L'Écho du Lac

w w w . l e c h o d u l a c . c a | JOURNAL L’ÉCHO DU LAC | avr i l 2013 | vo l . 7 numéro 8

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Le mensuel qui vous informe à Lac-Beaupor t, Stoneham, Tewkesbury et Lac-Delage

L’œuvre inachevée, pLace au théâtre !

pageS 38-39

mONtAgNAC DÉbORDe p. 3

Fran

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Il faut tout d’abord savoir que ce moyen de pression n’est pas l’initia-tive de Julie Plamondon. C’est plutôt le Rassemble-ment des garderies privées du Québec (RGPQ) qui est à l’origine des lettres remises aux parents. L’organisation, qui compte 147 membres, veut dénoncer les compres-sions de 18,3 M $. Même son de cloche du côté de Stoneham où les proprié-taires de la garderie Perlim-pinpin ont eux aussi remis les lettres aux parents. Selon ces propriétaires de garderies, les coupures annoncées par la ministre rendraient pratiquement déficitaires les services offerts aux enfants de 4 ans. D’après leurs estimations, les

coupures représenteraient une diminution de plus ou moins 4 $ par jour par enfant

du montant versé en subven-tion. Il faut savoir qu’aux 7 $ payés par les parents, s’ajoute un montant d’approximative-ment 30 $ en subventions par jour par enfant.

Selon Julie Plamondon, le ministère justifie cette compression sur la base du ratio éducatrice/enfant. Pour les poupons de moins de 18 mois, le ratio est d’une édu-catrice pour cinq poupons. Pour les enfants de 18 mois jusqu’à trois ans, le ratio est d’une éducatrice pour 8 enfants et finalement, pour les enfants de 4 ans, le ratio est d’une éducatrice pour 10 enfants. Avant les coupures annoncées, les subventions

étaient calculées en fonction du ratio de 1 pour 8, et ce, pour tous les enfants de plus

de 18 mois. Le ministère considère donc qu’en appliquant les ratios, les garderies pourraient réaliser d’importantes écono-mies. Selon les propriétaires de garderies rencontrés par l’Écho, le calcul n’est que théorique. Dans les faits, pour une garde-rie de 80 places, il faudrait que la moitié des enfants présents aient 4 ans pour éco-nomiser le salaire d’une éducatrice. On doit admettre qu’il doit être rare de croiser une telle distribution des âges dans une garderie. On peut donc comprendre que les propriétaires de garderies veulent exer-cer des moyens de pression auprès de la ministre.

D’un autre côté, l’incertitude et l’in-quiétude générées chez les parents par de tels moyens de pression ne sont agréables pour personne. Quiconque a déjà cherché une place dans une garderie n’a pas envie de recommencer cet exercice fastidieux une fois que son enfant a atteint l’âge dorénavant fatidique de 4 ans. C’est sans compter le stress que l’enfant vivra suite à ce changement. Bien évidemment, aucune garderie du réseau ne souhaite mettre cette menace à exécution. C’est pourquoi ce dossier sera suivi avec attention par plusieurs parents. À suivre.

DeS compreSSionS BuDgéTaireS compromeTTraienT La Survie DeS garDerieS

Les gARDeRies pRivÉes N’OffRiRAieNt pLUs De pLACe pOUR Les eNfANts De 4 ANs

pAR : LOUis-ANtOiNe gAgNÉ

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Le 25 mars dernier, on apprenait dans les médias que deux garderies privées de Lac-beauport menaçaient de retirer les services aux enfants de 4 ans dès le mois de septembre en réaction aux compressions annoncées par la ministre Nicole Léger. À maintes reprises, on a vu Julie plamondon, la propriétaire des garderies, exprimer son désarroi via différents médias. C’est par une lettre qui leur était remise que les parents concernés apprenaient la mauvaise nouvelle. Ceux-ci étaient aussi invités à signer une lettre de pression adressée à la ministre. La nouvelle a fait grand vent et beaucoup de rumeurs ont circulé sur cette situation.

Julie plamondon propriétaire de la garderie Les amis du Lac et de la garderie Les petits Mosquitos.

w w w . l e c h o d u l a c . c a | JOURNAL L’ÉCHO DU LAC | avr i l 2013 | vo l . 7 numéro 8 3

Montagnac fonctionne à pleine capa-cité avec ses 671 étudiants et déjà l’an prochain, certaines familles devront lorgner du côté de Charlesbourg pour assurer à leurs enfants, une place à l’école. Sans l’utilisation des locaux du centre communautaire, la situation serait pire encore puisque l’école seule ne peut accueillir que 550 enfants au maximum.

« Concrètement, selon les normes du ministère, on pourrait monter jusqu’à 700 élèves si on utilisait tous les locaux. On a déjà transformé une salle du centre com-munautaire en trois classes et aménagé la bibliothèque de l’école pour le service de garde », mentionne Serge Bégin, directeur de l’école Montagnac. Bref, on fait déjà

des miracles et des acrobaties en réamé-nageant les lieux existants pour mieux les utiliser.

mAtHÉmAtiqUePlus de 150 inscriptions en maternelle

pour septembre prochain. À 20 enfants par groupe, on parle ici de huit classes com-parativement à cinq cette année. Par le

développement domiciliaire, des familles entières arrivent avec des jeunes de tous âges qui augmen-tent le nombre de classes à tous les niveaux. Montagnac a donc accepté 760 inscriptions pour l’an prochain. Ouf ! « Il faut s’attendre à ce qu’une cinquantaine d’élèves soient transférés dans une autre école de la commission scolaire. En transformant le Pavillon St-Pierre de l’école Les Sentiers, qui accueillait les secondaires un et deux en école primaire, le problème de la couronne nord est réglé pour quelques années », déclare le M. Bégin qui men-tionne en passant que Ste-Bri-gitte-de-Laval devrait passer de 350 à 900 inscriptions au cours des cinq prochaines années. On se sent moins seuls…

On est en attente du ministère pour savoir si on aura une nou-velle école dans la commission scolaire des Premières-Seigneu-ries. Le ministère reçoit chaque année trois fois plus de demandes que l’enveloppe dont il dispose pour construire une école. On estime à 3-4 M $ la construction d’une école. On croit que Lac-

Beauport ou Ste-Brigitte de Laval seront retenues.

pROCÉDURe De tRANsfeRtD’abord, le volontariat dont le taux

de réussite est minime. Deuxième étape ; selon la proximité de l’école d’accueil tout en préservant les fratries. Tous ces mou-

vements ne peuvent se préciser avant le 1er juin puisque la date limite d’inscription est le 30 mai. L’organisation finale sera décrétée au plus tard, le 7 juin.

Notez qu’en mai, il y aura une ren-contre d’information à la palestre de l’école

Montagnac. Les membres de la direction générale de la commission scolaire ainsi que la direction de l’école Le Boisé, où auront vraisemblablement lieu les trans-ferts, seront présents pour répondre aux questions des parents et expliquer les procédures. Les parents recevront donc dans la semaine du 1er juin, une lettre les informant du nom de l’école attribuée à leur(s) enfant(s).

Bien Du monDe à BorD !

mONtAgNAC, LA petite ÉCOLe ?pAR CAROLe ROy

caro le@lechodu lac . ca

en trouvant sans cesse des solutions au débordement de l’école, il ne faudra pas que le ministère y voie là une distorsion dans le message. Lac-Beauport a bel et bien besoin d’une deuxième école primaire soutient Serge Bégin, directeur de l’école Montagnac.

On sait que la tendance démographique est à la baisse au québec, que les familles nombreuses sont rares et que bien des écoles ferment ou fusionnent pour continuer d’exister. Lac-beauport vit une situation bien différente, les familles affluent au rythme des maisons qui poussent et le manque de places au primaire devient criant.


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ÉDiteUR : alain Têtu

DiReCteUR gÉNÉRAL : Dominic Simard

DiReCtRiCe De L’iNfORmAtiON : carole roy

DiReCteUR pRODUCtiON et CRÉAtiON : éric monette

COORDONAtRiCe AUx OpÉRAtiONs et seRviCe CLieNtÈLe : annik gauthier

JOURNAListes : carole roy, philippe Brassard et Louis-antoine gagné

COLLAbORAteURs : Françis audet, éric gagnon, nadine Heppell, Yves et geneviève Blouin, clinique dentaire Stoneham et clinique physiothérapie pédiatrique

pRODUCtiON gRApHiqUe : Jolyane abel et éric monette

impRessiON : Transcontinental

tiRAge : 10 300 exemplaires

DÉpÔt LÉgAL : Bibliothèque nationale du Québec

Le JOURNAL L’ÉCHO DU LAC eST puBLié eT éDiTé par LeS éDiTionS prime inc.

940, boulevard du Lac, Québec (Québec) g2m 0c9

pUbLiCitÉ : bRigitte LANDRy 418-580-2744

iNfORmAtiON : CAROLe ROy 418 580-0537

*veuillez noter que pour être publiée, l’opinion du lecteur doit être signée.

Nicolas Fontaine, reconnu pour son implication au CNEAYL, nous informait à regret que le centre ne pourrait ouvrir ses portes si un peu d’argent ne venait pas garnir les coffres de la rampe d’eau. Fort heureusement, Nicolas Fontaine a reçu la confirmation que le chèque était à la poste. Malgré cette bonne nouvelle, la situation financière du CNEAYL demeure précaire. Construit il y a neuf ans, le centre nécessite année après année un entretien qui on peut s’en douter, coute de plus en plus en cher.

Doté d’un budget d’environ 150 000 $, le centre obtient la moitié de cette somme en subvention et l’autre à l’aide de com-mandites, d’activités-bénéfices et des frais d’inscription. Une ombre plane mal-heureusement à l’horizon. La somme de 75 000 $ de l’Institut national du sport du Québec (INSQ) qui alimentait le budget annuel du CNEAYL était remise de façon presque récurrente. À partir de l’an pro-chain, d’autres institutions sportives pour-ront faire des demandes à l’INSQ mettant

ainsi en péril le montant quasi garanti depuis 9 ans. Nicolas Fontaine déplore aussi l’absence de programme gouverne-mental d’infrastructures adapté à la situa-tion du centre. C’est-à-dire un organisme sans but lucratif, locataire du terrain où se situent les équipements. Pour cet ancien skieur acrobatique, il est déplorable de voir un centre si populaire, qui a vu plu-sieurs espoirs olympiques s’y entrainer, vieillir sans que l’on puisse y apporter des rénovations majeures.

Un nouveau venu pourrait peut-être changer la donne et apporter un nouveau souffle au CNEAYL. Après plusieurs années de loyaux services, Guy Lafrance, directeur général du centre s’en va relever de nou-veaux défis et laisse sa place à Guillaume Morin qui est arrivé en poste le 3 avril pour diriger les opérations de la rampe d’eau. Nous lui souhaitons la bienvenue.

Pour une deuxième année, le CNEAYL organise un tournoi de golf-bénéfice afin de recueillir des fonds. L’omnium acrobatique se déroulera au Mont Tourbillon le 30 mai prochain. Il ne s’agit pas ici d’un simple tournoi de golf, mais d’une journée com-plète d’activités. En effet, après le tournoi, un souper spectacle et une soirée casino sont offerts aux participants. Il est possible de contribuer à l’évènement en ne partici-pant qu’à un des trois volets de la journée. Mentionnons que le tarif pour participer à toutes les activités est de 130 $. Pour infor-mations : www.acrobatx.com.

DanS L’aTTenTe D’un cHèQue Du gouvernemenT

OUveRtURe COmpROmise AU CeNtRe NAtiONAL D’eNtRAiNemeNt ACRObAtiqUe yves LAROCHe



Le Centre National d’entrainement Acrobatique yves LaRoche (CNeAyL) peine à joindre les deux bouts. en effet, un retard important dans l’arrivée d’un chèque en provenance du ministère de l’Éducation, du Loisir et du sport (meLs) pourrait compromettre la prochaine saison de la rampe d’eau. La saison 2013 commencera bientôt et beaucoup de factures sont toujours impayées.


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Les podiums sont loin d’être une nou-veauté pour Gabriel. Depuis 2011, il y est monté plus de 15 fois lors de différentes compétitions. Malgré ses succès, le jeune skieur ne se voit pas encore aux olympi-

ques, il préfère évoluer une année à la fois et voir où son sport le mènera. Gabriel n’est pas seulement un athlète en ski, quand le printemps pointe son nez et que la neige fond, il enfourche son vélo de montagne et

une 8e pLace au canam u14

gAbRieL De vAReNNes, UN skieUR À sURveiLLeR



Âgé de tout juste 12 ans, le jeune gabriel De varennes est assurément un skieur à surveiller dans les prochaines années. membre du club de ski de stoneham depuis 8 ans, il a connu, comme plusieurs de ses collègues, une année particulièrement satisfaisante. pour une première année dans la catégorie U14, il termine 8e au mont tremblant le 31 mars dernier lors de la compétition CanAm U14 banque Laurentienne, qui est en fait les championnats du Nord-est américain. Cette 8e position place le jeune athlète dans une position particulièrement enviable pour sa prochaine année.


La Caisse participe à la fête au Relais de Lac-Beauport !La Caisse populaire Desjardins de Charlesbourg était très heureuse de participer, le 16 mars dernier, au Relais en Fête Desjardins.

Toute la journée de nombreux skieurs de tous âges ont envahi les pistes du Centre de ski Le Relais de Lac-Beauport et participé aux nombreuses activités organisées pour l’occasion.

En tant que commanditaire majeur, la Caisse populaire Desjardins de Charlesbourg était au cœur des festivités. Les gens pouvaient passer à notre kiosque et participer à de nombreux tirages de prix de présences, dont le grand prix, un iPad qui a attiré de nombreux participants!

La Caisse est toujours très présente à Lac-Beauport et est fière de participer aux actions de sa communauté. Rappelons qu’une aide financière de 100 000 $ a été accordée en 2012 à la municipalité dans le cadre du projet du Centre des loisirs Desjardins.

www.desjardins.com/caisse-charlesbourg

commence son entrainement. Il fait partie du club de vélo Subway Génétik et il a ter-miné champion régional dans sa catégorie cette année. Pour les 2 dernières courses régionales de la saison, Gabriel a obtenu deux médailles d’or. Quand l’automne arrive et que l’école commence, le jeune sportif ne chôme pas pour autant. C’est sans doute pour cela qu’il a été nommé meilleur joueur offensif de la saison 2012 de football des benjamins Carcajous des pères Maristes.

