Mise en page 1 - pagesperso-orange.fr

• Violences Conjugales – Violences FamilialesViolences Conjugales – Violences Familiales• Violence et Maladie MentaleViolence et Maladie Mentale• Sexualité et déficience IntellectuelleSexualité et déficience Intellectuelle• Relations amoureusesRelations amoureuses, vie de couple et sexualité en foyer de vie• Accompagnement à la ParentalitéAccompagnement à la Parentalité• Développer l’autonomie en foyerl’autonomie en foyer d’hébergement• Soutenir, favoriser l’autonomie des personnes handicapéesl’autonomie des personnes handicapées• Adultes HandicapésAdultes Handicapés : relations avec les familles • Les relations avec la famillerelations avec la famille dans l’accompagnement de l’adulte handicapé• La prise en charge d’Adultes Psychotiques ou Autistesd’Adultes Psychotiques ou Autistes • Travailler auprès de personnes Handicapées Vieillissantespersonnes Handicapées Vieillissantes• Le vieillissement de la personne handicapée :Le vieillissement de la personne handicapée : adapter la prise en charge et l’accompagnement• Le vieillissement des personnes handicapées :Le vieillissement des personnes handicapées : La vie en structure spécialisée : accompagnement au quotidien, des personnes handicapées vieillissantes.• La Maladie d’ALZHEIMERMaladie d’ALZHEIMER : un regard différent, une approche différente• La Maladie d’AlzheimerMaladie d’Alzheimer• Accompagner les personnes âgées présentant des troubles du Accompagner les personnes âgées présentant des troubles du comportement comportement• Prévenir le Surinvestissement affectifPrévenir le Surinvestissement affectif• La MortLa Mort : un tabou ? Et si on en parlait ? • Soins PalliatifsSoins Palliatifs : accompagnement en fin de vie• Gérer ses émotions face à la souffrance et à la Mortla souffrance et à la Mort• La prise en charge des Personnes Âgées et de leur FamillePersonnes Âgées et de leur Famille• L’Animation dans les structures d’accueil personnes handicapées personnes handicapées ou âgées ou âgées• Mettre en place un atelier mémoireMettre en place un atelier mémoire• Personnes âgées et agressivitéPersonnes âgées et agressivité• La Relation à l’Agressivitél’Agressivité de Certains Résidents• Prévenir la Maltraitancela Maltraitance envers les Personnes Âgées• Développer un savoir être auprès de Personnes AgéesDévelopper un savoir être auprès de Personnes Agées• Ergonomie et manutention des personnesErgonomie et manutention des personnes ...................................12• Transmissions Ecrites – Transmissions CibléesTransmissions Ecrites – Transmissions Ciblées• La relation Tripartite en établissement :La relation Tripartite en établissement : Résident – Famille - Professionnel• L’IncontinenceL’Incontinence : approche comportementale et psychologique• L’alimentation de la Personne Âgéela Personne Âgée................................................ 19

Adultes - Personnes Adultes - Personnes âgéesâgées

LVA_B172_P137a152:Mise en page 1 07/07/10 16:52 Page137

Ad

ulte

s -

Per

sonn

es â

gée

sA

dul

tes

- P

erso

nnes

âg

ées

138

LA VIELA VIE ACTIVEACTIVE

PUBLIC : Intervenants sociaux à domicile ou en institution(CHRS, accueil d’urgence…) auprès de personnesvictimes de violence au sein de leur couple ou de leurfamille.

OBJECTIFS :• Comprendre ce qui est à l’origine de la violence

conjugale et de la violence familiale (une mèreenvers ses enfants, des enfants envers leur mère…)et comment elle s’inscrit dans une histoire familialeet parfois inter-générationnelle.

• Comprendre ce qui déclenche la violence au seind’un couple, au sein d’une famille - En repérer lesdifférentes formes.

• Comprendre le sens et la fonction de l’émergencede la violence et comment le système conjugal,familial et social y contribue ou non.

• Réfléchir sur les positions à adopter, décider desactions à mener et des pratiques à développer pouraider et prendre en charge ces familles.

• Chercher comment aborder les violences vécuespar ces familles dans le respect des personnes et deleur vécu.

• Apprendre à être à l’écoute de leurs émotions, deleurs peurs ou de leurs angoisses sans porter dejugement sur leur comportement.

CONTENU :Violence conjugale et familiale :• Ce qui est à l’origine des violences conjugales et

familiales

• L’impact du milieu familial et social sur la personne -Le scénario de vie

• Mise en scène de la violence conjugale, familiale :Les jeux psychologiques

• Lecture systémique des processus qui amènent à uncontexte de violence

• La décision de rupture et ses conséquences.Gestion de soi face aux violences conjugales et/oufamiliales :• Ce que représente le couple, la famille - Systèmes

de références et de valeurs• Etre à l’écoute des émotions et des sentiments qui

naissent en soi lorsqu’on est confronté à uncontexte de violence

Comment intervenir : • Les aptitudes psychologiques et relationnelles

nécessaires à la prise en charge des femmes, deshommes et des enfants victimes de violences

• La pratique d’un travail thérapeutique incluant lemari et/ou le père violent - la femme et/ou la mèreviolente

• Les positions de l’équipe face à des manifestationsde violence au sein même de la structure d’accueil.

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE :Apports théoriques en Analyse Transactionnelle et enAnalyse Systémique. Analyse des situationsrapportées par les participants. Travail sur lesressources et les difficultés des participants quand ilsse trouvent confrontés au vécu des familles (à traversleurs témoignages) et à de la violence au sein de lastructure.

DEVIS : Nous contacter

INSCRIPTIONS À ENVOYER À LA VIE ACTIVE FORMATION6TER, RUE DES BLEUETS - 62000 ARRAS - TÉL. : 03.21.21.50.70 - FAX : 03.21.21.50.79

Marie-Annick DESNOULEZ Formatrice en RelationsHumaines et Communication.Formée à l’AnalyseTransactionnelle, laProgrammation Neuro-Linguistique, la ThérapieFamiliale et conjugale,l’Analyse Systémique.

LIEU : Intra Muros (Nous contacter)

INTERVENANTE :

Violences conjugales - Violences familiales

DUREE : 28 HEURES - 4 JOURS


participation concrète et

i

Violence et maladie mentale

LIEU : Arras ou Intra Muros nous contacter)

PUBLIC :Para-médical, personnel médical, personnel éducatif

OBJECTIFS :Permettre à l’équipe interdisciplinaire de reconnaître les nouvelles pathologies mentales, afin d’y répondre avec le plus d’objectivité.Prendre en compte la nécessité d’une prise en charge spécifiqueAdapter les conduites soignantes, éducatives aux besoins des patients.

PROGRAMME :Nous aborderons les principales affections neurologiques qui donneront une meilleure compréhension des mécanismes du cerveau

- accident vasculaire cérébral ;- la maladie de PARKINSON et ses manifestations

Nous aborderons aussi la sclérose en plaques et ses manifestations.

Le personnel étant confronté aux incapacités des personnes qui souffrent d’une maladie de type Alzheimer. Il est indispensable d’en connaître les caractéristiques de trois affections principales qui sont la maladie d’Alzheimer, la maladie à Cap de LEWY et la démence fronto-temporale.

Nous aborderons aussi la Schizophrénie, la paranoïaque de la démence.

METHODE :Apport théorique et pratique, avec vécu des patients et de l’équipe pluridisciplinaire.

INSCRIPTIONS À ENVOYER AVANT LE 1 FEVRIER À LA VIE ACTIVE FORMATION6TER, RUE DES BLEUETS - 62000 ARRAS - TÉL. : 03.21.21.50.70 - FAX : 03.21.21.50.79

DUREE : 24 HEURES – 4 JOURS

INTERVENANTE :

Janine MARTIN,Psychanalyste - Formatrice

COUT : 590 €

DATES :

7, 8, 10, 11 Mars 2011

er


Ad

ultes - Perso

nnes âgées

Ad

ultes - Perso

nnes âgées

139


Sexualité et déficience intellectuelle(action de formation en partenariat avec l’EESTS de Lille) : Ecole européenne supérieure en travail socialLIEU : Lille

La vie des personnes déficientes intellectuelles ne s’inscrit plus de la même façon dans la cité aujourd’hui. D’une situation de quasi clandestinité et d’enfermement elles vivent aujourd’hui au milieu de la cité dans des conditions se rapprochant le plus possible de tout un chacun. Les textes de lois à leur égard, que ce soit à partir de la Loi de 75, des annexes XXIV au plus récemment de la circulaire de prévention du V.I.H et de la loi 2002 ont permis une inscription dans la cité davantage en rapport avec leur réalité quotidienne. Les projets institutionnels ont évolué dans le même temps que le travail des équipes pluridisciplinaires mettant l’accent sur l’épanouissement, la socialisation et l’autonomie. Les représentations sociales même si elles restent génératrices de difficultés pour les personnes avec une déficience intellectuelle ont évolué et leur vie affective et sexuelle est considérée par des nombreux professionnels comme un facteur d’épanouissement personnel. Si notre conception de la personne déficiente intellectuelle est celle d’une personne à part entière nous devons favoriser la connaissance de leur corps, les informer de l’exercice de ce corps dans les relations affectives et sexuelles et des conséquences de ces relations sur eux-mêmes et leur environnement. Ce stage se propose d’aborder des éléments de connaissance sur la sexualité des personnes déficientes intellectuelles, de questionner les pratiques éducatives et d’accompagnement et de construire des outils d’éducation sexuelle adaptés aux personnes.

OBJECTIFS :Définir les fondements de l’éducation sexuelle (Définition de la sexualité, objectifs de l’éducation sexuelle). Analyser les représentations sociales récentes de la sexualité des personnes déficientes intellectuelles du point de vue des professionnels, des parents, de tout un chacun, en saisir les enjeux et en

INSCRIPTIONS À ENVOYER AVANT LE 15 MARS À LA VIE ACTIVE FORMATION6TER, RUE DES BLEUETS - 62000 ARRAS - TÉL. : 03.21.21.50.70 - FAX : 03.21.21.50.79

DUREE : 6 JOURS - 3 X 2 JOURS - 36 HEURES

RESPONSABLE DE L’ACTION :

Bertran COPIN,Directeur de l’EESTS.

d

COUT : 792 €

DATES :

2 jours en Juin 2 jours en Septembre2 jour en Octobre 2011

tirer des enseignements dans sa pratique éducative ou d’accompagnement. Travailler concrètement à partir d’outils existants en vue de leur adaptation à la pratique professionnelle. S’approprier des savoirs théoriques sur la conception de la sexualité et de ses conséquences pour les personnes. Mettre en pratique une éducation sexuelle adaptée au type de public accueilli (Les stratégies, la conception d’outils, les critères d’évaluation...). Réfléchir et confronter les attitudes éducatives et d’accompagnement à propos de la sexualité, du désir d’enfant, de la parentalité.

