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Saison 2014/2015 : n°20 du 09/02/2015 Massy tombe sur un roc http://www.leparisien.fr - 09 Févr. 2015, 07h00 | MAJ : 09 Févr. 2015, 04h44 Massy a offert une courageuse opposition à Pau, le patron de la Pro D 2 qui s'avance à grands pas vers le Top 14. Mais, cette 4 e défaite de rang, associée au succès de Bourgoin, remet les Essonniens sous pression avec un seul point d'avance sur la zone de relégation. PAU - MASSY : 26-3 (14-3). Spectateurs : 2 000. Arbitre : M. Hourquet. Pau. Quatre essais : Coughlan (14 e ), Nico (35 e ), Acebes (41 e ), Campo (48 e ) ; trois transf. : Marques (14 e , 35 e , 41 e ). Massy. Une pénalité : Girard (20 e ). Cartons jaunes. Pau : Bouilhou (21 e ), Moïse (61 e ) ; Massy : Iapteff (26 e ), Sagario (29 e ). Massy : Mendes - Vakaloa, Lilomaiava, Tidjini, Diemer - Girard (o), Daguin (m) - Chaplain, Meïte (cap.), Dibel - Molitika, Huete - Sagario, Tadjer, Iapteff. Sont entrés en jeu : Algisi, Dudanashvili, Chauveau, Purdy, Cancoriet, Coudol, Prier, Akhobadze. Entr. : Nier et Didebulidze. Résumé vidéo du match : http://www.dailymotion.com/video/x2gqgqt_pro-d2- pau-massy-26-3-j20-saison-2014-2015_sport?start=16 Massy se prend une nouvelle claque http://essonneinfo.fr - ESSONNE INFO | Par Jérôme Lemonnier | Publié le Lundi 9 février 2015 à 08:32 En déplacement à Pau, le RCME s’est vu infliger une lourde défaite. Les Palois ont ainsi passé quatre essais à des Massicois qui n’auront jamais été en mesure de jouer la gagne. Une mauvaise opération pour le maintien. Étant donné la différence de niveau entre les deux équipes, on pouvait s’attendre à un match difficile pour le RCME. Finalement, la logique du classement de Pro D2 a été respectée. En déplacement dans le sud-ouest à Pau, les Massicois n’auront pas fait illusion très longtemps. Cueillis par un essai de l’Irlandais James Coughlan dès la quinzième minute de jeu, les rugbymen du RCME n’ont jamais pu revenir sur les talons des joueurs de la Section Paloise. Pire encore, malgré une courte réduction du score de Thomas Girard (7-3, 20’) par une pénalité, les Bleu et Noir ont totalement subi le jeu palois. Trois autres essais vont ainsi venir grossir l’écart entre les deux équipes en faveur de Pau, portant le score à 26-3 à la 50 ème minute de jeu. La dernière demi- heure de jeu est plus équilibrée, mais l’écart de 23 points entre les deux groupes reste le même et le RCME s’incline donc sur le score de 26-3. Bref, un succès logique pour la Section Paloise qui caracole en tête du classement de Pro D2 avec près de 17 points d’avance sur son dauphin perpignanais. À l’inverse, même si la mission était difficile, c’est une mauvaise opération pour le RCME qui se complique la route en vue du maintien. D’autant plus que cette vingtième journée du championnat a vu une partie des candidats au maintien l’emporter et revenir à quelques longueurs de Massy. Si ces derniers plafonnent à la 13 ème place avec 30 points, Narbonne et Bourgoin ne sont maintenant plus qu’à un point du RCME. Vainqueur de Tarbes ce week-end, la lanterne rouge Dax s’est également rapprochée des Essonniens et compte aujourd’hui 27 points. Autant dire que le prochain match sera d’une importance capitale pour les coéquipiers de Bakary Méïté. Avec une seule victoire sur les cinq dernières rencontres, le RCME doit absolument retrouver le chemin de la gagne le 22 février face à Aurillac. Lors de leur dernier déplacement dans le Cantal pour le match aller, les Massicois avaient reçu une correction 48-17. Olivier Nier et ses joueurs devront donc se servir de la trêve de deux semaines qui débute aujourd’hui pour retrouver la forme et la confiance pour continuer à croire au maintien.

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Massy tombe sur un roc http://www.leparisien.fr - 09 Févr. 2015, 07h00 | MAJ : 09 Févr. 2015, 04h44

Massy a offert une courageuse opposition à Pau, le patron de la Pro D 2 qui s'avance à grands pas vers

le Top 14. Mais, cette 4e défaite de rang, associée au succès de Bourgoin, remet les Essonniens sous

pression avec un seul point d'avance sur la zone de relégation.

PAU - MASSY : 26-3 (14-3).

Spectateurs : 2 000. Arbitre : M. Hourquet.

Pau. Quatre essais : Coughlan (14e), Nico (35e), Acebes (41e), Campo (48e) ; trois transf. : Marques (14e, 35e,

41e).

Massy. Une pénalité : Girard (20e).

Cartons jaunes. Pau : Bouilhou (21e), Moïse (61e) ; Massy : Iapteff (26e), Sagario (29e).

Massy : Mendes - Vakaloa, Lilomaiava, Tidjini, Diemer - Girard (o), Daguin (m) - Chaplain, Meïte (cap.), Dibel -

Molitika, Huete - Sagario, Tadjer, Iapteff. Sont entrés en jeu : Algisi, Dudanashvili, Chauveau, Purdy,

Cancoriet, Coudol, Prier, Akhobadze.

Entr. : Nier et Didebulidze.

Résumé vidéo du match : http://www.dailymotion.com/video/x2gqgqt_pro-d2-

pau-massy-26-3-j20-saison-2014-2015_sport?start=16

Massy se prend une nouvelle claque http://essonneinfo.fr - ESSONNE INFO | Par Jérôme Lemonnier | Publié le Lundi 9 février 2015 à 08:32

En déplacement à Pau, le RCME s’est vu infliger une lourde défaite. Les Palois ont ainsi passé quatre

essais à des Massicois qui n’auront jamais été en mesure de jouer la gagne. Une mauvaise opération

pour le maintien.

Étant donné la différence de niveau entre les deux équipes, on pouvait s’attendre à un match difficile pour le

RCME. Finalement, la logique du classement de Pro D2 a été respectée. En déplacement dans le sud-ouest à

Pau, les Massicois n’auront pas fait illusion très longtemps. Cueillis par un essai de l’Irlandais James Coughlan

dès la quinzième minute de jeu, les rugbymen du RCME n’ont jamais pu revenir sur les talons des joueurs de la

Section Paloise. Pire encore, malgré une courte réduction du score de Thomas Girard (7-3, 20’) par une

pénalité, les Bleu et Noir ont totalement subi le jeu palois. Trois autres essais vont ainsi venir grossir l’écart

entre les deux équipes en faveur de Pau, portant le score à 26-3 à la 50ème minute de jeu. La dernière demi-

heure de jeu est plus équilibrée, mais l’écart de 23 points entre les deux groupes reste le même et le RCME

s’incline donc sur le score de 26-3.

Bref, un succès logique pour la Section Paloise qui caracole en tête du classement de Pro D2 avec près de 17

points d’avance sur son dauphin perpignanais. À l’inverse, même si la mission était difficile, c’est une mauvaise

opération pour le RCME qui se complique la route en vue du maintien. D’autant plus que cette vingtième

journée du championnat a vu une partie des candidats au maintien l’emporter et revenir à quelques longueurs

de Massy. Si ces derniers plafonnent à la 13ème place avec 30 points, Narbonne et Bourgoin ne sont

maintenant plus qu’à un point du RCME. Vainqueur de Tarbes ce week-end, la lanterne rouge Dax s’est

également rapprochée des Essonniens et compte aujourd’hui 27 points.

Autant dire que le prochain match sera d’une importance capitale pour les coéquipiers de Bakary Méïté. Avec

une seule victoire sur les cinq dernières rencontres, le RCME doit absolument retrouver le chemin de la gagne

le 22 février face à Aurillac. Lors de leur dernier déplacement dans le Cantal pour le match aller, les

Massicois avaient reçu une correction 48-17. Olivier Nier et ses joueurs devront donc se servir de la trêve

de deux semaines qui débute aujourd’hui pour retrouver la forme et la confiance pour continuer à croire au

maintien.

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Section Paloise : revivez le match contre Massy http://www.larepubliquedespyrenees.fr - Par JMM - Publié le 08/02/2015 à 15h31

A défaut de tout réussir en attaque, les Palois ont bien défendu contre Massy en première mi-temps

(N. Sabathier)

Par sa victoire 26-3 sur Massy, bonus offensif en poche, la Section prend 17 points d'avance sur Perpignan,

vainqueur de Biarritz 48-15 avec bonus (6 essais à 2).

VICTOIRE : 26-3. 5e victoire consécutive de la Section, toujours invaincue en 2015. Cette victoire bonifiée

lui permet de posséder 17 points d'avance sur son nouveau dauphin, Perpignan.

79e : Massy termine à 14. Jaune à Lilomaiva pour placage sans ballon sur Acebes

71e : le banc palois n'a pas le rendement escompté. Massy reprend sa domination et flirte avec l'essai

malgré le sang frais injecté par Daubagna, Solofuti et Boundjema. Au crédit des Palois : quand Moïse revient

en jeu, carton jaune purgé, ils n'ont pas encaissé le moindre point.

66e : les Palois se défont de la pression de Massy. A de la fin, ils réinvestissent le camp adverse.

61e : jaune à Moïse. Le jeune pilier palois écope d'un carton jaune au plus fort de la domination massicoise.

La Section défend quasiment sur sa ligne depuis 5 minutes.

47e minute : 4e essai ! 26-3. Touche captée à 10m de la ligne par Bouilhou. Le maul est structuré autour de

Coughlan. Il avance dans l'axe, puis déroule côté gauche. Campo, bien au chaud, est propulsé derrière la ligne.

Entrée de Charlet, essai d'Acebes: 21-3. Ca repart vite et fort au Hameau. Charlet remplacé Falefa en

pilier droit, pour mieux voir dès le coup d'envoi Coughlan débouler sur 30m, servir Niki sur l'aile gauche. Le

jeu rebondit vers Vunibaka, solide pour redonner à Traille qui offre un caviar à Acebes. L'arrière inscrit

l'essai du bonus, transformé par Marques.

Mi-temps : 14-3 et déjà 2 essais à 0. La Section a perdu trop de ballons, n'a pas pu mettre en place le

rythme ni le volume souhaité. Mais Massy semble déjà au point de rupture.

36e : essai ! 14-3. Déboulé de Vunibaka, enchaînement dans l'axe profond de Traille puis Bouilhou. Le 3e

ligne passe au sol, Marques en profite pour écarter petit côté droit sur Vunibaka. D'une chistera il transmet

à Niko. Essai. Transformé en coin par Marques.

30e : toujours 7-3. La demi-heure de jeu est franchie. La Section conserve une toute petite avance.

Bouilhou va rentrer dans ce match décousu.

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29e : Massy passe à 13 ! Le pilier Sagario écroule volontairement le maul palois. Carton jaune. Massy joue à

13.!

27e : Massy à 14. Sur une chandelle bottée à l'entrée des 22 palois. Traille monte haut. Au sol, Chaplain

bouscule Coughlan, lequel passe sous Traille et le fait retomber violemment sur le bas du dos. Carton jaune à...

Lapteff décide curieusement l'abitre Flavien Hourquet. Les deux équipes jouent à 14.

25e : sortie de Ramsay. Blessé, le 2e ligne palois est remplacé par Pierce.

22e : jaune à Bouilhou. Le 3e ligne palois est coupable d'un placage haut sur l'arrière Mendes, qui glisse au

moment où le Palois le plaque. Girard touche le poteau sur la pénalité.

20e : 7 -3. Massy remet la main sur le ballon. Faute au sol. L'ouvreur Girard réduit le score.

14e : essai ! 7-0. Faute en touche de Huete sur Bouilhou. Les Palois reprennent touche. Balle captée par

Ramsay. Moïse, qui vient de remplacer temporairement Jacquot (saignement) percute une première fois.

Marques insiste et Coughlan franchit la litre. Marques transforme sans mal.

La Section sans forcer http://www.sudouest.fr - Publié le 09/02/2015 à 06h00 par denys kappès-grangé

S’ils n’ont pas brillé par leur maîtrise, les Palois ont tout de même pris le bonus et accru leur avance.

Elijah Niko et Julien Fumat ont mis à mal la défense de Massy. © Photo david le deodic

«On est contents et déçus à la fois. » Rassurez-vous, Claude Dry n'est pas vraiment perdu : le Sud-Africain

s'est tout simplement laissé bercer par la confusion des sentiments. Mais il faut pardonner le deuxième ligne

de la Section : hier soir, dans les travées du stade du Hameau, ce n'était pas forcément évident de trancher.

Fallait-il observer le flacon du côté plein ou vide ? Bien sûr, au moment des comptes, la colonne des points

positifs l'emporte largement. La Section a décroché face à Massy (26-3) une cinquième victoire consécutive

depuis le début de l'année 2015. D'autant plus remarquable que c'est la troisième bonifiée. Au classement,

les bénéfices sont éclatants pour la Section : alors qu'elle ne comptait que 6 points d'avance sur Biarritz au

début de ce bloc, elle en cumule désormais 17 sur l'Usap, son nouveau dauphin. Solide.

Brandon Fajardo, l'ouvreur palois, exprime sa satisfaction en choisissant soigneusement ses mots : « On a

fait un pas de plus pour conserver la première place. » On peut le rassurer, elle semble marquée au fer rouge

béarnais.

Ovation pour Coughlan

Alors quoi, ce tableau idyllique ne suffit pas au bonheur des Palois ? Eh bien pas tout à fait semble-t-il.

Claude Dry tord le nez : « On aurait voulu faire preuve de plus de rigueur. Dans le vestiaire, il n'y a pas eu de

grande joie. Mais cela veut sans doute dire qu'on devient une bonne équipe. »

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En effet, les Palois ont eu du mal à se satisfaire de la copie rendue face à un adversaire valeureux, mais

copieusement dominé. « On n'a pas eu l'impression d'être trop mis en danger, observe l'arrière Mathieu

Acebes. Mais nous-mêmes, on ne les a pas trop mis en danger. »

C'est évidemment réducteur. Très entreprenants, comme le prouve leur refus de tenter les pénalités, les

Palois ont tout de même inscrit quatre essais qui attestent de leur main-mise sur ce match quand les

Massicois sont restés muets.

