love (et ses petits désastres) · 2007. 9. 20. · LONDRES «J’ai habité Londres ces dix...

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COLLECTION EUROPACORP love (et ses petits désastres) 50 1 Yamakasi, les samouraïs des temps modernes 2 15 Août 3 Antitrust 4 Péché Originel 5 le Baiser Mortel du Dragon 6 Divine mais Dangereuse 7 Wasabi 8 Blanche 9 Peau d’Ange 10 le Transporteur 11 la Turbulence des fluides 12 Rire et Châtiment 13 Moi César, 10 ans 1 / 2, 1m39 14 Fanfan la Tulipe 15 Tristan 16 les Côtelettes 17 Zéro Un 18 Haute Tension 19 la Couleur du Mensonge 20 la Felicita, le Bonheur ne coûte rien 21 Michel Vaillant 22 l’Enfant au Violon 23 A Ton Image 24 les Rivières Pourpres 2, les anges de l’apocalypse 25 Ong Bak 26 Mensonges et Trahisons et plus si affinités… 27 Banlieue 13 28 A Corps Perdus 29 les Bouchers Verts 30 Danny The Dog 31 Ze Film 32 LE SOUFFLEUR 33 LEs yeux clairs 34 imposture 35 au suivant ! 36 le transporteur 2 37 revolver 38 la boite noire 39 trois enterrements, los tres entierros de melquiades estrada 40 appelez-moi kubrick 41 angel-a 42 BANDIDAS 43 les filles du botaniste 44 dikkenek 45 QUAND J’ÉTAIS CHANTEUR 46 ne le dis à personne 47 arthur 48 michou d’auber 49 Zéro DEUX 50 love (et ses petits désastres) DÉJÀ PARUS :

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1 Yamakasi, les samouraïs des temps modernes2 15 Août3 Antitrust4 Péché Originel5 le Baiser Mortel du Dragon6 Divine mais Dangereuse7 Wasabi8 Blanche9 Peau d’Ange10 le Transporteur11 la Turbulence des fluides12 Rire et Châtiment13 Moi César, 10 ans 1/2, 1m3914 Fanfan la Tulipe15 Tristan16 les Côtelettes17 Zéro Un18 Haute Tension19 la Couleur du Mensonge20 la Felicita, le Bonheur ne coûte rien21 Michel Vaillant22 l’Enfant au Violon23 A Ton Image24 les Rivières Pourpres 2, les anges de l’apocalypse25 Ong Bak

26 Mensonges et Trahisons et plus si affinités…27 Banlieue 1328 A Corps Perdus29 les Bouchers Verts30 Danny The Dog31 Ze Film32 LE SOUFFLEUR33 LEs yeux clairs34 imposture35 au suivant !36 le transporteur 237 revolver38 la boite noire39 trois enterrements, los tres entierros de melquiades estrada

40 appelez-moi kubrick41 angel-a42 BANDIDAS43 les filles du botaniste44 dikkenek45 QUAND J’ÉTAIS CHANTEUR46 ne le dis à personne47 arthur48 michou d’auber49 Zéro DEUX50 love (et ses petits désastres)

DÉJÀ PARUS :

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EuropaCorp présente

Brittany Murphy

Un film d’Alek Keshishian

Durée : 1H30

SORTIE NATIONALE LE 25 AVRIL 2007

www.loveetsespetitsdesastres-lefilm.com

Matériel disponible sur www.image.net

1

DISTRIBUTIONEuropaCorp Distribution137, rue du Fbg Saint-Honoré75008 ParisTél. : 01 53 83 03 03 Fax : 01 53 83 02 04www.europacorp.com

PRESSEBCG

Myriam Bruguière - Olivier Guigues -Thomas Percy

23, rue Malar – 75007 ParisTél : 01 45 51 13 00 Fax : 01 45 51 18 19

[email protected]

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mily Jackson – « Jacks » – est

la reine des entremetteuses

pour ses amis de toujours : Peter,

son colocataire gay, et Tallulah,

croqueuse d’hommes névrosée.

A force de caser les autres, Jacks

saura-t-elle reconnaître son grand

amour le jour où il frappera à sa

porte ?

