Les variables économiques de l’impact des désastres

OCT/00 S.MORA/BID 1

Les variables Les variables économiques de économiques de

l’impact des désastresl’impact des désastres

Sergio Mora

OCT/00 S.MORA/BID 2

Nicaragua, 1972Séisme,

Honduras, 1974Cyclone Fifí

Guatemala, 1976Séisme

Rep. Dominicaine-Haïti, 1979Cyclones David et Federico

Bolivie, Ecuador, Pérou, 1982-83

El Niño

Mexique, 1985Séisme

Colombie, Armero, Chinchiná 1985

El Salvador, 1986Séisme

Ecuador, 1987Séisme

Costa Rica et Nicaragua, 1988 Cyclone Joan

Costa Rica-Panamá 1991; Séisme

Nicaragua, 1992Tsunami

Communauté Andine, 1997-98; El Niño

Amérique Centrale, 1998Cyclone Mitch

Rep. Dominicaine-Haïti, 1998 Cyclone Georges

Colombie, 1999Séisme

Venezuela, 1999Glissements/coulées

Belize, 2000Cyclone Keith

L’AMÉRIQUE LATINE ET LES DÉSASTRES

1972-2000Plus de 135 mille mortset dégâts pour plus de

US$95 milliards

El Salvador, 2001Crise sísmica

OCT/00 S.MORA/BID 3

Les désastres en Amérique Latine; 1900-2000Les désastres en Amérique Latine; 1900-2000

GlissementsGlissements

Vents intensesVents intenses

TsunamiTsunami

VolcanismeVolcanisme

IncendiesIncendies

forestalesforestales

AutresAutres

Fronts polairesFronts polaires

CyclonesCyclones

SécheressesSécheressesSéismesSéismes

InondationsInondations

SourceSource: OFDA/CRED.1999. EM-DAT : OFDA/CRED.1999. EM-DAT Base de données internationalesBase de données internationales

OCT/00 S.MORA/BID 4

(1970-1999)Disaster Exposure Indicators, Latin America and the Caribbean fatalitiesDisaster-related Disaster occurrence Economic losses

1616 0.530.53 0.770.77 28802880 0.500.50 2,713.92,713.9 22.88%22.88%El SalvadorEl Salvador

2828 0.930.93 0.060.06 2413924139 2.212.21 3,062.53,062.5 17.25%17.25%GuatemalaGuatemala

2828 0.930.93 0.280.28 1734717347 2.842.84 4,239.54,239.5 81.97%81.97%HondurasHonduras2626 0.870.87 0.210.21 1306713067 2.902.90 5,780.55,780.5 338.38%338.38%NicaraguaNicaragua

66 0.200.20 0.260.26 55 0.020.02 33.833.8 5.37%5.37%BelizeBelize3333 1.101.10 0.650.65 287287 0.080.08 1,117.51,117.5 13.37%13.37%Costa RicaCosta Rica

117117 3.903.90 0.060.06 1559415594 0.170.17 13,822.513,822.5 3.60%3.60%MéxicoMéxico1515 0.500.50 0.200.20 152152 0.060.06 170.0170.0 1.84%1.84%PanamáPanamá

3131 1.031.03 0.030.03 787787 0.100.10 4,919.94,919.9 21.00%21.00%BoliviaBolivia

8989 2.972.97 0.090.09 2985729857 0.800.80 4,457.84,457.8 11.49%11.49%ColombiaColombia4646 1.531.53 0.170.17 70917091 0.610.61 6,824.56,824.5 42.49%42.49%EcuadorEcuador7878 2.602.60 0.060.06 7247572475 2.982.98 5,988.75,988.7 10.29%10.29%PerúPerú

4848 1.601.60 0.020.02 685685 0.020.02 11,201.011,201.0 3.76%3.76%ArgentinaArgentina102102 3.403.40 0.010.01 44624462 0.030.03 1,756.71,756.7 2.18%2.18%BrazilBrazil4747 1.571.57 0.060.06 997997 0.070.07 16,238.116,238.1 6.29%6.29%ChileChile1919 0.630.63 0.020.02 3044630446 1.361.36 2,055.22,055.2 2.23%2.23%VenezuelaVenezuela

1. GDP, 97 est., CIA World Fact Book1. GDP, 97 est., CIA World Fact BookSource: EM-DAT; World Bank Development IndicatorsSource: EM-DAT; World Bank Development Indicators

(1995)Total

occurrence Occurrence rate

per year Occurrence/km2Total

FatalitiesFatalities per thousand hab. Constant losses

(1998 $m)Loss as % of GDP (1995)Country

Amérique du SudAmérique du Sud

3535 1.171.17 0.320.32 181181 0.020.02 578.0578.0 n/an/aCubaCuba77 0.230.23 8.758.75 4343 0.580.58 133.4133.4 54.95%54.95%DominicaDominica

1717 0.570.57 0.350.35 18391839 0.230.23 2,657.22,657.2 17.34%17.34%Rep. Dominic.Rep. Dominic.3131 1.031.03 1.121.12 20312031 0.280.28 288.7288.7 7.32%7.32%HaitíHaití1919 0.630.63 2.592.59 271271 0.110.11 1,988.11,988.1 29.34%29.34%JamaicaJamaica

Amérique CentraleAmérique Centrale

CaraïbeCaraïbe

OCT/00 S.MORA/BID 5

0

20

40

60

80

100

120

140

160M

exic

o

Bra

zil

Col

ombi

a

Peru

Ecu

ador

Chi

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Arg

entin

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Hai

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ala

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Bah

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nida

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Tob

ago

Bel

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guay

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bado

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Guy

ana

Suri

nam

e

0

200

400

600

800

1000

1200

1400

OCCURRENCE OCCURRENCE (No. events; (No. events; 1900-2000)1900-2000)

FATALITIESFATALITIES(per million inh. (per million inh.

1980-2000)1980-2000)

OCT/00 S.MORA/BID 6

Impact sévère sur la performance économique et le bien-être Impact sévère sur la performance économique et le bien-être socialsocial

Les classes les plus défavorisées internalissent la plus Les classes les plus défavorisées internalissent la plus grande proportion du coût du désastre: détérioration de leur grande proportion du coût du désastre: détérioration de leur productivité, perte d’accès aux services sociaux...productivité, perte d’accès aux services sociaux...

……notamment ceux qui vivent dans les régions rurales et notamment ceux qui vivent dans les régions rurales et urbaines marginalesurbaines marginales

Leur qualité de vie s’aggrave car chaque désastre n’est que Leur qualité de vie s’aggrave car chaque désastre n’est que l’accumulation des situations précédemment non résoluesl’accumulation des situations précédemment non résolues

Choc fiscal, inflation, décroissance économique, le sous-Choc fiscal, inflation, décroissance économique, le sous-développement s’intensifiedéveloppement s’intensifie

Vulnérabilité manifeste pendant la décennie ‘90Vulnérabilité manifeste pendant la décennie ‘90

Pertes de capital et d’infrastructure vitale:Pertes de capital et d’infrastructure vitale:

Routes, génération et transmission électrique, santé, Routes, génération et transmission électrique, santé, éducation, aqueducs, assainissement, habitations, éducation, aqueducs, assainissement, habitations, agropécuaireagropécuaire

OCT/00 S.MORA/BID 7

Les gouvernements ont dû rediriger leurs ressources Les gouvernements ont dû rediriger leurs ressources destinées au développement sur d’autres secteurs et destinées au développement sur d’autres secteurs et régions…régions…

……Il se produit ainsi une généralisation de l’impact Il se produit ainsi une généralisation de l’impact géographique des désastresgéographique des désastres

La reconstruction n’est pas encore finie et les ressources La reconstruction n’est pas encore finie et les ressources deviennent déjà insuffisantes pour répondre aux pertesdeviennent déjà insuffisantes pour répondre aux pertes

Les adversités affectant l’économie se manifestent: déficit Les adversités affectant l’économie se manifestent: déficit fiscal, compte courant; augmentent les importations et fiscal, compte courant; augmentent les importations et décroissent les exportationsdécroissent les exportations

La reconstruction augmente les dépenses publiques et si bien La reconstruction augmente les dépenses publiques et si bien accélère temporairement la formation de capital fixe, d’autres accélère temporairement la formation de capital fixe, d’autres secteurs clefs ne reprennent pas de l’élan...secteurs clefs ne reprennent pas de l’élan...

Malgré l’assistance internationale:Malgré l’assistance internationale:

La dette extérieure a augmentéLa dette extérieure a augmenté

Vulnérabilité manifeste pendant la décenie ‘90Vulnérabilité manifeste pendant la décenie ‘90

OCT/00 S.MORA/BID 8

Le secteur publique absorbe la plus grande proportion du coût des Le secteur publique absorbe la plus grande proportion du coût des désastres...désastres...

Le risque manifeste (décennie ‘90) dans le secteur publiqueLe risque manifeste (décennie ‘90) dans le secteur publique

Les plus affectés sont les services basiques: routes, eau, santé, Les plus affectés sont les services basiques: routes, eau, santé, éducation, assainissement...éducation, assainissement...

... Il a donc un énorme passif (infrastructure VULNÉRABLE)... Il a donc un énorme passif (infrastructure VULNÉRABLE) Sa position fiscale a une faible capacité pour faire face aux chocs des Sa position fiscale a une faible capacité pour faire face aux chocs des

désastres présents et futurs…désastres présents et futurs…

……et la vulnérabilité … ¿ Qu’est-ce que c’est … ?et la vulnérabilité … ¿ Qu’est-ce que c’est … ?

Une déficience du modèle actuel de développementUne déficience du modèle actuel de développement

Exposition, fragilité, et détérioration des éléments et aspects que Exposition, fragilité, et détérioration des éléments et aspects que génèrent et améliorent l’existence socialegénèrent et améliorent l’existence sociale

Il fautIl faut donc donc déchiffrer la déchiffrer la structure de la vulnérabilitéstructure de la vulnérabilité::

¿ QUI ET QUOI SONT VULNÉRABLES … ET POURQUOI … ?¿ QUI ET QUOI SONT VULNÉRABLES … ET POURQUOI … ?

