Suivi Impact 66 : plus de 3000 post-testsd’impact (IFOP). Base enrichie chaqueannée (IREP : “la PersistanceMémorielle” ; IREP 2009 : “Efficacitécourt terme et long terme”).

• PQR-PRO : post-tests d’impact (TNSSofrès) sur la cible des décideurs enentreprise (IREP : “CAWI & décideurs”).

• PQR-SCAN : post-tests sur les ventes,marchés tests (Consoscan, MarketingScan…).

Autres infos sur www.pqr.org

Les Unes du jour chaque matin, lesétudes, les standards d’impact, les tarifs,les diffusions, les événements, lescontacts commerciaux, les créations...Accès libre & newsletter.

Contactez directement votre régie :

• Com> Quotidiens 01 55 38 21 17

• Quotidiens Associés 01 53 75 78 20

Pour tout contact avec la Rédaction d’IMPACT PQR :

01 40 73 85 [email protected]

• Été 21 juin 2010