LES GESTES QUI SAUVENT I.F.S.I de lEPSMD de lAisne- Prémontré - Module Optionnel - Avril 2008.
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LES GESTES
QUI SAUVENT
I.F.S.I de l’EPSMD de l’Aisne- Prémontré - Module Optionnel - Avril 2008
PRESENTATION
• Notre groupe est composé de 16 personnes :
Boulanger Laura, Clain Jeoffray, Dahmani Soulef, Deveau Emilie, Dos santos Matthieu, Doxin Fiona, El mansouri Souad, Gosse Elise, Gravet Marion, Guery Laëtitia, Ratajczyk Sophie, Kata Emmanuelle, Monteiro Edina, Touboulic Ambroise, Tourigny Julien, Tourtois Déborah.
• Nous avons choisi de traiter un thème en lien avec les gestes de premiers secours.
• Le groupe que nous formons, s’est constitué autour de ce thème, à partir de motivations personnelles telles que :
- Combler et/ou approfondir un manque par rapport à la formation initiale- Réinvestir des gestes peu utilisés et donc facilement oubliés- S’approprier un contenu gestuel particulier pour pouvoir ensuite le transmettre à notre tour
MOTIVATIONS DU GROUPE
• Sensibiliser, informer et prévenir d’autres personnes sur le thème général des gestes qui sauvent
• Adopter la bonne attitude en situation d’urgence, c’est à dire :- Comment réagir et quoi faire? - Comment gérer son stress et celui des autres?
• Connaître nos droits et nos devoirs lors d’une situation d’urgence
• Permettre de revoir un ou plusieurs gestes de 1er secours et remettre à jour nos pratiques
• Connaître le contenu du chariot d’urgence et savoir comment l’utiliser, car nous connaissons son existence mais malheureusement que très rarement son utilisation
• Aboutir à un dossier pertinent qui pourra être réutilisé
INTRODUCTION / DEFINITION DU SUJET
Définition Pourquoi se former ?
Historique Statistiques
Les différentes formations
LE ROLE DE L’IDE DANS UNE SITUATION D’URGENCE
Législation
Le Protocole d’Urgence Le Chariot d’Urgence : Composition et Responsabilité
SOMMAIRE
LES CONDUITES A TENIR DEVANT LES DIFFERENTES SITUATIONS D’URGENCE
Hémorragies Brûlure Graves Étouffement
Malaise Plaie
Inconscience
LE DEFIBRILLATEUR SEMI-AUTOMATIQUE Anatomie-Physiologie
La Défibrillation Le Défibrillateur
Historique Fonctionnement
Différence entre D.S.A. et D.E.A. Législation
Intérêt du D.E.A.
ACCIDENT DE LA VOIE PUBLIQUE Conciliation de la protection des victimes et des probables sauveteurs
Protection du sauveteur Textes relatifs au droit d’être secouru
Droit de la victime
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
REMERCIEMENTS
DEFINITIONS DU SUJET
DEFINITIONS
• Les gestes qui sauvent = urgence vitale
• Ces gestes = ensemble des techniques médicales d'aide d'urgence donné aux blessés et aux malades par une personne qui n'est pas nécessairement médecin
• But = assurer la survie de la personne avant l'arrivée des personnes compétentes
• Ces premiers secours = ensemble des savoirs et savoirs-faire pour reconnaître une situation dangereuse pour une personne, pour transmettre l'alerte et éviter l'aggravation de l'état de la
personne en attendant les soins médicaux.
Qu'est-ce qu'une situation d'urgence?
• Détresse de la Personne
• Si pas d’action envisagée par le témoin, peine pour non assistance à personne en danger
• Perte de toutes chances de survie et de guérison
POURQUOI SE FORMER ?
• Selon «la Croix Rouge», si le secouriste du premier instant est relayé rapidement par des secours spécialisés, dotés entre autres d'appareils de
défibrillation semi-automatique, les chances de survie d'une victime d'un arrêt cardiaque sont augmentées de
20%.
• Au contraire si ce premier secouriste est absent du
lieu de l'accident, ses chances se réduisent à 2,3%.