Une subvention de la Nature…un passifUne subvention de la Nature…un passif

OCT/00 S.MORA/BID 9

IL FAUT AMÉLIORER LA COMPTABILITÉ DES DÉGÂTS CAUSÉS PAR IL FAUT AMÉLIORER LA COMPTABILITÉ DES DÉGÂTS CAUSÉS PAR LES DÉSASTRESLES DÉSASTRES

Développer des outils économétriques pour orienter la Développer des outils économétriques pour orienter la planification et la définition des priorités et stratégiesplanification et la définition des priorités et stratégies

Développer des outils économétriques pour orienter la Développer des outils économétriques pour orienter la planification et la définition des priorités et stratégiesplanification et la définition des priorités et stratégies

Homogénéiser les différentes visions d’analyse:Homogénéiser les différentes visions d’analyse: Connaître les menacesConnaître les menaces Comprendre la vulnérabilitéComprendre la vulnérabilité Incorporer les variables sociales, économiques et politiquesIncorporer les variables sociales, économiques et politiques Évaluer le coût économique de l’impact sur l’environnementÉvaluer le coût économique de l’impact sur l’environnement

OCT/00 S.MORA/BID 10

UN MYTHE: LES UN MYTHE: LES DÉSASTRES BÉNÉFICIENT L’ÉCONOMIEDÉSASTRES BÉNÉFICIENT L’ÉCONOMIE

Même s’il se produit une augmentation temporelle de la formation Même s’il se produit une augmentation temporelle de la formation de capital, surtout dans le secteur de la construction:de capital, surtout dans le secteur de la construction:

Les ressources doivent être déviées de leur destination originelleLes ressources doivent être déviées de leur destination originelle Les recettes fiscales sont retardées ou n’arrivent pasLes recettes fiscales sont retardées ou n’arrivent pas Les dépenses augmentent pour faire face aux opérations Les dépenses augmentent pour faire face aux opérations

d’urgenced’urgence L’endettement augmente, la capacité de paiement diminueL’endettement augmente, la capacité de paiement diminue La balance de paiement perds l’équilibre à cause des dépenses La balance de paiement perds l’équilibre à cause des dépenses

inattenduesinattendues

(FREEMAN ET MARTIN, 2002)(FREEMAN ET MARTIN, 2002)


PHÉNOMÈNEPHÉNOMÈNE::Caractéristiques Caractéristiques

(description (description physique, physique,

typologie et typologie et contexte) contexte)

EFFETSEFFETS: : Dégâts Dégâts

directs etdirects etindirectsindirects

ENCHAÎNEMENTSENCHAÎNEMENTS::Bénéfices de la reconstruction/impact Bénéfices de la reconstruction/impact

(sectoriel/global)(sectoriel/global)Synergies de la reconstructionSynergies de la reconstruction

LA MÉTHODOLOGIE DE LALA MÉTHODOLOGIE DE LACOMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L’AMÉRIQUE ET LA CARAÏBE COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L’AMÉRIQUE ET LA CARAÏBE

(CEPAL; 1991, 1995)(CEPAL; 1991, 1995)


L’ÉVALUATION DES DÉGÂTSL’ÉVALUATION DES DÉGÂTS

VALEUR DU DÉGÀT VALEUR DU DÉGÀT Par secteur économique: Par secteur économique:

publique et privépublique et privé

COÛT DE REMPLACEMENT COÛT DE REMPLACEMENT Par secteur économique: Par secteur économique:

publique et privépublique et privé

BESOINS DE LA BESOINS DE LA RECONSTRUCTION par secteur RECONSTRUCTION par secteur économique: publique et privééconomique: publique et privé

PROFITTER DE PROFITTER DE L’OCASSION: L’OCASSION: AMÉLIORER AMÉLIORER

STRUCTURES ET STRUCTURES ET TECHNOLOGIETECHNOLOGIE

RENFORCÉMENT, RENFORCÉMENT, PRÉVENTION, PRÉVENTION, MITIGATIONMITIGATION

CalendrierCalendrierDisponibilité des Disponibilité des

composantes matériels, composantes matériels, humaines, financiershumaines, financiers

Impact macroéconomique Impact macroéconomique

Capacité d’absorption Capacité d’absorption du pays: matériels, du pays: matériels,

main d’œuvre, main d’œuvre, institutionalitéinstitutionalité

IMPLICATIONS IMPLICATIONS FINACIÈRES FINACIÈRES Publiques et Publiques et

privéesprivées

Formulation de Formulation de projets de projets de

reconstruction, reconstruction, remplacement; remplacement;

prévention, prévention, mitigation, mitigation,

renforcementrenforcement

Ressources Ressources locales: locales: crédits, crédits, donations...donations...

Assurance, Assurance, re-assurancere-assurance

Ressources Ressources extérieures: extérieures: crédits, crédits, donations, donations, remisesremises

VIABILITÉ VIABILITÉ ÉCONOMIQUEÉCONOMIQUE

À valeur présent; À valeur présent; incorporation des incorporation des actifs et de leur actifs et de leur

état actuel, état actuel, décompte de la décompte de la

dépréciationdépréciation


LA POPULATION AFFECTÉLA POPULATION AFFECTÉ

CLASSIFICATION:CLASSIFICATION:• Nombre de famillesNombre de familles• Site d’origineSite d’origine• Situation médicaleSituation médicale• ÂgeÂge• GenreGenre• EthnieEthnie• Catégorie laboraleCatégorie laborale• Niveau d’éducationNiveau d’éducation

DISPARUSDISPARUS MORTSMORTS SURVIVANTSSURVIVANTS

VICTIMES NON-VICTIMESNON-VICTIMES

PERTE DES BIENS MATÉRIELS

BLESÉS

Maison Propriété Moyen de subsistance

PHYSIQUES PSYCHIQUES

QUALITÉ DE VIE

RÉFUGIÉS OU ASSISTÉS

COÛT


ProvinciaPoblación

total a/

Población afectada

Víctimas primarias d/

Primaria b/%

poblacn total

Secundaria c/% poblacn

totalMuertos Heridos Desaparecidos

Total 8,250,614 296,637 4 4,218,6014,218,601 51 235 595 59Azua 225,892 8,500 4 188,606 83 28 52 Bahoruco 119,014 33,000 28 102,241 86 25 Barahona 186,469 13,000 7 109,793 59 28 4

Dajabón 77,610 — 33,711 43 Distrito Nacional 2,480,872 12,173 — 766,292 31 10

Duarte 318,875 3,600 1 184,676 58 4 Elías Piña 73,125 — 53,997 74 El Seybo 109,471 — 68,684 63 8 Espaillat 228,936 3,564 2 70,714 31 1 Hato Mayor 90,584 7,000 8 62,080 69 1 Independencia 44,730 1,500 3 31,518 70 19 La Altagracia 130,869 5,000 4 82,109 63 3 56 La Romana 188,409 3,000 2 123,666 66 8 300 La Vega 389,964 700 — 267,253 69 3 6 M. Trinidad Sánchez 141,357 5,500 4 92,100 65 Monseñor Nouel 168,916 600 — 94,567 56 5 3

Monte Cristi 108,266 700 1 35,009 32 Monte Plata 189,086 4,000 2 161,526 85 8 Pedernales 20,424 — 13,307 65 Peravia 228,343 1,800 1 121,224 53 1 Puerto Plata 295,804 — 129,914 44 Salcedo 115,172 1,000 1 59,476 52 Samaná 85,129 600 1 45,194 53 4 San Cristóbal 476,050 25,000 5 310,168 65 27 12

San Juan de la Maguana 285,794 9,800 3 238,621 83 41 41 33

San Pedro de Macorís 240,240 135,000 56 223,776 93 4 135 5

Sánchez Ramírez 184,581 1,400 1 120,263 65 5 5 2

Santiago 804,092 20,000 2 337,626 42 2 Santiago Rodríguez 70,300 200 — 35,625 51 Valverde 172,240 — 54,864 32 Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras oficiales y estimaciones propias.a/ Población total estimada a septiembre de 1998, sobre la base de proyecciones del Centro Latinoamericano de Demografía (CELADE). La población de las provincias se ajustó a partir del censo de 1993.b/ Población severamente afectada, refugiada en albergues. Datos de la Secretaría de Estado de Salud Pública y Asistencia Social, al 25 de septiembre de 1988.c/ Incluye a los afectados terciarios que no habitan en las localidades severamente dañadas. Estimaciones de la CEPAL.d/ Datos de la Secretaría de Estado de las Fuerzas Armadas al 21 de octubre de 1998.


POPULATION AFFECTÉE, DÉSASTRE DANS L’ÉTAT VARGAS, VENEZUELA; décembre 1999 POPULATION AFFECTÉE, DÉSASTRE DANS L’ÉTAT VARGAS, VENEZUELA; décembre 1999 (CEPAL, 1999)(CEPAL, 1999)

TOTAL Par genre Par âgePar grupe éthnique

Morts 20,000

Disaparus n.d.

Blésés n.d.

Refugiés 70,000

Total evacués 110,000

Aff ectés indirects 300,000

Aff ectés terciaires 18,000,000

Population totale 24,000,000

La proportion de femmes affectées est supérieure à la distribution censale de la population

La proportion des enfants (0-14) affectés est supérieure à la distribution censale de la population

Proportions élevées de la population afro-vénézuélienne affectée à Vargas et Falcón dans la côte; indigènes à Zulia

Population affectée DATE

Morts Affectés directs

Acummulé 1972-1999

108 000 12 086 245

1972-1980 38 042 4 229 260

1980-1990 33 638 5 442 500

1990-2000 36 320 2 414 485

CEPAL, 2000CEPAL, 2000


DÉGÂTS DIRECTSDÉGÂTS DIRECTS

Aux biens: capital, inventaire de production terminée Aux biens: capital, inventaire de production terminée ou en procès, matière première, pièces détachées...ou en procès, matière première, pièces détachées...

À la propriété détruite ou endommagée, À la propriété détruite ou endommagée, simultanément o immédiatement après le désastresimultanément o immédiatement après le désastre

À l’infrastructure physique: bâtiment, machines, À l’infrastructure physique: bâtiment, machines, équipement, voies de transport, magasins, meubles, équipement, voies de transport, magasins, meubles, terre agricole et sol, récoltes, oeuvres d’irrigation- terre agricole et sol, récoltes, oeuvres d’irrigation- drainage, barrages...drainage, barrages...

