LYONN e W S

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Alexandre Jeannerod,

l’homme aux milles

facettes : son,

lumière, vidéo

Dossier

du mois

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DOSSIER DU MOISAlexandre Jeannerod : “Travailler dans l’urgence me fait triper.” 5

SOCIÉTÉbrèves 8Cyclisme “les aménagements ne suffi sent pas” 9

JUSTICE123 kilos de drogue et 2 fusils de chasse saisis à villeurbanne 10brèves 12

POLITIQUELe PS et le mariage gay 14Le Département peut continuer à acheter des places de l’OL 15

ÉCONOMIEInsée : l’économie rhônalpine au point mort 16virgin Mégastore a déposé le bilan 18

MONDEguerre au Mali : Le soutient de la région Rhône-Alpes 20Egypte, vers un retour à la violence 21Nucléaire iranien : reprise des négociations 21

URBANISMELe palais de justice a fait peau neuve 22

ENVIRONNEMENTWASSO Environnement 24

SPORTDavid Ellis : “beaucoup dans l’équipe ne travaillent pas assez dur !” 26Il n’existe pas que le “foot business” 27

LOISIRSMode shopping du février 28Déco shopping : Toscane 32beauté homme, les nouveaux gestes beauté 34Auto : Fisker Karma, la première berline alliant luxe et performances électriques 38Auto : La Jaguar F-Type 40Moto : KTM Adventure et Adventure R, deux nouveaux trails sur le marché 42 Sélections bars & restos, nouveau lieu tendance 44/50Photos reportages 52/53

CULTUREExpos, Théâtre, Internet, Hi-Tech, Cinéma, Livres, Concerts et Spectacles 54/64

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Alexandre Jeannerod : “Travailler dans l’urgence me fait triper.”

Créée en décembre 1998, Eurosono fête ses 15 ans cette année. Une décennie et demie au service de clients comme BMW, SFR, Rhône Express, Royal Air Maroc et de nombreux établissements diurnes et nocturnes lyonnais. De la location de matériel jusqu’à la mise en œuvre de projets complexes, Eurosono propose une gamme complète dans les domaines du son, de la lumière et de la vidéo. Son fondateur Alexandre Jeannerod insiste sur la réactivité de son entreprise, l’atout clé pour satisfaire ses clients.

n Vous n’avez pas l’air très vieux. En 1998, vous aviez quel âge ?

J’avais 23 ans. Mais j’ai fait de la sono depuis l’âge de 17 ans. C’est venu sur le tas. On faisait une soirée avec des copains, il n’y avait personne pour s’occuper de la musique. J’ai commencé à en passer et ça me plaisait. Avec un ami, on a alors travaillé pour des soirées étudiantes, des mariages. On montait le matériel et on s’occupait du son et de la lumière. Notre boîte s’appelait Alex T’Rem, un jeu de mots à partir de nos prénoms, Alexandre et Rémy. Alex et Rem donnait alors Alex T’Rem, à l’extrême de la nuit etc. Comme on était connus sous ce nom, je l’ai d’ailleurs gardé quand j’ai créé ma société actuelle, qui s’appelle Eurosono Alex T’Rem.

Mais avant, j’ai enchaîné différents stages et boulots dans des entreprises de son et lumière. Puis, pour éviter l’armée, je devais refaire une formation. Je me suis alors inscrit en BTS action commerciale en alternance. Je suis resté de 1997 à 1998 dans une entreprise de vente de matériel puis, j’ai arrêté pour monter Eurosono.

n Tout a commencé dans le 6ème.

Nous étions installés de 1998 à 2006 dans un petit local, à l’angle des rues Sully et Boileau. Pour des raisons de place, nous sommes partis en 2006 à 200m de là, rue Félix Jacquier, toujours dans le 6ème. Puis, en 2010, nous nous sommes installés à Irigny, où nous disposons de 1300 m² de surface, d’un grand parking, d’un quai de chargement pour les camions.

n Que vendez-vous ?

Eurosono, c’est plusieurs secteurs d’activité. Histo-riquement le plus gros est la prestation de service pour l’évènementiel : des lancements de produits, anniversaires de société, séminaires, où on loue le matériel de son, lumière, vidéo, des scènes, des structures… Nos techniciens installent le matériel, assurent la prestation sur place et démontent tout. Ca représente 50% de l’activité. La deuxième grosse activité est l’installation fixe. Pour des bars, salles de conférence, restaurants, discothèques. Des instal-lations pérennes pour lesquelles nous vendons et installons le matériel.

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ça représente 30 à 40% de l’activité. Puis, il y a la location au comptoir, quelqu’un qui veut une enceinte, un jeu de lumière..., soit à peu près 10% de notre chiffre d’affaires. Enfin, on a la vente de matériel pure où on vend à des DJ des casques, des câbles, des enceintes, des tables de mixage et on répare du matériel, mais ça ne représente que 2%.

Or en 2012, cette répartition a pas mal bougé, car l’activité installation a doublé, alors que les autres secteurs sont restés stables.

n A Lyon, où trouve-t-on des instal-lations réalisées par Eurosono ?

Nos clients les plus connus sont le First et l’Apériklub pour qui on a mis en place toute l’installation son, lumière, vidéo. C’est un projet qui évolue en permanence.

Comme restaurant, il y a le 1838 de Cécile Siméone et Dominique Casa-grande à Brignais. Il y a le Domo, le Boudoir, il y a la chaine Planet Sushi pour laquelle nous réalisons des installations dans toute la France. On a travaillé sur la nouvelle boutique de joaillerie Maier, rue Edouard Herriot. Elle dispose d’une salle évènementielle à l’étage. Un lieu atypique qui ressemble autant à un petit théâtre qu’à une salle de conférence. Il y a une petite scène et des lumières pour accueillir des show-cases. Il y a une cuisine où on peut faire venir des chefs pour organiser des soirées privées avec des clients.

Nous avons également réalisé un bar ambiance et on va aménager une discothèque à Maputo, la capitale du Mozambique. Le patron est lyonnais. Je l’ai rencontré par le biais d’un architecte qui nous a présenté. Le client n’avait pas du tout confiance en les installateurs locaux. Il n’y a d’ailleurs là-bas pas de vrais professionnels, juste quelques électriciens qui bricolent un peu.

Puis, cette année, on va s’occuper du Miramar Beach Hotel à Cannes où on ne fait certes que le son, mais ça repré-sente quand même un marché sympa.

n Comment fait-on pour approcher de tels clients quand on n’a que 23 ans ?

Il y a le réseau que j’avais déjà ou que j’ai pu me créer, grâce au bouche-à-oreille. De plus, on communique pas mal dans la presse et à la radio. Doucement mais surement la notoriété est venue, grâce à de bonnes relations, de bonnes rencontres au bon moment, des personnes qui nous ont fait confiance.

A chaque fois que nous nous sommes posé des défis, nous avons réussis à les relever, même si au début, on a un peu de stress. Quand on est intervenu la première fois au Transbordeur en 1999, on avait préparé la prestation des semaines à l’avance jusque dans la dernière rallonge électrique. Mainte-nant, le Transbo, on peut nous prévenir la veille, on intervient le lendemain.

n La plupart de vos clients sont encore lyonno-lyonnais.

Pour les installations, mis à part les chaînes comme Rouge Tendance, Suelta Verde et Planet Sushi pour lesquels nous intervenons un peu partout, tout ce qu’on a fait en dehors de Rhône-Alpes était au coup par coup. J’aimerais bien que ça se développe et s’est en train de faire son chemin. On a fait un bar ambiance au Luxembourg, d’autres à Genève, puis il y a le projet au Mozambique, dont on a déjà parlé.

On a réalisé des installations au casino de Montrond-les-Bains du groupe Joa, puis on fera ceux de Grenoble et Antibes. Une fois qu’on est rentré dans un groupe et que celui-ci est content de notre travail, ça ouvre d’autres portes.

n Sentez-vous la crise dans le développement d’Eurosono ?

2011 et 2012 ont bien fonctionné, mais 2013 me fait peur. Depuis deux ou trois ans on navigue à vue. Il y a toujours des trucs dans les tuyaux, mais rien de sûr sauf l’hôtel à Cannes. Le reste est pour l’instant assez flou.

Le planning ne se charge pas beaucoup à l’avance, moins que les autres années. Si on a une commande deux, trois mois à l’avance, c’est le bout du monde. On m’a appelé en janvier pour un bar ambiance sur trois niveaux à Marrakech qui ouvre en mars-avril, c’est super court.

n C’est faisable ?

Oui. J’aime bien travailler dans l’urgence. Pour un client, j’avais reçu le brief l’après-midi, travaillé toute la nuit sur mon devis, fait des modifica-tions avec le client le lendemain et reçu le bon de commande le jour d’après. J’aime bien travailler comme ça sous la pression. Ca me fait triper.

La réactivité, le professionnalisme, la disponibilité sont nos maitres-mots. On essaie toujours de gérer les priorités de nos clients, on les dépanne assez rapidement.

n Comptez-vous développer un réseau d’agences ?

J’y pense et puis j’oublie et puis j’y repense. J’aime bien quand ça bouge. Maintenant qu’on ne va plus déména-ger avant quelque temps, pourquoi pas se développer dans d’autres villes ? Tout en restant en Rhône-Alpes parce qu’on veut garder notre proximité et réactivité. Il y avait le projet de s’installer dans la région d’Annecy pour être plus près de Genève et des stations de ski.

n Quel était votre plus grand chantier en 15 ans d’activités ?

La plus grosse installation en termes de chiffre d’affaires était celle au Mozambique. En deuxième, c’était le casino de Montrond-les-Bains. Mais le projet dont je garde le meilleur souvenir est la boutique Maier. C’est de l’ultra luxe. Il y avait donc beaucoup beaucoup de contraintes de sécurité. On a travaillé dans un vrai esprit d’équipe avec l’architecte et les autres corps de métier. Dès qu’il y avait un problème, tout le monde se mettait ensemble pour trouver une solution et avancer ensemble. Nous avons adoré ce chantier.

n Eurosono, c’est combien de personnes ?

Nous sommes huit personnes à temps complet. Or, depuis 2005, nous avons le label des prestataires du spectacle vivant, qui certifie nos méthodes de travail et notre matériel. Ce label nous donne le droit de faire appel à des intermittents du spectacle. Cela est plus confortable pour nous et nous

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a permis de développer l’activité. L’année dernière, on a signé entre 250 et 300 contrats d’intermittence. Comme ça, avec huit permanents, nous arrivons à gérer de gros chantiers. Et du jour au lendemain, car les intermittents sont très disponibles.

n C’est vrai que vos techniciens interviennent en costume ?

Ca dépend du type d’intervention. Quand c’est de l’évènementiel c’est au moins pantalon/chemise, voire une veste ou un costume. C’est important. Cela m’a valu pas mal de chantiers par des agences de communication un peu select qui ne voulaient pas voir un type en baggy.

n Dans votre métier, vous avez dû rencontrer pas mal de stars.

Pour des lancements de film, on voit souvent des gens connus, comme Patrick Bruel ou l’équipe de la Vérité si je mens 3. On a également travaillé pour l’enterrement de Danielle Mitterrand. Il y avait Nicolas Sarkozy et beaucoup de ministres. C’était très impressionnant.

Mais je ne suis pas très people. J’essaie de les prendre comme des gens normaux. Que ce soit une entreprise locale ou une personnalité on ne fait pas vraiment de différence dans la qualité de notre travail. C’est juste la pression qui n’est pas la même avec les peoples.

n Vous avez fêté les 10 ans d’Eurosono au Transbordeur, les 15 ans ça sera où ?

Les 10 ans c’était une grosse opération. Il y avait 600 invités. Nous avons fait venir Michael Jones, une star super abordable. On a mis le paquet, et on a complètement chamboulé le Transbo. Mais je ne sais pas si ce genre d’évè-nement est rentable. Peut-être je ferai quelque chose dans notre entrepôt avec nos clients pour les remercier, mais un truc simple.

=Propos recueillis par Michael Augustin

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societeEnviron 200 personnes contre la réforme des rythmes scolaires

L’éditeur de jeux vidéo Atari contraint de déposer le bilan

1650 fonctionnaires ont manifesté à Lyon

A l’appel de plusieurs syndicats, les enseignants étaient nom-breux le 23 janvier à se rassembler devant l’inspection acadé-mique dans le 7ème. Ils ont demandé au gouvernement de ne pas approuver le décret portant sur la réforme des rythmes sco-laires. Celle-ci prévoit le retour du mercredi matin travaillé, qui avait disparu à Lyon il y a 20 ans.

La durée maximale de classe serait alors de 5h30 par jour et 3h30 pour une demi-journée, la pause midi d’au moins 1h30. Libre

ensuite à chaque mairie d’adapter ces horaires. Si elle est adoptée, la réforme devrait s’appliquer dès la ren-trée prochaine, les mairies pouvant toutefois demander une dérogation pour la repousser jusqu’en 2014. =

Selon la police, ils étaient 1650 agents de la fonction publique à s’être rassemblés, le 31 janvier en fin de matinée, à l’occasion d’une journée d’action nationale. Les organisateurs ont compté 2500 personnes.

Le cortège est parti de la place des Terreaux pour se diriger vers la pré-fecture. Les agents espèrent peser sur les négociations qui s’ouvrent le 7 février, notamment sur les rémunérations des fonctionnaires.

