Mars 2015 - Agriculturedraaf.occitanie.agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/memo...d’Eurostat par les...
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AAAALLLLIIIIMMMMEEEENNNNTTTTAAAATTTTIIIIOOOONNNN
Mémento
charcuterieviande
féculentlégumedépenses des ménages
fromage
Mars 2015
Édition 2015
Sources - méthodologie
Agreste ALIMENTATION - Mémento 20152
L’essentiel sur Pages
Les dépenses en alimentation ....................................................................................................... 3 - 8
Les quantités consommées .......................................................................................................... 9 - 21
Le temps pour s’alimenter et cuisiner ............................................................................................... 22
Les pertes et gaspillages alimentaires ............................................................................................ 23
La sécurité sanitaire des aliments ..................................................................................................... 23
L’enquête budget des ménages a lieu tous les 5 ans dans les pays de l’Union européenne. EnFrance, elle est réalisée par l’Insee. Les résultats publiés correspondent aux dépenses supportéesdirectement ou restant à charge par les ménages résidant en France métropolitaine ou dans lesdépartements d’outre-mer. Le budget s’entend après retrait des impôts et taxes sur le logement,des remboursements de prêts, des gros travaux pour le logement, des prélèvements par l’employeur.Les comptes nationaux utilisent les résultats de l’enquête budget des ménages et ajoutent desconcepts propres aux comptes (exemple : loyer imputé, solde territorial, Sifim, autoconsommation,France entière…). Eurostat, office statistique des communautés européennes, diffuse ces résultatsaprès retraitement en vue d’harmoniser les différents concepts et de rendre les données compa-rables entre pays. En particulier, pour la France, la diversité des traitements conduit au total à unebaisse relative des dépenses d’alimentation par rapport aux résultats du « traitement enquête brute »de l’Insee.
Le calcul de la consommation alimentaire par habitant est une consommation apparente quiconsidère que tout est consommé dans l’année. Elle peut être mesurée de deux façons différentes.Première méthode : le bilan d’approvisionnement d’un produit agricole exprime l’équilibre entre lesressources (stocks de début, production utilisable, importations) et les emplois. Les emplois sontdistribués en exportations, stocks finals et utilisations intérieures, elles-mêmes ventilées en diffé-rents postes dont la consommation humaine. Hormis pour la pomme de terre et les céréales, laconsommation humaine est calculée comme solde du bilan. Lorsque les données statistiques concer-nent le produit dans un état transformé, on applique un coefficient de conversion afin d’aboutir à unpoids équivalent au produit frais (ex : poudre de lait/lait liquide, farine/blé tendre, concentré detomate/tomate fraîche, jus d’orange/orange…). Les concepts ont été à l’origine élaborés au seind’Eurostat par les États membres de l’UE. Seul le bilan d’approvisionnement du vin est désormaisdisponible pour l’ensemble des pays de l’UE.Deuxième méthode : la consommation de produits transformés s’obtient à partir des tonnages deproduits commercialisés de l’industrie agroalimentaire et en prenant en compte les importations etles exportations (sources : Prodcom, Eurostat, Douanes). Le tonnage retenu est celui du produittransformé (ex : une tonne de flocon de pomme de terre, une tonne de pizzas…). Les séries ciblentdes produits transformés à destination des consommateurs (ex : lait liquide dans un contenant infé-rieur ou égal à 2 litres). Les sources rendent possible des comparaisons européennes. Le respectdu secret statistique et la correspondance imparfaite des nomenclatures de l’enquête productioncommercialisée (Procom) et des Douanes limitent la diffusion des données. Les résultats des 10 paysles plus peuplés de l’UE sont présentés dans la mesure du possible.
Remarque : le calcul de la consommation de produits avec un signe de qualité (AOP, IGP, LR, AB)est impossible, sauf pour le vin, en raison de l’absence de données statistiques douanières. Uneapproche en terme de surface, cheptel, fabrications est proposée.
Les dépenses en alimentation
3Agreste ALIMENTATION - Mémento 2015
0
20
40
60
80
100%
Autres
Services derestaurationProduitsagroalimentaires
Produits agricoles
201310052000959085807570651960
La part de revenu consacrée aux dépensesen produits agricoles, agroalimentaires etservices de restauration ne diminue plus en France
Lecture : la part de revenu des ménages consacrée aux dépenses de produits agricoles et agro-alimentaires y compris les boissons pour son alimentation est de 18 % en 2013, elle était de 31 % en 1960.