Mesuré en termes physiques et leur est désigné une valeur monétaire


Aux flux de capitaux: production non achevée, biens et Aux flux de capitaux: production non achevée, biens et services non offerts ou que deviendront plus chers comme services non offerts ou que deviendront plus chers comme conséquence du désastre; manque à gagnerconséquence du désastre; manque à gagner

DÉGÂTS INDIRECTSDÉGÂTS INDIRECTS

Augmentation du coût d’opération à cause de la destruction Augmentation du coût d’opération à cause de la destruction de l’infrastructure physique et des inventairesde l’infrastructure physique et des inventaires

Coûts supplémentaires pour produire et distribuer des Coûts supplémentaires pour produire et distribuer des biens et services par des voies alternesbiens et services par des voies alternes

Perte de bénéfices résultante de la décroissance dans Perte de bénéfices résultante de la décroissance dans l’activité économique (production et distribution)l’activité économique (production et distribution)

Coûts extraordinaires causés par des besoins apparus avec Coûts extraordinaires causés par des besoins apparus avec le désastre: campagnes de vaccination, potabilisation de le désastre: campagnes de vaccination, potabilisation de l’eau, l’eau, ré-localisation des activités (production, distribution) ré-localisation des activités (production, distribution) et des personneset des personnes

Il sont mesurés termes monétaires (non physiques)


CultivoÁrea en

producciónantes del huracán

Área afectadapor el huracán

Total 694,091 248,123

Para el consumo interno 202,628 114,821

Arroz 49,880 19,029

Guineo 24,118 12,418

Leguminosas a/ 25,210 14,182

Maíz 10,660 8,567

Plátano 60,594 48,049

Raíces y tubérculos b/ 9,857 4,364

Yuca 22,309 8,212

Para exportación e industriales

480,993 128,673

Cacao 110,943 25,708

Café 161,361 30,346

Caña de azúcar c/ 149,575 41,881

Cítricos d/ 21,271 13,903

Coco 37,843 9,335

Palma africana e/ … 7,500

Otros f/ 10,470ç 4,629

Fuente: CEPAL sobre la base de información de la Secretaría de Estado de Agricultura (SEA), el Consejo Estatal del Azúcar y la Junta Agroempresarial Dominicana.a/ Incluye guandul, habichuela (frijol) blanca, negra y roja.b/ Incluye batata, ñame, papa, yautia blanca, yautia coco y yautia amarilla.c/ Estimaciones sobre la base de cifras del Consejo Estatal del Azúcar (CEA).d/ Incluye naranja y toronja.e/ Estimación del sector privado.f/ Incluye aguacate, ajíes, auyama, berenjena, cebolla, maní, papaya, piña, remolacha, repollo, sorgo, tomate y zanahoria.

SURFACE (ha) AGRICOLE ET PERTES DE PRODUCTION (ton);

CYCLONE GEORGES, République Dominicaine; sept.

1998

Cultivo

Producción esperada antes del fenómeno

Pérdidas estimadas a

causa del huracán

Arroz 161,068 61,446

Cacao 40,343 9,349

Café 43,421 8,166

Caña de azúcar a/ 3,560,000 997,635

Guineo 279,766 144,054

Leguminosas 23,291 13,103

Maíz 13,490 10,841

Plátano 385,136 305,396

Yuca 126,553 46,584

Fuente: CEPAL, estimaciones sobre la base de información oficial.a/ Toneladas cortas.


DañosImpacto en el sector

externoTotales

Directos

Indirectos

Aumento enimportaciones

a/

Disminución en

exportaciones

Total¡ 7,911.2

6,616.2 1,295.0

1,249.3 2,003.8Agricultura 6,348.0 5,230.0 1,118.

0370.3 1,800.0

Para el consumo interno 3,014.2 3,014.2 — 370.3 — Arroz 541.5 112.5 Guineo o banano 389.2 75.0 Leguminosas 120.6 103.5 Maíz 40.1 21.1 Plátano 1,555.0 26.7 Raíces y tubérculos 367.8 31.5 Para exportación e industriales 2,606.2 1,798.2 808.0 — 1,800.0 Cacao b/ 175.8 640.0 540.0 Café 246.3 180.0 Caña de azúcar 362.1 750.0 Cítricos 124.0 Palma africana 200.0 168.0 Orgánicos, ornamentales y flores 220.0 Otros 470.0 330.0

Activos 727.6 417.6 310.0 Pérdida de suelo c/ 323.6 32.4 Rehabilitación parcial de tierras 277.6 Instalaciones en cañaverales 94.0

Sector pecuario 1,522.4

1,345.4 177.0 879.0 197.7 Apicultura 22.0 Avicultura 378.0 117.0 879.0 Bovinos 21.0 Producción de leche 2.0 60.0 Producción ovicaprina y porcícola 2.6 Otra población animal 0.9 Infraestructura 886.0 197.7 Pastos 32.9 32.9

Sector pesquero 40.8 40.8 — — 6.1 Pesca Acuicultura 40.8 6.1Fuente: Estimaciones de la CEPAL sobre la base de cifras oficiales.a/ La importación de habichuela, tubérculos y pollo suman 240 millones de pesos en 1998. El resto corresponde a compras anticipadas en 1999b/ Los daños indirectos y el impacto sobre el sector externo contemplan las pérdidas de producción en 4 años.c/ Estimación sobre la base de 4,000 hectáreas.

PERTES DANS LE PERTES DANS LE SECTEUR SECTEUR AGRICOLEAGRICOLE

(milliers de RD$; (milliers de RD$;

CYCLONE CYCLONE GEORGES, GEORGES, République République

Dominicaine; sept. Dominicaine; sept. 19981998


DAÑOS EN EL SECTOR COMERCIO

(Miles de pesos)

Regiones

Total Directos

Indirectos

Componente de

importación

Total 840,00

0

500,0

00

340,00

0

100,000

Este 352,00

0

200,0

00

152,00

0

40,000

Suroeste 188,00

0

50,00

0

138,00

0

10,000

Distrito Nacional

300,00

0

250,000

50,000

50,000

Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras oficiales y cálculos propios.

PERTES ÉCONOMIQUES DANS LE SECTEUR COMMERCE; CYCLONE GEORGES, République Dominicaine; sept. 1998


INSTALACIONES DE EDUCACIÓN Y DEPORTE DAÑADAS, POR PROVINCIA

Huracán Georges; Setiembre, 1998

Provincia

Número de

escuelas a/

Costo directo b/ (miles de

pesos)

Número de

instalaciones

deportivas

Costo directo b/ (miles de

pesos)

Total 1,063 569,503.9

342 237,896.0 Azua 53 25,247.7 14 3,432.2

Bahoruco 4 1,905.5

Barahona 4 1,905.5 3 1,271.0

Distrito Nacional 247 123,547.3 49 53,913.9

Duarte 32 18,102.2 1 626.3

El Seybo 65 71,527.4 18 3,723.4

Espaillat 1 503.8

Hato Mayor 78 37,157.1 1 711.0

La Altagracia 122 61,023.4 32 21,486.5

La Romana 4 2,000.8 54 48,378.6

La Vega 38 19,007.3 1 4,585.8

María Trinidad Sánchez

24 12,004.6 1 325.3

Monseñor Nouel 10 5,001.9

Monte Plata 87 43,516.7 117 58,746.9

Peravia 11 372.5

San Cristóbal 1 500.2 7 1,782.3

San Juan d.l. Maguana

4 2,000.8 3 1,811.3

San Pedro de Macorís

177 88,533.9 28 31,383.0

Sánchez Ramírez 113 56,521.6

Santiago 1 4,842.2

Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras de la Secretaría de Estado de Obras Públicas y Comunicaciones.a/ Incluye parte de los planteles afectados por su uso como albergues.b/ Las cifras repetidas entre provincias obedecen a que se promediaron entre ellas el total de la región a la que pertenecen.

INSTALLATIONS ÉDUCATIVES ET

SPORTIVES ENDOMMAGÉES;

CYCLONE GEORGES, République

Dominicaine; sept. 1998


DAÑOS EN EL SECTOR EDUCACIÓN a/ (Miles de pesos)

Daños Costos dereconstruc

ción

Componente

importadoTotales

Directos

Indirectos

Total 1,031,497

851,391

180,106 2,252,684 706,883

Destrucción parcial o total en la infraestructura escolar

569,504

569,504

1,675,009

557,481

Totalmente destruidos (203) 440,703 1,498,390 524,437

Con daños parciales (367) 87,345 131,018 26,204

Sin techo (321) 41,456 45,601 6,840

Daños en instalaciones culturales y recreativas 19,128 19,128 63,122 18,305

Daños en instalaciones deportivas 233,054 233,054 419,497 100,679

Daños en iglesias e instalaciones comunales 29,705 29,705 95,056 30,418

Daños causados por la utilización de escuelas y otros centros comunitarios como albergues b/

152,546

152,546

Mayores costos de operación en escuelas afectadas

27,560

27,560

Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras de la Secretaría de Estado de Salud Pública y Asistencia Social y del Instituto Dominicano de Seguridad Social.a/ Incluye instalaciones culturales, de recreación y deportivas, así como iglesias y centros comunales.b/ Se consignaron 443 planteles (9%) habilitados como albergues, de los 4,806 registrados en el país.

PERTES ÉCONMIQUES DANS LE SECTEUR PERTES ÉCONMIQUES DANS LE SECTEUR ÉDUCATIONÉDUCATION; ; CYCLONE GEORGES, République Dominicaine; sept. 1998CYCLONE GEORGES, République Dominicaine; sept. 1998


INSTALACIONES DE SALUDDAÑADAS, POR PROVINCIA

ProvinciaNúmero de edificios a/

Costo directo b/(miles de pesos)

Total 87 27,869.1

Azua 7 2,169.5

Bahoruco y Barahona 6 1,879.6

Distrito Nacional 13 4,029.0

Duarte e Independencia 2 619.8

El Seybo 4 2,169.5

Hato Mayor 3 885.5

La Altagracia 10 3,099.3

La Romana 7 2,169.5

La Vega 5 1,549.6

Monseñor Nouel 4 1,239.7

Monte Plata 5 1,549.6

San Cristóbal 2 619.9

San Juan de la Maguana 6 1,859.6

San Pedro de Macorís 9 2,789.3

Sánchez Ramírez 4 1,239.7

Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras de la Secretaría de Estado de Obras Públicas y Comunicaciones.a/ Incluye hospitales, clínicas rurales y subcentros de salud.b/ Las cifras repetidas entre provincias obedecen a haberse promediado, entre ellas, el total de la región a la que pertenecen.