2 3

S ynopsis

E

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Qu’est-ce qui vous a attiré dans la comédie romantique ? Alors que c’est un genre qui suscite globalement uncertain mépris, je le trouve fondamental en tant quesource, ou tout du moins reflet de la façon dont onenvisage l’amour. Même si nous savons que ces filmsne sont pas réalistes, ils entretiennent une sorte d’idéal– une idée, fausse, que l’amour est quelque chose quinous arrive plutôt que quelque chose que nous devonschoisir.

Quel était le principal défi lié au genre ? Je voulais réaliser un film qui fonctionne à la fois en tantque pur film de genre, qui soit un vrai divertissement,mais qui se caractérise aussi par une sensibilité post-moderne en jouant de ses propres clichés. Tout le défiétait évidemment de trouver un juste équilibre entre cesdeux objectifs, parfois contradictoires. J’ai l’espoir quel’on puisse regarder Love (et ses petits désastres)comme une comédie romantique tout en appréciantson artifice et ses limites.

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Alek Keshishian

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D’où le choix de personnagesmoins classiques ? L’objectif concernant les personnagesétait effectivement de les rendre les plusoriginaux possibles. De nos jours, on al’impression que les comédies romanti-ques hollywoodiennes s’efforcent de bâtirdes personnages fades. Comme si lesstudios pensaient que la meilleure façonde les rendre les plus universels possibleconsistait à les débarrasser de la moindreexcentricité, de les rendre « typiques ». Jesuis convaincu du contraire : le public abien plus de chances de s’identifier à despersonnages uniques et mémorables.

Avez-vous le sentiment que les gens, d’un point de vue amoureux, ont tendanceà vivre plus dans le rêve et le fantasmeque dans la réalité ? Je ne peux pas m’exprimer pour tous, mais je sais quemon gros problème est que j’ai parfois tendance àmélanger les deux… Le souci, quand on vit dans lefantasme, c’est qu’évidemment, cela empêche d’êtreen prise avec la réalité et donc d’intervenir sur elle. Enmême temps, rester coincé dans la réalité peut aussiavoir ses limites. J’imagine que le but ultime est deréussir à combiner les deux : être capable de rêverdans les grandes largeurs et en même temps de vivreà fond dans la réalité.

Comment s’est fait le choix du casting ? J’ai commencé par choisir Jacks. Une foisque je l’avais trouvée, le reste du castings’est assemblé comme les pièces d’un puzzle.Chacun des comédiens devait non seule-ment incarner son personnage mais il fallaitaussi que tous fonctionnent les uns avec lesautres. Finalement, j’espérais réunir un castingqui soit crédible pour faire exister ce grouped’amis.

Il est assez original de conclure votre histoire par un film dans le film, avecOrlando Bloom et Gwyneth Paltrow dansles rôles des personnages principaux…La fin du film a été le moment le plus compliqué pourmoi car je voulais trouver le juste équilibre entre deuxenvies : réaliser une comédie romantique satisfaisantetout en me moquant des fins typiques du genre, tou-jours très joyeuses et nettes. La fin que nous avonschoisie permet au spectateur, du moins je l’espère,d’avoir ce qu’il attendait et en même temps de rire dela superficialité de cette attente. Bien sûr, on pourraitme dire « pourquoi ne pas avoir tout simplementrenoncé au happy end ? ». Mais je crois qu’on seraitpassé à côté en choisissant cette option. Ce qui m’in-téressait, c’était d’admettre, de façon un peu coupa-ble, le plaisir pris à ces histoires et à leur happy end,tout en sachant qu’il ne s’agit que de fictions…

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LONDRES

« J’ai habité Londres ces dix dernières années etc’est de mon expérience dans cette ville que sontnés l’histoire et les personnages de Love (et sespetits désastres). A l’époque où j’ai commencé àpenser au scénario du film, je vivais à Notting Hill.Mais une fois que le film de Richard Curtis estsorti (Coup de foudre à Notting Hill) je n’avais plustrès envie de tourner dans ce quartier. Il fallait queje trouve où était susceptible de vivre une jeunecélibataire de 28, 29 ans travaillant pour Vogue. Ily a huit ou neuf ans, cela aurait pu être NottingHill mais le quartier est aujourd’hui plutôt habitépar des couples mariés avec des enfants. Ducoup, on s’est rapproché d’East London, versSpitalfields Market, un coin très intéressant de laville. Il n’était pas question d’aller dans le pur EstLondon, le quartier des films de gangsters, nidans le West London, le territoire de RichardCurtis : je voulais quelque chose de différent. »

