Mise en page 1Gabriel Fauré, fantaisie pour flûte et cordes, Juliette Hurel entr ’acte Ernest...

14
Fondé en 1953 par Louis Auriacombe, l'Orchestre de Chambre de Toulouse s'inté- resse à toutes les musiques, de la période baroque jusqu'à la création contemporaine. De nombreux compositeurs ont travaillé avec lui pour des concerts et des enregistre- ments, lui dédiant des œuvres spécifiques. Il se produit régulièrement avec les plus grands solistes, tels Christophe Coin, Gautier Capuçon, Natalie Dessay, Régis Pasquier, Michel Lethiec, Anne Queffelec et Richard Galliano pour ne parler que de l'histoire récente, et collabore avec des ensembles vocaux comme le Chœur de Chambre Les Éléments et l’Escale chro- matique . Il est l'invité de nombreux fes- tivals en France (La Chaise- Dieu, La Vézère, Pablo Casals à Prades, Septembre Musical de l’Orne…), comme à l'étran- ger (Japon, Suède, Suisse, Es- pagne, Argentine, Brésil, Macédoine, Bermudes). De la formation de chambre jusqu'à l'effectif “Mozart“, l'Or- chestre de Chambre de Tou- louse s'est produit sur tous les continents, visitant plus de 30 pays et donnant plus de 6500 concerts à un public qui lui est toujours resté fidèle. Sous la direction de Gilles Colliard, depuis 2004, l’orchestre a choisi d’aller au bout de sa dé- marche d’authenticité en pro- posant des concerts baroques sur instruments anciens, mais aussi des concerts modernes avec les instruments actuels, ou encore des programmes réunissant les deux instruments. La hauteur du diapason ou la nature des cordes (boyau ou acier) ne peuvent éluder la question de l’écriture musicale qui seule doit déterminer le choix d’un instrument ou d’un autre pour toujours mieux ser- vir la pensée des compositeurs Baroque par son exubérance, par le jaillissement de sa créa- tivité, par le jeu sur instruments d’époque, l’Orchestre de Chambre de Toulouse est émi- nemment Contemporain dans son approche des interprétations et dans le rapport qu’il établit avec son public. Salles de concert, églises, cen- tres culturels, écoles, universi- tés, et même parfois usines, l’Orchestre de Chambre de Toulouse propose au public plus de 120 concerts théma- tiques chaque année. dans le cadre du Festival Musical des Grands Crus de Bourgogne 8 juillet 20h30 Église Notre-Dame de Noyers Europe Baroque Orchestre de Musique de Chambre de Toulouse Rencontres Musicales de Noyers programme 2011 l’Orchestre de Musique de Chambre de Toulouse Le baroque contemporain © OLIVIER MINH design graphique : Zazie Sazonoff texte programme : Vincent Borel Les RMN remercient les viticulteurs de la région pour les vins qu'ils offrent de découvrir après les concerts, en présence des artistes. www.musicalesdenoyers.com

Transcript of Mise en page 1Gabriel Fauré, fantaisie pour flûte et cordes, Juliette Hurel entr ’acte Ernest...

  • Fondé en 1953 par Louis Auriacombe, l'Orchestre deChambre de Toulouse s'inté-resse à toutes les musiques, dela période baroque jusqu'à lacréation contemporaine. Denombreux compositeurs onttravaillé avec lui pour desconcerts et des enregistre-ments, lui dédiant des œuvresspécifiques.Il se produit régulièrementavec les plus grands solistes,tels Christophe Coin, GautierCapuçon, Natalie Dessay,Régis Pasquier, Michel Lethiec,Anne Queffelec et RichardGalliano pour ne parler que del'histoire récente, et collaboreavec des ensembles vocauxcomme le Chœur de ChambreLes Éléments et l’Escale chro-matique .Il est l'invité de nombreux fes-tivals en France (La Chaise-Dieu, La Vézère, Pablo Casalsà Prades, Septembre Musicalde l’Orne…), comme à l'étran-ger (Japon, Suède, Suisse, Es-pagne, Argentine, Brésil,Macédoine, Bermudes).

    De la formation de chambrejusqu'à l'effectif “Mozart“, l'Or-chestre de Chambre de Tou-louse s'est produit sur tous lescontinents, visitant plus de 30pays et donnant plus de 6500concerts à un public qui lui esttoujours resté fidèle.

    Sous la direction de Gilles Colliard,depuis 2004, l’orchestre achoisi d’aller au bout de sa dé-marche d’authenticité en pro-posant des concerts baroquessur instruments anciens, maisaussi des concerts modernesavec les instruments actuels,ou encore des programmesréunissant les deux instruments.

    La hauteur du diapason ou lanature des cordes (boyau ouacier) ne peuvent éluder laquestion de l’écriture musicalequi seule doit déterminer lechoix d’un instrument ou d’unautre pour toujours mieux ser-vir la pensée des compositeurs

    Baroque par son exubérance,par le jaillissement de sa créa-tivité, par le jeu sur instrumentsd’époque, l’Orchestre deChambre de Toulouse est émi-nemment Contemporain dansson approche des interprétationset dans le rapport qu’il établitavec son public.