Mais en commettant trop d'approximations et faute d'une totale maîtrise en conquête, ils n'ont pas réussi à

se défaire définitivement d'une équipe qui voulait se retrouver sur les bases. Et cet objectif, elle l'a atteint

même si elle a dû évoluer durant de longues minutes en infériorité numérique à cause des trois cartons jaunes

qu'elle a encaissée (Ndlr, les Palois en ont écopé de deux). « On avait bossé sur les contests et dans la

dimension de l'engagement, admet Olivier Nier, l'entraîneur des arrières de Massy. On a profité de leur ‘‘

petit'' relâchement. »

Résultat, malgré les deux essais du troisième ligne James Coughlan (7-0, 14e) - l'Irlandais a reçu une

bruyante ovation lors de sa sortie - et de l'ailier Elijah Niko (14-3, 35e), les Massicois refusaient encore de

lâcher prise. Claude Dry leur rend hommage : « On savait qu'ils étaient durs dans les rucks. » Pronostic non

démenti. Brandon Fajardo regrette toutefois de ne pas avoir trouvé la parade : « On a voulu attaquer plein

pot, mais au final on a un peu joué à la baballe. » Bien résumé.

Les Béarnais ont tout de même eu le bon goût de ne pas se compliquer la tâche. Et cela en grande partie grâce

à l'incontournable James Coughlan auteur d'une percée magistrale dès la reprise du jeu en deuxième période

: l'action s'est conclue par l'essai de Mathieu Acebes (21-3, 41e). « Cet essai nous a fait du bien, avoue

Brandon Fajardo. Il nous a permis de jouer plus libéré. » D'autant que le talonneur Vincent Campo (26-3, 48e)

a ajouté sa pierre à l'édifice. La suite ? Terne et hachée. Mathieu Acebes fait la moue : « Tout n'a pas été

parfait. On est tombé dans un faux rythme. »

Cette confusion des sentiments devrait s'évaporer rapidement ce matin à la lecture du classement. Même

empruntée, cette Section impose sa cadence. Les Tarbais sont prévenus. En plus, les Palois sont revanchards.

Interview Mannix après Section-Massy

http://vibrez-rugby-d2.com/actualite_rugby_prod2/mannix-debriefe-section-rc-massy/

PRO D2, J20 - Pau - Massy : les Massicois n’ont rien pu faire http://www.lnr.fr - Par Marine Gallego, le 8 février 2015.

Les Palois ont assuré l’essentiel face à Massy en s’imposant 26-3 et en prenant le point de bonus offensif.

Les Palois, sans briller, ont toutefois rappelé en cette 20ème journée que seule la victoire finale est

importante, et le nombre de points engrangés au classement. Avec ce large succès sur Massy, qui ne reflète

pas la tenue de la rencontre, les Palois prennent un bonus offensif.

Pour Massy, à court de solutions, c’est une seconde période sans point qui s’est déroulée au Stade du Hameau.

Dès la cinquantième minute du match, Pau en avait même fini avec le score, 26-3, qui ne bougerait plus

jusqu’au sifflet final.

Retrouvez le live score du match : http://www.lnr.fr/match_11594.html

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PRO D2, J20 - Colomiers - Narbonne : les Audois s’inclinent http://www.lnr.fr - Par Marine Gallego, le 8 février 2015.

Colomiers s’est imposé sur sa pelouse 27-19 face à des Narbonnais toujours en situation critique en bas de

classement.

Les deux équipes ont débuté la rencontre sur les chapeaux de roues, jusqu’à se retrouver dos à dos à la mi-

temps, 14-14. Tout était donc encore possible, notamment pour des Narbonnais en quête de point pour ne pas

basculer dans la zone rouge, alors que ses concurrents pour le maintien s’imposaient chacun de leur côté ce

week-end.

Les Audois n’avaient pas cependant pas la chance de leur côté ce week-end. Leur aventure à Colomiers s’est

terminée sur une défaite, sans point de bonus, malgré un essai inscrit dans les dernières secondes.

Retrouvez le live score du match : http://www.lnr.fr/match_11590.html

PRO D2,J20- Aurillac-Béziers :le Stade Aurillacois a tenu bon http://www.lnr.fr - Par Marine Gallego, le 8 février 2015.

Les deux équipes ont poussé durant toute la rencontre, avec de l’audace offensivement, mais à ce jeu, c’est

bien Aurillac qui l’a emporté sur un score de 28-13 sur Béziers.

Les deux équipes ont poussé durant toute la rencontre, avec de l’audace offensivement, mais à ce jeu, c’est

bien Aurillac qui l’a emporté sur un score de 28-13 sur Béziers.

Les Biterrois coupables de bien trop d’erreurs n’ont pu rivaliser sur le terrain des points avec leurs

adversaires, en concédant eux-même bien trop. C’est une nouvelle victoire à domicile que célèbrent donc les

hommes du Cantal qui restent dans la courses aux phases finales.

Retrouvez le live score du match : http://www.lnr.fr/match_11584.html

PRO D2, J20 - Perpignan - Biarritz : l’USAP rafle le bonus en

seconde période http://www.lnr.fr - Par Marine Gallego, le 8 février 2015.

L’USAP l’a emporté et a raflé le bonus en seconde période face à Biarritz, 48-15, sur sa pelouse d’Aimé-Giral.

Les Perpignanais possédaient déjà 9 points d’avance sur leurs adversaires du jour à la pause mais la seconde

période a sacré le regain d’énergie des catalans et la chute des Biarriots, incapables de contrer la plupart des

attaques, malgré deux essais marqués au final.

L’USAP, avec ses six essais marqués, s’est imposé avec fracas, mais surtout le bonus offensif contre des

Biarrots qui repassent derrière leurs adervsaires du jour.

Retrouvez le live score du match : http://www.lnr.fr/match_11596.html

J20 - Carcassonne - Montauban : retournement de situation http://www.lnr.fr - Par Marine Gallego, le 8 février 2015.

Après une première mi-temps, avec des Montalbanais dominateurs au score, ce sont les Carcassonnais qui ont

entamé une éclatante remontée pour terminer sur un score de 27-12 en leur faveur.

Retournement de situation total pour les Montalbanais. Alors que ces derniers menaient de neuf points à la

mi-temps et semblaient être embarqués sur le chemin de la victoire, la seconde mi-temps s’est déroulée de

manière bien différente.

Ce sont les Carcassonnais qui ont amorcé leur remontée et on laissé sur le côté leurs adversaires. Avec 0

point inscrit en seconde période, Montauban peut repartir de l’Aude avec des regrets, à défaut de repartir

avec des points.

Retrouvez le live score du match : http://www.lnr.fr/match_11588.html

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PRO D2, J20 - Dax - Tarbes : sur la bonne voie http://www.lnr.fr - Par Marine Gallego, le 7 février 2015.

Les Dacquois se sont largement imposés à domicile face aux Tarbais, 33-15.

Les Dacquois ont fait impression, et avec la manière. Cette large victoire à domicile, face à Tarbes, les

relance proprement dans leur course au maintien. Le score à la mi-temps, 10-8, ne laissait pas présager un

écart aussi important entre les deux équipes en fin de partie, mais il faut croire que les locaux avaient la rage

de s’en sortir, après avoir atterri à la dernière place du classement de PRO D2.

Même si cette victoire ne règle pas tous les souci, elle replace sur la bonne voie les Dacquois. Les Tarbes

quant à eux repartent sans bonus et restent englués dans le ventre mou du championnat.

Retrouvez le live score du match : http://www.lnr.fr/match_11592.html

J20 - Albi - Mont-de-Marsan : grand coup à l’extérieur http://www.lnr.fr - Par Marine Gallego, le 7 février 2015.

Les locaux albigeois, malgré une défaite 19-23, ont toutefois récupéré un point de bons défensif pour leurs

efforts face aux Montois.

Les Montois ont mené de bout en bout cette rencontre. Déjà lors de la première mi-temps, ils ne laissaient

peu de chances aux Albigeois de s’infiltrer dans leur camp. Sur leur seule erreur de la première période, les

Montois permettaient cependant aux locaux de refaire leur retard grâce à un essai.

En seconde mi-temps, peu de choses ont changé. Le Stade Montois a poursuivi sa course en tête, le SCA

courant derrière. Les locaux, malgré une défaite 19-23, ont toutefois récupéré un point de bons défensif

pour leurs efforts. Avec cette victoire, Mont-de-Marsan frappe un grand coup dans la couse aux phases

finales.

Retrouvez le live score du match : http://www.lnr.fr/match_11582.html

PRO D2, J20 - Bourgoin - Agen : résultat positif à domicile http://www.lnr.fr - Par Marine Gallego, le 7 février 2015.

Les Berjalliens, menés à la mi-temps, ce sont finalement imposés 13-9 face aux Agenais, à domicile.

C’est une rencontre équilibrée qui a vu s’affronter Bourgoin et Agen ce samedi. Lors d’une première mi-temps

très serrée, ce sont les lot-et-garonnais qui prenaient l’avantage, de trois points seulement, après de longues

minutes passés à égalité.

L’ascendant fut toutefois de courte durée car ce sont bien les Berjalliens qui en seconde mi-temps ont trouvé

les ressources nécessaires pour passer devant et surtout clouer sur place les Agenais. Score final : 13-9 pour

le CSBJ qui reprend vie à domicile.

Retrouvez le live score du match : http://www.lnr.fr/match_11586.html

Rugby - Pro D2 : la 20e journée en un coup d'oeil http://www.sudouest.fr - Publié le 07/02/2015 à 17h27 par SudOuest.fr

Agen chute à Bourgoin et n'est plus invaincu en 2015. Dax renoue avec la victoire et le Stade Montois fait un gros coup en s'imposant à Albi. Terminé : (1E) Bourgoin 13 - 9 Agen

Terminé : (1E) Albi 19 - 23 Mont-de-Marsan (2E)

Terminé : (4E) Dax 33 - 15 Tarbes (2E)

Dimanche

14h : Perpignan - Biarritz

15h : Aurillac - Béziers

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15h : Carcassonne - Montauban

15h : Colomiers - Narbonne

16h : Pau - Massy

Les scores sont rafraîchis automatiquement. Pour suivre un match en particulier, cliquez sur son lien.

On a eu droit à des surprises et des fins de séries pour ce samedi de Pro D2. Le SUA a chuté à Pierre

Rajon (13-9) chez des Berjalliens survoltés. Les hommes de Mathieu Blin se sont heurtés à une équipe de

Bourgoin dominatrice et conquérante. Avant-dernier du championnat, le CSBJ prend quatre points essentiels

dans la course au maintien et s'extirpe hors de la zone rouge. En revanche, Agen voit sa série de cinq

victoires consécutives prendre fin et reste à portée de ses poursuivants.

Gros coup du Stade Montois qui est parvenu à s'imposer à Albi (23-19). Mont-de-Marsan a réalisé le match

parfait à l'extérieur face à un concurrent direct pour les phases finales d'accession. Les Landais ont pris les

commandes d'entrée de match et ne les a plus lâchées par la suite. Ils reviennent à un point des Albigeois.

Sous tension, l'US Dax se devait de l'emporter à Maurice-Boyau et n'a pas failli face à Tarbes (33-15).

L'entrée en matière parfaite des Dacquois avec un essai rapide de Alcalde a mis en confiance une équipe en

proie au doute qui restait sur cinq défaites consécutives. Dax reprend espoir en vue du maintien.

Pro D2 J20- Les derniers se rebiffent, Albi chute à domicile http://www.rugbyrama.fr - Par Fabien Pomiès - Publié le 07/02/2015 à 16:54

Contre Narbonne, Colomiers a remporté son deuxième succès de rang. Pau, de son côté, n'a pas fait

de détail contre Massy. Les résultats de la 20e journée.

Avant-dernier, Bourgoin a remporté un succès crucial à domicile contre Agen. Lanterne rouge, Dax a

fait tomber Tarbes tout comme Mont-de-Marsan à Albi.

Pau - Massy : 26-3

Ce dimanche, le leader palois s'est tranquillement imposé contre Massy lors du match de clôture de la 20e

journée de Pro D2 (26-3). Les Béarnais ont passé quatre essais au cours de la rencontre grâce à Coughlan,

Niko, Acebes et Campo. Les hommes de Simon Mannix ont désormais 72 points, soit dix-sept points d'avance

sur Perpignan, le deuxième.

Résumé vidéo du match :

http://video.rugbyrama.fr/rugby/pro-d2/2014-2015/20e-journee-pro-d2-quatre-essais-et-

vingt-six-points-pau-a-ete-sans-pitie-envers-massy-26-3_vid360221/video.shtml

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Saison 2014/2015 : n°20 du 09/02/2015

Albi - Mont-de-Marsan: 19-23

C'est le gros coup de la journée : les Landais se sont imposés dans le Tarn (19-23). Toujours candidats à une

place de demi-finaliste, les Albigeois avaient certainement rêvé d'un tout autre scenario pour la réception

des Montois au Stadium. Menés au score durant tout le match, les Tarnais on encaissé leur troisième revers

de la saison à domicile après Béziers et Perpignan. Grâce à Dubié et Liebenberg, auteurs des deux essais de

leur équipe, les Landais réalisent une belle opération, se rapprochant des places qualificatives. Avant les

rencontres de dimanche, Mont-de-Marsan passe d'ailleurs devant son adversaire du jour et pointe à la 5e

place. Fort.

Bourgoin - Agen: 13-9

Soulagement de rigueur chez les Berjalliens après ce succès sur le SUALG (13-9). Premier relégable, le CSBJ

avait grillé de trop nombreux jokers et se devait de ne pas concéder un nouveau revers à domicile. Et dans

une rencontre longtemps cadenassée, la dénouement est venu du troisième ligne centre de Bourgoin, Jérémy

Guillot, auteur du seul essai du match peu avant l'heure de jeu. Dominateurs durant la majorité de l'après-

midi, les hommes de Peclier et Peyron sont logiquement venus à bout de Lot-et-Garonnais pourtant deuxièmes

et en pleine bourre ces dernières semaines. Provisoirement, le CSBJ sort de la zone rouge au profit de

Narbonne. Mais les Audois jouent dimanche.