IN BED WITH MADONNA(TRUTH OR DARE)

Diplômé de l’université de Harvard, Alek Keshishianvoit très vite son nom associé à celui de Madonna, àqui il consacre un documentaire en pleine période pro-voc’. In Bed with Madonna, réalisé pendant la fameusetournée Blond Ambition, est présenté à Cannes en1991, hors compétition, contribuant à dévoiler uneimage plus intime de la star. Une expérience fondatricepour le réalisateur, dont il ressent encore l’influencedans son travail de fiction : « Ce documentaire m’aappris le pouvoir qu’a la caméra de capter la réalitéplutôt que de l’imposer. En terme de style, je pensetoujours appartenir à cette école. C’est peut-êtremoins sexy, mais en réalité, c’est beaucoup plus com-pliqué dans la mesure où cela repose entièrement surla qualité de la performance. »

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Le petit monde d’Alek Keshishian

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LA MUSIQUE

Egalement réalisateur de clips, Alek Keshishian atoujours entretenu un rapport privilégié avec lamusique. Ses directives concernant la partitionde Love (et ses petits désastres) étaient on nepeut plus cinéphiles : « Je voulais rendre hom-mage à Nino Rota et en particulier à la musiquequ’il a composée pour Huit et demi. AlexandreAzaria, notre compositeur, a fait un boulot remar-quable en écrivant une partition complètementoriginale mais qui dégage en même temps un vraiparfum de “vintage”. Même sans reconnaître laréférence exacte, la musique ramène le specta-teur vers les années 60, au même titre que lestyle des costumes et du maquillage. »

SEX AND THE CITY

Un petit parfum de Sex and the City flotte surle film d’Alek Keshishian, qui ne revendiquepas vraiment l’influence : « Je n’y ai pas dutout pensé. Cela dit, je peux comprendre quecertains trouvent une certaine familiarité entrela série et mon film, mais je crois que cela tientplus à la franchise et la modernité du ton etdes dialogues qu’à quoi ce soit de vraimentprécis. Cela est dû en partie au fait que la télé-vision s’est récemment montrée plus moderneet plus intelligente que les comédies romanti-ques hollywoodiennes. »

BREAKFAST AT TIFFANY’S

Référence-clé de Love (et ses petits désastres), «cefilm est devenu un grand classique de la comédieromantique avec la performance culte d’AudreyHepburn. Mais le roman original de Truman Capote seconcentrait sur l’amitié qu’entretient un homosexuelavec Holly Golightly. Bien sûr, la première chose que lestudio a faite a été de supprimer ce personnage homo-sexuel, ce qui va à l’encontre de l’histoire telle queCapote l’avait imaginée. C’est d’ailleurs la raison pourlaquelle il était si furieux, il s’est senti trahi par cetteadaptation. Je pensais qu’il serait intéressant pourPeter de révéler cette trahison des intentions deCapote. Car à la fin du film, c’est très exactement ceque le studio inflige à son propre film.»

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JACKS

« Jacks correspond vraiment à l’imageque je me fais d’une héroïne de comédieromantique, trop belle pour être vraie,jolie, intelligente et bien sûr, complètementaveugle quant à ses propres défauts. Elleincarne le personnage-clé de la comédieromantique classique, basée sur le qui-proquo. »

PETER

«Peter, au contraire de Jacks, n’est pas unpersonnage typique de la comédie roman-tique. Cette fois, le colocataire gay n’estpas simplement le meilleur ami utilisé pourle versant comique de l’histoire, il déve-loppe sa propre intrigue dans le film. J’aiutilisé Peter comme l’ancre à laquelle rac-crocher l’élément autocritique du film. Sonhistoire est moins glamour, mais elle meparaît plus réaliste. »

