M. GUILLAUME Alimentation en eau potable de la Ville d...
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M. GUILLAUME
Alimentation en eau potable de laVille d ' Ilagondange (Moselle)
Création d'une galerie captante dansles alluvions de la Moselle
préliminaire - Travaux dereconnaissanc e.
1er Juillet 1954
V I L L E de E A G O N D A H G E
Alimentation en eau potable
Création d'une nouvelle galerie captante dans les alluvionsde la basse terrasse de la Moselle
Rappel sommaire de la situation actuelle«
La ligne de captage alimentant la station élevatoire
elle de la ville de Ragondange, a été créée en trois étapes
successives t
1° / en 1929 - exécution de six puits numérotés de I à VI
et dont les quatre premiers seulement sont encore en service«
Le débit fourni par les six puits variait de 2C0 à 450 m^/j
selon les conditions d'étiage.
2 ° / en 1934 « exécution dfune galerie captante de 97 m
de long et qui se raccordait sur l'ancien puits n°IV, utilisé
comme puits siphon. Le débit de la station se situait alors
entre 450 et 850 m par jour selon les conditions dfétiage.
En outre durant les périodes de chômage du canal de la Moselle
on enregistrait, avec un léger retard, une baisse sensible du
débit de la station.
3 V en I95Ï/ 1952 - exécution par la-municipalité d 'une
nouvelle- galerie captante prolongeant vers le Nord de 125 m
la galerie précédante. La station comprend donc actuellement
quetre puits et une galerie captante longue de 97 -t 125 = 222
mètres orientée Nord - Sud, et raccordée sur le puits IV. Le
débit de la station devait être porté, selon les estimations
de Louis GUILLA UME à 700-750 ra^/j avec un débit maximum pendant
les quelques mois où la demande est la plus forte, de l'ordre de
1000 artF/j . (Voir rapport de L.Guillaume du 9 Juillet 1951) .
Toutefois après la période d'étiage exceptionnelle consécutive
à la sécheresse de l'année 1953, le débit de la station était
tombé le 12 Kai 1954 à 600 më/j.
Bien <fuTil .s'agisse là d'une circonstance exceptionnelle, la
municipalité de Hagondange se propose néanmoins d'étendre encore
ces captages, par le création soit de nouveaux puits, soit
d'une nouvelle galerie drainante. Ces capteges complémentaires
devraient être suceptibles de fournir un débit d'appoint pou-ri
vant atteindre 500 à 600 m /¿ et qui permettrait durant la
période d'étiage, de renforcer le débit de la ligne de captage
existant actuellement.
Orientation de& nouveaux travaux de recherche.
(On est prié de se reporter pour la description géologique
détaillée de la région aux rapports antérieurs établis par L.
GUILLAUME en dates du 17 mars 1927, 21 novembre 1933, et 9 juil-
let 1951 ) .
Le seul secteur où l'on puisse envisager de porter la
recherche pour obtenir le débit nécessaire se trouve situé dans
la zone plus rapprochée du canal. Cette zone evait été autre-
fois écartée car elle était constituée par des terrains inon-
dables lors des crues c"o la Moselle . Il convient de remarquer
cependant que les nouveaux captages complémentaires qui pour-
raient être créés dans ce eecteur seraient utilisés durant les
périodes d'étiagd où généralement les inondations ne se pro-
duisent pas .