Parallèlement, la CGT avait appelé les agents de la Ville de Lyon, du Grand Lyon, du Département, de la Région et du SDIS à se rassembler le même jour devant l’hôtel de ville. Le syndicat dénonce le projet de Métropole d’intérêt européen (MIEU), prévu dans le cadre de la future loi de décen-tralisation et qui doit faire sortir le Grand Lyon du département du Rhône. Les syndicats craignent des conséquences pour l’emploi. =

L’ancien fleuron de l’industrie des jeux vidéo lyonnais, Atari (ex-Infogrames) a déposé le bilan le 21 janvier au tribunal de commerce de Paris.

Quelques heures auparavant, ses filiales américaines en avaient fait de même à New-York. Cette décision intervient après que BlueBay, le principal actionnaire du groupe, a décidé de quitter la partie. A sa demande, la cotation de la société a même été suspen-due à la bourse de Paris, dès lundi. Par leurs dépôts de bilan, les marques américaines souhaitent se défaire de la coupe de leur maison-mère française. En effet, les entités américaines ont su sortir leur épingle du jeu en surfant sur la vague des jeux numé-riques mobiles.

Atari, lui, reste embourbé dans le contexte économique difficile qui frappe le monde du jeu vidéo. Anciennement basé dans le quartier de Vaise à Lyon, Atari est connu pour avoir créé Pong, le premier jeu vidéo jamais commercialisé.=

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societe

Tandis que le Grand Lyon se gargarise de l’augmentation de la circulation cycliste dans l’agglomération depuis le lance-ment des Vélo’v en 2005, Florence Padié est plus nuancée.

“Pour évaluer la politique cyclable, on se base sur la part modale. Sur 100 trajets, combien sont réalisés en bicyclette ?”, explique cette cycliste chevronnée. Et effec-tivement, “dans les années 90, on était sur une part modale d’1%. Aujourd’hui on a bien dépassé les 3%”. Un chiffre qui reste toutefois très loin des 10% enregistrés à Strasbourg et à des années lumière de villes comme Munich (20%) ou Copenhague (35%). Sans oublier que “l’augmen-tation sera différenciée entre l’hyper-centre du Grand Lyon et les communes périurbaines.”

Alors que le Grand Lyon insiste surtout sur le nombre de kilomètres de pistes cyclables créés, les écologistes et asso-ciations dénoncent souvent des mesures cosmétiques. “Les aménagements ne suffisent pas”, souligne Florence Pa-dié. “Il faudrait avoir une expertise d’usage, se coor-donner entre les collectivités et les associations.”

Et d’ajouter : “l’aménagement dont on a beaucoup parlé et pas toujours avec les bons termes, c’est le double-sens cyclable”, note Florence Padié. “Dans une rue en sens unique où la vitesse est limitée à 30km/h, un vélo a le droit d’arriver dans l’autre sens sur une bande cycliste” Une pratique sans risque selon elle, “parce que vous voyez arriver l’automobiliste. ça donne de la visibilité aux deux. Il n’y a pas quelqu’un derrière

qui vous colle, qui essaye de vous doubler, qui va accélérer, piler, vous frôler.” Or, alors que le double-sens cyclable en zone 30 est désormais la règle en France, il reste l’exception à Lyon, où la mairie a multiplié les dérogations.

“Ce qui est important c’est vraiment de connaître les contraintes de chacun”, insiste la présidente de “Pignon sur rue”. “Et aujourd’hui en ville, ce qui créé de l’insé-curité, c’est le différentiel de vitesse et la mauvaise connaissance de la réglementation, du code de la route et de la rue.”

Une école pour apprendre à pédalerPour former de nouveaux cyclistes, “Pignon sur rue” a créé une vélo-école. “C’est un lieu un peu particulier où les adultes peuvent venir apprendre à faire du vélo. Ce sont souvent des dames qui, dans leur jeunesse, n’ont jamais appris à faire du vélo. Et qui, suite à notre apprentissage, se rendent au travail à bicyclette. Mais on a aussi des personnes qui savent faire du vélo mais qui paniquent en ville, qui ont peur de se faire renverser.”

Le vélo une pratique dangereuse ? “C’est toujours moins dangereux de rouler à vélo qu’en voiture, par rap-port aux risques d’accidents directs mais aussi pour la santé. Le vélo c’est bon, et aussi pour ceux qui n’en font pas.”=

Cyclisme “les aménagements ne suffisent pas”

“Lyon part de loin. Mais progressivement elle devient une ville cyclable”, juge Florence Padié. La présidente de l’association cycliste “Pignon sur rue” était l’invitée de Jazz Radio pour l’émission “ça jazz à Lyon”, proposée en partenariat avec Lyon Mag.

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Sur le coup depuis la fi n novembre, les policiers passent à l’at-taque le jour de Noël. Dans un parking souterrain dans le quar-tier des Buers, ils surprennent des trafi quants en plein échange de marchandise. L’un des suspects, un Villeurbannais de 34 ans, est interpellé sur le champ.

Dans sa voiture, les enquêteurs découvrent 25 kilos de cannabis. Lors de la perquisition de son domicile, ils tombent sur 80 kilos supplémentaires et la clé d’un box. Dans celui-ci, les policiers saisissent le reste des 123 kilos de drogue ainsi que 2 fusils de chasse de 12 mm aux canons sciés. De plus, des munitions de 12 mm mais également de 9 mm sont découverts, mais pas l’arme correspondant à ce dernier calibre.

Une autre voiture parvient néanmoins à s’échapper ce jour-là, probablement conduite par le frère du mise en cause. Habitant lui aussi Villeurbanne et âgé de 31 ans, il se rend le 10 janvier de lui-même à la police. Les deux hommes “n’ont pas un profi l très marqué” analyse le procureur de la République Marc Cimamonti. L’un dispose d’un casier judiciaire vide tandis que l’autre n’est connu que pour des infractions au code de la route.

Un trafi c en mutationGrâce à cette prise, l’année 2012 aura été faste pour les services anti-drogue du département (une cinquantaine de fonction-naires). Au total 616 kilos de résine de cannabis ont été saisis dans le département, mais également 16 kilos de cocaïne et 14 kilos d’héroïne. 5700 interpellations ont eu lieu dans le milieu,

soit une quinzaine par jour en moyenne, selon Albert Doutre, le directeur départemental de la sécurité publique.

La police note toutefois une évolution dans le comportement des trafi quants. “Le deal de voie publique avec ses stands à la Part-Dieu, c’est fi ni” note Albert Doutre. Selon lui, le trafi c s’est déplacé dans les allées d’immeuble voire dans certains étages bien gardés par des complices. “De plus en plus, on observe un éparpillement des lieux de stockage de la drogue” ajoute Jean-Marc Rebouillat. Selon lui, les trafi quants espèrent que les saisies moindres leur valent des peines moins sévères.

La police scientifi que enquêteQuant au réseau villeurbannais, l’enquête ne vient que de com-mencer. Il s’agit désormais d’identifi er d’éventuels complices, au moins deux ou trois, estime le chef de la Sûreté départemen-tale, et de remonter la fi lière. Pour cela, les objets saisis ont été confi és à l’Institut national de police scientifi que (INPS) à Ecully. Chaque fusil et chaque barrette de cannabis sont alors passés au peigne fi n, à la recherche d’empreintes papillaires ou géné-tiques.

On sait déjà que la résine est “de très bonne qualité” selon Fré-déric Dupuch, directeur de l’INPS. Son taux de THC, la molécule active du cannabis, est plus de deux fois supérieur à la normale. La valeur de revente des 123 kilos saisis est estimée à quelques 600 000 euros. “De quoi fournir 60 000 clients” indique Jean-Marc Rebouillat, “soit une petite ville”. =M.A.

123 kilos de drogue et 2 fusils de chasse saisis à Villeurbanne

Jour de fête pour les policiers du groupe d’enquête anti-drogue de l’Est Lyonnais. Le 25 décembre dernier, ils ont mis la main sur 123 kg de drogue et 2 fusils de chasse, leur plus importante saisie depuis deux ou trois ans dans le Rhône, selon les estimations de Jean-Marc Rebouillat, chef de la Sûreté départementale.

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123 kilos de drogue et 2 fusils de chasse saisis à Villeurbanne

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justiceDe la prison ferme pour avoir loué des apparte-ments insalubres

Braquage de la bijouterie Cartier à Lyon : condamnation

d’un complice

15 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de Varces

Le tribunal correctionnel de Lyon a condamné un entrepre-neur villeurbannais à un an de prison ferme. Entre 2005 et 2008, l’homme aujourd’hui âgé de 54 ans, a loué des studios et des appartements à Lyon et Villeurbanne qui présentaient selon l’enquête des policier “des conditions d’hébergement indignes et incompatibles avec la dignité humaine”.

Certains n’avaient pas accès à l’eau potable, d’autres souf-fraient d’un réseau électrique défectueux, sur des surfaces dépassant parfois à peine les 10 m². De plus, l’homme encais-sait directement les allocations de logement de ses locataires.

En 2009, la CAF reçoit une plainte et décide d’intervenir. Dans son réquisitoire, le procureur de la répu-blique a dénoncé un individu “seulement attiré par l’appât du gain”. L’entrepreneur a été condamné à un an de prison ferme, mais aussi à rembourser à la CAF la somme de 55 000 euros. =

Mourad Bouziane a été reconnu comme étant le commanditaire du meurtre de Sghaïr Lamiri, en 2008 à la prison de Varces. L’assas-sinat de Lamiri, abattu dans la cour de la prison par un sniper, apparaissait comme un acte de représailles, sur fond de guerre des gangs à Grenoble.

Pour l’avocat général de la cour d’assises du Rhône l’affaire était entendue. “L’assassinat de Sghaïr Lamiri c’est l’œuvre de Mourad Bouziane”, a-t-il clamé, dénonçant “un paroxysme dans l’escalade de la guerre des gangs”. Mourad Bouziane a écopé de 15 ans de réclusion criminelle.=

Ce braquage avait été commis le 26 novembre 2009 en pleine Presqu’île et en plein jour avec des armes de guerre. Les cinq braqueurs n’ont jamais été retrouvés par la police. Seule personne interpellée : un jeune homme de 23 ans soupçonné de com-plicité. En effet, le butin dérobé, d’une valeur de 353 822 euros, avait été retrouvé une semaine après, dans un appartement de Vaulx-en-Velin, loué par le père de l’accusé. Le tribunal correctionnel de Lyon a condamné le jeune homme à cinq ans de prison ferme pour association de malfaiteurs en lien avec un vol aggravé. En revanche, il a été relaxé des faits de recel des bijoux.=

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NeWS

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politique

Pas une “priorité” pour Collomb Grand absent de cette réunion, Gérard Collomb a répété, lui, quelques jours plus tard, le peu d’égard qu’il a pour ce projet de loi.

Invité de Jean-Jacques Bourdin sur RMC, il a clamé : “les réformes socié-tales ne sont pas la priorité, il faut faire d’urgence de grandes réformes de structure, comme celle de la décentralisation notamment et lutter contre le chômage”. Une tirade qui visait, outre le mariage pour tous, également le droit de vote des étrangers.

Du côté de l’opposition, le fraîchement déclaré candidat à la mairie Emmanuel Hamelin a réussi un joli coup de pub en faisant venir à sa soirée des vœux, l’icône anti-mariage pour tous, Frigide Barjot. Avec son débardeur rose, sa mini-jupe et sa gouaille, elle a su bousculer l’assemblée conservatrice.

“Hamelin, c’est mon copain, c’est encore une histoire d’amour”, a clamé cette bateleuse, née Virginie Merle il y a 49 ans dans la bourgeoisie lyon-naise. “Il a été l’un des premiers adhérents, premiers piliers au Collectif pour l’humanité durable qui luttait en mai 2012 contre les engagements du président socialiste”.= M.A.

Au lendemain de la grande ma-nifestation pro-mariage pour tous, qui a réuni entre 11 000 et 20 000 personnes à Lyon le 26 janvier, le PS du Rhône a fait monter ses ténors au front pour défendre la réforme.

Sylvie Guillaume, Pascale Crozon, Hélène Geoffroy, Pierre-Alain Muet, Jean-Louis Touraine et David Kimelfeld, tous ont insisté lors d’une conférence de presse sur une loi “nécessaire”, apportant des droits à tous. Pour le premier fédéral du parti, David Kimelfeld, le débat se résume à l’affrontement entre une gauche favorable à “une loi civilisatrice” et une droite refusant “la réalité de la société”. Jean-Louis Touraine a, lui, dénoncé la présence d’enfants dans les cortèges des opposants au mariage pour tous. “Les parents les amènent sans qu’ils aient eu une réflexion personnelle, alors qu’ils seront peut-être concernés dans quelques années”, a-t-il noté.

“Cette loi sera votée et mise en application”, a assuré de son côté Pascale Crozon, députée de la 6ème circonscription du Rhône. Tous ont également estimé qu’un référendum “n’était pas possible” ; les questions sociétales ne faisant pas partie des sujets à soumettre aux Français, selon eux...

Le mariage gay mobilise le PS, mais pas Collomb

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politiquepolitique

Saisi de la question, le Conseil d’état est allé dans le sens du Conseil général du Rhône

Ce dernier achète chaque année environ 2 800 abonnements aux matchs de l’Olympique Lyonnais pour 800 000 euros. L’association de contri-buables lyonnais Canol, avait alors sai-si la justice. Pour ces défenseurs de la bonne utilisation des deniers publics, ces contrats s’apparentent à des sub-ventions déguisées.