Le CLUb et ses AtHLÈtesIl n’est d’ailleurs pas le seul à perfor-

mer de façon exemplaire au Club de ski Stoneham. Le club, mis en place pour des jeunes athlètes de 5 à 17 ans, a encore une fois, connu une année exceptionnelle. Aux Jeux du Québec qui comptait pour

les championnats provinciaux du Québec, Gabriel de Varennes et Rachel Bouchard se sont mérité respectivement une 9e et 14e position au cumulatif des cinq courses en ski alpin. Également aux Jeux du Québec, Audrey-Anne Mercier a très bien performé. Elle a terminé respectivement en 18e, 21e, 14e et 15e positions. De plus, la saison régu-lière du Circuit U14 Telus a pris fin le 17 mars 2013 au Mont-Sainte-Anne. Pour les 2 dernières courses, Audrey-Anne s’est posi-tionné en 5e et en 1re places, elle s’est ainsi mérité un ruban et une médaille d’or.

Le club de ski Stoneham qui célèbrera son 50e anniversaire l’an prochain connait un véritable succès, autant au niveau des performances de ses athlètes qu’au niveau de la popularité du club. D’ailleurs cette année il comptait pas moins de 143 ath-lètes. Nicolas Mazellier, président, nous

informe qu’il s’attend à ce que l’on atteigne les 150 membres dès l’an prochain. La popularité et l’excellence du club traver-sent même les frontières de la région de Québec. À l’occasion des journées portes ouvertes, des gens étaient venus de la Mauricie pour y inscrire leurs enfants. Les parents de tous ces jeunes athlètes font aussi preuve d’une implication exem-plaire dans l’organisation d’évènements de

ski dans la région. Lors de la réalisation des Championnats du monde

juniors de ski alpin au Massif de Charlevoix et au

Mont St-Anne du 18 au 28 février dernier, les parents du Club de ski Stoneham ont participé à l’organisation pour l’équivalent de 100 jours/personne.

Il est important de souligner les per-formances extraordinaires des jeunes et le temps donné par leurs parents dans ce sport si caractéristique de notre région. L’implication des bénévoles et la déter-mination des jeunes sont des éléments clefs dans les retombées et le rayonne-ment positifs que ces succès apportent sur nos villes. C’est pourquoi, pour ces quelques lignes, je me nomme repré-sentant officiel de tous les citoyens de la région pour féliciter tous les athlètes nommés dans cet article, tous ceux qui ont été oubliés et tous les acteurs qui touchent de près ou de loin aux sports de glisse et qui viennent de conclure une autre extraordinaire saison. On se revoit en décembre 2013.

très belle performance d’audrey-anne Mercier.


peRsONNALitÉs DU mOis

Amitié et complicité de longue date ont guidé tout naturellement la chef Marie-Chantal Lepage, elle aussi rési-dente de Lac-Beauport, vers le réputé sommelier Philippe Lapeyrie. Les choix et toujours judicieux conseils de Philippe seront assurément une plus value à l’offre de Mme Lepage.

Attention toutefois, n’allez pas croire que l’ami Philippe récidivera, car il a été clair ; cette faveur accordée à son amie est une première et une dernière. L’ESPACE MC CHEF est et sera le seul établissement avec une carte signée par lui.

UNe CARte iNspiRÉe et iNspiRANte

Inspiré par l’atmosphère festive des lieux et guidé par ses 50 coups de cœur de la dernière année et leurs prix abordables, le sommelier a divisé la carte en octroyant une proportion de 30% aux bulles, rosés

et blancs et 70% aux rouges. Précisons du même souffle que pour compléter la carte, Jean-François Pelletier, collaborateur de Philippe Lapeyrie depuis 3 ans et sommelier de l’ESPACE, y est allé avec l’ajout de quelques importations privées.

Je lève mon verre à cette belle collaboration !

Les HONNeURs pOUR fRANCe bOUCHARD

Elle brille encore sous les projeteurs notre photographe France Bou-chard ! En nomination dans la catégorie Photographe de l’année, elle revient du Banquet des lauréats de la Corporation des Maitres Photographes du Québec (CMPQ) avec le trophée Portrait femme.

Pour sa dernière participation à la compétition, France Bouchard avait sou-

mis ses plus belles photographies et ce sont les siennes qui parmi les 200 prove-nant de partout au Québec qui ont retenu l’attention du jury. Son instinct artistique lui a donc valu le premier prix provincial. « J’y ai mis tout mon amour afin que ma dernière participation soit marquée dans mon cœur à jamais », a-t-elle commenté ». Toutes nos félicitations !

coup De cHapeau à pHiLippe LapeYrie eT France BoucHarD

Des LAC-beAUpORtOis sOUs Les pROJeCteURs

pAR CAROLe ROy


Ce n’est pas sans une certaine fierté que nous apprenions récemment que notre sommelier chéri, le Lac-beauportois philippe Lapeyrie, signait la carte de vins de l’espACe mC CHef, nouvel établissement ultra branché de québec.

Le sommelier philippe Lapeyrie en compagnie de Marie-chantal Lepage de l’espace Mc cheF.

France Bouchard recevant son prix de claude Mazerolle, président de la cMpQ.

Fran

ce B

ouch

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Lunettes, maillots, accessoires, espa-drilles et « expertises » cohabiteront sous un même toit permettant aux Lac-Beau-portois de mieux performer et de profiter de certaines exclusivités. « Je pense à ce projet depuis deux ans. En voyant les gens s’entrainer j’ai pensé qu’on pourrait mettre sur pied un service beaucoup plus person-nalisé. Le but est de proposer des produits de très bonne qualité à des prix très compé-titifs avec des conseils judicieux. Le sportif sera comblé », affirme Christian Lachance.

UNe sAisON pRÉpARÉe AveC sOiNDes marques prestigieuses de vête-

ments sportifs spécialisées telles que, Peak performance, Marmot, Skins, Asic, Gore, Sole et Oakley, garniront les rayons de La Boutique du Lac, de même que deux ligne de maillots exclusifs au Canada, « 2 chillies » de l’Australie et « La Isla » de la Californie sans oublier la réputée Speedo. Christian Lachance fréquentait déjà tous les salons dédiés au sport d’été et aux équipements, alors que nous en étions à débuter notre saison de ski. « Le but est d’aller voir des choses, un peu plus exclu-sives, qu’on ne trouvera pas partout. C’est comme ça qu’on se démarque », nous disait le jeune homme d’affaires.

Le seRviCe AvANt tOUtOn offrira une analyse complète du pas

de course avant même de conseiller une marque ou un produit. La Boutique du Lac est recommandé par La Clinique du Coureur en tant que boutique qui encou-rage la course au naturel en prônant l’usage de nouvelles chaussures plus minces qui laissent travailler les pieds et le corps. Deux employés formés par Blaise Dubois seront présents en tout temps pour répondre aux questions sur cette approche qui rejoint de plus en plus d’adeptes, et pour expertiser toutes les variantes de contact avec le sol et les manières de courir. Étonnamment cette technique a pour but de simplifier la course à pied et les résultats tendent à prou-ver ce fait. « Avez vous remarqué que les Éthiopiens courent pieds nus et gagnent presque tous les marathons ? Cent qua-tre-vingt pas silencieux à la minute avec un impact au sol super léger... Vêtements et chaussures sont là pour nous aider à performer de la manière la plus naturelle pos sible », explique M. Lachance. Le Five fingers Vibram est un bon exemple de produit qui permet une course plus saine et plus fluide. Les chaussures de course Ice-burg, Asic et Inov8 seront également mise de l’avant par l’équipe de Christian.

expeRtsDes programmes d’entrainement entéri-

nés par des kinésiologues, seront également proposé pour améliorer les performances ou atteindre des objectifs de 10, 20 kilomètres ou

plus. Deux domaines seront privilégiés à La Boutique du Lac. La course à pied et toutes ses déclinaisons, sur tapis roulant ou à l’exté-rieur, été comme hiver. La Boutique du Lac sera d’ailleurs impliquée dans le Trail du 2 juin (voir texte p.45). Notez que pour les amateurs de canoë/kayak, la boutique aura son cata-logue vous concernant et vous pourrez com-mander ces vêtements qui manquent à votre bonheur directement à Christian Lachance.

La BouTiQue Du Lac

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pAR CAROLe ROy


entièrement dédié au sport d’hiver, le 995 boulevard du Lac qui abrite Rémy-gravel –sport, se donne dès la mi-avril une vocation estivale. Christian Lachance et son équipe envahissent les lieux pour la douce saison et proposent aux sportifs en quête de nouveautés, une gamme de produits choisis avec soins pour profiter de l’été au maximum. bienvenue à La boutique du Lac !

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Valide jusqu’au 1er mai 2013

Vous êtes conviés à assister à l’assem-blée générale annuelle (AGA) de l’APEL le lundi 15 avril prochain à 19 h 30. Lors de la soirée, il sera question des réalisations de 2012, des projets pour 2013 et l’état des finances de l’organisme. L’AGA, c’est l’occasion de se tenir informé, de rencon-trer les administrateurs et de poser vos questions aux dirigeants de l’organisme. L’assemblée aura lieu au Centre commu-

nautaire Paul-Émile-Beaulieu, situé au 530, rue Delage à Québec.

Le CONCOURs pHOtO 2013 Des mARAis DU NORD

C’est le 1er avril dernier, que L’APEL lan-çait la 3e édition de son concours de photos afin de promouvoir le loisir photographique

en plein air et de faire connaitre les splen-deurs des Marais du Nord. Ouvert à tous les photographes amateurs de 18 ans et plus, le concours se déroulera jusqu’au 1er novem-bre prochain. D’ici là, à vos appareils !

Les grands gagnants verront leurs pho-tos exposées dans le pavillon d’accueil des Marais du Nord et sur le site Internet. De plus, les photographies primées paraitront dans les publications de l’APEL. Au total, il y a 800 $ en prix à gagner !

Les détails et les règlements du concours sont disponibles à l’accueil des Marais du Nord et au www.apel-maraisdunord.org.

sAviez-vOUs qUe...L’APEL ne reçoit pas de subvention

pour gérer, animer et entretenir les sen-tiers des Marais du Nord ? En effet, les seuls revenus d’exploitation proviennent des contributions des membres et des visi-teurs. Contrairement à plusieurs milieux naturels, l’organisme n’est pas délégué par le gouvernement fédéral, provincial ou municipal pour gérer le site, c’est un milieu naturel privé.

NOUveLLe gRiLLe tARifAiReDepuis 3 ans, aucune hausse de tarifi-

cation n’a été effectuée pour les activités des Marais du Nord. Les tarifs incluant les taxes, l’organisme a assumé, à même ses revenus, la hausse de la TVQ en 2011 et 2012. Ainsi, le conseil d’administra-tion a-t-il décidé d’augmenter légèrement les tarifs au 1er mai 2013 afin d’assurer que les revenus couvrent l’ensemble des dépenses générées par la gestion, l’anima-tion et entretient des équipements.

tARifiCAtiON eN vigUeUR DÈs Le 1eR mAi 2013

DeS nouveLLeS De L’apeL eT DeS maraiS Du norD

CONCOURs De pHOtOs et NOUveLLe tARifiCAtiON

pAR CAROLe ROy

caro le@lechodu lac . caUn petit moment déjà que nos pages n’avaient pas été l’hôte de nouvelles de l’ApeL et des marais du Nord. voici donc les plus récentes.

10. Nouvelles de l’APPEL + 2 logos + 2 photo ok

L’automne dans les marais, par Sylvie couture, gagnante dans la catégorie paysage du concours photo 2010.

canard colvert femelle, par Mathieu Mellon, gagnant dans la catégorie faune du concours photo 2010.


L’essentiel de la ren-contre sera consacré à des présentations et dis-cussions portant sur les thèmes suivants :

1. Les nouvelles mai-sons à gros volume

ont-elles empiré ou amé-lioré la situation ?

2. Le projet de condo sur le site du Château

du Lac, un impact négatif ou positif ?

3. Un système d’égouts : dépense inutile ou

essentielle ?

4. La renaturalisation des berges, où en

sommes-nous ? On ten-tera de différencier les mythes des réalités.

Le Conseil de Bassin Versant est un organisme de concertation qui a pour but d’assurer la pérennité du lac Beauport. Des élec-tions pour des postes à son conseil d’administration auront aussi lieu lors de cette soirée. Rendez-vous le 16 avril à 19 h 30 à la salle du chalet des loisirs Desjardins.

Le 8 Juin, La Journée monDiaLe DeS océanS

gRAND NettOyAge sOUs-mARiN DU LAC beAUpORt

pAR : CAROLe ROy


Souhaitez-vous contracter le « Syndrôme Pas Dans ma Cour (SPDC) » ? Que de choses nous trouvons parfois dans la cour ! Et que dire du fond du lac Beauport ! Saviez-vous que l’automne dernier, des plongeurs spor-tifs y ont trouvé divers objets tels embal-lages, cannettes, bouteilles ou chaises de parterre ? Sortir ces déchets de notre lac est une action possible et souhaitable. Nous ne voulons pas de ça dans notre cour !

L’eAU sUit sON COURs…Ainsi donc, le 8 juin prochain, par-

tout dans le monde, c’est la Journée des océans ; c’est aussi le jour où partout sont organisés nettoyages de berges et net-toyages sous-marins. Peut-être vous dites-vous que notre lac est loin de la mer, mais il ne faut pas oublier que toutes ses eaux s’y trouveront tôt ou tard par le biais des rivières Jaune et St-Charles, puis le fleuve St-Laurent et l’océan Atlantique.

Le plastique ne se détruit pas, mais se brise en morceaux. Ces particules descen-dront la rivière et se retrouveront dans l’océan. Les papiers d’aluminium ou multi-couches (boite de jus ou carton de lait) agissent de la même façon. Ces déchets se trouvent dans notre cour et nous avons le pouvoir de les en déloger.

pRêtONs mAiNs fORtes et gUiDONs

D’ici au mois de juin, les plongeurs devront préparer la grande collecte. Il faudra marquer les gros objets et votre connaissance du lac est requise. Si vous avez connaissance d’un ou plusieurs gros déchets qui gisent en son lit, il serait important de le déclarer dès maintenant. Votre collabora-tion est précieuse pour l’équipe qui fera le grand nettoyage. Précisons que cette corvée bénévole reçoit l’approbation de Mme Gene-viève Bélanger, biologiste en chef de Pêches et Océans Canada — secteur Québec, de Projet Aware et de World Oceans Day.

