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mai 2004

t Le 7 mai à Montigny LA JOURNÉE DE L'EUROPE À 25

t Visite page3

LE MINISTRE DE L'INTÉRIEUR CHEZ LES POMPIERS

t Economie FEMMES ET "CRÉACTIVES"

page6

pageS

t Action sociale PLUS SOLIDAIRE QUE JAMAIS

page7

Nelrouvez l'actualité de Montigny J"ur/e web: www.montigny78.fr

. . •. · .

Le journal de Montigny-te ... Bretonneux

La communauté d'agglomération de Saint

Quentin en Yvelines, la CASQY, vient de voter son -W-"> ..... !1 budget 2004.

Ce budget 2004 est le plus catastrophique des 10 dernières années pour les lgnymontains.

Le président de la CASQY verse en investisse­ment à sa ville Guyancourt deux fois plus à l'ha­bitant que pour un lgnymontain !

~~~~'-=:=!!~ ~~~t~~~~~ Elancourt, Voisins-le-Bretonneux et Montigny-le-~ Bretonneux reçoivent, les trois communes ré-

unies, moins de subventions d1nvestissement qu'une seule des 4 autres communes : Trappes et moins du tiers des quatre autres communes :

Trappes, Guyancourt, La Verrière et Magny les

~",..,.,1 Les dépenses de personnel de la CASQY explo­sent (+ 6-millions d'euros depuis 200f):---·--·

... ~~~ Train de vie démesuré, opérations hasardeuses, =-:~tl~~-~~~ politique nombriliste et coûteuse en matière de

communication, imprévision dans la politique budgétaire.

9 ma·,jour de grand dé a lage

Sous la menace de les priver de leurs indemnités et de leurs responsabilités, le président de la CASQY a obtenu l'abstention des délégués dési­

gnés par Montigny, Elancourt et Voisins! Je le regrette vivement. Car devant le sort rés er­vé à tous les lgnymontains, le vote ne pouvait

être comme je l'avais souhaité qu'un vote contre ...

L'abstention est à mon avis plus qu'une erreur qui dessert les intérêts des lgnymontains éest

une faute à ne plus commettre pour l'avenir de

notre commune.

Le grand déballage annuel à· Montigny est annoncé pour le di­manche 9 mai à partir de 1 Oh et jusqu'à 19h sur l'avenue du Pas du Lac. Le Vide-Greniers affiche complet du côté des exposants, qui attendent les chineurs et le soleil.

page3

Le Sénateur-maire,

~~a~

t Culture 2 RENDEZ-VOUS JEUNE PUBLIC

page 12

t Mini Racing Car LE PADDOCK SERA À LACOULDRE LES 22 ET 23 MAl

page 14

L'ignymontain, le journal de Montigny-le-Bretonneux • Hôtel de Ville • 66, rue de la mare-aux-carats 78180 Montigny-le-Bretonneux· tél: 01 39 30 31 32. fax : 01 39 30 31 33 · mel : journal@montigny78.fr retrouvez chaque mois l'tgnymontain en ligne sur le site internet de la ville http://www.montigny7B.fr

--t

SOMMAIRE page3AGU:

L'Europe se célèbre à 25 - Médaillés du tra­vail- Vide-Greniers - Commémoration 8 mai.

pages4et 5 DOSSIER: Le budget 2004 de la

Communauté d'agglomération. page6 AGU:

Animations à la Ferme du Manet- D. De Vil­lepin à Montigny - Les tribunes des groupes du Conseil municipal.

page7 AGU: Action sociale : le CCAS en 2004 - Vigipark essaime - En bref.

page 8 ECONOMIE : Femmes et "créactives" - "Missions Courtes" innove - Où sont les jobs d'été ?

page 9 SENAT: Un droit à la Formation pour tous,

pages 10 et 11 QUARTIERS: Le Manet : en éclaireurs au Relais-Nature et au bois, des rendez-vous en mai - Sourderie­Nord : bilan et perspectives - Pas du Lac : pique-nique le 15 mai - Le Village : nouveau programme immobilier, au Club de l'Amitié­Saint-Quentin : le lycée Breteuil s'ouvre.

pages 1l et 13 CULTURE: Spectacles jeune public en mai - Boon anni­versaire Dany ! - Un bon bain, ça détend ... -Un concert qui tient le rythme- Oh mon ba­teau ...

pages 14 et 15 : SPORT Enquête : le sport scolaire à Montigny- L'ac­tu sportive : mini-racing car les ll et 23 mai - Viet Vo Dao - Tennis - Planche à voile -Hand bali.

page 16 JEUX- ANNONCES

La Jeune fille à la perle vo (1h4o-2.oo2.). de Peter Webber, avec Scarlett Johansson, Colin Fir­th, Tom Wilkinson, Cillian Murphy, Alakina Mann. Delft, XVII ' siècle. La jeune et ravissante Griet est en­gagée comme servante dans la maison du peintre Vermeer. Elle s'occupe du ménage et des six enfants de Vermeer en s'efforçant d'amadouer l'épouse, la belle-mère et la gouvernante. Au fil du temps, la sen­sibilité et la vivacité de la jeune fille émeuvent le maitre qui l'introduit dans son univers. A mesure que s'affirme leur intimité, le scandale se propage.

MER 05/05 (wh30), SAM oB/05 (18h), DIM 09/05 (15h)

Good bye Lenln ! vo (1hss-2.oo2.). Film allemand de Wolfgang Becker, avec Daniel Brühl, Katrin Sass. Alex, un jeune Berlinois de l'Est, apprend la chute du mur alors que sa mère est dans le coma à la su ite d'un infarctus. Celle-ci a toujours été quelqu'un d'actif, participant avec enthousiasme à l'animation d'une chorale. Les mois passent et le co­ma continue. La ville se transforme, les voitures occi­dentales sillonnent les rues, les publicités envahissent les murs. Au bout de hu it mois, elle ouvre les yeux dans une ville qu'elle ne peut plus reconnaltre. Alex veut absolument lui éviter un choc brutal que son coeur affaibli ne pourrait supporter.

MER 05/05 (15h), JEU o6/05 (18h), SAM 08/05 (10h3o), DIM 09/05 (18h)

Nouveau départ vo (1h4o-2.oo1). Film espagnol de César Martinez Herrada, avéc San­tiago Rames, Daniel Guzman, Miguel Rellan. A trente ans, Pablo a eu pendant plusieurs années des pro­blèmes avec la drogue. Après une cure de désintoxi­cation, il revient au village, chez son père Ignacio. Ce dernier voulait oublier l'existence de ce fils malade en se réfugiant dans la dirêction d'un choeur musical dont il est mis à l'écart aujourd'hui.

MER 05/05 (18h), JEU o6/05 (wh30), SAM oS/05 (1sh), DIM 09/05 (wh30)

Dans le cadre de la Semaine du film européen

Le Pari (1h4o), de B. Campan et D. Bourdon débat animé par le docteur Christine Camus tabaco­logue. entrée libre dans le cadre de la journée mon­

diale contre le tabac. LUN 10/05 (20h30)

Le Roi et l'oiseau ·(1979-1h2.7) Dessin an imé français de Paul Grimault, avec Jean Martin, Pascal Mazzotti, Raymond Bussières, Agnès Viala, Renaud Marx. Le Roi Charles V et Trois font Huit et Huit font Seize règnent en tyran sur le royau­me de Takicardie. Seul un Oiseau, enjoué et bavard, qui a construit son nid en haut du gigantesque palais, tout près des appartements secrets de Sa Majesté, ose le narguer. Le Roi aime les arts. Ainsi qu'une'jolie Ber­gère qui figure auprès d'un jeune Ramoneur sur un tableau qu i orne sa chambre royale. Ils sont épris l'un de l'autre et ils doivent s'enfuir pour échapper au Roi, qui les poursuit accompagné de ses sbires mousta­chus .

MER 12/05 (15h), SAM 15/05 (15h)

URGENCE SAPEURS-POMPIERS : 18

POLICE SECOURS: 17

SAMU: 15

CENTRE DE SECOURS ET D'INCENDIE Té l. : 01 30 69 39 oo

POLICE MUNICIPALE Tél. : 01 30 57 57 57

TÉLÉSURVEILLANCE Tél. : 01 34 86 26 oo

COMMISSARIAT DE POLICE Tél. : 01 30 48 26 70 OU 17

GARDES DE NUIT MEDECINS

Tél. : 01 30 57 90 45 OU 15

PHARMACI ES Commissariat

de Guyancourt

Tél. : 01 30 48 26 70

CENTRE ANTI-POISON Tél. : 01 40 37 04 04

DÉPANNAGE D'URGENCE EDF Tél. : 01 30 50 88 54 GDF Tél. : 01 30 50 8o 72

SOS ENFANTS MARTYRS Tél. : 01 45 83 75 56

Instincts meurtriers (2.oo2.-1h37) Film américain de Philip Kaufman, avec Ashley Judd, Samuel L. Jackson, Andy Garcia, David Strathairn. Jes­sica Shepard est connue pour être une détective au caractère t rempé. Hantée par le passé de tueur en sé­rie de son père, elle ne fait preuve d'aucun sentimen­talisme, que ce soit dans son travail ou dans ses re la­tions avec les hommes. Récemment promue à la cri­minelle, elle enquête su r sa première affaire: une sé­rie de meurtres sauvages dont toutes les victimes se révè lent être ses anciens amants. Jessica se rend compte qu'elle est le lien entre tous ces morts .

MER 1l/05 (18h), VEN 14/05 (wh30), SAM 15/05 (18h et whJO)

Ki li Bill, volume 1 (2.oo2.-1h52.) Interdit aux moins de 16 ans. Film américain de Quentin Ta rantino, avec Uma Thurman, Lucy Liu, David Carradine, Michael Mad­sen. Au cours d'une cérémonie de mariage en plein désert, un commando fa it irruption dans la chapelle. Laissée pour morte, la Mariée enceinte retrouve ses esprits après un coma de quatre ans.

MER 12/05 (wh30 ), JEU 13/05 (wh30 ), LUN f'!/05 (lOh en avant première volume 1 et 2.)

Kill Bill, volume 2. sortie nationale (2.003-2.h15) -­Interdit aux moins de 16 ans Film américain de Quentin Taratino, avec Uma Thur­man, Lucy Liu, David Carradine, Michael Madsen. La Mariée du volume 1 a auparavant exercé les fonctions de tueuse à gages au sein du Détachement Interna­tional des Vipères Assassines. Elle n'a alors plus qu'une seule idée en tête : venger la mort de ses proches en éliminant tous les membres de l'organisa­tion criminelle, dont leur chef Bill qu'elle se réserve pour la fin .

LUN fl/05 (lOh en avant pmnim volume 1 et 2.) MER 19/05 (14/IJO, flhJO,lOhJO), VEN 11/05 (lOhJO), 5AM l.l/05(14/IJO,

flhJO, 10h30), DIM ll/05 (14/IJO, flhJO, lOhJO)

Spécial Klll Bill1 et 2 au ciné J. Brel lundi 17 mai à partir de 2oh.

La Mauvaise éducation vo sortie nat. (:~.oo3-1hso) Film espagnol de Pedro Almodovar, avec Gael Garcia Bernai, Javier Camara, Fele Martinez. Deux garçons, Ignacio et Enrique, découvrent l'amour, le cinéma et la peur dans une école religieuse au début des années 6o. Le père Manolo, directeur de l'institution et pro­fesseur de littérature, est témoin et acteur de ces pre­mières découvertes. Les trois personnages se rever­ront, à la fin des années 70 et en 1980. Cette 2.' ren­contre marquera la vie et la mort de l'un d'entre eux.

MER 26/05 (14/1 et 20h30), SAM 29/05 (16h, 18h30 et 20h3o), DIM 30/05 (15h, 18h et 20h30)

Plein tarif : s€- Tarif réduit : 3.30€ Film longue durée : TP : 5,20€ - TR : 3,70€ Carnet de 10 places : 33€ Ems. : 01 30 44 10 11 (répondeur) ou au 01 39 30 31 70 (Direction de la Culture).

L'lgnymontain, le jou mal de Montigny-le-Bretonneux

Directeur de la publication : Nicolas ABOUT, Sénateur-ma ire- co-Directeur: Michel l.AUG IER, 1" adjoint au mai re Rédaction : 66, rue de la Mare aux Carats · 78180 Montigny-le-Bretonneux

Tél. : 0139 30 3130 Fax : 01 39 30 31 33 courriel : joumal@montigny]S.fr Directeur de la rédaction : Yann Pasco Rédaction : Y. Pasco, Sandra Duranteau, Elvire Dauberville, Anne-Sophie Pa risot,

Antoinette Prévost-Bricout Photos : Catherine Maraone, Ya nn Pasco Conception, mise en page : Y. Pasco Imprimerie: SEMI F HEBDOS : bd des Cha mps Elysées- 91002 Evry Cédex Distribution PTI Abonnement : 8,4€ pour 11 numéros- contactez le Journal ISSN : 1241-6o53

Tir~ A f9.000

exemplaires sur papier recycfl.

1

z

Du lundi 2.6 avril au jeudi 6 mai

Exposition : "le Mouvement Madi" Conservatoire des Arts

Mardi 4 <on~rence d'histoire de l'art :

"Mouvement Madi• 2oh - Conservatoire des Arts

Spectacle jeune public :

"Kaab. enfant du Sahara 2oh - Salle Jacques Brel

• Vendredi 7 "Journée de l'Europe"

Exposition sur l'Europe De 1oh à 2oh - Ferme du Manet

Samedi 8 Commémoration de l'Armistice de 194-5 Rendez-vous 10h45- Salle Jacques Brel

Fest Noz de l'association .. Ar Bernie" 20h30 - Ferme du Manet

Dimanche 9 Vide-Greniers de Montigny De 10h à 19h - Avenue du Pas du Lac

Du mercredi u au dimanche 16 Exposition des Activités Manuelles

et Artistiques à l'Hôtel de Ville - horaires d'ouverture

Samedi 15 Spectacle : "Le Quatuor• ~~ft! 21h - Ferme du Manet

Pique-nique au Pas du Lac A partir de midi -pelouse centrale

/

ErA r NAISSANCES 2.5 mars 2.004

19 décembre 2.003 JAMES Carla

LEPIN Alicia 2.6 mars 2.004

1" mars 2.004 BONZOM Antoine

KAJOUT Yasm ine BONZOM Fanny

12. mars 2.004 VU Ly

LEDRIN Camille 2.7 mars 2.004 MARTIN de 15 mars 2.004 FRÉMONT Enzo SELOI Valentin

16 mars 2.004 PAYA Corentin

BLONDEL Marine 30 mars 2.004

GRANIER Romane DELAUTRE Louis

17 mars 2.004 KEROUANE Inès

CREACH Enzo 31 mars 2.004

GASPARD Alicia CHENG Guillaume

NOËL Hugo MANTEAUX

19 mars 2.004 Raphaël

BASQUE Thélyo 01 avril 2.004

BOUCHER Axel AMCHTANE Anas

2.2. mars 2.004 AMCHTANE Anis

LONAY lker LE CYGNE Benja-

2.3 mars 2.004 min

BOUDCHAR Salim 04 avril 2.004

FUET Nathanaël LE MEUR Erwan

2.4 mars 2.004 os avril 2.004

DOAN HU U Xuan CAPITAINE Chloé

Matinée de rencontre des Conseil de

quartier du Manet et du Plan de Troux A partir de 10h

Moments conviviaux du Manet De 14h à 19h -pelouse école J. Verne

lundi 17 Soirée spé<lale "KUI Bill* , et ::l 2oh - cinéma Jacques Brel

Du lundi 17 au samedi 29 Exposition de Peintures :rt l'Huile Conservatoire des Arts

Mercredi 19 Conférence : .. L'Europe,

jusqu'oil ? jusqu'à quand ?" 20h45 - Cap Saint-Jacques (Guyancourt)

Samedi ll et dimanche 2.3 Grand prix européen de voitures

électriques radiocommandées (MIKI) Parc des sports de la Couldre

Du lundi 24 au vendredi 28

Exposition scolaire :

"Projets Scientifiques" Heures d'ouverture - Hôtel de Ville

Mardi 25

Soirée concert témoignage avec

le pianiste voyageur Marc Vella 20h30 - Eglise Saint-Quentin-les-Sources

Spectacle jeune public : .. lkala" 2oh - Salle Jacques Brel

Du mardi 2 au dimanche 6 juin Exposition Montipatch :

.. Patchwork et Broderie au ruban" De 14h à 18h - Maison Félix

c tV tL 07 avri 1 2.004 DECES CHRISTIEN Ottilie 15 mars 2.004 o8 avril2.004 ELLACOTT épouse GAD RAS LIAULT Henrietta Cl~mentine 18 mars 2.004

BASALDELLA

MARIAGES veuve PELTIER

Olga 2.6 février 2.004

2.1 mars 2.004 HANCOCK Michael

BROSSAUD épouse et BELL Margaret

MOREL Laurette 2.8 février 2.004

2.3 mars 2.004 BEUCHER Domi-

PETIT Gérard nique et LEZIA

03 avril 2.004 Nathalie LEPROVOST épou-RANNOU Jean-

se COSTANTINI Claude et KOUS-

Jacqueline SOUNGA Pattie

o8 avril 2.004 o6 mars 2.004

BOUYER Martine EL YOUBI

12. avril 2.004 Mohammed et

MOREAU Monique BELALEM Malika

PENET Louis 13 mars 2.004

13 avril2.004 NZABA Francis et ·

DIAMANT Georges VASSAL Patricia

15 avril2.004 DIAFWANA Sawa

Si vous ne souhaitez pas que des informations d'état-civil vous concernant apparaissent dans cette rubrique, contacter L'ignymontain au : 0139 30 3131 ou mel : journal@>montignY7B.fr.

col lecte sélective des

QUARTIERS

ORDURES MI:NAGËRES

VERRE EMBALLAGES

JOURNAU)\IMAGAnNES

QUARTIERS

ENCOMBRANTS 1 fois par mois

DËCHETS TOXIQUES

GRAVATS DËCHETS VERTS

déchets .,;

menagers Pas du Lac Plan de Troux Le Village La Sourderie St Quentin Plan de l'Eglise Le Manet Les Prés

mardi lundi mard i lundi samedi vendred i samedi vendredi

jeudi mercredi jeudi mercredi

Pas du Lac Plan de Troux La Sourderie St Quentin Plan de l''tllise Le Village Le Manet

Les Prés Rue A. de igny

mercredis Jeudis mercredis ATTENTION 5 mai et 2 ju in 13 mai et 10 juin 19 mai et 16 ju in Vendredi 21 mai

jeudi27 mai

Coll ectes: le 3' samedi de chaque mois de 9h à 13h place Etienne Marcel, quartier St Quen­t in, le 3' ma rdi de chaque mo is de 15h à 16h rue des Mo uettes, qua rtier Pas du Lac et de 16h15 à 19h place Jacques Cœur, quartier la Sourderie.

Une déchetterie aux At eliers municipaux (8, avenue des Frênes da ns la zone de l'Observa­to ire) les samedis de 14h à 19h et les dimanches de 16h à 19h, 4lu" mars au 30 novembre. Justificatif de domic ile demandé.

La permanence gratuite de l'AGENCE LOCALE POUR LA MAtrRISE DE l'ENERGIE se tient le 3• mercredi dé chaque n'lois de 16h à 18h~o à l'Hôtel de Villé

L 'ignymontain www.montignylS.fr

LJEurope se colfjugue à 25 depuis le l" mai. Avec rentrée en lice de 10 nouveaux paysJ /ajournée commémo­rative prend un nouveau relief. A MontignyJ révènement se célèbrera à la Ferme du Manet le vendredi 7 maiJ sous la houlette de rAssociation Montigny international et dJune (oule de participants.

L'Europe à 25 vaut • ~

bie n une JOurnee La troisième édition de la jou.rnée de l'Eu­rope aura lieu le 7 mai, à la Ferme du Ma­net pour la première année, après le succès de la salle Jacques Brel l'an passé. Au pro­gramme, une grande exposition cu ltu relle dans le hall de la Ferme, avec un spectacle à 17h15 auquel participeront les centres de loisirs, les éco les, les maisons de quartier, les collèges et les lycées ainsi que les groupes de langues et trois films euro­péens proposés par le service municipal de la culture et diffusés au cours de la semai­ne à la sal le Jacques Brel. Unejournéetrès diversifiée donc, pour partir à la rencontre de 'lOS voisins européens et créer une cul­tur:- ~ommune.

L'Europe, entre culture et partage

mé Alex fait revivre la RDA pour sa mère tombée dans le coma avant la chute du mur. La jeune fille à la perle vous permet­tra d'affiner votre oreille anglaise et votre connaissance de l'âge d'or de la peinture hollandaise chez Vermeer, qui introduit peu à peu sa servante dans son univers. En­fin, vous partirez à la découverte du milieu social ouvrier espagnol avec Nouveau Dé­part, qui raconte l'histoire de Pablo, ancien toxicomane âgé de trente ans de retour chez son père Ignacio. Espérons que l'AMI et ses étudiants sauront graver le succès de cette journée avec son projet vidéo, ainsi que celui du spectacle qui présentera de nombreux numéros, tels que les chants des centres de loisirs, des groupes allemand et anglais encadrés par mesdames Strelow, Heschmatti et Annie Patry, ainsi que des

chorales du collège La Couldre et d'Aiima­tou. Vous rirez des sketchs de l'école Eric Satie sur le thème du Moyen Age à travers l'Europe, avant de vous laisser entraîner par les chorégraphies Hip Hop de la MQ Matisse, des Bout'Choux de la MQ Mal­raux, et des Break danseurs de la MQ Jou­vet, et d'achever par la pièce de théâtre Don Quichotte, naissance d'un mythe eu­ropéen, interprétée par les élèves du collè­ge Les Prés. Et pour récupérer de tout ça, les participants et leurs familles se retrou­veront autour d'un buffet dînatoire aux goûts de l'Europe évidemment à 2oh. Pour tout renseignement, contactez Je ser­vice événementiel, organisateur de la jour­née, au 01 39 30 31 38, ou Je service culture pour la programmation cinématogra­phique au 01 39 30 31 70.

Dimanche 9 mai, le grand déballage

Il y a ceux qui espèrent le soleil pour déballer et voir disparaître leur patrimoine à bon prix. Il y a ceux qui cherchent leur perle rare et se­ront sur l'avenue du Pas du Lac aux aurores à inventorier fébrilement les étals en cours d'amoncellement. Il y a ceux qui entrevoient déjà la belle promenade digestive et ont dé­jà prévu la petite monnaie si l'occasion se présente. Il y a encore ceux qui attendront la fin d'après-midi pour mieux négocier leurs trouvailles face à des vendeurs soucieux de se débarrasser. A chacun ses aspirations, mais tous parcou­reront avec plaisir et à pied l'avenue du Pas du Lac qu'ils ont plus coutume d'enrouler vo­lant à la main tout au long de l'année. Quel que soit le sort que réservera le ciel à la jour­née, le Vide-Greniers de Montigny va ras­sembler le dimanche 9 mai prochain, de 1oh à 19h sur l'avenue du Pas-du-Lac, dans sa portion entre l'avenue de la Source et le bou­leva rd Kessel. Pour accueillir le maximum d'étals, l'espace des Petits jeux Paul Fort a aussi été réquisitionné. Cette année, il sera intégralement occupé. Plus de choix, plus d'affaires et plus de palabres en perspective. Avis aux retardataires, tout l'espace du vide­greniers est déjà réservé. Il n'en sera pas pro­posé le matin de la manifestation.

Rens. : 01 39 30 31 84

Les élèves des lycées Breteuil et Descartes vous auront préparé une exposition sur l'Europe actuelle et son élargissement, pendant que la MIJ, Montigny Information Jeunesse, repartira à ses sources, et que le groupe d'élèves anglais d'Annie Patry vous présente plus spécifiquement les pays d'Europe anglophone. Mais la culture eu­ropéenne, c'est aussi son cinéma avec trois excellents films en VO sous titrée pro­grammés à la salle Jacques Brel du 3 au 9 mai. Gqod Bye Lenin est un film allemand qui vous ramènera à l'époque du mur de Berlin où un jeune berlinois de l'Est nom-