Déboutés par le tribunal administra-tif, ils avaient saisi la cour d’appel qui leur avait donné raison, rappelant à la collectivité l’obligation de “procéder à une mise en concurrence préa-lable entre les différents presta-taires du secteur”, c’est-à-dire entre l’OL et d’autres clubs sportifs : Asvel, Lou etc...

Le Département, qui a fait valoir que ces places étaient destinées à des bénévoles de clubs sportifs, des asso-

ciations ou des jeunes en difficulté, a finalement obtenu gain de cause de-vant le Conseil d’état, qui estime que ces achats correspondent bien à “une mission d’intérêt général dont le département a la charge”, ajou-tant “qu’une mise en concurrence pour l’achat spécifique de ces bil-lets, dont seul l’Olympique Lyon-nais est le distributeur, s’avérait impossible”.

Un arrêt aussitôt dénoncé par l’association qui crie sa colère

“C’est la 3ème fois que Canol a affaire au Conseil d’Etat”, écrit-elle, pointant l’inégalité de traitement dont elle s’estime victime.

“Le Conseil d’Etat nous en a avisé le 5 octobre 2012, nous donnant un mois pour répondre, (alors que) les collectivités tardent sou-vent plus d’un an à répondre sans qu’on ne leur fasse d’objection.”

“L’audience s’est tenue deux mois après notre réponse et le jugement trois semaines après. Quelle célérité quand c’est une administration qui est requé-rante”, raille l’association, qui rap-pelle qu’elle avait auparavant saisi le Conseil d’état dans deux autres affaires et qu’à chaque fois les juges avaient rejeté leurs pourvois sans même les examiner. Et Canol de conclure son communiqué par ces vers de La Fontaine : “selon que vous serez puissant ou misé-rable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir”. =M.A.

Le Département peut continuer à acheter des places de l’OL

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economie

“On est sur quelque chose d’assez morose”, analyse Pascal Oger, le directeur régional de l’Insée. L’économie française marque le pas, tandis que le chômage s’envole. La région Rhône-Alpes n’y fait pas exception.

Insée : l’économie rhônalpine au point mort

Après un petit plongeon au quatrième trimestre 2012 (-0,2%), l’économie française est certes repartie de l’avant, mais à une vitesse extrêmement faible. L’Insée ne s’attend ainsi qu’à une croissance de 0,1% au premier et au deuxième trimestre de cette année. Pas assez pour compenser le recul du PIB enregis-tré en 2008, au plus fort de la crise. Si l’activité a regagné un peu de terrain en 2009 et 2010, elle stagne depuis deux ans environ 1% en dessous du niveau observé début 2008.

Les principaux indicateurs ne bougent plus. La consommation des ménages est stable, tout comme l’investissement des entre-prises. “Ce n’est pas glorieux”, commente Pascal Oger, “mais il n’y a pas non plus de décrochage”. Idem pour la part de marché de la France à l’exportation, en baisse continue depuis 2002, mais qui semble avoir atteint un pallier.

Impossible dans une telle situation de freiner l’envolée du chô-mage. Au troisième trimestre 2012, le taux des sans-emploi a atteint 9,9% en France métropolitaine, son plus haut niveau en 13 ans. Depuis, il a franchi la barre des 10% et pourrait s’établir à 10,9% au milieu de l’année, selon les prévisionnistes.

Rhône-Alpes se porte un peu mieux mais suit la même trajec-toire. Au troisième trimestre 2012, 8,8% de la population active y était sans travail, ce qui en fait néanmoins le quatrième meil-leur élève en France, après l’Ile de France (8,6%), le Pays de la

Loire (8,6%) et la Bretagne (8,7%). Toutefois, “le chômage va dépasser les 9% et s’établir entre 9 et 9,5%”, pronostique Pascal Oger.

Pourtant, la région crée des emplois, +0,3% (4100 postes) au troisième trimestre 2012. Si l’intérim accuse le coup (-2800 em-plois), tous les autres secteurs marchands sont en progression, à l’exception de l’industrie (-1350 postes). Le Rhône et la Drôme comptent même plus d’emplois aujourd’hui qu’avant la crise. Mais ces créations ne suffi sent pas pour compenser l’augmenta-tion de la population active.

Les premiers concernés par la montée du chômage sont les se-niors. 20,1% des plus de 50 ans étaient sans emploi début 2012, contre 16,1% quatre ans plus tôt. Contrairement aux jeunes qui “ont plus profi té de la reprise”, note Alain Dupré, chef de projet à l’Insée.

Des nouvelles peu réjouissantes pour les six premiers mois de la nouvelle année. Quant au second semestre, les prévisionnistes ne préfèrent pour l’instant pas trop s’avancer. D’autant plus que la situation internationale est tout sauf prévisible. “Il y a pas mal d’aléas aux États-Unis”, note Pascal Oger. Idem pour la reprise en Asie. “La situation évolue très vite. Il faut être très prudent dans les pronostiques”, résume le directeur régional.=M.A.

16 LYONnEWS

Virgin Mégastore a déposé le bilan

“Licenciés sans indemnités” peut-on lire sur une pancarte brandie par une sala-riée du Virgin de la rue Edouard-Herriot. Mercredi 9 janvier, les employés de l’en-seigne ont manifesté à Lyon, comme dans plusieurs autres villes de France, contre la fermeture des magasins. Le même jour, la direction a officiellement déposé le bilan auprès du tribunal de commerce de Paris.

“Notre actionnaire veut nous lâcher rapidement”, s’indigne Jessica, contrô-leuse de caisse et salariée du magasin lyonnais depuis 8 ans. Les 26 Virgin Mé-gastores appartiennent depuis 2008 pour 74% au fonds d’investissement Butler Capital Partners. “Nous avons investi beaucoup dans cette société”, avait déclaré la veille un représentant du fonds au comité d’entreprise de l’enseigne. Laissant sous-entendre qu’il ne comptait pas en mettre plus. D’où l’inquiétude des salariés qui craignent non seulement pour leur poste mais également pour leurs indemnités de départ.

Des difficultés financières récurrentes Incapable de régler ses dettes, le distri-buteur de biens culturels avait vu fondre son chiffre d’affaires de 371 millions d’euros en 2008 à 313 millions en 2011. Le résultat d’exploitation serait, lui, dans le rouge depuis 2006. Le coût exorbitant des loyers est l’une des raisons avancées. A Lyon, Virgin paierait 90 000 euros par mois pour les 2500 m² de son magasin de la rue Edouard-Herriot.

Mais ce n’est pas la seule explication. “On ne s’est pas renouvelé”, pointe Jessica, “on est resté très disquaire.” Or, le secteur de la musique est celui qui souffre le plus de la concurrence d’Internet. La part de marché du web y est de 18%, contre 8% en moyenne, tous produits confondus. Pour cause : ici le client n’a pas besoin de toucher ou de voir la marchandise avant d’acheter.

“Le CE a soumis il y a un an un pro-jet alternatif”, s’indigne Étienne Bloch, délégué CGT. L’idée était de dévelop-per des marchés de niche, comme les disques vinyl ou les loisirs créatifs. Le projet serait resté lettre morte. Un gâ-chis pour les salariés du Virgin lyonnais.

“Nos vendeurs sont des passionnés. Ils connaissent vraiment leurs pro-duits”, s’écrie Jessica.

En voie de disparitionA son apogée, le groupe comptait 2000 CDI en France, ils ne sont aujourd’hui plus que la moitié. Créée en 1970 par Sir Richard Branson, l’enseigne britannique a ouvert en 1988 son célèbre Mégastore des Champs-Elysées : 5000 m² dédiés aux produits culturels. En 2001, les points de vente français sont rachetés par Lagadère qui les fusionne avec ses propres maga-sins Extrapole. Puis, c’est la descente aux enfers. Dans de nombreux pays, l’enseigne a d’ores et déjà disparu : États-Unis, Canada, Australie, Grande-Bretagne, Irlande, Japon... Seul le Maroc et le Moyen Orient se portent encore bien.

En France, cinq magasins ont fermé leurs portes en 2011 et 2012. Le sort des 26 res-tants est désormais entre les mains d’un administrateur judiciaire. Il pourrait être rapidement scellé. “Il n’y aura bientôt plus de produits culturels en centre-ville à Lyon. Seulement du luxe, des banques et des assurances”, se désole Étienne Bloch. =M.A.

economie

18 LYONnews

monde

La région Rhône-Alpes suit de près les évènements MaliensLes régions de Tombouctou et Rhône-Alpes sont unies par une convention datant de 1986. Le président de l’As-semblée régionale de Tombouctou, Mohamed Ibrahim et le président de la région Rhône-Alpes, Jean-Jack Queyranne, ont renouvelé ce jume-lage en octobre 2009. Suite à cela la région lyonnaise se sent concernée et investie par les évènements au Mali.

Message personnel Suite à la libération de la ville de Tom-bouctou, Mohamed Ibrahim adresse directement un message au président de la région Rhône-Alpes. Il l’informe de la libération de sa ville. Cette nou-velle était attendue par l’ensemble des Maliens mais aussi par les parte-naires de la coopération Rhône-Alpes-Tombouctou.

Le président Queyranne a déclaré suite à cette annonce “C’est avec sou-lagement que nous apprenons la déli-vrance de Tombouctou, dont la popu-lation est soumise depuis 10 mois au régime arbitraire et barbare de l’AQMI”.

Une aide engagée

La région Rhône-Alpes jumelée avec Tombouctou est venue en aide lors des évènements tragiques des der-nières semaines, grâce aux équipes locales des ONG. J.J Queyranne s’engage au côté des habitants de la région anéantie afin de l’aider à se

reconstruire. Ensemble, les deux pré-sidents définiront les actions prio-ritaires comme la restauration des capacités productives alimentaires et les moyens indispensables à la santé et l’éducation.

Evènements dramatiques Les habitants de Tombouctou ont été victimes des terroristes. Touchée physiquement et psychologiquement, la population a subi des violences impensables. Les terroristes se sont attaqués à la civilisation de la ville, en détruisant les manuscrits anciens, et toute la culture qui y était rattachée.

Situation actuelle Aujourd’hui la guerre au Mali rentre dans sa deuxième phase. Le président français, François Hollande a déclaré

que “le terrorisme a été repoussé, il a été chassé mais il n’a pas encore été vaincu”. Les forces terroristes sont repliées dans le nord du pays, le mas-sif de l’Adrar des Iforas. La guerre va entrer dans une nouvelle séquence.

Pour Tombouctou une page drama-tique s’est tournée, mais la guerre n’est pas encore gagnée. La région as-pire désormais à la paix et à la sécurité. Elle s’engage dans sa reconstruction. Les associations maliennes en Rhône-Alpes ont aussi exprimé leur remercî-ments du pour soutient de la région. =Alexia Lopez

Guerre au Mali : Le soutient de la région Rhône-Alpes

20 LYONnews

monde

Le sujet sensible de la question du nucléaire en Iran suscite

de nombreux débats.

Après plusieurs mois d’interruption, l’Union Euro-péenne confirme la reprise des négociations entre l’Iran et le Groupe des grandes puissances, soit les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, la Russie, la Chine et l‘Allemagne. Elles se tiendront le 26 février 2013 à Almaty au Kazakhstan.

Suite à quelques divergences, les deux principaux diplomates chargés des négociations , Helga Schmid pour l’UE et Ali Bagheri pour l’Iran, ont conclu un accord sur les conditions de la reprise.

La chef de la diplomatie européenne, Catherine Ash-ton a déclaré “espérer que les pourparlers seront productifs et que des progrès concrets seront réali-sés en vue d’une solution négociée”.

Après l’échec des dernières négociations à Moscou en juin 2012, le programme iranien d’enrichissement d’uranium est au centre des inquiétudes. Des soupçons se font ressentir sur la République islamique. La communauté interna-tionale suspecte le pays de vouloir se doter de l’arme atomique sous le couvert de son programme civil. = A.L

Le scénario de 2011 lors de la chute du régime de Hosni Moubarak se renouvèle.

L’Egypte connait depuis plusieurs mois un relent de manifestation et de violence envers le pré-sident Mohamed Morsi. Les anti-Morsi souhaitent le départ de celui-ci. Ils réclament la fin de la “mo-nopolisation” du pouvoir et la mise en place d’un gouvernement de salut national et d’une révision de la Constitution.

“Morsi est illégitime”, “Dégage”, des slogans prononcés par la foule lors des manifestations. A ce jour le pays compte 56 décès en une semaine. Les partisans de Morsi affirment le fait qu’il soit arrivé au pouvoir démocratiquement. A contrario les opposants l’accusent de favoriser l’idéologie islamiste et de ne pas résoudre la crise économique.

Les experts sont réservés sur un possible dialogue entre les deux partis car le pays est profondément divisé et hostile à tout compromis. =A.L

Egypte, vers un retour à la violence

Nucléaire iranien : reprise des négociations

21nEWSLYON

Construit au 19e siècle, ce bâtiment emblématique du Vieux Lyon n’avait jamais été rénové. “Tout était un peu pourri” se souvient Michel Mercier, l’ancien président du conseil géné-ral. “Le chauffage, l’électricité, tout était à reprendre.”