CONTENU :Représentations et opinions sur la sexualité, l’affectivité, la contraception, l’éducation sexuelle. Déficience intellectuelle et V.I.H : les textes, les enjeux, les spécificités. Sexualité et procréation : du désir d’enfant à l’exercice de la parentalité (aspect social, médical, juridique). Définition de la sexualité (théories & mythes). Approches biologiques, psychologique, sociale, anthropologique... Approche pédagogique adaptée à l’éducation sexuelle. Puberté et déficience intellectuelle. Déficience intellectuelle et sexualité : Unité Diversité Spécificité. Sexualité-Etique-Intervention.

MODE DE TRAVAIL PEDAGOGIQUE :La pédagogie alterne entre les apports théoriques et l’analyse des situations concrètes. La création ou l’adaptation d’outils d’éducation sexuelle est un élément important de ce temps de formation . Il ne peut se faire qu’avec la participation concrète et impliquée des participants au stage en référence à leur réalité de service ou institutionnelle. La pédagogie est donc obligatoirement, il s’agit du sens de ce stage, participative. Les stages se déroulant en institution peuvent, après négociation approfondir et focaliser sur une partie des objectifs et des contenus.

V


Relations amoureuses, vie de couple et sexualité des résidents en institution d’ébergementLIEU : Arras ou Intra Muros (Nous contacter)

OBJECTIFS :Les participants seront amenés à :l Elaborer une définition à plusieurs dimensions de

la sexualité.l Affiner leur compréhension de la vie sexuelle

dans ses multiples manifestations.l Se questionner sur la reconnaissance et le respect

de la pudeur et de l’intimité des résidents dans le cadre de leur prise en charge.

l Développer une habilité relationnelle afin de mieux appréhender les manifestations sexuelles, volontaires ou involontaires, des résidents.

l S’interroger sur la reconnaissance, la prise en considération et le respect des relations amoureuses et sexuelles des résidents au sein d‘une collectivité.

PROGRAMME :Les représentations de la sexualité d’adultes handicapés.Adultes handicapés : quelle sexualité ?Les séquelles de la maladie, de l’handicap sur le comportement sexuel.La prise en compte de la sexualité des personnes en institution de longue durée (foyer de vie, foyer d’hébergement …).

INSCRIPTIONS À ENVOYER AVANT LE 10 SEPTEMBRE À LA VIE ACTIVE FORMATION6TER, RUE DES BLEUETS - 62000 ARRAS - TÉL. : 03.21.21.50.70 - FAX : 03.21.21.50.79

Les différentes réactions aux manifestations affectives et/ou sexuelles.La vie de couple, les relations amoureuses dans un foyer de vie.Comment informer sur : les maladies sexuellement transmissibles, les risques de grossesse, les abus sexuels, la contraception.

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE :Méthodologie participative nécessitant l’implication des participants. Alternance d apports théoriques et d analyse de situations professionnelles.

COUT : 680 €

DATES :


INTERVENANTE :

7, 8, 28, 29 Novembre 2011

’’


d’hébergement


Ad

ulte

s -

Per

sonn

es â

gée

sA

dul

tes

- P

erso

nnes

âg

ées

140


L’accompagnement à la parentalité de personnes avec une déficience intellectuelleLIEU : Arras ou Intra Muros (Nous contacter)

OBJECTIFS :l Identifier nos représentations et inquiétudes

sur la parentalité de personnes déficientes intellectuelles.

l S’interroger sur la façon d’accompagner à la parentalité des personnes ayant une déficience intellectuelle.

l Chercher comment cerner, appréhender et répondre au désir de parentalité de personnes déficientes intellectuelles.

l Chercher comment combler leurs manques et leurs méconnaissances en prenant en compte non seulement les limites liées à leur handicap, mais aussi leurs représentations et leur vécu.

l S’interroger sur la façon d’apporter aide et soutien à un couple de parents déficients intellectuels en prenant en compte leurs ressources, leurs difficultés, leurs besoins.

l Chercher comment les travailleurs et partenaires sociaux, les familles d’accueil peuvent intervenir avec justesse dans la famille constituée sans disqualifier les parents dans leur rôle et leur responsabilité parentale.

INSCRIPTIONS À ENVOYER AVANT LE 10 JUIN À LA VIE ACTIVE FORMATION6TER, RUE DES BLEUETS - 62000 ARRAS - TÉL. : 03.21.21.50.70 - FAX : 03.21.21.50.79

DUREE : 3 JOURS - 18 HEURES

INTERVENANT :

CONTENU :La parentalité de personnes ayant une déficience intellectuelle : représentations, réactions, inquiétudes des familles, des professionnels.Ce qui est de l’ordre du désir de parentalité, ce qui est de la réalité d’être parent.Etre parent : représentations des personnes déficientes intellectuelles à partir de leur vécu familial, institutionnel, des modèles sociaux …Les manques, les méconnaissances, les difficultés, les besoins les plus souvent repérés : quel accompagnement, quelles aides, quels soutiens ?Comment travailleurs sociaux et familles d’accueil peuvent intervenir dans la famille constituée avec justesse et efficacité - sans disqualifier ni dévaloriser les parents.

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE :Apports théoriques. Echanges et réflexions à partir des problématiques amenées par les participants.Mises en situations.

COUT : 510 €

DATES :

21, 22 Novembre 20115 Décembre 2011



Développer l’autonomie en foyer d’hébergement

LIEU : Arras ou Intra Muros (Nous contacter)

PUBLIC :Tout professionnel intervenant en foyer d’hébergement ou en ESAT

OBJECTIFS :Approfondir avec les personnels de foyer ou ESAT, les moyens à mettre en oeuvre pour préparer la personne adulte handicapée au développement de son autonomie.

PROGRAMME :1. Repérage de la population accueillie en foyer, notion de handicaps, de déficit, d’incapacité et de désavantage - Etiologie. Besoins et attentes des adultes handicapés.2. Evolution de la population.3. L’insertion professionnelle et les actions de soutien en ESAT4. Objectifs généraux poursuivis par les établissements5. Les prises en charge foyers et leur spécificité (foyers institutionnels, foyers éclatés, appartements semi-

autonomes, suivi ponctuel d’accompagnement). Actions quotidiennes , apports théoriques et évaluation du travail éducatif.

6. Les nouvelles obligations législatives et règlementaires.7. Le projet de vie de la personne handicapée : outils méthodologiques permettant la construction d’un projet

en évolution.8. Réflexions sur les étapes de la recherche d’autonomie9. La relation résident - encadrant



INTERVENANT :

Jean Marc WATTEAU,Psychologue en établissements médico-sociaux Consultant.

COUT : 690 €

DATES :

5, 6, 7, 14, 15 Avril 2011

METHODE PEDAGOGIQUE :Pédagogie active, séquentielle alternant apports théoriques et pratiques de nombreux échanges avec lesparticipants.


Ad

ultes - Perso

nnes âgées

Ad

ultes - Perso

nnes âgées

141


Soutenir, favoriser l’autonomie des personneshandicapées en structure d’hébergement


INSCRIPTIONS À ENVOYER AVANT LE 15 FÉVRIER À LA VIE ACTIVE FORMATION6TER, RUE DES BLEUETS - 62000 ARRAS - TÉL. : 03.21.21.50.70 - FAX : 03.21.21.50.79

PUBLIC Tous professionnels concernés par cette problématique et plus particulièrement les professionnelsaccompagnant des adultes handicapés en structure d’hébergement, ou service d’accompagnement.

OBJECTIFS : Apporter des connaissances et une réflexion sur les possibilités de développer l’autonomie des personnes ensituation de handicap au sein des foyers d’hébergements.

PROGRAMME : Réactualisation des connaissances concernant le handicap : la population accueillieLes apports législatifs concernant la personne en situation de handicapRéflexion sur le concept d’autonomieLe projet individualisé de la personne en situation de handicapL’évaluation des compétences en termes de besoin de soutien La notion d’autodéterminationPistes de réflexion sur les techniques de développement de l’autonomieComment préserver l’identité sociale, la citoyenneté de la personne handicapée accompagnée. Maintenir etdévelopper les acquis sociaux. Maintenir les acquis dans les actes de la vie courante (sur le plan administratif,financier, achats, relations extérieures…). Maintenir les capacités à organiser les activités de loisir, de sport, de vacances…proposer des animationsfacteurs d’autonomisation. Favoriser l’épanouissement personnel et culturel. Stimuler le résident à l’ouverturevers l’extérieur et à la connaissance de l’environnement. Inscrire le projet individuel dans un cadre de vie ouvert, s’ouvrir sur l’extérieur et de connaître l’environnement.Permettre à chaque résidant d’exprimer et de construire son projet individuel et l’accompagner dans sadémarche.

MÉTHODES PÉDAGOGIQUES :Alternance d’apports théoriques et méthodologiques - Étude de cas - Adaptation des méthodes aux différentscontextes professionnels des participants.

Céline DELEBASSEE,Formatrice – PsychologueClinicienneAurélie HEDEN,Juriste spécialisée sur lesmesures de protectionValérie FECHNER,Formatrice spécialisée dansl’animation auprès de publicshandicapés ou âgés.

LIEU : Arras ou Intra Muros(Nous contacter)

COUT : 360 €

INTERVENANTES :

DATES :

28 – 29 mars – 04 – 05 – 06 Avril 2011

COUT : 600 €


Adultes handicapés : relations avec les familles

LIEU : Intra-Muros

PUBLIC : Personnels des établissements médico-sociaux accueillant des adultes handicapés, en contact direct avec les familles dans leur travail.

OBJECTIFS :l Mieux appréhender la prise en charge et le

devenir d’un enfant/adulte handicapé par une meilleure compréhension et prise en compte de la problématique parental et familiale au moment où les parents vieillissent.

l S’interroger sur les différentes formes d’accompagnement et de soutien à apporter aux familles afin de permettre le déroulement d’un nécessaire processus d’individualisation.

CONTENU :- Les différentes formes de rencontres avec les

parents : modalités et objectifs. - L’adhésion au projet individuel.- L’approche de problématiques familiales

- Compréhension des points de vue des parents - Les différentes formes d’expression de leur souffrance - Répercussions sur les personnes handicapées.

- Les conséquences du vieillissement chez les parents et la résurgence du travail de deuil

La question de l’avenir.

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE :Apports théoriques - Echanges d’expériences - Analyse de situations présentées par les participants - Jeux de rôle.

DATES :


INTERVENANTE :

l

COUT : Nous contacter





Ad

ulte

s -

Per

sonn

es â

gée

sA

dul

tes

- P

erso

nnes

âg

ées

142


Les relations avec la famille dans l’accompagnement de l’adulte handicapé



PUBLIC Tous professionnels concernés par cette problématique et plus particulièrement les professionnels intervenantauprès d’adultes handicapés.