INSTALLATIONS DE SANTÉ ENDOMMAGÉES;

CYCLONE GEORGES, République Dominicaine;

sept. 1998


REPÚBLICA DOMINICANA: DAÑOS EN EL SECTOR SALUD (Miles de pesos)

ConceptoDaños Costos de

reconstrucción

Componente

importadoTotales

Directos

Indirectos

Total 331,167

96,167 235,000 353,601 247,870

Destrucción parcial o total en la infraestructura de salud

30,645

30,645 98,065 99,659

Pérdidas en equipo y mobiliario 65,522

65,522 255,536 148,211

Mayor gasto de medicamentos durante la emergencia y posdesastre

65,000

65,000

Disposición, tratamiento y recuperación de víctimas 15,000

15,000

Gasto en actividades de educación comanditaria 5,000 5,000

Gastos en acciones preventivas, vacunas, combate de plagas y vectores de enfermedades

55,00

0

55,000

Vigilancia y control epidemiológico 15,000

15,000

Incremento en costos de atención hospitalaria, ambulatoria y asistencial

25,00

0

25,000

Mayores costos asistenciales por el incremento de la morbilidad

45,00

0

45,000

Costo atribuible a la menor capacidad de prestación de servicios

10,00

0

10,000

Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras de la Secretaría de Estado de Salud Pública y Asistencia Social y del Instituto Dominicano de Seguridad Social.

PERTES ÉCONOMIQUES DANS LE SECTEUR SANTÉ; CYCLONE GEORGES, République Dominicaine; sept. 1998


DÉGÂTS DANS L’HABITATIONDÉGÂTS DANS L’HABITATION

TYPE D’HABITATIONTYPE D’HABITATION

Dégât structuralDégât structural Dégât non Dégât non structuralstructural

RÉPARATION, RÉPARATION, RÉMPLACEMENT, RÉMPLACEMENT, RENFORCÉMENT, RENFORCÉMENT,

RECONSTRUCTIONRECONSTRUCTION

ÉLÉMENTS NON-ÉLÉMENTS NON-STRUCTURAUX (parois, STRUCTURAUX (parois,

eau, électricité, plafonds…)eau, électricité, plafonds…)

DÉGRÉ ET TYPE DE DÉGRÉ ET TYPE DE DÉGÂTDÉGÂT

Matériaux, âge, Matériaux, âge, état originel, état originel,

emplacement…emplacement…

VALORATION VALORATION FINACIÈRESFINACIÈRES

Meubles, équipement Meubles, équipement et autres objetset autres objets

ÉLÉMENTS STRUCTURAUX ÉLÉMENTS STRUCTURAUX (colonnes, fondation, poutres, (colonnes, fondation, poutres,

planchers, murs, toits…)planchers, murs, toits…)


Viviendas existentes

Viviendas afectadas

Viviendas destruidas Viviendas

parcialmente afectadas

Total % Total % Total % Total %

Total 1,629,616

100 170,916

100 49,202

100 121,714 100

Distrito Nacional 512,701 31 40,693 24 5,663 12 35,030 29

Sureste 327,517 20 93,005 54 29,229 59 63,776 52

Suroeste 172,440 11 17,687 10 9,937 20 7,750 6

Cibao 616,958 38 19,531 11 4,373 9 15,158 12

Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras del INVI y de cálculos propios.

UNITÉS D’HABITATION ENDOMMAGÉES ET DÉTRUITES; CYCLONE GEORGES, République Dominicaine; sept. 1998


DAÑOS AL SECTOR VIVIENDA

(Millones de pesos)

ConceptoNumero

deviviendas

Dañosdirectos

Dañosindirecto

s

Costo de reconstrucc

ión

Componenteimportado

Total 171,000 1,600 1,878 7,999 4,354

Viviendas dañadas 122,000 200 650 30

Viviendas destruidas a/ 49,000 1,400 5,558 3,065

Daños y pérdidas en mobiliario y equipamiento b/

1,700 1,200

Refugios provisionales c/ 91 59

Pérdida en la renta de viviendas d/ 87

Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras oficiales y de cálculos propios.a/ No se computa aquí el número de viviendas afectadas de propiedad de la Compañía Estatal de Azúcar (CEA) y del Instituto Agrario Dominicano (IDA). El monto de los daños y el costo de reconstrucción sí están incluidos en los cálculos relativos.b/ Incluye costos de reconexiones de servicios.c/ Dato estimado por el Banco Central para la construcción de 3,000 refugios provisionales, al cual se agregan costos de transporte y gastos adicionales por unidad de familia.d/ Incluye tanto alquileres no cobrados como renta imputada de viviendas destruidas para 1998.

PERTES ÉCONMIQUES DANS LE SECTEUR HABITATION; CYCLONE GEORGES, République Dominicaine; sept. 1998


Directos

Indirectos

Totales Reconstrucción

Total (pesos dominicanos) 408,929.0

924,618.1

1,333,547.1

900,509.6

Total (dólares) 27,261.9

61,641.2

88,903,1 60,034.0

Subsector eléctrico (pesos dominicanos)

408,889.0

916,818.1

1,325,707.1

900,459.6

Subsector eléctrico (dólares) 25,370.3 60,770.0 86,140.3 58,530.6

Generación a/ 53,750.0 75,000.0 128,750.0 97,500.0

Transmisión 87,059.8 64,995.5 152,055.3 324,977.5

Subestaciones 26,340.7 5,644.4 31,985.1 37,629.5

Distribución 237,185.0

42,186.8 279,371.9 431,245.5

Comercialización b/ — 719,884.2

719,884.2 —

Edificios 4,553.6 9,107.1 13,660.7 9,107.1

Subsector hidrocarburos (pesos dominicanos)

40.0 7,800.0 7,840.0 50.0

Subsector hidrocarburos (dólares) 2.7 520.0 522.7 3.3

Refinería y oleoducto 40.0 7,800.0 7,840.0 50.0

Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras de la Corporación Dominicana de Electricidad (CDE) y de la refinería.a/ Incluye la reparación de los caminos de acceso a las centrales hidroeléctricas Jimenoa y Constanza.b/ Pérdidas proyectadas en ventas de energía en el plazo de 3 a 4 meses estimados para la recuperación total del sistema.

PERTES PERTES ÉCONOMIQUES DANS ÉCONOMIQUES DANS

LE SECTEUR LE SECTEUR ÉNERGIEÉNERGIE; ;

CYCLONE GEORGES, CYCLONE GEORGES, République République

Dominicaine; sept. 1998Dominicaine; sept. 1998

Por nivel de voltaje

REGIÓN 138 kV 69 kV 34.5 kVKilómetros Porcentajes Kilómetros Porcentajes Kilómetros Porcentajes

1. Longitud de LT en red

487.1 100.0 1,246.0 100.0 488.6 100.0

Norte 171.1 35.1 525.8 42.2 ... ...

Sur 74.5 15.3 379.6 30.5 ... ...

Este 241.5 49.6 340.6 27.3 ... ...

2. Longitud de LT dañadas a/

50.0 10.3 113.6 9.1 134.8 27.6

Norte - 22.3 4.2 14.8 ...

Sur - - 1.67 0.43989 0.0 ...

Este 50.0 20.7 89.6 26.3 120.0 ...

Fuente: CEPAL, sobre las cifras de la Corporación Dominicana de Electricidad (CDE) y de cálculos propios.; a/ Porcentaje sobre la longitud total existente en cada zona.


COSTOS DE LOS DAÑOS EN LOS SISTEMAS DE ACUEDUCTOS Y ALCANTARILLADO

Empresa Región

Daños Total ReconstrucciónDirectos Indirect

osTotal (pesos) 93,535.

62

62,039.

47

155,575

.09

263,478.1

6 Total (dólares)

6,235.71

4,135.9

6

10,371.

67

17,565.21

INAPA Este 16,633.05

17,167.6

8

33,800.73

39,869.95 Sur

41,238.20

17,528.36

58,766.56

126,722.23

Norte 14,156.87

2,737.49

16,894.36

42,110.99

CAASD Global 19,810.00

24,605.9

4

44,415.94

50,000.00

CORAASAN Global 1,697.50

—

1,697.50

4,775.00

Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras oficiales y de cálculos propios.

COSTO DE LOS DAÑOS EN LOS SISTEMAS DE RIEGO

(Miles de pesos)Distrito Daños Total Reconstruc

ciónDirect

osIndirect

os Total 22,366.

068,114

.890,480

.976,760.

9 Yaque del Sur 4,708.3 8,468.6 13,176.9 16,638.3

Ozama-Nizao 819.0 3,051.0 3,870.0 2,813.5

Valle de San Juan 2,940.5 5,205.4 8,145.9 10,981.8

Bajo Yaque del Norte 757.1 947.5 1,704.6 2,523.7

Yuna-Camú 527.0 799.0 1,326.0 1,756.5

Bajo Yuna 184.5 3,874.5 4,059.0 615.0

Alto Yaque del Norte 1,335.8 1,400.9 2,736.7 4,452.8

Lago Enriquillo 921.0 35,839.0 36,760.0 3,070.0

Valle de Azua 9,520.5 6,612.7 16,133.3 31,735.1

Operativa del Este 652.3 1,916.2 2,568.5 2,174.2

Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras del INDRHI y de cálculos propios.

PERTES ÉCONOMIQUES DANS PERTES ÉCONOMIQUES DANS LES LES AQUEDUCSAQUEDUCS ET SYSTÈMES ET SYSTÈMES

D’D’IRRIGATIONIRRIGATION; CYCLONE ; CYCLONE GEORGES, République GEORGES, République Dominicaine; sept. 1998Dominicaine; sept. 1998


Daños totales

Daños directos

Daños indirectos

Componente de importación

Total 5,225.7 2,852.0 2,373.6 1,867.3

Sector y subsector

Transporte 4,380.6 2,006.9 2,373.6 1,289.2

Puentes destruidos (2,404 m) 482.3 173.1 309.3 207.7

Puentes dañados (2,953 m) 230.8 103.4 127.4 56.4

Carreteras principales (230 km)

947.2 346.2 601.0 306.8

Caminos vecinales (2,000 km) 2,530.1 1,200.2 1,329.9 612.4

Alcantarillas (16,560 m) 83.5 83.5 33.4

Puertos 36.0 36.0 14.4

Aeropuertos a/ 70.7 64.5 6.1 58.1

Telecomunicaciones 600.0 600.0 480.0

Edificaciones públicas

245.1 245.1 98.1

Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras oficiales de la Secretaría de Obras Públicas y Comunicaciones y de cálculos propios.a/ No incluye daños directos de equipos meteorológicos.

