MADAME FIGARO LYON NOVEMBRE

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Spécial Bijoux, On a testé l'atelier de réparation de vélo "Dead is hype", la chronique de Camille d'Essayage...

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MADAMELyonTOUT VOIR, TOUT AVOIR, TOUT SAVOIR

EN OUVERTUREPRÉCIEUX FÉTICHES p.3 à 8ON A TESTÉL’atelier de restaurationde vélos : Dead is Hype p.10MAD@ME WEB p.12

Avec un sourire empli debelles notes, Émilie Fornasnousmontre samain droite oùtrône dans une relative discré-tion deux bijoux en or. Sur sonauriculaire une croix retenuepar une chaîne et sur son an-nulaire une médaille montéesurunanneau. Les deuxbaguessont simples, uniques, et on lesent, chargées d’émotions.«Ellesme collent littéralement à lapeau et je ne suis pas prête à les en-

lever. »Émilie a unepetite tren-taine, un visage angélique, legoût des belles choses et lessentiments à fleur de peau.«Chaque fois que je les touche, queje les regarde, je pense à mes deuxgrands-pères. C’est un sentimentplaisant, rassurant. »Femme as-sumée, elle aime, connaît etpossède de très beaux bijouxavec des pierres précieuses etdes montures savantes. « J’aifait mes armes chez Cartier avant

UN BIJOU N’EST JAMAIS ORDI-NAIRE. IL PARTICIPE À L’APPARENCEPHYSIQUE, S’INSCRIT COMME INDI-CATEUR SOCIAL, REFLÈTE L’APPAR-TENANCE… SON PORT, SON DON,SA CIRCULATION SONT RAREMENTFORTUITS CAR IL REPRÉSENTE SOU-VENT POUR LES FEMMES QUI L’AR-BORE UN SOUVENIR DANS LACONTINUITÉ. AVOIR CE BIJOUSOUS LES YEUX EST UNE MANIÈRED’EXISTER, DE MAINTENIR LE LIENAFFECTIF AU PLUS PRÈS. C’ESTCET ATTACHEMENT, CETTE HIS-TOIRE SI PERSONNELLE, QUE DEUXFEMMES ONT ACCEPTÉ DE NOUSDÉVOILER. RENCONTRES.PAR AGNÈS GUILLAUME

PRÉCIEUX

ÉMILIE FORNASUN LIEN AFFECTIF

BIJOUXFÉT ESICH

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de travailler à Paris dans le milieu de lahaute joaillerie. » Ici, il n’est pas ques-tion d’euros mais de lien affectif.«Cette croix a été dessinée par mongrand-père pour le baptême de ses pe-tits-enfants. Récemment j’ai fait faire unmoule, et un jour, j’aimerais en offrir unexemplaire à mes deux enfants. »

DesbijouxquiracontentdeshistoiresLorsqu’elle évoque la médaille deGérard Dutreil né le 5 février 1915,ses yeux brillent. «Mon grand-père estdécédé en 2010, je venais juste de rentrerde Paris. J’étais donc présente. Nousétions très proches. Jeme souviens de nosdéjeuners hebdomadaires, tous les deux,depuismes 12 ans. Peu de temps avant departir, il nous avait convoqué avec mescousines pour choisir un bijou apparte-nant à la famille. Sans hésitation, j’aiopté pour sa médaille de baptême. J’aiignoré les perles, diamants et autres sa-phirs… Je savais précisément ce que jevoulais et ce que j’allais en faire. La pen-dre à mon cou me semblait trop clas-sique. J’ai décidé de la transformer enbague. » Ainsi, le lien s’offre au re-gard et suscite la discussion. Émilieparle de la médaille, de l’ange, de lapatine. Elle plonge surtout dans sessouvenirs de petite fille, la maisonde campagne, les vacances à lamer.Pragmatique, elle apprécie aussi depouvoir les porter sous la douche, lanuit, dans l’eau, hiver comme été,quelque soit sa tenue. �

BIJOUXprécieux fétiches

Bague en or jaunesablé,fleur de corailrouge et diamantblanc de YannickMonchanin.25,rue Royale,Lyon 1er

(Tél. : 04.78.29.01.79 ;www.yannickmonchanin.com).

La bagueArchitectureCité Carrée de PhilippeTournaire,en platineet diamant.103,rue Édouard-Herriot,Lyon 2e (Tél. : 04.78.92.93.94 ;www.philippetournaire.com).

Pendentif Jardin d'hiversen or blanc et diamantsde Bruno Alquier.9,coursVitton,Lyon 6e

(Tél. : 04.78.89.24.82 ;www.brunoalquier.com).