Diplômés ignymontains du Travail

Commémorez le 8 mai 1945

La cérémonie de Commémoration de la Seconde Guerre Mondiale se déroulera le samedi 8 mai prochain. Vous êtes conviés par I'UNC de Montigny à vous intégrer au cortège, qui s'élancera à 10h45 de la salle Jacques Brel vers le Monument aux Morts de Montigny (place Marcel Guillon), où se déroulera la cérémonie officielle. Les participants se dirigeront ensuite vers la stèle des instituteurs, puis au cimetière commu­nal sur la tombe des victimes de toutes les guerres, pour les dépôts de gerbes. Chacun se retrouvera alors à l'Hôtel de Ville pour partager le verre du souvenir.

Appel à témoignages Dans le cadre des commémorations du soixantième anniversaire de la Libéra­tion, la Fondation de la Résistance et l'association Mémoire et Espoirs de la Résistance recherchent les témoignages de personnes ayant vécues, pendant la Seconde Guerre mondiale, sur le terri­toire d'une des sept communes formant l'actuelle Communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines. Contacts: Marie Dela/eu (Mémoire et Espoirs de la Résistance) : 01 45 66 92 32 Frantz Ma/assis (Fondation de la Résis­tance) : 01 47 05 67 87.

21e Mini-Puces le dimanche 6 juin

Les 21 ' mini-puces organisées par l'associa­tion Vivre auront lieu le dimanche 6 juin de 10h à 18h dans le parc de l'Hôtel d'agglomé­ration de Saint-Quentin (rue des IV Pavés du Roy). Rens. : 01 30 43 62 75.

La promotion du printemps 2004

Deux fois par an, la municipalité organise une cérémonie de récompense pour les tra­vailleurs ignymontains qui comptabilisent

plus de vingt années de travail avec une re­mise de médaille d'honneur du travail ac­compagnée de son diplôme et de ses petits cadeaux. Pour l'occasion, 98 médaillés étaient réunis le samedi 3 avril à l'hôtel de ville, afin de recevoir cette distinction mar­quant à la fois leur investissement profes­sionnel, mais aussi l'importance de l'emploi pour l'individu et la société. "Auparavant, je ne voyais pas l'intérêt de ce genre de céré­monie, pensant à la difficulté des personnes sans emploi par exemple, mais avec le temps j'ai compris que cela permettait justement de mettre en valeur l'importance du travail", commentait Françoise Cuvilliez, médaillée · d'argent et de vermeil. C'est le message qu 'adressait également le sénateur-maire à l'assemblée, développer les contacts pour fa­voriser l'emploi à Montigny, un facteur es­sentiel du développement de la personne et de la ville. La cérémonie donnait aussi l'occasion de pas­ser en revue les entreprises qui forment le berceau de l'emploi localement. Evidemment les incontournables étaient cités, Bouygues, Renault et Citroën pour la concurrence auto­mobile, EDF qui garde le tonus selon Nicolas About, et une fois n'est pas coutume, la Cais­se Nationale d'Assurance Vieillesse. Dans une ambiance joyeuse et conviviale, notam­ment pour les prochains départs à la retraite, différents parcours se croisaient. Les tra­vailleurs Grand Or qui préfèrent continuer leur activité même après 40 annuités de tra­vail, ceux qui sont en bonne voie dans leur carrière avec la couleur argent pour 20 ans et le vermeil pour 30, et enfin ceux qui voient presque le bout avec l'or pour marquer 35 ans de carrière et de cotisation. "Je souhaite que ceux qui le peuvent travaillent aussi long­temps pour garder la santé, puisque je vous trouve tous en grande forme" déclarait le sé­nateur-maire, avant d'inviter toute l'assem­blée à partager le verre de l'amitié. Immorta­lisée sur la pellicule, cette nouvelle promo-

3

tion de travailleurs exprimait ses remercie­ments. "J'ai des amis qui ont également reçu la médaille du travail par leur municipalité, mais eux ils n'ont pas eu droit à la réception et aux cadeaux", s'amusait Marie-France Pi­cavet, médaillée de vermeil.

Les récipiendaires Grand Or : Daniel NEGARET, Marcel NGUYEN VANTU , Christian PEROCHON, Jean-Claude PESLERBE (Grand Or et Or) Or : Monique ARRIVET, Roger BASTIAN, Francis BILA, Gérard BOLORE, Catherine BOUFFARD, Denise BRANCHARD, Nicole CLAUDE, Maryvonne DELAVEAU, Guy DE­MANNEVILLE, Alain FEY, Martine GAR­NIER, Mohamed HADJI, Jean-Paul HERVE, Annick HOMERIN (Argent, Vermeil et Or), Annie LE COANT, Didier LHOSTIS, Jacques LONGUET, Gérard MOTZ, Michel REBOUR­GEARD, Jacques RIVES (Vermeil et Or), Jean-Pierre ROUSSEAU (Vermeil et Or), Da­niel SAVY, Patrick SOURDAINE Vermeil : Bernard ARMANDOU, Michel BEAUGER (Vermeil et Argent), Gyslaine BRAGANZA, Patrice BRESSAN, Frédérique CARMINATI, Marie-Claude CARMONA (Ver­meil et Argent), Françoise CU VI LU EZ (ver­meil et argent), Patricia DEBIEU, Richard

DUBOUT, Maryse ELBAZ, Christian FRANCK, Patrick GAUCHET, Renée GENE­RAUX, Jeanne GIACALONE, Catherine GRE­GOIRE, Sylvie GUENSER, Serge HERNAN­DEZ, Marie-Fra nce HIL T, Dominique HOT­Tl ER, Maryse HUGON, Richard JAKUBOWS­KI , Rémy JEHANNET, Martine LAUBY, Ma­rie-Christine LE BIHAN, Denise MALAVAL, Sauveur PALMIER!, Marie-France PICAVET, Antonio PIRES, Monique SOULABAILLE, Marcelle SUEUR Chantal THEPAULT, Marti­ne THIBAUDEAU Argent : Marie-Christine AMBERT, Hadya­tou BAH, Nadège BEUNARDEAU, Michèle BEURIOT, Eliane BIRBAUD, Lysiane BO­MER, Raoul BOUDRIOT, Eric BRUNET, Georges CHRISTOS, Catherine COHIN, Didier COLLET, Nadine DALEKI , Gaetano DE LUCA, Fabrice DELATIRE, Evelyne DOLL, Joséphi­ne ENJALBERT, Marc GARREL, Patrick GAU­CHET, Catherine GILOT, Daniel GOMEZ, Marc GRANGEON, Jean-Louis HERVEAU, Chantal HOLDRINET, Alain LAIRIE, Jackie LEROUX, Thi NGUYEN, Yannick OLLIVIER, Gérard PEYRAUD, Olivier PIERSON, Hugo PIN TORRES, Sylvie POTIER, Dominique RA­BILLER, Alain REVERT, Laurence ROUXEL, Dominique TAFFANEL, Sylvaine THENARD, Chantal TOIS, Pascal WAGNER, Dominique ZLOTKOWSKI

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Cette intercommunalité • qu1 L~entente cordiale saint-quentinoise a-t-elle au plomb aans l'aile? L~artillerie a ressurgi entre villes mqjoritaires et villes minoritaires au sein ae la nouvelle Communauté a~agglomération (ex­SAN), le mardi 30 mars dernier en comité, pour le vote au buaget primitif ae l'organisme inter­communal. A sa lecture, les communes ae Monti· gny, Voisins et Elancourt ont dénoncé le retour d'un clientélisme qui favoriserait certaines com­munes au détriment d'autres. Une antienne qu'on croyait trop facilement enterrée, alors que la CASQY aoit au terme ae l'année 2004 en­tériner l'étendue ae ses compétences. L'emeu est stratégique pour le président Robert Caaalbert, à l'origine ae la normalisation aes relations de­puis 2001, qui devant la fronde aes trois com­munes a menacé ae leur retirer leurs vice-prési­dences. Les élus minoritaires se sont alors réso­lus à une simple abstention. Le Sénateur-Maire ae Montigny Nicolas About a dénoncé une «atti­tude sectaire», déplorant la gabegie et les aiffé· renees ae traitement qui entourent la gestion ae la communauté d'agglomération (voir son édito­rial en première page).

Réforme de la taxe professionnelle

aucune anticipation depuis 1999

Le président de la Communauté d'Agglomération Robert Ca­dai bert voit dans la réforme de la taxe professionnelle, l'im­pôt local des entreprises qui constitue sa principale rentrée budgétaire, une mesure gouvernementale préjudiciable, qui ampute les recettes de la Communauté d'Agglomération de quelque 25 millions d'euros, et entrave sa politique d'inves­tissement. Au passage, l'argument est plus politicien que po­litique, puisque ce faisant le président omet de préciser que cette réforme de la taxe professionnelle a bel et bien été en­térinée en 1999 dans le cadre de la loi de Finances de Domi­nique Strauss-Kahn, alors ministre des Finances du gouver­nement socialiste. Pour Armelle Aubriet, représentante de Montigny à la CASQY, mais aussi adjoint aux Finances de la ville, "c'est surtout d'un manque d'anticipation évident dont est coupable la Communauté d'agglomération, qui connaît la situation depuis 1999 mais n'a pas pris les décisions qui s'imposaient pour intégrer ce manque à gagner, et a préféré continuer de vivre au dessus de ses moyens. Quand on sait qu'on va être moins riche, on doit avoir la lucidité et le cou­rage de prendre les dispositions qui s'imposent ! "

~Lê s--i ndem n ités deSl élus de la CASQY

Le comité de la Communauté d'Agglomération est constitué de 42 délégués. Des indemnités mensuelles sont accordées aux 18 membres du bureau, qui consti­tuent l'exécutif de l'organisme intercommunal. Ces in­demnités se répartissent comme suit :

Président:

1

Vice-Présidents et gués:

3244 € bruts par mois

1378 € bruts par mois

Evolution des dépenses de la CASQY de 2001 à 2004

Un train de vie démesuré

Le budget principal de la CASQY avoisine les 250 millions d'euros, ce qui lui confère les moyens d'un train de vie sans rapport avec celui des villes. Les Elus minoritaires dénon­cent ainsi régulièrement l'inflation permanente des frais de personnel ( + 6 millions € depuis 2001), et les manifesta­tions à répétition, couvertes par une communication d'ima­ge plutôt que d'information aux habitants. "On peut s'éton­ner par exemple du nombre de cadres de catégorie A mise à disposition du service communication de la CASQY, pour une politique éditoriale finalement peu productive", re­marque Jean-Pierre Pluyaud, élu municipal délégué à l'inter­communalité, qui siège à la CASQY. "La communauté d'ag­glomération favorise beaucoup une politique d'image nom­briliste, à travers des opérations parfois hasardeuses, com­me celle initiée avec Alain Prost par exemple. Promouvoir l'intérêt pour le monde économique de choisir Saint-Quen­tin, c'est cohérent. En revanche, multiplier les manifesta­tions ou les partenariats coûteux (Tour de France à la voile, Festival Polar, cérémonies de voeux tous azimuts ... ) pour se regarder dans la presse ou poser ses calicots partout, c'est plus critiquable". Sur le plan culturel, Jean-Pierre Pluyaud remarque aussi des disparités de fonctionnement. Ainsi certaines communes se font pratiquement financer leur propre politique culturelle par le biais de l'intercommunalité. " De même, l'intérêt in­tercommunal de certaines salles culturelles comme la Meri­se, la Ferme de Bel Ebat ou le Scarabée reste à démontrer". Le théâtre de Saint-Quentin, scène nationale installée sur le

territoire de Montigny, s'apparente à un temple sacré avec lequel il est délicat de mener des opérations de partenariat."

Moins d'image, plus de concret

Jean-Pierre Pluyaud revient sur les pommes de discorde ré­apparues entre majorité et minorité. "L'intercommunalité, c'est avant tout la solidarité qui s'exerce sur un territoire pour garantir son développement. Chacun l'a compris, en particulier pour Trappes ou La Verrière vers lesquelles se di­rige une part importante de l'action intercommunale. A cet égard, Montigny, qui jusqu'au milieu des années 90 a rap­porté le plus de recettes fiscales de la taxe professionnelle à l'agglomération, a montré la voie pendant plus de 15 ans. Nous souhaiterions être sûrs que la solidarité s'exerce de la même manière maintenant avec Guyancourt. " Autre inquié­tude majeure pour Armelle Aubriet, le développement ex­ponentiel du budget de fonctionnement de la CASQY, qui enfle au détriment des capacités d'investissement de l'orga­nisme communautaire. "Les demandes d'investissement des communes ne peuvent pas être satisfaites en partie à cause du train de vie de la Communauté d'agglomération. Elle ne peut plus investir sans emprunter, alors que son taux d'en­dettement est déjà très élevé. Il faut s'interroger sans polé­mique sur la gestion de la Communauté d'agglomération. Ainsi la communication de la CASQY devrait mieux s'adres­ser au monde de l'entreprise pour favoriser l'attractivité économique, plutôt qu 'à la vie des communes que chacune reflète très bien au travers de ses publications. Moins d'ima­ge et plus de concret, c'est sans doute le meilleur service que la CASQY pourrait rendre au territoire qu'elle administre."

Evolution des dépenses de personnel de la CASQY de 2001 à 2004

Il charges de personnel (en mill ions d'€) ~nombre de personnes

"Tous égaux, mais certains plus que d'autres"

75000 habitants 70000 habitants

Coluche n'aurait pas pu choisir meilleur exemple que le fonctionnement de la CASQY pour illustrer sa fameuse maxime. A la Communauté d'agglomération, le bureau, composé du président, de ses 13 vice-présidents et de ses 4 conseillers délégués constitue l'exécutif de la Communau­té d'agglomération. Depuis l'arrivée de Robert Cadalbert à la présidence en 2001, des efforts d'ouverture ont permis aux trois villes composant la minorité politique de droite (Montigny, Elancourt et Voisins) d'obtenir une vice-prési­dence chacune. Il n'en demeure pas moins que la repré­sentativité des communes est largement sujette à caution. On observe ainsi la présence de 6 Guyancourtois parmi les 18 membres, de 3 Magnycois, 4 Trappistes et un Verrièrois. Aux trois villes minoritaires de se partager les quatre der­niers sièges de l'exécutif. Bien que commune la plus peu­plée de l'agglomération, la participation de Montigny à l'exécutif de la CASQY se limite à 2 représentants sur 18.

Les deux uniques représentants élancourtois et vicinois at­ténuent à peine le fort déséquilibre de représentation au détriment des villes minoritaires (4 représentants contre 14), alors même que ces 3 communes totalisent une popu­lation supérieure aux 4 autres. Ce fonctionnement délibérément partisan de la CASQY instaure de fait une différence entre les habitants de Saint-Quentin, qui ne sont pas traités avec la même at­tention selon la commune où ils habitent.

4

, 4 representants

, 14 representants

Nombre de représentants au bureau de la CASQY

Montigny 2 (pour 36ooo hab.)

Trappes 4 (pour 29000 hab.)

Elancourt 1 (pour 27000 hab.)

Guyancourt 6 (pour 26ooo hab.)

Voisins 1 (pour u6oo hab.)

Magny-les-H. 3 (pour 9000 hab.)

La Verrière 1 (pour 6ooo hab.)

Total: 18 représentants

..

M9~It!;;.t:'-!Y L 'ignymontain www.morrtignylB.fr

oublie les lgnymontains Répartition des investisse­ments pour les cam mu nes

de 1998 à 2003 Coût des travaux population 1 nvestissement de 1998 à 2.003 (en milliers d"hab) par habitant

Elancourt 10,6M€ 27221 392€

Montigny 22,2M€ 35695 623€

Voisins 4M€ 12606 324€

Guyancourt 32M€ 26336 1212 €

Magny 14M€ 8986 1578 €

Trappes 39,5M€ 29116 1359 €

La Verrière 31,7 M€ 6175 514€

Les premières missions de la CASQY:

équiper les communes gérer les équipements

communautaires Le Sénateur-Maire Nicolas About observe que le dernier rap­port de la Chambre Régional des Comptes, qui épinglait cer­tains aspects de la gestion de l'organisme intercommunal à la fin des années 90, n'a pas vraiment servi de leçon. "Ce rap­port constatait déjà que des compétences insuffisamment définies pouvaient engager le SAN dans un gaspillage finan­cier. Il notait précisément la situation paradoxale conduisant l'intercommunalité à affecter ses ressources plus souvent au fonctionnement du parc d'équipement actuel qu'à son ex­tension". Pour Nicolas About, l'évidence est là : le déficit d'investissement engendré par un train de vie somptuaire pénalise les habitants des communes, et en particulier ceux des communes minoritaires.

Le budget 2004 de la CASQY

Trappes 1359€

La Verrière 514€

Magny-les-H. 1518€

"Carton jaune pour ce budget de la CASQY"

"Le budget 2004 de la Communauté d'agglomération se révè­le tout simplement catastrophique". Nicolas About condamne sans réserve un budget qui contraint à un investissement au régime sec pour les communes. "A Montigny, nous ne rece­vons que 2,7 M€, essentiellement pour des opérations d'amé­nagement en fin de réalisation, comme la construction de la salle Brugnon au IV Pavés, la fin du groupe scolaire du Pas-du­Lac, et des crédits d'étude pour le réaménagement de l'école du Poirier Saint-Martin et l'extension de notre Hôtel de ville. La CASQY n'évoque même plus beaucoup de nos demandes réitérées, comme la réfection du Club le Village alors que ce quartier en expansion n'est pas équipé de structure de quar­tier, ou encore la sécurisation de l'avenue de Denton au Pas du Lac pour l'ouverture de la nouvelle école. Ce budget est un véritable coup de semonce. Robert Cadalbert doit moins gas­piller et mieux traiter tous les habitants de Saint-Quentin". Le Sénateur-maire de Montigny sort le carton jaune. C'est à la fin de l'année, lorsque la CASQY aura fini d'examiner l'ensemble de ses compétences (voir ci-contre) qu'on saura s'ille rembal­le ou s'il sort le carton rouge.

Investissements Dotations Dotations .2004 CASQY aux communes par habitant

La Verrière 3,sM€ 566,8 €

Magny 3,1 M€ 344.,4€

.1 Une dérive toujours plus importante des coûts de fonctionnement et des charges de personnel.

Trappes

Guyancourt

7,1M€ 240,4€

saM€ 201,5 €

Voisins 1,8M€ 142,8 €

.1 Un traitement inéquitable des habitants de l'agglo­mération en fonction de leur commune de résidence.

Montigny

Elancourt

2,7M€ 75€

1,6M€ 59,2€

Michel LAUGIER, vice-président de la CASQY

"Traitez les communes et les habitants avec équité"

L 'ignymontain : depuis près de 3 ans vous ~tes vice-président de la Communauté d'Agglomération de Saint-Quentin-en­Yvelines, quel bilan faites-vous ?

Michel Laugier : lors des dernières élections municipales la majorité socialo-communiste de l'intercommunalité et son président ont souhaité associer les représentants des com­munes de droite dans la gestion en leur proposant des vice­présidences sans délégation particulière. Il a fallu donc at­tendre la fin de l'année 2003 pour que me soit enfin donnée une véritable délégation avec la présidence de la commission du contrôle des investissements sur Saint-Quentin-en-Yve­lines, un événement historique puisqu'il faut remonter à la fin des années 70 pour voir un élu de droite à la tête d'une commission intercommunale.

L 'ignymontain : participez-vous pleinement à l'exécutif ?

Michel Laugier: il y a les paroles et les actes. En effet je suis membre du bureau de la Communauté d'Agglomération . Mais je n'ai jamais été associé ni aux grandes orientations, ni aux priorités, ni aux arbitrages du budget. C'est pourtant ce que nous attendons depuis plusieurs années afin que nos 7 communes soient traitées de manière équitable. Je vous rap­pelle que nous sommes dans une assemblée intercommuna­le élue au second degré et que nous devons agir dans l'inté­rêt de toutes les communes.

En tant que Président des élus de droite du SAN puis de la Communauté d'Agglomération, j'ai toujours proposé cette participation responsable, mais en vain . Peut-être la majori­té craint-elle de nous donner raison puisque depuis plusieurs années nous dénonçons les dérives du budget de fonction­nement, ce qui réduit nos possibilités en matière d'investis­sement, la mission première de notre structure intercommu­nale. Nous avons chargé le cabinet Philippe Laurent Consultants d'une mission d'audit. Tout d'abord sur les 10 dernières an­nées de gestion du SAN. Quels investissements ont été réa­lisés entre 1993 et 2003 ? Vers quelles communes ? Deuxiè­mement sur l'inventaire de tous les équipements publics existants sur chaque commune, scolaires, culturels, sociaux, spor­tifs, avec bien entendu les sources de financement, intercommu­nales, ou communales comme pour certains sites de Montigny comme la ferme du Manet, le Centre aquatique ou encore le centre sportif Pierre de Coubertin . Cette étude sera présentée avant l'été devant la commission dont j'ai la responsabilité.

5

Elancourt 391€

Montigny 623€

Voisins 323€

Guyancourt 1212€

Répartition de l'investissement de ta CASQY aux communes par habitant de 1998 à 1003

Des compétences bien déterminées