75
125
175
225
275
325
350 Loisirs et culture
Transports
Logement
Servicesde restauration
Boissonsalcoolisées
Boissonsnon alcoolisées
Produitsalimentaires
Ensemble
2013100520009590851980
Indice de volume base 100 en 1980
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Autres
Services derestaurationProduitsagroalimentaires
Produits agricoles
201310052000959085807570651960
Hausse modérée des dépenses de produits alimentairessur longue période
Note : les fonctions de consommation illustrées représentent plus des 2/3 de la consommation finaledes ménages.
Source : Insee - Comptes nationaux - base 2010.
Les dépenses en alimentation
Agreste ALIMENTATION - Mémento 201544
La part de budget en produits alimentaires et boissons non alcoo-lisées est stable dans l’UE à 15 depuis le début des années 2000
% Pays dont la part est en hausse ou est stableentre 2005 et 2011
10
12
14
16
18
20
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24
Irlande
FinlandeDanemark
SuèdeGrèce
Italie
France
Allemagne
UE à 15
2011200519991994
Pays dont la part est en baisseentre 2005 et 2011
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24
Autriche
Portugal
BelgiquePays-Bas
Espagne
UE à 15
2011200519991994
%
– 0,3 – 0,1 0,1 0,3 0,5 0,7 0,9
UE à 15UE à 28
ViandePoisson et fruits de merLait, fromages et œufs
FruitsLégumes y c. pomme de terre
Pain, prod. de boulang., féculentHuiles et graisses
Sucre, confitures, confiserie
pourcentageÉcart de la France avec :
En 2011, la part du budget consacrée aux produits alimentaires estsupérieure en France à celle de l’UE, sauf pour les huiles et graisses
Source : Eurostat - Enquêtes budget des ménages, traitement Eurostat.
Les dépenses en alimentation
5Agreste ALIMENTATION - Mémento 2015 5
0 5 10 15 20 25 30 35 40
UE à 28
UE à 15
LuxembourgPays-Bas
SuèdeAllemagneDanemark
FinlandeSlovénieAutricheBelgique
ChypreIrlande
PologneFrance
ItalieEspagnePortugalGrèce
EstonieSlovaquie
CroatieMalte
LettonieRoumanie
BulgarieLituanie
pourcentage
Cantines
Restaurants, cafés
Boissons avec alcool
Boissons sans alcool
Produits alimentaires
Part de budget consacrée à l’alimentationpar les ménages des pays de l’UE en 2011
Slovaquie, Lituanie, Lettonie, France : plus de cantine
Note : les résultats du Royaume-Uni, de la République tchèque et de la Hongrie ne sont pas disponiblescar non comparables.
Source : Eurostat - Enquêtes budget des ménages 2011, traitement Eurostat.
Les dépenses en alimentation
Agreste ALIMENTATION - Mémento 20156
0 200 400 600 800 1 000 1 200
CantinesAutre restauration
Boissons non alcooliséesBoissons alcoolisées
Huiles et graissesFruits
Sucre, confiture, confiserieAutres aliments*
Poissons et fruits de merLégumes y c. pommes de terre
Lait, fromages et œufsPain, prod. de boulang., féculent
Viande
dépense moyenne d’un ménage en euro
En moyenne, en France métropolitaine, un ménage dépense6 200 euros pour l’alimentation en 2011…
* Condiments, produits pour desserts et patisserie, soupes, aliments bébé, produits diététique et pro-duits non définis ailleurs.
Lecture : en 2011, le budget consacré à l’achat de produits alimentaires des 10 % des ménages ayantle niveau de vie le plus modeste est de 16,3 %. Pour les 10 % des ménages au niveau de vie le plusélevé cette proportion est de 12,5 %.
Champ : ménages résidant en France métropolitaine.Source : Insee - Enquête budget de famille, traitement enquête brute.