Boucles d’oreilles PomellatoVictoriaen or rose et jais.La marque Pomellato est distribuéechez Augis 1830 : 32,ruede la République,Lyon 2e (Tél. : 04.72.41.18.30)et chez Fabienne Géliot Joaillerie :36,rue Franklin-Roosevelt,Lyon 6e (Tél. : 04.78.24.82.90).

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Collier Boulier Black Moonde Ginette NY en or et onyx.

La marque Ginette NYest distribuée chezBeaumont&Finet.

100,rue Édouard-Herriot,Lyon 2e (Tél. : 04.78.28.17.77 ;www.beaumont-finet.com).

Bague Première Rosée en argent,pierres précieuses et pierres fines

de Laurence Oppermann.Sur rendez-vous à l’atelier au 25,rue Chinard,Lyon 9e

(Tél. : 06.61.41.02.05 ;www.laurenceoppermann.com).

BIJOUX

La bague Prestigeen or gris avecsaphirs multicolores etdiamants de Romain Herzo.85,rue Édouard-Herriot,Lyon 2e

(Tél. : 04.78.37.52.23 ;www.herzo.fr).

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CET AUTOMNE,LYON DEVIENT UNEGRANDE CAPITALE !DU 15 AU 25 NOVEMBRE,LA BOUTIQUE MAIERDE LA RUE PRÉSIDENTÉDOUARD-HERRIOTSE MET AUX COULEURSDE CHAUMET.

ÀÀ l’occasion d’une exposition tout à faitextraordinaire, le célèbre joaillier de laplace Vendôme dévoilera ses dernièresnouveautés et de nombreuses paruresd’une finesse inouïe. Jamais à Lyon iln’aura été donné de découvrir autant depièces signées Chaumet, lesquelles, entemps normal, ne quittent pas leur écrinparisien, londonien ou encore, moscovite.Montres précieuses, bagues diadème, bi-joux ornés de pierres aussi envoûtantesque l’opale rose, le saphir violet ou le spi-nelle rouge, issus des collections «Liens»,« Joséphine», «Class One», «Bee myLove » feront briller le showroom MaierJoaillier de mille feux.

De si beaux liens…Collection-phare, « Liens » file la méta-phore de l’attachement. Elle est déclinéeen bagues, pendentifs, bracelets et dia-dèmes porte-bonheur, et s’inscrit dansla tradition des bijoux de sentiments dela maison, fondée en 1780. En 2012,cette figure en diamants s’associe aumystère et à la modernité de la cérami-que noire ou se pose sur un fil d’or, afinde se réinventer, une fois de plus. C’estce même lien que l’on retrouve pour lapremière fois sous la forme d’un dia-

dème bandeau, délicate ligne d’or entiè-rement sertie de diamants. Avec cettecréation, Chaumet signe une nouvelleapproche du bijou, actuelle, féminine etsingulière.Fidèle à son habitude, en hôte demarque,Jean-Louis Maier saura ponctuer l’évé-nement de surprises dont il a le secret.Amoureux du beau, du savoir-faire sé-culaire des grandes maisons françaises,en quête du cadeau de rêve, un événe-ment unique à ne pas manquer.

101, rue du PrésidentÉdouard Herriot, Lyon 2e.

Tél. 04 72 04 90 50.Exposition Chaumet

du 15 au 25 novembre 2012

dévoile ses nouvellescréations à Lyon

CHAUMET

COMMUNIQUÉ

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CCatherine Termoz, critique gastronomique installée à Gre-noble, a dit oui à son mari il y a maintenant de longuesannées. Elle se souvient parfaitement de ce jour heureuxet de la bague de fiançailles qui scintillait à son doigt. Uneravissante «marguerite » en or jaune, sertie de diamants,achetée chezungrand joaillier parisien.Dans les années80,cemagnifique bijou incarnait la tendance. Les années pas-sent, les modes se succèdent, les goûts évoluent. La belle«marguerite » n’est plus de toutes les sorties et attend le

plus souvent sagement dans le coffre. À l’annulaire dema-dame trône désormais des acquisitions plus récentes. « Jetrouvais la forme vieillotte. Elle ne s’accordait plus avecmon stylevestimentaire. J’avais des envies d’or blanc. J’avais secrètement ledésir d’un solitaire ».

