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LE MINISTERE DES FINANCES AU CAMEROUN

L’amélioration du climat des affaires constitue un des axes ma-jeurs de l’action gouvernementale pour faire du Cameroun unedestination plus sûre et plus attractive en matière d’investisse-

ment.

Au Cameroun, le Ministère des Finances est chargé de l’élaboration etde la mise en œuvre de la politique du gouvernement en matièrefinancière, budgétaire, fiscale et monétaire.Il est responsable en matière monétaire et financière :

§ De la gestion de la dette publique intérieure et extérieure ;§ De la gestion du Trésor public ;§ De l’élaboration de la balance des paiements ;§ Du contrôle des finances extérieures, de la monnaie et de la règlementation

des changes ;§ De la promotion de l’épargne de son emploi pour le développement

économique ;§ Du suivi de la coopération monétaire et financière en liaison avec le

ministre des relations extérieures ;§ Du suivi et contrôle des établissements de crédits, des compagnies

d’assurances et des marchés financiers ;§ Du suivi des affaires du FMI, en liaison avec le ministère des relations

extérieures

FINANCIAL FACILITY CAMEROUN 2020,c’est d’abord la certitude de nouer descontacts commerciaux de qualité, rencontrerles principaux acteurs de la profession concer-née, aussi bien au niveau national qu’interna-tional, d’être à l’écoute des clients ouprospects, de saisir en temps réel les poten-tialités du marché, de découvrir les innovationsdans le secteur et d’établir aussi des partena-riats publics privés.

En exposant également sur ce salon, vousdevenez coorganisateur du premier rendez-vous professionnel de votre secteur. Rien de

Le Cameroun accueillera du 23 au 27 no-vembre 2020 dans la capitale économiqueDouala, le tout premier Salon Internationaldu Crédit, des Solutions de Paiement et duDigital Banking d’Afrique Centrale dénomméFINANCIAL FACILITY CAMEROUN 2020,sous le thème «Innovation financière, fa-cilité de crédit et de paiement ».

Cet évènement est un salon de réseauayant pour objectifs :

-De Créer une plate forme d’échangeentre les acteurs économiques

-De Permettre aux clients ou consomma-teurs de mieux s’outiller pour des décisionsimportantes sur le plan financier, écono-mique et social,

- De présenter, expliquer et débattre desréalités de la Finance Locale et Internatio-nale.

En effet, dans un environnement écono-mique en pleine mutation, l’activité des sa-lons professionnels n’échappe plus auxstratégies de développement commercial etde communication des entreprises, tout enpermettant aussi de mieux répondre aux be-soins de la clientèle et des prospects de plusen plus exigeants.

Avec le nombre de salon qui se multiplie,rentabiliser sa participation à un salon entant qu’exposant devient essentiel ; il fautdonc choisir une plate forme professionnellequi affiche votre vision et vos ambitions,mais qui réunit également une offre et unedemande dans un même temps, sur unmême lieu pour un rendez vous 100% busi-ness.

C’est pour cette raison que participer à

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NOTE DE L’ORGANISATEUR

plus performant pour gagner des prospects,personnaliser votre relation clients, dévelop-per votre notoriété, accroître vos ventes, gé-nérer des contacts qualifiés, conclure desaffaires, valoriser votre offre, surveiller votremarché.

Ce salon en proposant d’être au bon mo-ment, au bon endroit pour un business effi-cace, doit permettre également aux visiteursde découvrir les nouveautés, prendre lepouls du marché, développer des nouveauxréseaux, conclure des affaires, s’informer,prendre une longueur d’avance et compren-

dre la plate forme économique et financièredu Cameroun.

Prenez donc rendez-vous avec votremarché puisque FINANCIAL FACILITY CA-MEROUN 2020 confirmera son rôle essen-tiel de plate-forme de rencontre desprofessionnels du secteur et de regroupe-ment des techniques et technologies lesplus actuelles dans ce marché d’affaires,avec des instruments pour le développe-ment et la fiabilité des transactions finan-cières.

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NOTE DE L’ORGANISATEUR

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Un capital humain levier essentiel de croissance

Estimée à environ 26 millions d’habitants en 2019, lapopulation camerounaise représente presque la moitiéde la population de la sous-région CEMAC (Commu-nauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale),même si la densité au regard de son étendue reste bas; 50,03 habitants/km² en moyenne.

Ce potentiel humain est selon les spécialistes, un levieressentiel sur lequel est endossée l’économie camerou-naise. Aussi, cet immense volume démographique in-dique l’existence d’un marché important de potentielsconsommateurs.

Une cosmogonie économique de la zone CEMACRiche et diversifiée, l’économie camerounaise est tout aussi complexe à décrypter. Elle regorge un certain nombred’éléments dont la compréhension nécessite des outils de lecture précis. Des données démographiques, macroé-conomiques aux principales productions.