HISTORIQUE 1796 : Responsabilisation de la commune pour apporter secours aux habitants 24 juin 1859 : Comités de Secours appelés Croix Rouge
1964 : Création du B.N.S. (Brevet National de Secouriste) 1973 : Création du C.E.S.U. ( Centre d'Enseignement des Situations d'Urgence) 1977 : Création de l' Attestation d'Initiation aux Gestes Elémentaires de Survie 1981: Mémoire contenant les cinq premiers gestes en cas d’ accidents de la voie publique 1991 : Création de l'A.F.P.S. (Attestation de Formation aux Premiers Secours) 2000 : Formation continue selon l'arrêté du 24 mai 2000 dans le domaine des premiers secours 2007 : l'A.F.P.S. est remplacée par la formation PSC1 (Prévention et Secours Civique de niveau 1)
Le 8 Septembre de chaque année : Journée Nationale pour les G.P.S
STATISTIQUES
• Chaque année, 10 000 vies pourraient être épargnées
• SOFRES Sept. 2000 : 93% des français jugent qu'il est important de se former aux premiers secours
• 7% des français sont initiés à l'urgence
• En 2006, 130 000 personnes formées aux gestes de premiers secours
En 2007, prise de conscience des français : 20% d'entre eux formés aux gestes qui sauvent
• SOFRES Sept. 2007: 1% citent spontanément le défibrillateur comme solution face à un arrêt cardiaque
Lacunes des français en matière de formation
• En cas d'accident :- 9/10 donnent l'alerte- 6/10 agissent auprès de la victime- 1/2 pratiquent des gestes de secours
• 23% pensent que face arrêt cardiaque appel secours + massage cardiaque
• Français concernés mais pas formés : Coût • Sur 100 personnes interrogées :
25 formés, 11 sensibilisés et 64 n'ont aucune formation
Gratuité des formations = moteur dans la prévention aux gestes de
premiers secours
LES FORMATIONS
• L'I.AP.S. (Initiation à l'Alerte et aux Premiers Secours)
• L'A.F.P.S. Ou P.S.C. 1 (Prévention et Secours
Civiques de Niveau 1)
• La formation PSE 1 et PSE 2 (Premiers Secours en Equipe de Niveau 1 et 2) remplaçant respectivement
l’A.F.C.P.S.A.M et le C.F.A.P.S.E
LE ROLE DE L’IDE DANS UNE SITUATION
D’URGENCE
LEGISLATION
• Urgence = Situation de détresse du malade nécessitant intervention rapide IDE + médecin
Sinon vie du malade compromiseNe pas répondre à cette urgence = Non-assistance à personne en
danger
• Art. 223-6 du Code Pénal
« Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit un crime, soit un délit contre l'intégrité corporelle de la personne s'abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. Sera puni des mêmes peines quiconque s'abstient volontairement de porter à une personne en péril l'assistance que, sans risque pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours. »
• Art. R.4312-6 du Décret n°2004-802 du 29 juillet 2004
« l'infirmier ou l'infirmière est tenu de porter assistance aux malades ou blessés en péril. »
IDE doit prendre des initiatives : Rôle propre + sur Prescription
Reconnaître une situation d'urgence vitale- signes généraux , respiratoires, neurologiques et cardio-
vasculaires
• Art. R .4311-14 du Décret n°2004-802 du 29 juillet 2004 du C.S.P.
« En l'absence d'un médecin, l'infirmier ou l'infirmière est habilité, après avoir reconnu une situation comme relevant de l'urgence ou de la détresse psychologique, à mettre en oeuvre des protocoles de soins d'urgence, préalablement écrits, datés et signés par le médecin responsable. Dans ce cas, l'infirmier(e) accomplit les actes conservatoires nécessaires jusqu'à l'intervention d'un médecin. Ces actes doivent obligatoirement faire l'objet de sa part d'un compte rendu écrit, daté, signé, remis au médecin et annexé au dossier du patient. En cas d'urgence et en dehors de la mise en oeuvre du protocole, l'infirmier(e) décide des gestes à pratiquer en attendant que puisse intervenir un médecin. Il prend toutes mesures en son pouvoir afin de diriger la personne vers la structure de soins la plus appropriée à son état. »
• Art. R.4312-26 du Décret cité précédemment :
« L’infirmier ou l’infirmière agit en toutes circonstances dans l’intérêt du patient »
• Art. R.4312-29 du décret n° 2004-802 du 29 juillet 2004 du C.S.P.