Des travaux importants que l’Etat, copropriétaire avec le conseil général, rechignait à engager. “Au cours de la pé-riode 1985-1990, l’abandon de ce palais fut sérieuse-ment envisagé”, rappelle Jean Trotel, premier président de la cours d’appel de Lyon. Car à la même époque, la construction du nouveau palais de justice de la rue Servient (Lyon 3ème) était déjà à l’étude. Dans l’esprit de ses promoteurs, il devait pur et simplement remplacer l’ancien.

C’était sans compter l’attachement des Lyonnais à leur patri-moine. “Pour construire son avenir, une ville a besoin de mettre en valeur et de magnifier son histoire” insiste Gérard Collomb. Une pétition recueille en 1993 plus de 3000 signatures, un chiffre important à une époque où ce genre d’appel circulait encore de main en main au lieu d’être posté sur Internet. La forte mobilisation réussit à faire changer d’avis la chancellerie, qui engage alors dès avril 2005 les études pré-liminaires à la rénovation du bâtiment. Bien lui en a pris. “L’un et l’autre bâtiments étant aujourd’hui pleinement occu-pés, on peut se demander comment le regroupement de toutes les juridictions sur le site de la Part-Dieu eût été possible” glisse malicieusement le procureur général Jacques Beaume.

1000 ans d’histoire judicaireC’est que le site est chargé d’histoire. “On rend ici la justice depuis plus de 1000 ans” s’enflamme Michel Mercier. Préci-sément depuis le 10e siècle. D’abord dans une maison forte, puis dans un bâtiment aux tours crénelées, appelé {palais de Roanne}, en souvenir de ses anciens propriétaires, les comtes de Forez.

Pendant trois siècles, ce bâtiment accueillit le Sénéchal, repré-sentant du roi et sorte d’ancêtre des procureurs actuels. La prison de Lyon s’y trouvait également. Au fil des siècles, le {pa-lais de Roanne} ne cessa toutefois de se dégrader avant d’être détruit par un incendie en 1622.

Après quatre ans de chantier, la blancheur des 24 colonnes

de l’ancien palais de justice se détache à nouveau de la colline

de Fourvière. L’édifice rénové a été inauguré en grande pompe

le lundi 14 janvier, en présence entre autres de la garde des sceaux

Christiane Taubira. Retour sur 1000 ans d’histoire judiciaire lyonnaise.

Le palais de justice a fait peau neuve

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La situation de l’édifice, coincé entre la colline de Fourvière et la rive de Saône, n’était d’ailleurs pas idéale. Entouré d’étroites rues causant “un si grand embarras de charrettes et de chevaux qu’on ne peut passer pour aller audit palais qu’avec de grandes incommodités” selon une source contemporaine, son transfert aux Terreaux ou à Bellecour fut envisagé.

Déjà à l’époque, le monde judiciaire refusait de changer de quartier et en 1640, la construction du premier vrai palais de justice fut terminée sur le même site. Vite à l’étroit, l’institution dut néanmoins s’installer dans des annexes situés à proximité. L’éclatement sur plusieurs sites étant peu commode, la décision fut prise en 1825 de raser une nouvelle fois pour reconstruire.

Aussitôt de nouveaux projets de relocalisation apparurent. No-tamment place Louis XVIII (l’actuelle place Carnot). Un choix pas illogique, puisqu’il aurait placé l’institution judiciaire à proximité des prisons Saint-Paul et Saint-Joseph, construites peu après dans le quartier Perrache.

Le concours d’architectes fut remporté par le Parisien Louis-Pierre Baltard, au grand dam de ses confrères lyonnais. Le même architecte à qui on doit d’ailleurs la construction de la prison Saint-Joseph. Prônant la nécessité d’une cohérence totale entre architecture, décoration et mobilier, Baltard déci-dait de tout dans les moindres détails.

Marqué par un séjour à Rome, l’architecte mélange allégre-ment un certain nombre de styles, pas forcément contempo-rains : La façade principale de 85 m de long est ainsi inspirée des temples romains, les autres côtés rappellent des palais italiens de la Renaissance, tandis que la salle des pas perdus a été créée sur le modèle des temples de l’Antiquité. ”Une archi-tecture qu’on n’ose plus” commente Christiane Taubira, louant la “majesté et solennité” de l’édifice, classé monument histo-rique le 13 février 1996.

La première pierre fut posée le 28 juillet 1835, point de départ de sept ans de travaux. Les 24 colonnes corinthiennes de la façade côté Saône sont réalisées en pierre de Villebois tandis que les chapiteaux ont été exécutés en pierre jaune de Cruas et de Rocheret, afin d’assurer une bichromie. Leur nombre est à rapprocher de celui des heures de la journée. Des esprits cha-grins, heurtés par les choix architecturaux de Baltard, les com-parèrent alors à autant de filles de joie attendant leurs clients. Décédé en 1846, l’architecte n’a d’ailleurs pu assister à la céré-monie d’achèvement des travaux, célébrée le 30 juillet 1847.

Des procès historiquesDe nombreux procès historiques ont eu lieu entre ces vieux murs. C’est ici que le premier procès pour crimes contre l’hu-manité, contre Klaus Barbie s’est tenu en 1987, dans une salle des pas perdus spécialement aménagée en salle d’audience. L’histoire retiendra également le procès intenté en 1943 à Jean de Lattre de Tassigny pour trahison, le général ayant désobéi à l’ordre de Vichy, de ne pas intervenir devant la progression des troupes nazies.

On compte également la condamnation à mort en 1884 de l’anarchiste italien Santo Caserio, jugé coupable de l’assassinat du président de la république Sadi Carnot. Et celle à la réclu-sion à perpétuité de Charles Maurras, en 1945, pour intelli-gence avec une puissance ennemie.

C’est encore ici que furent jugées la catastrophe de la raffine-rie de Feyzin, dont l’explosion le 4 janvier 1966 donna lieu au premier grand procès de catastrophe technologique, la caisse noire des Verts, premier procès footballistique, ou encore la branche lyonnaise d’Action directe, seul procès terroriste or-ganisé en province.

Quatre ans de travaux150 ans après sa construction, le palais de justice s’est donc offert un lifting complet. Confiés aux architectes Denis Eyraud et Didier Repellin, les travaux ont commencé en mai 2008 sur un site resté en activité pour se terminer le 11 mai 2012. ”Cette importante et délicate opération a été conduite dans le respect des délais et budgets (56 millions d’euros, ndlr), impar-tis” se félicite Jean Trotel.

Mise au normes des installations techniques, réorganisation des espaces, création de salles de réunion, installation de sys-tèmes de sonorisation et de vidéoconférence dans les salles d’audience, suppression de l’ancienne chaufferie au fioul, la restructuration du palais a permis de doter les magistrats et greffiers d’un outil de travail moderne. Sans oublier le rafraî-chissement décoratif des lieux. Les murs ont été décapés, les dorures et le bois rénovés, des soieries remplacées.

Quelques détails restent toutefois encore à régler. Dans quelques mois, seront posés de part et d’autre de l’escalier mo-numental deux lions en bronze, prévus à l’origine par Baltard, mais jamais réalisés faute d’argent. Puis, en juin sera livré le par-vis du palais, réaménagé dans le cadre du projet Rives de Saône.

“Les magistrats, fonctionnaires et avocats sont fiers de travailler, non pas dans un musée, mais dans une œuvre d’art qui bénéficie des prestations les plus fonctionnelles pour le meilleur service au justiciable” résume Jacques Beaume. “Ils n’ont pas le droit de rendre une médiocre justice dans un tel environnement.” =M.A.

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n Bonjour nordine, vous êtes le Directeur général de WASSO environnement, racontez-nous votre parcours ?

A la sortie de mes études universitaires, j’ai débuté dans le secteur de l’orien-tation professionnelle et l’emploi des jeunes puis j’ai occupé pendant plu-sieurs années la fonction de collabora-teur d’élus notamment auprès d’Hélène Geoffroy qui est actuellement député de la 7e circonscription du Rhône et de Jean-Paul Bret le maire de Villeurbanne auquel j’adresse un salut amical, un homme qui m’a beaucoup apporté à titre personnel... Avant de participer au lancement de Wasso Environnement je m’occupais du Développement Eco-nomique de Lyon Duchère AS, j’y occupe toujours un rôle même si à l’heure actuelle j’y passe moins de temps.

n Expliquez-nous le principe de votre entreprise.

Wasso Environnement est spécialisée dans la dératisation, désinsectisation, désinfection en favorisant au maximum, une approche et des produits ayant un faible impact sur la santé de l’Homme et son environnement.

n Quelles sont vos méthodes d’actions ?

Le conseil aux clients est la meilleure des préventions. Par exemple contre une infestation des nuisibles, c’est tout

un ensemble de dispositions à prendre en matière d’hygiène et de compor-tement dans l’espace : gestion des détritus, conditionnement des denrées alimentaires... C’est aussi identifi er les zones d’infi ltration potentielles dans un bâtiment ou lieu de vie et faire en sorte de rendre étanche ces espaces d’infi ltration... C’est favoriser chaque fois que cela est possible des produits et techniques qu’on appelle répulsifs, qui repoussent les nuisibles sans forcement chercher à les détruire, les rats sont utiles lorsqu’ils se cantonnent aux égouts car ils contribuent à éliminer les déchets, ils posent problème unique-ment lorsqu’ils remontent à la surface et s’attaquent aux denrées alimentaires ou occasionnent des dégâts matériels importants...

L’objectif de Wasso environnement est d’assurer un bon suivi des interven-tions et une bonne traçabilité, rendre compte régulièrement des opérations au client sous forme de rapports précis et exhaustifs notamment dans le cadre des contrats de service.

n Pouvez-vous donner quelques exemples de procédés écologiques que vous employez ?

Dans le cadre du traitement du pro-blème des punaises de lit auquel sont confrontés de plus en plus d’hôteliers sous l’effet des déplacements des voyageurs qui peuvent en transporter

sans le savoir dans leur bagages, nous proposons un traitement préventif à base de terre de diatomée, un produit écologique. Sur le plan curatif, nous proposons un traitement à base de vapeur sèche surchauffée à 180 degrés, un nouveau procédé technologique qui offre la possibilité de relouer très rapidement une chambre. Une véritable alternative à l’utilisation d’insecticide !

Pour éloigner les pigeons dont les déjec-tions sont corrosives pour le patrimoine et autres installations, nous utilisons un gel breveté disposé sous forme de coupelle et qui préserve d’autant plus l’esthétique des bâtiments, c’est beaucoup mieux qu’installer des pics et des fi lets !

n Quel genre de clientèle touchez-vous ?

Entreprises, collectivités locales, artisans, commerçants et particuliers... c’est une clientèle variée.

n Comment faîtes-vous pour rester à la pointe de l’écologie ?

L’entreprise est très jeune, il faut surtout assurer une activité de veille, être à l’affut de nouvelles avancées technolo-giques, de nouveaux produits et tech-niques classés “gamme vert” en France, mais aussi à l’étranger.

• Propos recueillis par Oriana Marc

WASSO Environnement, une entreprise respectueuse de l’homme, de sa santé et de son environnement

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Arrivé au Lou Rugby pour sauver le club de la déroute, le technicien britannique et entraîneur-adjoint du XV de France, David Ellis a rejoint le duo Sadourny/Smith, bien décidé à changer les choses. Lyon news l’a rencontré.

sport

David Ellis : “beaucoup dans l’équipe ne travaillentpas assez dur !”

n Qu’est ce qui vous a convaincu de venir à Lyon ?

Je n’avais pas beaucoup travaillé depuis la Coupe de Monde (en 2011, en Nouvelle Zélande, ndlr). Puis, j’ai été contacté par le président du Lou que j’ai senti très enthousiaste. J’ai regardé des vidéos de matches et je me suis dit ‘Pourquoi pas ?’. En plus, je m’entends très bien avec Lionel Nallet, avec qui j’ai travaillé pendant douze ans en équipe de France. J’ai finalement dit oui. Quand je suis arrivé à Lyon j’ai été surpris par les installations. Je n’avais jamais vu ça dans le rugby. J’ai eu l’im-pression de voir les installations d’un club de football en Angleterre. J’étais déjà motivé par le challenge, mais je le suis encore plus avec tout ce qu’il se passe au club et même dans la ville.

n Vous avez déclaré être surpris de la place du Lou au classement.

Je crois que je ne suis pas le seul ! Tout le monde est surpris par le parcours de Lyon. Il y a pas mal de joueurs que j’ai déjà entrainés en équipe de France, ou en club, à Castres ou à Brive. C’est vraiment une surprise de les retrouver à ce niveau au classement.

n D’après vous, où est le pro-blème ?

Quand j’ai regardé les vidéos j’ai noté de gros problèmes défensifs, mais aussi sur la discipline en général, dans tous les compartiments du jeu. Il y a beaucoup de problèmes individuels qui perturbent le collectif, mais aussi dans la communication et l’organisation défensive. Je vais essayer d’adapter leur système. Nous allons beaucoup travail-ler la communication. Il faut que tout le monde travaille ensemble. Il faut éviter les fautes individuelles qui coutent cher au collectif… C’est la base ! J’ai besoin que la défense de ce clu b soit comme moi : agressive et disciplinée.

n Les joueurs vous décrivent comme un homme de conviction.

Que ça soit en tant que joueur ou entraineur, ou même dans la vie en général, je travaille dur. Et ça paie. J’ai l’impression qu’il y en a certains, et même beaucoup, dans l’équipe qui ne travaillent pas assez dur. C’est mon boulot de changer ça.

n Que doivent-ils changer dans leur attitude ?

