MOUVEMENT KODRO TI MO KOZO SI Newsletter MKMKS · Les évènements qui au plan national, ont...
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M OUVEMENT K ODRO TI M O K OZO S I MKMKS DIGNITÉ - RASSEMBLEMENT - PROGRÈS Newsletter MARS 2020 Edito Par Jean-Serge BOKASSA Chers lecteurs, Nous sommes heureux de pouvoir revenir vers vous en ce début d’année. Une année qui s’annonce riche en couleurs et en évènements. Evènements qui malheureusement, ne sont pas des plus gais, mais cette année est aussi riche en défis et pas des moindres. Les évènements qui au plan national, ont d’ailleurs marqué la fin d’année 2019 et le début d’année 2020, illustrent bien cela et en disent long sur la suite à venir. Nous avons en filigrane sanglant quelques conflits dans l’arrière-pays, une opération grossie à coup de grosse campagne médiatique menée par la minusca (Force onusienne à Bangui) et baptisé " MO KIRI " en sangö qui veut dire " TU REPARS " en français. Et l’évènement phare retenu comme le plus marquant se trouve être la commémoration de ce qu’ils appellent l’an un (1) de la signature du fameux Accord de Khartoum qui a vu l’arrivé dans la capitale sous haute escorte onusienne et l’accueil au palais de la renaissance des criminels étrangers, signataires de cet Accord ayant pour point commun le non-respect de celui-ci. La très connue Organisation Non Gouvernementale (ONG), Human Rights Watch (HRW), dans un rapport portant sur l’année 2018 a levé le pan du voile, sur la situation tant sécuritaire qu’humanitaire en mettant un accent particulier d’ailleurs sur l’impunité : " Un dialogue politique entre l’Union africaine et les groupes armés, destiné à obtenir un accord politique pour mettre fin aux affrontements, a repris en août mais n’a pas mis un terme aux violences et aux exactions contre les civils. Si certains efforts pour restaurer l’ordre ont été couronnés de succès, notamment à Paoua, les soldats de la paix de l’Organisation des Nations Unies (ONU) ont globalement eu du mal à protéger les civils des attaques de groupes armés, dont certaines ont été commises à proximité des bases de l’ONU ". Ou encore : " En vertu du chapitre VII de la Charte des Nations Unies, la mission est autorisée à employer tous les moyens nécessaires pour protéger la population civile face aux risques de violences physiques, et à mettre en œuvre la stratégie de protection des civils à l’échelle de la Mission ". Mankeur NDIAYE quant à lui, dans une interview accordée au très connu site d’information en ligne intitulé 54 Etats (www.54etats.com), a d’ailleurs relevé ceci, le 22 Janvier dernier, lors de la remise officielle de l’avant-projet de loi portant sur la mise en place de la Commission dite Vérité, Justice, Réconciliation et Réparation (CVJRR) : " LE DROIT DE SAVOIR CE QUI S’EST PASSE, LE DROIT A LA JUSTICE, LE DROIT D’OBTENIR DES REPARATIONS AINSI QUE DES GARANTIES DE NON REPETITION DU CAUCHEMAR VECU PAR D’INNOMBRABLES VICTIMES ". Il ne croyait pas si bien dire, tant il est vrai et plus qu’évident, que ces vœux pieux qui n’ont cessé d’accompagner les condamnations de principe d’une coalition Gouvernement-Communauté Internationale à court de solution concrète, exaspère la population qui se voit, à l’orée d’une consultation populaire de taille à laquelle elle se trouve être convoquée, prise en otage d’un système criminel, qui lui enlève ce qui lui reste de plus chère et de plus sacrée, sa liberté et donc sa dignité. Il est tout de même important, pour le Mouvement Kodro Ti Mo Kozo Si, de rappeler au Représentant du Secrétaire Général des Nations Unies (ONU) en République centrafricaine (RCA) que ce discours ne convainc plus ; qu’une absence d’actions concrètes à la faveur du Peuple massacré, établit une légitime défiance des gouvernés à l’endroit des gouvernants, que les mots ne suffisent plus, que le Peuple, pour revenir à ses propos, sait ce qui s’est passé, qu’il se lasse de constater qu’il n’y a pas de justice si ce n’est celle des plus forts sur les plus faibles et de constater que ses bourreaux sont honorés et jouissent d’un permis de tuer, que ni les Nations Unies (ONU), ni les Accords dits de Khartoum, ne suffisent pour garantir justice et sécurité, et qu’ainsi, aucune garantie ne peut leur être garantie, si nous continuons de nous construire en dehors des