10 % des ménagesau niveau de vie
Ensemble des ménages le plus le plusen % modeste aisé
2001 2005 2011 2011
Total alimentation 24,0 21,7 23,3 24,2 22,4Produits alimentaires 15,6 14,4 15,2 16,3 12,5Boissons sans alcool 1,2 1,1 1,3 1,5 0,9Boissons avec alcool 1,7 1,4 1,4 1,2 1,6Restauration en cantine 2,0 1,8 1,3 1,6 1,1Restauration autres lieux 3,5 3,1 4,2 3,7 6,2Hors alimentation 76,0 78,3 76,7 75,8 77,6Dont Logement 16,5 16,2 15,7 20,6 11,8
Transports 16,1 15,7 17,4 13,7 18,3Loisirs et culture 8,5 9,0 9,6 7,7 12,6
Total consommation 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
… soit 23 % de son budget
Les dépenses en alimentation
7Agreste ALIMENTATION - Mémento 2015
Viande Poissons et fruits de mer Lait, fromages et œufs
Fruits Légumes y c. pommes de terre Pain, prod. de boulang., féculent
Sucre, confiture, confiserie Huiles et graisses Autres aliments
Ensemble des ménagesde la métropole
Ensemble des ménagesdes Dom
10 % des ménages au niveau de viele plus modeste de la métropole
10 % des ménages au niveau de viele plus aisé de la métropole
8 % 2 %7 %
19 %
10 %7 %
15 %
8 %
25 %
7 % 3 %6 %
21 %
12 %6 %12 %
10 %
24 %
9 % 2 %6 %
17 %
11 %8 %
14 %
10 %
24 %8 %2 %
6 %
22 %
10 %6 %15 %
6 %
24 %
Répartition du budget consacré aux produits alimentaires en 2011
Environ 25 % du budget alimentaire pour la viande pour tousles niveaux de vie mais de fortes disparités pour les féculents
Note : les surfaces des 4 pastilles sont proportionnelles aux niveaux moyens de dépenses en produitsalimentaires des 10 % des ménages au niveau de vie le plus modeste, le plus aisé et de l’ensembleFrance métropolitaine, ainsi que de l’ensemble des ménages des départements d’outre-mer (Dom).
Source : Insee - Enquête budget de famille 2011 - traitement enquête brute.
% %
Total alimentation 25,0 Hors alimentation 75,0Produits alimentaires 16,8 Dont Logement 13,7Boissons sans alcool 1,9 Transports 18,7Boissons avec alcool 1,4 Loisirs et culture 7,8Restauration en cantine 1,1Restauration autres lieux 3,8 Total consommation 100,0
En moyenne, un ménage résidant dans les Dom consacre 25 %de son budget à l’alimentation en 2011
Les dépenses en alimentation
Agreste ALIMENTATION - Mémento 20158
05
1015202530
201120052001
Tout âgeconfondu
75 ans et plus
65 à74 ans
55 à64 ans
45 à54 ans
35 à44 ans
25 à34 ans
Moins de25 ans
%
La part de budget consacrée à l’alimentation est supérieureen 2011 à celle de 2005 pour toutes les classes d’âge
Moins de 25 ans : moins de budget consacré à l’alimentationà domicile…
… et notamment à la viande en 2011
02468
101214161820
Tout âge confondu
75 ans et plusDe 45 à 54 ans
Moins de 25 ans
Total restaurationTotal boissonsProduits alimentaires
%
0 1 2 3 4 5 6
Tout âge confondu
75 ans et plus
De 45 à 54 ansMoins de 25 ans
Huiles et graisses
Fruits
Sucre, confiture, confiserie
Autres aliments
Poissons et fruits de mer
Légumes y c. pommes de terre
Lait, fromages et œufs
Pain, prod. de boulang., féculent
Viande
pourcentage
Champ : ménages résidant en France métropolitaine.Source : Insee - Enquête budget de famille - traitement enquête brute.
La consommation de légumes
9Agreste ALIMENTATION - Mémento 2015
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2012/1310/1105/062000/011995/96
kg/habitant - France
campagne
Transformée*
Fraîche
Tomate : stabilité en frais, le transformé retrouve le niveaud’avant 2000
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1
2
3
4
2012/1310/1105/062000/011995/96
kg/habitant - France
campagne
Transformé*
Frais
Chou-fleur et brocolis : autour de 4 kg par an par personne
Les légumes avec le label agriculture biologique (AB) :En 2013, la surface en légume frais (y compris pomme de terre) AB est de 16 000 hectares soit 4,2 %de la surface totale en légume frais.Les surfaces de culture de pommes de terre AB occupent 10 % de la surface totale de légume frais AB(source : Agence Bio).
* Légumes transformés (calculés en équivalent produit frais) : congelés, concentrés, pelés, jus.Source : Agreste - Bilan d’approvisionnement.
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201220041997
kg/habitant - France
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Roumanie
Pays-Bas
Grèce
Pologne
Italie
Royaume-Uni
Allemagne
UE à 27
Espagne
France
kg/habitant - 2012
Légumes surgelés en France : en progression et en tête de l’UE
Champ : ensemble des légumes surgelés et congelés.Sources : Agreste - Prodcom, Eurostat, Douanes.