PERTES ÉCONOMIQUES DANS LE SECTEUR TRANSPORT ET COMMUNICATIONS; CYCLONE GEORGES, République Dominicaine; sept. 1998


Concepto Millones de pesos

Total gastos extraordinarios 3,177.9

Gobierno central 1,477.9

Gastos en bienes y servicios 300.0

Atención a la emergencia en el sector agropecuario 353.0

Atención a la emergencia en el sector infraestructura 518.2

Gastos en sanidad y salud 6.0

Atención de las instalaciones deportivas 32.8

Atención a las instalaciones educativas y de cultura 267.9

Transferencias 1,700.0

Al Instituto Nacional de Estabilización de Precios (INESPRE) 277.6

A la Corporación Dominicana de Electricidad (CDE) 608.0

Al Banco Agrícola 175.0

Al Consejo Estatal del Azúcar (CEA) 200.0

Al Instituto Nacional de la Vivienda (INVI) 300.0

Al Instituto Nacional de Recursos Hidráulicos (INDRHI) 81.7

A la Corporación de Acueductos y Alcantarillados de Santo Domingo (CAASD), y otros

54.3

Al Jardín Botánico 3.4

Financiamiento total 3,190.1

Recursos internos y/o externos sin contrapartida

1,270.4

Aportes a empleados públicos 16.0

Bonos de Solidaridad 1,000.0

Donaciones en especie y en efectivo 254.4

Refinanciamiento externo 1,919.7

Deuda Club de París 1,488.4

Banco Mundial 273.3

BID 158.0

Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras del Banco Central de la República Dominicana.

DÉPENSES PENDANT L’ATTENTION DE

L’URGENCE;

CYCLONE GEORGES, République



BIENS,BIENS,

Production d’ O2

Capture, fixation, séquestration, emmagasinement de CO2

Fonction hydrologique, prévention de désastres et de l’érosion des sols

Recyclage de nutrients et de la biomasse; production organique, contrôle biologique de plaies

Récréation, écotourisme

Conservation/gestion de la biodiversité: pharmacologie, agronomie, bio-industrie …)

LA VALEUR DES BIENS ET DES SERVICES NATURELSLA VALEUR DES BIENS ET DES SERVICES NATURELS

SERVICES,SERVICES, BÉNÉFICES,BÉNÉFICES, COÛTS…COÛTS… … … LEUR VALEUR…LEUR VALEUR…


Valeur intrinsèque naturelle: matière première, équilibre de Valeur intrinsèque naturelle: matière première, équilibre de l’écosystème...)l’écosystème...)

LA VALEUR EST COMPOSÉE AU MOINS DE:LA VALEUR EST COMPOSÉE AU MOINS DE:

Coût environnemental d’extraction: impact sur l’équilibre de Coût environnemental d’extraction: impact sur l’équilibre de l’écosystème, paysage, biodiversité…l’écosystème, paysage, biodiversité…

TOUT DOIT POUVOIR ÊTRE RÉPRÉSENTÉ ET TOUT DOIT POUVOIR ÊTRE RÉPRÉSENTÉ ET QUANTIFIÉ EN UNITÉS D’INVERSION DE CAPITAL QUANTIFIÉ EN UNITÉS D’INVERSION DE CAPITAL

(VISION ÉCONOMICISTE)(VISION ÉCONOMICISTE)


Valeur potentielle dans le marchéValeur potentielle dans le marché

Valeur ajoutée du travail: extraction, transformation, mis-à-Valeur ajoutée du travail: extraction, transformation, mis-à-disposition de la société et du marché…disposition de la société et du marché…

Coût social, économique, technologiqueCoût social, économique, technologique

Mise-en place au marché, capitalisationMise-en place au marché, capitalisation


UTILISATION DIRECTE UTILISATION INDIRECTE

VALEURS D'UTILISATION VALEURS NON LIÉES À

L'UTILISATION RÉCRÉATIONRÉCRÉATION ÉCOTOURISMEÉCOTOURISME BIODIVERSITÉBIODIVERSITÉ RECHERCHERECHERCHE ÉDUCATIONÉDUCATION BOISBOIS AUTRES...AUTRES...

RECYCLAGE DE RECYCLAGE DE NUTRIENTSNUTRIENTS

FONCTION FONCTION HYDROLOGIQUE-HYDROLOGIQUE-MICROCLIMATIQUEMICROCLIMATIQUE

PROTECTION DU SOLPROTECTION DU SOL FIXATION ET FIXATION ET

SÉQUESTRATION DU SÉQUESTRATION DU COCO22

• VALEUR VALEUR D’ÉXISTENCED’ÉXISTENCE

• VALEUR DE VALEUR DE LÉGATLÉGAT

• VALEUR VALEUR ALTRUISTIQUEALTRUISTIQUE

• VALEUR VALEUR D’OPTION ET D’OPTION ET QUASI-OPTIONQUASI-OPTION



VALEUR D’UTILISATIONVALEUR D’UTILISATION

D’ÉXISTENCED’ÉXISTENCE: Satisfaction dérivée de la conscience de : Satisfaction dérivée de la conscience de pérennité: ressources naturelles, culturelles, historiques, pérennité: ressources naturelles, culturelles, historiques, préhistoriques. préhistoriques.

Non à cause des bénéfices matériels qui portentNon à cause des bénéfices matériels qui portent

Valeur Valeur ALTRUISTIQUEALTRUISTIQUE……

VALEUR DE “NON-UTILISATION”VALEUR DE “NON-UTILISATION”

DIRECTEDIRECTE: UTILISATION SANS INTERMEDIAIRE (soleil, pluie, : UTILISATION SANS INTERMEDIAIRE (soleil, pluie, vagues)vagues) Ne cause pas de transformation:Ne cause pas de transformation: observation de la nature, prise de observation de la nature, prise de

photos, éducation, recherche, extraction d’échantillons, bio-photos, éducation, recherche, extraction d’échantillons, bio-prospectionprospection

INDIRECTEINDIRECTE: Les fonctions environnementales appuient ou : Les fonctions environnementales appuient ou protègent des activités économiques d’utilisation-production: protègent des activités économiques d’utilisation-production: fixation du COfixation du CO22, recyclage de nutrients …, recyclage de nutrients …



ALTRUISTIQUEALTRUISTIQUE: Satisfaction si d’autres individus se favorisent de la : Satisfaction si d’autres individus se favorisent de la protection et des restrictionsprotection et des restrictions LÉGATLÉGAT: Actions de protection de la génération actuelle, afin : Actions de protection de la génération actuelle, afin

d’hériter les générations futuresd’hériter les générations futures

OPTIONOPTION: : Primes-coûts à payer pour garantir leur disponibilité futurePrimes-coûts à payer pour garantir leur disponibilité future Disposition à payer ou escompter une prime qui garantisse leur Disposition à payer ou escompter une prime qui garantisse leur

disponibilité future, tout en considérant l’incertitude de l’offredisponibilité future, tout en considérant l’incertitude de l’offre Valeur productif ou de consommation qui garantisse leur Valeur productif ou de consommation qui garantisse leur

disponibilitédisponibilité Prime-valeur d’option « ex-ante »Prime-valeur d’option « ex-ante »

QUASI-OPTIONQUASI-OPTION:: Lorsque il est désiré de retarder-éviter la conversion Lorsque il est désiré de retarder-éviter la conversion

irréversibleirréversible Valeur « de l’inconnu » et de « l’éventuelle utilisation future » : Valeur « de l’inconnu » et de « l’éventuelle utilisation future » :

bio-prospection, pharmacologie, biotechnologie, bio-industrie, bio-prospection, pharmacologie, biotechnologie, bio-industrie, agricultureagriculture



PROTECTION DES ÉCOSYSTÈMES ET DE LA BEAUTÉ SCÉNIQUE PROTECTION DES ÉCOSYSTÈMES ET DE LA BEAUTÉ SCÉNIQUE NATURELLE (ÉCOTURISMO)NATURELLE (ÉCOTURISMO)

Valorisation contingente: Volonté de paiement pour l’utilisation, Valorisation contingente: Volonté de paiement pour l’utilisation, jouissance des éléments de récréation, scéniques, d’expérience et jouissance des éléments de récréation, scéniques, d’expérience et d’aventure…d’aventure… RESERVE BIOLOGIQUE MONTEVERDE, COSTA RICA RESERVE BIOLOGIQUE MONTEVERDE, COSTA RICA

(Echeverría et al, 1994): Enquête sur 575 visiteurs désireux d’éviter (Echeverría et al, 1994): Enquête sur 575 visiteurs désireux d’éviter la transformation en terre agricole, US$152/visiteurs/an; la transformation en terre agricole, US$152/visiteurs/an; US$5/ha/anUS$5/ha/an

FORÊT TROPICALE MÉXICAINE (Adger et al, 1994): Valeur FORÊT TROPICALE MÉXICAINE (Adger et al, 1994): Valeur écotouristique de US$3,15 à 3,46/ha/anécotouristique de US$3,15 à 3,46/ha/an

VALEUR ÉCOTURISTIQUE MOYEN DE LA FORÊT VALEUR ÉCOTURISTIQUE MOYEN DE LA FORÊT CENTRAMÉRICAINE (Kishor et Constantino, 1995):CENTRAMÉRICAINE (Kishor et Constantino, 1995): US$3,50 à US$7,50/ha/an, forêt primaireUS$3,50 à US$7,50/ha/an, forêt primaire US$1,50 à US$4,00/ha/an, forêt secondaireUS$1,50 à US$4,00/ha/an, forêt secondaire

Profit du critère culturelle de la beauté de l’écosystème, la biodiversité Profit du critère culturelle de la beauté de l’écosystème, la biodiversité et de leur valeur d’existenceet de leur valeur d’existence


PROTECTION DE L’EAUPROTECTION DE L’EAU

Agriculture, pâturage, sylviculture

PARQ NATPARQ NAT IONAL KORUP, CAMEROUNIONAL KORUP, CAMEROUN: US$3.5 millions/an par : US$3.5 millions/an par les bénéfice rendus à la pêche et US$3.4 millions/an les bénéfice rendus à la pêche et US$3.4 millions/an supplémentaires à cause de la diminution de la sédimentation dans supplémentaires à cause de la diminution de la sédimentation dans les ports (Ruitenbeck, 1989)les ports (Ruitenbeck, 1989)

US$24.92/ha/an par les bénéfices de la réduction de l’érosion-US$24.92/ha/an par les bénéfices de la réduction de l’érosion-sédimentation du sédimentation du réservoir hydroélectrique de Arenal, Costa Ricaréservoir hydroélectrique de Arenal, Costa Rica (Calvo, 1996)(Calvo, 1996)

Récréation, tourisme, paysage Navigation, sports Hydroélectricité Mitigation des dégâts causés par les inondations et les

sécheresses Aqueducs Industrie, agriculture Santé, qualité de vie


Forêt

affectée

Proport.