D’être organisé, de prendre du recul, de regarder ce qu’il se passe en face, de faire le boulot dans le système défensif. Il y en a quelques-uns qui n’étaient pas contents mais ils ont compris qu’il fallait que ça change.

n Le club attend de vous que vous serriez la vis ?

Le club a besoin que je fasse mon boulot pour espérer monter dans le classement. Je ne gueule pas dans le vestiaire, mais je gueule sur le terrain à l’entrainement. Je suis quelqu’un de timide, sauf sur un terrain de rugby.

n Vous vous êtes engagé jusqu’à la fin de saison, mais peut-on s’imaginer vous voir vous investir sur le long terme au Lou ?

ça dépend de mon boulot. Je suis comme un joueur sans contrat à la fin de la saison. Si je travaille bien je peux, peut être, gagner un contrat pour les années qui suivent.

= Propos recueillis par Laureline Coquard

26 LYONnews

Il n’existe pas que le “foot business”

Le club Lyon Duchère a pendant de nombreuses années vécues essentiellement à travers l’image et les résultats sportifs de son équipe première, évoluant au niveau national (CFA), avec une notoriété forte liée à ses parcours en coupe de France. Dans un contexte de mutation du quartier de la Duchère, le club s’est réengagé auprès des habitants pour devenir un vecteur social de proximité.

sport

Le pôle sportif de la Sauvegarde qui accueille les catégo-ries jeunes s’est progressivement transformé en lieu de parentalité : un espace de dialogue et de partage animé par les parents.

Pour connaître l’impact de la rénovation urbaine du quar-tier sur les jeunes en valorisant leur parole et leur expres-sion, l’association Grand Ensemble a réalisé tout au long de la saison 2010/2011, en partenariat avec Lyon Duchère, un documentaire avec les jeunes de la catégorie U17. Ils ont pu, à travers ce projet, devenir les témoins de la muta-tion de leur quartier.

De même, les jeunes de la classe foot ont participé à un atelier Forum Jeunesse animé par l’AFEV et la MJC Lyon Duchère à l’occasion du stage Horizon 360° organisé par Lyon Duchère en février 2012.

De manière plus systématique, le club participe aux initia-tives de vie du quartier en lien avec les structures locales, comme le Festival annuel du quartier de la Duchère, les réflexions de groupe menées autour de la parentalité qui ont permis notamment de mettre en place l’opération “Les parents ont du talent” en mai 2012.

Enfin, c’est à l’initiative de Lyon Duchère AS que s’est dé-rouleré le 1er vide-grenier de la Duchère le 23 juin 2012 au stade de Balmont. =A.L.

David Ellis : “beaucoup dans l’équipe ne travaillentpas assez dur !”

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loisirs beauté

Donner un coup de boost à sa peauLes besoins : Un bon coup de fouet pour se réveiller, beaucoup de vita-mines, des senteurs fraîches et des soins revitalisants pour démarrer la journée en pleine forme. Et surtout, il faut que ça soit rapide, car le matin les hommes restent pressés.

Les anciens gestes : Un passage express sous la douche avec rasage dans la foulée, histoire de ne pas perdre de temps.

Les nouveaux réflexes : Toujours s’as-perger le visage. Non pas avec de l’eau mais avec un tonique pour réveiller la peau et resserrer les pores de l’épiderme. Désinfectée et débarrassée des impure-tés, elle respire mieux, et les poils drus de la barbe ne s’infectent plus. Finis les petits boutons !

Apaiser les irritationsLes besoins : Après le rasage ou après le sport, l’homme a besoin de douceur.

La peau subit l’agression de la lame, de la sueur mais aussi de la pollution. Pour évi-ter allergies et irritations, il faut des soins doux et hydratants.

Les anciens gestes : Après le rasage, l’habitude de se rincer le visage avec l’eau du robinet ou un tonique parfumé contenant de l’alcool très agressif. Les éventuelles coupures cicatrisent au bout de quelques jours : ça pique, ça brûle, ça gratte. Après le sport c’est pareil, la trans-piration, acide, brûle la peau.

Et dans ces cas-là, il n’est pas rare que l’homme pique la crème hydratante de sa douce, inadaptée à la peau épaisse et moins sèche.

Les nouveaux réflexes : Avoir ses propres produits. Fini le petit bout de mouchoir collé sur la coupure, il faut se raser avec un huile très douce qui des-serre les pores de la peau et permet un meilleur rasage. Puis apaiser sa peau avec un soin réparateur non gras.

Se donner bonne mineLes besoins : Un bon coup de jeune, mais aussi de la fraîcheur. La peau est plus grasse que celle des femmes car elle produit du sébum pour se protéger. C’est pourquoi elle luit souvent. La zone autour de ses yeux est très fine et donc souvent irritée. Il faut un bon soin hydra-tant pour éviter cernes et poches. Quant aux soins couvrants, attention, la discré-tion est de mise.

Les anciens gestes : Laisser faire les choses et se plaindre de la mauvaise mine, ou pour les plus téméraires, pi-quer en douce les crème anti-rides, des femmes voire l’autobronzant. Mais tous les produits pour femmes ne sont pas forcément adaptés

Les nouveaux réflexes : Ne plus ecra-ser la crème sur la peau pour la faire pénétrer mais l’appliquer en tapotant légèrement pour réactiver la circulation. Le rose monte déjà aux joues. Utiliser des gels matifiants, et l’hiver, tricher un peu pour avoir bonne mine.

Entretenir son corpsLes besoins : L’homme tient à sa peau douce et à sa ligne mais refuse catégo-riquement les régimes. Si l’ hygiène de vie laisse à désirer, le besoin de séduire est toujours bien vivace. C’est l’efficacité qui compte, rester frais au top sans trop d’efforts.

Les anciens gestes : Sous la douche ou dans le bain, utiliser le shampoing et le savon pour femmes et se plaindre en-suite de leur odeur de «fille». Ne pas oser sauter le pas et s’occuper de son corps.

Les nouveaux réflexes : Les gestes doivent être rapides mais compter double. Un massage, ok, mais il doit être sensuel et efficace à la fois, pas de temps à perdre. Tenter l’huile dans le bain et se satisfaire du résultat. La peau est douce et pas besoin d’en rajouter une fois sec.

Se détendre en institutLes besoins : Du calme, des moments de détente privilégiés où l’on prend soin de soi pendant que l’on oublie le stress du quotidien. Massages du visage et du cuir chevelu relaxant, nettoyage de peau...

Les anciens gestes : Pour les hommes, spa rime avec thalasso donc régime. C’est non. Les instituts de beauté étaient réservés aux filles ! Aucune chance de voir se faire masser par quelqu’un d’autre que le kiné.

Les nouveaux réflexes : De plus en plus de spas s’adaptent aux besoins des hommes. Ils offrent des soins sur mesure pour les aider à retrouver concentration en journée, une bonne respiration mais aussi un sommeil de qualité. Désormais, un soin du visage, un massage du dos ou encore des pieds ne font plus peur. =

Beauté homme, les nouveaux gestes beauté

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loisirs auto

Fisker Karma : La première berline alliant luxe et performances électriques

La première voiture au monde qui allie luxe, hautes performances et se recharge au choix par une simple prise de courant ou en faisant le plein (technologies “Plug in” or “Fill up”).

Voici la première voiture électrique de luxe dotée du prolongateur d’autonomie Ever (qui signifie “Electric Vehicle with extended range”). Bien que 100% électrique, la Fisker Karma vous permet ainsi de choisir entre la recharge électrique ou le plein d’essence. Ou les deux, bien entendu.

La Fisker Karma est équipée d’un moteur thermique qui recharge la batterie en lithium-ion via un générateur. Cette dernière transmet l’énergie aux deux moteurs situés sur le différentiel arrière. En mode tout électrique, le Karma affiche une auto-nomie de 83 kilomètres. Le moteur à combustion prend ensuite le relais afin de pro-duire l’énergie électrique pour un rayon d’action supplémentaire de 400 kilomètres.

Un design inspiré de la nature

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Toit SolaireLe plus grand toit solaire d’un seul tenant jamais monté sur une voiture de série permet de parcourir chaque année jusqu’à 321 kilomètres sans émissions. La structure de la surface du toit est conçus de manière à utili-ser la lumière du soleil sous les angles de rayonnement les plus divers. Ce toit solaire fournit également l’éner-gie nécessaire à la climatisation de l’habitacle.

En communication avec les élémentsDe l’élégante silhouette des dunes modelées par le vent à la grâce mus-clée d’un fauve, le design de la Fisker Karma s’inspire des beautés de la nature.

Des peintures à base d’eauPremière peinture à la base d’eau utilisée sur un véhicule de série, la “Diamond Dust”, contient une partie de verre recyclé comprise entre 35 et 55 %. Le processus d’application de cette peinture ne rejette aucun com-posé organique volatil dans l’atmos-phère.

Ecologique jusqu’au moindre détailLe bois utilisé dans l’habitacle pro-vient exclusivement de ressources forestières récupérées à la suite de tempêtes et d’incendies ou bien en-core qui se trouvaient au fond de lacs.

Expérience de conduiteLe châssis aluminium de type “Space-frame” extrêmement rigide et les amortisseurs avec correcteur d’as-siette automatique confèrent à la Fis-ker Karma une maniabilité élevée et un comportement routier très stable. Ces technologies associées au couple de 1 300 Nm délivré par les deux mo-teurs électriques et disponible au dé-marrage garantissent des sensations de conduite totalement inédites.

Train roulantGrâce à la suspension à roues indé-pendantes d’une vraie voiture de sport, à la construction rigide et à une répartition idéale des masses, la Fisker Karma vire quasiment à plat, et cela sans qu’aucun élément com-plexe ait été ajouté à l’architecture du châssis. Par ailleurs, le centre de gravité étant très bas, les mouve-ments de roulis sont pratiquement inexistants. La direction précise et linéaire engendre un comportement routier extrêmement neutre. Grâce à la géométrie de la suspension, la sur-face maximale des pneumatiques est en contact avec la route, même dans les virages.

FreinsLa Fisker Karma bénéficie d’un sys-tème de freins à disques intégré avec récupérateur d’énergie. Ce dernier utilise l’énergie cinétique libérée au freinage du véhicule pour alimenter la batterie.

Les freinages étant de type “by wire”, ils disposent d’un niveau de sécurité active supérieur.

Les freins sont fournis par le célèbre fabricant Brembo : disques ventilés de 370 par 34 mm étrier à 6 pistons à l’avant et disques ventilés de 365 par 28 mm et étrier à 4 pistons à l’arrière. La construction monobloc permet de rigidifier les étriers de freins, offrant ainsi des performances de freinage optimales.

83 km de conduite tout électriqueEn mode “Sealth”, vous parcourez jusqu’à 83 kilomètres en mode tout électrique-une autonomie générale-ment suffisante au quotidien, puisque la plupart des trajets journaliers sont inférieurs à 50 kilomètres.

EverLa technologie “Ever” travaille avec un générateur électrique et une bat-terie permettant d’alimenter les deux moteurs électriques.

Le moteur à combustion sert unique-ment à alimenter le générateur qui charge la batterie.

Grâce à la technologie EVer brevetée par Fisker, l’autonomie peut atteindre 483 kilomètres alors que la consom-mation d’essence moyenne est à 2,2 l / 100 km seulement.

En exclusivité chez AUTOMOTION Lyon Nord - ZAC de Sans Souci - Chemin de Paisy / F-69760 LIMONEST

loisirs moto

La Jaguar F-Type

Présentée Musée Rodin de Paris comme une véritable tête d’affiche, la Jaguar F-Type dévoile un physique à la fois gracieux et sportif.

En effet, le dernier modèle présenté par la marque au félin a fait sensation grâce à une fiche technique montrant des performances et une puissance qui la caractérisent comme une vraie voiture sportive.

Stricte 2 places, la petite soeur de la Type-E a su se montrer persuasive grâce à trois modèles :

la V6 avec une puissance de 340ch et un passage de 0 à 100km/h en 5,3 secondes et une vitesse de pointe de 260km/h;

la V6 S qui sera dotée de 380ch et assurera 0 à 100km/h en 4,9 secondes pourra atteindre les 275km/h;

la F-Type V8 de 395ch et une vitesse maximale de 300km/h et passera de 0 à 100km/h en 4,3 secondes;

La Jaguar F-Type sera pourvue de vocalises soignées. Le son du moteur qualifié “d’incoyable” et “fabuleux” par les pilotes lors des essais, promet un vrai plaisir pour les oreilles des amateurs de bolides.

Avec un physique jeune, la F-Type semble prouver les ambitions de la marque britannique, c’est-à-dire allier un savoir-faire déjà acquis et une jeunesse qu’il man-quait peut-être à la marque, mais aussi la puissance, la performance ainsi que l’élégance et la modernité.

Le prix de la nouvelle arrivante devrait se trouver entre 75 000 et 110 000 euros, respectivement de la version V6 à V8. En terme de prix, cela place la F-Type entre la Porsche Cayman et la Porsche 911 qui restent toutes les deux des concurrentes directes.

Sans vraiment prendre de risque, on peut affirmer que la Jaguar F-Type saura séduire son public grâce à ses qualités indéniables et un prix plutôt attractif, toutes proportions gardées.