PAOLO

« J’ai fait de Paolo un Argentin pour faire avan-cer l’intrigue, dans le sens où un Argentin,contrairement à un Espagnol par exemple,n’aurait pas le droit de travailler en Angleterre,ce qui me permettait d’introduire l’argument dumariage blanc. Cela contribue aussi à renforcerle quiproquo central, lié à la fois à la langue et àla culture de Paolo. Enfin, j’avais le sentimentqu’en en faisant un Argentin, je renforçais la dis-tance du personnage avec le monde de lamode dans lequel Jacks évolue. Paolo incarneun point de vue plus naturel, plus authentiqueaussi, libéré de toute affectation. »

LE MONDE DE LA MODE

Love (et ses petits désastres), situé dans le milieu dela mode, égratigne la superficialité de cet univers. Lemonde de l’Art contemporain se voit lui aussi traitéavec une certaine ironie. « J’éprouve des sentimentsmitigés vis-à-vis de ces deux univers. D’un côté, laplupart de mes amis travaillent dans l’un de cesmilieux, et leur œuvre est bien moins glamour que ceque la plupart des gens imaginent. D’un autre côté, etde façon plus profonde, je trouve ces deux milieuxlégèrement ridicules. Et je crois franchement que laplupart des gens que je respecte, même s’ils travaillentdans la mode ou l’art, sont conscients de l’absurditéinhérente à ces univers. »

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2002 : 8 MILE

Succès commercial et critiquepour Brittany Murphy, qui voit sa performance aux côtésd’Eminem saluée par la presse :« Authentique » (The WashingtonPost), « Brittany Murphy, c’est dela dynamite ! » (Rolling Stone).

2005 : SIN CITY

Déjà culte, cette adaptation de laBD de Frank Miller par RobertRodriguez vaut à Brittany Murphysa première montée des marches àCannes, où le film est présenté ensélection officielle.

2006 : HAPPY FEET

Chanteuse du groupe BlessedSoul au début des années 90,Britanny Murphy n’a rien perdu deson talent, qu’elle met à profitdans le film d’animation HappyFeet : c’est elle qui prête sa voixau manchot Gloria.

2006 : FASTER KILL PUSSYCAT

Paul Oakenfold, spécialiste des remixes cultes,fait chanter Brittany Murphy sur son singleFaster Kill Pussycat, n°1 des charts améri-cains. Avant de produire un album solo pourla miss ? Pour voir le clip : www.youtube.com/watch?v=1WHiO2FRp6g

BrittanyMurphy(Jacks)

2007 : LOVE (ET SES PETITS DESASTRES)

Brittany Murphy prête tout son éclat au personnagede Jacks : pour mieux se fondre dans la peau decette Américaine installée à Londres, Brittany apassé plusieurs semaines dans la capitale britanni-que avant de commencer le tournage du film. Auprogramme : apprentissage du tango et de l’espa-gnol, séances de training aux côtés de vraies assis-tantes de mode et adaptation au choc culturel !Pour Alek Keshishian, la jeune comédienne partageavec son personnage « une énergie solaire qui faitqu’elle illumine la moindre pièce dans laquelle elleentre ».

2000 : UNE VIE VOLÉE

En incarnant une jeune femme internée dansun hôpital psychiatrique, Brittany Murphyprouve qu’elle ne compte pas se contenterde jouer les mignonnes adolescentes. Seschoix suivants confirment cette volonté d’al-terner comédies romantiques et rôles plusdurs, comme l’illustrent Pas un mot, danslequel elle joue à nouveau les désaxées, etSpun, film déjanté pour lequel elle se mue entoxicomane.

articulièrement précoce, BrittanyMurphy fait ses premiers pas surscène à l’âge de 9 ans, avant de

décrocher, encore adolescente, l’un des prin-cipaux rôles de la série Drexell’s class. Denombreuses publicités suivront, mais aussides apparitions dans d’autre séries pharesdes années 90 : Frasier, Parker Lewis ne perdjamais et Sister, Sister. C’est en 1995 que sacarrière démarre vraiment au cinéma avecClueless, une comédie romantique dont ellepartage la vedette avec Alicia Silverstone.

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CATHERINE TATE (TALLULAH)

Véritable icône de la télévision britannique,Catherine Tate est connue pour les talents comi-ques qu’elle déploie dans son propre show, TheCatherine Tate Show, qui fait les beaux jours de laBBC. Elle y interprète une série de personnagessatiriques, révélant des talents de comédienne quilui valent de jouer au théâtre et au cinéma. AprèsLove (et ses petits désastres), on la retrouveranotamment au générique de Mrs. Ratcliffe’sRevolution de Billie Eltringham, le réalisateur de lasérie L World.