principes fondamentaux découlant d’un Etat qui se veut de droit. Il n’y a en cela aucune formule miracle, mais la lucidité politique gagnerait à nous aider à comprendre qu’une remise en question rapide et urgente s’impose. Si ce Peuple mérite tous les sacrifices, alors celui-ci n’en sera pas un de trop. Le processus se doit de retrouver un caractère inclusif, des mesures impartiales dans la recherche absolue de l’intérêt supérieur de la nation et non celui d’un régime ou d’un clan. Le MKMKS, par ma voix, réaffirme sa ferme volonté à continuer de se battre auprès du Peuple par des moyens pacifiques et démocratiques, dans le but ultime de restaurer la dignité du Peuple auquel nous appartenons. Cette Patrie est notre héritage, mais un héritage n’est pas légué à l’héritier tant qu’il est mineur. Il sera toujours administré par des tuteurs, jusqu’à ce qu’il soit majeur. La majorité physique est un fait et la majorité mentale en est un autre. Si l’indépendance consacrait la réalité d’une maturité au plan physique, il nous faut encore démontrer que nous le sommes au plan mental. Montrons-nous dignes de cet héritage en reprenant en mains notre destin. Le coq annonce la levée d’un jour nouveau, celui fait d’espoir mais non sans sacrifice. Le Coordonnateur Général Jean-Serge BOKASSA Sommaire La parole aux Femmes ........................... Page 2 Actualités ............................................... Page 3 La Jeunesse MKMKS de Bouar ............. Page 4 Rétrospectives 2019 du MKMKS Directeur de publication : Richard BLAISE P. Rédacteur en chef : Sydney TCHIKAYA - Rédacteur : Loïc Rémy GOTTO
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MOUVEMENT KODRO TI MO KOZO SI
MKMKSDIGNITÉ - RASSEMBLEMENT - PROGRÈS
NewsletterMARS 2020
EditoPar Jean-Serge BOKASSA
Chers lecteurs, Nous sommes heureux de pouvoir revenir vers vous en ce début d’année. Une année qui s’annonce riche en couleurs et en évènements. Evènements qui malheureusement, ne sont pas des plus gais, mais cette année est aussi riche en défi s et pas des moindres. Les évènements qui au plan national, ont d’ailleurs marqué la fi n d’année 2019 et le début d’année 2020, illustrent bien cela et en disent long sur la suite à venir. Nous avons en fi ligrane sanglant quelques confl its dans l’arrière-pays, une opération grossie à coup de grosse campagne médiatique menée par la minusca (Force onusienne à Bangui) et baptisé " MO KIRI " en sangö qui veut dire " TU REPARS " en français. Et l’évènement phare retenu comme le plus marquant se trouve être la commémoration de ce qu’ils appellent l’an un (1) de la signature du fameux Accord de Khartoum qui a vu l’arrivé dans la capitale sous haute escorte onusienne et l’accueil au palais de la renaissance des criminels étrangers, signataires de cet Accord ayant pour point commun le non-respect de celui-ci. La très connue Organisation Non Gouvernementale (ONG), Human Rights Watch (HRW), dans un rapport portant sur l’année 2018 a levé le pan du voile, sur la situation tant sécuritaire qu’humanitaire en mettant un accent particulier d’ailleurs sur l’impunité : " Un dialogue politique entre l’Union africaine et les groupes armés, destiné à obtenir un accord politique pour mettre fi n aux affrontements, a repris en août mais n’a pas mis un terme aux violences et aux exactions contre les civils. Si certains efforts pour restaurer l’ordre ont été couronnés de succès, notamment à Paoua, les soldats de la paix de l’Organisation des Nations Unies (ONU) ont globalement eu du mal à protéger les civils des attaques de groupes armés, dont certaines ont été commises à proximité des bases de l’ONU ". Ou encore : " En vertu du chapitre VII de la Charte des Nations Unies, la mission est autorisée à employer tous les moyens nécessaires pour protéger la population civile face aux risques de violences physiques, et à mettre en œuvre la stratégie de protection des civils à l’échelle de la Mission ".Mankeur NDIAYE quant à lui, dans une interview accordée au très connu site d’information en ligne intitulé 54 Etats (www.54etats.com), a d’ailleurs relevé ceci, le 22 Janvier dernier, lors de la remise offi cielle de l’avant-projet de loi portant sur la mise en place de la Commission dite Vérité, Justice, Réconciliation et Réparation (CVJRR) : " LE DROIT DE SAVOIR CE QUI S’EST PASSE, LE DROIT A LA JUSTICE, LE DROIT D’OBTENIR DES REPARATIONS AINSI QUE DES GARANTIES DE NON REPETITION DU CAUCHEMAR VECU PAR D’INNOMBRABLES VICTIMES ". Il ne croyait pas si bien dire, tant il est vrai et plus qu’évident, que ces vœux pieux qui n’ont cessé d’accompagner les condamnations de principe d’une coalition Gouvernement-Communauté