OBJECTIFS : Savoir comment créer, maintenir ou faire évoluer le lien avec les familles des adultes handicapés à un momentoù leurs parents vieillissent. Comment mieux adapter la prise en charge de l’adulte handicapé ?Comment intégrer les familles à la vie en institution et au projet de vie de l’adulte handicapé ?Savoir situer et comprendre les mesures de protection pour instaurer une relation d’aide et de confiance avecla personne protégée et sa famille

PROGRAMME : L’annonce du handicapLe repérage et la prise en compte des souffrances familiales liées au handicapL’acceptation du handicapComprendre et accepter les choix des famillesIntégrer les familles au projet de vie de l’adulteLes possibilités d’intégration de la famille à la vie en institution de la personne handicapéeAborder des problématiques comme la maladie, le deuil qui sont susceptibles de toucher les parentsvieillissantsEnvisager l’avenir de l’adulte handicapéLes mesures de protection dans le cadre familial : tutelle et autres mesures.

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE : Alternance d’apports théoriques, d’échanges avec les participants et de réflexion sur la pratiqueprofessionnelle. Adaptation des méthodes aux différents contextes professionnels des participants.

Céline DELEBASSEE,Formatrice – PsychologueClinicienneAurélie HEDEN,Juriste spécialisée sur lesmesures de protection


COUT : 360 €

INTERVENANTES :

DATES :

14 – 15 -21 – 22 Mars 2011

COUT : 480 €


La prise en charge d’adultes psychotiques ou autistes

LIEU : Intra-MurosOBJECTIFS : - Faciliter le travail des intervenants professionnels

auprès des personnes psychotiques ou autistes et de leurs familles.

- Clarifier et enrichir les connaissances théoriques et pratiques des participants.

- Explorer le champ clinique au travers de modalités de prises en charge différentes.

- Améliorer la perception des personnes présentant une psychose ou un autisme.

- Prendre en compte la nécessité d’une prise en charge spécifique incluant le travail avec les familles.

- Adapter les réponses institutionnelles aux besoins de la population concernée.

PROGRAMME :Introduction :Autismes et psychoses situées parmi les autres pathologies et handicaps.Définitions et particularités.I ) Ce que l’on peut retenir de 60 années de recherche : (apports et critiques)- Théories anglo-saxonnes. - Théories psychanalytiques.- Le point sur les nouvelles orientations issues de la

recherche scientifique.II ) En ce qui concerne prise en charge institutionnelle : - Comparaison des modes de prise en charge

institutionnels les plus connus.- Approches éducatives, rééducatives et

thérapeutiques. La place du traitement médical.III ) Les pratiques des professionnels confrontés la réalité quotidienne :- Comment faire face à l’angoisse, à l’auto

et hétéro agressivité, à la violence, aux manifestations de la sexualité, aux conduites stéréotypées et ritualisées..?

- Le sentiment d’impuissance des professionnels et

LA VIE ACTIVE FORMATION6TER, RUE DES BLEUETS - 62000 ARRAS - TÉL. : 03.21.21.50.70 - FAX : 03.21.21.50.79


INTERVENANT :

Jean-Marc WATTEAU,Psychologue en Institutions

Consultant.médico-sociales

DEVIS NOUS CONTACTER

des familles face à la résistance au changement et aux difficultés de communication.

- Acceptation de la différence de fonctionnement des personnes psychotiques ou autistes. La possibilité d’une adaptation réciproque.

- Attitudes à adopter, types de relations à instaurer, modes de communication à mettre en place.

- Quels types d’activités repérantes, structurantes et rassurantes proposer?

IV ) La nécessité du travail pluridisciplinaire :- La pluralité des démarches : éducative,

pédagogique, sociale, familiale, - médicale et paramédicale.- Le rôle des spécialistes.- Le rôle de l’éducateur.- Le rôle des parents.- Le travail en réseau. - Partage des expériences rencontrées et analyse critique.- Proposition de modélisation du travail

pluridisciplinaire.V ) Le rapport à la famille :- Comment aider et soutenir les parents et la fratrie

en souffrance?- Comment les rendre accompagnateurs, acteurs et

partenaires?VI ) Proposition d’une Méthodologie de Projets Individuels :- Différents types d’observations : découverte,

diagnostique, évaluative.- Collecte et synthèse objectives d’informations.- Déduction d’hypothèses.- Détermination des orientations.- Distinction des concepts de finalité (buts et objectifs).- Détermination d’objectifs cohérents avec les

hypothèses posées et la réalité du terrain.- Mise en adéquation des moyens.- Fixation d’indicateurs d’évaluation.- Etude de cas.


Ad

ultes - Perso

nnes âgées

Ad

ultes - Perso

nnes âgées

143


Travailler auprès de personnes handicapées vieillissantesLIEU : Arras ou Intra Muros

OBJECTIFS :l Comprendre le phénomène du vieillissement et ses conséquencesl Permettre au personnel travaillant auprès de personnes handicapées mentales vieillissantes de mieux se

situerl Réfléchir aux conditions de vie et d’accueil dans les différentes institutions et aux moyens à aménager pour

améliorer la prise en charge

PROGRAMME :l Le processus du vieillissement (aspects physiologiques, psychologiques et sociaux)l Le vieillissement de la personne handicapée mentale en institution :

l La qualité de vie de la personne âgée handicapée mentale (demandes, besoins, attentes, projet de vie, préparation à la mort...)

l Le vieillissement des parents et ses conséquencesl Le personnel face au vieillissement (analyse des difficultés et problèmes rencontrés, l’usure ; le rôle et

l’implication des accompagnants et soignants, la prise en charge spécifique des personnes handicapées mentales)

l La question du décès (impact sur l’institution, chez le personnel et dans la famille). Le travail de deuil possible et nécessaire

ESAT, foyer d’ébergement, FAM, MAS, EHPAD, ... (hétérogénéité, spécificité, dépendance, troubles particuliers...)

I


INTERVENANT :

Jean-Marc WATTEAU,Psychologue en établissements médico-sociaux.

Consultant.

l

INSCRIPTIONS À ENVOYER AVANT LE 20 MAI À LA VIE ACTIVE FORMATION6TER, RUE DES BLEUETS - 62000 ARRAS - TÉL. : 03.21.21.50.70 - FAX : 03.21.21.50.79

COUT : 690 €

DATES :

14, 15, 16,

Septembre 22, 23 2011

METHODE PEDAGOGIQUE :Pédagogie pratique et active prenant à la fois en compte les réalités du contexte professionnel desparticipants et des apports théoriques méthodologiques.


Le vieillissement de la personne handicapée : adapter la prise en charge et l’accompagnement



PUBLIC Tous professionnels concernés par cetteproblématique et plus particulièrement lesprofessionnels intervenant auprès de personnesadultes handicapées déficientes intellectuelles.

OBJECTIFS : Connaître et comprendre le vieillissement de lapersonne « normale » et le différencier duvieillissement de la personne handicapée.Comprendre le phénomène du vieillissement naturelet ses conséquences pour mieux les identifier chez lapersonne handicapée vieillissante sans lien avec lehandicap initial : la personne handicapée vieillit aussi« normalement ». Mais aussi prendre en compte les spécificités duvieillissement physique et psychique des personneshandicapées dans un contexte individuel ou collectifpour mieux adapter sa prise en charge, comprendrecertains comportements, certaines modifications del’état physique ou psychique de la personnes.Savoir adapter la prise en charge au vieillissement dela personnePenser l’amélioration des conditions de vie de lapersonne handicapée vieillissante.Connaître les statuts des personnes et les ressourcesen vue d’une prise en charge individualisée mais aussipour une meilleure préparation de l’avenir.

PROGRAMME : Le vieillissement normal de la personneLe vieillissement de personne handicapée : précocité,diversités, les pathologies, les représentationsLes établissements accueillants les personneshandicapées vieillissantesQuelle prise en charge proposer ?Quelles attitudes adoptées face au vieillissement dela personne handicapée (attentes, comportements,compréhension, empathie…)Aborder des problématiques spécifiques (maladie,décès, deuil…)Séparation vie privée, vie professionnelleLes statuts des personnes handicapées vieillissantes :Connaissances administratives et juridiques desstatuts des personnes handicapées vieillissantes et deleurs ressources. Tutelles, nouveaux dispositifs, règlesliées à l’aide sociale. Maîtriser les bases légales etréglementaires des différentes situations actuelles et« à venir » des adultes handicapés sur un cadrejuridique mais aussi financier.

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE : Alternance d’apports théoriques, d’échanges avec lesparticipants et de réflexion sur la pratiqueprofessionnelle. Adaptation des méthodes auxdifférents contextes professionnels des participants.

Céline DELEBASSEE,Formatrice – PsychologueClinicienneAurélie HEDEN,Juriste spécialisée sur lesmesures de protection


COUT : 360 €

INTERVENANTES :

DATES :

03 – 04 -10 – 11 Octobre 2011

COUT : 480 €


Ad

ulte

s -

Per

sonn

es â

gée

sA

dul

tes

- P

erso

nnes

âg

ées

144



Le vieillissement des personnes handicapées : La vie en structure spécialisée : accompagnement au quotidien, des personnes handicapées vieillissantes.



PUBLIC Tous professionnels concernés par cette problématique et plus parti-culièrement les professionnels accueillant adultes handicapés vieillis-sants en structure spécialisée.

BUTS : Optimiser la qualité de l’accompagnement des résidents par la miseen œuvres de projets de vie adaptés.Donner aux professionnels des pistes d’évolution de leurs pratiqueséducatives vers une dimension « soin » dans l’optique de « prendresoin ».

OBJECTIFS : Identifier les besoins spécifiques des personnes accueillies dans lecadre du vieillissement « normal ».Déterminer des axes prioritaires :La prévention. La gestion. L’évalua-tion Organiser un cadre de vie adapté : Ergonomie des lieux de vie et deschambres. Adaptation de l’organisation institutionnelle à l’évolutiondes rythmes de vie des personnes accueillies.Donner un nouveau sens aux pratiques éducatives : Appréhender lanotion du « deuil professionnel ». Faire grandir le projet de soin ausein du projet éducatif. Permettre à chaque professionnel de trouversa place et son rôle dans cette nouvelle dimension.

