MNR Hebdo n° 9 · piliers du parti islamiste Ennahdha au pouvoir, a annoncé la ......
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M.N.R Hebdo Hebdomadaire d’information Politique de la droite nationale
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N° 009 Semaine 11– 2012 - Hebdo GRATUIT diffusé par internet Mise en page : Francis BOCQUILLET EDITORIAL : LA LIBERTE D EXPRESSION Au sein de la droite vertueuse, dite parlementaire, comme chez les purs et durs de la gauche, nos hommes politiques, prétendent représenter le clan du bien. En France, patrie des libertés, du vin et des 400 variétés de fromages, les interdits se multiplient, à l’exception d’Internet. C’est pourquoi nous devons utiliser ce média, le seul qui nous reste pour faire connaître les idées que nous défendons. Ceux qui se targuent démesurément des mots de “Nation“, “République “ et “souveraineté“ deviennent les muets du sérail , quand la dite nation et symboliquement niée. Un drapeau français brûlé, des citoyens traités de “sous-chiens“ , la France considérée comme une “garce à niquer“ cela n’émeut plus nos élites. Il faut croire qu’ils s’en accommodent. Et bien nous au MNR nous ne l’acceptons pas ! Nous sommes fiers d’être français et nous comptons défendre notre identité et notre civilisation européenne, n’en déplaise aux élites autoproclamées . La nation considérée uniquement comme guichet de sécurité sociale et d’assurance chômage, de RSA , CMU , AME, nous ne l’acceptons pas, contrairement à tous les hommes politiques de l’ UMP, du PS en passant par les verts et les extrémistes de gauche. Contrairement à eux, nous ne pensons pas qu’il soit normal que des associations descendent dans la rue dès qu’un immigré clandestin est menacé d’expulsion. L’on pourrait comprendre, l’humanisme qui commande une telle démarche, mais rappelons tout de même qu’un immigré clandestin est hors la loi, alors pourquoi échapperait-il à la loi, quand un chauffeur qui a dépassé la vitesse limitée de quelques kilomètres/heure, est lui lourdement sanctionné. En outre, avez-vous vu ces adeptes de la discrimination positive, combattre la précarité de nos concitoyens ? Dénoncer les bonus scandaleux des traders et des revenus hallucinants des patrons du CAC 40 ? Eh bien non ! cela n’a pas l’air de les préoccuper. Nos valeurs éclatent en morceaux. De nombreux sociologues universitaires, qui face aux semeurs de haine, leur fabriquent des excuses, à la vitesse d’un TGV . ( TGV que nous devrions traduire par Très Grande Vigilance , alors que c’est la très grande tolérance qui domine les esprits des biens pensants ). Pour eux, les jeunes des banlieues sont victimes du chômage et du racisme d’état, ils commettent des agressions parce que le système ne leur donne aucun choix. Toute parole contradictoire sera accueillie par une omerta concertée. Les rares empêcheurs dépenser en rond ( dont nous sommes ) seront désignés à la vindicte générale, et pour paraître crédible, au nom de la démocratie et de la liberté d’expression. Ne baissons pas les bras, unissons-nous, et rassemblons la droite Nationale pour que vive la France, et la civilisation européenne. Francis BOCQUILLET
En déplacement à Saint-Quentin Carl Lang et la guerre des mondes Publié par l’Union : le vendredi 09 mars 2012
SAINT-QUENTIN (Aisne). Pour le représentant de l'union de la droite nationale, un défi des civilisations est inéluctable. C'est même « le sens » de sa candidature.
On peut se considérer comme « le seul représentant de la droite nationale européenne » et dénoncer le « gauchisme à mi-‐chemin entre Chevènement et Mélenchon » de Marine Le Pen. Maintenant qu'il a fondé le Parti de la France et qu'il est, depuis le 13 septembre, candidat à l'élection présidentielle de l'union de la droite nationale, l'ancien frontiste Carl Lang insiste volontiers sur ce qui le sépare du Front national. De passage mardi soir à Saint-‐Quentin, dans l'Aisne, il a ironisé sur le retour à la retraite à 60 ans « auquel même le PS ne croit plus et qui est d'une démagogie sociale absolue » ou la création d'une tranche d'imposition à 46 % alors que lui dénonce « l'étatisme et le fiscalisme qui sont à l'origine de l'explosion des dépenses publiques qui étouffent le pays. C'est à l'Etat et aux collectivités territoriales de se serrer la ceinture, pas aux Français ». Divergence aussi sur l'Europe : « Il ne fallait pas prendre le train de l'euro. Mais, maintenant, je ne vois que des inconvénients à une sortie unilatérale de la monnaie unique : explosion du coût de la dette
et explosion du prix des matières premières, sans compter que cela signifie confier la zone euro à la seule Allemagne. » « Les auteurs de ce geste indigne seront poursuivis » Si la droite que veut incarner Carl Lang est franchement nationale en ratissant large sur le thème « la France aux Français », il se revendique aussi de la droite européenne, parce qu'il considère « qu'il ne faut pas couper la France du reste de l'Europe ». C'est « le sens de sa campagne » : pour lui, tous les pays du Vieux Continent partagent le même avenir : « Ensemble, nous devons relever un défi de civilisations. Pour défendre notre héritage humaniste et chrétien nous allons devoir préserver nos cultures. » Pour Carl Lang, « la France et l'Europe sont en situation de colonisation culturelle, financière et islamique. Je ne crois pas que nos valeurs soient compatibles avec la charia ». Ce défi, il le décrit comme un phénomène « révolutionnaire mais non violent » qui, à l'en croire, s'appuiera sur « une subversion démographique qui amènera le communautarisme qui, fort, logiquement, voudra vivre selon ses propres valeurs ». Logique avec lui-‐même, il refuse tout droit de vote aux étrangers : « Sinon le peuple français perd sa souveraineté. » Et de préciser à qui en douterait : « C'est un point de rupture non négociable avec la gauche. » Laquelle semble englober Nicolas Sarkozy : « Le problème avec lui, ce n'est pas ce qu'il dit mais ce qu'il ne fait pas. Je lui reproche surtout de ne pas nous avoir sortis du socialisme. » En attendant le choc des civilisations, Carl Lang a un combat plus immédiat à livrer. « Je dois avoir dépassé de peu les 400 signatures, ce qui est déjà un exploit. Il me reste dix jours pour obtenir la centaine qui me manque. » Pour arracher les signatures qui lui font défaut, Carl Lang prend vis-‐à-‐vis des maires qui le parrainent l'engagement d'un anonymat total s'il n'atteint pas son objectif : « Ou je déposerai 500 signatures au Conseil constitutionnel ou je n'en déposerai aucune. » Quel que soit le verdict du 16 mars, date limite de dépôt des parrainages, le candidat de l'union de la droite nationale pense déjà aux législatives qui suivront. « S'il n'y avait pas le frein financier, nous aurions des candidats de partout. Ce ne sera pas le cas et nous devrons faire des choix. La Picardie, parce qu'elle présente un très fort potentiel électoral pour nous, sera une zone prioritaire », explique celui qui se souvient que cette région fait aussi partie de la circonscription qui lui permit d'être député européen. Et de conclure sur le score de ses listes aux dernières régionales dans les quatre régions où elles étaient présentes : « 2, 7 % des suffrages en moyenne, ce qui en politique est loin d'être neutre. » Des voix qu'il affirme ne pas vouloir marchander : « Si je ne parviens pas à participer au premier tour, les électeurs se détermineront en leur âme et conscience. » Jean-‐Michel ROUSTAND
La Tunisie bientôt sous la férule de la charia ?La Tunisie bientôt sous la férule de la charia ?