Internationale à court de solution concrète, exaspère la population qui se voit, à l’orée d’une consultation populaire de taille à laquelle elle se trouve être convoquée, prise en otage d’un système criminel, qui lui enlève ce qui lui reste de plus chère et de plus sacrée, sa liberté et donc sa dignité. Il est tout de même important, pour le Mouvement Kodro Ti Mo Kozo Si, de rappeler au Représentant du Secrétaire Général des Nations Unies (ONU) en République centrafricaine (RCA) que ce discours ne convainc plus ; qu’une absence d’actions concrètes à la faveur du Peuple massacré, établit une légitime défi ance des gouvernés à l’endroit des gouvernants, que les mots ne suffi sent plus, que le Peuple, pour revenir à ses propos, sait ce qui s’est passé, qu’il se lasse de constater qu’il n’y a pas de justice si ce n’est celle des plus forts sur les plus faibles et de constater que ses bourreaux sont honorés et jouissent d’un permis de tuer, que ni les Nations Unies (ONU), ni les Accords dits de Khartoum, ne suffi sent pour garantir justice et sécurité, et qu’ainsi, aucune garantie ne peut leur être garantie, si nous continuons de nous construire en dehors des principes fondamentaux découlant d’un Etat qui se veut de droit. Il n’y a en cela aucune formule miracle, mais la lucidité politique gagnerait à nous aider à comprendre qu’une remise en question rapide et urgente s’impose. Si ce Peuple mérite tous les sacrifi ces, alors celui-ci n’en sera pas un de trop. Le processus se doit de retrouver un caractère inclusif, des mesures impartiales dans la recherche absolue de l’intérêt supérieur de la nation et non celui d’un régime ou d’un clan.Le MKMKS, par ma voix, réaffi rme sa ferme volonté à continuer de se battre auprès du Peuple par des moyens pacifi ques et démocratiques, dans le but ultime de restaurer la dignité du Peuple auquel nous appartenons.Cette Patrie est notre héritage, mais un héritage n’est pas légué à l’héritier tant qu’il est mineur. Il sera toujours administré par des tuteurs, jusqu’à ce qu’il soit majeur. La majorité physique est un fait et la majorité mentale en est un autre. Si l’indépendance consacrait la réalité d’une maturité au plan physique, il nous faut encore démontrer que nous le sommes au plan mental. Montrons-nous dignes de cet héritage en reprenant en mains notre destin. Le coq annonce la levée d’un jour nouveau, celui fait d’espoir mais non sans sacrifi ce.
Le Coordonnateur GénéralJean-Serge BOKASSA
Sommaire
La parole aux Femmes ........................... Page 2Actualités ............................................... Page 3La Jeunesse MKMKS de Bouar ............. Page 4Rétrospectives 2019 du MKMKS
Directeur de publication : Richard BLAISE P. Rédacteur en chef : Sydney TCHIKAYA - Rédacteur : Loïc Rémy GOTTO
La parole aux Femmes
La Voix de la Femme Centrafricaine Par Sidonie SEZON
Chers compatriotes,Au nom des femmes du MKMKS de la Diaspora, je vous souhaite mes meilleurs vœux de santé et de prospérité pour l’année 2020.L’année 2020 a été une année critique dans l’histoire de notre pays. Les élections auront lieu en décembre 2020 et la réalisation des objectifs du développement durable doit être atteinte en 2030. Notre pays, après 60 ans d’Indépendance demeure le moins avancé de la planète. Plusieurs facteurs ont contribué à notre sous-développement. Une gouvernance des affaires publiques basée sur la corruption à tous les niveaux, un manque de vision de la part de nos élites, ajouté à cela le tribalisme, l’autoritarisme du pouvoir en place ont fait que la méritocratie n’a plus sa place dans l’administration centrafricaine. L’impunité des crimes commis par certaines de nos élites continue de gangrener la vie des centrafricains au quotidien. Nous, femmes centrafricaines, nous ne voulons plus être considérées comme des griots dont le rôle ne se limite qu’à chanter des louanges pour les dirigeants politiques. Désormais, la femme centrafricaine doit prendre part à toutes les décisions