Rajeunir ledesignExpliquer la chose à son époux n’était pas aisée. La baguede fiançailles est le souvenir par excellence d’un jour, d’unoui, d’une vie. C’est une pièce d’une grande valeur affec-tive que l’on conserve, religieusement. N’écoutant que soncourage, Catherine décide de s’en ouvrir à son homme.« J’ai choisi le moment propice, lors d’un week-end, autour d’unbon repas. Sa première réaction a évidemment été la surprise. Je nesuis pas sûre qu’il aurait accepté que je la vende pour en acheterune nouvelle. »Catherine lui propose simplement de conser-ver les pierres et de rajeunir le design. La réponse sera unenouvelle fois oui. Aujourd’hui, notre élégante est radieuse.«Cette bague est splendide. Je ne la porte pas au quotidien car elleest imposante et nécessite d’être apprêtée, mais je sollicite les oc-casions. » D’un sourire complice, elle avoue que la trans-formation a euun coût. «Mes fils n’ont pas fait de commentaire.Ma belle-mère m’a juste dit : Ah, vous avez une nouvelle bague !Les silences sont parfois plus éloquents que les mots. Personnelle-ment je suis en paix. La bague est à sa place et abrite tout le sym-bole de notre amour. » �

� REMERCIEMENTS au joaillier lyonnais Maier qui nousa ouvert ses portes et son carnet d’adresses pourla réalisation de ce sujet.� PLUSD’INFOS : MAIER Joaillier : 101, rue Édouard-Herriot, Lyon 2e. (Tél.: 04 72 04 90 50; www.maier.fr)

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BIJOUXprécieux fétiches

CATHERINETERMOZUN AMOURBIENVEILLANT

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ous avez, comme tantd’autres, conservé levélo de grand-père àla cave ? L’objet est

rongé par la rouille mais pas suffi-samment oxydé pour cacher sescouleurs criardes et sa selle d’avant-guerre en lambeaux ? Pour soigner sacardio avec style, on repassera. Pourle reste, un atelier d’un genre nou-veau a fait irruption voilà quelquessemaines dans le monde des cy-clistes lyonnais : Dead is Hype. Soncredo ? Remettre en selle des vélosexsangues en les rénovant chic. Unconcept imaginé par Nicolas, aima-ble trentenaire et ex-joaillier totale-ment fondu de culture skate. « Toutest parti d’une série de coups demain, ex-plique Nicolas. Un jour, ma belle-mèrem’a offert un vieux vélo de course pourmechanger les idées, parce que j’étais auchômage depuis quelques mois. La seule

chose que j’ai eu envie de faire, c’était delui redonner un coup de peinture. Envoyant le résultat, un ami m’a passé unecommande. Il y en a eu une autre et en-core une autre…».

CosmétiqueetmécaniqueDepuis un an, Nicolas s’attèle donc àla rénovation de vélos hollandais, pi-gnons fixes, randonneuses, cruisers,vélos de course et compagnie. Désor-mais épaulé par son ami John, nouslui avons confié notre petite reine,jadis immaculée, en piètre état. Di-rection, le magasin Les Cycles San-cassiani à Tassin-la-Demi-Lune,

dans lequel Nicolas a installé sonatelier.«C’est un vrai plaisir d’effacer une épaissecouche de crasse et de trouver une signa-ture de cadreur renommé, tel que HéliumouConcor», s’extasie-t-il. Avec le soinet le goût caractéristique des figno-leurs, Nicolas ponce, repeint et cus-tomise à l’envie du client. Même la« récup » a une place particulièredans le cœur du patron puisqu’il tra-vaille avecdesmatériauxdepremièremain, à l’image des luxueux acces-soires Brooks, selles fines, poignetsou sacoches. Notez que la rénovationn’est pas seulement cosmétique chezDead is Hype, la mécanique étantégalement dorlotée à grands renfortsde systèmes de frein sophistiqués, degardes-boue chromés, de pneus co-lorés voire de moteurs électriques…Comptez entre 350 et 1 200 € pourune rénovation, selon l’ampleur destravaux à réaliser. «Certaines personnespoussent le vice jusqu’à me demande deretrouver un équipement entièrementd’origine, comme des roues à cercle enbois », s’amuse-t-il. Tel un détective,Nicolas se lance alors à la recherchede la pièce détachée rarissime. Enesthète. �

� PLUSD’INFOS :deadishype.blogspot.fr.Prise de rendez-vous personnalisé [email protected]

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ON A TESTÉ

AVEC GRAND SOIN ET TRÈS BONGOÛT, L’ATELIER DEAD IS HYPEREMET À NEUF DES VÉLOS HORS D’ÂGE, PARFOIS CARRÉMENTHORS D’USAGE. LE NÔTRE ÉTAIT « DEAD », LE VOILÀ « HYPE ».RÉCIT. PAR ANTOINE ALLEGRE

LIFESTYLE

V

Remettre en selle des vélos exsangues en les rénovant chic,un concept imaginé par Nicolas Marchi.