07/03/2012 – 08h00 ���TUNIS (NOVOpress) — Les débats sur la nouvelle constitution battent leur plein à l’Assemblée constituante tunisienne, chargée de rédiger une nouvelle constitution pour ce pays du Maghreb. Sadok Chourou, l’un des piliers du parti islamiste Ennahdha au pouvoir, a annoncé la couleur : « Le Préambule doit mentionner la charia comme la principale source du droit ». Le dirigeant islamique avait déjà expliqué le 20 février sur le site Business News
que « le préambule doit se faire suivant trois références fondamentales, qui sont le Coran, la Sunna et l’unanimité des savants de la Umma islamique. C’est l’unique référence fondamentaliste islamiste reconnue et les théologiens de l’Islam sont unanimes là-dessus ».
Pour sa part, le député Mohamed Hamdi d’Aridha Chaabia, a indiqué que son parti souhaitait une constitution fondée sur « la charia et la Sounna » ainsi que sur « la liberté et l’héritage du peuple arabo-musulman ». Il n’est pas surprenant qu’un parti islamiste triomphant souhaite mettre la société civile tunisienne dans l’étau du totalitarisme islamique. Mais quand les médias occidentaux présentent le Printemps arabe comme un vent de liberté, alors, la désinformation n’est pas loin. En Tunisie, comme en Libye, en Syrie ou en Égypte.
Pakistan : les chrétiens demandent la création d'une province séparée
Une chrétienne a été sauvagement torturée et exhibée par la foule dans les rues d’un village de la province pakistanaise du Pendjab pour ses vues prétendument «anti-islam», ont déclaré aujourd’hui des résidents locaux et des officiers de police.
Quelque 30 résidents du village de Kot Meerath dans le district de Sialkot, à 80 km de Lahore, ont traîné Seema Bibi hors de sa maison le 26 février et l’ont fait parader dans les rues après lui avoir rasé la tête. Elle a été ciblée par la foule pour ses prétendues vues «anti-islam», ont déclaré des membres de la communauté chrétienne.
Après l'assaut, Seema Bibi et sa famille ont quitté le village pour sauver leur vie, ont déclaré des résidents locaux. «Ils avaient reçu des menaces d'un groupe de villageois extrémistes. Seema n’avait d’autre choix que de quitter le village», a déclaré Aslam Masih, un résident de Kot Meerath.
Le chef de la police régionale, Muhammad Amin, a indiqué aux journalistes que 26 personnes avaient été arrêtées et inculpées pour avoir torturé Seema Bibi. Il a ajouté que la police ne sait pas où se trouvent Seema Bibi et sa famille, et qu’elle avait été torturée et agressée pour ses croyances. La police avait intensifié sa surveillance en raison de tensions entre musulmans et chrétiens dans le village, a-t-il dit.
Source : Pak woman tortured, paraded in streets for 'anti-Islam views', Dailybhaskar, 2 mars 2012. Traduction par Poste de veille
Proclamation unilatérale de l’autonomie de l’Est libyen
Abdeljalil menace de recourir à la force ( source LE SOIR ) Moustapha Abdeljalil intransigeant concernant la division de la Libye.... Il accuse «certains pays arabes frères» de financer et de parrainer la sédition.
Le Conseil national libyen de transition (CNT), qui n’a pas encore résolu l’épineuse problématique des milices armées qui refusent à ce jour de reconnaître son autorité et donc sa légitimité, est confronté depuis mardi à une menace d’éclatement du pays. Les populations de l’est de la Libye, menées par Ahmed Zoubaïr, cousin de l’ancien roi Idriss El Senoussi renversé par El Gueddafi en 1969, ont proclamé de manière unilatérale la Cyrénaïque région autonome, forçant ainsi Tripoli à opter pour un système fédéral. En réponse à cette politique du fait accompli, le président du CNT, Moustapha Abdeljalil, a menacé hier de recourir à la force pour empêcher la réalisation de ce projet soutenu par des chefs de tribus et de milices. «Nous ne sommes pas préparés à une division de la
Libye», a-‐t-‐il dit lors d’un déplacement à Misrata. Visiblement désarçonné par l’annonce faite, la veille, par Ahmed Zoubaïr, Moustapha Abdeljalil a appelé ses «frères» de cette région au dialogue avant de les mettre en garde contre les «restes» du régime de Mouammar El Gueddafi. «Ils devraient savoir que des infiltrés et des restes du régime de Mouammar El Gueddafi tentent de les utiliser, et nous sommes prêts à les en dissuader, même par la force», a-‐t-‐il soutenu. Le chef du CNT a accusé, en outre, certains pays arabes, sans les nommer, de soutenir la «sédition». «Des pays arabes frères, malheureusement, financent et parrainent la sédition qui s’est produite dans l’Est pour ne pas être contaminés par la révolution.» Ses craintes et ses arguments ont-‐il convaincu ? Les prochains jours devraient certainement être riches en enseignements. Le CNT désemparé Une chose est sûre, tout le monde retiendra que la proclamation de l’autonomie de la région de Cyrénaïque s’est faite la veille de l’annonce, par Moustapha Abdeljalil, de la fin de la rédaction de la charte nationale qui servira de modèle à la future Constitution de la Libye.La charte, dont le texte a été rendu public, jette les bases d’une démocratie parlementaire avec un système administratif décentralisé et promet une gestion transparente des administrations locales. Et visiblement, il y a tout lieu de croire que ce texte n’intéresse pas grand monde. La remarque est valable du moins pour l’est de la Libye. Encore que… Moustapha Abdeljalil a-‐t-‐il maintenant les moyens militaires suffisants pour réfréner les ardeurs des autonomistes de Benghazi ? Peu probable, dans la mesure où l’armée nationale libyenne en constitution ne compte que quelques milliers d’hommes alors qu’en face les milices de Benghazi sont non seulement surarmées mais occupent déjà l’essentiel du terrain. Et qui sait, peut-‐être, sont financées et soutenues de l’extérieur. Face à cette réalité, le chef du CNT ne paraît pas avoir le choix que de faire appel aux milices des autres régions. Mais dans ce cas, il prend le risque majeur d’aggraver la guerre civile qui ne dit pas son nom dans laquelle est plongée la Libye depuis la chute du régime de Mouammar El Gueddafi.