CONTENU : Avez-vous accepté que je vieillisse et que je puisse mourir ?Parler du vieillissement n’est pas anodin, le miroir de l’âge est parfoisdifficile à supporter. C’est un moment de réflexion qui nous renvoie ànotre propre vieillesse et à l’idée de notre mort et de celle de nosproches. Ignorer cette dimension personnelle donnera, alibis et forceà la résistance au changement. La connaissance des pathologies du vieil-lissement ne permet pas toujours de développer le savoir faire et sur-tout le savoir être. L’approche proposée est avant tout basée sur lapratique et la résolution de problèmes précis. Le vieillissement n’estpas une fin mais une continuité dans l’évolution de toute personne,soyons vigilants à chaque signe, c’est la seule façon de valoriser etd’accompagne l’autre dans cette aventure individuelle.Le vieillissement naturel : les différents aspects : L’aspect physiologique : les conséquences du vieillissement sur les 5sens. Les conséquences des pathologies liées à l’âge. Comment obser-

ver et évaluer les signes du vieillissementL’aspect psychologique : le cycle des apprentissages, place et rôle dela personne handicapée. Les troubles du comportement, la douleur, ladépressionL’aspect sociologique : rappel de l’importance du projet de vie. Peut-on trouver des bénéfices au vieillissement ?La « recette » d’un accompagnement réussiL’ergonomie du « lieu de vie » que représente l’institution, est inscritdans la liste des « ingrédients » indispensables à l’accompagnementcohérent des personnes accueillies et à la prévention de l’usure des pro-fessionnels. Deuxième « ingrédient » fondamental : avoir une organi-sation réaliste des activités proposées au quotidien.Les axes prioritaires : La prévention : chutes, dénutrition, grabatisa-tion…dépression… La gestion de la douleur, des décès, accompa-gnement des résidents des familles et des professionnels. L’évaluation :outils et techniques d’observation pour une réponse adaptée.L’accompagnement au quotidien : l’environnement. L’axe de travailsur la prévention nous donne les bases de mise en place de l’accom-pagnement au quotidien dans: Les moments forts de la journée. L’im-portance de l’animation : ou comment déterminer une « attitude ani-mante ».Eduquer ou soigner : faut-il vraiment choisir ? En regardant les définitions de ces deux verbes, on remarque que lemot éduquer est souvent lié à l’enfance, l’exemple donné dans le dic-tionnaire : éduquer un enfant. Soigner est parfois pris dans le sens deguérir mais nous nous attacherons au sens « prendre soin ». Parmi lessynonymes relevés, communs aux deux termes, nous trouvons lesverbes « se préoccuper » et « guider ». La notion de deuil : Faire son deuil de….Passer à travers sa douleur,c’est un processus émotionnel et psychologique qui tend vers la répa-ration. Habituellement l’attachement est dirigé vers une personne,mais il est possible d’investir son affection dans un objet, un lieu…desépoques de notre vie, des idéaux.Réinventer sa fonction : Trouver de nouvelles motivations pour donnerdu sens à sa pratique dans le cadre d’un travail en équipe pluridisci-plinaire et en réseau.

MÉTHODES PÉDAGOGIQUES :Alternance d’apports théoriques et méthodologiques - Étude de cas- Adaptation des méthodes aux différents contextes professionnelsdes participants.

Marie-Christine COUDRE,Formatrice en communicationet relations humaines,spécialisée en gérontologie.Maître Praticien PNL –Expérience de 15 ans commedirectrice d’établissementpour personnes âgéesdépendantes.


INTERVENANTE :

DATES :

17 – 18 -19 octobre 2011

COUT : 396 €

La maladie d’Alzheimer : un regard différent, une approche différente

DUREE : 18 HEURES RÉPARTIES SUR 3 JOURNÉES


OBJECTIFS : Favoriser un changement de regard afin d’acquérir les compétencesnécessaires à l’accompagnement et à l’intervention auprès des per-sonnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou d’autres pathologiesconnexes. Prendre conscience des mythes et des préjugés et réfléchirsur la réalité d’une personne souffrant de déficits cognitifs. Apprendreles principales approches d’intervention, en comprendre les fonde-ments et savoir les utiliser judicieusement. Reconnaître et comprendreles impacts de la pathologie sur les familles et développer des habi-letés afin de les accompagner et les soutenir. Prévenir et éviter lesabus et les mauvais traitements. Favoriser la prévention de l’épuisementprofessionnel.

CONTENU : - La maladie d’Alzheimer et les pathologies connexes : mise à jour desconnaissances théoriques sur les causes, les facteurs de risques, l’évo-lution et les pistes de recherches. - Le processus diagnostic, les pathologies réversibles et irréversibles. - Les fonctions cognitives : mémoire, orientation, concentration, atten-tion, langage, abstraction, jugement, reconnaissance, compréhension,apprentissage, etc. - Les troubles perceptuels : illusions et hallucinations. - La dépression, l’anxiété et les troubles du comportement. L’approcheCarpe Diem : son origine, ses fondements et son application. - Les impacts de notre regard sur nos attitudes, sur nos interventions

et ses effets sur la personnes atteinte. La relation de confiance versusla relation de contrôle. - Les conséquences du discours traditionnel, des termes utilisés et desétiquettes. La communication aidante : «comprendre et se faire com-prendre». - Comprendre l’origine et le sens de l’agressivité et des comporte-ments difficiles ainsi que les approches à privilégier. L’influence del’environnement physique et de l’organisation du travail. - La famille : d’adversaire à partenaire... Intervention et accompagne-ment en situation de perte et de deuil. - Questions d’éthiques et discussions sur les droits, le respect, la dignité,l’infantilisation, les conduites professionnelles, etc. - Les contentions physiques et chimiques: la nécessité d’une réflexionpersonnelle et d’équipe. - Les différences entre un «milieu de vie» et un «milieu de soin». Lesabus psychologiques et physiques. - Analyse fonctionnelle et la résolution de problèmes concrets. - Le travail d’équipe. Le soutien du personnel et la prévention de l’épui-sement.

MÉTHODES ET STRATÉGIES PÉDAGOGIQUES : Exposés théoriques et pratiques. Mises en situations et jeux de rôles.Discussions, analyses et travail en sous-groupe sur des problématiquesconcrètes. Documents audio-visuels.

Nicole Poirier est directricegénérale de la Société Alzheimerde la Mauricie et fondatrice de laMaison Carpe Diem à Trois-Rivières, Québec. Diplômée del’Université du Québec à Trois-Rivières en psychologie et engérontologie elle possède undiplôme d’études supérieures enmanagement public de l’ÉcoleNationale d’AdministrationPublique. Formatrice etconsultante depuis 1987.


INTERVENANTE :

DATES :

15, 16, 17 juin 2011

COUT : 525 €


Ad

ultes - Perso

nnes âgées

Ad

ultes - Perso

nnes âgées

145


présentant des troubles du comportementLIEU : Arras

Accompagner les personnes âgées

CONTEXTE : L’augmentation du nombre de personnes âgées s’accompagne de l’explosion du nombre des person-nes atteintes de troubles des fonctions cognitives. La plupart des soignants sont ou seront confrontés à cette réalité dans leur pratique professionnelle. Dès à présent ils ont besoin de repères diagnostics pour différencier la dépression, la psycho-se, le syndrome confusionnel et les démences, notamment la maladie d’Alzheimer, la forme démentielle la plus courante. Entre crainte et méconnaissance ils sont parfois en difficulté face à ces malades, aux conséquences sur les comporte-ments ou la communication. Ils se posent de nombreuses questions : Quels sont les besoins des personnes atteintes de démence et comment bâtir un projet adapté ? Quelle atti-tude avoir face à des troubles du comportement (agressivité, cris, déambulation incessante) ? Comment communiquer lorsque le langage est devenu difficile à comprendre ? Quel soutien proposer aux familles dont le poids moral face à une telle pathologie est considérable ?CONTENU : COMPRENDRE : les principales pathologies (maladie d’Alzheimer, Parkinson, démence sénile...). Symptômes, stades évolutifs, mécanismes, troubles associés. Présentation théorique (critères diagnostics), écologique (impact sur la vie quotidienne). Approche différentielle : vieillissement cognitif normal, psychoses vieillissantes, confusion mentale, dépression, pseudo démence dépressive. Différencier les principales démences (corticales / sous-corticales, vasculaires, dégénératives, toxiques...). Actualité thérapeutique : approches médicale et psychosocialeDIRE : Les sentiments du soignant : représentation de la vieillesse, du corps âgé, de la démence, de la dégradation, le regard porté sur les déments. Exprimer ses ressentis, ses difficultés lors de prises en charge de patients âgés atteints de démence. Les mécanismes de défense psychologiques, leur impact sur la relation soignant/soigné. La relation d’aide avec la personne démente : établir une relation de confiance. Réorientation, écoute des émotions et soutien affectif. Le concept de validation de Naomi FEIL : les réponses possibles face au délire. Les troubles du comportement : causes, stratégies d’apaisement. Les attitudes au quotidien face à l’agitation, les cris, la déambulation, l’agressivité envers



INTERVENANTE :

Susanne ÖHRNPsychologue clinicienne et Neuropsychologue spécialisée en gériatrie. Formatrice.

OBJECTIFS : permettre de répondre aux interrogations des soignants, les aider à exprimer les difficultés qu’ils ressentent, discuter des situations cliniques rencontrées au quotidien, aider à mettre en place des procédures adaptées pour respecter les besoins et la dignité de ces patients, lutter contre le sentiment d’impuissance et les réactions de rejet.

COUT : 435 €

DATES :

19, 20 Septembre 2011

soi ou les autres, les délires, la prostration, les demandes répétitives. Échapper au rapport de force dans la relation soignant / soigné : réflexion sur le pouvoir soignant. Relecture de la Charte de la personne âgée dépendante : réflexion sur le statut de la personne dépendante. AGIR : Les besoins spécifiques de la personne : contenir l’angoisse, redonner du sens à l’environnement, privilégier l’identité et l’estime de soi. Les objectifs à poursuivre quel que soit le soin : sentiment d’identité, orientation, autonomie, sécurisation, plaisir, stimulation. Les techniques de communication avec la personne âgée démente (approche concrète) : Exploiter les capacités verbales restantes, la communication non-verbale, le regard, la place du corps, le toucher, l’importance de l’environnement, la communication au niveau de l’émotion. Les attitudes soignantes favorisant la communication : patience, conviction, créativité, la technique de «la clé des sens» de Martine PERRON. Les moments clefs de la journée (lever, toilette, repas...) : analyse des pratiques actuelles, présentation des techniques et conseils mis en œuvre dans diverses unités spécialisées pour obtenir un minimum d’angoisse et un maximum de coopération des résidents. Organisation de la structure adaptée aux besoins des sujets déments : Signalétique, accueil, architecture, animations spécifiques, horaires, rythme de la journée. Recherche des améliorations possibles. La famille : la victime cachée de la maladie, les situations posant problème, relations conflictuelles entre famille et équipe, fuite et absence, détresse émotionnelle, comportement abusif envers le résident. Expliquer les difficultés des proches à l’origine de leurs attitudes, le sentiment de culpabilité consciente/inconsciente, les bouleversements des identités familiales, la recherche d’un nouveau mode relationnel, le syndrome de la maison vide, l’épuisement affectif, le deuil de l’ancienne image de la personne. Les enjeux de l’accueil des familles : rassurer, mettre en confiance, favoriser l’implication, être à l’écoute, déculpabiliser, donner des repères sur l’institution, sur les objectifs de soin. Guider pour favoriser leur participation dans la prise en charge3 Octobre 2011


La maladie d’AlzheimerDUREE : 18 HEURES - 3 JOURS

INSCRIPTIONS À ENVOYER AVANT LE 25 MAI À LA VIE ACTIVE FORMATION6TER, RUE DES BLEUETS - 62000 ARRAS - TÉL. : 03.21.21.50.70 - FAX : 03.21.21.50.79

OBJECTIFS :- Permettre aux professionnels de distinguer dans le

comportement de personnes malades d’Alzheimer,les signes du vieillissement normal, les indices d'unedétresse psychologique, les symptômes psychiatriqueset les réels symptômes démentiels.