Dax - Tarbes: 33-15

L'hémorragie est stoppée à Dax après cette réaction d'orgueil contre Tarbes (33-15). Lanterne rouge et dos

au mur après cinq revers de rang en championnat, les hommes de Richard Dourthe ont réagi de la meilleure

des manières face au TPR. L'ailier Jean-Matthieu Alcade a montré la voie aux siens en inscrivant un doublé.

Jean-Baptiste Singer et Pierre Justes ont aggravé le score en franchissant également l'en-but. Les Tarbais,

qui avaient procédé à un turnover pour ce déplacement, repartent sans le moindre point des Landes. Les

Bigoudans pourront se rattraper dans deux semaines lors d'un derby bouillant contre leurs voisins palois.

Aurillac - Béziers : 28-13

Aurillac peut dire merci à Maxime Petitjean. Dans un match qui a longtemps semblé équilibré entre Aurillac et

Béziers, c’est la réussite au pied de l’ouvreur aurillacois et la discipline des Auvergnats qui ont fait la

différence et qui leur permettent de remporter le match 28-13. Même si c’est un essai sur un contre de

Fabro et Gaston pour Aurillac qui a clôt le match, la rencontre s’est avant tout jouée aux pieds et c’est grâce

à Maxime Petitjean, auteur d’un 100 % sur ses pénalités mais aussi d’un drop dès les premières minutes du

match, qu’Aurillac l’a emporté. Les Biterrois, de leur côté, puissants sur certaines phases de conquête, ont

fait pourtant beaucoup de fautes, notamment en mêlées, et preuve de trop d’indiscipline pour pouvoir

longtemps tenir tête à Aurillac et espérer mener au score. On notera tout de même le bel esprit combatif de

Béziers qui n’a rien lâché jusqu’à la fin, tentant de venir grappiller un bonus défensif.

Carcassonne - Montauban : 27-12

Dans une confrontation tendue, Carcassonne s'est imposé 27-12 face à Montauban. Menés 7-12 à la mi-temps

un peu contre le cours du jeu, les Audois ont réussi à renverser la vapeur en inscrivant deux nouveaux essais,

par Thierry Brana (54e) puis par le capitaine, Emmanuel Etien (73e). Gilles Bosh a marqué les points restants

de l'USC. Les quatre pénalités marquées par Thomas Fortunel pour Montauban n'auront pas suffi et n'auront

pas non plus empêché Carcassonne d'obtenir un bonus offensif précieux pour se donner un peu d'air en bas

de tableau. Les Tarn-et-Garonnais quant à eux manquent une belle occasion d'encore monter au classement.

Colomiers - Narbonne : 27-19

Ça va mal pour Narbonne. Battus par Colomiers 27-19, et face aux bonnes performances des autres équipes

de bas de tableau dans cette 20e journée, les Narbonnais sont revenus dans la zone rouge et ne sont

désormais plus qu’à quelques points de la dernière place. C’est dommage pour les Audois qui ont fait preuve de

mérite contre Colomiers, collant au score jusqu’à la mi-temps, ne prenant aucun essai lors de leur infériorité

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numérique et même plantant un essai dans les dernières secondes. Narbonne a aussi profité de la méforme du

buteur columérin David Skrela qui a laissé en route douze points. Pour autant, c’est assez logiquement que

Colomiers remporte ce duel étant donné sa domination dans la plupart des secteurs de jeu. C’est l’essai à la

55e de Saout qui a achevé les Narbonnais et qui a permis ensuite aux Columérins, plus sûrs d’eux, de creuser

l’écart, puis de le maintenir. L’essai narbonnais d'Eadie en fin de partie n’a même pas permis aux Audois ne

ramener le point de bonus défensif de ce match.

L’US Dax gagne et se rassure http://www.sudouest.fr - Publié le 08/02/2015 à 06h00 par Benjamin Ferret

DAX-TARBES Les Dacquois enregistrent leur premier succès depuis six journées

Jean-Mathieu Alcalde a inscrit deux des quatre essais dacquois marqués face aux Tarbais. © Photo Isabelle Louvier

Pour cette troisième réception depuis le début de l'année 2015, l'US Dax ne pouvait se permettre un nouveau

revers face à son public. Battus contre Pau et Carcassonne en janvier, les Dacquois ont su mettre fin à une

série de cinq défaites de rang en s'imposant face aux Tarbais.

Première victoire d'une équipe au chevet de laquelle est arrivé Marc Dal Maso en début de semaine, ce

résultat contentait hier les Rouge et blanc. « Ça fait du bien. Ça fait du bien au moral. On manquait de

confiance, cette victoire permet d'en engranger mais attention, cela ne doit pas être un fétu de paille »,

savoure Olivier August, troisième ligne promu capitaine.

Malgré une situation comptable qui verra l'USD continuer d'occuper la dernière place au classement lors des

quinze jours à venir, cette victoire permet d'entretenir l'espoir d'un sauvetage en Pro D2. « C'était un match

capital, juge Jérôme Daret, l'entraîneur des trois quarts. On est en quête de points, il en reste 50 à prendre

avant la fin du championnat. On en prend 4 cet après-midi, cela aurait pu être 5 mais on ne va pas râler. »

Confrontés à une équipe de Tarbes à la motivation refroidie par une semaine de neige et une avalanche

d'absence, les Dacquois ont hier fait preuve d'une efficacité offensive encore jamais vue cette saison. Une

œuvre collective, ponctuée de quatre essais quand l'USD n'en avait marqué que 24 en 19 matches. « Si les

trois quarts on pu briller, c'est avant tout parce que les avants nous ont facilité le travail », salue Ilian

Perraux, ouvreur et animateur de jeu sorti blessé à l'épaule.

Quatre essais

Jouer pour ne pas mourir, tel semblait être le message dispensé par le staff au moment d'aborder cette

rencontre. Multipliant les relances depuis leurs 22 m, parfois inutilement, les Dacquois mirent tout d'abord

sur orbite Jean-Mathieu Alcalde (10-0, 6e). Auteur d'un doublé, celui-ci fut imité en fin de match par Pierre

Justes, à la conclusion d'une interception captée par Simon Ternisien. L'essai de Jean-Baptiste Singer,

rentré en deuxième ligne, récompensa quant à lui le travail de sape de ses partenaires au bout d'un ballon

porté formé sur une pénaltouche.

« Nous n'avons pas mis assez d'intensité pour rivaliser avec les Dacquois, d'autant que certains ne se sont

pas trop fait mal », estime de son côté Frédéric Garcia, pas plus amer que ça. L'entraîneur tarbais savait bien

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que le club qu'il entraînait encore voilà deux saisons connaîtrait un regain d'enthousiasme pour le premier

match d'un ancien Montois - Dal Maso - sur un banc dacquois en souffrance.

Afin de poursuivre sur cette dynamique, les Dacquois auront moins de vacances durant cette trêve. Ils se

retrouveront en début de semaine pour des séances d'entraînement bien différentes de celles des derniers

jours, comme l'augure Olivier August. « Arriver au stade avec le sourire, cela fait longtemps que cela ne

s'était pas produit. »

Le SUA n’est pas parvenu à vaincre le signe berjallien http://www.sudouest.fr - Publié le 08/02/2015 à 06h00 par David Morin

Cela fait dix-sept ans que c'est la même histoire dans l'Isère. Dix-sept ans que le SU Agen se casse les

dents face au CS Bourgoin-Jallieu. Hier encore, les hommes de Mathieu Blin ne sont pas parvenus à vaincre le

signe indien, tombant les armes à la main face à l'avant-dernier de la classe de Pro D2.

Pourtant branchés sur courant continu depuis cinq matches gagnés avec brio, les Agenais bouclent le

quatrième bloc de la saison par un faux-pas. « Ce n'est pas un coup d'arrêt pour autant », lance Mathieu Blin.

« Je suis très fier de l'investissement des gars qui ont tout donné pour ramener quelque chose. » Pourtant, il

y avait la place de glaner mieux qu'un bonus défensif. Et ce, eu égard à quarante premières minutes que les

Lot-et-Garonnais ont maîtrisé en patron. Les partenaires de Lionel Mazars envoyèrent du jeu aux quatre

coins du terrain, profitant de nombreux turn-over sous la houlette de ce diable de Paris, qui dézona

largement de son aile gauche, et du cornac Balès.

Touche défaillante

Si Bouillot ouvrit la marque de plus de cinquante mètres, les Agenais parvinrent à fructifier leurs temps forts

à la faveur de deux coups de pieds de pénalité signés Lagarde. Rejoints à la demi-heure (6-6), les protégés de

Blin firent corps sur une énorme réponse locale, initiée par Guillot et relayée par Louchard et Price. Mais à la

faveur d'une défense de fer, le SUA s'en sortit et parvint même à prendre le score, grâce à la botte de

Lagarde depuis la ligne médiane (9-6, 40e).

Malgré du déchet en touche (cinq ballons perdus), on ne voyait pas les Agenais baisser pavillon. Sauf que les

Berjalliens, poussés enfin par un stade Rajon bruyant, revinrent sur le pré avec la ferme intention de

confisquer le cuir. Mission accomplie. On ne vit plus le SUA, lequel se contenta de défendre sa maigre avance.

Sauf qu'à l'heure de jeu, les Agenais subirent la loi du CSBJ et de ses gros survoltés. L'homme du match,

Jérémy Guillot, plongeait sous les poteaux suavistes (9-13, 60e).

Derrière, en panne d'imagination et toujours harcelé par le CSBJ, le SUA ne pointa pas le bout de son nez de

l'autre côté du terrain mais s'attacha plutôt à sauver l'essentiel : le bonus défensif.

Stade Montois : le retour en force http://www.sudouest.fr - Publié le 08/02/2015 à 06h00 par julien Grousset

Les Montois s’imposent sur le terrain d’un membre du Top 5 et se replacent en vue de la qualification.

Le Stade revient de loin.

Agustin Ormaechea et les Montois reviennent à un point de l’Usap avant le choc d’aujourd’hui contre

Biarritz. © Photo archives N. L. L.

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Le Stade Montois revient de très, très loin. Au plus mal sur le plan mental après avoir concédé trois revers

consécutifs en guise d'entame de l'année 2015, et alors que se profilait sérieusement une fin de saison sans

saveur, les jaune et noir sont parvenus à revenir dans la course à la qualification après leur victoire d'hier

après-midi à Albi (19-23). Un succès sur le terrain d'un membre du Top 5 qui fait suite à celui contre l'Usap

la semaine dernière (23-9). Résultat : les Landais pointent à la septième place ce matin, à un point du

quatrième, Perpignan, et à cinq du deuxième, Agen.

« On se redonne un peu d'espoir », souriait Christophe Laussucq, « très heureux » à la fin de la partie.

Soulagé aussi, sans doute, d'être passé si près de la correctionnelle, et toujours lucide au moment de

remettre la performance d'hier dans son contexte. « Les phases finales sont encore lointaines, commençait

le coach. Le bloc avait très mal commencé. On a passé trois semaines très difficiles, où on a souffert,

vraiment. On a eu peur d'avoir fait tous ces mois d'efforts pour rien. D'où notre joie aujourd'hui. On a des

raisons d'y croire à nouveau, même si ce sera compliqué. On est à un coup de fusil des équipes en position de

qualifiable. »

« C'était vraiment chaud »

Si le succès face à Perpignan la semaine dernière est celui du paquet d'avants, qui avait dominé sans partage

son vis-à-vis catalan, la victoire d'hier était, elle, placée sous le sceau de la solidarité. Car après que Julien

Tastet ait écopé d'un carton jaune (66e, 13-20), les Albigeois ont poussé fort pour revenir en position de

remporter la partie (19-23, 72e). « C'était vraiment chaud, mais on a tenu », se réjouissait Jean-Baptiste

Dubié, auteur d'un essai en première période et d'une partie énorme en défense, à l'image de son équipe. « La

victoire n'en est que plus belle ! », reprenait-il. Reste qu'encore une fois, le Stade Montois s'est compliqué la

tâche.

Jamais inquiété au cours d'une première période passée en quasi-totalité dans le camp tarnais, et alors que

Dubié vient de marquer sur un turn-over parfaitement joué (0-10, 27e), Mont-de-Marsan encaisse un essai

sur une action presqu'anodine, avec le demi de mêlée Rick qui s'échappe petit côté (7-10, 30e). D'autant plus

rageant que juste après, Liebenberg et Taulanga manquent une énorme occasion de reprendre de l'avance. «

J'ai eu peur », avouait Christophe Laussucq, habitué à voir le ciel lui tomber sur la tête cette saison, et

encore plus inquiet lorsque Péluchon remettait les siens à hauteur à la 45e (10-10).

Mais c'est alors que les Montois réalisent le break décisif grâce à la puissance de Liebenberg (10-17, 51e).

Saubusse (4/5 aux tirs au but) et James (un drop) se chargent ensuite de tenir en respect le buteur tarnais

Péluchon (5/5), avant une fin de match de costauds.

« Les joueurs étaient dans le rouge à la fin du match. On s'est surpassé pour le groupe tout entier », retenait

Tastet, qui espérait qu'après ce succès, Mont-de-Marsan allait « se payer une bonne fin de saison ». Si rien

n'est fait pour le Stade, loin de là, rien n'est perdu. Et c'est bien là l'essentiel.

Colomiers finit par user Narbonne http://www.ladepeche.fr - , J.-P. P. - Publié le 09/02/2015 à 03:49

Ruiz s'accroche, Van der Westhuizen fonce./ Photo DDM, Xavier de Fenoyl

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L'essentiel. Le verdict offre un soulagement à Colomiers qui peut désormais avancer sans avoir un œil dans le

rétroviseur et laisse le feu aux trousses de Narbonne, une nouvelle fois en position de relégable au terme

d'un match à six essais (trois par équipe) tous inscrits après des mouvements d'envergure.

Le match. Accrochés en première mi-temps par une équipe narbonnaise joueuse, les Columérins, après avoir

rapidement encaissé un essai (Etienne, 6), n'ont pas eu le temps de douter. Avec un Vivalda intenable et bien

aiguillés par la charnière Inigo-Skrela, les locaux ont mis une première fois la main sur le match pour mener

14-7 au bout d'un quart d'heure. Mais Narbonne avait des ressources et revenait dans la course, en

s'appuyant sur une mêlée chahutant sa rivale et en produisant toujours du jeu.