Actualités : REUNISSANT LE MSP, ENNAHDA ET EL ISLAH L'Alliance islamiste est née ( source LE SOIR )
La coalition islamiste à trois est désormais sur pied. Son acte de naissance a été officiellement paraphé, ce mercredi, lors d’une cérémonie à l’hôtel Essafir d’Alger, par les leaders des trois partis MSP, Ennahda et El Islah, sous le label de l’Alliance de l’Algérie verte. ���M. Kebci- Alger (Le Soir)- Une dénomination loin de relever du hasard tant toute la philosophie que ses promoteurs lui assignent se décline aisément puisque se voulant accompagner la vague verte qui caractérise la scène régionale, le ras-de-marée islamiste qu’ont connu les pays voisins dans le sillage de ce qui e st appelé le printemps arabe. Et les leaders des trois «coalisés » ne s’en cachent pas pour louer le modèle turc, comme l’a si bien mentionné Hamlaoui Akkouchi, (en photo ) le secrétaire général du mouvement El Islah qui, dans sa prise de parole, s’est dit comblé de ce premier pas vers la constitution du bloc islamiste pour, dira-t-il, que «l’islam politique ait sa place sur l’échiquier politique national et ce, sur tous les plans». L’orateur, qui ne fera pas dans la demi-mesure, comme à son
habitude, quant à ses sérieuses réserves au sujet de la régularité du scrutin législatif du 10 mai prochain, affirmera que cette coalition est loin de constituer une simple alliance électorale dictée par le seul souci de présenter des listes communes aux législatives du printemps prochain. Ce que réitérera son successeur au pupitre, le patron du Mouvement Ennahda, qui, précisant qu’il demeure ouvert aux autres partis de la mouvance, allusion à peine voilée aux frères ennemis Djaballah et Ménasra qui ont tourné le dos à cette initiative, dira que ce bloc est un exemple qui incitera les partis des autres camps à se rassembler. Cette coalition, qui s’est dotée d’une charte de 34 points, fait, comme le mentionnera le président du MSP, de la proclamation du 1er Novembre 1954 l’un de ses fondements aux côtés de l’Islam comme religion d’Etat, du caractère républicain et démocratique du pays, l’alternance pacifique au pouvoir, les libertés individuelles et collectives, etc. Soltani qualifiera la naissance de cette coalition comme un événement historique qui, espère-t-il, inspirera d’autres forces politiques à taire, enfin, leurs divisions et s’unir sur l’essentiel, car, ajoutera-t-il, «le débat doit désormais être focalisé sur les programmes des uns et des autres, loin de toute tutelle historique, révolutionnaire et nationaliste». Et tout dans le protocole qui a caractérisé ce cérémonial que ses promoteurs ont voulu grandiose indique clairement la mainmise du MSP sur le trio. De l’ordre d’intervention des trois leaders, Akkouchi, Rébai puis Soltani jusqu’à la cérémonie de signature de l’acte de naissance de la coalition, Soltani au milieu, flanqué des patrons d’Ennahda et d’El Islah, tout indique que le MSP a réussi son challenge de se refaire une relative virginité parmi ses frères ennemis d’hier parmi lesquels il a pu se faire une place de choix, et ce, après avoir quitté le triumvirat présidentiel tout en gardant un pied au pouvoir à travers le maintien de ses ministres. Une mainmise du MSP derrière la non-implication des autres acteurs de la mouvance les plus en vue, notamment Djaballah et Ménasra qui a posé le préalable de la démission du gouvernement de Ghoul et de ses collègues du mouvement. ��� M. K.���
Belgique : Aux Assises du Hainaut, l'accusé, Walid Ben Khalifa a répété qu'il n'avait pas voulu la mort de Julien Martens. Le 10 janvier 2009 sur la Grand Place de Tournai, la victime a été frappée d'un coup de couteau en plein cœur au cours d'une bagarre entre jeunes. Devant les jurés, l'accusé, qui reconnaît la matérialité des faits, a défendu la thèse de l'accident. La défense parle de provocation.
"Julien Martens m'a insulté de "sale arabe. Je l'ai traité de pédé". Les invectives fusent de part et d'autre. "A l'alcool, j'avais la haine", explique encore Walid Ben Khalifa. Voilà comment tout a commencé. Simplement parce que l'accusé a refusé le verre offert par Julien Martens. Pourquoi? Les explications de l'accusé sont confuses, tout comme la scène de coups qui s'ensuit. Il était tard. Tout le monde avait beaucoup bu. Si l'accusé reconnaît la matérialité des faits, il confirme l'absence d'intention d’homicide. "Si j'avais voulu le tuer, je lui aurait porté 4 ou 5 coups", dit-‐il. La défense plaidera la provocation. Choquant pour les parties civiles, convaincues qu'il s'agit bien d'un meurtre avec préméditation. Armé d'un couteau, Ben Khalifa est revenu vers sa victime pour, selon son expression "laver l'honneur". Intercepté en Suède deux mois après les faits, l'accusé a tenté d'échapper à la justice belge en feignant une tentative de suicide. Les témoins de l'agression mortelle sont attendus aujourd'hui devant la cour. Ghislaine Bonaventure Source RTBF info.be
Suite de l’affaire : Le jury de la Cour d'Assises du Hainaut avait retenu l'intention homicide et la préméditation. Le verdict, largement motivé, soulignait la violence du coup de couteau porté à Julien Martens dans l' organe vital qu'est le cœur. Rien, selon le jury, ne justifiait l'excuse de la provocation qu'avait plaidée la défense. Ce Jeudi à 13h45, l'arrêt est finalement tombé : 20 ans de réclusion.
Rappelons que l'avocat général avait requis une peine minimale de vingt ans de réclusion à l'égard de Walid Ben Khalifa, 22 ans, reconnu coupable mercredi soir par la Cour d'assises du Hainaut de l'assassinat de Julien Martens. La victime avait été poignardée en plein cœur le 10 janvier 2009 sur la grand place de Tournai. Il a donc été suivi dans sa requête.
Les proches de Julien Martens qui avaient attendu ce verdict pendant six longues heures mercredi soir avaient quitté la Cour, soulagés. Le débat sur la peine avait commencé ce jeudi matin. La défense de Ben Khalifa avait tenté d'arracher quelques circonstances atténuantes compte tenu de la situation précaire d'un accusé, intellectuellement limité.
A l'arrivée, l'accusé a donc effectivement bénéficié de circonstances atténuantes en raison de son jeune âge, de son absence d'antécédents judiciaires en Belgique et de la difficulté de son parcours...
Son avocat a déjà précisé que Walid ben khalifa n'acceptait pas sa peine et avait d'ores et déjà décidé de se pourvoir en cassation.