- Donner aux personnels une occasion d'exprimer lessentiments vécus lors de la prise en charge des per-sonnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, analyserleurs impacts sur la qualité de la prise en charge.

- Améliorer la communication entre les professionnelset les personnes malades d’Alzheimer.

- Privilégier le respect de la personne en tant que sujetayant ses droits, ses préférences, ses refus, ses émo-tions.

- Améliorer l'individualisation de la prise en charge parune réflexion de fond sur la pratique actuelle.

- Réfléchir et améliorer la relation à la famille, la prise encompte de ses difficultés.

PROGRAMME :

1 / ComprendreConnaissances globales des différents types dedémence et les signes qui s’y attachent. Savoir faire ladifférence entre démences, vieillissement normale etd’autres pathologies comportant des troubles de com-portements (pathologies psychiatriques)

2/ DireExprimer et comprendre les sentiments vécus lors dela prise en charge des personnes atteintes de la mala-die d’Alzheimer, analyser leurs impacts sur la qualité dela prise en charge. Comprendre les sentiments et leexprimés et vécu de la personne qui développe unedémence. Développer son savoir faire : aspects dépis-tage (risque de fausse routes, constipation, inconti-nence…).

3/ Savoir être et savoir faire :Connaître et mettre en œuvre des stratégies d'apaise-ment face aux troubles du comportement. Etre capablede mettre en place des ateliers de base adaptée à lamaladie d’Alzheimer. Développement du savoir-être :capacité d’écoute active, d’adaptation à la phase dedémence, de pertes de repères et d’adaptation à l’in-quiétude de l’entourage proche (notion de culpabilité,inversion du rôle parentale).

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE :Elle sera participative, et interactive, prenant en comptela richesse, l'expérience des participants et la réalitédes situations de terrain et favorisant l'expression per-sonnelle et le partage de l'expérience professionnelledes stagiaires. Nous privilégierons une pédagogieséquentielle alternant phases théoriques, apports métho-dologiques, études de cas, analyse de situations vécueset de nombreux échanges et débats avec les stagiaires.

INTERVENANTE :

Susanne ÖHRN Formatrice auprès de publicsintervenants à domicile ou eninstitution, auprès depersonnes âgées, depersonnes handicapéesvieillissantes. Psychologueclinicienne etNeuropsychologuespécialisée en gériatrie.


DATES :

19 - 20 Septembre - 3 Octobre 2011

COUT : 435 €

6 - 7 - 17 juin 2011

INSCRIPTIONS À ENVOYER AVANT LE 10 AVRIL À LA VIE ACTIVE FORMATION6TER, RUE DES BLEUETS - 62000 ARRAS - TÉL. : 03.21.21.50.70 - FAX : 03.21.21.50.79


Ad

ulte

s -

Per

sonn

es â

gée

sA

dul

tes

- P

erso

nnes

âg

ées

146


LIEU : Arras ou Intra-Muros(nous contacter)

Les soins palliatifs.


COUT : 396 €

DATES :


INTERVENANTE :

26, 27, 28 Septembre 2011

F

La mort : un tabou ? et si on en parlait !

Marie-Christine COUDRE Formatrice spécialisée engérontologie et vieillissement,maître praticien PNL, en coursde formation à la validationNaomi FEIL. Membre del’association NENUPHAR(Association dedéveloppement de SoinsPalliatifs).

PUBLICToute personne quelle que soitsa fonction, désirant aborderun sujet difficile, dans un cadrestructuré et sécurisant. Lesinscriptions au stage doiventêtre basées sur le volontariat.La présence aux 3 journées estindispensable.

OBJECTIFS• Clarifier les représentations de chacun à propos de la fin de vie. • Travailler sur les ressources de la notion de « perte ». Elaborer

un « comment en parler » au niveau institutionnel. Mettre enplace une stratégie d’information et d’accompagnement.Clarifier les représentations personnelles quant à l’idée de mort,afin de mettre en évidence les difficultés, et d’optimiser sesressources pour un accompagnement en fin de vie. S’interrogersur la conception que l’on se fait du soin, de la prise en chargeet de l’accompagnement d’une personne en fin de vie.

• Elaborer une définition des soins palliatifs, concrète etspécifique aux établissements représentés dans le groupe, ens’appuyant sur les recommandations de bonnes pratiques.Confronter les expériences, difficultés, positions éthiques,habitudes pratiques et savoir technique.

• Définir les fondements de la « qualité de fin de vie » pourélaborer un protocole d’accompagnement cohérent au publicaccueilli. Déterminer le rôle de l’équipe pluridisciplinaire et laplace proposée aux proches dans l’accompagnement et ledeuil.

• Découvrir et développer les connaissances et les ressourcestant personnelles, que professionnelles, que relationnelles dontles professionnels disposent pour accompagner les personnesen fin de vie, et leurs proches. Mieux appréhender la prise encharge de la personne en fin de vie et la relation avec lesfamilles à travers la compréhension de leurs réactions face àl’approche de la mort.

• Apprendre à écouter et à être écouté, dans les différentsmodes de présence aux personnes : silence, parole, toucher.Etre présent à soi-même et à ses émotions, en les gérant. Poserdes gestes adéquats, rassurer l'autre et confirmer ce que lapersonne ressent.

PROGRAMME Phase d'accueil : Présentation des participants et de l'animateur.Présentation du stage. Analyse des attentes des participants. Mise

en place des règles de fonctionnement au sein du groupe pourfavoriser les échanges et interactions entre les participants entoute sécurité,Définition des soins palliatifs et cadre règlementaire :Historique et cadre juridique des soins palliatifs. Le droit àl’information, charte du mourant, rappel sur la loi du 22 avril 2005et décrets d’application du 6 février 2006.« Avons-nous accepté l’idée de la mort ? ». Les différentesapproches culturelles, les représentations, les mentalités etattitudes collectives à l'œuvre, la mort, son mystère et ses rites,son sens ou non-sens. Accompagner une personne en fin de viedemande d’avoir réfléchi sur sa propre mort. La dimensionspirituelle et rituelle. L’accompagnement des personnes en fin de vie : Aller à larencontre de l’autre. Approche de la douleur globale de lapersonne en fin de vie. Les besoins du mourant, les symptômesspécifiques. Les soins de base. Les prises de décisions et lefonctionnement de l’équipe pluriprofessionnelle. La phase ultime.Le décès : Du dénie à l’acceptation : le chemin du passeur.Comment « être » dans l’accompagnement. Appropriation desoutils de communication qui permettent de « trouver la bonnedistance », pour être un professionnel efficace, dans uneapproche « humaine » des soins. La place des proches dansl’accompagnement, et le deuil. L’accueil et l’accompagnementdes familles. Et après……que faire de nos souvenirs, et quelsmoyens pour la supervision de l’équipe ? L’importance du travailen équipe comme lieu de soutien et de ressource.

METHODE PEDAGOGIQUE :Essentiellement participative elle valorise l’expérience de chacunet demande une implication soutenue afin de créer unedynamique de groupe efficace et sécurisante. Travail de groupesur des documents écrits ou audio-visuels. Un temps seraconsacré à l’organisation d’une table ronde avec desprofessionnels.


À LA VIE ACTIVE FORMATION6

Prévenir le surinvestissement affectif, les dérives, l’épuisement dans la prise en charge des personnes âgéesLIEU : Arras ou Intra Muros (Nous contacter)

OBJECTIFS :l Développer des comportements professionnels

plus respectueux des personnes âgées, de leur vie privée, de leurs besoins, de leur rythme, de leur dignité humaine et de leur bien traitance.

l Adopter le meilleur comportement professionnel possible à destination des résidents quelles que soient les situations et les conditions de prise en charge dans lesquelles ils sont amenés à travailler (manque de temps, personnes âgées agressives, opposantes, exigeantes, etc …)

l Réintroduire dans leur façon d’aborder et de prendre en charge les personnes âgées dans tous les actes de la vie quotidienne et dans la démarche de soin, les règles sociales de courtoisie et de respect de la personne, ainsi que les règles sociales inhérentes à la vie en collectivité.

l Se sentir concernés et responsables de l’application, à travers leur travail au quotidien, des textes et des décrets visant au respect et à la protection de la personne âgée et de sa vie privée (lois du 2 janvier et du 4 mars 2002, contrat de séjour, livret d’accueil …).

l Sensibiliser le personnel sur ce qui peut être vécu par les personnes âgées comme des comportements non respectueux de leur personne, de leur identité, de leur vie privée et de leur condition.

l Prendre conscience que d’adopter des comportements professionnels et de s’y tenir, offre à chacun (professionnel et résident) un cadre de référence, des repères, et protège des éventuelles dérives (celles liées, entre autres, au sur investissement affectif et à l’épuisement professionnel …)

l Repérer et savoir passer le relais quand ils ne sont plus capables, dans certaines situations, de se comporter de façon professionnelle et risquent de devenir mal traitant.


CONTENU :Quels comportements adopter vis à vis des résidents et de leur famille ?L’intérêt de travailler dans le même sens : pour les professionnels eux-mêmes, pour les résidents et leur familleCe qui est à la base des comportements dits « professionnels » : l’application des textes et des décrets : lois du 2 janvier et du 4 mars 2002, contrat de séjour, livret d’accueil, les règles sociales de courtoisie, le respect de l’autre, les règles sociales de vie en collectivité, la gestion des émotions, la maîtrise de soi …Recherche en équipe : des comportements professionnels à adopter à destination des personnes âgées, des comportements erronés à éviter envers les personnes âgées, des façons d’expliquer à l’usager les règles auxquelles chaque professionnel se réfère, d’une démarche commune et cohérente à travers une prise de conscience et une responsabilisation tant individuelle que collective : transmissions, traçabilité…Prévenir les dérives : limites et seuil de tolérance, passer le relais, alerter avant de devenir mal traitant, c’est aussi se comporter comme professionnel responsable.