    Salles de concert, églises, cen-tres culturels, écoles, universi-tés, et même parfois usines,l’Orchestre de Chambre deToulouse propose au publicplus de 120 concerts théma-tiques chaque année.

    dans le cadre du Festival Musical des Grands Crus de Bourgogne

    8 juillet 20h30 Église Notre-Dame de Noyers

    Europe BaroqueOrchestre de Musique de Chambre de Toulouse

    Rencontres Musicales de Noyers

    programme 2011l’Orchestre de Musique de Chambre de ToulouseLe baroque contemporain

    © OLIVIER MINH

    design graphique : Zazie Sazonoff texte programme : Vincent Borel

    Les RMN remercient les viticulteurs de la région pour les vins qu'ils offrent de découvrir après les concerts,

    en présence des artistes.

    www.musicalesdenoyers.com

  • Antonio Vivaldi, concerto grosso alla rustica

    André Cardinal Destouches, chaconne

    Jéremiah Clarke, suite en ré

    Jean-Sébastien Bach, suite en sol

    entr’acte

    Henry Purcell, chaconne

    Pietro Locatelli, concerto grosso n°3

    Carl Philipp Emmanuel Bach, sinfonia n°5

    Europe Baroque

    L’ère baroque est d’une diversité inouïe, vouée à la

    musique sacrée comme aux joies profanes. L’Or-

    chestre de musique de chambre de Toulouse a

    choisi un libre parcours entre les concertos et les

    danses qui reflètent les passions et les états de

    l’âme. Le voyage commence sur la lagune véni-

    tienne, retrouve Bach au cœur de l’Allemagne,

    danse avec la France de la Régence, rêve avec Pur-

    cell et le rare Jeremiah Clarke. Et s’achève avec l’au-

    dace de Carl Philipp Emmanuel, le prodigieux fils

    Bach.

    u

  • Fondé en 1953 par Louis Auriacombe, l'Orchestre deChambre de Toulouse s'inté-resse à toutes les musiques, dela période baroque jusqu'à lacréation contemporaine. Denombreux compositeurs onttravaillé avec lui pour desconcerts et des enregistre-ments, lui dédiant des œuvresspécifiques.Il se produit régulièrementavec les plus grands solistes,tels Christophe Coin, GautierCapuçon, Natalie Dessay,Régis Pasquier, Michel Lethiec,Anne Queffelec et RichardGalliano pour ne parler que del'histoire récente, et collaboreavec des ensembles vocauxcomme le Chœur de ChambreLes Éléments et l’Escale chro-matique .Il est l'invité de nombreux fes-tivals en France (La Chaise-Dieu, La Vézère, Pablo Casalsà Prades, Septembre Musicalde l’Orne…), comme à l'étran-ger (Japon, Suède, Suisse, Es-pagne, Argentine, Brésil,Macédoine, Bermudes).

    De la formation de chambrejusqu'à l'effectif “Mozart“, l'Or-chestre de Chambre de Tou-louse s'est produit sur tous lescontinents, visitant plus de 30pays et donnant plus de 6500concerts à un public qui lui esttoujours resté fidèle.

    Sous la direction de Gilles Colliard,depuis 2004, l’orchestre achoisi d’aller au bout de sa dé-marche d’authenticité en pro-posant des concerts baroquessur instruments anciens, maisaussi des concerts modernesavec les instruments actuels,ou encore des programmesréunissant les deux instruments.

    La hauteur du diapason ou lanature des cordes (boyau ouacier) ne peuvent éluder laquestion de l’écriture musicalequi seule doit déterminer lechoix d’un instrument ou d’unautre pour toujours mieux ser-vir la pensée des compositeurs

    Baroque par son exubérance,par le jaillissement de sa créa-tivité, par le jeu sur instrumentsd’époque, l’Orchestre deChambre de Toulouse est émi-nemment Contemporain dansson approche des interprétationset dans le rapport qu’il établitavec son public.

    Salles de concert, églises, cen-tres culturels, écoles, universi-tés, et même parfois usines,l’Orchestre de Chambre deToulouse propose au publicplus de 120 concerts théma-tiques chaque année.

    l’Orchestre de Musique de Chambre de ToulouseRencontres Musicales de Noyers

    programme 2011

    9 juillet 15h Église Notre-Dame de Noyers

    Mozart, de Léopold à WolfgangOrchestre de Musique de Chambre de Toulouse

    dans le cadre du Festival Musical des Grands Crus de Bourgogne© BRICE DEVOS

    © OLIVIER MINH

    design graphique : Zazie Sazonoff texte programme : Vincent Borel

    Les RMN remercient les viticulteurs de la région pour les vins qu'ils offrent de découvrir après les concerts,

    en présence des artistes.