Un autre inconvénient de se rapprocher du canal existe du
fait des infiltrations d'eau en provenance de ce dernier. En
ce qui concerne la contamination bactériologique des eaux, on
peut penser, à la suite de l'expérience réalisée à Montigny
qu'un éloignement minimum de 125 à 150 mètres du canal assure
encore une marge suffisante pour une épuration naturelle des
eaux p£¡r les alluvions, à condition d'exploiter les captages
avec ces depressions de pompage modérées. Pour ce qui estde
la composition chimique des eaux, dans ce secteur rapproché
du canal, on doit s'attendre à une assez forte teneur en chlo-
rure et à une teneur non négligeable en sulfate« On peut
remarquer que pour la ligne de captare exploitée actuellement
par la ville de Hagondange, située déjà à 450 mètres du canal
les infiltrations en provenance de ce dernier se manifestent
p&r une teneur en chlorure non négligeable notamment en période
d'étis¿e (une analyse en date du mois de décembre 1951 relève
une teneur en sels minéraux de l'ordre de Igr par litre avec
notamment 250 jjíín¿-. de Cl Na, 94^fctg.de oO et une dureté totale*
de 52°,5 - en ¿posnj^&L&wde cette analyse on peut citer
-4 -
l'analyse efTectuée fin novembre 1926 sur un puits d'essai
avant lt; réalisation du canal de la Moselle, le teneur en
Cl Na était alors de 46,80 Xm¿r*seulement et la dureté de 36°)
Le principe même de la recherche dans le secteur rap-
proché du canal nécessitera donc une étude très attentive des
conditions hydro-géologiques rencontrées par les travaux de
reconnaissance. Ceux-ci seront conduits non seulement par deu
considérations de débits optimum mais encore avec le souci réel
d'une qualité civique et bectériologique acceptable des eaux.
A ce sujet, il eet possible qu'à la suite des travaux de re-
connaissance, l'exécution d'une ¿galerie drainante envisagée
par la ville de Hagondange s'avère inutile ,00110 lim l'upyujjl du
débit rc&hercluLj de simples puits permettant d'atteindre h&
débitV^i" ^ue par contre ©Bs présente des inconvénients sérieux
sous le rapport. ¡le la qualité chimique des eaux et de leur
sécurité bactériologique (une galerie drainante permettant une
exploitation trop poussée de la nappe aquifère des alluvions)«
Sondages de reconnaissance
Lors de ma visite des lieux, le 12 Mai 1954, en com-
pagnie de Monsieur VIX, Ingénieur du génie rural à Metz, et
du maire de Hagondan^^e, des emplacements de sondages de re-
connaissance, au nombre de 14 ont ét<é proposés»
Les sondages de reconnaissance, exécutés fin mai 1954
sont situés sur le plan parcellaire au 1/5000 en annexe de ce
-5-
rapport - Ils ont donné les résultats suivants :
a) substratum II présente une déclivité assez brusque, de
l'ordre de 3 à 4 mètres, à 100 mètres de la ligne de captare
actuelle- Des courbes de niveaux interprétatives de ce substraían
ont été destinées sur le plan pcrcellaire. La coupe ci-dessous
résume 1Tallure de ce substraturn»
Cette déclivité du substratum correspond à des bancs durs du
sommet du lotharingien (le calcaire ocreux) formant sous les
alluvions un éperon qui délimite la basse terrasse de la Voselle
d! une
-en-
terrasse intermédiaire entre celle -ci et la terrasse de 12 m.
(terrasse de Kaizières) et sur laquelle se trouve établie la
ligne drainante actuelle. Ces conditions sont très favorables du
point de vue du débit à attendre dans ce secteur) elles montrent
toutefois que l'on doit s'attendre à des infiltrations très
importantes en provenance du canal, par contre la ligne du cap-
tage actuel se trouve, du fait de la situation relevée de son
substratum, mise relativement à l'abri d'une influence directe
par les nouveaux captages envisagés plus à lTEst (environ 250 m)»
b) coupe géologique (la coupe géologique détaillée, relevée
par le chef sondeur, est donnée en annexe du rapport) . Les
sondages ont rencontré une couche de limon, plus ou moins argilo-
sableuse vers la base, épaisse de 1,50m à 3m dans tout le secteur
prospecté . En dessous de ces limons les sondages 4 et 5 ont ren-
contré un peu de "schlick" puis directement un substratum très
relevé. Les sondages 1, 2, 3, 6, 7, 8, et 9 ont rencontré des
conditions très favorables, ces conditions sont médiocres en 10
et 11 et très mauvaises en 12 et 13, en 13 notamment où les
alluvions font totalement défaut.
Le tableau ci-dessous résume les coupes géologiques ren-
contrées dans les différents sondages.