Notre lac nous tient à cœur et sa santé est aussi importante pour celles et ceux qui soutiennent l’activité du 8 juin : la Scu-bathèque, Plongée Capitale, Plongée Aven-ture Québec, La Confédération Mondiale des Activités Subaquatique (CMAS Qué-bec) ainsi que la Microbrasserie Archibald.

un exemple de ce que l’on trouve dans le lit du lac Beauport.

fAites pARt De vOs ObseRvAtiONs À :Patrick Allaire : [email protected]

Laurent Fey : [email protected]

Pour plus de détails sur l’activité : http ://lacbeauport.rcmission.net

aSSemBLée généraLe annueLLe Du conSeiL De BaSSin verSanT Du Lac BeauporT

mytHes OU RÉALitÉspAR : CAROLe ROy


Dans le cadre de la Journée mondiale des océans qui aura lieu le 8 juin prochain, grand nettoyage sous-marin du lac beauport il y aura grâce à une corvée bénévole organisée par des plongeurs professionnels. pour les aider, sachons les guider.

Le Conseil de bassin versant du lac beauport tiendra son assemblée générale annuelle le 16 avril prochain. Les personnes résidant dans le bassin versant du lac ainsi que les riverains y sont attendus en grand nombre.


Le BœuF KOBe chez vic verret La fonte des neiges, l’arrivée des beaux

jours… oh, que nous l’entendons l’appel du BBQ ! La saison de la grillade, sera à son meilleur avec cette nouvelle offre chez Vic Verret, rien de moins que l’arrivée du bœuf WAGYU DE KOBE. Ce bœuf reconnu mon-dialement et tant prisé par les passionnés de viande est enfin disponible tout près de chez nous. On en connait plusieurs qui feront sous peu la file à la Boucherie Vic Verret. Pas impossible que l’on s’y croise !


CAROLe ROy

Les ÉCHOs De L’ÉCHO

pOLycLiniQue chirOpratiQue du Lac

Comme elle a grandi la Poly-clinique Chiropratique du Lac au fil des ans ! Afin de répondre aux besoins grandissants de la popu-lation, elle a élargi son équipe de professionnels de la santé. En plus de son équipe interne, la Polyclini-que s’est associée à des consultants externes œuvrant à Lac-Beauport dans le domaine de la santé. Trou-vez toutes les informations utiles concernant les différents services, au www.santelacbeauport.com.

de gauche à droite : 1re rangée : richard villeneuve, Orthesia - caroline gauthier, massothé rapeute - Julie Lemaire et Marie-claude déry, chiropraticiennes, raymond hébert, acupuncteur. 2e rangée : danielle potvin, assistante - Marie-Josée trottier, psychologue - Lise Belleau, assistante - nathalie Lehoux, infirmière en soins podologiques - Joelle paradis, massothérapeute. 3e rangée : patrick Kelly, entraineur - tim albert, physiothérapeute - valérie Fillion, naturopathe - Louise Bacque, infirmière en soins podologiques, emily guenette, chiropraticienne, gabriel aubé, psychoéducateur-sexologue.

Brad reMpOrte Le cOMpte de Future ShOp

Copropriété de Martin Bernier, résident de Lac-Beauport, l’agence Brad a remporté le compte de Future Shop pour la création publicitaire destinée au Québec. Il s’agit là d’un gain important pour l’agence qui démontre sans aucun doute la capacité de Brad à obtenir des mandats d’envergure. La mission de l’équipe : réaliser de la création originale, de l’adaptation et de la stratégie. De quoi stimuler les troupes. Toutes nos félicitations !

prOMO BOuLeS de neigeC’est le lundi 8 avril dernier que l’on

procédait au dernier tirage de la promotion Boules de neige. La pige du nom gagnant a été faite en présence de Nancy Mac Aulay du Batifol et de Chantal Rousseau de Concept Beauté. Toutes nos félicitations à Mme Roseline Carrier qui remporte un forfait d’une valeur totale de 620 $ dans les deux établissements de Lac-Beauport Batifol. La promotion de Boules de neige, qui aura attiré au-delà de 5000 partici-pants en trois mois, est une idée originale de Double V Communication.


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C’est le 31 mars dernier, jour de Pâques qu’avait lieu la 14e édition du Super Splash à la Station Touristique Stoneham. Ce sont plus de 165 skieurs ou planchistes qui s’en sont donné à cœur joie en atterrissant dans cet immense bassin de 270 000 litres d’eau. Tel que mentionné dans le texte en p.22, petit problème de fuite il y eut. Alain La Roche, responsa-ble de l’entretien des pistes et de l’enneigement a veillé avec son équipe à la réparation de la toile du bassin. Outre le colmatage de la fuite qui aura pris 90 minutes, l’installation du site aura nécessité une quinzaine d’heures de travail. Un investissement humain qui année après année vient clore en beauté la saison de ski.


CONseiL mUNiCipAL

Le conseil a déposé un avis de motion annonçant le dépôt à une séance ultérieure d’un règlement d’emprunt de 3,9 M $ pour la mise en place des réseaux d’aqueduc et d’égout au Mont Cervin (phases 1 et 5a). Les 60 propriétés visées par ces premières pha-ses sont situées sur les chemins du Brûlé, des Méandres, de l’Écorce et du Ruisselet.

L’emprunt de 3,9 M $ servirait princi-palement à effectuer les travaux de mise en place du réseau, qui seraient payés par les citoyens desservis via une taxe de sec-teur. Toutefois, cette somme inclut aussi des travaux évalués entre 400 000 $ et 500 000 $ pour l’aménagement d’une piste cyclable et la réfection des chemins ; payés quant à eux par l’ensemble des contribua-bles. En soustrayant ces travaux, la facture du réseau d’aqueduc et d’égout pourrait donc s’élever à environ 3,4 M $ pour les 60 résidences des phases 1 et 5a. Soulignons qu’il s’agit d’une estimation préliminaire.

« On est en train de planifier le montage financier pour ces phases », a indiqué le conseiller Charles Brochu, qui a répondu

aux questions des citoyens en l’absence du maire Michel Beaulieu. « À l’heure actuelle, ce qu’on attend, c’est l’autorisa-tion du ministère de l’Environnement par rapport aux bassins de rétention – si ça en prend ou pas. Indépendamment de cette question, on va de l’avant pareil » pour faire avancer le projet, a-t-il ajouté.

Une fois l’autorisation du ministère obte-nue, les plans et devis pourront être finalisés. L’étape suivante sera d’adopter le règlement

d’emprunt de 3,9 M $ en séance du conseil, idéalement d’ici l’été. Le règlement sera « assujetti à l’approbation des citoyens habi-les à voter, pour éventuellement déterminer les coûts » du projet, a expliqué M. Brochu.

Les citoyens concernés recevront de l’information détaillée sur le projet pour pouvoir prendre une décision éclairée. Un résumé sera notamment publié dans le journal municipal. « On ne force personne à embarquer dans le projet. Si des gens

choisissent de se retirer, personne ne sera pénalisé », a insisté le directeur général de la municipalité, Richard Labrecque. Les citoyens doivent toutefois être conscients qu’une telle opportunité pourrait ne plus jamais se présenter à eux, soulève-t-il.

Si les citoyens donnent leur aval au projet, l’appel d’offres pourra être lancé. En principe, la municipalité aimerait débuter les travaux cet automne.

Sentiers du MoulinPar ailleurs, le conseil a adopté le 2

avril un règlement d’emprunt d’un mon-tant maximal de 140 000 $ pour la réali-sation de travaux et l’acquisition de biens au parc des Sentiers du Moulin.

La facture comprend 36 000 $ pour la rénovation de la toiture, du drain de fon-dation et d’une salle de bain au bâtiment d’accueil, 26 000 $ pour rénover la cuisine du bâtiment d’accueil, 40 000 $ pour des toilettes sèches, 14 000 $ pour la rénova-tion des refuges, 8000 $ pour des barriè-res d’accès, 6000 $ pour la rénovation des unités sanitaires, 4000 $ pour réaména-ger la cuisine du Waterloo, 3000 $ pour un système de caméra et 3000 $ pour un système de rangement.

mONt CeRviN : Les pRemiÈRes pHAses estimÉes À 3,4 m $

RÉDACteUR : pHiLippe bRAssARD

Les couts des deux premières phases du projet visant à doter le secteur du mont Cervin de réseaux d’aqueduc et d’égout sont estimés à près de 3,4 m $ pour 60 résidences, a-t-on appris lors de la séance régulière du 2 avril du conseil municipal de Lac-beauport.


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« J’ai annoncé aux membres de l’équipe que je ne me représenterais pas avec eux à la mi-février et ils ont décidé de me mettre en dehors de l’équipe le 1er mars », raconte Mme Plamondon en entretien téléphoni-que avec l’Écho. « Ça fait mon affaire, car je peux exprimer mon opinion sans me poser la question » à savoir « est-ce que je vote avec l’équipe ou je vote selon mes convictions ? », ajoute-t-elle.

Selon Mme Plamondon, ce divorce politique est le fruit d’une mûre réflexion portant sur des divergences d’opinions profondes. « Je n’ai pas la même vision de la municipalité, soutient-elle. Pour moi, le développement doit être un peu plus contrôlé, et non pas toutes vannes ouvertes. Je veux aussi conserver le milieu rural comme on le connait. Je vois beau-coup d’évolution dans la municipalité. Je comprends qu’il doit toujours y avoir une certaine croissance, mais je veux qu’elle

soit durable et échelonnée dans le temps. » La conseillère assure que la séparation

n’est pas attribuable à des conflits interper-sonnels. « Il n’y a pas de chicane, seulement des visions différentes », insiste-t-elle. « Je ne me suis jamais sentie exclue, j’ai toujours pu dire ce que j’avais à dire », précise-t-elle.

Pour l’instant, Mme Plamondon ne sait pas encore si elle sollicitera un second mandat aux prochaines élections en

novembre. Elle prendra sa décision d’ici l’automne. Entre temps, elle entend toute-fois jouer un rôle plus actif comme indé-pendante. « Quand il y aura des choses à décrier, je n’aurai pas peur de le faire », affirme la conseillère, qui préconisera une approche « dossier par dossier ».

Lors de la séance régulière du 11 mars, Mme Plamondon a voté contre l’équipe Miller à quelques reprises, réclamant entre

autres que certains contrats moins urgents n’ayant reçu qu’une seule soumission soient renvoyés en appel d’offres pour « s’assurer d’avoir le meilleur prix possible ».

RÉACtiON DU mAiRe« Cela se préparait », raconte de son côté

le maire Robert Miller. « J’ai rencontré quel-ques fois Mme Plamondon dans les semai-nes précédant son départ. Cette séparation s’est faite à l’amiable et dans le respect mutuel », souligne-t-il. « C’est sa décision de se retirer. À partir de là, pour le caucus, avec les orientations que nous avons, c’était difficile de dire à Mme Plamondon de rester dans l’équipe en sachant qu’elle avait fait le choix de se retirer », ajoute le maire, disant « respecter la démarche » de la conseillère.

Par rapport aux différends avec Mme Plamondon, notamment sur le dévelop-pement, le maire défend la vision de son équipe : « On est une municipalité en développement. Refuser de voir ce dévelop-pement, à mon avis, c’est se mettre la tête dans le sable. On se doit de l’encadrer et de faire en sorte qu’il respecte nos orientations et la nature. Depuis trois ans, au budget, on parle d’un développement de 80-85 unités résidentielles par année. Ce n’est pas la fin du monde, on en a déjà eu 120-130 par année. C’est modéré pour un milieu qui est recherché par les jeunes familles. »

Selon lui, des candidats pour remplacer Mme Plamondon et Lisa Kennedy – deve-nue directrice générale de la municipalité – ont déjà été trouvés pour les élections et seront présentés en « temps opportun ».

JuLie pLamonDon Siège comme inDépenDanTe

UNe CONseiLLÈRe qUitte L’ÉqUipe miLLeR

RÉDACteUR : pHiLippe bRAssARD

À quelques mois des élections municipales, l’équipe politique du maire de stoneham-et-tewkesbury, Robert miller, voit un de ses membres quitter le navire. Évoquant des différends au niveau des idées, la conseillère Julie plamondon a quitté le caucus de l’équipe miller en février pour terminer son mandat comme indépendante.

stoneham


Après un mot de la présidente, le conseil d’administration nous a pré-senté les réalisations des CATS pour la période 2012-2013. La feuille de route est impressionnante pour ce jeune organisme de Stoneham. En effet, 55 joueurs ont participé à la 2e édition du tournoi de golf des CATS et ont terminé leur soirée par un délicieux souper au restaurant Saint Peter. Une formation sur les réseaux sociaux a aussi été offerte et grandement appréciée. De plus, deux soirées thématiques ont per-mis aux membres de se connaitre davan-tage et de solidifier les liens commerciaux entre eux. Parce que toute bonne journée commence avec un bon petit déjeuner,

trois déjeunés réseautage accompagné d’une conférence ont été organisés et ont connus un vif succès. Mentionnons aussi la possibilité pour les CATS de participer aux activités du Regroupement des gens d’affaires et de tourisme Lac-Beauport et la réciprocité de cette opportunité.

Après la présentation des états finan-ciers et un mot du vérificateur, l’assemblée a pu procéder à l’élection du nouveau conseil d’administration. Voici donc les 8 person-nes qui ont été élues et leur poste respectif. À la présidence, Mme Myriam Vézina, pro-priétaire de chiropratique Stoneham, le VP affaires sera Jimmy Beaudoin, propriétaire de JMR Informatique, la VP tourisme sera

Julie Chiasson, directrice Hébergement & Service à la clientèle à la Station touristi-que Stoneham, Claudia Bilodeau, courtier immobilier chez Remax sera Trésorière, Jocelyn Bédard, propriétaire de Chocolat Harmonie, Marc Morency, propriétaire du Club de Golf de Stoneham, Sophie Garneau, propriétaire d’Alvéole Média et

Martin Trudel, entrepreneur électricien, seront administrateurs.