(%)

Aire (ha)

Degré du

dégàt

Prop. de

perte

Perte brute (ha)

Volume de

bois (moyenne=

x103x175m3/ha)

Perte

équivalente de valeur

hipotecaire (x103US$10/m3)

Affectée (227500ha

)

50

113.75

0

Intact

Aucune

Aucune

Zero

Zero

-

30 68.250

Partielme

ntnte dañado

0.25

17.000

2.975

29.750

-

20 45.500

Très

endomagé

0.5

22.750

3.981

39.813

Détruite

100

67.500

Irrecup.

total

67.500

11.812

118.125

TOTAL

295.00

0

18.771

187.688

PERTE DE VOLUME ET DE VALEUR HIPOTECAIRE DU BOIS ABATU À CAUSE DU CYCLONE GEORGES, RÉPUBLIQUE DOMINICAINE; 22 septembre, 1999

Forêt

Affectée

Proportion

(%)

Aire (ha)

Dégré du dégât

Pértes du

service environnental

Pértes du

service (US$/ha/an)

Période de perte

Montant

(x103US$) Endommagée

(227500ha)

50 113.750

Intact

Aucune

Zero

Aucune

0

-

30

68.250

Partiellement endommagée

0.25

15.5

3 ans

3.173,7

-

20

45.500

Très

endommagée

0.5

31

6 ans

8.463,0 Détruite

100

67.500

Irrécupperable

total

62

7 ans

29.295,0

TOTAL

295.000

40.931,7

PÉRTE DE BÉNÉFICES NON PERCUS PAR LA CAPTURE ET LIBÉRATION DE CO2 ; CYCLONE GEORGES, RÉPUBLIQUE DOMINICAINE; 22 septembre, 1999


ÁREA AFFECTÉE PAR UNITÉ DE SURFACE

EXTENTION

(km2)

PROPORTION DU

TERRITOIRE NATIONAL

(%)

VOLUME DES SOLS

MOBILISÉ (x106m3)

10% ou moins

239,22

0,49

717,66

30%

96,15

0,3

288,45 50% ou plus

60,51

0,19

181,53

TOTAL

395,88

0,98

1.187,64

PERTE DE SOLS ET SÉDIMENTATION CAUSÉE PAR LES GLISSEMENTS, COULÉES TORRENTIELLES ET ÉROSION INTENSE; CYCLONE GEORGES,

RÉPUBLIQUE DOMINICAINE; 22 Septembre/99


Áreas protegidas Área afectada

(km2)

Grado de impacto a/

Total 6,796

PN Armando Bermúdez 766 Moderado

PN Cuevas de Borbón o El Pomier 0.25 Severo

PN Del Este 430 Muy severo

PN Isla Catalina 22 Muy severo

PN Isla Cabritos 25 Mínimo

PN José del Carmen Ramírez 764 Moderado

PN Laguna de Cabral o Rincón 240.54 Severo (inundación)

PN Lagunas Redonda y Limón 107.7 Moderado-severo

PN Los Haitises 1,375 Severo-muy severo

PN Montaña La Humeadora 420 Muy severo

PN Nalga de Maco 278 Moderado

PN Sierra de Bahoruco 800 Mínimo

PN Sierra de Martín García 319.5 Mínimo

PN Sierra de Neyba 407 Moderado

Lomas de Barbacoa 22 Moderado-severo

PN Valle Nuevo 657 Moderado-severo

RC Ébano Verde 23.1 Moderado-severo

RC Guaconejo 50 Mínimo-moderado

RC Quita Espuela 72.5 Moderado

PU Santo Domingo y Jardín Botánico 16.4 Muy severo

Fuente: CEPAL, elaboración propia sobre la base de información de la Dirección General de Parques, Presidencia de la República, “Informe preliminar del impacto del Huracán Georges en las Áreas Naturales Protegidas”, 2 de octubre 1998. Nota: PN: Parque nacional; RC: Reserva científica; PU: Parque urbano.a/ Áreas de influencia del huracán Georges según estudio preliminar de la Oficina Nacional de Planificación (ONAPLAN)

AIRES PROTÉGÉES ENDOMMAGÉES; CYCLONE GEORGES, République Dominicaine; sept. 1998


Área protegida Impacto a/ directo yporcentaje de árboles

derribados b/

Observaciones

PN Armando Bermúdez Moderado a severo, 35 40% deshojado; Pico Duarte afectado, erosión y derrumbes

PN Cuevas de Borbón o El Pomier Moderado, 25

PN Del Este Severo, 50

Isla Catalina Severo, 30

PN Isla Cabritos Mínimo, 20 Lago Enriquillo creció

PN José del Carmen Ramírez Moderado, 30 Surcos de importancia y algunas cárcavas

PN Laguna de Cabral o Rincón Severo (inundación), 50 Cocoteros y Gramas afectadas, otros daños

PN Lagunas Redonda y Limón Severo-muy severo, 80

PN Los Haitises Severo-muy severo, 95 Queda bastante sotobosque

PN Montaña La Humeadora Muy severo, 80 Mucho daño a los árboles más altos

PN Nalga de Maco Moderado, 25

PN Sierra de Bahoruco Mínimo, 15 Cárcavas en el Vedado del Curro y por la pista panorámica

PN Sierra de Martín García Mínimo, 3

PN Sierra de Neyba Moderado, 25

PN Lomas de Barbacoa Moderado-severo, 30

PN Valle Nuevo Moderado-severo, 30 Fauna afectada 30%

RC Ébano Verde Moderado-severo, 40

RC Guaconejo Mínimo-moderado, 20

RC Quita Espuela Moderado, 30

PU Santo Domingo y Jardín Botánico Severo, 37 Mucho retoño un mes después

Fuente: CEPAL, elaboración propia, basándose en el cuadro 23.

Nota: PN: Parque nacional; RC: Reserva científica; PU: Parque urbano.a/ Definido en el anexo MA-1; en concordancia con áreas de influencia del huracán Georges, según estudio preliminar de ONAPLAN (véase el cuadro MA-1).b/ Promedio de árboles derribados, 40% en el 52% de las áreas protegidas del país.

SURFACES DE FORÊT ENDOMMAGÉES; CYCLONE GEORGES, République Dominicaine; sept. 1998


Servicio ambiental

Bosque primario

b/

Bosque secundario b/

Valor medio estimado para la República

Dominicana Total 58.00 41.76 60.00

Fijación de carbono 38.00 29.26 30.00

Protección de aguas 5.00 2.50 10.00

Protección de biodiversidad 10.00 7.50 10.00

Protección de ecosistemas y valor estético

5.00 2.50 10.00

a/ Valor anual en dólares por hectárea.b/ Basado en: Echeverría y otros (1996), Carranza y otros (1995); valores para Costa Rica.

VALEUR MOYENNE DE LA VALEUR MOYENNE DE LA FORÊT, République FORÊT, République

DominicaineDominicaine

ESTIMACIÓN DE LOS DAÑOS SOBRE LOS SERVICIOS AMBIENTALES EN LAS ÁREAS PROTEGIDAS

Tipo de área y

porcentaje de daño

Área afecta

da(km2)

Daño total equivalente

a/(km2)

Daño directo (miles de dólares)

Captura de CO2

Protección de aguas

Biodiversidad

Protección de

ecosistemas

Total por año

Servicios que se dejarán de generar en el

período de recuperación

b/Total 7,09

62,848 8,54

42,848 2,848 2,848 17,0

87119,612

Parques nacionales y otras reservas (40%)

6,780 2,712 8,136 2,712 2,712 2,712 16,272 113,904

Bosques fluvio-ribereños c/ (60%)

50 30 90 30 30 30 180 1,260

Parques urbanos Jardín Botánico (37%)

16 6 18 6 6 6 35 248

Plantaciones forestales (40%)

250 100 300 100 100 100 600 4,200

Fuente: CEPAL, elaboración propia.a/ Para cada área se ha obtenido la superficie equivalente a una destrucción total, a partir de la superficie real y el porcentaje de caída de árboles y palmas.b/ El período de recuperación se estima en no menos de 14 años, con una incorporación parcial de éstos a lo largo del tiempo.c/ Se estimó la intervención antropogénica del bosque ribereño-fluvial en un 20%.