• • «/ •» •
-7-
TABLEAU
Î Sondage : Orifice : Substratum : Limons et : AlluvionsArgiles
1
:
s
m
X
•I
#*
mi
s
X
X
i
I
2
3
4
5
6
7
8
9
10
II
12
13
14
; is 7,
; 157,
: 157,
X 156,
X 15 7,
15 6,
x 157,
x 15 7,
x 157,
x 157,
x 157,
15 7,
X 15 7,
x 157,
ï
13
15
00
82
63
79
27
07
67
48
61
43
20
13
—t—
x
X
x
:
x
X
X
X
X
X
X
X
:
X
151,
151,
150,
155,
155,
150,
151,
152,
152,
152,
152,
. 152,
152,
151,
63
35
75
12
52
79
67
07
82
78
91
66
69
23
i '
x
x
x
X
X
x
X
X
X
X
•
X
x
X
I,
2,
2,
I,
I.
4,
2,
3,
I,
3,
3,
3,
4,
3,
70
60
65
70
55
30
65
10
65
25
25
80
51
80
—i—
x
x
X
X
x
X
:
X
I
X
X
X
X
X
3,
3,
o,
I,
2,
I,
3»
I,
I,
o,
2,
80
20
60
55
70
95
90
20
45
45
97
10
- 8 -
L'alignement 12 , 13, 14 , apparaît donc à rejeter. Malignement
9 , 10 , II, apparaît également peu favorable. L'alignement 2 ,
7 , apparaît le plus favorable.
G ) proïil hydrostatique de la nappe La supression hydro-
statique créée dans la nappe par le canal de la Moselle apparait
très nettement. C'est ainsi que sur les profils I, 2 , Z , 4 , et
8, 7 , 6 , 5 , le niveau se relève de 4 vers I de 76 cm et de 6
vers 8, de 68 c m . La nappe se trouve ainsi tenue en pression
sous la couverture le limon et d'argiles alors qu 'à R e m p l a c e -
ment de la ligne de captage actuelle le r 1_r"MJM 1 " l 'eau est
libre dans les alluvions sableuses.
Une esquisse des courbes d'égale pression hydrostatique
á été rétablie sur le plan parcellaire au 1/5000 en annexe du
rapport. Elle montre que sous l'effet du pompage permanent dans
la ligne de captage actuel, les infiltrations en provenance
du canal sont plus importantes, non pas à l'Jist même de la ligne
de captage, mais au Sud-Est de celle -ci, entre les sondages 6
et 1 2 . Ceci n'est pas pour surprendre si l 'on considère que dans
les sondages 5 et Èfr, les alluvions font pratiquement défaut et
que les conditions de circulation de l 'eau sont par suite très
défavorables dans ce secteur immédiat à l'Est de la galerie de
ce pta¿-e .
Implantation des nouveaux captares
oix emplacements, reportés sur le plan p&rcellaire au
1/5000, A , 3 , C , E , E , F , peuvent être retenus pour 1*implan-
-9-
tation de nouveaux captages (ou d'une galerie drainante) . Ils con
cilient a u mieux ]_es différents éléments suivants : cote du
substratum la plus basse possible, composition favorable des
alluvions, périmètre de protection rapproché en terrain sain,
éloignement suffisant de l'ancienne galerie de captage (S50 m)
afin dTéviter une influence importante des nouveaux capta gee sur
celle-ci.
Avant l'implantation des captages, il sera nécessaire
d'effectuer de nouveaux sondages de reconnaissance à ces empla-
cements, atin de reconnaître le profil du substratum le long de
cette nouvelle ligne de captage retenu®»
Un premier puits pourrait être implanté en A, apr°s l'ex-
écution du sondage de reconnaissance • Ce puits pourrait être
du type définitif» Cependant il y aurait intérêt pour la suite
de la rech.erc.ne, à exécuter un sondage dTessai, de 300 ou 400 mm
qui donnerait lieu à un essai de pompage de 72 heures, avec
prélèvement en cours de pompage toutes les six heures afin de
pouvoir suivre en même temps que les conditions de débit, l'évo-
lution de la composition chimique de l'eau et de définir ainsi
les conditions d'influence sur le canal de la Moselle. Le ré-
sultat enregistré à la suite de cet essai permettrait de .fixer
de façon plus précise la suite de ces travaux, notamment e»ii
convient d'exécuter une galerie drainante ou biensi, toute
considération de prix de revient mise $, part, il n'apparait pas
plus rationnel de s'en tenir à l'exécution de 2 ou 3 puits
fournissant le débit nécessaire à la ville de Hagondange .