L’année 2013-2014 réserve de belles surprises aux CATS, la vivacité écono-mique de la région et l’engouement pour l’achat local représentent des occasions parfaites pour qu’une telle association puisse faire rayonner ses membres.

un nouveau conSeiL D’aDminiSTraTion eST éLu

AssembLÉe gÉNÉRALe ANNUeLLe Des CAts



Martin trudel, Julie chiasson, claudia Bilodeau, Jimmy Beaudoin, Sophie garneau, Jocelyn Bédard, Myriam vézina, Marc Morency.

Le 21 mars dernier, la Communauté Affaires tourismes stoneham (CAts) tenait son assemblée générale annuelle à la salle des grands Ducs à la station touristique stoneham. Au terme de cette soirée, un nouveau conseil d’administration a été élu et est bien prêt à relever les défis qui l’attendent. Après une troisième année d’existence, les CAts sont bien implantés dans l’univers des gens d’affaires de stoneham et sont très fiers de leurs réalisations.

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CLUb De vÉLO stONeHAmLe club de vélo de Stoneham tiendra son

5 à 7 d’ouverture, le jeudi 2 mai prochain au 2694 boulevard Talbot dans la toute nouvelle boutique de Reaktif. Pendant la soirée, les responsables du club dévoi-leront la programmation de l’année. Ils prendront aussi les inscriptions sur place (chèque ou argent comptant seulement). Vous pourrez aussi vous procurer ou commander votre maillot du club, obli-gatoire cette année. D’ici là, surveillez la page Facebook du club, car il est très probable qu’une sortie soit organisée d’ici le 2 mai si la météo le permet. www.clubvelostoneham.com

OUveRtURe De LA bOUtiqUe ReAktif

On vous l’avait annoncé, c’est main-tenant chose faite, la boutique Reaktif a ouvert ses portes à Stoneham. Situé au

2694 boulevard Talbot, Denis Meyer vous y attend pour vous offrir un service hors pair dans tout ce qui touche de près ou de loin au vélo. Que ce soit pour une réparation de four-che ou d’amortisseur ou encore pour bénéficier du système de position-nement novateur de « Ergomotion », la boutique Reaktif pos-sède des équipements et des connaissan-ces à la fine pointe de la technologie. Un

nouveau mode d’entrainement a aussi vu le jour à Stoneham. En effet, des cours de « spinning » sur rouleau d’entrainement

sont maintenant offerts chez Reaktif. Pour information : http ://www.reaktif.ca ou 418-273-4164

DÉmARRAge D’UN CLUb De vÉLO De mONtAgNe

Nadia Lemieux, bien connue à Stone-ham pour son énergie contagieuse et pour la multitude d’activités offertes par Gymto-nic, désire mettre sur pied un club de vélo de montagne. Le projet est encore à l’état embryonnaire, mais plusieurs personnes se sont montrées intéressées par cette

initiative. Nadia recherche donc des gens motivés à s’impliquer dans la création du futur club de vélo de mon-tagne de Stoneham. Les sorties du club débuteraient sur une base hebdomadaire, le samedi matin. On recherche donc des guides et des moni-teurs passionnés de vélo de montagne qui souhaiteraient transmettre leur passion à d’autres. Évidemment si vous souhaitez devenir membre du futur club sans nécessai-rement y jouer un rôle déterminant,

vous êtes aussi les bienvenus. Pour infor-mations : gymtonic@live.

BouTiQue eT cLuBS FonT De SToneHam une viLLe cYcLiSTe

DU vÉLO pOUR tOUs Les gOUts À stONeHAm



Même en mars sur la neige les mordus aiment rouler.

La saison de vélo 2013 est à nos portes, les cyclistes de la région sont impatients de voir à nouveau le soleil briller sur nos routes afin d’enfourcher leurs bicyclettes. La chance leur sourira particulièrement cet été, car le monde du vélo est en véritable effervescence à stoneham.


www.cliniquedentairestoneham.ca 2683, boul. Talbot, Stoneham-et-Tewkesbury

Dentiste: 418 848-8000 Denturologiste: 418-848-7900

Dr Stéphane Coulombechirurgien-dentiste

Ludovic et Frédéric Fortin denturologistes

Dr Pascal Forestdentiste généralisteservice d’implantologie

Bon mois de la santé dentaire!

Le Défi ski 12 h Leucan est un évène-ment provincial qui a lieu à trois dates différentes de l’hiver et auquel partici-pent cinq montagnes. Le défi consiste former une équipe de quatre personnes et à effectuer une descente à l’heure pen-dant 12 heures consécutives (de midi à minuit). Les jeunes de 12 ans et moins peuvent participer en effectuant six des-centes, soit une à l’heure entre midi et 18 h. En relevant le défi, les équipes sont invitées à amasser un montant minimum de 500 $ en dons pour Leucan. Beau-coup de plaisir et une ambiance élec-trisante sont au rendez-vous. Pour les participants, il s’agit surtout d’un geste de solidarité envers les enfants atteints de cancer et leur famille. Sur place, de nombreuses familles participent rendant ainsi l’activité extrêmement conviviale et à la portée des gens de tous âges.

Le porte-parole provincial de l’évène-ment était Joey Scarpellino, jeune acteur connu qui incarne Thomas dans la populaire série télévisée « Les Parent ». Le porte-parole régional, Marc Durand exprimait sa gratitude face à Leucan. Demeurant lui-même à Stoneham, il était très content de savoir que la somme

recueillie lors de cet évènement, organisé près de chez lui, venait en aide aux jeu-nes atteints du cancer.

Au niveau provincial, le Défi ski 12 h Leucan a aussi connu une édition

couronnée de succès. Plus de 2 660 skieurs et planchistes ont participé à l’édition 2013 de l’évènement, amassant

la somme record de 755 000 $ pour les enfants atteints de cancer. Bravo à tous les participants.

804 SkieurS pour LeS enFanTS aTTeinTS De cancer

DÉfi ski 12 h LeUCAN



Le 16 mars dernier, 804 skieurs et planchistes ont participé au Défi ski 12 h Leucan 2013, présenté par proxim. L’évènement qui s’est tenu à la station touristique stoneham a permis d’amasser 225 000 $ pour les enfants atteints de cancer. C’est donc 201 équipes de quatre skieurs qui sont venus dévaler les pentes pour la bonne cause.

Les Karma Kameleons ont réchauffé la foule.


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A Nouveauté AClub de vélo de montagne

La réputation de la Station touristique n’est plus à faire, mais toujours soucieuse de se dépasser, elle compte encore une fois se démarquer autant par la qualité que par le niveau de sécurité élevé des infrastruc-tures qui seront construites.

sÉCURitÉ mAximUm Il faut se rappeler qu’en 2007, décision

avait été prise d’abolir les sauts pour des raisons de sécurité. Aujourd’hui, de nou-velles techniques basées sur de très hauts principes de sécurité permettent d’aller de l’avant avec de nouvelles constructions. Toutefois, le projet ne sera appliqué qu’à une seule des montagnes de Resorts of the Canadian Rockies, celle de Stoneham.

DÉveLOppemeNt DU styLe LibReAvec son Centre d’entrainement national

en demi-lune olympique, des évènements internationaux tels que la Coupe du monde

de planche à neige, et ses nombreux modu-les de parc à neige pour tous les niveaux, les sauts à Stoneham viendront consolider la réputation de la station. Elle demeurera une référence au plan de ses installations style libre, autant pour les athlètes de haut calibre que pour la clientèle récréative.

UN pARC À Neige sÉCURitAiReAvec ce retour, les responsables des parcs

à neige seront soucieux de construire un type de saut encore plus sécuritaire, c’est-à-dire de style parabolique. Celui-ci offre un atterris-sage qui se trouve plus haut que la plate-forme de départ, minimisant ainsi l’impact à l’atter-rissage. Des clôtures seront également pla-cées stratégiquement afin de mieux encadrer la vitesse d’arrivée des skieurs et planchistes. Cette initiative réduira le risque d’excès de vitesse à leur arrivée aux sauts. La carte d’ac-cès au parc à neige XL déjà obligatoire pour l’accès à ces zones demeurera en vigueur.

Le vert printanier ne s’est pas encore installé que l’on a déjà hâte à la prochaine saison de ski ! Oui, j’aime l’été, mais que l’hiver est beau et sportif chez nous !

reTour DeS SauTS DanS LeS parcS à neige

LA HAUte vOLtige De RetOUR À stONeHAm

pAR CAROLe ROy


À l’aube de son 50e, la station touristique stoneham est fière d’annoncer le retour des sauts dans ses parcs à neige. C’est dans le but de satisfaire les besoins de sa clientèle et grâce à des nouvelles avancées en matière de sécurité que quatre à six sauts seront désormais offerts dans les parcs à neige de la montagne, dès la prochaine blanche saison. Oh yes ! commentent les mordus !

ren

aud

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Il existe maintenant quatre équipes de cheerleading à l’école Harfang des Neiges. Pour Sophie Thibaudeau, l’aventure est si excitante qu’elle désire offrir une équipe civile aux filles, c’est-à-dire en dehors du cadre scolaire. En 2013, la municipalité de Stoneham voit donc naitre l’équipe les « Magnétic ». Au début de l’année, une vingtaine de filles s’y inscrivent et l’équipe participe à plusieurs compétitions. La concurrence est féroce, les « Magnétic »

affrontent des clubs qui comptent plus de 400 membres et qui cumulent plu-sieurs années d’expérience. L’équipe se tient souvent au bas du classement, mais ne se décourage pas. À force de travail et de persévérance, elles réussissent à se qualifier pour le championnat provincial, le 17 mars dernier, à Sherbrooke, où elles terminent en cinquième position face aux 10 meilleurs clubs de la province. Ce succès inattendu place nos jeunes adeptes dans une position avantageuse. Stoneham rayonne maintenant dans le monde du Cheerleading.

Sophie Thibaudeau est très optimiste pour l’avenir, elle compte bien faire des « Magnétic » une équipe réputée et popu-laire. Elle aimerait accueillir plus de

membres et aller chercher des filles dans toute la région. Le destin fait bien les choses pour l’initiatrice ; au moment où elle démarrait son équipe, Yves Gagnon mettait en place l’École de Sports Acrobatiques à Stoneham. Un partenariat s’établit donc

naturellement entre les deux intervenants. La présence de cette infrastructure à Stone-ham permet aux « Magnétic » d’avoir un entrainement spé-cialisé en gymnastique avec

des équipements adaptés et sécuritaires. On peut donc s’attendre à voir le club

se démarquer davantage au cours des prochaines années. Le club participera d’ailleurs au Championnat canadien le 18 mai à Montréal. Si l’expérience du cheer-leading vous intéresse, n’hésitez pas à communiquer avec Sophie Thibaudeau en visitant le cheermagnetic.ca ou encore le 418-848-3012.

une cinQuième pLace à Sa première année D’exiSTence

Les mAgNÉtiC CHeeRLeADiNg De stONeHAm



Une nouvelle équipe de cheerleading a vu le jour à stoneham ces derniers mois. C’est sophie thibaudeau qui est à l’origine de cette initiative de plus en plus populaire. C’est tout d’abord dans un cadre scolaire que cette ancienne cheerleader a débuté ce projet. en 2003, dans une école de L’Ange-gardien, elle démarre une petite équipe qui connait un certain succès. quand elle vient travailler à l’école Harfang des Neiges à stoneham, il était tout naturel pour elle de bâtir une équipe, elle en parle donc à la responsable du service de garde de l’école qui accueille le projet à bras ouverts. en 2007, elles sont une vingtaine de filles à participer aux activités, aujourd’hui elles sont plus de 125.

Sophie thibaudeau


La fuite d’eau prenant de l’ampleur et le bassin se vidant à vue d’œil, les orga-nisateurs de l’évènement ont du arrêter la compétition afin de régler le problème. Une imposante machinerie est alors inter-venue. Malgré tout, l’eau s’écoulait sans

cesse rendant l’avenir de la compétition de plus en plus incertaine. De nombreux intervenants ont alors mis la main à la pâte afin de sauver le « Super Splash Artic Spas ». En dégageant la toile de la neige qui la recouvrait, un énorme trou est apparu. Le coupable était trouvé, il res-tait à colmater la fuite. Malgré des efforts incessants, les vaillants ouvriers ont dû se résoudre à vider le bassin au complet afin de rabattre la toile et d’éliminer la fuite. Les travailleurs mouillés, mais déterminés à ce que la compétition se poursuive, ont supposé que le trou a pu être causé par des skis ou des bâtons d’un skieur malchan-ceux qui se serait échoué un peu avant la fin du bassin.

Grâce à l’ingéniosité et à la ténacité des organisateurs de l’évènement, le « Super Splash Artic Spas » a pu être sauvé des eaux. Le bassin a donc été raccourci et rempli à nouveau. La foule s’est montrée particulièrement patiente et n’a pas aban-donné les courageux compétiteurs. Quel-ques heures plus tard, les skieurs et les

planchistes ont pu repren-dre la traversée du bassin sous les regards amusés des nombreux spectateurs qui avait assisté au déluge et à la réparation du bassin. La journée s’est donc terminée dans la joie et sous le soleil. Malgré toute cette aventure aquatique, la tradition du « Super Splash » a pu suivre son cours pour une autre année à la Station Touristi-que Stoneham. Oserez-vous y participer l’an prochain ?

L’évènemenT auraiT pu TomBer à L’eau

sUpeR spLAsH ARtiC spAs pResqUe COmpROmis



Le 31 mars dernier, des centaines de spectateurs et de participants étaient réunis à la station touristique stoneham pour participer au super splash Artic spas. Ce défi, des plus original, consiste à traverser, au pied des pentes, un bassin d’eau d’une longueur de 120 pieds ! Certains réussissent avec brio cet exploit particulièrement cocasse tandis que d’autres s’échouent en plein milieu du bassin sous les applaudissements de la foule. Dimanche, le soleil brillait et tout allait pour le mieux quand soudain, certaines personnes ont remar-qué que de l’eau s’échappait à l’extrémité du bassin. Le « super splash Artic spas » allait-il tomber à l’eau ?