« L’infirmier ou l'infirmière applique et respecte la prescription médicale écrite, datée et signée par le médecin prescripteur, ainsi que les protocoles thérapeutiques et de soins d'urgence que celui-ci a déterminés. Il vérifie et respecte la date de péremption et le mode d'emploi des produits ou matériels qu'il utilise. Il doit demander au médecin prescripteur un complément d'informations chaque fois qu'il le juge utile, notamment s'il estime être insuffisamment éclairé. L'infirmier(e) communique au médecin prescripteur toutes informations en sa possession susceptible de concourir à l'établissement du diagnostic ou de permettre une meilleure adaptation du traitement en fonction de l'état de santé du patient et de
son évolution. Chaque fois qu'il l'estime indispensable, l'infirmier(e) demande au médecin prescripteur d'établir un protocole thérapeutique et de soins d'urgence écrit, daté et signé.
En cas de mise en oeuvre d'un protocole écrit de soins d'urgence ou d'actes conservatoires accomplis jusqu'à l'intervention d'un médecin, l'infirmier(e) remet à ce dernier un compte rendu écrit daté et signé. »
PROTOCOLE
• Définition
Il désigne les techniques de soins à appliquer et ou les consignes à suivre lors de situations qui nécessitent une intervention.
C’est un guide d’application des procédures de soins centrées sur une cible élaborée synthétiquement par des professionnels de santé selon une méthodologie précise.
Le protocole doit être réactualisé chaque année, signé et validé par le chef du service.
Il existe dans certains services des protocoles qui désignent les conduites à tenir en cas d’accident ou d’incident selon les différents types d’urgence.
LE CHARIOT D'URGENCE
LE CHARIOT D'URGENCE
Le chariot d’urgence est l’un des maillons de l’organisation de la prise en charge de l’urgence vitale au sein d’un service.
Sa disponibilité immédiate, la connaissance de son contenu et son contrôle sont les éléments primordiaux d’un fonctionnement optimal lors d’une urgence.
• Mise en place du chariot d’urgenceDifficultés rencontrées par les équipes
Mauvaise adéquation du matériel par rapport à la mobilité du personnel
• Dans quels cas utiliser un chariot d'urgence? Uniquement en urgence , ce n’est pas une réserve
• Quelle est l'utilité du chariot d'urgence?C'est un gain de temps mis au bénéfice du patient
• LocalisationLieu clairement défini, accessible, proche d'une source électrique
Matériel d’intubation
Matériel d’abord veineux
COMPOSITION
Médicaments
Les solutés
• Vérification du chariot d'urgence :
Prêt et Fonctionnel Dates de péremption hebdomadairement Remplacer toxiques et matériel utilisé Vérification consignée sur un document : nom, qualité, date, signature Chariot d'urgence plus scellé = potentiellement incomplet, vérification intégrale
RESPONSABILITE DE L’IDE
• Dans chaque situation d’urgence, chaque minutecompte, le stress de chacun est à son comble.Il devient donc évident que la maintenance, le
contenu du chariot d’urgence, l’expérience de l’équipe et
son utilisation rapide peuvent faire la différence non seulement en terme de qualité mais aussi et
surtout dans l’apparition ou non de séquelles neurologiques .
