N°24 2013 DACIA ET RENAULT TOUTE UNE...

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N°24 2013 DACIA ET RENAULT TOUTE UNE HISTOIRE

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  • N°24 2013 DACIA ET RENAULT TOUTE UNE HISTOIRE

  • Dans les années 1960, les pays socialistes d’ Europe de l’ Est commencent à vouloir développer leur industrie automobile, voire la créer. Ceausescu succède en 1965 à Gheorghiu-Dej. Il met en avant l'intérêt national et veut montrer la puissance économique de la république socialiste qu’il a institué. Il décide alors de lancer la construction d’une voiture populaire nommée Dacia (étymologiquement Dacia vient de Dacie, qui est la région antique correspondant à l’actuelle Roumanie). Le cahier des charges stipulait la production d’une automobile de classe moyenne, avec un moteur de 1000 à 1300 cm3, pour une production annuelle de 50000 voitures. Mais pour cela, le gouvernement doit faire appel aux grands groupe de l’Ouest, beaucoup plus avancés techniquement. C’est dans ce contexte que Fiat aide Zastava en Yougoslavie, FSO en Pologne ou encore VAZ (Lada) en Union Soviétique. . Renault, Peugeot, Fiat, Alfa Romeo et Austin firent des offres. Il y eut des tests avec les voitures suivantes : Renault 10, Peugeot 204, Fiat 1100D, Alfa Roméo 1300, Austin Mini Morris. Il semblerait aussi que Toyota ait été un moment très bien placé, et les constructeurs européens auraient fait pression pour l’éliminer, car ils redoutaient l’irruption des japonais sur leur marché. Pour des raisons techniques et économiques (la France appuya la candidature de Renault alors nationalisé), l’offre faite par Renault avec la R12 fut retenue. La voiture était toujours au stade de prototype, en phase de test, et sa production devait commencer en France au cours du second semestre 1969. Mais le contrat fut signé en septembre 1966. Renault autorisa donc les Roumains à assembler un autre type de véhicule jusqu’à ce que la R12 soit prête. Entre la 8, la 10 et la 16, c’est la première qui fut initialement choisie pour des raisons monétaires, et elle sera assemblée à l’usine de Pitesti par la société UAP (Uzina de Autoturisme Pitesti)

  • Cette usine fut construite en un temps record de 18 mois, et en juillet 1968 les tests finaux eurent lieu. Après être passé aux 217 postes de la ligne d’assemblage, la première voiture fut contrôlée le 3 août, et l’inauguration de l’usine eut lieu le 20 août 1968. La production en série de la Dacia 1100 avait commencé. LA DACIA 1100 La production de cette voiture de 1100 cm3, selon le contrat de la licence, consistait en fait à assembler et peindre la carrosserie initialement fabriquée en France, puis assembler le reste (mécanique, sellerie, …). Tous les éléments étaient importés. Comparé à la R8 française, la Dacia 1100 ne montrait pas de changement notable. Une baguette en chrome plaquée affichant la marque de l’usine de Pitesti, était placée entre les phares avant. La Dacia 1100 fut produite jusqu’à la fin 1971 à 37546 exemplaires. Le premier exemplaire fut offert à la famille Ceausescu. Caractéristiques techniques: 4 portes, 5 places, moteur arrière, 4 cylindres refroidis par eau, 46 ch, vitesse maxi 133 km/h, consommation 6.8 litres aux 100 kms.

    La 1100S, conçue pour la course, fut produite en petite série. Elle avait un moteur préparé, 4 phares et des pneus plus larges. Cette Dacia 1100 Sport fut aussi utilisée par la police politique roumaine (qui deviendra plus tard la tristement célèbre Securitate)

    La Dacia 1100 ne sera pas le seul modèle assemblé exclusivement avec des pièces importées de France. Plus tard, au cours des années 1974-77 quelques 800 Dacia D6 (Renault Estafette) sortiront de cette façon de l’usine de Pitesti, mais nous en parlerons un peu plus tard.

  • Photo 17

    LA DACIA 1300 L’assemblage de la 1300, la fameuse R12 roumaine, débuta en août 1969. La voiture fut présentée en octobre simultanément à Eren, à la Foire de Bucarest, et au salon de Paris (pour la Renault 12). Au début elle fut produite avec les pièces importées de France. Par la suite ces dernières seront fabriquées dans les usines locales. Elle est identique à la berline française, aux logos et enjoliveurs près. En 1970 la Dacia 1300 était déclinée en 3 versions : la 1300 standard, la 1300 super, et une version spécialement destinée pour les apparatchiks du « Partidul Communist Român», la 1301 (qui ressemble à une R12TS française). En 1973 la production du break 1300 débuta Caractéristiques techniques: 4 portes, 5 places, traction avant, moteur avant longitudinal, 1289 cm3, 54 ch,

    vitesse maxi 144 km/h, consommation 9.2 litres aux 100 kms..