La cabane à sucre de la ferme St-Adol-phe était là avant l’arrivée de la famille Legendre. C’est en 1976 que Georges Legendre acquiert la terre et entreprend pour une première fois d’entailler ses érables. Ses débuts sont modestes, mais concluants, il a la piqûre. Au fil des années, la cabane s’agrandit et le nombre d’entailles augmente. Aujourd’hui ce sont plus de 1000 entailles qui laissent couler l’eau d’érable. Juchée dans la montagne, la cabane ne bénéficie évidemment pas des services d’Hydro-Québec. C’est pour-quoi une génératrice, jumelée avec des panneaux solaires permet aux pompes et aux autres équipements de fonctionner. Un ingénieux système permet à la généra-trice de démarrer si les panneaux solaires ne suffisent plus à la tâche. Chaque étape de la fabrication de sirop est monitorée par un logiciel développé par Georges-Étienne, le fils du sucrier. Baptisé Samara, le logiciel permet de suivre en tout temps chaque goutte d’eau d’érable. Des capteurs sont installés à plusieurs endroits dans le processus. En premier lieu, la pression négative dans la tubulure est surveillée en tout temps, on détectera ainsi si un écu-reuil aurait grugé une tubulure. Le niveau d’eau des réservoirs est aussi connu en temps réel. À l’aide de quelques calculs, on peut donc savoir combien de temps on res-tera à la cabane pour transformer la pro-duction du jour. On sait que l’eau d’érable devient sirop lorsqu’elle atteint 4°C de plus que la température d’ébullition de l’eau. Par contre, celle-ci variera en fonction de la pression atmosphérique. Un capteur est donc installé au début du processus de bouillage et un second capteur est installé à la sortie. C’est l’écart entre ces deux lec-tures qui leur donnera le point précis où le sirop d’érable sera prêt. Par la suite, le sirop est extrait de l’évaporateur pour être filtré et mis en canne.

Quand le moment de couler le sirop approche, père et fils regardent l’écran à répétition. Ils ont beau répéter ses opéra-tions tous les jours du temps des sucres, et ce, depuis 1976, la même fébrilité les anime toujours. Ils se font un point d’honneur de produire un sirop de la plus haute qualité, et ce, dans les montagnes de St-Adolphe. À voir tant d’amour et tant de finesse de la fabrication de ce produit si délicieux, je me suis laissé tenter par quelques gallons. Si vous aussi, vous dési-rez faire vos réserves, contacter la ferme St-Adolphe au (418) 848-2879 ou visitez le www.fermestadolphe.com.

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Au cœur de st-Adolphe se trouve un joyau du terroir agricole de notre région, la ferme st-Adolphe. Aux confins de la terre familiale des Legendre se trouvent une érablière et une petite cabane. À première vue, la cabane à sucre ressemble à toutes les autres cabanes à sucre de petite taille du québec, une allure rustique, de la vapeur s’échappant du toit et un réseau de tubulures serpentant la forêt. par contre, à l’intérieur, on est à même de constater toute la technologie présente dans la cabane à sucre des Legendre. m. georges Legendre a certainement deux fois mon âge, mais c’est avec fierté qu’il me montre son téléphone intelligent où une application développée par son fils lui permet de suivre l’évolution de son eau d’érable partout sur la planète.

La vapeur d’eau d’érable ne gêne aucunement père et fils qui s’apprêtent à tester le produit.

georges Legendre et son fils georges-étienne.


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Le 20 avril prochain, invitation à découvrir l’univers de Céline Faucher.

Avec Gens d’ici, d’hier et d’aujourd’hui, l’interprète chante les gens du Québec à

l’aide de chansons à personnage issues du répertoire québécois qu’elle rassemble avec sa touche personnelle. Par la voix et les intonations de Céline Faucher, les amoureux de la chanson québécoise visi-teront une belle galerie d’émotions.

C’est en puisant dans les oeuvres de nos grands auteurs tels Gilles Vigneault, Félix Leclerc, Claude Léveillée, Raymond Lévesque, Clémence Desrochers, tout en faisant une place à ceux qui ont suivi leurs traces, que Céline Faucher chante et incarne les gens d’ici. Que ce soit des hom-mes ou des femmes devenus des légendes ou des personnages créés par nos auteurs,

vous passerez deux heures inoubliables à découvrir et à retrouver Bozo les culot-tes, Louis Cyr, Frédéric, Jenny, Monsieur Marcoux, Le pharmacien, La reine et bien d’autres. Familiarisez-vous avec l’artiste en visitant le www.celinefaucher.com.

une programmaTion De canTonS cuLTure

CÉLiNe fAUCHeR À LA gRANge DU pResbytÈRe

pAR CAROLe ROy


La programmation printanière de Cantons Culture s’annonce fort intéressante. Les murs de la grange du presbytère de stoneham en auront des choses à dire après le passage de Céline faucher et de marcie !

Marcie sera en concert le 25 mai prochain.

céline Faucher en spectacle le 20 avril à la grange du presbytère.

D’ores et déjà, mettez à votre agenda une autre date, celle du samedi 25 mai. Cette fois, Cantons Culture recevra la jeune auteur-compositeur-interprète Marcie qui profitera de son passage à Stoneham pour présenter son tout premier album. Remarquée lors de la dernière édition des Francouvertes, la

jeune artiste promet un spectacle empreint de poésie.

Dans les deux cas, les spectacles débu-tent à 20 h. Les billets au cout de 20 $ sont en vente au complexe municipal de Stone-ham ou à la porte de la Grange les 20 avril et 25 mai.

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n Entre 4 et 5 ans, l’enfant doit être bien compris par la plupart des étrangers. Il est possible qu’il transforme encore les grou-pes de consonnes comme « tr, dr » et les sons « ch, j, r ». Par exemple, il peut dire « sapeau » au lieu de « chapeau ». n L’enfant s’exprime par des phrases com-plètes ayant entre quatre et 7 mots. Dans ses phrases, il utilise les pronoms « je, tu, il, elle » et les adjectifs « mon, ton, son ». n Il emploie un vocabulaire diversifié et précis pour s’exprimer. Sur demande, il peut préciser les mots vagues comme « ça », « l’affaire », « la chose ». n Il comprend bien les concepts d’es-pace (ex. : « sur/en dessous », « en avant/en arrière ») et de temps (« avant/après », « maintenant »). Il comprend aussi les mots questions « pourquoi », « comment » et « quand ». Les couleurs et les formes de base devraient aussi être reconnues. n L’enfant peut aussi maintenir un sujet de

conversation, comprendre le tour de rôle et établir un bon contact visuel avec l’adulte. Il est capable de raconter un événement et de demander une information. Il lui arrive toutefois d’oublier des éléments dans ce qu’il raconte et de ne pas tenir compte de ce que son interlocuteur sait.

Voici quelques suggestions afin de sti-muler le langage des enfants entre 4 et 5 ans : n Lorsque vous parlez à votre enfant, employez des phrases complètes qui com-portent des pronoms et des adjectifs, par exemple « Je vais t’aider à ouvrir la porte », au lieu de « Maman va t’aider à ouvrir la porte » et « C’est mon bol » au lieu de « C’est le bol à maman ». n Laissez-lui du temps (au moins 5 secon-des) pour trouver un mot qu’il cherche. S’il ne le trouve pas, donnez-lui un choix de réponse, comme « C’est un bateau ou un

camion ? ». Si cela ne l’aide pas, vous pou-vez lui donner le début du mot en disant par exemple « C’est un ba… ». n Jouez à des jeux de société dans lesquels on doit lancer un dé ou piger une carte chacun son tour. Regardez des livres avec l’enfant en décri-vant les images et en lui posant des ques-tions (« Qui ? Quand ? Pourquoi ? ») sur ce qui se passe dans l’histoire. Cela le met en contact avec l’écrit et permet de voir s’il a bien compris l’histoire. n Jouez à identifier des mots qui riment ensemble dans les comptines ou les chan-sons, par exemple : « souris » est-ce que ça rime avec « lit » ?

Et n’oubliez pas, l’apprentissage se fait bien mieux en s’amusant ! Ayez du plaisir lorsque vous communiquez avec votre enfant.

Si vous notez que votre enfant pré-

sente des difficultés malgré la stimulation offerte à la maison, n’hésitez pas à faire appel à un orthophoniste qui vous guidera sur les moyens spécifiques à prendre pour améliorer le langage de votre enfant.

entre 4 et 5 ans, l’enfant doit avoir fait certains acquis sur le plan du langage en vue des apprentissages qu’il fera à l’école1. Nous vous fournissons dans cette chronique un aperçu du développement langagier d’un enfant de cet âge. par la suite, vous trouverez des conseils pour stimuler son langage à la maison, en vue d’une entrée scolaire réussie !

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pAR : Les ORtHOpHONistes De LA CLiNiqUe De pHysiOtHÉRApie pÉDiAtRiqUe

Le DéveLoppemenT Du Langage

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1 pauL, r. (2007). Language DiSorDerS From inFancY THrougH aDoLeScence : aSSeSSmenT anD inTervenTion. (3nD eD.). ST-LouiS : moSBY.

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Chaque jour, nos dents sont attaquées par l’acidité de notre alimentation, les bactéries causant les caries et les maladies de gencive, les stress de la mastication, le grincement des dents, le déchaussement des gencives, etc. Nous n’y pensons pas, mais elles ont la vie dure ! Par contre, nous pouvons limiter les dégâts !

Imaginons que la dent est une bat-terie rechargeable, l’émail et la dentine constituant sa structure a le pouvoir de ce reminéralisé. Ce qui veut dire, ce recharger et ainsi se réparer en absor-bant certains ions. Ces ions naturels font partie de la salive, de l’alimentation ou intégrés dans différents produits

d’hygiène buccale. Nous parlons ici du Calcium, du Phosphate, du Sodium et du Fluor. Les tissus dentaires se retrouvent donc plus durs et plus difficiles à dissou-dre par les attaques acides et la carie. L’important est que le pH du milieu buc-cal soit le plus neutre possible.

Afin d’être bien informé concernant les meilleurs produits à utiliser, demandez conseil à votre dentiste. Il existe mainte-nant des gommes, des menthes, des den-tifrices et des rince-bouches très utiles et efficaces que l’on peut intégrer dans un plan de prévention et de traitement. Je ne peux faire la promotion des différentes compagnies dans le cadre de cet article, mais je peux vous suggérer de rechercher les produits contenant du Novamin, du Recaldent et du Xylitol.

(Référence : revue Oralhealth, Décem-bre 2012, Volume 2, Number 12.)

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L’imporTance De voTre SanTé DenTaire

RemiNÉRALisONs NOs DeNts !

Le mois d’avril étant le mois de la santé dentaire, j’ai décidé de vous informer au sujet de la reminéralisation dentaire, espérant ainsi vous aider à conserver une dentition en santé. Depuis toujours, les dentistes utilisent et suggèrent plusieurs méthodes dans l’objectif de protéger les dents. bien sûr, on pense tout de suite au fluor, mais de nos jours, il existe de nouveaux et d’excellents produits efficaces pour protéger et même réparer la structure des dents. Cependant, avec toutes les publicités et la quantité astronomique de produits en vente libre, comment s’y retrouver ?

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« il existe maintenant des gommes, des menthes, des dentifrices et des rince-bouches très utiles et efficaces que l’on peut intégrer dans un plan de prévention et de traitement. »

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C’est en 2007 que le couple acquiert le terrain d’une dimension imposante de 700 000 p². Rapidement, quelques che-vaux viennent se greffer à la famille et l’idée d’accueillir les gens pour pratiquer l’équitation germe peu à peu. Ensemble, Mme Bélanger et M. Chabot ont été famille d’accueil pendant quatre ans pour le Centre jeunesse de Québec. C’était donc naturel pour eux que l’offre de service qu’ils allaient proposer dépasse largement le simple centre équestre. Au mois d’aout 2011, l’arrivée de M. Raynald Simoneau comme maitre cheval et voisin concrétise le projet de François et Isabelle alors qu’ils réalisent qu’il caresse le même désir de venir en aide aux autres. Outre son exper-tise en domaine équestre, il possède trois chevaux dressés pour la zoothérapie et

en fait l’expérimentation depuis trois ans. Tout naturellement, la zoothérapie s’est

ajoutée au service de relation d’aide déjà en place, ainsi que les camps d’été et les cours d’équitation.

C’est donc un centre équestre multi-service qui vous accueillera au Domaine l’autre monde. Bien que des services spécialisés y soient offerts, il n’y a pas de clientèle cible sur le domaine. Que ce soit pour un groupe d’âge scolaire, pour un party de bureau ou pour une fête d’enfants, l’équipe multidisciplinaire du domaine peut vous accueillir dans ce milieu ou se côtoient paysage spectaculaire, plan d’eau, environnement agricole et hébergement rustique tel qu’un tee pee, un wigwam ou encore un petit chalet sur le bord de l’eau. Les services de zoothérapie s’adressent à toute personne âgée de 4 ans et plus démontrant une problématique telle qu’un handicap visuel, handicap physique, défi-

cience intellectuelle légère à moyenne, tri-somie, autisme, trouble de comportement, difficulté familiale ou autre.

De nombreux projets sont en cours ou à l’étape de planification au Domaine l’autre monde. Quand François Chabot nous fait visiter son site, on sent très bien la fierté du travail accompli et l’ambition qui le stimule à réaliser de nouveaux projets. Isabelle Bélanger étant massothérapeute, l’équipe se propose de construire sous peu un pavillon de soin de santé. Par ailleurs, les services de massothérapie y sont déjà offerts. Imaginez que pendant l’heure où votre enfant apprend les rudiments de l’équitation, vous vous faites dorloter sous des mains professionnelles. Pour une aventure unique entre vous, le monde ani-mal et la nature, n’hésitez pas à contacter le Domaine l’autre monde.

De La zooTHérapie à L’éQuiTaTion en FamiLLe

DOmAiNe L’AUtRe mONDe



isabelle bélanger et françois Chabot sont tous les deux des amoureux d’équitation. Leur histoire d’amour a débuté auprès des chevaux, elle était employée d’une écurie, lui était client, ce n’est donc pas surprenant que leur projet de vie prenne forme autour de ces grosses bêtes. Au cœur de ste-brigitte-de-Laval, ils ont établi leur famille, développé une offre de service unique conjuguant l’équitation, la nature, les soins de santé et les relations d’aide. bienvenue au Domaine l’autre monde.

François chabot avec un intervenant.

domingo en compagnie d’une jeune amie


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AmÉNAgemeNt pAysAgeR

Oui, si l’opulence de la demeure l’exige… Il en est de même concernant une piscine creusée et pour tous les choix de luxe qui peuvent être inclus en cours de projet. On y va donc selon le type de résidence et sa valeur.

