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UN ÉVÉNEMENT

EN PARTENARIAT AVEC

Rendez-vous à Dijon samedi 23 septembre

ÉDITION NUMÉRIQUEMardi 19 septembre 2017 - Supplément spécial

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SUPPLÉMENT LE BIEN PUBLIC MARDI 19 SEPTEMBRE 2017

www.bienpublic.com

La gestion du patrimoine n’est pasréservée qu’à une élite. Tout le

monde a des économies à hauteurdes charges de son quotidien et peutêtre amené à se demander commentorganiser l’avenir pour soi commepour ses proches. Tel est le point dedépart de la réflexion du Bien pu-blic, qui a décidé pour la secondeannée consécutive d’organiser cettemanifestation intitulée Vous et vo-tre argent.Toute la journée du samedi 23 sep-tembre, à l’hôtel Mercure du centreClémenceau de Dijon, vous êtes in-vités à assister gratuitement à desconférences proposées par des pro-fessionnels. Leur objectif ? Optimi-ser votre épargne et faire travaillervotre argent, trouver les meilleuressolutions de placement, d’investis-sement dans l’immobilier, de défis-calisation et de prévoyance.

Un intérêt multiple

L’intérêt de ce grand rendez-vouspour le public est qu’il réunit tousles spécialistes, qui vous donnerontdes réponses en fonction de vosbesoins.Vous souhaitez investir dans la pier-re. Des experts immobiliers vouséclaireront sur les possibilités ac-tuelles, la pierre étant toujours con-sidérée comme une valeur refuge.Si vous êtes plutôt attirés par latransmission de votre patrimoine, làaussi sachez que des solutions exis-

tent même si les taxations sont deplus en plus importantes. Par leursinterventions, les spécialistes – assu-reurs, banquiers, notaires, juristes etavocats, sociétés de conseil, structu-res de bilans financiers (compta-bles, experts…), conseillers patri-moniaux – sont là pour vousconseiller et vous aiguiller vers desprocédés qui peuvent parfois paraî-tres trop complexes ou coûteux,

mais qui, s’ils sont bien expliqués,deviennent très intéressants.Il en va de même pour tous ceux quiveulent faire travailler leur argent.Malgré les tendances actuelles quipoussent plutôt en faveur de l’épar-gne, le grand public doit être infor-mé sur les meilleurs placements quis’offrent à lui, tout en conciliantrisque et rendement selon les priori-tés personnelles.

Et puis quand on pense à l’avenir,on sait aussi que préparer sa retraiteest indispensable. Aussi, en dehorsdu système classique par réparti-tion, d’autres solutions plus indivi-duelles, basées sur la capitalisation,se développent. Là aussi, le salonVous et votre argent vous apporteraun éclairage utile qui vous rendrasans doute plus serein, pour mieuxenvisager demain.

D I J O N R E N DE Z - V OUS

Patrimoine, placements, prévoyance, immobilier : des spécialistes à votre écouteVous et votre argent. Tout est dans le titre de cette manifesta-tion proposée pour la deuxième année consécutive par le Bien public. Samedi 23 septembre, à l’hôtel Mercure du Centre Clémen-ceau de Dijon, découvrez ce qu’épargner son patrimoine veut dire.

■ Le salon Vous et votre Argent propose des conférences thématiques sur la constitution, la gestion et la transmission de patrimoine. Photo DR

PRATIQUE

nQuand ?Samedi 23 septembre, de 9 h 30 à 20 heures.nOù ?À l’hôtel Mercure, centreClémenceau, 22, boulevardde la Marne à Dijon.nCombien ?Entrée gratuitenRendez-vousPetit-déjeuner de 9 h 30à 11heures.Cocktail de clôture de 18 h 45à 20heuresnRenseignementsSur le site Internet www.lajour-neevousetvotreargent.fr

Assistez aux conférences de votre choix :n 10 h 15. “Et si vos impôts devenaient votremeilleure épargne ?”, par ICA Patrimoine. Opti-miser sa fiscalité pour dynamiser son épargne,voilà un concept qui va vous aider…n 11heures. “La vente d’un bien immobilier envue d’un départ en maison de retraite”, par laChambre des notaires de Côte-d’Or. Les problè-mes de dépendance à domicile ou de départ enmaison de retraite doivent être organisés à l’avan-ce.n 11 h 45. “Est-il encore intéressant d’investirdans l’immobilier ?”, par Rousseau et associés.n 13 h 30. “Un quinquennat pour changer, réfor-me fiscale : effet d’annonce ou réalité ?”, par leBarreau de Dijon.n 14 h 15. “Épargner et investir : déceler et maî-triser les risques pour optimiser le rendement etla fiscalité”, par le Centre de conseil et d’informa-tion financière. Aujourd’hui, la compréhensiondes changements inéluctables de notre modèleéconomique est primordiale pour la gestion devotre patrimoine.n 15heures. “Assurance vie : mort du fonds en