ESTIMATION DES DÉGÂTS SUR LES ESTIMATION DES DÉGÂTS SUR LES BIENS ET SERVICES ENVIRONNEMENTAUXBIENS ET SERVICES ENVIRONNEMENTAUX; ; CYCLONE GEORGES, République Dominicaine; sept. 1998CYCLONE GEORGES, République Dominicaine; sept. 1998


DÉGÂTS CAUSÉS PAR LE DÉGÂTS CAUSÉS PAR LE CYCLONE GEORGES, CYCLONE GEORGES,

RÉPUBLIQUE RÉPUBLIQUE DOMINICAINEDOMINICAINEseptembre, 1998septembre, 1998

TOTAL 2,193.4 1,337.0 644.5 856.0SECTORES SOCIALES 322.8 169.9 152.9 143.6Vivienda 231.9 106.7 125.2 80.0Salud 22.1 6.4 15.7 16.5Educación 68.8 56.8 12.0 47.1INFRAESTRUCTURA 453.6 225.1 228.5 193.8Agua y alcantarillado 16.4 7.7 8.7 9.4Energía y electricidad 88.9 27.3 61.6 60.0Transporte y telecom. 332.0 173.8 158.2 117.9Edificios públicos 16.3 16.3 0.0 6.5SECTORES PRODUCTIVOS 1,081.2 822.4 258.8 518.6Agricultura y ganadería 527.4 441.1 86.3 216.9Industria 323.3 199.0 124.3 120.5Turismo 174.5 149.0 25.5 174.5Comercio 56.0 33.3 22.7 6.7AMBIENTE 123.9 119.6 4.3 0.0Emergencia 211.9 0.0 0.0 0.0Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras oficiales y cálculos propios


COÛT TOTAL DES DÉGÂTSCOÛT TOTAL DES DÉGÂTS Somme totale des dégâts directs et indirects, tant en termes Somme totale des dégâts directs et indirects, tant en termes

matériels comme monétairesmatériels comme monétaires

US$ MILLONESDAÑOS PROPIEDAD

SECTORES TOTAL DIRECTO INDIRECTO PÚBLICA PRIVADACEPAL (2001)

SOCIALES 616,7 496,4 120,3 237,7 379,0Educación 210,5 190,4 20,1 68,6 141,9Salud 72,4 55,9 16,5 72,4 -Vivienda y asentamientos humanos 333,8 250,1 83,7 96,7 237,1INFRAESTRUCTURA 472,3 96,7 375,6 171,2 301,2 Electricidad 16,4 3,2 13,2 3,3 13,2 Agua y saneamiento 23,1 18,7 4,4 13,1 10,0 Transporte 432,8 74,8 358,0 154,8 278,0 PRODUCTIVOS 339,3 243,7 95,6 15,3 324,1Agropecuario y pesca 93,1 38,5 54,6 13,4 79,8Industria, comercio, turismo 246,2 205,2 41,0 1,9 244,3AMBIENTE 102,5 102,0 0,5 102,5 -OTROS DAÑOS Y GASTOS 73,0 - 73,0 40,0 33,0

TOTAL 1.603,8 938,8 665,0 566,7 1.037,3

LES DÉGÂTS ÉCONOMIQUES; LA CRISE SISMIQUE, EL SALVADOR; 2001

Ne quantifie pas les pertes des vies humaines du point de vie Ne quantifie pas les pertes des vies humaines du point de vie économique ou financier; seulement enregistre le nombre de morts, économique ou financier; seulement enregistre le nombre de morts, blessés et disparusblessés et disparus


DEPARTAMENTO Costo de los daños/habitante(US$)

AHUACHAPÁN 64,54CABAÑAS 22,94CHALALTENANGO 7,14CUSCATLÁN 736,27LA LIBERTAD 399,11LA PAZ 941,16LA UNIÓN 14,32MORAZÁN 4,65SAN MIGUEL 100,96SAN SALVADOR 103,07SAN VICENTE 1.530,45SANTA ANA 174,57SONSONATE 288,88USULUTÁN 533,31

PROMEDIO NACIONAL US$ 351,54PIB per cápita (2000) 1.571,00

DISTRIBUTION, PER CAPITA, DES DÉGÂTS ÉCONOMIQUES CAUSÉS PAR LA CRISE SISMIQUE, EL SALVADOR; 2001


COLOMBIA: RECAPITULACIÓN DE DAÑOS DEL TERREMOTO EN EL EJE CAFETERO(Miles de dólares)

Directos Indirectos TotalComponenteimportado

TOTAL (sin incluir los gastos hechos por la emergencia) 1,668,128 189,237 1,857,365 100,383

171,478 50,772 222,250Agricultura 12,278 667 12,945 Sector cafetero 8,978 0 8,978 Pérdida de infraestructura 8,978 0 8,978

Sector no cafetero 3,300 667 3,967 Pérdida de infraestructura 1,800 0 1,800

Materias primas agroindustriales 1,167 0 1,167

Pérdidas de producción 333 0 333

Gastos adicionales, ventas no realizadas 667 667

Comercio, industria y servicios 159,200 50,105 209,305 60,000 Manufacturas 17,600 5,133 22,733 48000

Activos fijos 12,200 0 12,200

Existencias 5,400 0 5,400

Pérdidas de producción 5,133 5,133

Comercio 104,733 28,800 133,533 12,000




Servicios 32,667 9,600 42,267




Turismo 4,200 6,572 10,772 Daños en infraestructura 4,200 0 4,200

Lucro cesante 0 6,572 6,572

SECTORES SOCIALES 1,447,327 95,907 1,543,234 24,124 Educación, instalaciones deportivas, templos religiosos y otros edificios culturales ypatrimomiales

102,900 34,333 137,233 24,124

Salud y servicios asistenciales 15,841 35,023 50,865 4,363

Vivienda 1,328,586 26,550 1,355,136 0

INFRAESTRUCTURA 48,935 39,719 88,654 11,896 Transportes y comunicaciones 19,483 20,859 40,342 9,763

Agua y alcantarillado (incluye desinfección y sanidad del agua) 8,119 11,225 19,343 0

Energía 21,333 7,635 28,968 2,133

AMBIENTE 389 2,839 3,228 0Deslizamientos de suelo y pérdida de capa vegetal 389 0 389 0Saneamiento, fumigación, reforestación del relleno sanitario 2,839 2,839 0

ATENCIÓN DE LA EMERGENCIA 45,000 45,000Fuente: CEPAL, estimaciones propias sobre la base de informaciones oficiales.


VENEZUELA

Daños

totales

Daños

directos

Daños

indirectos

Costo de

reconstrucc ión

Componente

importado

Total 3,209 1,959 1,250 2,922 314

Sec tores soc iales 704

Vivienda 506 432 74 600 22

Infraestruc tura urbana 68 68 75 3

Salud 61 29 32 55 3

Educac ión 69 54 15 114 9

Infraestruc tura 1,186

Transportes (vialidad,

puertos y aeropuertos) 782 320 462 500 78

Agua y saneamiento 243 166 77 282 27

Energía 160 132 29 200 13

Sec tores produc tivos 904

Agricultura, ganadería y

pesca 143 102 42 75 41

Industria manufac turera 37 21 16 25 7

Comerc io y otros

servic ios 427 342 85 450 34

Turismo 297 194 103 250 60

Medio ambiente 68 21 48

Otros daños 296

Patrimonio cultural 80 80 80 4

Demolic ión, limpieza y

remoc ión escombros 216 216 216 43

Atenc ión de la

emergenc ia 51 51 -30


DISTRIBUCIÓN DAÑO TOTAL POR SECTORES

22%

37%

28%

2%11%

Sociales Infraestructura Productivos

Ambiente Otros daños


DISTRIBUCIÓN DEL TIPO DE DAÑO OCASIONADO POR EL DESASTRE

63%8%

29%

AcervoProducciónMayores gastos y menores ingresos

4,927

3,596 12,651

5,170

9,455

9,546

0

2,000

4,000

6,000

8,000

10,000

12,000

14,000

16,000

18,000

20,000

1972-1980 1980-1990 1990-1999

Daños directos Daños indirectosBID/CEPAL, 2000


EFFETS SECONDAIRESEFFETS SECONDAIRES

Impact sur le comportement global de l’économie, mesurés au Impact sur le comportement global de l’économie, mesurés au moyen des variables macroéconomiques principalesmoyen des variables macroéconomiques principales

Différence entre le comportement et les estimations avant et après le Différence entre le comportement et les estimations avant et après le désastredésastre

Les variables:Les variables:– Produit intérieur brut total et par secteursProduit intérieur brut total et par secteurs– Balance de paiements et balance commercialBalance de paiements et balance commercial– Niveau d’endettement et des réserves monétairesNiveau d’endettement et des réserves monétaires– Solde des las finances publiques (par rapport à la relation Solde des las finances publiques (par rapport à la relation

recettes vs. dépenses fiscaux)recettes vs. dépenses fiscaux)– Investissements et formation de capital brutInvestissements et formation de capital brut– Fluctuations des prix (e.g. inflation)Fluctuations des prix (e.g. inflation)– Niveaux d’emploi et de chômage; rNiveaux d’emploi et de chômage; revenus familial et personaleevenus familial et personale– Indicateurs sociaux (éducation, santé, etc.)Indicateurs sociaux (éducation, santé, etc.)

Ne peuvent pas être additionné arithmétiquement au total des dégâts Ne peuvent pas être additionné arithmétiquement au total des dégâts directs et indirectsdirects et indirects

Perçus pendant une période déterminé a posteriori du désastre:Perçus pendant une période déterminé a posteriori du désastre:– Court termeCourt terme: 0,5-1 an; : 0,5-1 an; moyen termemoyen terme: 2-4 ans; : 2-4 ans; long termelong terme: 10-15 ans: 10-15 ans


Indicateur macroéconomique Changéments éspérés après le désastre Croissance du PNB

Décroissance-perte importante dans l’année du désastre et 1 ou 2 ans subséquement

Secteur agricole Perte significative dans la production (au cas d’un cyclone, inondation ou sécheresse

Secteur manufactures Decrease in activity due to disruption of transportation, reduced production capacity

Secteur exportation Pauvre performance à cause des effets se-condaires

Formation brute de capital Croissance abrupte dans l’anée suivant au dé-sastre, suivie d’une décroissance dans les an-nées suivantes

Taux d’inflation Augmentation causée par la décroissance dans la production-distribution et des coûts du transport

Finances publiques Élargissement du déficit à cause de la réduction des recettes fiscales, taxes, impôts et à l’augmentation des dépenses publiques

Balance commercial

Déficit ; diminution des exportations et aug-mentation des importations, associées avec le déclin de la capacité de production, mal-gré le fort investissement public et privé dans la reconstruction

Compte Courant Augmentation du déficit par la perte de ba-lance commerciale; malgré l’arrivée des do-nations, remises, emprunts, assurances

CHARVERIAT; 2001CHARVERIAT; 2001


EFFETS SUR LES SECTEURS PRODUCTIFSEFFETS SUR LES SECTEURS PRODUCTIFS

Sur la dotation des ressources, matières premières, usines, Sur la dotation des ressources, matières premières, usines, industrie, machines, main d’œuvre...industrie, machines, main d’œuvre...