L’ordre des évaluateurs agréés du Canada suggérait en 2004 jusqu’à 50 % de retour sur investissement. L’université de Clemson suggère même un retour possible de l’ordre de 100 %. Les règles sont de s’as-surer de confier votre investissement à des experts. Il est toujours préférable d’établir un budget approximatif au début du projet. Votre paysagiste certifié peut vous aider avec un budget préliminaire au début de vos démarches. Cela vous aidera à détermi-ner vos priorités et à envisager vos options. Vous pourrez décider de faire effectuer tous les travaux en une seule fois, ou à vous doter d’un aménagement dont certaines parties seront réalisées plus tard.

Tel que recommandé par l’association des paysagistes professionnels du Québec sur leur site Internet : « Lorsque vous éla-borez votre projet, retenez que sa qualité, la maîtrise de son exécution et le respect des normes techniques ont un coût. Cette dépense sera vite remboursée en qualité de vie accrue, en beauté, et en valeur ajoutée à votre résidence. Un aménagement de qua-lité résistera à l’épreuve du temps et pourra même prendre de la valeur avec les années. Méfiez-vous ! Les fausses économies d’un aménagement qui semble esthétique à pre-mière vue, mais qui ne durera pas, risque de vous occasionner bien des soucis et des dépenses en réparations. Ce n’est dans un

terme pas très lointain que vous pourrez vous en rendre compte ». Si votre paysa-giste a une réputation bien ancrée dans son milieu, possède plusieurs de ses clients répétitifs, voire de génération en généra-tion, cela est un très très bon signe !

vOiCi UNe RÈgLe De CALCUL fACiLe À mettRe eN pLACe : Plus la valeur de la propriété est impor-

tante, plus grand sera le budget accordé au paysagement. *valeur de projet clef en main

En général, de nos jours, on voit un minimum de 20 % de la valeur de la pro-priété accordée à l’aménagement paysager. Cela consiste à exécuter la préparation du terrain, le drainage et nivellement. Construire les infrastructures de l’allée principale automobile et piétonne, les revêtements des terrasses et de compléter par les plantations et l’engazonnement. Ce qui fera varier le cout : les marches, type de pavage, murets, revêtement des terrasses en pierres naturelles, superficies, plantations élaborées, plantation d’arbres, patio, etc.

Il n’était pas rare de parler de 10 % autrefois. Ce 10 % de la valeur souvent indi-quée par des constructeurs est aujourd’hui largement insuffisant puisque les maté-riaux se sont raffinés ainsi que les goûts et tendances.

Pour aménager un terrain avec davan-tage de sophistication, c’est-à-dire avec bassins, spas, piscines creusées, objets d’art, il n’est pas rare de voir la valeur des projets passer à plus de 30 %.

UN iNvestissemeNt qUi eN vAUt LA peiNe

pAR NADiNe HeppeLL, CHARgÉe De pROJet

s’il est une question fréquemment posée au spécialiste en aménagement paysager, c’est celle-ci : mon investissement en vaut la peine lors de la revente de ma propriété ? tentons d’y voir clair.

exempLe De CALCUL gÉNÉRAL et AppROximAtif pOUR UN teRRAiN COmpLet :Valeur de la propriété= 300 000 $ = Projet complet variant aux environs de 60 000 $

Valeur de la propriété= 600 000 $ = Projet complet variant aux environs de 120 000 $

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1Conseillère en sécurité financière, 2Conseiller sécurité financière et conseiller en assurances et rentes collectives, Services financiers Blouin et Blouin inc., cabinet de services financiers - distributeur autorisé par la Sun Life du Canada, compagnie d’assurance-vie et cabinet partenaire de Distribution Financière Sun Life (Canada) inc.

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, cabinet de services financiers*Représentant(e) en épargne collective, Placements Financière Sun Life (Canada) inc.

†

, cabinet de courtage en épargne collective. †

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Les maladies graves frappent plus sou-vent que vous ne le pensez. En fait, près de 89 % des Canadiens ont un ami ou un proche qui souffre d’une maladie grave comme un cancer, un accident vas-culaire cérébral ou une crise cardiaque.* Bien que les taux de survie augmen-tent, les coûts associés à la guérison ou aux soins prolongés peuvent faire fondre vos épargnes et, par le fait même, compromettre les projets et le style de vie que vous envisagez pour votre retraite. Heureusement, il existe des produits d’assurance-santé pour vous aider à absorber les répercussions finan-cières d’une maladie grave ou des soins de longue durée.

bieN CONNAitRe vOs OptiONsL’assurance maladies graves prévoit le

paiement d’un montant forfaitaire lors du diagnostic d’une des maladies couvertes,

à la fin de la période de survie prédéter-minée. Il n’y a aucune restriction quant à l’utilisation de la prestation, elle peut

servir aux dépenses pour la maison, au remboursement de l’hypothèque ou d’une dette ou au paiement pour des traitements reçus à l’extérieur du Canada.

L’assurance de soins de longue durée est un autre produit d’assurance-santé utile. Cette assurance prévoit le versement de prestations à une personne qui a besoin d’une aide considérable pour accomplir les tâches de la vie quotidienne (se laver et s’habiller, par exemple, ou qui nécessite une surveillance constante en raison de la dété-

rioration de ses facultés mentales. Les pres-tations peuvent servir à plusieurs choses, notamment à l’embauche d’une infirmière

privée, à la rémunération d’un membre de la famille qui quitte son emploi pour prendre soin de la personne assurée ou à assumer le coût d’un séjour en établissement de soins de longue durée. La dernière chose dont vous voulez vous préoccuper lorsque vous êtes atteint d’une maladie grave est votre santé financière. Lorsque vous planifierez votre retraite, prenez ces choix d’assurance santé en considération vous disposerez ainsi9 de plus d’options pour assumer les coûts engendrés par une maladie grave ou le besoin de soins de longue durée.

*D’aprèS un SonDage mené en 2005 par ipSoS-reiD eT commanDé par La Financière Sun LiFe.

proTégez voTre épargne-reTraiTe en caS De maLaDie

pRÉvOiR L’impRÉvisibLepAR yves et geNeviÈve bLOUiN

Nous avons tous songé à notre avenir à un moment donné ; nous avons tous rêvé aux choses que nous prévoyons faire au cours de notre vie. mais qu’en est-il des choses que nous ne pouvons pas prévoir ? si vous tombiez gravement malade ou ne pouviez pas accomplir les tâches physiques et mentales que nous considérons comme allant de soi, vos plans changeraient-ils ?

« Heureusement, il existe des produits d’assurance-santé pour vous aider à absorber les répercussions financières d’une maladie grave ou des soins de longue durée. »


Pourquoi le courrier électronique remplace-t-il graduellement la poste tra-ditionnelle ? À cause de sa rapidité et de

son cout. Si tout se transportait en un seul clic, les routes disparaitraient et nous aurions le monde au bout des doigts. La

réalité est toute autre et les déplacements qui font partie de la vie quotidienne repré-sentent une donne quantifiable et parfois

onéreuse pour les entreprises en quête de rentabilité.

Le temps C’est De L’ARgeNt« Beaucoup de gens ne connaissent pas la

messagerie et ne s’en servent pas à cause de ça. Je pense que n’importe quel employeur qui a un employé sur la route devrait faire

affaires avec nous autres. Pourquoi envoyer un employé avec un camion à 70 $ de l’heure chercher quelque chose que bobbie fera pour une frac-tion du prix ? », questionne Claude Bouchard. Et ce n’est qu’une des nombreuses façons d’utiliser ce ser-vice pratique et souple. La clientèle passe du notaire au dentiste et sert même les industries des métaux qui font des structures en métal et doivent s’échanger plans et devis de grande taille rapidement. « Les entrepreneurs, les courtiers immo-biliers, les firmes d’ingénieurs-con-seils et les notaires profitent égale-ment de la rapidité de notre action. Tous les courriers légaux ne s’ex-pédient pas par fax ou par courriel et exigent souvent une signature », mentionnait M. Bouchard. La muni-cipalité de Lac-Beauport, Sibéria spa, Cité Joie et Les Résidences du Patrimoine font entre autres partie des clients réguliers de Messagerie bobbie inc.

LA spÉCiALitÉ« Messagerie bobbie, c’est un

service de courrier ultra rapide avec une preuve de livraison. En terme de messagerie rapide, nous

meSSagerie BoBBie, une enTrepriSe D’ici

eNtRe HeRmÈs et seNNApAR CAROLe ROy


de gauche a droite Martin Bolduc, Jean drolet, claude Bouchard, pierre Blouin et alain cordeau.

en cette époque de communication virtuelle, de courriels, de tweet, de facebook, de vidéoconférences et autres variantes du transport d’idées par la magie des ondes, la messagerie traditionnelle peut sembler déconnectée et un tantinet rétrograde. Détrompez-vous ! Le service de messagerie est un formidable outil méconnu que bien des entreprises auraient avantage à utiliser pour des raisons d’efficacité et de rentabilité. Claude bouchard de messagerie bobbie à Lac-beauport, lève le voile sur la pertinence d’un tel service.

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sommes le haut de gamme. Il faut par contre que l’envoi puisse se transporter dans un petit véhicule avec un seul livreur, car nous ciblons une clientèle qui souhaite économiser sur les frais de déplacement et de transport léger. Nous sommes moins chers qu’un taxi et de plus nous descen-dons de voiture à l’aller comme au retour pour prendre ou laisser ces courriers. Nous sommes davantage en compétition avec les taxis qu’avec les Purolator et FedEx », selon Claude Bouchard.

D’Où vieNt Le messAgeR ?Fondé en 1986 par Robert Bouchard

(père de Claude), Messagerie bobbie a débuté modestement en employant durant les trois premières années de deux à trois livreurs équipés de « pagettes » pour des-servir sa nouvelle clientèle. Assez rapide-ment la demande fit en sorte que quatre années plus tard, Claude dut venir prêter main-forte à son père pour être, quatre ans plus tard, à la tête de l’entreprise familiale. Pourtant, ce fils quitte peu de temps après pour mener à terme des études en génie mécanique. Ce n’est qu’en 2007 que Claude achète finalement Messagerie bobbie Inc. et déménage l’entreprise à Lac-Beauport.

Les temps mODeRNesLa messagerie emploie désormais six

livreurs à plein temps et livre entre 600 et 800 envois par semaine avec preuve de livraison. La messagerie dessert la grande région du Québec métropolitain de 8 h à 17 h, du lundi au vendredi. Les semaines précédant les vacances de la construction et celles avant Noël sont les plus achalan-dées. Des ententes de services à la pièce avec des facilités tels que des paiements mensuels sont également offertes.

pOiNt De Limite pOUR LA messAgeRie

Ce que Messagerie bobbie vise pour le futur est un service davantage person-nalisé. « On fait déjà la livraison de boites à lunch corporatives de l’entreprise Chef chez soi alors pourquoi ne pas pousser un peu plus loin et mettre la table par exem-ple ? Je fais également tout pour que les employés soient heureux. Le junior est la depuis 4 ans tandis que l’ainé y est depuis 19 ans. En calculant la distance parcourue par les livreurs depuis 1986, on est allé 25 fois sur la lune », philosophe ce moderne disciple d’Hermès. Informez-vous davan-tage au www.messageriebobbie.ca

claude Bouchard


La bibliothèque l’Écrin de Lac-beauport se fait galerie d’art ce printemps en exposant les œuvres d’artistes d’ici.

Dans le cadre de sa programmation culturelle, la bibliothèque présentait du 20 mars au 9 avril les œuvres du vitrailliste Michel Pelletier.

À son tour, du 24 avril au 15 mai, l’ar-tiste peintre Josée Métivier exposera ses plus récentes créations peintes sur diffé-rents supports dont le cuir ou le bois.

À voir aux heures d’ouverture de la bibliothèque.

expoSiTion à La BiBLioTHèQue municipaLe

L’ÉCRiN se fAit gALeRie

pAR CAROLe ROy


HORAiRe De L’ÉCRiNLundi, mardi et mercredi : 19 h à 20 h 30

Mardi, jeudi et dimanche : 13 h à 16 h

Samedi : 10 h à 16 h

Aujourd’hui, la mission de Yves LaRoche, à travers ses conférences, est d’amener les jeunes et les gens d’affaires à reconnaitre et exploiter le potentiel caché en chacun d’eux, ainsi qu’à nourrir leur motivation par le rêve et leurs objectifs.

Quand on lui a demandé d’être prési-dent d’honneur de la prochaine exposition de la Guilde artistique de Lac-Beauport,

c’est avec joie qu’il a accepté d’appuyer nos artistes dans leur démarche.

Cette exposition organisée en collaboration avec la galerie d’art de Baron Lafreniere avocats, aura lieu dans la toute nouvelle salle Baron Lafrenière. Allez y découvrir les artistes

de chez nous : Danielle Renaud, Sylvie Langevin, Sylvie Vallerand, Nicole Nadeau, Nicole Lefebvre, Linda Banville, Line St-Hilaire, Sonia Poitras, Sonia Reid, Danielle

Pouliot et Bernard Joly.Une fusion entre le sport et l’art à voir

du 9 au 11 mai prochain dans le Vieux Port de Québec.

YveS LarocHe préSenTe LeS arTiSTeS D’ici

qUAND Le spORt et L’ARt fUsiONNeNt

pAR CAROLe ROy


Salle Baron Lafrenière 66 Sault-au-Matelot

Vernissage 9 mai de 17 h à 22 en présence d’Yves LaRoche

L’exposition se poursuivra les 10 et 11 mai de 10 h à 17 h.

yves LaRoche, champion du monde en saut acrobatique à deux reprises, 1984-86, entraineur de l’équipe canadienne et japonaise de saut acrobatique, relève un autre défi, celui de faire connaitre les artistes de Lac-beauport, municipalité qui l’a vu grandir. Une fusion entre le sport et l’art, y’a de quoi éveiller l’intérêt !

une des œuvres de la peintre Josée Métivier.


On a beau la fréquenter au quoti-dien, mais l’école, le soir, revêt une autre dimension. Qui n’a jamais rêvé un jour d’y coucher, de passer la nuit dans la noirceur des murs qui la composent ? C’est ce pri-

vilège qu’ont eu les élèves des classes de 5e année ainsi que celle de 4/5e année. Pour l’occasion, le gymnase fut transformé en immense terrain de camping où plus d’une trentaine de tentes furent montées.