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE : Alternance d’apports théoriques, d’exemples et de mises en situations professionnelles. Echanges et analyse de situations professionnelles à partir de l’expérience des participants. Travail sur les ressources et les difficultés rencontrées dans le cadre de la pratique professionnelle.

COUT : 525 €

DATES :


INTERVENANT :

Patrick SIMON,Formateur en Relations Humaines et communication, formé à l’Analyse Transactionnelle, à la Programmation Neuro-Linguistique et à l’Approche Systémique

26, 27, 28 Septembre 2011


Ad

ultes - Perso

nnes âgées

Ad

ultes - Perso

nnes âgées

147


Accompagnement des personnes en fin de vie Formation aux soins palliatifsLes soins palliatifs “ C’est tout ce qu’il reste à faire quand il n’y a plus rien à faire ” ( Cisely Saunders )

LIEU : Arras ou Intra Muros (Nous contacter)

OBJECTIFS :l S’interroger sur la conception que l’on se

fait du soin, de la prise en charge et de l’accompagnement d’une personne en fin de vie - Définir et développer d’autres modes de prise en charge.

l Se former à la qualité de (fin de ) vie des personnes qui vont mourir - Clarifier les représentations de chacun à propos de la fin de vie et de la mort.

l Découvrir et développer les connaissances et les ressources tant personnelles, que professionnelles, que relationnelles dont les professionnels disposent pour accompagner les personnes en fin de vie, et leurs proches.

l Mieux appréhender la prise en charge de la personne en fin de vie et la relation avec les familles à travers la compréhension de leurs réactions face à l’approche de la mort.

l Chercher comment offrir à ces personnes et à leurs proches la ou les réponses évolutives les mieux adaptées à leurs besoins et à leurs souhaits - Définir et prendre conscience des limites de l’intervention des professionnels dans l’histoire de vie de la personne et de sa famille.

CONTENU :Soins palliatifs et accompagnement de fin de vie : définition, Charte et problématique


DURÉE : 4 JOURS (24 HEURES)

INTERVENANTE :

COUT : 680 €

DATES :

26, 27 Septembre 201110, 11 Octobre 2011

L’esprit palliatif : une nouvelle culture du soin - une démarche collective - une approche et une réflexion éthiques La spécificité des soins palliatifs - Une prise en charge de la personne selon trois notions :l “ Prendre soin de ”l Une prise en charge globalel L’intégration des soins palliatifs dans un “

continum de soins ”Les besoins fondamentaux de la personne en fin de vie - Comment y répondre : une démarche et un accompagnement à plusieurs niveauxL’accueil et l’accompagnement des famillesLes notions de deuil et de perte.L’importance du travail en équipe comme lieu de soutien et de ressource.

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE : Méthodologie de type interactif basée sur les apports personnels et professionnels de chaque participant, complétés par des apports théoriques - Echanges d’expériences - Analyse de situations professionnelles.

L



Vers une meilleure gestion de ses émotions face à la souffrance et à la mortLIEU : Intra Muros


INTERVENANTE :



PUBLIC :Professionnels intervenants auprès d’enfants,d’adolescents, d’adultes lourdement handicapés,physiques ou mentaux et/ou des personnes âgées enfin de vie.OBJECTIFS - Les participants seront amenés à :• Partager, analyser, accepter les sentiments, les

difficultés, les stress liés à la souffrance et à la mort despatients, des personnes handicapées (enfants, adultes),des résidents en fin de vie auprès desquels ilstravaillent.

• Comprendre les processus d’attachement, deséparation et de deuil pour mieux maîtriser leur façonde s’impliquer.

• Apprendre à gérer leurs émotions de façon à êtreproche des personnes et de leur famille tout ensachant prendre du recul et “ se protéger ”.

• Découvrir et développer les connaissances et lesressources dont ils disposent pour aider les personneset les familles confrontées à la maladie, la douleur età la souffrance.

• Mieux appréhender la relation avec les familles àtravers la compréhension de leurs réactions face à lamaladie, à l’handicap, son évolution, la souffrance deleur proche et leur propre souffrance.

• Définir les conditions leur permettant de mieuxassurer les situations professionnelles vécues : échec,culpabilité, perte…

CONTENU :Douleur et souffrance de la personne handicapée,du résident :• Douleur physique, souffrance psychique : sa

variabilité• Leurs différentes formes d’expression• Comment percevoir ce que le résident sait, ressent,

imagine…

Douleur et souffrance des familles :• Sentiment d’échec vécu par les familles• Les réactions paradoxales : désinvestissement,

agressivité…• Les réponses psychologiques à une situation

stressante : mécanismes de rejet, de défense…• Les blessures narcissiques devant la maladie,

l’handicap.Douleur et souffrance du personnel :• La culpabilité de “faire mal” au résident pendant les

soins• Le sentiment d’impuissance face à la détresse perçue• Le résident qui va mourir : durée de l’évolution de la

pathologie et intensité des liens.Le personnel et la famille :• Le personnel surinvesti par la famille ou le personnel

bouc-émissaire de leur angoisse• Accompagnement de la famille et augmentation de

l’intensité des liens affectifs• Le soutien des proches pour développer leur

coopération.L’importance du travail en équipe :• L’équipe comme lieu de soutien et de ressource• La prise en compte des difficultés et de la souffrance

de l’autre• La capacité à se remettre en question.• La question de l’éthique• Comment atténuer l’épuisement professionnel ? Le

syndrome du “ burn-out ” ?

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE : Méthodologie de typeinteractif, basée sur l’implication de chaque participant.Alternance d’apports théoriques et d’exploitationd’expériences concrètes. Echanges d’expériences entreles participants.




Ad

ulte

s -

Per

sonn

es â

gée

sA

dul

tes

- P

erso

nnes

âg

ées

148


La prise en charge des personnes âgées désorientées et de leur familleLIEU : Intra Muros

OBJECTIFS :l Améliorer la prise en charge institutionnelle des

personnes âgées désorientées ( atteintes de démence sénile, de la maladie d’Alzheimer ) et celle de leur famille.

l Aborder les différents aspects de la prise en charge quotidienne des personnes âgées désorientées.

l Mieux appréhender les difficultés liées aux troubles du comportement des personnes âgées désorientées et aux réactions des autres personnes âgées présentes dans l’établissement.

l Développer les aptitudes relationnelles nécessaires pour mieux accompagner et soutenir les familles.

CONTENU : Ce que l’on entend par personnes âgées « démentes, désorientées, atteintes de démence sénile... Définitions et représentations.Les différentes façons d’aborder une personne âgée désorientée et d’entrer en relation avec elle :

I

L’écoute à plusieurs niveauxLa communication verbale - ses limites

La communication non-verbale et ses possibles.Le maintien du lien avec la réalité à travers des pratiques d’animation et de simulation. Les effets d’une prise en charge adaptée et individualisée sur le comportement et le bien-être de la personne âgée désorientée.La prise en considération des familles :La prise en compte de leur souffrance et de leur désarroiLe moyen de mieux comprendre le discours ( semble-t-il incohérent) du résident par une meilleure connaissance de son histoireLe maintien des liens entre le résident et son entourage.

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE : Pédagogie active et concrète prenant en compte la réalité des participants - Apports théoriques - Travail à partir des ressources et des difficultés des participants à « appréhender « la personne âgée désorientée dans le cadre de leur pratique professionnelle. Un document sera remis à chaque participant à l’issue de la formation.Intervention ponctuelle pendant la formation d’une neuro-psychologue.


DATES :


INTERVENANTES :

Marie-Annick DESNOULEZ,formatrice en communication et Relations Humaines. Formée à l’AT, la PNL et l’Approche Systèmique.

les conditions

d se substituer « essayer

d

€




L’animation dans les structures d’accueil de personnes handicapées vieillissantes ou personnes âgéesLIEU : Arras ou Intra Muros (Nous contacter) OBJECTIFS :

Engager une réflexion sur la place de la relation et de l’animation dans les différentes prises en charge de la personne âgée ou handicapée vieillissante. Choisir les thèmes en fonction des intérêts de la personne accueillie. Échanger par rapport à l’animation. Recueillir les besoins et susciter l’animation. Organiser une animation. Acquérir la capacité de créer, par l’animation et la communication, les conditions d’une mise ou remise en communication de l’adulte âgé quel que soit son âge, sa santé, son handicap, son entourage.CONTENU : - Identifier les activités de la vie quotidienne. Mettre en

évidence l’importance de l’animation rendre le projet de vie cohérent. Étudier les moyens d’intégrer l’animation dans les tâches quotidiennes complément des ateliers d’animation. Les objectifs de l’animation. Quelles activités proposées ? comment les rendre attrayantes ? Définir les goûts, les centres d’intérêt

- Identifier les fonctions cognitives sollicitées selon la nature de l’animation. Le maintien des fonctions cognitives.

- L’animation pour qui, quand comment ? Notion d’autonomie et dépendances.

- Concevoir, organiser, initier et animer des activités de loisir en favorisant l’autonomie

- Savoir dynamiser son intervention, acquérir des compétences et des techniques pour animer les différents ateliers (mémoire, peinture dessin chant musique, gym douce), intégration de l’animation dans le soin au quotidien

- Faire de chaque geste quotidien un acte d’animation. Le Lever, toilette, déplacements, repas, tâches ménagères, couché : des activités élémentaires de la vie quotidienne mettant en jeu des fonctions particulières

- Construire dans le cadre d’un projet de vie un support d’activité permettant de les mettre en avant.

- Utiliser des outils méthodologiques qui permettront


l’analyse des activités- Mettre en place une démarche collective autour de

l’animation développer la notion d’attitude animante- L’institution comme lieu de vieDÉTAILS : Les différents types d’animations en institution : L’animation loisirs. L’animation cyclique. Animations thérapeutiques. Les animations institutionnelles. L’accompagnement comme un acte d’animation. L’animation quotidienne. Les conditions matérielles d’une animation. Les préalables et les conditions de réussite, les différentes techniques. L’animation partout et pour tous, (au lit du résident, en unité, en salle d’animation), créer, initier et organiser. Aider sans se substituer « essayer de ne pas faire à la place de «. La qualité de commutation du soignant (les différents modes de communication). Aider sans se substituer au malade et amoindrir ses sentiments d’échec. Préjugés, gêne, maladresse, peur, fuite : les différentes attitudes de l’entourage social. Travail d’élaboration de projets individuels aux institutionnels. En quoi l’environnement matériel (sécurité et confort) et la communication peuvent influencer favorablement le déroulement d’une activité. L’inventaire des compétences cachées des personnels la valorisation des talents, individuels et la prise en compte des centres d’intérêt de chacun. L’animation l’affaire de toute l’équipe. Le rôle spécifique de l’animateur professionnel. Des intervenants extérieurs et les relations dans l’équipe. La part des bénévoles la coordination des actions. Le partenariat avec les familles. La mise en commun le suivi des animations les réunions de équipe. Concevoir et évaluer un projet des projets. Élaborer un planning intelligent.Rendre compte, savoir valoriser et se valoriser.