Aspects macroéconomiques:Aspects macroéconomiques:– Augmentation de l’activité associée directement à la Augmentation de l’activité associée directement à la

reconstructionreconstruction– Pressions inflationnistes: manque de ressources, Pressions inflationnistes: manque de ressources,

augmentation de la demandaaugmentation de la demanda– Pressions sur la disponibilité de crédit et des ressources Pressions sur la disponibilité de crédit et des ressources

financiersfinanciers– Pressions dans le marché de travailPressions dans le marché de travail


EFFETS SUR LES FINNANCES PUBLIQUESEFFETS SUR LES FINNANCES PUBLIQUES

Estimation des changements (croissance-décroissance) par l’effet Estimation des changements (croissance-décroissance) par l’effet du désastre:du désastre:

Aspects fiscaux:Aspects fiscaux:– RecettesRecettes: diminuent à cause de la réduction de l’activité : diminuent à cause de la réduction de l’activité

économique et la réception des taxes et impôts; peuvent s’élever économique et la réception des taxes et impôts; peuvent s’élever temporairement comme conséquence de l’activité de temporairement comme conséquence de l’activité de réhabilitation reconstructionréhabilitation reconstruction

– Dépenses courantesDépenses courantes (au niveau central et municipal) s’élèvent à (au niveau central et municipal) s’élèvent à cause de la gestion de l’urgencecause de la gestion de l’urgence

EFFETS SUR LES COMPTES DE CAPITALEFFETS SUR LES COMPTES DE CAPITAL

Dépenses de capital: Augmentent à cause des besoins de la Dépenses de capital: Augmentent à cause des besoins de la réhabilitation et reconstruction de l’infrastructure publiqueréhabilitation et reconstruction de l’infrastructure publique

Ils sont calculés sur la base du budget fiscal précédant le désastreIls sont calculés sur la base du budget fiscal précédant le désastre

Recettes de capital courant: S’élèvent temporairement à cause de Recettes de capital courant: S’élèvent temporairement à cause de la réception des assurances (quand ils existent), arrivée de l’aide la réception des assurances (quand ils existent), arrivée de l’aide d’urgence (donations, emprunts, remises)d’urgence (donations, emprunts, remises)

Dépenses de capital courant: Augmentent quand il faut payer le Dépenses de capital courant: Augmentent quand il faut payer le paiement des intérêts et principal de emprunts reçus pour gérer le paiement des intérêts et principal de emprunts reçus pour gérer le désastredésastre


5.27

26.39

0

5

10

15

20

25

30

%

1

EFECTOS SOBRE EL SECTOR EXTERNO

Balance comercial

Balance de pagos


13.2

1.42.6

0.4

0

2

4

6

8

10

12

14

%

RELACIÓN PÉRDIDA TOTAL VS PIB

Mitch en Centroamérica

Terremoto de México1985

El Niño 1997-1998 enRegión Andina

Huracán Andrew enEstados Unidos

3.7

2.3

0.3

1.1

0

1

2

3

4

%

% del PIB

DAÑOS EN FUNCIÓN DEL PIB

Daño total Daño al acervoPérdida de producción Mayores costos y menores ingresos


Selected Disaster CasesCountry Year Type of hazard Loss (%GDP)

1988 Hurricane 1.50%1991 Earthquake 8.87%Costa Rica1996 Flood 2.73%

1982 Tropical storm 3.44%1990 Flood 1.57%Honduras

1993 Hurricane/floods 3.39%

México 1985 Earthquake 2.18%

1982 Tropical storm 18.74%1988 Hurricane 32.57%1992 Earthquake 1.36%

Nicaragua

1994 Drought 8.74%

Panamá 1988 Hurricane 1.23%

Guatemala 1982 Flood 1.20%

Haití 1988 Hurricane 4.09%1980 Hurricane 2.39%1986 Flood 3.00%1988 Hurricane 28.21%

Jamaica

1991 Flood 6.62%

St. Kitts & Nevis 1995 Hurricane 85.42%

Bahamas 1992 Hurricane 8.75%Barbados 1987 Hurricane 6.86%

Brazil 1984 Flood 1.00%Chile 1985 Earthquake 9.10%Paraguay 1983 Flood 1.36%

Argentina 1985 Flood 1.48%

1982 Flood 19.80%1986 Flood 1.26%1988 Drought 1.09%

Bolivia

1992 Flood 1.63%

1985 Volcano 2.87%1983 Earthquake 1.06%

Colombia

1982 Flood 1.68%1987 Earthquake 6.65%Ecuador1993 Landslide 3.50%

Perú 1983 Flood/drought 5.96%


CROISSANCE DU PIB

ELSALVADOR


ESTIMACIÓN DE LA EVOLUCIÓN DE LAS FINANZAS PÚBLICAS (Gobierno central)

(Millones de pesos)

Concepto 1996 19971988

Antes del

huracán a/

Después del

huracánIngresos totales 26,488.3 34,729.1 39,874.2 39,565.3

Ingresos corrientes 26,006.7 34,294.4 39,488.2 39,265.3

Gastos corrientes 16,384.8 25,209.5 27,997.2 29,403.1

Pago de intereses 1,679.5 1,653.1 1,840.4 1,846.3

internos 19.9 91.4 91.4

Externos 1,679.5 1,633.2 1,749.0 1,754.9

Gasto de capital 12,224.2 10,974.0 9,946.8 11,724.7

Inversión fija 8,961.8 7,897.5 6,344.8 6,863.0

Transferencias de capital

2,717.9 2,936.3 3,519.8 4,479.6

Otros 544.5 140.2 82.2 382.1

Gastos totales 28,609.0 36,183.5 37,944.0 41,127.8

Saldo fiscal (ingresos totales menos gastos totales)

-2,120.7 -1,454.4 ¡1,930.2 -1,562.5

Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras oficiales y de cálculos propios.a/ Estimaciones del Secretariado Técnico de la Presidencia y del Banco Central.

Effets sur l’évolution des finances publiques;

Cyclone Georges, République



EFECTOS DEL HURACÁN GEORGES EN EL RITMO DE CRECIMIENTO (Millones de pesos a precios de 1970)

1998 1999 Tasas anuales de

crecimiento1998

Antes del huracán

a/

Después del

huracán

Antes del

huracán a/

Después del

huracán

1999

Producto interno bruto 5,728.5

5,673.1

6,152.2

7.5 6.5 7.9Bienes 2,430.

42,403.

82,645.

06.9 5.7 9.9

Agricultura, ganadería, silvicultura y pesca

699.2 660.2 699.6 6.2 0.3 6.1

Agricultura 403.2 362.6 387.9 9.2 -1.8 7.0

Ganadería 269.8 266.6 278.6 2.5 1.3 4.5

Silvicultura y pesca 26.2 31.0 33.0 0.8 19.2 6.5

Minería 117.3 118.0 118.5 -11.5 -11.0 0.4

Manufacturas 984.2 977.5 1,049.1 8.8 8.1 7.4

Azúcar 46.0 45.5 50.3 -15.6 -16.5 10.5

Zonas francas 735.5 729.0 787.3 11.1 10.1 8.0

Otras 202.7 203.0 211.6 7.8 8.0 4.2

Construcción 629.7 648.1 777.8 8.8 12.0 20.0

Servicios 3,298.1

3,269.3

3,507.2

8.1 7.1 6.5Comercio 730.5 717.8 771.0 10.5 8.6 7.4

Hoteles, bares y restaurantes 414.5 403.6 447.1 9.1 6.2 10.8

Transporte 399.2 396.7 425.6 10.1 9.4 7.3

Comunicaciones 264.7 262.0 299.5 19.5 18.3 14.3

Electricidad y agua 119.5 116.4 130.5 12.7 9.8 12.1

Finanzas, seguros y servicios prestados a las empresas

244.7 245.5 251.9 3.6 3.9 2.6

Bienes inmuebles (propiedad de viviendas)

254.2 253.2 258.5 2.2 1.8 2.1

Servicios gubernamentales 440.9 445.9 471.8 4.3 5.5 5.8

Otros 429.9 428.2 451.3 4.0 3.6 5.4

Fuente: CEPAL, sobre la base de cifras oficiales y de cálculos propios.a/ Estimaciones del Secretariado Técnico de la Presidencia y del Banco Central.

Effets sur le rithme de

croissance économique;

Cyclone Georges, République



0

2

4

6

8

10

1996 1997 1998 1999 2000 2001

CRECIMIENTO DEL PIB (%)

RÉPUBLIQUE RÉPUBLIQUE DOMINICAINEDOMINICAINE

-6

-4

-2

0

1996 1997 1998 1999 2000 2001

SALDO DE LA CUENTA CORRIENTE (%PIB)

-20

-15

-10

-5

01996 1997 1998 1999 2000 2001

BALANZACOMERCIAL(%PIB)


Median real GDP growth

2.46%

0.74%

3.54%

3.46%

0.00%

0.50%

1.00%

1.50%

2.00%

2.50%

3.00%

3.50%

4.00%

t-1 t0 t1 t2

Cases with decreasing GDP growth in Year of Disaster

-15.00%

-10.00%

-5.00%

0.00%

5.00%

10.00%

15.00%

y-1 y0 y+1 y+2

Years

Rea

l G

DP

Gro

wth

Ra

te (

%)

Macroeconomic indicators 1997 1998 1999 2000 (est.)Real GDP growth (%) 4,5 3,0 -2,0 3.0Inflation (%) 20,2 13,7 11,6 12,2Central government fiscal balance -- 2.080,7 1.089,5 N/aExports $ million 1.857,0 2.017,0 1.773,0 2.077,0

Imports $ million-

2.150,0-

2.340,0-

2.580,0-2.904,0

Current account deficit (%GDP) 5,7 6,4 6,5 N/aTotal external debt $ million 4.698,0 5.017,0 5.652,0 N/a

THE CASE OF HURRICANE MITCH IN HONDURAS (after ECLAC; in: Charveriat; 2001THE CASE OF HURRICANE MITCH IN HONDURAS (after ECLAC; in: Charveriat; 2001


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Les variables économiques de l’impact des désastres

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