par la loi 1 La Communauté d'Agglomération a reçu la mission délé­! guée des communes de Saint-Quentin de plusieurs corn­' pétences d'intérêt communautaire. Il s'agit notamment d'aménager l'espace communautaire, en particulier en

: créant pour les villes les équipements publics dont elles ' ont besoin (écoles, équipements sportifs, culturels ... ). Il s'agit encore de favoriser le développement économique

1 du territoire en étant le partenaire local des entreprises ' qui s'installent (et en touchant la taxe professionnelle, l'impôt local des sociétés), de veiller à l'équilibre social de , l'habitat, aux différents aspects de la politique de la ville, ' au développement et au fonctionnement des transports publics, des réseaux (voiries, éclairage et feux tricolores), ' enfin de mener des actions en faveur du sport, de la cul- ! ture ou encore de la santé. ·

.;

2004,annee : charnière 1 Après s'être penchée et avoir précisément cadré les corn- ; 1 pétences obligatoires qui sont les siennes dans le cadre lé- : : gal qui la définit, la communauté d'agglomération doit , : examiner tout au long de l'année 2004 ses compétences , 1 optionnelles. Celles-ci peuvent concerner la création et , 1 l'aménagement des voiries d'intérêt communautaire, la : 1 protection et la mise en valeur du cadre de vie, l'assainis-! sement, l'eau et la construction et la gestion d'équipe-! ments culturels et sportifs d'intérêt communautaire. Les · conventions spécifiques passées avec les communes de- j vront aussi être discutées, qui concernent par exemple : l'entretien de certaines voiries ou les subventions accor-

1

dées aux associations. Sur tous ces sujets, les votes de­vront intervenir à la majorité qualifiée (2/3 des conseils

1 municipaux représentant 3/4 de la population totale ou j 3/4 des conseils municipaux représentant 2/3 de la popu­l lation). Un processus dans lequel le conseil de Montigny j détient une minorité de blocage.

1

1

Imaginer une autre intercommunalité ?

Deux intercommunalités pour Saint-Quentin ? C'est sa longue expérience au service du bassin de vie saint-quen­tinois qui fait observer à Nicolas About la possibilité de deux territoires pertinents à l'Est et à l'Ouest de l'actuel ! périmètre. "Nous avons d'abord la nécessité de faire vivre notre communauté d'agglomération et de guider ces fu­tures orientations. Mais cette sectorisation Est et Ouest mérite aussi d'être étudiée. Il existe indéniablement une cohérence naturelle dans l'imbrication des territoires de 1

Trappes, Elancourt, la Verrière, Maurepas, voir Coignières : et Plaisir, séparé par la Nationale 10 du bassin de vie à l'est 1

formé par Montigny, Guyancourt et Voisins." Pour le Sé- ' , nateur-maire de Montigny, la question peut donc se poser

'

sans tabou du découpage de Saint-Quentin en deux terri­toires. C'est un élément du débat qui méritera d'être ou- 1

1 vert tôt ou tard. l

-+

Le Ministre de l'Intérieur en visite

Pour aémontrer sa volonté ae proximité aans sa nouvelle responsabilité ministérielle, Domi­nique ae Villepin a réservé rune ae ses premières visites officielles en tant que ministre ae l'In- ' térieur au centre ae secours ae Montigny, lejeuai l5 avril.

, Souhaitant favoriser les déplacements sur le terrain, le nouveau Ministre de l'Intérieur Dominique De Vil lepin, est venu rencontrer les sapeurs pompiers au centre de secours

' de Montigny le jeudi 15 avril dernier. Après , avoir assisté aux démonstrations des sol ­, dats du feu et visité la salle "18", lieu straté­, gique où sont reçus les appels d'urgence, le : ministre accompagné notamment du Pré­, fet des Yvelines Bernard Niquet et du Séna-1 teur-Maire Nicolas About, a présenté les grandes lignes de la politique qu'il entend mettre en œuvre. Dynamiser le bénévolat

en abaissant à 16 ans l'âge d'engagement et renforcer la sécurité des acteurs sur les in­terventions seront ses priorités. Il a profité de cette rencontre pour annoncer que la re­connaissance de la dangerosité du métier , de pompier figurera dans la loi de moderni- ' sation de la sécurité civile, présentée en : juin prochain au Sénat. Sensibilisés par cet- : te intervention, certains pompiers regret- , tent tout de même que le ministre n'ait pas évoqué la question de la retraite anticipée à ; 55 ans et à taux plein, demandée par les 1

syndicats.

La tri bu ne de Montigny Plurielle

Brèves . A l'occasion des dernières élections régio­nales, nous avons découvert que plus de 2 ooo personnes ont été radiées des listes électorales à Montigny. Ainsi, des lgnymontains qui ont déménagé, en restant dans la commune, sans faire leur changement sur les listes électorales, ont été surpris de constater qu'ils ne pouvaient pas voter. C'est l'application, rigoureuse de la loi, certes, mais cela pose de véritables pro­blèmes : - la minorité n'a aucun représentant dans la commission de radiation et si nous ne doutons pas du sérieux des personnes qui y ont siégé (les derniers résultats électoraux tendent à prouver qu'il n'y a pas de doute là-dessus) la transparence dans ce genre de lieu nous paraît indispensable. Nous demandons donc à ce que, à l'avenir, nous puissions y participer. -dans une période où on rappelle les citoyens à leurs responsabilités civiques, il est conster­nant de voir certains de nos concitoyens frus­trés de ce droit fondamental qu 'est le droit de vote. - des erreurs ont parfois été commises en ra i­son d'une mauvaise distribution du courrier, il faut donc introduire plus de souplesse dans le système avant d'arriver à la radiation. Pour les élections européennes qui auront lieu le 13 juin toute personne qui habite Montigny et qui a été radiée des listes peut voter, elle doit dans les semaines qui viennent se rendre à la Mairie pour se faire réinscrire. Faites le sa­voir autour de vous.

. Lors du dernier conseil municipal, nous avons examiné la carte scolaire pour la rentrée 2004 proposée par l'Inspection Académique. L'avis du conseil n'est que consultatif cependant la minorité s'est opposée à ce qu'un avis favo­rable de la ville soit donné comme le préconi­sait la municipalité. En effet, la situation pro­posée conduit, comme l'année dernière, à ins­crire des fermetures de classe en préélémentai­re (Satie) et en élémentaire (Le Village, Le Poi­rier Saint-Martin). L'avis défavorable du conseil rendu l'année dernière ainsi que la mo­bilisation de tous les acteurs éducatifs et en

particulier de l'inspectrice, avaient permis, à la rentrée, d'éviter des fermetures. Pourquoi ac­cepterait-on aujourd'hui ce qui nous choquait hier, c'est-à-dire une logique comptable qui fait que certaines classes sont prévues à plus de trente (31 à Mansart en Maternelle) et que les classes de plusieurs niveaux se multiplient ? Pour la qualité de l'enseignement à Montigny notre devoir est bien de montrer notre défian­ce vis-à-vis de cette logique.

. L'essentiel se passe ailleurs ? La nomination d'un nouveau chef de la sécurité à Montigny est l'occasion, une nouvelle fois, de prendre conscience qu'une grande partie de ce qui se passe dans les services d'une Mairie échappe au regard de la minorité et des conseillers muni­cipaux dans leur ensemble. Par exemple, en terme de sécurité, quel bilan pour la Police Mu­nicipale (coût, services rendus ... ) quelle effica­cité pour la vidéo surveillance ? Difficile de se prononcer. Il n'y a pas d'occasion, ni d'obliga­tion de présenter un bilan aux conseillers mu­nicipaux, des actions de la police municipale, du conservatoire de Musique, du conservatoire des Arts, de la Maison de la Réussite etc. Alors que nous avons, chaque année, le bilan de cer­taines associations qui dépendent directement de la Mairie comme Montigny Patrimoine (Ferme du Manet), nous n'avons aucune infor­mation, ni même à nous prononcer réellement, sur des secteurs qui sont pourtant essentiels pour la vie dans notre commune. Nous avons demandé que soit présentés en conseil munici­pal de tels bilans, ce qui permettrait de prendre position en connaissance de cause au moment du vote du budget. L'extension de la vidéo sur­veillance se justifiait-elle? Certains cours en conservatoire sont-ils de trop, comme semble le penser Monsieur le Maire ? Autant de ques­tions qui nécessiteraient d'être traitées lors d'un débat en conseil municipal avec des infor­mations à l'appui. Nous continuerons donc de réclamer ces bilans.

Pour nous contacter : Montigny Plurielle 2, rue de Bretagne montigny.plurielle@voila.fr

6

L 'ignymontain www.montigny78.fr

L'animation passe par la Ferme du Ma net

Une première Prairiale séduisante, organisée les 24 et 25 avril, a montré qu'elle mérite ae se maintenir au calenarier annuel aes manifestations ae la ville.

Bourse aux collections, Prairiale, Marché des Fêtes de Printemps, la Ferme du Manet s'entend désormais avec le mois d'avril pour s'éveiller aux beaux jours, et attirer le public autour de manifestations théma­tiques. La dernière en date a eu lieu le week-end dernier (nous y reviendrons dans notre prochaine édition) pour le plus grand profit des futurs fêtés (pères, mères, bapti­sé(e)s et consorts) . Mais le mois d'avril avait débuté à la Ferme du Manet avec la Bourse aux Collections. A cette occasion, votre collection s'est-elle enrichie ? Il semblerait que oui pour une bonne partie des visiteurs qui ont afflué nombreux toute la journée du dimanche 4 avril à la Ferme du Manet, à l'occasion de la première édition de la Bourse aux Collec­tions made in Montigny. Le Lions Club et l'APl, Association Philatélique lgnymontai­ne, organisateurs de l'évènement étaient en tout cas satisfaits de ce lancement. "Nous sommes très contents du succès de cette première, nous avons eu de très bons retours de la part des exposants qui ont ap­précié le faible prix du mètre linéaire et la qualité de l'organisation. On a compté plus de 1000 visiteurs collectionneurs plus ou moins férus, pour qui ça a été un véritable plaisir de chiner parmi les exposants, et nous souhaitions d'ailleurs remercier la municipalité sans qui la manifestation n'aurait pas pu avoir lieu", a déclaré Guy Sauzet, président du Lions Club. Cette ma­nifestation a donc déjà séduit son public, et même ceux qui n'achetaient pas ont eu le plaisir des yeux et de la découverte. Véri­tables passionnés, professionnels ou ama­teurs, la trentaine d'exposants présents en­gageaient volontiers la conversation. "J'étais invitée à m 'asseoir, les exposants n'hésitaient pas à me conseiller et à me montrer leurs acquisitions, car je n'ai pas fait qu 'acheter, j'ai surtout échangé" expli­quait Catherine, collectionneuse placomu­sophile débutante. " En tout cas j 'ai décou­vert le Club des Collectionneurs des Yve­lines qui a été très sympa", a-t-elle ajouté. Timbres, monnaies, tire-bouchons, revues,

Objets trouvés à la police Municipale

La Police Municipale détient actuellement un stock important d'objets trouvés, notam­ment des téléphones portables et des lu­nettes. Elle invite les personnes éventuelle­ment concernées à se présenter au plus tôt à son bureau d'accueil, dans le centre Jacques Prévert (accès par le parking de l'Hôtel de Ville à la Sourderie). Rens. : 01 30 57 57 57·

appareils photos, mignonnettes de par­fums, plaques de muselet dites capsules de champagne pour les néophytes, fèves, figu­rines en plastiques, il y en avait pour tous les goûts. En tenant la buvette, les Léos ont rapporté un bénéfice de 280€ sur les 400€

récoltés au total pour l'achat du chien gui­de d'aveugle. Une famille était d'ailleurs présente avec un chien pour montrer son utilité.

Une Prairiale très séduisante

Le principe et la finalité de la Prairiale, or­ganisée les 24 et 25 avril , étaient iden­tiques. Il s'agit là de proposer aux visiteurs un marché des fleurs et de l'art du jardin, à un moment stratégique où les jardins s'éveillent. De nombreux exposants très di­vers étaient au rendez-vous de cette pre­mière, sous un soleil radieux, qui devrait accueillir plus de visiteurs lors de ses pro­chaines éditions. Ce dernier week-end des vacances de Pâques n'était peut-être pas non plus la date la plus propice, mais le pré­sident Sauzet se déclarait néanmoins satis­fait de la qualité de la manifestation, qui recèle encore une bonne marge de progres­sion. Présent les deux jours, le Sénateur­Maire Nicolas About s'est félicité de décou­vrir la ferme du Manet comme il souhaitait la voir depuis longtemps, c'est à dire four­millant de vie et d'animation aux 4 coins du parc.

La première Bourse aux collectionneurs a mo­bilisé les passionnés le 4 avril.

Accès à la citoyenneté

Le Préfet et le Procureur de la République ont récemment procédé à l'installation de la Commission départementale d'Accès à la Citoyenneté, qui a pour but de lutter contre les discriminations raciales en ma­tière d'accès à l'emploi, au logement et aux loisirs. Rens. : 114 (n° vert national) ou 01 39 49 72 72 (CODAC).

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Vigipark essaime dans les quartiers

Soucieux de trouver une solution aux problèmes d'occupation abusive de places handicapées par des conducteurs peu scrupuleux, le CCAS a passé un contrat avec la société Vigipark. Celle-ci commercialise un système de réserva­tion d'emplacements empêchant par un arceau l'accès aux places handicapées à ceux qui ne sont pas munis d'un bip adapté. Automatique et autonome, ce dispositif fonctionne grâce à l'énergie so­laire et comporte de nombreux systèmes de sécurité. 7 places handicapées sur les 53 que comptent la commune en sont équipées. Le C.C.A.S délivre gratuite­ment le bip aux personnes détentrices d'une carte d'invalité Cotorep à 8o% en échange d'une caution de 15€. Il semble important de souligner qu'il donne accès à toutes les places équipées du dispositif "vigipark-handipark" partout en France, tout en offrant bien d'autres fonctionna­lités et services. Vous les trouverez : au Centre aquatique du Lac devant l 'Hôtel de Ville à la Ferme du Manet à la salle Jacques Brel sur les places André Malraux, Choiseul et des Causses. Rens. : CCA.S au 01 39 30 30 20

EN BREF

Transport: des perturbations

à prévoir La SNCF vous informe que dans le cadre du programme d'entretien et d'amélio­ration des installations ferroviaires, des perturbations sont à prévoir au cours du mois de mai sur la ligne C du RER.

· Entre le boulevard Saint-Victor, Ver­sailles Rive Gauche et Saint-Quentin-en­Yvelines, la circulation sera totalement interrompue dans les deux sens, la nuit du 3 au 4 mai à partir de 23h, et les 15 et 16 mai toute la jounée. Sur la ligne Saint-Quentin - la Défense, la circula­tion sera totalement interrompue le sa­medi 8 mai toute la journée et le di­manche 9 mai jusqu'à 17h. La DDE 92 vous informe que suite à des travaux de construction de murs anti­bruit à Clamart, l'A 86 sera fermée à la circulation durant le mois de mai dans le sens Créteil-Versailles, du lundi soir au jeudi soir, de 22hoo à 6hoo. Rens. : www.a86-damart.com au 0145 26 26 56 ou 014120 76 40.

Collecte de sang le vendredi 21 mai

Le Centre de tranfusion sanguine orga­nisera sa prochaine collecte de sang à Montigny le vendredi 21 mai, place Etienne Marcel au centre ville de 15h3o à 19h30. L'accès est libre.

Le buaget 1004 au Centre Communal a, Action Sociale (CCAS) ae Montigny-le-Bretonneux s,inscrit aans la conti· nuité ae la politique menée aepuis le début au manaat et le renforcement aes aiaes auprès aes personnes aé­penaantes et handicapées.

plus Actio n sociale • •

que jamais sol id •

Le CCAS (Centre Communal d'ac­tion Sociale) de Montigny dispose d'une équipe de 25 agents, qui sui­vent annuellement 629 dossiers d'aide sociale. L'équipe gère en outre les dossiers de 70 bénéfi­ciaires de la téléassistance, 40 per­sonnes présentes en moyenne à cbaque activité proposée aux se­niors (huit sorties par an). Il gère également 8oo demandes de logements chaque année et 733 demandeurs d'emploi entrés et sortis du fichier de Montigny Dé­veloppement Emploi. La volonté des administrateurs est d'être tou­jours à l'écoute du public qui s'adresse au CCAS et de privilégier un traite­ment personnalisé des bénéficiaires, que ce soit en matière d'aides sociales, de loge­ment ou d'emploi.

LA RAPIDITE D'INTERVENTION

Le Conseil d'Administration du C.C.A.S. a mis en place une organisation permettant de répondre rapidement aux besoins des ad­ministrés car la réactivité est souvent déter­minante dans l'apport de solutions pour cer­taines situations difficiles. Le président ou le vice-président a la possibilité d'engager des aides matérielles immédiates et les com­missions d'aides sociales récemment mises en place prennent le relais à la demande en cas d'engagements financiers plus impor­tants. Un psychologue intervient chaque se­maine pour rencontrer les familles en diffi­culté et les aider à faire le point sur leur si­tuation et, éventuellement, à les orienter vers des professionnels. Il apporte un sou­tien technique auprès des professionnels dans l'approche des familles et dans les aides à apporter. Le C.C.A.S. met également au service des lgnymontains une structure particulière-

ment adaptée avec la Boutique Alimentaire. Ouverte toute l'année, elle est un lieu d'ac­cueil, d'écoute, de parole, de parentalité et elle permet à toutes les familles en difficul­tés de se nourrir. La volonté des élus est d'optimiser le partenariat qui s'est créé avec l'hypermarché Carrefour, de proposer la plus grande diversité de produits et de privi­légier l'accueil dans les nouveaux locaux de la Maison Prévert. Certaines familles sont également prises en charge par BALISQY, une autre boutique alimentaire financée en grande partie par Montigny, implantée à la maison de Quartier Louis Jouvet. Mais l'intervention du CCAS s'applique aus­si sous forme de nombreuses autres aides comme les bourses communales pour la sco­larité des enfants, la carte orange, les chèques mobilité .. . sans oublier le Noël du CCAS qui rassemble plus de 65 familles et 129 enfants pour un moment d'intense convivialité. De même, pour soutenir les infirmières sco­laires dans leur action de prévention auprès des enfants, le CCAS a procédé à l'achat de

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matériel tels que audiomètre, balance, toi ­se ... C'est cet effort important de solidarité qui doit se poursuivre.

LE MAINTIEN A DOMICILE

La nouvelle organisation du secteur d'aides à domicile pour les personnes dépendantes, âgées ou handicapées, a permis de faire évo­luer harmonieusement ce service. Les admi­nistrateurs souhaitent poursuivre ce déve­loppement qui comprend les aides ména­gères, les auxiliaires de vie, le portage de re­pas et la téléassistance. La convention avec le Pact'Arim permet d'assurer le finance­ment de certains travaux d'aménagement chez les particuliers.

LES AIDES AUX PERSONNES

HANDICAPEES Depuis plusieurs mois les réflexions de la commission Handicap ont permis de régler de nombreux problèmes d'accessibilité dans les bâtiments publics et privés et sur les voi­ries. Depuis quelques jours ont été installés les dispositifs pour le stationnement sur les places réservées aux handicapés, qui com­plèteront le renforcement de la signalétique "Si tu veux ma place prends mon handicap". Il a été mis en place depuis quelques mois un dispositif de maintien à domicile pour les personnes lourdement handicapées en par­tenariat avec la DDASS avec, notamment, le recrutement de deux auxiliaires de vie. Une collaboration avec le Conseil Général des Yvelines et la Communauté d'Agglomé­ration de Saint Quentin en Yvelines est en cours pour l'installation de la coordination du handicap à Montigny dans les locaux de la Maison Prévert qui accueille déjà la Bou­tique Alimentaire, la Maison Médicale (gar­de de nuit et de week-end des médecins) et prochainement une antenne du SAMU. Le travail se poursuit également au niveau de l'intercommunalité sur l'arrivée d'un CAT pour enfants atteints d'un handicap mental toujours sur notre commune. Au mois d'oc­tobre, la ville souhaite organiser une "Se­maine du Handicap" qui associera événe­ments culturels, sportifs ainsi que des conférences et des débats.