Nous vous proposons d’explorer quelques fondamentaux de cette sphère poignante de la vie de ce pays de l’Afriquecentrale présenté comme la plaque tournante de la cosmogonie économique de la zone CEMAC

Comprendre en bref l’éConomie Camerounaise pays au Cœur de l’afrique Centrale

Et pour faire complet, la jeunesse qui la caractérise,cette population (22,1 ans d’âge moyen, ndlr) n’est pasnon plus un aspect négligeable. Elle traduit une maind’œuvre abondante pour les différents projets à hauteintensité de main d’œuvre ; et donc appelés à s’accélé-rer avec le récent plan d’urgence lancé en décembre2014 par le Cameroun, en faveur de son Développe-ment.

Ces éléments réunis sont une aubaine pour les entre-prises en quête de main d’œuvre qualifiée. A ne pasperdre de vue que le Cameroun est en effet le pays quiproduit le plus grand nombre de cadres formés dans lasous-région dans ses multiples universités tant pu-bliques que privées, et autres grandes écoles de forma-tion et d’encadrement de cette jeunesse.

Une plaque tournante de l’économie sous-régionale

Passerelle naturellevers la sous-région en-clavé, le pays est pré-senté comme laplaque tournante del’économie sous-régio-nale en dépit desquelques entorses qu’on lui reconnait. Le Camerounjouit d’une certaine vitalité et d’une expansion écono-mique. Des vastes espaces propices à l’agriculture,l’élevage et aux installations industrielles. Un cadrelégal incitatif facilitant l’acquisition de terrains pour desinvestissements, ceci se traduit sur le terrain par la pré-sence de grandes multinationales qui investissent di-vers secteurs.

La forte densité dans les grands centres urbains estune attraction particulière pour les investisseurs natio-naux et étrangers. Douala, la capitale économique dupays est un exemple patent. Elle renferme en elle seuleune population estimée à 4 110 000 habitants(2019)pour une densité de 4 453hab/km² ; Un facteur qui tra-duit un tissu économique dense et un dynamisme desactivités économiques dans les secteurs agroalimen-taire ainsi que des autres services

Une économie dominéepar la production pétrolièreà côté de la productionagro-sylvo-pastorale

Au sujet des données macroéconomiques. Toute évalua-tion faite, montre que l’économie camerounaise en dépitde sa diversification, reste dominée par la production pé-trolière à coté de la production agro-sylvo-pastorale.

En 2013, par exemple alors que le PIB hors pétrole brutquant à lui s’élève à 13 547,1 milliards F CFA, la part dePIB (Produit Intérieur Brut) liée aux activités d’extractiondu pétrole brut s’élève à 1060,4 milliards F CFA et 982 mil-liards F CFA PIB pétrole brut. Les récents chiffres de laSNH établissent la production nationale de l’or vert à 8,1millions de barils de pétrole brut au 30 Avril 2019.

Par habitant, le PIB s’élève à 700 mille F CFA. En crois-sance constante depuis plusieurs décennies, le PIB par ha-bitant reflète une croissance économique forte pourcompenser les effets de la croissance démographique. Lacroissance soutenue du PIB est appelée à s’accélérer avecles grands travaux récemment engagés dans le cadre duplan d’urgence.

Etant donné une croissance démographique stable, cetteaccélération de la croissance économique devrait amélio-rer le PIB par habitant. Si les projets sociaux visant unemeilleure redistribution des fruits de la croissance sontmenés à bien, la croissance du PIB par habitant se tra-duira par l’amélioration des conditions de vie des popu-lations et la création d’un marché intérieur ¬florissant.

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Un financement des grandstravaux d’infrastructures, envue de la modernisation del’appareil de production

Dans un autre aspect, la croissance soutenue del’économie camerounaise reflète la volonté pour lepays d’aller vers l’émergence projetée en 2035.

Le taux de croissance du PIB est passé de 3,3% en2010 à 5,8% en 2014, soit une progression de plusde 85%. Le seuil de 6% est aujourd’hui franchi grâceà la mise en œuvre du plan d’urgence lancé en dé-cembre 2014 visant le financement des grands tra-vaux d’infrastructures, en vue de la modernisationde l’appareil de production, axe fort du Document deStratégie pour la Croissance et l’Emploi (DSCE).

Aussi, la hausse régulière du budget d’investissementpublic (BIP), acte annuel qui finance la modernisationde l’appareil de production, est un indice de la bonnesanté des recettes budgétaires dans le PIB, qui enplus d’être stables depuis 2010, connait au fil des an-nées une évolution notoire ; prenant en compte lesaspects de la conjoncture économique que traversele Cameroun. Pour l’année 2020, le BIP dont le lan-cement technique vient d’avoir lieu à Bafoussamsous la diligence du Ministre des Finances du Came-roun Louis Paul Motaze se chiffre à 4 951,7 Milliardsde Francs.

Garder le cap sur le marché mondial

Le Cameroun se vante de ses ressources naturellesqui font de lui l’un des principaux producteurs sur lemarché mondial de nombreux produits agroalimen-taires à l’instar du Cacao ( 297 000 tonnes en 2018) ,le café (25 315 tonnes pour la campagne 2017-2018),les bananes, les produits à base de palme, le tabac,le caoutchouc, du coton, manioc et maïs.

La production de café reste stable et bénéficie du«Projet de Protection du Verger Cacao-Café» et du«Projet de Relance de la Production du Matériel Vé-gétal Amélioré du Cacao et du Café» se devrait debooster ses chiffres.