  • LA DACIA 1302 - 1310 1er restylage : Présenté à Eren en 1979. Dorénavant tous les modèles auront l’indicatif de base 1310 (sauf 1302 pour le Pick-up). Esthétiquement, le nouveau modèle bénéficie d’une nouvelle calandre 4 phares, de feux arrières redessinés et d’une nouvelle planche de bord. Les finitions existantes sont : Standard, MS, MLS, S, TL, TX:

  • LA DACIA 1210 – 1304 – 1310 – 1410 2ème restylage : Nouveau restylage de la face avant après 1983 avec l’ajout de nouvelles motorisations : 1185 cm3 et 48 ch pour la Dacia 1210 et 1397 cm3 et 63 ch pour la Dacia 1410 en plus de la déjà connue 1310 (1289 cm3 et 54ch), et introduction de la boîte 5 vitesses. Les finitions disponibles sont : TLE, TX, TS, TLX, GT, GTL.

  • LA DACIA 1210 – 1304 -1305 – 1307 - 1309 – 1310 – 1410 3ème restylage :Encore un restylage effectué juste après la révolution de 1989, au début des années 90. Il concernait essentiellement la calandre. Nouveau pick-up à double cabine court et long (1307 et 1309) et simple cabine (1305)

  • LA DACIA 1210 – 1304 -1305 – 1307 - 1309 – 1310 – 1410 4ème restylage : Un ultime restylage, plutôt réussi vu l’ancienneté du modèle, eut lieu en 1999 avec face avant complètement redessinée, nouvelles poignées de portes et planche de bord, et l’ajout du moteur 1557 cm3 de 72 ch

  • La production des modèles 1300 prit fin en juillet 2004. Au total ce sont 1959630 voitures qui auront été fabriquées à Pitesti depuis août 1969.

  • LA DACIA 1320 Berline 5 portes à hayon dérivé de la 1310 produite en 1988. Cette 1320 avait une nouvelle planche de bord, et les moteurs étaient repris des 1310 et 1410. La plupart des 1320 étaient utilisées comme taxis

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    La production des modèles 1300 prit fin en juillet 2004. Au total ce sont 1959630 voitures qui auront été fabriquées à Pitesti depuis août 1969.

    LA DACIA 1325 LIBERTA En 1991 restylage de la 1320

  • LA DACIA 2000 Le constructeur, toujours entreprise nationalisée, a produit sous licence une petite série de Renault 20 TS au début des années 1980, appelée Dacia 2000. Ces voitures étaient réservées à la police secrète (Securitate) et aux hauts dignitaires du régime communiste, (Nomenklatura) présidé par Nicolae Ceaușescu. Elle a existée uniquement en bleu foncé et en noir.

  • LA DACIA SUPERNOVA La SupeRNova voit le jour en juillet 2000. Profitant du rachat de son constructeur par le groupe français Renault, elle est équipée du moteur 1.4 (répondant aux normes Euro II) déjà vu sur la Clio et d’une boîte de vitesses à 5 rapports également fournie par Renault. Déclinée en quatre finitions nommées « Europa », « Confort », « Rapsodie » et « Clima » (comprenant la climatisation, les jantes en aluminium et un lecteur cassette, le tout de série pour 5800 €), la gamme SupeRNova sera complétée par une série spéciale « Campus », dont le nom évoque fortement certaines Renault. Modèle de transition souffrant d’une qualité de fabrication encore perfectible, la SupeRNova peine à s’imposer. La chute des taxes douanières protégeant le marché roumain n’arrange pas ses affaires, et elle est remplacée dès 2003 par la nouvelle Solenza, après avoir été produite à 57 465 exemplaires, écoulés très majoritairement en Roumanie, où elle a été la voiture la plus vendue en 2001 et 2002.