    www.musicalesdenoyers.com

  • Léopold Mozart,

    sinfonia n°3

    Wolfgang Amadeus Mozart,

    divertimento 136

    entr’acte

    Joseph Haydn,

    Sept dernières paroles du Christ, quatuor n°77

    Wolfgang Amadeus Mozart,

    symphonie n°36 Prague,

    transcription pour cordes de Cimador

    Mozart, de Léopold à Wolfgang

    Chez Mozart, tout est question de filiation et de ré-

    volution. Son père Léopold lui apprend le métier de

    la symphonie dont il va, en peu d’années, exploser

    les conventions et les styles. C’est tout un monde de

    sons nouveaux qui sépare le galant divertimento

    K.136 de la 36ème symphonie Prague, ici jouée en ver-

    sion réduite. Mais, pour Mozart, le père absolu reste

    Joseph Haydn dont les bouleversantes Sept der-

    nières Paroles du Christ en Croix ont été composées

    pour la Semaine Sainte de Cadix.

    u

  • dans le cadre du Festival Musical des Grands Crus de Bourgogne

    9 juillet 20h30 Église Notre-Dame de Noyers

    Concert des solistesAnne Queffélec Juliette Hurel Régis Pasquier Orchestre de Musique de Chambre de Toulouse

    Rencontres Musicales de Noyers

    programme 2011

    Anne QueffélecAprès avoir obtenu au CNSMde Paris les premiers prix depiano et de musique de cham-bre, Anne Queffélec reçoit àVienne l’enseignement d’Al-fred Brendel. à la suite de sessuccès remportés dans les cé-lèbres concours internationauxde Munich (1er prix en 1969) etLeeds, sa carrière prend unedimension internationale. Ellejoue dans les plus grandessalles d’Europe, du Japon, enChine et à Hong-Kong, au Ca-nada, aux USA, en récital ousous la direction des plusgrands chefs. Parmi ses nom-breux enregistrements figu-rent l’intégrale de l’œuvre deM. Ravel ainsi que celle de H.Dutilleux.En 1990, elle est couronnée“meilleure interprète de l’an-née“ aux Victoires de la Mu-sique. Anne Queffélec estprofesseur à l’école Normalede Musique de Paris.

    Juliette Hurel

    1er Prix de flûte et 1er Prix de

    musique de chambre à l’unani-

    mité au CNSM de Paris, Ju-

    liette Hurel est lauréate de

    nombreux concours interna-

    tionaux tels que ceux de

    Darmstadt, Kobé, Bucarest ou

    le concours Jean-Pierre Ram-

    pal. En 2004, elle est nommée

    pour les “Révélations de l’an-

    née“ aux Victoires de la Mu-

    sique Classique. Chambriste

    recherchée, elle se produit aux

    côtés de nombreux musiciens.

    Ayant à cœur d’interpréter la

    musique d’aujourd’hui, elle a

    eu l’occasion de travailler avec

    des compositeurs tels que

    Pierre Boulez, Pascal Dusapin,

    Philippe Hersant, Eric Tanguy, …

    Artiste sincère et généreuse,

    un portrait lui a été récem-

    ment consacré sur la chaîne

    Mezzo. Depuis 2006, elle est

    professeur de flûte au Conser-

    vatoire Royal de La Haye. Ju-

    liette Hurel est depuis

    septembre 2010 professeur au

    Conservatoire de Rotterdam.

    Régis PasquierNé dans une illustre famille demusiciens, Régis Pasquierremporte, à 12 ans, ses Pre-miers Prix de violon et de mu-sique de chambre au CNSM deParis. Deux ans plus tard, ils’envole pour les Etats-Unis oùil rencontre Isaac Stern, DavidOïstrakh, Pierre Fournier etNadia Boulanger. Séduit parson jeu, Zino Francescatti l’in-vitera à enregistrer avec lui,pour DGG, le Concerto pourdeux violons de Bach. «Sa so-norité franche et ample, sonsoin scrupuleux du phrasé, sonaisance technique remarqua-ble, sa justesse totale» sontdes qualités que distinguentrapidement les orchestres quil’invitent en soliste, en Francecomme à l’étranger (Japon,Etats-Unis, Allemagne, Hongrie,République Tchèque, …).Loin d’être grisé par ce succès,soucieux de la transmission deson savoir et de la formationdes jeunes générations, RégisPasquier enseigne le violon auCNSM de Paris depuis 1985. Ileffectue régulièrement un“tour du monde musical“, seproduisant, tant en musiquede chambre (et plus particuliè-rement avec le Trio Pennetier-Pasquier-Pidoux) qu’avec desorchestres. Depuis 1998, RégisPasquier joue un magnifiqueviolon Joseph Guarnerius (DelGesu) Cremona 1734.