La consommation de fruits
Agreste ALIMENTATION - Mémento 201510
Les fruits avec le label agriculture biologique (AB) :En 2013, la surface des fruits AB est de 26,3 milliers d’hectares, soit 14 % de la surface totale enverger. Elle est couverte pour 31 % par des fruits à coque (noix, châtaigne…), 27 % de fruits desti-nés à la transformation (olive, pomme à cidre) et 42 % par les fruits frais (source : Agence Bio).
L’orange, c’est d’abord en jus
La consommation d’orange en frais eten transformé est de 31 kg par habi-tant pour l’UE et de 43 kg par habitantpour la France en moyenne annuellesur 2007-2012 (source : Agreste).
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50Orange transformée*
Orange en frais
12/1310/1105/062000/011995/96
kg/habitant - France
La pomme transformée rejoint la pomme fraîche
Note : les fruits transformés (jus, compote, conserve au sirop, autres) sont calculés en équivalent pro-duit frais.
Source : Agreste - Bilan d’approvisionnement.
La consommation de pomme en fraiset en transformé est de 23 kg par habi-tant pour l’UE et de 22 kg par habitantpour la France en moyenne annuellesur 2007-2012 (source : Agreste).
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12/1310/1105/062000/011995/96
kg/habitant - France
Transformée*Fraîche
La consommation de fruits
11Agreste ALIMENTATION - Mémento 2015
En frais, en moyenne annuelle sur 2009-2013, la consommationest de 5,2 kg pour la pêche, 3,4 kg pour la poire…
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12/1310/1105/062000/011995/96
kg/habitant
Transformée Frais
Pêche
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kg/habitant Poire
… 2,6 kg pour le raisin et 8,5 kg pour la banane
Note : les fruits transformés (jus, compote, conserve au sirop, autres) sont calculés en équivalent pro-duit frais.
Champ : France.Source : Agreste - Bilan d’approvisionnement.
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kg/habitant
SecFrais
Raisin
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201310052000
kg/habitant Banane
La consommation de féculents
Agreste ALIMENTATION - Mémento 201512
12131415161718
2012/1310/1105/062000/011996/97
kg/habitant - France
La quantité de blé dur utilisée pour la consommationde pâte alimentaire et de semoule reste stable
Source : Agreste - Bilan d’approvisionnement.
La consommation en pâte alimentaire et en semoulepour couscous se stabilise en France
Sources : Agreste - Prodcom, Eurostat, Douanes.
80
85
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100
2012/1310/1105/062000/011996/97
kg/habitant - France
Blé tendre : 92 kg consommé essentiellement sous formede farine et glucose en 2012
Source : Agreste - Bilan d’approvisionnement.
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Semoule pour couscousPâtes alimentaires
2012100520001997
kg/habitant - France
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30
Roumanie
Pologne
Espagne
Allemagne
France
UE à 27
Grèce
Italie
kg/habitant - 2012Pâtes alimentaires
En 2012, 63 % de la farine produite en France est à destination de la boulangerie-pâtisserieartisanale. La farine bio en représente 1,5 % contre 1,2 % en boulangerie-pâtisserie industrielle(sources : FranceAgriMer, Agence Bio).Le Français est d’abord un consommateur de pain issu de la boulangerie artisanale mais sa consom-mation de pain industriel progresse de 5 kg par habitant en 15 ans. Elle est de 18 kg en 2012 et restetrès inférieure à celle des autres pays européens : 39 kg pour l’UE à 27 et 58 kg pour l’Allemagne,pays qui en consomme le plus (sources : Agreste - Prodcom, Eurostat, Douanes).
La consommation de féculents
13Agreste ALIMENTATION - Mémento 2015
kg/habitant - France Transformée* hors féculerie
05
1015202530
Fraîche
12/1310/1105/062000/011996/97
20 kg de pomme de terre fraîche dans les assiettesen 2012/2013 en France
* Le poids est en équivalent pomme de terre fraîche.Source : Agreste - Bilan d’approvisionnement.
* Le poids est celui du produit commercialisé : préparé, congelé, en flocon.Sources : Agreste - Prodcom, Eurostat, Douanes.
kg/habitant
10,010,511,011,512,012,513,013,5
France
UE à 27
201220072003
Pomme de terre* retravaillée par l’industrie :la France proche de l’UE à 27
0
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8
Légume sec*
Riz
12/1310/1105/062000/011996/97
kg/habitant - France
0
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15
20
25
30Coquillages, crustacés et cephalopodes
Poisson
201220112010200920082007200620052004200320022001200019991998
Riz, légumes secs : entre 2 et 5 kg en 2012/2013
* Y compris lentilles et haricots secs.Source : Agreste - Bilan d’approvisionnement.