  • LA DACIA SOLENZA Dernière évolution de la Nova, la Solenza est lancée en 2003, en remplacement de la SupeRNova. Elle est disponible comme cette dernière dans une unique version cinq portes avec le même moteur 1.4 MPI, et en cinq finitions : Europa, Confort, Rapsodie, Clima et Scala. Dans cette dernière version haut de gamme, facturée aux environs de 6 000 €, on retrouve la climatisation, les vitres électriques à l’avant, un coussin gonflable de sécurité pour le conducteur, un autoradio, la peinture métallisée, mais pas encore l’ABS. Un diesel 1.9 D de 63 ch fait son apparition en 2004, alors que la future Logan est sur le point d’être finalisée. Inaugurant le nouveau style Dacia et bénéficiant d’une qualité de fabrication alors jamais vue sur une voiture roumaine, la Solenza s’est pourtant fait très discrète en Europe : en effet, sa commercialisation s’est limitée à la Roumanie et aux pays voisins, tels que la Bulgarie, la Hongrie ou la Serbie, où elle avait pour principale concurrente la russe Lada 110. La Solenza cohabitera quelques mois avec la Logan, avant de s’éteindre dans l’anonymat courant 2006, après avoir été fabriquée à 79 209 exemplaires

  • LA DACIA D6 On a tendance à associer Dacia avec toute une famille de berlines issues de la Renault 12, mais ce serait restreindre le constructeur à la partie visible de l'iceberg. A côté de la famille des berlines 1300 et 1310, en effet, ont existé d'autres modèles moins connus qui n'ont eu comme malchance que d'être réservés à une élite, ou bien jugés politiquement incorrects par le pouvoir. La Dacia D6 fait partie de cette seconde catégorie. Il s'agissait d'une version à l'identique de la Renault Estafette, et aussi de la toute première fourgonnette jamais construite par Dacia. L'Estafette roumaine mesurait 4090 mm de longueur, 1780 mm de largeur et 1980 mm de hauteur. Elle pesait seulement 1010 kg et sa charge maximale était limitée à 1885 kg. Pour la petite histoire, le Service roumain de Renseignements en utilisait encore un exemplaire en 1991, qui fut ensuite racheté par la police des frontières roumaine. Etonnant si l'on songe que son bloc moteur 1.2 essence du D6 provenait de la berline 1310 et ne permettait qu'une vitesse de pointe de 101 km/h... La Dacia D6 fut produite entre 1974 et 1977 à seulement 842 exemplaires, et ne fut pas exportée. Comment expliquer que ce modèle très populaire en France ait été un échec en Roumanie ? Plusieurs explications ont été avancées, sans qu'on sache avec certitude laquelle est la bonne. On raconte par exemple que le parti communiste roumain aurait vu d'un mauvais œil le nouveau véhicule, qui était associé au flower power, un peu comme le mini-van Volkswagen. Or si la production du D6 avait été approuvée par Renault, L'Estafette aurait connu un réel succès auprès des jeunes Roumains, et le PCR ne pouvait tolérer l'idée qu'ils puissent être encouragés par ce véhicule à adopter un style de vie hippie.

  • Certains prétendent que la D6 aurait été produit de façon illégale, sans l'accord de Renault qui en aurait même ignoré l'existence, et qu'après l'avoir découvert, la Régie aurait exigé que Dacia cesse sa production. D'autres enfin expliquent que la fourgonnette vendue principalement en Roumanie à l'époque communiste était le Aro TV, et que le gouvernement roumain n'aurait pas d'un oeil très favorable le fait que Dacia lui produise un concurrent, d'où l'arrêt rapide de la D6. Il est fort probable que la vérité soit un peu des trois. Si la D6 était jugée subversive et qu'elle compromettait en plus les ventes d'un modèle local de qualité inférieure, et pour peu que Dacia ait quelque peu mis la charrue avant les bœufs en démarrant prématurément sa production, on peut imaginer qu'il n'ait pas été difficile de convaincre Renault d'en exiger l'arrêt. Signalons d'ailleurs que Renault mit fin à son contrat avec Dacia l'année suivante, en 1978. Quoi qu'il en soit, les Dacia D6 ont pour la plupart disparu, rongées par la corrosion et noyées dans l'oubli. Le nombre d'exemplaires ayant survécu est estimé entre 10 et 15. La D6 est si rare que même l'usine mère de Mioveni, et le musée situé près de l'usine de Pitesti, n'en possèdent plus un seul spécimen.