MOYENS PÉDAGOGIQUES : Alternance de connaissances sous forme d’exposés, travaux de groupe, mise en situation, études de cas. Échanges et analyse à partir des pratiques et du vécu des stagiaires.

COUT : €

DATES :


INTERVENANTE :

Marie-Christine COUDREFormatrice en Communication et relations humaines, spécialisée en gérontologie. Maître praticien PNL -

PUBLIC : Tous les professionnels travaillant auprès des personnes âgées ou handicapées vieillissantes en résidence en unités spécialisés ou à domicile.

Expérience de 15 ans comme directrice

21, 22, 28, 29 Mars 2011

528

d’établissement pour personnes agées dépendantes


Ad

ultes - Perso

nnes âgées

Ad

ultes - Perso

nnes âgées

149


Mettre en place un atelier mémoire

LIEU : Arras

OBJECTIFS :Comprendre le fonctionnement de la mémoire et ses mécanismes.Reconnaître les troubles de la mémoire liés aux pathologies des personnes accueillies : troubles mentaux, troubles liés au vieillissement, troubles neurologiques etc...Mettre en place un atelier permettant à partir d’une évaluation des troubles de proposer des exercices, et ainsi de sauvegarder et développer une mémorisation efficace. Donner des outils pour que la personne âgée puisse travailler sa mémoire au quotidien.Inscrire l’activation cérébrale dans le projet individuel de la personne et dans le projet global d’animation et de vie sociale.Enrichir le contact entre les agents et les résidents.

PUBLIC :Toute personne travaillant auprès des personnes âgées.

PROGRAMME :

THEORIEl Données neuro physiologiques : Fonctionnement

cognitif et mécanismes de la mémoire.



INTERVENANTE :


COUT : 435 €

DATES :

17, 18 Octobre 2011

Vieillissement physiologique et vieillissement pathologique. Définitions et mécanismes de la mémoire,

l Les phases du souvenir,l Pathologies de la mémoire : tests d’évaluation.

PRATIQUEl Comment mettre en place un atelier mémoire,l Mise en situation pour stimuler la mémoire,l Ateliers,l Jeux,l Echanges de divers moyens utilisés.

MÉTHODES PÉDAGOGIQUES :De type participatif, les méthodes pédagogiques s’appuient sur la pratique et le vécu des stagiaires. Débats, apports théoriques, études de cas, mises en situation et travaux de groupe permettent de développer les compétences.

L

7 Novembre 2011


Personnes âgées et agressivité



OBJECTIFS :

Les personnes âgées difficiles peuvent deveniragressives ou violentes : Comment peut-on repérer, les niveaux d’alerte et lesdifférentes formes symptomatiques de ce trouble ducomportement, afin de protéger et mettre en sécuritéle sujet âgé ? Nous décrirons les aspects cognitifs et relationnelsde certains troubles mentaux liés à la vieillesse. Nous aborderons ensuite la problématiquedépressive du sujet âgé et comment la prévenir afind’éviter des passages à l’acte auto ou hétéro-agressif.Nous essayerons enfin d’apprendre d’autres

méthodes de communication que la parole travailleren confiance avec la personne âgée.

PROGRAMME :

Discerner le comportement violence et agressivité ; la« violence-agression » et la « violence-punition ».

Contre-attitude et attitude à développer face à uncomportement agressif chez la personne âgée,Démarche diagnostic des troubles du comportementchez le sujet âgé : analyse systémique et piège àéviter : étude contextuelle et expérientielle de cestroubles des conduites.Les modalités d’interventions seront axées sur ledépistage des comportements verbaux et nonverbaux agressifs, l’analyse des éléments aidant danscette situation de crise, la co-construction en équipede solutions alternatives et enfin la définition desdispositions de protection mutuelle utile à cettesituation.

MÉTHODES PÉDAGOGIQUES :

Alternance d’apports théoriques et méthodologiques- Étude de cas - Adaptation des méthodes auxdifférents contextes professionnels des participants.

INTERVENANT :

Philippe BAUX, MédecinPsychiatre. Formateurd’adultes en formationscontinues et universitairesdepuis 1995. Thérapeute decouple et de famille. Médecinpour enfants en ITEP (InstitutThérapeutique EducatifPédagogique). Médecinexpert dans le cadre de bilansfamiliaux auprès des Jugesdes Enfants.


DATES :

17 – 18 – 19 Mai 2011

COUT : 450 €


Ad

ulte

s -

Per

sonn

es â

gée

sA

dul

tes

- P

erso

nnes

âg

ées

150


La relation à l’agressivité de certains résidents


OBJECTIFSComprendre l’origine et le sens des diverses manifestations d’agressivité chez certains résidents afin de mieux les appréhender et d’y apporter une réaction adaptée.

PROGRAMME

L’agressivité :- Définitions.- Analyse des différents types et des différents degrés d’agressivité.- Le sens de certaines manifestations et attitudes vécues comme « agressives «, rencontrées dans le cadre

professionnel.

Repérer les transactions à l’origine des situations agressives et conflictuelles :- Le cycle de la violence.

Faire face à l’agressivité :- La peur de l’agression contre soi.- Comment se protéger de l’agressivité de certains résidents.- Gestion du stress lié à ces agressions.

Répondre à l’agressivité :- Quelles réactions, quelles réponses apporter.- Techniques de relation d’aide et d’écoute.- Des gestes pour rassurer et calmer.

METHODE PEDAGOGIQUEAlternance d’apports théoriques, d’exercices et de mises en situations professionnelles liées à la réalité vécue par les participants.

INSCRIPTIONS À ENVOYER AVANT LE 10 AVRIL À LA VIE ACTIVE FORMATION6TER, RUE DES BLEUETS - 62000 ARRAS - TÉL. : 03.21.21.50.70 - FAX : 03.21.21.50.79


INTERVENANT :

Patrick SIMON,Formateur et consultant en Relations Humaines et Communication

COUT : 644 €

DATES :

9, 10, 16, 17 Juin 2011


Prévenir la maltraitance envers les personnes âgées

LIEU : Arras ou Intra Muros

INSCRIPTIONS À ENVOYER AVANT LE 10 LA VIE ACTIVE FORMATION6TER, RUE DES BLEUETS - 62000 ARRAS - TÉL. : 03.21.21.50.70 - FAX : 03.21.21.50.79


INTERVENANTE :


MÉTHODES PÉDAGOGIQUES de type participatif, s’appuyant sur la pratique et le vécu des stagiaires. Débats, apports théoriques, études de cas, mises en situation et travaux de groupe permettent de développer les compétences et la conscience de soi dans les situations difficiles. L’intervenant apportera des exemples d’outils de prévention de la maltraitance.

MAI

COUT : 435 €

DATES :

12, 13, 26 Septembre 2011

:

I

(Nous contacter) OBJECTIFS : Nous apporterons des éléments afin de comprendre parquels mécanismes la maltraitance peut apparaître. Nousévoquerons notamment la difficulté du travail auprèsdes personnes ayant des troubles du comportement etla question essentielle du rapport à la loi. Se doterd’une procédure interne de signalement des violencesest un moyen de faire rentrer la loi dans une institution.C’est un acte de prévention important car un tel outilbrise les non-dits, légitime le témoignage, reconnaît à lavictime son statut et surtout donne une occasion à laparole de circuler autour d’un comportement lourdd’interrogations pour chacun. Nous vous apporteronsdans cette formation des exemples d’outils utilisésailleurs, notamment au Canada, mais également ceuxproposés par le Comité national de vigilance contre lamaltraitance des personnes âgées.

CONTENU :Connaissance du thème. Identifier les situations demaltraitance. Définitions : Agressivité. Violence.Maltraitance. État des lieux : Épidémiologie, réalitéchiffrée. Les différentes formes : une définitionplurielle : active/passive (les abus/les négligences),volontaire/involontaire, verbale/physique. Des bleus àl’âme : la maltraitance psychologique. Maltraitancefinancière, culturelle... De l’individu au collectif, dusoignant à l’institution, les différents visages dumaltraitant. Les causes : les mécanismes d’apparition.Les protagonistes : victimes/auteurs/mécanismes.Analyse systémique de l’apparition de la maltraitanceen institution : Les comportements en jeu : à laviolence des uns répond la violence des autres.

La dynamique émotionnelle : Les difficultés dusoignant, ses conséquences sur la relationsoignant/soigné (mécanismes de défense, passages àl’acte et ressentis). Connaissance de la personne âgéedépendante : Préjugés sur le vieillissement, notion derespect. La dépendance : un sentiment de vulnérabilitéaccru. Méconnaissance des besoins de la personneâgée. Les difficultés de communication. L’organisationdu travail en question : Identification de situations demaltraitance institutionnelle. La notion de pouvoir dansl’institution gériatrique. Des solutions : Identifier lesmoyens d’éviter l’apparition, la persistance de lamaltraitance. Favoriser la parole. Améliorer sescapacités relationnelles : Réagir avec calme àl’agressivité d’autrui. L’assertivité dans les relationssoignant/soigné, apprentissage du langage positif.Contrôler l’agressivité en soi : travail sur la prise dedistance. L’importance des réunions d’équipe : Lacohésion, la confrontation des points de vue,l’organisation des soins. Réflexion et consensus sur lesvaleurs de soin. Le soutien des soignants. Connaissancede la personne âgée, des pathologies : La formationdes soignants. La place de la parole : La possibilité dese plaindre, de critiquer. Connaissance du code pénalet textes officiels : Statut pénal des actes demaltraitance. Obligation de témoignage. Liste des droitset charte de la personne âgée dépendante. Les étapesdu signalement d’une situation de maltraitance :L’obligation de signalement. Le signalement par lemédecin. L’exemption du secret professionnel. Lesrecours institutionnels et extérieurs : articulation avecl’évaluation qualité, associations, instances sanitaires etjudiciaires.