Après le repos, les Columérins mettaient leurs adversaires sous pression et, non sans avoir gâché deux

opportunités d'entrée, prenaient le large au tableau d'affichage. L'ultime essai des Narbonnais, à la sirène,

ne leur rapportait rien.

Le fait. Le manque de réussite de David Skrela, par ailleurs très bon à la manœuvre, dans ses tentatives au

but (2P/6). Il aurait pu mettre son équipe à l'abri dès la première période.

Les hommes. Vivalda, la charnière Inigo-Skrela et Batlle à Colomiers ; l'inusable Strauss et la troisième ligne

Jenkins-Herjean-Erasito pour sa première mi-temps sont ressortis du lot à Narbonne.

Colomiers 27 – Narbonne 19

MT : 14-14 ; temps froid ; terrain gras ; vent en faveur de Colomiers en 1re mi-temps ; 2 800 spectateurs ;

arbitre : M. Th. Mallet (Drôme-Ardèche)

Vainqueurs : 3 E Vivalda (8), Batlle (15), Saout (55) ; 3 T et 2 P (47, 62) Skrela

Vaincus : 3 E Etienne (6), Hegarty (22), Eadie (80) ; 2 T Ruiz (6, 22)

Evolution du score : 0-7, 7-7, 14-7, 14-14/17-14, 24-14, 27-14, 27-19

COLOMIERS : Saout ; Bolakoro, Maurino (Coll, 62), Nicot, Batlle (o) Skrela (Lafforgue, 69), (m) Inigo

(Cazenave, 75) ; Puech, Amosa, Vivalda (Baluc-Rittener, 58) ; Mémain (cap.), Bortolaso (Panizzo, 65),

Castellina (Delmas, 50), Van der Westhuizen (Rioux, 50), Weber (Dubois, 71)

NARBONNE : Etienne (McCallum, 75) ; Rattez (Fekitoa, 70), Fekitoa (Barrot, 70), Eadie, Hegarty (o) Ruiz,

(m) Rouet (Sheehan, 40) ; Jenkins (Tomiki, 54), Herjean (Kafotamaki, 58), Erasito-Postal ; Boidin, Strauss ;

Wright (Zanon, 56), Vuli (Edmonds, 45), Petit (Wright, 56 puis T. Raynaud, 73)

Exclu. tempo. : Petit (40, antijeu)

La note du match : 12/20 — L'homme du match : Yohan VIVALDA (Colomiers)

Rioux, Skrela et Vivalda partis pour rester, Macovei et Roux en approche

Six joueurs en fin de contrat avec Colomiers ont reçu une proposition pour un nouveau bail. Le talonneur

Benjamin Rioux (3 ans), l'ouvreur David Skrela (1 an) et le deuxième (ou troisième) ligne Yohan Vivalda (3 ans)

ont donné leur accord. Et le président Alain Carré espère obtenir rapidement celui de l'ailier Armand Batlle,

du centre Florian Nicot et du pilier Damien Weber.

Côté recrues, Colomiers suit de très près le troisième ligne international roumain de Massy Mihai Macovei

(28 ans) et le pilier lyonnais Anthony Roux (31 ans) pourrait effectuer son retour au club quatre ans après

l'avoir quitté pour Lyon.

Narbonne encore en vigilance orange http://www.ladepeche.fr - Publié le 09/02/2015 à 08:32 - La Dépêche du Midi

Les Audois ont beau avoir fait meilleure impression au maigre public haut-garonnais que leurs concurrents

dacquois une semaine plus tôt au même endroit, ils ont beau avoir ouvert la marque et clôturé celle-ci à la

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faveur de deux réalisations aussi magnifiques l'une que l'autre, il n'en demeure pas moins que, sur le seul plan

comptable, c'est bel et bien un zéro pointé qui est apparu sur le tableau noir. Injuste, pour ne pas dire cruel?

Pas si sûr. Pour avoir été poussés à plusieurs reprises près du point de rupture, ceux qui avaient aussi

bénéficié d'un maximum de réussite sur le deuxième essai synonyme d'éphémère égalisation (14-14)

pouvaient tout aussi bien se retrouver en situation de décrochage prématuré au «planchot». On pense ainsi à

ces trois tentatives manquées par David Skrela et pourtant largement à la portée de l'ancien champion de

France parisien et toulousain. De même, hier après-midi, les Septimaniens ont perdu trop de ballons à

l'impact pour pouvoir nourrir non plus des regrets propres aux inconsolables. D'énormes lacunes défensives

sont apparues au grand jour, notamment sur le troisième et dernier essai columérin. Celui du break définitif.

Les Audois ont fini par se retrouver pour de bon sous l'éteignoir columérin. Dommage./ Photo DDM,

Xavier de Fenoyl

Privés des bons et loyaux services de Sébastien Rouet peu avant la pause et contraint de laisser beaucoup

d'énergie du fait de la sanction infligée à Sébastien Petit, les protégés de Justin Harrison, fort bien contrés

par un dispositif local solidement articulé autour de ce perforateur de luxe qu'est Afaesetiti Amosa, n'ont

jamais paru en mesure d'inverser la tendance. Le bonus défensif n'était pas à des années-lumières non plus,

mais, à l'image de cette tentative de Christopher Ruiz renvoyée par le montant gauche, il était dit que

l'équivalent du minimum syndical ne retomberait pas dans l'escarcelle visiteuse. Des Narbonnais vraiment pas

favorisés, ni par l'arbitarge comme l'a expliqué Gilles Belzons peu après le trille final, ni par les résultats

victorieux de Bourgoin-Jallieu et de Dax aux dépens des alliés objectifs agenais et tarbais d'un week-end.

Comme quoi, quand rien ne va...

Ruiz : «Encore trop de déchet» http://www.ladepeche.fr - Publié le 09/02/2015 à 08:32 - La Dépêche du Midi

La déception était palpable hier chez les narbonnais./ Photo DDM, Xavier de Fenoyl

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Dire qu'un silence de cathédrale entourait le vestiaire des vaincus, hier, sur les coups de 17 heures, serait

exagéré. Néanmoins, de Justin Harrison à Quentin Étienne en passant par Christopher Ruiz, la déception

était bien palpable : «L'envie de jouer et de bien jouer était là, c'est une évidence, mais quand des fautes

sont commises en trop grand nombre, ce n'est pas acceptable», expliquait l'ancien international australien

avant de poursuivre sur sa lancée : «Nous devons nous concentrer sur les tâches les plus indispensables, en

défense notamment car le troisième essai a été encaissé beaucoup trop facilement. Nous vivons une période

difficile, il va falloir montrer autre chose, surtout à l'extérieur si nous voulons ramener des points».

Un constat partagé par Christopher Ruiz, lui aussi très lucide dans l'analyse : «Sur le contenu, il y a du mieux

par rapport à certaines de nos prestations précédentes. Mais, comme pour toute équipe dans le dur comme

c'est le cas de la nôtre, certaines erreurs se payent cash. À plus forte raison si l'on ne tient pas le ballon, ce

qui prouve qu'il y a encore trop de déchet». Et l'ouvreur de faire allusion aux treize points inscrits par

Colomiers (14-14, puis 27-14) sans qu'un seul ne soit rendu. Du moins, dans les délais car, à en croire Quentin

Étienne, les Narbonnais ne sont passés loin du compte : «Tout près, même, mais trop tard», déplorait le

défenseur d'un dernier rempart soumis à rude épreuve de par la vigueur des assauts adverses. «Nos actions

ont avorté». Effectivement. Reste que quand on connaît la qualité de la formation copilotée par Bernard

Goutta et Philippe Filiatre, les vaincus n'ont pas à rougir non plus. Après tout, Massy et Dax, concurrents

directs comme chacun sait des Narbonnais, ont «embrassé fanny» à tour de rôle eux aussi comme disent les

pétanqueurs. Comme si le bonus défensif devenait de moins en moins accessible. Le mot de la fin reviendra à

Christopher Ruiz, pragmatique : «Il faut positiver malgré tout, dix matchs restent à disputer, c'est assez

pour nous tirer d'affaire». Acceptons-en l'augure !

Le Stade Aurillacois au bout de l’effort http://www.lamontagne.fr - Jean-François Nunez - 09/02/15 - 06h00

La longue chevauchée de Grégory Fabro est à l’origine de l’essai de Gaston deux temps de jeu plus

tard.? - PHOTO CHRISTIAN STAVEL

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Le Stade Aurillacois retient l’essentiel, à savoir les quatre points de la victoire face à Béziers. Après avoir

dominé les débats, les Cantaliens ont nettement plus souffert en seconde période.

Un match à deux visages, un Stade Aurillacois à deux faces aussi. Les Cantaliens ont battu Béziers, hier, au

stade Jean-Alric, mais cela n'a pas été aussi simple et large que le score pourrait le laisser croire (28-13). Si

les hommes de Jérémy Davidson et Thierry Peuchlestrade ont nettement maîtrisé leur sujet et surtout leur

jeu durant le premier acte, le second s'est avéré bien plus laborieux.

Face à des Biterrois certes rajeunis mais pas moins joueurs, il fallait tout d'abord assurer de bonnes bases,

bien cadenasser la tenue du ballon et verrouiller à double tour le premier rideau défensif. En respectant sa

feuille de route et en prenant le score, Aurillac s'est mis hors de portée. Mais dès que cet ensemble a perdu

de son influx sur les débats, Béziers s'est montré plus compliqué à bouger et à man'uvrer.

Les Aurillacois ont finalement su faire ce qu'il fallait pour prendre quatre points de plus et revenir dans le

groupe de tête en repassant quatrièmes. Avant de peiner, ils ont également su mettre le feu dans la défense

adverse et ces actions menées par un Leiataua très dynamique ou Tokula auraient mérité une meilleure

conclusion.

Petitjean capitalise

Par son rythme, son volume de jeu, ses intentions supérieures, Aurillac a déplacé le ballon, poussé Béziers à la

faute et à évoluer en infériorité numérique. Ses efforts n'ont donc pas trouvé une légitime récompense à

travers un essai, mais Petitjean s'est chargé de faire fructifier le tout.

Avec un drop et cinq pénalités avant la pause, il a largement contribué à repousser des Héraultais auteurs de

deux pénalités par Gerber (18-6). La suite n'a malheureusement pas été du même cru. Moins serein dans

l'alignement, bousculé en mêlée, pris par l'agressivité héraultaise dans les rucks, Aurillac a courbé l'échine. Il

a beaucoup défendu et longtemps retardé l'échéance, mais l'essai de Caillet (21-13, 74 e) a fait souffler

comme une bise de danger sur des Aurillacois pourtant hors de portée. Elle s'est envolée à la sirène, quand le

pilier Fabro s'est transformé en ailier pour avancer de cinquante mètres, avant que, deux temps de jeu plus

tard, Gaston trouve la faille libératrice (28-13).

AURILLAC (Stade Jean-Alric). Aurillac bat Béziers 28-13 (mi-temps : 18-6 pour Aurillac). Temps frais,

pelouse déneigée et grasse. 2.800 spectateurs. Arbitre : M. Millotte (Ile-de-France).

Les points. Aurillac : 1 essai de Gaston (80 e) ; 1 drop (4 e) et 6 pénalités de Petitjean (7 e, 23 e, 26 e, 32 e,

37 e, 51 e) ; 1 transformation de Renaud (80 e).

Béziers : 1 essai de Caillet (74 e) ; 2 pénalités (15 e, 30 e) et 1 transformation de Gerber.

Exclusions temporaires. Béziers : Alary (22 e), Valentine (31 e).

Aurillac. Mc Phee (Renaud 78 e) ; Valentin (Cassan 67 e), Tokula, Kemp (cap.), Gaston ; (o.) Petitjean, (m.)

Boisset (Nanette 61 e) ; Roussel, Lescure, Nouhaillaguet (Roulin 58 e) ; Datunashvili, Hézard (Granouillet 72

e) ; McAllister (Séry 78 e), Leiataua (Pélissié 69 e), Escur (Fabro 62 e).

Béziers. Peyras-Loustalet ; Alary (Fourquier 32 e, puis Bisman 61 e), Max, Gerber, Puletua ; (o.) Fournil, (m.)

Valentine ; Bourdeau, Baget (cap.) (Massot 61 e), Vatubua (Caillet 61 e) ; Battye, Lokotui ; Brison (Boughanmi

41 e), Pinto Ferrer (Fualau 52 e), Stragiotti (Manukula 41 e).

Simon Mannix - Section : "Le plus gros match de la saison nous

attend à Tarbes" http://www.sudouest.fr - Publié le 09/02/2015 à 06h00 par Denys Kappès-Grangé

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Saison 2014/2015 : n°20 du 09/02/2015

La Section, victorieuse face à Massy (26-3) souhaite une revanche contre Tarbes. Le manager ne veut pas "faire la même faute"

Simon Mannix (à droite) ne veut pas refaire les mêmes erreurs face à Tarbes © Photo David Le Deodic

« Sud Ouest ». Comment jugez-vous la prestation de votre équipe ?

Simon Mannix (manager de la Section). J'ai vu de belles actions, des intentions de jeu, même s'il y a eu des

approximations bien-sûr. On arrive en fin de bloc, c'est dur physiquement. Cette semaine, on n'a jamais

travaillé sur un terrain de rugby. Je savais qu'on serait un peu juste physiquement, et ça a été le cas. Par

contre, j'ai félicité les joueurs, parce que malgré les choses difficiles, ils sont restés disciplinés : on n'a pas

encaissé d'essai et ça s'est important.

Repère : 17 : c'est le nombre de points d'avance sur Perpignan que comptent les Palois à l'issue de ce bloc.

au début, ils en avaient 6 sur Biarritz

Vous avez finalement été récompensé de vos intentions de jeu.

On veut jouer au rugby ici. C'est notre état d'esprit depuis le début de la saison. On préfère jouer dans les

espaces, parce que c'est plus intéressant. Sur chaque coup d'envoi, on a bien regardé où ils étaient. On aurait

pu marquer deux ou trois essais de presque 100 mètres, mais on a manqué dans la finition. On va continuer à

bosser

Tout n'a pas été parfait mais vous prenez le bonus. N'est-ce pas le signe que vous avez de la marge ?

On a de la marge pour continuer et améliorer notre jeu. On sait qu'il reste 10 matchs, chaque point c'est

important. Même si on a peut-être un peu plus de marge que les autres qui sont derrière nous quand même…

Au terme de ce bloc, la Section a encore creusé l'écart. Qu'elle est votre réaction ?