LE LOGEMENT L'activité est dense dans ce secteur malgré la marge de manœuvre limitée. Sur un pa­trimoine de 3200 logements, la ville de Montigny a un droit de proposition d'attri­bution sur 320 d'entre eux, loin, très loin derrière le 1% patronal et la Préfecture. C'est-à-dire qu'une trentaine d'apparte­ments par an seulement change de locatai­re sur le contingent communal alors qu'il est enregistré à ce jour plus de 8oo de­mandes.

Malgré cette portion congrue le rôle du service logement est essentiel puisque, parmi les attributaires, le C.C.A.S. est le seul à accueillir les demandeurs pour les conseiller ou appuyer leur demande. La Conférence Communale du Logement qui réunit tous les acteurs du logement permet au moins de peser sur les bailleurs pour des travaux de réhabilita­tion ou d'entretien. L'objectif est que l'on ne puisse pas distinguer dans Monti­gny le logement social du logement pri­vé. Il a été mis en place avec certaines sociétés HLM des commissions d'im­payés de loyers afin de pouvoir anticiper des situations qui pourraient rapide­ment se dégrader. Un partenariat a été

signé avec l'Agence de Maîtrise de l'Energie pour des interventions d'information ou de formation chez les locataires et les services du C.C.A.S. sont en contact permanent avec EDF pour les mêmes préoccupations.

LES SENIORS Si la priorité est l'aide aux plus fragiles avec le service de maintien à domicile mais aussi les allocations chauffage, l'objectif est de poursuivre également le développement des activités comme neurogym et de propo­ser un programme varié de sorties, de conférences, d'initiation aux nouvelles tech­nologies, sans oublier le voyage annuel qui aura pour destination cette année l'lie de Madère et, bien sûr, le traditionnel repas de Noël. Il est prévu de mettre en place, en par­tenariat avec le Club de l'Amitié et les Conseils de Quartier, une cellule de veille sa­nitaire notamment pendant la période esti­vale afin de rompre l'isolement des per­sonnes seules ou malades.

L'AIDE AUX ASSOCIATIONS

Les membres du C.C.A.S. sont particulière­ment attentifs au rôle déterminant des as­sociations dans le secteur social. C'est pour­quoi en fonction de critères précis, le C.C.A.S. apporte une aide financière à celles qui apportent leur savoir-faire et leur sou­tien aux ignymontains pour un budget qui s'élève à 5 645€. Outre les aides financières, il y a également les mises à disposition d'équipements et les soutiens logistiques de tous types notam­ment pour les bourses aux vêtements, de jouets ou de puériculture organisées par Montigny Inter-Familles ou le Secours Ca­tholique qui jouent un rôle important dans le tissu social communal.

L'EMPLOI Montigny Développement Emploi s'at­tache, à travers un réseau de 750 entre­prises, à maintenir un taux de chômage à 3,8 %. Ce service a proposé, en 2003, 982 candidatures aux entreprises ayant fait ap­pel au service. Il y a une activité importante puisque 733 personnes sont entrées et sor­ties du fichier. Un journal est adressé aux 750 entreprises partenaires pour proposer lès micros CV des candidats en recherche d'emploi. Ce service s'adresse également aux jeunes. 66 d'entre eux ont été proposés pour des stages et contrats de qualification et 120 pour des jobs d'été. En conclusion on peut dire que c'est toute cette politique solidaire, ambitieuse, réa lis­te qui est proposée et qui s'inscrit dans le cadre de ce budget 2004 dans la poursuite de l'action municipale qui s'est déjà concré­tisée lors du vote du budget primitif de la ville, par une subvention au Centre Commu­nal d'Action Sociale de 703032€.

+

L 'ignymontain www.montignylS.fr

EN BREF Femmes et créactives A la Maison de la Réussite cet été

Pensez déjà les révisions en vue de la rentrée prochaine avec la Maison de la Réussite qui vous propose des révisions scolaires pour lycéens et collégiens, en math, français, anglais et allemand du­rant la semaine du 23 au 27 août. La for­mule ménage 2 heures par jour (48€). Par ailleurs, l'établissement continue de proposer ses stages "Informatique et Sports" du s au 16 juillet et du 16 au 27 août, en collaboration avec la Direction municipale des Sports (tarif selon quo­tient familial). Enfin, un stage d'initia­tion à la photo numérique est program­mé du 1" au 9 juillet de 13h30 à 16h30 (durée totale: 2oh pour 64€) Renseignements au 01 30 43 43 39·

Berlitz France s'agrandit

à Montigny Après plus de 14 années d'activités sur la place Charles de Gaulle, le centre de for­mation aux langues Berlitz s'est installé dans de nouveaux locaux sur le boule­vard Vauban, à proximité de l'université de Versailles-Saint-Quentin . Le centre de formation a au passage gagné en confort avec plus de so% de surfaces supplémentaires, et une commodité d'accès supérieure. Ce centre de formation, qui répond à l'attente des salariés des entreprises, est ouvert également pour les particuliers. Des programmes spécifiques sont pro­posés aux étudiants, et bonne nouvelle, Berlitz a mis en place un partenariat spécifique pour l'apprentissage des langues, pour les enfants de 8 à 14 ans durant les congés scolaires.

Ber/itz France SAS 16, boulevard Vauban Rens. : 01 30 64 72 27.

Si vous êtes une fem me âgée de plus de 26 ans et en proie à des interrogations profes­sionnelles ou familiales, le Cl DFF, Centre d'information sur les droits des femmes et des familles des Yvelines, s'adresse à vous. Situé dans l' Immeuble International (à gauche de la gare dans le même immeuble que l'Assurance maladie), la structure fait partie des 120 bureaux d'accueil du réseau national. Cinq conseillères emploi, spéciali-

sées dans les ressources humaines ou la psy­chologie, vous y accueillent tous les jours de la semaine, avec ou sans rendez-vous selon vos besoins.

Deux pôles d'activité Le CIDFF se compose de deux pôles d'activi­té, le BAIE, bureau d'accompagnement indi­vidualisé vers l'emploi, ainsi qu 'une branche d'Information juridique et gratuite sur le droit des femmes et des familles. "On tra­vaille beaucoup sur les violences familiales" explique Isabelle Guillemin, responsable du

"Missions courtes", les pros en 1 igne

Ancien de Bull , spécialisé dans l'informa­tique, Michel Fouillade a pris son destin professionnel en main en lançant un concept nouveau : la mission courte. Cet habitant du Plan de l'Eglise, a mûri son idée en constatant la difficulté à trouver des missions sur le périmètre de Saint-Quentin dans certains secteurs professionnels du tertiaire, comme le révèlent notamment les offres des agences d'interim. Ce spécia­liste réseau n'a donc pas tardé à imaginer l'idée de mettre en relation des profession­nels à compétence reconnue, en particulier les quadras ou les quinquas sur le marché du travail, et les entreprises qui ont besoin d'une expertise pour quelques jours. "C'est en effet la réalité de beaucoup de sociétés aujourd 'hui, notamment les PME".

Un outil gag na nt-gag na nt

Son outil tout désigné sera l'internet, par le biais du site www.missions-courtes.com. "J'ai recherché l'ergonomie maximale pour ce site, qui s'adresse à la fois à ceux qui re­cherchent une mission professionnelle sur l'agglomération, et les entreprises qui ont un besoin ponctuel qui n'engendrerait pas de toute façon un recrutement." Sur la pa­ge d'accueil, pas de fioriture. On va direc­temnt à l'essentiel. " La confidentialité des profils est assurée, ainsi que les démarches opérées via le site." Michel Fouillade propo­se aux cand idats de présenter leurs compé-

tences en quelques lignes synthétiques. Pour les entreprises qui viennent piocher dans cette base de données de compé­tences, un moteur de recherche puissant et ergonomique opère parfaitement le travail de sélection. Le site est en ligne depuis le mois de mars, et Michel Fouillade a entamé un marathon des medias pour le faire connaître. Parallè­lement, il démarche les entreprises du bas­sin économique saint-quentinois pour les inciter à découvrir son site www.missions­courtes.com. "De toute façon, personne n'a à y perdre puisque tout est gratuit. Ce sera du gagnant-gagnant si la mayonnaise prend. Je suis d'ailleurs le premier à propo­ser mes services sur le site. " www.missions-<:ourtes.com

Mettre en relation via le net aes pro(esston­nels expérimentés et les entreprises sur des missions de courte durée, c'est l'idée que Ml· chef Fouillade défend et veut promowoir Il l'échelle de rasetomératton.

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pôle Emploi Formation. En entretien, les conseillères travaillent avec la personne, sur l'aide à la recherche d'emploi, l'élaboration d'un projet, ou la réorientation profession­nelle. Sur ce dernier point, le Cl DFF est d'ailleurs agréé centre de bilan de compé­tences par le Fongécif et L'Afdas. En outre, la structure collabore avec l'ANPE, la DDASS et le PLIE, Plan local d'insertion vers l'em­ploi, et peut donc se révéler une aide profes-

sionnelle utile grâce à ses nombreux contacts. Chaque personne a des besoins professionnels différents, qu'elle se retrouve fragilisée ou éprouve le besoin de redynami­ser sa carrière, c'est pourquoi les conseillères sont toujours à l'écoute des priorités et des valeurs de chacune. "Aujourd'hui, vu les dif­ficultés d'embauche, il faut faire preuve d'une autre approche que la traditionnelle réponse aux petites annonces. Les entre­prises ont énormément de réponses et les chances sont donc réduites . L'une des possi­bilités est de faire son bilan de compétences. Si je suis secrétaire et que je ne trouve pas de travail , que puis-je mobiliser dans mes compétences et proposer à l'entreprise ? " souligne Isabelle Guillemin. "C'est d'abord

un soutien et surtout une aide. Ici vous n'êtes pas seule dans votre réflexion, mais encadrée par un professionnel qui a le recul nécessaire", ajoute-t-elle.

Etre créactive ? Une autre solution peut consister à créer votre entreprise. Le groupe des (réactives est parti de la difficulté exprimée par les femmes chefs d'entreprise à rompre leur iso­lement et à créer un réseau d'affaires. "On avait envie de créer une structure qui per­mette l'échange et le partage des expé­riences. Les porteuses de projets rencon­trent les chefs d'entreprise, et finissent par former un véritable réseau de partenaires", explique Isabelle Guillemin. Les (réactives se réunissent donc tous les premiers jeudis de chaque mois et investissent notamment le domaine des services, organisation de cé­rémonies pour les particuliers, repassage, as­sistance bureautique aux entreprises, coa­ching ... Une aide précieuse à la création qui devrait être facilitée par la mise en place d'un projet de plate-forme de services acces­sibles aux salariés pour la fin de l'année. Le CIDFF et la Communauté d'Agglomérat ion agissent dans le cadre du programme euro­péen Tempora pour la conciliation entre vie personnelle et vie professionnelle. "La plate­forme proposera tous les services pour faci­liter le quotidien, repassage, bricolage, jardi ­nage, garde d'enfant en urgence, réparation auto .. . Les avantages seront multiples à la fois pour les prestataires de services qui au­ront plus de facilité à se faire connaître et qui pourront développer un nouveau mar­ché, celui des salariés, mais aussi pour les utilisateurs, salariés des entreprises adhé­rentes, qui trouveront de nombreux services accessibles en un même lieu, garantis de qualité par une charte signée par les presta­taires privés, et à des tarifs négociés avec un système de fidélité", a déclaré Agnès Blanc, chargée du développement du projet.

Pour tout renseignement, contactez vos conseillères du C/DFF, Immeuble Internatio­nal, 11 et 13 avenue de la Gare à Montigny, au 01 30 48 98 82 ou sur le site www.cidff7B.org Accueil au rez de chaussée, du lundi au ven­dredi de 9h30 à 12h30, et de 14h à 17h30.

Où sont les jobs d'été ? Trouver un job pour cet été sera votre mis­sion non pas impossible mais difficile si vous l'acceptez. En effet la demande est massive, notamment de la part de la population es­tudiantine de Saint-Quentin, et l'offre est rare. "C'est vrai que nous avons toujours une pile de CV d'avance, le problème ce n'est pas de recruter pendant les vacances, mais plutôt pendant l'année", reconnaît Do­minique Godemert, secrétaire de direction du groupe Carrefour. Plusieurs possibilités s'offrent néanmoins à vous.

Les clés de la réussite Tout d'abord, allez consulter les offres sur les sites suivants, cidj.com rubrique spéciale jobs d'été, ou sur anpe.fr. Vous pouvez éga­lement contacter les agences de travail in­térimaire, même si les offres restent peu nombreuses. Si vous êtes âgé de plus de 18 ans, envoyez votre CV accompagné d'un justificatif de domicile et d'une photo d'identité au service MDE, Montigny Déve­loppement Emploi avant le 15 mai, vous ap­paraîtrez ainsi dans un journal regroupant les CV des jeunes disponibles et envoyé à 700 entreprises du bassin de la ville nouvel­le à la mi-ma i. Passé cette date, vous pour­rez toujours consulter les annonces que les employeurs envoient régulièrement à ce service. Vous devez vous y prendre tôt, dès la fin avril même si les employeurs ne recrutent

souvent qu'à partir de la fin mai, ils conser­vent les CV. N'hésitez pas à en imprimer un bon nombre pour pouvoir les déposer au plus grand nombre d'employeurs, notam­ment les plus importants. "Nous sélection­nons prioritairement les jeunes qui peuvent travailler les deux mois complets, voire les derniers jours de juin ou les premiers jours de septembre, pour rentabiliser leur temps de formation. Nous ne retenons pas les CV des jeunes qui ne sont disponibles qu'un mois", explique Dominique Godemert. Les jobs les plus proposés restent traditionnels : hôtesse de caisse ou téléprospecteur dans le tertiaire recrutent toujours des jeunes vo­lontaires, alors que dans l'industrie, la ma­nutention, le conditionnement, ou la mise en rayon sont les postes les plus courants. La formation au BAFA se révèle un investis­sement rentable car les jobs dans l'anima­tion sont les plus nombreux et souvent les plus intéressants, mais nécessitent un diplô­me préalable. Même si le travail est légal à partir de 16 ans, les chances des mineurs sont encore plus faibles malheureusement. Une solution néanmoins consiste à effec­tuer des stages ou des missions de solidari­té, qui seront faiblement rémunérés, mais vous rapporteront peut-être votre argent de poche. Le bénévolat peut aussi se révéler être un enrichissement un peu différent. Pour cela, contactez Montigny lnfo Jeunes au 01 30 57 42 40 qui peut vous trouver des missions estivales.

Cav al e d e L 'Ignymontain www.IIIOIIttgnyTB.fl' MAI 2004

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/~ U.S. & Canada Toii-Free -~ 1-888-588-2700

flin Web Site . . ~ E-mail JiJ? http://www~simplicity.com ~e -:3 info@simplicity.com

Instructions Générales Le Patron

SYMBOLES

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LIGNE DE SENS - Placez­la sur le dra~ fil du tissu parallèlement à la lisière.

PlACEZ lA LIGNE CONTINUE sur la pliure du tissu.

MILIEU DEVANT/DOS du vêtement.

CRANS

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LIGNE DE COUPE

LIGNE POUR ALLONGER OU RACCOURCIR

VALEUR DE COUTURE: Sauf indication contraire, elle estde 5/B" (1 .Sem) mais elle n'est pas imprimée sur les PATRONS MUL Tl-TAILLES. MARQUEZ VOTRE TAILLE AVEC UN STYLO à pointe feutre.

Pour les symboles et l'utilisation des PATRONS MULTI-TAILLES, voyez les tableaux iigunent sur le patron.

AJUSTEZ SI NECESSAIRE Fa~es tes rectifications avant de placer le·patron sur le ·tissu.

POUR ALLONGER: Coupez le patron entre tes tignes pour

bd atlongerou raccourcir. Ecartez le tr:;:it maintenez avec du nuban adhésif.

t=j POUR RACCOURCIR: Aux lignes pour allonger ou raccourcir, faites un pli régulier pour résorber l'excédent de longueur. Maintenez en place avec du nuban adhésif.

Lorsque les lignes pour allonger ou raccourcir ne sont pas indiquées, faites tes recti fications nécessaires au bord inférieur du patron.

--------------~---------------Couture

• Cousez le vêtement en sulwntles Instruction• de Couture. • EPINGLEZ les coutures ou bâtissez-les à la mad1ine en faisant correspondre les crans. • PiQUEZ des coutures cte 5/f!' (1.5cm) sauf indication contraire. • OUVREZ les coutures au fer, sauf indication contraire. an crantant si nécessaire pour que les

coutures reposent bien à plat

·~=~~,--~~oom~~~ ,\mmcissez l~s couturas eni•.:mné~s en dégrade

Biaisez les coins Crantez les Encochez les couroes intérieures courbes

. Coupe/Marques AVANT DE COUPER: APRES AVOIR COUPE:

REPASSEZ les pièces avec un fer sec et tiède. DECATISSEZ en lavant préalablement les tissus lavables ou en repassant à la vapeur les tiss11s non­lavables .

ENCERCLEZ votre plan de coupe.

EPINGLEZ le patron sur le lfssu comme· indiqué sur le plan de coupe.

• POUR DOUBLE EPAISSEUR: pliez le tissu ENDROIT CONTRE ENDROIT.

• POUR SIMPLE EPAISSEUR: placez le tissu avec l'ENDROIT sur le dessus.

• POUR LES TISSUS PELUCHEUX, A REFLËTS OU A MOTIF UNIDIRECTIONNEL, utilisez les plans de coupe "avec sens•.

Avant de retirer le patron,· REPORTEZ toutes les marques sur l'ENVERS du tissu. Marquez aux épingles et à la craie ou avec du papier calque de couturière et la roulette à tracer.

Pour marquer rapidement:

• Entaillez le bord du tissu pour . marquer les crans, les extrémités des lignes de pliure et des lignes du milieu.

• Epinglez dans les pois.

rli:D• ; - ---- --ÂÉriA'Roûés sPeéiALEs -PouR' L. ééu"PE------ -: ' * ,.. ' ' Si le plan de tf •f. Tracez de petites 1 1 coupe roontre une ; Oècllos le long des deux 1 : pièce dépassent 1181èros pcur ind1quer la 1

1 au-delà de la pli- . direction du sens ou du 1 1 ure. coopez - motif. ENDROIT CON- 1 1 toutos les pièces il TRE ENDROIT, pliez : 1 l'excep1ioo de le tissu dans la l"""eur ï 1 celle-<:! . (sens trame) e1 coupez 1 : _ . . . . le long de la pliure (a). :

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REMARQUES : , SPECIALES

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POUR LA VUE 1 UTILISEZ LES PIEGES AC 0 E F K LM N S

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LA PIEGE TEST COUPEE DE RUBAN

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44" 45" ( 115CM) AVEC SENS

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VUE 1, 2, 3 PIECES CONTRASTANTES POUR LA VUE 1 UTILISEZ LES PIECES B N S POUR LA VUE 2 ET VUE 3 UTILISEZ LES PIEGES B P S

44" 45" (115CM) OU 58" 60'' (150CM) AVEC OU SANS SENS TOUTES TAILLES

VUE 4 PIECES CONTRASTANTES

UTILISEZ LES PIEGES A S

44" 45" (115CM) OU 58" 60" (150CM) AVEC OU SANS SENS TOUTES TAILLES

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AVEC OU SANS SENS

TOUTES TAILLES

44" 45" ( 115CM) AVEC OU SANS SENS

TOUTES TAILLES

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pago~ 2 F Instructions Générales

les procédés de couture mis en rrAUQUE dans les InstructiOns de Couture sont définis FINrriON DU BORD-Finissez les bords non .finis des coutures. les .ourlets et les parementures en utilisant l 'une des méthodes suivantes.

PUS-Sur l'ENDROiT du tissu. pliez le long .de la ligne contmue. Amenez /a pl1ure sur la ligne pointillée; épinglez ou bâtissez . Cl --dessous. ·

5430 r·/-:-:->-:-~"-"'\ '"':":)l-:-:~.'71'.~,';>,-J--EM-Yf-RS-,.IJf-E-:N~=,lA:-&-:E~~L"""':: :""': •~=·~·=·~~.~dd CODE