Les légumes secs avec le label agriculture biologique (AB) :En 2013, la surface en légume sec AB est de 5 400 hectares soit 23 % de la surface totale en légumesec. Les surfaces de culture de lentilles AB occupent 72 % de la surface totale de légumes secs AB,celles de pois chiche 16 % (Source : Agence Bio).
La consommation de viande
Agreste ALIMENTATION - Mémento 201514
Volaille
Porcin
Bovin
kg-équivalent-carcasse*/habitant
Autres viandes**
Ovin
20122010200520001995
048
1216202428323640
90 kg de viande par habitant en France en 2012,soit 10 kg de moins qu’en 2000
* L’unité équivalent-carcasse est commune, moyennant des coefficients de conversion, à toutes lesreprésentations : carcasses, morceaux désossés ou non, viandes séchées.** Autres viandes : équidé, lapin, gibier… Rupture de série en 2008 due au changement dans la priseen compte des abattages.
Source : Agreste - Bilan d’approvisionnement.
Effectif de gros animaux en agriculture biologique
2013
% demillier de têtes %
l’ensemble
Vaches allaitantesBrebis viandeTruies reproductrices
Animaux élevés en France avec un signe de qualité
Source : Agence Bio.
111 2,7 8,6140 3,8 7,6
8 0,7 9,8
Tonnage de poulets et coquelets abattus
2012
% demillier de tonnes %
l’ensemble
Label RougeAOC - AOPAgriculture Biologique (AB)
Source : Agreste - Enquête auprès des abattoirs de volailles et de lapins.
149 15,0 1,91 0,1 2,6
10 1,0 14,5
Évolutionmoyenne annuelleentre 2006 et 2013
Évolutionmoyenne annuelleentre 2006 et 2012
La consommation de viande
15Agreste ALIMENTATION - Mémento 2015
Une relative stabilité de la consommation de charcuterie etde conserves de viande en France
2008 2009 2010 2011 2012kg par habitant
20,4 20,2 19,8 19,8 20,5
051015202530
Ovin
Porcin
Bovin
2012100520001997
Part (%) des viandes en surgelé - France
Le surgelé marque le pas pour les viandes
020406080
2012100520001997
Part (%) de poulet en découpé - France
Le poulet déjà découpé en progression continue
012345678
Espagne
Pologne
Pays-Bas
UE à 27
AllemagneFrance
Italie
Belgique
Royaume-Uni
kg/habitant - 2012
La France dans la moyenne de l’UE pour la consommationde pâtes alimentaires farcies* en 2012
* Lasagnes, raviolis, autres préparations de pâtes (salades…). Les pizzas, quiches, nems, crêpesgarnies… ne sont pas comptés. En France, leur consommation s’élève à 3,2 kg par personne en 2012.Ces aliments comportent en général très peu de viande.
Sources : Agreste - Prodcom, Eurostat, Douanes.
La consommation de poisson
Agreste ALIMENTATION - Mémento 201516
05
1015202530
Coquillages, crustacés et céphalopodes
Poissons
20122010200820062004200220001998
kg poids vif/habitant - France
Poisson : entre 23 et 25 kg (poids vif) consommé par andepuis 10 ans
Maq
uere
au
Haren
g
Mer
lu
Sardin
e
Lieu
noir
Lieu
de l’A
laska
Creve
ttes
Cabilla
ud, m
orue
Saum
on
Thon
01234
kg poids vif/habitant - FranceLes 10 premières espèces consommées en 2012
Thon et saumon sont les principales espèces consommées
Note : le poids vif comprend coquilles, arêtes, têtes… Les données sont estimées pour 2011 et 2012.Source : FranceAgriMer - Bilan d’approvisionnement.
%
0
20
40
60
80
100
Conserve Surgelé Traiteur réfrigéré Frais
201220112005 2007 2009
Dépenses des ménages en produits aquatiques en 2012 :un tiers pour le frais, un tiers en produits traiteurs réfrigérés
Champ : France.Source : FranceAgriMer, d’après Kantar Worldpanel.
La consommation de produits laitiers
17Agreste ALIMENTATION - Mémento 2015
Les produits frais marquent le pas en France
* Lait de consommation y compris consommé à la ferme, yaourt nature.** Produits frais : yaourts aromatisés, crème fraîche, desserts lactés frais et fromage frais.
Source : Agreste - Bilan d’approvisionnement.