-10-
Áccroiaaement de d¿bit qui peut être attendu de ces
nouveaux travaux»
II est difficile de fixer les conditions de débit à
attendre dans ce secteur en relotion avec un bassin versant
déterminé. En effet les infiltrations en provenance du can^l
entreront pour une grande part dans les conditions de débit«
Toutefois on peut penser que le débit de 500 m1" recherche par
la ville de Hagondange pourrait être obtenu avec un minimum
de trois puits espacés de 75 à 80 mètres et exploités sous
faible dépression (1,50m). Les résultats obtenus par l'exécuticr
du premier puits à 1T ein placement A permettront de fixer défi-
nitivement ces conditions de débit .Durant les périodea de chôma-
ge du canal de la Moselle, on devra bien entendu, s'attendre à
une chute importante daM#à3â.e%ft*tf*~»**»V- «̂̂ > eapVa^s.
Conditions de sécurité des eaux - Mesures de protectior
I o/ Périmètre de protection immédiate
Le périmètre de protection immédiate comprendra une
bande de terrains continue, d'une largeur d'au moins 20 mètres
de part et d'autre de la ligne de captage, soit une largeur
totale minima d'au moins 40 mètres»
Cette bande de terrains sera prolongée de 20 métrés si
moins au-delà de chaque extrémité de la ligne de captage.
Les terrains de cette zone seront acquis par la ville
de Kagondange en toute propriété.
-II-
II ne cera pas nécessaire de les enclore, ni de les
laisser en friche, mais il n'y sera pas planté d'arbres, et il
n'y sera pas épandu d'engrais d'origine animale«
Au cas où une galerie filtrante serait exécutée» la sur-
face du terrain devrait être soigneusement régalée, et il ne
devra pas y être effectué aucun terrassement, sauf en cas de
nécessité pour l'entretien des ouvrages.
AU cas où des terrassements seraient effectués pour cet
entretien, il sera apporté une attention spéciale à ce que les
fouilles ne soient pas souillées d'une manière quelconque«
La surface duterrain sera maintenue en constant état de
propreté (fauchage et enlèvement périodique des herbes)«
2°/ Périmètre de protection éloignée
Compte^ tenu des conditions de circulation de la
nappe, ainsi que des conditions locales, et notamment de la non
probabilité de construction nouvelle sur les terrains de captage
situés dans une zone éventuellement inondable, il sera adjoint
au périmètre-de protection rapproché un périmètre de protection
éloignée, gomprenant la totalité des terrains à partir des cap-
tages dans un rayon de 125 mètres, c'est, à dire une bande de
terrain axée selon la ligne des captages prolongée à chaque
extrémité de 125 mètres et large de 125 mètres de part et d'autre
de cette ligne.
Les servitudes auxquelles sera soumis ce périmètre de
- 1 2 -
protection éloigné sont :
- Interdiction de "construire des maisons d'habitation, des
locaux destinés à des animaux domestiques (bovins, ovins; porcins
- Interdiction d'effectuer des travauK de quelque nature q u ' -
ils soient, suceptibles de rompre la continuité de la couche- li-
moneuse superficielle servant de protection naturelle aux eaux
de la nappe (sablières, tranchées, fosses d faisance, puits abs-
orbant, etc . . . ) • , -<*<*-•
- Interdiction absolue de placer des canalisations d'égouts
à l'intérieur o> en bordure de cette zone«
Les seuls travaux de terrassement autorisés sont ceux qui
seraient rendus nécessaires pour 1Taménagement et l'entretien
de la station et ceux-ci sous les mêmes réserves que plus haut .