PINCES-ENDROIT CONTRE ENDROIT . superposez les lignes de piqûre en faosant correspoodre les pet1ts po1s. Epinglez P1quez le long de la ligne de piqûre en allant de ia partie la plus large vers la pointe.

Cousez le vê tement en ~uivant les mstruct1ons de couture. EPINGLEZ ou bâtissez à la machone les couturts en lao sant correspondre les crans ayant le même chiffre . . Sauf ind1cat1on contrairé. PIQUEZ des coutures à~ .. (!.Sem) du bord (da ns la direct1on des flèches) . .. Sauf indication contraire. OUVREZ les coutures AU FER en crantant si nécessaire pour que les coutures reposent

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les ~ou!urts .. .. les 81a1sez les coins . les CO\.Irbes

POUR SOUTENIR OU FRONCER-Desserrez légèrement la tens1or. de l'aij\uille ainsi le fil de la canette se tirera plus facolement . Ensuite. piquez sur l'ENDROIT, à 5/a" (1.5cm) du bord coupé en utilisant un long point de machine. P1quez de nouveau. à 1l•" (6mm) de la première piqûre, dans la valeur de couture.

Instructions de couture Lrsez les lnstructoons generales avant de commencer

Conseils Pratiques pour les Tissus de Fourrure

a- Batissez les coutures~ la main pour évitl!f gue le t issu ne glissa.

b-Evitez les surpiq(lres.

c- Pour les tissus il longs poils, coupez les poils dans la valeur de couture sur une largeur de W' (1.3cm).

d-Ne placez jamais le fer directement sur le tissu de fourrure. Repassez sur l'ENVERS en vous servant d'une planche à velours ei d'un linge.

e-Pour aplatir les coiJtures et les bords, les tissus de fourrure épaiSSé doivent lltre tapés avec un objet lnur.

f-A l'EXTERIEUR, redressez les poilS le long des coutures.

IMPORTAIIl• Quand vous travaillez avec une fourrure épaisse à longs poils, piQuez à points plus iongs et relâchez la tension. Relevez le pied-pres~ur de la machine si le tissu est tr~s épais.

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1. dtvant

COSTUME

a- Pour <Ues 1, 2 et 3, piquez le long de la ligna d?. co1'ture de %'' (lem) sur !a plaque. Rentrez dessous le bord au fer le long de la piqOre; crantez les courbes.

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b-A l'EXTERIEUR, épinglei la plaque au dewant le long de la ligne continue, mettant les bords

•milieu devant ~ mllme niveau. Piquez près du bord repassé. !Utissez les bOrds non-finis ensemble. (Si vous préférez, amlncissaz le tissu dessous de la plaque près de lA piqOie, comme illustré.)

c- faites une PIQURE DE SOUTIEN sur les bords d'encolure et d'emmanchure du devant Piqvez ta couture milieu devant jusqu'au cran: piquez en marche arrière pour renforcer.

2. f ermeture à glissière

Rentrez" dessous %" ( 1.5cm) sur les bortis d'ouverture devant Epinglez la glissière termé~ dessous des bords d'ouverture, mettant l'extrémité t1e la tirette à l" (2. 5crn) dessau~ du bord coupé, joignant les bords de l'ou·•erture au milieu de la glissière. Bâtissez. ?iquez utilisant un pied à fermeture &justable.

© Coovrioht 200;?:-Simplîcity Pattern Co., lnc / Printed in U.S.A . / Simplicity is a reglstered trademark of Simplicity Patte rn Co., lnc .

PtQURE DE SOUTIEN

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3. devant de manche

Faites une PIQURE DE SOUTIEN sur les bords d'encolure et d'emmanchure du devant de la manche. Crantez le bord de l'emmanchure jusqu'aux piqOres de soutien.

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Faites une piqûre à .,_ .. (6mm) du bord , faites un rentré le long de la poqûre et piquez (A) Fai tes une p1qOre à W' (6mm) du bord et coupez au• coseaux dentelés (B). Faites une piqûre zigzag sur le bord (C) Enfermez le bord dans un ga lon de biais ou de la dentelle extensible {0) .

ENTOILAGE-Epinglez l'entoilage sur l'ENVERS du t1ssu . Bia1sez les co1 ns qui seront enfermés dans les coutures. Faites un bâti -machine à W' ( 1.3cm) du ·bord coupé. Coupez rentoilage à ras du bât1 -machinc.

Pour l'entoilage FUSIBLE. suivez les instructions du fabncant.

PIOURE DE SOUTIEN

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PIOURE DE SOUTIEN-Faites une piqûre à w· (l .Jcm) de la lignedecauture, dans la valeur de couture en suivant la direction des flèches pour év1ter l'étirement des bords de biais ou arrondis . illustrée uniquement sur le premier croqu1s .

SOUS-PIQURE-RepasSéZ la parementure dans le sens opposé au vêten1ent. repassez la couture vers la parementure. la parementure étant relevée, sous-piquez très près de la couture. à travers la parementure ~les valeurs de couture.

b-ENDROIT CONTRE ENDROIT, épinglez la parementure à l'encolure, en faisant correspondre les milieux et les coutures. (la parementure prolonge pour %" (1.5cm) au-delà des bords d'ouverture devant.) Piquez l'encolure. Amincissaz les coutures; crantez les courbts.

c-Repassez la parementure vm l'INTERIEUR, rentrant dessous au fer et cousant les bords milieu devant à points glissés. Clouez la parementune aux coutures.

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5. coulisses de manches et de jambes

ENDROIT CONTRE ENDROIT, épinglez les pièces devant de manche au devant, en 'taisant correspondre les petits pois. Piquez depuis le dessous de bras jusqu'à l'encolure. Crantez les courbes.

3. dos,dos de manche et coutures

a- Pour la queue vue 1 et 2, pliez ia queue en deux, dans le t::.:..:'___ --- - ~ sens de la longueur, ENDROIT -CONTRE ENDROIT. Piquez une couture de%" (lem), laissant l'e.trémilé avec le petit pois et le moyen ouvert.

~M'•~tt-''!trwwa b-Retourncz 12 queue. Rembourre7 la queue avec de l'ouate d.-? polyester er: -deti<!n s de %:" (1.5cmi de !'ouverture.

c- A i' EXŒRIEUR, bâtissez la queue au dos, en faisant cun·espon.dre les petits pois et 1!:3 moyens.

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d- Faites une PIQURE DE SOUTIEN sur l'encolure et ' "~ emmanchures d•J dos et du dos de la manche. Piquez la couture milieu dos. Crantez le bord d'emmanchure de la manche jusqu'aux oiqOres de soutien. ENDROIT CONTRE ENDROIT, épinglez les pièces de dos de manche ou do~ . en faisant correspondre les petits pois. Piquez depuis IP, dessoos de bras jusqu'à l'encolure. Crantez les courbes. ENDROIT CONT~E ENDROIT et l•s bords non-finis à même niveau, épinglez le devant au èos aux coutures d'épaule, de dessous de bras et d'entrejambe, en faisant correpon~ rl! ies petits pois; bati ssez. . Piquez les coutures d'épaule, de dessous de bras et d'entrejambe. Crantez les ccurbes.

4. parementuras devant et dos

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a- Faite.> unP. PIQURIE DE SOUTIEN S4f !'encolure dé~ pièces de parem~nture. Pique? les couture~ d'épaule des p!èoos de parementure. ::ait a~ lo FINlTION DU BORD long sans cran de la palllmenture. ~

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a- Ouvrez un bord de ruban de biais à bords repliés.

Pour former la coulissa, ENDROIT CONTRE ENDROIT, épinglez le ruban de biais à bords repliés aux bords de manches et de jambe, mettant le ruban à ~" (lem) du bord non-!ini, repliant les extrémités au dessous de bras. Piquez le long d• 1 ~ !igne de couture, comme illustré.

Il-Repassez le ruban vers le dehors, en redres sant la couture vers le mban.

Repassez le ruban vers l'INTERIEUR. PiQuez prils du bocd du ruiJ<on.

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-5430 c-Pour les coulisses de manches. coupez deul morceaW< d'ttaslique. chacun l" !2.xm) de plus que la mesure du toor du poignet de la personne. Pour les coolisses de jambes. coup8l deUJ< morœaUJ< d'élastique çhacun 1" (2.xm) de plus que la mesure du .. .our de la cheville de la personne:

Attachez une épingle de sGreté à un~ eltrénu\é de J'~lastique.

ln~éz épingle et élastique en travers les owertures da11s la cou~sse . AjuStez J'~lastique à ~. taille. Piqllel les e.ti'émité5 de l'~lastique ensemb'le avec quelques rao~ de viQOre-machine.

PiqiNil les ouvatures .l points glias6s.

6. dem1-tu8tres

a-Piquez la couture milifliJ devant. Piquez par-deSSU$ la première piqOre. Crantez les courbes.

b- Coupe.z deux morceaUJ< d'éla.stique pour les demi-guetres. POUR TAII.lf. D'ENFANT-'Coupez l'élastique~" (14.5cm) de long. POUR TA!Uf D'ADULTE-Coupez l'élastique 7V4; (18.5cm) de long. A l'EXTERIEUR, épinglez l'élastique A la demi-&uêtre, la centrant dC$sus des petits pois, mettant les bofds ~ même niveau, comme illustré. Piquez le long de la ligne de coutu<e ,ui le !!<>rd inférieur de la demi-guêtre. en prenant l' PJastiG ~Ie t' ta\s la piqûre.

c-Kep&>SIIl 1• bord YefS

l'INTERIEUR, re IUfo!i tJe la piqilre. f'iquaz prils du bor6. comme iiiustré.

cl-Ouvrez un b«d du ruban de biais à bords repliés. Pour former la coulisse, ENDROIT CONTRE ENDROIT, ~pi Rglez le iuban de biais à bofds repltés au bord supérieur de la demi-guêtre. mettant Je ruban à w· (.lem) du bord non-fini. repliant les .extrémités .. Piquez le long de la ligne de couture, comme illu$1ré.

e-Repassez le ruban ~ers Je dehors. en redressant la couture vers le rubari. Repassez le ruban vers l'INTERIEUR. Piquez près du bard du ruban.

Coupez dt!Wl morçeaUJt d'élastique, chacun la mesure du tour de chwille de la pe!sonne, 'plus l" (2.5cm). Attachu upe épinCfe da sGreté i une elt~mité de l' éiastique. Insérez épingle et étastiqùe 8ft travers l'ouverture de la coulisse. Ajustez 3 la taille.

Piquet les mr!mit~s de l' 61astique ensemble avec quelques ranr.Hs de plqOre-machine.

Piquet l' ooverturd points alissa.

1. capuchon

a-Faites une piqOre-machine à w· ( l.xm) des lonas bords des pi~s milieux du capuchon. Crantez jusqu'à la piqQre_

l> END~'J!T CON1RE: ENDROIT. épi"gl!l! la section ctntrale de la capuche sur les sections J~térales e~ SUfl"f)lOSant les p<!tit~ Ptlis et en P.rart~nt les entailles Je lnnf. des courbes. Bâtissez eJl sou!P.nant ·les sections letéfales pour ajuster entre ies crans. Piquez les routBres. Amincissez ·les coutures; crantez los courbes.

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C Copyright 2003-SiinpHcttY Ps.ttem Co., lnc /Imprimé OU)I' E tat&-unis 1 ~SimpUdty"" eet la marque déposée e t ao,Js lfcence de 2003-PSimpHcity Pnttarn Co.

c-Préparez la doublure mème que pour le capuchon, laissant une ouverture à une cooture pour retourner. comme illustré. ENDROIT CONTRE ENDROIT et les b«ds non-finis a même ntveau. épinglez la doublure sur le capuchon, en faisant correspondre les milieux dos et les coutures. Bâtissez, en soutenant les pièces de d!té à la taille. Pique.>. Amincissez la couture et biaos.;J los coins, cr~otcz les courbes.

d-Retoomez le· capuchon, repassez-le. Piquez l'ouverture à points ilissés Croisez le devant OROO dessus d:J GAUCHE, en faisant correspond"' les milieux; attachez a•ec des boutons-pression.

8. oreilles vues 1 , 2 et 3

a-Rentrez dessous la valeur de cooture au fer sur le bofd rectiligne des J)ièats- d'oreille el de parement ure. ENOk OtT COI'ITRE ENDROIT, piqUêi la parementure à J'oreille, laissent les b«ds repassés ouverts. ~mincissez la couture et biaisez !es coinS; mnttiz 1es COUille$.

b- Relxlumez l'oreille, repassez -la. Piquez les bords de J'ouverture: ensemble à poiots glissés.

c-A l'EXTERIEUR, epinglez les oreilles au capuchon en faisant corrtspolldre les petits potS et les moyens, mettant le cOl~ avec parementure·vers 1é devant. Piqu~.z à points &lissés.

POUR VUE 1-Nooèz un ruba• autour du col· il nouez-le en boucle, comme illustré sur le rect6 de. la pochette.

. 8. PôUr oreilles: VlitH

a--fatle.s rentrer la va!du:· de coutvrf: sur le Dord rectili&ne des pièces d'oreillas et de ~arementure au fer. ENDROH CONTRE ENDROIT ot les bords fton- f inis à même·OÎ'Jt.!a;;, piquez ta parementure à l'oreoi!t, !~is~ant le bor.! repassé ouvert Amincissez 18 cout ure et biaiS<!Z les cQinS; cran~ez les courbes. ·

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b-Retournez l'oreille; repassez-la. Courtlez le fi 1 de ft!r à la forme de l'oreille. lnsérw Je fil de fer dans I'O<ellle afin qu'elle se tient deboot. repliant les extrllmités du fil de fer: Enroulez de l'adMsif autoor du extrémités du Iii de fer.

. Piquez las .bords de l'Ouverture ensemble. Clouez le fil de fer • l'oreille.

c-A rEXTERIEUR. épingle2 l'oreille au çepuchon ayant la pièce cont:iast.ante vers vous, an faisant conespondre les petits pois et les moyen&. Piquez entre les pois, comme illustré.

d-Piiez l'oreille Je fon& de la ligne continue. Piquez A trlvers le b«d infétiecJr en traven tootes les épaisseurs.

9. mitaines

a- EHDROU COHTRE EHOROIT et les bofds non-finis è même niveau. piQIMIZ la parementurd la mitaine. Amiilci53el la coutuie; crantez les C~- .

lletournez la mitaine; repassez-la.

b- Rentrez dessous 411" ! 1.5cmj sur lel: bords non-finis. de ta mitaine; cousez à ta main ou à la machine en place. Retuurnez la mitaine; repaS$eZ·Ia

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10. crinière vue 2

a-Coupez un morceau. de è:arton pour la cnnière. . POUiH AillES D' ENF~NT - Coupez le carton 5" xl6" (12.!>cm • 40. Sein). POURTAIUUO'~DIJLTfS-Coopule ·carton 6" x 18" (lxm x 45.5cm). UtiUsant 2couleursde fil de Jailli, ~llllllllllllllllllllll~ enroulez les fil~ de laine solidement ·

·autour du. çerton environ 130 fois. et

Mettez un morceau de cellophane t W' ( 1.3cm) d'un long bord du carton aux dfUl d!tés de laine, maintenant la laineœmme i!lus~. Coupez en tra'll!fs ·tes brides du long bord restant.

·. b-CooPSl.la rublln. la longUIUI' du ~ cufde Ti ·rejiortiz'toote5 les ___.-:;;::::::: .

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e-Mettez le' ruban par .(lessus la laine, le centr1lnt entre le cel' ' :'har.,: , mettant les œr!mitts de la laine au milleu devant du rub;.io. Piquez le long du milieu du ruban en travtn tootes les épaisseurs. comme illustré. Enlevez le cellophane. Portez la crinière autour de votre coo et nouez-la en boucle au milieu devant.

11. pompon vue 2

a-Coupez un morceau de carton pour Je pompon. POUR TAilliS D'ENFANT-Coupez le ~Oil.Î~'. a 4"16.3cm.a IDem) POOR TAilliS D'ADUlTES-Couper le cartoil 3" x A" (7.5cm 1 iOcm), Utili5ant 2 couleurs de laine, enroulez la laine autour'du carton ee~viron 60 fois. A~ec un morceau de laine. prnsez-le en iravers une extrémité et a noùez-le, C~Jmme illustr8. Coupez en travers l'eltrémité restante.

Cousez le pompon au bout de la queue, c:omme illustr~

H. pc;mpon vue 4

Coupez un morceau de cart•m 2' z" x 4" (6.3c.m x !Ocm). Faitès le pqmpon mème que pour vue2, enroulan) ta laiM autour du

·.cartofi:-i!rlviron 150 tcis. Clouez Je porripoo au miliw dos au petit pois, comme illustré.

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OU COTE OU SENAT

Ce mois ae févrierJ le Sénat a examiné un projet ae loi essentiel pour rensemble au monde au travail. Ce texte instaure en effet le principeJ pour tous les salariés et les tonctionnairesJ aJun droit inttivi· aue/ à la formation protessionnelleJ valable tout au long ae la vie. Il tena également à démocratiser les règles ae la négociation collective. En quoi ces nouvelles mesures vont·elles modifier nos relations avec le travail ? Explications.

Monde du travail

Un droit à la formation pour tous Historique

Les premières traces d'une formation liée à l'activité professionnelle remontent au Moyen-âge avec le système des corpora­tions qui définissaient les règles de perfec­tionnement des compagnons. Cependant, c'est avec la Révolution que s'affirme en France le principe d'éducation permanente. Ainsi, en 1792, Condorcet dans son rapport sur l'organisation généra­le de l'Instruction publique énonce la pre­mière définition explicite de la formation pour adultes : " Nous avons observé que l'instruction ne devait pas abandonner les individus au moment où ils sortent de l'école, qu'elle devait embrasser tous les âges ; et qu'il n'y en avait aucun où il ne fut plus utile et possible d'apprendre, et que cette seconde instruction est d'autant plus nécessaire, que celle de l'enfance a été res­serrée dans des bornes plus étroites". La notion d'éducation permanente, qui figure encore aujourd'hui dans le code du travail , était née, et avec elle tout un courant de pensée considérant la formation comme un instrument de justice sociale et d'inté­gration dans la communauté nationale. Ensuite, au cours du XIX• siècle, la forma­tion des adultes se développe autour du processus d'industrialisation de la société française : les capitaines d'industrie cher­chent, à diffuser l'esprit d'entreprise qui préside à la création de plusieurs sociétés d'enseignement professionnel pour adultes. D'autres, comme les hérauts d'une éducation ouvrière populaire (Pierre-J. Proudhon) ou chrétienne (Marc Sangnier), donneront à l'éducation permanente un objectif de développement culturel, encore présent dans le code du travail. Durant le xx· siècle, les pouvoirs publics vont donner un cadre législatif au système de formation professionnelle : 1919 : la "loi Astier" pose les bases d'un en­seignement professionnel unifié pour les apprentis et institue pour les ouvriers des

cours de perfectionnement; 1925: instauration de la taxe d'apprentissa­ge pour financer le système de formation des apprentis, 1946 : unification des structures de forma­tion adultes existantes au sein de ce qui de­viendra, en 1966, l'Association pour la for­mation professionnelle des adultes (AFPA) 1959 : la "loi Debré" vise à donner aux moins diplômés les moyens d'une promo­tion sociale, 1963 : la création du fonds national de l'emploi (FNE) permet d'offrir aux entre­prises des aides pour la reconversion des salariés menacés de licenciement, 1968 : à la suite des accords de Grenelle, les partenaires sociaux s'entendent pour "étu­dier les moyens d'assurer, avec le concours de l'État, la formation et le perfectionne­ment professionnels", 1971 : la formation professionnelle devient une" obligation nationale", inscrite dans la loi. Les entreprises sont tenues de consa­crer une part de leur masse salariale à la formation (1,5% actuellement pour celles qui emploient plus de 10 salariés). Depuis cette date, la formation profession­nelle est entrée dans une crise d'identité permanente, subissant l'épreuve des crises économiques dans les années 70, les exi­gences de la compétitivité internationale des années 8o et l'émergence de la notion d'employa bi lité et de compétences à partir des années 90. En Europe, la France est le pays où la réglementation est la plus contraignante, la formation y étant régie par un texte législatif. Les dispositions lé­gales introduisent des lourdeurs bureau­cratiques, parfois difficiles à gérer pour les entreprises. Par ailleurs, les détracteurs du dispositif français dénoncent un certain gaspillage et une inefficacité, dont témoi­gnerait la coexistence d'un chômage élevé et d'un grand nombre d'offres d'emploi non satisfaites.

- H . . . ' 9 orau·es d'ouverture au ·

heures. 12 heul·e.S'/14 .h ' p d · eûres"' 16 hel.U' u Lundi au Vendredi ' ~

Quelques chiffres y Le marché de la formation se compose aujourd'hui de 67000 organismes, pu­blics ou privés, employant 140 ooo for­mateurs. Parmi ces organismes, environ 8 400 sont des prestataires dédiés spéci­fiquement à la formation professionnel­le. y Les organismes privés représentent 75% du marché. Les organismes publics réali­sent le quart du chiffre d'affaires de la formation (dont 10% pour l'Education

nationale, et 4% pour I'AFPA). y Entre 2000 et 2001, le chiffre d'affaires des organismes de formation a progressé de 13% . Le nombre de stagiaires a aug­menté de 14% . En revanche, la durée moyenne des formations a baissé de 2%, pour ne plus s'élever qu 'à 81 heures. On observe en effet un raccourcissement de la durée des formations. y Ce marché représente à lui tout seul plus de 22 millions d'euros.