La consommation de lait liquidenature conditionné dans un conte-nant inférieur ou égal à 2 litres estde 55 kg par habitant en France etde 50 kg par habitant de l’UE à 27en 2012. (Sources : Agreste - Prod-com, Eurostat, Douanes).0
20
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Fromage
Produits frais**
Lait et yaourt*
12100520009590851980
kg/habitant
Les œufs moins consommés en France depuis le débutdes années 2000
* Actualisation méthodologique. Source : Agreste - Bilan d’approvisionnement.
Les œufs issus d’élevages en inten-sif alternatif [bio, plein air (LabelRouge, autres…), au sol] représen-tent 25 % de la production françaisetotale des œufs de consommation,ceux avec le signe de qualité LabelRouge 2,5 % en 2012 (Sources :Agreste, Inao, Synalaaf).
200
220
240
260
280
121005*20009590851980
œufs/habitant
2012 Évolution moyenneannuelle 2000-2012
tonne % du produit %
Laits liquides conditionnés biologiques1 191 658 5,4 9,7CrèmeBiologique conditionnée 2 320 0,6 9,6AOC2 5 857 1,5 3,4Yaourts et laits fermentés biologiques 46 223 2,7 15,0Desserts lactés frais biologiques 4 857 0,7 8,4Fromages de vache et de brebis3
Vache biologique 14 418 0,8 10,4Brebis biologique 1 464 2,5 12,4Pâtes pressées non cuites AOC2 56 823 23,0 0,4Pâtes pressées cuites AOC2 61 268 18,7 1,8Pâtes persillées AOC2 29 380 52,2 0,5Pâtes molles AOC2 36 548 8,4 – 1,3Fromages de chèvre3
Biologique 698 0,7 29,6AOC2 6 275 6,1 1,3Autres fromages AOC2 (frais, blanc, fondu) 411 – –
Fabrications françaises de produits laitiers sous le signe de qualité
1. En 1 000 litres. 2. AOC, IGP et Label Rouge (depuis 2007). 3. Non fondu.Sources : Agreste - Enquête Annuelle Laitière (AB), Inao (AOC, IGP, LR).
La consommation de matières grasses
Agreste ALIMENTATION - Mémento 201518
0
5
10
15
20
Margarine et autres graisses végétales préparées
Huile végétale
Beurre
201210052001
kg/habitant
On consomme moins de beurre et d’huile végétale en 2012qu’en 2001 en France
%
01010203030405050607070809090100
Autres
Soja
Palme
Maïs
Olive
Tournesol
Colza
201210052001
Consommation française d’huile :surtout du tournesol et du colza
Note : en 2010, le bilan huile a été révisé suite à l’amélioration de l’information sur les destinations deshuiles, induisant une baisse de la consommation humaine.
Source : Agreste - Bilan d’approvisionnement.
Source : Agreste - Bilan d’approvisionnement.
Évolution moyenne2012
annuelle 2000-2012
tonne % du produit %
Beurre AOC*Beurre ABHuile d’olive AOC
Fabrications françaises de beurre et d’huile d’olivesous signe de qualité
* AOC, IGP et Label Rouge depuis 2007.Sources : Agreste - Enquête annuelle laitière (AB), INAO (AOC).
33 485 9,5 7,46 663 1,9 11,21 420 29,6 6,4
La France consomme presque 2 foisplus de beurre commercialisé (7,2kg par habitant) que l’ensemble despays de l’UE à 27 (3,7 kg par habi-tant) en moyenne sur la période2005-2012. (Sources : Agreste - Prod-com, Eurostat, Douanes).
La consommation de sucre
19Agreste ALIMENTATION - Mémento 2015
kg/habitant
05
1015202530
Incorporés à d'autres produitsSucre de bouche
2011/1205/062000/011995/96
Consommation française de sucre issu de la betterave et de la canneglobalement stable
Note : de nombreux autres produits contribuent à la consommation de sucre dans l’alimentation humaine.La consommation de sucre issu du miel est estimé à 0,5 kg par personne en 2011/12 ; d’autres pro-duits existent à l’état naturel (fruits, légumes…). Les produits transformés (maltose, glucose issus del’amidon…) introduits dans des mets industriels sont source de sucre. Les édulcorants, en développe-ment, sont aussi nombreux : aspartame, saccharine, polyol…
Source : Agreste - Bilan d’approvisionnement.
Consommation de quelques produits sucrés
Sources : Agreste - Prodcom, Eurostat, Douanes.