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loisirs moto

Présentée pour la première fois au dernier salon de Cologne, la dernière-née de la marque autrichienne sera pour la première fois exposée en France à Lyon. Déclinée en deux versions, la classique pour la route et la R pour un usage mixte route/chemin, la nouvelle KTM Adventure va secouer le marché des gros trails.

KTM Adventure : le nouveau standard pour la route ! Modèle le plus léger et le plus puissant de sa catégorie, la nouvelle KTM Adventure est dotée d’une multitude de nou-velles caractéristiques et définit désormais de nouveaux stan-dards pour la route. Pour preuve, le cadre en treillis d’acier au chrome molybdène extrêmement résistant et ultra léger et le moteur V2 de 150 cv et 1195 cc.

Les suspensions WP haut de gamme, les excellents freins Brembo et les systèmes d’assistance (ABS) développés en étroite collaboration avec Bosch complètent l’ensemble, donnant à la nouvelle KTM 1190 Adventure une avance indé-niable sur ses concurrentes en termes de dynamique et de sécurité. Ses 230 kg lui permettront d’ailleurs de conserver cette avance. La 1190 Adventure ne risque pas d’être concur-rencée sur la route. Elle est également la moto la plus perfor-mante en tout-terrain de toutes les trails du segment voyage après la 1190 Adventure R !

KTM Adventure R : un trail à tout bien faire ! La nouvelle KTM 1190 Adventure R s’impose comme le seul et unique choix pour ceux qui refusent les compromis en tout-terrain sur leur trail.

Des roues de plus grand diamètre, des jantes plus robustes, un guidon plus large et un siège plus en hauteur distinguent la R de la 1190 Adventure, améliorant la maniabilité sur les chemins. A ces éléments, s’ajoute un solide arceau de sécurité pour une protection renforcée.

Enfin, une bulle moins haute et un graphisme différent dis-tinguent la R de sa sœur. Sans l’ombre d’un doute, la 1190 Adventure R est le trail bicylindre le plus performant en tout-terrain. Elle est également la plus rapide sur l’asphalte après la 1190 Adventure ! A partir de 15 090 e.

KTM Grand Lyon • 58 chemin de la bruyère • 69170 Dardilly 04 78 68 84 54 www.ktmlyon.fr

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loisirs bars

La Consigne13 Place Jules Ferry 69006 Lyon

04 37 24 30 52

Dans l’ancienne Gare des Brotteaux se trouve un petit bar à vins répondant au doux nom

de “La Consigne”. Le vin y est disponible au verre ou à la bouteille. Des assiettes charcuteries,

fromages et autres «tapas» à la française sont proposées pour se sustenter. L’ambiance est feutrée

et contemporaine et tout est réunit pour une bonne soirée avant de poursuivre la nuit

lyonnaise juste à côté.

Le Bar fumoirLa Cour des Loges

6 Rue du Bœuf - 69005 Lyon

04 72 77 44 44

Le bar et ses deux salons cosy au look rétro proposent une carte raffinée de Champagne,

Cognac, Rhum, single malt, Armagnac ou encore de cocktails originaux. Les plus gourmands se

voient servir en accompagnement des verrines salées ou sucrées. C’est également le rendez-

vous des amateurs de cigares qui trouveront une sélection de bagues conservées dans l’humidor

du bar et un fumoir aménagé.

The Monkey Club19 place Tolozan -69001 Lyon04 78 27 99 29

Situé dans le 1er arrondissement de la ville de Lyon, cet établissement doit son ouverture à une équipe de choc, constituée de Vivien Blusset et Arnaud Grosset, déjà à l’origine du Soda Bar, autre célèbre bar à cocktail Lyonnais. La décoration pourrait s’apparenter à un club british du 19e siècle. Imaginez un peu : fauteuils clubs et canapés en cuir, rideaux rouges, murs aux couleurs plutôt chaudes, lumières tamisées, tapis posés au sol et somptueux bar à l’entrée… Le bar dispose de plusieurs espaces comme le “Lobby Bar”, “l’Absinthe Room” ou encore le “Dining Room” ; le client n’a plus qu’à choisir la salle où il souhaite passer la soirée afin de déguster de savoureux cocktails.

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sortie du nouveauguide des sorties

février 2013

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loisirs restos

Le Grill-Château Sans-Souci260, allée des cyprès - 69760 Limonest04 37 59 80 62

Situé à Limonest, au cœur de la zone d’activité Techlid, le Château de Sans Souci a ouvert ses portes au tourisme d’affaires en juin 2010. Situé à dix minutes du centre de Lyon et au cœur d’un secteur dans lequel résident de nombreux chefs d’entreprise.

Coréen Barbecue10, rue Confort - 69002 Lyon04 78 42 41 88

La Corée, ses saveurs atypiques, ses recettes savamment pimentés, son art de vivre … Plus besoin de prendre l’avion pour vous éclipser le temps d’un instant dans ce pays remarquable. Kimbap, Bulgogi et autres spécialités coréennes n’auront bientôt plus de secret pour vous. Il vous suffit de vous rendre dans un de ces restaurants coréens au cœur de Lyon et de vous laisser surprendre.

La Tour Rose 22, rue du Bœuf69005 Lyon04 72 77 44 44

La Tour Rose offre aux voyageurs comme aux lyonnais la possibilité de choisir son ambiance pour se restaurer. Le Chef des Cuisines récemment auréolé d’une Toque au Gault et Millau 2011 propose une cuisine associant traditions culinaires et saveurs du monde au fil

des saisons. Un seul mot d’ordre : goût et audace ! Le restaurant, composé de trois salles aux styles atypiques est un subtil mélange entre ancien et contemporain.

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loisirs cocktails

Gin pample-mousse à la mûre

Ingrédients (pour 15 personnes) :

• 6 l de jus de pamplemousse rose (moins acide et mieux pour la couleur)

• 1 l de crème de mûre (donc un peu + d’une bouteille car genéralement elles font 70 cl)

• 1 l de gin

Préparation

Mettre toutes les bouteilles au frais et au dernier moment (si on n’a pas eu le temps avant), mélanger tous les ingrédients.L’acidité du pamplemousse est caché par la mûre et l’alcool ne se sent presque pas, mais attention il est quand même là même si on ne s’en apperçoit qu’au 3ème verre...

A partir du mois de mars Lyon news en collaborationavec Le Comptoir de la Bourse vous présentera tous les moisune sélection de cocktails qui feront vibrer vos papilles.Savourez un avant goût de ce nouveau rendez-vous...

Daiquiri infaillible

Ingrédients (pour 8 personnes) :

• 1 bouteilles de rhum blanc (75 cl)

• 25 cl de sucre de canne

• 4 citrons verts (non traités)

• 1 bouquet de menthe fraîche

• 1 bouteille de schweppes (2 litres)

Préparation

Prendre un saladier de type sangria et y verser la bouteille entière de rhum et la bouteille de schweppes, puis ajouter le sucre de canne liquide. La-ver les citrons, les couper en quartiers, puis les plonger dans la préparation.Rincer le bouquet de menthe fraîche et l’ajouter à la préparation.Mettre au frais et réserver quelques heures avant de servir.NB : Avant de servir, on peut rajouter du sucre de canne, si on ne veut pas sentir le goût de l’alcool.

Cocktail rose au whisky

Ingrédients (pour 6 personnes) :

• 400 g de framboises

• 6 brins de coriandre fraîche

• 5 cl de whisky

• 15 cl de crème fraîche

• 3 cuillères à soupe de pistaches non salées concassées

Préparation

Mixez les framboises avec la crème et 15 cl d’eau glacée. Répartissez le mélange obtenu dans des verres.Ajoutez un trait de whisky et parse-mez de pistaches concassées. Décorez d’une tige de coriandre et réservez au frais jusqu’au moment de servir.

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Sans titre-1 1 07/02/2013 17:31:14

loisirs tendances

Nouveau lieu tendanceUne petite faim, une pause café, un repas en famille, un rendez-vous professionnel ou encore une soirée entre amis… Le Café Chantecler est le lieu idéal.

Le Café Chantecler s’est refait une jeunesse grâce à sa nouvelle équipe et sa nouvelle décoration. Dans un style cosy et beaucoup plus colonial, l’institution lyonnaise offre un cadre à la fois convivial et de qualité.

Café de jour et café de soir, la carte propose une cuisine maison raffinée. Une carte express comprend des sandwiches, croque-monsieur, hamburgers… sans oublier les tapas allant du simple au double. Le Chantecler offre aussi une carte plus copieuse avec entrée, plat, dessert, le tout fabriqué maison. Pour vous donner l’eau à la bouche, une petite sélection des plats cuisinés, comme des profiteroles au Chèvre et son coulis de Tomates, un millefeuille de Saint-Jacques en Terrine, des Quenelles de volaille maison et un délice chocolat framboise…

Le Chantecler ne s’arrête pas à son statut de café. C’est aussi un pub à bière. Elles sont brassées maison pour une dégustation à la hauteur des attentes du client.

Fort de son histoire de 150 ans, le café a su s’imposer sur les hauteurs de la colline de la Croix Rousse. Ouvert 7 jour sur 7 de 7h à 1h, le Chantecler dévoile en été une terrasse entièrement rénovée de 300 places. Idéalement situé au cœur de “petit village de la Croix Rousse”, le café permet de vous détendre au soleil l’espace d’un ins-tant. Le Chantecler se veut jeune et dynamique, ainsi des concerts acoustiques accompagnent certaines soirées, pour découvrir une nouvelle ambiance.

Une référence en matière de gastronomie, le Chantecler propose une offre variée avec un point d’honneur sur la fabrication maison. Les spécialités lyonnaises sont aussi misent en avant.

Vous voulez un lieu tendance pour passer un bon moment, le chef Jean-Noël vous accueille tous les jours et les soirs dans son café.

157 bd de la Croix Rousse - 69004 Lyon - 04 78 28 13 69

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loisirs reportage

Showcase de Patrick Bruel au Comédie Odeon avec

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L’UMIH au SIRHA 2013Comme tous les deux ans depuis 30 ans l’UMIH Rhône a été présente au cœur du SIRHA 2013. Tous les présidents de branches : Restauration, Cafés brasseries, Hôtels et monde de la nuit ont marqué de leurs actions ce rendez-vous incontour-nable des nouvelles tendances de la restauration et de l’hôtellerie de demain (+12%  de visiteurs).

Point fort de ce “Grand Cru” l’apéritif organisé pour les adhérents de l’UMIH par les élus du monde de la nuit avec le passage de leur ministre de tutelle Sylvia Pinel, et du Président de région Jean Jacques Queyranne. Le salon s’est ponctué par une belle soirée de gala à l’abbaye Paul Bocuse en la présence de Gérard Colomb, Olivier Ginon et le président de la Chambre de commerce...

culture expos

Amoy/Xiamen• Musée d’Art Contemporain

Du 17 novembre au 17 mars 2013

Huang Yong Ping conçoit son exposition à partir d’une collection unique au monde de statuettes de la province chinoise de Fujian. Cette exposition iné-dite est à la fois autobiographique et auto-fictionnelle. Autobiographique car l’artiste est originaire du Fujian, il a donc toujours vu ces statuettes en “situation” avant de les découvrir en répliques “ethnogra-phiées” et colorisées. Auto-fictionnelle car c’est pour Huang Yong Ping l’illustration de la permissi-vité des champs culturels et de leurs significations flottantes. Amoy/Xiamen, c’est l’ancien et le nouveau nom d’une cité portuaire, associés et distingués par un simple slash : Xiamen était anciennement connue sous le nom d’Amoy, que lui avaient donné les premiers voyageurs européens. Amoy/Xiamen, c’est donc l’association d’hier et d’aujourd’hui.

Musée d’art contemporain - 81 quai Charles de Gaulle - 69006 Lyon - 04 72 69 17 17

Gustav Metzger • Musée d’Art Contemporain Du 14 février au 15 avril

Gustav Metzger est né d’une famille juive d’origine polonaise. Exilé en Angle-terre en 1939, il fut sauvé par miracle des camps de la mort, contrairement à sa famille. Il placera au cœur de son art “l’expérience limite” mise en œuvre et vécue en Europe au cours de la seconde Guerre Mondiale. Il représente la capacité de l’homme à s’auto-détruire.

Musée d’art contemporain - 81 quai Charles de Gaulle - 69006 Lyon - 04 72 69 17 17

Florianne Vuillamy • Troquet des SensJusqu’au 1 mars 2013

“Mon travail s’inspire du paysage urbain, par le biais de mes trajets quotidiens. Les images, matière de départ, sont issues de sources numériques. Reprendre ces images en peinture est pour moi une manière de fixer concrètement dans un état cet environnement urbain mouvant et instable. J’essaie de faire en sorte que la peinture, associée à mon processus de travail, fixe une vision de ce monde en perpétuel changement, et lui conserve, malgré tout, et malgré l’image, son instabilité.”

Troquet des Sens - 34 rue des Remparts d’Ainay - 69002 Lyon - 04 78 37 22 23

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culture théâtre

Le Sexe pour les Nuls • Le Rideau RougeDu 4 Février au 25 Mars 2013 - Tous les lundis à 19h45

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe sans jamais avoir osé le demander...Comment, pourquoi, où, avec qui, dans quelle position, à quelle heure, à quel âge, dans quel endroit... Avec humour et finesse, le professeur Yves Richard va tout vous apprendre sur le sexe! Et vous verrez que vous n’êtes pas si nul(le)…“Le sexe pour les nuls”, le seul spectacle qui vous promet un retour de libido opti-mum ! Avec un côté sérieux et drôle, Marion Gervais vous présente sa comédie jouée par Yves richard avec la mise en scène de Stéphane Casez.