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Le projet de loi Afin de remédier à ces insuffisances, le projet de loi transpose 2 textes conclus ré­cemment sur ce thème par les partenaires sociaux. Il comporte 2 volets distinctifs qui visent, d'une part, à rénover en profon­deur la formation professionnelle, et d'autre part à développer et à démocrati­ser la négociation collective.

Chaque salarié bénéficiera, tout d'abord, d'un droit individuel à la formation (DIF). Ce droit sera de 20 heures par an, cumu­lable sur 6 ans. Il sera utilisable, y compris en cas de licenciement (sauf faute grave). Ces heures seront également transfé­rables, en cas de changement d'entreprise. Le texte distingue 3 catégories de forma­tion: 1°) l'adaptation au poste de travaiL dans ce cas, la formation sera suivie pendant le temps de travail ; 2°) l'évolution ou le maintien dans l'em­g!Qi, la formation aura également lieu pen­dant le temps de travail (ces heures de for­mation pourront dépasser l'horaire normal du salarié, sans qu'il s'agisse, à proprement parler, d'heures supplémentaires - dans la limite, toutefois, de so heures par an) ; 3°) le développement des compétences, dans ce cas-là, la formation se déroulera en dehors du temps de travail, avec l'accord du salarié, dans la limite de 8o heures par an. Si le DIF est exercé pendant le temps de travail, le salarié a droit au maintien de sa rémunération . S'il est effectué en dehors, le salarié bénéficie d'une allocation de for­mation, correspondant à 50% de la rému­nération nette. L'e)pployeur assure les frais de formation et de transport. Un contrat de professionnalisation rem­placera, ensuite, l 'actuel contrat de qualifi­cation . Destinés aux jeunes de 16 à 25 ans, et aux chômeurs âgés de plus de 26 ans, il doit favoriser leur insertion ou leur réin­sertion professionnelle. Conclu pour une durée de 6 à 12 mois (avec une extension possible à 24 mois), il sera rémunéré 55% du SMIC pour les moins de 21 ans, 70% du SMIC pour les 21-26 ans (majorés de 10

points en cas de diplôme supérieur), et au SMIC pour les plus de 26 ans. Enfin, s'agissant du financement, les en­treprises devront augmenter la part qu'elles consacrent actuellement à la for­mation. Celle-ci devra passer en 2 ans de 1,5 à 1,6 % de la masse salariqle, pour les entreprises de plus de 10 salariés - même si, en pratique, de nombreuses entreprises sont déjà au-delà de ce minimum légal.

Le texte réforme aussi en profondeur la négociation collective. Jusqu'à mainte­nant, la signature d'un seul des s syndicats représentatifs suffisait à valider un accord social. Désormais, les accords collectifs de travail ne seront pas validés, si une majori­té d'organisations syndicales y est oppo­sée. Le texte ouvre également la possibili­té, pour les accords d'entreprise, de déro­ger aux accords de branche et interprofes­sionnels. Cette dérogation restera toute­fois impossible dans 2 cas : lorsque l'accord précise expressément que cette dérogation n'est pas autorisée, et lorsque l'accord concerne les salaires minimum, les classifi­cations, la protection sociale complémen­taire des salariés et la mutualisation des fonds de formation.

Amendements de la Commission des

Affaires sociales du Sénat ,.. L'obligation pour l'employeur d'assurer l'adaptation du salarié à son poste de travail et de veiller au maintien de sa capacité à oc­cuper un emploi (l 'employeur disposera d'un délai maximum de 15 jours pour répondre à la demande de formation individuelle du sa­larié), la création d'un "titre-formation". sur le modèle du ticket-restaurant, afin d'alléger les formalités administratives de finance­ment des PME, ,.. L'instauration d'un Conseil national char­gé de traiter des questions de formation et d'apprentissage, et d'assurer le contrôle ré-

gu lier des fonds qui leur sont consacrés, ..,. L'extension des dispositions de ce projet de loi à des catégories de populations sou­vent négligées : personnes illettrées, per­sonnes handicapées ou celles qui ont cessé de travailler, pour s'occuper de leur famille, ou de leur conjoint ou ascendants en situa­tion de dépendance, ainsi que la lutte contre l'illettrisme. .-. L'obligation pour l'employeur d'informer le salarié en CDD de ses droits à formation, ,.. L'ouverture de l'apprentissage aux per­sonnes handicapées âgées de 26 à 30 ans.

Retrouvez le texte intégral, le rapport et les comptes-rendus de débat sur internet : http:jjwww.senat.frjdossier/egjpjlo3-133.html

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( La Souraerie-Nora )

Le Con sei 1 de quartier consulte sur ses projets Le conseil de quartier se lance à son tour dans une consultation de grande envergu­re des habitants du quartier de la Sourde­rie-Nord. L'objectif est de recueillir le sen­timent des riverains sur leur perception du travail réalisé par leur conseil de quartier trois ans après sa mise en place, ainsi que sur les projets d'avenir à envisager. Luc Taralle, le président, souhaite connaître les attentes des habitants. Il souhaite aus­si les associer davantage dans les proposi­tions et la concertation . Une enquête au­près de chaque foyer s'amorce donc ce mois-ci. Chacun recevra prochainement un bulletin à remplir. "C'est l'occasion

_ pour les riverains d'une réflexion sur l'amélioration de leur environnement, sur la qualité des services rendus au quoti­dien, ou encore sur l'animation de notre quartier."

Un bilan et des perspectives Le président retient quelques dossiers sur lesquels son conseil a porté ses efforts de­puis trois ans. " En 2002, la concertation de terrain nous a par exemple permis de pro­poser à la Municipalité des solutions consensuelles sur le problème des meri­siers dans les rues de Gavarnie, Maya, Fer-

. ra ri , Chambéry et Cerdagne. C'est aussi en

retenant nos propositions que la Ville a · amélioré la sécurité et la qualité des petits jeux Bergson. Nous avons travaillé sur le tracé de places de stationnement dans la rue de l'Aubisque. Il nous faut encore . mieux nous faire connaître pour que les habitants du quartier comprennent que nous sommes une instance de véritable proximité, qu'on peut interpeller, consul­ter, dans l'intérêt commun." En matière d'animation, Luc Taralle se félicite aussi d'être parvenu à pérenniser des rendez­vous réguliers de rencontres avec les habi­tants. La visite du Père Noël dans les écoles du quartier, la soirée musicale au­tour de l'Épiphanie, le pique-nique convi­vial dans le parc Alain Chédeville, bientôt les animations autour de la Cavalcade (le 26 juin) et la Fête de la Musique (le 21 juin) font se rencontrer les gens et décou- . vrir son quartier sous un autre jour. Les conseillers de quartiers vont donc se répartir le travail par secteur et sillonner les résidences pour aller à votre rencontre. Ils entameront le dialogue sur la base d'un questionnaire en 4 volets, que chacun pourra ensuite remplir tranquillement avant de le rendre dans les lieux publics du quartier. Prenez le temps de répondre à votre conseil de quartier, c'est un moyen incontournable de se faire entendre.

( Le Manet )

Quand les jeunes ~ relèvent leurs manches

Ils étaient une quinzaine de jeunes et d'adultes à s'être donné rendez-vous de­vant l'école Alphonse Daudet le dimanche 28 mars dernier, en direction des bois du Manet pour un après-midi de nettoyage de la forêt. C'est Matthieu Ferré, président du club d"'Un avenir meilleur pour la nature", fondé en février dernier qui a lancé l'initia­tive avec deux autres copains du lycée Des­cartes, Olivier Colleaux, secrétaire et Mat­thieu Mourin, trésorier. Tous trois sen­sibles aux problèmes de l'environnement, ils ont décidé de relever leurs manches et d'apporter leur contribution à la sauvegar­de de la forêt, un lieu de nature où les gens ont plaisir à se promener, et l'habitat des

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animaux. Ce dimanche là, leur contribu­tion a été évaluée à plus de 20 sacs pou­belles ramassés. "C'est incroyable, la forêt est une vraie déchetterie sauvage. Il faut que les gens prennent conscience de ça et c'est pour ça qu'on organise ces journées", soulignait Matthieu Ferré. "On a ramassé de tout, des produits ménagers beaucoup de sacs plastiques et de la ferraille, des ca­dis, des motos et même un fer à repasser", s'indignait-il. "Malheureusement nous n'avons pas pu tout ramasser même sur la parcelle que nous avions délimitée, alors notre projet c'est de renouveler l'opération tous les mois ou tous les deux mois selon le boulot que nous auront au lycée", concluait- il. Vous pouvez donc prendre rendez-vous pour le samedi 15 mai à 13h3o devant l'école Alphonse Daudet, et n'hési­tez pas à contacter le club. L'entrée est gratuite et le club, qui devrait bientôt se transformer en association, a grand besoin de toutes les personnes motivées. Pour cette après-midi de nettoyage, les gants vous seront fournis.

Pour tout renseignement, contactez Mat­thieu Ferré, président du club, au 01 30 96 07 33 ou au o6 77 89 34 so.

Un samedi d'animations le 1S mai Le samed i 15 mai connaîtra une animation particulière au coeur du quartier, sous l'im­pulsion du conseil de quartier du Manet qui s'active en repartant au contact direct des habitants du quartier de 1oh à 12h3o au centre commercial du Manet. Vous pourrez à cette occasion interpeller vos élus de quartier sur les sujets de vie quotidienne qui vous font réagir dans l'environnement de votre quartier. Le cahier de doléances sera de retour, dont les élus de quartier ac­compagneront la rédaction avec force café et gourmandises, avant d'offrir l'apéritif à l'heure du déjeuner. L'occasion parfaite d'une discussion détendue et constructi-

ve .. . L'après-midi, le point névralgique se déplacera sur le terrain face à l'école Jules Verne (entre les rues de Plougastel et Bré­hat) pour les Moments conviviaux, qui pro­posera une série d'animations toute l'après­midi de 14h à 19h. L'objectif de cette mani­festation coordonnée par le service munici­pal Vie des Quartiers et l'association Dl RE est de développer les liens intergénération­nels. Au programme notamment, un tour­noi de football et un autre de pétanque. Habitants du quartier, vous êtes attendus nombreux pour ce nouveau moment de rencontre légèrement sportif, mais surtout très détendu et amical.

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L 'ignymontain www.montigny78.fr

( Le Manet )

En éclaireurs au Relais-Nature

Le groupe des Eclaireuses et Eclaireurs de France a passé son week-end de sortie mensuelle au Relais Nature de la Ferme du Manet, les 6 et 7 mars derniers. Composé de 35 jeunes de la ville nouvelle, dont 10 lgnymontains, âgés de 7 à 19 ans avec 6 lu­tins âgés de 7 à 9 ans, 14 louveteaux entre 9 à 11 ans, 8 éclaireurs entre 11 à 15 ans et 4 aînés de 15 à 19 ans, le groupe des Eclai­reurs de France section Yvelines sud créé en 1990, fait partie des 34500 adhérents français du seul mouvement de scoutisme laïque reconnu, parmi les 5 mouvements agréés par I'OMMS, Organisation Mondia­le du Mouvement Scout. Un week-end par mois, le groupe part vivre à l'extérieur, mais l'hébergement hivernal se fait en dur. Le Relais Nature était donc tout indiqué, offrant la proximité de la forêt, terrain de jeux favori des scouts.

Activités ludiques et éducatives

Les activités traditionnelles des éclaireurs sont connues : couchage en tente, prépara­tion des repas, veillées feu de camp, construction de cabanes, et dépaysantes, mais ne peuvent se résumer si facilement. Au fil du temps, les éclaireurs constituent un groupe où se nouent de véritables ami­tiés autour de projets communs. Le scou­tisme n'est donc pas une activité tradition­nelle puisque les pratiquants s'enrichissent de la vie en collectivité, notamment durant les trois semaines du camp d'été. " Pendant les camps, on organise des explorations de plusieurs jours. Chaque équipage prépare son itinéraire, son budget nourriture, ses points de ravitaillement. C'est ouvert à tous et ça permet de rencontrer des gens très différents" explique Mathias Rozes, 16 ans. Ce sera le cas des aînés qui partiront cet été à Bécourt dans l'Aveyron, lieu de rencontre du scoutisme mondial. Tout en s'amusant, les éclaireurs apprennent et partagent des valeurs, la laïcité, la démo-

cratie, l'écocitoyenneté. Les individus se développent, apprennent l'autonomie et la responsabilisation, c'est pourquoi l'associa­tion est reconnue comme coéducative de­puis 1995 par le ministère de l'Education Nationale, en tant que prolongement de l'action de l'enseignement public. "Comme ça on n'est pas enfermé devant la télé", af­firme Alice Letertre-Gibert, 12 ans. "Moi j'aime dormir sous la tente et me faire de nouveaux amis", ajoute Guillaume Azou­lay, 9 ans et demie.

Deviens Respons Joëlle Clédière, responsable du groupe, lan­ce un appel aux futurs responsables et ani­mateurs. "Pour être respons, il faut être autonome, dynamique et débrouillard", ex­plique Cyril Périn, 22 ans, respons des aînés. Bien-sûr, il faut aussi aimer la vie en plein air, avoir envie de participer et de prendre des responsabilités auprès des enfants, de transmettre, mais c'est surtout l'occasion de partager des moments dans un groupe soudé. Un week-end par mois, c'est juste assez pour se faire des amis et vivre de très belles expériences, mais sans être trop pre­nant. "Chaque année on choisit une théma­tique tous ensemble, ensuite c'est à nous de trouver et de proposer des activités qui s'y rapportent. Cette année, c'est l'imagi­naire", remarque Nathalie Cognye, respons des éclaireurs. Après la création d'un film d'animation à partir de décors photogra­phiés, les grands se lancent dans la réalisa­tion d'un film grandeur nature. Il peut aus­si y avoir des thèmes ponctuels comme un week-end à la préhistoire avec un archéo­logue. Diversité, relations humaines, ima­gination, lancez-vous dans l'aventure ! Les éclaireurs recrutent des responsables à par­tir de 17 ans, et proposent une aide à la for­mation du Bafa ainsi qu'une participation financière. N'hésitez pas à vous renseigner. Pour tout renseignement, contacter Joëlle Clédière au 01 34 61 19 67, ou au o6 88 23 30 46, et par mel à eedf_yve/inessud@hot­mail.com.

Arbres des rues St Malo, Gd Bé et Gde Brière :

Les riverains ont tranché . Le conseil de quartier du Manet a donc

mené la consultation le mois dernier au­près des 57 foyers concernés par le devenir du patrimoine arboré des rues de Saint­Malo, de la Grande Brière et du Grand Bé (voir notre précédente édition). Il s'agis-

. sait pour les riverains, concernés au pre­mier chef, à se prononcer parmi trois pro­

. positions, privilégiant l'éclaircissage des actuels platanes, la suppression d'un sur

deux en quinconce, ou leur remplacement pur et simple p~r une essence moins dom­mageable à l'environnement. Près de 8o% des riverains ont répondu à l'enquête, le même pourcentage parmi ceux-ci entéri­nant la 3' solution. Le Conseil de quartier a transmis le résultat de la consultation à la Municipalité, qui se chargera de budgéter et réaliser les aménagements décidés par . les habitants du secteur.

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( Le Pas au Lac )

Posez le pique-nique le dimanche 16 • ma1

Le Conseil de quartier du Pas du Lac pro­pose à tous les habitants du quartier de garnir le panier de victuailles, de sortir les

Le Plan de Troux

Rencontre le samedi 1S mai Le samedi 15 mai, le conseil de quartier du Plan de Troux fixe rendez-vous aux habi­tants pour une matinée à la fois festive et constructive, de 9h3o à uh. Côté réjouis­sances, le conseil présidé par Georges Dreyssé a prévu d'offrir le verre de l'amitié et d'adoucir les moeurs en musique. Un ate­lier créatif permettra également à chacun de se créer un masque dans la perspective de la Cavalcade de la ville le 26 juin . Côté ré­flexion, le conseil de quartier veut recueillir vos avis sur l'aménagement futur du bois des Marronniers, avant l'élaboration du dossier technique par la Municipalité.

( Le Village ) --

nappes et les plaids, et de se retrouver pour un charmant pique-nique champêtre le di­manche 16 mai, sur la pelouse centrale du Pas du Lac (près de la maison de quartier Henri Matisse). Au menu, le conseil de quartier n'attend que votre bonne hu­meur, dans une ambiance conviviale avec musique en sourdine, et échange de vos spécialités culinaires. L'ingrédient principal de la réussite de cette journée n'est consti­tué que de votre présence, de préférence avec celle de vos amis, voisins et parents. Le rendez-vous est fixé à partir de uh.

Rens. : 01 39 30 31 34·

Le parc Erasme ouvrira le 1S mai

L'ouverture du parc Erasme, au coeur de la zone actuellement aménagée au Pas­du-Lac est prévue pour le 15 mai pro­chain. Semé récemment, le gazon est dé­sormais jugé suffisamment solide pour accueillir confortablement les enfants du quartier et leurs parents. Le parc, orné de massifs d'arbustes, de plantes vivaces et de graminées s'étend sur une surface proche 1,5 ha . Une aire de jeux sera ac­cessible aux enfants de 3à10 ans. Cet es­pace de détente et de farniente sera ou­vert tous les jours de Shoo à 21hoo jus­qu'au 15 octobre et de Shoo à 17h30 du 16 octobre au 14 mars.

Un nouveau programme immobilier de charme

Depuis le 20 mars, la société Constructions Christian Garnier commercialise sur la ZAC Sud-Village deux nouveaux programmes immobiliers. Ces constructions, prévues rue des Sirènes, dans le quartier du village, s'organiseront en un immeuble de trente appartements nommé "la Résidence PE­NELOPE" et une opération de cinq mai­sons individuelles, "la Villa Calypso". Dans un cadre calme et verdoyant, la résidence PENELOPE offrira sur trois étages des prestations de qualité. Du studio au 5 pièces, ces appartements donneront sur un jardin collectif et seront tous livrés

avec un box souterrain et une cave. Les maisons individuelles d'une superficie . moyenne de uom' seront accessibles par une voie privée fermée d'un portail auto­matique. Elles disposeront d'un jardin et d'un double garage. Le début des travaux . est prévu dès octobre 2004 pour une li­vraison contractuelle en juin 2006. Si vous êtes intéressé, rendez-vous au bu- · reau de vente Christian Garnier sur la zone du Manet les lundi, samedi, dimanche de 15hoo à 19hoo et les jeudis, vendredi de 15h30 à 19h00. Tel : 01 30 43 89 55·

L 'ignymontain www.IIIOIIti911Y78.fl'

( Saint-Quentin )

Le lycée Breteuil se la isse découvrir

Comme chaque année, le lycée Emilie de Breteuil organisait sa matinée portes ou­vertes le samedi 27 mars, pour permettre aux futurs élèves ainsi qu'à leurs parents de visiter le lycée tout en s'informant sur

' les formations et les programmes propo­sés. Cette journée est en effet l'occasion de répondre aux nombreuses questions que se posent les élèves, que ce soit au

· moment de leur grande entrée au lycée, lors du choix du passage en première ou de celui d'une formation technique après le baccalauréat. Professeurs et élèves s'étaient donc rendus disponibles pour fai­re visiter leur établissement et fournir l'in­formation la plus concrète à leurs futurs camarades en présentant par exemple leurs activités de l'année, comme le voya­ge en Italie ou les travaux d'art plastique.

Un premier pas Que ce soit dans le bâtiment technique ou général, les visiteurs n'avaient qu'à choisir leurs ateliers de visite et à suivre le par­cours fléché. Et cette matinée a semblé utile à tous, aux parents d'abord qui au­ront peut-être eu une occasion unique de