euros ? L’heure de vérité ! Sur quels supportsinvestir ?”, par le Centre de conseil et d’informa-tion financière.n 15 h 45. “Immobilier d’investissement : risqueset performances dans un monde qui change.Quelles perspectives ? Où et comment inves-tir ?”, par le Centre de conseil et d’informationfinancière.n 16 h 30. “Famille, retraite et succession : quel-les stratégies pour détenir, développer et trans-mettre votre patrimoine au mieux ?”, par leCentre de conseil et d’information financière.n 17 h 15. “Analyser les avantages de l’investisse-ment immobilier en Corse”, par Invest Capimmo.n 18heures. “Devenir propriétaire de vignes grâceau Groupement Foncier Viticole (GFV)”, parDupont conseil gestion et associés. Le GFV, dontl’objectif est la propriété collective de vignes, estun placement de diversification tangible à longterme alliant plaisir, avantages fiscaux.

INSCRIPTION En ligne, directement sur le site www.lajourneevousetvotreargent.frou par mail à inscription@jbc-organisation.com

Dix conférences gratuites : faites votre choix !

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tes en main pour faire les bons choix. »À quel domaine de défiscali-sation pensez-vous ?« Essentiellement à l’immo-bilier qui est de loin le placement le plus ren-table et le plus sûr quand on pense défis-calisation. Mais, at-tention, je ne dis pas que seule cette solution existe et, surtout, il faut bien étu-d i e r e n amont son a c h a t . L’empla-cement

est déterminant, tout comme les garanties. Il faut particu-lièrement être vigilant sur les assurances choisies aussi.

Autant d’éléments que jevais expliquer lors de

ma conférence et quej e déve loppe

avec mesclientslors dec h a -

que entretien personnalisé. »Vous avez un exemple précisen tête d’un placement im-mobilier intéressant ?« Bien sûr. Je vais expliquer comment ce type de projets immobiliers est accessible sans apport, simplement avec une épargne mensuelle d’environ 300 euros par mois.Dans cette épargne sont in-clus les frais de notaire, les taxes foncières, les charges propriétaires, les assurances de loyer et les assurances de prêt.Pour développer son patri-moine immobilier, sans les soucis de gestion qui vont avec, il suffit d’être dans la ca-

pacité de mettre entre 100et 300 euros de côté tous

les mois, ce qui est doncfaisable pour beau-coup de personnes.Ce dispositif accessi-

ble à tous est une méca-nique financière qui va

utiliser deux leviers : les

impôts et les loyers. Au bout de dix ans, le rendement de-vient très important, et cor-respond à un chèque d’envi-ron 100 000 euros que l’onpourra, en réinvestissant dans d’autres supports que j’expliquerai, transformer en complément de revenu/re-traite de 300 à 600 euros par mois garantis, transmissibles,non imposables, et sans droit de succession !J’expliquerai également,pour ceux qui souhaitent fai-re des placements autre que l’immobilier, que je peux leur proposer des placementsdans le vin, ou dans les cen-trales photovoltaïques indus-trielles (rendement 5 % nets annuels).Ce dernier produit est validé par l’AMF (autorité des mar-chés financiers). »

RENDEZ-VOUS Alain Servonnet animera une conférence à 10 h 15.

D I J O N É V É N E M E N T

« Et si vos impôts devenaientvotre meilleure épargne ? »Alain Servonnet, responsa-ble de la délégation régio-nale d’ICA Patrimoine, abor-de un thème qui intéresse beaucoup de monde…

■ Alain Servonnet. Photo DR

Alain Servonnet, à quoipensez-vous lorsque

vous dites que nos impôts peuvent devenir notre meilleure épargne ?« À la défiscalisation bien sûr ! Des lois existent depuis 35 ans qui permettent d’utili-ser son impôt sur le revenu afin de se créer un patrimoi-ne, ainsi qu’un complément de retraite. Pourquoi ne pas les utiliser ? À travers nos deux groupes, nous avons mis en place, depuis 20 ans, une logistique et un montage financier très simple, et qui s’adapte à tous types de fisca-lité. Voilà ce que je vais expli-quer lors de ma conférence d’une manière simple, afin que chacun ait toutes les car-

Un conseiller prendracontact avec vouspour étudier votreégilibilité à cesréductions d’impôts

SERVIMMO - 4 place Georges Pompidou 21240 TALANTTél 03.80.57.52.73 - serv-immo.comPrestataire indépendant de la SAS ICA PATRIMOINE