1
2
3
4
2012100520001997
kg/h
abita
nt
0123456
Confiserie de chocolatTablettes chocolat
kg/h
abita
nt
Espagn
e
Polog
ne
France
Belgiqu
eIta
lie
UE à
27
Allem
agne
2012
3
4
5
6
7
8
2012100520001997
kg/h
abita
nt
Glaces et sorbetsConfiserie
0
2
4
6
8
kg/h
abita
nt
Espag
ne
UE à 2
7
Allem
agne
France
2012
Ligne continue : France - Pointillé : UE
La consommation de boissons
Agreste ALIMENTATION - Mémento 201520
Boissons rafraîchissantes : la consommation françaiseprogresse mais reste inférieure à celle de l’UE
60
80
100
120
140
160
Eaux minérales ou de source*
Boissons rafraîchissantes**
2012100520001997
litre/habitant - France
0
30
60
90
120
150
Italie
Grèce
Roumanie
France
Pologne
UE à 27
Espagne
Pays-Bas
Allemagne
litre/habitant - 2012Boissons rafraîchissantes**
* Y compris eaux gazéifiées. ** Eaux sucrées ou contenant des édulcorants et autres boissons nonalcoolisées (sirops, nectars, laits aromatisés…).
Sources : Agreste - Prodcom, Douanes, Eurostat.
La bière, une boisson moins prisée en France que dans l’UE
26
28
30
32
34
36
38
2012100520001997
litre/habitant - France
0
20
40
60
80
100
Italie
France
Grèce
Pays-Bas
UE à 27
Espagne
Royaume-Uni
Belgique
Roumanie
Allemagne
Pologne
litre/habitant - 2012
Sources : Agreste - Prodcom, Douanes, Eurostat.
Pur* jus d’orange : stable depuis 2010
* Estimation de la consommation apparente du pur jus d’orange approchée par les donnéesdu commerce extérieur portant sur les produits les moins concentrés.
Sources : Agreste, Douanes.
Les quantités consommées de jusd’orange à base de concentré nesont pas comptabilisées en pur jusd’orange. Les concentrés peuventêtre aussi incorporés dans les nec-tars, les jus multifruits, les boissonsgazéifiées, les boissons lactées…0
123456
201310052002
litre/habitant - France
La consommation de boissons
21Agreste ALIMENTATION - Mémento 2015
Consommation de vin - litre par habitant
10203040506070
France
UE à 27
UE à 15
12/1310/1105/062000/0195/961992/93
En France et dans l’UE, on boit moins de vin qu’il y a 10 ans
Source : Eurostat - Bilan d’approvisionnement, traitement SSP.
10203040506070
Part autres
Part AOP
12/1310/1105/062000/0195/961993/94
Part en % de chaque catégorie de vin - France
En France, le vin AOP est davantage bu que les autres vinsdepuis 9 ans*
* Consommation taxée. Sources : Agreste, Douanes.
0
10
20
30
40
50 AOPAutres
Finlande
Suède
Bulgarie
Slovaquie
Roy.-U
ni
Pays-Bas
Espagne
Roumanie
Allemagne
Hongrie
Belgique
Grèce
AutricheItal
ieFrance
Portugal
litre par habitant - 2012
Autriche, Espagne, Belgique, France, Allemagne et Pays-Bas :plus de 50 % du vin bu est AOP
Note : l’AOP est un signe de qualité propre à l’UE, les vins de qualité en provenance des pays tiers sontcomptabilisés en « autres vins ». Cette classification peut fausser la mesure de l’attractivité du vin dequalité, en particulier pour le Royaume-Uni.
Champ : les 20 pays de l’UE les plus peuplés avec données disponibles.Source : Eurostat.
Le temps pour s’alimenter et cuisiner
Agreste ALIMENTATION - Mémento 201522
0
20
40
60
23222120191817161514131211109876543210
% du temps alimentaire au cours de la journée en 2010
heure de la journée
12 h 40 et 20 h 10 : principaux moments de la journéeconsacrés au repas
01020304050
Très souvent
Parfois
85 ans et p
lus
80-84 ans
75-79 ans
70-74 ans
65-69 ans
60-64 ans
55-59 ans
50-54 ans
45-49 ans
40-44 ans
35-39 ans
30-34 ans
25-29 ans
18-24 ans
%
tranche d’âge
Grignotage : 29 % des personnes âgées de moins de 25 ansdéclarent grignoter très souvent entre les repas
Champ : personnes de 18 ans et plus en France métropolitaine.
Source : Insee - Enquête Emploi du temps 2009-2010.