LES
DIFFERENTS
GESTES D’URGENCE
HEMMORAGIES
• DéfinitionSaignement simple = arrêt possible par compression directeSaignements compliqués = compression à distance
• Premiers SecoursPratiquer une compression manuelle ou pansement compressif
• Conduite à Tenir IDEPerfusion O2 3L (décret IDE) ou aérer pièce, découvrir les personnes
• Sur prescription médicalePerfusion Prendre l’hémoglobine avec Hémocue,
BRULURES GRAVES
• DéfinitionBrûlure du 2ème degré qui dépasse la surface de la
paume de la main de la victime Brûlure supérieure au 2ème degré
• Premiers Secours Méthode des 4/15
•Conduite à Tenir IDE
AsepsieO2
• Sur prescription médicalePerfusion de sérum physiologiqueAntalgiqueAntibiotique
ETOUFFEMENT
• Définition Obstruction totale et brutale des voies aérienne par un corps étranger
• Premiers Secours Expulser le corps étranger ( claques dans le dos ou méthode d’Eimlich )
• Conduite à Tenir IDE Explorer la trachée : Laryngoscope et/ou Pince de Magill
Surveillance : saturation, ventilation, EFRSi objets avalés : surveillance du transit
• Sur prescription médicaleSi vomissements, risque infectieux et risque
de pneumopathie d’inhalation : mise sous antibiotique
Radio si nécessaire.
MALAISE
• Définition Sensation pénible, signe d’une détresse vitale
• Premiers Secours Repos + interrogatoire
• Conduite à Tenir IDEÉvaluer l’état de conscienceSurélever les jambes
• Sous prescription médicaleE.C.GBilan sanguin Doppler
PLAIE
• Définition Peau arrachée, coupée, déchirée, éraflée ou contuse
• Premiers Secours Installer la personne en fonction de sa plaie
• Conduite à Tenir IDE Vérification de la couverture vaccinale
AllergiesAsepsieCompressesNettoyage Bétadine ou chlorexhidine
INCONSCIENCE
• Définition Personne ne réagissant pas aux stimulis externes
• Premiers SecoursMise en Position Latérale de Sécurité
• Conduite à Tenir IDE
Evaluer l’état de conscience d’après le Score de Glasgow
Ouverture des yeuxRéponse verbaleMotricitéSi score inférieur à 7 : intubation par médecin
LE D.S.A.
ANATOMIE-PHYSIOLOGIE
• Phénomène de Fibrillation
• Conséquences : du Malaise à la Mort subite
LA DEFIBRILLATION
• Délivrer un choc électrique calibré (puissance, phase) :
Permet au cœur de battre normalement à nouveau
• Réanimation Cardio-Respiratoire :
Permet de faire circuler le sang oxygéné
Augmente les chances de réussite de la défibrillation
• Si le cœur repart :
Continuer le bouche à bouche
Poursuite de la Réanimation par une équipe hospitalière
LE DEFIBRILLATEUR
• Utilisé lors de fibrillations cardiaques :
Permet de rétablir par un choc électrique un rythme cardiaque normal
1899: 1ers essais réussis de défibrillation sur l'animal
1947: 1ére défibrillation humaine au cours d'une intervention chirurgicale
Années 1980 : Élaboration du défibrillateur semi-automatiqueUtilisation précoceAmélioration taux de survie des victimes d'arrêt cardiaque
1998: Décret du 17 mars 1998 fixe les catégories de personnes non médecins habilitées à utiliser un défibrillateur semi-automatique
2007: Décret du 4 mai 2007
UN PEU D’HISTOIRE
FONCTIONNEMENT
• Facile à utiliser
• Instructions par voix naturelle
• Guide dans les étapes de la défibrillation d’urgence et de la R.C.P.
•Rappel du geste et fréquence du massage
• Art. R.6311-14
DIFFERENCES ENTRE D.S.A. ET D.E.A.
• D.S.A. : Appuyer sur un bouton qui délivre le choc
Bilan + Diagnostic
• D.E.A.: Appareil décide de délivrer le choc
Fonctionnement Simplifié
LEGISLATION
• Décret 98-239 du 27 Mars 1998 modifié fixant les catégories de personnes non médecins habilitées à utiliser un D.S.A.
- Art. 1
- Art. 2 : infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes, manipulateurs d’électrocardiologie, secouristes titulaires du C.F.A.P.S.E.
- Art. 3
• Décret 2007-705 du 4 Mai 2007 relatif à l’utilisation des D.A.E. par des personnes non médecins et modifiant le C.S.P. (dispositions réglementaires)
- Art. R.6311-14
- Art. R.6311-15
L‘INTERET DU D.A.E.