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Hugues Misserey, quellessolutions préconisez-

vous ?« C’est malheureusement une réalité : vieillir coûte cher. Qu’il s’agisse de finan-cer des aides pour un main-tien à domicile ou un départ en maison de retraite, les re-traites ne suffisent générale-ment pas à couvrir les dépen-ses.Une solution consiste bien sûr à puiser dans ses écono-mies, à condition d’en avoir et de ne pas les épuiser. Mais pour beaucoup de gens, la ré-sidence principale est sou-vent un capital immobiliséqu’il serait intéressant de

vendre pour disposer de li-quidités supplémentaires disponibles.Pour rester chez soi, on peut vendre sa maison avec une réserve dite “de droit d’usage et d’habitation” qui permet de rester chez soi, ou avec une “réserve d’usufruit” qui permet non seulement de rester chez soi mais aussi de louer pour percevoir un reve-nu complémentaire. Évi-demment quand on ne vend pas “libre à la vente” il y a né-cessairement un abattement sur le prix qu’on peut obtenir,abattement d’autant plus im-portant qu’on est plus jeune, ou à deux.Lorsqu’il s’agit d’un départen maison de retraite, onvend sa maison ou son appar-tement et on place l’argent defaçon à ce qu’il rapporte des intérêts, et ainsi pouvoir reti-rer les sommes nécessairespour équilibrer son budget.Bien choisir son placement

pour ne pas risquer de le voir disparaître est important. »Parlez-nous du viager. Comment sert-il au finan-cement de sa retraite ?« Il y a plusieurs façons de vendre en viager : la pre-mière c’est de vendre son bien libre ou occupé, à un particulier qui va vouspayer un bouquet (c’est la partie du prix qui est payée comptant) et unerente v iagère calculéed’après la valeur du bien, la situation libre ou occupée et bien sûr l’âge du ou des crédits-rentiers (le vendeurqui va per-cevoir lar e n t e payée par l ’acqué-r e u r q u ’ o n appelle le débit-rentier).

La vente en viager s’est beau-coup raréfiée. Surtout quand

i l s ’ a g i td ’ u n

D I J O N É V É N E M E N T

La vente d’un bien immobilier en vue d’un départ en maison de retraiteHugues Misserey, notaire pour le groupe Legatis, membre du conseil régio-nal des notaires de Bour-gogne, aborde le délicat problème de la vieillesse, qu’il faut anticiper.

■ Hugues Misserey. Photo DR

viager “occupé” car l’ache-teur ne peut ni occuper lebien ni le louer. En plus, avec la baisse des taux d’intérêtdes emprunts bancaires c’est devenu moins intéressantpour l’acheteur car il ne sait pas combien de temps sonviager va durer. D’autant quel’espérance de vie augmente. En plus il faut trouver unacheteur qui ait les moyens de payer le viager.La deuxième façon c’est de vendre son bien moyennant un prix payé comptant parl’acquéreur (prix qui sera ré-duit si le bien n’est pas libre mais occupé par le vendeur) et ensuite de placer son prix de vente auprès d’une ban-que ou d’un établissement encontrepartie d’une rente via-gère : c’est ce qu’on appelle leviager financier. »

RENDEZ-VOUS Hugues Misserey animera une conférence à 11 heures.

Notaire : Partenaire de votre patrimoine

Les Notaires de Côte d’Or et UNOFI s’associent pour vousconseiller lors de la journée Vous et VOTRE ARGENT qui se)A;"=8 6A /8<A"3 '& /AB0A<!=A 7 6D5>0A6 :A=F,=A% 2A;0=AClemenceau de Dijon.

9C,/ /A=C;/ 5A,=A,4 "A .C,/ =A;FC;0=A= /,= ;C0=A /08;" BC,==?BC;"=A 7 0C,0A/ .C/ @,A/)C;/ $• protéger votre conjoint et votre famille• 3;.A/)= B=CF583;A<A;0 "8;/ 6D3<<C!363A=• 83"A= .C/ A;E8;0/ C, .C/ BA)0/*A;E8;0/• percevoir un complément de revenus• préparer votre retraite• 0=8;/<A-=A .C0=A B80=3<C3;A

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Jean Marie Rousseau

Écoute - Confidentialité - Objectivité - Collégialité - Déontologie - Pérennité

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Jean-Marie Rousseau, votre con-férence va parler des dispositifs

d’investissement immobilier, qu’ils soient défiscalisants ou non, c’estbien ça ?« Oui, au-delà de l’accroche provoca-trice du titre de cette conférence,nous souhaitons faire passer le mes-sage que l’investisseur ne doit pas avoir une approche “défisc” mais “be-soin”. Comme on dit, la défiscalisa-tion est la cerise sur le gâteau, mais elle ne doit pas remplacer le gâteau !Ainsi, nous parlerons du dispositif or-dinaire des revenus fonciers soit en direct soit par le biais d’une SCI ou d’une SCPI (Société Civile de Place-ment Immobilier), nous décrirons la fameuse loi Pinel qui s’éteint en prin-cipe à la fin de cette année ; le statut dela location meublée non profession-nelle ou professionnelle ; et des possi-