SANTIAGO CABRERA(PAOLO)

D’origine chilienne, Santiago Cabrera a succes-sivement vécu à Caracas, Toronto et Londres,envisageant une carrière de footballeur avant dese tourner vers la comédie. Ses talents sur lascène londonienne lui permettent d’enchaîneravec de petits rôles pour la télévision avantd’obtenir l’un des rôles phares de Heroes, nou-velle série à succès de NBC, que l’on pourradécouvrir cet été en France.

DAWN FRENCH (LA PSY)

Scénariste de la cultissime série AbsolumentFabuleux et membre du duo fétiche de French andSaunders, Dawn French est l’objet d’un véritableculte en Angleterre, où elle a connu ses premierssuccès dans la sitcom The Vicar of Dibley, crééepar Richard Curtis. Membre du casting de HarryPotter et le prisonnier d’Azkaban d’Alfonso Cuaron(la grosse dame du tableau, c’est elle !) elle a éga-lement prêté sa voix au personnage de MadameCastor dans Le monde de Narnia chapitre1 - lelion, la sorcière blanche et l’armoire magique.

MATTHEW RHYS (PETER)

Ecossais d’origine, Matthew Rhys a été formé à laprestigieuse Royal Academy of Dramatic Art deLondres avant de commencer sa carrière sur le petitécran, notamment pour une série policière de la BBC.En 1998, Titus le fait remarquer au cinéma, aux côtésd’Anthony Hopkins et Jessica Lange. Tout en poursui-vant une carrière théâtrale (sa reprise du Lauréat surscène avec Kathleen Turner lui vaut les louanges de lapresse) et télévisée (notamment Brothers and Sisterspour ABC), Matthew Rhys confirme son intérêt pour lecinéma : outre Love (et ses petits désastres), il seraprochainement à l’affiche de Virgin Territory, signéDavid Leland, dont il partage l’affiche avec HaydenChristensen et Mischa Barton.

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L iste technique

L iste artistique

Réalisateur .........................................................................Alek KeshishianScénario ...............................................................................Alek KeshishianProducteur exécutif ........................................................David FincherProducteurs.................................Alison Owen, Alek Keshishian

et Virginie Besson-SillaCoproducteur britannique .................................Steve Clark-HallChef opérateur ........................................................................Pierre MorelMontage........................................................................................Nick ArthursChef déco.......................................................................Alice NormingtonChef costumière..........................................................Michele ClaptonCasting UK....................................................................................Kate DowdSon ..................................................................................................Simon HayesMonteur son...............................................................Laurent KossayanMixeur....................................................................François-Joseph HorsDirecteur de postproduction......................................Eric BassoffMusique originale .....................................................Alexandre Azaria

© 2006 EUROPACORP – SKYLINE (LOD) LIMITEDVisa d’exploitation n° 113.602

Emily Jackson-Jacks..............................................Brittany MurphyPeter Simon.........................................................................Matthew RhysTallulah Riggs-Wentworth.......................................Catherine TatePaolo Sarmiento......................................................Santiago CabreraJames Wildstone...................................................................Eliot CowanFelicity Riggs-Wentworth ........................Stephanie BeachamFinlay McMillian .......................................................................Jamie SivesDavid Williams.................................................................................Will KeenMarvin Berstein................................................................Michael LernerLa psy ...........................................................................................Dawn FrenchL'employé de Mairie ..................................................Richard WilsonTom.................................................................................................Adam RaynerLa célébrité.........................................................................Angus Deayton

Avec la participation exceptionnelle de Gwyneth Paltrow et Orlando Bloom

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Textes et entretiens : Mathilde LoritCréation : Caroline Serra pour YdéO

Affiche : Sharky pour YdéOPhoto : Sheryl Nields/Icon International

Photos du film : Chris RaphaëlGirl Interrupted © Columbia TriStar Films

Happy Feet © Warner Bros8 Mile © UIP

Sin City © Rico TorresSex and the City © Paramount

Impression : CAPNORD AUGUSTINMars 2007

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