Le Rideau Rouge - 1 place Bertone - 69004 Lyon

Les Loose Brothers • Le BouiBouiDu 5 Février au 30 Mars 2013 - Du mardi au samedi à 21h30Yann Guillarme et Aurélien Portehaut vous présentent leur pièce à la fois drôle et touchante.

Serge Loose (le grand) et André Loose (le gros) donnent un spectacle garni de sketchs et de fantaisies, à base d’humoristes, de mentalistes, de marionnettistes, et de plein d’autres mots très jolis qui se terminent en “istes”. Mais bon, comme ce sont les LOOSE BROTHERS, vous vous doutez bien qu’il y a forcément un moment où ça foire, ça rate, ça ne marche pas…En fait, LA chose qu’ils réussissent systématiquement : c’est nous faire rire ! Et même nous faire pleurer de rire !De toute façon, le Petit Bulletin de Lyon l’a dit : “Les Loose Brothers nous offrent une comédie hilarante et ambitieuse ”. Et ça, c’est bravo !!!Voilà, vous ne pourrez pas dire qu’on ne vous l’a pas dit.Ah, encore une chose… il y a un autre truc hyper impressionnant dans le spec-tacle… mais ça on ne vous dit pas ce que c’est, il faut venir le voir.

Le BouiBoui - 7 rue Mourguet - 69005 Lyon

Si je t’attrape je te mort• Comédie OdéonDu 5 Février au 21 Mars 2013 - Du mardi au samedi à 19h45(Relâches le 8/02, du 12 au 16/02, le 1er et le 02/03 et du 14 au 16/03)

Caroline et Franck forment un couple classique, donc en crise : à la limite de “l’implo-sion sentimentale”.Ils ont délimité leur appartement en deux et enchaînent les mesquineries réci-proques pour faire craquer l’autre !C’est au beau milieu de ce champ de bataille que débarque la mort, maladroite, sen-sible et que l’on n’osait imaginer aussi drôle !De l’action, du suspens, des quiproquos, et des répliques qui fauchent tout sur leur passage, après avoir sévi partout en France, La Mort débarque enfin à Lyon !Avec 1 000 représentations et 4 ans de rires pour un succès... Olivier Maille offre uen mise en scène mortelle de Ariane Echallier, Yann Guillarme et Pierre –Higo Proriol. .

Comédie Odéon - 6 rue Grolée - 69002 Lyon

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culture théatre

Le mariage nuit gravement à la santé • Le Rideau RougeDu 5 Février au 27 Avril 2013 - Du mardi au samedi à 21h30

Découvrez la comédie de Pierre Léandri et Elodi Wallace, avec Véronique Merilhou, Vanessa Defasque, Pierre Fontes et Grégory Courtey.

Business Woman et homme au foyer, chez Sophie et Romain, autant dire que c’est le monde à l’envers ! Chacun y trouve son compte, jusqu’au jour ou Micheline Du Puy Montbrun, bien décidée à marier son fils débarque à l’improviste afin de rencontrer la fameuse Sophie. Le hic, c’est qu’elle ne se doute pas que son viril de Rominou se prend pour une desperate housewife... Les mariages c’est comme les enterrements, c’est bien seulement quand on est pas dans la première voiture !

Le Rideau Rouge - 1 place Bertone - 69004 Lyon

Smile Lyon Comedy Club• Comédie OdéonLe mardi 26 Février 2013 à 21h30

L’humour a un nouveau rendez-vous incontournable : Le smile ! Sketchs, stand up, revue de presse, invités surprises sont au programme ! L’occasion de découvrir de nou-veaux humoristes avant tout le monde mais aussi de retrouver des talents confirmés dans des sketchs inédits.

Deux heures de show avec toutes les formes d’humour, des surprises et une équipe d’humoristes emmenée par Yann Guillarme.

Comédie Odéon - 6 rue Grolée - 69002 Lyon

Stand By• Le BouiBouiDu 5 Février au 2 Mars - Du mardi au samedi à 19h45

Un homme et une femme se réveillent dans une pièce vide, comme avec la gueule de bois. Ils ne se connaissent pas. Que font-ils là ? Ils ne le savent pas.

Il y a un blanc dans leur histoire. Ont-ils été enlevés ? Sont-ils les prochaines victimes d’un serialkiller diabolique ?

Soudain, une voix d’hôtesse d’aéroport se fait entendre : “Madame, Monsieur, bienve-nus. Vous êtes morts. Nous traitons actuellement votre dossier. Nous nous excusons pour le temps d’attente. Merci de votre compréhension.” Morts ?

Et ce n’est que le début du voyage...Ne manquez pas cette mise en scène intrigante de Reda Cheraitia, jouée par Gaëlle Le Roy et Reda Cheraitia.

Le BouiBoui - 7 rue Mourguet - 69005 Lyon

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6 rue Grolée - Lyon 2e - (Métro A : Arrêt Cordelier - Parking Grolée / Bourse / - Cordelier / République)

Infos et résa. : 04 20 10 04 23 - www.comedieodeon.com

LE PLUS BEAU CAFÉ THÉÂTRE DE FRANCE

DEDO «Prince des ténèbres»"Après un passage remarqué dans la troupe du JamelComedy Club, et son rôle récurrent dans la série à succèsBref., DEDO vient dévaster la Comédie Odéon avec sonspectacle "Prince des Ténèbres" !Le 11 et le 12 Février à 21h30

21h30

ON NE CONNAIT PAS (ENCORE)LA CHANSON4 comédiens chanteurs, 3 musiciens pour un concertexceptionnel… Un spectacle d’improvisation et uneperformance exceptionnelle pour un show mêlanthumour et chansons ! Le 13 Février 2013 à 21h30

21h30

PLUS SI AFFINITELa comédie culte de Matilda May et Pascal Legitimus !Un florilège de tableaux totalement déjantés sur le thèmede la rencontre entre un Homme et une Femme etses combinaisons à l'infini... Du 02 Février au 1er Juin 2013. Tous les samedis à 18h00

18h00

LAMINE LEZGHAD - «Impeccable !»Doué d'une puissance de jeu et d'un sens inné de larupture, il plonge en scène avec l'aisance du squale à l'affûtdu spectateur hilare... Une des plus belles découvertes deLaurent Ruquier dans «On n'demande qu'à en rire».Du 12 au 16 Février à 19h45

19h45

CLAUDIA TAGBO «Crazy» Un sprint d'une heure fait d'humour, de danse etde chant durant lequel Claudia déploie une énergieinégalée. Un vrai show à l'américaine ! Le 14, 15 et 16 février 2013 à 21h30

21h30

CABARET IN LYON"Cabaret in Lyon" vous fera rêver à travers ses cos-tumes, ses humoristes et bien-sûr l’élégance de sesdanseuses. Un tourbillon de couleurs et d'émotionspour les amateurs de revue cabaret !Du 07 Janv. au 1er Avril 2013. Un lundi sur deux à 19h45(07/01 - 21/01 -04/02 - 18/02 - 04/0318/03 - 01/04 - 15/04)

19h45

CONSTANCE «Les mères de famillese cachent pour mourir»En permanence sur le fil du rasoir, Constance ne basculejamais. Son écriture aiguisée et son jeu réaliste sont auservice de son regard insolent sur le monde.Et l’insolence ça fait du bien !Les 19, 20 et 21 février 2013 à 21h30

21h30

LES DIMANCHES LYRIQUESDE LA COMÉDIE ODÉONDécouvrez ou redécouvrez les plus grands airesd'Opéra interprétés par la diva Caroline Dievouchka.Un dimanche par mois :13/01 - 24/02 - 10/03 - 21/04 - 05/05 - 23/06

17h00

SMAÏN «Mon dernier... Avant le prochain» Smaïn nous transporte pendant près de deux heuresdans son drôle de quotidien : deux heures de pur bonheuravec le roi du One Man Show ! Un vrai régal… Du 28 Février au 02 Mars 2013 à 21h30

18h00

SMILE COMÉDY CLUBSketchs, stand up, revue de presse, invités surprisessont au programme ! L'occasion de découvrir denouveaux humoristes et de retrouver des talentsconfirmés dans des sketchs inédits.Mardi 26 Février à 21h30

21h30

PROGRAMMATION COMÉDIE ODÉON FEVRIER 2013

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culture internet

Sites internet à ne pas manquer !

Votre marque de fabrique Pour les professionnels, les étudiants… Les cartes de visites sont un outil de communication presque indispensable. Lors d’un rendez-vous professionnel, d’un entretien d‘em-bauche, donner sa carte de visite permet de s’affi rmer de par sa signature et sa personnalité. Le site Moo, dont l’arbo-rescence est agréable, vous aide à créer vos cartes de visites tout en simplicité et dans l’originalité.

Retrouver ses classiques La publicité, impossible d’y échapper dans notre société de consom-mation. Des plus sérieuses au plus décalées, certaines nous ont fait rire et d’autres nous ont ému. Envie de voir ou de revoir des spots publi-citaires ? Le site culturepub.fr reste un indémodable. Remis au goût du jour, il propose toutes sortes de pub, des plus anciennes au plus récentes, et ce du monde entier.

Tout savoir avant tout le monde Avide de curiosité et de nouveauté, le site Darkplan-neur offre les dernières nouveautés dans les domaines de la communication, du luxe, du digital, de l’entertain-ment, de l’art… Des planneurs stratégique scrutent les dernières tendances afi n de les dévoiler en avant-pre-mière sur le site. “Créateur de curiosité” est la signature très explicite du site Darkplanneur.

Objets insolitesVous ne débordez jamais d’imagination en matière de cadeaux, et vous n’êtes pas du tout créatif ? Le site Fancy est fait pour vous ! Des objets incroyables, insolites, voire impensables sont disponibles sur ce site. Il y en a pour tous les goûts et toutes les envies. Pour homme, pour femme, maison, art, média, nour-riture, gadget… Par curiosité ou pour le plaisir d’offrir de l’ori-ginalité, pensez à Fancy.

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culture hi-tech

De la technologie, encore de la technologieLa science fiction arrive tout droit de Taiwan avec le nouveau smartphone transparent : Polytron.

Sites internet à ne pas manquer !

Innovation…Serena CHEN, responsable de Po-lytron à Taoyuan City a présenté en ce début d’année 2013 la der-nière technologie en matière de téléphone. L’écran, la batterie et les circuits sont transparents. Contrairement aux idées reçues et aux imaginations, le futur des smartphones ne sera pas porté sur des matériaux flexibles et pliables, mais bien transparents.

Cette innovation devrait susci-ter nombre d’attraction dans le domaine du design, des travaux sur les matériaux industriels et des codes de la beauté pour les nouvelles technologies.

Des progrès à faire…La technologie avancée n’est pas sans inconvénients. La partie tactile n’est qu’une petite sur-face sur le produit, ce qui peut entrainer des gênes dans l’utilisa-tion du téléphone. De plus, trois éléments ne peuvent être trans-parents, les processeurs, la carte SIM et la carte mémoire. Tout du moins pour l’instant… Pour être au point ce prototype nécessite donc quelques améliorations, qui devraient être réalisées d’ici fin 2013.

encore plus loin…Polytron révolutionne le monde de la technologie. Les designers des centres de recherches et développements vont s’attarder à trouver de nouveaux formats et arborescences pour les smart-phones.

Des concepts de plus en plus évolués autour de ce principe vont voir le jour, toujours plus innovants et avant-gardistes.

Design, technologique et futu-riste, Polytron devrait être com-mercialisé fin 2013. =Alexia Lopez

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culture cinéma

Gangster Squad / sortie le 6 février 2013

Réalisé par Ruben FleischerAvec : Ryan Gosling, Josh Brolin, Sean Penn, Emma Stone, Anthony MackieGenre : action, thriller, drame

En 1949, Mickey Cohen est un impitoyable parrain de la mafia. Il dirige la ville de Los Angeles et récolte l’argent sale de la drogue, des armes, des prostituées et des paris à l’ouest de Chicago, à la condition qu’il arrive à ses fins. Protégé par ses hommes de mains, mais aussi par la police et les hommes politiques sous sa coupe, il intimide les plus redoutables policiers. Sauf les membres de la brigade officieuse de la LAPD, dirigée par John O’Mara et Jerry Wooters, prêts à tout pour arrêter le redoutable mafieux.

Gambit, arnaque à l’anglaise / sortie le 6 février 2013

Réalisé par Michael HoffmanAvec : Colin Firth, Cameron Diaz, Alan Rickman, Stanley TucciGenre : comédie

Harry Deane n’a qu’une idée en tête, voler l’un des plus riches hommes d‘Angleterre, Lionel Shabandar. Pour cela il monte une arnaque minutieusement pensée. Il espère lui vendre un faux Monet. Pour cette mise en scène il a besoins d’une ravissante et excentrique jeune femme, qui aura pour rôle de faire croire que son grand-père a dérobé le tableau à la fin de la seconde Guerre mondiale.