bilités d’optimisation fiscale en choisissant le mécanisme de l’amortissement compta-ble ou la réduction d’impôt sur le revenu “Censi Bou-vard” (qui se termine égale-ment à la fin de l’année) ; la loi Malraux et la loi Monu-ment Historique ainsi que la loi Girardin, plus exotique qui consiste à investir dans les DOM-TOM. En-fin, nous évo-querons l’utili-s a t i o n d u d é m e m b r e -ment de pro-priété comme stratégie patri-moniale com-plémentaire ou alternative aux dispositifs précé-dents. »Que présentez-vous pour la loi de fi-nances pour 2018 ?« À l’heure où vous

nous interrogez, nousn’avons aucune visibi-lité sur les dispositifsd’incitation fiscaledans l’immobilier quipourraient être proro-gés ou qui pourraient

voir le jour. Je crains dene pas en savoir plus lors

du salon puisque ce pointest à l’ordre du jour du con-

sei l des ministres du27 septembre ! Une cho-se est sûre, outre le faitque notre pays souffri-

rait d’une carence delogements pour y

loger nos con-citoyens,l e b â t i -ment estun sec-teur de

l’écono-mie pr i -

mordial di-rectement oui n d i r e c t e -

ment pour le

PIB, les rentrées fiscales et la courbe du chômage. Notre gouvernement nepourra pas faire l’impasse de la créa-tion de nouvelles mesures dans la fu-ture loi de finances pour 2018 ! »Parlez-nous de la réforme de l’ISF par la création de l’IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière)…« Nous n’avons pas, à ce jour, d’infor-mations précises quant à son fonc-tionnement. Certes il est question de sortir de l’assiette imposable tout ce qui est du financier pour n’imposer que l’immobilier, mais nous n’avons aucune indication sur le nouveau ba-rème qui sera appliqué. Autrement dit, on peut se réjouir de voir l’assiettede cette imposition diminuer, sauf si on s’aperçoit que le taux sera plus im-portant, ce qui pourrait, dans cette hy-pothèse, pénaliser les “abonnés” àl’ISF actuel… Bref, on n’a pas finid’avoir besoin de consulter un con-seiller en gestion de patrimoine pour y voir plus clair dans l’évolution de la législation sur le patrimoine ! »

RENDEZ-VOUS Jean-Marie Rousseau animera une conférence à 11 h 45.

D I J O N É V É N E M E N T

Jean-Marie Rousseau, conseiller en gestion de patrimoine, diri-geant du cabinet Rousseau et Associés, nous éclaire sur une thématique essentielle.

■ Jean-Marie Rousseau. Photo DR

« Est-il encore intéressant d’investir dans l’immobilier ? »

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de nos sociétés qu’il fautprendre en compte et réa-liser des réformes enprofondeur. »Donc vous esti-mez que les ré-formes fiscalessont une réali-té. Que con-seillez-vous ?« Selon nos ob-servations, leg o u v e r n e -m e n t v ap r i v i l é -gier lesinves -

tissements économiqueset mettre un frein

sur le patrimoi-ne statique et

n o t a m -

ment l’immobilier. Selonmoi, il faut être prudentconcernant cette informa-tion car l’immobilier resteun secteur économique

particulier. Il ne serapas mis de côté trèslongtemps. À courtterme, aller sur desinvestissements pro-ductifs types actions,pourquoi pas, maissur du long terme, jene pense pas qu’ilfaille mettre tous nosœufs dans le mêmepanier. Tout cela estsomme toute très logi-que. Un impôt ne peutécarter tous les reve-nus. »En tant qu’avocatespécialiste du droitfiscal, comment con-sidérez-vous l’im-pôt?« Je conseille mesclients sur les meilleu-res solutions qui exis-

tent, mais j’essaie aussi deles sensibiliser sur le faitque si l’on veut un systè-me éducatif de qualité,une protection sociale ef-ficace et une Défense for-te, il faut accepter depayer des impôts. Le bud-get de la France ne se créepas tout seul, et les choixfiscaux impliquent forcé-ment des choix de socié-té. »Quelles méthodes préco-nisez-vous ?« De se tenir informé toutsimplement. Et pour rece-voir les bons conseils, ren-dez-vous chez votre avo-c a t . E n m a t i è r e d efiscalité, il faut perpétuel-lement arbitrer et pour ce-la il faut avoir en maintoutes les données pourfaire les bons choix ! »

RENDEZ-VOUS Valérie Grosjean animera une conférence à 13 h 30.

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« Réforme fiscale, effet d’annonce ou réalité ? »Valérie Grosjean, avocate du barreau de Dijon de-puis 1994, tiendra une conférence sur la nouvelle réforme fiscale de l’État.