On sait que ça passe par le travail. Et depuis la rentrée des vacances de Noël, il est irréprochable. On a été

sérieux dans tout ce qu'on a fait. Ça a encore été le cas aujourd'hui. Sur cette période, on n'a encaissé que

deux essais. On a pris trois fois le bonus à la maison. Le bloc a été bien mené. Maintenant, on va recharger les

batteries la semaine prochaine. On va continuer à bosser, parce que le plus gros match de la saison nous

attend à Tarbes. Cela pour plusieurs raisons : d'abord parce que c'est le prochain et aussi parce qu'on n'a pas

été performants du tout chez nous devant notre public. Ce sera un match spécial pour nous.

Souhaitez-vous une revanche contre Tarbes ?

Oui, là on ne le cache pas. Moi j'ai fait une faute dans la préparation du match contre Tarbes, parce que je

n'ai pas pris conscience de l'importance de l'aspect « derby » de ce match. L'influence néo-zélandaise

consiste à se dire que chaque match est le même : il faut le jouer. Mais on sait bien désormais que ce match

contre Tarbes est particulier pour nous et les supporteurs, comme l'était celui contre Biarritz. Je ne vais pas

faire la même faute de mon côté.

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Saison 2014/2015 : n°20 du 09/02/2015

PRO D2, J20 - Présentation de la journée http://www.lnr.fr - Par Ligue Nationale de Rugby, le 5 février 2015.

Si le leader palois avec ses 14 points d’avance sur son dauphin agenais ne regarde plus derrière lui depuis un

petit moment, les équipes derrière restent à l’affût pour rester ou s’immiscer dans les places qualificatives

aux phases finales. En bas de classement également, les écarts restent limités.

Pau – Massy

Lors de leur première confrontation au Hameau en 2012, Pau et Massy s’étaient quittés sur un large score, en

faveur de locaux. Les deux autres rencontres, organisées à Ladoumègue avaient également vu les Béarnais

l’emporter. Après trois victoires consécutives face aux Massicois, les Palois vont-ils baisser de rythme ? Pas

si sûr lorsqu’on voit leur performance de la dernière journée face à Biarritz et leurs statistiques en général :

deuxième attaque, meilleure défense et des marqueurs d’essais performants. Les Massicois ne sont pas non

plus en reste : si leur défense stagne à la dernière place du classement, leur attaque est cinquième et

pourrait leur permettre de sauver leur peau en PRO D2, eux qui se trouvent à cinq points de la zone rouge.

La dernière rencontre en vidéo :

http://www.lnr.fr/video-pau-massy-37-8-j10-saison-2012-2013,2397.html

Pau - Massy - 37 à 8 lors de la 10ème journée Saison 2012-2013

Albi – Mont-de-Marsan

Les Montois ont pris l’habitude ces deux dernières saisons d’aller s’imposer sur la pelouse des Albigeois. Les

écarts étaient faibles (quatre points en 2013 et un seul point en 2011) mais les visiteurs avaient bien pris

l’ascendant, les locaux récupérant au passage le bonus défensif. Jamais deux sans trois. Les Albigeois auront

eux à cœur de tordre le cou à ces expressions en s’imposant à domicile pour garder cette avance de quatre

points sur leurs adversaires du week-end, l’augmentant même. Les Montois ne font pas partie des équipes les

plus performantes à l’extérieur (avec seulement deux victoires en neuf rencontres) : on doit même remonter

en J11 contre Carcassonne pour retrouver un succès. Toutefois, eux aussi ont également des objectifs : se

replacer dans les places de demi-finalistes notamment.

Bourgoin – Agen

Ce duel opposera ce week-end l’avant-dernier au dauphin. Si les Berjalliens comptent le plus mauvais ratio

victoires/défaites à domicile de la PRO D2 (4/4), les Agenais se trouvent eux au sommet, comme dans le cas

du classement général (9/1). Même si Agen ne compte que deux victoires à l’extérieur cette saison, cela ne

présage en rien des débats peu intenses entre les deux équipes. En effet, Agen se trouve être la première

attaque du championnat tandis que le CSBJ est avant-dernier. Point positif pour Bourgoin cependant : plus

aucune défaite à la maison depuis la J15 et surtout, aucune victoire des Lots-et-Garonnais chez eux, que ce

soit en TOP 14 ou en PRO D2.

Dax – Tarbes

Les Tarbais comptent 17 points d’avance sur leurs adversaires du week-end, lanterne rouge de PRO D2 :

autant dire que la zone rouge ne fait pas partie de leurs préoccupations…mais la zone des potentiels demi-

finalistes reste encore trop éloignée. Les Dacquois sont quant à eux dans une situation réellement délicate.

En 19 journées ils ne se sont imposés qu’à cinq reprises : les résultats sont peu étonnants lorsqu’on constate

qu’ils sont la dernière attaque du championnat et font partie du top 3 des équipes les plus indisciplinées. Dax

ne doit en tout cas pas se poser de questions : si l’équipe veut se maintenir en PRO D2 la saison prochaine,

plus aucun écart n’est permis à domicile.

Perpignan – Biarritz

Les Perpignanais ont manqué quelques occasions ces dernières journées, et notamment la semaine dernière :

avec cette nouvelle défaite à l’extérieur, ils laissent les Biarrots rester devant et se font éjecter du podium

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Saison 2014/2015 : n°20 du 09/02/2015

par les Agenais, nouveaux dauphins. Biarritz a également reçu un coup sur la tête lors de la dernière journée :

avec un 0-20 infligé par Pau à Aguiléra, ils sont relégués sur la dernière marche du podium, ont concédé leur

première défaite à domicile et surtout, ont laissé Pau réaffirmer sa domination sur le championnat. Les deux

plus récents relégués du TOP 14 auront donc à cœur de réaffirmer leur position de leader en PRO D2 s’ils

souhaitent être présents lors des phases finales.

Aurillac – Béziers

Il faut remonter jusqu’à la saison 2007/2008 pour retrouver une victoire de Béziers sur le terrain d’Aurillac.

A l’époque, le succès avait été juste, 31-32. Aujourd’hui, si Aurillac est aux portes des demi-finales au

classement, Béziers a encore quelques points de retard sur les Auvergnats (quatre exactement) pour espérer

rivaliser de ce point de vue-là. Avec des statistiques comme les leurs pourtant, les Biterrois pourraient

prétendre à une meilleure place au classement : 6ème attaque et 5e défense, leurs efforts sont cependant

contrebalancés par le nombre de défaites concédées, deux de plus par rapport à Aurillac. Les Aurillacois,

malgré une attaque moyenne (13ème) peuvent viser une victoire à Jean-Alric, eux qui n’ont perdu qu’une seule

fois à la maison.

Carcassonne – Montauban

Au match aller, les Montalbanais avaient largement dominé les Carcassonnais lors de leur première

confrontation, 30-13. L’issue de ce match retour semble bien certaine car l’équipe de Carcassonne, même si

elle l’a emporté à l’extérieur il y a deux journées, a également concédé une défaite lors de son dernier match

à domicile. De plus, les Audois, même s’ils sont à douze points de la zone rouge, sont bloqués à une douzième

place peu glorieuse. Les Montalbanais affichent eux des statistiques plus avantageuses : au classement des

défenses notamment, ils sont troisièmes avec seulement 339 points encaissés (en comparaison, le leader Pau

en a encaissé 308).

Colomiers – Narbonne

La situation n’en finit pas d’être critique pour les Narbonnais même s’ils sont aujourd’hui à quatre points de la

zone rouge. Cependant, la situation est à relativiser : les Audois, à chaque journée, font le va-et-vient. A

l’extérieur, il leur sera difficile d’engranger des points, leur dernière et seule victoire datant du 1er

novembre. Les Columérins ne brillent pas, coincés dans le ventre mou du championnat. Leurs statistiques

moyennes ne leur permettent pas actuellement de viser plus haut mais les maintiennent toutefois bien

éloignés de la zone de danger.

La Section revient aux affaires courantes http://www.sudouest.fr - Publié le 08/02/2015 à 06h00 par Denys Kappès-Grangé

Après le succès à Biarritz et le recrutement de Conrad Smith, les Palois accueillent le promu.

James Coughlan. © Photo D. Le deodic

On aurait presque fini par l'oublier. Cet après-midi, la Section reçoit Massy avec la ferme intention de

décrocher une cinquième victoire en autant de matchs depuis le début de l'année 2015. N'y voyez aucun

dédain vis-à-vis des Massicois. Et cela même si, en lutte en bas de classement et plombé par une série de

trois revers consécutifs depuis son succès sur les Montois, le promu essonnien semble évoluer bien loin de

Palois plus que jamais leaders. Mais l'actualité récente en Béarn pousse bien plus à contempler les étoiles qu'à

mettre les mains dans le cambouis.

Cela a commencé le week-end dernier avec un succès retentissant (20-0) sur la pelouse du BO, qui était

pourtant alors le dauphin des hommes de Simon Mannix. Une victoire qui a tout l'air d'avoir « tué » le

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Saison 2014/2015 : n°20 du 09/02/2015

championnat. « Non, coupe un James Coughlan catégorique. Il ne sera fini qu'en mai. Maintenant, c'est

important pour notre progression de remporter chaque match. » Oh bien sûr, on croit le troisième ligne

irlandais sur parole.

Mais alors qu'en fin de semaine, les dirigeants de la Section ont annoncé le recrutement du trois-quarts

centre All Black Conrad Smith pour les deux prochaines saisons, ils semblent eux-mêmes s'activer pour

préparer le retour de la Section dans l'élite.

Dans un tel contexte, le piège saute aux yeux. Du coup, comme un seul homme, les Palois ont martelé le même

discours : « On doit se concentrer sur Massy. »

Damien Traille, qui effectue son retour après trois mois d'absence, insiste : « On a beaucoup de respect pour

Massy. On a débuté la saison là-bas et on ne s'est imposé que dans la difficulté (14-12). » Pour donner corps à

ce discours, les Palois ont exhumé les souvenirs de la défaite à domicile face à Tarbes (16-20), en décembre

dernier. David Aucagne, en charge des arrières, cible l'objectif : « Il faut qu'on mette tous les ingrédients

nécessaires. […] Notre victoire à Biarritz ne sera validée que si on bat Massy. » La Section est sur la bonne

voie, mais elle n'a pas fini d'arpenter le chemin.

Un défi de taille http://www.leparisien.fr - Th. r. | 08 Févr. 2015, 07h00 | MAJ : 08 Févr. 2015, 05h29

Grégory Coudol et les Massicois auront fort à faire face au leadeur incontesté palois. (LP/Icon Sport.)

Massy sera cet après-midi dans l'antre de l'ogre. A Pau, chez l'inamovible leadeur qui a déjà un pied en Top

14. Autant dire que la mission qui attend le promu essonnien s'annonce des plus ardues sur la pelouse de la

Section paloise de Simon Mannix, ancien entraîneur du Racing, Métro 92, et de Josefa Domolaïlaï, ex-

troisième ligne de Bobigny (2009 à 2011).

« On s'attend à une partie compliquée, confirme le coentraîneur, Olivier Nier. Il faut l'appréhender avec

beaucoup de courage et l'ambition de faire de notre mieux. » La présence des caméras d'Eurosport sera

également un élément à bien gérer, même si le coach assure qu'il « n'a pas été pris en compte » durant la

semaine de préparation.

Seizième et donc toujours à la lutte pour le maintien, Massy, qui reste sur trois défaites, n'a plus empoché de

points depuis le 11 janvier.

« Même si nous sommes conscients que notre adversaire est beaucoup plus armé que nous, il serait bien de

ramener un petit quelque chose, espère Nier. Car nous souhaitons garder à distance nos opposants directs. »

Pour ce dixième déplacement de la saison, les coachs ont décidé de faire souffler Adrien Latorre, le meilleur

réalisateur (201 points), Davit Ashevetia et Christophe Desassis, « des gars qui ont beaucoup donné depuis le

début de la saison ».

Massy : Mendes - Vakaloa, Lilomaiava, Tidjini, Diemer - Girard (o), Daguin (m) - Chaplain, Cancoriet, Meité

(cap.) - Huete, Purdy - Akhobadze, Algisi, Dadunashvili. Rempl. : Tadjer, Sagario, Iapteff, Molitika, Chauveau,

Dibel, Prier, Coudol. Entr. : Nier et Didebulidze.

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RUGBY DIMANCHE 16H : LA SECTION POUR S'ENVOLER http://www.larepubliquedespyrenees.fr - Par A.P. - Publié le 06/02/2015 à 21h44

Après l'annonce jeudi de la signature du All bLack Conrad Smith à la Section, les Palois redescendent

sur terre ce dimanche 16h au Hameau. Interdiction absolue de se louper contre Massy !

La Section ne s'était pas brillamment imposé au match aller à Massy (12-14). (PYP JMMONBEIG)

A 16h au stade du Hameau, la Section Paloise reçoit Massy. A priori pas un gros morceau avec sa 13e

place et ses 37 points de retard sur Pau, mais les déboires de la Section à domicile face aux Tarbais mal

classés, avant Noël, laissent aux sceptiques le droit de douter...

Aux hommes de Mannix de balayer ces doutes et d'engranger une 5e victoire d'affilée, qui après l'annonce

du recrutement du All Black Conrad Smith scellerait une semaine fleurant meilleur encore que le Top 14.

Massy se présentera pour sa part sans son précieux demi Adrien Latorre, Arudyen d'origine et 3e meilleur

buteur de Pro D2 cette saison. Le Béarnais est laissé au repos.

Section Paloise : Traille et Falefa titulaires contre Massy http://www.larepubliquedespyrenees.fr - Par JMM - Publié le 04/02/2015 à 17h25

Jonhson Falefa débutera son 1er match avec la Section contre Massy ce dim 8/02. (PYP JPGIONNET)

La Section fait tourner, mais point n'en faut. Contre Massy (dimanche 8 février à 16h00), elle procède à

quatre changements dans son XV de départ par rapport à l'équipe qui a débuté à Biarritz (victoire 20-0).

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Saison 2014/2015 : n°20 du 09/02/2015

Le retour de Damien Traille, privé de rugby pour raisons administratives depuis plus d'un mois, était évident

depuis de longues semaines déjà. Il remplace Mickaël Drouard.