Sur le coup de 19 h, ouverture du cam-ping avec les animateurs qui attendent les joyeux campeurs portant fièrement leur pyjama près du lieu de rassemblement. Pour donner le coup d’envoi à ces festivités extrascolaires, nulle autre qu’une chanson écrite spécialement pour l’occasion sur l’air

de Party Rock de LMFAO ». Ambiance festive, certes, mais tout

avait été pensé pour que le contenu péda-gogique des dernières semaines soit réin-vesti au courant de la soirée… Une façon ingénieuse d’apprendre tout en s’amusant. Ah, ces enseignants ! Toujours là pour nous apprendre quelque chose… Mais n’est-ce pas là la preuve qu’ils aiment ce qu’ils font ? Bien du plaisir ils ont eu tou-tes et tous à sillonner les corridors et à accéder à des endroits jamais découverts,

munis de lampes frontales et question-naire en mains, pour trouver les diverses réponses au rallye pédagogique. Que de peur à se faire surprendre par des ensei-gnants en soif de faire des sauts. Oh, des profs délinquants ! Que de rires pendant les compétitions physiques et intellectuel-les amusantes au cours desquelles chaque équipe tentait d’atteindre la première position ! Peu d’heures de sommeil mais tant de merveilleux souvenirs en tête à ramener à la maison le lendemain matin !

un camping à Saveur péDagogiQue

UNe NUit À L’ÉCOLepAR CAROLe ROy


quand en février dernier marc-André perron, enseignant la 5e année à l’école montagnac me faisait part de l’activité Une nuit à l’école, il n’en fallut pas plus pour laisser aller mon imagination. « Comme une nuit au musée, avec des trucs qui prendront vie », ai-je questionné en rigolant ? « Non, mais pas impossible que nous jouions des tours à nos élèves », a-t-il rétorqué. Oh que les jeunes auront du plaisir !


Que de temps ils ont consacré à ce projet multidisciplinaire les 16 élèves de l’école Les Sentiers et les 18 de St-Pierre! S’approprier un texte de plus de deux heures ce n’est pas de la tarte et ajoutez à cela qu’il leur est demandé de

sortir de leur zone de confort pour tantôt danser, tantôt chanter, on ne peut que lever notre chapeau à cette belle jeu-nesse ainsi qu’à sieur Perron qui a su si merveilleusement les guider dans cette folle aventure.

L’œUvRe eN bRefSortie de l’imaginaire de Marc-André

Perron en 2004 et quelque peu influencée par le film Moulin Rouge, l’Œuvre ina-chevée débute en 2013 alors qu’un ancien cabaret est à vendre. La fillette de l’ache-

une pièce régLée au QuarT De Tour

L’œUvRe iNACHevÉepAR CAROLe ROy


Les deux premières semaines d’avril, à l’agora de l’école st-pierre et des sentiers, les troupes de théâtre mecum et Énygma présentaient L’œuvre inachevée, un texte et une mise en scène de marc-André perron. Oui, oui, ce même m. perron qui enseigne à montagnac et qui en plus guide les élèves du secondaire sur les planches.

Un évènement unique au profit du Centre National d’Entrainement Acrobatique Yves LaRoche (CNEAYL).

Le jeudi 30 mai 2013 au Club de Golf Mont-TourbillonFormule « départ croisé » à partir de 11 h

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2e édition

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teuse potentielle y trouve une lettre… élé-ment déclencheur pour remonter le temps. 1624, avec l’aide de Christalia, une diseuse de bonne aventure, un peintre décide de créer une toile qui représentera les étapes de sa vie. Il symbolise chacune des grandes sphères de son existence par les quatre élé-ments : l’air, la terre, l’eau et le feu. Chris-talia commettra l’irréparable en déchirant la carte représentant la cinquième partie de la vie du peintre. Ce dernier s’éteindra en laissant son œuvre inachevée. La car-tomancienne promet qu’elle reviendra à la vie 250 ans plus tard en compagnie des éléments de la toile afin de trouver une per-sonne à l’image de l’artiste. À l’aube de 1874 l’heure est à la fête, le tout nouveau cabaret Show Time ouvre ses portes. Qui est des-tiné à prendre place dans ce tableau? C’est au rythme des danses, des malheurs et des joies de tous les personnages qui gravitent dans ce lieu que nous le découvrons.

ReNCONtRe AveC ÉNygmA et meCUm

Rendez-vous est donné à Montagnac dans la classe de Marc-André. Pourquoi là alors que nos jeunes sont au secondaire? Primo, parce que c’est à la petite école qu’elles ont pris gout au théâtre; deuxio, l’une des comédiennes fréquente encore l’établissement, y étudiant en 5e année .Catherine Joncas est la jeune sœur de Marie-Laurence (sec IV) et d’Anne-Fré-dérique (sec II). L’ainée fait partie de la troupe Énygma, l’autre de Mecum et la cadette tient un petit rôle dans toutes les représentations. Comment apprend-on ses textes tout en étant à l’école à plein temps? Par petits bouts auxquels on en ajoute d’autres pour certaines, devant le miroir, pour d’autres. Assurément, il semble plus facile de mémoriser des pages et des pages de l’�uvre inachevée que d’étudier pour un examen d’histoire. Comme quoi quand on aime ce que l’on fait, tout coule de source. « C’est un réel dépassement de soi que je leur demande », explique l’auteur. « Deman-dez à Camille Bégin de vous en parler. » Camille qui incarne un personnage mythi-que dans la pièce ne craint pas d’apprendre ses répliques, pour les chorégraphies par contre il en était tout autre. « J’ai vraiment dû travailler très fort pour ça, surtout qu’il y en a dans la troupe qui danse vraiment bien », lance-t-elle modestement. La géné-rale prouvera qu’elle a réussi avec brio.

sUR Les pLANCHes Privilège de journaliste, je fus invitée à

la générale le 2 avril dernier. Alors que les

comédiens s’interrogeaient encore sur la cohérence des textes appris depuis novem-bre, tout c’est mis en place avec les décors, costumes et maquillages. La pièce a pris

vie, les mots se sont mis à valser au rythme des comédiens. Les projecteurs étant bra-qués sur eux, ils n’ont pu voir mes yeux s’embuer d’émotion. Qu’ils étaient beaux et

bons tous ces jeunes, qu’il était impression-nant l’auteur et metteur en scène, qu’elle était extraordinaire cette magie des mots et des pas qui s’opérait sous mes yeux.

encore quelques préparatifs avant la générale. La bonne humeur règne malgré le stress ! Marc-andré perron, camille Bégin, anne-Frédérique, Marie-Laurence et catherine Joncas.


Passionné d’histoire et doué d’une âme aventurière, l’auteur entreprend sa pre-mière expédition en canot au Manitoba, sur la rivière Hayes, il y a plus de 35 ans. Lors de cette aventure, il visite un poste de traite et c’est à ce moment qu’il développe une véritable passion pour cette époque. Il s’élance alors sur les traces de Radisson et de Des Groseilliers jusqu’à York Factory à la baie d’Hudson, franchissant 800 kilo-mètres en canot. Depuis, il a parcouru les rivières du Canada sur les traces des valeureux voyageurs qui ont fait la réussite du commerce des fourrures aux XVIIIe et XIXe siècles.

eN fRANçAis s’iL vOUs pLAit !Déplorant le fait qu’il existe peu

d’écrits en français sur les voyageurs,

Gilles Bédard entreprend un travail colossal de recherche et d’archivage sur ces voyageurs. Il y a 4 ans, il rencontre Gilles Lambert des Éditions GID qui lui donne l’élan nécessaire pour débuter la rédaction de son livre. Bien qu’ils fassent surtout partie de l’histoire de l’Ouest et du Nord-Ouest canadien, les voyageurs sont tous partis de la vallée du Saint-Laurent. Leur mode de vie unique a suscité l’admi-ration, l’émerveillement, le respect, et a éveillé l’imaginaire. C’est ce que l’auteur tente de transmettre au lecteur à l’aide de nombreux témoignages. Pour y arriver, il n’hésite pas à parcourir les bibliothèques et les archives de plusieurs provinces et universités.

Ce livre est l’aboutissement de toutes ses années d’aventures, d’expéditions en

canot qui l’ont amené à faire des recher-ches et des lectures sur la période de la traite des fourrures, sur les voyageurs, leur mode de vie, leurs canots, sur le territoire,

les rivières et les pos-tes de traite, enfin sur cette période qui correspond aux débuts de l’histoire de l’Ouest canadien.

Le livre est abon-damment illustré par des artistes du 19e siècle tels que Hopkins et Krie-ghoff. Par leurs toiles, ils ont décrit divers aspects du quotidien des voya-geurs. De plus, des extraits de journaux d’explorateurs et des textes inédits vien-nent raconter ces aventures. C’est un retour au temps de la

traite des fourrures, une page incontour-nable de l’histoire du Canada. En effet, sans les voyageurs, le Canada serait dif-férent aujourd’hui.

giLLeS BéDarD nouS parTage Sa paSSion

LANCemeNt DU LivRe : Les vOyAgeURs D’AmÉRiqUe



Un citoyen de Lac-beauport vient de lancer un livre qui en intéressera sans doute plusieurs. Les voyageurs d’Amérique raconte l’histoire de ces aventuriers du Nouveau monde, leurs modes de vie et leurs nombreux voyages. gilles bédard, retraité du monde de l’éducation, nous transmet, dans ces 176 pages, sa passion pour cette époque rude et difficile. fruit d’un travail méticuleux, ce livre se veut un des seuls ouvrages du genre en français.

Découvrez-les www.caabcharlesbourg.org

Semaine de l’action bénévole 21 au 27 avril

{Des vacances de rêve pour vos enfants!}

6 à 12 ans & 13-16 ans

Semaines et horaire

Semaine du 24 juin 2013Semaine du 1 juillet 2013Semaine du 22 juillet 2013Semaine du 12 août 2013Semaine du 19 août 2013

Du lundi au vendredi de 8h30 à 16h00**service de garde disponible

Coût250$ par enfant pour la semaine (rabais familial disponible).

L’enfant doit apporter son dîner.

Programme d’activités hebdomadairesÉquitation personnalisée, musique & création artistique, jeux sportifs, découverte de l’environnement et zoothérapie.

Équitation - Détente - Aventure

418-825-4086831, avenue Ste-Brigitte, Ste-Brigitte-de-Laval, Québec GOA 3K0

Journée porte ouverte

Samedi 18 mai 2013 de 9h00 à 16h00

Camp de jour / équitation

www.domainelautremonde.com


Plus de 50 ans après le lancement de Spoutnik, les satellites demeurent des engins spatiaux privilégiés pour la recher-che spatiale du fait de leur faible coût comparé aux missions habitées. L’utilisa-tion de ses sondes interplanétaires nous a permis d’accroître nos connaissances sur les planètes de notre système solaire.

COmmeNt ReCONNAitRe UN sAteLLite LORs

D’UNe sOiRÉe D’ObseRvAtiONIl nous arrive souvent le soir de regar-

der le ciel. Si vous êtes un peu patient, il ne faudra pas plus de quelques minutes d’observation pour qu’un satellite tra-verse silencieusement la voûte céleste au-dessus de votre tête. Comment les reconnaitre ? Ces engins se déplacent, comme des avions, sauf qu’ils ne cligno-tent pas comme le font les avions.

Depuis 1957, plus de 8 000 satelli-tes ont été lancés en orbite autour de la Terre, dont plus 3000 sont en état de fonctionnement. Parmi ce nombre, on retrouve la station spatiale internationale. Du fait de sa dimension et de sa brillance,

elle ne peut être confondue avec un autre satellite. La station spatiale met plus de 5 minutes à traverser la voute céleste. De plus, sa rotation rapide autour de la Terre (90 minutes) nous permet de l’observer à quelques reprises dans une soirée.

Bonne observation !

L’AstRONOmie vOUs iNtÉResse ? Un cours sera proposé ce printemps

par un spécialiste qui vous donnera des connaissances de base pour bien débuter en astronomie. Il n’est pas nécessaire d’avoir des connaissances scientifiques ni équipement pour participer à cette for-

mation. Plusieurs sujets seront abordés et une attention particulière sera apportée sur le fonctionnement des appareils et sur la pratique de l’astronomie dans notre région. Un incontournable pour tout astronome amateur qui désire améliorer ses connaissances !

Début des cours : Mai 2013Coût : 110 $ Durée : 12 semainesContenu : Plus de 12 soirées d’observation Information et inscription : Éric Gagnon (418) 682-0184

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LeS SaTeLLiTeS arTiFicieLS

De spOUtNik À AUJOURD’HUi !pAR ÉRiC gAgNON

sans même qu’on le réalise, les satellites jouent un rôle important dans nos vies. pensons aux satellites de télécommunications qui transmettent, non seulement nos appels téléphoniques à l’échelle planétaire, mais qui assurent également la couverture des événements sportifs et d’actualité en temps réel. Ces satellites ont transformé notre vie quotidienne (internet, gps, cellulaires, etc.) où l’on peut suivre tout ce qui s’y passe au moment présent dans le monde sans toutefois être obligé de se déplacer.

Station spatiale internationale.

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AVIS PUBLIC Aux personnes ayant le droit de signer une demande d’approbation référendaire :

En date du 8 avril 2013, le Conseil municipal a adopté le règlement numéro U-2013-02 intitulé : «Second projet du Règle-ment modifiant le règlement de zonage U-2012-02 afin de prescrire des dispositions particulières aux projets intégrés et de modifier les grilles de spécifications des zones 11-Hb et 18-Hb

Ce second projet contient des dispositions qui visent à permettre les projets intégrés d’habitation dans la zone 11-Hb et en prescrit les normes :

1. une distance minimale de 16 mètres entre les façades les plus larges de deux bâtiments principaux;

2. une distance minimale de 9 mètres entre les façades les moins larges de deux bâtiments principaux. Cette dernière distance ne s’applique pas entre deux bâtiments principaux possédant un mur mitoyen;

3. une distance minimale de 9 mètres entre le bâtiment principal et les lignes de lot latérales et arrière;

4. aucun bâtiment accessoire n’est autorisé entre un bâtiment principal et une rue, une aire de stationnement ou une allée d’accès.

Ces dispositions peuvent faire l’objet d’une demande de la part des personnes intéressées des zones 11-Hb et 18-Hb de la municipalité afin que ledit règlement soit soumis à l’approbation des personnes habiles à voter conformément à la Loi sur les élections et les référendums dans les municipalités.