■ Valérie Grosjean. Photo DR

Valérie Grosjean, lebar reau de Di jon

prend la parole autourdu sujet de la réformefiscale, pourquoi ?« Tout simplement parceque les avocats sont detrès bons conseils. Noussavons anticiper et alerternos clients sur les évolu-tions législatives. Les ré-formes envisagées peu-vent être considéréescomme tout à fait légiti-mes si l’on prend en consi-dération le fait que lesbases de l’impôt sur lerevenu datent de 1917.On ne peut pas faire l’éco-nomie d’un positionne-ment moderne de notreimpôt. C’est aussi le choix

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votre recherche devient un plaisir

Jean-Claude Jehanno, quandest-ce qu’il faut se poser des

questions de patrimoine ?« Quel que soit votre âge, le volumeet la composition de votre patri-moine, vous devez avoir un regardtransversal sur votre famille et vosobjectifs. Au cœur du patrimoine, ilfaut aussi prendre en compte votreentreprise ou votre statut : salarié,artisan-commerçant, profession li-bérale… Donc, dès que l’on com-mence à travailler et à se mettre enménage, il est nécessaire de pren-dre les mesures adaptées sur le planjuridique, économique, financier,fiscal et sur la protection sociale.Ensuite, à chaque tranche d’âge eten fonction des aléas de la vie, ilfaut régulièrement remettre à platsa situation afin de prendre lesbonnes décisions. »

Que pensez-vous de la loiPinel ?« La loi de défiscalisation estarrivée au moment où lesmarchés immobiliers sonthaussiers avec des risqueslocatifs de plus en plus pré-gnants, et un encadrementjuridique renforcé par la loiAlur. L’intérêt d’un investis-sement Pinel résidedans sa capacité àdégager un rende-ment net-net-net satisfai-sant afinde payerl e s r i s -ques pris.P a railleurs ilressort desdifférentesenquêtes etétudes quebon nombrede marchéssont en surof-fre de biens par

rapport à la deman-de locative. Com-me pour tou tautre investisse-ment, il faut êtretrès v ig i lant ,analyser tous lesrisques et le ren-

dement netde tou-

tes charges. Il faudra adapter l’inté-gration de ce nouvel actif au seindu patrimoine existant en évitanttout frottement juridique, fiscaux etfinanciers négatifs. Tout investisse-ment doit correspondre à un réelobjectif patrimonial et ne doit passatisfaire une volonté de défiscali-sation qui s’avère dans la plupartdes cas peu rentable. »Est-ce que le marché immobilierest porteur ?« De quel marché parle-t-on ? Ilfaut analyser tous les marchés im-mobiliers et se demander sur queltype d’immobilier investir : résiden-tiels, logements permanents, provi-soires, commerces, bureaux, santé,entrepôts, nues propriétés, hôtelle-ries… Et ensuite il faut réfléchirquelle forme juridique prendra vo-tre achat : SCI à l’Impôt sur leRevenu, SCI à l’Impôt sur les So-ciétés, SARL de famille, SCPI (So-ciété Civile de Placement Immobi-lier). »RENDEZ-VOUS La conférence sera donnée à 14 h 15.

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Comment épargner ? Comment investir ? Jean-Claude Jehanno, gérant de CCIF, FIPAD Conseil, ré-pondra à cette double question lors d’une conférence.

■ Jean-Claude Jehanno. Photo Pascal LAGNEAU

Dans un monde qui change,faut-il épargner ou investir ?

VOIR LE SITE WEB

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Jean-Claude Jehanno, pour-quoi dit-on que les fonds en

euros sont morts ?« C’est une expression très utiliséepour deux raisons : d’abord, parceque les banques centrales ont géné-ré une politique de taux bas qui aentraîné la chute du rendement dufonds en euros principalement in-vesti sur les obligations d’État etcette situation devrait perdurer en-core plusieurs années. Ensuite,parce que l’encadrement législatif(Solvency 2) sécurise l’épargnantet le système impose à tout assu-reur un ratio de fonds propresdifférents en fonction de la naturedes investissements réalisés. Puisla loi dite Sapin impose aux assu-reurs de renforcer les réservesqu’ils constituent tous les ans pourlisser les rendements servis auxépargnants en fixant les rende-ments servis par les assureurs vie.La même loi peut désormais “sus-pendre, retarder ou limiter tempo-rairement, pour tout ou partie duportefeuille, le paiement des va-leurs de rachat, la faculté d’arbitra-ges ou le versement d’avances surcontrat”. »C’est-à-dire ?« Alors que les taux sont au plusbas depuis 30 ans et que la soliditéfinancière des États de l’OCDE n’ajamais été aussi fragile, Solvency 2a pour mission de contraindre lescompagnies d’assurances à orien-ter les investissements de fonds en

euros vers les obligations d’État. »Un exemple concret ?« Avant janvier 2016, quelle quesoit la nature d’un investissement,pour 100 euros engagés, la compa-gnie d’assurance devait constituerquatre euros de fonds propre. De-puis janvier 2016, la marge desolvabilité varie en fonction du

type d’actifs acheté. Pour 100euros investis dans les obligationsd’État des pays de l’OCDE, lescompagnies d’assurance devaientavoir zéro euro de fonds propres ;dans les actions européennes,39 euros de fonds propres ; pourles autres actions 49 euros ; etenfin pour l’immobilier, entre