qui ont ou auront un impact sur sa vie et celle de ses enfants. Pour les futures élections, plus précisément celles de 2020, la femme centrafricaine devrait s’assurer que les projets de société des candidats potentiels répondent aux besoins économiques, sociaux et politiques afin de leur permettre de faire un choix éclairé. Ceci dit, les éléments de réflexion que je propose ici vont se reposer sur deux types d’approches : quel genre de société nous voulons pour nous et pour les générations futures et comment nous allons la réaliser.1) Quel genre de société nous voulons pour nous-mêmes et pour les générations futures : cela demande une implication totale de toutes les forces vives du pays travaillant en collaboration avec le gouvernement élu en prêtant une attention particulière à l’épanouissement et l’intégration de la femme centrafricaine dans toutes les instances de décision ;2) Comment nous allons la réaliser : l’état centrafricain devrait se donner les moyens d’acquérir le savoir-faire et les outils nécessaires relatifs aux problèmes du sous-développement de la République Centrafricaine. A mon avis l’accès à une éducation de qualité et surtout l’éducation de nos filles est la clé de nos problèmes de sous-développement car Il y a un adage qui dit : " éduquer une fille c’est éduquer une nation ". Nous devrions tous rêver d’un Centrafrique ou les futures générations pourront à travers notre mouvement aspirer à un avenir meilleur et vivre dans la dignité.
Les femmes s’engagent :
Mme Annick Laure MHALIOHLa candidate aux législatives, Mme Annick Laure MHALIOH, s’engage sous la bannière du " MKMKS " à servir ses concitoyens. C’est ainsi que le 20 Janvier 2020, Bimbo 2 a été à l’honneur. Elle est allée à la rencontre de ses futurs électeurs, conférer avec eux et mettre en place des cellules de soutien. Le directoire du " MKMKS " tient à féliciter son engagement et sa détermination.
Devons-nous rappeler que l’un des défis que souhaite relever le " MKMKS " serait de permettre aux femmes centrafricaines de servir leur pays à tous les niveaux de responsabilités. C’est aussi cela non seulement #FaireLaPolitiqueAutrement mais encore, participer au renouvellement de la classe politique.
Alors, le patriotisme s’exprimera aussi au féminin !
Actual ités
Le délégué de la jeunesse sur les plateaux de Vision 4Lionel Brayane Mitterrand NGANANGAOUI, délégué national de la jeunesse du MKMKS était l’invité du plateau Vision 4 à l’occasion de la commémoration de l’an un (1) des Accords de Khartoum. Il était accompagné du président de l’association JAJSB, le Patriote Christian Wilfried TROMO AGOUDA et avait en face de lui Monsieur Aliou Saïd, membre de la commission suivi et évaluation de l’accord de Khartoum et Monsieur Zacharie GOUNOUMOUNDJOU, historien et inspecteur académique, pour la contradiction du débat.L’intervention du Patriote s’est inscrite dans la ligne directrice du mouvement qui n’a eu de cesse de dénoncer le caractère immoral de cet Accord. Il a pertinemment relevé quelques failles de forme comme de fond partant pour la forme du choix du lieu pour la tenue de ces assises, à savoir Khartoum, le caractère non inclusif du processus, aux questions de fonds touchant à l’impunité au travers d’une prime délivrée aux criminels étrangers, etc. Nous tenons à féliciter cette jeunesse consciente, engagée et courageuse. La rédaction
Le CGA, Antoine MAÏDOU au chevet des patriotes de Bangui Du 29 Janvier au 08 février 2020, le CGA a séjourné à Bangui. Un séjour qui lui a permit de rencontrer, d’écouter et d’encourager tous les Patriotes.Ainsi, durant son séjour, il a assisté à trois rencontres dont deux avec le bureau exécutif et la troisième avec les jeunes. Il a été plus frappé par l’engagement militant de nos jeunes malgré le peu de moyens dont ils disposent. Il a eu l’occasion de constater leurs besoins à tous les niveaux notamment le manque de matériel pour accomplir leurs activités. Ils ont également été très pertinents dans leur questionnement sur le mode de gouvernance que l’on se propose de mettre en place. Leur inquiétude c’est qu’on reproduise le même schéma que les régimes qui se sont succédé jusqu’ici. Il est rentré avec la ferme conviction que le MKMKS avec l’engagement des uns et des autres sera l’alternatif dont les Centrafricains ont besoin.