Le secteur des bananes a cependant connu unechute vertigineuse ces trois dernières années du faitl’instabilité sociopolitique que traversent les régionsanglophones, zone d’implantation de la CameroonDevelopment Corporation (CDC). Moins 2000 tonnesen janvier 2019 en comparaison de la quantité expor-tée au cours de la même période en 2018, selon lesstatistique de l’Association bananière du Cameroun.

Une dure réalité que les producteurs camerounais(dont la PHP et BOH plantations) sont appelés à sur-monter si le pays souhaite garder le cap sur le marchémondial où la concurrence se fait de plus en plusrude notamment après l’ouverture du marché del’union européenne à la banane dollar.

La foresterie, la pêche, la fabrication des biens deconsommation légers, les textiles sont enregistrésdans les secteurs secondaires ou comme des activitéssupplémentaires du pays dont la valeur ajoutée n’estpas à négliger. Il représente plus du ¼ du PIB et em-ploie 9% de la population active au coté des secteursprimaire et tertiaire qui charrient respectivementplus de 14% du PIB avec emploie d’environ 62% de lapopulation active et 52% du PIB pour environ 32% dela population active.

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Plus qu’une révolution dansles systèmes financiers, avecson évolution rapide et son im-pact profond dans les habitudes; le Digital Banking est désor-mais indispensable dans la rela-tion entre une banque et sesclients. Pour Gfi world, laBanque Digitale est donc labanque qui sait vite se transfor-mer pour prendre en compte lesnouveaux usages de ses clients,en mettant en œuvre toutes lestechnologies nécessaires maisaussi les indispensables réorga-

nisations et changements de sesmodes de travail. Les attentes etexigences des clients sont dés-ormais fortes ; mais qui répondmieux sur :

• La Mobilité : accès à desservices n’importe quand, n’im-porte où, depuis n’importe quelterminal mobile ;

• L’Instantanéité : obtentionde réponses immédiates et mul-tiples ;• Les Interactions Sociales :

accès à tout type de réseau, mé-

lange de relationprivée et pro-fessionnelle avec des interlocu-teurs connus et inconnus ;• La Distanciation : réalisation

d’actions à distance, qui néces-sitaient une proximité physiquejusqu’à présent.

Les nouveaux usages, lesnouvelles exigences, les nou-velles solutions, la fiabilité et lasécurité des opérations, l’assis-tance technique permanente,retrouvons nous pour en parlersur Financial Facility.

UTILISATION DU DIGITAL BANKING

COMPRENDRE LE SALON

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CHOISIR DES SOLUTIONSDE PAIEMENT ET TRANSFERT

L’évolution des solutions de paiementa été tellement rapide que parfois lesclients se posent des questions à

cause du nombre d’acteurs sans cessecroissant. Et comment on s’y retrouve dansce nouveau monde? L’avancée techniqueet technologique, le coût et la qualité duservice après vente, la proximité du presta-taire sont autant d’éléments qui distinguentles operateurs dans le domaine du transfertd’argent et des solutions de paiement.

Comment donc choisir un opérateur fiableet pérenne dans le temps ?Comment répondre aux exigences de lanouvelle génération d’utilisateurs ?Les fournisseurs de solution de transfertd’argent et des solutions de paiementdoivent se rencontrer pour gagner mutuel-lement la confiance de l’un et de l’autre etdécouvrir les innovations présentes et àvenir des opérateurs, mais aussi découvriret affronter les besoins et exigences sanscesse croissants des utilisateurs.

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L’accès au crédit et au fi-nancement des activités etdes projets a toujours étéune préoccupation ma-jeure pour les grandes en-treprises, les PME, et pourle citoyen ordinaire. Eneffet, l’obtention d’un créditpeut favoriser le démar-rage d’une activité ou d’unprojet, garantir la survie etla croissance des entre-prises.

Certains entrepreneurspensent que l’accès aucrédit relève de l’extraordi-naire ou d’un relationnelparticulier avec les établis-sements financiers. Il faut

réussir à déconstruirecette imagerie populaireen facilitant l’accès à l’in-formation, et parfois dansun milieu neutre commeles salons professionnels.Il a même été démontréque certains jeunes entre-preneurs ont souvent eude la peine à franchir leseuil d’un établissement fi-nancier pour la premièrefois, pourtant porteur devéritables potentialitésd’affaires.

Les établissements decrédit disposent en effetdes services financiers ap-propriés et adéquats qui

permettent à des chefsd’entreprises, des porteursde projets ou des clientsordinaires d’éviter le piègedu secteur financier infor-mel qui par contre devienttrès souvent un facteur dedestruction d’activité ou deprojet. Ce déficit de vulga-risation de la multitude dedifférents types de crédit etdes facilités de paiementest un facteur qui ne favo-rise pas la démarche del’entrepreneur vers l’éta-blissement financier. Ilfaut donc briser le mur etaller dans un espace100% business où crédit etaffaire se rencontrent et separlent.

PARLONS CREDIT

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COMPRENDRE LE SALON

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