25 euros et 60 euros. »En ayant toutes ses cartes enmains, quels conseils allez-vousapporter lors de votre conféren-ce ?« Seront évoqués les outils qui per-mettent de répliquer la gestionfinancière d’un fonds en euros sansces contraintes réglementaires ain-si que des solutions d’investisse-ment qui présentent les meilleurscouples rendements/risques sur lelong terme. Sans oublier certainesspécificités juridiques et financiè-res de l’assurance vie. »

RENDEZ-VOUS La conférence sera donnée à 15 heures

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Assurance vie : l’heure de véritéJean-Claude Jehanno, gérant de CCIF, FIPAD Conseil, donnera une conférence attendue, baptisée “Assurance vie : mort des fonds en euros ? L’heure de vérité : les nouveaux enjeux. Sur quels sup-ports investir ?”

■ Jean-Claude Jehanno évoquera notamment « les outils qui permettent de répliquer la gestion financière d’un fonds en euros sans ces contraintes réglementaires ». Photo DR

} La solidité financièredes États de l’OCDEn’a jamais été aussi fragile. ~

Jean-Claude Jehanno,gérant de CCIF, FIPAD Conseil

Jean-Claude Jehanno,quels sont les critères d’alerte et de choix à con-naître avant d’investir dansl’immobilier ?« La priorité : bien se con-naître “patrimonialement”parlant, tant au niveau juri-dique, qu’économique, fi-nancier, fiscal et social. En-s u i t e b i e n d é f i n i r s e sobjectifs patrimoniaux àcourt, moyen et long termeest un impératif afin de véri-fier que la situation patrimo-niale actuelle permette de lessatisfaire. Notre travail con-siste à mettre en corrélation

ces deux premiers pointsafin d’établir un diagnosticcomplet et d’identifier lesnombreux signaux d’alertespatrimoniaux. L’étape sui-vante consiste à établir desstratégies d’investissement comparatives afin de sélec-tionner celle qui correspon-dra le mieux aux intérêts dela famille sur la durée.Il sera nécessaire de décryp-ter tous les risques propres àchaque support comparé (valeurs, crédits, marchés,locatifs, juridiques, fis-caux…) inhérents à ce typed’investissement. Démarche

essentielle pour éviter d’êtreengagé sur une stratégie trèspeu rentable voire opposéeaux objectifs poursuivis.Enfin le calcul du rendementnet de charges, d’impôts etd’inflation actualisé sur ladurée de l’investissementpermettra de définir si le ren-dement permet de financer

les risques pris. »Vous estimez donc qu’ilfaut mettre en œuvre unestratégie d’investissement dans l’immobilier…« Tout à fait. Durant la confé-rence je décrirai les techni-ques d’ingénierie financièrequi permettent de comparerles supports d’investisse-

ment entre eux. Il faut aussibien comprendre les sché-mas patrimoniaux utiliséspour améliorer le rendementet réduire la fiscalité pour transmettre au mieux. »Vous pensez donc que lapierre est toujours un in-vestissement solide ?« Oui, mais lequel et avecquel mode détention ? La défiscalisation est-elle vrai-ment rentable ? Nous ver-rons tout cela ensemble lorsdes conférences. »

RENDEZ-VOUS La conférence sera donnée à 15 h 45

DI JON ÉVÉNEMENT

Investir dans l’immobilier “utile” sera source de revenus futurs} Il faut bien comprendreles schémas patrimoniaux utilisés pour améliorer le rendement. ~

Jean-Claude Jehanno

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10 CONFÉRENCES - GRATUITES

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Je m’inscris aux conférences : Mes coordonnées : Mme / Mlle / Mr

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Hôtel Mercure - Centre Clemenceau - DIJONwww.lajourneevousetvotreargent.fr

ENTRÉE GRATUITE SAMEDI 23SEPTEMBRE 2017

o 10 H 15 Et si vos impôts devenaient votre meilleureépargne ? - ICA Patrimoine

o 11 H 45 Est-il encore intéressant d’investir dansl’immobilier ? - Rousseau Associés

o 13 H 30 Un quinquennat pour changer, réforme fiscale :effet d’annonce ou réalité ? - Le Barreau de Dijon

o 14 H 15 Epargner ou investir : déceler et maîtriserles risques pour optimiser rendement et fiscalité - CCIF

o 15 H 00 Assurance vie, mort du fonds en euros ? L’heurede vérité ! Sur quels supports investir ? - CCIF

o 11 H 00 La vente d’un bien immobilier en vue d’un départà la retraite - La Chambre des Notaires

o 15 H 45 Immobilier d’investissement, risqueset performances - CCIF

o 16 H 30 Famille, retraite et succession, quelles stratégiespour votre patrimoine - CCIF

o 18 H 00 Devenir propriétaire de vignes grâceau Groupement foncier viticole (GFV) - GFV-enligne, DCGAo 18 H 00

o 17 H 15 Analyser les avantages de l’investissementimmobilier en Corse - Invest Capimmo