Type emploi Sexe Classe d’âge
Temps quotidien moyenen minute(une heure a 60 minutes,une journée a 1 440 minutes)
Alimentation : prise des repasEnsemble 132 126 142 134 131 123 133 146
à domicile 100 87 121 99 102 74 97 131hors domicile 32 39 21 35 29 49 36 15
À la cuisine : préparation et cuisson des aliments, épluchageEnsemble* 36 24 54 18 52 20 38 54par les participants uniquement 64 51 78 50 71 46 62 79
2 heures et 12 minutes en moyenne par jour pour s’alimenteret 36 minutes pour préparer, cuire et éplucher les aliments
* Participant et non participant.Lecture : en 2010, les participants et non participants regroupés en étude ou en emploi, passent 2 foismoins de temps à la cuisine (24 mn) que ceux ni en étude ni en emploi (54 mn). Si on ne considère queles individus participant à la cuisine, les personnes de 70 ans et plus passent quotidiennement 1 heureet 19 minutes à faire les repas, soit 33 minutes de plus que les 18-30 ans.Champ : individus de 11 ans et plus en France métropolitaine, Martinique, Guadeloupe et de La Réunion.
Ens
embl
e
en é
tude
ou e
mpl
oi
ni é
tude
ni e
mpl
oi
Hom
me
Fem
me 18-30
ans40-50ans
70 anset plus
Perte et gaspillage alimentaire
23Agreste ALIMENTATION - Mémento 2015
020406080100120140160
Roumanie
GrèceItal
ie
Espagne
Pologne
UE à 27Belgique
Allemagne
France
Pays-Bas
Roy. -Uni
kg/habitant
/an
0102030405060708090
% des
déc
hets
et gaspillage
58
19 22 23 28 31 3142
70 7485
Déchets et gaspillage de denrées alimentaires au stadede la consommation
Lecture : dans l’UE à 27, les déchets et le gaspillage alimentaires par les ménages sont estimés à76 kg/habitant/an ; ils représentent 42 % du gaspillage des stades transformation, distribution, restau-ration et consommation au foyer.Champ : les 10 pays de l’UE les plus peuplés, les pertes avant la transformation ne sont pas prises en compte.
Source : Commission européenne - rapport 2010 sur données 2006.
05
10152025
Achetés et jetéspar le consommateur
05
10152025
Invendusde la distribution
05
10152025
LaitViandeFruits et légumesCéréales
Pertes au niveaude la production% % %
Les pertes et gaspillages de quelques produits en Europe(à 42 pays)
Lecture : en volume, à la production, 20 % de fruits et légumes sont perdus. Au stade de la distribution,les fruits et légumes invendus sont estimés à 10 %. Une fois acquis, le consommateur en jette 19 %.
Source : Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).Étude menée pour le congrès international Save food!, 2011 sur données 2006.
Professionnels, services de contrôles, consommateurs :tous acteurs pour manger « sûr »
La politique de la sécurité sanitaire de l’alimentation en France concerne l’ensemble des actions concou-rant à s’assurer de l’hygiène et de l’innocuité des denrées alimentaires d’origine animale ou végétale.Le cadre réglementaire s’inscrit dans le droit communautaire auquel peuvent s’ajouter des dispositionsnationales.- Les professionnels (exploitations agricoles, navires de pêche, entreprises agroalimentaires,commerces, entreprises de restauration...) doivent garantir la sécurité sanitaire des produits qu’ilsmettent sur le marché.- Les services de contrôle de l’État contrôlent l’application de la réglementation. Sur le terrain, les struc-tures locales des services vétérinaires et de la protection des végétaux coordonnées avec celles de laconcurrence de la consommation et de la répression des fraudes, des affaires sanitaires et sociales(services respectifs des trois ministères - Agriculture, Économie, Santé) assurent ces missions. Ainsi,chaque année, de nombreux contrôles concernent la santé des végétaux et des animaux, la traçabi-lité, la qualité des produits importés ou exportés et l’hygiène alimentaire.- Le consommateur renforce toutes les actions précédentes en contrôlant l’étiquette des produits pré-emballés, en respectant la chaîne du froid, en ayant les gestes d’hygiène appropriés...
Pour en savoir plus : www.agriculture.gouv.fr ou www.sante.gouv.fr
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Prix
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Ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la ForêtService de la statistique et de la prospective
12 rue Henri Rol-Tanguy – TSA 70007 – 93555 MONTREUIL-SOUS-BOIS CedexMél : [email protected]
Directrice de la publication : B. Sédillot Composition : SSP-ANCDISSN : 2259-5007 ISBN : 978-2-11-097650-5 Dépôt légal : à parution
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indice base 100 en 1994 ou 1994-1995
Autres produits lactés
Céréales
Vin
Fromage
Viande
Lait, yaourtnature
Évolution des quantitésde quelques produits consommés
en France
Source : Agreste - Bilan d’approvisionnement (campagne pour le vin et les céréales).