Le Néo-Zélandais Johnson Falefa débutera en pilier droit son premier match à la Section. Sylvain Charlet,

blessé à l'épaule, est conservé en remplaçant. Gorgi Natsarashvili est suspendu.

Deux roulements : retours à l'ouverture de Brandon Fajardo à la place d'Antoine Lescalmel, et sur l'aile

droite de Marika Vunibaka qui repousse Mathieu Acebes en titulaire à l'arrière alors que Martin Prat quitte

le groupe.

Sur le banc : Jale Vatubua effectue lui aussi son retour.

Le XV de départ de la Section : Acebes - Vunibaka, Fumat (cap), Traille, Niko - (o) Fajardo, (m) Marques -

Bouilhou, Coughlan, Domolaïlaï - Dry, Ramsey - Falefa, Campo, Jacquot.

Remplaçants : Boundjema, Moïse, Pierce, Solofuti, Daubagna, Lescalmel, Vatubua, Charlet.

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Section Paloise : Comme si de rien n’était… http://www.sudouest.fr - Publié le 07/02/2015 à 06h00 par denys kappès-grangé

S’ils ont parfois rechigné à en parler, les Palois se sont félicités de la venue de Conrad Smith.

Les Palois ont effectué leur séance d’entraînement au Palais des sports, hier matin, pour échapper à la

neige. © Photo david le deodic

«Il vaut mieux parler de Damien Traille. Il sera sur le terrain contre Massy lui. » David Aucagne a raison, le

retour du Nayais mérite amplement d'être mis en avant (lire ci-dessous). Mais, même si l'entraîneur des

arrières de la Section y rechigne, cela n'empêche pas d'évoquer l'homme dont le nom est sur toutes les

lèvres en ce moment en Béarn : le centre All Black Conrad Smith dont l'arrivée a été annoncée jeudi par les

responsables du club.

Alors forcément, la plupart des Palois ont fait preuve de frilosité au moment de s'exprimer sur le sujet. Non

pas qu'il soit gênant, mais il ne correspond pas au mot d'ordre qui a été martelé : « On doit se concentrer sur

Massy », résume le troisième ligne James Coughlan.

Mais tout de même ! Sans surprise, c'est le jeune ouvreur Brandon Fajardo qui est le plus spontané : « On a

été surpris : c'est une star, une figure du rugby. Ce sera la tête de gondole du club si on parvient à monter.

Et il s'en servira sans doute pour pour faire venir d'autres joueurs pour la suite. »

Pas de récidive

C'est avec calme que David Aucagne s'est exprimé : « On est tous très heureux et on remercie Simon

Mannix. Conrad Smith sait tout faire, c'est un mec doué qui apporte beaucoup aux Blacks et qui nous

apportera plus encore. Et en plus, il a l'air d'être intelligent. » Ce qui ne gâche rien.

« C'est un super joueur pour l'équipe et la région, apprécie James Coughlan. C'est un joueur très important

pour la Nouvelle-Zélande, j'espère qu'il arrivera après la coupe du monde pour jouer le Top 14. C'est

l'objectif pour le club. Mais on doit rester concentrer sur Massy. »

En vieux briscard, le troisième ligne irlandais a raison d'insister. Ce match face à Massy, demain à 16 heures

au Hameau, est présenté comme une simple formalité après le retentissant succès décroché à Biarritz (20-

0). Mais cette semaine a été perturbée par les intempéries et un recrutement quatre étoiles est passé par là.

C'est là tout le piège.

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Et James Coughlan n'a pas besoin qu'on lui mette le nez dessus. « C'est une indication de la progression que

veut le club. Mais ça fait dix mois qu'on travaille et on doit rester concentrer. C'est important parce qu'il y a

eu beaucoup de distractions cette semaine. La prochaine marche, c'est Massy. »

Un discours qui porte sans doute, parce que les Palois ont payé pour apprendre rappelle Brandon Fajardo : «

On se rappelle que face à Tarbes à la maison (16-20), on a perdu de précieux points. C'est le match qui a fait

office de déclic : on s'est dit qu'on n'avait pas été sérieux, qu'on avait fait les cons. » Alors que les Béarnais

ont de nouveau 14 points d'avance sur leur dauphin, Agen, ce n'est pas le moment de récidiver…

Damien Traille sur le terrain, enfin… http://www.sudouest.fr - Publié le 07/02/2015 à 06h00

Requalifié, le centre jouera après trois mois d’absence.

Damien Traille. © Photo ph. david le deodic

« Oui, enfin… C'est le bon mot. » Au moins, Damien Traille n'a pas fait mystère de son impatience. Demain,

face aux Massicois, l'ancien centre international de la Section va rejouer après trois mois d'absence. Les

raisons d'un tel délai sont bien connues, le Nayais avait été jokerisé après une blessure au genou contractée à

Mont-de-Marsan au début du mois de novembre, et bien qu'apte, il était depuis en attente de sa

requalification.

C'est désormais chose faite. Et sans surprise, ce n'est pas le seul à s'en féliciter : « Le fait qu'il soit là a de

l'influence. Il parle beaucoup à ses coéquipiers, il a de l'expérience », salue David Aucagne. Des qualités qu'il

doit apporter à une formation qui est en phase ascendante. Relégué au rang de simple sparring-partner ces

derniers mois, Damien Traille a apprécié à sa juste valeur la performance de ses coéquipiers face à Biarritz

(20-0).

« L'équipe a mûri »

A-t-il été surpris ? « Surtout par rapport à la deuxième période en fait. Alors qu'on ne menait que de deux

points (5-3) et qu'on venait de prendre un carton jaune, j'étais un peu inquiet. Mais l'équipe a réussi son

entame. C'est une très grosse opération face à une équipe qui reste malgré tout un concurrent pour la

montée. On doit se déplacer chez les gros, c'est bien de commencer comme ça. »

Les quatre victoires consécutives avec lesquelles la Section a débuté l'année 2015 prouvent également qu'elle

a clôturé le chapitre d'un mois de décembre difficile. « Il y a eu un changement dans les comportements,

juge l'ancien centre international. Nos sorties cauchemardesques contre Tarbes ou Carcassonne nous ont

remis les pieds sur terre. » Et Damien Traille de poursuivre : « J'espère qu'on a retenu la leçon de la défaite

contre Tarbes où il y avait eu un relâchement. L'équipe a mûri. »

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Section Paloise : "On doit rester concentrés sur ce match",

insiste Fajardo http://www.sudouest.fr - Publié le 06/02/2015 à 14h03 , modifié le 06/02/2015 à 15h06 par D. K.-G.

VIDEO - L'ouvreur de la Section, Brandon Fajardo, assure que l'équipe n'a pas détourné son attention de la venue de Massy, ce dimanche à 16 heures, malgré une semaine mouvementée

Brandon Fajardo débutera à l'ouverture face à Massy. © Photo archives David Le Deodic

Un succès éclatant face à Biarritz (20-0) le week-end dernier, une semaine d'entraînements perturbée par la

neige, l'annonce de l'arrivée de Conrad Smith... La Section, qui reçoit Massy ce dimanche à 16 heures, doit

restée concentrer sur le championnat, martèle l'ouvreur Brandon Fajardo. Pour cela, alors qu'elle a du

s'entraîner au Palais des sports ce vendredi matin, elle pourra compter sur Damien Traille qui fait son retour

à la compétition.

L’USD en cohabitation http://www.sudouest.fr - Publié le 07/02/2015 à 06h00 par Benjamin Ferret

Les rouge et blanc vivent une semaine particulière avec l’arrivée d’une nouvelle voix au sein du staff. Le renfort de Marc Dal Maso et le maintien des hommes en place peut interroger.

La vie à quatre entraîneurs est-elle tenable pour un club en grande souffrance ? © Photo Loïc Dequier

En cette semaine où le « ni-ni » est revenu à la mode en politique, faire un parallèle avec la décision d'Alain

Pecastaing et les membres du conseil d'administration de l'US Dax est tentant. Quel message les dirigeants

dacquois ont-il souhaité faire passer en s'attachant les services de Marc Dal Maso... Tout en confortant dans

le même temps Richard Dourthe, Brice Miguel et Jérôme Daret à leurs postes ? « Au point où nous en

sommes, un avis de plus ne peut pas être une mauvaise chose », élude Olivier August, troisième ligne centre

promu capitaine pour ce match contre Tarbes et visiblement mal à l'aise avec la question.

Alors que l'USD pointe à la dernière place du classement, la décision dacquoise a de quoi surprendre, dans la

logique actuelle du sport professionnel. Nommé au titre toujours aussi flou de « consultant » auprès du staff

installé, Marc Dal Maso aura une mission ponctuelle, sachant que le « monsieur mêlée » de la sélection

japonaise devra retourner auprès d'elle voir le soleil se lever dès la fin mars.

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Saison 2014/2015 : n°20 du 09/02/2015

Les joueurs, demandeurs de changement, semblent pour l'heure se réjouir de cette arrivée, sans encore

songer à comment se passeront les cinq dernières journées de la saison, une fois Dal Maso reparti. « Il

revient des Otago Higlanders, s'occupe des avants du Japon. Il va nous apporter beaucoup de choses en peu

de temps, s'enthousiasme le deuxième ligne Jacques Naude. Il est calme, dans le détail. On va pouvoir enfin

travailler. »

Cette collaboration, entamée mardi en salle puis jeudi et hier sur les terrains, s'est traduite par de longues

séances d'entraînement. Secteurs travaillés et répétés jusqu'à plus soif ? Les bases, telle la touche, encore

déficiente à Colomiers, la conquête et même le mouvement général, version Dal Maso. « Il nous parle surtout

de relance suite à du jeu au pied, de tenir plus le ballon », dévoile l'ailier Jean-Mathieu Alcalde.

En attendant de voir si les premiers coups de patte du grizzly du Gabardan donné au jeu dacquois porteront

leur fruit cet après-midi, Olivier August reste lucide quant à la situation. « Il ne faut pas s'emballer. Marc

est là depuis très peu de temps et il ne peut faire de miracle. »

« Ce que l'on voulait »

De miracle, il n'y aura évidemment pas. Pas plus que d'excuse en cas de nouvelle défaite. Jacques Naude le

sait : « Une nouvelle voix, un regard extérieur, c'est ce que l'on voulait et que l'on avait demandé au

président. Maintenant, il faut gagner. »

Tout aussi salutaire soit-elle pour l'US Dax, l'arrivée de Marc Dal Maso sonne néanmoins comme un camouflet

à l'encontre de Richard Dourthe et de Brice Miguel. Les deux homme sont ainsi apparus en retrait tout au

long de la semaine, comme dans les prémices d'une cohabitation entre Matignon et l'Élysée. « Ce qui est

intéressant, c'est que les joueurs ne rechignent plus quand on leur dit qu'ils doivent travailler plus », tente

de positiver le manager dacquois.

Pas plus que les autres membres du staff, il ne veut en revanche pas s'attarder sur cette nouvelle vie à

quatre qui est la leur depuis ce début de semaine. « On vient de commencer, on avance. On s'organise comme

on peut... Comme on me l'a demandé. »

Celui qui reste manager de l'USD devra de toute manière parvenir à s'entendre avec un autre caractère fort

du rugby français, tout en étant privé de vestiaires et de bancs de touche. Rude, comme peut l'être pour lui

le choix de son président. Alors qu'il reste encore une saison de contrat à Richard Dourthe, l'arrivée de Dal

Maso marque-t-elle symboliquement la fin d'une histoire ? Celle qui aura vu l'USD se maintenir la saison

dernière malgré une lourde baisse de budget de 900 000 euros. Celle qui pourrait peut-être bien voir une

famille se déchirer...

US Dax : Ilian Perraux à l'ouverture contre Tarbes http://www.sudouest.fr - Publié le 06/02/2015 à 13h13 par B. F.

Ilian Perraux sera titulaire à la charnière. © Photo Philippe Salvat

L'arrivée de Marc Dal Maso à l'US Dax aura-t-elle un impact sur le rendement des troupes dacquoises ? Un

début de réponse pourra être apporté samedi après-midi, avec le match disputé par le club de la cité

thermale à partir de 15 heures.

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Saison 2014/2015 : n°20 du 09/02/2015

Actuellement dernière au classement de Pro D2, l'US Dax reçoit le Tarbes PR lors de cette 20e journée

de la saison.

Les Dacquois seront privés pour ce match de leur buteur, Yoann Laousse-Azpiazu, touché à une cuisse.

Anthony Coletta est lui aussi forfait suite à sa blessure au genou du week-end dernier, à Colomiers. Alors

qu'une rupture des ligaments croisés était envisagée, les examens médicaux ont montré une lésion moins

grave que prévu. Le troisième ligne souffre d'une distension d'un ligament latéral de l'articulation qui lui

évite un passage sur la table d'opération. Celui-ci sera toutefois indisponible de six à huit semaines.

Le renfort apporté par le "monsieur mêlée" de la sélection du Japon au staff dacquois a poussé celui-ci

à effectuer plusieurs changements au sein de son équipe. Renaud Boyoud cède ainsi sa place à Damian

Arias au poste de pilier droit. La charnière est également modifiée, avec la titularisation d'Ilian Perraux à

l'ouverture et d'Arnaud Pic à la mêlée. L'autre spécialiste du poste, Anthony Salle-Canne, est quant à lui

remplaçant et cède son capitannat à Olivier August. Sur le banc, on note enfin la présence de Marius

Delport, blessé à la jambe depuis son arrivée à l'US Dax, la saison dernière.

Des changements ont été opérés dans l'équipe depuis l'arrivée de Marc Dal Maso. © Photo Loïc Dequier

US Dax : Justes - Ragamate, Ternisien S., Devade, Alcalde - (o) Perraux, (m) Pic - Chollon, August

(cap), Adrillon - Naude, Bert - Arias, Bethery, David. Remplaçants : Maignien, Lafon, Singer, Garcia

G., Salle-Canne, Peyrelongue, Delport, Boyoud.

RCNM : une nouvelle organisation sera proposée à Elsom http://www.lindependant.fr - Le 02 février à 17h52 par Éric Sirach | Mis à jour le 02 février

Rocky Elsom est désormais au centre de toutes les attentions. PHOTO/Philippe Leblanc

Rocky Elsom doit maintenant peser le pour et le contre d’une nouvelle organisation. Elle doit lui être

prochainement soumise.