-découvrir le lycée, mais aussi aux futurs secondes inquiets qui faisaient là un pre- · mier pas pour apaiser leur appréhension de rentrer au lycée. Ils se renseignaient sur les matières, les programmes, et no­tamment les exigences des professeurs pour se faire une première approche qui . aura sûrement permis à certains de passer · un été plus tranquille, et pour d'autres de faire leur choix pour leur passage en pre­mière, avec par exemple la découverte du bac scientifique SI proposé par le lycée de Breteuil aux futurs ingénieurs. D'autres encore se documentaient sur les forma­tions technologiques et professionnelles, et c'est sur le terrain que les élèves ont pu assister aux démonstrations des étudiants des filières électronique, électrotechnique et productique mécanique et microtech­niques. Comme toujours, les visiteurs ont afflué nombreux avec beaucoup d'interro­gations, confirmant la volonté du provi­seur de renouveler chaque année ces ' portes ouvertes. "L'information par les pairs est toujours la plus concrète et sûre- · ment la plus utile pour nos futurs élèves", soulignait Françoise Gautier, proviseur de l'établissement.

( Le Village )

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Club de l'Amitié : ça sent les beaux jours 1

Dorés toute la mati­née sous la houlette

, des cuisiniers du Club de l'Amitié, les deux agneaux n'ont pas pe­sé ensuite sous les

· coups de fourchette : des 110 adhérents, ré­unis le 21 avril dernier à l'occasion du grand méchoui annuel. Ce moment de convivia­lité s'est poursuivi dans l'après-midi par un tournoi de pé­tanque. Les boulistes

.f-= . avertis du club se : sont défiés pendant plusieurs heures sous un beau soleil de prin­temps. Après la tradi-

les tabliers de maître de cérémonie étaient de sortie le 21 avril dernier au Club de l'Amitié pour dorer ii souhait les deux agneaux du méchoui annuel , sous la houlette du président Jean Quémard (au centre) .

' tionnelle remise de coupe aux vainqueurs, les membres du club se sont quittés aux alentours de 19h. Mais pas pour long­temps, car certains se retrouveront dès jeudi prochain pour s'envoler une semaine

en Croatie sur la côte Dalmate. Le club de l'amitié regroupe 300 membres et propose tout au long de l'année un pro­gramme d'activités aux personnes de plus . de 6o ans.

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Le réalisateur américain Quentin Ta­rantino, collectionneur de films cultes, ayant ses adeptes à Montigny comme ailleurs, le ciné Jacques Brel a donc eu la bonne idée de proposer une soirée spéciale qui ravira ses fans, mais aussi les cinéphiles. Profitant de la sortie na­tionale du second opus de "Kill Bill", que la salle municipale présente dans les mêmes délais que les multiplexes commerciaux, l'équipe de programma­tion vous propose de faire coup double en visionnant Kill Bill 1 et Kill Bill 2 (tous deux interdits aux moins de 16 ans) en enfilade le lundi 17 mai pro­chain. Pour ceux qui goûtent moins ce genre de marathon, il faut savoir que le premier épisode aura été diffusé la se­maine précédente, et le second sera en­suite diffusé tout au long de la semai­ne. Si vous êtes un inconditionnel du réali­sateur américain, auteur entre autre de Reservoir Dogs, Pulp Fiction et Jackie Brown, c'est bien au ciné Jacques Brel qu'a lieu l'évènement du mois. A noter que la salle de Montigny pro­pose également le dernier film du réali­sateur ibérique Pedro Almodovar, "La mauvaise éducation", en sortie natio­nale et version originale du 26 au 30 mai (voir horaires en page 2). Rens. : 01 39 30 31 JO.

La couturière de Bain de Jouvence, une piè­ce écrite par François Janvier, mise en scè­ne par Yves Thuillier et interprétée notam­ment par Evelyne Leclercq, a bien eu lieu le 14 avril à la salle Jacques Brel. Créée et ré­pétée sur place, les comédiens avaient donc déjà pris leurs marques, et les décors et les jeux de lumière étaient parfaitement adaptés au lieu, créant ainsi une ambiance intimiste. Les spectateurs ont été accueillis par un petit mot de la production pour les informer qu'ils allaient assister à la premiè­re représentation de la pièce en public. Mê­me si les comédiens étaient un peu nerveux au début, le public chaleureux a donc su leur faire bon accueil et les mettre à l'aise, enthousiasmé par cette comédie légère.

C rrf'Y'tdù f.111N' di-ttf1t"'l IUSW-ft L'histoire est simple, le texte sans fioriture mais ponctué de répliques et de traits d'hu­mour, les situations sont cocasses et le jeu de qualité des acteurs ont fait de cette cou­turière un succès. Les personnages jouent authentique et établissent très vite la com­munication avec le public, peut-être parce que les personnages typiques oscillent à la

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2 spectacles pour le jeune public ce mois-ci

ET (KA l-A La saison culturelle municipale en fa­veur du jeune pu­blic propose deux très beaux épisodes en ce mois de mai à la salle Jacques Brel. Le premier rendez-vous se dé­roulera le mardi 4 mai, en compagnie de Kaab, l'enfant touareg, pour une histoire de désert drôle et poétique, d'une grande ten­dresse. Ka ab disparaît dans le désert un jour de tempête. Ses parents ne croiront ja­mais à sa mort et enverront leur fidèle ami le chameau Aroarelberg à sa recherche. Mais, à la rencontre des éléments, Kaab s'est transformé en sable, puis en vent ... La petite fille craintive lkala lui succédera le mardi 25 mai, dans un spectacle de formes animées dû à la Compagnie "Suforel". A l'aide de lunettes magiques prêtées par un soleil bon enfant, la petite lkala va vaincre ses peurs. Elle est accompagnée dans cette aventure par une grenouille qui deviendra son amie. Un lion débonnai-

limite de la caricature sans tomber dans l'excès. Le seul personnage masculin est un parasite fainéant et hypocondriaque, An­toine, âgé de 42 ans, à la façon de Michel Blanc dans "Viens chez moi j'habite chez une copine". Sans logement, sans boulot et sans copine, tout pour plaire en somme, très doué pour susciter à la fois l'énerve­ment et la pitié, y compris parmi les spec­tateurs, il attendrit les trois personnages féminins qui l'entourent et vont décider de prendre sa vie en main. Elles lui reprochent son mode de vie, mais vont pourtant se ré­véler à son contact. "Bain de Jouvence" se déroule principale­ment dans la salle de bain évidemment, et devient le nom de l'agence matrimoniale qu'Antoine crée et où les trois filles seront les premières à s'inscrire pour boucler la boucle en quelque sorte. Une fois le rideau baissé, les acteurs sont restés tout aussi ac­cessibles que leurs personnages, soulagés tout d'abord, et désireux d'être en contact de leur public, discutant volontiers et si­gnant des autographes aux premiers fans de la pièce.

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re, un crocodile far­ceur, des chenilles fe­ront partie de cette his­toire. Le tout dans un jardin extraordinaire. Une façon de dédrama­tiser les grosses erreurs enfantines. place à l'ir­réel, à l'imaginaire.

Les spectacles débutent à 2oh.

Tarifs : 10,4€ et J,2€.

Rens. : 01 39 30 31 JO.

Pour sa deuxième apparition annuelle sur scène, le Conservatoire Municipal de mu­sique avait réservé la salle Jacques Brel, le 6 avril dernier, pour présenter son spec­tacle sur le thème des plaisirs rythmés. Le concert habituellement orchestré par les élèves des classes de percussions et de jazz s'ouvrait cette année aux classes de flûte à bec, "ça permet d'initier tous les élèves à différents styles musicaux", ex­pliquait Daniel Kenigsberg, directeur du Conservatoire Municipal de musique. "C'est surtout l'occasion de travailler tous ensemble, profs et élèves, et d'établir des passerelles entre les classes grâce à un concept de spectacle commun", a-t-il ajouté. C'est pourquoi 8o participants étaient réunis sur scène, accompagnés par les chants de la chorale adulte, et par les élèves du théâtre qui ponctuaient le spectacle par la récitation de poèmes, al­liant ainsi les mélodies à l'art des mots. Le spectacle n'a pas renié ses origines, ac-

En préambule à la Cavalcade le 22juin rr

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Fofl.._ET 4 jours avant la Cavalcade, ce spectacle proposé par la Ville et présenté par la Com­pagnie Acaly vous plongera dans l'univers magique des fables de Jean de La Fontaine. A travers cette histoire gaie et pétillante, vous suivrez les frasques des célèbres per­sonnages dont Maître Corbeau, Maître Re­nard et Monsieur Coco. Ce spectacle ac­compagné de musiques et de chansons en­traînantes vous fera passer un moment as­surément drôle ... Mardi 22 juin à 2oh, à la salle Jacques Brel Rens. : 01 39 30 31 JO

LEr ExPortTt ONr Dv MOt r DE MAt Trois expositions à prévoir ce mois-ci dans les salles. L'exposition "Patchwork et brode­rie au ruban ... " présentera les créations des membres de l'association Montipatch. Elle se tiendra du mercredi 2 au dimanche 6 juin 2004, de 14hoo à 18hoo à la Maison Félix. Les élèves des cours d'activités manuelles et artistiques exposeront pour leur part du 12

au 16 mai 2004 à l'Hôtel de Ville leurs oeuvres d'art floral, de couture, d'encadre­ment, de cartonnage et de poterie confec­tionnées tout au long de l'année. De même, au Conservatoire des Arts du 17 au 29 mai 2004, une exposition sera consa­crée aux tableaux effectués par les élèves des cours de peinture à l'huile. Rens. : 01 39 30 31 JO.

compagnant chaque morceau par le ryth­me des percussions, et le temps fort était sûrement le morceau interprété par qua­torze musiciens qui jouaient avec des chaises. Une fois de plus l'originalité et le rythme étaient de mise comme à l'habi­tude des chorégraphies et des mises en scène de Casimir Skorupski. "Les spec­tacles sont essentiels à la dynamique du Conservatoire", souligne Daniel Kenig­sberg. Vous pouvez prendre rendez-vous dès maintenant pour le troisième et der­nier volet de la saison musicale du Conservatoire Municipal de musique qui aura lieu le 6 juin à la Ferme du Manet. Conformément à la volonté de la munici­palité de faire participer le plus grand nombre d'élèves à ce concert et de faire de Plaisirs du Classique un temps fort de la musique classique à Montigny, plus de 300 musiciens monteront sur scène sur les airs de Carmen et du cœur des es­claves de Nabucco.

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Le comique Dany Boon a choisi la scè­ne pour fêter ses dix ans de carrière, en inscrivant la Ferme du Manet à la 2 '

place du programme de sa tournée an-

niversaire. Inutile de rappeler que les Boo places avaient été prises d'assaut par son public J c:_ de fans, le samedi 3 avril. Pour "- C eux, Dany Boon jouait quelques morceaux choisis de ses plus grands succès, en y ajoutant des inédits qui n'ont pas manqué de conquérir le public. Tout en gestes, en mimiques et en bruitages, l'humour boonesque est simple et efficace. Du­rant une heure quarante de spectacle, il transmet son énergie avec des sketches issus d'un quotidien vécu, au­quel le public est forcément sensible. Pas d'actualité, pas de message, sa pro­fession, c'est le rire et comme selon

MUSIQUE . . '"Europa Galante"

Oréhestre de 14 musiciens Direction de fabio Biondi

Fabio Biondi est un v-irtuose ·du viofon qui a joué avec les plus grands: On ne compte plus les échanges et les collabora­tions ·dont le phénomène italien s'est nourri, pour donner aujourd'hui sa lecture révolutionnaire de la musique baroque italienne. Le programme présenté au

•'· ' t~éâtre de Saint Quentin se compose de différents concertos de A. Vivaldi, A. Co­relli, P.A. Locatelli et F. Geminiani et un symphonie de G.B. Sammartini. Ces inter­prétations libres et passionnelles ont of­fert à l'ensemble Europa Galante une re­norpmée internationale.

Vendredi 7 mai A 20h30

'"Idoménée" de André Campra

Direction musicale Jean-Claude Ma/go/re, mise en scêne Christian Baggen

Campra a laissé derrière lui une oeuvre considérable de motets religieux, une messe de requiem, des psaumes et des opéras au nombre desquels Idoménée compte pour l'un des plus remarquables. Le livret conte l'histoire d'Idoménée, combattant achéen de la guerre de Troie qui, pour avoir promis à Poséïdon de lui sacrifier "la première personne qu'il ren­contrera sur le rivage de Grèce" si par for­tune ille revoit jamais, se verra contraint de sacrifier son propre fils, ldamante. Rien ne manque à ces s actes de tragédie lyrique "à la française", tempêtes et nau­frages, sacrifices, monstres marins et ja­lousies amoureuses, vengeance divine ... qui ont su réveiller le rythme et la cou­leur du meilleur Campra et la baguette baroque et inspirée de Jean-Caude Mal-go ire.

Mardi 11 mai à 20h3o

son image médiatique, le comique res­te simple. Il ne renie sûrement pas ses origines nordistes. "Pardonnez-moi je n'ai pas compris le sens de votre ques­tion ?" se traduit "Heiiiiiin?!!" en chti. . Evidemment il faut le voir, car ce spec­tacle est réussi autant par son texte que par son aspect visuel. Et Dany Boon peut incarner ou parler de n'im­porte quel personnage de la vie. Le conducteur de Twingo, la voiture à vivre avec difficultés, première voiture que les employés de chez Renault ont été obligés de voler pour faire monter l'argus, les inoubliables traumatisés du K-Way, imperméable dehors et trem­pés dedans avec une capuche qui ne tourne pas et la banane devant, le la­brador, chien de sous-défense et son attaque manuelle, Arlequin le cham­pion de l'amour dans " Il faut lire", ou encore la fonctionnaire accroc du bronzage avec ses sept bronchites esti­vales. Son registre s'étend de l'imita­tion de l'éclatement de la saucisse, ou

(1-/T/ ( l tout aussi bien montrer ses talents au piano. Il personnalise son spectacle et a su établir le contact, avec son" j'men fou j'ai pas faim" lorsqu'il est inter­rompu par les applaudissements du public ou encore ses jeux de mots sur les Montignais et les Vicimontains. Après une heure quarante, la salle était conquise et les inconditionnels prévoient déjà de réserver leurs places pour d'autres dates.

DANSE "Daphnis et Chloé"

Musique de Maurice Ravel Ballet du Grand Thé3tre de Genève

La chorégraphe Lucinda Childs présente la seule version de Daphnis et Chloé exis­tante. Le ballet symphonique de Maurice Ravel prend sa source dans un texte attri­bué à l'énigmatique longus, auteur gréco­romain du second siècle après J.C. Cett'e pastorale antique, d'une très grande sen­sualité, raconte· la découverte de l'a,mour par Daphnis et Chloé, jeunes bergers de Lesbos et comment l'un et l'autre échap­pent à différents périls avant de se re­trouver. Une superbe production qui a bénéficié de moyens conséquents et per­mettra également d'entendre l'Orchestre de la Suisse romande et les choeurs du Grand Théâtre dirigés par Patrick Davin.

Mardi 18 et Mercredi 19 mai A 20h30

SPECTACLE '"Liturgies pour un monde de paix"

Chant, récit, piano Spectacle conçu par Hélène De/avault Dans Liturgies pour un monde de paix, la

cantatrice Hélène Delavault, la comé­dienne Marie-Christine Barrault et la pia­niste Susan Manoff tressent leurs com­plémentaires talents pour faire entendre la troublante proximité ·des poèmes per­sans de Rumî et des Béatitudes de l'évan­gile de Luc, des contestalmudiques et de la religion de l'amour d'Ibn Arabî, du Has­sidisme et de l'Hymne à la charité de Paul. Une exploration rêveuse des tradi­tions chrétiennes, juives et musulmanes par trois femmes qui ne sont qu'une seu­le voix.

Dimanche 23 mai A 15h3o

Renseignements et réservations 0130 96 99 00

L 'ignymontain www.montignylB.fr

Avec la librairie Siloë le 25 mai

Le piA~Sft M~r~ Ve~ erse svc vu

Marc Vella est un personnage. Volontiers qual ifié d'excentrique et de farfelu lorsqu'il décide de s'échapper de l'univers confiné des conservatoires, malgré une indéniable réus­site dans son monde artistique, pour décou­vir le monde, son piano sur une remorque, l'artiste prône la liberté, la découverte du monde et le partage de son amour de la mu­sique de l'Afrique aux bidonvilles de l'Inde. La librairie CLR Siloë vous convie le mardi 25 mai à la rencontre de ce personnage singu­lier, voyagéur irrésolu, prix de composition à Rome en 1999, et auteur de deux recueils de poésie, pour une soirée concert et témoigna­ge autour de son livre "Le pianiste nomade". A 20h30 A l'église Saint-Quentin des Sources Rens. au 01 30 64 oo 42

EN BP.EF

Le ~tl-t<rr crrmpk-t k st::tmtdi , r ~i

"Le Quatuor" aux cordes affûtées et mali­cieuses affiche complet pour son spectacle "Sur la corde rêve" à la Ferme du Manet le samedi 15 mai prochain. Les spectateurs ignymontains ne s'y sont pas trompés et ont réservé depuis la rentrée leur siège pour le show des musiciens fous, qui a ob­tenu le Molière 2003 du meilleur spectacle musical.

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L'association Carnet de Bal organise une "nuit de la danse de salon" ouverte à tous, en collaboration avec ABC Danse et avec l'orèhestre de Gérard Héver, le samedi 8 mai à la salle des fêtes de Maurepas. Rens. : 01 30 44 23 36.

rr L/jrt.es de fvti;te #, , Le Théâtre de Saint-Quentin innove en proposant "Lignes de fuite#1", trois jours de happpening culturel les 4, s et 6 juin prochains. Nous reviendrons sur son programme le mois prochain.

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L'association "Les Amis des flots" et ses 13 adhérents comptent depuis 2003 parmi les associations culturelles ignymontaines. Fan de modélisme naval, c'est la famille Leguay du quartier de la Sourderie Sud qui est à l'origine de cette nouvelle venue dans les locaux de la salle Léon Delay. Après un an d'existence, l'association peut désormais offrir tous les avantages à ses adhérents, un nouvel accès au plan d'eau de Villaroy sur la commune de Guyan­court, beaucoup mieux pour tester les ba­teaux que la baignoire, un mini bassin pour apprendre le pilotage aux enfants, · ainsi qu'un atelier avec alarme où laisser les maquettes et les matériaux en cours de construction .

A~ tt"~ · · de fit Bateaux de pêche, voirt::, bateaux à va­peur, statiques ou navigants, l'atelier est ouvert à tous les types de bateaux sauf aux bateaux de vitesse type offshore. A partir de maquettes sur plans, de photos ou de boîtes de construction, les adhé· rents s'entraident pour la coi1Struction et ' échangent leurs savoirs-faire spécifiques1

sur la radio-commande, l'électronique, les coques, la rr ~ ... uiserie et la peinture. Les heures de travail manuel sont l'occasion de partager leurs connaissances dans un

moment convivial, et le travail nécessite beaucoup de minutie, un savoir-faire poly­valent, et l'amour des choses bien faites. Leurs bateaux sont des petits bijoux de réalisme, jusqu'au bruit du moteur, aux détails des cabines et aux multiples acces­soires. Tout peut-être utilisé, jusqu'aux fi­lets d'oranges qui seront transformés en parfaits filets de pêche. Tous les débutants seront accueillis avec plaisir et invités à participer aux expositions. Un bateau peut coûter entre so et soo€, pour des bateaux d'une dizaine de centimètres à plus d'un mètre, comme le porte-avions Foch d'1,77 mètres de long auquel s'attaque Gilles Le­guay. "Rien que l'îlot nécessite plus d'un an de travail. Au début je construisais des trains mais ça prend beaucoup de place et on ne peut pas les utiliser dehors", ex­plique-t-il. Les rnagasins spécialisés com­me Aïko à Versailles deviendront vite des boutiques à faire rêver. En attendant leur prochaine exposition à Montigny prévue pour le Téléthon, n'hési­tez pas à contacter f':llartine et Gilles Le­guay au 01 30 57 44 78, o6 16 76 73 85, ou o6 75 23 26 24 pour tout renseignement. Les enfants sont bienvenus s'ils sont res­ponsables et motivés. L'a telier est ouvert du lundi au vendredi de 18 à 21h, le same­di et dimanche de 9 à 21h.