L’ATELIER DERESTAURATION DE VÉLOS

ISDEAD

HYPE

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12⏐madameFIGARO⏐LYON

MAD@MEweb

■ Pages régionales réalisées par OBJECTIF UNE ■ ÉDITEUR DÉLÉGUÉE : AmélieBaghdiguian ■ ASSISTANTE : Frédérique Roche. Tél. : 04 72 83 96 91.■ RÉDACTRICE EN CHEF DÉLÉGUÉE Audrey Grosclaude ■ ONT COLLABORÉ À CE NUMÉRO AntoineAllegre, Agnès Guillaume ■ MAQUETTE Pôl’arts Lyon. ■ PUBLICITÉ PartenaireRégie, 15 rue Louis-Blanc, 69006 Lyon - www.partenaire.fr ■ CONTACTS :Claudine Chartier, Élodie Dupard, Anne Jaudoin. Tél. : 04 72 83 74 60.

LYON

Camille d’Essayage

VéloCharmeFacebook

RecycleurMarché des soies

NyackLuxe

twitter Agne

s B

COMMUNITY MANAGER POUR LE SITE YELPLYON, TROUVEUSE (ET PARTAGEUSE) DE BONSPLANS, BLOGUEUSE « LIFESTYLE », LYONNAISE,TRENTENAIRE ACTIVE… CAMILLE D’ESSAYAGEC’EST UN PEU TOUT ÇA ET PLEIN D’AUTRESCHOSES AUSSI. À RETROUVER CHAQUE MOIS.

« Je n’aime pas le vélo… Je sais, c’est triste. On me dit sou-vent que ça manque à ma panoplie de parfaite bobo ur-baine, et c’est vrai que dans ma vie rêvée, j’aimeraisbeau coup être de celles qui dévalent les pentes de la Croix-Rousse sur un vélo chic, avec un joli petit panier accrochéà l’avant. Oui, oui ! Mais j’ai beau réfléchir, non, vraiment,je ne me fais pas assez confiance pour affronter la ville àdeux roues ! Et ce ne sont pas mes rares tentatives en Vélo’vqui m’ont convaincue…Cela dit, parfois, j’aime à me dire que je pourrais le faire, etque ça serait drôlement chouette, ma vie à vélo. Je pourraispar exemple acquérir la monture de mes rêves chez LyonCycle Chic, boutique au nom parfait. Ou alors chez HollandBikes, qui donne des envies de course le long des canaux.J’achèterais ensuite chez Vélonaute de quoi ne jamais mefaire voler mon vélo, et même un marquage pour le re-trouver le cas échéant.Quand je descendrais de mon vélo, ça serait u-ni-que-mentpour me documenter sur tout l’univers du deux roues chezPignon sur Rue. Je pourrais même aller plus loin dans lathématique et ne plus acheter mon pain qu’au bien-nomméMiecyclette, qui distribue son pain à vélo, s’il vous plaît ! Et puis, si malgré toutes ces précautions, un jour je cassaismon vélo, pas de souci : déjà j’aurais révisé avant et je sau-rais comment le réparer, mais au cas où, je foncerais chezLe Recycleur (voir On a testé). Je deviendrais ensuite telle-ment accro que j’adhèrerais à L’Atelier du Chat Perché,atelier participatif et auto-géré, avant de prendre la route dela prochaine Vélorution ou tiens, de me mettre au BikePolo, nouveau sport des urbains branchés.Ce serait pas mal, non ? »

À retrouver sur www.camilledessayage.com et le 7 décembre dans votre prochain Madame Figaro Lyon.

www.facebook.com/NyackBoutiqueVu et adoré sur la page Facebook de l’adorableboutique Nyack de Nathalie : le non moins

génial « pull à jacquardsperses » de Moonchild. Une jeune marque, « porteused’une dimension mystique etcontemplative » imaginée parPascal Koehl, ancienne stylistechez April 77 en 2010, qui explore cette saison « les tricotsépais, les dentelles fines et

les motifs floraux bohémiens. » Un peu folk, un peu étrange, terriblement séduisant. Pour gipsy queens pointues.

www.intersoie.org/atelier-marche-des-soies.phpOrganisé du 22 au 25 novembreau Palais du Commerce de Lyon, le Marché des Soies est de retour avec, en guise demarraine, l’icônique agnès b. Et, si l’on pourra acheter, comme chaque année, foulards, cravates, étoles, carrés ou coupons griffés Cédric Brochier, Malfroy et Million, Bianchini-Férier ou Tassinari et Chatel, on s’intéresse beaucoupaux ateliers créatifs orchestrés par le Musée des Tissuset le Village des Créateurs. Au programme ? Teinturesur soie avec la créatrice Sophie Guyot, apprentissagede la sérigraphie avec Unique en série et création d’un pendentif en coton de soie et soie brute avec Nadège Cézette. À partir de 21 € et pour s’inscrire c’est ici : [email protected]

ÉVÉNEMENT

LA CHRONIQUE DE

MODE

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