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Famille, retraite, succession…Jean-Claude Jehanno, quelles

solutions préconisez-vous ?« Je pense qu’en aucun cas il ne peuty avoir de solutions génériques tou-tes faites. Le conseil personnaliséest obligatoire parce que chaque fa-mille est différente et que chacun entant qu’individu a des objectifs sin-guliers et un comportement diffé-rent face au risque. Chacun de nouspossède un patrimoine au sein d’une famille unique. Fruit des géné-rations antérieures et/ou de vos projets, il mérite toute votre atten-tion, car il participe en permanenceà la protection et à l’amélioration ducadre de vie et du niveau de vie devotre groupe familial.Par ailleurs chaque personne a uncycle de vie patrimonial qui lui estpropre et composé de grandes éta-pes, d’aléas et de moments clés. Ilest donc indispensable d’identifier

les contours et les contraintes devotre situation en permanence afinde prendre les mesures de protec-tion, de développement et de trans-mission les plus efficaces. Lors de lasélection de tout placement immo-bilier et/ou financier au sein de cescycles et dans l’intérêt des familles,les solutions sont multiples et il estimpératif de tenir compte des no-tions de risques, des modes de dé-tention, de la gestion de la dette et

des modes de cession et/ou detransmission. Sans faire abstractionde la durée de détention du place-ment et des projets de vie des per-sonnes composant la famille élar-gie. »Mais que signifie exactement ceterme de risque en investissementet en épargne ?« Toute épargne et tout investisse-ment comportent des risques. Il estdonc primordial d’éviter en priorité

les risques forts sur le capital. La cléd’un bon placement sécurisé : ache-ter lorsque le marché est au plus baset vendre quand celui-ci est au plushaut ! »Il faut donc comprendre, anticiperet choisir, c’est ça ?« Oui, lors de cette conférence jevous donnerai de nombreusesautres clés. Comment élaborer unestratégie retraite pertinente et secréer des revenus avec une fiscalitéréduite, de même que des outils quipermettent de préparer au mieux sasuccession : assurance vie, SCI, do-nations… Les champs d’action sontvastes. »

RENDEZ-VOUS La conférence sera donnée à 16 h 30

D I J O N É V É N E M E N T

La famille au cœur du patrimoine“Famille, retraite et succession : quelle stratégie pour détenir, développer et transmettre votre patrimoine ?” Tel est l’intitulé de la quatrième conférence propo-sée par Jean-Claude Jehanno, gérant de CCIF, FIPAD Conseil.

■ Jean-Claude Jehanno : « Votre famille est unique ! Elle est au cœur de votre patrimoine ». Photo DR

} Chaque personnea un cycle de vie patrimonial qui lui est propre et composé de grandes étapes, d’aléas et de moments clés. ~

Jean-Claude Jehanno

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Jacques Berche, pourquoi laCorse ?

« Invest-Captimmo commercialisedes produits immobiliers en métro-pole qui répondent à l’attente prin-cipale de ces investisseurs, mais laCorse n’est pas à écarter.L’île de beauté peut vous apporterde nombreux avantages. La Corserépond en premier lieu, à une de-mande de nos clients qui souhaitentbénéficier d’un dispositif fiscal touten faisant l’acquisition, pour cer-tains, d’une résidence secondaire.Note métier est de vous accompa-gner et de vous apporter une solu-tion, d’une façon directe, avec desprofessionnels et partenaires cor-ses. Pour des raisons économiques,démographiques et fiscales, la Cor-se offre de réelles bonnes raisonsd’investir sur ses terres. En effet,croissance économique et démogra-phique allant de pair, la Corse doit

répondre aujourd’hui à desbesoins en termes immo-biliers. La Corse devraitcompter 175 000 ména-ges en 2030, soit 46 000de plus qu’en 2009. Laréponse aux besoins d’unepopulation croissante do-pe leur activité écono-mique.L’évolution duPIB insulaireconfirme unec r o i s s a n c epar habitanttrès supérieu-re à celle cons-tatée sur le con-t i n e n t .Conséquence lo-gique de cette si-tuation, le parc delogements doit né-c e s s a i r e m e n ts’adapter. Il fau-drait déjà cons-truire 40 000 loge-m e n t s p o u rsatisfaire les be-