Ghislaine Bonaventure, Vincent Clérin & Belga Source RTBF info.be
Chronique du jour : CE MONDE QUI BOUGE Tunisie, Constitution, le faux nez islamiste ( source LE SOIR )
Par Hassane Zerrouky «Les promesses n’engagent que ceux qui y croient», disait l’ex-‐ministre de l’Intérieur Charles Pasqua. Il en est ainsi de ceux qui ont pris pour argent comptant les propos de Rached Ghanouchi ( en photo ci contre )quand il déclarait avec une belle assurance qu’il se contenterait de la formulation «l’Islam est la religion et l’arabe la langue officielle du pays». Celui qui a été accueilli en novembre dernier comme un chef d’Etat en Algérie, pronostiquant une victoire de ses frères islamistes algériens sans que nos gouvernants ne le remettent au moins gentiment à sa place, tombe le masque. Ceux, à
vrai dire peu nombreux initialeme nt parmi les démocrates tunisiens, qui redoutaient au lendemain de la victoire d’Ennahda que ce dernier ne soit tenté de pousser son avantage, avaient vu juste ; et la question de la place de l’Islam dans le projet de Constitution préoccupe de nombreux Tunisiens, notamment les femmes qui craignent une remise en cause des acquis hérités de l’ère Habib Bourguiba. Qu’on en juge. «La religion ne relève pas du domaine privé, mais d’un ordre public et d’un mode de vie ; celui qui cherche à isoler la politique de l’islam attente à la structure de la pensée islamique », assurait le 28 février Sahbi Atig le chef du groupe parlementaire d’Ennahda. «Nous voulons appliquer progressivement la Charia. Cette dernière doit se faire selon trois références fondamentales, qui sont le Coran, la Sunna et l’unanimité des savants de la Umma islamique et doit émaner d’une demande du peuple», a renchéri de son côté le député et dirigeant du parti, Sadok Chourou. Ajoutant que les peines telles que «couper les mains des voleurs ou flageller les femmes adultères ne peuvent être appliquées si le contexte socio-‐économique ne s’y prête pas». Ouf ! Et afin qu’il n’y ait aucun doute sur les intentions de son parti, le chef d’Ennahda, Rached Ghanouchi, a assuré que «l’article 1 de la Constitution stipule que la Tunisie est un Etat libre, indépendant et souverain : sa religion est l’Islam, sa langue l’arabe et son régime la République, pourrait mentionner que la Charia est la source principale de la législation tunisienne». Fini donc ce temps – c’était le 4 novembre dernier – où le même Ghanouchi déclarait : «Nous sommes tous d’accord pour conserver l’article 1er de la Constitution, qui déclare que l’Islam est la religion et l’arabe la langue officielle du pays» et qu’«il n’y aura pas d’autres références à la religion dans la Constitution». Pour ne pas être en reste, d’autres partis se sont engouffrés dans la brèche. Ainsi en est-‐il du groupe de la Pétition populaire (26 députés, troisième force parlementaire) du milliardaire basé à Londres Hachemi Hamdi, un ex-‐proche de Ben Ali, qui revendique que «l’Islam soit la principale source de la législation» ou le groupe Liberté et dignité (12 députés), qui veut que «le Coran, la Sunna et l’unanimité des fuqaha (jurisconsultes)» soient «les principales sources de législation». Et même le minuscule parti Union patriotique libre, qui ne dispose que d’un siège de député, s’est prononcé pour l’adoption de la Charia dans la Constitution ! En bref, que du beau monde ! Pris de court et dépités, ses deux alliés au sein du pouvoir, le Congrès pour la république (CPR) du président Moncef Marzouki, et Ettakatol du président du Parlement Mustapha Benjaafar refusent une «instrumentalisation de l’Islam à des fins politiques » et demandent «à séparer le religieux du politique». A gauche, le Parti démocratique progressiste (PDP), ainsi que d’autres formations se revendiquant de la mouvance démocratique républicaine se mobilisent pour empêcher une confiscation de la «révolution du 14 janvier». Reste que des propos tenus il y a quelques mois par des dirigeants d’Ennahda étaient on ne peut plus clairs et auraient dû sonner comme un avertissement. Il en est ainsi du ministre de l’Enseignement supérieur Moncef Ben Salem qui déclarait que «Bourguiba est d’origine juive et tripolitaine», qu’«il haïssait l’islam et l’arabisation» et qu’«il a occidentalisé le pays – notamment en matière des droits de la femme – sur ordre de Mendes-‐France» ! Bienheureux Bourguiba qui n’est plus de ce monde pour entendre de pareilles sottises. H. Z.
Un pas de plus vers l’Islamisation de la France : L'assurance-vie compatible avec l'islam arrive Source 20 minutes 09/03/2012 EPARGNE - L'un des placements préférés des Français évolue... C'est une première en France… métropolitaine. La société CFCI & Associés lancera dans le courant du mois d'avril une assurance-‐vie «charia compatible». C'est-‐à-‐dire conforme à la loi islamique. L'assureur Allianz propose un produit équivalent depuis 2009, mais seulement sur le territoire de La Réunion. Cette fois-‐ci, l'assurance-‐vie sera donc accessible à l'ensemble des particuliers français… musulmans ou non. «La finance islamique, c'est d'abord un compartiment de la finance éthique», insiste Anouar Hassoune, ancien vice-‐président de l'agence de notation Moody's et responsable du produit. «La rémunération par les taux d'intérêt est interdite, tout comme la spéculation. Et les transactions doivent être adossées à des actifs provenant de l'économie réelle. Ces critères relèvent du bon sens et sont vraiment universalisables.» Seulement des actions de sociétés licites Concrètement, cette assurance-‐vie n'intégrera aucune obligation, seulement des fonds d'actions de sociétés reconnues comme licites et n'exerçant pas dans des secteurs tels que les jeux d'argent, l'armement ou le cinéma. Des titres comme L'Oréal et EDF, déjà présents dans la plupart des produits islamiques existants, devraient y figurer. Anouar Hassoune espère lever, via cette assurance-‐vie en cours d'agrément, 30 à 40 millions d'euros dans les deux ans. Pour Mohamed Bechari, président de la Fédération des musulmans de France, «si le lancement de ce produit prouve qu'il y a une demande, son arrivée ne sera pas un grand événement pour les musulmans, bien plus préoccupés par la présidentielle». Céline Boff Et les banques ? Si l'ex-‐ministre Christine Lagarde voulait faire de la France le leader européen de la finance islamique, peu de banques françaises proposent ce type de produits et aucune n'envisage de lancer une assurance-‐vie «charia compatible». Rodez ; La mosquée s’agrandit et ouvre six classes Source : Midi Libre 09/03/2012,
Le président Abdelkader Dkhissi, le vice-‐président Hamid Abdelaali et le trésorier Khomsi Boumedienne devant le nouveau bâtiment. (© D.R) Le chantier n’a pas dû échapper aux automobilistes empruntant l’avenue de Bamberg pour se rendre (ou sortir) d e la zone d’activités de La Prade. Six classes vont s'ouvrir Depuis quelques mois, la mosquée de Rodez, dressée face au centre technique municipal, est en phase d’agrandissement. À l’arrière-‐plan du bâtiment principal construit en 2000, s’érige désormais une
façade d’un étage. À l’intérieur, sur 274 m2 coiffant un préau, vont s’ouvrir six classes, cinq destinées aux enfants, une aux personnes handicapées. Car, on l’ignore souvent, en dépit des efforts de transparence de l’Association cultuelle des musulmans de Rodez (ACMR), en charge de la gestion et de l’organisation des lieux, on dispense des cours à la mosquée ruthénoise. "D’éducation islamique, d’arabe et de morale, le dimanche aux enfants", indique Hamid Abdelaali, vice-‐président de l’ACMR, par ailleurs cadre dans une grande entreprise de la région. Et comme, à la faveur des naissances et de l’arrivée de nouveaux pratiquants issus, notamment, de l’Europe de l’Est, leurs rangs se sont élargis ces dernières années, l’association a dû se résoudre à cette extension. Ouverture en juillet
Quel coût de la crise dans la dette de la France ? Source : IFRAP Le 9 mars 2012 par Agnès Verdier-‐Molinié et Samuel-‐Frédéric Servière et François Saint-‐Cast Les chiffres les plus fantaisistes circulent ces dernières semaines sur l’aggravation de la dette, les cadeaux aux riches, le déficit… La Fondation iFRAP a souhaité chercher derrière les chiffres et modéliser dépenses et recettes afin de faire apparaître à la fois le vrai coût du déficit « historique » et le vrai coût de la crise. Entre 2007 et 2012, la dette s’est aggravée, selon notre chiffrage, de 510 milliards d’euros. Pour obtenir ce chiffrage, nous avons cherché à comparer l’évolution des dépenses et des recettes constatées de 2004 à 2011. A partir de 2007 nous avons envisagé ce qu’aurait été une trajectoire alternative des finances publiques sans crise. L’hypothèse de départ a été choisie volontairement peu favorable en tenant compte d’un accroissement des dépenses dues à la mise en place de la première phase de la RGPP. Par la suite, nous avons considéré que le gouvernement aurait été « relativement » dépensier, restant légèrement en dessous de la limite de 3% de déficit de Maastricht pendant la durée de son mandat (très précisément -‐2,93% du PIB) à compter de 2008, tout en « laissant filer » la dette (qui se serait établie, hors crise, dans notre hypothèse, hors des critères de Maastricht à 72,3% en 2011). Tableau 1 : Coût de la crise Impact de la crise (Mds euros) 2007 2008 2009 2010 2011 Total