La zone 11-Hb est ceinturée, à l’ouest, par les limites arrière des propriétés de la rue des Hauts-Bois et du Verger et, à l’est, par la limite municipale de Ville de Lac-Delage et de la Municipalité des Cantons-Unis-de-Stoneham-et-Tewkesbury.

La zone 18-Hb est ceinturée, à l’ouest, par la rue des Flancs et par les limites arrière des propriétés de la rue des Monts et, à l’est, par la limite municipale de Ville de Lac-Delage et de la Municipalité des Cantons-Unis-de-Stoneham-et-Tewkesbury.

L’illustration du territoire visé peut être consultée au bureau municipal de Ville de Lac-Delage.

Pour être valide, toute demande doit :

indiquer la disposition qui en fait l’objet et la zone d’où elle provient;

être reçue au bureau de Ville de Lac-Delage au plus tard le huitième (8e) jour qui suit celui de la publication du présent avis;

être signée par au moins douze (12) personnes intéressées de la zone d’où elle provient ou par au moins la majorité d’entre elles si le nombre de personnes intéressées dans la zone n’excède pas vingt et un (21). Chaque signature doit être accompagnée du nom de la personne, de son adresse et d’une mention indiquant à quel titre la personne signe.

Est une personne intéressée :

1. toute personne qui, le 19 février 2013, et au moment d’exercer son droit, n’est frappée d’aucune incapacité de voter en vertu de la loi et qui remplit les conditions suivantes :

être domiciliée dans la zone 11-Hb ou 18-Hb et être domiciliée au Québec depuis au moins 6 mois;

être majeure, de citoyenneté canadienne et ne pas être en curatelle ;

2. tout propriétaire unique d’un immeuble ou occupant unique d’un établissement d’entreprise qui, le 19 février 2013 et au moment d’exercer son droit, n’est frappé d’aucune incapacité de voter en vertu de la loi et qui remplit les conditions suivantes :

être, depuis au moins 12 mois, propriétaire d’un immeuble ou occupant d’un établissement d’entreprise situé dans la zone concernée;

être majeure, de citoyenneté canadienne et ne pas être en curatelle;

3. tout copropriétaire indivis d’un immeuble ou cooccupant d’un établissement d’entreprise qui n’est frappé d’aucune incapacité de voter et qui, le 19 février 2013 et au moment d’exercer son droit, remplit les conditions suivantes :

être, depuis au moins 12 mois, copropriétaire indivis d’un immeuble ou cooccupant d’un établissement d’entre-prise situé dans la zone concernée;

être désigné, au moyen d’une procuration signée par la majorité des copropriétaires ou cooccupants depuis au moins 12 mois, comme celui ayant le droit de signer la demande en leur nom et d’être inscrit sur la liste référen-daire. La procuration doit être produite avant ou en même temps que la demande.

S’il s’agit d’une personne morale, elle doit avoir :

été désignée parmi ses membres, administrateurs ou employés, par résolution. Cette personne, le 19 février 2013 et au moment d’exercer son droit, doit être majeure, de citoyenneté canadienne, n’être ni sou curatelle et ni frappée d’aucune incapacité de voter prévue par la loi;

produit avant ou en même temps que la demande, une résolution désignant la personne autorisée à signer la demande et à être inscrite sur la liste référendaire;

Sauf dans le cas d’une personne désignée comme représentant d’une personne morale, nul ne peut être considéré comme une personne intéressée à plus d’un titre.

Les dispositions qui n’auront fait l’objet d’aucune demande valide pourront être incluses dans un règlement qui n’aura pas à être approuvé par les personnes habiles à voter.

Le projet de règlement peut être consulté au bureau de la Ville de Lac-Delage, du lundi au jeudi de 13h à 17h. Une copie du résumé du projet peut aussi être obtenue sans frais par toute personne qui en fait la demande.

Donné à Lac-Delage, ce 9 avril 2013.

Guylaine Thibault, directrice-générale et secrétaire-trésorière

On fait souvent référence en photogra-phie aux contrastes de lumières (aspects lumineux vs. sombres) ou de contrastes de couleurs (sujet rouge sur arrière-plan vert par exemple), mais ici je vous parle d’un contraste de composition.

Le printemps fait renaitre la vie autour de nous, et de voir cette vie s’ouvrir, se révéler, malgré la présence encore forte de la neige, crée en effet ce contraste de composition.

Sur la première image, la fonte de la neige et des glaces fait réapparaître la rivière, plus haute et forte que d’habitude, mais peu importe la beauté de la rivière, la présence de la neige de part et d’autre crée ce contraste et génère la puissance de cette image. Dans une chronique future, je donnerai quelques trucs et conseils pour photographier rivières et cascades.

Évidemment, il faut faire attention, les ruisseaux et rivières peuvent ne pas

être complètement dégagés, donc ne pas s’aventurer trop près sans prendre des pré-cautions. L’eau est froide, et l’équipement photographique n’est pas nécessairement fait pour être submergé !

Le printemps, avec ses journées plus chaudes, fait un contraste de température avec la neige froide et ceci peut souvent don-ner naissance à un brouillard épais, causé par la condensation de l’air chaud et humide, qui peut filtrer les rayons du soleil et créer de très intéressants jeux de lumière.

Il ne faut pas de techniques particu-lières pour capturer les contrastes, mais il faut être conscient de leur présence et de leur impact en photographie. L’équipe-ment nécessaire n’est pas dans le matériel photographique, mais dans le matériel de marche et de randonnée pour aller se promener en forêts à la fonte des neiges, et avoir la préparation mentale pour voir ce qu’il y a à capturer.

QuanD La naTure Se révèLe

Le pRiNtemps CONtRAstANt

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Le printemps approche à grands pas, et celui-ci nous offre beaucoup d’opportunités photo. L’hiver, la neige, l’été, les jardins et fleurs, mais le mois d’avril en général nous offre un spectacle unique qui peut être très puissant en photographie : les contrastes.

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AVRIL- À tous un très bon mois de la santé dentaire

Au mois de mars, depuis le 12 mars en fait dans l’hémisphère nord, la comète C/2011 L4 Pan-STARRS est visible au crépuscule, légèrement à l’ouest, environ 20 degrés au-dessus de l’horizon, environ une heure après le coucher du soleil. Dif-ficilement visible à l’œil nu, car la lueur du crépuscule est encore présente, elle se trouvait facilement avec des jumelles ou un petit télescope.

En date du 10 mars, elle a fait son plus proche passage du soleil, à quelque 45 millions de km de celui-ci.

Pan-STARRS demeurera visible, mais de plus en plus faible intensité, jusqu’à la mi-avril environ. Cette comète été découverte le 6 juin 2011 un peu au-delà de Jupiter. Elle fût détectée le cadre du programme de recherche Panstarrs (Panoramic Survey Telescope and Rapid

Response System) d’où son nom.Et ce n’est qu’un début, car à l’automne,

une autre s’annonce déjà magnifique ! Celle-ci pourra être assez lumineuse pour être vue de plein jour et a le potentiel de devenir l’une des plus brillantes de l’his-

toire capable éventuellement d’éclipser la lune, si elle survit son approche du soleil, car elle passera environ 40 fois plus près du soleil de Pan-STARRS. Son nom : ISON, et son passage est prévu en novem-bre 2013.

vue Sur L’HémiSpHère norD

ANNÉe De LA COmÈte

pAR fRANCis AUDet

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sur le calendrier chinois, 2013 est l’année du serpent. mais pour les photographes et astronomes amateurs, 2013 est l’année de la comète.

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miA et mAts DesAUteLs, NOs CHAmpiONs

Une saison de ski extraordi-naire pour les jeunes Mia et Mats Desautels qui ont tous deux gagné le Championnat canadien junior en sauts. En plus d’avoir participé au Championnat canadien junior à Apex, Mats termine sa saison en 3e position au niveau provincial, toutes catégories en ski acrobati-que. Sur la scène régionale et pro-vinciale, sa jeune sœur Mia a quant à elle tout gagné tant aux épreuves de bosses, de sauts qu’en slopestyle. Lac-Beauport est décidément la Mecque des skieurs acrobatiques !


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L’activité s’inscrit dans une série de courses, baptisée « Vert le Raid », pré-sentée par Subway et produite par Hori-zon5. Blaise Dubois, propriétaire de La Clinique du Coureur est très heureux d’offrir cette première édition aux gens de la région. Pionnier dans le monde de la course à pied et dans la prévention des blessures en course à pied, il voit là l’occasion de faire connaitre davantage sa passion, chez lui, à Lac-Beauport. Au moment d’écrire ces lignes, plus de 75 personnes étaient déjà inscrites à l’un des trois parcours. Mentionnons que

l’inscription est possible jusqu’au jour de la course, mais qu’il est préférable de s’inscrire avant le 31 mai pour bénéficier de tarifs avantageux. À titre d’exemple, l’inscription au parcours de 10km se fait au cout de 40 $.

Un service de garde sera aussi dispo-nible pour les parents voulant venir avec leurs enfants. Des animateurs de l’équipe du Saisonnier seront sur place pour ani-mer vos enfants. Il suffit de réserver une place lors de votre inscription moyennant des frais de 5 $ pour toute la matinée. La course est aussi un évènement-béné-

fice. Pour Camille et Jeanne ainsi que pour toutes les autres person-nes touchées par la fibrose kystique, deux dollars par inscription seront remis pour le Défibrose 2014 : La grande muraille de Chine, une activité visant à amasser des fonds pour la recherche dans le traitement de la fibrose kystique. Le Trail se distingue aussi en étant la course la plus sécuritaire en ville. En effet, les premiers soins seront assurés par une équipe chevronnée de phy-siothérapeutes et de premiers répondants de chez PCN La Capitale, des spécialistes en course à pied et en sport d’endurance.

Les participants ne repartiront pas les mains vides, car plus de 4000 $ en prix seront distribués lors de la course. Notez

que de par son rôle de pourvoyeur de connais-sances, entre autres

sur la chaussure de course, La Clinique du Coureur ne peut se permettre d’avoir quelques biais commerciaux que ce soit. Les prix de présence qui seront tirés sont des cadeaux pour les participants unique-ment. Mis en place par Blaise Dubois, le site La Clinique du Coureur se veut un site web indépendant et est un incon-tournable en prévention des blessures en course à pied. Vous pourrez y recevoir des conseils de pros en plus de bénéficier d’un programme très progressif pour vous pré-parer à la course du 2 juin. Il n’est donc pas trop tard pour s’inscrire en visitant le : www.lacliniqueducoureur.com/trail.

première éDiTion, Le 2 Juin 2013

tRAiL LA CLiNiqUe DU COUReUR À LAC-beAUpORt



Le 2 juin prochain, La Clinique du coureur organise pour une première année, un évènement unique à Lac-beauport : Le trail. Cette course pour toute la famille vous offrira un superbe parcours à travers les bois du centre de plein air Le saisonnier à Lac-beauport. trois parcours seront offerts, cinq et dix kilomètres ainsi qu’une course d’un kilomètre pour les enfants.

isabelle dumais et Blaise dubois

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Chez les dames de moins de 14 ans, les skieuses du club de ski Le Relais, Mia Desautels et Naomie Boudreault-Guertin ont remporté les deux premières

positions. Juliane Nadeau du club de ski Le Massif les accompagnait sur le podium en décrochant la 3e position. Chez les hommes de moins de 14 ans, Jean-Philippe

Brochu de l’École Le Sommet a réussi un doublé en mettant la main sur deux titres de champion québécois en remportant le saut le dimanche et le slopestyle le vendredi. Olivier Gingras-Gagnon du club de ski Le Relais a quant à lui terminé 3e en saut.

Quant aux hommes de 15 ans et plus, c’est Dave Blais-Langlais, résident de Lac-Beauport et mem-bre de l’Équipe canadienne de sauts qui est sorti champion qué-bécois grâce à deux excellentes performances. Soulignons que Dave a eu l’audace de participer aux trois disciplines au programme du Championnat. Il était très inté-ressant pour la foule massée au bas du site de voir les athlètes exécuter une variété de sauts aussi riche. Les skieurs issus de tous les milieux sont venus montrer ce dont ils sont capables et en ont mis plein la vue aux nombreux spectateurs. Bravo à ces jeunes athlètes qui nous ont fiè-rement représentés et qui ont, une fois plus, étalé l’ampleur du talent émergent de notre région.

pLuSieurS aTHLèTeS De La région Sur Le poDium

CHAmpiONNAt qUÉbÉCOis De ski ACRObAtiqUe AU ReLAis



Le 23 mars dernier, se tenait au Centre de ski le Relais, le Championnat québécois de ski acrobatique. trois disciplines étaient présentées, le slopestyle, les bosses et le saut. Un record a été battu pour le Championnat québécois cette année. en effet, il y avait 126 inscriptions. quelque 56 athlètes passaient en ronde finale en après-midi et le spectacle offert à la foule massée en bas de piste a été à la hauteur du talent de la relève québécoise. plusieurs athlètes de la région se sont mérité les honneurs en gravissant les marches du podium.

Sur le podium : noamie Boudrault-guertin, Mia desautels et Juliane nadeau.

Marc-antoine Labbé-giguère, travis gerrits et dave Blais-Langlais.

LeS FinaLeS De La Ligue De HockeY De La capiTaLeL’ARmADA, UNe ÉqUipe CHAmpiONNe

pAR CAROLe ROy


C’est le 24 mars dernier qu’avaient lieu à l’aréna michel Labadie les finales de la ligue de hockey de la Capitale (LHC). encore une fois, les jeunes de l’Armada HUm Atome CC ont brillé.

Premier affrontement de la journée, l’Armada HUM Atome CC contre les Centurions de Québec Ouest. Dans un match enlevant, l’Armada a remporté les honneurs de cette grande finale par le compte de 2 à 1 en fusillade. Parmi les joueurs de l’Armada, deux jeunes Lac-Beauportois : Maxime Lévesque et Raphaël Trem-blay. Cette victoire en finale vient couronner une superbe saison durant laquelle l’Armada a compilé une fiche combinée (saison et tournois) de 30 victoires, 10 défaites et 5 matchs nuls. Outre la victoire en finale, l’Armada a aussi été finaliste aux tournois de Pont-Rouge et de Beauport. Bravo à toute l’équipe ainsi qu’à Bernard Lévesque qui agissait comme entraineur adjoint.

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