soins en résidences princi-pales et 30 000 en rési-

dences secondaires outouristiques. »Parlez-nous du dis-

positif Pinel avec l’op-portunité d’acquérir sa

résidence secondai-re de demain…

« Le marchélocatif corseest en phasea v e c l e s

plafondsP i n e l ,avec unzonagep a r m il e smeilleurs, en zo-

ne A, B1et B2 (zo-nes géo-g r a p h i -ques plusou t en -dues ins-t i t u é e s

par l’Etat). Loué dans le cadre de cestatut pendant 6, 9 ou 12 ans, l’ap-partement ou la villa pourra êtreconservé et devenir ainsi une rési-dence secondaire pour les investis-seurs qui le souhaitent, tout en gar-d a n t d e s p o s s i b i l i t é s d e rentabilité. »Et le crédit d’impôt corse ?« Les investisseurs qui réalisent uneopération immobilière corse peu-vent également, sous certaines con-ditions, bénéficier d’un crédit d’im-pôt unique et très intéressant quenous exposeront durant la confé-rence. »Que fait Invest-Capimmo ?« Invest-Capimmo fait de l’analyse,du développement et de la sauve-garde de patrimoine. Si nos préfé-rences de lieu d’investissement sontprincipalement sur les régions Rhô-ne-Alpes et Sud de la France, nousrépondons également à la demandedes clients sur l’ensemble du terri-toire national. »

RENDEZ-VOUS Jacques Berche animera une conférence à 17h15

D I J O N É V É N E M E N T

« La Corse offre de réelles bonnes raisons d’investir sur ses terres »Jacques Berche, fondateur d’In-vest-Capimmo, propose d’analy-ser les avantages de l’investisse-ment immobilier en Corse.

■ Jacques Berche. Photo DR

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faire, sa notoriété. »Quel est l’investissement minimum ?« L’investissement mini-mum est en général prochede 5 000 €, mais peut, sur cer-tains dossiers, être voisin de100 000 €. Nous faisons en sorte de proposer desmontants minimums pro-ches de 5 000 € afin que nos clients puissent inves-tir dans plusieurs appella-tions et ainsi diversifier leur

cave. »

Quels vignobles choisir ?« Il n’y a pas en soit de restric-tion, nous pouvons interve-nir sur tous les vignobles.

Toutefois, nous privi-légions les ap-

p e l l a t i o n sayan t uneforte noto-riété ; c’estun peu com-m e d a n s

l’immobilierclassique, il

f a u t

choisir le bon emplace-ment. »Y a-t-il une liste d’attente ?« Il faut que l’investisseursoit très réactif lorsqu’il iden-tifie une appellation et un vi-ticulteur qui lui plaisent.C’est une solution d’investis-sement rare et très deman-dée car bénéficiant d’avanta-ges fiscaux très attractifs. »Quel est le rendementmoyen ?« On ne parlera pas de ren-dement moyen car il y a defortes disparités en fonctiondes appellations. Ainsi, plusl’appellation est prestigieuseplus le rendement sera faiblecar le prix du foncier à l’hec-tare sera plus élevé. L’asso-cié perçoit, chaque année,les revenus issus du ferma-ge, en proportion du nom-bre de parts détenues. Cesrevenus sont fonction del’évolution de la valeur duvin de l’appellation (AOC)considérée. Cette valeur est

ajustée chaque année et con-signée dans un arrêté préfec-toral. Le fermage est en géné-r a l v e r s é e n n a t u r e“bouteilles” (c’est le choix dela très grande majorité des in-vestisseurs). La rentabilitéattendue pourra être compri-se entre 0,5 % et 5 % en fonc-tion de l’appellation. »Est-ce différent d’un con-trat assurance vie ?« Le GFV est en aucun cascomparable à un produitd’épargne classique. Le com-portement de ce type d’inves-tissement sera plus prochede l’immobilier puisqu’iln’offre pas de liquidité ins-tantanée comme un livret ouun contrat d’assurance vie. Ilfaut l’entendre comme unediversification patrimonialealliant plaisir et produit im-mobilier à long terme. »

RENDEZ-VOUS Julien Dupont animera une conférenceà 18 heures

D I J O N É V É N E M E N T

« Une solution d’investissement rare et très demandée »Devenir propriétaire de vignes grâce au Groupe-ment Foncier Viticole, c’est ce que propose Julien Dupont, gérant associé du cabinet de gestion de patrimoine DCGA.

■ Julien Dupont. Photo DR

Julien Dupont, qu’est-cequ’un Groupement Fon-

cier Viticole, un GFV ?« Le GFV est un placementde diversification tangible àlong terme alliant plaisir,avantages fiscaux (ISF et successoral). Le Groupe-ment Fonc ier Vi t i co le(GFV), est un groupementfoncier agricole qui a pourobjectif la propriété collecti-ve d’une ou plusieurs vignes.Des particuliers “investis-seurs” se rassemblent pour acquérir un foncier viticole(des vignes). L’exploitation des vignes est confiée, par bail à long terme, à un viticul-teur choisi pour son savoir-

“ Le BIEN PUBLIC organisevos événements d’entreprise ”Le Bien Public Événements imagine et conçoit des solutions communicantes avec une gestionde budget rigoureuse. Il s’attache à comprendre vos objectifs, à être force de propositions et àrechercher continuellement des talents et des idées pour améliorer l’impact de vos messages, que cesoit pour un événement dans plusieurs mois et ou dans quelques jours.

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