Déficits sur la législature -‐52 -‐65 -‐143 -‐137 -‐114 -‐510 Déficits sans crise ou "résiduel" -‐52 -‐58 -‐60 -‐63 -‐66 -‐298 Coût de la crise 0 7 83 74 48 212 Tableau 2 : Augmentation de la dette (constatée et en l’absence de crise) Endettement 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Endettement constaté (%PIB)
65,20% 66,80% 64,10% 64,20% 68,20% 79,00% 82,30% 85,40%
Endettement constaté (Mds euros)
1079 1148 1153 1211 1318 1492 1591 1704
Endettement sans crise (%PIB)
65,20% 66,80% 64,10% 63,84% 64,42% 67,03% 72,43% 72,30%
Endettement sans crise (Mds euros)
1079 1148 1153 1204 1269 1379 1555 1621
Sources : Fondation iFRAP Au sein de ces 510 milliards d’euros, 298 milliards sont imputables au déficit « structurel cumulé » de la France (entendu comme déficit sans crise [1] que l’on pourrait appeler « déficit résiduel » afin d’éviter toute confusion). En effet, en 2007, le déficit « résiduel » de la France était déjà de 52 milliards. Ce déficit s’est mécaniquement consolidé sans crise entre 2007 et 2011, passant à 66 milliards en 2011. Soit de 2,7% du PIB à 2,93% du PIB. Dans le même temps, le poids de la crise est isolable sur le déficit puisqu’à partir de 2009 où il constitue un pic (58% du déficit total constaté), il décroît progressivement jusqu’en 2011 (42%). Entre 2008 et 2011, la crise a donc coûté 212 milliards d’eu ros de déficits cumulés à la France.
La question qui se pose reste donc l’impact de la politique que le gouvernement a menée sur l’aggravation de la dette.
Une partie de la réponse est apportée par le rapport du rapporteur général du budget au Sénat, Nicole Bricq (PS) : « Le Gouvernement a pris de 2008 à 2010 un ensemble de mesures de réductions de recettes (loi TEPA, TVA restauration, réforme de la taxe professionnelle) qui ont globalement accru le déficit de 17,6 milliards d’euros, soit 0,9 point de PIB. » Ce qui correspondait en réalité à une politique de relance par l’offre dans un climat économique très déprimé. Sur l’ensemble des 510 milliards d’euros de dettes supplémentaires entre 2007 et 2011, 17,6 milliards au maximum seraient donc imputables à l’action du Gouvernement. Soit seulement 3,4% du total, ne représentant au final que 0,88 point de PIB. …Et encore ! En effet, plus loin dans le rapport, le Rapporteur général poursuit : « La politique d’allégements de recettes de début de mandat a dû être plus que compensée par des augmentations nettes de recettes (fiscales et non fiscales), en quasi-totalité concentrées sur les années 2011 et 2012, pour un montant total de 1,9 point de PIB (environ 40 milliards d’euros). » Il y a donc eu rattrapage sur les deux ans qui ont suivi afin de juguler très rapidement la forte dégradation des soldes publics, en attendant de pouvoir pleinement agir sur les dépenses [2]. En clair, l’action du gouvernement a été au début de la législature marquée par un allègement de recettes et, en fin de législature, suite à la crise, par une augmentation des impôts. Le Rapporteur évoque aussi les baisses de dépenses structurelles réalisées par le gouvernement : « Compte tenu de son engagement initial de maîtriser les dépenses, et de la nécessité de financer les baisses de recettes tout en réduisant le déficit, on peut supposer - de manière favorable au gouvernement - que cet effort de 1,1 point de PIB aurait également eu lieu en l’absence de crise. » Au final, le bilan des 510 milliards de dette supplémentaire ne peuvent dès lors pas être imputés au gouvernement mais en partie, comme le démontre notre chiffrage, à la crise et en partie au manque de rigueur structurel qui régit nos finances publiques depuis 30 ans [3] . Cela n’exonère pas pour autant les gouvernements qui se sont succédé de la responsabilité pour leur manque de vision à long terme du risque que nous fait courir collectivement déficit chronique et dette accumulée. La Fondation iFRAP propose une meilleure évaluation des coûts induits et des objectifs d’économies de dépenses sur 5 ans, ce qui permettrait d’éviter les incohérences de choix politiques au sein d’une même législature. Ce mécanisme nécessiterait, pour devenir pleinement opérationnel, la mise en place d’un comité budgétaire indépendant. Une disposition qui a d’ailleurs été soutenue dans le dernier rapport de l’OCDE France 2011.
Les facteurs d’évolution du solde public de 2008 à 2012 : une décomposition indicative par facteurs politiques (en points de PIB) * Croissance inférieure à son potentiel, fluctuation de l’élasticité des recettes au PIB. NB : par convention, on retient les hypothèses de croissance et de solde du Gouvernement pour 2011 et 2012. Sources : Insee, DGTPE, documents budgétaires, calculs de la commission des Finances du Sénat. Source : Rapport général fait au nom de la commission des Finances du Sénat sur le projet de loi de finances pour 2012, adopté par l’Assemblée nationale [1] Ce qui ne correspond pas terme à terme à ce que l’on entend généralement comme déficit structurel qui est en réalité le déficit constaté hors cycle conjoncturel, ce qui est plus précis), pour une prévision de croissance donnée. [2] De ce point de vue, le gouvernement de Nicolas Sarkozy n’a pas fondamentalement innové économiquement. Il y a consensus chez les économistes pour penser que les ajustements les plus rapides se font par la fiscalité. Tous les gouvernements ont eu d’abord recours à l’arme fiscale (ce qui suppose aussi la limitation des niches, qui est en réalité une augmentation d’impôts). Ce qui diverge toutefois, c’est la propension à faire ensuite des économies sur les dépenses. Pour certains en période de crise, le mécanisme est pro-‐cyclique, tout comme l’allègement des prélèvements obligatoires en haut de cycle. Cependant, l’ensemble des ajustements budgétaires durables observés sur longue période dans les pays observés l’ont été par une action résolue sur la dépense. Voir Bernard Schwengler, Déficits publics, l’inertie française, L’Harmattan, Paris, 2012. [3] Le « classicisme » de la politique budgétaire et fiscale du gouvernement de Nicolas Sarkozy hors crise et hors RGPP est même à souligner en dépit de son approche plus importante par l’offre ainsi que l’évoque d’ailleurs la Cour des comptes dans son Rapport sur la situation et les perspectives des finances publiques de juin 2011, p.30 : « Comme le souligne l’OCDE dans sa dernière étude sur la France [France 2011], les politiques budgétaires sont assez systématiquement contra cycliques dans les phases de mauvaise conjoncture, avec des mesures de relance de l’activité, et pro cycliques dans les phases de bonne conjoncture, avec des baisses d’impôts et des hausses de dépenses. » Voici des extraits de ce que prônent les idéologues endossés par le CCIQ ( organisation islamique canadienne ) : QARADAWI Youssef (QARADÂWÎ Youssouf) 1926- ( source : Point de bascule ) Le CCIQ recommande six de ses livres. Considéré comme le guide spirituel des Frères Musulmans, il jouit d’une influence considérable dans le monde musulman, notamment grâce à son émission sur al-‐Jazeera. Dans le passé, l’appui de Qaradawi à la charia l’a amené à défendre les positions suivantes : il promeut la conquête de l’Occident par les musulmans (MEMRI); il déclare légitime de recourir à la force «à toutes les fois que c'est possible» pour faire appliquer les principes de l'islam ("changing wrong by force whenever possible" -‐ Priorities of the Islamic Movement, chapitre 4); il décrit la mosquée comme une institution de nature politique ; il endosse le meurtre des musulmans qui quittent l'islam ; il justifie les mutilations génitales féminines (Archives PdeB); il justifie le meurtre des homosexuels (vidéo 5:27) ; il soutient que Hitler a été envoyé par Allah pour punir les juifs (Le cheikh Youssouf Qaradhawi: Tout au long de l'histoire, Allah a imposé aux [Juifs] des personnes qui les puniraient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler. Avec tout ce qu'il leur a fait - et bien qu'ils [les Juifs] aient exagéré les faits -, il a réussi à les remettre à leur place. C'était un châtiment divin. Si Allah veut, la prochaine fois, ce sera par la main des musulmans. il encourage la formation de «ghettos musulmans» aux États-‐Unis, au Canada, en Australie et ailleurs en Occident (Priorities of the Islamic Movement, chapitre 4).