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EN BREF La Monticyclo

revient le 12juin Le VCMB a mis sur pied l'édition 2004 de sa Monticyclo, une épreuve de cyclotourisme désormais bien établie au calendrier des randonneurs cyclotouristes, qui emporte ses participants pour une boucle à travers le Perche et la vallée de Chevreuse. Deux par­cours au choix de 212km ou 154km partiront aux aurores du centre sportif Coubertin le samedi 12juin (entre 6 et 7h pour le 212 km, 7 et 8h pour le 154 km). Les arrivées sont prévues entre 17h30 et 2oh pour les der­niers. L'épreuve est ouverte à tous, licenciés au non.

Le Mini Raeing Car Ign_ymontain en piste les 22 et 23 mai

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Rens. : 01 30 88 so 12.

Hand-ball : montée assurée pour les filles Cette fois, c'est la bonne. Les joueuses de Bruno Moyon graviront un échelon et fer­railleront en Nationale 2 la saison prochai­ne. Leur victoire le 24 avril dernier à Cou­bertin sans coup férir 33 à 22 face à leurs dauphines au classement, les champe­noises de Troyes-Sainte-Maure, leur a ou­vert à coup sûr les portes de l'échelon su­périeur à deux journées de la fin du cham­pionnat. Au terme d'un match enlevé et rythmé par leurs supporters, les filles de Montigny ont largement surclassé leurs dauphines. Elles ont en même temps réus­si un singulier exploit : tirer des larmes à leur président Patrick Chehab.

Et c'est reparti sur les chapeaux de roues pour le MRCI, le Mini Racing Car lgnymontain et sa cinquantaine d'adhérents, qui organisent le Grand Prix Européen EFRA de voi­tures télécommandées Tout Terrain à l'échelle 1j1o', les 22 et 23 mai, sur la piste du Parc des sports de la Couldre, située derrière le gymnase Jules Ladoumègue. Véritable test pour le Championnat d'Europe 2005, également attendu à Monti­gny, les meilleurs pilotes européens viendront s'affronter sur la piste, télécommandes de leurs bolides électriques à la main .

Jeu, eompétition et feehnique Grand habitué de ces rendez-vous compéti­tifs avec 25 courses régionales et 10 courses nationales à son palmarès d'organisateur, le circuit ignymontain est renommé pour être l'un des plus agréables de la région parisien-

. ne et vaut d'être découvert. 175 mètres de long, 3 mètres de large, la piste présente plusieurs difficultés, virage relevé, simple bosse ou tables américaines, simple ou double qui constituent des plateaux suréle-

Planehe à voile le dimanehe 16 mai à la ba.'e de bob;irs

Le "Trophée de I'Eelair" pour le souvenir de Clément

Le 20 février dernier, le jeune véliplanchiste Clément Dujoncquoy, âgé de 17 ans, était dé­couvert sans vie alors qu'il s'était élancé pour naviguer seul avec sa planche sur l'étang de Saint-Quentin. Licenciés comme lui au Club de voile de Saint-Quentin (CVSQ), trois de ses amis Fabien, Julien et Alexandre ont déci­dé de lui rendre hommage le dimanche 16 mai en organisant une épreuve de freestyle, le "trophée Eclair" (le surnom de Clément) . "Cette compétition n'a bien évidemment au-

cun but lucratif. Elle est avant tout amicale, organisée dans le but d'honorer la mémoire de notre ami, et de perpétuer une tradition autour de la passion qui nous anime et pour laquelle il est mort", explique Fabien. " Le freestyle était sa discipline de prédilection. C'est la première régate de ce type en lie-de­France, et nous souhaitons qu 'elle perdure chaque année en son souvenir." Rens. : o6 20 65 21 96 préinscriptions à tropheeclair@hotmail.com.

_Affluenee au toumoi · eunes du TCI

Le grand prix des jeunes du Tennis Club lgnymontain s'est déroulé sur les courts des 4 Pavés du 3 au 14 Avril. Le tournoi a at-

- tiré cette année plus de 160 jeunes de toutes les ligues de l'ile de France contre 8o l'année dernière. Toutes les catégories

étaient représentées chez les garçons et chez les filles. Les finales qui se sont dérou­lées sous le soleil ont oft·. ..ts matchs de très bon niveau et tous les spectateurs ont pu apprécier le talent naissant des jeunes compétiteurs.

vés plus ou moins large, zone pavée et une ligne droite de 27 mètres pour laisser place au pla isir des pointes de vitesse. A partir de la plate-forme de pilotage, les coureurs de­vront faire leurs preuves sur de nombreux critères pour passer la ligne d'arrivée en tê­te, v itesse, trajectoire, franchissement d'obstacles et saut, autant de performances exigées sur la piste. Pour cela, toute la jour­née du vendredi sera consacrée à l'entraîne­ment libre, avant que les choses sérieuses ne commencent le reste du week-end , manches de qualification le matin et finales

l'après-midi. Au programme du sa­medi 22, les courses des deux roues motrices, alors que les quatre roues et les trucks (grosses roues) attendront le dimanche 23 pour prendre le départ. Rendez-vous sur la ligne de départ pour prendre votre leçon de pilotage et vous laissez tenter par le sport automo­bile miniature, petit mais costaud !

Pour tout renseignement, contac­tez Gilles Vogel au 01 39 55 17 70, ou par mel à gilles. vogel@numeri­cable.fr Retrouvez aussi tous les reportages sur les événements du MRCI sur le site http:jjwww.gaz­on.fr.st

Viet Vo Dao : les eadres au rapport

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Il fallait montrer patte blanche pour entrer au gymnase Jules Ladoumègue le samedi 24 avril dernier. Le lieu accueillait en effet un groupe particulièrement concentré, en kimonos bleus, sous la houlette de maître Duc. Les cadres européens du viet vo dao étaient réunis pour une journée qui se vou­lait confidentielle, afin de briguer un passa­ge de grade. "Nous organisons une épreuve de ce genre chaque année, respectivement dans un pays européen où notre discipline est implantée. Après Vérone en Italie, l'an dernier, nous sommes à Montigny cette saison, l'une des places fortes françaises du viet vo dao". Maître Duc parle fort et dirige le groupe avec autorité. Outre son kimono bleu et ses ceintures à la hiérarchie diffé­rente des autres arts martiaux et où la cien­ture noire n'existe pas, son sport se dis­tingue aussi par quelques mouvements

spectaculaires comme le coup de pied sau­tant, une technique de ciseau portée au ni­veau du cou. " Nous recevons aujourd 'hui des disciples de toute l'Europe. Il est impor­tant pour nous de former nos cadres pour continuer de nous développer." 3 lgnymon­tains étaient engagés le 25 avril. Ils jouent un rôle actif dans l'encadrement des 85 membres du club ignymontain.

Eeole de eyelb;me

Un samedi au sprint Le samedi 24 avril dernier, les jeunes élèves de l'école de cyclisme du VCMB, encadrés par Jean-Noël Dutois, ont amélioré l'ordinaire de leur entraînement sur leur piste du centre sportif Coubertin , en invi­tant leurs homologues de plusieurs clubs environnants à se confronter à eux. Les cyclistes de Houdan, Conflans Saint-Honorine, Chatou et Magny-les-Hameaux ont donc tenu la dragée haute aux locaux, dans une douzaine d'épreuves de maniabilité et d'adresse à vélo, puis sur un sprint de 6o mètres, pour espèrer glaner l'une des trois places du podium amical. L'école de cyclis­me du VCMB reste en expansion. Ouverte avec 4 pensionnaires en 1999, le club du président Couffin en compte 15 au­jourd'hui, qui peuvent commencer les courses en ligne à partir de la catégorie mi-

nimes. Ce mois-ci, les sociétaires seront en­gagés sur plusieurs fronts : la seconde épreuve annuelle des Aiglons, et le trophée régional du jeune cycliste.

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Du spo t à l'EPS ... Et côté UNSS ? L'UNSS, c'est l'Union Nationale pour le Sport Scolaire qui se pratique en général le mercredi après-midi, en dehors du temps scolaire. A Descartes, I'UNSS comp­te par exemple 14% des effectifs totaux c'est-à-dire uo élèves, ou 29% au collège Les Prés soit 440 élèves, ce qui représente un des plus gros scores du département. Les activités sportives proposées font par­tie des activités les plus traditionnelles comme le foot, le hand, le volley, le ten­nis de table ou la gym, et les contraintes pour la pratique restent les mêmes que pour l'EPS, c'est-à-dire la disponibilité et l'accès aux équipements. Les objectifs gé­néraux sont également identiques, à la différence près que les élèves choisissent volontairement de pratiquer les sports proposés. Il s'agit donc d'une spécialisa­tion qui permet la pratique à un plus haut niveau et surtout dans un esprit différent. "La relation entre profs et élèves s'élève à un niveau différent, nous sommes tou­jours là pour former des citoyens, mais I'UNSS permet aux élèves d'avoir un autre contact avec le milieu scolaire, et met l'ac­cent sur la participation des élèves à la vie associative, la prise de responsabilités et surtout l'échange à travers des rencontres et des compétitions", explique Didier Mil­horat, professeur d'EPS au collège Berg­son et coordinateur de district pour I'UNSS. Ainsi, au collège Les Prés par exemple, les élèves sont élus au Comité directeur et représentent un tiers de ses membres, pour participer à l'organisation, l'animation et la gestion de l'association . Ce temps consacré à I'UNSS permet égale­ment de développer d'autres aspects de la pratique sportive qui ne le sont pas en cours pour des raisons de temps, comme l'apprentissage de l'arbitrage par exemple. C'est enfin la possibilité pour tous de pratiquer un sport à des tarifs très accessibles, car l'adhésion annuelle à I'UNSS ne coûte que 15€.

L'Education Physique et Sportive fait partie des disciplines scolaires ensei­gnées dès la maternelle, suivant des programmes et des objectifs détermi­nés. C'est pourquoi de Sh à 17h chaque jour de la semaine, ce sont les élèves du secondaire (collèges et lycées) qui in­vestissent les équipements sportifs mu­nicipaux selon l'obligation nationale de mise à disposition de ces équipements garantie par le ministère de l'Education. A Montigny, qui s'est dotée d'une poli­tique de service dynamique depuis sa construction (cf dossier sur le sport mu­nicipal du mois de mars), les élèves des cinq collèges et des quatre lycées de la ville bénéficient tous d'un équipement sportif à proximité de leur établisse­ment, la plupart du temps à la fois couvert et extérieur, grâce aux 91821m' d'équipe­ments sportifs à disposition, dont 11320m' de terrains extérieurs. Néanmoins, même si la ville est riche en équipements, il existe certaines inégalités entre les établisse­ments, de par leur situation géographique par exemple, qui influence le choix des acti­vités. L'escalade se pratique uniquement sur le mur du centre sportif Pierre de Coubertin, et le collège Bergson ne dispose pas d'un grand terrain pour la pratique en extérieur. Pour intégrer ces activités, il faut donc un temps voire un coût de déplacement.

Du sport loisir à l' édu~ation physique et sportive

Les objectifs du sport loisir proposé par les associations diffèrent de la pratique du sport en milieu scolaire qui prend alors le nom d'éducation physique et sportive. Tou­te la différence réside dans le terme éduca­tion. La miss ion de l'EPS est à la fois large et essentielle. " C'est une discipline fondamen­tale, d'a.bord parce qu'elle est au cœur de notre société en tant que premier loisir pra­tiqué par les français, et surtout parce que la

composante corporelle est essentielle dans la vie. On est en relation à l'autre par le corps", souligne Jean-Claude Smondack, professeur agrégé d'EPS au lycée Descartes, à I'IUFM de Cergy, et nommé expert à la ré­daction des derniers programmes natio­naux. "Il s'ag it d'ouvrir les enfants à des pra­tiques variées et à la pratique sportive en général, notamment pour concurrencer la télé et éduquer à une certaine hygiène de vie", ajoute Didier Milhorat, professeur d'EPS au collège Bergson et coordinateur de district pour I'UNSS (voir notre encadré à droite). Pour résumer, l'EPS a pour mission de transmettre les compétences nécessaires à la santé, la connaissance et l'entretien du corps, ainsi qu'à la sécurité, à l'autonomie et au développement de soi. Cette discipline doit également favoriser l'apprentissage de valeurs symboliques comme l'acceptation du jeu à travers des règles communes né­cessaires à la vie en communauté et à la so­cialisation, ou encore la const ruction d'un ci toyen responsable et lucide. Plus encore, l'EPS est un support d'apprentissage qui "ré­pond à l'envie de bouger et au plaisir d'agir tout en donnant le sens de l'effort et de la persévérance" souligne Catherine Come, co­ordinatrice pédagogique pour l'éducation

La eourse de l'heure du eollège les Prés

Cette initiative particulière est organisée cou ragés par deux stands sonos et un stand chaque année par le collège Les Prés et a ravitaillement. En créant la vie du collège mobilisé tous les enseignants, les 471 élèves et la rencontre entre les élèves et les pro-du collège ainsi que 140 CM2 dépendants fesseurs, le succès de cette manifestation du secteur des Prés qui feront leur prochai- consiste également à mobiliser diverses ne rentrée en 6', durant la journée du 8 compétences, comme les mathématiques avril. Plus de 6oo élèves étaient donc pré- pour le classement des arrivées indivi-sents et plutôt actifs pour cette journée sur duelles pour les trois meilleurs filles et ga r-Ie thème de la rencontre et du sport, ponc- çons de chaque catégorie, et collectives tuée par des courses d'un kilomètre pour avec des résultats par classe, ou le français chaque niveau, et d'une pause pique-nique nécessaire à la création du journal de la bien-sur pour le réconfort. journée. L'occasion était donnée aux co~lè­

giens de réaliser une performance sport1ve dans le cadre de leur programme d'EPS tout en s'amusant, et de prendre quelques res­ponsabilités en participant à l'organisation et en devenant tour à tour commissaires de course, contrôleurs, ravitailleurs ou même coachs. Pour les 6' accueillis il s'agissait d'une première rencontre à travers le sport, favorisant le premier pas vers leur intégra­tion avec beaucoup moins d'appréhension pour la rentrée. Une journée reflétant tout l'art du sport loisir et éducatif.

Apprendre el parta~er à travers la eourse

Sur le circuit au départ du collège en direc­tion du centre sportif Pierre de Coubertin, avant de circuler entre les terrains de tennis et d'emprunter la piste d'athlétisme du sta­de pour reven ir enfin au collège, les cou­reurs devaient pointer sur neuf points de

contrôle, en-1• nlllls • c• F. B. :s E C IV L A R I S E R ,. c• s u R F E. R E ·s AC H E E. F I LM

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physique enseignée à l'école primaire. "Construire son espace de liberté à soi et aux autres", conclut Jean-Claude Smondack.

Cinq expérieneea ' vivre Pour atteindre ces objectifs qui sont identiques du niveau élémentaire jus­qu'au lycée, le ministère de l'Educa­tion Nationale a établ i des pro­grammes, d'ailleurs plus précis que les anciens pour mieux reconnaître l'im­portance de cette discipline scolaire, en nommant sous la direction de l'an­cien ministre Claude Allègre, six groupes d'experts de terrain. Ces pro-grammes, datant de l'année 2000

pour le lycée, 1995 pour le collège ou 2002 pour l'école élémentaire, sont valables de 7 à 10 ans en moyenne. En trois heures à l'école élémentaire, quatre heures en 6', trois heures durant les trois dernières an­nées de collège et plus que deux heures au lycée consacrées à la pratique sportive, les programmes indiquent cinq grandes expé­riences à vivre, et laissent le choix aux insti­tuteurs et aux professeurs de choisir les ac­tivités à pratiquer pour atteindre ces objec-

tifs. " Le programme se découpe en cinq grandes catégories de relat ion au monde : la relat ion à l'espace et au temps, au beau et à l'artistique, à l'environne­ment physique et humain, comme le mouvement ou la nat ure, à l'autre par les activités d'opposition indivi­duelle ou collective, et enfin à la connaissance de soi", explique Jean­Claude Smondack. Pour cela, les en-

Au vu ae sa capacité d'accueil, le centre aqullf:ique au Lac reçoit tous les CP et CEl ae Montigny les jours sco­laires.

seignants ont le choix parmi des groupes d'activités : sports collectifs, disciplines ath­létiques, aquatiques, de plein air, gym et utilisation du corps, activités artistiques, de combat ou de duel.

Ohjedifs eommuns et esprit d'équipe

Les programmes affichent les mêmes objec­tifs que ce soit au niveau élémentaire ou se­condaire. Néanmoins, c'est l'âge des élèves et leur niveau d'évolution qui introduit quelques différences. "Au niveau secondai­re, les enseignants d'EPS ont une approche beaucoup plus techniciste rendue possible par l'âge des élèves, tandis qu'au niveau élé­mentaire, l'éducation physique est abordée sous l'angle du développement moteur gé­néral et principalement de l'accès à l'auto­nomie globale" explique Catherine Come. Il s'agit donc principalement de construire et d'enrichir le répertoire moteur des enfants, ce qui convient bien au caractère polyvalent des instituteurs qui ne sont pas spécialisés dans l'enseignement d'une matière unique . "Au collège on passe beaucoup de temps à canaliser l'énergie des élèves, il y a plus de discipline et moins d'autonomie qu'au lycée, où les qualités humaines des élèves sont plus élaborées", informe Didier Milhorat. En tout cas, les tro is enseignants interrogés sont tombés d'accord sur la nécessité de continuité et de stabil ité dans l'enseigne­ment, rendues possibles par l'esprit d'équipe qui caractérise les profs d'EPS qui se rencon­trent régulièrement.

Giaeometti eourt contre la faim

Pour la deuxième année consécutive, le collège Giacometti sera au départ de la Course contre la Faim 2004 tout comme 129 autres collèges français. L'opération or­ganisée au niveau national par l'association Action contre la Faim avait déjà rapporté 343000€ l'an passé, dont 10000€ récoltés par le collège Giacometti. Les 450 collé­giens qui feront partie des 40000 élèves mobilisés dans toute la France espèrent bien faire mieux le 7 mai, en courant une heure sur le parcours tracé autour de leur établissement, sous la responsabilité de Cy­ril Boileau, professeur d'EPS au collège Gia­cometti. Le principe est simple, les élèves sont sponsorisés par des enseignes connues qui s'engagent à verser une somme d'ar­gent en fonction du nombre de kilomètres parcourus durant une heure. Capacités physiques et motivation seront donc né­cessaires pour parcourir le maximum de distance. Pour cela, les élèves ont été sens i­bilisés au problème de la faim dans le mon­de par des bénévoles de l'association, no­tamment avec la diffusion d'un film, afin de leur démontrer l'importance de leur en­gagement et de les motiver pour le jour J . A la fois sportif, pédagogique et solidaire, cet événement est désormais un succès qui correspond à l'envie des jeunes de se rendre utile et de s'investir dans des causes humanitaires. Course contre la Faim 2004, le rendez-vous est pris !

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-... Carré de nombres,

Placez dans les cercles vides les nombres per­mettant d'obtenir un total de 17920 en

multipliant trois nombres situés sur une même ligne horizontale ou verticale. ,,

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- Les gagnants recevront une entrée à la salle Jacques Brel Réponses à faire parvenir à l'Hôtel de Ville, Service Communication,

66 rue de la Mare aux Carats - 78180 Montigny-le-Bretonneux. Les lots sont à retirer à l'accueil du Service Communication

Jeu ouvert aux moins de 18 ans.

La réponse au jeu du mois dernier était PLA TRIER

Les gagnants sont :

Julien BLACTEAU, Sylvain BLONDEL, Alexis COUILLEN, Julien CHRISTOPHE, Iris DUPONT, Filip JURICEV, Stephen LIMA,

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