Ad

ultes - Perso

nnes âgées

Ad

ultes - Perso

nnes âgées

151


Développer un « Savoir Etre » auprès de Personnes AgéesLIEU : Arras

OBJECTIFS : Définir le vieillissement et les conséquences dans la vie quotidienne. Mieux comprendre les comportements de la personne âgée. Prendre conscience des pathologies et des dysfonctionnements liés au vieillissement. Adapter sa pratique professionnelle en fonction de ces paramètres et du cadre d’accueil de la personne âgée. Adopter des réponses cohérentes et adaptées. Développer des attitudes adaptées dans la vie au quotidien. Connaître les droits et les devoirs de la personne âgée

PROGRAMME : Comprendre la personne vieillissante : Définitions et conséquences du vieillissement : Le vieillissement dans notre société. Le vieillissement physiologique normal, pathologique, troubles du comportement : l’hypertension, l’incontinence, pathologies sensorielles, mobilité réduite… Les Pathologies neurologiques et les troubles cognitives : Maladie de Parkinson, AVC, hémiplégie…Les troubles confusionnels aigus. Démence de Type Alzheimer, vasculaire, liée à la Maladie du Parkinson, à corps de Levy, frontale…. Les dépressions. Les patients psychiatriques vieillissants. Le vécu des personnes âgées dépendantes : Le traumatisme du vieillissement. La dépendance : la vulnérabilité Les différentes pertes de capacités, de l’indépendance, du rôle social et l’image de soi, d’êtres chers, du lieu de vie, du mode de vie, des objets, de la vie…. La notion de travail de deuil , de crise de vie d’Erik Eriksson. Les besoins de la personne âgée (Maslow). Les difficultés de communication. Les sens possibles des troubles de comportementsLes difficultés rencontrées par le soignant : La confrontation à la dépendance et ses conséquences sur la relation soignant/soignée La méconnaissance des troubles liés au vieillissement. La relation avec les familles. Syndrome d’épuisement professionnel.Etre soignant auprès de personnes âgées



INTERVENANTE :Susanne ÖHRN,Psychologue clinicienne et Neuropsychologue spécialisée en gériatrie. Formatrice

SUPPORT : Livret participant d’une vingtaine de pages comprenant définitions, articles et textes de réflexion, droits des personnes âgées en institution, études des cas, résumé des notions principales, fiches techniques, une bibliographie, la Liste des sites Internet et des adresses utiles, des grilles d’observation. Document audiovisuel. Présentation des cas concrets sur rétroprojecteur (textes et vignettes illustrées)

COUT : 435 €

DATES :

14, 15, 28 Novembre 2011

Les différentes structures d’accueil : La notion de lieu de vie. Les EHPAD. Structure spécialisée pour des patients atteints de la Maladie d’Alzheimer et des troubles apparentés. Accueil temporaire. Domicile.Les valeurs qui sous-tendent la relation d’aide. Le respect et l’intimité. Être à l’écoute, reformulation, empathie. L’absence de jugements de valeur. Droits et devoirs des personnes âgées dépendantes.La communication avec les personnes âgées. La place de l’écoute. Les alternatives à la communication verbale. La communication spécifique avec les personnes âgées désorientées (Face aux demandes répétitives. Face aux délires. La communication selon Naomi FEIL). L’information (Quand ? Comment ? Pourquoi ?). Donner des repères sur le fonctionnement de l’institution et les objectifs de soin. Guider pour favoriser la participation de la personne âgée dans la prise en chargeAttitudes possibles face aux troubles du comportement. Agitation (Déambulation. Gestes et demandes répétitives). Comportements dépressifs (Replis sur soi. Détresse morale. L’agressivité : gérer sa propre agressivité quand on se sent agressé. Comprendre les causes de l’agressivité chez les personnes âgées. Adapter sa réponse selon la situation, la personne et la pathologieMettre en place des stratégies de prise en charge : Améliorer ses capacités relationnelles et gérer son stress. Travail sur la juste distance.La notion de pouvoir dans l’institution gériatrique. La place de la parole de la personne âgée. L’organisation du travail en question. Identification de situations difficiles concrètes. Propositions d’améliorations personnelles et institutionnelles. Le Projet de Vie Individuel ; Vers une personnalisation de la relation de soin et de la prise en chargeL’importance des réunions d’équipe. La cohésion. La confrontation des points de vue. L’organisation des soins. Réflexion et consensus sur les valeurs de soin. Le soutien des soignants


Transmissions écrites - Transmissions ciblées

LIEU : Arras ou Intra-Muros(nous contacter)

PUBLIC :

Cadre, infirmier, aide soignante... tout professionnel confronté aux transmissions ciblées dans sa pratique professionnelle

OBJECTIFS :

Ecrire le moins possible et le mieux possible.Utiliser une méthode fiable privilégiant l’écrit à l’oral visant résultat et efficacité.S’approprier une démarche intellectuelle et des outils correspondant à l’exercice professionnel infirmier tel qu’il existe en France.

CONTENU :

Des transmissions pourquoi faire ?Transmissions orales et transmissions écritesImportance de l’écriture.Support et dossier de soinRéglementation et recommandations

Conception de soin et raisonnement clinique . Les domaines du raisonnement cliniqueLes transmissions ciblées (macro cible d’entrée, synthèses intermédiaire, recueil des données,

INSCRIPTIONS À ENVOYER AVANT LE À LA VIE ACTIVE FORMATION6TER, RUE DES BLEUETS - 62000 ARRAS - TÉL. : 03.21.21.50.70 - FAX : 03.21.21.50.79

DUREE : 12 HEURES / 2 JOURS

INTERVENANT :

Jean-Paul MAYEUR cadre supérieur de santé

20 FEVRIER

COUT : 286 €

DATES :

7, 8 Avril 2011

détermination des cibles, actions, évaluation des résultats.)Les diagrammes de soins .Stratégie d’implantation...

MÉTHODES PÉDAGOGIQUES :

Théorie enrichie d’exemplesExercices pratiquesInteractivité : Utilisation du vécu, de la spécificité et de l’expérience des participantsDocumentation remise

P


Ad

ulte

s -

Per

sonn

es â

gée

sA

dul

tes

- P

erso

nnes

âg

ées

152


La relation tripartite en établissement d’hébergementRésident - Famille - Professionnel



OBJECTIFS :- Appréhender les mécanismes relationnels au sein

de l’entité « famille »- Comprendre les enjeux et les risques de la

situation de placement pour la famille et lerésident.

- Déterminer les limites du contrat de confiancefamille, résident, professionnels (Soignant,éducatif, paramédical…)

- Anticiper les plaintes des familles et transformerles conflits en sources d’apprentissage.

PROGRAMME :

Qu’est ce que la Famille : Définitions : notion de système et d’élémentsHistoriqueEléments de compréhension : les rôles, lessecrets, les prénoms….

Les différents types de familles en Etablissementd’Hébergement et leurs fonctionnements

La famille confianteLa famille protectrice ; vigilanteLa famille agressiveLa famille absente….

Les différents comportements du professionnel(Soignant, éducatif, paramédical…)

Le surprotecteur…parent/ persécuteur/sauveurLe fuyant……..enfant/ victimeLe professionnel…..adulte

Qu’est ce que la communicationDéfinitions : la méta communication,Différence entre relation, communication,contactLes distances de communication, intime, proche,socialeTravail du soignant dans la zone intime et nondans l’intimité.

Utilisation des outils de communicationAnalyse systémiqueAnalyse transactionnelleP.N.L

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE :Mise en place d’un cadre sécurisé de formation,dans le respect des personnes et de laconfidentialité. Les exemples concrets rencontréspar les équipes seront à la base de la discussion etsources d’apports théoriques.

INTERVENANT :

Marie-Christine COUDRE Formatrice enCommunication et RelationsHumaines spécialisée engérontologie, etvieillissement, maître praticienPNL, en cours de formation àla validation Naomi FEIL.Intervient auprèsd’établissements spécialiséspour adultes et personnesâgées (MAS, Foyer de Vie,Foyer d’hébergement, Ehpad,ESAT…) ou auprès de CentresHospitaliers et de longsséjours. 15 ans d’expériencecomme directriced’établissement pourpersonnes âgées.


DATES :

4, 5, 6 Avril 2011

COUT : 396 €


L’Incontinence : Approche comportementale et PsychologiqueLIEU : Arras

OBJECTIFS : l Prendre conscience des besoins, attentes et du vécu

des personnes âgées incontinentes l Connaître les causes psychologiques de

l’incontinencel Connaître les besoins spécifiques aux personnes

âgées désorientéesl Savoir repérer les signes d’une personne âgée qui a

besoin d’aller aux toilettesl Acquérir des connaissances sur la prévention de

l’incontinencel Exprimer et comprendre les difficultés lors de la prise

en charge des personnes incontinentes, analyser leurs impacts sur la qualité de la prise en charge

l Développer son savoir faire afin de personnaliser la prise en charge dans le cadre du projet de vie personnalisé

PROGRAMME : L’incontinence et les répercutions sur la vie de la personne : Impacte dans la vie quotidienne : Conséquences sur l’image de soi. Devenir dépendent et la perte d’un acquis. Le rapport à la propreté et le sentiment de honte. L’image infantile. Le refus ou le déni de l’incontinence. Troubles dépressifs, syndrome de glissement. La difficulté de demander de l’aide pour aller aux toilettes. Les attitudes dans l’entourage social (famille, soignants, d’autres résidents…). L’incompréhension de l’entourage familiale. La banalisation de l’incontinence en institution. L’infantilisation. Le non-respect de la pudeur de la personne Les besoins de la personne âgée et les enjeux de la prise en charge : Les besoins psychologiques sous-jacents à certaines formes de l’incontinence.



INTERVENANTE :

Susanne ÖHRN,Psychologue clinicienne et Neuropsychologue spécialisée en gériatrie. Formatrice.

COUT : 290 €

DATES :

10, 11 Octobre 2011

Besoin de respect et de préserver l’image de soi. Les signes émis par une personne qui a besoin d’être accompagnée aux toilettes. L’incontinence chez la personne âgée désorientée : Les causes. Les signes. Les besoins spécifiquesLa réponse soignante : Le regard du soignant. Représentation de la vieillesse, du corps du malade âgé, de l’incontinence, de la dégradation. La prévention de l’incontinence. L’importance de la communication (verbale et non-verbale). L’incontinence « institutionnelle ». Comment aider une personne qui ne demande pas à être accompagnée. Les dispositifs institutionnels pour favoriser la continence et l’autonomie des personnes âgées. La spécificité de l’accompagnement pour les personnes âgées désorientées (Donner des repères dans le temps et dans l’espace, Décoder dans le comportement de la personne le besoin d’être accompagné aux toilettes, Attitude à tenir face aux troubles du comportement (agitation, refus de change ou de la toilette, fécalisation…). Prendre en charge l’incontinence. La bonne attitude face à l’incontinence : le respect de la pudeur, ne pas réprimander. Le soutien de la personne âgée incontinente. Ne pas mettre la personne en échec. Bâtir un projet adapté (rééducation, responsabilisation du résident, gestion des changes…). Le rôle du projet de vie individualisé. Analyse des situations institutionnelles (le moment des repas, des changes, des sorties, lors des visites…)

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE : L’apport de connais-sances et les réflexions se feront a partir des cas concrets apportes par les stagiaires et la formatrice, des articles, des fiches bandes dessinés, des mises en situations, des jeux de rôles, etc…

D


Mise en page 1 - pagesperso-orange.fr

Documents

Transcript of Mise en page 1 - pagesperso-orange.fr