    © MARTHE LEMELLE

    design graphique : Zazie Sazonoff texte programme : Vincent Borel

    Les RMN remercient les viticulteurs de la régionpour les vins qu'ils offrent de découvrir après les concerts, en présence des artistes.

    www.musicalesdenoyers.com

  • Edouard Grieg,

    suite Holberg

    Orchestre de Musique de Chambre de Toulouse

    Wolfgang Amadeus Mozart,

    andante en ut pour flûte,

    Juliette Hurel

    Gabriel Fauré,

    fantaisie pour flûte et cordes,

    Juliette Hurel

    entr’acte

    Ernest Chausson,

    poème pour violon et orchestre à cordes,

    Régis Pasquier

    Jean-Sébastien Bach,

    concerto pour clavier en fa mineur,

    Anne Queffélec

    Concert des solistes

    du festival

    Anne Queffélec, Juliette Hurel

    et Régis Pasquier

    Piano, flûte et violon : un trio de rêve pour jouer un

    programme sur lequel règne l’esprit baroque. La

    suite Holberg, malicieux lin d’œil de Grieg aux maî-

    tres du 17ème siècle, semble tendre la main au

    concerto en fa mineur de Bach. Entre ces deux

    pages, on croisera le tendre sourire de Mozart et

    deux splendides compositeurs français  : Fauré et

    Chausson. Leurs couleurs pastel, aptes à saisir une

    voluptueuse mélancolie, seront tour à tour peintes

    par la flûte et le violon.

    u

  • dans le cadre du Festival Musical des Grands Crus de Bourgogne

    10 juillet 15hÉglise Notre-Dame de Noyers

    Concert en duoAnne Queffélec et Régis Pasquier

    Rencontres Musicales de Noyers

    programme 2011

    Anne QueffélecAprès avoir obtenu au CNSMde Paris les premiers prix depiano et de musique de cham-bre, Anne Queffélec reçoit àVienne l’enseignement d’Al-fred Brendel. à la suite de sessuccès remportés dans les cé-lèbres concours internationauxde Munich (1er prix en 1969) etLeeds, sa carrière prend unedimension internationale. Ellejoue dans les plus grandessalles d’Europe, du Japon, enChine et à Hong-Kong, au Ca-nada, aux USA, en récital ousous la direction des plusgrands chefs. Parmi ses nom-breux enregistrements figu-rent l’intégrale de l’œuvre deM. Ravel ainsi que celle de H.Dutilleux.En 1990, elle est couronnée“meilleure interprète de l’an-née“ aux Victoires de la Mu-sique. Anne Queffélec estprofesseur à l’école Normalede Musique de Paris.

    Régis PasquierNé dans une illustre famille demusiciens, Régis Pasquierremporte, à 12 ans, ses Pre-miers Prix de violon et de mu-sique de chambre au CNSM deParis. Deux ans plus tard, ils’envole pour les Etats-Unis oùil rencontre Isaac Stern, DavidOïstrakh, Pierre Fournier etNadia Boulanger. Séduit parson jeu, Zino Francescatti l’in-vitera à enregistrer avec lui,pour DGG, le Concerto pourdeux violons de Bach. «Sa so-norité franche et ample, sonsoin scrupuleux du phrasé, sonaisance technique remarqua-ble, sa justesse totale» sontdes qualités que distinguentrapidement les orchestres quil’invitent en soliste, en Francecomme à l’étranger (Japon,Etats-Unis, Allemagne, Hongrie,République Tchèque, …).Loin d’être grisé par ce succès,soucieux de la transmission deson savoir et de la formationdes jeunes générations, RégisPasquier enseigne le violon auCNSM de Paris depuis 1985. Ileffectue régulièrement un“tour du monde musical“, seproduisant, tant en musiquede chambre (et plus particuliè-rement avec le Trio Pennetier-Pasquier-Pidoux) qu’avec desorchestres. Depuis 1998, RégisPasquier joue un magnifiqueviolon Joseph Guarnerius (DelGesu) Cremona 1734.

    © VINCENT GARNIER

    design graphique : Zazie Sazonoff texte programme : Vincent Borel

    Les RMN remercient les viticulteurs de la régionpour les vins qu'ils offrent de découvrir après les concerts, en présence des artistes.

    www.musicalesdenoyers.com

  • Wolfgang Amadeus Mozart,

    sonate K 301 en sol majeur

    Robert Schumann,

    sonate n°1 en la mineur

    entr’acte

    Claude Debussy,

    sonate en sol mineur

    Ludwig van Beethoven,

    sonate "à Kreutzer" n°9

    Concert en duo

    Anne Queffélec & Régis Pasquier

    Deux interprètes d’exception, l’un au clavier, l’autre

    au violon, choisissent de faire dialoguer les instru-

    ments favoris de la musique européenne. Les noces

    du piano et de l’archet, commencées avec Bach,

    trouvent un divin équilibre chez Mozart. Héritiers de

    ce maître du style classique, Beethoven et Schu-

    mann parent de tous les émois du romantisme ce

    duo si prisé des musiciens. Debussy dilue cet héri-

    tage musical sur sa palette fugace, ouvrant le ving-

    tième siècle à l’étrangeté sonore.