Dans cette zone ne seront pas plantés d 'arbres. Des arbustes
bosquets d'ornement peuvent être à lt rigueur autorisés.
Sous les restrictions qui précèdent pour le périmètre de
protection éloigné, il ne sera pas nécessaire que ces terrains
soient acquis en tcute propriété par la ville.
S 0 / Surveillance bactériologique
Les eaux de la nouvelle ligne de captage feront l 'ob-
jet d ' un contrôle chimique et bactériologique régulier. Il sera
fait des prélèvements à ces fins au moins une fois par mo i s .
L'analyse chimique comprendra obligatoirement le dosage du
résidu sec à 110° et le dosage de la teneur en chlorure«
PARIS, le 1 Juillet 1954
Collaborateur au Service de la Carte
Ingénieur au B . R . G . G . M .
0 - I
- I
- 2
- 5
- 5
0 - I
- 2
- 5
- 5
FORAGE
, 30
, 70
, 10
, 50
• 70
FORAGE
, 80
, 60
, 50
, 80
I
terre
terre
sable
sable
ANNEXE I
végétale
sableuse
fin
et gravillon jaune
Substratum( ma]
2
terre
sable
sable
sable
cne)
végétale
glaiseux
fin
et gravillon
- 6, 00
FORAGE g
0 - I, 60 terre végétale
- 2, 65 terre sableuse
- 4, 20 sable fin gris
- 5, 50 sable et gravillon noir
- 6, 25 sable fin gris
- 6, 40 marne
-2-
Fçtrage n° 4
0 - 0 , 90 terre végétale
- I, 10 glaise noire
- I, 70 glaise et gravillon jaune
- I, 75 Roche
Forage n° 5
0 - 0 , 90 terre végétale
- I, 20 terre grasse
- I, 55 sable gros
- I, 65 sable Jaune ,
- 2, 10 sable et gravillon
substratum
- 2, 60 cailloux très durset argile jaune
- 2, 90 argile noire
Forage n° 6
0 - I, 10 terre végétale
- 2, 20 terre glaiseuse
- Z, 20 terre glaiseuse s
sableuse noire
- 4, 10 terre sableuse noire
- 4, 30 terre glaiseuseSÍ.Lieuse noire
- 5, 660 sable gravillon noir
- 5, 50 gros ^alets
- 6, 00 sable ^r
- 6, 15 même
Forage 7
O - 1, 15 terre végétale
- 2, 65 terre sableuse
- S, 80 sable
- 4, 10 gros cailloux
- 5, 60 sable gravillon
-:.5, 75 marne
Forage 8
0 - I, 25 terre végétale
- 3, 10 terre sableuse
- 4 , 40 sable gravillon
- 5, 00 cailloux
- 5, 15 marne
Forage 9
0 - 0, 80 terre végétale
- I, 65 terre sableuse
- 4, 85 sable et gravillon
- 5, 05 ma rne
-4-
GE 10.
0 - 2, 55 terre végétale
-2, 25 terre sableusegros gravillon
- 4, 70 sable et gravillon
- 4, 90 marne
PCRAG
0 - I, 55 terre végétale
- £, 65 terre sableuse
- Zt SS terre et gravillon
- 4, 70 sable et gravillon
- 4, 90 marne
FCRkGL 12
0 - I, 55 terre végétale
- 2, 50 terre sableuse
- l, 30 terre glaise sableuse
- 4, 77 sable fin
- 4 , 97 taarne
- 5 -
0 - I,
- I,
- 2,
- 4,
- 4,
0 - I,
~ ~ >
- 3,
- 4,
- 5,
- 5,
FORAGE
50
95
SO
51
71
FCRAGJ.
70
65
80
30
00
90
13
terre
terre
sable
couche
marne
14
terre
terre
terre
sable
sable
sable
végétale
glaise
jaune fin
glaise
végétale
glaise noire
glaise gravillon
et gravillon
fin
et gravillon
- 6 , 10 marne
ECHELLE: 1/5O0O*50 250T
Sond&ge express
Courbe de nive&udu substratum
Perim être deprotection rapproche
Pu/ts proposes
Courbe de nt'vrsude M nappe