  • Le contrat qui unissait Dacia et Renault prit fin en 1978, 10 ans après la fourniture de l’usine. En 1980 suite à une décision unilatérale du gouvernement roumain et pour des raisons économiques, il y eut une rupture entre les deux constructeurs. 1999 fut l'année de l'acquisition de Dacia par Renault. En effet, après l'échec du rachat de Škoda, qui est passée sous la coupe de Volkswagen, le constructeur français qui souhaitait toujours assembler la voiture à trente mille FRF pour les pays émergents, a mis la main sur le constructeur roumain. C'est en quelque sorte un retour aux sources pour Dacia. Le 29 septembre 1999, suite à de longues négociation, Renault a acquis 51 % du capital de Dacia pour un montant de cinquante millions de dollars. Cette participation est passée à plus de 73 %, fin juin 2000. Dans le programme d'investissements, il est prévu un apport de deux cent vingt millions de dollars pendant cinq ans pour Dacia, afin de remettre à niveau son site, sur le plan technique et productif. L'objectif après l'avènement de l'euro est de développer un véhicule moderne à cinq mille euros. La suite c’est la genèse et la production en 2004 de la X90, la fameuse Logan. Viendrons par la suite la Sandero, les Logan, MCV, Fourgon et Pick-up, le Duster, le Lodgy et le Doker.

  • DACIA LOGAN phase 1 La Logan est conçue comme la remplaçante des Dacia 1300. Il s'agit d'une petite berline spacieuse avec une ligne où le coût et la rusticité sont les préoccupations principales : « design to cost ». Ses concepteurs n'ont pas recherché l'exercice de style esthétique, mais se sont plutôt livrés à un casse-tête économique. Son cahier des charges répond à des choix économiques, mais aussi de fiabilité : elle doit pouvoir endurer tous les climats et toutes les routes, des pavés de Roumanie à la « tôle ondulée » des routes sahariennes. Elle doit être capable de fonctionner avec de l'essence de qualité médiocre. La rareté des garages dans les pays les moins industrialisés fait qu'elle doit aussi supporter de très longues périodes sans révision. En outre, elle doit pouvoir être réparée facilement. Enfin, elle respecte les normes européennes euro III et euro IV en matière d'émissions polluantes et se recycle à 95 %. La Logan est vendue sous la marque roumaine Dacia en Europe (à l'exception de la Russie), en Afrique (à l'exception de l'Égypte), et en tant que Renault Logan en Russie, en Inde, en Égypte et en Amérique du Sud. Elle est aussi vendue au Mexique sous le nom de Nissan Aprio (Renault étant allié à Nissan, plus présent dans ce pays) et en Iran sous le nom de Renault Tondar 90. Elle est aussi vendue en Inde sous le nom de Mahindra Verito (anciennement Renault-Mahindra Logan). En outre, Lada produit depuis 2011 la Lada Largus, qui n'est autre qu'une Logan MCV rebadgée Berline 2004 – 2007 Finition : Logan - Ambiance – Lauréate - Prestige Motorisation : essence 1.4 MPi Gpl 75 cv essence 1.6 MPi 90 cv essence 1.6 16V 105 cv diesel 1.5 Dci 70 cv diesel 1.5 Dci 85 cv

  • DACIA LOGAN phase 2 Le 1er juillet 2008, Dacia offre un restylage à la Logan. Elle reçoit une nouvelle face avant arborant notamment le nouveau logo de la marque Dacia, ainsi qu'un dessin de coffre revu. L'intérieur est repris de celui de la Sandero, ce qui marque donc un progrès qualitatif. Berline 2008 – 2011 Finition : Logan - Ambiance – Lauréate – Prestige – Silver Line – Black Line Motorisation : essence 1.4 MPi Gpl 75 cv essence 1.6 MPi 90 cv essence 1.6 16V 105 cv essence 1.2 16V 75 cv essence 1.2 16V Gpl 75 cv diesel 1.5 Dci 70-75-85-90 cv

  • DACIA LOGAN 2 Deuxième génération pour celle qui a inventé la voiture à bas prix , mais de qualité , avec une réelle montée en gamme. Née il y a déjà huit années et pas destinée dans son positionnement et ses prestations à être commercialisée en Europe occidentale, la Logan laisse la place à la deuxième génération, basée sur la plate-forme "à tout faire" des plus récents SUV Duster et monospace Lodgy. Notez qu'au passage, la version break MCV de la Logan disparaît du catalogue au profit de la récente Lodgy et de sa version utilitaire Dokker. Berline 2012 – Finition : Logan – Silver Line – Black Line Motorisation : essence 1.2 16v 75 cv essence 0.9 Tce 3 cylindres 90 cv diesel 1.5 Dci Fap 75 cv diesel 1.5 Dci Fap 90 cv