    u

  • Mélanie Jackson

    Née à New York, Mélanie Jack-son est professeur de tech-nique vocale Diplômé d’Etat,elle enseigne le chant clas-sique au “Département Supé-rieur pour Jeunes Chanteurs“,fondé par Laurence Equilbey,au Conservatoire à Rayonne-ment Régional de Paris (CRR) ;elle enseigne également auxmembres du chœur de l’Or-chestre de Paris. Professeur di-plômé de la FédérationFrançaise de Qi Gong et desArts Energétiques (FFQGAE),elle enseigne le Qi Gong, ainsique le chant et le Qi Gong en-sembles, à Paris à l’école “LesTemps du Corps“. Elle animeégalement de nombreuxstages en France et à l’étran-ger. Conférencière, elle a pré-senté son travail sur le Chantet le Qi Gong à “l’InternationalCongress of Voice Teachers“(ICVT) à Paris en 2009.

    Ses principaux professeursd’art lyrique furent OrenBrown (USA), Hendrick Roote-ring (Allemagne), Richard Mil-ler et Gérard Souzay (France).Parmi plus de 400 prestationsen tant que soprano soliste,citons “Mozart au Chocolat“Cartoucherie de Vincennes,“La Folle Journée Mozart“ deNantes…, “Le Voyage de Mo-zart à Prague“ (Molières 1992…), “Clara Schumann, l’Amour etla Vie d’une Muse“ (France3, “Fêtes Romantiques de No-hant“…), les “Vêpres solen-nelles d'un confesseur“ deMozart à la Cathédrale NotreDame de Paris et son “Exsul-tate, Jubilate“ au Grenier à Seld’Honfleur.

    Attentive à l’unité du corps, dela voix et de l’esprit, MélanieJackson est diplômée en tantque praticien en Gestalt Théra-pie Analytique de l’institut pa-risien “Savoir Psy“. Elleintervient en tant que forma-trice dans la formation “Psy-chopédagogie de la Voix“ àPrésence avec Jacques Bon-homme.

    Sandrine Casha

    Sandrine Casha débute lepiano à 6 ans. Elle suit sesétudes musicales au CNR deMarseille dans la classe dePierre Pradier puis avec PierreBarbizet dont la rencontre estdéterminante.Elle obtient à 13 ans une mé-daille d'or à l'unanimité, leGrand Prix de la ville de Mar-seille et donne son premierconcert en soliste avec l'Or-chestre Bordeaux-Aquitaine.Elle entre l'année suivante auCNSM de Paris dans les classesde Jacques Rouvier, ThéodorParaskivesko, Bruno Pasquier,Christian Ivaldi, et obtient lesprix de piano et musique dechambre.En 1986- 87 elle se perfec-tionne à la Banff School of FineArts au Canada auprès degrands maîtres: Paul Badura-Skoda, Joseph Gingold, le Qua-tuor Kuijken, les compositeursWitold Lutoslavski et MortonFeldman.

    Lauréate de plusieurs concoursinternationaux de musique dechambre, elle a joué en France,Italie, Allemagne, Canada etpour les créations théâtrales“Le trio en mi bémol” d'EricRohmer au théâtre Renaud-Barrault à Paris, l'opéra-lied“Les nuits blanches” de FrancoMannino au Théâtre du Tam-bour Royal. Mêlant ses talentsde pianiste et de pédagogue,elle accompagne régulière-ment instrumentistes ou chan-teurs et depuis 12 ans participeavec plaisir aux Rencontres

    Musicales de Noyers.

    Rencontres Musicales de Noyers

    programme 2011

    10 juillet 20h30 Église de Joux-la-Ville

    Mélanie Jackson soprano Sandrine Casha au piano

    dans le cadre du Festival Musical des Grands Crus de Bourgogne

    design graphique : Zazie Sazonoff texte programme : Vincent Borel

    Les RMN remercient les viticulteurs de la régionpour les vins qu'ils offrent de découvrir après les concerts, en présence des artistes.

    www.musicalesdenoyers.com

  • Franz Schubert,An den Mond, À la Lune - HöltyIm Abendrot, Dans le rouge du soir - LappeAn Mignon, Mignon - GoetheDu bist die Ruh, Tu es le repos - RückertAbendbilder, Tableaux du soir - Silbert

    Johannes Brahms,Capriccio op 76 n°1, Intermezzi pour pianoAn den Mond, À la lune - SimrockDer Gang zum Liebchen, Vers la bien aimée - chant de BohèmeIn Waldeseinsamkeit, Dans la solitude de la forêt - LemckeGeheimnis, Le secret - CandidusImmer leiser wird mein Schlummer, Mon sommeil est de plus en plus doux - Lingg

    Gabriel Fauré,Trois mélodies sur des poèmes de Verlaine :Claire de Lune, En Sourdine, C’est l’Extase

    Frédéric Chopin / Franz LisztNocturne en ut mineur op 48 n°1, Intermezzi pour piano