"Il ne doit pas y avoir un monde de chaque côté, mais un lien entre les deux". Par ces mots, le maire Didier

Mouly a, vendredi soir, demandé à Rocky Elsom de mettre de l’eau dans son vin. En quelque sorte, de vendre

une partie des 95 % des parts de la société à des « Narbonnais qui ont la même vision du club ». Reste à

savoir si le principal actionnaire est prêt à construire l’avenir du club dans ces circonstances, avec « les amis du Racing », comme le rappelle le premier magistrat.

Divergence d’opinion

A la veille du week-end, c’est un message très clair qui a été adressé à Rocky Elsom. S’y attendait-il ? Le

projet qu’il avait prévu pour le club et qu’il a eu l’occasion de présenter, « n’est pas ce que veut la Ville, par rapport à ce que souhaitent les Narbonnais, en grande partie les financiers, qui doivent comprendre ce qu’il se passe dans le club ». Didier Mouly et Bertrand Malquier, son premier adjoint, ont été directs. Et « le message a été reçu », avouait Elsom, devant le bureau de Didier Mouly. Mais que pense véritablement le 3e ligne de

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cette situation ? Malgré quelques sourires de façade à la sortie du conclave, vendredi, il semblerait que le

club soit en train d’aborder un premier virage serré avec son principal financeur, la municipalité.

Un départ de Rocky Elsom n’est donc pas à exclure, bien sûr. Il a été demandé, exigé même, au principal

actionnaire de faire des concessions, notamment dans sa gestion, où les opinions divergent. Le patron doit

s’ouvrir, écouter les “historiques”, leurs desiderata... et communiquer. Sauf qu’Elsom n’est pas contraint

d’abdiquer, c’est-à-dire de vendre les parts de sa société, s’il ne le souhaite pas. Le boss du RCNM a

rencontré hier, en fin de matinée, le président du conseil de surveillance, Louis Madaule.

L’Australien est maintenant dans l’attente de la proposition du maire concernant « l’évolution de l’organisation qui devra convenir à tout le monde ». Le club, premier non relégable avant deux déplacements consécutifs,

est dans une impasse. Et pour s’en sortir, il faudra qu’Australiens, en particulier Rocky Elsom, et Narbonnais,

se mettent autour d’une table pour échanger, et communiquer. C’est peut-être la prochaine étape...

La lutte pour le maintien

Avec sa victoire (31 à 25) contre Massy, samedi soir, le Racing ne s’est peut-être pas rassuré (il s’est en

effet compliqué la tâche toute la seconde période), mais il a remporté les quatre points. Points qui étaient,

c’est le moins que l’on puisse dire, cruciaux, vitaux. Narbonne sort donc de la zone rouge, revient à un point de

Massy, alors que Bourgoin le suit de près (4 points) et Dax, dernier, d’un peu plus loin (6 points). La bonne

affaire de la journée revient donc aux Audois. Car dans cette lutte au maintien engagée entre quatre équipes,

Bourgoin a encaissé une lourde défaite sur la pelouse de Montauban (30 à 0). Les Berjalliens ont, malgré tout,

résisté jusqu’à la 55e minute (9-0) avant de lâcher prise. Les Isérois, qui avaient laissé plusieurs de leurs

cadres au repos, n’ont pas fait de ce déplacement leur principale priorité. Contre Agen, samedi prochain, une

réaction est par contre attendue ! Le lendemain, un autre résultat était scruté de près par les Narbonnais. A

Colomiers, le prochain adversaire du Racing, Dax a cravaché mais s’est incliné 19 à 10. Les joueurs de Bernard

Goutta ont mis une mi-temps avant de prendre la mesure des Dacquois. Ces derniers ont proposé un tout

autre visage dans le dernier quart d’heure. En vain. Les Landais restent lanterne rouge et recevront samedi

Tarbes. Massy enchaînera lui, un deuxième déplacement consécutif. A Pau, cette fois...

Pro D2 : Béziers à Aurillac, le général hiver s’invite sur le pré http://www.midilibre.fr - 06/02/2015 - LAURENT FRANÇOIS

Dans le froid, et de surcroît quand la pluie s’invite, il faut préparer les muscles. PIERRE SALIBA

Béziers se déplace à Aurillac ce dimanche pour le compte de la 20e journée de championnat de Pro D2.

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Les météorologues vous le confirmeront sans hésiter : Aurillac, où se déplace Béziers ce dimanche (15 h), est

l'une des villes les plus froides de l'Hexagone. Y jouer au rugby n'est jamais une synécure quand débarque le

général hiver. Et justement, ce week-end, dans le Cantal, il devrait faire un froid à ne pas mettre un canard

dehors. Alors un rugbyman, pensez donc ! Que ce soit à l'entraînement ou pendant les matches, lors des mois

les plus froids, les joueurs sont d'ailleurs obligés de prendre quelques précautions : "On ne peut pas dire qu'il

y ait vraiment plus de blessés l'hiver, note Jean-Paul Saucerotte, l'un des médecins de l'ASBH. Mais il est

vrai que les risques de blessures, comme les claquages et les élongations, peuvent être accrus. Il faut donc

prendre quelques précautions au niveau de la préparation et de l'échauffement."

Couverture et crème chauffante

Au delà de la possible blessure musculaire, due à un mauvais échauffement, d'autres facteurs de risques,

comme la dureté du terrain notamment, sont à prendre en compte. Avec le froid, le pré peut être dur comme

de la pierre et sur les placages, engendrer de gros hématomes, voire des fractures en cas de mauvaise chute.

Les entraîneurs et le réparateur physique de l'ASBH ont planché sur le sujet : "Afin qu'ils ne se

refroidissent pas trop, les remplaçants seront équipés de couvertures, explique Christophe Hamacek. Il sera

recommandé aux joueurs de mettre un peu plus de crème chauffante sur les muscles et nous leur proposerons

des boissons chaudes à la mi-temps, ou avant de revenir sur le terrain, ils auront un échauffement plus

progressif au niveau individuel."

Un match placé sous le signe du rachat 06/02/15 - 06h00 - Jean-François Nunez

Absent à Agen, Manu Leiataua est de retour pour la réception de Béziers.? - PH. CHRISTIAN STAVEL

Le Stade Aurillacois jongle avec son effectif et des conditions de travail rendues difficiles par la météo pour

recevoir Béziers, dimanche. Une échéance abordée sous le signe du rachat.

Des retours, des incertitudes, des absences : le Stade Aurillacois doit jongler avec les nouvelles concernant

son effectif pour préparer la réception de Béziers, dimanche (15 heures), au stade Jean-Alric.

Un exercice de style rendu encore plus compliqué par les conditions de travail actuelles, l'hiver s'étant bien

installé sur la cité géraldienne.

Points positifs pour ce match abordé sous le signe du rachat par les Cantaliens après leur déconvenue en

terre agenaise, le staff retrouve certains éléments. Laissés au repos ou dispensés du dernier match,

Leiataua, Hézard, Lescure et Kemp reviennent dans le groupe. Préservé en prévision du départ de Sharikadze

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en sélection, le capitaine et premier centre cantalien devrait retrouver les terrains et son brassard de

capitaine. Non rentré en jeu, Boisset est également frais pour ce match.

Des incertitudes

Jérémy Davidson et Thierry Peuchlestrade doivent en revanche faire face aux incertitudes concernant

certains éléments. Cela touche notamment des joueurs de première ligne comme Taukeiaho ou McAllister,

ainsi que Ratu, touché à l'épaule lors de la dernière journée.

Quant aux absents, en plus des blessés longue durée (Fournier, Catanzano, Khatiashvili, Maréchal, Maninoa,

Vialle), il faut donc ajouter Sharikadze retenu avec la Géorgie qui se déplace en Allemagne.

Maïtuku est également indisponible face aux Héraultais. Le troisième ligne aile souffre d'une inflammation du

genou au niveau du ménisque qui nécessite un arrêt de deux semaines.

L'amertume passée mais pas digérée, le Stade Aurillacois se sait attendu sur le terrain de la reconquête sur

des secteurs fondamentaux bousculés dans le Lot-et-Garonne. Face à Béziers, il faut en effet remettre les

choses à leur place.

AURILLAC

Le groupe. Escur, Fabro, Mc Allister (?), Pélissié, Leiataua, Tokotuu, Taukeiaho (?), Séry, Granouillet, Hayes,

Hézard, Datunashvili, Roulin, Roussel, Nouhaillaguet, Lescure, Nanette, Boisset, Adriaanse, Petitjean, Renaud,

Gaston, Valentin, Ratu (?), Kemp, Cassan, Tokula, Aubanell, Mc Phee.

Pro D2 - Carcassonne regarde toujours vers le haut http://www.rugbyrama.fr - Par Julien PUYUELO - Publié le 06/02/2015 à 12:34

En poste depuis un an à Carcassonne, Christian Gajan mesure le chemin parcouru et celui qui reste à

parcourir pour installer le club durablement en Pro D2.

Lorsqu’il est arrivé au chevet de l’USC en janvier 2014, les Canaris étaient derniers et avaient accumulés 12

défaites en 16 matchs. La phase retour aura permis au groupe de redresser la barre jusqu’à éviter une

rétrogradation si longtemps redoutée… Pourtant Christian Gajan n’en tire pas de fierté particulière, lui qui a

seulement eu la volonté d’apporter un peu de sérénité au club car pour le reste les forces en présence étaient

de qualité: un président qui fédère, des joueurs motivés, des entraîneurs impliqués… En quelques mois, le

redressement s’opère si bien que Carcassonne avance désormais avec des convictions. "Le club travaille bien et cherche à se développer: Thierry Savio, ancien préparateur physique du Stade toulousain nous a rejoint, Mathieu Cidre gère le centre de formation et garde un œil sur les jeunes du club. Bref Carcassonne poursuit sa croissance".

Une croissance moins erratique que ces dernières années mais malgré tout insuffisante pour prétendre

accrocher les phases finales en fin de saison ; avec 12 points d’avance sur le premier relégable et douze de

retard sur le dernier qualifiable, l’USC ne semble concerné ni par une relégation ni par une promotion. "Quoi

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qu’il arrive, je regarde vers le haut et j’entends que les joueurs en fassent de même", assure le manager.

"L’année dernière a été très dure et je n’ai pas l’intention de revivre ça. Il n’est pas impératif d’intégrer les 5 premières places mais il faudra finir le plus haut possible. Je suis plutôt confiant, le groupe est très compétiteur".

80% de l’effectif conservé

Carcassonne, qui a grandi très vite, peut-être même trop vite, entend trouver une forme de stabilité. "80% de l’effectif sera conservé pour la saison prochaine", indique Christian Gajan. "Et nous avons réussi à garder nos cadres. Ce qui veut dire que le recrutement sera très ciblé. On veut aussi promouvoir les forces vives du club: quand je vois le parcours de nos jeunes comme Gros, Raynaud ou Bosch qui ont su prendre leur chance cette saison, je trouve que c’est encourageant. On s’intéresse aussi à la génération 95 que nous surveillons de près".

A surveiller également la venue de Montauban, révélation de la saison. "A vrai dire, je ne suis pas surpris de les retrouver-là. L’encadrement technique est extrêmement compétent et l’équipe a beaucoup progressé depuis le début de la saison. Montauban, malgré la descente en Fédérale 1, a su garder des structures fortes", conclut le manager bien conscient que seule la victoire permettrait de rendre la fin de saison plus

pimentée encore…

Julien Seron, le demi de mêlée de Carcassonne - Novembre 2014 - Icon Sport

Jerry Collins à Narbonne ou "Guinness" au pays du Corbières http://www.rugbyrama.fr - Par Julien PUYUELO - Publié le 06/02/2015 à 09:32

Jerry Collins avec Toulon en 2009 - Icon Sport

Narbonne enregistre un renfort de poids avec l’arrivée de Jerry Collins. Insuffisamment préparé, il ne

sera pas aligné ce week end mais pourrait fouler les pelouses dès la fin du mois.

La fameuse coupe de cheveux qui lui avait valu le sobriquet "Guinness" (noirs sur les côtés, blonds au-dessus)

est remisée au musée du rugby. Pour le reste, tout semble intact ! Pas encore réglé mais intact... Avant que

son président et ancien adversaire Rocky Elsom ne calme les ardeurs : "Jerry ne jouera probablement pas ce week end (à Colomiers). Nous voulons lui laisser le temps pour qu’il se prépare au mieux et qu’il puisse faire 80

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Saison 2014/2015 : n°20 du 09/02/2015

minutes. Nous espérons l’aligner pour le derby face à Carcassonne, le 28 février…" Mais avant de le voir en

maillot, une question de pose : comment le Racing, qui se débat dans les profondeurs du classement et qui

traverse une période de remous en interne, a-t-il pu attirer dans ses filets un si gros poisson (du colin en

l’occurrence…) ?

Nous cherchions un joueur de poids et très rapidement il est apparu que c’était un des seuls joueurs

intéressants pour nous, explique tout simplement Elsom. "Je l’ai contacté et très rapidement il a dit 'oui'. J’attends de lui qu’il amène ce qu’il a toujours apporté : agressivité défensive et capacité de franchissement".

Retiré des terrains depuis fin 2013 et œuvrant depuis auprès des ressources humaines d’une compagnie de

sécurité, le All Black aux 48 capes voit dans son retour en France l’opportunité de se montrer sous son

meilleur jour: "Ma première expérience en France (Toulon en 2008-2009) est arrivée à une période pas très agréable de ma vie... J’étais peut-être trop jeune à ce moment-là. Les circonstances sont différentes aujourd’hui". En effet, son passage sur le Rade n’avait pas fait lever les foules et avait surtout fait naître

chez les aficionados une frustration aussi grande que son talent à l’époque.

Pas d’attelage Elsom-Collins…

L’homme se dit volontiers en forme et impatient de retrouver les terrains avec pour seule ambition "de donner tout ce que j’ai et de donner tout ce dont le groupe a besoin". Un beau programme, certes, mais dont

on attend avec impatience de voir les effets sur les pelouses de Pro D2, déjà bien fournies en joueurs qui

n’ont pas sa carte de visite mais qui ont au moins sa rudesse. En revanche, il nous incombe ici et sans plus

tarder de calmer les plus chaudes espérances : si Jerry est à Narbonne, c’est bien en tant que joker médical

de Rocky, ce qui empêche de fait de voir d’ici la fin de saison Collins et Elsom associés en troisième ligne.