Le Monde | La tentation de l’exil fiscal
Par Agnès Verdier-Molinié et Samuel-Frédéric Servière cosignent une note reprise sur Le Monde.fr, mettant en garde contre les conséquences de la taxe à 75% proposée par François Hollande. Les hommes du foot s'y mettent et on comprend enfin que taxer à 75% les contribuables qui déclarent plus de 1 million d'euros par an est confiscatoire et coûtera plus à la France que cela ne lui (nous) rapportera. Encore un paradoxe français : il faut que les sportifs crient au scandale pour que les arguments des entrepreneurs fassent mouche… Entre IR, ISF et taxes locales, sans parler de la CSG, les contribuables en question (entre 300 et 5.800) seront au-‐delà des 85% d'imposition de leurs revenus, voire à 100%. Pour un célibataire déclarant 2 millions d'euros de revenus, qui paie aujourd'hui -‐ hors niches fiscales -‐ 788 000 euros d'IR, le montant de l'impôt sur le revenu passerait à 1 152 100,5 euros, sans compter l'impôt sur la fortune, entre 50 000 et 300 000 euros. En fin de compte, il resterait à notre contribuable entre 20% et 0% de son revenu. On comprend que l'exil fiscal en Suisse ou en Belgique séduise de plus en plus. Certains clament que 75% serait un taux déjà été atteint autrefois (1920) sur les hauts revenus… Peut-‐être ne sommes-‐nous pas obligés de recommencer toujours les mêmes erreurs ? Surtout qu'à l'époque, les revenus visés n'étaient pas soumis aux prélèvements sociaux actuels.
Si encore cette mesure des 75% réduisait le déficit de la France ; mais tous les experts fiscalistes disent que cette nouvelle tranche à l'IR ne rapporterait que 150 à 250 millions d'euros bruts (hors coût administratif de collecte). En réalité, nous pensons que la loi de Laffer jouera à plein et que l'État perdra plus qu'il ne gagnera dans l'affaire. Deux questions de fond restent en suspens : -‐ Si tous nos riches quittent la France, qui va créer les emplois ? -‐ Si tous nos riches quittent la France, qui va payer leurs impôts ? Petit rappel : les 0,1% les plus riches paient 30 milliards d'impôts par an, les 0,01 paient 11 milliards d'euros d'impôts. S'ils ne sont plus là demain, il faudra bien que d'autres contribuables -‐ nous -‐ les paient à leur place et le caractère confiscatoire de la fiscalité se déplacera du haut vers le bas de la société. La France deviendrait le "pays le plus taxé d'Europe". Peut-‐être le candidat Hollande a-‐t-‐il trouvé des volontaires pour payer les impôts des riches entrepreneurs, dirigeants talentueux, acteurs oscarisés et sportifs qui seront partis ? Sans doute pas chez les collectionneurs d'œuvres d'art, récemment rassurés : leurs trésors continueront d'être exonérés d'ISF… Pour finir, est-‐il juste qu'une personne donne la quasi-‐intégralité de ses revenus à la collectivité ? Selon le Conseil Constitutionnel, la constitutionnalité de la contribution commune ne "serait pas respectée si l'impôt revêtait un caractère confiscatoire ou faisait peser sur une catégorie de contribuables une charge excessive au regard de leurs facultés contributives" (29 décembre 2005). Si cette mesure était votée, se poserait la question de sa constitutionnalité. En attendant, certains font leurs valises et c'est bien triste pour notre pays. L'ISLAM CHEZ LUI, CHEZ NOUS...
« Il faut dénoncer le piège d’une idéologie, par nature contestable, mais qui est en même temps une religion par nature intouchable… Sinon, dans cinquante ans, la France connaîtra un “printemps arabe” à l’envers. La “fille aînée de l’Église” sera devenue “la fil le cadette de l’islam” » Entretien avec Norbert Multeau à propos de son livre L’islam chez lui chez nous (propos recueillis par Fabrice Dutilleul) Ce livre semble répondre à l’actualité, notamment sur la consommation cachée de viande Hallal dans notre pays… Voyez le programme de tous les candidats à l’élection présidentielle : combien prenne en compte le danger islamiste lié à l’immigration musulmane ? Or cela me paraît être le problème majeur, bien plus grave que la dette, de notre époque et des années à venir. Il n’y a jamais de vrai débat sur le sujet car il est impossible de se livrer à une analyse critique des fondements idéologiques de l’islam sans être accusé « d’islamophobie », de « racisme », de « fascisme »… et cela clôt aussitôt le débat. Quand un massacre de chrétiens se commet quelque part dans le monde,
c’est, nous disent les bien-pensants, « stigmatiser » l’islam dans sa globalité que de dénoncer les criminels qui agissent ainsi au nom de la charia et du djihad. Alors voici un livre pour dire les choses comme elles sont et non comme on voudrait qu’elles soient. Un livre qui a été refusé par tous les éditeurs auxquels j’en ai soumis l’idée… à l’exception de Philippe Randa, directeur des éditions de L’Æncre. Ne faîtes-vous pas un amalgame sommaire entre l’immigration qui est un problème politique et social… et l’islam qui une religion ? Les deux ne font qu’un. L’immigration arabe en France est un problème crucial parce qu’elle est d’abord un problème religieux. Un habitant de la planète sur quatre est musulman. L’objectif de l’islam, sa vocation historique comme sa mission divine, est de convertir les trois autres.