    Franz Liszt,Ô quand je dors

    Léo Delibes,Tu m'as donné le plus doux rêve - extrait de l’Opéra Lakmé

    Gustave Charpentier,Depuis le jour - extrait de l’Opéra Louise

    Anton Dvorák,Chant à la Lune - extrait de l’Opéra Rusalka

    Chants d’Amour et de la NuitMélanie Jackson

    Qu’elle soit chantée par l’opéra ou par la mélodie, la

    nuit est musique. Miroir de l’âme humaine, refuge

    complice de l’amour, elle inspire les poètes et sait

    combler les artistes. Schubert et Brahms chantent

    son obscurité extatique propice à la fusion avec la

    nature. La Norma de Bellini lui adresse ses prières

    de chaste prêtresse, comme l’hindoue Lakmé et

    l’humble Louise, archétype de l’amoureuse pari-

    sienne. Dvorak, en frère tchèque des romantiques

    allemands, renoue avec le culte païen de la lune et

    des nymphes aquatiques.

    u

  • dans le cadre du Festival Musical des Grands Crus de Bourgogne

    16 juillet 20h30 Église Notre-Dame de Noyers

    Anne Rodier soprano& Anne Billant au piano

    Rencontres Musicales de Noyers

    programme 2011

    Anne Rodier

    Née à Béziers, Anne Rodier com-mence ses études musicales auCNR de Montpellier. Elle les pour-suit à Paris auprès d’Eva Saurova,obtient un Premier prix à l'unani-mité avec félicitations du jury(chant et musique de chambre).Elle parfait sa culture musicale entravaillant trois ans à l'Opéra Na-tional de Paris. Ces années lui va-lent d'être sollicitée par l'ensembleCarpe Diem, alors composé de mu-siciens de l'Opéra. Avec eux, elle in-terprète la Deuxième dame dansLa Flûte enchantée, puis Eurydicedans l’Orphée de Gluck (versionBerlioz) joué en 1999 au FestivalBerlioz de La Côte-Saint-André. Lamême année, elle remporte leGrand Prix de mélodie française Anne Rodier enchaîne avec le prixd’excellence Léopold Bellan, le prixFrançoise Pollet au Concours desmaîtres du chant, et le Premier prixdu Concours européen de Picar-die, tout en suivant de nombreusesmasterclasses (avec MontserratCaballé, David Jones, Laura Sarti,Howard Crook pour le répertoirebaroque, Gabriel Bacquier, MichèleCommand, Christian Jean, FrançoisLe Roux, Rachel Yakar...).Éclectique, dotée d’une voix desoprano au timbre chaud et à l'am-bitus de trois octaves, Anne Rodieraborde avec le même bonheur lesgrands rôles du répertoire (Su-sanna dans Le Nozze di Figaro,Nedda dans I Pagliacci à l'Opéra deReims, Micaela dans Carmen, Ellendans Lakmé à l'Opéra de Saint-Étienne, Sicle dans L'Ormindo deCavalli mis en scène par Dan Jem-met en 2007 à l'Opéra de Renneset à l’Opéra de Massy, Didon dansDido and Aeneas de Purcell mis enscène sur l'eau par Denis Chabroul-let qui sera en tournée européenneen 2010-2011), et la mélodie ou lelied (Les Nuits d'été de Berliozavec l'ensemble Carpe Diem, un ré-cital Offenbach sous la direction deMady Mesplé à l'abbaye de Syl-vanes, un récital Viktor Ullmann etKurt Weill, un récital consacré àKosma au Studio de la Comédie-Française avec Françoise Tillard...).Toujours curieuse d'expériencesnouvelles, elle participe volontiersà des aventures qui mêlent mu-sique, performance, cirque, danse,

    théâtre, vidéo. Elle a incarné uneCarmen très peu conventionnelledans Carmen, opéra de rue réécritd'après Bizet par Benoît Louette,joué partout dans le monde ; elle a été la soprano solodans Fragment n°11 de Julien Tar-ride et Pär Frid à L’Abbaye deRoyaumont ; elle a créé Paraboles,pour soprano solo et vidéo, dans lecadre de la Nuit blanche à Paris en2007, repris au Capitole de Tou-louse, en Allemagne, en Autriche,en Espagne, en Pologne...Ainsi va Anne Rodier : un jour Fior-diligi dans Cosi fan tutte, un autrela Gouvernante du Tour d’écrou deBritten, un autre encore sopranosolo avec un jeune compositeurissu de l'Ircam. C'est sa manière àelle de poursuivre un parcours horsdu commun.