" Ensemble pour
un engagement citoyen "" Ensemble pour un engagement citoyen "
MOUVEMENT KODRO T I MO KOZO S I
MKMKSTo n P a y s a v a n t t o u t
" NOUS N’AVONS PLUS LE CHOIX…SI CE N’EST D’AGIR "
" Ensemble pour un engagement citoyen "
MOUVEMENT KODRO T I MO KOZO S I
MKMKSTo n P a y s a v a n t t o u t
" FAIRE LA POLITIQUE AUTREMENT "
" Ensemble pour un engagement citoyen "
MOUVEMENT KODRO T I MO KOZO S I
MKMKSTo n P a y s a v a n t t o u t
" TON PAYS AVANT TOUT "
" Ensemble pour un engagement citoyen "
MOUVEMENT KODRO T I MO KOZO S I
MKMKSTo n P a y s a v a n t t o u t
" POSER SAGEMENT LES CONDITIONS D’UNE RUPTURE
EN REDONNANT AU PEUPLE SA DIGNITÉ "
" Ensemble pour un engagement citoyen "
MOUVEMENT KODRO T I MO KOZO S I
MKMKSTo n P a y s a v a n t t o u t
" LES VOLONTAIRES DU PROGRÈS "
" Ensemble pour un engagement citoyen "
MOUVEMENT KODRO T I MO KOZO S I
MKMKSTo n P a y s a v a n t t o u t
" RESTAURONS ENSEMBLE NOTRE DIGNITÉ "
MKMKS : BP 1001 Bangui (RCA) Tél. : 00 236 6 10 80 80 02 / 7 51 44 46 90
Mail : [email protected] - Site : www-mkmks-officiel.com
A très bientôt pour la Newsletter de Mai 2020...
La pensée du mois : " Chacun a la responsablilité morale de désobéir aux lois injustes ".
Marint Luther King
Rétrospectives 2019 du MKMKS
Réunion jeunes de BOUARLa jeunesse MKMKS, sous l’impulsion de son président, plus que jamais engagé : mise en place des structures de Bouar.
Le 22 décembre 2019 à Bouar, Préfecture De la Nana Mambéré, accompagné du Bureau MKMKS local, le Délégué National de la Jeunesse dudit mouvement a tenu une réunion publique avec les jeunes de la ville. Ce fut un moment d’échanges ponctué de questions liées aux raisons d’être du MKMKS et le rôle des jeunes en son sein.
Ce moment d’échanges a permis aux participants de poser plusieurs questions auxquelles ont répondu le délégué national de la jeunesse et les autres membres du MKMKS qui l’assistaient.
Cette réunion, a par ailleurs enregistré la présence des chefs de groupes et de quartiers qui, après les échanges, ont décidé de soutenir le mouvement en manifestant leur attachement à l’idéologie de celui-ci et de ses projets pour la jeunesse Centrafricaine.
Rencontre Citoyenne Chartrettes - 21 septembre 2019
L’essentiel du message du 21 Septembre a porté sur la nécessité d’être uni pour gagner le pari de la sécurité et de la relance économique de notre pays. Uni oui mais autour d’un projet respectueux de la dignité du Peuple et de ses aspirations profondes.
Samedi 7 décembre 2019 de 15h à 18h
Maison pour Tous33 Cours Julien13006 Marseille*
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RCA Quel avenir ?
MOUVEMENT KODRO TI MO KOZO SI
MKMKSOrganisée par
Antoine MAÏDOU
Jean-Serge BOKASSA
Pour toutes informations Emilie ROLLAND 06 34 16 55 25
Sewa Ti Beafrica
CACS-Paca
Avec la participation de
Rencontre Citoyenne à Marseille
Rencontre Citoyenne Marseille - 7 décembre 2019
Les coulisses du 21 septembre...
Le 07 Décembre 2020, le Coordonnateur Général du Mouvement Kodro Ti Mo Kozo Si, " MKMKS " le patriote Jean-Serge BOKASSA, assisté du 1er Coordonnateur Général Adjoint, le patriote Antoine MAÏDOU, sont allés à la rencontre de ses concitoyens à Marseille. Ce moment de réflexion, placé sous le thème : " RCA, quel avenir ? ", fût riche en échanges. Reçu par la patriote Émilie ROLLAND, avec le soutien
remarquable de certaines associations à qui nous voudrions rendre à nouveau un vibrant hommage à savoir, " Les amis de Bangui ", " Marseille Centrafrique Solidarité (MCA) ", " Sewa Ti Beafrica ", " CACS-Paca ",
sans oublier la participation surprise d’Évelyne DURIEUX. À Marseille nous chanté la Renaissance !