Le monde non-musulman ne semble pas s’apercevoir que l’islam, conscient de sa force, réactive son projet multi-séculaire de domination de l’univers : imposer partout le « règne d’Allah » et la loi coranique. En France, l’immigration à flot continu aboutit, non au « choc des civilisations » – tout se passe sans heurt violent –, mais à l’évincement progressif de l’une (la chrétienne) par l’autre (la musulmane). Et cela dans l’indifférence des élites, quand ce n’est pas avec la complicité des « activistes du métissage » comme les appelle Péroncel-Hugoz qui a préfacé L’islam chez lui chez nous. L’intelligentsia française, en particulier, ne semble pas saisir le sens de l’ampleur de ce qui se passe sous ses yeux. Elle voit ce qu’elle veut croire, mais ne veut pas croire ce qu’elle voit. Cet essai « colérique » n’est-il pas un peu court pour analyser objectivement un sujet comme celui-ci ? Je sais bien qu’on me reprochera d’être simpliste et manichéen, parce que l’islam « c’est plus compliqué que ça »… Je ne fais pas œuvre d’historien ni de philosophe. Je vais à l’essentiel. Je prends les choses au point où elles en sont. Ici, maintenant. Voici ce qu’est l’islam : une force croyante, conquérante, féconde. Voici ce qu’est l’Occident : une civilisation honteuse d’être ce qu’elle est, qui n’affirme plus rien, qui ne se défend plus… Pensez-vous la situation irréversible ? Il faut en finir avec l’illusion d’un islam modéré avec lequel nous pourrions cohabiter sans y perdre notre âme. Il faut prendre conscience de l’islamisation rampante des esprits, des mœurs, et même des lois de la République. Il faut dénoncer le piège d’une idéologie, par nature contestable, mais qui est en même temps une religion par nature intouchable… Sinon, dans cinquante ans, la France connaîtra un « printemps arabe » à l’envers. La « fille aînée de l’Église » sera devenue « la fille cadette de l’islam. » L’islam chez lui chez nous, Norbert Multeau, Éditions L’Æncre, collection « À nouveau siècle, nouveaux enjeux », dirigée par Philippe Randa, 134 pages, 18 euros.
Réflexions de Thierry Desjardins Directeur général adjoint du Figaro. Il serait grand temps que nous nous apercevions, enfin, qu'une nouvelle guerre de religion a éclaté et, cette fois, à l'échelle planétaire. Les Islamistes massacrent les chrétiens en Egypte, en Irak, aux Philippines, en Indonésie, au Pakistan, au Nigeria, un peu partout. Malraux avait dit : « Le 21ème siècle sera religieux ou il ne sera pas » On a bien l'impression que ce siècle qui commence va voir le déchaînement sans pitié d'un Islam renaissant, voulant dominer le monde et faire payer à la civilisation chrétienne les quelques siècles pendant lesquels elle a régné sur la planète. Cette haine du chrétien dépasse de beaucoup tous les problèmes de la foi. En s'attaquant aux églises, aux prêtres, aux religieuses, aux fidèles, les islamistes veulent abattre la civilisation occidentale, la démocratie, le capitalisme, ce qu'ils appellent le « néo-‐colonialisme », la parité hommes-‐femmes, les Droits de l'Homme, le progrès tel que nous le concevons. Le 20ème siècle a été marqué par l'affrontement Est-‐Ouest, le bloc communiste contre les pays « libres » Marx, Lénine et Staline se sont effondrés d'eux-‐mêmes sous les incohérences, bien souvent monstrueuses, de leur idéologie. Mais ils ont aussitôt été remplacés par Allah et son Prophète. Le Coran a pris la place du Communisme, le drapeau vert de l'Islam celle du drapeau rouge, les imams prédicateurs des mosquées celle des commissaires politiques. Le 21ème siècle sera une guerre sans merci car les foules immenses du Tiers-‐monde islamisé (et des banlieues de nos grandes métropoles) sont autrement plus dangereuses que ne l'ont jamais été les chars du Pacte de Varsovie. Nous pleurons, avec nos larmes de crocodiles habituelles, les coptes massacrés à Alexandrie et les chrétiens assassinés à Bagdad. Mais nous restons les bras ballants. Il faut bien dire qu'on voit mal ce que nous pourrions faire. Ce n'est plus guère le temps des croisades et nos dernières expériences en Afghanistan ou en Irak (où nous commençons à regretter la belle époque de Saddam Hussein qui savait, lui, au moins, faire respecter la laïcité baasiste) n'ont pas été très concluantes, c'est le moins qu'on puisse dire.
Il est bien loin le temps où Napoléon III pouvait envoyer un corps expéditionnaire protéger les maronites du Liban que massacraient les Druzes. Mais au moins restons lucides et surtout arrêtons de ressortir une fois de plus la fameuse « repentance » qui nous sert désormais pour maquiller toutes nos lâchetés. Hier, un imbécile de service nous a longuement expliqué à la télévision que si les islamistes égyptiens massacraient les coptes c'était parce que ces chrétiens de la vallée du Nil étaient « les représentants de l'Occident, les ambassadeurs de la culture européenne, les symboles vivants du capitalisme, du néocolonialisme, du dollar et du coca-‐cola. En un mot, les ultimes survivants de l'époque coloniale». Autant dire, à l'en croire, que les Islamistes avaient parfaitement raison de vouloir éliminer ces survivances d'un passé détesté. L'imbécile était, en plus, un inculte. Les coptes sont les descendants du peuple des pharaons. « Copte » veut dire « égyptien » Ils étaient sur les bords du Nil bien avant la conquête arabe et musulmane. S'ils sont plus nombreux au sud, entre Assiout et Assouan, c'est précisément parce qu'ils ont fui les cavaliers conquérants venus d'Arabie. Ils avaient leurs églises bien avant que nous ne construisions nos cathédrales. On peut d'ailleurs dire exactement la même chose de tous les chrétiens d'Orient qu'ils soient catholiques (de rite d'Antioche, de rite syriaque comme les maronites libanais, de rite byzantin, de rite arménien, de rite d'Alexandrie) ou « non chalcédoniens » comme les coptes, ou orthodoxes (ayant leur patriarcat soit à Istanbul, soit à Alexandrie, soit à Jérusalem, soit à Damas) Tous sont « chez eux » dans ces pays-‐là depuis des millénaires, certains parlant encore l'araméen, la langue du Christ. En faire des ambassadeurs de l'Occident, des représentants du capitalisme colonial est évidemment une absurdité. Même si, en effet, ils sont « de culture chrétienne ». Mais ils l'étaient avant nous. Nous ne pouvons rien faire pour les protéger, mais au moins ne les trahissons pas en reprenant à notre compte les accusations odieuses de leurs assassins. Nous pouvons les accueillir, comme nous nous devons d'accueillir tous ceux qui sont persécutés. Beaucoup ont déjà fui leur pays. Mais, en tous les cas, ne continuons pas à nous boucher les yeux, à parler de « l'amitié islamo -‐ chrétienne », d'un « Islam à l'occidentale», de « la cohabitation harmonieuse des trois monothéismes ». Soyons intransigeants avec les règles de notre laïcité, mais ne nous laissons entraîner ni vers la stigmatisation ni vers la discrimination (surtout si elle devait être « positive », comme le souhaite certains), car ce serait, évidemment, faire le jeu des fanatiques. Aujourd'hui, la grande mode est d'évoquer, d'invoquer à tout bout de champ « les années les plus sombres de notre histoire » C'est souvent absurde et parfois odieux. Mais s'il y a une leçon qu'il ne faut jamais oublier c'est bien celle de Munich. Churchill avait dit : « Ils ont préféré le déshonneur à la guerre et ils auront les deux » « Il ne faut jamais tenter de pactiser avec ceux qui vous ont déclaré la guerre. Thierry Desjardins Journaliste et Reporter, né en 1941, Directeur général adjoint du Figaro. Auteur d'un nombre considérable d'ouvrages politiques. Lauréat de l'Académie française. Prix Albert Londres 1975. Prix Louis Pauwels 2000
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Le fils de Laurent Fabius en garde à vue Par JEAN-MICHEL DÉCUGIS, CHRISTOPHE LABBÉ, ARMEL MEHANI ET OLIVIA RECASENS
Thomas Fabius, le dernier fils de Laurent Fabius, est en garde à vue depuis mercredi matin à la Brigade de répression de la délinquance astucieuse (BRDA). Le fils de l'ancien Premier ministre socialiste est visé depuis septembre 2009 par plusieurs plaintes pour "abus de confiance" et "escroquerie" déposées par deux chefs d'entreprise avec lesquels il était en affaire pour un projet de cartes à puce.