    Anne Billant

    Anne Billant commence ses étudesmusicales au CNR de Nancy, puiselle entre auCNSM de Paris dans la classe deGabriel Tacchino où elle obtient en1990 un Premier prix de piano àl’unanimité, et un Premier prix demusique de chambre dans la classede Sylvie Gazeau. Elle se voit dé-cerner ensuite le prix du muséeBonnat dans le cadre de l’Acadé-mie Ravel et remporte le prix Spe-didam au Concours Internationalde Piano XXème siècle à Orléans.Elle travaillerégulièrement sous la direction deCatherine Collard, suit le cycle deperfectionnement au CNSM deParis, et participe à de nombreusesmaster-classesavec notamment Pierre Sancan,Jean Hubeau, Geneviève Joy, AnneQueffélec, François-René Duchâ-ble, Bruno-Léonardo Gelber etJean-Claude Pennetier. Dans le

    cadre des concerts de RadioFrance, elle interprète le Tombeaude Carillo de Jean-Etienne Marie aupiano 1/3 de ton avec le composi-teur, et participe aux Hommage àCatherine Collard. Elle joue en di-rect sur France Musique dans lecadre des émissions Les Démonsde Midi, En Blanc et Noir, Sur unPlateau.Elle est invitée à plusieurs émis-sions de télévision et notammentDimanche Martin de Jacques Mar-tin. Elle enregistre un disque demusique française avec le violo-niste Jérôme Marchand. Anne Bil-lant se produit à Paris Salle Pleyel,Salle Gaveau, à l’Arsenal de Metz, àNancy dans le cadre de l’ALMC, auFestival International de Piano dela Roque d’Anthéron, en soliste auxRencontres Internationales dePiano en Côte Basque, mais égale-ment avec orchestre : celui du CNRde Nancy sous la direction dePierre- Michel Le Conte et duCNSM de Paris sous la direction deScott Sandmeier, ainsi qu’avec l’Or-chestre Lyrique d’Avignon sous ladirection de François-Xavier Bilger.Sa carrière de soliste la conduit àse produire en Allemagne, en An-gleterre, en Irlande, en Italie, auMaroc et aux Etats-Unis.Depuis plusieurs années elle ac-compagne régulièrement deschanteurs dans des tournées de ré-citals ainsi que pour des spectaclesd’opérette avec l’Atelier ToulouseLyrique. Elle se produit égalementdans des programmes à deux pia-nos et quatre mains.Titulaire du CA de professeur depiano, elle enseigne au conserva-toire du 9ème arrondissement deParis. Elle donne également descours dans le cadre du festivald’été des Grands Crus de Bour-gogne aux côtés d’Anne Queffélecet de Régis Pasquier.

    design graphique : Zazie Sazonoff texte programme : Vincent Borel

    Les RMN remercient les viticulteurs de la régionpour les vins qu'ils offrent de découvrir après les concerts, en présence des artistes.

    www.musicalesdenoyers.com

  • Rossini, air de Rosine una voce poco fa

    Franz Liszt, Consolation piano solo

    Rossini, air du saule de Desdémona

    (extrait de l’Opéra Othello)

    Marcello, quella fiamma

    Weber, Freischütz, air d’Agathe

    entr’acte

    Pauline Viardot,Madrid, Haï Luli, Moriro

    Giacomo Meyerbeer, air de Fidès

    Complainte de la Mendiante

    (extrait de l’Opéra Le Prophète)

    Fredéric Chopin,Mazurkas piano solo

    Charles Gounod,Ô Ma Lyre Immortelle

    (ext. de l’Opéra Sapho)

    C. W. Glü�ck, air d’Orphée J’ai perdu mon Eurydice

    (extrait de l’Opéra Orphée)

    Pauline Viardot, Cendrillon piano solo

    Jules Massenet, Ave Maria

    Pauline Viardot, figure de proue du XIXème siècle

    Anne Rodier soprano& Anne Billant au piano

    Pauline Viardot (1821-1910), fille du ténor rossinien

    Manuel Garcia, a régné sur l’opéra romantique fran-

    çais. Elle a encouragé les jeunes talents de Massenet

    et de Fauré. Elle fut la muse du Tout Paris roman-

    tique, partageant la passion que lui vouait l’écrivain

    Tourgueniev. Dans ce récital, la soprano Anne Rodier

    dotée tout comme Viardot de trois octaves permet

    de faire revivre cette femme et artiste d'exception.

    Subtilement accompagnée au piano par Anne Bil-

    lant, ce sont ses grands rôles ( Orphée, La Prophète,

    Otello, Norma...) et ses propres compositions ( Le

    Dernier Sorcier, Cendrillon, moult mélodies et ma-

    zurkas) qui sont mises à l’honneur."