Dommage, ça aurait une sacrée gueule !

Pro D2 - Du rififi en coulisses à Narbonne http://www.rugbyrama.fr - Par Julien PUYUELO - Publié le 03/02/2015 à 18:45

Sébastien Rouet (Narbonne) face à Perpignan - Décembre 2014 - Icon Sport

La gestion du RCNM fait débat depuis de longs mois et a précipité la tenue d’une réunion vendredi

entre la mairie, les propriétaires australiens du club et l’Association qui gère la partie amateur. Dans

un souci d’apaisement, Didier Mouly maire de Narbonne, a répondu à nos questions.

Le réveil en sursaut. C’est souvent ce qui arrive quand vous sentez que l’objet de toutes vos attentions vous

file entre les doigts. Mais les Narbonnais, qui savent la tourmente dans laquelle se trouve "leur" Racing, n’ont

plus beaucoup de leviers pour agir. Dans "les Narbonnais", il faut inclure les supporters mais aussi les

partenaires historiques qui "nourrissent" le club mais regrettent de ne rien obtenir en retour. "Il y a un manque évident de communication entre la SASP* dirigé par Rocky Elsom et les partenaires. Et la situation est identique avec l’Association, qui gère notamment le centre de formation". Un climat tendu qui a donc

conduit Didier Mouly à convoquer une réunion dont certains journaux se sont fait échos. Le premier magistrat

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tient d’ailleurs à rétablir quelques vérités. "Certaines interprétations relayées dans la presse sont exagérées : je n’ai jamais affirmé que les Australiens devaient vendre le club", précise l’édile. "Qu’ils gagnent de l’argent avec une société privée, c’est leur droit le plus strict ! Et puis soyons honnêtes, quand les Australiens ont repris et sauvé le club en 2011, tout le monde était content. L’objet de cette réunion c’était tout simplement de réaffirmer ce que la ville attend des propriétaires du Racing".

L'entraîneur de Narbonne Justin Harrison - Icon Sport

Car la ville de Narbonne concourt à hauteur de 25% dans le budget annuel du Racing. Une somme qui

n’autorise aucune ingérence mais qui permet tout de même de donner un avis éclairé… "Je ne m’intéresse pas à l’aspect sportif, je veux simplement que les Narbonnais soient plus impliqués. J’ai demandé à Rocky Elsom d’ouvrir la capital du club à hauteur de 30% pour les partenaires et à hauteur de 5% pour les Socios". L’autre

point d’achoppement se situe autour du centre de formation: il est actuellement géré par l’Association mais la

SASP fait le forcing pour le prendre sous sa coupe et récupérer les subventions qui vont avec. Impensable

répond l’Association pour qui la gestion du Centre de formation reste essentielle: garder les commandes

signifie offrir la possibilité aux jeunes du cru, formés par les éducateurs maison d’intégrer le centre et de

rêver à l’équipe 1. Si l’Association perdait la main, tout le système de promotion interne s’en trouverait

menacé.

Apaiser les tensions

Rocky Elsom et l’actionnaire majoritaire qu’il représente sont donc officiellement informés… "J’attends de lui une réponse sous huitaine", insiste Didier Mouly. "Et j’attends surtout que les propriétaires, les membres du Conseil de surveillance et de l’Association puissent se rencontrer". Sinon ? "Dans un premier temps je cherche à apaiser les tensions et en fin de saison nous prendrons les décisions qui s’imposent". Ainsi le maire

et l’association disposent dans leur arsenal de propositions que l’actionnaire principal ne pourra pas refuser…

Il y a bien sûr l’argument financier mais pas seulement. Rappelons-nous simplement que c’est l’association et

non la SASP qui détient le numéro de licence indispensable à l’engagement d’un club dans un championnat… Et

sans ce sésame, point de championnat.

Sébastien Rouet (Narbonne) face à Perpignan - Décembre 2014 - Icon Sport

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J20 Pro D2 - Relégable, Bourgoin n’a plus vraiment de joker http://www.rugbyrama.fr - Par Laurent GENIN - Publié le 05/02/2015 à 15:47

Pour ne pas s’enfoncer dans la zone de relégation, ne parvenant pas à ramener le moindre point de

l’extérieur depuis septembre, Bourgoin n’a plus tellement le droit à l’erreur à domicile. Samedi le CSBJ

reçoit Agen, deuxième, l’équipe en forme de Pro D2.

A Bourgoin cette semaine, il y a comme un petit air de déjà-vu au niveau sportif. Comme il y a deux semaines

avant de recevoir Mont-de-Marsan (victoire 21-16), le CSBJ s’est incliné à l’extérieur le week-end précédent,

à Tarbes avant la venue des Landais, et à Montauban samedi dernier avant la réception d’Agen ce week-end.

Autre similarité qui fait mal : que ce soit dans les Hautes-Pyrénées ou dans le Tarn-et-Garonne, le club nord-

isérois a terminé la rencontre "fanny" (0-9 à Tarbes, 0-30 à Montauban). Une bien mauvaise habitude puisque

cela fait déjà quatre fois cette saison que cela arrive. Plus généralement, depuis le 20 décembre et un point

de bonus décroché à Massy, il est rentré bredouille de tous ses déplacements, malgré parfois de bonnes

performances comme en ce début d’année à Albi (défaite 16-9, Ndlr), alors deuxième.

Une nouvelle fois, le CSBJ, redevenu relégable le week-end dernier, se retrouve donc dos au mur avant un

match à Rajon. "On risque d’être jusqu’à la fin de la saison dans cette situation-là, à laquelle on n’est pas forcément habitués", explique l’arrière Maël Moinot. "Il va falloir faire avec. Chaque match à domicile sera décisif dans cette course au maintien". Malgré tout, il y a au moins deux différences pour les Berjalliens

cette semaine. Tout d’abord, les conditions climatiques qui perturbent leur préparation, avec la neige et le

gel. "Mardi, on est quand même parvenus à s’entraîner sur l’annexe. Le matin, le terrain était gelé. L’après-midi, il était très boueux. Il y a mieux pour se préparer pour le match décisif de samedi contre Agen mais on ne va pas se réfugier derrière ça. Il faut qu’on gagne absolument pour garder la tête hors de l’eau". Le

terrain de Rajon, lui, a été bâché.

Maël Moinot - match Bourgoin Albi - 23 août 2014 - Icon Sport

Moinot: "On a laissé bien assez de points en route à domicile"

Deuxième différence, c’est la dynamique de l’adversaire. Agen, nouveau dauphin de Pau, est sur une série de

cinq victoires, avec 24 points pris sur 25 possibles, avant de se rendre à Rajon. Quand les Montois se sont

déplacés en Isère, ils restaient sur deux défaites dont une à domicile contre… Agen. Bien conscient de la

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Saison 2014/2015 : n°20 du 09/02/2015

spirale positive des Agenais, Moinot donne une raison particulière, si besoin est, de leur volonté de l’emporter

à Bourgoin. "Je pense qu’ils vont nous attendre de pied ferme étant donné qu’on a gagné chez eux en début de saison (36-33 lors de la 2e journée le 30 août, Ndlr). Un match un peu fou-fou au niveau du scénario et du dénouement, victorieux pour nous. En plus, cela ne joue pas la semaine prochaine. Ils ne vont pas venir en balade à Bourgoin".

Sans parler de match couperet, l’arrière berjallien estime qu’"on a laissé bien assez de points en route sur les matches à domicile (quatre défaites et un nul cette saison, Ndlr) pour se permettre encore une fois de laisser passer notre chance". Sachant qu’après Agen et la trêve d’une semaine, il recevra un autre "gros" du

Pro D2, Perpignan, le CSBJ aborde un moment charnière de sa saison. A lui de bien le négocier.

Pro D2 - Biarritz est touché dans son orgueil http://www.rugbyrama.fr - Par Denis GIBERT - Publié le 05/02/2015 à 15:06

Sévèrement battus chez eux par les Palois dimanche dernier (0-20), les Biarrots comptent bien faire

parler leur fierté pour retrouver leur place de dauphin.

Voilà quelques jours, le Biarritz olympique a pris une leçon sur son terrain face à la Section paloise. Une fanny

0-20 qui oblige les Basques à vite réagir. C’est dur à avaler, avoue Pierre Chadebech. Il me semble que les

garçons ont eu une réaction positive cette semaine. Mais la réponse à tout ça sera donnée ce week-end.

Comme beaucoup finalement, le technicien biarrot attend de voir si dimanche sur le terrain de Perpignan, le

BOPB se sera remis de cette défaite à domicile contre Pau.

Chadebech: "Pau a une ossature de club qui travaille depuis des années"

Pierre Chadebech de continuer: "C’est toujours difficile de perdre à la maison, surtout sur un match qui avait un enjeu important. Notre état d’esprit est désormais de dire : sur quels facteurs doit-on travailler pour être capable de gagner ce genre de match ? On a vu qu’on était présent au niveau dans l’engagement physique et en défense. On a eu une défaillance en conquête, en touche sur tout le match et en mêlée sur la fin. Là-dessus, on doit gagner en constance. Sur les moments de dominations, on doit être plus juste. Derrière, on doit mieux exploiter les ballons quand il y a des déséquilibres, parce que dans ce genre de match les occasions ne reviennent pas vite. On est resté sur cette analyse. On n’est pas très loin du niveau que l’on veut atteindre, mais il nous reste encore cette marche à franchir".

Ce week-end, la capacité des Biarrots à apprendre vite sera testée sur le terrain de Perpignan ou se jouera

un match "du niveau de Pau " de l’avis de l’entraîneur biarrot. "On joue sur le haut de tableau, donc les matchs sont de très bon niveau et il faut être prêt bien sûr dans l’engagement physique mais aussi dans la justesse et la qualité du jeu" , insiste-t-il. Contre Pau, le Biarritz olympique, dont la nouvelle histoire a démarré voilà

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quelques mois à peine, a sans doute mesuré également la distance qui le sépare d’un club désormais prêt à

faire le grand saut vers le Top 14. "Pau a une ossature de club qui travaille depuis des années et s’est enrichi au fil des saisons. C’est certainement un facteur qui entre en compte", concède Pierre Chadebech. "Nous sommes quand même assez contents de notre côté de la progression du groupe depuis le début de l’année. Mais on doit encore augmenter les compétences de ce groupe".

August - O'Sullivan - Chadebech: le staff de Biarritz - Icon Sport

Chadebech: "On ne veut pas avoir le statut de la victime"

Pour ce dernier, la contre-performance de samedi dernier n’a pas remis en cause l’objectif principal : "On est sur un objectif de remonter sur une ou deux saisons. On voulait gagner le plus de match possible et voir si on était en capacité de lutter pour la première place. A priori, ça va devenir difficile donc on va continuer à lutter pour les places qui suivent. Cette défaite contre Pau n’a pas changé fondamentalement la réorientation des objectifs. Maintenant, il nous faut être le mieux placé possible pour pouvoir jouer la montée, ce qui l’objectif de départ".

Au-delà des questions de technique ou de stratégie, les Biarrots sont touchés dans leur orgueil. Le levier sera

actionné au moment de la motivation d’avant match à Aimé-Giral. "Il y a toujours une histoire d’orgueil et j’espère que les joueurs en ont", sourit Pierre Chadebech. "Il ne faut pas être excessif sur ce point mais il faut avoir de la fierté. C’est quelque chose d’important. Oui, il faut réagir pour retrouver un statut qui nous va mieux. On ne veut pas avoir le statut de la victime, ça ne nous intéresse pas. On veut gagner".

Section Paloise : le centre des All Blacks Conrad Smith signe

pour deux saisons http://www.sudouest.fr - Publié le 05/02/2015 à 17h28 par Denys-Kappès Grangé avec AFP

Le centre le plus capé de l'histoire des All Blacks arrivera après le Mondial

Conrad Smith ici avec les All Blacks face à l'Australie en 2013 © Photo AFP Marty Melville

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Le All Black Conrad Smith, considéré comme l'un des meilleurs centres du monde, rejoindra Pau, actuel leader

de la Pro D2, pour deux saisons après la Coupe du monde de rugby 2015 (18 septembre-31 octobre en

Angleterre), a annoncé jeudi la Fédération néo-zélandaise.

"J'ai adoré jouer au rugby en Nouvelle-Zélande et j'ai hâte de disputer ce qui sera ma dernière saison ici,

mais je sens que c'est le bon moment pour moi de partir et d'essayer quelque chose de différent. Jouer en

France me permettra d'être plus présent comme mari et comme père, ce qui a été ma principale motivation",

a déclaré Smith, âgé de 33 ans, sur le site des All Blacks.

Smith est le centre le plus capé de l'histoire des All Blacks (85 séléctions), avec qui il a été champion du

monde en 2011.

"Personne ne pensait qu'il partirait un jour de Nouvelle-Zélande"

Le capitaine des Hurricanes retrouvera dans le Béarn son compatriote Simon Mannix, manager de la Section

qui est bien partie pour retrouver le Top 14 la saison prochaine avec actuellement 14 points d'avance sur

son dauphin, Agen.

Comment le manager de la Section a-t-il séduit sa recrue ? "Il y a un peu de hasard. Personne ne pensait qu'il

partirait un jour de Nouvelle-Zélande. (... ) Sur les 10 dernières années, c'est l'un des quatre meilleurs

joueurs des All Blacks". Le club béarnais a-t-il du casser la tirelire pour l'attirer ? "Non. Ce n'est pas cher

pour un tel joueur. En tant cas, il y a des joueurs qui sont bien moins valorisants et qui le sont beaucoup plus.

(...) Il va tirer les autres joueurs vers le haut."

Pau, qui a donc frappé un gros coup sur le marché des mutations, avait déjà annoncé vendredi avoir recruté

pour la saison prochaine le troisième ligne irlandais Sean Dougall, en provenance du Munster où Mannix

officiait la saison dernière. L'entraineur avait alors démenti l'arrivée de Smith.

Conrad Smith est le troisième international néo-zélandais à rejoindre le Top 14 à l'issue de la Coupe du

monde, après la vedette Dan Carter, qui s'est engagé pour trois saisons avec le Racing-Métro, et le centre

Ma'a Nonu (deux saisons à Toulon).

Conrad Smith avec le futur Toulonnais Ma'a Nonu, après la victoire de la Nouvelle -Zélande dans le

Four Nations 2013© Photo AFP STR