Flight / sortie le 13 février 2013

Réalisé par Robert ZemeckisAvec :Denzel Washington, John Goodman, Don Cheadle, Kelly ReillyGenre : drame

Whip Whitaker est un pilote de ligne qui fait atterrir miraculeusement un avion en catastrophe ayant subit un accident en vole. L’enquête révèle de lourdes interrogations. Après être salué comme un héro, Whip va voir sa vie entière être exposée en pleine lumière.

Die hard : belle journée pour mourir / sortie le 20 février 2013

Réalisé par John MooreAvec : Bruce Willis, Jai Courtney, Sebastien Koch, Radivoje BukvivGenre : action, thriller

John McClane est un flic sans état d’âme. Il va à Moscou pour aider son fils qu’il ne voit plus, mais ils se re-trouvent au mauvais endroit au mauvais moment. Entre la mafia russe qui veut leur peau et leur combat pour éviter le déclanchement d’une guerre, père et fils se sentent comme des héros à qui il ne peut rien arriver.

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LYONN e W S

&

cultureculture livres

Tout s’est bien passé Emmanuèle Bernheim

Gallimard

Fin 2008, le père d’Emmanuèle Bernheim est hospitalisé à 88 ans suite à un accident vascu-laire cérébral. A son réveil il est diminué et dépendant, ce qui est en total contradiction avec son goût passionné pour la vie et sa curiosité. Il demande à sa fille de l’aider à mourir. Com-ment accepter ? Qu’est ce que cela veut dire ? “Papa m’a demandé de l’aider à en finir.” Je me répète cette phrase, elle sonne bizarrement. Qu’est-ce qui ne colle pas ? “Papa” et “en finir” ?Avec Tout s’est bien passé, Emmanuèle Bernheim livre le récit haletant et bouleversant de cette impensable aventure, de cette course d’obstacles dramatique et parfois cocasse. Dix ans après son dernier roman, Emmanuèle Bernheim revient avec ce récit écrit pour la première fois à la première personne du singulier.

DélivranceJussi Alder-Olsen

Albin Michel

Il a glacé le sang de milliers de lecteurs et s’est imposé en deux romans comme un maître du polar nordique : couronné par les plus grands Prix scandinaves, le Danois Jussi Adler-Olsen secoue à nouveau le paysage du thril-ler… La chasse haletante et presque désespérée lancée par le cynique inspecteur Carl Mørck et son fidèle assis-tant Assad derrière un tueur que rien ne semble pouvoir arrêter ne le dispense pas de jeter au passage un regard acerbe et troublant sur la société danoise. Au fin fond de l’Ecosse, une bouteille ancienne en verre poli est longtemps restée sur le re-bord d’une fenêtre. Personne ne l’avait remarqué, pas plus que le message qu’elle conte-nait. Un message qui com-mence par le mot Hjœlp, “au secours”, en danois, écrits en lettres de sang… Envoyée par la police anglaise à Copen-hague, la mystérieuse missive atterrit entre les mains de Mørck et de son équipe. Son déchiffrage révèle qu’elle provient de deux garçons qui auraient été kidnappés dix ans plus tôt. Chose étrange : leur disparition n’a jamais été signalée…

Le sermon sur la chute de RomeJérôme Ferrari

Actes Sud

Dans un village corse perché loin de la côte, le bar local est en train de connaître une mu-tation profonde sous l’impul-sion de ses nouveaux gérants. À la surprise générale, ces deux enfants du pays ont tour-né le dos à de prometteuses études de philosophie sur le continent pour transformer un modeste débit de boissons en “meilleur des mondes pos-sibles”. Mais c’est bientôt l’en-fer en personne qui s’invite au comptoir, réactivant des bles-sures très anciennes. Jérôme Ferrari jette, au fil d’une écri-ture somptueuse d’exigence, une lumière impitoyable sur la malédiction qui condamne les hommes à voir s’effondrer les mondes qu’ils édifient.Ce livre reprenant le sermon de saint Augustin à Hippone, à remporté le prix Goncourt 2012.

Il était une fois en France – La Terre Promise (tom 6)Fabien Nury et Sylvain Vallée

Glénat

“Jamais à l’abri…” Juillet 1949. Joseph Joanovici comparaît devant la Cour de Justice de Paris pour collaboration. Son avocat est optimiste : les jurés lui pardonneront d’avoir fait fortune sur le dos des nazis, quand ils verront le nombre de Juifs qu’il a sauvé ! Mon-sieur Joseph lui aussi veut encore croire qu’il pourra se faire oublier, peut-être même trouver refuge en Terre Pro-mise... C’est sans compter sur la haine tenace du juge Legentil, qui suivrait son en-nemi intime jusqu’en enfer si cela lui permettait de faire triompher la justice. Immense succès public et critique, ré-compensée par le Prix de la Série à Angoulême, la saga de Fabien Nury et Sylvain Vallée se clôture superbement par ce 6e album. Les dernières années d’un personnage am-bigu et magnifique, dont les paradoxes incroyables, mis en exergue avec virtuosité par les deux auteurs, perturbent les notions de bien et de mal...

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Cali • Le Radiant13 février 2013

La légendaire énergie scénique de Cali va encore faire des ravages lors de sa tournée. Au rythme de chanson rock cruelle non sans humour, le chanteur nous livre des musiques simples et accrocheuses. Artiste engagé, il revendique ses positions concernant les problèmes de société, et n’hésite pas à les dévoi-ler publiquement.

culture concerts & spectacles

C2C • La Halle Tony Garnier 26 février 2013

L’histoire commence en 1998, lorsque quatre hommes s’associent pour for-mer un groupe de DJ. 20Syl, Greem d’Hocus Pocus, d’Atom et Pfel de Beat Torrent sont maintenant inséparables. Aujourd’hui le quatuor originaire de Nantes connaît un succès qui ne cesse de se révéler. Leur live aux projections fantaisistes, touchantes et décalées promet des émotions fortes.

Spectacle Traverse • L’Aqueduc15 février 2013

Thomas Guerry et Camille Rocailleux créent un spectacle où s’amalgament danses, mimes, percussions et dialogues. Entre virtuosité, poésie, énergie et humour, se livre une joyeuse alchimie de notre quotidien. Le spectacle plonge le spectateur dans l’univers d’un homme, très occupé par une série de gestes que lui impose son quotidien et qui se répètent de jour en jour. Parfois il se prends à songer et s’évade dans son jardin secret. C’est alors que ses rêves vont l’entrainer dans des situations de plus en plus fantasques.

Julian Perretta • Transbordeur13 février 2013

1,95 mètres, jeune, beau, anglais au cheveux bouclés et tatoué, Julian Perretta a su séduire la France. Le chanteur, mais aussi compositeur et interprète lon-donien dévoile son univers imprégné des musiques années 70, mélangé avec des sons pop-soul des années 2000 lors de sa prestation scénique.

Bénabar • Bourse de Travail22 février 2013

Bénabar, personnage humoristique tout en dérision. Il exprime ses petits tra-cas du trentenaire lors de sa tournée, sur un ton léger et décalé. Ses thèmes récurrents sont les copains, les fi lles, l’amour et la mort. C’est tout en simpli-cité que le chanteur populaire à su se créer un univers, touchant et plaisant.

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loisirs horoscope février

Édité par la Société SUCH A STAR

1110 Route du Puy d’Or - 69760 LimonestTél : 04 89 04 47 41RCS : 523 99 088 Responsable de la publication Dominique LAFOY / direction@suchastar.comRédactrice en chef Oriana MARC

Commerciaux Alexandre d’AubAREDE 06 23 31 67 32 / commercial@suchastar.comNathalie HENROTTE-bOIS 06 28 04 49 24 / commerciale@suchastar.comÉquipe rédactionnelle Michael AuguSTIN, Oriana MARC, Arthur LAFOYOnt collaboré à ce numéro Laureline COquARD,

Alexia LOPEZ, Chrystèle DEvIERNE, Fabiola bARANI-RuSSELLO, Oscar METgEPhotographes Alain RICO, Michael AuguSTINPhoto couverture © Ivan Dos SantosGraphiste Marina gLAvANOvIC

Impression brailly, 62 route Millénaire Parc Inopolis - 69230 Saint genis Laval

BELIERC’est votre XIe maison solaire (projets, appuis) qui rayonne sous les sunlights célestes au mois de février. Vos projets sont à l’honneur, soyez entreprenant, à la hauteur des perspectives astrales qui vous promettent de bonnes affaires, libre à vous de flairer le bon filon. Même si vous devez vous motiver pour le faire, car vous n’êtes pas vraiment au top de l’efficacité. Votre vie senti-mentale vous occupe davantage l’esprit que vos dossiers, recentrez-vous tout de même.

TAUREAUVénus, la planète de l’amour stationnant en Verseau presque tout le mois, vous ne serez guère concerné par les choses de l’amour. Mais vous en pren-drez bien vite votre parti parce que vos projets seront en ligne de mire céleste. Ceci compense cela en somme. Du 5 au 28 février, Mercure, la planète de la communication vous apporte des soutiens, des alliés importants sur le plan professionnel alors profitez-en pleinement avant le 23 février date de sa rétrogradation.

GEMEAUXUn bon point pour Vénus, la planète de l’amour qui vous invite au voyage des sens du 2 au 25 février. Vous rayonnez parce que vos amours sont au beau fixe, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. On vous aime, vous aimez, le reste n’a pas beaucoup d’importance. Soyez le plus vigilant, ne donnez pas votre confiance à l’aveuglette, on pourrait vous berner. Restez sur vos gardes.

CAnCERLancez des perches, cherchez des filons à l’étranger, exploitez votre carnet d’adresses, soyez un brin plus opportuniste au mois de février. Focalisez toute votre énergie dans le travail car vos amours ne seront pas vraiment en première ligne céleste. Vous privilégierez avant tout votre progression profes-sionnelle et vous aurez bien raison !

LIOnUne kyrielle de planètes stationne dans votre VIIe maison solaire (couple, association). Le Soleil du 1er au 17 février et Mercure du 1er au 4 févier, et surtout du 2 au 25 février, Vénus, la planète de l’amour. Votre couple ou votre associé seront au centre de vos préoccupations. Vous ne serez pas au four et au moulin au mois de février, vous ne le pourrez pas. De plus, vous devrez régler des problèmes financiers qui vous demanderont du tact et de la diligence, méfiez vous de tout ce qui brille.

VIERGEAu mois de février, allez à l’essentiel, ne vous perdez pas dans les détails, éla-guez ce qui doit l’être, repensez votre planning, analysez votre organisation point par point. Du 5 au 28 février, Mercure, la planète de la communica-tion et des échanges vous rend plus relationnel, plus ouvert aux idées des autres. C’est le moment de ressouder votre équipe de travail. Posez-vous de temps en temps car vous aurez tendance à vous mettre la pression et être vraiment débordé…

BALAnCEUne farandole de planètes se donne la main dans votre Ve maison solaire (amour, créativité). Il est question d’amour, d’amour et encore d’amour mais aussi de créativité. Vous conjuguez le verbe aimer à tous les temps et ce pour votre plus grand plaisir et celui de votre conjoint. Mais de belles opportuni-tés viendront vous réveiller de votre léthargie…

SCORPIOnHaro sur la famille et sur ce qu’elle représente pour vous, la conjoncture astrale indique que vous pourriez rencontrer des difficultés liées à votre fa-mille, des souvenirs douloureux risquent de vous perturber. Tout dépendra de votre ciel de naissance mais il risque d’y avoir des résurgences du passé, rassurez-vous, vous serez aidé par Mars, la planète de l’action pour venir à bout de ces soucis, mais vous devrez le faire tranquillement sans haine ni récrimination.

SAGITTAIREDu 2 au 25 février, Vénus, la planète de l’amour vous parle de rencontres, de contacts, et de flirt. Vous traversez une zone de turbulences avec des contre-temps qui vous demandent de garder votre calme et de réagir posément. Eclaircissez toute zone d’ombre et fuyez à toutes jambes les situations nébu-leuses, et les beaux parleurs qui vous promettent la Lune. Gardez les pieds sur Terre…

CAPRICORnE

Vous aurez des décisions financières à prendre, des choses à régler qui vous demanderont du doigté et de l’habilité. Vous ne manquerez pas de motiva-tion durant tout le mois. Mars, la planète de l’action facilitera les échanges, vous rendant entreprenant et convaincant. Vous saurez adapter votre com-portement à votre interlocuteur ce qui sera un atout de taille durant les négociations.

VERSEAU Une ribambelle de planètes stationne dans votre signe pour célébrer votre an-niversaire. Du 1 au 18 février, le Soleil rayonne de votre côté, et du 1er au 13, c’est au tour de Mercure, la planète de la communication de l’accompagner. Il y a des opportunités dans l’air à ne pas rater, des occasions qui ne se représen-teront pas deux fois. Alors faite feu de tout bois, acceptez ce qui se présente et ensuite vous aviserez. Mais ne ratez pas le coche céleste, vous le regretteriez…

POISSOnDurant tout le mois, Mars, la planète de l’action et de la vitalité stationne dans votre signe, voilà de quoi vous booster mais également vous mettre la pression. Vous devrez prêter plus d’attention à vos actes, une bourde ou une maladresse pourrait vous être reprochée. Vous aurez l’impression de nager dans un certain flou artistique. Ne vous laissez pas influencer en prenant pour argent comptant tout ce que l’on vous dit, restez sur vos gardes. C’est surtout le premier décan qui est concerné par cet imbroglio planétaire. Avous de trier le bon grain de l’ivraie !

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