    u

  • dans le cadre du Festival Musical des Grands Crus de Bourgogne

    18 juillet 20h30 Église Notre-Dame de Noyers

    De Bach à PiazzollaEmmanuel Strosser au pianoXavier Phillips au violoncelle

    Rencontres Musicales de Noyers

    programme 2011

    Emmanuel Strosser

    Né à Strasbourg en 1965, Em-manuel Strosser débute sesétudes musicales dans sa villenatale dès l'âge de six ans ensuivant les cours d'Hélène Bo-schi, avant d'intégrer le CNSMde Paris où il reçoit les conseilsde Jean-claude Pennetier pourle piano et de Christian Ivaldipour la musique de chambre.Ses aptitudes et sa sensibilitémusicale sont couronnées,dans ces deux disciples, pardes Premiers Prix à l'unanimitéet lui permettent d'entrer encycle de perfectionnementavec Leon Fleisher, DimitriBashkirov et Maria João Pires.Lauréat du Concours Interna-tional de musique de chambrede Florence, il est égalementfinaliste, en 1991, du ConcoursClara Haskil et fait ses débutsavec l'Orchestre de Chambrede Lausanne. Aujourd'hui as-sistant de la classe d'Alain Pla-nès au CNSM de Paris,Emmanuel Strosser est enoutre un partenaire de mu-sique de chambre très appré-cié de ses pairs et partage lacomplicité de Claire Désert,Christian Ivaldi, Jean-FrançoisHeisser, Régie Pasquier, Ra-phaël Oleg, Vladimir Mendels-sohn, François Leleu, duQuatuor Ysaye…

    En tant que soliste, en récitalou avec orchestre, il est ac-clamé dans les plus fameuxfestivals de France (Festivald'Evian, de Sceaux, de LaRoque d'Anthéron) mais aussidu monde (Etats-Unis, Amé-rique du Sud, Australie,Japon…). Ses enregistrements,tous accueillis par une presseenthousiaste, consacrent no-tamment la musique de Mo-zart (Harmonia Mundi), lesmélodies de Debussy (avecVéronique Dietschy), les deuxquintettes de Fauré (avec leQuatuor Rosamonde), maisaussi les Sonates de l'opus 10de Beethoven ("Choc" duMonde de la Musique). Il ac-compagne dans un autrealbum l'Orchestre de Picardiesous la direction d'Edmon Co-lomer dans la Ballade et laFantaisie de Fauré, enregistreun disque dédié aux sonatesde Fauré et Debussy avec levioloniste Régis Pasquier. Onle retrouve par ailleurs dans leprojet de l'intégrale des 32 So-nates de Beethoven avec cinqautres pianistes et tout récem-ment Emmanuel Chabrier.

    Xavier Phillips

    Né à Paris en 1971, Xavier Phil-lips entre au CNSM de Parisdans la classe de Philippe Mul-ler et bénéficie d’une formation

    exceptionnelle au terme de la-quelle il obtient un Premier Prixen 1989. Il remporte plusieursprix internationaux (DeuxièmePrix et Prix Spécial des Jeu-nesses musicales de Belgrade,Prix Spécial au Concours Tchaï-kovski de Moscou, TroisièmePrix et Prix Spécial auConcours Rostropovitch à Pariset Premier Prix à l’unanimité au1er Concours d’Helsinki). Sarencontre avec Mstislav Rostro-povitch, l’ayant particulière-ment remarqué lors de sonconcours, est déterminante etmarque le début d’une longuecollaboration au cours de la-quelle Xavier Phillips se perfec-tionne auprès du maître.Il est rapidement appelé à seproduire sur les plus grandesscènes internationales avecdes orchestres prestigieux (Orchestre National de France,Philharmonique de RadioFrance, le Berliner Symphoni-ker, Houston Symphony, BBCScottish Orchestra, Orchestrede la Suisse Romande, Orches-tre philharmonique de la Scala)sur l’invitation de chefs illustrestels que Riccardo Muti, KurtMasur, Christoph Eschenbach,James Conlon, Marek Ja-nowski, Serge Baudo, VladimirFedosseyev, Ion Marin, KazushiOno, Jesus Lopez-Cobos, Gun-ther Herbig, Eliahu Inbal, Vladi-mir Spivakov.Après ses débuts très remar-qués avec l’Orchestre de Parisen septembre 2001, MstislavRostropovitch a reconnu en luiun soliste accompli avec unegrande maturité.

    © ERIC MANAS

    © CELINE NIESZAWER

    design graphique : Zazie Sazonoff texte programme : Vincent Borel

    Les RMN remercient les viticulteurs de la régionpour les vins qu'ils offrent de découvrir après les concerts, en présence des artistes.

    www.musicalesdenoyers.com

  • Jean-Sébastien Bach, sonate en sol mineur

    Ludwig van Beethoven, sonate n°3 opus 69

    Manuel de Falla, 6 chansons populaires

    Astor Piazzolla, grand tango

    De Bach à Piazzolla

    Le savant Bach fut un compositeur nourri de danses

    et de musiques populaires. Ses suites et sonates en

    portent une trace qui se fait sentir jusque chez Beet-

    hoven. Preuve s’il en est que grand et petit réper-

    toire sont des notions au sens diffus. Bien plus au

    sud, Manuel de Falla n’oubliera jamais ces humbles

    racines si présentes dans toute son œuvre, lyrique

    ou instrumentale. De l’autre côté de l’Atlantique,

    Astor Piazzolla donne ses lettres de noblesse au

    tango, danse rebelle et sulfureuse s’il en est.

    u