Le 4 septembre 2009, Patrick Ulanowska, directeur de la société Unipay's, a notamment accusé Thomas Fabius d'avoir utilisé frauduleusement la carte de sa société. Six jours plus tard, Ali Hamani, un autre homme d'affaires d'origine algérienne, expliquait à la police avoir déposé plusieurs grosses sommes en liquide à l'intention de Thomas Fabius à la conciergerie de l'hôtel du Fouquet's. De l'argent que Thomas Fabius aurait détourné à des fins personnelles alors que celui-‐ci était destiné au développement du fameux projet de cartes à puce.
En juillet 2009, Thomas Fabius a accompagné Patrick Ulanowska à Montreux, en Suisse, afin de lever des fonds pour Unipay's. Les enquêteurs doivent vérifier si le fils de l'ancien Premier ministre a bel et bien profité de l'occasion pour utiliser frauduleusement la carte American Express Visa de Patrick Ulanowska ainsi que la carte Visa de l'entreprise, comme il en est accusé, et ceci, pour un total de plus de 23.000 francs suisses. Le directeur d'Unipay's a expliqué avoir remis son porte-‐carte à Thomas Fabius pour qu'il effectue avec la carte de l'entreprise la réservation de son vol retour. Par ailleurs, les enquêteurs cherchent à vérifier dans quelles conditions plus de 80.000 euros auraient été déposés en liquide et en chèque à la conciergerie de l'hôtel Fouquet's par Ali Hamani. Le chef d'entreprise d'origine algérienne a expliqué avoir déposé à l'hôtel, le 27 juin 2009, 16.000 euros en liquide à l'attention du fils de l'ancien Premier ministre, puis, le lendemain, 4.000 euros encore. Chaque fois, Ali Hamani était reparti avec un reçu. Rebelote, le 16 juillet 2009. Ali Hamani s'est rendu en début de soirée à l'hôtel Fouquet's pour y remettre un sac supposé contenir 48.000 euros en espèces et un chèque de 12.000 euros. Le personnel a alors remis un reçu au chef d'entreprise, sans, cette fois-‐là, en indiquer le montant. Quel intérêt a eu l'hôtel de servir de "boîte aux lettres" à Thomas Fabius, qui n'avait pas réservé de chambre ? Une faveur à l'égard d'un fils de ministre qui est un habitué de l'établissement ? Jointe à l'époque par Le Point , la direction du groupe Barrière avait déclaré découvrir l'affaire et "mener des investigations", tout en précisant qu'il s'agissait d'un "cas isolé". En fin d'après-‐midi, mercredi, Thomas Fabius devait être confronté, selon nos informations, aux deux chefs d'entreprise. Joint par Le Point, l'avocat de Thomas Fabius, Cyril Bonan, n'a pas souhaité faire de commentaire. En septembre dernier, celui-‐ci nous avait affirmé que son client avait été "manipulé et menacé". Source : le Point*
PROGRAMME DU M N R : Chapitre 10 : DES LAURIERS POUR L'ECOLE L'école est l'un des lieux privilégiés où se forge l'avenir de notre pays. De par sa mission d'instruction, elle forme les générations nouvelles et détermine le visage de la société de demain. En ce sens, sa fonction consiste à transmettre notre héritage de civilisation. La connaissance, la culture, les valeurs, la mémoire, les disciplines intellectuelles et morales, tout ce trésor de vérités et de références transite par l'institution scolaire et universitaire pour se conserver, se reproduire et se développer au fil des décennies et des siècles qui passent. Si l'école ne constitue pas le seul instrument propre à préserver notre civilisation et à assurer sa pérennité, elle en est cependant, avec la famille, le principal. Ne contribue-‐t-‐elle pas essentiellement à la préservation de "cet enracinement culturel qui, rappelle Pierre Chaunu, fonde une bonne part de l'équilibre nerveux et intellectuel de chacun d'entre-‐nous"? C'est dire l'importance que l'école revêt à nos yeux car, si le système éducatif n'assurait plus sa mission, non seulement nos enfants ne seraient plus correctement formés, mais progressivement, à mesure que leur ignorance grandirait, c'est notre civilisation elle-‐même qui s'éteindrait. Non à la régression scolaire Aujourd'hui, hélas, une telle perspective ne relève pas du simple cauchemar : l'école est bel et bien en pleine déroute. Incapable désormais de remplir sa mission, l'éducation dite nationale s'est muée en un monstre d'inefficacité, générateur d'un gâchis humain et financier sans précédent. Le ministère de l'Éducation dévore chaque année des masses considérables de crédits qui représentent maintenant 20 p. cent des dépenses de l'État, son plus gros budget, plus important que celui de la Défense. Il a bénéficié, au cours des dernières décennies, d'une priorité financière absolue. Et pour quel résultat? La régression qualitative est incommensurable : aujourd'hui, 20 p. cent des enfants qui entrent en sixième ne savent pas lire et il y a encore 12 p. cent d'illettrés à l'entrée en troisième. Même constat d'échec en ce qui concerne la maîtrise de la langue française, la connaissance de l'orthographe ou de l'histoire. La situation s'est à ce point délabrée qu'il faut de plus en plus de moyens pour obtenir un résultat de plus en plus médiocre. Depuis 1969, l'enseignement français a produit chaque année en moyenne quatre mille neuf cent bacheliers supplémentaires. Parallèlement, cinq mille personnes sont venues annuellement grossir les effectifs d'enseignants. Pour former un bachelier de plus, il a donc fallu recruter un professeur supplémentaire! L'inefficacité est devenue la nouvelle règle de ce dinosaure bureaucratique que constitue le ministère de l'Éducation nationale où la mauvaise administration va de pair avec le fiasco pédagogique. Sur un million trois cent mille agents que compte l'Éducation nationale, il n'y a en réalité que sept cent mille enseignants dans le public! Comment s'étonner dès lors que l'école, au lieu de former les citoyens de demain, fabrique désormais de nouveaux barbares? Pour lire la suite cliquez sur ce lien : http://www.m-‐n-‐r.fr/programme2partiech10.php
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