  • DACIA SANDERO La Dacia Sandero est une automobile économique conçue par le groupe Renault sur la base de la Logan. C'est un véhicule à cinq portes qui dispose d'un empattement plus court que la berline à 4 portes dont elle est issue. La Sandero bénéficie selon le constructeur des qualités fondamentales des véhicules de la gamme Dacia : habitabilité, capacité de chargement et robustesse. Berline 2008 – 2011 Finition : Sandero - Ambiance – Lauréate – Silver Line – Black Line Motorisation : essence 1.2 16v 75 cv essence 1.2 16V Gpl 75 cv essence 1.4 MPi Gpl 75 cv essence 1.6 MPi 90 cv essence 1.6 16V 105 cv diesel 1.5 Dci 70 – 75 – 85 - 90 cv Stepway 2009 – 2011 Une Sandero à l'apparence d'un véhicule tout terrain, baptisé Stepway, En Europe, cette version a été présentée au salon de Barcelone, et est commercialisée depuis octobre 2009. Malgré ses ressemblances avec un véhicule tout-terrain (pare-chocs proéminent, sabots de protection, barres de toit, marchepied, garde au sol rehaussée) le Stepway est une traction. Finition : Ambiance – Prestige Motorisation : essence 1.2 16v 75 cv essence 1.2 16V Gpl 75 cv essence 1.4 MPi Gpl 75 cv essence 1.6 MPi 90 cv essence 1.6 16V 105 cv diesel 1.5 Dci 70 – 75 – 85 - 90 cv

  • DACIA SANDERO 2 C'est d'abord le style qui s'affine un peu, avec des flancs plus sculptés et, surtout, une face avant agréablement arrondie. L'intérieur n'est pas en reste, avec une planche de bord entièrement redessinée. Les plastiques sont certes encore un peu durs, mais la présentation est incontestablement plus valorisante. L'équipement, de son côté, se fait de moins en moins basique, puisque, outre l'ESP monté en série, un limiteur/régulateur de vitesse et le système multimédia à écran tactile apparu sur le Lodgy deviennent disponibles Caractéristique identique à la Logan 2 mais avec un hayon arrière Berline et Stepway 2012 – Finition : Silver Line – Black Line Motorisation : essence 1.2 16v 75 cv essence 0.9 Tce 3 cylindres 90 cv diesel 1.5 Dci Fap 75 cv diesel 1.5 Dci Fap 90 cv

  • DACIA DUSTER Le Dacia Duster est un véhicule utilitaire sport (SUV). Il est disponible en version 4×2 et 4×4. 4X2 et 4X4 2010 – Finition : Duster - Ambiance – Lauréate – Prestige Motorisation : essence 1.6 16v 105 cv diesel 1.5 Dci 85 cv diesel 1.5 Dci Fap 90 cv diesel 1.5 Dci Fap 110 cv

  • DACIA LODGY Dérivant du SUV à succès Dacia Duster, le Lodgy est développé sous le code J92. Après avoir été annoncé sous le nom de Popster, Dacia révèle la version Trophée Andros et officialise le nom Lodgy le 14 novembre 2011. La présentation officielle a eu lieu au salon automobile de Genève 2012, pour une commercialisation effective au mois d'avril 2012. Le modèle Lodgy apporte des équipements inédits jusqu'alors pour la marque Dacia, tel que le limiteur de vitesse ou le GPS tactile. Situé à mi chemin entre le break et le monospace, ce véhicule dispose de 5 ou 7 places 5 places et 7 places 2012 – Finition : Lodgy - Ambiance – Lauréate – Prestige Motorisation : essence 1.6 16v 85 cv diesel 1.5 Dci Fap 90 cv diesel 1.5 Dci Fap 110 cv

  • DACIA DOKKER Le Dacia Dokker permet de transporter cinq personnes tout en offrant 800 litres de coffre pour leurs bagages. Il dispose d’une banquette arrière rabattable 2/3 – 1/3 alors que son volume de chargement peut atteindre jusque 3 m3. Le Dacia Dokker Van est pour sa part une fourgonnette dont les capacités de chargement varient de 3,3 m3 à 3,9 m3. 5 places et 7 places et Van 2012 – Finition : Dokker – Van - Ambiance – Lauréate Motorisation : essence 1.6 16v 85 cv diesel 1.5 Dci Fap 75 cv diesel 1.5 Dci Fap 90 cv