•Statistiques
Mort subite = 60 000 français par an : 70% à domicile, 30% sur la voie publique
Hommes de 60 ans
Sportifs ( selon les statistiques de l’INSERM) 400 à 500 victimes tous les ans en France
3 sports concernés : vélo, course à pied et football
• Intérêts
Chaque minute perdue réduit les chances de survie
Chaîne de survie à 4 maillons indispensables pour succès de la RCP
Toute rupture = Echec
Précocité de la mise en place de chacun de ses maillons = Réussite
• Formation du grand public aux gestes de premiers secours
• Équipement et mise en oeuvre par équipes de secours non médicalisées des D.S.A.
• Appareils simples d’utilisation =
Accessibilité au grand public
IMPLANTATION
• Monaco 1ère ville installer les défibrillateurs dans les rues (27)Collaboration avec Centre de Cardiologie et Urgences
• Paris : Sauver 150 vies par an
• Décembre 2007 à Février 2008 : 130 défibrillateurs installés dans des équipements municipaux
• Au niveau local : Chauny, 7 D.S.A.Médiathèque, Stade Léo Lagrange, Mairie, Forum ...
ACCIDENT DE LA VOIE PUBLIQUE
• Est-ce que la loi protège les victimes ?
- Oui- Non
- Je ne sais pas
• Qu’est-ce qui protège le sauveteur non formé?
- Art. 122-7 du Code Pénal- Je ne sais pas
• Et le sauveteur formé?
- Le même article : 122-7 du Code Pénal- Je ne sais pas
• Quels sont les risques encourus si la personne effectue un mauvais geste?
- 5000 euros d’amende et un an d’emprisonnement- Rien
- Je ne sais pas
• Sur quels référentiels peut on s’appuyer en cas de problème?
- Les référentiels officiels- Les référentiels présidentiels définis par Mr Nicolas
Sarkozy- Il n’en existe pas
• Qu’arrive-t-il en cas de non assistance à personne en danger?
- Rien s’il a couru assez vite- Il sera condamné
- Je ne sais pas
CONCLUSION
• Enrichir nos connaissances en ce qui concerne l’urgence
• Ne pas se baser exclusivement sur la spécificité des gestes mais faire ressortir le rôle de l'infirmier face aux situations d'urgences en service général
ou en tant que simple citoyen
• Nous a permis de savoir qu'il y a eu un remaniement au niveau des formations, de la législation et du matériel médical suite à nos rencontres avec
des professionnels de santé
• De plus en plus de campagnes d'informations- pour promouvoir les formations aux gestes d'urgences
- pour sensibliser le grand public sur la nécessité d'intervenir le plus rapidement possible lors d'une situation d'urgence • Connaissance de ces gestes = augmentation des chances de survie des victimes
Plus de personnes formées
= Plus de personnes
sauvées
BIBLIOGRAPHIE• Le Guide du Sauveteur Croix Rouge FrançaiseXO Edition
• Décret du 29 Juillet 2004 du Code de la Santé Publique
• www.infirmier .com rubrique « chariot d’urgence »
• www.croix-rouge.fr rubrique « historique »
• www.sofres.fr rubrique « statistiques »
• www.laerdal.fr rubrique « heartstart HS1 »
• www.urgencyclopedie.org
• www.lematin.ma/Info/ArticlePrint.asp?id=12652
REMERCIEMENTS
• Mme GUILLET Laurence, Formatrice référente
• Mme CAMPION Anne-Charlotte, IDE Urgences Soissons
• Mr DUFOUR Frédéric, IDE Urgences Soissons
• Mr GOCHON, Cadre Supérieur de Santé Urgences Chauny
• Mme MULLIER, Cadre des Urgences de Chauny
• Mme VILIANI, Cadre de Cardiologie de Saint-Quentin
• Mme GRENET, Pharmacienne à l’E.P.S.MD. De Prémontré
• Mr TERRANI Fabrice, Responsable Employés Communaux de Chauny